Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
rusty james news
rusty james news
  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog

 

90243223_3015402811831487_8561877086778687488_o (1)

3323033

coronavirus-patentes

images (19)

219-2199429_love-heart-beautiful-wallpapers-happy-valentines-day-nature

1025600_652515874786871_1894874949_o


nVskOPKB

téléchargement (100)

universal-biometric-identity-1024x576

91848411

téléchargement (11)

tree_horizon_sunset_128367_5000x2830

f04543b60ef77267e2b31c5f3920fbb0

photo-1542805700-2fadb851b97a

qxJUj0O

 

pIHMc8u

7kKizZj

ZcuYl3V


sea-beach-sunset-boats-red-sky-1080P-wallpaper-middle-size

night-sky-background-7047

sky-wallpaper-38

18557077_1435376306500820_5842715664996553589_n

 

 

798041343248-national-geographic-wallpaper-zealand-photo-waikawau-desktop-bigest-images

Firefox_Screenshot_2017-02-18T13-56-14

16195622_1077703329024709_5740688279216232976_n

sf

 

Pyramides-Gizeh

atlantide-compressor

Ancien-arbre-1

Ancien-arbre-2 - Copie

Ancien-arbre-3 - Copie

h21

h25

h25

h26

h27

SDSDS

SZSDFZFS

ZDZD

931270ecd7_50010171_bohr-heisenberg-aip-niels-bohr-library

don

 

1a686c3b37ddba12f5e282679288047b

62e74d09a526f5250c3c16f5bbb7d342

3a2057e1930aac61c9451db179973253

5aa85f74b15975d75e8a6d4e547b40b0

5c3e0b7842f37a0d63504d0a032ca422

5f6fce1a34d9027bdedb78ef0658a5af

9dbf5fc4a80275b619f44e3e7a8314d2

a37cf9c85664975cf3660c8f21f70899

a96a954487d536bd6f75942a6d02f5b9

a977356a4e04ae0cdaf4c67ca90d1939

ad9ee9f2e4a1d0e83945b78313c60f27

b7e27913185d0679a669ce0f634d95f0

Archives
gardasil
26 juillet 2018

GARDASIL : une victoire légale, une décision historique

ob_7b7ed9_gadasil-fully-exposed (1)

La Cour fédérale du Canada décide de divulguer les données d’essais cliniques à un chercheur américain

Par Brian Shilhav

CBC News, ainsi que le British Medical Journal (BMJ) rapportent que le professeur Peter Doshi a remporté une victoire juridique majeure contre les sociétés pharmaceutiques qui tentent de cacher les données d’essais cliniques au public, prétendant qu’il s’agit « d’accords confidentiels » pour 5 produits pharmaceutiques.

Doshi a poursuivi Santé Canada pour qu’elle communique les données concernant les essais cliniques qui lui furent soumis par les fabricants de vaccins contre le HPV, le Gardasil 9 et le Cervarix, ainsi que les médicaments antiviraux contre la grippe, le Tamiflu et le Relenza.

Un juge de la Cour fédérale du Canada a ordonné à Santé Canada de divulguer les données des essais cliniques réalisés sur les produits pharmaceutiques repris ci-dessus, compromettant ainsi les tentatives du gouvernement canadien de garder cette information confidentielle.

Pour autant que je sache, cette décision historique du Canada a été complètement censurée dans les médias « dominants » parrainés par les entreprises américaines.

Tout ceci relève d’une stratégie juridique brillante du Dr Doshi et de ses avocats, car ils avaient peu ou pas de chance d’obtenir ces données d’essais cliniques d’un tribunal aux Etats-Unis, où les sociétés pharmaceutiques jouissent d’une immunité juridique contre la plupart des poursuites.

L’importance de recevoir ces données, particulièrement sur le vaccin Gardasil de Merck, ne peut être surestimée.

Comme nous l’avons signalé à plusieurs reprises ici à Health Impact News, tout le processus d’approbation médicale pour introduire le vaccin contre le HPV sur le marché américain est rempli de scandales et de dissimulations qui ont provoqué des problèmes de santé et le décès de nombreux jeunes, particulièrement des jeunes femmes âgées de 12 à 26 ans, et dont beaucoup ne peuvent plus avoir d’enfants, suite au vaccin qui les a rendues stériles.

ob_e8d2d4_nombreuses-victimes-du-gardasil

 

«J’espère que mon cas permettra d’établir un précédent et permettra aussi aux chercheurs, aux cliniciens, ainsi qu’au public d’accéder facilement aux données des essais cliniques », aurait déclaré le Dr Doshi dans un courriel envoyé à CBC News.

« Les régulateurs ne devraient pas avoir le monopole de l’évaluation des risques et des avantages des médicaments. Ils ne devraient pas non plus empêcher les autres de faire de même par des accords de confidentialité. »

La décision du juge de la Cour fédérale du Canada, M. Sébastien Grammond, qui a qualifié la position de Santé Canada de « déraisonnable », a été bien accueillie par d’autres experts juridiques au Canada, selon CBC News.

« La Cour a déclaré très clairement que c’était l’intérêt du public de pouvoir accéder à cette information afin que les chercheurs indépendants puissent exercer une surveillance. Cet accès à l’information l’emporte donc fondamentalement sur tout intérêt à protéger des intérêts commerciaux », a déclaré Matthew Herder, directeur du Health Law Institute de Dalhousie, Université de Halifax.

Herder qui a étudié l’affaire de près, a dit qu’il espérait que cette décision courageuse entrainerait les chercheurs, même à l’extérieur du Canada, à commencer à demander des données concernant d’autres médicaments actuels qui se trouvent sur le marché.

Lire ici la décision du Tribunal.

Le Dr Peter Doshi a critiqué publiquement les compagnies pharmaceutiques et les politiques gouvernementales qui induisent le public en erreur  en matière de sécurité des médicaments en dissimulant les données des essais cliniques sur les médicaments accessibles au public et aux chercheurs indépendants.

La renommée du Dr Doshi ne lui revient pas pour avoir, par exemple, résolu l’énigme du cancer ou pour la découverte d’un nouveau médicament à succès, mais d’avoir réussi à pousser les plus grandes firmes pharmaceutiques du monde à ouvrir leurs dossiers afin que les avantages et les inconvénients potentiels de ces médicaments que le public prend tous les jours, soient enfin mieux compris.

Avec un groupe de chercheurs et d’activistes de tout pays, le Dr Doshi essaie de dénicher les données des essais cliniques qui sont en fait des études complexes qui durent des années et impliquent souvent des milliers de patients dans de nombreux pays, pour finalement rendre ces données publiques.

Dans le système actuel, disent les militants, ce ne sont que de maigres détails des essais cliniques qui sont publiés dans les revues médicales, souvent même par des auteurs ayant des liens financiers avec les entreprises pour lesquelles ils écrivent les articles. Il semble évident que ces données sont à ce point insuffisantes qu’elles sont susceptibles d’induire en erreur.

