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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
enfant
28 février 2017

Un bébé détecte le cancer du sein de sa maman

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Si beaucoup de mères vivent mal le fait que leur bébé refuse d'être allaité, Sarah Boyle, une jeune mère de famille de 26 ans, a été sauvée grâce à cela.

Son fils Teddy refusait systématiquement d'être allaité par sa mère quand celle-ci voulait le nourrir avec le sein droit.

Elle a alors décidé de consulter un spécialiste pour savoir quel était le problème. Résultat, les médecins ont diagnostiqué que Sarah était atteinte d'un cancer du sein triple négatif. Un cancer réputé pour être agressif qui doit être pris en charge tôt pour qu'il soit traité avec succès.

Interrogée par le Daily Mail, elle a souhaité remercier son fils: «Teddy est mon héros. Je n'aurais jamais suspecté d'avoir un cancer. Mon médecin m'a dit que l'allaitement permet à une mère de créer des liens. Dans mon cas ça a été encore plus loin: cela m'a sauvé la vie.»

Il semblerait que Teddy pouvait sentir que le lait provenant du sein droit, infecté, avait un goût différent que celui du gauche. C'est pourquoi il n'en voulait pas.

D'après une étude américaine publiée en 2013 dans le Journal of American Medicine Association, les cancers du sein touchent 10 % des femmes de moins de 40 ans. Mais les formes sévères de cancers du sein, comme celui qui a touché la jeune Sarah, augmentent depuis 1976 chez les femmes de 25 à 39 ans.

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18 septembre 2016

Les enfants qui boivent beaucoup de sodas sont deux fois plus violents ?

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Les sodas sont riches en sucre, et ne sont pas recommandés pour les enfants. Les pédiatres préconisent plutôt de donner de l'eau aux petits pour qu'ils se réhydratent, et de leur offrir de temps en temps des jus de fruits pour leur faire plaisir. Cette nouvelle étude est un argument de plus : les enfants qui boivent trop de sodas seraient plus agressifs que les autres.

Le Coca-Cola Zero est un dérivé du Coca-Cola qui ne contient pas de sucre, mais de l'aspartame. Cela ne signifie pas pour autant qu'il est bon pour la santé. Une étude suggère un rôle des sodas allégés dans les problèmes cardiovasculaires et le diabète.
Le Coca-Cola Zero est un dérivé du Coca-Cola qui ne contient pas de sucre, mais de l'aspartame. Cela ne signifie pas pour autant qu'il est bon pour la santé. Une étude suggère un rôle des sodas allégés dans les problèmes cardiovasculaires et le diabète.
Les enfants qui boivent beaucoup de sodas sont deux fois plus violents

Au cours de ces travaux, les auteurs ont étudié le comportement de 3.000 enfants âgés de cinq ans et habitant dans 20 villes américaines. Parmi eux, près de la moitié consommait au moins un verre de soda par jour, et 4 % des enfants en buvaient quotidiennement plus de quatre verres. Les mères des candidats ont dû établir un bilan du comportement social de leurs enfants, en focalisant leurs réponses sur l’agressivité et la capacité d’attention. Les chercheurs ont également pris en compte des facteurs externes pouvant influencer les résultats, comme la quantité de bonbons consommés, le temps passé devant la télévision ou l’éducation des parents.



Leurs résultats sont effrayants. Ils montrent que les grands buveurs de sodas sont deux fois plus agressifs que les enfants qui n’en consomment pas. En outre, ils auraient tendance à se battre et à abîmer plus souvent les jouets des autres. « Nous avons montré un lien clair entre le nombre de boissons sucrées avalées et un comportement agressif », explique Shakira Suglia, une scientifique qui a participé à l’étude. L’abus de sodas induirait également un déficit de l’attention de ces enfants.

La chercheuse se veut cependant rassurante. Selon elle, l’étude n’est pas complètement représentative de la population, car la plupart des enfants de l’expérience étaient issus de familles monoparentales assez pauvres. D’autre part, il est difficile d’affirmer que les sodas constituent l’unique raison de la hausse de l’agressivité chez ces enfants, car de nombreux autres facteurs entrent en compte dans ce phénomène. De nouvelles études sont donc nécessaires pour démontrer ce lien, et pour découvrir la molécule potentiellement responsable du problème. À son tour, cette étude met le doigt sur le danger des sodas, et encourage les consommateurs à se limiter.


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Presque autant de sucre que dans un Coca Avec Capri-Sun « Multivitamin », Coca-Cola espère faire d’une pierre deux coups : séduire les enfants, et bluffer les parents. Avec les enfants, la marque américaine qui distribue Capri-Sun en France sait s’y prendre : elle utilise des personnages parfois issus de films plébiscités par les petits comme « Rio 2 » pour rendre sa pochette plus ludique. Quant aux parents, c’est un véritable tour de passe-passe que Coca-Cola leur joue, en faisant passer une boisson riche en sucre - chaque portion représente plus de 20% des apports journaliers recommandés… pour un adulte ! - pour un produit sain et équilibré. « Trop cool », Capri-Sun, comme le dit la pub ? Pas vraiment. Capri-Sun Multivitamin : de l’eau et des fruits, vraiment ? L’emballage, tout comme les spots publicitaires, évoquent une « délicieuse boisson aux jus de fruits et à l’eau minérale ». Cette communication se garde bien d’évoquer la proportion de sucre que représente une pochette. Avec plus de trois morceaux de sucre par portion (19g), la boisson en contient presque autant que du Coca-Cola. Les jus de fruits sont, eux, à base de concentré et ne constituent que 12% du produit final. Enfin, la boisson est enrichie en vitamines synthétiques, puisque la faible quantité de jus de fruits n’apporte que peu de vitamines naturelles.

