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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
9 juin 2016

Paranoïa, intolérance, racisme, ignorance…Une explication psychologique.

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Les médias, les internautes, les associations s’inquiètent d’un retour massif au racisme, à l’intolérance, aux idéologies autoritaristes exploitant la peur et l’ignorance de ceux qui y adhérent. Nous proposons par cet article un embryon d’explication – non une réponse complète – en nous basant sur un syndrome trop méconnu qui explique aussi la tendance au brutalisme :

 

Le syndrome du grand méchant monde

ezmage4Les psychologues et autres chercheurs se sont très souvent interrogés sur la violence à la télévision : est-ce que la télévision rend violent ? Ou est-ce que les gens violents sont attirés par la violence offerte à la télévision ? Les résultats de ces études ne sont pas concluants. Certaines prouvent le lien avec la violence et la télévision, d’autres au contraire prouvent que regarder un film violent peut faire effet de catharsis[1]. Mais ce dont les chercheurs sont certains, c’est qu’une forte consommation de télévision (au-delà de deux heures par jour) crée un « syndrome de grand méchant monde » auxquelles les actualités participent, avec évidemment tous les reportages, enquêtes sur les serials killers, les meurtres et le dur travail de la police confronté a l’horreur chaque minute, etc.

"George  Gerbner  a demandé à des volontaires combien d’heures ils regardaient la télévision par jour, et leur a ensuite demandé d’estimer la probabilité d’être la victime, dans une semaine de vie normale, d’une agression dans la rue. Il a constaté que les personnes regardant le plus la télévision (au-delà de quatre heures par jour) estimaient cette probabilité à 50%, alors que la probabilité réelle, dans le cadre de cette étude, était de l’ordre de 1 pour cent. Ainsi, les téléspectateurs surestimaient d’un facteur 50 la dangerosité du monde réel, à partir de l’image que leur en donnait la télévision." "150 petites expériences de psychologie des médias", Sébastien Bohler.

 Une autre étude confirme le lien entre peur et consommation de télévision :

 "Dans une étude portant sur 450 collégiens du New Jersey, le psychologue Joseph Dominick a interrogé les enfants à propos de leurs pratiques télévisuelles, ce qui l’a conduit à les classer en deux groupes de téléspectateurs, « assidus » et « occasionnels ». Il leur a ensuite demandé d’imaginer qu’ils marchaient seuls dans une ville la nuit, et de décrire les sentiments qu’ils éprouvaient. Comme on s’y attend, les téléspectateurs assidus ont décrit plus de sentiments de peur et d’appréhension que les téléspectateurs occasionnels, mais il restait à prouver que c’était bien la télévision qui les rendait peureux. J. Dominick a alors constitué deux groupes de collégiens et les a soumis à deux régimes télévisuels : le premier groupe était soumis à des doses intenses de télévision, le second à des doses plus modérées. Il a ensuite fait passer des questionnaires à tous les collégiens, afin d’évaluer leurs réactions de peur dans une multitude de situations de la vie, que ce soit à l’école ou en dehors. Il s’est avéré que les collégiens du premier groupe développaient des réactions de peur bien supérieures à ceux du deuxième groupe.

Cette expérience montre ainsi que c’est le spectacle répété des programmes de télévision qui modifie l’attitude des téléspectateurs face à diverses contrariétés de la vie, en les rendant plus peureux. " "150 petites expériences de psychologie des médias", Sébastien Bohler.

 La télévision déforme la perception du monde en mettant le focus sur les drames, les meurtres, la dangerosité de notre monde. Elle engendre la peur, l’anxiété. Et la peur n’est pas une bonne conseillère :

  • le cortisol libéré par la peur empêche le fonctionnement optimal des zones frontales du cerveau : ces mêmes zones qui servent au traitement rationnel de l’information. Quand on a peur, on réfléchit forcément moins bien.
  • la peur est une réaction d’urgence : elle sert à s’enfuir face à un danger par exemple. Donc, les informations effrayantes sont automatiquement considérées comme vraies, parce que les situations liées à la peur sont naturellement peu propices à la réflexion. Donc, pour que le média fasse croire une information, lui donne un impact fort, il lui suffit de dramatiser l’information. Et c’est ce que font tout le temps les médias, pour attirer et maintenir l’attention, attention qui est leur fonds de commerce. Pour exemple : mettre des musiques dramatiques et stressantes derrière des images, qui prises seules sont bien loin d’être effrayantes ; faire des plans comme le projet Blair Witch ; choisir les plans les plus chargés d’émotion (personnes en pleurs) ; dépêcher un journaliste sur place (ce qui donne une ampleur à l’événement, même si le cadre n’apporte rien en soi) ; transformer les termes descriptifs pour qu’ils fassent peur ("encéphalite spongiforme bovine" devient "vache folle")

Poison mental, le cumul des images de pédophiles, de tueurs, de bébés morts, d’enlèvements, de criminalité crée un socle de pensées chez le téléspectateur : le monde est horrible il faut y mettre de l’ordre, il faut taper du poing sur la table pour régler ce Mal. Après avoir inoculé le poison, la télévision propose l’antidote le plus dénué de réflexion profonde : elle valorise les documentaires sur la police, sur les services de sécurités, sur l’ordre par la répression vive, sans jamais s’interroger sur l’origine et les causes de la criminalité. Elle crée l’illusion de l’insécurité totale puis préconise implicitement la solution : un état sécuritaire, surveillé par de nombreuses caméras de surveillance et autres procédés (drones, espionnage des citoyens sur le web…). Il le faut, car vous avez 50 % de chances de vous faire agresser durant la semaine. Ah non… un seul pourcent seulement.

 Nous postulons qu’il en est de même avec Internet : certains clusters d’informations, certains clusters sociaux remplissent certains internautes d’images, de vidéos, d’informations qui créent une représentation du monde erronée n’ayant strictement rien à voir avec la réalité. Un grand méchant monde 2.0 complotiste, paranoïaque, encourageant au brutalisme ceux qui croient en sa réalité. Là, ce n’est pas la peur de la rue qui est suscitée, mais la peur d’une catégorie de la population à qui on attribue tous les méfaits du monde.

 Les conséquences ?

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Ce syndrome du grand méchant monde a pour conséquence d’encourager à devenir brutaliste et donc choisir des politiciens qui misent sur la sécurité, la répression, l’intolérance, l’Ordre, donc des idéologies autoritaristes. Parfois ce méchant monde est expliqué de façon simpliste aux électeurs : le méchant monde est méchant à cause d’une population particulière ; c’est parce que telle population règne en secret sur le monde ; c’est parce que telle population nous manipule ; c’est parce que telle population pourrit notre nation ; c’est parce que telle population vole nos emplois.

Or, une société telle que la nôtre, avec plus de soixante millions de personnes, c’est éminemment plus complexe qu’une classe de maternelle de 10 enfants : il n’y a pas "un" coupable qui agirait contre le reste de la classe, il n’y a pas "un" leader secret qui influence le reste du groupe. Une interprétation "bouc émissaire" ou complotiste est invraisemblable pour la simple raison que le monde humain est toujours plus complexe, surtout dans une grande société.

Donc, le syndrome du grand méchant monde est un substrat parfait pour laisser le pouvoir aux autoritaristes, aux adeptes d’un état ultra sécuritaire. On rappelle quand même que ce genre de pouvoir, pour imposer l’"ordre" détruit petit à petit les libertés, ne remet pas le pays d’aplomb, créé du malheur ou de la violence pour la catégorie de population pris en bouc émissaire.

Pour ceux qui persisteraient à penser le contraire, je vous conseille de vous plonger dans vos livres d’histoires, de vous imaginer dans la peau de celui qui est pris en bouc émissaire et d’essayer de tout ressentir. Tout être humain est capable d’empathie, il faut parfois en faire usage pour comprendre vraiment les problèmes de chacun, même si c’est clairement désagréable : l’empathie, ça fait mal, mais c’est justement l’intérêt, afin d’envisager des solutions.

 "Mais le monde est méchant, égoïste, dangereux ! l’humain est mauvais par essence !"

nonQu’est-ce qui est à l’opposé du "grand méchant monde" ? Le monde des bisounours. Il y a peut-être là une piste d’explication à la surexploitation du terme "bisounours" : le syndrome du grand méchant monde a gagné les cœurs de ceux qui accusent les autres de bisounours, parce qu’il est pour eux impossible de concevoir le monde de façon non-méchante. Mais ceci ne répond pas à notre question, qu’est ce qui s’oppose vraiment cette perception d’une société mauvaise par essence ? Les comportements altruistes. Ce sont des comportements à l’opposé de l’égoïsme : les altruistes vont sauver l’autre, l’aider au péril de leur vie, à leur déprofit total. On pense souvent que le vrai altruisme n’existe pas : il serait motivé par la récompense, il le ferait pour redorer son ego, il le ferait pour acquérir un statut de sauveur, être applaudi, il le ferait dans l’espoir qu’on lui rende cette aide plus tard (par exemple celui qui aide la personne âgée en l’espoir d’être inscrit sur le testament), il serait généreux juste pour des questions de pouvoir.

Nous n’entrerons pas dans le débat "vrai altruisme / faux altruisme" pour des soucis de longueur d’article et nous nous en tiendrons a l’observation des comportements effectifs : dans les faits, dans les actes, on voit des comportements pro-sociaux, c’est-à-dire un altruisme actif qui dessert celui qui en fait preuve et qui sert parfois toute une population en retour.

L’empathie est quant à elle indéniable et moins sujette à débat : on en est tous pourvus, on peut souffrir de cette compétence et la fuir, mais on peut aussi la prendre en compte et adopter un comportement altruiste pour régler cette souffrance empathique.

On le voit d’abord chez les enfants : les très petits enfants vont se mettre à pleurer s’ils voient un autre enfant pleurer. Plus tard, certains d’entre eux vont naturellement chercher à résoudre ces pleurs en donnant des objets, en s’occupant de celui qui est malheureux. C’est ainsi qu’ils gèrent parfaitement leur empathie, d’abord douloureuse de ressentir ce que l’autre ressent, puis résolue en adoptant un comportement pro-social efficace qui rend heureux l’autre enfant. Si on regarde à l’IRM-f deux cerveaux adultes de sujets d’expérience, l’un subissant une punition arbitraire (un choc électrique) et l’autre observant ce choc chez l’autre, on constate que celui qui a vu la souffrance active les mêmes zones que celui qui a souffert. On souffre de voir la souffrance d’autrui, et cela même sans être un "saint", un "héros", c’est une réaction de base : c’est la réponse à cette réaction qui change selon les personnes.

Avec l’âge, les expériences douloureuses/heureuses, l’éducation, la culture, les croyances (on ne parle pas forcément de religion, mais de croyance sur le monde, tel que le syndrome du grand méchant monde), on change. Face à l’empathie douloureuse (qu’on ressent forcément à moins d’être un psychopathe), on fuit, on dénie, on attaque celui qu’on imagine causer la souffrance pensant que cela va arrêter la situation. Et parfois on reste altruiste, on va dans la situation avec sourire et courage, on prend le risque d’aider vraiment quitte à perdre beaucoup de plumes alors qu’on aurait pu ne pas affronter cette situation.

Les exemples sont nombreux :

  • ceux qui ont cachés ou aidés les juifs durant la Seconde Guerre mondiale sont estimés au nombre de 50 000. Beaucoup d’entre eux ont refusé les récompenses a posteriori, estimant qu’ils n’ont pas fait grand-chose ou citent des exemples plus héroïques eux. Leur altruisme, au péril de leur vie, leur paraît être un comportement normal.
  • on rapporte beaucoup de témoignages de personnes aidant autrui pour "rien" en retour : un homme sauve un enfant pris dans la bouche d’un puma et s’échappe avant que la mère puisse le remercier ; un père de famille se jette sur les rails d’un métro pour protéger un épileptique en pleine crise tombé alors qu’un métro arrive ; une handicapée physique va dans la rue pour sauver une femme qui se fait violée et tient tête au violeur malgré la différence physique ; là aussi le "héros" refuse son statut et se considère comme normal. " J’ai fait ce que j’avais à faire" disent-ils souvent.
  • Il existe un autre type d’altruisme héroïque dont on parle peu en terme "d’altruiste": l’héroïsme social. Ce sont les lanceurs d’alerte, ces "whistblower" qui mettent leur vie en péril pour révéler au monde certaines vérités jusqu’à lors inconnues. Snowden est évidemment exemplaire en la matière. Mais on pense également à certains journalistes, certains enquêteurs, certains activistes, certains chercheurs qui mettent leur vie sociale voire physique en danger pour découvrir des vérités cachées ou des informations ou connaissances impossibles à obtenir sans risques.
  • On pense également à ces invisibles qui disent "non", empêchent de mauvais projets d’aboutir, empêchent les mécaniques immorales d’arriver à leurs fins. Ce sont des actes courageux qui nous servent tous – parfois sans qu’on connaisse leur existence – et qui sont très coûteux à ceux qui les produisent. On conseille de regarder le jeu de la mort et de bien observer ceux qui arrivent à s’extirper de l’expérience : ce "non" est difficile et il faut beaucoup de courage, de bienveillance pour réussir à le tenir. Les brutalistes, à ce jeu-là, ne s’en sortent pas, finissant par tuer contre leur volonté ; les bisounours « gagnent », sauvant au passage une vie.
  • Si l’homme était si mauvais, n’avait que de mauvais sentiments qu’il était fondamentalement dangereux pour son prochain, il ne ferait pas d’art, de musique, il n’écrirait pas de fictions, il ne s’occuperait pas de ses enfants avec un tel soin, il n’aurait pas d’animaux domestiques ne "servant à rien", il n’essaierait pas d’être végétarien, il n’y aurait pas une seule association d’aide quelconque. La science ne serait que militaire, la psychologie ne serait qu’un moyen de manipuler les gens, la médecine et la pharmacie qu’un moyen d’empoisonner les populations, on n’inventerait que des objets pour se défendre ou attaquer. Si l’homme était si mauvais, l’humanité n’existerait plus depuis des millénaires : ce sont nos comportements pro-sociaux, notre collaboration entre nous, avec les animaux, qui nous ont (entre autres) fait survivre et évoluer. Si l’espèce humaine a survécu, ce n’est pas selon le lieu commun de "la loi du plus fort", mais bien par l’empathie et la solidarité naturelle de l’être humain.

