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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
23 octobre 2013

Révélation d'un mécanicien avion sur l'équipement pour pulvériser les chemtrails

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Pour des raisons que vous comprendrez en lisant, je ne puis divulguer mon identité.
Je suis mécanicien d’aviation pour une importante compagnie aérienne.
Je travaille sur l’une de nos bases de maintenance située dans un grand aéroport.
Je pense avoir découvert des informations que vous trouverez importantes.

D’abord je devrais vous parler au sujet de la « hiérarchie » chez les mécaniciens.
C’est important pour mon histoire et pour la cause pour laquelle vous vous êtes consacré.
La mécanique exige de travailler sur trois choses : l’avionique, les moteurs, ou les commandes de vol.

Les mécaniciens qui travaillent sur ces systèmes sont considérés en haut de la « hiérarchie ».
Viennent ensuite les mécaniciens travaillant sur l’hydraulique et les systèmes de climatisation.
Puis viennent ceux travaillant sur le service et les autres systèmes non essentiels.

Mais en bas même de la liste viennent les mécaniciens des systèmes de traitement des déchets... aucun mécanicien ne veut travailler sur les pompes, les réservoirs, et les canalisations servant à stocker les détritus des toilettes... mais dans chaque aéroport où j’ai travaillé il y avait toujours 2 ou 3 mécaniciens se proposant de travailler sur les systèmes des toilettes. 

Les autres mécaniciens les laissent faire de bon cœur.. .pour cette raison vous n’avez que 2 ou 3 mécaniciens travaillant sur ces systèmes dans chaque aéroport.
Personne ne prête beaucoup d’attention à ces types et aucun mécanicien n’en fréquente un qui travaille seulement sur les systèmes des détritus... en fait, je n’avais jamais beaucoup pensé à cette situation jusqu’au mois dernier.

Comme la plupart des compagnies aériennes nous avons des accords réciproques avec les autres compagnies qui utilisent cet aéroport... si elles ont un problème avec un avion, l’un de nos mécaniciens saura se débrouiller avec lui... de même si l’un de nos avions a un problème sur un aéroport où une autre compagnie aérienne a une base de maintenance, elle retapera notre avion... un jour le mois dernier, j’ai été appelé de notre base pour travailler sur un avion pour une autre compagnie aérienne. 

Quand j’ai reçu l’appel l’agent technique d’exploitation ne savait pas quel était le problème.

Quand j’ai rejoint l’avion j’ai découvert que le problème était dans le système de traitement des détritus... je n’avais rien d’autre à faire que ramper dedans et arranger le problème.
Quand je suis entré dans le compartiment je me suis rendu compte que quelque chose ne collait pas... il y avait là-dedans plus de réservoirs, de pompes, et de canalisations qu’il en fallait... j’ai d’abord supposé que le système avait été modifié... il y avait 10 ans que j’avais travaillé sur l’un d’eux. 

Pendant que j’essayais de trouver le problème j’ai rapidement réalisé que la tuyauterie et les réservoirs supplémentaires n’étaient pas reliés au système de traitement des ordures.

Je venais juste de découvrir ça quand un autre mécanicien de ma compagnie est venu.
C’était l’un des mécaniciens qui travaillaient d’habitude sur ces systèmes.
J’ai été heureux de lui rendre son job. Pendant que je partais je l’ai interrogé sur l’équipement supplémentaire... il m’a dit de « me préoccuper de ma partie d’avion et de le laisser se décarcasser avec la sienne ! ».

Le jour suivant j’étais sur l’ordinateur de la compagnie pour rechercher un schéma de câblage.
Pendant que j’y étais j’ai décidé de rechercher l’équipement supplémentaire que j’avais trouvé.
À ma stupéfaction les manuels ne montraient aucun des équipements supplémentaires que j’avais vu de mes propres yeux le jour précédant. 

Je me suis même connecté aux dossiers du fabricant et n’ai toujours rien trouvé.
À ce moment-là, j’étais vraiment déterminé à découvrir ce que faisait cet équipement.
La semaine suivante nous avons eu trois de nos avions dans notre hangar principal pour l’inspection périodique... il y avait des mécaniciens rampant partout dans l’avion durant ces inspections... ayant juste fini mon poste, j’ai décidé d’aller voir le système des détritus sur l’un de nos avions.

Avec tous les mécaniciens autour j’estimais que personne ne remarquerait quelqu’un de plus sur l’avion... l’avion que j’ai choisi avait bien l’équipement supplémentaire !
J’ai commencé à suivre le tracé du système de canalisations, des pompes, et des réservoirs.
J’ai trouvé ce qui semblait être l’unité de contrôle du système.

C’était une boîte de commande d’avionique semblant standard sauf qu’elle n’avait aucune sorte d’inscription... je pouvais retrouver les fils de commande de la boîte vers les pompes et les valves mais il n’y avait pas de circuit de commande entrant dans l’unité.
Les seuls fils entrant dans l’unité étaient l’alimentation raccordée au principal bus de distribution de courant de l’avion.

Le système avait un grand réservoir et deux plus petits.
C’était difficile à dire dans le compartiment exigu, mais il semblait que le grand réservoir pouvait contenir 50 gallons (190 litres)... Les réservoirs étaient reliés à un dispositif de remplissage et à une valve de purge qui traversait le fuselage juste derrière la valve de purge du système de détritus... Quand j’ai eu l’occasion de rechercher ce raccordement sous l’avion je l’ai trouvé ingénieusement caché derrière un panneau, sous le panneau servant à accéder à la vidange des déchets. 

J’ai commencé à suivre la tuyauterie des pompes.
Ces tubes mènent à un réseau de petites tubulures qui se terminent sur les rebords arrière des ailes et des stabilisateurs horizontaux.

Si vous regardez de près les ailes d’un gros avion vous verrez un ensemble de fils, d’environ la grosseur de votre doigt, s’étendant du rebord arrière de la surface des ailes.
Ce sont les mèches de décharge statique.
Elles servent à dissiper [dans l'air] la charge d’électricité statique qui s’accumule sur l’avion en vol. 

J’ai découvert que les tubulures de ce mystérieux système mènent à une mèche de décharge statique sur trois.
Ces mèches « avaient été évidées » afin de pouvoir être traversées par ce qui doit être déversé par les tubulures.

C’était pendant que j’étais sur l’aile que l’un des cadres m’a repéré.
Il m’a ordonné de sortir du hangar, me disant que mon poste était fini et que je n’avais été autorisé à aucune heure supplémentaire.
Les deux jours suivants étaient très occupés et je n’avais pas le temps de continuer mes recherches.
En fin d’après-midi, deux jours après ma découverte, j’ai été appelé pour remplacer une sonde de température de moteur sur un avion devant décoller dans deux heures.
J’ai fini le travail et suis retourné à la paperasserie.

Environ 30 minutes plus tard le haut-parleur m’a appelé pour que j’aille voir le directeur général. Quand je suis entré dans son bureau j’ai constaté que notre représentant syndical et deux autres que je ne connaissais pas m’attendaient.
Il m’a dit qu’un problème sérieux avait été découvert.
Il a dit que j’avais fait l’objet d’un procès-verbal et que j’étais suspendu pour avoir fait de fausses écritures.
Il m’a remis un formulaire disciplinaire déclarant que j’avais fait de fausses écritures sur la sonde de température de moteur que j’avais installée quelques heures avant.

J’étais sidéré et je commençais à protester.
Je leur ai dit que c’était ridicule et que j’avais effectué ce travail.
Le syndicaliste a alors pris la parole, recommandant d’aller jeter un coup d’œil sur l’avion et voir si nous pouvions tout arranger.
C’est à ce moment que j’ai demandé qui étaient les deux autres hommes. Le directeur général m’a dit qu’ils étaient inspecteurs de la sécurité de la ligne aérienne sans me donner leur nom.
Nous sommes allés à l’avion, qui au lieu d’être en l’air était garé sur notre rampe de maintenance.

Nous avons ouvert le capot du moteur et le syndicaliste a retiré la sonde.
Il a vérifié le numéro de série et dit à tout le monde que c’était l’ancien instrument.
Ensuite, nous sommes allés à la baie des casiers où reviennent les pièces.
Le syndicaliste a vérifié mon rapport et a tiré du casier une boîte scellée.
Il a ouvert la boîte et a retiré la sonde de température de moteur avec le numéro de série de celle que j’avais installée.
Il m’a été dit que j’étais suspendu pendant une semaine sans salaire et de partir immédiatement.

Le premier jour de ma suspension, j’étais assis chez moi me demandant que diable m’était-il arrivé... Ce soir-là j’ai reçu un coup de téléphone... La voix m’a dit :
« Maintenant vous savez ce qui arrive aux mécaniciens qui fourrent le nez là où ils ne le devraient pas... La prochaine fois que vous commencerez à travailler sur des systèmes qui ne vous concernent pas vous perdrez votre travail. 

Comme il se trouve que je me sens chevaleresque, je pensent que vous pourrez retourner au travail bientôt » CLIC.
De nouveau je me suis relevé.
J’ai déduit que ce qui était arrivé était directement lié à mon relevé de la mystérieuse tuyauterie.

Le matin suivant le directeur général m’a appelé.
Il a dit qu’en raison de mon excellent dossier pour mon travail passé, la suspension avait été réduite à un jour et que je devais me présenter immédiatement au travail.
La seule chose à laquelle je pouvais penser était qu’est-ce qu’ils essayaient de cacher et qui sont-ils ! 

Ce jour de travail s’est passé comme si rien n’était arrivé... Aucun autre mécanicien n’a mentionné ma suspension et mon syndicaliste m’a dit de ne pas en parler.
Cette nuit-là je me suis connecté sur internet pour essayer de trouver quelques réponses. Je ne me rappelle pas maintenant comment j’y suis arrivé, mais j’ai trouvé votre site.
C’est alors que tout est venu ensemble.

Mais le matin suivant au travail j’ai trouvé une note à l’intérieur de mon casier verrouillé.
Elle disait, « La curiosité a tué le chat. Ne regardez pas les sites internet qui ne vous concernent pas. »... Eh bien c’est ça... ILS me surveillent.
Eh bien vous savez déjà ce qu’ils font.
Je ne sais pas ce qu’ils pulvérisent mais je peux vous dire qu’ils le font.
Je me dis qu’ils utilisent les « camions de douceurs ».
Ce sont les camions qui vident les réservoirs de détritus des toilettes.

