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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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histoire
28 juin 2023

La Magie Astrale : Talismans & Sigils

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Par Melmothia

 Au début du Moyen Age, les talismans sont appelés simplement des imago, des « images », car ils sont censés tirer leur pouvoir magique de ce qu’ils représentent. Puis au XIIe siècle, l’auteur Hermann de Carinthie évoque, dans l’un de ses ouvrages,les thelesmatici, autrement ditles « faiseurs d’images magiques ». Le terme, qui vient du grec telesma, par le truchement du mot arabe tilsam et signifie une fois encore « image », est alors adopté en Occident.

D’une façon générale, le talisman est un objet travaillé par l’homme dans le but d’y introduire des vertus magiques. Il peut être fabriqué de différentes matières, mais implique généralement l’emploi d’une pierre précieuse ou d’un métal, car outre l’image qu’il porte, son pouvoir dépend également de la matière dont il est fait. De nombreux talismans auront ainsi la forme d’une médaille, d’un anneau, d’une statuette, etc.

1. La Magie Astrale

Si l’Antiquité gréco-latine connaît de nombreuses formes de talismans, c’est surtout dans le monde arabe que l’Occident médiéval va puiser son inspiration, car les Arabes ont développé une magie essentiellement basée sur le pouvoir des astres. Pour l’Occident chrétien, ce parti-pris a un double avantage : les talismans planétaires, en tirant leurs vertus des propriétés « naturelles » des planètes, ne doivent rien aux démons et sont donc acceptables pour l’Église ; d’autre part, l’astrologie, qui jouit à l’époque d’une grande estime, est considérée comme une science « sérieuse ».

Par certaines images, gravées sur un matériau choisi, à un moment astrologiquement favorable, le magicien espère attirer l’influence bénéfique des astres afin d’atteindre un but donné (protection contre les maladies, gains d’argent, etc.). Ainsi, selon Cornélius Agrippa, le talisman de la planète Jupiter, gravé sur une lame d’argent « procurera alors à celui qui la porte le gain, les richesses, la faveur, l’amour, la paix et la concorde. Elle fléchit les ennemis, confirme dans les honneurs et dans les dignités », et « gravée dans le corail cette table écarte les maléfices ».

 

À partir du XIIIe siècle, la magie dite « astrale » va pénétrer l’horizon occidental. Les premiers traités seront le De mineralibus d’Albert le Grand et l’anonyme Speculum astronomiae. Ces pratiques feront évidemment débat parmi les érudits, mais ses adeptes parviendront à échapper aux foudres de l’inquisition en insistant sur le fait que cette magie est « naturelle » et se distingue donc des invocations démoniaques condamnées par l’Église. La « magie astrale » gagnera ainsi une forme de légitimité, au point qu’en 1301, Arnaud de Villeneuve offre au pape Boniface VIII un sceau à l’image du Lion, afin de le soulager des douleurs dues à son calcul rénal.

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Extrait de Three Books of Philosophy, par Henry Cornélius Agrippa, commenté par Donald Tyson, Llewellyn Publications, 2007

 Dès la fin du XIVe et, plus encore, aux siècles suivants, magiciens, astrologues, mais également médecins feront un grand usage de ces images astrologiques. À cette époque, les différentes branches du savoir ne sont pas encore distinctes et reposent sur les mêmes principes de compréhension du monde. Durant tout le Moyen Âge, la Renaissance (et encore de nos jours en ce qui concerne la Magie), la philosophie occidentale s’appuiera sur l’idée que l’univers est ordonné, harmonieux et qu’un réseau d’analogies relie le monde terrestre au monde céleste, ainsi que l’affirme la célèbre formule de la Table d’Émeraude « tout ce qui est en haut est comme tout ce qui est en bas ». Cette conception constituera longtemps en Occident la voie royale pour la compréhension de l’univers, au point d’accaparer tous les domaines du savoir durant la bagatelle d’une vingtaine de siècles.

Ainsi, toute matière est considérée comme composée du mélange des quatre éléments fondamentaux qui président également aux « quatre humeurs » du corps humain ; le mouvement des planètes influence les événements terrestres à l’échelle collective comme individuelle ; d’une façon générale, des lois d’analogie relient le microcosme (le corps humain) et le macrocosme (l’univers) ainsi que le ciel et la terre.