 Mais on peut vous comprendre, les exemples ou ces argumentations ne peuvent rien valoir. Après tout,  il n’y avait pas d’équipe de scientifiques pour prendre note derrière chacun d’entre eux afin de vérifier si le comportement était vraiment altruiste, si tout s’est passé comme on se l’imagine, s’il n’y a pas de sombres volontés maléfiques derrière chaque acte d’apparence pro-sociale.

 Daniel Batson a étudié, testé l’altruisme banal de la vie quotidienne (c’est à dire sans acte héroïque mettant en péril sa vie) afin de prouver qu’il existait en lui même, sans pour autant qu’il y est des intérêts cachés derrière ces actes qui aident vraiment autrui. Comme il existe énormément d’objection à l’altruisme véritable, qu’il soit de bon ton de penser que l’homme est fondamentalement égoïste et mauvais, il a passé 15 années à étudier la question, à renouveler ces protocoles d’expériences pour finalement démonter toutes les objections qu’on lui apposait et en conclure : " l’examen de 25 travaux de recherche en psychologie sociale étalés sur quinze ans, a permis de vérifier l’hypothèse selon laquelle l’altruisme véritable, celui qui a pour seule motivation la réalisation du bien d’autrui, existe bien." On voit par exemple dans ces expériences que les sujets empathiques préfèrent prendre la place de celui qui reçoit des chocs électriques d’apparence très douloureuses plutôt que de voir un sujet les recevoir (et cela même s’il peut quitter l’expérience au bout de deux observations). Ils veulent avoir des nouvelles du sujet mal en point même si cela leur est pénible ; ils veulent aider des sujets, même si on leur dit que tout le monde a refusé et que ce n’est pas grave s’ils refusent.

Nombreuses autres expériences prouvent que l’homme n’est pas un sadique : les expériences de Milgram, bien qu’effrayantes, montrent que lorsqu’on laisse le choix aux sujets d’arrêter l’expérience quand ils le veulent, quand "l’autorité" n’est plus là ou lointaine, ils n’électrisent pas leur prochain. La bonté peut même parfois être totalement déraisonnable : si un expérimentateur leur laisse le choix entre s’exposer à un son qui peut potentiellement détruire leur audition ou s’en tenir à des sons non dangereux, ils prennent le plus gros risque (les sons en fait n’étaient pas dangereux, rassurez-vous).

Les expériences en psychologie en général montrent que l’homme n’est pas un sadique, que les psychopathes sont rares : par contre, l’homme fuit plutôt que de chercher à "résoudre" efficacement la douleur empathique, il se soumet à des autorités dangereuses, il a du mal à dire non, il se soumet à la pression sociale, il fait des erreurs de jugement et d’interprétation, il est influençable…

Nous nous abstiendrons de faire tout le compte rendu de ces expériences passionnantes aujourd’hui afin de ne faire encore un article de 30 pages ;). Cependant nous donnerons des références en fin d’article.

  "Oui, mais quand même les salauds sont majoritaires ! Sinon la terre, les autres hommes, les animaux ne seraient pas aussi mal traités…"

Dans le canard se cache toujours un lapin

Dans le canard se cache toujours un lapin

Les "salauds" existent, c’est indéniable. Encore faut-il vraiment les distinguer : certains pilleurs, voleurs, le font par nécessité de survie. Certains agresseurs le sont pour défendre d’autres personnes en danger. Certains comportements agressifs, bien que n’étant clairement pas l’idéal, le sont par souci de préserver les siens, préserver sa vie. D’autres sont tout simplement malades psychiquement.

Mais parfois aussi cette perception du "grand méchant monde empli de salaud" crée le grand méchant monde en question. "On est ce que l’autre dit que l’on est" : dites à un élève que c’est un cancre, cessez d’essayer de lui apprendre comme les autres et il deviendra un cancre ; dites à ce même élève qu’il a un grand potentiel, il deviendra bon (ou en tout cas il fera de remarquables progrès).  À force de ne voir l’humanité que sous l’angle du pire, on finit par correspondre à cette définition ou du moins on se laisse aller à y correspondre.

Les médias ont un rôle prédominant dans cette définition négative de l’humanité, les médias ne s’intéressent pas aux histoires positives. Ils cherchent du spectacle, de l’extraordinaire, de l’incroyable : ce qu’il y a de plus "banalement" bon chez l’humain ne transparaît aucune seconde. S’ils s’intéressent aux initiatives positives parfois, la question arrive inévitablement dans l’interview "mais, c’est pas un peu bisounours votre projet ?", "vous ne pensez pas que c’est utopique votre projet ?". Évidemment, les médias et ses journalistes, à force de tremper dans le pire de l’humanité et ne jamais avoir l’œil pour déceler ce bien banal ne peuvent pas concevoir un monde non-méchant : les personnes sont forcément égoïstes, lâches, violentes, capables du pire pour assouvir leurs propres désirs.

Or c’est faux et ce sont parfois les médias eux-mêmes, en mettant le focus sur le pire, que le pire se crée :

 En août 2005, l’ouragan Katrina ravage la Nouvelle-Orléans et les côtes de la Louisiane. Les premiers jours suivant le drame, CNN rapporte qu’il y a eu des tirs et du pillage et que "La Nouvelle-Orléans ressemble plus à une zone de guerre qu’à une métropole américaine moderne". Le tableau est dressé : nous voici dans un film catastrophe où les humains profitent du désastre pour abandonner toute civilité et se comporter en mauvais brigands.

Le maire de la Nouvelle-Orléans ordonne à 1500 policiers d’abandonner leurs missions de sauvetage pour s’occuper de la sécurité, faire régner l’ordre pour contrer les pillages. Les médias continuent de dresser le tableau : femmes violées, meurtres, même les policiers sont pris en cible par les tireurs. Le gouverneur de la Louisiane envoie alors des troupes de la garde nationale pour renforcer la sécurité. Il annonce à la population que "ces troupes savent tirer et tuer, elles sont plus que désireuses de le faire si nécessaire, et je m’attends à ce qu’elles le fassent". Ce sont donc 72 000 militaires déployés.

Les déclarations des médias, les mesures du gouvernement en terme de sécurité sont claires : la population est mauvaise, préférant profiter du drame pour lâcher ses plus bas instincts. Le monde est méchant, sinon il n’aurait pas fallu tant de gens pour assurer l’ordre.

Or les faits motivants ce déploiement étaient faux. Les premiers news étaient basées sur des rumeurs : le Los Angeles Times a reconnu par la suite que ces informations étaient faussées ; le chef de la police de la nouvelle Orléans a avoué que ses déclarations étaient fausses : il n’y avait eu aucun meurtre, aucun viol ni agression.  Le chaos et la violence décrits par les médias n’avaient pas existé.

Au contraire, des centaines de groupe d’aide se sont montées entre citoyens, ils se sont entraidés sans contrepartie. Mais les fausses informations avaient déjà fait leur travail de sape : beaucoup de sinistrés ont refusé de quitter leur logement et d’être secourus, malgré le danger environnemental à cause de la peur de pillages.

Il est intéressant de voir que cette "peur" sert la sécurité, que faire percevoir le monde humain comme malfaisant permet de justifier un flicage massif de ceux-ci. Nous haïr les uns les autres, n’avoir aucune confiance en l’humanité sert certains intérêts, intérêts qui nous nuisent à bon nombre de niveaux. Avant de devenir misanthrope, il est bon de s’interroger en quoi cette attitude sert ceux qui veulent que le monde n’évolue pas ou soit moins en liberté.

Quant à l’état de la planète, les mauvais traitements des animaux, les guerres civiles (…), penser que c’est une preuve que  l’homme est mauvais est la meilleure façon de ne rien faire : certes, on fait des dégâts, des erreurs, mais on évolue. Croire l’homme mauvais, c’est refuser toute possibilité d’évolution bénéfique, chez les autres comme en soi. Or rien n’est figé : notre cerveau, c’est de la pâte à modeler, on peut lui donner la forme qu’on veut. Par contre cela demande un travail sur soi. Se dire " de toute façon je suis nul" " c’est notre nature d’être mauvais" ou "c’est foutu" est un déni bien pratique pour ne jamais entamer sa propre évolution, donc par rebond, celle des autres. En attendant, d’autres, plus puissants, plus manipulateurs, plus égoïstes n’ont qu’à exploiter ce filon de cervelles abandonnées au désespoir ou au cynisme.  En cela, voir le monde sous son angle le pire est le meilleur moyen pour se faire instrumentaliser.

 Donc… La société humaine n’est ni mauvaise, ni bonne : elle est impossible à définir tant les situations peuvent varier.

presse-pas-avalerCroire que l’humain peut être altruiste, qu’il n’est pas qu’un égoïste et qu’il est capable de faire des bonnes choses, ce n’est pas évincer la possibilité qu’il se comporte à la façon du "grand méchant monde" imaginé des brutalistes. Ce n’est pas manquer de discernement ou de conscience, ce n’est pas pour autant être totalement en confiance de façon extrêmement naïve, ce n’est pas tendre l’autre joue quand on vous frappe. C’est simplement adopter un point de vue neutre, sans filtre "les gens sont méchants", pour mieux laisser la porte ouverte aux bons comportements, de l’autre comme de soi.

Mais cela nécessite un travail de remise dans la réalité, un travail d’hygiène mentale afin d’avoir le cerveau nettoyé de ces pré-conceptions-poisons qui nous corrompent et corrompent autrui. On est tous blindé de préjugés plus ou moins graves, on a tous des a priori sur certaines situations, donc ce qui suit là ne concerne pas simplement ceux atteints du syndrome du grand méchant monde, cela nous concerne tous :

- faire une pause "médiatique" de temps en temps est nécessaire : on est complètement assailli d’informations sans que cela serve notre action pour autant. On mange pour avoir des forces ; une fois comblé, on s’arrête et on fait un effort pour ne pas se gaver de sucreries même si on prend plaisir à celles-ci, parce que l’on sait que cela aura des conséquences sur le fonctionnement de notre corps. Notre cerveau est un estomac à informations, il en a déjà des centaines à traiter même en étant au repos sans écrans : permettons-lui de gérer la réalité, c’est à dire seulement notre présent de sensations, notre présent d’actions, notre corps, nos proches et quelques projections futures. Une boulimie d’informations, si plaisante soit-elle sur le moment, si enivrante soit le fait de savoir tout sur l’actualité ou autre, dessert notre activité quotidienne et les soucis à traiter. Faire une pause médiatique permet au cerveau de bien fonctionner, de se re-concentrer sur ce qui compte, cela permet d’être mieux dans sa vie et de faire des meilleurs choix et pas des choix en fonction d’interprétation d’informations extérieures à nos vies.

Un exemple en lien avec nos articles : après avoir lu notre article sur le chômage (ou autre), il est possible qu’on ait un énorme a priori sur le pôle emploi et toutes les administrations. Si on doit y  aller immédiatement, on va s’attendre au pire : ambiance horrible, agent perdu, affaires qui n’avancent pas, entretien désastreux, etc.. On a avec l’information négative sur une administration, un amorçage négatif, une sorte de filtre qui va nous pousser à adopter une attitude ou une perception des faits qui aura des conséquences négatives. Au contraire, si on ne se bourre pas le crâne d’informations négatives sur les administrations, qu’on laisse en pause son cerveau avec ces questions, on aura plus de chance de ne pas passer un mauvais moment.

