Très grande
International Medical Council on Vaccination, 19 octobre 2013
Il y a 8.000 effets secondaires différents de vaccins qui sont répertoriés dans les données de base du VAERS (Système officiel américain qui rassemble les dossiers d’effets secondaires des vaccins et du CDC (Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies). [1] La majorité de ces effets secondaires sont ceux auxquels nous pouvons nous attendre : nausées, gonflements au site d’injection, pleurs, fièvre etc. Bien que ces réactions soient universellement considérées comme normales par la communauté médicale, elles ne le sont pas. Elles peuvent être des réactions vaccinales typiques, mais elles sont, en fait, les réponses du corps à des ingrédients nocifs ; elles ne sont pas normales. Chez la plupart des gens, la température d’environ 37° est normale ; la fièvre ne l’est pas. Un bras souple est normal ; un bras douloureux, chaud avec une grosseur, résultat d’un agrégat d’aluminium provenant d’un adjuvant de vaccin ne l’est pas.[2] En outre, bien que les réactions vaccinales varient en gravité, une réaction à n’importe quel niveau est souvent le signe avant-coureur de réactions plus graves aux vaccinations suivantes.
L’industrie affirme que les réactions vaccinales graves sont rares. Mais si on jette un coup d’œil aux statistiques du VAERS, on se rend compte que, non seulement elles prouvent que les vaccins ne sont pas sûrs, mais que les complications graves et parfois catastrophiques ne sont pas rares du tout – dans les rapports officiels, elles sont clairsemées parmi les réactions les plus régulièrement rapportées. La liste qui suit concerne les effets secondaires graves des vaccins qui apparaissent dans le top 5%, repris par ordre de fréquence – les convulsions par exemple sont rapportées 13.281 fois, les infections virales 4.708 fois, l’autisme 2307 fois, etc. Bien que certains de ces effets secondaires soient plus étroitement associés à des vaccins spécifiques, chaque vaccin a été signalé pour avoir présenté des effets secondaires graves, y compris des décès. On trouve aussi : convulsions, infections, herpes Zoster, perte de conscience, infections virales, convulsions fébriles, grippe, syndrome de Guillain-Barré, pneumonie, otite moyenne, autisme, asthme, varicelle, troubles de la parole, décès, intussusception, réactions anaphylactiques, convulsions grand mal, infections des voies respiratoires supérieures, paralysies, syndrome de la mort subite du nourrisson, infections bactériennes, méningites, coma, arthrite, encéphalite, bronchite, troubles respiratoires, sclérose en plaques, troubles gastro-intestinaux, troubles pulmonaires, avortement spontané, arrêt cardiaque, troubles de la fonction hépatique, hémorragies, arrêt respiratoire, jaunisse, problèmes de peau, troubles du système immunitaire, hépatite, épilepsie, arthrite rhumatoïde.
N’est-elle pas extrêmement parlante cette révélation qu’il existe tant de réactions graves dans le top 5% du VAERS ? Mais il y a d’autres facteurs essentiels à prendre en compte et qui ont une nette importance par rapport aux données du VAERS.
Il faut parler de l’usage inapproprié du mantra – corrélation n’équivaut pas à causalité- qui est régulièrement utilisé pour apaiser les inquiétudes des parents au sujet des rapports du VAERS. Il existe des éléments qui montrent qu’il est évident que le nombre d’effets secondaires graves des vaccins est beaucoup plus important que ce qui est repris dans la base de données. Ces réalités sont bien connues des contrôleurs de l’industrie du vaccin. Mais le gouvernement, une bonne partie de l’establishment médical, les journalistes des grands médias qui voudraient prendre le temps de chercher et de rapporter honnêtement l’information au public qu’ils prétendent servir – pourraient avoir facilement accès à ces données qu’ils tiennent finalement à l’écart du débat public au point que cela en devienne quasi criminel.
Je vais maintenant me concentrer sur les décès en tant qu’effets secondaires des vaccins pour faire le point. Ayant effectué une recherche exclusive, j’ai pu constater que la base de données relevait plus de 5.000 rapports de décès après vaccinations. On avance souvent l’argument que corrélation n’équivaut pas à causalité. Cet argument est souvent avancé pour convaincre les parents que les rapports de dommages graves de santé dus aux vaccins peuvent en substance être écartés. L’argument n’est pas seulement spécieux, mais éminemment contraire à l’éthique quand il est repris par des médecins ou des officiels de la Santé dont l’influence est importante, mais qui ont aussi une responsabilité qui est d’ailleurs, de par leur fonction, d’autant plus grande. Les dossiers du VAERS reflètent une corrélation. Le sens même du mot comme le bon sens peuvent nous indiquer que cette relation n’est pas nécessairement et exclusivement due au hasard. Elle mérite mûre réflexion. Le lien de causalité est implicite dans la corrélation et ne peut être écarté sans la preuve de toute autre cause. Mais pareilles causes ne sont jamais présentées. Pourtant, nos fonctionnaires nous demandent d’écarter les éléments de preuve substantielle qui montrent que le fait de vacciner nos enfants équivaut à les soumettre à la possibilité réelle de diabète, de troubles d’apprentissage, d’épilepsie- et de décès. Nous demandons instamment que le discours de ces personnes soit clair et direct, qu’elles admettent les données historiques, qu’elles reconnaissent les corrélations du VAERS et ses implications. Nous demandons qu’elles cessent d’être les obstacles à l’information qui nous est nécessaire pour prendre nos décisions en matière de vaccinations.