Cette décision prise au Canada représente une grande victoire pour le Dr Doshi et devrait mener à une plus grande transparence dans les essais cliniques des médicaments et, potentiellement permettre des poursuites contre les sociétés pharmaceutiques qui ont agi de façon contraire à l’éthique en commercialisant des produits dangereux comme le vaccin annuel contre la grippe et les vaccins contre le HPV (cancer du col de l’utérus).

Le Dr Peter Doshi est rédacteur associé au BMJ et à l’équipe News & Views. A Baltimore, il est également professeur adjoint de recherche dans les services de santé à l’Université de Maryland (School of Pharmacy).

Source : VaccineImpact

 

ob_093d5a_vioxx-gardasil

 Faites-nous confiance.  Après le Vioxx, voici le Gardasil, deux grands produits de chez Merck.

y, Health Impact News,19 juillet 2018

Publicité
Publicité
6 août 2017

Une infirmière administre le vaccin Gardasil à sa fille: celle-ci développe une leucémie et en décède

 

16298180-21186212

Health Impact News, 13 juillet 2017

L’équipe VAXXED a interviewé une maman de Long Beach en Californie. Cette dernière est infirmière ; elle était favorable aux vaccins. Elle explique que tous ses enfants avaient reçu tous les vaccins prévus par le programme officiel avant qu’elle administre le Gardasil à sa propre fille de 16 ans.

En tant qu’infirmière, son travail consistait à administrer régulièrement des vaccins qu’elle n’a jamais remis en question. Elle déclare qu’elle n’a jamais été informée de leurs effets secondaires.

Quand elle a appris que le Gardasil était un vaccin destiné à prévenir le cancer, et que sa fille devait le recevoir avant qu’elle ne devienne sexuellement active, elle n’a pas hésité à faire venir sa fille dans le bureau où elle travaillait et lui a administré la première dose du vaccin.

Après ce premier vaccin, sa fille était toujours fatiguée. On pensait qu’elle pouvait souffrir de mononucléose. Elle souffrait sans arrêt et avait du mal à parcourir de longues distances. Avant qu’elle ne reçoive ce vaccin sa fille était cependant en parfaite santé et très active.

Sa maman n’a cependant pas associé ses symptômes au vaccin. Elle les a attribués à une alimentation déficiente et à un mode de vie trop actif.

ob_64edd4_maman-et-polly-vaxxed

Comme sa fille avait peur des vaccins, elle a décidé de ramener le vaccin Gardasil à la maison et de le lui administrer chez elle.

Peu de temps après le deuxième vaccin, on diagnostiqua une leucémie chez sa fille. Dix mois plus tard, elle devait décéder.

« Je veux partager mon histoire parce qu’elle est très importante.

Ce vaccin est horrible. Je ne puis pas dire qu’elle serait peut-être toujours là si je ne le lui avais pas administré.

Je me sens vraiment responsable parce que c’est moi-même qui lui ai administré ce vaccin. Je croyais faire ce qu’il fallait pour protéger ma fille du cancer, et elle a fini par attraper le cancer ! J’avais pourtant essayé de la protéger ! »

ob_d67e38_embrassade

3 juin 2017

Le Gardasil : Ne laissez plus votre médecin injecter de la MORT aux RATS à vos filles !

 

jeune-et-priere

 

Gardasil, vaccin prétendument contre le cancer de l’utérus à propos duquel une plainte vient d’être ENFIN déposée contre Sanofi Pasteur MSD et l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) pour effets secondaires gravissimes.

La goutte qui a fait déborder le vase, est le cas relaté par « Initiative citoyenne »,  de Marie-Océane Bourguignon, jeune étudiante bayonnaise de 18 ans, qui après avoir reçu la deuxième dose de ce vaccin a subitement perdu la vue et l’usage de ses jambes, en plus de séquelles nerveuses multiples aux douleurs intolérables. Sa mère déclare que la troisième injection eut probablement été mortelle si elle avait été effectuée. Vous pouvez consulter ce témoignage complet dans INITIATIVE CITOYENNE – voir :

http://www.initiativecitoyenne.be/article-gardasil-on-peut-parler-de-carnage-121324534.html

La  plainte de Marie Océane annoncée dimanche 24 novembre 2013 a été suivie le soir même d’un vigoureux démenti par L’ANSM et Sanofi Pasteur niant tout lien entre leur vaccin Gardasil et la maladie de la jeune femme… (bien évidemment !) .Ainsi, le docteur André Dhalab, émissaire de la « Direction médicale » de Sanofi-Pasteur, déclara avec aplomb devant des millions de téléspectateurs : « Il faut le dire tout de suite, il n’y a aucun lien entre Gardasil et ce cas de sclérose en plaques ». (Ben c’est vrai puisqu’il vous le dit !!!). Alors comment se fait-il qu’en juin dernier, la Commission de conciliation et d’indemnisation des accidents médicaux avait conclu au « lien de causalité entre le vaccin et la pathologie » de Marie-Océane ?

En fait, ce vaccin aurait déjà provoqué plus de 30 000 accidents répertoriés, dont 130 décès, ce qui ne l’empêche pas d’être toujours chaudement recommandé par les autorités sanitaires en dépit de plus de 8000 effets graves officiels. Tous les jours, de nouvelles jeunes femmes en France, en Europe, dans le monde entier, se laissent administrer ce vaccin parce qu’on leur cache son extrême dangerosité. A noter que les effets néfastes rapportés de ce vaccin représentent seulement 1% de la réalité, ceci de l’aveu même du CDC et de la FDA – il y a vraiment de quoi s’alarmer !

De fait, si toutes les victimes du Gardasil  établissent la connexion et attaquent les fabricants et les médecins vaccinateurs sur base de données accablantes telles le risque de stérilité définitive qui affecte déjà très probablement des milliers de filles vaccinées sans qu’elles s’en soient encore rendu compte, vu qu’elles sont sous pilule pour beaucoup, il est évident que ces firmes, en dépit de la récente loi scélérate qui leur accorde l’immunité juridique face à leurs responsabilités, risquent de devoir fermer définitivement leurs portes sous le gouffre financier d’indemnisations que cela représente, et que les médecins n’oseront plus piquer comme ils le font actuellement à la manière de vulgaires robots. Justement, d’après divers avocats, ce premier procès est entrain de mettre le feu aux poudres à une série de 20 autres plaintes pour séquelles graves du Gardasil, et celles-ci risquant de faire rapidement boule de neige…….

Bien que depuis plusieurs années j’aie déjà largement alerté le public sur la dangereuse arnaque de ce faux vaccin, je vais utiliser la méthode Coué et reprendre à zéro la logique implacable de mon argumentation, face au matraquage publicitaire ayant pour cible les filles…. à partir de 9 ans !  Ce vaccin censé prémunir contre le cancer du col de l’utérus de la cinquantaine… (40 ans après !!!) n’est en fait qu’un vaccin contre le papillomavirus HPV générateur possible des « crêtes de coq ». On connaît actuellement l’existence de plus de 100 souches de HPV (transmissibles par voie sexuelle… à 9 ans ???), mais qui sont naturellement éliminées dans un délai de 8 à 13 mois sans le moindre désagrément dans 90% des cas. Alors où est le problème ?
Et de quel marc de café  sort que le papillomavirus peut évoluer en cancer du col de l’utérus 40 ans après ? Ce qui me sidère, c’est que des gens même hautement diplômés puissent gober et relayer sans se poser de questions une telle absurdité, dès lors que cela sort du chapeau magique des autorités dites scientifiques. En outre, cela n’inquiète personne non plus lorsque l’on propose un vaccin contre le cancer de l’utérus, alors que tout le monde sait que le principe d’un vaccin contre le cancer a été abandonné depuis longtemps.