Pour agir sur le monde, les magiciens s’appuient en premier lieu sur cette idée que le semblable attire et agit sur le semblable – ce qu’on appelle le « principe de sympathie ». De ce principe, sera déduite la doctrine des « correspondances » voulant qu’à chaque corps céleste soient associées certaines qualités, mais également un ou des métaux, des couleurs, des nombres, etc. Pour confectionner un talisman permettant d’attirer l’influence de la planète désirée, l’opérateur devra utiliser le métal, les images, les couleurs, les encens, considérés comme étant en affinité avec cette planète.

2. Les Langues Magiques

La Renaissance sera la grande époque de la talismanique avec des auteurs toujours fameux tels que Marsile Ficin, Cornelius Agrippa, ou Paracelse. Entre temps, l’Occident s’est enrichi de nouveaux apports culturels. Les érudits byzantins fuyants les Turcs ont emporté dans leurs valises manuscrits grecs, arabes et hébreux ; ainsi, le Corpus Hermeticum, collections de textes alchimiques et mystiques attribués au mythique Hermès Trismégiste, sera redécouvert et traduit en latin par Marsile Ficin en 1463 ;  à la même époque, dans le sud de l’Europe, les savants juifs ont réuni les principaux textes de ce qui sera connu sous le nom de « kabbale hébraïque ».

L’approche « hermétique » du monde, permettant d’appliquer un même modèle à tous les phénomènes, physiques, magiques, médicaux, chimiques, etc., a pour conséquence que les savoirs peuvent non seulement être réconciliés au sein d’une même culture, mais également d’une culture à une autre. Le maître mot ne sera donc pas uniquement « harmonie », mais également « syncrétisme ». Ainsi, le plus célèbre des mages de la Renaissance, Cornélius Agrippa développera un système mêlant kabbale hébraïque, astrologie arabe, géomancie, chiromancie, etc. Il introduit notamment dans la talismanique les carrés magiques connus des Arabes et des Indiens. Ces carrés sont des grilles de nombres dont la somme des colonnes, des lignes et des diagonales est identique. Agrippa va les associer aux planètes de façon à déterminer 7 Sceaux planétaires, puis il se servira des correspondances entre les lettres hébraïques et les nombres pour écrire dans chaque carré le nom des esprits angéliques correspondants et en déduire ainsi des Signatures Angéliques pouvant être utilisées dans des talismans.

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Sceaux et Signatures Angéliques par Cornélius Agrippa

 De la Kabbale hébraïque vient en effet l’idée que certaines langues sont susceptibles de renfermer l’essence de l’objet nommé, qu’en connaissant le nom d’un objet, on obtient un certain contrôle sur cet objet. La langue hébraïque est réputée posséder ce pouvoir, mais également des nombreux « alphabets magiques » que l’on trouve dans les grimoires. Quelques-uns sont inspirés de l’hébreu, d’autres utilisent des signes astrologiques ou géomantiques, certains enfin demeurent d’origine mystérieuse comme le Thébain encore utilisé de nos jours dans la tradition de la Wicca.

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Alphabet Thébain

 

3. La « compagne des démons »

C’est ainsi qu’Agrippa d’Aubigné appelle Catherine de Médicis dans son poème Les Tragiques. La reine qui ordonna le massacre des protestants était en effet passionnée par les sciences occultes. Elle avait ses astrologues attitrés qu’elle consultait avant chaque décision importante, des personnages devenus célèbres : Michel de Nostredame, plus connu sous le nom de Nostradamus, et Cosme Ruggieri qui fut mêlé à plusieurs affaires de philtres et d’envoûtements.

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L’un des plus célèbres talismans de l’histoire, conservé au Cabinet des médailles de la Bibliothèque nationale, appartenait à Catherine de Médicis. C’est une médaille ovale dont les symboles sont directement inspirés de l’œuvre d’Agrippa, La Philosophie Occulte. On y reconnaît diverses signatures angéliques, des représentations figurées des astres sous des formes humaines et animales, ainsi que des formules conjuratoires.

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Le talisman de Catherine de Médicis

 Cette médaille, probablement confectionnée vers 1550, ne cessa d’intriguer les historiens. L’auteur pourrait en être Fernel, astronome devenu médecin du roi, en raison de la mention « Freineil » sur le talisman. Les figures astrales représentées sont celles de Jupiter et de Vénus, auxquelles s’adjoignent d’autres symboles comme ceux du Soleil et du Taureau. Bien qu’il n’y ait aucune certitude à ce sujet, la majorité des historiens pense que la figure de Jupiter symbolisait Henri IV, celle de Vénus, la reine, et que cette médaille était destinée à accroître l’influence de Catherine de Médicis sur le roi. Elle l’aurait, paraît-il, portée jusqu’à sa mort.