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Pour Coca-Cola, vendre une boisson fruitée avec très peu de fruits n’est pas un problème ! Car Wild, l’entreprise qui a créé et qui produit toujours Capri-Sun est, avant tout, un fabricant d’arômes. Pratique lorsqu’on cherche à créer une boisson au goût de fruits à moindre frais. Mais les consommateurs ne sont pas dupes : en Allemagne, Capri-Sun a remporté le prix - qu’aucun fabricant ne veut ! - du pire marketing mensonger en 2013. Décerné chaque année par les consommateurs lors d’un vote organisé par foodwatch, il a été remporté haut la main par Coca-Cola qui a réuni 42% des voix des 120 000 votants.  Un marketing scandaleux qui cible les enfants Rebelote en 2014, où ce sont cette fois les consommateurs néerlandais qui ont dénoncé le marketing agressif de Capri-Sun en direction des enfants. En France aussi, les boissons à forte teneur en sucre telles que Capri-Sun représentent un véritable problème de santé publique. En 1980, seuls 5% des petits Français âgés de 3 à 7 ans étaient en surpoids, aujourd’hui 1 enfant sur 6 présente un excès de poids ou une obésité. Les produits comme Capri-Sun qui contiennent des quantités ahurissantes de sucre portent

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https://www.foodwatch.org/fr/s-informer/topics/des-ruses-legales/en-savoir-plus/capri-sun-multivitamin/

13 décembre 2015

Les enveloppes de miel : éliminent la toux forte et le mucus des poumons en une seule nuit!

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(Particulièrement efficace pour les enfants)  Bénéfiques pour les adultes et les enfants, l’enveloppement au miel est une astuce d’une grande utilité thérapeutique contre l’accumulation et l’excès de mucus au niveau de vos poumons. Si vous souffrez d’un problème de toux sévère et de problèmes redondants de rhumes, il est important que vous fassiez confiance au miel, cet aliment doré qui traitera votre problème respiratoire en moins d’une nuit.Les enveloppes de miel : éliminent la toux forte et le mucus des poumons en une seule nuit!

L’ enveloppe de miel est une application thérapeutique qui va soulager vos douleurs pulmonaires et stopper l’excès des mucus dans vos poumons. Elles sont particulièrement efficaces sur les petits enfants, mais les adultes peuvent tout autant en bénéficier. Voici comment préparer une enveloppe de miel et comment l’appliquer pour traiter vos problèmes de toux, de mucus et de rhumes :

Préparation:

Tout d’abord vous devez mélanger la farine avec une petite quantité de miel, de sorte que vous obtenez un mélange qui ne colle pas à vos mains. Ceci est le mélange que vous allez utiliser pour la compresse.

Maintenant, ajoutez un peu d’huile végétale à ce mélange, puis rouler dans la farine une fois de plus. Maintenant que le mélange est prêt, vous devez le placer sur une serviette, puis envelopper la serviette dans une étamine.

Utiliser du ruban adhésif de plâtre, vous devez attacher cet enveloppement sur votre poitrine ou votre dos puis mettre votre pyjama.

  Le contenu de ces enveloppes de miel devrait être légèrement au-dessus de votre cœur.

 

Le meilleur moment pour mettre cette compresse à votre enfant est juste avant d’aller au lit. Vous devriez laisser à rester comme ça pendant environ 2-3 heures.

D’autre part, les adultes peuvent garder leur compresse pendant toute la nuit.

Ces enveloppes peuvent faire des merveilles pour votre santé, car ils contiennent une bonne activité anti-inflammatoire et un léger effet de réchauffement. Les résultats de ces compresses suivront presque immédiatement. Même dans la phase initiale de la maladie, vous vous sentirez les effets positifs de ces roulés de miel. Ils peuvent vous aider à traiter la maladie sans aucune complication.

Vous sentirez un soulagement significatif seulement après la première compresse. Pour ce traitement au travail, vous avez besoin de le répéter plusieurs jours dans une rangée.

Quand pouvez pouvez utiliser ces roulés de miel:

Ces enveloppes de miel sont principalement utilisés pour le traitement de la toux. Quant à la limite d’âge, ils peuvent être utilisés chez les enfants âgés de plus de 6 mois. Cependant il faut noter que l’enfant ne doit pas avoir des maladies de la peau ou de toute autre lésion de la peau.

http://familysante.com/des-enveloppes-de-miel-un-excellent-remede-contre-particulierement-efficace-pour-les-enfants.html

19 juillet 2015

J.C. Michéa – L’enseignement de l’ignorance

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Source : Scriptoblog via SOTT)


Jean-Claude Michéa

Pour Jean-Claude Michéa, la crise de l’école participe d’une crise plus large, celle de notre société. Il faut donc l’analyser dans le cadre de la dynamique sociale générale. Petite note de lecture, pour ceux qui ne connaîtrait pas la thèse, imparable, de « L’enseignement de l’ignorance ».

Michéa commence par rappeler que la dynamique sociale contemporaine est caractérisée par le primat de l’économie politique, qui énonce que pour construire la paix entre les hommes, il faut dissiper tous les obstacles devant le libre jeu du marché. Ceci suppose évidemment qu’on détruise aussi les obstacles existant à l’intérieur des individus, pour fabriquer des hommes purement rationnels, ne s’inscrivant plus que dans les catégories de l’économie politique. Le problème est qu’un tel individu, étant dépourvu de toute valeur transcendante (puisque la raison économique l’amène à ne suivre que son intérêt bien compris), ne peut s’inscrire dans une chaîne de transmission du savoir (qui suppose que l’on suive un intérêt autre qu’individuel).

L’histoire des trente dernières années est donc, pour Michéa, l’histoire d’un pari impossible : construire une société qui transmette, alors qu’elle est faite d’individus enfermés dans les catégories de l’économie politique. Pendant des siècles, la « société capitaliste » n’a pu fonctionner qu’en s’appuyant sur des types anthropologiques (l’enseignant, en particulier) qui précisément n’avaient pas de place dans la logique intrinsèque de cette société. A présent, on prétend faire fonctionner cette société uniquement sur ses propres principes, et donc l’on nie les fonctions qui, jusque là, lui était apportées en quelque sorte de l’extérieur (l’école, en particulier). On a donc rompu un compromis entre le capitalisme et les conditions antérieures à son existence, qui étaient, de manière invisible, ses garde-fous et ses auxiliaires.

Une fois qu’on a compris cela, la crise de l’école prend sa vraie signification. Elle est en réalité une bataille menée par le capitalisme mondialisé pour instituer, vaille que vaille, une des bases logistiques de son emprise absolue. Il s’agit de préparer un monde où, dixit notre classe dirigeante, 20 % de la population mondiale suffira à faire tourner l’outil de production. Et un monde, donc, où 80 % de l’humanité, déclarée surnuméraire, devrait être gouvernée sans qu’on l’encadre par le travail.