Mais ce n’est pas tout :
Vous êtes-vous intéressés à la composition du Gardasil ? Chaque dose de ce vaccin à composants transgéniques (OGM) contient en plus de la quinzaine de souches dites à haut risque de HPV, des substances connues pour leur neurotoxicité et leur cancérogénicité, telles 225µg d’aluminium, du polysorbate 80, mais aussi et peut-être le pire, du BORATE DE SODIUM. Or, savez-vous que le borate de sodium est le produit de base DE LA MORT AUX RATS ? Il est interdit dans toute préparation médicale……mais pas dans ce vaccin !!!

Voici quelques uns des effets graves possibles :
Paralysies type Guillain-Barré pouvant être irréversibles, bronchospasmes, syncopes, faiblesse généralisée, troubles cutanés, arthrite, migraines invalidantes, inflammation du pelvis avec violentes douleurs abdominales, disparition ou amoindrissement du flux menstruel, troubles graves de la vue, épilepsies parfois irréversibles, décès par thrombose ou par arrêt cardiaque, fausses couches, risque de maladies auto-immunes pouvant survenir jusqu’à quatre ans après le vaccin .

Bien sûr, la plupart des gens ne savent pas tout cela, mais se sont-ils seulement intéressés à la question en tapant simplement Gardasil sur Google ? (Attention, le site Doctissimo est édité pour le compte des labos). Non ! Ils se sont contentés de se soumettre à l’autorité d’un « médecin perroquet», lui-même soumis au dictat de l’Ordre.

Je rappelle que le Gardasil est un vaccin CONSEILLÉ MAIS NON OBLIGATOIRE,

en dépit de l’ambigüité établie, ce qui veut dire que vous en portez seul l’entière responsabilité, alors qu’il n’y a aucune garantie d’innocuité. Même si le médecin vous a manipulé, c’est vous qui avez choisi ET décidé et il ne supporte aucune responsabilité. Bref, en cas de problème aussi grave soit-il, il ne vous reste que les yeux pour pleurer….
Il y a aussi ceux qui savent qu’il y a un risque, mais entre la peur du cancer et la peur du vaccin, ils optent pour le risque qui leur fait la moins peur – (comme quand on vote pour le « moins pire »). Et alors ils prient ensuite le ciel pour que cela se passe bien pour eux. Jouer à la roulette russe avec ses propres enfants, je trouve cela vraiment « crade » (je ne trouve pas d’autre terme) – c’est du « n’importe quoi » méprisable !

Restent les nombreux praticiens qui inoculent joyeusement  de telles saloperies au mépris du serment qu’ils ont prêté (Primum non nocere), et qui portent une grave responsabilité dans la poursuite de ce scandale ayant commencé en 2006!  Comme m’a dit un jour un ami médecin : « Le doctorat est en fait un permis de tuer légalement en toute tranquillité ». Alors un conseil : n’écoutez plus jamais les recommandations vaccinales de médecins qui en outre ont eu Zéro heure de formation à la fac, si ce n’est celle du calendrier vaccinal, qui n’ont jamais ouvert un seul des ouvrages de sommités scientifiques indépendantes et médecins de renom concernant les résultats historiques des campagnes vaccinales dans le monde. Écoutez encore moins les éventuels ordres péremptoires de médecins, pouvant être de ce fait suspectés de recevoir des primes associées à leurs actes vaccinaux. Avec ceux-là, pas de quartier, fâchez–vous et partez sans payer pour leur apprendre à respecter les gens (leurs clients, au demeurant) !

En France, le Ministre Xavier Bertrand porte une grave responsabilité, ayant personnellement accéléré le remboursement du Gardasil. Il a d’ailleurs « courageusement » toujours refusé de s’en expliquer face à la caméra. Son successeur, Roselyne Bachelot, ancienne visiteuse médicale, a félicité Sanofi Pasteur pour le Prix Galien décerné au Gardasil (diplôme qu’avait  aussi reçu le Vioxx qui a provoqué plus de 55 000 décès rien qu’aux USA et a fini par être enfin retiré du marché).

Mais il reste un dernier objet de ma consternation, ce sont les pétitions qui réclament des vaccins dépourvus d’adjuvants toxiques (aluminium, mercure, mort aux rats, etc.). Quelle naïveté ! Quand les gens comprendront-ils que les pétitions n’arrivent jamais à destination et que cela ne sert à rien si ce n’est de donner bonne conscience à tous ceux qui ont l’illusion d’avoir participé à un mouvement de masse constructif ? Mais le plus incroyable est que presque personne n’ose remettre en question la valeur intrinsèque des vaccins car çà, c’est tabou ! Car ceux qui ne croient pas aux vaccins et qui remettent en question les données mensongères de leur propagande sont susceptibles d’être catalogués SECTE. Alors j’hésite entre un manque de courage collectif, ou l’indécrottable encodage pasteurien qui fonctionne encore.

Cela fait plus d’un siècle que le principe vaccinal est dénoncé par des grands noms de la science médicale. (plus de 50 ouvrages en français et près de 200 en anglais en témoignent). Mais rien n’y fait – empêtrés chacun dans leurs peurs subjectives, médecins et patients préfèrent s’en tenir au flou artistique pour enfants de cœur distillé par les imposteurs patentés qui les rassurent.

A notre époque, ceux qui ne savent pas sont ceux qui ne cherchent pas à savoir.

Après un siècle de palabres où le dernier mot appartient toujours aux criminels dont la mauvaise foi n’a pas de limite, maintenant, je dis que le temps des discussions avec des autistes malveillants est terminé. Il est facilement démontrable que toutes les allégations officielles sur les vaccins sont fausses et truquées.

Au lieu de s’en tenir aux croyances, il est toujours possible de se documenter.

Personnellement c’est ce que je fais depuis  plus de 40 ans. Et je n’ai pas peur de dire tout net haut et fort que la vaccination est une arme de destruction massive, génératrice de la plupart des maladies infectieuses et dégénératives modernes. Ce qui est sûr, c’est qu’elle a fait des millions de victimes – ce qui est indémontrable, c’est qu’elle ait protégé qui que ce soit, puisque c’est dans les pays les moins vaccinés que les épidémies ont le plus régressé voire complètement disparu.
A ce jour, il est probable que le Gardasil soit le vaccin le plus dévastateur, prenant la relève de celui de la variole qui a fait tant de dégâts.