 - Une fois la pause faite, le cerveau reposé, on peut vraiment prendre la mesure de la réalité autour de nous et la regarder avec un angle neutre, sans a a priori. C’est avec cette perception qu’on casse à coups de marteau les préjugés et qu’on peut vraiment voir convenablement ce qui se passe autour de nous.

Toujours avec notre exemple de l’administration, si on y va la tête bourrée d’informations négatives, on cherchera à confirmer leur existence : qu’importe la façon dont se passe le moment, notre attention sera focalisée sur le négatif (la file d’attente, un usager désagréable, un malentendu…). Or si on y va de façon neutre, notre perception sera comme une balance penchant du côté du négatif parfois, parfois du côté positif : mais il n’y aura pas de poids négatif de départ, ni de positif. On sera alors surpris de remarquer que l’agent a pris d’immenses précautions pour être doux, pour être compréhensible, chose qu’on n’aurait pas remarquée avec un amorçage négatif. Si l’agent est épuisé et agit comme un robot, on remarquera qu’il a néanmoins réussi à comprendre notre requête. Bref, on percevra beaucoup plus de signaux non-négatifs, on percevra plus de complexité (on comprendra la tension d’un agent parce qu’on aura vu l’agressivité d’un usager ; mais on comprendra aussi son agressivité étant donné qu’il a peut-être peur de ne plus avoir de quoi manger le mois suivant).

Avoir une balance vide de tout poids, c’est à dire de tout a priori positif ou négatif, est la seule façon d’avoir la chance de percevoir tous les détails, les signes de la réalité qui nous font vraiment comprendre la complexité du monde : et celui-ci n’est ni noir, ni blanc, c’est éminemment plus complexe.

- Quand on a décidé que son cerveau était bien reposé, qu’on arrive à se reconnecter correctement, sans aprioris à la réalité, alors on peut re-consommer de l’information. L’idéal étant de consommer ces informations comme on consomme un repas : on choisit un plat copieux, varié en nutriments, un plat qui peut se consommer lentement, qu’on peut mâcher à loisir pour permettre une bonne digestion profitable. Comme pour la nourriture, il faut écouter ses besoins, pas forcément la petite voix du plaisir facile : notre corps, si on l’écoute bien nous dicte ce dont il a besoin, comme des soudaines obsessions pour le céleri, le gaspacho ou le steak. Il en est de même pour le cerveau : on est intéressé par ce dont on a besoin pour avancer dans la vie, on est attiré par des thématiques qui seront utiles à nos actions, qui peuvent nous permettre de résoudre des problèmes. Le cerveau est relativement utilitariste : il retient ce qui fait écho à ses projections, ses problèmes, ses frustrations (ce que la pub exploite à l’excès d’ailleurs). Servons-le en retour et choisissons les informations dont on a besoin, parce qu’elle touche un domaine dans lequel on peut agir concrètement, parce que ces informations peuvent nous aider.

Cependant ce choix nécessite plusieurs choses :

  • La télévision ne répond pas à ces différentes attentes. Elle ne nous sert strictement à rien à notre époque, si ce n’est nous remplir de n’importe quoi, n’importe quoi qui sert à l’insertion de la pub dans notre cerveau. "N’importe quoi" qui engendre le syndrome du grand méchant monde, donc qui nous dessert totalement. Certaines chaînes font des documentaires, des émissions intéressantes (on pense à Arte évidemment) : on les trouve sur leur site, vous n’avez pas besoin du cordon TV. La télévision est déjà morte, enterrons là définitivement sans attendre.
  • Consommer de l’information bénéfique pour nous et nos futures actions nécessite de voir clair en nous : il faut faire face à ses problèmes, ses préoccupations, ce qui nous chagrine. Il ne s’agit pas là de se juger – ce serait improductif -, il faut juste constater les problèmes et y remédier : bien s’informer est un premier "soin" de sa vie.
  • Consommer de l’information bénéfique pour nous et nos futures actions nécessite de la lenteur. Donc principalement de la lecture, ou des vidéos traitant d’un seul sujet à la fois. Cette lenteur concerne aussi le temps qu’on passera à s’informer sur une thématique : quand on commence à vraiment s’intéresser profondément à une thématique, naturellement on cherche à combler les vides, à chercher d’autres points de vue, même radicalement opposés. On se rapproche là d’une enquête, d’une quête qui demande de la concentration, donc de ne pas se disperser. Cela n’a rien de désagréable bien au contraire : étant donné que cela entre en écho avec nous, de notre corps au tréfonds de notre cerveau, ce travail a du sens. Et rien n’est plus plaisant que ça.

Et la fiction ? Et l’international ? On oublie tout ? On se préoccupe que de son nombril et ce qui gravite autour ? 

L’international n’existe pas à la télévision

Bien sûr que non, n’oublions pas l’international ! Les propositions précédentes ne sont que des idées pour mettre au clair sa cervelle, ce ne sont que des étapes parmi d’autres. L’information est une bobine de fils entremêlés : le JT ne montrerait que fugacement certains fils qu’on aurait à peine le temps de distinguer. En se préoccupant d’un seul fil, on arrive à des emmêlements avec d’autres, on se met à comprendre les nœuds puis à suivre d’autre fils : imaginons qu’on en a marre des administrations, qu’on trouve qu’ils sont tous aussi cons les uns que les autres. On se vide la tête pour y aller de façon neutre et observer le mieux possible. On fait le constat, puis on cherche à s’informer de la façon dont est géré l’administration en question ; puis comment les fonctionnaires et autres usagers le vivent ; puis on s’interroge sur la société, son fonctionnement, sur quoi elle repose ; on découvre des idéologies ; et ainsi de suite. S’intéresser à une seule thématique, mais de façon très téméraire et passionnée permet de remonter à des questions bien plus vastes. En cela, cibler et chercher l’information en rapport avec des questions qui nous préoccupent directement dans notre vie quotidienne et au final moins égoïste que d’enregistrer la liste des titres du JT sans chercher à en comprendre plus. Parce que les informations que l’on aura ciblées nous servirons, nous permettrons d’agir, car on est concerné par la situation : dans l’administration, on ne s’énervera pas sur l’agent qui ne peut nous clôturer le dossier parce qu’on saura à quel merdier bureaucratique il est soumis, on saura qu’il est forcé de nous rentrer dans des cases, que ce n’est pas de sa faute et que crier ne résoudra rien. On sera en paix et on apportera de la paix autour de nous. Du moins, on n’électrisera pas l’atmosphère.

Donc, s’intéresser à l’international vient assez naturellement : pour comprendre ce que nous vivons, voir d’autres modes de vie est forcément enrichissant. Mais là encore, la télévision ne le permet pas. Nous postulons même que le traitement de l’information internationale renforce les stéréotypes et la peur nourricière du racisme : ne voir de l’étranger que des pays en crise, des catastrophes, des guerres, de la pauvreté, des mouvements de violence, etc., laisse l’étranger étranger et accroît la peur de celui-ci. Avez-vous déjà vu un scientifique roumain, un intellectuel marocain, un artiste africain, un génie iranien vous parler calmement de son pays, des événements qu’il traverse ? La télévision préfère prendre sur le vif des réactions dramatiques, saisir au vol des réactions situationnelles qui ne sont pas ce que sont les gens. La TV n’offre qu’une vision effrayante et exagérée du pire de la réalité et quand elle tente de montrer du calme, du "bon", elle le fait avec distance, condescendance, pitié ou ridicule, ce qui renforce aussi le syndrome du grand méchant monde ("les gens gentils sont des crétins") et le brutalisme.

La fiction donne plus de réalité que la téléréalité

Quant à la fiction, au vu de ce que j’ai écrit, on pourrait en déduire qu’elle est "useless", apportant au cerveau des tonnes d’informations inutiles et le fatiguant pour rien à vivre des émotions pour de fausses situations dramatiques. Or ce n’est pas du tout notre point de vue : la fiction est parfois le meilleur moyen pour comprendre, reconnaître des situations complexes et éventuellement bien se comporter face à ces situations. Et tout cela sans interférer avec nos représentations du réel comme le font les news ou les téléréalités, sans créer de syndrome de grand méchant monde. Un roman est comme une forme de télépathie : l’auteur, par l’histoire, transmet ses mécanismes, ses schémas. Schémas que le lecteur tortille dans tous les sens possibles avec son histoire, son style, son imagination : l’auteur nous offre en quelque sorte sa plasticité cérébrale, stimule notre empathie même pour des situations que l’on n’aura jamais l’occasion de vivre (pour la science-fiction par exemple). Notre cerveau répète la fiction comme s’il vivait dans la peau d’un autre, sans pour autant que ce soit mélangé à la réalité de façon directe. On ne va se mettre à avoir peur des personnes au look gothique après avoir lu ou vu Dracula, par exemple. Par contre la fiction pourra permettre de reconnaître certaines situations psychologiques : après avoir vu Breaking Bad on ne va pas suspecter tous les profs de chimie d’être des fabricants de méthamphétamines, par contre quand on verra un directeur devenir sans pitié pour faire toujours plus de profit on reconnaîtra le phénomène propre à cette rationalité vidée de toute empathie comme le parcours du personnage de Breaking Bad. Cela permettra non pas d’en conclure "mais quel connard! il mériterait d’être guillotiné" mais plutôt de pouvoir imaginer toute la complexité de ce qui motive ces décisions inhumaines et d’imaginer quelles pistes pourraient être explorées pour remédier à sa folie rationnelle.

S’abreuver de fictions de grande qualité est mille fois plus bénéfique que de se laisser abrutir par les divertissements télévisés, les fictions offrant des vues de la réalité bien plus profonde, plus stimulante, moins intrusives que celles que proposent la télévision.

Pour bien les choisir, quelque pistes :

  • ne pas se fier au nombre de vente, aux preuves sociales type classement, prix… Les prix littéraires ne sont que des arrangements avec les éditeurs ; le nombre de vente n’a aucun sens étant donné que tout le monde pirate ; l’emballement autour d’un "produit" culturel n’est pas signifiant de sa qualité mais  juste signifiant qu’il y a eut un emballement autour (souvent poussé par des techniques marketing).
  • on ne regarde pas à la télé les fictions : les pubs pourrissent tout, on rate les VO bien plus savoureuses qu’avec des doublages. Le problème des fictions choisit par la télévision c’est qu’elles sont choisies par la télé : autant choisir par soi-même.
  • on est patient : autant attendre la fin d’une série ou d’une saison de celle-ci pour jauger si elle mérite qu’on porte de l’attention sur elle. Autant attendre qu’un film, qu’un livre ait fini sa période promotionnelle voire tombe dans l’oubli pour enfin y gouter. La promo induit des aprioris qui empêche de vraiment savourer (ou vomir) convenablement l’œuvre.

Contre le syndrome du grand méchant monde, nous conseillons :

  • d’abandonner définitivement la télévision.
  • de faire de temps en temps des breaks médiatiques, des pauses d’écrans.
  • regarder de façon neutre, mais pas moins intense la réalité : il faut avoir vidé sa "balance" de tous poids, c’est-à-dire s’être vidé d’aprioris positifs ou négatifs.
  • de s’informer de façon sélective, c’est-à-dire en fonction de nos intérêts réels, de nos problèmes personnels : il faut que l’information qu’on sélectionne soit corrélée à notre vie, qu’elle soit un écho, un sens, ainsi elle sera efficiente dans nos actions. Mais attention, cela nécessite de regarder sa vie en face, de ne pas être dans le déni de nos vraies préoccupations. Pas d’inquiétude pour la culture générale : à tirer sur un fil, on arrive vite à toute la pelote.
  • de prendre du temps pour consommer l’info (comme le reste d’ailleurs), de passer du temps sur chaque question qui nous intéresse. Notre organisme, de l’estomac au cerveau a besoin de temps pour "digérer" pleinement et efficacement.
  • de ne pas se priver de la bonne fiction, bien au contraire, elle a d’immenses bénéfices : elle divertit, stimule notre lobe temporal, développe notre empathie, joue avec notre plasticité cérébrale, stimule notre imagination, nous offre des schémas inédits, nous fait accéder à ce rêve d’enfant qu’est la télépathie, avec l’écrivain.