La méthode choisie pour encadrer cette humanité en trop sera, toujours si l’on en croit les milieux dirigeants, le tittytainment (Z. Brzezinski) – comprendre « un cocktail de divertissement abrutissant et d’alimentation suffisante », ou si l’on préfère « du pain et des jeux ». Si l’on réfléchit à l’école qu’il faudra mettre en place pour préparer les masses à cette société, on voit qu’elle combinera des filières d’excellence chargées de former les élites et une formation à caractère purement technique destinée aux 20 % « utilisables », mais n’appartenant pas à l’élite. Cette formation technique pourra d’ailleurs être donnée « à distance », via les réseaux électroniques, ce qui ouvrira un marché aux grandes firmes tout en permettant d’économiser les salaires des enseignants. Quant aux 80 % de « surnuméraires », il s’agira de les préparer au tittytainment en leur apprenant l’ignorance bienheureuse.

Pour conduire à bien cette réforme de l’enseignement, devenu enseignement de l’ignorance, il faudra évidemment former d’abord les enseignants. On les rééduquera donc en les soumettant à la tutelle d’une armée de spécialistes en « sciences de l’éducation », chargés pour dire les choses simplement de créer des profs pas très malins mais très soumis, tout juste capables d’apprendre à leurs élèves à se comporter en crétins dociles, manipulables puisque esclaves de leurs pulsions (ce qui, soit dit en passant, constitue une excellente définition des IUFM français).


Le livre sur Amazon (et aussi en Kindle)

Pour conduire cette mutation en toute quiétude, on veillera à changer non le contenu, mais la méthode de l’enseignement, tant il est vrai qu’en l’occurrence, la forme conditionne le fond. Le prof deviendra donc un animateur, et l’école sera promue « lieu de vie » (et non plus lieu de transmission du savoir). Et pour achever de faire passer la pilule, on profitera du bougisme un peu cul-cul de la « gauche », devenue purement sociétale, et on confiera à la droite le rôle de bad cop – rôle dont elle s’acquittera avec beaucoup de mesure, étant donné qu’en réalité, c’est son programme que la gauche applique pour son compte, utilisant l’imbécilité des crétins « de gôche » pour faire passer des réformes/sabotages qui déplairaient à l’électorat « de drouète », lequel, également constitué en grande partie d’ahuris incohérent, ne veut pas des conséquences de ce qu’il souhaite…

Où en est-on de ce programme ? Michéa laisse le lecteur juge. Mais il semble bien qu’à ses yeux, la messe soit dite. Le tittytainment a réussi, et la question que nous devons nous poser n’est plus « quel monde allons-nous laisser à nos enfants ? », mais bien « à quels enfants allons-nous laisser le monde ? »

24 juin 2014

le Planning Familial, inspiration de la secte unity de Margaret Sanger

droide-enceinteLe président des Etats-Unis Lyndon Johnson déclarait, en 1965, que cinq dollars investis dans le contrôle de la population valaient autant de cent dollars investis dans le développement économique, tandis que Richard Nixon – qui fut membre du C.F.R. pendant une certaine période – dans un message sur la population au Congrès américain le 18 juillet 1969 soulignait :
       « Nous croyons que les Nations Unies, leurs institutions spécialisées, comme aussi les autres organismes internationaux, devront prendre l’initiative de réagir contre la croissance de la population mondiale. Les Etats-Unis collaboreront entièrement à leurs programmes dans ce sens. Je voudrais faire observer à ce propos que je suis fortement impressionné par l’ampleur et par la force du récent rapport produit par le groupe de spécialistes de l’Association des Nations Unies, dont John D. Rockefeller III est le président. Ce rapport souligne la nécessité d’une intensification des actions entreprises et d’une coopération plus étroite ; de telles préoccupations devront figurer parmi les priorités à l’ordre du jour des Nations Unies. »

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Pour le Nouvel-Âge, la vie humaine n'a pas plus de valeur que la vie des animaux. En effet, à cause du cycle de la réincarnation (karma), la mort n'est que le passage vers une autre naissance, sous forme humaine ou bien sous forme animale (en cas de mauvais karma). Ainsi Alice A. Bailey pensait que la Schoah était due au mauvais karma des Juifs.

Dans ce système, l'avortement n'est pas un meurtre, mais l'opportunité de trouver un meilleur karma.

Margaret Sanger (1879-1967), fondatrice en 1921 à New-York de ce qui devint le Planning Familial, était rosicrucienne, violemment anti-chrétienne, et appartenait à la secte Unity, qui se décrivait elle-même comme "un traitement mental garanti pour soigner tous les maux dont la chair hérite". Cette secte est répertoriée parmi celles du Nouvel-Âge. Elle met en valeur la puissance de la "Pensée Créatrice" dans tous les domaines ; on y apprend à devenir "Christ", c'est-à-dire à réaliser en soi le moi divin en se fondant dans la Conscience cosmique. Sanger s'adonnait aussi à l'astrologie, à la numérologie, et consultait des médiums.

C'est à la suite de la mort de sa fille en 1915, et des troubles que cela lui occasionna, que M. Sanger commença à étudier le rosicrucianisme. Les rosicruciens se réclamaient d'un régime oriental de méditation privée destiné à relier l'individu aux puissances intérieures de l'homme qui dérivent d'une force supérieure suprême, un "dieu interne", comme elle l'interprétait en paraphrasant Nietzsche. De plus, ils avançaient que les pratiquants réussissant dans leur foi se détacheraient du lot par des pouvoirs de guérison propres ; ils deviendraient "une force pour le bien parmi les hommes".

En 1935, la Conférence des Femmes de l'Inde envoya une invitation à M. Sanger, pour qu'elle vienne en Inde parler du contrôle des naissances. Les arrangements furent faits par l'intermédiaire de Margaret Cousins, une libre penseuse d'origine irlandaise, féministe et nationaliste, disciple d'Annie Besant, (dirigeante de la Société Théosophique et de la Ligue Malthusienne qui, jusqu'à sa mort en 1933, avait vécu près de Madras à la tête d'une colonie de théosophistes britanniques expatriés), dont les croyances métaphysiques et psychiques avaient déjà depuis longtemps attiré Sanger vers l'Inde.