Les aéroports sous-traitent habituellement ce travail et personne ne s’approche de ces camions... Qui voudrait se tenir à côté d’un camion plein de merdes.
Pendant que ces types vident les réservoirs de détritus ils remplissent les réservoirs du système de pulvérisation... Ils connaissent le chemin de vol des avions, ainsi ils programment probablement l’unité de commande pour commencer à vaporiser au bout d’un certain temps après que l’avion ait atteint une certaine altitude. 

Les becs de pulvérisation dans les fausses mèches de décharges statiques sont si petits que personne dans l’avion ne verra le truc. Que Dieu nous vienne en aide. Un citoyen !

http://journal100limites.blogspot.ca

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23 septembre 2013

Rapport de l'Air Force 2025 : Chemtrails : Pulvérisation de capteur biologique furtif

spaceplanevf1Rapport de l'Air Force 2025 : “HIT ‘EM WHERE IT HURTS: STRATEGIC ATTACK IN 2025” (« Frappez-les là où ça fait mal » : attaque stratégique en 2025). CE CHAPITRE MERITE UNE ANALYSE PLUS APPROFONDIE CAR IL DECRIT LA FAÇON D'IMPLANTER UNE POPULATION AVEC DES CAPTEURS BIOLOGIQUES « FURTIFS », DE PISTAGE ET D'ATTAQUE, QUI SONT «PLUS MINCES QU'UN CHEVEU HUMAIN”, LE TOUT EN PULVERISANT CES MACHINES DANS L'APPROVISIONNEMENT ALIMENTAIRE, L'EAU ET L’AIR OU EN UTILISANT DES AGENTS HUMAINS POUR COMMETTRE CET ACTE(23).

LES TECHNOLOGIES PSYCHOTRONIQUES (DE CONTROLE MENTAL) SONT MENTIONNEES DANS CETTE ETUDE, MAIS PAS EN GRANDS DETAILS PARCE QUE CETTE INFORMATION EST CLASSEE. Le rapport explore la façon dont le système d'armes doit être en mesure d'accéder à ce qui devrait être privé. Nous lisons:

LE SYSTEME D'ACQUISITION DE LA CIBLE DOIT FOURNIR AUX DECIDEURS LA CAPACITE DE DETECTER LES CHANGEMENTS DANS LES VALEURS PERSONNELLES D'UN ADVERSAIRE. LES CHANGEMENTS DANS LES EMOTIONS, LES PENSEES OU LE CADRE DE REFERENCE D’UN DIRIGEANT PRESENTENT UN INTERET POUR LE SYSTEME D’ATTAQUE STRATEGIQUE. LES TECHNIQUES QUI RENTRENT DANS LA “TETE” D'UN ADVERSAIRE AFIN D’OBTENIR DE PRECIEUSES INFORMATIONS EXIGENT DES PROGRES REVOLUTIONNAIRES. TROUVER DES METHODES DE RECHERCHE PLAUSIBLES POUR ACCOMPLIR CETTE TACHE EST L'OBJECTIF DU DOSSIER CLASSIFIE « INFORMATION ATTACK »(24).

L'armée de l'air ne classifierait une arme qui peut lire vos pensées, émotions et intentions que si notre pays avait déjà cette arme en 1995 ou projetait de la développer. Les bio-implants pulvérisés et autres dispositifs d’espionnage sont décrits ci-dessous:
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LES PLATES-FORMES TERRESTRES EN 2025 COMPTENT BEAUCOUP SUR LA MICROMECANIQUE ET LES NANOTECHNOLOGIES POUR RETRECIR CES PLATES-FORMES A UNE TAILLE MICROSCOPIQUE. Ces plates-formes pourraient être insérées par des agents humains, via l'eau ou l'approvisionnement alimentaire, ou par l'intermédiaire d'opérations d’ensemencement aérien en utilisant des drones. DES MICRO-CAPTEURS PLUS FINS QUE DES CHEVEUX HUMAINS POURRAIENT TRANSMETTRE DES DONNEES A LA BASE DE DONNEES DELPHI PAR DRONE OU PAR RELAIS SATELLITE. UN ESSAIM DE MICRO-CAPTEURS TERRESTRES POURRAIT ASSURER UNE TRANSMISSION DE DONNEES CONSTANTE des conditions locales et des niveaux d'activité près de et à l'intérieur d’un LOV (25).

Un LOV (locus of values) signifie un “lieu de valeurs”. Un LOV peut être une cible dure: quelque chose de physique, ou un lieu de valeurs peut être une cible douce. “Le LOV est ce qui est cher à un adversaire… Les LOV doux sont des choses intangibles: des systèmes, la connaissance ou des FAÇONS DE PENSER”(26). Un drone est un véhicule aérien sans pilote.

Dans le document, tous les capteurs sont appelés « capteurs au sol sans surveillance », même les BIO-IMPLANTS. Dans un des graphismes (du document « Hit’Em Where It Hurts »), les flèches pointent très ouvertement vers des capteurs au sol sans surveillance qui sont situés dans la zone de l’entrejambe de deux hommes(27). Dans un autre graphisme (du document « Hit’Em Where It Hurts »), les flèches pointent vers des capteurs placés dans l'épaule et dans le poignet d'un homme. Lorsque j’ai lu cela, mon esprit s’est remémoré en un flash Denzel Washington enlevant une puce de son épaule dans le film « The Manchurian Candidate » (titre français de ce film : « Un crime dans la tête »). Outre les bio-implants, l'étude de l’Air Force examine la dissémination de capteurs “de la taille de grains” depuis le ciel afin de former un réseau de surveillance sur le sol, et des micro-capteurs peuvent être placés subrepticement dans les maisons ou les appareils.

La microminiaturisation des capteurs sonores s'est améliorée depuis que le rapport Air Force 2025 a été écrit. EN 2003, LES MILITAIRES ONT REVELE QU'ILS AVAIENT UN RESEAU DE CAPTEURS QUI POURRAIENT ETRE LARGUES PAR VOIE AERIENNE:

Lors des essais, ils ont largué des tubes contenant 10 à 20 capteurs depuis un avion. Une fois qu’ils heurtent le sol, ces tubes explosent, faisant voler les capteurs dans tous les sens. Ensuite, ils (les capteurs) établissent des connexions entre eux et surveillent un véhicule ennemi ou les mouvements de troupes, envoyant les données par système sans fil à des avions(28 ).

Nous sommes à présent cinq ans plus tard, et les capteurs dans un réseau de ce genre sont à peu près de la taille d'un jeu de cartes à jouer. Des capteurs qui ne sont pas classés, pour précision.

LA SMART DUST (POUSSIERE INTELLIGENTE) N'EST PAS UN CAPTEUR SONORE, MAIS ELLE EST TRES PETITE; ELLE POSSEDE LA TAILLE DE PARTICULES. LES PARTICULES DE SMART DUST POSSEDENT A PEU PRES LA LARGEUR D'UN CHEVEU HUMAIN. ELLES PEUVENT ETRE PROGRAMMEES CHIMIQUEMENT AFIN DE CIBLER UNE SUBSTANCE SPECIFIQUE ET DE S'AUTO-ASSEMBLER OU DE S'Y COLLER. LA POUSSIERE INTELLIGENTE CHANGE DE COULEUR POUR INDIQUER QU'ELLE A TROUVE LA SUBSTANCE CIBLEE. ON PEUT L’UTILISER POUR DES TAGS PRESQUE MICROSCOPIQUES PLACES DANS DES ARTICLES, OU LA COLLER SUR LES VETEMENTS DES GENS(29). Mike Blair et d'autres personnes conscientes des dangers des chemtrails ont remarqué que les fibres des chemtrails montraient souvent des crochets sur leur surface(30). Dans « Hit’Em Where It Hurts » (« Frappez-les là où ça fait mal »), nous lisons:

TELS DES GRAINES DE LAMPOURDE EPINEUSE, DE MINUSCULES CAPTEURS S'ACCROCHERAIENT A CERTAINS HUMAINS, LES TAGUANT DE MANIERE EFFICACE POUR UN SUIVI CONTINU PAR L'INTERMEDIAIRE DES PLATES-FORMES AERIENNES(31).

Les compagnies de sécurité intérieure pourraient bientôt utiliser des CAPTEURS TERRESTRES DE POINTE QUI PEUVENT SENTIR UNE MOLECULE PRESENTE DANS L'AIR ET PEUVENT GOUTER ET IDENTIFIER UNE MOLECULE – DES “NANO-NEZ” ET “NANO-LANGUES”(32). Ceux-ci peuvent être utiles pour renifler des bouffées de molécules de cocaïne ou de marijuana provenant des gens lorsqu’ils retournent à la maison ou entrent dans les bâtiments. Les nano-nez et nano-langues peuvent être scannés via la lumière ou l'énergie, et changeront de couleur tout comme les capteurs terrestres décrits (dans le document pour) 2025: « Lorsqu’ils sont irradiés par de l’énergie ultraviolette ou des rayons X, ces changements organiques peuvent être lus et analysés par les capteurs (dans les avions), au-dessus »(33).

LES EXPERTS TRAVAILLENT AFIN DE TENTER DE DEVELOPPER DES CAPTEURS QUI PERMETTENT D'IDENTIFIER ET DE PISTER LES PERSONNES VIA LEUR ODEUR UNIQUE ET PERSONNELLE(34). Les auteurs de « Hit'Em Where It Hurts » voudraient QUE LES CAPTEURS DEVIENNENT ASSEZ PETITS DANS LE FUTUR QUE POUR POUVOIR VOUS LES ENVOYER PAR LA POSTE(35) ET UTILISER DES “HORDES” DE CAPTEURS acoustiques pour extrapoler les images des structures via la cartographie sismique, en conjonction avec l'imagerie par résonance magnétique(IRM) (36).

…l'importance des capteurs visuels pourrait diminuer en 2025 puisque le processus d’attaque stratégique se fonde davantage sur des méthodes d'attaque non mortelles. Dans ce cas, les capteurs non-traditionnels qui peuvent entendre, sentir ou goûter deviennent essentiels, fournissant d’importants segments de données… afin d’assembler (les différents éléments garantissant) l'efficacité d'une attaque(37).

Comment l'armée de l'air pourrait-elle “les frapper là où ça fait mal”?
UN SYSTEME ELOIGNE QUI RODE… A 50.000 PIEDS PEUT REGARDER FIXEMENT A 230 MILLES DE DISTANCE UN LOV (LIEU DE VALEURS) ET FOURNIR UNE RESOLUTION CONTINUE AU METRE PRES… DE PLUS, UN DRONE VOLANT BAS ET OBSERVABLE QUI S’ATTARDE DIRECTEMENT AU-DESSUS D’UNE ZONE SPECIFIQUE TRANSPORTERA DES CAPTEURS QUI FOURNISSENT UNE RESOLUTION CONTINUE AU CENTIMETRE PRES(38 ).