Conseils en vrac

  • "don’t feed the troll" l’énervé /le brutaliste / le chef d’idéologies crasseuses se nourrit de haine, de colère, de guerres. Le meilleur moyen de lui donner encore plus de pouvoir et de terrain est de répliquer dans le cadre qu’il a posé. Il ne s’agit pas d’ignorer ses méfaits, il s’agit d’être plus malin : la réplique doit se faire par des moyens autres (l’humour, la créativité, l’imagination, l’astuce…), si possible en corrigeant ce qu’il exploite de façon non frontale (la peur de ses "adeptes", leurs frustrations, leur ignorance, leur biais…).
  • attention à l’effet streinsand : la censure renforce le message de celui qui est censuré. En cela, on ne devrait rien censurer, aussi odieux soient certains messages, la censure n’a d’intérêt que pour celui qui est censuré : interdire c’est légitimer, interdire un objet c’est envelopper de désir.
  • la force réside dans la capacité à ne pas faire la guerre : écouter attentivement et respectueusement celui qui vous insulte, s’intéresser à ses propos et même chercher à en savoir plus comme s’il s’agissait du plus intéressant des thèmes est la force ultime, en plus d’être extrêmement déstabilisante vis-à-vis de l’agresseur. Cependant, il ne faut pas occulter que cela puisse le mettre en état de rage, mais ce même état de rage dans une situation où l’on est pacifique le décrédibilisera.
  • l’énervé pose un cadre, le seul moyen d’affaiblir ce cadre malsain est d’en sortir, de montrer autre chose qui cassera immanquablement ce cadre.

Cet article n’était pas exhaustif, nos conseils non plus. Ce ne sont que des pistes parmi d’autres. Cependant nous reviendrons souvent sur le thème des médias ainsi que le thème de nos biais et la façon dont ils sont exploités.

Sources

 -"150 petites expériences de psychologie des médias", Sébastien Bohler. Ouvrage excellent que nous vous conseillons vivement.

- "psychologie de la manipulation et de la soumission", Nicolas Gueguen. Une base que nourrit tous nos articles liés de près ou de la loin avec les questions de manipulation et de soumission.

- le magazine "cerveau et psycho", pour l’ensemble de son œuvre.

-"Plaidoyer pour l’altruisme" Matthieu Ricard. Vous y trouverez toutes les expériences psychologique sur l’altruisme, l’exemple de l’ouragan de Katrina… On n’a pas encore fini de le lire, mais le sérieux et la rigueur scientifique de l’auteur y transpire : cet ouvrage n’a strictement rien à voir avec un plaidoyer esotérico-religieux, bien au contraire, il y a une vraie recherche rigoureuse, basée sur les recherches en psychologie, en biologie, en éthologie, en philosophie…. Pas de prosélytisme dedans. On peut le lire en étant fermement athée.

- "TV lobotomie", Michel Desmurget  . Des dizaines d’arguments solides, vérifiés prouvant que la TV est vraiment nuisible. A potasser pour convaincre votre prochain ;)


[1] La carthasis est cet effet qui permet par la représentation de la douleur ou de la violence de dépasser sa propre douleur ou violence. Pour le dire simplement, une représentation de la douleur (par la fiction) nous permet de dépasser la douleur réelle, ou de nous en prémunir.

Hackingsocialblog.wordpress.com

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8 juin 2016

85% DES TAMPONS ET SERVIETTES HYGIÉNIQUES CONTIENDRAIENT DU RONDUP MONSANTO.

AAAAAA

Alors que dernièrement en France le débat autour de la «taxe tampon» faisait rage entre le gouvernement et différentes associations, en Argentine une étude vient de démontrer que 85% des protections hygiéniques destinées aux femmes contiendrait une substance chimique dangereuse appelée glyphosate.


Il suffit de taper le nom de cet herbicide dans votre moteur de recherche pour comprendre à quel point il peut être nocif pour la santé.
C’est dans le cadre du 3ème congrès des médecins pour les communautés victime d’épandage de Buenos Aires que des chercheurs de l’Université de la Plata auraient mis en évidence la présence de glyphosate dans 85% des protections féminines étudiées.
Ce composé chimique est en réalité le principal composant du Roundup, un puissant désherbant non sélectif commercialisé par la firme Monsanto depuis 1974.

OGM et toxicité pour la santé
Si la France a annoncé cette année son intention d’interdire la commercialisation du Roundup aux particuliers à partir du 1er janvier 2016, c’est que de nombreuses études avant celles-ci ont démontré sa toxicité pour l’homme en cas d’expositions répétées. L’Agence Américaine de Protection de l’Environnement a souligné de «possibles effets néfastes sur les reins et sur la reproduction» chez l’homme.

En France, le Centre International de Recherche sur le Cancer ainsi que l’OMS ont classé le glyphosate parmi les "cancérogènes probables ou possibles" .
En ce qui concerne l’Argentine, c’est l’utilisation de coton OGM dans la quasi totalité des cultures qui est incriminée. L’herbicide est pulvérisé directement au cœur de la fleur et se retrouve donc dans tous les dérivés à base de coton, pas seulement les tampons et les serviettes. Selon le président du congrès, le docteur Medardo Avila Vazquez :

«La plupart de la production de coton dans le pays est génétiquement modifiée. Il est pulvérisé quand la fleur de coton est ouverte et le glyphosate condensé et va tout droit dans le produit. Le résultat de cette recherche est très sérieux, vous utilisez du coton ou de la gaze pour guérir des blessures ou pour des utilisations d’hygiène corporelle, en pensant que ce sont des produits stérilisés alors que les résultats montrent qu’ils sont contaminés avec probablement une substance cancérigène.»
Un risque pour les produits vendus en France ?
Pour ce qui est des tampons et serviettes commercialisés dans nos magasins français difficile de se prononcer puisque aucune législation n’oblige leurs fabricants à détailler la composition des produits sur le paquet. 
Une pétition a d’ailleurs été lancée puis soutenue par l’association 60 Millions de consommateurs recueillant pour le moment plus de 65 000 signatures.
https://www.change.org/p/rendre-visible-la-composition-des-tampons-et-serviettes-hygi%C3%A8niques

Celle-ci vise tout simplement à obliger les marques comme Always ou Tampax à dévoiler la composition de leur marchandise.
Au moment où chez nous l’Assemblée Nationale vient de refuser de classer les tampons et serviettes périodiques comme produits de première nécessité, il semble qu’il y ait encore de nombreux progrès à faire concernant ces éléments pourtant quotidien pour des millions de femmes à travers le monde.
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8 juin 2016

HISTOIRE secrète DE Tous les remedes contre le cancer

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Protocole anti cancer du Dr André Gernez, «le plus grand savant médical actuel» selon la Société d’encouragement au progrès.
Ce grand homme, âgé aujourd’hui de 90 ans et peu connu du grand public, a connu un parcours exceptionnel (actualisation : André Gernez est décédé le 8 janvier 2014). Ses découvertes révolutionnaires  ont pour la première fois permis d’envisager l’extinction de maladies dégénératives comme le cancer.
L’Association pour André Gernez (APAG), présidée par le Dr Jacques Lacaze, proche collaborateur du Dr André Gernez depuis 1971, œuvre pour populariser le protocole de prévention active du cancer que j’ai suivi pour la première fois à l’automne 2012, à l’âge de 42 ans.

André Gernez, Le scandale du siècle - volume 1




Vidéo - André Gernez, Le scandale du siècle (1h58)
On retrace l'histoire de la découverte des cellules souches ainsi que de leurs rôles anatomiques et physiologiques à travers les propos du docteur André Gernez, radiologue, qui semble avoir été le premier à réviser l'idée admise (dogme) de l'époque en biologie cellulaire que les cellules suivent un double cycle. ébranlant ainsi la communauté médicale et scientifique.
Le documentaire vulgarise la genèse physiologique de plusieurs maladies "modernes" (le cancer, l'athéromatose, la sclérose en plaques, la schizophrénie, la myopathie de Duchenne, l'Asthme et l'allergie, le Psoriasis, le Parkinson, l'Alzheimer...) qui à première vue n'ont rien en commun. ses recherches le mèneront par ailleurs à établir un protocole de prévention et d'intervention.
Bien qu'appuyé par diverses sommités et groupes du milieu médical, il n'en sera pas de même au niveau scientifique moins "praticien".

Le Scandale du siècle Volume 1
23 décembre 1971 : les américains lancent le plan anti-cancer. Le conseiller du Président Nixon, John Rooney, annonce à toute la presse qu'en 1976, date du bicentenaire de l'indépendance, la victoire sur le cancer serait totale. Fanfaronnade électorale ? Non. Cette déclaration s'appuie sur les découvertes du Docteur André Gernez, médecin français cancérologue et physiopathologiste. Une étude INSERM démontre dès 1971 que le cancer peut être évité dans 93% des cas.
Fin des années 60 le Docteur André Gernez crée son groupe de Biologie: UBI (Union Biologique Internationale). Ses collaborateurs sont : Pr Gellé, Docteur Delahousse, Pr Nihous, Docteur J.Lacaze, Docteur J.P Willem, Docteur M. Dumont, Docteur Deston.
À partir de 1967, André Gernez révolutionne les principes fondamentaux de la biologie. Le Docteur Gernez est en mesure aujourd'hui de contrôler diverses pathologies (le cancer, l'Athéromatose, la sclérose en plaques, la schizophrénie, la myopathie de Duchenne, l'Asthme et l'allergie, le Psoriasis, le Parkinson, l'Alzheimer...). En 2006, quarante ans plus tard, la plupart de ses théories sont reconnues au niveau mondial, sans jamais que son nom ne soit cité.
« Les vérités scientifiques finissent toujours par s'imposer, parce que la vérité ne triomphe jamais, mais ses ennemis finissent par mourir » (Max Planck, Prix Nobel de physique 1918 )
Avec
Docteur ANDRE GERNEZ
Ancien médecin-chef à l'hôpital de Roubaix. En 1944, à 21 ans il est médecin. Ses travaux en biologie et cancérologie l'amènent à poser des postulats nouveaux.
1966 il revisite le principe fondamental de la biologie cellulaire. 
1971 une étude de INSERM confirme sa théorie de prévention Active du cancer. En 1979 il reçoit le prix Hans Adalbert Schweigart pour sa découverte sur "la théorie unifiée du cancer" le jury est composé de 40 prix Nobel.
Auteur de Néo-postulats biologiques et pathogéniques, La Carcinogénèse mécanisme et prévention 1969, Le Cancer dynamique et éradication 1969, Lois et règles de la Cancérisation 1970.
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Docteur JEAN-PIERRE WILLEM. Le médecin aux pieds nus, pas assez connu. Reagrdez son aprcours. C'est de tout ça qu'il faut parler à "Nuit Debout" sur la Place de la République à Paris et partout en France et en Europe.
Chirurgien et anthropologue, il a parcouru la planète pendant plus de quarante ans. Il crée en 1986 la Faculté libre de Médecine Naturelles et d'Ethnomédecine et l'association humanitaire "Médecins aux pieds nus"
Auteur de "Prévenir et vaincre le cancer ".
http://www.docteurwillem.fr/
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Docteur PIERRE DELAHOUSSE
Médecin de Roubaix.
L’œuvre du Dr André Gernez
Le Dr Jacques Lacaze vient de m’envoyer la plaquette de la Société d’encouragement au progrès qui a décerné  à André Gernez, «le plus grand savant médial actuel», la Grande médaille d’or, au Sénat, le 26 octobre 2012.
Les distinctions, André Gernez en a reçu de très éminentes comme celle remise  à Salzbourg en 1979 par Linus Pauling, double prix Nobel (chimie et paix), président d’honneur de l’Union mondiale pour la protection de la vie qui regroupe 400 savants de 53 pays, dont 40 prix Nobel. Cette médaille venait couronner ses travaux sur la théorie unifiée du cancer.
Bachelier à 14 ans par dérogation ministérielle, médecin militaire à 21, André Gernez a été chercheur à la Fondation Curie à Paris qui l’a envoyé dans trois des plus grands centres de recherche du monde (Royaume-Uni, Suède, Etats-Unis). Toute sa vie, il s’est distingué par son intelligence rare, sa force de travail, sa droiture, son indépendance et son dévouement pour faire progresser la recherche médicale.
Lorsqu’ont été publiés en 1967 les résultats de ses travaux révolutionnant les principes fondamentaux de la biologie, le Dr Gernez a provoqué l’enthousiasme dans les plus hautes instances médicales françaises et internationales. Non seulement, il a démontré la fausseté du postulat selon lequel les cellules nerveuses ne se divisent pas après la naissance, mais il a découvert que les cellules cancéreuses pouvaient être éliminées de l’organisme avant qu’elles n’atteignent, après division cellulaire, le nombre de 1 milliard (atteint au bout de huit ans), c’est-à-dire au moment où elles sont détectables dans l’organisme.
Une étude de l’INSERM de 1971 a montré que le protocole du Dr Gernez expérimenté sur des rats pouvait éviter la cancérisation dans 93% des cas. Mais cette étude n’a jamais été publiée. Le Dr Gernez, qui a demandé sa radiation de l’Ordre des médecins en 1991, a été ostracisé et ses découvertes, dont les applications étaient peu onéreuses, ont été réduites au silence.
Le protocole anti-cancer
Comme beaucoup de personnes, je vois autour de moi de plus en plus de personnes touchées par le cancer : membres de ma famille, amis, collègues de travail ou connaissances. Mon grand-père paternel est décédé du cancer du poumon à 51 ans. Deux de mes oncles ont été atteints à la cinquantaine par le cancer du poumon, un seul en a réchappé. Un proche de la famille vient d’apprendre à l’âge de 66 ans qu’il est atteint du cancers du pancréas, l’un des plus fulgurants. Et ensuite ? A qui le tour ? Le cancer s’abat-il de façon insidieuse  et arbitraire ? N’y a t-il rien à faire ? Si, la prévention.
Sachant qu’un homme sur 2 et une femme sur 3 développeront un cancer au cours de leur vie, j’ai donc pris contact avec l’Association pour André Gernez (APAG) qui m’a communiqué les fiches expliquant de façon détaillé le mode opératoire pour suivre le protocole.
Le protocole se fait une fois par an, dans l’idéal à partir de 40 ans, et se compose de deux phases :
Phase 1 : restriction alimentaire avec réduction des sucres, du sel et des matières grasses d’origine animale pour mettre l’organisme en acidose + supplémentation en vitamines et minéraux. La réduction calorique préconisée est d’un tiers, ce qui revient à supprimer l’un des deux repas principaux (durée : 20 ou 30 j).
 Phase 2 : après la phase 1, prise de colchicine pour bloquer les cellules lorsqu’elles arrivent en phase de division (durée : 7 j) + prise de cortisone pour relancer les divisions cellulaires (durée : 2 j, le premier jour commençant le dernier jour de la prise de colchicine) + prise d’antimitotique léger pendant 2 à 6 jours selon le produit, le premier jour commençant le 2e jour de prise de la cortisone.
 Pour plus de précision sur ce protocole, adressez-vous à l’association APAG et parlez en avec votre médecin.
Plusieurs naturopathes sont en train d’étudier la possibilité d’utiliser des substitutifs en remplacement de certaines médications de la phase 2 impossibles ou difficiles à se procurer (lire cet article).
Il peut paraître curieux de commencer un blog sur la naturopathie avec un protocole anti cancer, mais ce protocole encourage clairement chacun à prendre sa santé en main et s’appuie sur le respect de règles d’hygiène (restriction alimentaire avec une supplémentation vitaminique) qui sont «parlantes» aux adeptes de la naturopathie, il a donc toute sa place sur ce blog. N’hésitez pas à me laisser votre avis en commentaire. Pour rappel, aucun conseil d’ordre médical ne sera donné dans le cadre de ce blog, seul votre médecin est habilité à vous faire un diagnostic ou vous prescrire une médication.
Durant ce protocole, le fait de ne prendre qu’un repas dans la journée m’a amené à me documenter sur le jeûne intermittent qui me paraît être une excellente alternative (qui plus est, définitive) pour les personnes sujettes au surpoids.
Voir la cure de jus de fruits et légumes :

