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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
27 juin 2016

Oû peut-on trouver la preuve de l’existence de Dieu ?

gddfg1. Qu’est-ce que Dieu ?
" Dieu est l’intelligence suprême, cause première de toutes choses . "

2. Que doit-on entendre par l’infini ?
" Ce qui n’a ni commencement ni fin : l’inconnu ; tout ce qui est inconnu est infini. "

3. Pourrait-on dire que Dieu c’est l’infini ?
" Définition incomplète. Pauvreté de la langue des hommes qui est insuffisante pour définir les choses qui sont au-dessus de leur intelligence.

Dieu est infini dans ses perfections, mais l’infini est une abstraction ; dire que Dieu est l’infini, c’est prendre l’attribut pour la chose même, et définir une chose qui n’est pas connue par une chose qui ne l’est pas davantage.


Preuves de l’existence de Dieu.


4. Oû peut-on trouver la preuve de l’existence de Dieu ?
" Dans un axiome que vous appliquez à vos sciences : il n’y a pas d’effet sans cause. Cherchez la cause de tout ce qui n’est pas l’oeuvre de l’homme, et votre raison vous répondra. "

Pour croire en Dieu, il suffit de jeter les yeux sur les oeuvres de la création. L’univers existe, il a donc une cause. Douter de l’existence de Dieu, serait nier que tout effet a une cause, et avancer que rien a pu faire quelque chose.

5. Quelle conséquence peut-on tirer du sentiment intuitif que tous les hommes portent en eux-mêmes de l’existence de Dieu ?
" Que Dieu existe ; car d’oû lui viendrait ce sentiment s’il ne reposait sur rien ? C’est encore une suite du principe qu’il n’y a pas d’effet sans cause. "

6. Le sentiment intime que nous avons en nous-mêmes de l’existence de Dieu ne serait-il pas le fait de l’éducation et le produit d’idées acquises ?
" Si cela était, pourquoi vos sauvages auraient-ils ce sentiment ? "

Si le sentiment de l’existence d’un être suprême n’était que le produit d’un enseignement, il ne serait pas universel, et n’existerait, comme les notions des sciences, que chez ceux qui auraient pu recevoir cet enseignement.

7. Pourrait-on trouver la cause première de la formation des choses dans les propriétés intimes de la matière ?
" Mais alors, quelle serait la cause de ces propriétés ? Il faut toujours une cause première. "

Attribuer la formation première des choses aux propriétés intimes de la matière serait prendre l’effet pour la cause, car ces propriétés sont elles-mêmes un effet qui doit avoir une cause.

8. Que penser de l’opinion qui attribue la formation première à une combinaison fortuite de la matière, autrement dit au hasard ?
" Autre absurdité ! Quel homme de bon sens peut regarder le hasard comme un être intelligent ? Et puis, qu’est-ce que le hasard ? Rien. "

L’harmonie qui règle les ressorts de l’univers décèle des combinaisons et des vues déterminées, et, par cela même, révèle la puissance intelligente. Attribuer la formation première au hasard serait un non-sens, car le hasard est aveugle et ne peut produire les effets de l’intelligence. Un hasard intelligent ne serait plus le hasard.

9. Oû voit-on dans la cause première une intelligence suprême et supérieure à toutes les intelligences ?
" Vous avez un proverbe qui dit ceci : A l’oeuvre, on reconnaît l’ouvrier. Eh bien ! Regardez l’oeuvre et cherchez l’ouvrier. C’est l’orgueil qui engendre l’incrédulité. L’homme orgueilleux ne veut rien au-dessus de lui, c’est pourquoi il s’appelle esprit fort. Pauvre être, qu’un souffle de Dieu peut abattre ! "

On juge la puissance d’une intelligence par ses oeuvres ; nul être humain ne pouvant créer ce que produit la nature, la cause première est donc une intelligence supérieure à l’humanité.
Quels que soient les prodiges accomplis par l’intelligence humaine, cette intelligence a elle-même une cause, et plus ce qu’elle accomplit est grand, plus la cause première doit être grande. C’est cette intelligence qui est la cause première de toutes choses, quel que soit le nom sous lequel l’homme l’a désignée.


Attributs de la Divinité.


10. L’homme peut-il comprendre la nature intime de Dieu ?
" Non ; c’est un sens qui lui manque. "

11. Sera-t-il un jour donné à l’homme de comprendre le mystère de la Divinité ?
" Quand son esprit ne sera plus obscurci par la matière et que, par sa perfection, il se sera rapproché de lui, alors il le verra et il le comprendra. "

L’infériorité des facultés de l’homme ne lui permet pas de comprendre la nature intime de Dieu. Dans l’enfance de l’humanité, l’homme le confond souvent avec la créature dont il lui attribue les imperfections ; mais à mesure que le sens moral se développe en lui, sa pensée pénètre mieux le fond des choses, et il s’en fait une idée plus juste et plus conforme à la saine raison, quoique toujours incomplète.

12. Si nous ne pouvons comprendre la nature intime de Dieu, pouvons-nous avoir une idée de quelques-unes de ses perfections ?
" Oui, de quelques-unes. L’homme les comprend mieux à mesure qu’il s’élève au-dessus de la matière ; il les entrevoit par la pensée. "

13. Lorsque nous disons que Dieu est éternel, infini, immuable, immatériel, unique, tout-puissant, souverainement juste et bon, n’avons-nous pas une idée complète de ses attributs ?
" A votre point de vue, oui, parce que vous croyez tout embrasser ; mais sachez bien qu’il est des choses au-dessus de l’intelligence de l’homme le plus intelligent, et pour lesquelles votre langage, borné à vos idées et à vos sensations, n’a point d’expressions. La raison vous dit, en effet, que Dieu doit avoir ces perfections au suprême degré, car s’il en avait une seule de moins, ou bien qui ne fût pas à un degré infini, il ne serait pas supérieur à tout et, par conséquent, ne serait pas Dieu. Pour être au-dessus de toutes choses, Dieu ne doit subir aucune vicissitude et n’avoir aucune des imperfections que l’imagination peut concevoir. "

Dieu est éternel ; s’il avait eu un commencement il serait sorti du néant, ou bien il aurait été créé lui-même par un être antérieur. C’est ainsi que de proche en proche nous remontons à l’infini et à l’éternité.
Il est immuable ; s’il était sujet à des changements, les lois qui régissent l’univers n’auraient aucune stabilité.
Il est immatériel ; c’est-à-dire que sa nature diffère de tout ce que nous appelons matière, autrement il ne serait pas immuable, car il serait sujet aux transformations de la matière.
Il est unique ; s’il y avait plusieurs Dieux, il n’y aurait ni unité de vues, ni unité de puissance dans l’ordonnance de l’univers.
Il est tout-puissant ; parce qu’il est unique. S’il n’avait pas la souveraine puissance, il y aurait quelque chose de plus puissant ou d’aussi puissant que lui ; il n’eût pas fait toutes choses, et celles qu’il n’aurait pas faites seraient l’oeuvre d’un autre Dieu.
Il est souverainement juste et bon. La sagesse providentielle des lois divines se révèle dans les plus petites choses comme dans les plus grandes, et cette sagesse ne permet de douter ni de sa justice, ni de sa bonté.


Panthéisme.


14. Dieu est-il un être distinct, ou bien serait-il, selon l’opinion de quelques-uns, la résultante de toutes les forces et de toutes les intelligences de l’univers réunies ?
" S’il en était ainsi, Dieu ne serait pas, car il serait l’effet et non la cause ; il ne peut être à la fois l’un et l’autre. "
" Dieu existe, vous n’en pouvez douter, c’est l’essentiel ; croyez-moi, n’allez pas au-delà ; ne vous égarez pas dans un labyrinthe d’oû vous ne pourriez sortir ; cela ne vous rendrait pas meilleurs, mais peut-être un peu plus orgueilleux, parce que vous croiriez savoir, et qu’en réalité vous ne sauriez rien. Laissez donc de côté tous ces systèmes ; vous avez assez de choses qui vous touchent plus directement, à commencer par vous-mêmes ; étudiez vos propres imperfections afin de vous en débarrasser, cela vous sera plus utile que de vouloir pénétrer ce qui est impénétrable. "

15. Que penser de l’opinion d’après laquelle tous les corps de la nature, tous les êtres, tous les globes de l’univers seraient des parties de la Divinité et constitueraient, par leur ensemble, la Divinité elle-même ; autrement dit de la doctrine panthéiste ?
" L’homme ne pouvant se faire Dieu, veut tout au moins être une partie de Dieu. "

16. Ceux qui professent cette doctrine prétendent y trouver la démonstration de quelques-uns des attributs de Dieu : Les mondes étant infinis, Dieu est, par cela même, infini ; le vide ou néant n’étant nulle part, Dieu est partout ; Dieu étant partout, puisque tout est partie intégrante de Dieu, il donne à tous les phénomènes de la nature une raison d’être intelligente. Que peut-on opposer à ce raisonnement ?
" La raison ; réfléchissez mûrement, et il ne vous sera pas difficile d’en reconnaître l’absurdité. "

Cette doctrine fait de Dieu un être matériel qui, bien que doué d’une intelligence suprême, serait en grand ce que nous sommes en petit. Or, la matière se transformant sans cesse, s’il en était ainsi Dieu n’aurait aucune stabilité ; il serait sujet à toutes les vicissitudes, à tous les besoins même de l’humanité ; il manquerait d’un des attributs essentiels de la Divinité : l’immuabilité. Les propriétés de la matière ne peuvent s’allier à l’idée de Dieu sans le rabaisser dans notre pensée, et toutes les subtilités du sophisme ne parviendront pas à résoudre le problème de sa nature intime. Nous ne savons pas tout ce qu’il est, mais nous savons ce qu’il ne peut pas ne pas être, et ce système est en contradiction avec ses propriétés les plus essentielles ; il confond le créateur avec la créature, absolument comme si l’on voulait qu’une machine ingénieuse fût une partie intégrante du mécanicien qui l’a conçue. L’intelligence de Dieu se révèle dans ses oeuvres comme celle d’un peintre dans son tableau ; mais les oeuvres de Dieu ne sont pas plus Dieu lui-même que le tableau n’est le peintre qui l’a conçu et exécuté.

 

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21 juin 2016

la lignée mérovingienne est la lignée qui dirige le monde

 

JeannedArc

En 679 AD, l'Église catholique romaine a collaboré avec les Carolingiens pour assassiner le roi mérovingien Dagobert II. Neveu de Dagobert, Childéric III, a été déposé en 751 par Pépin III, le premier de la dynastie carolingienne. En 800, fils de Pépin, Charlemagne, a été couronné empereur romain germanique, bien que son royaume était réellement l'Empire franc. Charlemagne et les Carolingiens épousé Juifs mérovingiens.

"En fait, pour consolider sa demande sur le trône des Francs, Charlemagne avait lui-même épousé une princesse mérovingienne." - 936

Charlemagne était également juif, ses descendants qui revendique le pedigree de la tribu de Juda, alors que les Mérovingiens étaient de l'apostat tribu de Dan :

"Incroyablement, nom juif de Charlemagne était David Kalonymus ...

"La dynastie carolingienne étaient directe descend de la maison de David de la tribu de Juda sur leur lignée masculine. Les rois mérovingiens étaient les descendants directs de la tribu de Dan, par le viol de leur aïeule »par le prince de Dan (aussi appelé la Bête de Poseidan / Neptune). Reine Argotta a été violée par Dan le Sea King et son fils Clodion le Chevelu a été adopté et mis en place par Pharamond (Faramund) qui était un descendant de David de St Joseph d'Arimathie. Il était Clodion qui a introduit la coutume de cheveux longs pour le royaume des Francs en tant que descendants de Samson de la tribu de Dan. Comme Samson leurs longs cheveux a été investi d'un pouvoir mystique. Clodius a également été appelé Mérovée I (de la mer). De lui la dynastie a pris son nom de la Gaule mérovingienne. On croyait que le descendant de l'Danite s mérovingienne réclamerait descendance davidique et être une figure Antéchrist opposés par un vrai grand roi davidique descendu de Constantine, Arthur et Charlemagne parmi les terres de Joseph et d'Éphraïm (les Tribus Perdues dans le Refuge de l'Ouest ou l'exil de Sarepta). "(La Maison de Troie de Charlemagne)

Après la mort de Dagobert II, la lignée mérovingienne a continué dans le personnage de Sigisbert IV, qui ont fui vers le sud de la France, dans le village de Rennes le Château dans le Razès. Sigisbert prit le nom de «l'usine-Ard", qui signifie "jeune pousse" ou "branche" et le titre de comte de Razès. "Plant-Ard" a évolué dans le Plantard nom:

"... Dagobert II est monté sur le trône, mais il fut assassiné en 679 ainsi que son fils Sigebert IV selon l'histoire officielle ...

"La dynastie mérovingienne a continué formellement avec Thierry IV et Childéric III, qui a été enlevé en 751 et ce fut la fin de la dynastie. Selon le parchemin trouvé par Saunière, et cela pourrait être vrai, selon certains historiens, Sigebert IV se sont échappés et sont arrivés en Razès sur le 17 de Janvier 681, où il se réfugia auprès de son grand-père. Dagobert II avait comme une seconde épouse Gisèle, la fille de Béra II, le comte de Razès. La ligne mérovingienne inclus, après Sigebert IV (676-758) a également connu sous le nom «Plant-Ard" - dont M. Plantard a pris son nom -:! Sigebert V (695-768), Bera III (715-771), Guillemon, Bera IV (755-836), Bera V (794 - 860), et enfin je Hildéric Sigebert VI connu sous le nom "Ursus". De cette lignée est venu de la famille Blanchefort qui a donné trois siècles plus tard, un Grand Maître des Templiers, Bertrand de Blanchefort ... Selon le parchemin trouvé par Saunière la lignée ne s'arrête pas avec Sigebert VI, mais a continué jusqu'à cette date, bien que personne ne revendique le trône français "-. 856

"Selon les derniers documents de la dynastie mérovingienne est maintenant en vie dans la famille Plantard (nous devons nous rappeler que le fils de Saint Dagobert II, Sigebert IV était aussi connu comme" usine Ard ou rejeton Ardent ")." La phrase signifie Kid bijou sur Facebook!

Une autre prophétie concernant le Messie est Esaïe 53:2: Car il doit grandir devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d'une terre sèche: il n'a ni forme, ni éclat pour attirer, et quand nous le verrons, il ya aucune beauté que nous plaire.

 

Pour plus d'authentifier leur pseudo-divine lignée, les généalogies mérovingiennes ont Sigisbert IV, le «Plant-Ard» ou la Direction générale, marié à "Magdala", qui est blasphématoire identifié comme un descendant de Marie-Madeleine et Jésus-Christ.

"... Le mariage de Dagobert II et Giselle de Razes combiné les deux lignées, celle de la Sainte Famille et celui d'une bête païenne divine, l'Quinotaur. Le lien entre les Mérovingiens et la Sainte Famille semble avoir été postérieur ombre par cette union des lignées, quand ils ne semblerait, d'après les sources contemporaines d'être une sorte de lignée Pendragon, tels que Vortigern et Arthur en Grande-Bretagne. En Sigisbert IV, il semble que les lignées du roi divin et de l'enseignant du monde combiné.

"Compte tenu des événements de son enfance, il est naturel que Sigsbert, le nouveau comte de Rhedae, gardé un profil bas. Le seul élément de preuve solide de son existence est une charte pour un monastère signé en 718 par 'Sigebert, comte de Rhedae, et sa femme Magdala. " - 873 (Livre 1, Chapitre 9.)

Sigisbert et Magdala étaient assurément pas des descendants de Jésus-Christ et Marie-Madeleine, mais plutôt de leur lignée Pendragon se réfère à la descendance d'Uther Pendragon, le père du roi Arthur et Dragon Head de la Cour druidique Dragon:

"Le 'Tête du dragon de l'île" Pendragon, ou ... était le «gardien de l'île celtique" king-of-Kings et le titre n'était pas dynastique;. Pendragons ont été nommés de Celtic Royal Stock par un conseil druidique des anciens ...

"Le concept du dragon dans la mythologie celtique émergé directement à partir du crocodile sacré (l'Messeh) des anciens Egyptiens. Les Pharaons étaient oints avec de la graisse de crocodile, et de ce fait atteint le courage de l'Messeh (Ainsi le Messie-Oint). L'image de l'intrépide Messeh évolué pour devenir le Dragon, qui à son tour est devenue emblématique de la royauté puissante. " - 29:183

Et le grand dragon fut précipité, le serpent ancien, appelé le diable et Satan ... Apoc. 12:9

Jésus leur dit: ... Vous êtes de votre père le diable ... John 8:42,44

La dynastie mérovingienne a été déposé en l'an 800, mais se perpétue dans une ligne directe de Dagobert II par son fils Sigisbert IV. De cette lignée juive est venu Godefroi de Bouillon, qui a capturé Jérusalem en 1099 et a formé des Templiers (Ordre militaire des Chevaliers du Temple de Salomon), ainsi que le Prieuré de Sion, connu aujourd'hui comme des Sages de Sion, les auteurs des Protocoles des Sages de Sion .

"Le Prieuré de Sion - les Anciens de Sion concerne également les Rothschild qui sont signalés pour servir sur un Conseil juif des Anciens de Sion." (Fritz Springmeier, Les 13 meilleurs lignées Illuminati, p 171.)

"Une véritable société secrète de 121 dignitaires, le Prieuré de Sion, fondé par Godefroy de Bouillon à Jérusalem en 1099, a compté parmi ses grands maîtres Léonard de Vinci, Victor Hugo et Jean Cocteau. 121 ... les dignitaires de la Prieuré de Sion sont tous éminences grises de la haute finance et de sociétés internationales politiques ou philosophiques ... "(Holy Blood, Holy Grail, p. 214)

Rappelons que la Société d'Ormus originaires d'Alexandrie, en Egypte avait déménagé en Calabre, en Italie et que, en 1070 AD, vingt-neuf ans avant la première croisade, les moines de Calabre enlevés à Ardennes Forrest en France, une partie des domaines de Godfroi de Bouillon qui était le duc de Lorraine.

"La première croisade (AD 1098) pourrait alors imaginer avoir été une tentative pour rétablir un héritier de la lignée davidique au trône de Jérusalem, en la personne de Godfroi de Bouillon (également connu sous le nom Godfroi de Lorraine), qui était, selon la légende , de la lignée mérovingienne ... Cette cabale secrète appelée le Prieuré de Sion, est connu pour avoir été formé par Godefroi de Lorraine pour protéger les intérêts de la lignée. " - 936:63

The Templar Revelation énumère les familles juives qui oeuvre des stratégies de la première croisade:

"L'image qui se dessine est un groupe de familles nobles européennes, est descendu à partir des lignes juives de David et Aaron, qui s'était échappé de Jérusalem peu de temps avant, ou possible, même juste après, la chute du Temple. Ils avaient passé en bas de la connaissance des objets dissimulés dans le Temple à un fils choisi ... de chaque famille. Certaines des familles concernées étaient les comtes de Champagne, seigneurs de Gisors, seigneurs de Payen, comtes de Fontaine, comtes d'Anjou, de Bouillon, St Clairs. de Roslin, Brienne, Joinville, Chaumont, St Clair de Gisor, St Clair de Neg et les Habsbourg internautes

«En 1095, les membres du groupe des familles Deus Rex étaient presque certainement totalement christianisée, pourtant chacun d'eux doit avoir eu au moins un membre de sexe masculin qui a tenu l'histoire traditionnelle de leurs haut-nés racines juives proches de son cœur. Sans doute, ils . se considéraient comme des «super-chrétiens», descendants de la toute première Église, et au courant de la plus grand secret de ce côté du ciel Ils étaient une élite silencieuse - «les rois de Dieu». - 96:79-83

Godefroi de Bouillon, qui est devenu le roi de Jérusalem et Maître premier Grand des Templiers était un descendant du roi Dagobert à travers Hugues de Plantard. A partir de ces familles juives descendu le Saint-Clair (Sinclair) et lignées de Plantard, ainsi que la dynastie des Habsbourg qui est allié avec Plantard à travers la maison de Lorraine.

"... Bien qu'il ait été déposé dans le huitième siècle, la lignée mérovingienne n'a pas disparu ... A force d'alliances dynastiques et les mariages, cette ligne est venu à inclure Godefroi de Bouillon, qui a capturé Jérusalem en 1099, et divers autre noble et les familles royales, passés et présents-Blanchefort, Gisors, Saint-Clair-Sinclair en Angleterre ... Plantard, et de Habsbourg-Lorraine ...

"... Dans le Xe siècle un certain Hugues de Plantard ... un descendant littéral des deux Dagobert et Guillem de Gellon-est devenu le père d'Eustache, le premier comte de Boulogne. Petit-fils Eustache était Godefroi de Bouillon, duc de Lorraine et conquérant de Jérusalem. Et à partir de Godfroi il a publié une dynastie et d'une «tradition royale» qui, en vertu d'être fondé sur "le rocher de Sion», était égale à ceux qui président sur la France, l'Angleterre et l'Allemagne. Si les Mérovingiens étaient en effet descendant de Jésus, alors Godfroi-rejeton du sang mérovingien royale avait-, dans sa conquête de Jérusalem, a retrouvé son héritage qui lui revient ...