Ces DRONES sont le maillon de la chaîne qui se connecte aux avions transatmosphériques, aux plates-formes spatiales et aux satellites. Ces ressources spatiales enverraient et recevraient (des informations) à partir de et vers des superordinateurs qui sont situés dans des stations relais au sol ou en orbite. Un nouveau satellite radar appelé MIRIAH(39) peut voir à travers la plupart des bâtiments, la nuit, et sous toutes les conditions météo, renvoyant une image en 3 dimensions, sous n'importe quel angle, et pratiquement en temps réel. Les drones peuvent ressembler à des libellules(40), à des oiseaux(41), à des hélicoptères(42), à des avions(43) ou même à des cubes(44). Des militants à Washington DC ont récemment repéré des drones libellules surveillant une manifestation. Ils peuvent être alimentés par hydrogène(45), par énergie solaire(46), par piles à combustible, par batteries, ou par une combinaison de ces différents moyens(47). Ils peuvent s’accrocher sur une ligne électrique pour se recharger(48 ) ou être alimentés via micro-ondes par système wi-fi(49). Ils peuvent vous voir, mais ils peuvent également transmettre des données. Il existe même une technologie qui peut les couvrir, afin que vous, les satellites ou les radars ne puissent pas les voir(50).

En tant que modèle plus économique, des miroirs placés dans l’espace peuvent être utilisés pour faire rebondir les données provenant des drones vers des stations terrestres(51). Un miroir plasma peut également être créé par une station à faisceau qui chauffe les micro-ondes et qui chauffe l'atmosphère, et cette zone de plasma peut être utilisée comme un miroir. Un certain Dr. Eastlund a été le pionnier de cette technologie. Son travail avec le chauffeur de l’ionosphère HAARP a été parrainé par ARCO, un grand producteur d'aluminium qui est détenu par British Petroleum(52). Curieusement, les chemtrails possèdent un grand nombre de particules d'aluminium.

Le système d'armes utilise des informations provenant: des bases de données Delphi compilées à partir de documents gouvernementaux et de sources ouvertes; de l’intelligence humaine au sol (HUMINT); des données en temps réel provenant des bio-implants et des grilles de capteurs au sol qui sont dispersées; des clichés visuels provenant des capteurs placés sur les satellites, avions et drones ; et des archives sur l'histoire et la culture. Il utilise des compilations sur les croyances psychologiques, des informations sur les événements actuels et internationaux, la connaissance provenant d’experts dans leur domaine, les expériences passées dans la résolution de problèmes associés, et c'est un système qui peut apprendre. Il peut « jouer » des scénarios jusqu'à ce qu'il présente ce qu'il considère comme la meilleure solution pour un opérateur humain, et est un réseau informatique qui est largement dispersé à travers le monde, bien mis à jour, et « entraîne le licenciement de personnel »(53).

L'opérateur humain pourrait choisir « d'engager immédiatement (le combat) ou de ne jamais l’engager”, ou d'utiliser “des tactiques directes ou indirectes”(54). IL DETERMINERAIT S’IL FAUT DEPLOYER DES ARMES « LASER, A RADIOFREQUENCE, OU A RAYON DE PARTICULES ENERGETIQUES » CONTRE DES PERSONNES, DES OBJETS PHYSIQUES, DES USINES, DES VILLES OU DES SOLDATS CIBLES(55). CES ARMES A ENERGIE DIRIGEE PEUVENT ETRE DEPLOYEES A PARTIR DE L'ESPACE, DEPUIS LA TERRE OU LA MER A PARTIR D’UNE VARIETE DE PLATES-FORMES, OU ON PEUT LES FAIRE REBONDIR VIA LES MIROIRS SPATIAUX OU PLASMA PRECEDEMMENT MENTIONNES. LA NANOTECHNOLOGIE PERMETTRA LA CREATION D’ARMES PLUS PETITES POUR UNE UTILISATION SUR LES DRONES(56). LES ARMES A ENERGIE DIRIGEE “… PEUVENT ETRE « REGLEES » POUR UNE PLUS LARGE GAMME D'EFFETS, DEPUIS UN BAS ORDRE D’INTERVENTION JUSQU’A UN ORDRE DE DESTRUCTION ELEVE”. ET ELLES SONT “RENTABLES”. Comme c’est sympathique(57).

Les systèmes et techniques d’engagement futuristes tels que la projection holographique, les champs sonores et de gravité, les opérations biomédicales, les opérations psychologiques, la tromperie militaire et l’attaque de l'information sont tous possibles. Ces nouveaux moyens indirects et novateurs sont examinés dans les dossiers classés C2 et Information Attack. En complément à ces techniques indirectes, le présent document se concentre sur des objectifs de missions qui utilisent des attaques directes ayant une puissance mortelle et non mortelle(58 ).

Avez-vous compris? Que veulent-ils dire par “opérations biomédicales”, “projection holographique”, “champs sonores et de gravité”, ou certains des autres termes? CES TERMES RENVOIENT A DES INFORMATIONS CLASSIFIEES VISANT A “ENTRER DANS LA TETE” D'UNE PERSONNE, ET RELATIVES AU COMMANDEMENT ET AU CONTROLE (C2). LES ATTAQUES MODERNES SUR LE DOCUMENT C2 DEGRADENT LA CAPACITE DES ENNEMIS A PRENDRE LES MEILLEURES DECISIONS ET LEUR FONT CHANGER DE DECISION SANS QU'ILS REALISENT QU’ILS ONT ETE MANIPULES(59).

Il y a un dicton: la vie reflète l’art. Revenons à présent au chapitre dont nous avons discuté au début. Si les opérations de pulvérisation décrites dans le document « Weather As a Force Multiplier » (”La météo en tant que multiplicateur de force”) ne sont que de la science-fiction ou des rêveries de militaire, alors pourquoi y a-t-il des tableaux à l'intérieur de ce document qui peuvent seulement être décrits comme des horaires de pulvérisation? Ces tableaux indiquent au lecteur exactement quelles substances seront pulvérisées et au cours de quelles années.
2025 air force
Par exemple, DES CAPTEURS AVEC LA SMART DUST (NANOTECHNOLOGIE) SERONT PULVERISES DANS LE CIEL A PARTIR DU MOMENT DE L'ETUDE, 1995, ET AUGMENTERONT FORTEMENT JUSQU'EN 2025(60).

SAVIEZ-VOUS QUE LES BATTERIES DE NANOFILS SERONT BIENTOT UTILISEES EN MEDECINE POUR FOURNIR EN ENERGIE DE PLUS GRAND IMPLANTS BIOLOGIQUES? COMME LES STIMULATEURS CARDIAQUES… OU PEUT-ETRE DES NANO-DISPOSITIFS DANS LE CERVEAU(61,62) ? Vous remarquerez combien la technologie dont il est question dans le document « Weather As a Force Multiplier » effectue bien la transition avec la technologie abordée dans le document “Hit'Em Where It Hurts”.

Une arme de ce type peut être utilisée pour la guerre clandestine et la micro-GESTION D'UNE POPULATION. Une arme non mortelle utilisée sans arrêt sur une personne devient une arme mortelle. Mais nous pouvons faire confiance aux hommes qui pensent que ce n'est pas grand-chose de glisser subrepticement des implants électromagnétiques dans les organes sexuels des autres, pas vrai?

Le manque de respect pour les droits inaliénables affiché par les officiers de l'armée de l'air qui ont écrit ce rapport est choquant. Hitler fantasmerait concernant cette technologie digne des escadrons de la mort. DES ARMES TELLES QUE CELLES-LA SERONT TOUJOURS MAL UTILISEES PAR QUELQU'UN. C'EST POURQUOI CES ARMES NE DEVRAIENT MEME PAS EXISTER.

Quelqu'un dira: “Eh bien, elles sont seulement conçues pour être utilisées contre l'Ennemi”. Comment pulvérisez-vous seulement une maison? Comment pulvérisez-vous uniquement une seule alimentation en air? NE DEVRAIT-IL PAS Y AVOIR UNE SORTE D'INTERDICTION DE TRANSFORMER LES GENS EN CYBORGS? MODIFIER L'ENVIRONNEMENT VA A L'ENCONTRE DES TRAITES POUR LES MILITAIRES. CERTAINS GARS DE L’AIR FORCE PENSENT QUE METTRE DES CAPTEURS DANS DES NON-COMBATTANTS ET DANS DES ENNEMIS A LA FOIS, PAR L'INTERMEDIAIRE DE LEUR NOURRITURE, DE LEUR EAU ET DE L'AIR, EST TOUT SIMPLEMENT EPATANT. PAR UNE ETRANGE COÏNCIDENCE, CE SCENARIO RESSEMBLE FORT A L’EPIDEMIE NANOTECHNOLOGIQUE DES CHEMTRAILS ET DE LA MALADIE DE MORGELLONS QUI SE DEVELOPPE DANS LES ORGANISMES DES AMERICAINS EN CE MOMENT.

Je ne suis pas sûr de vouloir dédier mon amour à l'armée de l'air.

Sources:

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2. “Aerosol Crimes & Cover Up,” by Clifford E. Carnicom, carnicom.com, website, numerous pages, 1999 – 2008.

3. “Report Of Chemtrail Spraying Frenzy In Croatia,” from Izakovic Rolando, June 5, 2000, rense.com, website, 1997 – 2008.

4. “Chemtrails and Terror in the Age of Nuclear War,” by Amy Worthington, May 2004, “Idaho Observer,” website, 1997 – 2008.

5. “Environmental Warfare and US Foreign Policy: The Ultimate Weapon of Mass Destruction,” by Scott Gilbert, September 23, 2004, author archives, Global Research, website, 2001 – 2008.

6. Bariumblues, by Lydia Mancini, bariumblues.com, website, numerous pages, 2003 – 2008.

7. “Chemtrails:GAO report admits “chaff” – Lab report reveals much more,” July 2006, “Idaho Observer,” website, 1997 – 2008.

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9. STRANGE DAYS STRANGE SKIES – YOU ARE NOW BREATHING ETHYLENE DIBROMIDE, NANO-PARTICULATES OF ALUMINUM AND BARIUM AND CATIONIC POLYMER FIBERS WITH UNIDENTIFIED BIOACTIVE MATERIA, by Glenn Boyle, strangedaysstrangeskies, web album, a large collection of photos, lab reports, and documentation that is a work in progress.

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17 juillet 2013

Livre de James Fleming l'histoire de la géo-ingénierie et du climat

Fix
 
 
Pourquoi écrire l'histoire de la géo-ingénierie et du climat ?
 