Il existe aussi des recherches documentées corroborant ce qu’on serait raisonnablement susceptible d’attendre de la précision de VAERS au sujet des corrélations. A savoir, la conclusion suivante d’une étude intitulée : « Evaluation des Notifications Spontanées d’Effets Indésirables des Médicaments », la seule étude qui existe à ma connaissance. [4]
« Un système de surveillance des effets secondaires des médicaments basé sur la notification spontanée à un registre central a été en opération pendant huit ans. Un test a été effectué sur un échantillon aléatoire de 82 cas qui ont été suivis en détail pour connaître la validité des rapports et la probabilité d’un lien de causalité entre le médicament et une réaction. L’échantillon comprenait 17 morts, 26 réactions graves et 39 réactions de sévérité modérée ou mineure. Au total, 78% des réactions ont été considérées comme « probablement » liées au médicament et 13% « possiblement » liées. Il a été conclu à la valeur de ces rapports pour détecter et évaluer l’innocuité des médicaments. »
Evidemment, après une enquête approfondie, il a été estimé que seuls 9% des rapports n’avaient pas de relation causale avec les médicaments – ce qui dans le cas de VAERS s’appliquerait aux vaccins. Cette observation constitue une réponse à ceux qui affirment régulièrement que les rapports du VAERS ne sont pas dignes de confiance simplement parce que beaucoup seraient faux, présentés par des parents mécontents ou par des avocats qui cherchent à obtenir des dédommagements injustifiés de la part des tribunaux et des Services de Santé. [5]
« La majorité des rapports qui parviennent au VAERS sont envoyés par les fabricants de vaccins (37%) et les fournisseurs de soins de santé (36%). Les autres rapports proviennent des Programmes officiels de vaccination (10%), des personnes vaccinées ou de leurs parents et tuteurs (7%), ainsi que d’autres sources (10%). »
En extrapolant les cas de décès enregistrés dans les données VAERS, on peut raisonnablement supposer que 3.900 des 5000 cas de décès rapportés, soit 78% ont « probablement » une relation causale avec les vaccins. Mais, en réalité, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. - JAMA (Le Journal de l’Association Médicale Américaine) a publié une étude qui conclut que les hôpitaux ne rapportaient environ qu’1% des effets secondaires graves des médicaments [6] Il n’y a pas de bonnes raisons de s’attendre à ce qu’un pourcentage plus élevé de réactions vaccinales graves soient jamais rapportées […]
Nous les parents, les grands-parents, les amis qui sommes exhortés de nous faire vacciner, de faire vacciner nos enfants, nous savons que les 3.900 décès se traduiront dans la réalité par beaucoup d’autres, mais nous n’avons aucune idée si les chiffres du VAERS ne sont finalement pas 39.000 ou 390.000. Nous sommes perplexes suite au fait que la grande majorité d’entre eux sont présentés comme ayant été causés par d’autres causes que les vaccins…C’est là ce qui peut justifier notre indignation.
Les rapports de réactions qui mettent la vie des gens en danger sont plus nombreux que les rapports de décès, et les handicaps à vie sont plus nombreux que les réactions potentiellement mortelles. Le nombre de réactions qui ont justifié un recours aux urgences dépasse les 150.000. C’est un chiffre énorme si l’on considère la réticence des médecins à admettre, reconnaître ou rapporter des incidents liés à la vaccination.
Oui, les rapports du VAERS ont toute leur valeur dans la détection et l’évaluation de l’innocuité des vaccins. Dans un classement des effets secondaires par ordre de fréquence, on trouve enfouis dans la masse des réactions peu graves (et pourtant sous nos yeux), des complications comme : convulsions, autisme, infections, asthme , troubles du système immunitaire, décès, anaphylaxie, arthrite rhumatoïde, mort subite du nourrisson, méningite, encéphalite, arrêt cardiaque ou respiratoire et bien d’autres – alors que l’industrie continue de plus en plus à déclarer que les vaccins sont sûrs et efficaces, et que les réactions graves sont rares.
Le problème de confiance est énorme. On ne peut bien sûr pas éliminer tous les risques de décès, mais le risque de dommages graves dus aux vaccins dépasse de loin les risques de dommages causés par la maladie quand celle-ci est bien gérée par les parents et les médecins qui ont une bonne connaissance des exigences d’une bonne alimentation, de la thérapie par les vitamines ou autres traitements naturels.
Shawn Siegel possède assez de bon sens pour ne pas être dupe quand il existe un risque d’être floué. C’est ainsi qu’il s’est senti obligé d’entamer des recherches après avoir découvert qu’immédiatement après que le vaccin polio soit apparu sur le marché, le CDC a radicalement changé la définition de la maladie. Il anime une émission radio/internet : « Le mythe vaccinal : un problème de confiance » sur Logos Radio Network. Informations : http://vaccinationcouncil.org/2013/09/19/disinformed-consent-by-shawn-siegel/#sthash.NOEPSIKS.dpuf
Références:
1. VAERS will accessible again when the federal shutdown is over. The URL starting point: http://wonder.cdc.gov/vaers.html
2.http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC500782/
3. From the following case: “Within one day [of the DTaP vaccination], he developed a fever, which led to a complex febrile seizure. Subsequently, [the child] developed epilepsy. This fact pattern is commonly seen in the Vaccine Program.” Parents, then, should be duly informed about the “fact pattern”.
4. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1788654/
5. http://vaers.hhs.gov/about/faqs#who_reports
6. http://www.omsj.org/reports/JAMA-KesslerMedWatch.pdf
http://expovaccins.over-blog.com/article-revelations-sur-les-vaccins-de-quoi-refuser-la-piqure-120767828.html
Vaccination Council & Age Of Autism