Conférence « alerte à la santé » , 28 février à Montreuil - www.regenere.org

https://www.youtube.com/watch?v=UrRQ6PlpUWw
Sources :
– Magazine «Votre santé n° 49», mars 2012
– Magazine «Enquêtes de santé» n° 1, juin-juillet 2010
Pour aller plus loin :
– Magazine Nexus N°49 mars-avril 2007 et N°50 mai-juin 2007
– Livre «Savants maudits, chercheurs exclus, tome 2» de Pierre Lance

– DVD «le scandale du siècle» de Jean-Yves Bilien
– Les travaux du Dr Gernez : http://biomedecine-theorique.com
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Beljanski Mirko Beljanski en 1956 était encore à l'Institut Pasteur
Il a soigné Mitterrand qui avait oublié de nous dire quand il s’est présenté pour la 2ème fois qu’il avait un cancer. Quand Mitterrand a fini par mourir, les gendarmes sont venus chercher Beljanski chez lui et lui ont mis les menottes comme à un vulgaire malfaiteur
Cancer : l'approche Beljanski - Entretien avec Monique Beljanski

Cancer : l'approche Beljanski - Entretien avec Monique Beljanski (E&R Île-de-France)


On a tout fait pour que vous ayez peur
Beljanski : ce nom restera gravé dans l’histoire de la lutte contre le cancer. Il y a vingt ans, le succès des produits mis au point par ce grand scientifique s’est répandu sous le manteau comme une traînée de poudre chez les malades du cancer. Et la poudre a pris feu… Beaucoup d'entre vous connaissent la suite : la fin dramatique d’un homme poursuivi à mort par les autorités judiciaires françaises. Son nom, sa réputation scientifique, ses produits, frappés d’anathème. Un acharnement sournois et dissuasif est, depuis, à l’œuvre, qui nous laisse croire en 2014 que les produits Beljanski sont interdits tout en faisant passer pour un danger sanitaire le seul fait d’en parler. Et pourtant : des centaines, des milliers de patients suivent les traitements originaux et en sont satisfaits, en France comme ailleurs et plus souvent qu’on ne le croit avec la coopération de leur médecin.
Les autorités de santé et les labos pharmaceutiques peuvent se frotter les mains. Leur incroyable travail de sape a porté ses fruits. Dans les grands médias, c’est le black-out, avec juste ce qu’il faut de désinformation de temps à autre… Pour encore dissuader les récalcitrants, sait-on jamais… Mais pas un mot qui pourrait laisser penser qu’il n’y a rien d’illégal à utiliser un produit Beljanski !
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Complot Mondial contre la Santé - Loïc Le Ribault - La traque à mort d'un génie Français

Complot Mondial contre la Santé - Loïc Le Ribault - La traque à mort d'un génie Français

www.youtube.com/watch?v=RRmhhVI5BUY
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Voir le Plan cancer – février 2014 qui impose les traitements permis par le système aux médecins cancérologues
Cancer, Business mortel ? Dr Nicole Delépine sur Prévention Santé (22mn)
Pourtant les pouvoirs publics veulent fermer ce service. Pourquoi ? Parce que Nicole Delépine dénonce depuis des années les pratiques des laboratoires pharmaceutiques? Et qu'elle lutte contre les essais thérapeutiques de plus en plus pratiqués sur des malades atteints de cancer, en particulier les enfants ? Sans doute. Le franc-parler du Dr Delépine dérange...
«Peut-on soigner librement en France ?» manifestement la question vaut la peine d’être posée. Car l'autre question que pose se film est celle du libre choix thérapeutique...
http://www.dailymotion.com/video/x210kss_cancer-business-mortel_tv

Dr Nicole Delépine - Cancer Business Mortel

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Gérard Delépine, chirurgien orthopédiste et oncologue désormais retraité, mène avec son épouse un combat incessant pour informer le public des dérives médicales dont il a souffert toute sa vie. (43mn)
Le dépistage systématique du cancer, une escroquerie? (Claire Séverac)
Dans sa troisième émission pour MPI-TV, Claire Séverac interroge le Dr Gérard Delépine. Gérard Delépine, chirurgien orthopédiste et oncologue désormais retraité, mène avec son épouse un combat incessant pour informer le public des dérives médicales dont il a souffert toute sa vie.
Il nous parle ici du dépistage systématique des cancers du sein et de la prostate dont on ne parvient pas à comprendre pourquoi il est fait tant de publicité, alors qu’il ne sert à rien.
Il nous parle également du fameux vaccin GARDASIL, véritable scandale sanitaire. Il ouvre enfin les yeux sur la corruption qui frappe l’ensemble du domaine médical, et bien au-delà, toute la société.
https://www.youtube.com/watch?v=sLA0kUS5g4g

Planete Homeo - Nicole Delépine - Disparition de la liberté de soins

Claire Séverac, une autre qui dénonce.
Elle a travaillé avec la journaliste d’investigation Sylvie Simon :
http://www.claireseveracrebellion.com/

 

7 juin 2016

Katy Perry prise de possession démoniaque en plein concert

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Katy Perry prise de possession démoniaque en plein concert ce nest pas la premiere fois que cela lui arrive on la deja vu se changer pendant une chanson elle attendait son demon et une fois quil entre en elle elle se met a chanter là c'est plus dramatique le ou les demons provoquent un tel choc qu'elle tombe la tete la premiere comme si elle etait ko terrifiant je me demande qu'elle vie va telle avoir la nuit avec ses cauchemards horribles qu'elle doit faire voila le prix a payer pour la gloriole de ces foutus idoles diaboliques la musique attire enormement de demons en plus si votre corps est open alors vous etes attaqués immédiatement et pas que par ceux avec lesquelles vous travaillez mais tous ceux qui sont present dans la salle de concert la guitare electrique est linstrument preferé des demons ...

7 juin 2016

Les rêves nous appartiennent en propre et nous définissent.

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Avoir des rêves et les poursuivre et important, entend-on souvent. On sait que nos rêves sont remplis d’espoir dans ce qu’on peut devenir, dans la création d’une nouvelle personne, d’une nouvelle identité, de nouvelles habitudes. Mais voici sept autres raisons de rêver sa vie.

(...) Près de 50% des Nord-Américains, bon an mal an, prennent des résolutions à la nouvelle année. Or, la majorité des gens ne réussissent pas à maintenir ces bonnes résolutions. 22% échouent après une seule semaine, 40% après un mois, 50% après trois mois, 60% après six mois et 81% après 2 ans. Une des raisons qui explique ces résultats, c’est qu’on prend des résolutions qui reposent sur des objectifs vagues, et qui, au lieu d’être orientées vers ce que l’on souhaite, sont plutôt l’expression de ce que l’on ne veut plus. Et croyez-moi, ce n’est pas la même chose. Alors, plutôt que de commencer une année en essayant de réparer ce qui ne fonctionne pas (mon poids, ma santé, ma consommation d’alcool ou de cigarette…), pourquoi ne pas prendre un peu de temps pour élaborer nos objectifs réels, en un mot pour rêver sa vie  et s’imaginer à son meilleur.

1- Il y a de la magie dans le rêve. 

L’enfance est souvent associée au rêve et à la magie et je crois que c’est bien ainsi, mais cela ne devrait pas être que l’apanage des enfants. Quand on arrête d’avoir des rêves parce qu’on s’est fait dire qu’il fallait être réaliste et devenir adulte ou parce qu’on a eu un échec et des difficultés, on grandit peut-être physiquement, mais on oublie comment c’est que de se sentir optimiste et jeune.

C’est la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante. (Paulo Coelho)

2- Penser à son rêve peut nous distraire de nos pensées négatives. 

Notre état d’esprit dépend beaucoup de ce sur quoi nous centrons notre attention. D’ailleurs, les personnes qui ont une attitude positive se caractérisent, entre autres, par leur capacité à se concentrer sur leur cible, sur le résultat qu’elles souhaitent obtenir, sur leurs rêves. D’où l’importance de décider consciemment à qui et à quoi l’on veut faire cadeau de son attention: aux rêves qui nous enthousiasment et nous animent ou aux drames de la vie (il y en a toujours, et quand il n’y en a pas, on peut toujours s’en trouver). Or, les drames et pseudo-drames prennent leur juste place quand on est passionné par la poursuite d’un rêve. (...)

Le futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves. (Eleanor Roosevelt)

3-  Avoir des rêves permet de mettre le cerveau à notre service

Toutes les personnes qui ont eu des rêves, petits ou grands, moi le premier, vous diront comment les astres s’alignent pour que notre rêve se réalise. C’est du hasard, soutiendront certains. Mais si c’était de la magie, cette magie qui fait que l’univers suit nos profonds désirs? Mon périple à pied sur les routes de St-Jacques-de-Compostelle a d’abord été un rêve qui m’inspirait. Dès sa formulation, une abondance d’informations ayant un lien avec cette marche millénaire s’est présentée à moi, comme si l’univers me faisait un formidable clin d’œil. Le plus cocasse fut sans doute quand, lors d’un séjour de pêche plusieurs mois avant le départ, je suis tombé sur un vieil exemplaire (1965) du Sélection du Reader’s Digest qui traînait au chalet loué pour l’occasion et dans lequel il y avait un article intitulé Sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle. Coïncidence? Peut-être aussi la magie d’un rêve bien défini qui mobilise les ressources insoupçonnées de notre subconscient.

Les rêves sont la nourriture des dieux (Paul Ohl, écrivain).

4- Les rêves nous appartiennent en propre et nous définissent.

Il y a un immense plaisir à assister à la réalisation d’un rêve chez une autre personne. Imaginez quand, au lieu de vivre cela par procuration, nous rêvons notre vie et expérimentons l’éclosion de notre propre projet! Cela nous aura sans doute demandé de vaincre des peurs, d’exercer notre courage, de développer notre créativité devant les insuccès, de combattre les éteignoirs et les envieux… Il arrive en effet que cela ne fonctionne pas comme on l’aurait souhaité. Mais cela rend sans doute la réalisation d’un rêve encore plus mémorable. Et, en ce faisant, nous avons fait reculer les frontières de ce qui nous définissait et influencé le déroulement du reste de notre vie.