 
James Fleming : Mon projet, pour être précis, c'est d'écrire l'histoire de la maîtrise du temps et du climat, des modifications du climat et de la géo-ingénierie. Je suis historien des sciences, et je travaille depuis un certain temps sur les techniques et les politiques qui ont voulu contrôler le temps, faire tomber la pluie par exemple.
La première proposition d'utilisation de la géo-ingénierie pour modifier le climat dont j'aie retrouvé la trace remonte aux années 1830. C'était un projet d'incendies massifs de forêts pour créer des «couches» de chaleur et faire tomber la pluie… C'était pour humidifier la côte est des États-Unis et assainir son air, en le «nettoyant» tous les dimanches soir. Ce genre de proposition, à grande échelle, est donc ancienne. Mais aujourd'hui, ce type de recherche recommence.  

Depuis 2005, les propositions se multiplient et beaucoup d'idées aventureuses fleurissent sur le sujet. C'est la question du changement climatique qui a relancé ce secteur, autour de l'idée d'intervenir volontairement sur le système climatique dans le but de réduire le réchauffement. J'ai assisté à toute une série de conférences qui parlaient de cela vers 2005 à Washington, et j'ai commencé à m'inquiéter, car je trouvais que les objectifs et les moyens de cette culture technologique étaient mal définis, et empreints d'hybris, de démesure, avec cette idée folle que l'être humain pourrait contrôler un système aussi complexe que celui du climat.

Je venais de publier un article sur les explosions de bombes A et H dans l'atmosphère dans les années 50 et 60. À cette époque, les Américains et les Russes cherchaient à modifier l'environnement électromagnétique du globe. C'était dans un but militaire : l'idée était qu'il valait mieux subir une explosion «spatiale» au-dessus d'une ville qu'au sol. Il y a eu ainsi un «moment» de la géo-ingénierie, entre 1958 et 1962. Cela n'avait rien à voir avec le changement climatique.
Mais quand j'ai vu que des gens voulaient relancer ces techniques de géo-ingénierie en prétendant faire cela pour la première fois, il m'a paru important d'en rappeler l'histoire. Elle montre qu'il est possible de changer le climat mais que l'on ne peut pas contrôler les effets de ce que l'on provoque. On peut intervenir sur la nature, mais on ne peut pas prévoir toutes les conséquences de cette intervention. 
 
L'homme a-t-il déjà été capable de modifier volontairement le climat ? 
 
Pas vraiment. C'est dur à vérifier. Certaines expériences à petite échelle ont marché. Par exemple, pendant la Seconde Guerre mondiale, en Grande-Bretagne, on a fait brûler des nappes de pétrole à proximité des pistes aériennes pour permettre aux avions de la RAF d'atterrir malgré le brouillard. Quand le fog arrivait, ils incendiaient des milliers et des milliers de litres d'essence. Dès que l'incendie s'éteignait, le brouillard revenait. Ils ont aussi essayé de faire cela autour de certains aéroports français et à Los Angeles. Cela a coûté des milliers et des milliers de dollars. Mais ce sont des succès très limités.

Il a aussi existé un usage militaire du contrôle du temps, comme pendant la guerre du Vietnam. Les militaires s'intéressent beaucoup au contrôle du climat et à la notion de «sécurité climatique». Dans les années 50, l'armée américaine a voulu utiliser les nuages comme des armes. L'idée était qu'en cas d'urgence face aux Soviets, les États-Unis envisageaient de faire sauter une grosse bombe nucléaire dans l'océan Indien. Dans ce scénario, les vents devaient emmener toutes ces particules jusqu'à Moscou, où elles causeraient une grande explosion d'ondes électromagnétiques.
Washington cartographiait des points «vecteurs» d'attaques dans le Pacifique et l'Atlantique. Il y eut aussi le projet d'utiliser des bombes atomiques contre les ouragans − des études ont été faites en ce sens dans les années 60. Au point que Castro craignait que l'Amérique n'essaie de détruire Cuba avec des ouragans fabriqués humainement.
 
Qui sont les principaux acteurs de la géo-ingénierie : l'armée, des entreprises, des savants fous ?
 
Des gens un peu excités voulaient faire naviguer des bateaux pouvant percer les nuages. Quelqu'un d'autre voulait fabriquer des minipuces électroniques, de la poussière intelligente en quelque sorte, qui pourraient assembler de la puissance magnétique. Il y a des inventeurs fous. Mais il y a aussi des commerciaux, comme Bill Gates, qui possède des brevets de géo-ingénierie. Il faut être assez riche pour pouvoir faire ça presque unilatéralement. Il y a aussi des laboratoires nationaux.
En Russie, un homme a fabriqué un écran de fumée militaire au-dessus d'un champ, et observé que la lumière du soleil s'amenuisait en se posant dessus. Mais de cette expérience très locale, il tire la conclusion que cela permet de réduire l'ensoleillement, et donc de lutter contre le changement climatique. En Angleterre, un homme fait des expériences avec un ballon d'hélium et des récipients d'eau pour agir sur les nuages. Désormais, les géo-ingénieurs ne se contentent plus de réaliser des modélisations sur ordinateur mais commencent à faire des expériences à petite échelle.
 
Réduire l'ensoleillement pour affaiblir la vie et réduire la production agricole amèneront cancer et famine 2fléaux très destructeurs pour les populations .........




Entretien avec James Fleming par Jade Lingaard 
mediapart
5 juillet 2013

Les épandages aériens de produits chimiques dans l'atmosphère et réduction de la population par stérilisation.

 

76141957

 

Communément dénommés par l'appellation anglophone « chemtrails »,
les épandages aériens réalisés dans l'atmosphère de nombreux pays sont la cible de toutes les spéculations. Bien que leur existence soit historiquement bel et bien avérée, l'immense majorité de la population n'a pas même connaissance de cette théorie classée par la doxa médiatique dans la catégorie des élucubrations conspirationnistes.
 
Réalité des épandages

Les épandages aériens de produits chimiques dans l'atmosphère ont une histoire relativement ancienne, remontant au moins au début du siècle dernier :
déjà en 1927, Donald Bradner et Nicholas Oglesby déposèrent un brevet pour un système de diffusion de produits chimiques à partir d'avions. [2] Des centaines d'autres brevets en lien avec la modification du climat, qu'ils concernent de nouveaux moyens d'épandage ou de nouveaux produits chimiques, seront officiellement déposés de 1927 à nos jours, [3] les produits chimiques étant dès lors stockés au sein d'importants containers à bord des avions. En ce qui concerne les dispositifs extérieurs de vaporisation, de nombreux brevets militaires, publics et privés expliquent comment il est possible d'éjecter différents agents chimiques dans la stratosphère ou la troposphère par le biais de mécanismes complexes encastrés sur le réacteur d'avion ou intégrés directement à l'intérieur du réacteur.

Des motifs inhabituels dus aux trajectoires excentriques prises par certains avions épandeurs peuvent d'ailleurs régulièrement être observés : courbes, zig-zags, boucles, cercles... Dans le ciel de New-York, un avion alla même jusqu'à tracer le message « LAST CHANCE » (littéralement, « DERNIÈRE CHANCE ») en allumant et en coupant alternativement son système d'épandage. [4] Que ces tracés surprenants soient le fait de pilotes téméraires n'appréciant guère de déverser des produits dont ils ne connaissent sûrement pas la nature dans l'atmosphère, au risque de heurter leur hiérarchie, ne serait que peu surprenant. La question n'est donc pas tant de savoir si ces épandages existent, mais bel et bien à quoi ils sont destinés.
L'une des explications les plus couramment avancées est la modification du climat : en 1946, le Dr. Schaeffer de General Electric fit en effet la découverte que le déversement d'iodure d'argent au sein des nuages favorisait les précipitations,
[5] à la suite de quoi furent lancés par l'armée des États-Unis
les projets Cirrus (1947-1952), Storm fury (1961-1983) et Popeye (1967-1972),
qui prévoyaient notamment le contrôle des précipitations ou de la trajectoire des ouragans. [6,7,8] Historiquement, toutefois, certains de ces épandages avaient des objectifs bien différents.

En 2002, un rapport gouvernemental apporte la preuve que l'armée britannique a mené des opérations d'épandage de substances toxiques à grande échelle sur sa propre population entre 1940 et 1979. [9] De 1955 à 1963, notamment, de très importantes quantités de sulfide de cadmium zinc sont déversées le long des côtes britanniques. Il était affirmé aux militaires en charge de ces programmes que les épandages concernaient uniquement des expériences climatiques.
Les États-Unis effectueront des tests identiques sur l'ensemble de leur territoire
[10] : dénommés par l'acronyme « LAC » (Large Area Coverage – littéralement, Couverture de Larges Surfaces), ces programmes avaient deux objectifs principaux : tester l'effet d'une substance nocive sur une large part des populations de ces pays, et comprendre comment conduire les épandages afin d'optimiser les surfaces touchées en fonction des conditions météorologiques. 

Les propriétés fluorescentes du zinc permettaient à l'armée de repérer la dispersion des produits répandus depuis des bases terrestres : des particules de sulfide de cadmium zinc seront ainsi repérées à des distances supérieures à 2 000 km du point de largage. Concrètement, cela signifie que les habitants de Paris seraient concernés par d'éventuels épandages à la frontière occidentale de la Russie. Un vol de 600 km permettait ainsi le relâchement d'environ 2 tonnes de sulfide de cadmium zinc.
[11] Bien que les gouvernements britannique et états-unien aient affirmé l'innocuité des substances répandues, le cadmium était déjà considéré lors de la Seconde guerre mondiale comme arme chimique par les Alliés eux-mêmes.
Il est actuellement considéré comme un métal extrêmement toxique, dont les effets sur la santé vont des problèmes respiratoires au cancer en passant par l'insuffisance rénale ou les dommages au foie. [12] De 1961 à 1968, ce sont des bactéries telles que le bacille globigii, simulant le comportement de l'anthrax, et escherichia coli qui sont déversées sur les îles britanniques. Des tests similaires seront de nouveaux reproduits de 1971 à 1975, les armées britannique et états-unienne travaillant cette fois-ci en collaboration. La sociologue Lisa Martino-Taylor, ayant eu accès à des documents militaires déclassifiés, a quant à elle révélé que l'armée des États-Unis ajoutait des particules radioactives au sulfide de cadmium zinc, notamment au-dessus des quartiers populaires [13a,13b] : aucun homme politique ne fut averti de ces épandages et il était répondu aux plus curieux que l'armée testait des écrans chimiques pour se protéger contre une éventuelle attaque soviétique.