Mais le temps de toutes les révélations est arrivé, et  la vapeur est en cours de s’inverser. Les artisans de l’ombre, « collabos en tous genres » de l’exploitation de la maladie, de la souffrance et de la misère sont en cours d’être démasqués et neutralisés. Le temps de baisser la tête est révolu. Il est du devoir citoyen de réagir contre la désinformation et de résister par le statisme aux lois iniques et meurtrières. Alors pas de demie mesure :

LIBERTE VACCINALE TOTALE !

4 avril 2014

Vaccin Gardasil : 25 nouvelles plaintes bientôt déposées

Sclérose en plaques, lupus, inflammations du système nerveux... Autant de maladies que Me Jean-Christophe Coubris, l'avocat de la première plaignante contre le Gardasil, attribue notamment au vaccin controversé destiné à prévenir le cancer du col de l'utérusGrande

95106765

Ce mercredi, l'avocat a indiqué que vingt-cinq nouvelles plaintes allaient prochainement être déposées contre l'entreprise franco-américaine qui commercialise Gardasil, Sanofi Pasteur MSD (Merck). 

Ces nouvelles plaintes pour «blessures involontaires, violation d'une obligation manifeste de sécurité et méconnaissance des principes de précaution et de prévention» seront également déposées contre l'agence du médicament (ANSM) avant la fin du mois et auprès du parquet du Pôle de santé du tribunal de Grande Instance de Paris. 

«Le point commun entre toutes ces affaires est le délai très court entre l'injection du Gardasil et les premiers symptômes de la maladie», a justifié l'avocat, précisant qu'il espérait la désignation rapide d'experts. Une pétition réunissant plus de 420 médecins réclame par ailleurs une mission parlementaire sur ce vaccin.

Lien d'«imputabilité» entre le vaccin et une inflammation nerveuse 
Une plainte similaire avait déjà été déposée en novembre dernier auprès du parquet du tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis) par Marie-Océane Bourguignon, 18 ans, qui avait développé une inflammation du système nerveux, après une injection de Gardasil. Elle avait été vaccinée à 15 ans, comme quelque 2,3 millions d'adolescentes françaises ainsi traitées préventivement contre ce cancer touchant près de 3 000 personnes annuellement et qui fait environ un millier de décès. Son dossier s'appuyait sur une double expertise qui avait, selon Me Coubris, pour la première fois conclu «au lien d'imputabilité» entre le vaccin et la pathologie présentée par Marie-Océane.
http://www.leparisien.fr/societe/vaccin-gardasil-25-nouvelles-plaintes-bientot-deposees-02-04-2014-3734449.php
5 septembre 2013

Le Japon exige la divulgation des effets secondaires du vaccin anti- HPV

 

images

Maman d’une victime japonaise du vaccin contre le HPV

 

Par Norma Erickson 29 août 2013 – Sanevax

L’encéphalomyélite aiguë disséminée et le syndrome de Guillain-Barré constituent-ils des réactions indésirables aux vaccins contre le HPV ? Pour le moment, les autorités sanitaires japonaises ne sont pas sûres, mais elles ont choisi d’appliquer le principe de précaution et d’informer le public au cas où. - De toute évidence, les autorités japonaises croient à un consentement éclairé.

Le 26 mars 2013, le Ministère de la Santé, du Travail et de la Prévoyance a informé GlaxoSmithKline qu’ils avaient 30 jours pour modifier la notice du Cervarix en ajoutant à la rubrique « Précautions/ section effets indésirables » ce qui suit :« Encéphalomyélite aiguë disséminée : il est possible que l’encéphalomyélite aiguë disséminée puisse se produire. Dans pareils cas, de la fièvre, des céphalées, des convulsions, des troubles du mouvement, des perturbations de la conscience se produisent généralement dans les quelques jours et jusqu’à deux semaines après la vaccination. Si l’on suspecte une encéphalomyélite aiguë disséminée, un diagnostic doit être effectué par IRM et des mesures appropriées doivent être prises. » Cette directive n’a pas été adressée à Merck parce que la notice du Gardasil avait déjà fait référence aux risques d’encéphalomyélite aiguë et de Guillain-Barré au moment où la directive a été émise.

Quelle est la raison de cette action ?

Au cours des trois premières années de l’utilisation des vaccins HPV, 3 cas d’encéphalomyélite aiguë et 5 cas de Guillain-Barré avaient déjà été rapportés après des injections pour lesquelles un lien de causalité avec le vaccin ne pouvait pas être exclu. [1]

A titre de référence, il y a eu aux Etats-Unis 31 cas d’encéphalomyélite aiguë disséminée et 121 rapports du syndrome de Guillain-Barré qui ont été communiqués au VAERS (Organisme officiel Américain auquel sont rapportés les cas d’effets secondaires des vaccins) au cours des 7 dernières années. [2] La FDA américaine n’a pas demandé que ces problèmes soient repris dans les notices. Comment pouvoir comprendre pareille chose ?

Dans votre pays, combien de rapports d’encéphalomyélites disséminées et combien de cas de Guillain-Barré ont été rapportés après les vaccinations contre le HPV ? Les responsables de Santé Publique ont-ils exigé que des modifications soient apportées aux notices ?

Pourquoi le Japon a-t-il pris pareille initiative audacieuse ?

A première vue, l’action du Ministère japonais peut donner l’impression qu’il a agi en fonction de son attachement au principe du consentement éclairé.Cependant, Toshie Ikeda, secrétaire général de l’Association Nationale des Victimes du vaccin contre la cancer du col de l’utérus et leurs parents, ainsi que le Dr Sotaro Sato, directeur du service de médecine interne de l’hôpital d’Osaki - (préfecture de Miyagi, croient que l’action du Ministère exige une analyse plus profonde. Il semble que deux motivations puissent expliquer l’action du Ministère. L’une cependant l’emportant sur l’autre.

Ils ont précisé que le premier motif possible était un désir sincère de conscientiser les médecins et autres intellectuels de la nature essentielle des graves effets indésirables des vaccins contre le HPV, Garsasil et Cervarix, afin de prévenir de nouveaux cas de graves dommages à la santé chez des millions d’adolescentes qui, à l’avenir seraient susceptibles de recevoir l’un ou l’autre de ces vaccins.

L’autre possibilité est la crainte de poursuites qui seraient déposées par l’Association des Victimes pour le compte de nombreuses familles désespérées, et dont les chères filles, précédemment en bonne santé, auraient été gravement atteintes, paralysées ou dont la santé aurait été horriblement dévastée par la vaccination contre le HPV.

Les tribunaux japonais auraient alors été susceptibles de mettre en valeur la responsabilité des bureaucrates de la Santé qui n’auraient pas pris les mesures de précaution et qui n’auraient pas laissé des preuves pouvant ensuite être utilisées pour prouver qu’ils ont au moins tenté de faire quelque chose pour arrêter la multiplication des troubles de santé pour les futures générations de jeunes-filles.

Le problème aurait été énorme si le gouvernement avait décidé – sous la pression d’universitaires ayant des liens financiers ou d’autres liens avec les fabricants de vaccins, d’activités de lobbying, d’ « experts » conseils embauchés par les fabricants, de politiciens - de recommander à nouveau l’utilisation de ces vaccins au cours de l’exercice en cours qui se termine le 31 mars 2014.