Margaret Sanger fut raciste et eugéniste jusqu'à sa mort. Elle est toujours l'héroïne vénérée du Planning Familial.

L'eugénisme est aujourd'hui équivalent à une croyance fantaisiste, dénuée de tout fondement scientifique ; pire même, sa fausseté a été prouvée. En effet, au delà de l'aspect moral (l'eugénisme est mauvais car il amène à traiter les humains comme du bétail), son "fondement" scientifique a été invalidé : la théorie darwinienne n'a toujours pas de preuve et la transmission génétique des mutations(39) n'existe pas. La motivation de ceux qui persistent malgré tout dans la promotion de l'eugénisme (I.P.P.F., Sociétés Eugéniques, etc.) est donc d'ordre religieux et la religion correspondante s'appelle le Nouvel-Âge.

D'autres organisations travaillant à répandre l'avortement et la contraception, sont ouvertement des sectes New-Age :

    * le Zero Population Growth, qui cherche à stopper la croissance de la population mondiale ;
    * les Amis de la Terre, et consort, qui réclament la création d'un "permis" pour avoir des enfants. Le Nouvel-Âge a déterré les vieilles religions de la nature, notamment de Gaïa, la Terre, menacée par les hommes, trop nombreux à son goût.

C'est ainsi que les écologistes préconisent de réduire la population mondiale par tous les moyens. Ceux que nous connaissons en Europe ne sont que la forme grand-public de sectes extrémistes comme Earth First, adoratrices de Gaïa.

C'est aussi dans le New-Age qu'on trouve les promoteurs de l'euthanasie des vieux et des handicapés.

Dennis Meadows, du Club de Rome, est aussi un adepte du New-Age. Le livre auquel il a participé (Stratégie pour Demain, 1973) réclame, par l'utilisation de modèles mathématiques simplistes, une réduction drastique de la fécondité, même si les moyens pour y parvenir sont immoraux du point de vue de la morale ancienne et, selon lui, dépassée.

Les organisations de Planning Familal (membres de l'I.P.P.F., elle-même répertoriée en 1977 comme membre de la Eugenics Society anglaise), ont mis en place l'avortement industrialisé et l'avortement chimique caché (sous couvert de "contraception"), sur un plan mondial. Ces organisations, en coordination avec les autres néo-malthusiens et l'ONU, nous ont fait atteindre le nombre de plus 30 millions d'avortements provoqués annuellement dans le monde.

La stratégie cachée des pro-avortement

Il est frappant de constater le rapprochement et les affinités qui existent entre les adeptes du Nouvel-Âge et les "rationalistes" athées, et d'autres ayant la même ambition de révolutionner les sociétés.

Annie Besant, avant de s'engager dans la Société Théosophique, était une libre penseuse fortement anti-chrétienne. Les anarchistes américains du XIXème siècle sont fréquemment en même temps des spirites. Bakounine lui-même expliquait que Satan était le "libérateur de l'humanité". Marx écrit dans sa jeunesse des poèmes où sa rébellion envers "celui qui trône là-haut" apparaît ouvertement. Darwin, père de l'eugénisme, était fils d'un franc-maçon. Margaret Sanger, fondatrice du Planning Familial, avait pour père un "libre-penseur". On a vu dans les années 30 des "écoles d'été" rassemblant "des libres penseurs, des spirites, des théosophes, des occultistes, des antivivisectionnistes, des végétariens, des cité-jardinistes et des matérialistes"(40).

Le M.F.P.F. lui-même qualifie ses soutiens de "rationalistes" : "la Franc-maçonnerie, la Ligue des Droits de l'Homme, la Libre pensée et l'Union Rationaliste"(41). On peut noter aussi les liens multiples entre le féminisme et la sorcellerie, depuis certaines féministes pour lesquelles l'avortement est un rite d'initiation et qui portent au pied autant de bracelets qu'elle ont eu d'avortements, jusqu'à la sorcière qui explique à la télévision que les sorcières féministes adorent une déesse et un dieu (Arte, 2/6/96).

On peut en conclure au manque de sincérité de ces groupes, qui sont en fait réunis par leur intérêt commun de légaliser leur rébellion, notamment envers le "tu ne tueras point", de façon à rendre inopérante la répression de leurs agissements criminels.

Dans la "vieille religion" païenne, promue par la sorcellerie, la Franc-maçonnerie et le Nouvel-Âge, on retrouve la permanence de deux cultes : le culte phallique du soleil fécondant (Osiris, Lucifer le "porteur de lumière", le dieu cornu des Celtes) confondu avec l'État tout-puissant (Baal-Moloch, Nemrod), et le culte de la déesse de la fécondité confondue avec Gaïa (la Terre) et les modèles d'Isis, Astarté, Sémiramis, etc.

Dans le passé, ces deux cultes étaient associés à la prostitution rituelle et au sacrifice d'enfants, destinés à apaiser ou à rendre favorables les divinités : le but était de devenir prospère et d'avoir de bonnes récoltes. Aujourd'hui ces cultes semblent avoir trouvé une expression moderne, adaptée à un monde désenchanté, dans la révolution sexuelle et l'avortement de masse. Simplement, comme les eugénistes, ils avancent à visage couvert, de peur d'être identifiés pour ce qu'ils sont.

Aucune secte antique n'avait réussi la prouesse d'obtenir le sacrifice de millions d'enfants chaque année. Le bain de sang actuel, dont les prétextes démographiques ou écologiques sont une escroquerie scientifique, trouve sa justification dans le besoin qu'ont les divinités païennes, celles qui sont à nouveau invoquées par les adeptes du Nouvel-Âge, de sacrifices humains.

La structure en réseau des organisations du Nouvel-Âge favorise la diffusion de leur propagande (on n'a pas l'impression d'avoir affaire à une grosse organisation), et permet au réseau de survivre malgré les échecs de certains maillons. L'échec de Hitler n'a pas nui aux autres organisations New-Age : il leur a suffi de condamner verbalement le nazisme, et de rectifier leur stratégie pour ne pas commettre les mêmes erreurs de communication. De plus, Hitler leur avait facilité le travail : il avait réprimé toutes les sectes autres que son propre parti, ce qui leur donnait après guerre une virginité de martyrs.