En réalité, le Département de la défense des États-Unis effectuait également de nombreux tests d'armes biologiques sur sa population en des endroits localisés – sans épandages aériens donc : le Dr. Hanley Stanson, ancien scientifique au sein de l'armée, révélera en 2010 qu'il existait bien plus de programmes que les huit officiellement reconnus en 1976 par le Pentagone. Pour la seule région de la Nouvelle-Angleterre, plus d'une vingtaine de programmes existaient dans les années 50 et 60. [14] Ce n'était pourtant qu'un début au sein des recherches sur les armes biologiques : à partir des années 70, une mini-révolution s'opéra avec, notamment, les Defense Appropriations for 1970, autorisant le déblocage de fonds colossaux pour les recherches sur les armes biologiques. Lors d'une audience devant le Congrès, le Dr. MacArthur dressa un état des lieux de la discipline qui allait selon lui passait de l'étude des microorganismes existants à la création par bio-ingénierie de tous nouveaux agents pathogènes. [15] D'après d'anciens scientifiques ayant travaillé à l'obscur Fort Detrick, le nombre de projets sur la conception de nouveaux agents pathogènes en tous genres explosa dès lors. [16] Si la vaporisation de produits toxiques dans l'atmosphère afin d'y exposer volontairement les populations civiles est un fait historique avéré et que les arguments utilisés pour justifier ces épandages aux yeux des effecteurs de ces programmes et des civils indiscrets étaient systèmatiquement la protection des populations contre l'éventuelle attaque d'un état tiers ou la modification du climat, il ne semble plus possible de considérer que cela puisse être le cas aujourd'hui. Aucune raison ne justifie pourtant que les épandages aériens furent abandonnés à la fin des années 70, au contraire.
 
Un détour par le néomalthusianisme

La question du contrôle de la population mondiale sur la scène publique étant actuellement un sujet non seulement inabordé mais, plus que cela, tabou, cela ne fut pourtant pas toujours le cas : au cours de la seconde moitié du vingtième siècle, les néomalthusiens n'étaient pas aussi timides qu'ils le sont aujourd'hui.
Avec la création en 1961 de la première mégastructure écologique, le World Wildlife Fund par, entre autres, le Prince Bernhard, Julian Huxley (le frère de l'auteur du Meilleur des mondes) ainsi que Godfrey Rockefeller, le mouvement environnementaliste contemporain révèle ses accointances plus que troublantes avec les idéologies néomalthusienne et eugéniste. [17a,17b] Le premier était membre du NSDAP, le parti nazi, et a toujours été suspecté par les services de renseignement britannique d'être un agent double nazi même après qu'il eut rendu sa carte du parti en 1936. [18a,18b] Inventeur du concept de transhumanisme, le second était un ardent défenseur de l'eugénisme et membre proéminent de la British Eugenics Society dont il fut vice-président puis président. [19] Le dernier appartient quant à lui à la sulfureuse famille Rockefeller dont les liens avec le contrôle de la population sont non seulement multiples mais assumés.

Il existe essentiellement deux moyens de réduire le nombre d'individus d'une population dans le temps : faire baisser le taux de natalité et augmenter le taux de mortalité. Que de nombreux organismes se soient activement employés à trouver des solutions pour le premier est loin d'être un secret, et au premier chef desquels la Fondation Rockefeller qui explique très clairement dans son rapport officiel de 1968 s'intéresser à l'élaboration de vaccins stérilisants [20]. Le célèbre rapport du Club de Rome de 1972, The Limits to Growth (littéralement, Limites à la croissance), popularisera l'idée selon laquelle l'augmentation constante de la population, étant donnée la finitude des ressources naturelles, représente un danger pour l'humanité dans son ensemble. En 1980, le rapport confidentiel National Security Study Memorandum, rédigé sous la direction de Henry Kissinger en 1974, fut déclassifié. [21] Il appelait notamment à une réduction massive de la population dans l'ensemble des pays du tiers-monde : plus particulièrement visés étaient l'Inde, le Bangladesh, le Pakistan, le Nigéria, le Mexique, l'Indonésie, le Brésil, les Philippines, la Thaïlande, l'Égypte, la Turquie, l'Éthiopie et la Colombie. Établissant que les meilleurs moyens d'arriver à des résultats probants sont les famines, les guerres et les programmes de stérilisation, le rapport contient des directives à mettre en place explicitement via le financement de l'organisation non-gouvernementale US Aid au sein de sections dont les titres parlent d'eux-mêmes : Action pour créer les conditions du déclin de la fertilité : population et stratégie d'assistance du développement, par exemple.

La même année, John D. Rockefeller III fut l'orateur principal à la conférence réservée aux organisations non-gouvernementales lors de la première Conférence sur la population des Nations unies à Bucarest. [22] Il y plaidera toujours plus la 
« réduction de la population » dans les pays du tiers-monde ainsi que le contrôle des technologies à la disposition de ces derniers afin d'empêcher un développement trop rapide. Seulement, le contrôle de la fertilité n'a apparemment pas paru suffisamment efficace pour une stabilisation rapide de la population.
Les moyens envisagés par les aspirants à une moindre population mondiale évolueront alors de la réduction de la fertilité dans les années 70 à des scénarios plus radicaux dans les années 80 et 90 concernant l'augmentation du taux de mortalité, voire l'effondrement civilisationnel. Ami du Prince Bernhard et troisième président du WWF, le Prince Philip déclarait par exemple en1988 [23] :

« Dans l'éventualité où je serais réincarné, j'aimerais l'être en tant que virus mortel, afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation. »

En 1991, quelques temps avant de devenir consultant pour les Nations unies et la Banque mondiale, Jacques Cousteau s'exprimait quant à lui dans une entrevue avec le journal Unesco Courier [24] :

« La population mondiale doit être stabilisée, et pour cela nous devons éliminer 350 000 personnes par jour. C'est si terrible à contempler que nous ne devrions même pas dire cela. Mais la situation générale dans laquelle nous nous trouvons est lamentable. »

En septembre 1991, un document issu du groupe de réflexion britannique Cobden Clubs aurait circulé dans certains milieux chargés de l'organisation du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro de 1992. Il y aurait été noté [25] :

« Étant données les instabilités globales, dont celles du bloc de l'ex-Union soviétique, le besoin d'un contrôle ferme de la technologie, de l'armement et des ressources naturelles à travers le monde est désormais absolument essentiel. La réduction immédiate de la population mondiale, d'après les recommandations du Fonds Draper des années 1970, doit être mise en place immédiatement. L'importante surpopulation actuelle, désormais bien au-delà de la capacité de support du monde, ne peut plus être résolue par des réductions futures dans le taux de natalité via la contraception, la stérilisation ou l'avortement, mais doit être adressée dans le présent par la réduction du nombre d'individus existants.
Cela doit être fait par n'importe quel moyen nécessaire. »

Ce document ayant été mis en ligne de façon anonyme, sa crédibilité reste toutefois relative. Il est néanmoins certain que les véritables enjeux de l'organisation du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro étaient plus complexes que ceux présentés par les médias dominants, d'importantes tensions se faisant jour entre les Nations unies et les pays en développement. À propos de la confiscation des ressources naturelles et refusant de céder la souveraineté de son pays aux Nations unies, le général brésilien Sotero Vaz en charge du commandement militaire amazonien, menacera peu avant la conférence de s'opposer militairement aux Nations unies si celles-ci attentaient à la souveraineté brésilienne. [26] L'Inde, la Chine, les Philippines, le Chili, le Vénézuela, l'Éthiopie, le Ghana et la Malaysie enverront également leurs négotiateurs faire comprendre aux experts occidentaux des Nations unies qu'ils savaient de quoi il retournait. Maurice Strong, le sous-secrétaire général et organisateur principal du Sommet de Rio, s'était fait quant à lui depuis longtemps l'avocat de l'effondrement du monde civilisé. [27] En 2002, lors du second Sommet de la Terre à Johannesbourg, les luttes d'influence s'exerçant dans les coulisses du pouvoir furent au moins aussi importantes. L'ex-général russe Konstantin Petrov accusa publiquement les dirigeants des banques et des multinationales de poser un ultimatum aux dirigeants mondiaux en exigeant la réquisition de l'ensemble des infrastructures essentielles au développement humain telles que l'eau, l'énergie et les matières premières, de s'approprier d'immenses réserves naturelles en Russie ainsi que de vouloir réduire drastiquement la population mondiale, d'un facteur deux ou trois. [29] Un chiffre corroboré par le réalisateur Aaron Russo dans l'entrevue qu'il donnera à propos de ses discussions avec Nicholas Rockefeller. [30]

Retour aux épandages aériens

C'est dans ce contexte de radicalisation des idées néomalthusiennes qu'à partir de l'extrême fin des années 1990, les épandages aériens acquérirent une envergure jusque-là inégalée dans certaines régions du monde, à commencer par les États-Unis, et attirèrent de ce fait l'attention du public vigilant. De nombreux échantillons de l'air ambiant seront prélevés par des organismes et laboratoires indépendants, révélant des quantités anormalement élevées de métaux lourds tels que l'aluminium, le baryum ou le strontium dont les effets toxiques sur la santé sont dévastateurs. Des échantillons de l'air de Phoenix montraient par exemple des taux d'aluminium et de baryum respectivement 6 400 et 278 fois plus élevés que la limite toxique fixée par le gouvernement des États-Unis. [31] Dans son film « Bye bye blue sky », Patrick Pasin révèle que l'armée française a quant à elle déjà passé commande pour l'achat de 10 tonnes de baryum, un métal n'ayant aucune utilité militaire conventionnelle en ces quantités. [32]

Vers le milieu des années 2000, de nombreuses personnes, d'abord aux États-Unis, principalement en Californie, au Texas et en Floride, puis au Canada, en Afrique du sud, en Australie et en Nouvelle-Zélande prétendront être atteints d'une pathologie inconnue (improprement désignée par le terme Morgellons) comprenant de multiples symptômes tels que lésions de la peau, douleurs osseuses et articulaires, fatigue chronique, anxiété. Les malades prétendaient ressentir la présence d'organismes étrangers et que des fibres de très petite taille étaient expulsées de leur peau.
Des laboratoires indépendants conduisirent des analyses des échantillons dermatologiques envoyés par les malades de différents pays et mirent en évidence l'existence de fibres constitués de différents matériaux tels que du polyéthylène, du silicium ou d'autres matières inorganiques. [33] Une classification des différentes fibres découvertes a été effectuée par Jan Smith. [34] Étudiées en laboratoires, ces fibres ne correspondent à aucune fibre industrielle ou vestimentaire répertoriée et ne brûlent pas lorsqu'elles sont soumises à des températures supérieures à 950°C.
Très probablement issues de la nano-ingénierie militaire, elles seraient capables d'interagir avec les éléments constitutifs du corps humain afin de se développer au sein-même des organismes des malades.