Ne te crois pas pauvre parce que tes rêves ne se sont pas réalisés: vraiment pauvre est celui qui ne connaît pas le rêve. (Marie Von Ebner-Eschenbach, romancière)

5- Avoir des rêves et les poursuivre peut être une source d’inspiration pour les autres.

Avoir des rêves nous fournit des éléments importants à partager aux plus jeunes comme l’espoir, l’importance d’être inspiré et de donner un sens à sa vie. Une contribution importante qui se fait en offrant l’exemple que tout est possible quand on s’y met. Et n’avez-vous pas envie de battre en brèche les idées reçues comme Je suis trop vieux pour rêver ou J’ai passé l’âge d’apprendre? Il y a un plaisir certain à dépasser le statu quo. De plus, l’âge perd de son importance quand on sait ce que l’on veut et qu’on s’investit pour y arriver.

Une septuagénaire, qui se perçoit elle-même comme une femme ordinaire ayant vécu une vie ordinaire, décide à 75 ans de se mettre à l’écriture et entreprend de rédiger son autobiographie. Elle soumet son manuscrit à un concours destiné aux auteurs du troisième âge, mais le jury lui explique que cette histoire n’intéressera personne d’autre que sa famille. Sans se laisser arrêter, après trois refus d’autant d’éditeurs, elle décide de publier son livre à compte d’auteur pour célébrer ses quatre-vingts ans. Prix du grand public au Salon du livre de Montréal en 1996, Le tour de ma vie en 80 ans devient un best-seller québécois. L’auteur, Marguerite Lescop, récidivera deux ans plus tard avec un nouveau livre, puis en publiera même un troisième. (Bérubé, Marie et Vachon, Marc. Oser changer: mettre le cap sur ses rêves. Éd. OserChanger.com. p. 16)

Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire, commencez par la rêver. (Walt Disney)

6- Avoir des rêves développe l’imaginaire. 

Nos rêves n’ont souvent pour limites que celles que nous nous mettons nous-mêmes, et ils prennent tous racine dans notre imaginaire et dans le formidable potentiel d’énergie qu’il recèle. Pour chacun d’entre nous, comme pour ceux et celles dont les exploits font parfois la une des journaux, la pierre angulaire d’un changement réussi, c’est notre capacité à lever un coin du rideau qui masque nos rêves. Rappelez-vous: presque tout ce dont vous profitez présentement dans votre vie a commencé par un souhait sincère. Rien n’arrive qui n’a pas déjà été imaginé. Que ce soit la personne avec qui vous vivez, le bébé que vous portez, la maison ou l’appartement que vous habitez, le voyage d’agrément que vous allez entreprendre bientôt, le livre que vous êtes en train de lire ou les gens que vous fréquentez, rien n’est le fruit du seul hasard. Vous l’avez voulu et désiré à un moment donné.

Le rêve est la preuve qu’imaginer, rêver ce qui n’a pas été, est l’un des plus profonds besoins de l’homme. (Milan Kundera)

7- Il n’y a pas de plaisir à vivre du regret.

Quand on fait un bilan de sa vie, il n’y a probablement rien de plus désagréable comme émotion que celle qu’on peut ressentir en se disant J’aurais donc dû! On dit parfois qu’il vaut mieux avoir des remords que du regret… Personnellement, je crois que ce sont deux émotions désagréables et que l’une ne vaut pas mieux que l’autre. Parfois, il n’est pas mauvais de se poser cette question: qu’est-ce que je vais regretter demain que je n’ai pas fait aujourd’hui? (...)

Ayez des rêves et travaillez très fort pour les réaliser! Mais surtout, faites des choses que vous aimez parce qu’alors, les efforts pour les atteindre paraîtront moins exigeants. (Julie Payette, astronaute)

Contrairement à ce que l’on croit souvent, ce ne sont pas nécessairement les gens les plus talentueux qui persévèrent jusqu’à la réussite. Ce sont ceux qui sont animés, au départ, par un rêve. Nous sommes les créateurs de notre existence et nos rêves en sont un des moteurs principaux. Voilà sans doute pourquoi je vous propose de prendre d’abord le temps de rêver. Vous prendrez vos résolutions ensuite.

 Marc Vachon :

Psychologue, auteur et éditeur passionné par la recherche de moyens pratiques pour être heureux et traverser activement les changements. Il est co-auteur de Oser changer et Mettre le cap sur ses rêves.
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6 juin 2016

L’ancienne directrice de DARPA, Regina Dugan,derrière les Puces RFID qui peuvent être avalées

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le géant du multimédia Google étend encore un peu plus son empire.C’est dans le secteur de la médecine que la société s’illustre désormais, en développant une pilule capable de détecter les premiers signes de cancer,Google est actuellement en train de réaliser une pilule minuscule capable d’identifier vos maladies avant qu’elles ne deviennent un problème.

 Cet appareil contient des particules magnétiques à peu près 10 000 fois plus petites que l’épaisseur d’un cheveu humain.

Elles possèdent des anticorps et des protéines qui peuvent détecter la présence de molécules « biomarquées » à l’intérieur du corps, celles qui indiquent par exemple un cancer ou une attaque imminente. « L’idée est simple.

 

de crise cardiaque ou d’autres maladies.

Vous serez bientôt gardé(e) en bonne santé à l’aide d’une simple capsule magnétique !

  Vous avalez la pilule et c’est tout »,

explique Andrew Condrad, chef du département sciences au laboratoire de recherche Google X Lab. « Elle voyage ensuite à travers votre corps et vu que les noyaux des particules sont magnétiques, vous pouvez leur demander n’importe quand ce qu’elles voient. »Andrew estime que ces particules fonctionnent de la même manière que si l’on envoyait des milliers de médecins à l’intérieur d’une ville pour qu’ils visitent un à un les patients et diagnostiquer leurs problèmes.

 Si vous regardez votre poignet, vous pouvez voir les veines les plus proches de la peau.

  En posant un aimant à cet endroit, vous pouvez piéger les nanoparticules.

  L’appareil qui se porte au poignet fonctionne comme une montre connectée

et sert à lire en permanence ce que les particules ont détecté au cours de leur voyage dans votre circuit sanguin.

  « On leur demande : Hé, qu’avez-vous vu ? Avez-vous trouvé un cancer ?

Avez-vous vu quelque chose ressemblant à une zone fragile prédisant une attaque cardiaque ? Avez-vous vu trop de sel ? »cellule-cancerLe système, connu sous le nom de « plateforme à nanoparticules » est la dernière percée de Google dans le marché très lucratif de la santé, qui représente environ 10 % du budget dépensé par les différentes nations.

En France, la santé s’est élevée à 175 milliards d’euros. C’est un pas qui s’éloigne de la médecine réactive, celle qui traite les maladies une fois qu’elles sont devenues assez sérieuses pour causer des symptômes aux patients, les poussant à se rendre chez le docteur.

C’est donc

  un pas vers la médecine préventive,

qui agit bien plus tôt, réduisant grandement les risques.

 Cette nouvelle méthode de prédiction va nécessiter de nouvelles façons de surveiller la santé normale des individus

de telle sorte que les changements, même mineurs, puissent être détectés. La ligne d’action de Google va dans ce sens.Pour le moment, les travaux en sont à leurs débuts. Les chercheurs n’ont pas encore découvert combien de nanoparticules seraient requises pour rendre ce système efficace.

Il reste également à développer la couche de protection qui permettra à ces minuscules sondes de se lier à des cellules pour détecter les problèmes.

 La nouvelle a été rendue publique pour que Google trouve des partenaires

afin de pousser la technologie plus loin.
Andrew assure que la société américaine ne dirigerait pas la technologie et n’aurait pas accès aux données des patients récoltées par les particules.

Une déclaration rassurante au vu des polémiques qui ont ébranlé la marque ces derniers temps.

 Seuls les médecins, les hôpitaux et les entreprises d’équipement médical pourraient utiliser ces pilules.

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 Les nanotechnologies représentent un nouveau champ de recherche au sein de la médecine.

Elle promet de garantir la santé des patients mais comporte également des risques pour l’individu et l’environnement si ce n’est pas bien contrôlé. Cela pourrait avoir des conséquences involontaires sur le corps et même au-delà.
Les applications médicales liées aux nouvelles techniques de diagnostic sont très régulées et Google pourrait se retrouver face à de sérieux casse-têtes pour prouver la sécurité et l’efficacité de sa plateforme à nanoparticules.
En admettant qu’une société médicale souhaite utiliser la technologie, il ne faut pas attendre à voir ces pilules dans nos vaisseaux sanguins avant 5 ans au bas mot.
Ce n’est pas sans espoir pourtant, car l’une des précédentes innovations du Google X Lab, une lentille capable de contrôler le diabète, a été autorisée en juillet 2014.particule-sanguin
Ce projet de pilule intelligente est vraiment impressionnant ! Bravo aux scientifiques qui travaillent sur cette innovation sans précédent. A la rédaction, certains sont impatients de tester ce produit tandis que d’autres ont un peu peur d’abriter dans leur corps une myriade de petits objets électroniques. Toutefois, on ne peut s’empêcher d’imaginer l’homme du futur toujours en pleine forme et jamais malade, protégé par ces particules. Ça fait rêver ! Seriez-vous prêt à utiliser cette pilule intelligente si elle vous prévient du moindre développement de maladie dans votre organisme ?

AUTEURTRISTAN BLANCHARD

6 juin 2016

Un brevet US sur le voyage dans le temps censuré.

pic31Le temps n'est pas complètement défini.
Albert Einstein

A l'évidence, nous sommes tous des voyageurs du temps. Ne faites rien, et vous serez inexorablement transporté vers le futur au rythme inflexible d'une seconde après l'autre. Mais ce voyage là est d'un intérêt limité. Un véritable explorateur du temps doit pouvoir bondir de façon spectaculaire dans le passé, ou atteindre le futur plus rapidement que n'importe qui d'autre.
Est-ce réellement plausible ?
Ça l'est, en effet. Les scientifiques n'ont aucun doute sur le fait qu'il est possible de construire une machine à explorer le temps et visiter ainsi le futur. D'ailleurs, ils connaissent la formule depuis un siècle...

14 nov. L'United States Patent and Trademark Office (USPTO), l'équivalent de l'Institut national de la propriété intellectuelle (INPI) aux Etats-Unis, vient d'accepter de breveter sous le n° 6.960.975 un "véhicule spatial propulsé par un bouclier superconducteur capable d'altérer la courbure de l'espace-temps en dehors du vaisseau et de contrecarrer les effets de la gravité". Or les travaux du russe Eugène Podkletnov qui déclara dans les années 1990 avoir constaté une très faible diminution de la masse d'un objet placé au dessus d'un supraconducteur dans un champ magnétique demeurent sujet à caution tandis que les expériences de la Nasa pour reproduire cet effet d'anti-gravité n'ont jamais abouti.(oui c'est çà )

Depuis le mois de mai dernier, l'USPTO est sous le feu des critiques des industriels qui portent un jugement sévère sur cette institution qu'ils dénoncent pour sa lenteur et la faiblesse de son expertise technique et scientifique. Cette nouvelle affaire ne devrait pas redorer son blason... Bien entendu, en temps normal, si une invention ne fonctionne pas, son brevet n'a pas d'utilité et tombe aux oubliettes. Mais comme le souligne le physicien Robert Park, interrogé par la revue Nature, "breveter des dispositifs qui vont à l'encontre des connaissances scientifiques pourrait donner une respectabilité imméritée" à des théories très controversées et "nuire à la réputation de l'office des brevets".
(Nature / S&T Presse)

pour finir voici un brevet qui a été effacé du bureau des brevets suite à des pressions .......le voyage dans le temps est un sujet des plus sensible....on ne doit pas savoir tout comme les recherches du CERN sur le sujet.

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laser ou l'on voit clairement la lumière se courber sous l'effet de la machine ,preuve de la distorsion temporelle.