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20 mars 2014

CONSPIRACY of SILENCE : documentaire censuré

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Il met en évidence tout un réseau de leaders religieux et hommes politiques à Washington impliqués dans l’enlèvement d’enfants pour les faire participer à des orgies sexuelles.

A la dernière minutes avant la diffusion, la chaîne a reçu des menaces en provenance du congrès pour qu’elle le retire de ses programmes. Immédiatement après, les droits du reportage ont été rachetés par des personnes qui ne souhaitaient pas qu’il soit diffusé, et qui ont ordonné que toutes les copies soient détruites.

Cette copie, de piètre qualité, a été envoyée anonymement au sénateur et avocat du Nebraska John De Camp, qui l’a ensuite mise à disposition de l’agent du FBI retraité Ted L. Gunderson.

10 janvier 2014

Katie 12 ans elle fait pousser 2 tonnes de légumes qu'elle offre aux sans abris de sa ville

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traduction par RJ

Quand Katie Stagliano , de la Caroline du Sud , était âgé de neuf ans , elle a planté un plant de chou qui a grandi à changer sa vie . En fait , elle savait qu'elle était destinée à de plus grandes choses que sa propre cuisine .

Ainsi, le chou a été récolté , hissé sur le camion de son père et livré à une soupe populaire à proximité , où il se nourrissait 275 personnes . " Si un chou peut nourrir autant de gens  », pensa Katie , " imaginer combien de personnes tout un jardin pourrait nourrir . "


Attristé par voir des familles ayant à faire la queue pour leur seul repas de la journée , elle a mis en place Krops de Katie. Géré comme un organisme sans but lucratif et financé par des dons et des subventions , son objectif est de créer autant de parcelles de légumes que possible et obtenir assez de nourriture pour nourrir régulièrement des centaines de personnes , ainsi que d'inspirer les autres à mettre en place des programmes similaires . Son approche est prouvé que: " nous pouvons tous aider, car il suffit d'un semis ! "

Palmetto House, un refuge qui offre un espace de vie à 30 habitants - dont 12 enfants - et trois repas par jour , était déjà sur le chemin de passage de Katie. Cependant, le personnel ont réalisé qu'ils avaient suffisamment de terres pour cultiver des produits sur place . Un terrain a été balisé , les résidents ont contribué à cultiver le sol , et un jardinier professionnel bénévolat son expertise pour conseiller Katie sur la façon de rendre l'espace le plus productif .


Pendant ce temps , les professionnels de golf Linda et Bob Baker , qui possèdent 41 hectares , ont été tellement inspirés par les efforts de Katie qui ils ont également fait don d'une partie de leurs terres pour une autre parcelle . " Il vous fait vous sentir si bon de voir quelqu'un qui est  jeune , avec cette quantité de compassion , intervenir et vraiment avoir des resultats », dit Bob .
Katie supervise actuellement six jardins ouvriers , dont un de la longueur d'un terrain de football offert par son école . Camarades de classe , la famille et d'autres bénévoles aident plantes et arrosent  , y compris les sites de ses 8 ans, avec son  frère , John Michael , qui est à la tête de la production de citrouilles .



Maintenant âgé de 12 ans, Katie a fait don de près de 2.000 kg d' aliments frais depuis que  son opération a commencé . "J'aime ce qu'elle dégage : prendre soin des autres », dit Sue Hanshaw un sans abri  l'abri qui a reçu le premier chou . " Il a fait un grand impact sur beaucoup de gens . "

Une anciene mère sans-abri , qui obtient un approvisionnement hebdomadaire de légumes de Krops de Katie , ajoute: « Elle montre que vous pouvez aider d'autres personnes , peu importe que vous soyez jeune  . "

Bien que son temps libre est limité , Katie est toujours désireux d'étendre son implication . «Une fois par mois, je vais à Palmetto Maison avec mes amis et les enseignants », dit- elle , " et nous cuisiner un délicieux , sain, repas chaud pour les invités, sur la base de ce qui est disponible dans les jardins .

«J'aime créer de nouvelles recettes et d'être en mesure de s'asseoir et partager un repas sain avec les personnes qui bénéficient de Krops de Katie. Il apporte le cercle complet de projet et nous compost tous les déchets et tournez -les dans le jardin d'ajouter des nutriments " .

Pendant ce temps , Katie a même trouvé le temps d'écrire un livre pour enfants illustrés , chou de Katie. Elle organise également un concours pour d'autres jardiniers philanthropiques . " Je rêve d' avoir des jardins dans les 50 états , " elle révèle. «Je travaille pour faire de ce rêve une réalité en offrant aux enfants une subvention pour démarrer leurs propres potagers ... J'espère Krops de Katie va inspirer beaucoup d' autres pour aider à la lutte contre la faim . "   ce que une enfant de 12 ANS FAIT  est  un geste d'humanité et d'amour que seul les enfants ont le secret  on ne peut que saluer cette belle ame au service des autres .

Source :

positivenews.org.uk

 

11 novembre 2013

Jouet poupée et possession l'histoire vraie de donna

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Tout commence dans les années soixante dix, une jeune fille, Donna, reçoit de se mère une poupée afin qu’elle lui tienne compagnie. Donna vie en internat avec une autre lycéenne, Angie, pour ses études. Si au départ rien ne se passe de spéciale, rapidement la jeune étudiante s’aperçoit de chose étrange. En effet, elle retrouve la poupée dans des positions différentes de quand elle l’avait laissé.

Quelques semaines plus tard les déplacements sont encore plus importants, la poupée se retrouve à un endroit totalement différent de celui où elle avait été posée.

Un de leurs amis, un certain Lou, avait une haine farouche envers cette poupée, il se sentait mal en sa présence et pensait que la poupée avait quelque chose de maléfique. Les deux filles n’écoutèrent pas le jeune homme et gardèrent la poupée pensant qu’il ne s’agissait que de coïncidence et de superstition.

Un peu plus tard les phénomènes changèrent, dans l’appartement Donna trouva des petits bout de parchemin avec écrit dessus « aidez nous » et aussi « aidez Lou ». Le plus étrange c’est que personne dans la maison dans lequel se trouvait l’appartement ne possédait de parchemin.

Un peu plus tard, Donna, en revenant chez elle, découvrit la poupée sur le lit avec des traces de sang sur ses mains, le sang semblait provenir des mains de la poupée.