Il faut savoir que, selon les lois japonaises, les bureaucrates qui ont été jugés coupables d’avoir négligé leur devoir d’informer les consommateurs de soins médicaux de graves risques impliqués dans la prise de médicaments, vaccins et autres produits médicaux peuvent être poursuivis et sévèrement punis.

Un précédent très important a eu lieu en 2008 lorsque la Cour Suprême a confirmé une décision de la Haute Cour de Tokyo qui a imposé une peine d’un an d’emprisonnement à l’ancien bureaucrate principal du Ministère, Akihito Matsumara, avec deux ans de sursis, pour avoir négligé son obligation d’ordonner aux firmes pharmaceutiques de cesser de vendre des coagulants sanguins non chauffés qui étaient contaminés par le virus du sida.

Le juge principal Yuki Furuta de la plus Haute Cour du pays a précisé dans sa décision prise le 3 mars :

« Dans ce cas, des produits sanguins non chauffés ont largement été utilisés à l’époque de cet incident (infection). Un nombre important de ces produits étaient contaminés par le virus du sida. L’accusé aurait pu prévoir que si ces produits étaient utilisés, de nombreuses personnes seraient presqu’inévitablement infectées par le virus et développeraient un sida susceptible de finalement provoquer le décès de nombreuses personnes. »

Madame Ikeda qui a dirigé l’Association des victimes est actuellement assistée par certains des meilleurs médecins et scientifiques du pays, par certains politiciens honnêtes et courageux et qui sont préoccupés par le sort de nombreuses adolescentes qui ont été victimes des vaccins ou qui pourraient le devenir, à moins que la politique vaccinale concernant le vaccin contre le HPV soit interrompue.

Madame Ikeda a déclaré samedi :

« On ne sait toujours pas quelle est la motivation principale qui a constitué la toute première préoccupation des bureaucrates quand ils ont demandé la révision de la notice le 26 mars. Mais les mouvements de l’Association ont été étroitement surveillés par la bureaucratie du Ministère de la Santé. »

Le Dr Sato a déclaré vendredi qu’il était également conscient de deux implications possibles par rapport à la directive du Ministère. Il explique :

« Il est véritablement louable que certains bureaucrates consciencieux du Ministère semblent avoir fait de sérieux efforts pour alerter les personnes concernées par la directive, comme pour demander aux fabricants de produits pharmaceutiques d’ajouter à leur notice des références à des cas possibles d’encéphalomyélites aiguës disséminées et de Guillain-Barré.

Le désir des bureaucrates est d’éviter d’être ultérieurement tenus responsables devant les tribunaux pour avoir négligé leurs devoirs de supervision et de réglementation. Ainsi, l’augmentation du nombre des victimes semble avoir joué un rôle plus important dans la motivation du Ministère à émettre la directive.

La révision de la notice d’accompagnement ferait ainsi une différence significative si une plainte était déposée. Avec la publication de la directive, les fonctionnaires seraient en mesure de dire aux victimes, aux parents et à leurs partisans que le Ministère avait émis un avertissement important sur les effets indésirables possibles et que ce sont les victimes elles-mêmes qui sont responsables étant donné qu’elles n’ont tout simplement pas pris en compte la référence aux risques inclus dans la notice. »

Le Dr Sato a attiré l’attention sur la coïncidence des dates : L’Association des victimes a tenu sa première réunion des victimes et de leurs parents le 25 mars – un jour avant la publication de la directive. Le Ministère doit avoir suivi la série des événements qui ont mené à la création de l’Association pour laquelle des gens de bonne volonté ont uni leurs forces pour soulager l’agonie des victimes et empêcher les fabricants de vaccins, les associations médicales et le gouvernement de faire encore davantage de victimes, que ce soit involontairement, dans une semi-conscience et connaissance des effets secondaires ou par totale indifférence vis-à-vis des graves conséquences possibles des vaccins contre le HPV sur la santé des jeunes-filles.

Le Dr Sato a attiré l’attention sur un autre aspect essentiel de la question au sujet de la vaccination contre le HPV et qui se pose actuellement pour de nombreux médecins au Japon et ailleurs quand il a déclaré :

« Quand un médecin voit une jeune-fille qui a développé certains symptômes de l’encéphalomyélite aiguë disséminée ou d’un Guillain-Barré à la suite d’une vaccination, il ne sera pas nécessairement capable de reconnaître ces symptômes comme étant ceux d’une encéphalomyélite aiguë disséminée ou d’un Guillain-Barré, à moins que ce médecin ait une connaissance approfondie des troubles et maladies neurologiques. Il ’est pas facile pour les médecins d’associer les symptômes qu’il voit à une encéphalomyélite aiguë disséminée ou d’un Guillain-Barré. Au Japon, le pourcentage des médecins qui peuvent reconnaître les symptômes que présentent des jeunes-filles qui viennent les trouver pour les conséquences d’une encéphalomyélite aiguë disséminée doit être inférieur à 0,1%. »

Les autorités gouvernementales doivent établir et publier les critères de diagnostic unifiés pour aider les médecins à reconnaître les symptômes induits par une encéphalomyélite aiguë disséminée ou un Guillain-Barré et attirer l’attention des médecins sur lesdits critères. La plupart des médecins qui verront ce type de jeunes-filles à l’avenir doivent être familiers avec ces symptômes.

Le Dr Sato a averti :

« Se contenter d’obtenir des fabricants de vaccins une modification de notice n’est pas suffisant pour accroître la sensibilisation des médecins et des consommateurs de soins de santé aux risques potentiels de ces deux vaccins. A moins que le gouvernement fasse des efforts très sérieux pour attirer l’attention sur les effets néfastes et horribles de ces vaccins, il est probable que de nombreux médecins vont continuer à administrer des injections de vaccins sans être en mesure d’avoir le niveau d’attention nécessaire pour pouvoir établir un lien causal entre les vaccins et leurs effets secondaires. »

Les politiciens japonais commencent à parler

Le 28 mars 2013, un comité de sélection pour la Santé, les Affaires sociales et le Travail a tenu une séance spéciale pour voir si le sujet des vaccins contre le HPV pouvait être abordé avant un vote parlementaire sur l’opportunité d’ajouter trois maladies, dont le cancer du col de l’utérus à la liste des vaccins dont le coût devait être entièrement couvert par le gouvernement en vertu de la loi existante sur la prévention par la vaccination [3]

Sur les 722 membres du Parlement japonais, deux voix ont, à plusieurs reprises, mis fortement en question le sens que pouvait avoir une vaccination universelle contre le HPV. Ces deux voix se sont fait entendre au Parlement et dans les médias. L’une d’elle était celle de Mdame Tomoko Hata qui était membre du Parlement, mais pas membre du Comité de la Santé, du bien-être et du travail. L’autre personne était Madame Eriko Yamatani, ancienne collaboratrice du Premier Ministre Shinzo Abe. […] Madame Hata a tout fait pour que les personnes présentes à la séance des questions et réponses soient mises au courant des faits suivants concernant le HPV et le cancer du col de l’utérus au Japon :

 

·           La proportion des femmes japonaises porteuses des types HPV 16/18 est beaucoup plus faible que celle des femmes des pays occidentaux (0,5% pour le HPV 16 et 0,2% pour le HPV 18)

·      Plus de 99,1% des personnes porteuses du papillomavirus humain ne développeront pas de cancer ;

·      Chez 90% des personnes qui ont été exposées au HPV, le virus disparaîtra endéans les deux ans.