6 juin 2016

Les enfants super-psychiques

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Les enfants super-psychiques constituent peut-être le type d’humains le plus charismatique qui puisse exister sur cette terre. Leurs capacités époustouflantes les distinguent des deux autres catégories (enfants Indigo et enfants Sida) .
Ces enfants  sont capables de faire des choses que l’on ne peut voir que dans les films, grâce aux nouvelles techniques d’animation sur ordinateur. Mais le plus étonnant, c’est que c’est réel ! Si ces enfants ne peuvent pas changer notre monde, alors rien d’autre ne pourra le faire. Notez que leurs capacités ressemblent beaucoup aux manifestations de conscience déjà connues, pendant le changement de dimension. Ce à quoi vous pensez se manifeste ! Ces êtres sont capables de démontrer que ce à quoi ils pensent devient réalité.
Paul Dong et Thomas E.Raffill ont écrit un livre surprenant, Chinas Super Psychics ( Les superpsychiques de la Chine). Cet ouvrage rapporte ce qui se passe en Orient à propos de ces nouveaux enfants psychiques qui ont commencé à apparaître dès 1974, l’année au cours de laquelle ce jeune garçon qui pouvait lire avec ses oreilles a été découvert. En fait, les membres du gouvernement chinois affirment que lorsqu’on bandait les yeux de ces enfants, ils pouvaient parfaitement voir avec leurs oreilles, leur nez, leur bouche, leur langue, leurs aisselles, leurs mains ou leurs pieds. Chaque enfant était différent, mais sa vision par une des parties du corps déjà nommées était jours parfaite. Il ne s’agissait pas de tests dont un certain pourcentage seulement était correct et les résultats, peu concluants, pendant le restant des séances. Tous les résultats étaient chaque fois parfaits.
J’ai commencé à parler de ces enfants en 1985, quand j’ai mentionné l’article écrit à leur sujet dans le magazine Omni , dont une équipe avait été invitée à se rendre en Chine pour observer quelques-uns de ces petits génies. La direction d’Omni présumait que les officiels trichaient. Par conséquent, quand on leur présenta les enfants, ils les testèrent avec leurs propres méthodes, sans rien laisser au hasard. Un des tests débutait comme suit : les enfants étant présents, le représentant d’Omni prit une pile de livres, en choisit un au hasard, l’ouvrit à une page, également au hasard, qui fut ensuite déchirée du livre et froissée jusqu’à en faire une petite boule. Il la plaça enfin sous l’aisselle d’un des sujets – qui se mit à réciter chaque mot du texte imprimé, alors que quelqu’un prenait des notes. Après comparaison des deux textes, ils furent déclarés parfaitement semblables ! L’équipe d’Omni était dorénavant convaincue que le phénomène était bien réel, mais personne ne pouvait expliquer au juste comment ces charmants rejetons s’y étaient pris. L’article fut publié dans le numéro de janvier 1985.
Omni ne fut d’ailleurs pas le seul à envoyer une équipe de chercheurs pour observer tout cela. Plusieurs autres magazines avaient fait la même chose, notamment Nature, un des plus prestigieux. Tout le monde était d’accord pour reconnaître l’authenticité du phénomène.
Dans la ville de Mexico, nous avons également découvert plus de 1000 jeunes ayant les mêmes capacités, et il pourrait même y en avoir beaucoup plus. Eux aussi pouvaient lire avec différentes parties du corps. Ce qui est remarquable, c’est que ces enfants mexicains peuvent voir avec les mêmes parties du corps que les enfants chinois. Il semble donc que la mutation de l’ADN a traversé l’océan, tout comme dans le cas du centième singe. Selon Paul Dong dans son livre Chinas Super Psychics,  chiansuperpsychics dans ENFANTS INDIGO  la possibilité de voir avec différentes parties du corps fut une capacité qui attira l’attention du gouvernement chinois, mais il y avait bien plus. Ces jeunes démontrèrent peu à peu d’autres capacités psychiques vraiment difficiles à accepter dans notre réalité «habituelle». Monsieur Don rapporte qu’à plusieurs reprises, une assemblée d’environ 1000 personnes et plus était entrée dans l’auditorium, chaque spectateur ayant reçu un bouton de rose à l’entrée. Lorsque tout le monde fut calmement assis, la démonstration débuta. Une petite fille d’environ six ans marché toute seule jusqu’au milieu de la scène et fit face à l’auditoire. Sans dire un mot, elle fit un petit signe de la main et chaque bouton commença lentement à s’ouvrir jusqu’à devenir une rose magnifique en pleine floraison, sous les yeux mêmes de chaque personne dans la salle.
Paul Dong rapporte aussi comment 5000 jeunes enfants ont accompli en public un autre exploit à laisser tout le monde bouche bée. On doit prendre conscience ici qu’ils étaient tous testés avec soin par les représentants du gouvernement chinois, qui désiraient s’assurer personnellement que ce que je vais maintenant raconter est véridique et qu’il ne s’agit absolument pas d’une supercherie. Ces officiels en sont désormais tout à fait convaincus. Un gamin choisissait au hasard une bouteille remplie de capsules, de cachets ou de pilules sur une étagère, comme des capsules de vitamine C, par exemple. La bouteille était encore scellée et le couvercle en métal ou en plastique ne pouvait être dévissé sans que le sceau se brise. Cette bouteille était ensuite placée au centre d’une table dont la surface était complètement dégagée. Une caméra avait été installée sur le côté pour enregistre la séance. Le petit garçon ou la petite fille avertissait les gens qu’il ou elle commençait, mais rien n’était encore visible. Soudain, les pilules à l’intérieur de la petite bouteille scellée semblaient se dématérialiser, travers le verre et se rematérialiser sur la table, juste à côté du flacon maintenant vie mais toujours scellé. Dans de nombreux cas, le jeune opérateur prenait alors un autre objet, une petite pièce de monnaie par exemple, qu’il posait simplement sur la table et se concentrait à nouveau. Peu de temps après, la pièce se retrouvait à l’intérieur de la bouteille scellée, ayant apparemment effectué le même processus, mais à l’inverse. Ce genre dé monstration s’apparente de très près à ce que  j’appelle la conscience de la quatrième dimension. Ce à quoi vous pensez et ce qui arrive sont apparentés.
Selon ce livre,  plusieurs autres facultés psychiques ont été démontrées. Si vous êtes intéressés, lisez vous-mêmes les rapports. Vous pourriez penser qu’il ne s’agit que de trucs de magie, mais quand vous voyez une telle chose de vos propres yeux, cela reste très difficile à expliquer ou à nier. Pendant dix ans, le gouvernement chinois n’y a pas cru non plus, et ceci, jusqu’à ce que le nombre de ces jeunes surdoués augmente considérablement dans la population. Au moment de la publication de Chinas Super Psychics, en 1997, le gouvernement chinois avait dû admettre que tout ceci était vrai dès 1985.
Réalisant ce que tout cela pouvait signifier, le pays établit des écoles d’entraînement pour aider cette nouvelle génération. De nos jours, chaque fois q’un enfant ayant des pouvoirs psychiques est découvert, il est envoyé dans une de ces écoles. La chose importante décelée depuis est la suivante : Si l’on prend des jeunes qui ne sont pas psychiques et qu’on les met en présence de ces surdoués qui, eu, le sont naturellement, les enfants antérieurement non psychiques deviennent capables d’accomplir les mêmes exploits. Ceci nous remémore Uri Geller, le célèbre sensitif israélien qui peut tordre des objets en métal simplement en les regardant. Dans son livre Uri Geller, My Stori, il parle des démonstrations de ses capacités psychiques en Europe.
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Par exemple, au cours d’une émission de télévision, il demanda aux spectateurs de placer des couteaux, des cuillères ou des fourchettes devant leur poste. Avec plusieurs millions d personne comme témoins, il parvint à tordre non seulement les objets en métal qui avaient été disposés sur une table dans le studio et devant les caméras, mais également tous les couverts placés devant les postes de  télévision dans chaque foyer concerné. Cette démonstration à une grande échelle avait provoqué d’ailleurs un effet secondaire intéressant. D’après les coups de téléphone reçus immédiatement après l’émission et dans les quelques jours qui suivirent, on découvrit que plus de 1500 jeunes des deux sexes avaient été capables de faire la même chose, simplement en voyant le phénomène se produire une seule fois devant leurs yeux. La plupart des gens, et tout spécialement les scientifiques, étaient cependant convaincus que M. Geller était un magicien et qu’il avait un truc qui lui permettait d’obtenir ces résultats. Le Stanford Research Institute (Institut de Stanford pour la recherche) lui demanda s’il accepterait de soumettre sa magie à un examen scientifique. Il acquiesça à leur requête, et pendant un certain temps, fit ce que les ingénieurs de cette université renommée le priaient de faire, ceci dans le but de prouver une fois pour toutes que ces capacités psychiques n’étaient pas de simples trucs de magie. […]
Chose encore plus impressionnante, en admettant que ce soit possible, c’est qu’environ quinze enfants européens ayant les mêmes pouvoirs furent testés après M. GELLER, avec les mêmes tests les plus stricts qui soient, et que chacun d’eux put effectuer exactement ce que M. Geller avait fait. Par conséquent, s’il s’agissait d’un truc de magicien, ces quinze enfants étaient également des «maîtres magiciens», mais les gens de l’institut de Stanford pour la recherche, malgré toute leur propre magie scientifique, ne purent jamais détecter la moindre fraude. Les résultats de ce test, ainsi que le restant de cette recherche de la part de la grande université, furent publiés dans le magazine Nature d’octobre 1974. Le New York Times produisit immédiatement un article de fond dans lequel on pouvait lire ceci : «La communauté scientifique a été mise en demeure d’accepter que quelque chose est digne de leur attention et de leurs examens dans le domaine des perceptions extrasensorielle». Pourtant, nous sommes à ce jour parvenus au troisième millénaire, et la science ne veut pas encore admettre que les capacités psychiques sont une choses vraie chez l’être humain. Ce vieux paradigme n’a nulle part où aller et il devra bien se dissoudre un jour ou l’autre.
En Juillet 1999, à Denver, au Colorado, je parlai de ces nouveaux enfants devant un large auditoire et demandai à une jeune femme mexicaine du nom de Inge Bardor de démontrer directement sa capacité de voir avec les mains ou les pieds. Cette année-là, elle avait 18 ans. On lui mit un bandeau sur les yeux en s’assurant qu’elle ne pouvait absolument plus rien voir, et elle accepta des photographies de participants dans la salle pendant environ une heure, décrivant parfaitement leur contenu aux propriétaires et à l’assemblée, qui pouvaient facilement tout vérifier. Elle décrivait d’abord correctement la photo, comme si elle l’avait regardée avec ses yeux, mais les choses ne s’arrêtaient pas là. Elle devenait beaucoup plus précise quant à la personne représentée sur le cliché, donnant sur elle des informations exactes qu’il lui était impossible de connaître par des moyens normaux. Elle fournissait même des renseignements justes sur les lieux où la photo avait été prise et sur ce qui se trouvaient en dehors du champ de la caméra, comme la présence d’un lac ou d’un bâtiment particulier. Inge pouvait aussi décrire la personne qui avait tenu l’appareil, ainsi que les vêtements qu’elle portait ce jour-là, et même ce que chaque personne pensait au moment de la scène. Quand on lui présenta une photo prise à l’intérieur d’une maison, elle fut capable de se promener psychiquement à l’intérieur et décrivit au propriétaire tout ce qui se trouvait dans le hall, ainsi que sur une table installée là.
Pour terminer, quelqu’un plaça un journal sous les pieds d’Inge, et même avec ses chaussures à talons hauts, elle fut capable de le lire comme s’i l avait été entre ses mains et qu’elle le parcourait des yeux. En réalité, elle avait les yeux bandés et ne pouvait absolument rien voir. (Si vous désirez vous procurer la vidéo, adressez-vous au Lightworks Video, au 1800 795-8273, et demandez les deux cassettes intitulées Through the Eyes Ofa Child (A travers les yeux d’un enfant).
Le gouvernement chinois a observé ces jeunes surdoués changer une molécule d’ADN dans une boîte de Petri, devant les caméras et avec tout l’équipement scientifique nécessaire pour pouvoir enregistrer ce tour de force apparemment impossible. Si cela est vrai, ce que les officiels chinois qui ont conduit l’expérience affirment, ne serions-nous pas nous-mêmes capables de changer notre propre ADN si nous comprenions bien le processus ? Je pense que oui. Suivez simplement l’exemple de ces enfants. Comment se fait-il que 60 millions d’individus de par le monde aient déjà changé leur ADN par mutation génétique spontanée de manière à considérablement améliorer leur système immunitaire, tout spécialement contre le virus du sida, si le processus n’est pas très semblable à ce que les jeunes superpsychiques de la Chine ont déjà démontré ? Nous vivons vraiment tous dans des temps extraordinaires, des temps historiques pour la planète – et vous êtes tous encore vivants pour pouvoir en profiter !
En septembre 1999, alors que j’étais en Russie, j’eus l’occasion de parler à de nombreux scientifiques russes au sujet de ces enfants ; j’eus ainsi des conversations avec des gens qui me demandèrent de ne pas citer leur nom ? mais quelques-uns d’entre eux avaient été membres de conseils d’administration qui contrôlaient plus de 60 communautés scientifiques ? y compris leur programme spatial ; ils me confirmèrent en privé que ce qui se passe en Chine se produit aussi en Russie. De nos jours, des milliers de jeunes Russes font montre du même genre de capacités psychiques. Je suis convaincu que ces trois nouveaux types d’humains (enfants Indigo – enfants Sida – enfants Superpsychiques et peut-être plus) constituent vraiment un phénomène mondial, quelque chose qui changera l’expérience humaine sur la planète Terre à tous jamais.