Parmi les premiers à s'être intéressés à la question et à avoir proposé des moyens de soulager les symptômes expérimentés par les malades, Cliff Carnicom et le Dr. Gwen Scott mirent en évidence le lien entre les fibres extraites des lésions cutanées des malades et les épandages aériens. Ils prétendirent également avoir été contactés en 2009 par l'une des personnes en charge du développement de certaines de ces fibres, ayant travaillé pour l'armée des États-Unis et ayant été persuadée que ces fibres seraient utilisées dans des conflits extérieurs afin d'affaiblir la condition des combattants ennemis, sauvant ainsi la vie des soldats états-uniens. [35a,35b] En réalité, un réseau complexe d'agents pathogènes, aussi bien organiques qu'inorganiques et pouvant interagir, serait répandu dans l'atmosphère :
fibres, métaux lourds, bactéries, champignons, virus. Des informations identiques seront confiées à Hank P. Albarelli Jr. par des scientifiques de Fort Detrick :
le développement de nano-robots y commença après les Defense Appropriations for 1970, lorsque le Pentagone s'engagea dans une multitude de projets de bio-ingénierie. [36]

S'il est parfois suggéré que les épandages puissent avoir un lien avec le contrôle du climat, la présence de telles armes biologiques parmi les substances relâchées plaident plutôt en faveur d'un programme de dépopulation : comme cela fut le cas au cours des opérations Large Area Coverage au Royaume-Uni et aux États-Unis,
la modification du climat n'est-elle pas plutôt le prétexte donné aux effecteurs des épandages que l'objectif ? Il est d'ailleurs remarquable que la menace du réchauffement climatique, plus que controversée au sein du monde scientifique,
soit apparue à la fin des années 1980 (la création du GIEC datant de 1988) simultanément à la radicalisation idéologique des néomalthusiens : sans elle,
la justification d'un programme de grande ampleur d'épandages aériens eut été certainement plus délicate. Les avancées des dernières décennies en nano-ingénierie ouvrent par ailleurs malheureusement la voie à des possibilités infinies en matière d'affaiblissement du système immunitaire. Des problèmes qui ne seront sérieusement adressés que lorsqu'un débat public sera autorisé, si jamais cela est même envisageable...


http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/chemtrails-et-depopulation-une-136230
http://fr.groups.yahoo.com/group/acseipica/ par Dominique Pelissier.
http://stop-chemtrails.skyrock.com/
http://www.cielvoile.fr/article-chemtrails-et-depopulation-une-approche-historique-118035954.html

 
4 juillet 2013

CEA ChArMEx Chemistry-Aerosol Mediterranean Experiment et l’origine d’une aggravation des conditions météorologiques estivales

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Communiqué de presse CEA / CNRS du 20 juin 2013

 

Du 10 juin au 10 août 2013, le CEA et le CNRS coordonnent une grande campagne de mesures en vue d’établir l’état des lieux le plus complet de la pollution atmosphérique en Méditerranée. Ce projet international, nommé ChArMEx (Chemistry-Aerosol Mediterranean Experiment), partie intégrante du méta-programme international interdisciplinaire MISTRALS (Mediterranean Integrated STudies at Regional and Local Scales), vise à améliorer notre compréhension des interactions entre pollution atmosphérique et climat. Ces interactions pourraient être à l’origine d’une aggravation des conditions météorologiques estivales chaudes et sèches dans le bassin méditerranéen, ainsi que d’une augmentation de la détérioration de la qualité de l’air.


La Méditerranée est un laboratoire naturel qui permet d’étudier l’effet du réchauffement climatique et de prédire la qualité de l’air d’une grande partie de l’Europe. Plus d’une centaine de scientifiques d’une dizaine de pays (1) sont mobilisés dans et autour du bassin occidental pour réaliser l’inventaire le plus complet jamais réalisé des espèces chimiques présentes dans l’atmosphère, de leurs transformations au cours du transport des masses d’air, et de leurs impacts sur le climat régional.


Une vaste panoplie de moyens d'observation sera déployée en Méditerranée nord-occidentale : des avions pour réaliser des mesures aéroportées et radiosondages, des ballons dérivants, des ballons sondes, ainsi qu’un voilier fonctionnant avec une pile à hydrogène, pour ne pas polluer les relevés. En parallèle, les mesures depuis le sol seront renforcées sur huit sites en France, en Italie et en Espagne, grâce à la mise en place d'instruments de mesures atmosphériques (lidars, radiomètres, compteurs de particules, analyseurs chimiques de différentes sortes…).


L’une des innovations mises en œuvre dans ChArMEx, testée en 2012, est le déploiement couplé de ballons dérivants et d’avions : capables de suivre l’évolution de la concentration en ozone ou en particules, les ballons servent également de traceurs aux avions pour analyser les mêmes masses d’air à plusieurs étapes de leur transport. Ces ballons permettront pour la première fois de suivre en continu au fil de l’air l’évolution de la concentration en ozone et celle de la granulométrie des particules sur plusieurs centaines de kilomètres. Il s’agit d’un moyen particulièrement puissant de tester la formation d’ozone et la sédimentation des poussières prévues par les modèles.


Lancé en 2010, ChArMEx a déjà fait l’objet d’une première campagne de mesures intensives en juin- juillet 2012. Celle-ci a d’ores et déjà apporté des résultats particulièrement étonnants :

  • première surprise, la pollution en particules fines mesurée au Cap Corse, dans un lieu isolé des sources de pollution, a été plus forte que celle mesurée pendant la même période dans la banlieue parisienne ;
  • deuxième surprise, l’observation par ballon sonde au-dessus de Martigues (Provence) a révélé de grandes quantités de particules de poussières sahariennes de diamètre compris entre 15 et 30 micromètres, considérées généralement comme étant trop lourdes pour être transportées si loin de leurs sources, et qui ne sont généralement pas prises en compte par les modèles.


Si de telles observations se reproduisent, cela indiquerait que les modèles sous-estiment par exemple les transferts de poussières désertiques qui contribuent à fertiliser la surface de la Méditerranée, et qu’il faut expliquer comment celles-ci restent aussi longtemps en suspension dans l’air.


D'une envergure sans précédent en Méditerranée nord-occidentale, la campagne de l'été 2013 permettra d'engranger un nombre considérable de données, notamment sur les zones encore peu couvertes par les précédentes campagnes de mesures. Ces résultats contribueront à affiner la représentation des processus dans les modèles climatiques et de prévision de qualité de l’air.

 

La Méditerranée, laboratoire climatique de l’Europe

Située à la confluence de plusieurs déversoirs naturels drainant l’air provenant des continents limitrophes (l’Europe et l’Afrique), cette région est le réceptacle de toutes sortes de pollutions :

  • d’origine humaine, venant surtout du nord et se déversant dans le bassin via les grandes vallées fluviales (Rhône, Pô) ou de grands complexes industriels et urbains (Barcelone, Marseille, Gênes, Alger, Sfax) ;
  • d’origines naturelles, venues du cœur du Sahara sous la forme de gigantesques panaches de poussières désertiques.


Toutes ces pollutions convergent dans le bassin qui, cerné de toute part par des reliefs, fait office d’immense réacteur chimique. Sous l’effet du climat méditerranéen, chaud, ensoleillé et sec, cette pollution évolue : de nouvelles espèces chimiques apparaissent, tandis que d’autres se transforment, ou disparaissent. Une partie de cette pollution va acquérir une nocivité accrue, donnant lieu à la formation de l’ozone et des poussières ultrafines susceptibles de causer des troubles respiratoires et cardiovasculaires. Elle va aussi modifier le climat en provoquant plus de sécheresse encore. Le début d’un cercle vicieux qui fait peser un risque sanitaire sur la population.


ChArMEx-France implique près de 120 scientifiques d’une vingtaine de laboratoires (2) , ainsi que les partenaires suivants : le CNRS, l’ADEME, le CNES, l’ANR, le CEA, Météo-France, la Collectivité Territoriale de Corse, Qualitair Corse, la Région Paca, Airpaca, l’École des Mines de Douai, l’École polytechnique, ainsi que les Universités de Aix-Marseille, Clermont-Ferrand, Paris Diderot, Littoral Côte d’Opale, Joseph Fourier, Lille 1, Lyon, Paris-Est-Créteil, Pierre-et-Marie-Curie, Strasbourg, Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines.


ChArMEx s'inscrit dans le méta-programme international et interdisciplinaire MISTRALS (Mediterranean Integrated Studies aT Regional And Local Scales, 2010-2020) dédié à la compréhension du fonctionnement du bassin Méditerranéen et piloté par le CNRS. MISTRALS France est soutenu par 13 organismes (3) .

 

Et avec autant de scientifiques y'en a pas un seul pour s'interroger sur les chemtrails , vive la science !

 http://www.ipsl.fr/Actualites/Actualites-scientifiques/ChArMEx-une-traque-exceptionnelle-de-la-pollution-atmospherique-en-Mediterranee

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5 juin 2013

Les armes psychotroniques sont des armes qui influencent le système nerveux avec des rayons non ionisants

haarpactciel France

En URSS, des ondes basse fréquence sont projetées sur des villes pour susciter certains comportements.
En 1962, quand les américains cherchaient des micros derrière les murs de leur ambassade, ils ont découvert un rayon d'ondes microélectriques dirigé sur l'ambassade. Celui-ci causait des maux tête, des vomissements, de la fatigue, des cancers. Pendant 12 ans, ces faits sont restés secrets, même pour le personnel concerné.
D'après le conseiller à la sécurité Zbigniew Brzezinski, l'ambassade des USA à Moscou enregistre le plus haut taux de cancer.
{Livre, Livre Jaune N° 5 (Le), Collectif d'auteurs, Ed. Félix}