4. Les Sigils

 La fin du dix-neuvième siècle fut une nouvelle période charnière pour la magie. Tandis que l’Occident entrait dans l’ère industrielle, l’émergence de disciplines telles que l’anthropologie ou la psychanalyse ouvrait la voie à de nouvelles explorations de l’humain. Dans le même temps, le climat général d’industrialisation et le positivisme conduisirent un nombre croissant de personnes à se réfugier dans le merveilleux et la spiritualité. Des sociétés secrètes, telles que la Golden Dawn, apparurent dans toute l’Europe ; l’Occident redécouvrit l’Inde, les spiritualités orientales ; c’est également l’époque qui vit la naissance du spiritisme, de l’hypnose, puis de la parapsychologie.

Une fois de plus, « syncrétisme » fut le maître mot de ce renouveau. L’ésotérisme du XIXe siècle puisa abondamment dans le passé pour créer de vastes synthèses, dont certaines furent brillantes et inspirées ; cependant dans la majorité des cas, cette manie d’addition des savoirs eut plutôt comme conséquence un alourdissement des savoirs puisque le moindre rituel requerrait de longues années études des langues anciennes, de la Kabbale, de l’alchimie, de l’astrologie, etc. Sans oublier qu’à force de recopier les anciennes figures, par méconnaissance des langages utilisés, mais également parce que notre façon de percevoir le monde a radicalement changé depuis la Renaissance, les talismans finirent par se truffer d’erreurs.

Par exemple, la figure ci-dessous, extraite du Formulaire de haute magie de Pierre Vincenti Piobb est fausse. Au centre se trouvent les lettres hébraïques « Yod, He Dalet, Hé », ce qui ne renvoie à aucun terme hébreu existant. À la place, devraient se trouver les quatre lettres du nom divin « Yod Hé Vau Hé ». La majorité des autres termes de ce talisman est tout aussi incorrecte. L’auteur semble ignorer que des lettres hébraïques mal calligraphiées sont « mortes » ou agissent à contre sens de ce qui est désiré :

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Talisman de la Lune selon P. Piobb

 À partir de ce constat, un auteur et peintre du nom d’Austin Osman Spare conçut, dans les années 1920, une technique basée sur la symbolique personnelle de chaque praticien. Son opinion était que pour que la magie soit réellement efficace, chaque individu devait développer son propre langage symbolique et créer ses talismans avec le matériel à portée de main, autrement dit son propre inconscient. Il inventa donc de nouvelles techniques et son propre alphabet magique à usage personnel.

 En 1913, fut publié l’ouvrage majeur de Spare, Le Livre du Plaisir dans lequel sont exposés les principes de sa doctrine magique. Ne s’y trouve aucun rite ni système moral ou religieux, aucun corpus de savoirs ancestraux à apprendre par cœur, mais des techniques permettant de projeter sa volonté dans le réel grâce à des supports picturaux, les « sigils ». Au contraire de la magie traditionnelle, la sigillisation ne requiert aucune connaissance occulte préalable. Il s’agit simplement d’inscrire une intention magique dans un glyphe, un dessin ou un son, puis de l’activer et le laisser agir. Le talisman est conçu comme un catalyseur du désir qui agit sur l’inconscient de l’opérateur. Cette nouvelle approche de la talismanique connaît, à l’heure actuelle, un grand succès dans le monde anglo-saxon, sans pour autant éclipser totalement les talismans traditionnels qui restent utilisés dans toutes les traditions magiques, de la Wicca aux adeptes des runes, en passant par la magie cérémonielle.

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8 août 2021

Covid 19 : le cartel bancaire dirige l'agenda

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Depuis des semaines, les médias et les autorités « sanitaires » promeuvent sans relâche un récit effrayant sur la « pandémie » de Covid 19 comme si le décompte quotidien de nouveaux « cas » était une urgence de santé publique majeure, sensationnalisée par les médias près de 24 heures/. 7. Le récit officiel est fortement en contradiction avec les voix rassemblées de centaines de médecins, virologues et épidémiologistes.

Incohérence du récit officiel

En supposant que nous soyons confrontés à une pandémie "une fois par siècle", ce serait un grand défi pour l'humanité, forgé d'incertitude. On s'attendrait à rencontrer un débat animé, des discussions, beaucoup de doute et de controverse. Les journalistes doivent rechercher autant d'experts du domaine que possible afin que nous puissions tous comprendre le plus clairement possible le nouveau défi de la santé et comment y faire face. Des traitements efficaces doivent être promus, célébrés, criés sur les toits. Mais la réalité est très différente.