"Il ya au moins une douzaine de familles en Grande-Bretagne et l'Europe d'aujourd'hui-avec de nombreuses branches collatérales-qui sont de la lignée mérovingienne. Il s'agit notamment des maisons de Habsbourg-Lorraine (actuellement titulaire ducs de Lorraine et des rois de Jérusalem), PLANTARD, le Luxembourg, Montpezat , Montesquiou, et plusieurs autres. Selon les documents des Prieuré, «la famille SINCLAIR en Grande-Bretagne est aussi alliée à la lignée, comme le sont les diverses branches des Stuarts ..." - 31:107, 396, 409-10

La première dynastie angevine était connue depuis le 12ème siècle que la dynastie des Plantagenêt par la Maison d'Anjou qui a produit le roi Henri II et les rois suivants:

"Geoffrey Plante Genest, comte d'Anjou et du Maine était le père du roi Henri II d'Angleterre et, entre autres, Hamelyn (Plantagenet), Warren comte de Surrey (Londres). La première preuve de la Pl (A / E) Nom nte en Angleterre se trouve en 1219, juste après les périodes de fils d'Henri II, le roi Jean lubrique.

"En 1200, le roi Jean a épousé Isabelle d'Angoulême en Aquitaine qui épousa par la suite Hugues de Lusignan, le baron le plus important d'Aquitaine. En 1247, John (Plantagenet) (de Warenne) a épousé Alice Lusignan (de Brien) et les ressentiments anglais de favoritisme à l'égard les `étrangers Lusignan conduit à la révolte du baron en Angleterre, menant à la capture du roi Henri III à Lewes (1264), quoique le roi a été libéré par John (Plantagenet) (de Warenne) à Evesham (1265)." - 950

"Les Plantagenêts étaient eux-mêmes une branche cadette de la Maison d'Anjou, dont le principal était la branche la Chambre des Vere [dont] l'ascendance a été conjointement picte et mérovingienne descendant de l'ancienne Maison du Graal de la Scythie." - 248:8

"Selon les documents des Prieuré» les seigneurs d'Anjou-Plantagenet famille ont ainsi été alliée à la lignée mérovingienne et le nom de Plantagenet peut même avoir été destinée à echo 'Plant-ard »ou Plantard.». - 31:302

Selon Fritz Springmeier meilleurs Treize lignées Illuminati, "Le premier départ de la Prieuré de Sion semble avoir été l'idée d'un certain nombre de lignées puissantes, et inclus divers descendants des Mérovingiens, y compris la maison de Lorraine, la maison de Guise, Médicis, Sforza, les Este, les Gonzague, et les Clairs St. (Sinclairs). Le Médicis est lié à la noblesse noire.

«Dès le début du Prieuré de Sion a été engagé à la magie hermétique ... Anjou René d ', un descendant des Mérovingiens persuadé Cosme de Médicis à établir dans le c. 1444 une bibliothèque non-église de San Marco, où Platon, Pythagore fonctionne , et des livres sur la magie hermétique ont été traduits. Jusqu'à ce moment, l'Eglise catholique avait le contrôle de toutes les bibliothèques. Il était dans la bibliothèque de Cosme de Médicis que l'étincelle de l'enseignement grec et égyptien partit ce point dans la Renaissance, qui était un renouveau de l'humanisme et de l'occulte. Il semble que pendant le Moyen Age, la sorcellerie et les religions à mystères avaient sérieusement dissous, au point que ces modes de pensée devait être réappris à partir des écrits anciens. Fait intéressant, le Moyen Age où la sorcellerie et le paganisme étaient dissolution ont été stigmatisés les «Moyen-Âge» par l'établissement, et inexactement peint comme un moment où l'apprentissage est sorti. " - 77:79

Les familles qui ont régné sur mérovingiens France, en Angleterre et en Allemagne notamment la dynastie des Habsbourg-Lorraine qui, au XXe siècle, a joué un rôle majeur dans la formation de l'Union européenne.

«De premier plan dans les guerres de religion était la noble famille française de Guise ... [T] hey contesté la légitimité de la succession Valois, et a réclamé leur droit au trône en vertu de la descente de l'empereur Charlemagne par la Chambre des Lorraine. " - 29:307

"Le dragon impérial et royal Cour est la Cour des ménages et de l'ordre ancien des descendants angevins supérieurs de la Maison Impériale et Royale de Vere de Caledonia, Anjou et de Lorraine, et l'incarnation physique de la principauté souveraine de Drakenberg, qui est reconnu en vertu européenne Droit comme un groupe souverain raciale ethnique; les Etats-nations principales des peuples draconiennes: ...
"En outre, la nature royale et des ambassadeurs du titre de prince de Drakenberg (Princeps Draconis) est reconnu dans les Observations des officiels» du Département de l'Intérieur du gouvernement de son état d'origine au sein de l'Union européenne. "

20 juin 2016

La prophetie sur les cornes du diable s'est réalisée en arabie saoudite

 

horloge mecque corne du diable

On peut comprendre ce symbole comme son heure est arrivé ,pour que ses suppots ne se cachent meme plus on rentre dans la réalisation des prophéties sur la venue de l'antechrist ,

  La corne de Satan

Rappelons que le prophète Muhammad, que la paix et le salut de Dieu soit sur lui, avait prophétisé que la corne du diable se lèverait dans la région du Najd. C’est dans cette région que se situe Ryad la capitale de l’Arabie saoudite.

 

L’interdiction de prier au lever et au coucher du soleil

 


 

Si le musulman fait une prière au lever ou au coucher du soleil, c’est comme s’il priait entre les deux cornes de Satan. Aussi n’est-il pas permis de prier en ces moments-là. Il est dit encore que les heures en question coïncident avec les heures pendant lesquelles les djinns prient en vénération de Satan

 

La corne de Satan est un sujet de divergence entre les diverses idéologies et les savants. certains affirment qu’elle se trouve en Arabie Saoudite dans la région du Najd de Touhama, en direction du Yémen. 

Ce groupe qui s’est détourné de l’obéissance à Allah et à Son Messager et qui a suivi une voie différente de celle des croyants, c’est le groupe des « wahhabites ».

Il a été fondé il y a 250 ans par Mouhammad Ibnou Abdi l-Wahhab, un homme de la région du Najd – la région de la péninsule arabique dont la capitale est Ar-Riyad, cette ville nouvelle entièrement bâtie par les grandes compagnies pétrolières américaines . Cet homme a réussi à fanatiser les bédoins de cette région et a été suivi par la suite par une racaille qui a accepté sa dissension et qui l’ont à leur tour propagée.

En raison des énormes moyens financiers mis en œuvre pour son service, le mal de la dissension provoquée par ce groupe a pu atteindre un grand nombre de pays musulmans. Le feu de la dissension a pris, les orateurs du mal se sont levés et la catastrophe s’est généralisée au point que plus des trois quarts des mosquées d’Europe sont actuellement sous l’influence directe des wahhabites qui se cachent hypocritement sous le nom de salafites.

Dans l’objectif de tromper les gens, ce groupe a donc pris d’autres dénominations trompeuses, comme « Les Salafites » ou « Ansarou s-Sounnah » et d’autres noms encore.isis boko haram eilil , el nosra alqaida et jen passe

Le Messager de Allah nous a pourtant mis en garde contre la dissension de cet homme, Mouhammad Ibnou Abdi l-Wahhab, lorsqu’on lui avait cité la région de Najd pour qu’il fasse des invocations de bénédiction en sa faveur. Le Prophète n’avait pas donné satisfaction à ceux qui le lui avaient demandé mais il avait dit au contraire ce qui signifie : «C’est de là-bas qu’apparaîtra le fer de lance du diable » [rapporté par Al-Boukhariyy]. Dans une autre version, il a dit ce qui signifie : « La fitnah viendra de l’est« . Or à l’est de Médine, il n’y a que Riyad et Qatar les deux fiefs des wahhabites.  la région de Riyad, et Qatar, les deux fiefs des wahhabites ! Voici la carte qui montre le NADJ et ses deux régions ( Riayd et Qatar ) :

VOILA MAINTENANT LES PROPOS DE IBN TAYMIYYA DANS SON LIVRE QUI CONTREDIT LES WAHABITES ET CONFIRME QUE LE NAJD EN QUESTION EST CELUI DE L’ARABIE===>

يقول المجسم ابن تيمية في كتابه المسمى (بيان تلبيس الجهمية) ج1 /ص 17 : و قد (تواتر) عن النبي صلى الله عليه و سلم إخباره بأن الفتنة و رأس الكفر من المشرق , الذي هو (مشرق مدينته كنجد) . انتهى. ابن تيمية مرجع الوهابية يسمي بلد محمد بن عبد الوهاب مطلعا للفتنة و رأسا للكفر قبل أن يأتي أذنابه بمئات من السنين

 

L’anthropomorphiste Ibn Taymiyya dans son livre intitulé Bayan Talbis L-jahmiyyah, p. 17 premier chapitre a dit:

 

« Et il a été rapporté par attawatour ( hadith moutawatir) du Prophète qu’il a dit que la fitna le fer de lance de la mécréance viendra de Najd viendra de l’Est ».

La direction désignée par le Prophète est à l’est de la propre résidence du Messager à l’est de la ville de Médine. Et ou est le Nadjd.?

 

Voir sur la carte ci-dessus ——————–>> Najd est la région a l’est de la ville de Médine.

 

 Abû Bakr rapporte ces propos du Prophète  :saws : «L'Antéchrist apparaîtra en Orient, dans une terre appelée Khurasân et sera suivi par des peuples dont le visage sera semblable à des boucliers martelés.»

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"Des armées portant des étendards noirs viendront du Khurasan. Aucune puissance ne pourra les arrêter et il atteindront finalement Baitul Maqdis où ils érigeront leurs drapeaux." (rapporté par Abou Huraïra)

etat islamic isis

maintenant jetons un oeil sur leur guide suprème leur calife a tous ces satanistes déguisés en croyant

baghdadi_femme00-de3c6un bon acteur qui se fait passer pour un pieux alors qu'il frequente les bars boit de l'alcool  ..........

la plupart de ces combattants sont en fait anti islam et sataniste  les preuves ne manquent pas ils tuent des musulmans censés etre leur frere ben voyons ,ceux qui sont tués arborent des tatouages sans ambiguités sur leur obédience

taliban sataniste

faux djihadiste

terroriste sataniste tatouageune belle ordure avec son tatouage qui le trahis les musulmans ne portent jamais de tatouage c'est un péché bref déjà le fait de tuer des innocents et révélateur de cette mascarade sanguinaire qui est déjà une violation des lois divines de toutes les religions .......

terroriste satanisteles premières victimes de ces monstres dans le monde sont les musulmans en  les accusant vous les tués deux fois..........

 

 

syrie-kafranbel-dessins-activistes3ils se reclament de lignée reptilienne sortis tout droit du coeur et se nomment  isis

Rien n’a émergé de là qui n’ait provoqué plus de tremblements de terre et de désordres que le culte wahabite établi par Mouhammad Ibn ^Abdi l-Wahhab. C’était un égaré qui a mené à l’égarement les gens qui l’ont suivi.

C’est lui la corne du diable annoncée par le Messager (saws), qui s’est abstenu d’invoquer pour le Najd car Allah lui avait révélé ce qui allait apparaître de cette région,  et tous les problèmes qui découleraient de cette secte et de son appel démoniaque.

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videos de l'horloge de l'antechrist face a la mecque le jour se léve bien sur les deux cornes comme il a été prophétisait par le prophete des musulmans

 

 

POUR EN SAVOIR D’AVANTAGE JE VOUS INVITE A LIRE CE livre =>

 

Le wahabisme démasqué

 

Voici un écrit d’un livre qui est passé sous bien des censures, pour cause il donne des éléments à
réflexions sur la formation  du dogme wahhabite, pseudo salafite.


l’auteur a dit :

Confessions d’un espion britannique et l’hostilité britannique contre l’islam « Memories of Hempher, l’espion britannique du Moyen-Orient est le titre d’un document qui fut publié par séries dans un journal allemand: « Speigel« et plus tard dans un proéminent journal français. Un docteur libanais avait traduit le document en langue arabe et de cette traduction ont découlé la traduction anglaise et des traductions en d’autres langues.Les publications « Waqf ‘Ikhlas » ont répandu et fait circuler le document en anglais non seulement en version papier mais aussi en version électronique sous le titre : »Confessions of a british spy and British enmity against islam« .

Ce document révèle la vraie conjoncture du mouvement wahhabite qui fut innové par Mouhammad ^Abdou l-Wahhab et il explique les nombreux mensonges que ce mouvement a propagé au nom de l’islam et les mensonges propagés envers le prophète Mouhammad ^alayhi s-salatou wa s-salam etenvers les musulmans notamment. Il n’y a pas de doute qu’aujourd’hui les wahhabites se présentent ou tiennent le rôle de pivot dans le terrorisme, en permettant, en finançant, et en organisant l’effusion du sang des musulmans et d’autres gens innocents.

Leur histoire bien connue du terrorisme, comme elle est documentée dans « Fitnatou l-wahhabiyyah » par le moufti de la Mecque, Chaykh ‘Ahmad Zayni Dahlan, et leurs courants assassinats et infractions est due à leur mauvaise croyance que soit disant tout le monde serait blasphémateur sauf eux-mêmes (les wahhabites) (….)

Un livre à voir fortement car il montre le mal qu’a causé Mouhammad Ibnou ^Abdi l-Wahhab, les crimes qu’il a commis etc… Pour découvrir le complot, lisez les confessions de l’espion anglais Hempher qui avait été chargé de la mission de diviser l’Islam de l’intérieur-Il raconte comment il a infiltré les musulmans pour finir par trouver Mouhammad ibn ^Abdil -Wahab pour fonder le wahabisme-ci joint aussi les preuves des grands savants de l’Islam qui racontent le wahabisme, ses égarements ses massacres, ainsi que les savants qui ont combatut cette secte par leurs livres…, a lire absolument==>

 

Le Wahabisme fut fondé par Mouhammad Ibnou ^Abdi l-Wahhab. Il était né à Houreymila à Nadjd en 1111 [1699] et il mourut en 1206 [1791]. Précédemment, il était allé à Baghdad, Basra, Iran, Inde et à Damas, en vue de voyager et de commercer. En 1125 de l’Hégire [en 1713], à Basra, il est tombé en piège de Hempher, l’agent Britannique et il a été employé aux travaux pour “la destruction de l’islam”, menés par les Britanniques. Il a publié les choses corrompues que l’espion avait faites écrire sous le nom de “Wahhabisme”.

Confessions d'un espion britannique et l'hostilité britannique contre l'islam by neillyDC

18 juin 2016

OU EST LE VERITABLE MONT SINAI ?

 

Sinai_Soleil

 

Il y a des années, de cela, quelqu’un m’a passé une coupure de journal où il était question de la localisation du mont Sinaï en Arabie plutôt que dans la péninsule du Sinaï. A l‘époque, j’avais haussé les épaules et jeté l’article que je considérais comme farfelu. Je commettais ainsi l’erreur que font beaucoup de gens quand on leur présente quelque chose de différent de ce qu’on les a conditionnés à croire depuis leur enfance. Ma première réaction, en découvrant l’article de Potter a été : « Encore ? ». Mais les années m’ayant apporté un peu de sagesse, j’ai lu attentivement l’article et je suis allé sur le site de Ron Wyatt. Ma conclusion : les arguments sont suffisamment pertinents pour que nous les prenions au sérieux, d’autant plus que nous avons le témoignage de l’apôtre Paul, ce que je n’avais jamais remarqué. (Je ne le dirai jamais assez : nous ne lisons pas les Écritures avec suffisamment d’attention.) – M. Kahne

OU EST LE VERITABLE MONT SINAI ?


par George Potter
www.nephiproject.com

Car Agar, c’est le mont Sinaï en Arabie (Galates 4:25)

La crainte de Dieu et une dizaine d’autres émotions me remplissaient le cœur quand je me suis mis à monter sur la montagne. Cela se passait en Arabie, par une chaude après-midi de mai 1995. Notre destination était ce qui passait pour être la caverne où Élie avait entendu le murmure doux et léger de Dieu. Je ne cessais de me poser la question : « Sommes-nous les premiers saints des derniers jours à escalader le véritable mont Sinaï ? » Si oui, Craig Thorsted, Tom Culler et moi, nous étions en train de grimper sur la montagne où Moïse avait reçu sa grande vision (Ex 19:3 ; Éz 40:2 ; Ap 21:10 ; Moïse 1:42) où le prophète reçut sa dotation (Moïse 1), où Moïse reçut son appel de retourner en Égypte et de libérer les enfants d’Israël (Moïse 3), la montagne sur laquelle les dix commandements furent gravés par le doigt de Dieu. Je ne pouvais m’empêcher de me demander si nous ne jouions pas un rôle modeste mais important en identifiant la montagne dont certains saints croient qu’elle jouera un rôle dans l’annonce de la Seconde Venue (D&A 29:13), tandis que les musulmans prétendent que c’est là que Jésus-Christ adoptera la foi lorsqu’il reviendra dans les derniers jours .

Nous n’étions pas les premiers saints des derniers jours à tenter de trouver le candidat arabe pour le mont Sinaï. D’autres équipes avaient utilisé les instructions qui se trouvent sur le site internet de Ron Wyatt (http://www.anchorstone.com) et dans le livre de Larry Williams et de Cornuke, The Mount Sinai Myth, mais n’avaient pas réussi à localiser la montagne. Effectivement, les indices fournis par Wyatt, Williams et Cornuke ne nous ont pas été d’une grande utilité non plus. A l’aide de renseignements glanés dans des tentatives précédentes de trouver la montagne, nous avons finalement pu localiser celle qui semble aujourd’hui être une meilleure candidate pour le mont Sinaï que le candidat traditionnel de la péninsule du Sinaï. Bien que la rumeur concernant l’existence du mont Sinaï arabe coure depuis près de 200 ans, nous l’avons, mes compagnons et moi, maintenant visité à plusieurs reprises et avons ce qui est probablement le relevé photographique le plus détaillé des monuments archéologiques qui s’y trouvent.

Pourquoi est-il important pour la communauté des saints des derniers jours de localiser le véritable mont Sinaï ? Premièrement, le mont Sinaï est le plus ancien de tous les temples connus. Étant donné son rôle dans les derniers jours, il apparaît qu’il est toujours consacré comme site de temple, comme « maison du Seigneur ». Le dictionnaire de l’édition de la Bible de l’Église dit dans la rubrique Temples : « En cas d’extrême pauvreté ou d’urgence, ces ordonnances (celles du temple) peuvent parfois être accomplies au sommet d’une montagne (voir
D&A 124:37-55). C’est peut-être le cas du mont Sinaï. » Deuxièmement, cela fournit aux fidèles un véritable site biblique, un site qui est resté pour ainsi dire ignoré depuis l’époque de l’Exode. Troisièmement, notre exploration du mont Sinaï a permis la découverte de plusieurs emplacements possibles du Livre de Mormon, notamment de la vallée de Lémuel et de la rivière Laman (voir notre site internet http://www.nephiproject.com).

Quelles sont les caractéristiques du mont Sinaï ?

Avant d’explorer le désert arabe à la recherche de la montagne, nous avons fait la liste de ce que les Écritures en disaient :

1. On la disait située en Arabie (pas dans la péninsule du Sinaï) (Galates 4:25) et non en Égypte (Exode 2:15, 19 ; 3:8, 10, 12). La péninsule du Sinaï fait partie de l’Égypte et il en était ainsi du temps de Moïse).
2. On la disait située à l’extrémité du coin nord-ouest de l’Arabie appelé Madian (Exode 4:19-25).
3. On disait que le buisson ardent et plus tard le camp d’Israël étaient situés à l’arrière de la montagne, le côté éloigné de la patrie de Moïse et de Jéthro (Exode 3:1-2).
4. Un autel de pierres non taillées y fut construit (Exode 20:24-26).
5. Il y avait un torrent (Deutéronome 9:21).
6. Un autel pour le veau d’or fut dressé non loin du mont Sinaï (Exode 32:17-19).
7. Des limites furent marquées pour empêcher les enfants d’Israël de monter sur la montagne (Exode 19:23).
8. Douze pierres furent érigées, une par tribu (Exode 24:4).
9. Sinaï avait une caverne habitable utilisée par Élie (1 Rois 19:8-9).
10. La montagne était « une très haute montagne ».
11. Il y avait suffisamment de place pour que quelque 3 000 000 d’Israélites campent à côté de la montagne (Exode 12:37).
12. Depuis l’emplacement du camp au pied de la montagne, les enfants d’Israël pouvaient voir la présence de Dieu (Exode 19:17-18).
13. Il y avait largement de quoi faire paître leurs animaux pendant une période de temps prolongée.