Donna décida de demander de l’aide à un medium afin de savoir ce qu’il se passait. Celui-ci prit la poupée et dit qu’autrefois à la place des logements il y avait un ancien terrain et dans celui-ci l’on découvrit le corps d’une petite fille de sept ans, Annabelle Higgins, qui avait été retrouvé morte. D’après le médium l’esprit de la fillette serait resté là.

Annabelle

Les deux jeunes lycéennes décidèrent de garder la poupée dans l’espoir de calmer l’esprit en prenant soit d’elle.

Pendant ce temps leur ami Lou commença a fait des cauchemars, il avait l’impression que la poupée dormait près de lui et rampait sur son corps. Quelques jours plus tard il passa prendre Angie afin de partir sur la route. Mais avant de partir, ils entendirent d’étranges bruit dans la chambre de Donna, un peu comme si quelqu’un faisait un cambriolage. En entrant dans la chambre ils ne virent rien, sauf que la poupée n’était plus sur le lit, mais assise dans un coin de l’appartement. Lou sentie a se moment là une forte sensation de brulure dans le dos et sur la nuque. Quand il enleva son t-shirt il vit des traces de griffure, pour lui il ne pouvait s’agir que d’Annabelle qui l’avait lacérer.

Finalement ils demandèrent à un prêtre qui fit appelle a Ed de Lorraine Warren qui était connu a l’époque pour enquêter sur le paranormal.

Pour les Warren, après une enquête rapide, il s’agirait d’une présence démoniaque qui serait attaché à la poupée. Ils firent venir un prête afin d’exorciser l’appartement. Le couple prit possession de la poupée et l’emportèrent. Sur la route la direction de la voiture ainsi que les freins commencèrent à avoir des dysfonctionnements. Ed sortie la poupée du sac qui la contenait et y versa de l’eau bénite. Finalement ils purent repartir en sécurité…

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De retour chez eux, Ed plaça la poupée sur son bureau, et elle commença à léviter. Ce phénomène se produisit à plusieurs reprises. Finalement Annabelle recommença a se déplacer dans différentes pièces. Les Warren redemandèrent à un prêtre de faire un exorcisme. Il alla chez le couple et ne prit pas l’histoire au sérieux affirmant qu’il ne s’agissait que d’une poupée et qu’elle ne pouvait faire de mal a personne. En repartant le prêtre eut un très grave accident de voiture mais il survécu.

Finalement les Warren décidèrent d’enfermer la poupée dans une boite où elle y serait encore. Depuis elle n’a plus jamais fait parler d’elle…

 

 http://dark-ride.org/?p=3999#comment-17238

1 novembre 2013

Des chercheurs chinois et américains ont utilisé des enfants chinois pour tester un nouveau riz OGM

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– Greenpeace accuse des chercheurs chinois et américains d’avoir utilisé des enfants chinois pour tester un nouveau riz transgénique. Les autorités chinoises ouvrent une enquête
REUTERS/Stringer

Les autorités chinoises ont lancé une enquête pour vérifier si plus de 20 enfants ont été nourris avec du riz transgénique, servant ainsi de cobayes à des expériences menées par des chercheurs chinois et américains, a rapporté mardi l’agence officielle Xinhua.

Le Centre chinois pour le contrôle et la prévention des maladies a déjà suspendu un chercheur, Yin Shi’an, pour son implication dans ce projet après des plaintes affirmant que ce riz, appelé « riz en or », avait été donné à des enfants.

24 enfants de 6 à 8 ans

L’ONG Greenpeace est à l’origine des plaintes. Dans un communiqué publié en août, l’organisation a affirmé que du riz modifié génétiquement afin de réduire les carences en vitamine A aurait nourri 24 enfants de 6 à 8 ans en 2008 aux cours d’expériences conduites dans la province du Hunan.

Selon Greenpeace, les chercheurs américains impliqués sont affiliés à un centre de recherche sur la nutrition basé à l’université de Tufts à Boston. « Il est incroyablement perturbant de penser qu’un organisme de recherche américain a utilisé des enfants chinois comme cobayes pour de la nourriture génétiquement modifiée », a déploré l’organisation.

Le Centre chinois pour le contrôle et la prévention des maladies a nié avoir donné son autorisation ou participé aux tests, selon l’agence Xinhua. La parution d’un article sur ces recherches dans une publication américaine spécialisée le American Journal of Clinical Nutrition, n’a pas non plus été soumise à l’approbation du ministère chinois de la Santé, a-t-elle ajouté.

Les partisans de ce riz OGM, dont la couleur varie du jaune à l’orange, continuent d’affirmer que ce produit pourrait réduire la mortalité infantile en apportant davantage de vitamine A.

- See more at: http://actuwiki.fr/3/2358/#sthash.t3p2qRAF.dpuf

2 octobre 2013

Ecole : quand des profs expérimentent une classe sans note

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L’école peut-elle changer ? Les profs peuvent-ils expérimenter des projets, pour modifier les façons de faire, les pédagogies, les habitudes ? Et quand des projets innovants font leurs preuves, peut-on les développer, les généraliser ? Témoignage dans un collège parisien, sur un projet de classe sans note, qui bouscule les parents, chamboule les habitudes, émancipe les élèves... et rencontre des résistances de l’administration locale de l’Éducation Nationale.

 L’Éducation Nationale se modernise, elle déroule pour de bon le tapis rouge des nouvelles technologies, les « TICE » comme on dit dans le jargon éducatif. Aujourd’hui on accède à « l’ENT » – l’espace numérique de travail – et on échange plus facilement des informations avec les parents, entre collègues, avec la direction et les différents services académiques. Pour dessiner quelle pédagogie ? Pour former quel individu ? Pour esquisser quel type de sociabilité dans la société de demain ? Peu importe ! Le tout, c’est de moderniser l’Éducation nationale. Et si vous parlez de boulevard numérique laissé au marché de la connaissance, potentiel de croissance dont l’État aura bientôt tort de se priver, vous passez pour un paranoïaque...