Les mesures de santé publique - pratiquement identiques dans la plupart des pays - sont transmises par l'Organisation mondiale de la santé à travers des hiérarchies bureaucratiques obscures qui revendiquent le monopole de la vérité. La discussion est découragée et des centaines d'experts sont agressivement réduits au silence. Plusieurs traitements efficaces ont été identifiés, mais l'administration est à la limite de l'hostilité à toute mention d'eux.

Dissimulation de traitements efficaces

Début mars 2020 déjà, le président Trump a commencé à mentionner l'hydroxychloroquine (HCQ) comme traitement des infections par le virus Corona. Les médias l'ont rapidement ridiculisé, l'accusant même de mettre des vies en danger. Cependant, il s'est avéré que l'HCQ réduisait la mortalité due au Covid 19 de plus de 50 % et, lorsqu'il est utilisé avec du zinc et des vitamines, jusqu'à 85 %.

 

Le Dr Stella Immanuel a affirmé qu'elle avait traité plus de 300 patients atteints de HCQ, dont beaucoup étaient âgés et avec une ou plusieurs comorbidités et qu'elle n'avait eu aucun décès parmi ses patients. Aujourd'hui, la vidéo avec ses déclarations est difficile à trouver sur YouTube, mais vous trouverez facilement des dizaines de vidéos qui la ridiculisent et diffament son personnage. Beaucoup plus récemment, le Dr Brian Tyson a témoigné que sa clinique avait traité 1 700 patients positifs au Covid-19 – encore une fois avec zéro décès .

Quoi qu'il en soit, les médecins et les patients ont été fortement découragés d'utiliser l'hydroxychloroquine et dans certains pays, HCQ a été brusquement retiré du marché. En Australie, la prescription d'HCQ a même été érigée en infraction pénale . Pendant ce temps, les autorités semblent favoriser l'imposition de vaccins expérimentaux développés à la hâte, non testés, bien que la maladie elle-même ne se soit révélée mortelle que pour 0,004 % de la population (même selon les statistiques exagérées du CDC américain).

Retranchement déroutant de l'administration

L'incohérence totale des positions officielles est désormais devenue si évidente qu'elles ont depuis longtemps perdu toute crédibilité. Mais plutôt que de déclarer la victoire contre le virus et de célébrer le retour à la normale de la vie, les autorités sont devenues encore plus profondément ancrées dans leurs propres contradictions, devenant de plus en plus agressives avec des mesures de « santé publique » toujours plus restrictives. Pendant ce temps, les médias ont intensifié la propagande de « la peur du projet » à des proportions nauséabondes.

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Nous insistons : l'édifice est sain, n'en croyez pas vos yeux menteurs, ne faites pas vos propres recherches !

La situation est devenue surréaliste : comment des personnes apparemment intelligentes et instruites peuvent-elles rester si obstinément attachées à un récit aussi manifestement imparfait ? Pourquoi les médias incitent-ils sans relâche à la peur et à l'hystérie à propos d'un virus grippal bénin ? En plus des médias américains et britanniques, j'ai suivi les reportages des médias en Croatie, en Espagne, en France et en Italie - la même chose partout : c'est tout le Covid tout le temps, avec des alarmes incessantes et des appels au respect de mesures "de plus en plus stupides". . " Par exemple, plus de quatre mois après le début de cette « pandémie », 71 pays ont émis des mandats étrangement similaires pour que les gens portent des masques dans les espaces publics, même s'il n'y a strictement aucune preuve scientifique que cela sert à quelque chose .

Est-ce que tout le monde dans le monde est devenu fou ? Si ce n'est pas la science et la logique qui informent les mesures de santé publique, alors qu'est-ce que c'est ? Et ensuite ça m'a frappé…

Le cas curieux des prêts du FMI pour la Biélorussie

En juin, j'ai noté que le président biélorusse Alexandre Loukachenko avait publiquement snobé une ligne de crédit de 940 millions de dollars du Fonds monétaire international. Il l'a rejeté parce que le FMI a conditionné le prêt à ce que la Biélorussie impose une politique stricte de verrouillage de Covid 19 et un couvre-feu. À l'époque, j'ai pensé qu'il était très étrange que le FMI offre des prêts à un pays tout en fixant des conditions qui compromettent gravement la capacité de remboursement de ce pays.