Le site traditionnel de la montagne de Moïse

Ce n’est apparemment pas pour un motif rationnel qu’il a été décidé que la montagne de Ste-Catherine, dans la péninsule du Sinaï, était le mont Sinaï. Tout ce que nous savons, c’est qu’un médium a convaincu Constantin que cette montagne solitaire près de l’extrémité sud de la péninsule du Sinaï était la montagne sacrée. Nous avons visité le mont Ste-Catherine, Tim Sedor et moi, et nous avons trouvé que c’était un mauvais candidat. Williams et Cornuke ont également visité Ste-Catherine et ont donné les raisons suivantes pour lesquelles il ne pouvait pas être le mont Sinaï. 1) Moïse n’aurait pas fait faire plus de 300 km aux troupeaux de Jéthro pour les amener dans une région qui est presque entièrement dépourvue de fourrage pour les moutons. 2) Il n’y a pas suffisamment de place pour un grand camp à l’emplacement de Ste-Catherine. Le lieu de campement le plus proche aurait été ce que l’on appelle l’oued du Repos. Cet oued ne pouvait pas être le lieu où les enfants d’Israël ont campé parce que la montagne n’est pas visible de là et nous savons que les enfants d’Israël ont pu voir la présence de Dieu sur la montagne. 3) Le terrain est extrêmement aride, les troupeaux des enfants d’Israël seraient morts de faim. 4) Moïse, qui avait alors quatre-vingts ans, aurait été obligé d’escalader une montagne qui nécessite du matériel d’alpinisme. 5) La montagne n’a pas de source d’eau potable. Pourquoi Moïse aurait-il amené plus de 2,5 millions de personnes à un endroit où il n’y avait pas d’eau ? 6) Il n’y a aucun indice archéologique de la présence d’un camp de près de 3 000 000 de personnes. 7) On n’y trouve aucun des autres éléments décrits dans la Bible (p. ex. la caverne, le torrent, etc.).

Nous en avons conclu que la conception traditionnelle que le mont Sinaï se trouve à l’extrémité sud de la péninsule du Sinaï est un mythe entretenu principalement par le ministère égyptien du tourisme. Après être allé voir la montagne en 2001, je comprends pourquoi sa crédibilité est mise en doute depuis plus d’un siècle.

Alors, où est la montagne de Dieu ?


Un commentaire moderne de la Torah contient une carte montrant huit candidats possibles pour le mont Sinaï. En fait, il y a des millénaires que les érudits et les explorateurs recherchent en vain le mont Sinaï, et les Écritures ont l’air de dire que le véritable emplacement de la montagne pourrait ne jamais être révélé (Moïse 1:42). Il semble cependant que l’apôtre Paul ait connu l’emplacement du Sinaï. Il le situe en Arabie (Galates 4:25) et non dans la péninsule du Sinaï. Son témoignage semble basé sur ce qu’il a vu quand il était en Arabie. Il écrit : « … je ne montai point à Jérusalem vers ceux qui furent apôtres avant moi, mais je partis pour l’Arabie… » (Galates 1:17). Ayant passé du temps en Arabie, il est possible qu’il ait visité lui-même la montagne. Quoi qu’il en soit, si nous devons nous fier à ce grand apôtre, nous pouvons éliminer sept des huit endroits proposés parce qu’ils ne se trouvent même pas en Arabie.

Ce qui impressionne dans le seul candidat pour le mont Sinaï en Arabie, c’est le nombre de restes archéologiques que l’on trouve à son pied. La montagne est fort isolée, pourtant il y a des objets de fabrication humaine qui donnent à penser que c’est le mont Sinaï. Il s’agit de ce que Williams et Cornuke croient avoir été l’autel de Moïse, onze empilements de pierre que l’on trouve à côté de la montagne et qui semblent être « des marqueurs de frontières, une formation rocheuse naturelle au sommet de laquelle on a taillé un autel de haut-lieu du genre de ce que l’on trouve à Pétra et qui est entouré de pétroglyphes de veaux égyptiens stylisés (l’autel du veau d’or) et des piliers de marbre à moitié enterrés qui ont été brisés en plusieurs morceaux. Il y a aussi un lit de torrent asséché qui passe à côté de l’autel et une caverne habitable qui surplombe les monuments archéologiques.

Ce que disent les Écritures :

Le livre des Juifs, la Torah, qui signifie Enseignement, et l’Ancien Testament hébreu placent le mont Sinaï en Arabie. Bien que nous ne sachions toujours pas où se trouvent 55% des endroits dont le nom est mentionné dans la Bible, plusieurs noms de lieu-clés ont été transmis depuis l’Antiquité . L’un d’eux est Madian où se trouvait le mont Sinaï.

Voici ce que dit le récit de Moïse :

Moïse s'enfuit de devant Pharaon, et il se retira dans le pays de Madian, où il s'arrêta près d'un puits.

Le sacrificateur de Madian avait sept filles. Elles vinrent puiser de l'eau, et elles remplirent les auges pour abreuver le troupeau de leur père.

Les bergers arrivèrent, et les chassèrent. Alors Moïse se leva, prit leur défense, et fit boire leur troupeau (Exode 2:15-17).

La recherche a abondamment montré que Madian était à la fois une localité et aussi un « pays » dans le nord-ouest de l’Arabie. Sa frontière occidentale est constituée par le rivage oriental du golfe d’Akaba. Sa capitale, Madyan, était une étape majeure sur l’antique route du commerce de l’encens, qui allait du sud de l’Arabie jusqu’en Égypte et a dû être l’endroit que Moïse a dû tout naturellement atteindre en fuyant l’Égypte par la piste menant au grand désert . La ville s’appelle aujourd’hui officiellement al-Bada’a. Néanmoins, les cartes arabes modernes du nord-ouest de l’Arabie donnent toujours à la ville le nom de Shu’ayb, forme arabe de Jéthro.

La LDS Bible (édition 1979), carte 6, The Ancient World at the Time of the Patriarchs, va dans le même sens que les géographes islamiques en situant Madian en Arabie à côté du golfe d’Akaba. Les premiers explorateurs occidentaux de la région s’accordent pour dire que Madian constituait le coin nord-ouest de l’Arabie (Beke (1834), Burton (1878) , Wallhausen (1886), Sayce (1894), Moore (1895), Shede (1897), Gall (1898), Gunkel (1903), Meyer (1906), Schmidt (1908), Gressmann (1913), Haupt (1914) et Musil (1911) .

Il y a plus de mille ans, le géographe islamique Al-Hauqal écrivait qu’il y avait, à Madian, un puits utilisé par Moïse pour abreuver les troupeaux de Jéthro (Shu’aib). Il expliquait déjà alors que le nom de la localité provenait de la tribu de Jéthro . Al-Muqqaddasi, qui écrivait à la même époque, dit : « On peut voir ici la pierre que Moïse déplaça quand il abreuva les troupeaux de Shu’aib. L’eau, ici, est abondante ».

Les géographes arabes situent le pays de Madian à l’ouest de la ville de Tabuk , d’où l’on peut déduire que le pays de Madian n’avançait pas loin à l’intérieur de l’Arabie. Tabuk est à moins de 240 kilomètres à l’est du golfe d’Akaba. Abdulla Al-Wohaibi, qui a compilé les écrits des géographes arabes entre 900 et 1100 de notre ère, note : « L’attention que les géographes arabes ont toujours accordée à Madyan vient du fait qu’il est cité dans le Coran à propos de l’histoire du prophète Shu’aib [Jéthro] . »

Certains essaient de justifier le mythe de l’existence du mont Sinaï dans la péninsule égyptienne du même nom en disant qu’à l’époque de Moïse, Madyan devait s’étendre jusque dans la péninsule du Sinaï. James Montgomery, spécialiste de la Bible, rejette ceci : « Le pays situé à l’ouest d’une ligne allant de l’oued de l’Égypte au golfe élanitique [le golfe d’Akaba] a toujours fait partie de la sphère politique égyptienne et c’est effectivement la frontière actuelle de l’Égypte… Les Arabes du sud appelaient « Égypte » la même région Msr, c’est-à-dire Mitsraïm . Les restes d’anciennes mines de cuivre égyptiennes près de Ste-Catherine confirment l’idée que l’Égypte dominait le Sinaï.

Bien que les traditions locales puissent être trompeuses, les habitants de Madian (al-Bada’a) ont une tradition abondante sur Moïse et son beau-père Jéthro. Outre le fait que le nom traditionnel de la localité soit Jéthro, les gens de l’endroit s’empressent de vous montrer les cavernes de Moïse, les puits de Jéthro, l’oued Horeb, l’oued de Moïse et les Eaux de Moïse. H. St. John Philby, le célèbre explorateur de l’Arabie, écrivit lors de sa visite à Madian : « D’ici, nous avons escaladé, mon guide et moi, les falaises pour visiter les ‘cercles’ de Jéthro au sommet de la crête Musalla, d’où nous sommes descendus très facilement vers notre camp à l’autre bout… un cairn marquait l’endroit où Jéthro est censé avoir prié et il y a tout autour de nombreux cercles… d’ici j’avais une vue magnifique sur toute la chaîne de montagnes de Madian, avec Lauz [Djebel al-Lawz] et les autres pics qui lui sont associés au nord-est… »

L’Exode nous dit ceci à propos de l’endroit où Moïse a vu le buisson ardent :

Moïse faisait paître le troupeau de Jéthro, son beau-père, sacrificateur de Madian; et il mena le troupeau derrière le désert, et vint à la montagne de Dieu, à Horeb » (Exode 3:1).

Comme le disait Philby, le mont al-Lawz est visible d’al-Bada’a (ville de Madian) et se situe à son nord-est. D’après la Bible, ce serait là le mont Sinaï. Premièrement, c’est là que Moïse emmena les troupeaux de Jéthro, ce qui veut dire que la montagne est dans les environs d’al-Bada’a. Deuxièmement, puisque l’Arabie est connue depuis longtemps comme étant « le désert », son côté arrière serait l’intérieur ou l’est, pas le rivage. Cela veut dire également que le buisson ardent était du côté est des montagnes, du côté de la montagne opposé à la ville d’al-Bada’a (Madian). Puisque le lieu de résidence de Jéthro dans la vallée où existaient les grandes colonies était du côté ouest de la montagne, le côté arrière devait être le côté de la montagne opposé à la résidence de Jéthro et de la ville de Madian.

Ceci décrit exactement l’endroit où nous avons trouvé les monuments et les pétroglyphes. Non seulement la montagne est au nord-ouest d’al-Bada’a, mais les monuments que nous avons trouvés sont du côté est de la montagne. Le récit de l’exode dans le Coran semble confirmer l’idée que le côté arrière du Sinaï était effectivement le côté est. Quand nous lui faisons face de l’endroit où Jéthro habitait, le mont se trouve au nord-est, c’est-à-dire à notre droite. Le Coran dit que le Seigneur apparut à Moïse du « côté droit » de la montagne. (Coran 19:52, voir la traduction d’Abdullah Yusuf Ali, note 2601, qui montre que le côté droit était le côté est.)

Bien que ces arguments soient clairs et cadrent avec le récit biblique, il y en a malgré tout qui prétendent que le mont Sinaï était dans la péninsule du Sinaï. Ils avancent l’argument qu’il y a des récits bibliques dans lesquels des bergers emmènent les troupeaux dans des pays lointains. Ils disent : « Peut-être Moïse a-t-il emmené les troupeaux de Jéthro dans une longue recherche de nourriture et a fini par arriver dans le sud de la péninsule du Sinaï.

C’est peu probable, surtout si l’on sait que la région tout entière autour du site de Ste-Catherine ne convient pas comme pâture. Au cours de son long mandat le gouverneur anglais du Sinaï après la Première Guerre mondiale apprit à connaître la péninsule comme aucun autre occidental avant lui. Écrivant dans ‘Yesterday and Today in Sinai’, C. S. Jarvis affirme qu’il était tout à fait impossible que les multitudes israélites et leur bétail traversent et encore moins se nourrissent pendant plus d’un an dans « les éboulis de granite pur » du sud du Sinaï. D’ailleurs, pourquoi Moïse irait-il faire sortir les troupeaux de Jéthro d’Arabie pour les conduire dans la péninsule du Sinaï où les pâturages sont moins bons et où Moïse était un proscrit ? Il ne faut pas oublier que des garnisons égyptiennes protégeaient les mines de cuivre non loin de la montagne de Ste-Catherine.

Par contre, nous avons observé de grands camps bédouins dans et autour des montagnes de Madian. L’historien Abdulla Al-Wohaibi dit que Madian était « une ville antique florissante ayant de nombreux puits et des sources permanentes dont l’eau avait un bon goût. Il y a des fermes, des jardins et des bosquets de palmiers . » Il semble que, dans les temps anciens, il y ait eu plus de fourrage qu’il n’en fallait pour les moutons à Madian. Le Grec Agatharkidès de Cnide écrit à propos de Madian : « Le pays est rempli de chameaux sauvages ainsi que de troupeaux de cervidés, de gazelles, de moutons, de mules et de bovidés. » Il note aussi qu’en conséquence le gibier « attire de nombreux lions, loups et panthères . »

Si le mont Sinaï est à Madian, où est-il ? La chose la plus naïve à faire est de simplement prendre une carte routière moderne et de la suivre. Les cartes routières les plus utilisées en Arabie sont publiées par Eng. Zaki M. A. Farsi. Son guide de Tabuk couvre le pays de Madian. La carte routière moderne montre une piste qui part de l’oued I’fal vers l’est, à 16 km environ d’al-Bada’a. La piste conduit directement vers une haute montagne en forme de V, qui s’élance vers le ciel. La vallée s’appelle « wadi Musa », c’est-à-dire vallée de Moïse. Elle prend fin à la base occidentale de la montagne en forme de V. C’est à l’arrière ou du côté est de cette montagne que nous avons trouvé les monuments qui font penser que le véritable mont Sinaï se trouve ici.

Il y a beaucoup d’autres raisons de croire que le pic situé à 15 km au sud du Djebel al-Lawz est le meilleur candidat pour le mont Sinaï. Nous avons découvert, mes collègues et moi, d’autres informations sur le sujet. Nous envisageons, Richard Wellington et moi, d’écrire un livre qui traite de la montagne, de la piste suivie par les enfants d’Israël jusque là, de l’endroit où ils ont traversé la mer Rouge et des campements où ils ont séjourné avant d’atteindre de mont Sinaï.

Traduit et mis sur le site avec la permission de George Potter

17 juin 2016

le langage vibratoire de la matière”

vague-quantique

« Passionné de radiesthésie, André Bovis était un chaudronnier originaire de Nice.  Dans les années 1930, ses investigations personnelles lui permirent d’établir une échelle de valeur afin de quantifier l’énergie vitale contenue dans les aliments. Ce radiesthésiste, qui cherchait à mesurer la vitalité intrinsèque des aliments, avait conçu une règle graduée de 0 à 10 000, appelée biomètre, dont l’unité de mesure est l’angström. Pour des raison de facilité, ces angströms furent ensuite convertis en « Bovis », ou « unité Bovis »  par les utilisateurs de la règle du même nom. Aujourd’hui, les « unités Bovis » sont souvent dénommées « UB » dans de nombreux ouvrages de  radiesthésie. Ainsi peut-on lire 5000 ou 6500 UB, et non plus 5000 ou 6500 angströms. »  (http://www.conscienceverte.fr)
Echelle_Bovis

Mon échelle de Bovis

Selon mon étalonnage, le cadran possède des « frontières » au-delà desquelles on bascule d’une famille de fréquence à une autre. Ci-dessous ces frontières, nuancées par mes découvertes :
0 – 3000 uB => nocivités abstraites, sur le plan vital et mental (malédictions, sortilèges, possessions…)
3500 – 5500 uB => nocivités physiques, sur le plan vital (ondes telluriques, ondes électromagnétiques, radioactivité, maladies, poisons…)
6000 -10 000 uB => neutre et bénéfique sur le plan vital (10 000 uB étant le champ vital parfait)
10 500 – 13 500 uB => échange cosmo-tellurique, équilibre (échanges équilibrés, vases communicants)
14 000 -18 000 uB => magie « passive » (Talisman de protection, symboles type pentagramme, bague atlante etc…), magie à l’état de « germe » ou de « réminiscence ».
18 500 – 24 000 uB => magie « active » (Certains dessins de radionique, les montages de De la Foye, de Bélizal…)
22 500 uB => Formes pensées ou Egrégores
24 000 uB => J’ai encore du mal à définir ce que c’est mais c’est une sorte de balise de la présence spirituelle, ou d’un lieu bénit… c’est la porte d’entrée des manifestations d’entités (médailles religieuses, photos, statues et icônes)
24 500 uB => Apparitions d’entités résiduelles ou Kâ
26 000 uB => Apparitions d’entités spirituelles désincarnées ou Bâ
28 000 uB => c’est le double du seuil magique, on entre de plus en plus dans ce que Jacques Ravatin appelle la fuite des repères… C’est aussi la fréquence des Entités divines ou Purs Esprits.
Au delà, pour mon étalonnage c’est effectivement la fuite des repères, je pense que je dois éclaircir mon point de vue pour repousser les frontières de ma compréhension… A titre indicatif je crois, selon mes mesures, qu’au delà de 9 000 000 uB on passe du champ « Belizal » au champ « Unité Sprink » définit par Jacques Ravatin.
En plus de l’uB (qui serait l’équivalent du voltage), il semble y avoir une notion de « densité énergétique » (qui serait équivalente à l’intensité). Cette notion de densité, je la mesure au moyen d’un cadran allant de 0 à 100%. Je vois donc les objets comme des « contenants » ayant une plage d’agissement mais ne pouvant agir avec leur environnement que par leur puissance de charge de 0 à 100%. Selon mon étalonnage, un objet ou un lieu ne devient « actif » dans sa plage de fréquence qu’à partir de 50% de densité.

Les fréquences

– Les fréquences abstraites 0 – 3000 uB

depression

Les mauvais sentiments humains peuvent-ils influencer le cœur de la matière et donc nos propres corps physiques ?

Il s’agit de fréquences engendrées par la pensée négative (méchanceté, haine, colère, chagrin…) ou par des objets dont la forme est contraire à l’harmonie des formes du monde physique. C’est une plage de fréquence dévitalisant, dangereuse et sournoise, car elle influe aussi sur les évènements au niveau quantique, entrainant la « malchance » et les accidents. On trouve dans cette catégorie, les sortilèges néfastes, les maléfices, les malédictions, les possessions démoniques, ainsi que les ondes telluriques néfastes telles que le Ve- ou le Ne-. Le cas de la malédiction templière lancée, par Jacques de Molay, sur la famille royale capétienne en est un exemple puissant. Voir l’état de leur arbre généalogique à partir de Philippe « Le Bel ».
Une poupée maléfisée trouvée par les époux Warren : 0 uB (70% de densité)
Miroir maléfisé : 0uB (50% de densité)
Moais de l’île de Pâques : 2500 uB

 

– Les fréquences nocives physiques 3500 – 5500 uB

electricite

La fée électricité est-elle vraiment une « bonne » fée ?

Il s’agit de fréquences néfastes engendrées par des organismes pathogènes et parasites du « vivant », ainsi que par la technologie humaine : pollution électromagnétique, radioactivité… Elles sont abiotiques. Aujourd’hui, la pollution des courants telluriques naturels (du sous-sol) par les champs électromagnétiques issus de nos centrales électriques et autres pylônes téléphoniques entrainent des territoires entiers dans des conditions néfastes pour la vie, tel est le cas des maisons dites « à cancers » positionnées à côtés de telles nuisances.
Les virus, les bactéries pathogènes : 3500 à 5500 uB
Une arrivée électrique dans une maison : 5000 uB
Un téléphone portable, les téléviseurs : 5000 à 5500 uB
Les êtres vivants ont une certaine capacité à résister à ces lieux néfastes : l’ensemble des cellules vivantes constituant un être vivant synthonisent leurs fréquences à l’unisson, créant une barrière naturelle contre les agressions. Mais cette résistance naturelle ne dure qu’un temps, puis la fréquence nuisible finit pas modifier la fréquence naturelle des cellules et ces dernières perdent leurs coordinations vibratoires et se désorganisent. Elles se calent sur la nouvelle fréquence nuisible, c’est le début de la désorganisation cellulaire par tumeurs et la naissance du cancer… voir les travaux du professeur Lakhovsky et l’utilisation des torques metalliques.

 

– Les fréquences neutres à bénéfiques 6000 -10 000 uB

arbre_connaissance

Les processus biologiques sont-ils liés à des interactions vibratoires ?  Le cancer est-il l’effet d’un dérèglement de la vibration ? C’est ce que tant à prouver la radiesthésie et la géobiologie.