Les recommandations à l’innovation sont omniprésentes dans la maison École. Il n’existe pas un niveau de l’échelle qui fasse défaut : national, académique, établissement. Organisation verticale, centralisée, huilée. L’encouragement ne circule pas, il tombe et atterrit dans votre casier, sur les murs de la salle des profs, dans les séminaires académiques. Sur le papier tout reste ouvert : innovez, on vous suit. Évidemment, l’innovation ne va pas s’affranchir de la tendance « évaluationniste » du moment. Alors vous remplirez des bilans. Tout est mis en œuvre pour se prémunir de tout gaspillage de l’argent public. Des fois que les personnels enseignants monteraient des projets éducatifs aussi chronophages pour eux qu’irresponsables pour nos élèves... juste pour le plaisir.

Une école sans note ?

Pour autant, lorsqu’on prend un peu trop au sérieux les encouragements de l’institution à innover, on réalise que dès que le projet risque de prendre une tournure légèrement divergente par rapport à la ligne idéologique du moment – dès qu’il sera question de laisser aux élèves la parole, l’initiative de pouvoir exister autrement dans la classe qu’en machine à mémoriser, le temps de rentrer ou non dans les apprentissages, de chercher à créer des cheminements didactiques qui puissent être empruntées singulièrement... – alors la bonne parole institutionnelle et incitative s’enroue. Et peut devenir plus invective.

Nous avons monté lors de l’année scolaire passée un projet de classe innovant (qui porte presque mal son qualificatif) : un projet de classe sans note, au collège. C’est loin d’être le premier. Ce genre de dispositif a fleuri depuis plusieurs années sur le territoire national, cautionné par le livret personnel de compétence (le LPC), obligatoire pour l’obtention du brevet depuis 2005. Le LPC impose à l’échelle nationale, très maladroitement, une autre manière d’évaluer que la notation... en plus de la notation.Cette mesure nous a servi d’alibi pour monter un projet qui ne se limite évidemment pas à remplir des listes d’items parfois fantasques et souvent vagues ou insuffisants. A titre d’exemple, pour ma discipline, l’éducation physique et sportive, il existe dans le LPC deux seuls items, qui se battent en duel. Un peu restrictif pour un enseignement qui pèse en moyenne plus de 3h par semaine pour chaque élève...

Nous avons commencé « petit » pour cette première année, avec une seule classe. Pas vraiment le choix : certains collègues intègrent le projet juste pour nous faire plaisir. Il n’y aura qu’une équipe pédagogique donc qu’une classe. Le niveau 6ème. Ce qui permet la continuité avec l’enseignement primaire, où pas mal de collègues pratiquent ce type d’évaluation. Les objectifs du dispositif tournent autour de trois pôles :

 Permettre à tous les élèves de s’inscrire dans les apprentissages avec sens, plaisir en privilégiant la coopération à la compétition. Pas de note, mais des validations à quatre niveaux de compétences. Pour les élèves, de quoi se comparer aux autres point par point, mais ça s’arrête là ! On ne leur met pas dans les mains à chaque trimestre un ensemble d’indicateurs leur permettant de se classer les uns les autres avec une finesse qui laisse perplexe.

 Faire construire aux élèves des méthodes de travail qui renforcent leur autonomie dans les apprentissages, de différentes natures (capacités, connaissances, attitudes). Faire réfléchir l’élève à son cheminement personnel d’apprentissage. Lui faire se poser des questions. Créer un apprentissage anti-passif. Un élève, ce n’est pas une machine à engranger, restituer, oublier pour faire de la place, engranger à nouveau...

 Renforcer la qualité de l’ambiance de travail entre les élèves à travers des relations scolaires de coopération, terreau d’une éducation citoyenne, outil précieux de prévention des violences, en permettant à chacun des élèves de construire sa place dans la classe et le collège.

Déconstruire les fantasmes des parents

Un œil attentif est tourné du coté des parents. Il faut déconstruire les fantasmes et établir une relation à travers des réunion régulières : « Non, tout ne sera pas permis dans la classe !... Oui, nous suivons les programmes... Oui, vous pourrez observer l’évolution des résultats de votre enfant... Non, ce n’est pas un projet pour élèves fragiles uniquement... ». Nous communiquerons un bulletin trimestriel qualitatif et non un recueil imbuvable de toutes les compétences abordées, et les inviterons à assister à une restitution d’un travail de la classe.Les mises en œuvre seront simples : l’équipe enseignante dispose d’une heure de concertation dans la semaine pour harmoniser ses pratiques d’évaluation, autour de l’approche par compétence. Cette pointe de l’iceberg implique que l’on se mette d’accord sur des attentes pédagogiques communes. Bref, un travail en équipe régulier. Dans l’enseignement secondaire, dans l’Éducation nationale française et son collège unique, structurellement incompatible avec toute organisation locale. On a donc fait avec ce qu’on avait... Une formation du service de formation académique (DAFOR) : six demi-journée étalées sur l’année. Environ une heure de concertation hebdomadaire payée, sur trois réalisées [1]. On a fait aussi avec nos cultures/formations professionnelles différentes d’une matière à l’autre. On a essayé d’inventer un langage commun autour des compétences et de leur apprentissage. Mot fourre-tout qu’il la bien fallu s’approprier.

Concrètement : confection de grille de cheminement d’apprentissage, co-construction avec les élèves de ces grilles, auto et co-évaluation, devoir à retravailler sous le principe de l’effacement d’ardoise (un meilleur résultat permet d’effacer le résultat précédent, obtenu pour le même devoir), projet interdisciplinaire permettant à l’élève d’apprendre à développer les mêmes compétences dans des matières différentes, tutorat des élèves entre eux... Un champ des possibles s’ouvre, qui occupent nos longues soirées d’hiver et nous poussent à rester jusqu’à la fermeture du collège. Du travail pour rentrer dans cette nouvelle démarche d’enseignement et faire rentrer les élèves dans cette autre manière d’apprendre. Un changement d’angle de vue aussi.

Élèves autonomes

Au-côté de tout cela, un travail en « vie de classe » qui s’articule autour de la création d’une institution : le conseil. Technique issue de la pédagogie de Fernand Oury, proche de celle de Freinet [Lire ici]. Objectif : ouvrir un espace-temps de discussion collective et d’initiative autour de sujets proposés par les élèves, dans le respect strict de règles d’écoute, de parole, de posture. Ces règles sont arbitrées par les élèves eux-mêmes, qui s’emparent de rôles pour l’occasion : distributeur de parole, maître du temps, responsable gêneur... L’enseignant est président du conseil. Ouvert sur son environnement, le conseil peut décider d’inviter un membre de la communauté éducative : la CPE, trois collègues, sont venus en invités. Citoyenneté en acte, donc.La classe, débordante d’énergie en début d’année, composée de son lot d’élèves inadaptés, en décrochage, en situation de handicap, d’autres excellents élèves ou plus passifs... La cour des miracles prend petit à petit forme d’une classe à climat de travail, hétérogène mais qui apprend à discuter pour régler ses conflits, qui se met au travail avec plaisir, qui progresse dans sa très grande majorité, « autonomes pour des 6èmes »...