·      90% des personnes qui présentent les premiers signes de cancer du col utérin (dysplasie cervicale) vont guérir spontanément.

·      Le nombre des effets secondaires graves rapportés a été 52 fois plus élevé après le Cervarix qu’après les vaccinations contre la grippe et 26 fois plus élevé après le Gardasil qu’après les vaccinations contre la grippe.

Le même jour, le Parlement japonais a voté pour inclure le cancer du col de l’utérus dans la liste des maladies figurant dans les lois japonaises sur la vaccination. Madame Hata a voté contre l’inclusion proposée, tandis que Yamatani et quelques autres se sont abstenus. […]

Les victimes du vaccin contre le cancer du col de l’utérus et les parents s’organisent

Pendant ce temps, les victimes d’effets indésirables graves se sont organisées dans tout le Japon sous le nom suivant : Association Nationale des Victimes du Vaccin Contre le Cancer du Col de l’Utérus et leurs Parents.

 

Grâce à la collecte de rapports d’événements indésirables de particuliers [4], le public a commencé à comprendre que les événements indésirables signalés officiellement ne représentaient que la pointe émergée de l’iceberg.

 Conférence de presse des membres de l'Association des Victimes du Vaccin contre le HPV à Tokyo - photo Japan Times du 24 août 2013.

Cette organisation fait actuellement circuler une pétition à l’adresse des responsables de la Santé pour :

 

·             Faire interdire l’utilisation des vaccins contre le HPV dans tout le pays et faire reconnaître les dommages que peuvent causer les vaccins contre le HPV.

·        Mettre au point  des traitements pour les victimes des vaccinations contre le HPV.

·        Fournir une aide financière aux victimes de la vaccination contre le HPV

·        Mener des enquêtes auprès de tous ceux qui ont été vaccinés contre le HPV.

·        Faire participer les meilleurs experts en neuroscience (et qui ont vu des dizaines de victimes) à un Comité ministériel de Santé sur le problème des vaccins.

 Le Japon suspend la recommandation du vaccin contre le HPV

L’Association des Victimes des Vaccins Contre le Cancer du Col et leurs parents a apparemment fait impression sur les responsables de la Santé du gouvernement. Dans un geste sans précédent, et moins de trois mois après avoir recommandé les vaccins contre le HPV, les responsables gouvernementaux du Japon ont suspendu cette recommandation en attendant le résultat des enquêtes sur la sécurité du Gardasil et du Cervarix. [5] [6] Le jour même où la recommandation du vaccin a été suspendue, soit le 14 juin 2013, le Ministère de la Santé a publié une autre directive à l’adresse du président de la Commission sur la sécurité des médicaments (Fédération des fabricants de produits pharmaceutiques du Japon), au nom de M. Tomiko Tawaragi, directeur de la Division Sécurité (Bureau de la Sécurité alimentaire et des produits pharmaceutiques) [7]

Cette lettre exigeait que les fabricants du Gardasil et du Cervarix ajoutent ce qui suit au texte traitant des « Précautions » :

« Bien que les mécanismes de pathogenèse ne soient pas clairs, de fortes douleurs qui ne sont pas nécessairement localisées au site d’injection ( par exemple : douleurs musculaires, arthralgie, douleurs au niveau de la peau, etc.), engourdissement, faiblesse, etc. peuvent se produire après la vaccination et ces symptômes peuvent persister longtemps. Il faudrait conseiller aux personnes vaccinées et à leurs tuteurs de consulter un médecin qui pourrait fournir les soins médicaux appropriés et donner un diagnostic différentiel neurologique et immunologique si des anomalies se présentaient après la vaccination. »

Veuillez noter que le paragraphe ci-dessus indique que les sujets vaccinés et/ou leurs tuteurs doivent consulter un médecin si quelque anomalie que ce soit est observée après la vaccination.

Les consommateurs de soins médicaux de votre pays ont-ils été mis au courant de ces effets indésirables possibles ?

Les actions menées au Japon soulèvent des questions pour les consommateurs de soins médicaux dans le monde entier.

·      Les autorités de Santé de mon pays croient-elles à la valeur du consentement éclairé ?

·      Les risques associés aux vaccins HPV seront-ils aussi bien expliqués que leurs avantages ?

·      Les mesures alternatives de prévention du cancer du col sont-elles clairement expliquées ?

·      Les autorités de Santé de mon pays réalisent-elles bien quels sont les effets indésirables possibles des vaccins contre le HPV ?

·      Est-ce que les médecins sont formés à reconnaître ces événements comme des réactions possibles du vaccin ?

·      Que va-il se passer si je fais une réaction négative au vaccin ?

Réfléchissez bien, - si les vaccins contre le HPV sont aussi bons qu’ils devraient l’être, alors répondre à ces questions devrait être chose très facile. Vous avez le droit de savoir. On appelle cela le droit au consentement éclairé.

Qu’est-ce qui vous importe le plus – la sécurité du vaccin ou le nombre de personnes qu’il faut vacciner ?

 

Références

 

[1] Pharmaceuticals and Medical Devices Safety Information, no. 301, May 2013 (pages 7-13); Pharmaceutical and Food Safety Bureau, Ministry of Health, Labor and Welfare, Japan

[2] VAERS search for ADEM; VAERS search for GBS; conducted 25 Aug 20113

[3] Health, Welfare and Labor ~ question HPV vaccine (translation of video kindly provided for SaneVax by Shinji Sato)

[4] Individual Adverse Event Reports from Japan – collected by MS Toshie Ikeda (G=Gardasil; S=Cervarix; each vertical line is one person, with their symptoms indicated by a green circle)

[5] Breaking News: Japan Suspends Recommendation of HPV Vaccines, Erickson, June 2013

[6] HPV Vaccines: Japan Leads the Way; Erickson, June 2013

[7] Letter from Director of Safety, Ministry of Health, Labor and Welfare to Chairman of Federation of Pharmaceutical Manufacturers’ Association of Japan, June 14, 2013

 http://www.initiativecitoyenne.be/

Source: SaneVax

Publicité
Publicité
4 février 2013

Nouvelle Génération d’Adjuvants Vaccinaux : Pire Que Jamais ?

aluminium-expo

Une nouvelle génération d'adjuvants vaccinaux sont aujourd'hui produits en masse. Ils sont présentés comme étant sans danger, bien qu'ils cachent un sale petit secret : ils sont à base huileuse, ce qui pourrait les rendre plus dangereux encore dans une gamme de produits qui sont, par définition, déjà toxiques.

Tous les adjuvants vaccinaux sont par définition toxiques. Leur fonction est de stimuler le système immunitaire, et de déclencher une réponse à un agent toxique.
 