Il s’agit des fréquences trouvées dans notre vie quotidienne « normale », elles sont biotiques et forment implicitement l’ensemble informationnel du vivant. Le seuil frontière maximum ou champ vital parfait est à 10 000 uB. C’est-à-dire qu’au-delà de 10 000 uB les informations ne sont plus liées au physique et au vivant.
Les matériaux neutres (bois, pierre…) vibrent entre 7000 et 8000 uB
Un silex poli par un homme préhistorique (3000 ans), 7000 uB : il semblerait que les objets lisses permettent une meilleur neutralité alors que les objets poreux, concaves retiennent plus de « fréquences ».
Un silex taillé par un homme préhistorique (3000 ans), 8000 uB
De l’ambre (56 millions d’années), 8000 uB
Gros sel (Guérande), 8000 uB
Une plante verte adulte (d’appartement), 8500 uB
Un jardin au cœur d’une ville : 8500 uB
Un fossile d’oursin (Echinoderme), 9000 uB (réminiscence de son état vivant ?). Utilisés par les celtes en médecines (sous le nom d’œufs de serpents), on comprend pourquoi par cette mesure.
Un arbre adulte en milieu naturel : 9500 uB
Un homme adulte : 9500 uB
Fonds d’une vallée au bord d’une rivière : 10 000 uB
Une jeune plante en croissance : 10 000 uB
Un enfant : 10 000 uB
Une moitié de coquille St Jacques : 10 000 uB (lié à sa forme ?)
Un corps de Saint Catholique miraculeusement conservé (Padre Pio) : 10 000 uB

 

– Les fréquences d’équilibre et d’échange 10 500 – 13 500 uB

sel

Le sel neutre, activé par une cérémonie, devient un véritable purificateur des lieux malsains.

Il s’agit des fréquences d’échanges et de transmissions d’informations entre les objets, les êtres vivants, les énergies cosmiques et telluriques. On y retrouve tout les objets et les lieux d’équilibres et d’échanges « d’informations » permanentes. On trouve aussi une gamme d’objets ou de dessins dit « rééquilibrateurs ». Cette plage de fréquences serait à symboliser par « des vases communicants » :
La bouteille champenoise « De la Foye » et le dessin SCAP : 12 000 uB
Une sphère en bois avec un trou jusqu’à son centre : 12 000 uB
Le sel consacré : 13 500 uB

 

 

  – Les fréquences de « magie » passive et de protection 14 000 -18 000 uB

pentagramme

Le pentagramme serait originaire de Mésopotamie, ces dessins furent notamment retrouvées sur des poteries sumériennes. Il est un puissant émetteur d’ondes de formes ?

Il s’agit du passage en magie dite « passive », c’est-à-dire tous les lieux ou objets contenant un « germe » ou une réminiscence de magie. Se sont aussi les objets, dessins ou actions chargées de protéger une personne ou un lieu contre des actions magiques actives. J’entends par « magie », un acte ou une situation qui bouscule les repères du local (notre univers physique), que nous ne pouvons comprendre par nos sens physiques.
Le « phi » De Lafforest : 14 000 uB
Le pentagramme : 14 000 uB
La bague ou barre « atlante » : 14 000 uB
Une carte du tarot divinatoire de Marseille : 14 000 uB
Une pierre trouée 15 000 uB
Le sceau de Salomon : 17 000 uB
Le pentagramme à 7 branches : 16 000 uB
Le pentagramme d’Agrippa : 18 000 à 19 000 uB
J’ai l’impression que la fréquence 15 000 uB est l’équivalent d’un « lien magique» ou d’un pont entre deux points… Poupée Vaudou, Voults, pierres trouées…

 

– Les fréquences de « magie » actives et d’entités 18 500 – 24 000 uB

egregore

Périsprit, ectoplasme, magnétisme, aura, formes pensées ou égrégores ? Que se cache t-il dans l’éther ?

Il s’agit du passage en magie dite active, c’est-à-dire tous les lieux ou objets contenant une charge ou un sortilège provoquant une action active inexpliquée sur le monde physique ou sur les évènements de notre monde : les phénomènes paranormaux, les sortilèges ainsi que la radionique par exemple. Ces fréquences sont aussi celles qui caractérisent la présence des entités intelligentes ou résiduelles. Jacques Ravatin parle à ce propos de l’incursion du « Global » dans le « Local », d’un changement de nos repères « normaux ou locaux ». A noter la mesure de 24 000 uB qui semble être une véritable «balise du spirituel », une porte ouverte vers « le Global ».
Le pendule égyptien : 20 000 uB
Certains objets cérémoniels : 19 000 – 23 000 uB
Un égrégore : 22 500 uB
Des symboles religieux, objets rééquilibrateurs (Cercles réciproques De La Foye), objets divinatoires (paquet de carte du tarot de Marseille), maquette de la pyramide de Kheops : 24 000 uB
Un spectre résiduel : 24 500 uB puis basculement sous 0 uB (vers l’infini)
Un Esprit désincarné : 26 000 uB
Un pur Esprit : 28 000 uB

 

– Les fréquences « supérieures »

Menhir

Les menhirs génèrent « un souffle cosmo-tellurique » entre notre planète et l’Univers. Un pont pour les neutrinos monopoles ?

Mon subconscient trouve ces mesures mais je ne me les explique pas. Veulent-elles signifier une puissance « non manifestée », un peu comme un stock/une pile/ un générateur sur lequel on peut se brancher pour puiser et obtenir des effets manifestés plus mesurable ?
  • Un petit menhir isolé : 200 000 uB
  • Un menhir de Carnac : 6 000 000 uB
  • Une colonne « Taofel » 14 étages et 56 pavés : 40 000 000 uB.
    Un Dolmen : 600 000 000 uB (véritable « aiguillage » des courants telluriques terrestre)
En conclusion, je dirai qu’il semble y avoir une constante dans ces mesures, plus un objet est lisse et uniforme, moins il accroche les émissions dues aux formes. Plus il est rugueux, poreux, cristallin, liquide, visqueux et plus il a le potentiel de capter l’information générée par les neutrinos monopoles ? Les formes géométriques semblent aussi agir comme un « langage de fréquence »… Le plus étrange c’est que ces caractéristiques, vous pouvez les retrouver dans les objets utilisés dans les rituels religieux ou païens… Avant je n’y croyais absolument pas, aujourd’hui j’ai un doute !

Le sel

gros-sel

Le sel de « Guérande » est un aspirateur d’ondes nocives

Le sel a une structure cristalline, il est  réputé pour « bénir » et « purifier » les lieux. De nombreuses cérémonies de purifications  l’utilisent en ce sens. Si on mesure la fréquence vibratoire d’un sel type de « Guérande » on trouve 8000 uB, soit la fréquence de neutralité. Ce qui peut être décevant de prime abord. Mais là où ça devient intéressant c’est lorsque que l’on pose sur un petit tas de sel une pierre ou un autre objet chargé en dessous de 6000 uB ou au dessus de 10 000 uB, le sel « s’active » est passe automatiquement à 13 500 uB est 55 % de densité énergétique : comme si ses cristaux se mettaient à vibrer. Le sel se cale sur la fréquence d’échange et d’équilibre et répercute cette vibration sur son environnement immédiat : dans le cas de la pierre nocive, elle passe aussitôt à 13 500 uB. Attention, le fait d’utiliser le même sel pour rééquilibrer différents objets provoque, à un certain moment, une saturation du sel et ce dernier émet à son tour les nocivités.

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L’huile végétale

huile

L’huile végétale possède une capacité de stockage exceptionnelle, à l’image d’un disque dur !

L’huile végétale (olive, tournesol, colza…) est elle aussi une substance utilisée dans le cadre de certaines cérémonies religieuses (ex: la « Sainte Chrême » catholique). Elle a la capacité de se charger des vibrations subtiles de son environnement : vibrations telluriques, pensées humaines ect… Si on mesure la fréquence de l’huile vierge on trouve entre 7000 et 8000 uB selon le lieu de stockage. Mais si on la charge à l’aide d’un pendule égyptien, une prière ou un objet émetteur d’émissions de formes, alors l’huile prend et garde la charge. La tenue de la charge est quasi permanente mais semble avoir un plafond de capacité à 1 500 000 uB.

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L’eau

Fresh water splash

La mémoire de l’eau, une caractéristique sur laquelle quelques scientifiques se penchent.

Substance essentielle à la vie, elle est en quelque sorte un cristal à l’état liquide. Elle capterait les informations électromagnétiques et  aurait la capacité de garder en mémoire les informations avec lesquelles elle aurait été en contact : c’est « la fameuse théorie de la mémoire de l’eau » (voir les travaux de Jacques Benveniste et du Professeur Luc Montagnier). Cette capacité à stocker de d’information est cependant moindre qu’avec de l’huile végétale.

Une eau en bouteille vibre à 8500 uB, ce qui prouve qu’une eau en bouteille est une eau qui meurt. Par contre, une eau de source est à 10 000 uB. L’eau se charge facilement, une simple prière peut la faire passer aux fréquences spirituelles supérieures allant de 14 000 uB à 24 000 uB : c’est le principe de l’eau bénite.

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La cire d’abeille

Cire_abeille

Si l’huile végétale est un véritable disque dur, la cire d’abeille est quant à elle une  véritable RAM.

C’est une étrange substance qui canalise et condense les vibrations subtiles, à l’image d’un entonnoir. Mais la cire n’a, en quelque sorte, qu’une mémoire vive : une vibration remplaçant une autre vibration, la charge n’est pas stable… Il faut toujours associer la cire à une matière gardant durablement la charge pour la lui transmettre : bois, pierre, huile… Un objet de bois mêlé à une substance telle que la cire, devient un véritable enregistreur de son environnement : un escalier, un meuble, une statuette… Je soupçonne que de nombreux phénomènes paranormaux sont en fait des phénomènes résiduels réémis par les meubles ou les escaliers sous l’influence de champs électromagnétiques émis par des appareils électroménagers, de l’augmentation du débit d’une source d’eau souterraine, de phénomènes météorologiques ou cosmiques.

Il est remarquable de constater que l’abeille est un animal très sensible aux émissions de formes. La cire joue t’elle un rôle d’interface pour les différents membres de l’essaim ? Je vous conseille d’ailleurs la lecture d’un très bon article concernant l’amélioration de la productivité des ruches et de leurs protections contre les varroas, et ce, par les émissions de formes : voir ce lien.

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Les pierres

Galet

La pierre est le matériaux qui, malgré sa charge lente, a la meilleure tenue de charge dans le temps. Rien de surprenant à ce que les manoirs et les châteaux soient des lieux « chargés » d’histoire.

La pierre est naturellement un objet neutre, tournant entre 7000 uB et 8000 uB. Mais il est intéressant de constater que certaines caractéristiques peuvent faire varier cette fréquence :

Une pierre totalement lisse « vibre » à 7000 uB

Une pierre poreuse, granuleuse ou fissurée « vibre » à 8000 uB, comme si les vibrations y étaient plus facilement retenues.

Une pierre trouée, de part en part, génère, au niveau de son trou, entre 13 000 et 15 000 uB comme si ce trou créait une interaction avec le « Global » ou champ H2.

Les pierres avec un « réseau » cristallin tel que les granites ont une meilleure tenue de charge que les pierres calcaires. Les pierres calcaires ne possédant pas ces réseaux.

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La sphère en bois

sphère

Un trou dans un objet, surtout s’il est géométrique, crée un pont vers une autre réalité délocalisée.

Une sphère en bois (ou métal, ou pierre…) de diamètre 3cm est un objet neutre, il possède une fréquence de 8000 uB. Si on perce un trou de diamètre 0.5cm, jusqu’à son centre, la fréquence passe à 12 000 uB.

Un trou de part en part est à 15 000 uB.

Ceci prouve, tout comme les trous dans une pierre, que ceux-ci engendre un « plus » sur l’objet, une interaction avec quelque chose de subtil. Jacques Ravatin explique que l’on ajoute un « Ext » c’est-à-dire un lien délocalisé avec le « Global » ou le fameux champ H2 immatériel. L’objet rentre donc en interaction avec les phénomènes d’ordre spirituel. On rencontre ce genre de trou sur certains menhirs européens et sur de petites pierres africaines appelées « pierres à fées ».

Si j’ajoute à cette dernière sphère de bois 3 autres trous + 1 « anti trou » (trou dans lequel on insert un bâtonnet de bois dépassant de la sphère, on atteint 18 000 uB soit le palier haut de la magie dite « passive ».

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Les tissus et les bijoux

torque

Ce n’est pas un hasard si des peuples anciens tel que les celtes, portaient des torques (dès le VIème siècle avant JC).

Les tissus et les bijoux, normalement neutres, se chargent de la fréquence énergétique de leurs porteurs. Il est donc courant de trouver des fréquences situées entre 8500 et 9500 uB sur de tels objets portés quotidiennement. Ce qu’il est intéressant de noter, c’est que lorsqu’une personne est malade, les objets qu’elle porte se chargent eux aussi de la fréquence de cette « maladie ». Il peut y avoir un transfert de cette fréquence sur un nouveau porteur, si ce dernier est déjà en état de faiblesse.

Sur la surface extérieure de la petite bourse en tissu blanc contenant mon pendule égyptien, je trouve la fréquence du pendule : 20 000 uB.

Un bijou échappe cependant à cette règle, du fait de sa forme particulière : c’est le torque (tel que le torque gaulois par exemple). Le torque est un bracelet circulaire mais non fermé. De ce fait, il agit comme une antenne et capte un certain « différenciel » ou « potentiel » du flux ambiant des neutrinos (voir l’étude de l’ingénieur Georges Lakhovsky), cela le fait monter à 10 000 uB.

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Les fossiles, les coquillages

coquille saint jacques

La coquille St Jacques, symbole du pèlerinage de St Jacques de Compostelle. Elle était aussi reconnue pour préserver des mauvais sorts.

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Un fossile d’oursin que l’on peut trouver dans les champs cultivés.

Les coquillages type St Jacques ou certaines « coques marines » ont une fréquence à 10 000 uB, mais je pense que c’est plus lié à la forme spécifique de ces carapaces qu’à la mémoire « de la vie » qu’elles ont portées… A noter, là encore, l’emploi de cette forme pour les bénitiers d’église, contenant de l’eau « bénite »… étrange non !

Les fossiles d’oursins, que l’on trouve dans les plaines du bassin parisien, étaient appelés par les gaulois « œufs de serpents ». Ils les utilisaient comme des objets de guérison… Ces fossiles vibrent non pas à la neutralité mais à 9000 uB. Est-ce, cette fois, le souvenir de leur ancien état « vivant ?

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Le décagone

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Le décagone amplifie la réalité d’un témoin placé en son centre.

Le décagone, dessiné ou imprimé sur une feuille blanche émet à 13 000 uB, il permet un échange permanent entre l’objet s’y trouvant et le « Global ». Comme l’ont expliqués les Frères Servranx, le fait de poser une photo dans un décagone, amplifie et cristallise l’effet « témoin » de ce que représente une photographie, un mot écrit. Le décagone permet donc d’améliorer la notion de témoin d’un objet pour l’utiliser en magie ou en radionique par exemple. Il génère un « pont » entre le témoin et l’objet qu’il représente.

Cela marche avec une photo, mais aussi avec des cheveux, de la peau…

 

 

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La bouteille champenoise et le S.C.A.P

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La bouteille champenoise, le contenu est à consommer avec modération ;)

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Le SCAP

Dessiné par le radiesthésiste André Philippe, ce dessin est censé rééquilibrer un lieu. Je trouve une fréquence à 12 000 uB, soit la fréquence de l’équilibre des échanges cosmo-tellurique. Ce schéma me semble donc bien actif.

Il est intéressant de noter que la bouteille « champenoise » servant à contenir le Champagne, de par sa forme spécifique, proche de la forme d’un pendule égyptien, vibre, elle aussi, à 12 000 uB. C’est un objet qui était utilisé par Jean De La Foye pour rééquilibrer aussi un lieu.

Si je colle un SCAP, comme une étiquette, sur la bouteille champenoise, je trouve 24 000 uB (12 000 + 12 000 uB), soit la fréquence de la balise spirituelle. En doublant la fréquence d’équilibre Cosmo-tellurique on réalise un « appel » vers le spirituelle.

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La barre et la bague « Atlante »

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Une bague atlante en bois de chêne, réalisée par mes soins.

Cette bague, trouvée dans une tombe égyptienne, a été à l’origine même de l’étude des émissions de formes par sont propriétaire : Le Comte André de Bélizal. Elle est un exemple de cette étrange technologie issue de l’Egypte ancienne. Les 3 rectangles et 6 carrés amplifient l’émission de neutrinos arrivant au contact de la bague, puis les 2 triangles canalisent et referment le circuit par 1 trou positionné au sommet de chaque triangle. Ces deux trous amenant sur la face interne de la bague et étant reliés l’un – l’autre par un sillon creusé. L’objet génère un champ de forme protecteur, émettant à 14 000 uB, pour une densité énergétique de 50% environ, peu importe la matière. Elle permet de protéger son porteur contre les agressions de type magie nocive. A noter que j’ai en ma possession une bague achetée chez un bijoutier (en argent) et une bague plus grosse en bois de chêne, réalisé par mes soins… Cette dernière a une meilleure densité (60%), liée à sa masse supérieure. 

Il est intéressant de faire un parallèle entre le dessin de la bague est la structure se trouvant au dessus de la « Chambre du roi », dans la pyramide dite de « Kheops »… Un signe de l’utilisation de règles communes en terme d’émissions dues aux formes ?

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Plan de coupe de la fameuse pyramide de Kheops. On peut y voir, au-dessus de la chambre du roi, des pierres dites « de décharge » dont la ressemblance avec le dessin de la bague « atlante » est troublante

 

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La planchette amplificatrice et les cercles réciproques « De La Foye »

Jean de La Foye a créé une petite planchette de bois (celle au centre, à 23 000 uB, ci-dessous) émettrice d’ondes de formes. Cette amplificateur permet de charger des objets neutres ou d’amplifier des émetteurs d’émissions de formes, afin de les faire basculer dans les fréquences souhaitées. En prenant pour base des planchettes de « Kapla(R) », voici les mesures que j’obtiens en faisant varier les rainurages et les perçages de trous :

Planchettes_comparaisons

Les neutrinos monopôles, en percutant les planchettes, semblent jouer une espèce de partition musicale… un peu comme l’orgue de barbarie !

Les trous noirs sont des perçages de part en part et les trous blanc sont des amorces de trous. Les traites sont des rainurages.

Lorsque l’on perce une planchette de bois avec 5 trous en respectant la proportion : 0 – 1 – 5/4 – 3/2 -2, on amène l’objet, « percuté » par les neutrinos, à émettre « l’accord parfait majeur », le même accord utilisé en musique. La fréquence trouvée est de 10 000 uB soit le champ vital parfait. Comme quoi la musique, c’est la vie ! 10 000 uB est aussi la valeur mesurée sur les dépouilles de Saints Catholiques naturellement préservés de la décomposition (exemple : le Padre Pio ou Catherine Labouré). Eux aussi émettent le champ vital parfait, même sans vie !

En ajoutant un axe vertical passant sur tous les trous, on augmente la fréquence, en la faisant passer au dessus du seuil spirituel, soit 15 000 UB (cette mesure étant pour moi un « pont/lien » retrouvé sur les pierres/sphères trouées). Puis en ajoutant l’axe horizontal, on atteint une fréquence conséquente de 35 000 uB. Enfin, si on trace ce que Jean De La Foye nomme « les axes directeurs du champ de forme », on supprime l’effet d’augmentation de la fréquence et de saturation en la redescendant à 24 000 uB soit la fréquence de la « balise spirituelle ». Ceci donne un bon rééquilibrateur spirituel pour un lieu chargé de nocivités.

Jean De La Foye ne l’explique pas dans son livre mais là c’est clair : les axes directeurs du champ de forme permettent à l’objet de ne pas saturer et de vider le trop plein « d’énergie ». Ils jouent un rôle de « coupe circuit ou de fusible » en évitant une montée en puissance supérieure à 24 000 uB et une saturation à long terme.

Voyons maintenant « Les cercles réciproques ». Ils sont là encore tracés sur du bois mais plus sur des planchettes. Cette fois on utilise de véritables planches d’une vingtaine de centimètre de long sur une quinzaine de large et 2.5cm d’épaisseur. Cet « outil » peut faire office d’outil radionique pour émettre à distance sur une cible, il émet aussi les fameuses « couleurs de Bélizal et Chaumery » :

Cercles_reciproques_comparaisons

Décomposition énergétique des cercles réciproques

 

 

La tablette « cercle réciproque » présentée par Jean De La Foye est celle émettant à 24 000 uB (et 55% de densité énergétique) soit la fréquence de balise spirituelle. Il indique qu’elle à la capacité de d’équilibrer un lieu déséquilibré et de ne jamais saturer : il ne le dit pas mais c’est grâce aux traits gravés « axes directeurs du champ de forme » sur le trou du centre.

Si on installe, sur le cercle du centre, une sphère de métal (type boule de pétanque), on augmente le rayon d’influence du rééquilibrateur et ce grâce à la masse supplémentaire et à la forme sphérique.