Quel bilan en fin d’année ?

Qu’en disent les élèves ? La discussion est équilibrée. Mode d’évaluation plus précis ou moins précis ? C’est quoi, une moyenne ? Certains aimeraient être évalués comme le sont les trois autres classes de 6ème du collège. Soif de normativité compréhensible pour ces pré-ados. Qu’en serait-il si toutes les classes de 6èmes étaient sans note ? Beaucoup disent apprécier avoir plus de temps pour apprendre, pouvoir refaire les devoirs avec le principe de l’effacement d’ardoise, réfléchir à comment ils pourraient faire pour progresser. Ils ont tous apprécié les conseils de vie de classe, l’ambiance de classe est bonne, tout le monde se sent à sa place. Lorsqu’il y a un problème (et il y en a eu ! ), on arrive à le résoudre ensemble.Qu’en disent les parents ? Ils sont plutôt satisfaits. Approche pour certains déroutante. Pour ces trois parents-là, c’est quand même plus clair avec les notes ! Et ces bonnes vieilles moyennes qui nivellent toute la complexité de l’apprentissage... Mais peut-être aussi son intérêt ? Difficulté, bien compréhensible, de changer les repères que nous avons construits... lorsque nous étions nous-même élèves.

La plate-forme numérique qui sert à communiquer les résultats des élèves manque de lisibilité. Nous sommes d’accord avec eux. Il y a trop de compétences à décrypter, on s’y noie. Effet d’entraînement, aussi : comme les parents sont inquiets de la validité du projet, nous les abreuvons de résultats : un bon prof c’est un prof qui évalue beaucoup. Avec des notes ou pas ! Mais les bulletins sous leur forme qualitative et étoffée ont été appréciés. Le suivi des élèves aussi. Ils ont progressé en autonomie dans leur travail.

Bousculer des habitudes

L’équipe de profs a l’impression d’avoir essuyé les plâtres coté parents... avec une certaine réussite. Et qu’en disons-nous, équipe pédagogique initiatrice du projet ? Neuf souhaitent continuer, deux non. Heure de concertation, échanges autour de la classe, construction d’évaluations en commun, semaine interdisciplinaire... Tout ça nous a pris beaucoup de temps, nous a demandé de bousculer des habitudes, d’inventer d’autres pratiques pédagogiques. Mais dans l’ensemble, l’équipe y voit un résultat éducatif concluant.Mais alors, élèves, parents, profs sont dans l’ensemble satisfaits ? Projet validé, arrêt des notes dans notre bon collège ? Non, pas tout le monde ! La direction du collège traîne des pieds à l’idée de continuer le dispositif avec la classe, passée en 5ème, en plus de l’appliquer à une nouvelle classe en 6ème. C’est pourtant pas brutal comme continuité du projet ! Mais c’est notre méthode : doucement, à la vitesse du rouleau compresseur. Pour la nouvelle 6ème d’accord. Mais la montée de niveau... trop compliqué pour madame la principale. Une heure de concertation sur deux équipes pédagogiques, c’est contraignant pour la constitution des emplois du temps.

Éloge de la compétition

Et puis, ce n’est pas l’engouement exalté et euphorique du coté des autres collègues, à l’idée de passer un certain temps à changer leurs pratiques pédagogiques en équipe. Certains sont « moyennement convaincu mais s’il faut je ne refuserai pas ». Comme au début du projet pour notre équipe de départ. Et pourtant : 9 pour et 2 contre au résultat des courses. Une opportunité à saisir ? Pas suffisant pour les deux personnels de direction.Pourtant, les élèves ont, malgré « la pire des classes de 6ème du début d’année », progressé dans leur très grande majorité (un cas de décrochage sur 30 élèves). Pourtant, il y a eu des effets riches d’un point de vue éducatif, l’instauration de relations coopératives entre les élèves. Pourtant, les parents sont dans l’ensemble satisfaits du projet. Les membres parents élus au conseil d’administration l’ont défendu et ne comprennent pas la position de la chef d’établissement.

La situation aura au moins permis d’abattre ses cartes : la chef d’établissement ne peut s’empêcher à la fin d’une réunion pédagogique portant sur l’avenir du projet, de faire l’éloge de la compétition à l’école. « Ce n’est pas dans ce collège que vous ferez de l’innovation », « ici ce n’est pas l’autogestion »... Ou comment la bureaucratie de l’École produit en son sein des professionnels qui s’empêchent de penser et d’agir. Le plus étonnant ? Madame la principale décrit dans un séminaire académique ce qui se passe d’innovant dans son collège. Sans rire. Elle le défend plutôt bien devant les autorités !

Une institution où personne n’est libreL’institution de l’Education nationale, centralisée, verticale, a bien du mal à valoriser les initiatives locales même formalisées et validées, même évaluées. Des initiatives portées par les premiers responsables de toute innovation : les praticiens de l’éducation. Se sent-elle menacée par sa base ? Des élèves qui prennent la parole, qui discutent et s’écoutent, qui soulèvent des problèmes du quotidien au collège et proposent des résolutions comme la transformation d’un plan de classe, une rectification au règlement intérieur... Ces pratiques constituent-elles une menace pour la légitimité d’une administration ? Quel inconscient collectif avons-nous construit autour de la sécurité pour refuser la mise en place d’une telle éducation à la démocratie à l’École ?

« Seule la liberté d’action permet une prise de responsabilité. Est-il possible de concilier de telles propositions avec les règles d’une institution bureaucratique où tout acte est télécommandé, toute initiative est « couverte », où personne, à quelque niveau que ce soit, n’est libre ? Où personne n’est responsable. C’est le but recherché ? Alors il faut le dire. », ont écrit Fernand Oury et Jacques Pain (Chronique de l’école-caserne, 1972)

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