Extrait de l’Ancien Testament de la Fleur de Vie – Tome 2 – de Drunvalo Melchizédek

6 juin 2016

ALERTE! SE LAVER LES MAINS AU GEL HYDRO-ALCOOLIQUE EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ.

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Un geste anodin ? Une mode? 
Cancer et stérilité pour nous, gros revenus pour les labos! Il vaut mieux ne pas se laver les mains que de se les laver avec cet agresseur !
Les labos en mettent à disposition dans les hôpitaux et les cabinets médicaux pour nous habituer à cette ineptie. Cela a débuté lors du H1N1 qui était une autre très grosse arnaque. * 
 
Une étude scientifique vient de démontrer qu'utiliser du gel hydro-alcoolique pouvait être dangereux pour la santé.
La peau serait alors plus vulnérable et les solutions hydro-alcooliques la rendraient moins imperméable à une molécule nommée Bisphénol A.
Depuis quelques années les gels hydro-alcooliques sont de plus en plus vendus dans les pharmacies ou bien encore en grande surface.
Devenus la solution d'urgence en cas d'absence de savon, ces gels ont cependant été critiqués en dehors de leur côté très pratique.
Un grand danger sanitaire
Une des premières critiques concernait le côté nocif de ces solutions et sa caractéristique irritante pour la peau. Mais aujourd'hui, une étude révèle un tout nouveau danger de ces gels hydro-alcooliques. Publiée dans la revue scientifique PLos ONE, cette étude menée par une équipe de l'Université du Missouri démontre que les solutions hydro-alcooliques nous rendraient plus réceptifs au Bisphénol A.
Le danger sanitaire de cette molécule n'est pas encore clairement défini mais il a été démontré qu'un danger cancérigène pouvait exister. Elle est également associée à certains dérèglements endocriniens, désordres hormonaux et augmentation de diabètes ou bien encore à certains cas d'infertilité.
Une molécule très présente au quotidien
Ainsi, selon la récente étude menée par l'Université américaine, les gels hydro-alcooliques rendraient notre peau cent fois plus perméable au Bisphénol A. Ainsi, la molécule peut "s'introduire tout droit dedans" a expliqué Laura Vendenberg, une spécialiste non impliquée dans l'étude. Chose peu rassurante, la molécule du Bisphénol A est très présente dans de nombreux objets du quotidien :
- les tickets de caisse,
- les récipients alimentaires, etc.

http://www.maxisciences.com/gel-hydro-alcoolique/voila-pourquoi-vous-devriez-cesser-d-039-utiliser-du-gel-hydro-alcoolique-pour-vous-laver-les-mains_art35123.html

6 juin 2016

LE SOJA AU BANC DES ACCUSES. LE SOJA EST UN PIÈGE À VÉGÉTARIENS.

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Par Michel Dogna, Naturopathe - 2009
Depuis le temps que je m’insurge contre le soja et tous ses dérivés comme étant une mode meurtrière d’alimentation n’ayant jamais existé dans l’histoire de l’alimentation humaine et animale, je me désole de voir des étals toujours grandissants, proposant des formes de plus en plus variées de ce poison silencieux, et ce, comble d’ironie, dans les boutiques diététiques !
Fort heureusement, lors du récent colloque «Octobre rose»organisé au Sénat à Paris sur le cancer du sein, Jean-Marie Bourre, membre de l’Académie de médecine, auteur de «Bien manger: vrais et faux dangers», a déclaré à propos du lait de soja :
«Ce n’est qu’un liquide blanc, un Canada Dry de lait, qui ne contient ni calcium ni oligo-éléments. II est strictement contre-indiqué pour les enfant».De plus, on pensait qu’il diminuait les risques de cancer du sein chez les femmes qui en consomment ; eh bien c’est tout le contraire selon le même spécialiste qui ajoute : «Le lait de soja est une escroquerie nutritionnelle, bourrée de phyto-oestrogènes similaires à l’œstradiol, hormone féminine, qui sont des perturbateurs hormonaux favorisant le développement des cancers hormono-dépendants».
En d’autres lieux, le Dr Mary G Enig, présidente de l’association des nutritionnistes du Maryland a déclaré : «Un bébé nourri avec du lait maternisé à base de soja reçoit l’équivalent en phyto-oestrogènes de cinq pilules contraceptives par jour…». A noter que certains moines bouddhistes mangent du tofu pour faire baisser leur libido (à bon entendeur… messieurs).
Même l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments avait déjà tiré la sonnette d’alarme contre le soja en 2000
En fait, la toxicité du soja qui peut en outre entraîner de graves lésions intestinalessurtout chez les enfants, ne peut être neutralisée que par la lacto-fermentation ; c’est ce que font les chinois depuis 3000 ans avec leurs sauces bien connues. En France, seule la marque Sojami propose des barquettes de soja lacto-fermenté en diététique. Mais combien savent tout cela?

 

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Le soja, un piège à végétariens de Michel Dogna
La première fois que j'ai entendu parler du soja de manière négative, c'était en 2000, dans le n° 9 du magazine Nexus. Je ne voulais pas y croire. J'étais un grand mangeur de soja sous toutes ses formes. Ces derniers mois (2004) je me faisais souvent "réprimander" par certaines petites voix lorsque je mangeais notamment du tofu. J'ai fini par aller faire des recherches sur Internet. Ce que j'ai découvert est encore plus difficile à croire que ce qui était écrit dans le magazine Nexus.
Autant vous dire que j'ai banni le soja cru ainsi que le tofu et autre lait de soja de mon alimentation. Aussi, j'ai très vite senti la différence. Je suis bien sûr passé par une phase de détoxication. Vous pourrez trouver toutes les références Web en fin d'article. Suite à tout ce que j'ai appris sur le soja non fermenté, j'en suis arrivé à une conclusion que certains jugeront extrémiste.
Je suis convaincu que le soja et les aliments comme le tofu ont été introduits dans l’alimentation par le gouvernement mondial pour tout simplement détruire les travailleurs de lumière. Comme ces derniers cherchent naturellement des remplacements à la nourriture carnée, ils tombent naturellement dans le piège du soja.
LE SOJA NON FERMENTE EST VRAIMENT NOCIF
Derrière la gigapromotion du soja à travers toute la planète, on retrouve les grands groupes de la pétrochimie et de la médecine. Ils ouvrent des centaines de sites Web dans toutes les langues pour en faire la promotion.
La "food and Drug Administration "(sorte de ministère de l'alimentation et des médicaments aux U.S.A.) n'a jamais accepté de donner au soja la mention GRAS (Generally Recognize As Safe - en français : "généralement reconnu sans danger").
Le très sérieux magazine médical britannique The Lancet a fait état en 1997 d'une étude qui démontre que le seul fait de boire 2 verres de lait de soja par jour était suffisant pour perturber les cycles menstruels des femmes. De plus, cette même étude prouverait que chez les enfants testés avec ces 2 verres de lait de soja, la concentration des isoflavones serait de 13 000 à 22 000 fois plus importante que la concentration normale d’œstrogènes.
Les isoflavones peuvent empêcher l'ovulation, favoriser l'apparition de cellules cancéreuses et l'hypothyroïdisme dont les premiers symptômes peuvent être la léthargie, la constipation, la prise de poids et la fatigue.

L'INDISPENSABLE FERMENTATION
Le fait que les Chinois mangent du soja en quantité depuis des millénaires est un mythe. Ils n'en mangent qu'en petite quantité depuis la dynastie Zhou (1134/234 av.J.-C.) lorsqu'ils ont justement découvert une manière de le faire fermenter. Cette fermentation neutralise les toxines qui se trouvent dans les graines. Par ailleurs, les Chinois et les Japonais utilisent surtout le soja comme condiment et non pas comme remplacement des protéines animales.
En plus de ne pas être fermentés, les aliments modernes à base de soja dénaturent les protéines et augmentent le taux de cacinogènes.
Selon le Dr Claude Hughes, le soja s'est doté de certains moyens pour lutter contre ses prédateurs naturels. Il est ainsi un contraceptif* oral puissant et contient de nombreuses toxines. De cette manière, les prédateurs qui en mangent diminuent en nombre et en taille.
Le gouvernement mondial veut réduire la population.
LE LAIT DE SOJA EST DANGEREUX POUR LES ENFANTS
Selon le Dr Mary G. Enig (présidente de l'association des nutritionnistes du Maryland) "un bébé nourri avec du lait maternisé à base de lait de soja reçoit l'équivalent en phyto-oestrogènes de ce que l'on recevrait si on ingurgitait 5 pilules contraceptives par jour. Cela entraîne une puberté précoce chez les filles et une maturation sexuelle retardée chez les garçons".
Certains moines bouddhistes mangent du tofu pour faire baisser leur libido. Les autorités suisses de la santé recommandent un usage très limité du soja pour les bébés. En Angleterre et en Australie, les agences publiques pour la santé demandent aux parents d'avoir l'avis d'un médecin avant de donner du soja à leurs enfants. Enfin le ministère de la Santé de Nouvelle-Zélande avertit que :
" Les produits au soja ne devraient être utilisés que sous la supervision d'un professionnel de la santé (...). Les cliniciens qui traitent les enfants avec des produits à base de soja pour des raisons médicales devraient être conscients du potentiel d'interaction entre les produits pour enfants à base de soja et le fonctionnement de la thyroïde.

SOJA ET MATERNITE
J'ose à peine dire les résultats de toutes les études qui prouvent les effets dévastateurs du soja sur les foetus, notamment durant les premiers mois. Si vous ne comprenez pas l'anglais, il va falloir me croire sur parole.
Tout ce que je dirai, c'est pitié pour le foetus. Ne mangez pas de soja non-fermenté si vous êtes enceinte et ne donnez pas de soja aux enfants. Si vous en avez mangé régulièrement, il ne sert à rien de s'angoisser. Cela peut s'arranger si vous arrêter tout de suite, en mettant votre orgueil en poche. Vos enfants sont très importants pour l'humanité. Le reste concerne votre parcours spirituel et votre santé.

DES PROBLÈMES DE SANTE MULTIPLES
Sachez quand même que selon le Dr Josèphe Mercola, manger du soja non-fermenté entraîne une série impressionnante de conséquences graves. Parmi elle :
- Un taux de maladies d'Alzheimer qui serait 2,4 fois plus important.
- Des cancers de la thyroïde,
- des déficiences du pancrèas,
- une déficience en vitamine D et en calcium (ce qui provoque l'ostéoporose, une réduction de la biodisponibilité du fer et du zinc utile à la santé du cerveau),
- une diminution ou un blocage de la métabolisation du fer,
- des problèmes de mémoire,
- des déficiences en acides aminés,
- une augmentation du taux de diabète...
LE MYTHE DES PROTEINES
Le fait que le soja soit une bonne source de protéines est faux car il contient des inhibiteurs de trypsine qui entravent la bonne digestion des protéines et fatiguent le pancréas.
De toute façon, mettons une fois pour toutes quelque chose au clair par rapport à la rengaine : "Si tu ne manges pas de viande, de poisson, ni d'oeufs, ni de produits laitiers, où vas-tu trouver les protéines ?".
La réponse est simple. Il y a des protéines quasi partout. Regardez sur vos paquets de céréales complètes et vous comprendrez vite de quoi je veux parler. Cette histoire de protéines est un mythe ! Même chose pour le mythe qui nous dit que le soja peut aider les femmes ménopausées.
En résumé, les seuls produits qui semblent sans danger sont à base de soja-fermenté : le miso, le tempeh, le natto et le tamari ; pour peu, bien sûr, qu'ils soient BIO garantis sans OGM.
Nota : il existe aussi en diététique des barquettes de pâte de soja bio lacto-fermenté à tartiner de la marque SOJAMI.
Informations extraites de l'excellent livre de Michel Dogna
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Aujourd'hui, le soja est omniprésent dans l'alimentation industrielle. Donc mangeons des aliments naturels  fruits et légumes crus si possible, graines germées et noix principalement.
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Interview de Corinne Gouget : "Manger du soja bio, c'est se tuer à petit feu"elle en parle à 8mn

Interview de Corinne Gouget : "Manger du soja bio, c'est se tuer à petit feu" - Partie 1

https://www.youtube.com/watch?v=bMiur-t5hEY

Moins, nous mangeons en ce moment, mieux ça vaut. Nous mangeons vraiment trop:
Le jeune, la cure de jus de fruit, la Spiruline, une cure ayurvédique qui nettoie le système digestif, le repose...

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