Si on positionne, sur le trou central du cercle Nord, une tige cuivrée en « L » et qu’on la positionne à un certain degré, on génère le Ve- momificateur sur le cercle sud, ce qui m’a permis, tout comme avec une maquette de la pyramide dite de « Kheops », de momifier avec succès de la matière organique.

16_27

Planchette 17/26eme, émettant à 12 000 uB

 

 

Si je positionne un bout fil de cuivre dans le trou sud d’une première planche « cercle réciproque » et l’autre bout dans le cercle nord d’une seconde planche « cercle réciproque », je trouve sur le cercle sud de ce dernier : 48 000 uB soit 24 000 + 24 000 uB. Si j’ajoute, un fil de cuivre sur le cercle sud du second émetteur et que je mets l’autre bout de fil sur un émetteur 17/26 ème de Jean de La Foye, je monte à 60 000 uB au bout de ce dernier émetteur. J’obtiens donc un circuit en série, et une addition des puissances (c’est vraiment marrant car sur le coups en prenant les notes de ces meures, je n’avais pas remarqué l’addition !). Au bout du circuit, je peux charger tout un tas d’objets neutres. Nous avons sous les yeux un « canon » d’émission d’ondes de formes.

Montage_de_la_foye

Un montage « en série », vue de dessus et vu en coupe, de 2 planches « cercles réciproques + une planche 17/26eme en bout de montage… Un véritable « canon » d’émission de formes.

 

 

Montage_de_la_foyeA

Comme tout les montages générant des émissions de forme, celui-ci est orienté sur le champ magnétique terrestre, afin de se charger en neutrinos monopôles.

 

Cette planche émettrice des couleurs de « Belizal et Chaumery » permet aussi d’envoyer une charge sur une cible, via un décagone + une photo par exemple (radionique).

Elle permet aussi de ramener à la neutralité n’importe quel objet si on positionne la petite réglette de cuivre en « L » sur le marqueur 320° du cercle nord.

Vous souhaitez étudier la tablette « Cercle réciproque » mais ne savez pas où vous la procurer ? Contactez-nous à contact@geepi.fr afin de nous passer commande.

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La maquette de la pyramide de Kheops

La Pyramide « de Kheops » est la synthèse des connaissances ésotériques de l’Egypte ancienne… Elle aligne ses couloirs « d’aération » (débouchant sur des « salles » encore secrètes ?) sur des astres symboliques présents dans le ciel nocturne vers moins 10 500 avant J.C et connus par des peuples divers sur toute la surface du globe (Dogons du Mali et Sirius, Toltèques et Orion…). Plus globalement, on retrouve ces pyramides sur la plus part des continents de la planète : Afrique, Asie (Chine), Amérique du Sud (Mexique et au large de Cuba), Europe (Croatie).

On peut aussi signaler que le monument égyptien est orienté, presque à la perfection sur les points cardinaux, se situe aux centre des terres émergées de notre planète, coupant la planète en deux parties égales (nord et sud) et qu’enfin, les trois pyramides du plateau de Gizeh, tout comme celles de la cité de Teotihuacan au Mexique, représentent la projection, sur Terre, du Baudrier d’Orion dans le ciel. Pour en savoir plus, je vous conseille le livre de l’ingénieur civil Robert Bauval : Le Mystère d’Orion.

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En haut, le Baudrier d’Orion, au milieu les 3 pyramides principales du plateau de Gizeh et en bas les pyramides de Teotihuacan.

 

Notons aussi que la pyramide de Kheops ne serait pas faite de morceaux de pierres calcaires naturelles mais de blocs « reconstitués » dans des moules en bois, via un « béton » ou polymère (voir la théorie du Professeur Joseph Davidovits), cette théorie rend la méthode de construction de la pyramide, moins mystérieuse !

Si on construit une réplique de ce monument en simple carton, on peut reproduire une caractéristique énergétique étrange de ce monument :

Maquette_pyramide

Cliquez sur le plan pour l’agrandir.

 

Momification de viandes

image029On place un morceau de viande (steak, boudin noir…), durant 4 à 5 jours, à l’intérieur de la maquette, à 1/3 de sa hauteur, sur un socle en papier cartonné. On place un morceau de viande témoin « A » dans un cube fait du même papier cartonné et un autre morceau témoin « B » à l’air libre.

Au bout de cette période, on ressort le morceau de la pyramide et on observe :

– Il n’a ni pourri, ni moisi ;

– Il est desséché et des gouttes de gras sont à sa surface ;

– Le processus de « momification » continue une fois le morceau de viande sorti de la pyramide ;

– Le morceau de viande restera momifié à moins qu’il soit humidifié de nouveau.

Les 2 témoins « A » et « B » ont pourri et moisi.

Conclusion : Une réaction non mesurable mais cependant concrète et reproductible à volonté a lieu au sein de la pyramide en papier cartonné.

On remarque que l’eau a disparu et que la graisse du morceau de viande a été éjectée sur ses contours. Les bactéries et champignons responsables de la décomposition ne sont pas intervenus. Le morceau de matière a subit un bombardement de Ve-.

Quels sont les effets à l’échelle d’un monument de cette taille ?!

Utilisation d’un pendule (type pendule de l’Abbé Mermet).

image030

En passant un pendule au-dessus de la pyramide, il se met à tourner en décrivant des « rotations elliptiques » dans le sens des aiguilles d’une montre. Il semble que je détecte les vibrations de la pyramide et que ces dernières suivent une certaine direction.

Rotations elliptiques du pendule au-dessus de la pyramide

Si je déplace le pendule hors du champ d’action de la pyramide, le pendule émet des va et vient en direction de la pyramide.

D’après les rotations elliptiques du pendule, les vibrations de la pyramide ne semblent pas « rayonner » homogènement sur elle. Il semble que les arêtes canalisent une très grande partie de ces « vibrations ».

La forme pyramidale elle-même me conduit à penser que « l’énergie » présente avance de bas en haut, en partant de la base de la pyramide vers son sommet…pour y être projetée vers le ciel. Il me vient en tête l’image d’un entonnoir renversé qui canaliserait ce « courant vibratoire de neutrinos monopôles », comme de l’eau, vers un point de focalisation (sommet de la pyramide).

La matière dont est faite la pyramide (papier cartonné) n’a aucune influence car le morceau de viande placé dans un cube de papier a pourri et une expérience réalisée avec une pyramide en bois ou en verre provoque elle aussi la momification de la matière organique. C’est donc bien la forme pyramidale qui provoque cet effet.

J’ai trouvé une fréquence de 24 000 uB et 50% de densité énergétique sur la pyramide. C’est une véritable balise du spirituelle !

Momification d’une cerise

On met une cerise entière, durant 4 à 5 jours, à l’intérieur de la maquette de la pyramide, à 1/3 de sa hauteur. Elle est placée sur un socle en papier cartonné, percé de manière à stabiliser le fruit rond.

Au bout de cette période, le fruit n’a pas évolué, il n’y a aucune trace de momification ni de pourrissement. Volontairement, j’abîme la cerise en la perçant sur toute sa surface avec une aiguille et je la remets 4 à 5 jours dans la pyramide.

Au cinquième jour, je constate que le fruit est rentré dans son processus de momification. Cependant, juste à l’endroit ou la cerise est en contact avec le trou fait dans le socle (pour la stabiliser), je remarque qu’elle  a pourri et que des moisissures s’y développent.

Conclusion : Pour se momifier, la matière organique placée dans la pyramide, doit rentrer dans son processus de pourrissement. Pour la matière vivante, l’effet momification n’a pas lieu.

Le « courant vibratoire momificateur » semble circuler sur et dans la pyramide. Les vibrations suivent les surfaces planes et lisses mais plus encore les arêtes de la forme pyramidale.

Fait important, la cerise a moisi uniquement à l’endroit où elle était en contact avec le trou fait sur le socle. Il me semble donc que le  « courant vibratoire momificateur » est activité par les formes géométriques (notamment pyramidales) et redevient passif au contact d’une rupture brutale de la forme géométrique. C’est donc au contact direct de cette vibration que la matière organique morte se momifie, il ne suffit pas que celle-ci se trouve dans un champ  « d’ambiance ».

image033 - Copie

Cette « Loi » me paraît cohérente et expliquerait notamment les curiosités de la salle (2) dite « inachevée » dans la pyramide de Kheops (voir schéma et numéros ci-contre). En effet le sol de cette salle est resté à l’état brut alors que le plafond est lissé en direction des salles supérieures. Cette salle canaliserait et activerait le  « courant vibratoire » terrestre en direction du grand couloir (4). Ce grand couloir jouerait un rôle de canalisateur/amplicateur de la vibration (il n’y a qu’à regarder ce curieux couloir pour se dire que quelque chose cloche…).  Puis les vibrations étaient conduites dans les deux salles supérieures (5) et (6). A noter que les blocs supposés de soutiens se trouvant au-dessus de la salle (6) dite « Du Roi » sont taillés sur le même modèle (face inférieure lisses/faces supérieures brutes )  pour accumuler le « courant vibratoire » et le projeter par deux blocs en pointe (forme triangulaire).

Insertion d’une chrysalide de papillon

J’ai placé une chrysalide vivante dans la pyramide. Au bout d’une semaine, le papillon est sorti de son cocon : il était en vie. Je l’ai relâché et il s’est envolé.

A première vue, le « courant vibratoire » ne semble pas altérer irrémédiablement les processus biologiques vitaux.

Insertion d’un coléoptère vivant au sein de la pyramide

Ayant trouvé, dans un jardin, un gros coléoptère de 4 cm de diamètre parasité par de petits acariens, semblables à des petites tiques(varroas), j’ai décidé de le placer dans la pyramide à 1/3 de sa hauteur. J’ai ensuite placé mes mains à 1 ou 2 cm au-dessus de la pyramide, imaginant que les parasites se détachaient du coléoptère et séchés.

Au bout de 24 heures, j’ai ouvert la maquette pyramidale et me suis rendu compte que les varroas étaient décrochés et complètement desséchés. Le gros insecte quant à lui était en vie. Je l’ai, ensuite, relâché dans le jardin.

Utilisation de la pyramide sur moi-même

Un soir, avant de dormir, je place la pyramide sur mon front et la laisse environ quinze minutes. Au bout des 2 premières minutes je ressens comme des « fourmillements » entre mon crâne et la peau de mon crâne, cette sensation m’amène facilement dans un état second proche du sommeil conscient.

Une fois la pyramide retirée, il me faudra quelques heures avant de pouvoir m’endormir, je suis « survolté » et le sommeil ne vient pas.

Le « courant vibratoire » semble avoir un effet excitant sur l’organisme et plus particulièrement sur la zone du corps en contact.

L’esprit peut-il entrer dans un état second au moyen de la pyramide ?

Utilisation d’un cristal de quartz piézo-électrique

Le cristal de quartz est connu pour sa capacité à se déformer sous l’action de l’électricité et à produire de l’électricité lorsqu’on lui applique une pression (piézo-électricité). On peut dire en quelque sorte qu’il vibre.

Après avoir constaté que dans la pyramide de Kheops on trouve des blocs de granites uniquement dans les salles dites « de la Reine » et « du Roi » et que le granite est composé en grande partie de cristaux de quartz (rappelons qu’il a fallu une farouche volonté et une utilité reconnu pour  faire venir et faire monter des blocs de granites sur le plateau calcaire de Gizeh) :

 L’idée m’est donc venue d’en placer un morceau de 6 cm de hauteur pour 1 cm d’épaisseur au sein de ma maquette de pyramide, à 1/3 de sa hauteur.

Je laisse le petit cristal de quartz dans la pyramide pendant 4 à 5 jours puis je le ressors. Si je le garde dans ma main durant mon sommeil, je remarque que je n’arrive pas à dormir : je suis comme « survolté », en pleine forme. Si je range le cristal dans un coin éloigné, je retrouve le sommeil une heure après.

Le « courant vibratoire » a été transmis, par la pyramide, au cristal de quartz. Ce dernier a été chargé et provoque les mêmes effets qu’une séance de méditation avec la pyramide.

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Les corps de Saints

Un corps d’être vivant en bonne santé vibre entre 9000 et 9500 uB. Un enfant, un animal ou une plante en cour de croissance est à 10 000 uB, soit la fréquence du champ vital parfait. Ce qui est étonnant c’est qu’un corps de Saint Catholique, préservé miraculeusement vibre à 10 000 uB.

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Les Entités

entite1Il semble qu’il y ait une hiérarchie « vibratoire » lorsque l’on teste certaines entités en photographie ou en témoin « papier » :

Un esprit de la nature ou Dévas : Entre 18 000 et 20 000 uB

Un égrégore ou « Theraphim » : 22 500 uB

Un spectre résiduel : 24 500 uB puis basculement sous 0 uB (vers l’infini)

Un Esprit désincarné : 26 000 uB

Un pur Esprit : 28 000 uB

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Les Moaïs et le phi de « De Lafforest »

Moais

Les moais, tout comme les menhirs, étaient des émetteurs des champs de formes, des balises cosmo-telluriques.

Tout comme les temples, les cathédrales ou les menhirs, les statues de l’île de Pâques sont émettrices d’émissions dues aux formes. Elles font circuler ces émissions dans un échange cosmo-tellurique. Le fait de placer sur ces structures certains symboles émetteurs en « magie », va déclencher l’envoi (et la réception) de fréquences spéciales vers le cosmos. Les initiateurs de ces structures utilisaient des symboles tel que le « Rongo ».


Roger De Lafforest avait-il conscience des effets de ce petit émetteur de champs de formes sur les symboles ésotériques placés dans la boucle ?

Le phi présenté par Roger de Lafforest, dans un de ses livres, est un petit fil de cuivre enroulé une fois sur lui-même et qui se termine par une droite vers le bas. Ce petit « circuit de forme» est polarisé Vm+ sur le « cercle » et Ve- à la pointe basse. Il a une fréquence de 14 000 uB et agit un peu comme la bague atlante, comme un protecteur spirituel. Ce que j’ai remarqué, c’est sa capacité à « activer » certains dessins émetteurs comme les symboles Rongo ou les dessins de labyrinthe de cathédrale. En plaçant ces dessins dans la boucle du phi, on génère pleinement les potentialités de ces dessins. A savoir que ces dessins étaient utilisés de la même manière mais avec des émetteurs polarisées différents : Les « moais » pour les dessins Rongo-Rongo, les cathédrales et les dolmens/menhirs (placés sur des emplacements géographiques favorables d’échanges cosmo-telluriques).

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Un symbole Rongo


Ce dessin rongo est un micro.

Présenté dans le livre « Ondes de vie – Ondes de mort » de Jean De La Foye, il s’agit d’un pictogramme de l’écriture Rongo- Rongo, présent sur les statues « Moais » de première génération de l’Île Pâques. Ce dessin émet à 12 000 uB, Jean De La Foye le compare à un « Micro » car le cercle récupère toutes les émissions subtiles de son environnement, les trois traits (comme le dessin de la bague atlante) amplifient les émissions captées et le dernier caractère joue un rôle de diapason ou de membrane car il génère une vibration en retour. Lorsque j’ai mesuré ce dessin à 12 000 uB, je n’ai rien remarqué de plus, j’étais très déçu. Mais un jour, en positionnant par hasard ce petit dessin (une petite carte) dans la boucle du phi « De Lafforest » (tige de cuivre en forme de image036 ), le petit montage a généré une autre mesure très étrange : alternativement 14 000 uB – 6000 uB, en va et vient, sans s’arrêter ! C’est comme si le phi avait joué le rôle d’un « Moai » et avait activé le dessin Rongo-Rongo en émetteur/récepteur. En effet le phi et le moai ont un point commun, se sont des générateurs d’ondes de forme. On retrouve dans les 2 cas le Ve- d’un côté et le Vm+ de l’autre… J’ai alors poussé mon étude sur ce petit dessin en le modifiant. Voilà ce que j’ai trouvé en les plaçant sur un phi :

Rongo1

A noter, la puissance des symboles en croix ou étoilés, l’effet identique des formes géométriques simples (carré, triangle et cercle), la nuisance des formes géométriques tronquées et enfin la puissance des dessins en « labyrinthe ».

 

 

 

 

Rongo21


A noter, la limitation de la valeur basse par le remplacement d’un des trois traits par un serpentin et l’effet « effondrement » vers l’infini négatif par la continuation des traits Y vers le bas, devenant des M ou des V inversés.

 

Que penser des résultats de mes mesures ?

Premièrement, le dessin situé en haut du pictogramme : c’est lui qui annonce la « couleur », la gamme de fréquence récupérées. On remarque bien que toutes les formes simples : rond, carré, triangle, agissent de la même manière, sur une fréquence haute « spirituelle » de 14 000uB et une fréquence basse à 6000 uB, ils captent les fréquences liant l’esprit à la matière. Si on place une demi forme simple (demi sphère), on gagne en puissance mais pas en qualité d’émission/réception puisque la fréquence basse devient néfaste pour la santé du vivant. La demi sphère (forme n’étant pas en harmonie avec les lois cosmiques) est une génératrice d’ondes nocives (Ve-). Cette forme a été la base des expériences du Comte André de Bélizal… Ses fameuses piles radiesthésiques lui permettant notamment de tuer en quelques jours des arbres adultes.

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Le Comte André de Bélizal et ses fameux empilements de demi sphères (piles radiesthésiques) avec lesquels il momifiait la matière organique !

 

Dès que l’on remplace ces formes simples par des symboles ésotériques classiques : la croix, le sceau de Salomon, un pentagramme, la fréquence haute passe sur des valeurs élevées de la magie passive soit entre 16 000 et 18 000 uB.

Deuxièmement, le dessin du milieu, trois traits amplifiant l’intensité de la fréquence captée… Les trois traits sont des récurrents classiques dans cette « science des émissions de forme », on les retrouve sur la bague atlante et dans la construction de la grande pyramide « de Kheops ». Si je les remplace par un dessin de labyrinthe de cathédrale, la fréquence est complètement amplifiée, à des valeurs quasi infini, par alternance +/-. Il y a perte des repères, on bascule sur un autre champ de compréhension. Ce que cela met en lumière, c’est que les dessins de labyrinthe sont en eux même une espèce de « circuit » canalisant les fréquences et générant des champs d’émissions de formes puissants : mais à la condition de se trouver « insérés » dans un mécanisme émetteur/récepteur type phi de Lafforest, statue de l’île de pâques, cathédrale implantée sur terrain où passe un courant cosmo-tellurique puissant. Voici une incroyable révélation ésotérique selon moi ! Le but de ces montages ? Entrer en contact avec le divin, le cosmique, d’autres mondes, bref le « Global » décrit par Jacques Ravatin.

Si on remplace le trait du milieu par un serpentin, on freine le phénomène d’alternance « Fréquence haute » / « Fréquence basse », on maintient la fréquence dans le cadre « spirituel ».

Troisièmement, le dessin du bas le « Y/T », il joue bien un rôle de membrane ou de diapason, en faisant rebondir la « fréquence haute » puis en renvoyant une « fréquence basse » issue de notre monde physique. Si on remplace ce dessin par une espèce de « M » en prolongeant les traits vers le bas, on perd le phénomène de résonnance ! Il y a bien une première « fréquence haute » à 28 000 uB ! mais aussitôt la « fréquence basse » arrive et descend à l’infini, pour moi on est dans l’émergence du global dans le local, sans échange, c’est une porte sur les phénomènes paranormaux dans notre réalité locale… J’obtiens le même effet en mesurant une photo d’apparition de fantôme ou d’être spirituel (apparition Mariale par exemple).

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Le labyrinthe des cathédrales

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Jacques Ravatin, mathématicien et universitaire, en parle comme des dessins permettant de générer des champs de forme « très puissants »… Ils sont mis en guise de pavage sur le sol des cathédrales d’Amiens ou de Chartres par exemple. Pour ma part en les mesurant je ne trouvais rien d’exceptionnel : 10 000 uB tout au plus. Mais remis dans leur contexte, c’est-à-dire dans le cadre d’un générateur polarisé d’ondes de formes, je me suis mis à trouver des chiffres incroyables : En plaçant une carte, sur laquelle est imprimé un labyrinthe, dans un image036 type « De Lafforest », j’obtiens une fréquence de 20 000 000 uB.

On passe alors du champ « Bélizal » nommé ainsi par Jacques Ravatin, au champ supérieur qui est celui appelé « Unité Sprink », qui commence au-dessus de 9 000 000 uB. C’est comme si les neutrinos passaient dans le « circuit du labyrinthe » et que chaque angle en deux dimensions augmentait/accélérait la fréquence du champ : un peu comme des spires de cuivres en trois dimensions.

  • Un phi + 1 labyrinthe : 20 000 000 uB

  • Un phi + 2 labyrinthes collés dos à dos : 120 000 000 uB

  • Un phi + 2 labyrinthes collés dos à dos + devant un miroir : 350 000 000 uB

Que penser alors du savoir des bâtisseurs de cathédrales, est-ce là l’origine de la franc-maçonnerie ? Dans les secrets de « l’Art de bâtir » et  d’atteindre le divin ?