Une nouvelle génération d’adjuvants a été lancée ; ils sont présentés comme moins toxiques que tous ceux qui ont précédé, alors qu’en même temps, ils sont supposés faire du meilleur travail que leurs prédécesseurs, permettant au système immunitaire de réagir à des antigènes plus faibles. Ceci nous mène à la question de savoir  comment un adjuvant peut à la fois être plus sûr et à la fois plus apte à stimuler le système immunitaire pour l’obtention de réponses plus fortes, nécessaires à la production d’anticorps pour des antigènes en plus faibles quantités.
 
Ces nouveaux adjuvants sont fabriqués à partir de vésicules de membrane externe (VME) de bactéries. Dans une bactérie, les VME sont des espèces de sacs à l’extérieur de la membrane pour la protéger dans des environnements hostiles. Le rôle d’une VME est d’être toxique.
 
C’est  par la technologie de l’ADN recombinant qu’on obtient des bactéries modifiées qui vont permettre de produire ces VME, destinées à être utilisées comme antigènes ou adjuvants pour les vaccins.
 
Tous ces produits qui sont cultivés sur la surface des microbes ont une chose en commun : ce sont des protéoliposomes…
 
Ces nouveaux adjuvants ou antigènes avec adjuvants incorporés sont particulièrement préoccupants. Il est connu que les graisses et les huiles peuvent devenir particulièrement dangereuses quand elles sont injectées. C’est leur ressemblance avec les tissus normaux du corps qui en est la raison. Les graisses ne pénètrent normalement jamais dans le corps par injection. Quand elles sont soit digérées ou créées dans le corps, il n’y a pas de problème. L’injection n’est pas du tout la voie de pénétration normale des lipides dans le corps.
 
Un lipide injecté peut être considéré par le système immunitaire comme un envahisseur ; ce qui entraîne la production d’anticorps pour lutter contre cet envahisseur. Comme les lipides existent normalement partout dans le corps, quand le système immunitaire se radicalise en voyant un ennemi dans le lipide, il ne peut que l’attaquer où qu’il se trouve, dans quelque partie du corps que ce soit. C’est la définition même de la maladie auto-immune : le système immunitaire du corps commence à  s’attaquer lui-même.
 
Ce n’est un secret pour personne que l’injection de lipides provoque des maladies auto-immunes. En fait la chose est tellement bien connue que l’injection de lipide est une technique standard mise au point pour créer des maladies auto-immunes chez les animaux de laboratoire. En particulier, l’ingrédient actif dans l’adjuvant de Freund est un lipide qui est utilisé pour provoquer un analogue de la polyarthrite rhumatoïde humaine chez les rats de laboratoire.
 
Pourtant des lipides sous forme de Vésicules de membrane externe (VME) recombinés sont ajoutés aux vaccins et injectés à des êtres humains !
 
POURQUOI AVOIR RECOURS A DES ADJUVANTS VME ?
 
Il y a une volonté de lancer les adjuvants VME parce que les antigènes des vaccins – cette partie des vaccins qui est sensée déclencher une réaction immunitaire avec la création d’anticorps – doivent créer une forte réponse immunitaire. Mais la tâche n’est pas facile, sauf si l’antigène est un microbe vivant susceptible de provoquer une maladie. C’est la raison pour laquelle on a traditionnellement utilisé des microbes atténués ou tués. 
 
Toutefois, il n’est pas facile de produire ces microbes affaiblis ou tués ; on ne peut non plus en accélérer le processus. Cela coûte beaucoup d’argent et dans le cas de la grippe, le processus peut prendre trop de temps pour pouvoir répondre à une épidémie.
 
Ainsi, l’approche moderne consiste à utiliser des morceaux de microbes, ou mieux à faire se développer ces morceaux de microbes grâce à la technologie de l’ADN recombinant, comme avec les plants de tabac. Le problème avec cette méthode est que ces morceaux de protéines ne permettent pas une réponse immunitaire suffisante. Dès lors, du fait que l’ancienne méthode avec l’aluminium ne fonctionne pas suffisamment bien, il s’est avéré nécessaire d’utiliser des adjuvants plus puissants pour obtenir cette réponse immunitaire. C’est la raison pour laquelle on assiste aujourd’hui à une ruée pour la production d’antigènes et d’adjuvants.
 
Une fois que le processus de production d’un antigène particulier ou d’un adjuvant a été élaboré, il devient rapidement peu coûteux d’en produire à grande échelle pour les vaccins.
 
Il existe un vaccin avec adjuvant VME sur le marché, c’est le Cervarix. Son adjuvant porte le nom de ASO4. Il contient de l’aluminium, ainsi qu’un produit chimique qui est un lipide (MPL).
 
QU’EN EST-IL DE LA SECURITE DES ADJUVANTS VME ?
 
Les adjuvants ont été découverts par hasard quand on a remarqué que les récipients de vaccins sales, contaminés, permettaient à terme d’obtenir de meilleurs résultats dans la production d’anticorps. Il s’agit là du sale petit secret de la vaccinologie ; c’est cette découverte qui a conduit à la contamination intentionnelle des vaccins. Les contaminants ont été rebaptisés adjuvants.
 
Il est certain que les adjuvants provoquent des effets secondaires. Celui qui est devenu la norme, l’aluminium, est une toxine connue. Mais, du fait que l’aluminium permet de rendre les vaccins plus efficaces pour la production d’anticorps, ses caractéristiques toxiques ont été et sont toujours rejetées sous le tapis.
 
On a bien sûr testé d’autres adjuvants, mais ils se sont avérés être encore plus toxiques. Parmi les pires, on trouve les adjuvants huileux, les adjuvants de Freud. On a rapidement réalisé qu’ils étaient vraiment trop toxiques pour être utilisés dans les vaccins ; mais ils ont vite trouvé une autre utilisation commerciale. Les adjuvants de Freud sont aujourd’hui couramment utilisés dans la recherche médicale parce qu’ils peuvent, chez les animaux de laboratoire, créer l’équivalent des maladies auto-immunes qui se produisent chez l’homme, comme la polyarthrite rhumatoïde. Ces animaux sont ensuite étudiés pour trouver des traitements pour les maladies humaines.
 
Aujourd’hui, on a trouvé les adjuvants VME qui sont présentés comme plus sûrs encore. Un rapport récent  de l’Académie Nationale des Sciences (Proceedings of the national Academy of Sciences (PNAS) évoque : «  un mélange moins toxique du lipide monophosphorylé », une espèce (de MPL) obtenue par la méthode VME.
 
Il est à noter que l’accent est mis sur les termes « moins toxique ».
 
L’affirmation fallacieuse que les lipides VME sont sans danger est basée sur le fait qu’il s’agit de produits naturels. C’est le fait même qu’ils sont naturels – littéralement semblables à ceux qui sont normalement produits par la chimie du corps – qui les rend si dangereux. Leur injection peut les amener à être considérés comme des toxines et engendrer la production d’anticorps dirigés contre ces produits mêmes que l’on retrouve dans le corps. Une maladie auto-immune n’est rien d’autre que le système immunitaire qui se retourne contre lui-même.
 