Signal de Moscou :
En 1962, en cherchant des "micros" dans l'ambassade américaine en URSS, les américains ont découvert un rayon d'ondes microélectriques dirigé sur l'ambassade. Ce dernier affecte le système nerveux, crée des maux de tête, une faiblesse générale, de la fatigue, des nausées, une irritabilité, des angoisses, des dépressions, une inhibition des capacités intellectuelles.
(les révélations de Jack Anderson en 1972 ont permis de mettre la vérité à jour).
Le personnel de l'ambassade américaine de Moscou détient le plus haut taux de cancer au monde. (d'après Z. Brzezinsky).
...
Signal d'Eugène (ville dans l'Oregon aux USA) :
Signal inconnu enregistré à 9000 m d'altitude. On a décelé la présence d'ondes électromagnétiques dans des zones d'habitation. Cela a créé des maladies mais l'affaire a été enterrée.
...
La fréquence de résonance de l'ionosphère est presque identique à celle du cerveau humain. L'ionosphère est donc une onde porteuse parfaite à partir de laquelle on peut atteindre le cerveau sans changer la fréquence d'émission. C'est ce lien entre la sphère électromagnétique de la Terre et les fréquences de résonances du cerveau qui est à la base des armes stratégiques.
Richard Helms (ancien responsable de la CIA), a fait une déposition devant la commission Warren le 19/06/1964 :
"les soviétiques développent des armes sophistiquées qui leur permettront d'influencer le comportement de citoyens soviétiques, de façon à les mettre en harmonie avec les exigences du système politique.
Cette technologie donne également accès au "codage" d'informations, dont le but est de manipuler la pensée du citoyen."
Charles Oleszycki, conseiller au ministère des affaires étrangères, département du contrôle des armes et du désarmement révèle dans son livre que le Département d'Etat a menti, qu'il est en réalité en possession de document sur les armes invisibles. Il ne pouvait ignorer les paragraphes secrets de l'accord SALT II, dans lesquels les soviétiques proposent d'interdire des armes à infrason, "les rayons de la mort" et toute arme électromagnétique dont le but est la manipulation biologique. Pourquoi interdire si ce n'est que ça existe ?
...
Les armes psychotroniques sont des armes qui influencent le système nerveux avec des rayons non ionisants (différents des armes atomiques qui elles ont un rayon ionisant). Elles ont des effets physiologiques, changements biologiques et neurologiques.
{Livre, Coucou, c'est Tesla, l'énergie libre, Collectif d'auteurs, Ed. Félix}

En se servant d'armes psychotroniques (armes Tesla) relativement faciles à construire, il est aisé de priver de sa conscience de veille tout soldat qui part à l'attaque et de lui enlever toute agressivité.
Le magazine 2000, n° 97, déc. 93 indique à propos des armes psychotroniques :
"Vous souvenez vous des images de la Guerre du Golfe lorsque des milliers de soldats irakiens sortirent de leurs tranchées en capitulant ? Ils se rendirent même aux journalistes qu'ils prenaient pour des soldats et ils furent la proie bienvenue des canons de l'artillerie américaine, bien qu'ils aient brandi leurs drapeaux blancs. De plus en plus d'experts militaires sont persuadés que ce n'est pas le ravitaillement, insuffisant des troupes de Saddam Hussein qui a provoqué cette capitulation soudaine et massive mais que ce sont bien les armes psychotroniques de Mind-Control des Etats Unis.
Quelques unes de ces super armes de haute technologie se servent des effets qu'ont les ondes de fréquences radio sur le cerveau humain. Ainsi que le relate en janvier 1993, un rapport de la revue spécialisée Aviation Week and Space Technology, le ministère de la défense des Etats Unis équipe maintenant des fusées avec du matériel qui peut provoquer des pulsions électromagnétiques (EMP's) pour paralyser l'ennemi sans devoir se servir pour autant de composantes atomiques, biologiques ou chimiques.
Avec ce type d'arme, le premier but est de couper les systèmes électroniques ennemis. D'autres appareils produisent des ultrasons, des ondes de sons ELF (de fréquences extrêmement basses) qui provoquent des nausées et des vomissements et perturbent à l'extrême le sens de l'orientation des personnes ciblées. Ces armes ont un rayon d'action d'au moins 2500 km."
{Livre, Livre Jaune N° 5 (Le), Collectif d'auteurs, Ed. Félix}

http://parc-vramc.tierranet.com : Kathleen Sullivan est devenue un soutien pour les autres victimes du contrôle du cerveau et pour leur famille.
{Magazine, Nexus, No 3, 07-08/1999}

Les procédés des armes psychotroniques ou RF (radiofréquences) ont été exposés lors de la conférence de Los Alomos vers fin 1993.
"Cela consiste à transmettre un champ d'énergie destructeur pour les équipements électroniques ou une information sous la forme d'un champ radioélectrique ou électromagnétique modulé d'une façon spécifique en direction d'une personne ou d'un groupe de personnes afin d'influencer le comportement psychologique."
Les artificiers savent généralement qu'il vaut mieux éviter d'utiliser à proximité des détonateurs dans de la dynamite ou des pains de plastic, un talkie-walkie, et à plus forte raison un téléphone portable. L'émission d'un portable pourrait en effet en provoquer l'explosion.
{Livre, Armes de l'ombre (Les), Marc Filterman, Ed. Carnot, Collection Ciceron}

En Octobre 2000, du Congrès Denis J. Kucinich a présenté à la Chambre des représentants un projet de loi, qui obligerait le président américain à s'engager dans des négociations visant à l'interdiction des armes spatiales fondées.
Dans ce projet de loi, la définition d'un système d'armes comprenait:
«Une autre(definition) non reconnue ou encore inexploitée signifie infliger la mort ou des blessures, ou endommager ou détruire, une personne (ou la vie biologique, la santé physique, santé mentale ou physique, et bien-être économique d'une personne) ... par utilisation des mers, ou de l'espace-systèmes terrestres utilisant des rayonnements électromagnétiques, psychotroniques, sonores, laser, ou d'autres énergies destinée à des personnes individuelles ou des populations ciblées dans le but de guerre de l'information, gestion de l'humeur, ou contrôle de l'esprit de ces personnes ou des populations "(15).
Comme dans tous les actes législatifs cités dans le présent article, le projet de loi se rapporte au son, la lumière ou la stimulation électromagnétique du cerveau humain.
armes psychotroniques appartiennent, au moins pour un profane mal informé de la recherche militaire secrète, au domaine de la science-fiction, puisque jusqu'à présent aucune des expériences scientifiques publiées a été présentée d'une manière significative à l'opinion publique mondiale.
Qu'il est possible de manipuler le comportement de l'homme avec l'utilisation du subliminal, soit par des messages sonores ou visuels, est maintenant généralement connu et reconnu par la communauté scientifique.
C'est pourquoi dans la plupart des pays, l'utilisation de ces technologies, sans le consentement de la personne concernée, est en théorie interdit. Inutile de dire que l'utilisation de ces technologies est entreprise secrètement, sans la connaissance ou le consentement des personnes ciblées.
Dispositifs utilisant la lumière pour la stimulation du cerveau constituent un autre mécanisme par lequel la lumière clignote sous certaines fréquences, pourraient être utilisées pour manipuler le psychisme humain.
En ce qui concerne l'utilisation du son, un dispositif de transmission d'un faisceau d'ondes sonores, qui peuvent être entendues que par des personnes à qui le faisceau d'ondes sonores est ciblé, a été rapporté dans les médias de plusieurs nouvelles. Dans ce cas, le faisceau est constitué par une combinaison de l'échographie et les ondes sonores qui provoque la personne visée pour entendre le son dans sa tête. Une telle procédure pourrait affecter l'équilibre mental de l'individu ciblé et le convaincre qu'il est, pour ainsi dire, malade mental.
Cet article examine le développement de technologies et des connaissances concernant le fonctionnement du cerveau humain et la manière dont les nouvelles méthodes de manipulation de l'esprit humain sont en cours d'élaboration.
L'énergie électromagnétique
L'une des principales méthodes de manipulation se fait par l'énergie électromagnétique.
Dans la littérature scientifique déclassifiée  quelque 30 expériences ont été publiés  à l'appui de cette hypothèse (1), (2). Déjà en 1974, en URSS, après avoir testé avec succès au sein d'une unité militaire à Novossibirsk, le Radioson (Radiosleep) a été enregistrée avec le Comité du gouvernement sur des questions d'inventions et les découvertes de l'URSS, décrite comme une méthode d'induction du sommeil par des moyens d' ondes radio (3), (4), (5).
Dans la littérature scientifique, la faisabilité technique d'induire le sommeil chez un être humain grâce à l'utilisation des ondes radio est confirmée dans un livre écrit par un scientifique britannique impliqué dans la recherche sur les effets biologiques de l'électromagnétisme (6). Un rapport de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur la non ionisants et publié en 1991 confirme que:
«Beaucoup d'effets biologiques observés chez les animaux exposés à des champs ELF semblent être associés, directement ou indirectement, avec le système nerveux ..." (2).
Parmi les expériences publiées, il y a ceux où micro-ondes pulsées ont causé la synchronisation des neurones isolées de la fréquence des impulsions de micro-ondes. Par exemple, une décharge neuronale à une fréquence de 0,8 Hz a été forcée de cette manière de tirer les impulsions à une fréquence de 1 Hz. En outre, les micro-ondes pulsées ont contribué à l'évolution de la concentration des neurotransmetteurs dans le cerveau (neurotransmetteurs sont une partie du mécanisme qui provoque la décharge des neurones dans le cerveau) et de renforcer ou atténuer les effets de médicaments administrés dans le cerveau (1).
L'expérience où les fréquences du cerveau principal enregistré par EEG ont été synchronisée avec la fréquence des impulsions micro-ondes (1,2) pourrait expliquer la fonction de l'installation de Russie Radioson. Micro-ondes pulsées de la fréquence du sommeil causerait la synchronisation de l'activité du cerveau avec la fréquence du sommeil et de cette manière de produire le sommeil.
Impulsions de micro-ondes de fréquence prédominante dans le cerveau à un état d'éveil pourrait, selon la même procédure, de refuser le sommeil à un être humain.
Un rapport provenant du programme d'essais de la recherche Département micro-ondes à l' Institut Walter Reed Army de recherche en états
"Impulsions micro-ondes semblent couple au système nerveux central et de produire une stimulation semblable à la stimulation électrique sans rapport avec la chaleur".
Dans une expérience de nombreuses fois reproduites,micro-ondes pulsées sur une fréquence exacte causé l’afflux d'ions calcium de la cellule nerveuse (1,2). Le calcium joue un rôle clé dans la mise à feu des neurones et Ross Adey, membre de la première équipe scientifique qui a publié cette expérience, a exprimé publiquement sa conviction que cet effet d'un rayonnement électromagnétique serait nuire à la concentration sur les tâches complexes (7).
Robert Becker, qui avait part à la découverte de l'effet de champs pulsés à la guérison des fractures, a publié les extraits du rapport de Walter Reed Army Institute programme d'essais. Dans la première partie "effets affaiblissement rapide» doit avoir été testée (8). Ne sont pas celles basées sur les effets sur l'expérience de Ross Adey et d'autres avec efflux de calcium?
Le scientifique britannique John Evans, qui travaillent dans le même domaine, a écrit que les deux Ross Adey et Robert Becker ont perdu leurs postes et de subventions de recherche et a appelé les «exilés de pensée libre» (6). En 1975, aux Etats-Unis, une expérience militaire où a été publié micro-ondes pulsées produites, dans le cerveau d'un sujet humain, une perception audio des nombres de 1 à 10 (9). Encore une fois la possibilité de convaincre un individu qu'il est mentalement malade est évidente. Le programme d'essais de l'American Institute Walter Lire l'Armée de la recherche, où l'expérience a eu lieu, avec les chiffres "invite de stimulation auditive par des effets sonores" et vise enfin à "un comportement contrôlé par la stimulation» (8).
Supposons que les paroles dans le cerveau ont été transcrits dans des fréquences ultrasonores. Ne serait donc pas l'objet percevoir ces mêmes mots que ses propres pensées?
Et serait-ce pas dire que ce que son comportement était contrôlé de cette manière par l'émission de fréquences ultrasons? À cet égard, l'American Air Force 1982 "Rapport final sur les besoins de recherche en biotechnologie pour les systèmes aéronautiques jusqu'en l'an 2000», déclare:
"Alors que l'attention première doit être à la dégradation de la performance humaine à travers la charge thermique et les effets des champs électromagnétiques, les travaux ultérieurs devraient porter sur les possibilités de diriger et d'interroger le fonctionnement mental, en utilisant des domaines appliqués à l'extérieur ..." (10).
Plusieurs scientifiques ont averti que les dernières avancées en neurophysiologie pourraient être utilisés pour la manipulation du cerveau humain.
En Juin 1995, Michael Persinger, qui a travaillé sur la marine américaine projet des armes électromagnétiques non-létales , a publié un article scientifique dans lequel il déclare:
«La capacité technique d'influencer directement la majeure partie des quelque six milliards de cerveaux de l'espèce humaine, sans médiation par le biais classique modalités sensorielles en produisant des informations de neurones dans un milieu physique dans lequel tous les membres de l'espèce sont immergés ... est maintenant légèrement possible» ( 11).
En 1998, les Comité français  national de bioéthique a averti que «les neurosciences sont de plus en plus reconnues comme posant une menace potentielle pour les droits de l'homme» (12). En mai 1999, la conférence de neuroscientifiques, parrainée par l'ONU, a eu lieu à Tokyo. Sa déclaration finale officiellement reconnaît que:
"Aujourd'hui,nous avons les ressources intellectuelles physiques et financières  pour maîtriser la puissance du cerveau lui-même, et de développer des dispositifs de toucher l'esprit et même de contrôler ou d'effacer la conscience ... Nous tenons à professer notre espoir que cette poursuite de la connaissance sert la paix et le bien-être" (13).
14 avril 2013