 

Les objets rituels et magiques

  • Chapelet venant d’un temple d’Inde (reconnu comme miraculeux) : 18 000 uB et 80% de densité énergétique

  • Une pierre de sel venue d’un temple d’Inde (Langue de Kali) : 19 000 uB et 50% de densité énergétique

  • Flute d’Amérique du sud en os humain (Quena/Kena Ollantay) : 21 000 uB et 60 % de densité énergétique

  • Chevalière Himalayenne trouvée sur momie :  21 000 uB et 60% de densité énergétique

  • Pierre trouée africaine ou pierre à fée : 23 000 uB et 60% de densité énergétique

  • Bol à démon Babylonnien : 26 000 uB et 45% de densité énergétique

 

Voici plusieurs remarques, suite à toutes ces mesures :

  • Chaque radiesthésiste possède son propre étalonnage, ce qui compte se sont les proportions/écarts entre deux mesures en uB, d’un radiesthésiste à l’autre.

  • En plus de l’uB (qui serait l’équivalent du voltage), il semble y avoir une notion de « densité énergétique » (qui serait équivalente à l’intensité) et qui expliquerait la puissance d’émission et d’interaction.

  • Les vêtements et les bijoux s’imprègnent de l’uB de leur propriétaire.

  • Le fait de dormir avec un objet chargé en dessous de 6000 uB et au-dessus de 18 000 uB, avec une forte densité énergétique, peut être dangereux (dans mon cas : insomnie)

  • Le champ vital en uB ne peut aller au-dessus de 10 000 uB, effectivement il n’y a rien au-dessus de la bonne santé !

  • Il semble que l’uB des objets détermine des seuils ou paliers à partir des quels ils deviennent actifs : en physique, en éthérique et en spirituel

  • La prière semble avoir un impact sur l’uB d’un objet

  • Les symboles religieux ou occultes ont bien une interaction avec leur environnement, par leurs formes, ils répondent à des lois liées aux formes et aux capacités de ces formes à émettre le champ H3

  • Pour déclencher les effets des symboles occultes, il faut les placer au cœur d’un champ de forme, dans un émetteur prévu à cet effet.

  • Un objet peut se saturer d’uB, il est possible de décharger ces objets

  • Il est possible de « charger » un objet neutre (7000-8000 uB) avec un émetteur d’uB ou avec un pendule spécialisé type égyptien.

  • L’homme peut cristalliser sa pensée dans la matière.

  • Certaines matières se chargent lentement (la pierre), d’autres rapidement (l’eau).

  • Certaines matières gardent la totalité de la charge (les huiles, la cire), d’autres non.

  • Il semble que le perçage de trou sur un objet donne une autre « réalité » à l’objet.

  • Trois moyens d’amplifier ces champs en uB et/ou en densité :

    par la masse des objets émetteurs utilisés dans les montages (comme le faisait les constructeurs de mégalithes)

    par le passage de courants électriques puissants, comme le faisait Jacques Ravatin.

    par des symboles/dessins « catalyseurs » comme le faisait les constructeurs de cathédrale ou les mages (égyptiens/sorciers médiévaux…)

  • Un objet avec une certaine uB, ne devient actif qu’à partir d’une certaine densité énergétique

  • Il m’est possible de déterminer l’état (en uB) d’objets ou d’êtres vivants en photo, il y a donc un écho entre la photo et ce qu’elle représente…c’est une des bases de la « magie » mais aussi de la radiesthésie mentale.

  • Je peux transférer une charge d’uB à distance sur une cible, via un témoin (photo par exemple).

    Aux vues des étranges caractéristiques des symboles, des éléments d’architectures et des ingrédients étudiés :  j’imagine donc que les prêtres antiques, les mages ou les constructeurs (de mégalithes ou de cathédrales) devaient maitriser une ou des sciences aujourd’hui perdues et dont les traces écrites ou les ruines ne nous sont pas compréhensibles, du moins pas par les études archéologiques classiques. Notre société actuelle (bien malade), basée sur « un scientisme extrême », se refuse à intégrer la spiritualité (à ne pas confondre avec la religion, interprétation humaine du divin) dans sa vision dogmatique du monde. Pourtant, chaque jour, des faits viennent remplir de zones d’ombres cette vision limitée (artefacts anachroniques, origine inconnue de l’homo sapiens,  hommes aux dons étranges, hantises, ovnis…). Nous pensons vivre dans un monde fait de matière inerte, vide de sens, sans « âme ». Pourtant certains vrais chercheurs (mathématiciens, astrophysiciens, cosmologistes, biologistes et physiciens…), poussant leurs recherches aux frontières des connaissances humaines, en viennent à la conclusions que l’Univers a un sens, une logique, une orientation.  

    Quand on connait l’équilibre subtil des 4 grandes interactions fondamentales de l’Univers et quand on démontre qu’un dérèglement même infime de cet équilibre ferait basculer le cosmos dans le néant… comment en douter  ?

] http://www.geepi.fr/le-grimoire-radiesthesique-ou-le-langage-vibratoire-de-la-matiere/ […]
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17 juin 2016

Comment faire mourir le cancer de faim en supprimant ce seul ingrédien

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Comment faire mourir le cancer de faim en supprimant ce seul ingrédient

Les taux de cancer sont à la hausse, et il y a de nombreux facteurs qui provoquent le cancer qui vont de notre environnement à nos émotions. Cependant, la nourriture est tout, vous êtes ce que vous mangez, mais il y a quelque chose à éliminer de votre alimentation pour faire prospérer votre corps.

Le carburant du cancer : le sucre

Le Dr Otto Wartburg ainsi que d’autres experts de la santé parlent de la façon dont le cancer aime le sucre depuis les années 1920. Étonnamment, de nombreux médecins ne disent pas à leurs patients cancéreux que s’ils continuent à consommer des aliments transformés, ils mettront probablement plus de temps à combattre cette maladie.

Le physiologiste allemand, biochimiste, docteur en médecine, et lauréat du prix Nobel était convaincu qu’on pouvait éliminer le cancer en le faisant mourir de faim. Même si ce n’est pas aussi simple que cela, c’est quelque chose qui pourrait changer la partie de manière significative.

L’hypothèse de Warburg était que la cause de la croissance du cancer était la transformation du glucose en énergie par les cellules cancéreuses sans utiliser d’oxygène. Les cellules saines produisent de l’énergie en convertissant le pyruvate et l’oxygène. Le pyruvate est oxydé dans les mitochondries d’une cellule saine, et Warburg théorisa que puisque les cellules cancéreuses n’oxydent pas le pyruvate, le cancer doit être considéré comme un dysfonctionnement mitochondrial.

faire mourir le cancer

Faire mourir le cancer de faim

Les cellules cancéreuses ont un besoin élevé de glucose, en comparaison aux cellules bénignes du même tissu, et procèdent à la glycolyse même en présence d’oxygène (l’effet Warburg). De plus, de nombreuses cellules cancéreuses montrent des récepteurs de l’insuline (IRs) et montrent une hyperactivation de la voie IGF 1R-IR (récepteur IGF-1/récepteur de l’insuline). Il existe des preuves qu’un taux élevé chronique de glucose dans le sang et des niveaux d’insuline et d’IGF-1, facilite la genèse des tumeurs et aggrave l’état de santé chez les patients atteints du cancer. Donc si vous supprimez le sucre vous ne devriez pas développer de cancer

Faire mourir le cancer de faim : Le lien entre le sucre et le cancer n’a rien de nouveau.

La plupart des gens peuvent facilement éliminer les coupables qui sont remplis de sucres raffinés : gâteaux, bonbons, biscuits, etc. Le problème est que de nombreux aliments qui sont emballés et vendus sont remplis de sucres raffinés qui sont cachés dans les étiquettes d’emballage.

Le meilleur moyen d’éliminer les sucres raffinés indésirables est d’arrêter d’acheter des aliments tout prêts ou préemballés, et de bien choisir les restaurants où l’on va car de nombreux établissements se procurent leur nourriture auprès de grandes entreprises qui ajoutent beaucoup de sucre et de sel pour la rendre plus agréable au goût après avoir été congelée et transportée à travers le pays dans des camions. Même les vinaigrettes peuvent être remplies de sucre. Pour éviter d’avoir envie de grignoter des aliments remplis de sucre, mangez plus de légumes et de protéines animales (pas de viande rouge) et mangez plus d’aliments nutritifs.

Sources:

voir aussi : 11 principes de sagesse et citations d’aînés Indiens d’Amérique

Après Comment faire mourir le cancer de faim en supprimant ce seul ingrédient 7 signes évidents qui indiquent que votre homme vous aime profondément

17 juin 2016

Les ondes de forme Les ondes humaines et Les travaux de Lakhowsky

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Les ondes de forme

 

Les ondes humaines

 

Les travaux de Lakhowsky

 

Depuis quelques années, nous entendons de plus en plus parler d'ondes de forme, d'ondes cosmo-telluriques, de magnétisme ou encore d'influence à distance et de projection active de la pensée. Au gré des fluctuations du mouvement New Age (qui devient cependant de plus en plus une simple mode), les articles fleurissent aussi bien dans les revues spécialisées que dans les magazines populaires; les livres sur le sujet, auparavant de diffusion modeste, commencent à se faire une petite place au soleil sur les rayons surchargés des librairies.

 

Nous verrons que si ces mystérieuses ondes ne sont pas la panacée vantée par quelques-uns, elles ont toutefois des applications pratiques non négligeables dans la vie courante. Mais tout d'abord, il nous faut faire un peu mieux connaissance avec ces « forces » étranges et déroutantes que sont les « ondes de forme » . Précisons dès maintenant que le terme d' « ondes » est peut-être impropre; leur nature n'étant pas définie. On les désigne également comme des « vibrations de faible énergie ». L'expression ondes de forme a été forgée en radiesthésie par MM. Chaumery et de Bélizal â partir de leurs recherches.

 

À quoi correspondent-elles? C'est très difficile à dire précisément. Les ondes de forme sont d'étranges phénomènes que l'on n'arrive pas (encore) à classifier. Au mieux peut on les apprivoiser pour s'en servir. À dire vrai, beaucoup de chercheurs et d'auteurs se sont penchés, au cours des siècles, sur ce phénomène. Ils l'ont constaté, l'ont étudié... mais n'ont pu en donner aucune explication qui soit unanimement acceptée. Peut-être les progrès de la physique dans les années à venir (et quand les scientifiques daigneront officiellement s'intéresser au problème) nous apporteront ils une réponse, mais pour l'heure les ondes de forme restent   pudiquement voilées. Ainsi ne nous préoccuperons nous pratiquement pas de cet aspect de la question. Notre propos est de présenter un guide pratique de l'utilisation des ondes de forme dans la vie quotidienne, et nous nous en tiendrons essentiellement à cela.

 

Selon la théorie, ces ondes invisibles à l'oeil humain, d'origine inconnue, sont partout présentes. Comme les autres ondes, elles nous investissent, nous pénètrent dans les moindres fibres de notre corps. sans que nous en ayons conscience. Toutefois, elles ne sont pas encore, en l'état actuel de nos connaissances, clairement situées dans le spectre électromagnétique.

 

Tout ce qui a forme dégage de l'énergie, émet des ondes de forme qui agissent sur nous, en bien ou en mal, tant au plan physique que psychologique.

 

Toute onde, toute émanation de forme peut se localiser ou se re localiser dans d'autres formes. Inversement, toute forme émet une onde ou en capte d'autres.

 

En principe donc, toutes les formes, qu'elles soient bidimensionnelles (dessins, photos) ou tridimensionnelles (objets, meubles, maisons), émettent des ondes dites « de forme ». Personne n'a pu prouver la justesse de cette théorie (par ailleurs assez discutable), mais l'existence de ces « ondes », quelles que soient leur nature et leur origine véritables, ne semble pas devoir être mise en doute. Des expériences nombreuses (mais non reconnues officiellement, précisons le) ont montré leur existence et leur influence.

 

1. Les ondes cosmo-telluriques Retour

 

L'influence des ondes dites « cosmo-tellurique », qui ne sont rien d'autre que l'action conjuguée des ondes cosmiques et de courants telluriques, est connue depuis longtemps.
Depuis des millénaires, les Orientaux, en particulier les Chinois et les Japonais, pensent que des courants invisibles traversent le monde physique. Ces énergies sont à la fois positives et négatives.
Le chi positif doit s'équilibrer avec le sha négatif. Le chi doit pouvoir emprunter une trajectoire sinueuse, tandis que les lignes droites du sha doivent être détournées pour les empêcher d'être néfastes. L'art de localiser les courants et de neutraliser ceux qui sont négatifs s'appelle le Feng Shui.

Au Japon, aucun édifice important n'est bâti sans autorisation de l'expert en Feng Shui. Même les particuliers y ont recours. Selon ces spécialistes, les voies sinueuses provoquent la chance et les voies rectilignes la malchance. C'est pourquoi dans les habitations, on arrête les lignes droites en disposant des miroirs ou des paravents.

 

L'Europe a également connu une technique similaire d'auscultation des sols : la géomancie.
Autrefois, on ne bâtissait pas une ville sans faire auparavant appel au géomancien pour tracer un relevé des courants bénéfiques et maléfiques.

Au début des années 1920, l'Anglais Alfred Watkins remit à l'honneur ces techniques. Il pensait que des voies rectilignes avaient été tracées à l'époque néolithique (4000/2000 avant notre ère) selon un système géomantique qui visait à les conformer à certains parcours de l'énergie vitale, appelés «ondes de forme telluriques ». Tous les monuments sacrés, comme les cercles de pierres, tel celui de Stonehenge, puis plus tard les églises (souvent bâties sur d'anciens sites païens), étaient situés sur ces parcours. Ces alignements sont parfaitement visibles sur une carte d'état-major. Les sites mégalithiques de toute l'Europe suivent ce même principe. Les alignements de Carnac, en Bretagne, sont placés sur des failles géomagnétiques, comme l'ont montré des études récentes. Notre moderne géobiologie, très en vogue depuis quelques années, n'est pas autre chose qu'une réactualisation plus scientifique de ces techniques ancestrales..

 

L'être humain, qui est une antenne par ses bras et ses mains et une prise de terre par ses pieds, est sensible à ces courants cosmo-telluriques. Focalisées par nos capteurs biologiques, ces énergies sont assimilées par notre corps énergétique (aura) qui les répercute sur notre corps physique. La médecine holistique (non reconnue officiellement) a clairement montré que notre corps énergétique est le plus sensible : il est donc malade ou guéri avant notre corps physique. La géobiologie (comme les sciences de pointe) permet de prendre conscience de ce que les Anciens savaient parfaitement, quoique de façon intuitive, c'est-à-dire qu'il existe un lien intime, une interdépendance entre les particules et les atomes de la Terre et du Cosmos, et ceux composant notre corps. La science se teinte ainsi non de mysticisme, mais de spiritualité. Cette approche holistique a permis de faire progresser la science dans des voies ignorées auparavant. C'est ainsi que les travaux de différents chercheurs ont mis en évidence l'existence de notre corps énergétique qui est le champ électromagnétique, ou aura, de notre corps physique. Cette énergie a pu être mesurée et matérialisée sur une plaque photographique par le procédé Kirlian (haute fréquence), ou encore celui de la spectroscopie (basse fréquence), à partir des travaux du Centre international de Médecine quantique.

 

Les courants telluriques sont des courants magnétiques, c'est-à-dire des phénomènes vibratoires auxquels notre corps énergétique est sensible. Si un lieu est déséquilibré ou chargé d'énergie « maléfique » (à cause de la constitution ou de la configuration du terrain), cela est perçu par notre champ bio électromagnétique qui répercute l'information sur notre corps physique qui, à son tour, développe maladies ou troubles. En effet, toute la Terre est parcourue par des courants magnétiques qui se croisent en un maillage (tel le célèbre réseau de Hartmann), avec des points telluriques où les intensités sont plus ou moins fortes. Ces points créent des axes magnétiques qui véhiculent l'énergie tellurique. Celle-ci se propage ensuite en empruntant des failles géologiques ainsi que certains types de gisements, tels ceux de quartz. Le réseau couvre toute la planète, créant des zones neutres, des lieux bénéfiques à la santé et au bien-être, et des endroits « maléfiques » générateurs d'ondes nocives. Impossible donc d'y échapper. Et l'influence du champ magnétique de la Terre, de l'atmosphère et des ondes cosmiques complexifie encore le phénomène.

 

Normalement, les couches atmosphériques filtrent les rayons cosmiques et nous protègent des ondes électromagnétiques ultracourtes et ultra pénétrantes engendrées par le vent solaire, mais dans certains cas, ces énergies venues du Cosmos peuvent interférer avec les courants telluriques et donner naissance à des hauts lieux cosmo-telluriques dont l'intensité énergétique varie avec la position du Soleil et l'activité solaire (orages magnétiques, protubérances, etc.. Il va sans dire que les déséquilibres de la biosphère, engendrés par les activités polluantes de l'être humain (en particulier la destruction de la couche d'ozone protectrice par les gaz C.F.C.-chlorofluorocarbone -et autres produits chimiques), perturbent les réseaux énergétiques. Il en va de même dans les habitations où, en plus de la nature du terrain et de la présence éventuelle de failles ou de cours d'eau souterrains, les matériaux de construction et les flux électromagnétiques des appareils électriques et électroniques agissent sur les courants cosmo-telluriques, et peuvent générer des ondes de forme ayant un effet néfaste sur la santé aussi bien physique que psychologique (par exemple les « maisons à cancer »).

Des recherches menées depuis le début du siècle en Europe, aux Etats-Unis et dans l'ex-U.R.S.S. démontrèrent l'influence des rayonnements souterrains sur la santé de tous les êtres vivants, mais aussi sur leur comportement et leur évolution. D'une façon générale, les travaux des géobiologistes ont prouvé que l'équilibre cosmo-tellurique pouvait être perturbé par différents facteurs, géologiques, cosmiques ou humains: tempête magnétique solaire, explosion de supernova, pluie de météores ou de comètes, cours d'eau souterrain, faille géologique, poche de gaz souterraine, galerie de mine obstruée, gisement de minerais (l'uranium, tout particulièrement), mais aussi par les erreurs d'architecture, l'électrification intense, les isolations synthétiques, certains matériaux de synthèse et l'emploi excessif de masses métalliques et de béton armé.

Les points forts et faibles du réseau cosmo-tellurique semblent avoir été connus dans les anciennes civilisations qui usaient de la géomancie pour les déceler. Les circuits initiatiques empruntent souvent les points forts du magnétisme où le futur initié s'imprègne des énergies cosmo-telluriques pour développer sa puissance spirituelle ou élever son niveau de conscience.

 

On sait, par ailleurs, que les oiseaux migrateurs et les baleines se servent des courants magnétiques pour se diriger dans leurs migrations. Pourquoi l'être humain n'aurait-il pas une telle sensibilité ?

 

 

Les hauts lieux initiatiques sont également placés en des sites où le magnétisme cosmo-tellurique est élevé. Les anciens constructeurs de mégalithes, de pyramides et plus tard de cathédrales semblent bien avoir eu connaissance de ces phénomènes naturels que nous redécouvrons aujourd'hui. Ces connaissances anciennes nous sont parvenues sous forme de traditions et de légendes. Ainsi, les courants telluriques, la vouivre des Celtes, sont symbolisés par les dragons et les serpents. Les forces cosmiques sont représentées par des aigles ou des cerfs; et les interférences cosmo-telluriques par des légendes comme celles de saint Michel ou de saint Georges terrassant le dragon, ou encore de la Vierge foulant aux pieds le serpent.

Il s'agit, en définitive, des représentations associant ou opposant des symboles solaires ou ouraniens et chthoniens (un bel exemple nous est fourni par le Cavalier à l'Anguipède gallo-romain, qui provient d'un mythe celte plus ancien).

On sait également qu'en Chine ancienne, les dragons étaient associés aux pratiques du Feng Shui, c'est-à-dire de la géomancie. Les géomanciens recherchaient les emplacements les plus favorables à l'édification des villes et des temples. Selon le Feng Shui, les courants magnétiques telluriques sont de nature négative (yin) ou positive (yang). Le courant positif était représenté par un dragon mâle et suivait normalement les lignes des hauteurs. Les routes allant ainsi de mont en mont étaient appelées lung-mei (routes du dragon). On prenait garde, en bâtissant les cités, les voies de communication ou les édifices, à préserver l'équilibre naturel des forces. Les sites étaient donc choisis pour être en harmonie avec « les courants locaux du souffle cosmique ».