On met évidemment l’accent sur la capacité des lipides VME à déclencher une forte réponse immunitaire pour la production d’anticorps…
 
C’est sur la base d’une espèce de foi qu’il nous faut accepter que ces lipides sont sans danger, alors que toutes les autres formes de lipides sont trop dangereuses pour les êtres humains. Mais où se trouvent les études, les tests qui le prouvent ?
 
QU’EN EST- IL DU PROCESSUS D’APPROBATION ?
 
La FDA a fait clairement savoir qu’elle n’approuvait pas les adjuvants. Sa logique est que les adjuvants ne sont pas produits directement pour les utilisateurs. Ils sont produits pour intervenir dans la composition de produits qui arriveront aux utilisateurs. La FDA ne se centre pas sur la série des composants des produits médicaux. Mais, le fait d’avoir donné sa bénédiction pour les vaccins, lui permet d’éluder la question ayant trait à la toxicité des adjuvants.
 
De toute évidence, il n’est pas possible d’effectuer des tests sur des produits qui sont destinés à engendrer des dommages - c’est précisément le cas de tous les adjuvants vaccinaux - et espérer en démontrer l’innocuité. On ne verra donc jamais de tests de sécurité sur ces produits ; ce serait bien entendu considéré comme contraire à l’éthique.
 
Mais apparemment pas si inéthique que cela s’il n’y a aucune raison de stopper leur utilisation dans les vaccins.
 
Les adjuvants VME sont présentés comme étant sans danger, mais cependant mieux à même d’engendrer une réponse immunitaire à partir d’antigènes à faibles doses – processus qui, par définition, exige des adjuvants plus toxiques et non des adjuvants moins toxiques.
 
Ainsi, la nouvelle génération des adjuvants VME serait-elle pire que jamais ? Y a-t-il des raisons de penser autrement ?
Nous pouvons cependant être certains d’une chose : la réponse, nous la trouverons dans le corps de nos enfants.
 
Ces adjuvants sont aujourd’hui produits en masse. Ils forment la base de l’énorme quantité de vaccins qui sont dans le pipeline.
 
Références

1.Modulating the innate immune response by combinatorial engineering of endotoxin, PNAS, Brittany D. Needham, Sean M. Carroll, David K. Giles, George Georgiou, Marvin Whiteley, andM. Stephen Trent
2.Bacterial outer membrane vesicles and the host–pathogen interaction, Genes and Development, Meta J. Kuehn and Nicole C. Kesty
3. Outer Membrane Vesicles Derived from Escherichia coli Induce Systemic Inflammatory Response Syndrome, PLoS One, Kyong-Su Park, Kyoung-Ho Choi, You-Sun Kim, Bok Sil Hong, Oh Youn Kim, Ji Hyun Kim, Chang Min Yoon, Gou-Young Koh, Yoon-Keun Kim, Yong Song Gho, doi:10.1371/journal.pone.0011334
4. Outer membrane vesicle of Neisseria meningitidis serogroup B as an adjuvant in immunization of rabbit against Neisseria meningitidis serogroup A, African Journal of Microbiology Research, Seyed Davar Siadat, Saied Reza Naddaf, Mehrangiz Zangeneh, Arfa Moshiri, Seyed Mehdi Sadat, Mehdi Shafiee Ardestani, Mohammad Hassan Pouriayevali, Safieh Amini, and Mohammad Reza Aghasadeghi. DOI: 10.5897/AJMR11.361
5. Briefing Materials for the Meeting of the Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee, 7th  April, 2011
6. Immunogenicity and Tolerability of Recombinant Serogroup B Meningococcal Vaccine Administered With or Without Routine Infant Vaccinations According to Different Immunization SchedulesA Randomized Controlled Trial, doi:10.1001/jama.2012.85
7. Delivery of foreign antigens by engineered outer membrane vesicle vaccines, PNAS, David J. Chen, Nikolaus Osterrieder, Stephan M. Metzger, Elizabeth Buckles, Anne M. Doody, Matthew P. DeLisa, and David Putnam
8. Outer membrane vesicle of Neisseria meningitidisserogroup B as an adjuvant to induce specific antibody response against the lipopolysaccharide of Brucella abortus S99
9. Contribution of bacterial outer membrane vesicles to innate bacterial defense, doi:10.1186/1471-2180-11-258
10. Analysis of outer membrane vesicle associated proteins isolated from the plant pathogenic bacterium Xanthomonas campestris pv. campestris, doi:10.1186/1471-2180-8-87
11. PorA Variable Regions of Neisseria meningitidis, Emerging Infectious Diseases
Restored functional immunogenicity of purified meningococcal PorA by incorporation into liposomes
12. Liposomal meningococcal B vaccination: role of dendritic cell targeting in the development of a protective immune response.  Infection and Immunity, doi:  10.1128/IAI.71.9.5210-5218.2003
13. Immunogenicity and tolerability of a multicomponent meningococcal serogroup B (4CMenB) vaccine in healthy adolescents in Chile: a phase 2b/3 randomised, observer-blind, placebo-controlled study, The Lancet, doi:10.1016/S0140-6736(11)61713-3
14. Use of an investigational multicomponent meningococcal serogroup B vaccine (4CMenB) in a clinical trial in 3630 infants
15. Adjuvant Activity of Emulsan, a Secreted Lipopolysaccharide from Acinetobacter calcoaceticus, doi:  10.1128/CDLI.9.6.1240-1247.2002
16. Lipopolysaccharide Vaccine Adjuvant
17. Contribution of bacterial outer membrane vesicles to innate bacterial defense, BioMed Central (open access), Andrew J Manning and Meta J Kuehn
18. Analysis of outer membrane vesicle associated proteins isolated from the plant pathogenic bacterium Xanthomonas campestris pv. campestris, BioMed Central (open access), Vishaldeep K Sidhu, Frank-Jörg Vorhölter, Karsten Niehaus, and Steven A Watt
19. Routine 4CMenB immunizations effective against meningococcal strains in infants
20. Liposomal malaria vaccine in humans: A safe and potent adjuvant strategy, PNAS, L F Fries, D M Gordon, R L Richards, J E Egan, M R Hollingdale, M Gross, C Silverman, and C R Alving
 
http://gaia-health.com/gaia-blog/2013-01-26/new-generation-of-vaccine-adjuvants-worst-ever/ http://expovaccins.over-blog.com/article-nouvelle-generation-d-adjuvants-vaccinaux-pire-que-jamais-114987011.html http://expovaccins.over-blog.com/article-nouvelle-generation-d-adjuvants-vaccinaux-pire-que-jamais-114987011.html

10 septembre 2011

La découverte d’un virus VPH ADN contaminé dans le vaccin Gardasil

La découverte d’un virus VPH ADN contaminé dans le vaccin Gardasil
SVP, ne gardez pas cette information pour vous mais partager-la avec vos contacts afin que l’on puisse protéger "une génération" d'enfants... Mardi, le 6 septembre 2011, SANE Vax Inc., un organisme crédible, indépendant et dont les recherches sont menées...
Publicité
Publicité
Publicité