Les chemtrails servent aussi comme des suppresseurs d’émotions,et à créer des «symptômes de maladie

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Déclaration d'un biochimiste ayant travaillé à l'élaboration de composés chimiques en vue de leur dispersion dans l'atmosphère.

Je ne peux pas dire avec 100% de certitude que les produits chimiques, sur lesquelles j’ai travaillé,se sont retrouvés dans les avions d’Evergreen, mais je sais que c’est un fait avéré, que les compagnies aériennes de fret comme Evergreen acceptent régulièrement de grosses sommes d’argent pour charger et disperser des chemtrails. C’est beaucoup plus lucratif que de transporter du fret.

Les Buts : Ils sont trop nombreux pour les compter sur ses dix doigts. Cela dépend vraiment de où ils vont être utilisés. Beaucoup sont des agents calmants . D’autres induisent un état de flou. Rarement, on nous a demandé de développer des mélanges qui incitaient à la colère ou à un comportement impétueux. 90% de ce nous avons dévellopé visait à altérer les émotions, l’humeur ou à provoquer un certain état d’esprit.

Toxicité: Dans presque tous les cas, il était très clair pour nous, que ce que nous dévellopions devraient avoir une toxicité minimale. Naturellement, un petit pour cent de la population dévellopera une tendance allergique à un composé chimique. Mais dans certains cas, nous sommes même allés aussi loin que dans l’expérimentation animale pour s’assurer que les produits chimiques, sur lesquelles nous avions travaillé, étaient relativement non-toxique. Je n’ai jamais travaillé sur un projet où le résultat escompté était toxique / mortelle.

Répartition / Accumulation : Elle varie énormément en se basant sur la structure chimique. Certains de ces mélanges que nous avons développé étaient prévus pour se dissiper jusqu’à un niveau de concentration aussi faible qu’une partie par milliard au moment où ils atteignaient le niveau du sol. D’autres ont été spécifiquement conçus pour atteindre le niveau du sol et peuvent tenir pendant une durée d’une année. Même après le passage de la pluie, du vent, de la neige, etc ..

 

Je sais que 99% du temps, un pilote commercial n’est pas au courant que leur avion peut pulvériser des chemtrails. J’ai réalisé après un certain temps que, quel que soit l’organisation qui est «en coulisses» de tout cela, ils sont très bon pour faire en sorte de traiter directement avec le moins de gens que possible. Je n’ai jamais su qui était en traitance des services de mon employeur. Pas une seule fois.

 

Je sais que l’Amérique du Nord n’est pas le seul continent qui utilise des ADC (aerially dispersed chemicals = produits chimiques dispersés par voie aérienne) à l’insu de la population. Cependant, je sais aussi que la technologie chimique des autres pays sont près d’une décennie en arrière de celle que possède les États-Unis.

 

Je ne savais pas où les produits chimiques sur lesquelles j’avais travaillé finissait par être utilisé. Comme je disais avant, il y a beaucoup de secret. Je l’ai fait pendant 17 ans parce que le salaire et les avantages étaient très intéressant. Tout ce que je peux dire, c’est que parfois on nous a donné la tâche de développer des mélanges chimiques dont on attendait des résultats très précis, ce qui m’a donné l’impression qu’ ils seraient utilisés dans une zone spécifique. Etat, région, comté, ville – je ne sais pas. Je sais qu’il serait très difficile de cibler une zone plus petite qu’une ville, à la vue de l’altitude d’un avion commercial.

 

Aussi j’ai travailler sur quelques projets dont l’intention était de développer un mélange qui ne se disperseraient pas très loin, et qui s’atténuait aussi vite que possible sans se répandre.

Nous avons l’usage du baryum dans plus d’un produit final. Cependant, pour l’ensemble de ces projets, nous avons mené des tests approfondis pour s’assurer que les produits chimiques se dissiperaient à des niveaux non toxiques, au moment où ils atteignent le niveau du sol. La Barytose (maladie dûe au Baryum) était une préoccupation majeure de nos contracteurs lors de l’élaboration de quoi que ce soit où le baryum était nécéssaire. La plupart de nos mélanges finaux qui utilisaient du baryum ont été conçus pour atteindre le niveau du sol à un niveau de concentration de une partie par million voire moins.

Je ne veux pas vous raconter n’importe quoi. J’ai été hors de l’entreprise pendant assez longtemps, au point où je me sens en sécurité, queand à la révélation de certains détails concernant mon emploi passé. Cela, et ce verre de scotch.

Raisons pour la pulvérisation : … Comme je l’ai dit, nous n’avons jamais connu les véritables intentions des contractants. Mais neuf fois sur dix, c’était assez évident parce que quand ils nous demandent de développer des composés chimiques, ils doivent aussi nous dire ce qu’ils veulent en faire. Pour en nommer quelques unes: La modification du climat, des suppresseurs d’émotions, des expectorants d’émotions, la modification de l’environnement. En outre, il est intéressant de noter que vous pouvez aussi mentionner « la maladie / les symptômes de la grippe » – bien que j’ai déjà dit que, avec 99% de nos produits, nous avons été spécifiquement chargé de veiller à leur non-toxicité, il y avait cependant quelques projets, sur lesquelles nous avons travaillé qui étaient destinés à créer des «symptômes», sans causer aucun dommage réel pour les sujets.

 

Nos mélanges n’ont jamais été breveté. Principalement parce que les brevets sont de notoriété publique. Mais les brevets peuvent toujours être gardé secret, nos mélanges n’ont jamais été brevetés dans le but d’un plausible déni et ainsi éviter tout trace sur papier. Gardez à l’esprit que presque tout ce qui nous a été confié de faire, n’était pas légale dans presque tous les sens du terme. Je peux, cependant, me souvenir d’un projet qui fut conçu pour fonctionner différemment en fonction de l’ensoleillement – c’était un projet de modification du climat.

Je me sentirais bien, bien pire si la non-toxicité n’avait pas été une telle inquiétude comme ça l’a été. Mais même ainsi, j’ai du traité avec une grande quantité de regret, depuis ma retraite. Un problème d’alcool en à même surgit. Mais j’ai réussi à y venir à bout avec ces presque deux décennies de travail, et je suis prêt à accepter le sort qui m’attend.
Faites-vous allusion à la drogue “Midazolam” ? Tout ce que je sais, c’est que c’est une drogue assez controversée, mais en regardant la structure chimique, ce je peux dire c’est qu’elle partage certaines propriétés réactives avec des produits chimiques élaborés dans des projets ayant l’intention de modifier un état d’esprit.

Je vais essayer de résumer le projet sans être trop spécifique. Nous cherchions dans une famille spécifique de récepteurs “G” associées à des protéines que l’on ne trouvent que dans le tissu cérébral. Le progrès réalisé est que nous avons dévellopé un inhibiteur pour un récepteur spécifique dans cette famille. Ce récepteur spécifique est impliqué dans la création et le stockage de nouveaux souvenirs. En développant un composé qui se lie au récepteur et en bloquant la liaison du composé naturel créé, nous avons obtenu un succès mitigé dans l’inhibition de la création et du stockage de nouveaux souvenirs. Mais les tests des taux de mortalité étaient trop élevés, et le projet fut abandonné. Un des projets les plus intéressantes sur le quel nous ayons jamais eu à travailler, cependant.Il est possible que certaines choses que nous avons créé interagissent avec des médicaments en vente libre ou sous ordonnace.(faux déclenche certaine maladie avec la prise de médicament ,causé par les mycoplasme contenus dans les chemtrails .rj)

 

il dit des choses très interessante comme le fait de déclencher des symptomes vous savez la pub qui va avec et qui fait que nous sommes touchés par les symptomes le jour d'après ou nous voyons la pub  un heureux hasard non on ma dit c'est la saison qui veut çà oui et les épandages c'est la saison qui veut çà elle a bon dos la nature , le hasard , non une coincidence .

 

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