 

L'Anglais John Mitchell, expert en Feng Shui, travaillant sur les sites mégalithiques britanniques (qui se répartissent suivant un réseau complexe correspondant aux lignes de force des principaux courants telluriques) a montré que leur tracé représentait, une fois pointé sur une carte de Grande-Bretagne, l'image approximative d'un dragon. En reliant les uns aux autres les principaux sites mégalithiques du sud de l'Angleterre, il a pu constituer un gigantesque alignement allant du Saint Michael's Mount en Cornouailles à la côte est au nord de Lowestoft, en passant par les sites de Glastonbery et Avebury. De plus, cette ligne correspond à celle du lever du Soleil au ler mai (qui marque la fête de Beltaine ou Feu de Bel, culte solaire répandu dans toute la Celtie). En suivant cette ligne d'ouest en est, John Mitchell a constaté une étonnante concentration d'éléments associés au mythe du dragon : toponymie, anciennes sculptures, légendes locales, églises et sites consacrés à saint Michel et à saint Georges... Une telle profusion d'indications relatives au dragon ne peut évidemment pas être qu'une coïncidence. Des recherches similaires menées par l'auteur du présent ouvrage en Lorraine ont donné l'image d'un gigantesque cheval surmontant un serpent cornu (ce qui est une représentation classique de la déesse Solimara chez les Leuques, peuple celte qui habitait la région).

 

Héritée du monde néolithique, connue des Celtes, des GermanoScandinaves, de Rome et de Byzance, la géomancie était connue primitivement en Chine sous le nom de Hing-Fa, art des formes et des situations, dont le Feng Shui est la survivance.

 

De l'Occident à l'Orient, la trace vivace de cette géobiologie d'origine néolithique est restée sous sa forme mégalithique. Cela est particulièrement vrai pour l'Angleterre où le réseau énergétique des pierres levées est beaucoup moins abîmé qu'en France, par exemple (où il a été détruit par les chrétiens et Charlemagne).

 

 Il s'agissait de dresser un relevé de l'état énergétique des lieux en repérant les courants cosmo-telluriques, et de remédier aux éventuelles déficiences pour déterminer les meilleures influences permettant à l'être humain de vivre en harmonie avec son environnement naturel. La géomancie servait à édifier les bâtiments, les monuments, les plans des villes et des fortifications (celles de Hanoï, tracées par des ingénieurs français furent ensuite modifiées pour correspondre aux données géomantiques), mais aussi à orienter les maisons et à déterminer l'emplacement du mobilier à l'intérieur de celles-ci.

 

A l'heure actuelle, la science holistique occidentale redécouvre cette sagesse et ces connaissances anciennes sous le nom de géobiologie.

 

Selon la nouvelle physique, un haut lieu est la résultante de trois facteurs : matière, énergie, et information. Un certain potentiel d'énergie émane du lieu, favorisant la néguentropie (c'est-à-dire l'ordre) et retardant l'entropie (le désordre). Les lieux « maléfiques » agissent inversement, engendrant troubles et maladies.

 

Un haut lieu cosmo-tellurique est la résultante d'un «plus » physique (physique classique : atome, proton, électron). Par exemple, une interférence géologique et géomagnétique par la présence d'un courant tellurique et celle de minéraux particuliers (quartz) qui canalisent cette énergie. Il en résulte une incidence sur le champ énergétique du lieu (physique quantique: quarks), lui-même porteur d'une certaine information (physique holistique : électron /antiélectron, matière / antimatière, gravitation /antigravitation, gravité /antigravité).G.Altenbach et B.Legrais:lieux magiques et sacrés de France

L'Univers étant isomorphe, l'approche de la géomancie et de la géobiologie ne peut être qu'holistique. C'est déjà ce que professaient les alchimistes en disant que tout est dans Tout, que tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. En d'autres termes, les influences qui gouvernent l'Univers sont nécessairement les mêmes que celles qui régissent la vie sur Terre (ce qu'a d'ailleurs parfaitement démontré l'astrophysique). L'Univers est un tout qui ne peut être étudié par morcellement, mais il est également complexe, c'est-à-dire que réel et imaginaire s'y mêlent intimement. Cela a pour conséquence que toute idée, toute pensée correspond à un acte en trouvant sa réalité dans un autre système de référence, un autre plan d'existence ou une autre dimension si l'on préfère. Là est la clef de l'action à distance ou encore de la radionique (ondes de forme) ou de la télépsychie (projection mentale d' « ondes de forme » ). Là où l'homme « mégalithique » plantait ses pierres dans la Terre, l'homme « moderne » trace des schémas émetteurs qui doivent agir en véhiculant des ondes de forme.

2. Les ondes de forme Retour

Nous avons vu que ce que l'on appelle «ondes de forme » sont des radiations électromagnétiques ou du moins que l'on considère comme telles, dont la longeur d'onde est inconnue.

Leur origine est muurelle, mais la théorie prétend qu'il est possible de les générer artificiellement à partir d'appareillages électroniques (radionique), de simples graphiques ou encore de structures tridimensionnelles.

Chaque objet émettrait donc des ondes de forme. Une telle idée peut paraître sinon étrange, du moins inhabituelle. Pourtant, de nombreuses expériences dans le monde entier semblent l'accréditer. Quelles que soient leur nature et leur origine, ces mystérieuses ondes de forme paraissent bel et bien exister, et avoir une influence sur la vie, bonne ou en mauvaise.

Il y a quelques décennies, à la suite de recherches sur les vibrations des plantes, Monsieur de Bélizal avait attaché au tronc d'un jeune pommier vigoureux une forme spéciale en bois de trente centimètres de long. Il avait eu soin d'inverser les polarités naturelles de la forme par rapport à la normale; en d'autres termes, il l'avait mise à l'envers. Au bout de trois semaines, le pommier avait perdu ses feuilles.

 

Au cours de l'été 1929, une nouvelle route avait été ouverte entre Brême et Bremerhaven. Un an plus tard, on dénombrait plus de cent accidents sur cette voie. Tous les accidents s'étaient produits au même endroit, au kilomètre 239, sur une ligne droite qui ne présentait aucune difficulté. Lorsqu'ils furent interrogés par la police, les survivants déclarèrent avoir éprouvé une grande « excitation » au moment où leur voiture arrivait au niveau de la borne, et senti une force les faire dévier vers le bas?côté. Les accidents continuaient au kilomètre fatidique et la police restait très perplexe, lorsqu'un sourcier du pays, Carl Wehrs, avança que la force mystérieuse n'était rien d'autre qu'un puissant champ magnétique créé par un courant tellurique. Pour apporter la preuve de ce qu'il avançait, il se rendit sur les lieux, une baguette de sourcier à la main. Alors qu'il arrivait à proximité de la borne, la baguette vola de ses mains. Comme arrachée par une force invisible, elle fut projetée de l'autre côté de la route, tandis que le sourcier faisait un demi-tour sur lui-même! Wehrs appliqua sa propre solution au problème. Il enterra un coffre de cuivre rempli de petits morceaux du même métal en forme d'étoiles, juste à la base de la borne. Trois semaines durant, le coffre resta là et on ne dénombra plus aucun accident. On le retira, et les trois premières voitures qui passèrent eurent un accident. Le coffre de nouveau replacé, il n'y eut plus de drames à la hauteur du kilomètre 239.

 

Ces exemples illustrent la puissance et l'efficacité des formes maniées en connaissance de cause, ainsi que la variété d'utilisation des ondes de forme.

 

Nous verrons au cours de cet ouvrage comment créer des graphiques actifs « générant » des ondes de forme, comment se protéger des radiations maléfiques, ou encore l'utilisation mentale de ces ondes, car le corps humain possède lui aussi un champ magnétique propre.

 

3. Les ondes humaines Retour

 

Les ondes humaines sont ce que nous appelons le magnétisme. Si l'existence d'un champ bio?électromagnétique autour des corps vivants (humains, mais aussi animaux et plantes) est aujourd'hui prouvée, force est de reconnaître que nous ignorons à peu près tout de la nature de ce que nous désignons comme « magnétisme humain ». Pour comprendre cette terminologie, il faut remonter deux siècles en arrière, à l'époque dite « des Lumières ».

 

Alors que Mesmer se faisait connaître par ses recherches sur les guérisons par l'imposition des mains, Gauss mesurait le champ magnétique de la magnétite ou pierre d'aimant. On fit immédiatement le lien entre ces deux phénomènes, magnétisme minéral et influence émanant des corps vivants. C'est pourquoi Mesurer choisit le terme de « magnétisme animal » (il ignorait que les végétaux étaient aussi concernés) pour désigner cette « force » connue depuis longtemps. Mais tout cela sentait trop la magie en ce siècle des Lumières, et Mesmer ne put faire reconnaître son étrange « découverte » à la science balbutiante de l'époque.

 

Au cours du temps, de l'Antiquité à nos jours, cette force inconnue qui permet l'action de l'esprit sur la matière, que l'on appelle improprement les « phénomènes paranormaux », a reçu de nombreuses dénominations, comme nous le voyons sur le tableau page suivante.

 

Ce phénomène, quelles que soient son origine et sa nature, est perçu comme une énergie qui baigne l'Univers tout entier et toutes ses manifestations (minéral, végétal, animal, humain, structure atomique...), à des niveaux vibratoires différents.

Sa nature, si l'on en croit certaines recherches scientifiques actuelles (Émile Pinel, Jean-E. Charon, Costa de Beauregard, Boris Presman...), serait électromagnétique (corpusculaire et/ou ondulatoire). Selon les mesures effectuées par Boris Presman, sa longueur d'onde serait à une marge inférieure à celle des rayons X.

Un large champ d'investigations s'est ouvert à la science de pointe, et les recherches ont permis une avancée non négligeable en ce domaine. Peu à peu, cette force énigmatique, que nous appelons dans cet ouvrage, par simple commodité, rappelons-le, « ondes de forme » ou « champ de forme », livre ses secrets. Nous rendrons brièvement compte plus loin de ces recherches qui nous permettent de mieux cerner le phénomène, même s'il est encore très mystérieux.

DIFFÉRENTES DÉNOMINATIONS DES PHÉNOMÈNES PARANORMAUX

Chine antique Énergie vitale.
Inde ancienne Prâna.
Polynésie, religion Huna Mana.
Celtie, Gaule Fleuve de Vie.
Paracelse Munis ou Fluide astral.
J.-B. Van Helmont Magnale Magnum.
Mesurer Magnétisme animal.
Reichenbach Force Odique.
Keely Force Motrice.
Blondlot Rayon N.
L.-E. Eeman Force X.
Radiesthésie Force rhabdique ou éthérique.
Radionique Onde de forme ou champ de forme.
Parapsychologie soviétique Énergie bioplasmique.
Parapsychologie tchèque Énergie psychotronique.
É. Pinel Champ unitaire causal.
J.-E. Charon Éons.
Physique quantique d'avant-garde Ondes quantiques.

Nous savons déjà qu'il est inhérent aux êtres vivants (magnétisme animal), qu'il se manifeste également en dehors d'eux (ondes de forme), qu'il prend diverses apparences (ondes cosmotelluriques, télépathie, télépsychie ...), et qu'il pourrait être véhiculé par les formes, que celles-ci soient physiques ou mentales.

 

Les travaux modernes sur le magnétisme ont commencé avec Hector Durville. Cette théorie du magnétisme avait déjà été défendue par Lucrèce et son maître Épicure, par Démocrite, Platon, les pythagoriciens et Descartes. Cuvier, Lord Kelvin (avec ses atomes tourbillons), Félix Le Dantec, Bohn et Lartigue s'en sont également faits les défenseurs. Cuvier écrivait :

 

L'être vivant est un tourbillon à direction constante dans lequel la matière est moins essentielle que la forme.

 

Ces tourbillons moléculaires, conformément aux théories de Helmholtz, Maxwell, Poincaré, Berthelot, etc., peuvent subir des attractions et des répulsions; ils peuvent entrer en vibration. Or, si l'on en croit certains, une propriété essentielle de ces tourbillons serait de contenir le « principe directeur de la vie » , la « force vitale » des Anciens. A ce sujet, Lartigue écrivait:

       

Tous les tourbillons sont doués de la propriété de donner naissance à d'autres tourbillons plus petits, spécifiquement semblables au tourbillon générateur et, comme lui, susceptibles de s'accroître en masse et en énergie aux dépens de la masse et de l'énergie du milieu ambiant.

       

Il résulte de cette théorie, proche de la géométrie fractale actuelle, une émission possible de radiations. Ce rayonnement serait biologique, du moins en ce qui concerne les êtres vivants. Si les molécules sont électriquement chargées, elles vont créer un champ magnétique qui agira sur les ions (atome, groupe d'atomes, voire molécule, portant une charge électrique) du milieu extérieur et pourra ainsi leur communiquer un mouvement. Bohn a repris cette hypothèse

 

Les particules constitutives des substances organiques seraient douées de mouvements vibratoires. Lorsqu'une molécule protoplasmique vibre dans le voisinage de substances d'une constitution appropriée, elle leur communique son mode de vibration et le mode d'arrangement d'atomes qu'elle a elle-même. Ce serait là le secret de l'assimilation, propriété caractéristique des êtres vivants.

       

Il serait donc ainsi possible d'agir à distance en utilisant ce que les radiesthésistes appellent l'agent éthérique (et que nous appelons dans cet ouvrage ondes de forme ou champ de forme), et qui serait, comme nous l'avons vu, de nature électromagnétique. Nous retrouverions ainsi chez l'être vivant le principe d'émanation par la forme d'une force toujours présente et contenue.

 

Chez l'être humain, cette force serait représentée par la volonté, la motivation ou le désir qui sont les moteurs de l'action.

 

L'onde humaine, ou magnétisme, latente en chacun et chacune de nous serait activée par la volonté, la motivation ou le désir (selon les individus), permettant d'utiliser un potentiel inconnu du cerveau humain pour agir à distance, aussi bien dans l'espace que dans le temps (mais cette « force » se propagerait en un temps nul, quelle que soit la distance). Voilà une hypothèse qui ouvre de très larges perspectives.

       

4. Les travaux de Lakhowsky Retour

 

Dans les années 1920, un physicien et biologiste français, Georges Lakhowsky, a été l'un des premiers à étudier les relations entre les radiations cosmiques et les phénomènes vitaux. Il fut en quelque sorte le précurseur de la géobiologie scientifique moderne. À travers ses livres et de nombreuses communications à l'Académie des sciences, qui parurent dans les journaux scientifiques, il construisit sa théorie selon laquelle les rayonnements cosmo-telluriques avaient une influence, bonne ou mauvaise, sur la vie.

 

Ses recherches commencèrent avec l'étude de l'instinct animal. On s'est toujours interrogé sur l'incroyable faculté d'orientation des pigeons voyageurs, ou sur la capacité de certains oiseaux à s'orienter dans l'obscurité.

 

Un autre cas étonnant est celui des lemmings des régions scandinaves, qui émigrent des montagnes de Norvège vers la mer, à l'approche de l'hiver, par groupes de plusieurs milliers, en suivant toujours la ligne droite, même s'ils doivent contourner des obstacles. Comment ces animaux trouvent-ils leur chemin ? Les naturalistes n'ont jamais su répondre à cette question troublante, sinon en évoquant un mystérieux « instinct »

 

Lakhowsky ne se contentera pas de cette pseudo-explication et il va développer une théorie très ingénieuse. Un jour, à Paterna, près de Valence en Espagne, il assista à un phénomène de la plus haute importance. Des pigeons avaient été lâchés, mais les oiseaux décrivaient des cercles en l'air, sans réussir à trouver leur direction. Or, à peu de distance se trouvait une station radiotélégraphique en train d'émettre. La désorientation des volatiles cessa dès que la station eut terminé ses émissions. L'expérience fut répétée à plusieurs reprises avec le même résultat. Cette observation fut le point de départ de l'explication avancée par Lakhowsky.

       

Des recherches scientifiques ultérieures ont montré que la vie exploite l'électricité et le magnétisme depuis longtemps.

 

Par exemple, on sait aujourd'hui que les racines des plantes possèdent, au niveau de la coiffe (extrémité de la racine), une partie sensible à la gravité leur permettant de pousser dans le bon sens pour s'enfoncer dans la terre afin d'y trouver de la nourriture.

 

Les fourmis, quant à elles, ont leur organe de Johnston, constitué de petits canaux crâniens remplis de particules sensibles aux champs magnétiques terrestres, qui leur permet de se situer par rapport à ces champs magnétiques et de s'orienter.

 

Il existe en chaque être vivant des champs électriques extrêmement complexes et subtils qui imprègnent les tissus, les muscles, les os, les cellules. Ces champs interfèrent avec ceux qui sont présents dans l'environnement. L'existence de ces champs électriques a été découverte par la science officielle durant les années 1940-50.

 

Ils sont présents dans les êtres humains mais aussi chez les animaux, les végétaux, et également dans le protoplasme. On les appelle les champs V, des champs bioélectriques et électrodynamiques qui sont caractéristiques des êtres vivants. La Terre elle même est un réseau inextricable d'énergie électrique, et son champ magnétique est rendu encore plus complexe par les minéraux, l'eau, les roches, et aussi par les structures artificielles humaines. Tous ces champs interagissent d'une façon extrêmement complexe, et les formes vivantes sont affectées physiquement et mentalement par ces interactions.

 

On sait également que les poissons étaient autrefois anatomiquement bâtis pour agir comme des détecteurs de charges de dispersion. La grande majorité des requins, raies et chiens de mer possède des petites ouvertures cutanées de canaux, disséminées sur la tête et autour des mâchoires.

 

Ces canaux se regroupent sur le nez, sous l'oeil et l'extrémité de la mâchoire inférieure, et forment ainsi des amas cellulaires sensoriels que l'on appelle les ampoules de Lorenzini, du nom de l'anatomiste italien qui les décrivit au siècle dernier. On s'est longtemps interrogé sur l'utilité de ces capteurs, et il fallut attendre 1962 pour découvrir que l'on avait affaire à l'une des structures les plus électrosensibles jamais trouvées.

 

Les expérimentations ont mis en évidence la capacité de la raie bouclée d'être sensible à une variation de voltage de 0,01 microvolt, ce qui signifie qu'elle peut détecter un champ électrique plusieurs milliards de fois plus faible que celui produit par le courant domestique que nous utilisons.

 

Les poissons marins engendrent un courant et des gradients de potentiel de basse fréquence, alors qu'ils se déplacent dans l'eau salée et que celle-ci traverse leurs branchies. Ces champs sont détectables à distance, comme l'a prouvé une série d'expériences portant sur la roussette. Celle-ci peut déceler un carrelet enfoui sous plusieurs centimètres de sable, la nuit, en eau trouble. On aapporté la preuve que les repères de la roussette sont bien de nature électrique, en enrobant des carrelets dans de l'agar-agar (une gélatine à base d'algue) qui laisse passer le courant électrique mais dissimule le poisson à la vue, à l'ouïe et à l'odorat. Les expériences ont clairement montré que les roussettes localisaient facilement les poissons isolés dans le bloc de gélatine, mais qu'elles ne décelaient pas la présence de morceaux de carrelets morts placés dans les mêmes conditions : les roussettes n'étaient attirées que par le champ électrique généré par les poissons vivants. Par la suite, on découvrit qu'une feuille de polyéthylène avait la propriété de protéger le carrelet vivant de la voracité des roussettes. La Marine américaine a mis à profit cette découverte pour tester des protections contre les requins, constituées de sacs en polyvinyle dans lesquels les marins naufragés peuvent se glisser. Une autre constatation s'est dégagée des expériences menées sur les roussettes : quand un poisson traverse le champ magnétique terrestre en nageant d'ouest en est, il joue le même rôle que le disque de cuivre de Faraday du premier générateur électrique: il engendre un courant électrique qui traverse le poisson, et induit un champ électromagnétique détecté par ses ampoules de Lorenzini. C'est-à-dire que la roussette, en se déplaçant, acquiert un compas électromagnétique qui lui permet de s'orienter non seulement par rapport à ses propres détecteurs, mais aussi en fonction des champs produits par les courants océaniques qui interfèrent avec le champ magnétique terrestre.

 

De nombreux animaux agissent de même. Ainsi, en 1975, Richard Blackmore, de l'université du Massachusetts, découvrit que les bactéries possèdent une sensibilité magnétique, et qu'elles se servent de la déclinaison du champ magnétique terrestre pour se diriger, luttant contre les mouvements aléatoires des molécules d'eau autour d'elles et se dirigeant vers la riche vase des fonds. C'est grâce à cette faculté que les micro-organismes en bâtonnets se déposent toujours en direction du nord magnétique sur les lames des microscopes.

 

Grâce au microscope électronique, on a pu montrer que ces micro-organismes contiennent des microcristaux de magnétite, matériau ferreux sensible aux champs magnétiques. De semblables magnétites ont, depuis, été découvertes dans l'estomac des abeilles, dans les os du crâne de certains poissons migrateurs, etdans les sinus et la partie supérieure des coussinets plantaires des chats. C'est également le cas pour les pigeons qui possèdent entre la paroi du crâne et le cerveau, sur le côté droit de la tête, un infime dépôt de ferritine magnétique, qui est une protéine capable de fixer le fer.

 

Des recherches menées à l'université de Lund, en Suède, ont encore montré que même si les oiseaux naissent dotés de ce compas naturel, ils doivent l'étalonner eux-mêmes. Des oisillons gobe-mouches noirs ont été placés, durant les douze premiers mois de leur vie, dans des nids fermés garnis de bobines de Helmholtz faisant subir au champ magnétique une rotation de 90°, de telle sorte que le nord magnétique était devenu pour eux l'est.

 

Lorsqu'on les replaça sous l'influence magnétique naturelle, ils ignorèrent les repères visuels et s'envolèrent dans une direction perpendiculaire à leur route migratoire traditionnelle, conformément au champ magnétique déplacé dans lequel ils avaient été tenus au début de leur existence. Ils n'étaient plus capables de s'orienter correctement. Sans intervention humaine, les malheureux oiseaux seraient morts quelque part dans les régions glacées de l'Atlantique Nord (les gobe-mouches nidifient en Europe du Nord, mais ils émigrent pour passer l'hiver en Afrique tropicale).

Ces quelques exemples nous montrent à quel point l'utilisation du magnétisme est une chose naturelle pour beaucoup d'animaux. Pourquoi n'en irait-il pas ainsi pour l'être humain?

 

On sait aujourd'hui, grâce entre autres aux travaux du professeur Yves Rocard, que les êtres humains perçoivent le champ magnétique terrestre (ce qui explique d'ailleurs les mouvements de la baguette de sourcier et les oscillations du pendule). On sait aussi que les êtres vivants possèdent un champ bio?électromagnétique, que l'on appelle l'aura.

       

Cependant, la théorie de Lakhowsky va plus loin: selon elle, tous les êtres vivants non seulement émettent des radiations, mais sont également capables, à de très rares exceptions près, de recevoir et de transmettre des ondes. La faculté d'orientation des animaux serait donc le résultat de l'émission et de la réception des ondes électromagnétiques et des ondes cosmiques.

 

Ainsi, avant l'heure, Lakhowsky avait prévu l'existence de l'aura (scientifiquement parlant) et la faculté de perception du champ magnétique. Continuant sur sa lancée, il décrivit la cellule, élément constitutif des tissus animaux et végétaux, comme un circuit oscillant naturel doué d'une longueur d'onde déterminée et très courte.

 

De fait, la cellule est constituée du protoplasme entouré de la membrane cellulaire. Dans le protoplasme se trouve le noyau qui est formé d'un filament tubulaire contenant le liquide conducteur enveloppé dans une substance chromatique isolante. Voilà qui ressemble fort au circuit oscillant de Hertz. C'est un véritable circuit électrique doué de self-induction et susceptible d'osciller et de résonner à une fréquence très élevée.

La bobine d'induction est constituée par la spire que représente le filament du noyau, le condensateur est formé par la capacité entre les deux extrémités du filament lui-même.

 

Lakhowsky en déduit que la vie est constituée par des oscillations de cellules, et donc qu'elle naît de la radiation puis qu'elle continue à être liée à la radiation. C'est l'harmonie des vibrations cellulaires qui assure des fonctions vitales normales. Que survienne un déséquilibre de ces vibrations, et c'est la maladie. Ainsi, lorsque pour une raison ou une autre l'isolement du filament du noyau est détruit, il n'est plus possible à la cellule d'osciller, et c'est la mort.

 

La fièvre, phénomène encore mystérieux, si courante au cours des maladies, trouve également une explication dans la théorie de Lakhowsky, à travers l'action des microbes pathogènes. Ceux-ci, également constitués d'une seule cellule émettrice, et en contact avec les tissus de l'organisme où ils logent, provoquent ce que Lakhowsky appelle la « guerre des radiations » avec les cellules saines. En raison de la résistance opposée par le filament du noyau, celle-ci varie par suite de causes morbides, et il se produit des variations de température donnant la fièvre et l'hypothermie (on sait qu'un courant traversant un conducteur développe de la chaleur à cause de la résistance qu'il rencontre... et c'est le même phénomène qui se produirait dans le corps).

 

Pour Lakhowsky, les êtres vivants sont donc sensibles aux radiations extérieures. Certaines études ont montré une corrélation entre les éruptions solaires (taches solaires) et l'activité biologique, sans pouvoir l'expliquer. Partant de ces relations entre les radiations et les maladies, Lakhowsky s'est attaché au problème du cancer.

 

Ses travaux ont montré que les terrains constitués d'argiles plastiques et de marnes peuvent favoriser le développement des cancers. Des statistiques dressées dans les années 1920, pour diverses villes françaises, anglaises, suisses et italiennes, ont montré que la proportion la plus forte de cancers était celle où le terrain était formé d'argiles, de marnes et de minerai de fer (le taux le plus élevé revenait à Nancy avec 1,95 cas pour mille habitants); alors que la plus faible était celle où le terrain était constitué de sables et de graviers (le meilleur emplacement étant celui de Genève, avec 0,5 cas pour mille habitants). La raison en est simple : les terrains conducteurs imperméables aux ondes, c'est-à-dire ceux constitués d'argiles, de dépôts carbonifères et de minerai de fer, donnent des courants intenses par suite de réflexions et de diffusions qui se créent à la surface du sol, provoquant un nouveau champ de radiations interférentes. L'eau est isolante quand elle est privée de sels (ce qui est le cas quand elle est courante ou quand elle séjourne sur des terrains sablonneux, comme à Genève); ou au contraire conductrice si elle est riche en sels (comme c'est le cas à Nancy) : elle serait ainsi cause d'une densité faible ou forte de cancers. Bien sûr, ces facteurs ne sont pas les seuls à être en cause, mais ils constitueraient, selon Lakhowsky, un terrain plus ou moins propice à l'apparition de la maladie.

 

Lakhowsky a transposé ses hypothèses de la théorie à la pratique. Après avoir obtenu de bons résultats sur des plantes atteintes du cancer provoqué par le Bacterium tumefaciens, et sur des animaux, il est passé aux applications cliniques dans divers hôpitaux. Dans ce but, il a fait usage de circuits oscillants, ceux?ci étant constitués d'une spire de fil métallique isolé placée autour du sujet à traiter. Ces circuits peuvent être réalisés sous forme de ceinture, de collier ou de bracelet. Le calcul de longueur d'onde et de fréquence d'un circuit oscillant est très simple. La longueur d'onde est égale au diamètre du circuit divisé par deux (soit le rayon). La fréquence est égale à la vitesse de la lumière (c) divisée par le rayon (R). Par exemple, pour un circuit oscillant de trente centimètres de diamètre:

  1. La longueur d'onde sera égale à trente centimètres (diamètre) divisés par deux, soit quinze centimètres (c'est-à-dire le rayon).
  2. La fréquence sera égale à 300 000 000 m/s (c, vitesse de la lumière arrondie) divisée par 0,15 (rayon en mètre), soit 2 GHz, c'est-à-dire 2 000 000 000 de vibrations par seconde.

Le célèbre collier Lakhowsky est un circuit oscillant ouvert, c'est-à-dire que le cercle n'est pas fermé (comme un torque gaulois). Les métaux constituants sont l'argent, le cuivre, l'étain, le fer, le nickel, l'or et le zinc.

Le principe en est fort simple : l'ensemble vibre parce qu'il crée un « plus » et un « moins » en étant ouvert (c'est aussi le principe des éclateurs, dont nous parlerons plus loin), et communique sa vibration.

 

La théorie de Lakhowsky voulant que la maladie soit un déséquilibre oscillatoire, le circuit en vibrant produit une onde d'une certaine longueur (égale, comme nous l'avons vu, au rayon du circuit) et d'une certaine fréquence (c/R), qui agit par effet de résonance en venant suppléer l'oscillation. L'onde engendrée correspond à une énergie vibratoire naturelle. En simplifiant à l'extrême, n'importe quel morceau de métal tordu selon le circuit de Hertz peut devenir un appareil vibratoire.

 

Travaillant toujours sur le cancer, Georges Lakhowsky a mis au point un appareil devant être fixé au lit du malade, et appelé par lui pour cette raison « lit-radio-cellulo-oscillateur ».

 

Cet appareil a deux lampes triodes placées symétriquement qui sont alimentées par du courant alternatif, tant pour la tension de la plaque que pour le chauffage des filaments. Les deux grilles sont au filament. L'accouplement est rendu variable par une rotation de l'une des spires. Les ondes produites s'étendraient sur la gamme de deux à dix mètres.

 

Selon le professeur Sordello Attilj, de Rome, des améliorations et même des guérisons furent obtenues sur des malades (dont des cas de cancer généralisé) de l'hôpital San Spirito de Rome, grâce aux appareils de Lakhowsky.

Georges Lakhowsky a condensé sa pensée dans ce triple principe:

  1. La vie naît de la radiation
    Est entretenue par la radiation
    Est supprimée par tout déséquilibre oscillatoire.

Avec les travaux de Lakhowsky, les ondes de forme sont passées du domaine de la magie à celui de la science.

 

Aujourd'hui, la recherche continue même si elle reste officieuse, et nous avons inventé le terme de < parapsychologie » (pourtant très impropre) pour ces études. Alors qu'ils restent parfois en marge de la science officielle, certains chercheurs travaillent sur cette « nouvelle » science, et permettent de lever un peu plus le voile du mystère, comme nous allons le voir en survolant brièvement certaines recherches et théories modernes.

 

Extrait du livre L'énergie vibratoire des ondes de forme de Jean-Paul Ronecker, aux éditions Dangles

16 juin 2016

Hiroshima, pourquoi ? (Los Angeles Times)

Hiroshima a changé le monde, mais n’a pas mis fin à la Seconde Guerre mondiale ; c’est l’entrée en guerre de l’Union soviétique qui l’a fait.

La visite du président Obama à Hiroshima vendredi a ravivé le débat public sur les bombardements atomiques américains du Japon – débat en grande partie occulté depuis que le Smithsonian Institute a annulé son exposition sur l’Enola Gay en 1995. Obama, conscient que les critiques sont prêtes à fuser s’il jette le moindre doute sur la rectitude de la décision du président Harry S. Truman d’utiliser des bombes atomiques, a choisi de garder le silence sur la question. C’est malheureux. Un inventaire national est largement dû.

La plupart des Etasuniens ont appris que l’utilisation de bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki en août 1945, fut justifiée parce que les bombardements ont terminé la guerre dans le Pacifique, évitant ainsi une coûteuse invasion étasunienne du Japon. Cette affirmation erronée est issue des manuels d’histoire du secondaire encore aujourd’hui. Plus dangereusement, elle façonne la pensée des responsables gouvernementaux et des planificateurs militaires qui travaillent dans un monde qui possède encore plus de 15 000 armes nucléaires.

Truman exultait à propos de la destruction d’Hiroshima, la qualifiant de « plus grande chose dans l’histoire ». Les chefs militaires étasuniens ne partageaient pas son exubérance. Sept des huit officiers cinq étoiles de l’Amérique en 1945 – les généraux Dwight Eisenhower, Douglas MacArthur et Henry Arnold, ainsi que les amiraux William Leahy, Chester Nimitz, Ernest King et William Halsey – ont par la suite dénoncé les bombardements atomiques, affirmant qu’ils étaient soit militairement inutiles, soit moralement répréhensibles, ou les deux. Les bombes n’ont pas non plus réussi dans leur objectif accessoire : intimider les Soviétiques.

Leahy, qui était le chef d’état major de Truman, a écrit dans ses mémoires que les « Japonais étaient déjà vaincus et prêts à se rendre [...] L’utilisation de cette arme barbare à Hiroshima et à Nagasaki n’était d’aucune aide matérielle dans notre guerre contre le Japon ». MacArthur est allé plus loin. Il a dit à l’ancien président Hoover que si les États-Unis avaient assuré aux Japonais qu’ils pourraient garder l’empereur, ils auraient volontiers cédé à la fin mai.

Ce ne fut pas l’annihilation atomique d’Hiroshima et de Nagasaki qui mit fin à la guerre du Pacifique. Au lieu de cela, c’est l’invasion soviétique de la Mandchourie et d’autres colonies japonaises, qui commença à minuit le 8 août 1945 – entre les deux bombardements atomiques.

Pendant des mois, les services de renseignement alliés avaient rapporté que l’invasion soviétique allait terrasser le Japon. Le 11 avril, par exemple, l’état-major interarmes réuni avait prédit : « Si à un moment l’URSS devait entrer dans la guerre, tous les Japonais se rendraient compte que la défaite absolue est inévitable. »

Les Etasuniens, ayant brisé les codes secrets japonais, étaient au courant du désespoir fébrile du Japon de négocier la paix avec les États-Unis, avant que les soviétiques ne les envahissent. Truman lui-même décrit un câble japonais intercepté le 18 juillet 1945, comme le « télégramme de l’empereur jap demandant la paix ». En effet, Truman se rendit au sommet de la mi-juillet à Potsdam, pour s’assurer que les Soviétiques tiendraient leur promesse, faite à la conférence de Yalta, d’entrer dans la guerre du Pacifique. Quand Staline lui en a donné l’assurance, le 17 juillet, Truman écrivit dans son journal : « Il sera dans la guerre jap le 15 août, les Japs seront foutus quand cela se produira. » Truman a réitéré dans une lettre à sa femme le lendemain : « Nous allons finir la guerre un an plus tôt maintenant, pense aux enfants [américains] qui ne seront pas tués. »

En défaisant rapidement le corps d’armée japonais Guandong, en Manchourie, les Soviétiques ont ruiné diplomatiquement et militairement la fin de partie prévue par les Japonais : continuer d’infliger des pertes militaires aux États-Unis et obtenir l’aide de Staline pour négocier avec les Américains de meilleures conditions de reddition.

Les bombardements atomiques, aussi terribles et inhumains qu’ils aient été, ont joué peu de rôle dans les calculs des dirigeants japonais pour se rendre rapidement. Après tout, les États-Unis avait incendié plus de cent villes japonaises. Hiroshima et Nagasaki n’étaient que deux villes détruites de plus ; que l’attaque nécessite une bombe ou des milliers n’a pas beaucoup d’importance. Comme le général Torashirō Kawabe, chef d’état-major adjoint, l’a dit plus tard aux interrogateurs des États-Unis, la profondeur de la dévastation à Hiroshima et Nagasaki ne fut connue que « d’une manière progressive ». Mais, a-t-il ajouté, « en comparaison, l’entrée soviétique dans la guerre a été un grand choc ».

Quand on a demandé au Premier ministre Kantaro Suzuki, le 10 août, pourquoi le Japon avait besoin de se rendre aussi rapidement, il expliqua : « L’Union soviétique aura non seulement la Mandchourie, la Corée, Karafuto, mais aussi Hokkaïdo. Cela détruirait le fondement du Japon. Nous devons mettre fin à la guerre, si nous pouvons traiter avec les États-Unis. » Les dirigeants japonais ont également craint la propagation des soulèvements communistes, d’inspiration soviétique, et savaient que ceux-ci ne verraient pas d’un bon œil leurs préoccupations primordiales – la protection de l’empereur lui-même et du système impérial.

Truman comprenait les enjeux. Il savait que l’invasion soviétique mettrait fin à la guerre. Il savait aussi qu’en rassurant le Japon à propos de l’empereur, cela conduirait à la reddition. Mais il a décidé d’employer les bombes atomiques de toute façon.

Pendant son séjour à Potsdam, Truman reçut un rapport détaillant la puissance de la bombe testée le 16 juillet à Alamogordo, au Nouveau Mexique. Après cela, il « était un autre homme », selon Winston Churchill. Il a commencé à jouer au boss avec Staline. Et il a autorisé l’utilisation de la bombe contre le Japon. Si sa nouvelle assurance à Potsdam n’avait pas montré à Staline qui était le patron, Truman a supposé que Hiroshima certainement le ferait.

Staline a reçu le message. Les bombes atomiques étaient maintenant un élément fondamental de l’arsenal américain, et non pas seulement un dernier recours. Il a ordonné aux scientifiques soviétiques de jeter tout ce qu’ils avaient dans le développement d’une bombe soviétique. La course était engagée. Finalement, les deux parties ont accumulé l’équivalent de 1,5 million de bombes d’Hiroshima. Et comme le physicien du Manhattan Project, Isidor Isaac Rabi, l’a astucieusement observé, « soudain, le jour du jugement dernier était le lendemain et depuis, c’est tous les jours comme ça. »

Oliver Stone et Peter Kuznick

Article original paru dans le Los Angeles Times

Traduit et édité par jj, relu par nadine pour le Saker Francophone

»» http://lesakerfrancophone.fr/hiroshima-pourquoi
URL de cet article 30461
http://www.legrandsoir.info/hiroshima-pourquoi-los-angeles-times.html
16 juin 2016

L'Électricité peut Détruire les Cellules Cancéreuses

nanoknife

Society of Interventional Radiology

L’électroporation irréversible(IRE), une nouvelle thérapie mini-invasive capable de traiter en toute sécurité des cancers complexes, tout en laissant les tissus sains intacts s’avère un traitement prometteur pour les cancers difficiles, suggère cette étude préliminaire présentée à la 38e Réunion scientifique annuelle de Society of Interventional Radiology.

Définie comme une nouvelle thérapie qui utilise des impulsions électriques d’une microseconde pour supprimer le cancer au niveau cellulaire sans endommager les tissus sains environnants, elle s’avère, selon ces résultats, particulièrement bénéfique dans le traitement du cancer du foie, du poumon, du pancréas et d'autres cancers proches les vaisseaux sanguins, des nerfs et autres structures sensibles.

 

Détruire des cellules tumorales par l'électricité tout en préservant les tissus environnants, c'est possible, et c'est ce qu'on appelle "l'électroporation irréversible".

Il s'agit d'appliquer de très courtes décharges électriques successivement à différents endroits de la tumeur grâce à des électrodes. La structure de la paroi des cellules se désorganise. Conséquence, des trous se forment par lesquels les cellules se vident de leur contenu, puis meurent. Depuis les années 60, l'électroporation est utilisée régulièrement pour faire pénétrer de l'ADN dans des bactéries. Mais, dans ce cas, les bactéries survivent car les trous sont transitoires. L'équipe de Rafael Davalos (université Virginia Tech), associée à Lluis Mir (Institut Gustave-Roussy de Villejuif), a eu l'idée de détourner la technique en augmentant l'intensité du traitement électrique. Ainsi, les trous pratiqués dans la membrane ne se referment plus.

Les avantages ? Le traitement dure une minute et son efficacité peut être suivie en temps réel par tomographie.

Le Pr Constantinos T. Sofocleous, auteur principal et radiologue interventionnel au Memorial Sloan-Kettering Cancer Center de New York explique que le traitement apparaît particulièrement efficace chez les personnes atteintes d'un cancer qui s'est propagé au-delà de la tumeur primaire et qui n'ont pas de bonnes options de traitement. L’IRE utilise de puissants champs électriques pour créer de petits trous dans la membrane cellulaire pour perturber l'équilibre entre les molécules de l'intérieur et de l'extérieur de la cellule sans entraîner d’autres dommages cellulaires. IRE semble à ce stade une thérapie « idéale » pour le traitement des tumeurs situées à proximité de structures sensibles.

L'IRE cible précisément les cellules cancéreuses : Alors que d'autres traitements, comme la chirurgie, la radiothérapie ou l'ablation thermique, peuvent endommager les tissus sains situés à proximité de la tumeur, l'IRE perfore précisément les cellules cancéreuses donc entraîne moins de dommages aux vaisseaux sanguins, nerfs, canaux biliaires etc… Dans son étude, menée auprès de 25 patients atteints, présentant au total 40 métastases au foie, poumon, pancréas, glande thyroïde, prostate, utérus, muqueuse utérine, ovaires et rectum,  l’IRE prouve sa sécurité dans le traitement des cancers métastasés ou diffus, du foie, du poumon, de la vessie et de la région pelvienne. La taille moyenne des tumeurs des participants était d'environ deux centimètres. L’IRE a été utilisée en raison de la localisation des lésions, à proximité de structures critiques, sur 30 séances de traitement et sans complications majeures.

L’IRE se situe à la frontière des traitements de radiologie interventionnelle non chirurgicaux et ne nécessite que des incisions de la taille d'une pointe de crayon pour guider par imagerie de petits instruments pour les tumeurs ciblées. La technique n’entraîne que des risques minimes et des temps d'arrêt limités pour les patients. Le Dr Sofocleous conclut : «Nous traitons souvent les patients qui n'ont pas d'autres options thérapeutiques conventionnelles ou qui ont une santé telle que même la chirurgie mini-invasive est trop dangereuse. Nous travaillons à accroître l'efficacité de l'IRE et souhaitons pouvoir bientôt la tester vs d'autres traitements ».

Source: Society of Interventional Radiology Safety of Irreversible Electroporation (IRE) Treatment for Metastatic Disease in Humans (Visuel

Copyright © 2014 AlliedhealtH http://www.santelog.com/news/cancerologie/cancer-l-electroporation-irreversible

16 juin 2016

Cette oreillette révolutionnaire traduit les langues étrangères en temps réel

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Can You Hear Me in French?

The pilot est une oreillette qui brise littéralement la barrière de la langue en traduisant en temps réel plusieurs langues étrangères. Vous n'aurez plus jamais peur de voyager à l'autre bout de la planète une fois équipé de ce système révolutionnaire qui vous permet de communiquer facilement dans le monde entier.

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