Apparemment, un certain nombre d'autres pays ont reçu des offres similaires du FMI et/ou de la Banque mondiale. Nous ne connaissons la conditionnalité de Covid 19 que parce que le président de la Biélorussie l'a divulguée publiquement. Fait significatif, Loukachenko a mentionné à plusieurs reprises que les négociateurs du FMI voulaient que la Biélorussie fasse « comme en Italie ». D'autres nations et gouvernements qui ont accepté l'argent ont peut-être accepté discrètement la conditionnalité qu'ils n'ont jamais divulguée au reste d'entre nous.

En avril 2020, 85 pays avaient demandé une aide financière au FMI . Profondément endettés et avec des économies gravement endommagées, la plupart des gouvernements du monde entier avaient besoin de prêts, ce qui les rendait la proie des diktats du pouvoir monétaire. Pour obtenir les fonds nécessaires, ils ont peut-être accepté de fermer leurs économies, de restreindre la liberté de mouvement de leur population, de créer des structures de recherche de contacts de type stase et de fermer les écoles.

Une autre preuve que l'ordre du jour est dirigé par les banquiers était le récent éditorial dans le New York Times par Neel Kashkari , le président de la Réserve fédérale de Minneapolis, appelant le gouvernement à émettre des ordonnances strictes d'abri sur place de 4 à 6 semaines. " pour tout le monde mais les travailleurs vraiment essentiels . " Kashkari a préconisé que les verrouillages soient aussi complets et stricts que possible et effectués de manière agressive, en utilisant «la capacité de test et de traçage que nous avons construite…»

Les empreintes digitales du cartel bancaire peuvent également être trouvées dans le document « Scenarios for the Future of Technology and International Development », publié par la Fondation Rockefeller en 2010. À la page 18, intitulée « Lock Step », le document décrit avec prévoyance notre réalité actuelle comme « A monde de contrôle gouvernemental de haut en bas et de leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et un recul croissant des citoyens . » Le scénario envisage une « pandémie que le monde attendait depuis des années… » Et aujourd'hui, nous avons cette « pandémie », ainsi que le monde du contrôle gouvernemental de haut en bas et un leadership plus autoritaire .

Comme Napoléon Bonaparte ne l'a que trop bien compris : « Lorsqu'un gouvernement dépend des banquiers pour de l'argent, ce sont eux et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation . Dans chaque nation, nous semblons être opposés par une bureaucratie gouvernementale. Mais alors que ces bureaucraties et les fonctionnaires qui y travaillent deviennent la cible du ressentiment du public, il est essentiel que nous reconnaissions les marionnettistes derrière le programme qui se déroule.

Il ne fait aucun doute que l'ennemi est le cartel bancaire international dont le siège se trouve à Londres et à Wall Street, ainsi que leurs agences comme la Banque des règlements internationaux, le FMI, la Banque mondiale, les banques et institutions d'importance systémique mondiale comme la Forum économique mondial, grandes sociétés pharmaceutiques, Organisation mondiale de la santé, Fondation Bill et Melinda Gates, GAVI et bien d'autres.

Comme Lord Acton l'a prévenu il y a plus d'un siècle, « la question qui a balayé les siècles et qui devra être combattue tôt ou tard, c'est le peuple contre les banques ». Ce combat est maintenant à nos portes . Ce pourrait être la lutte ultime entre l'émancipation de l'humanité ou notre asservissement final. Pour l'emporter, nous devons comprendre nos véritables ennemis et les structures financières, économiques, politiques et sociales permettant leur agenda.

Comme le révèle le document de la Fondation Rockefeller, ils ont anticipé notre recul et ont sûrement prévu des détournements pour détourner nos griefs vers les catalyseurs visibles de leur régime autoritaire descendant. L'un des plus grands moyens de diversion sont les guerres. Nous devons donc nous garder de croire que nos ennemis sont les Russes, les Chinois ou quiconque contre qui la logique du diviser pour régner nous opposerait.

Lorsque nos gouvernements nous disent que nous faisons face à une grave menace d'une autre nation, envoient des troupes à ses frontières ou des navires de guerre près de ses côtes, nous devons exiger qu'ils se retirent. Nous devons également nous garder de diaboliser les autres nations et leurs dirigeants car elles conduisent fréquemment à une escalade militaire (pensez à Saddam Hussein, Mouammar Kadhafi, Bachar al Assad…). Ron Paul nous a prévenus : « Ce n'est pas une coïncidence si le siècle de la guerre totale a coïncidé avec le siècle de la banque centrale . J'ai expliqué les racines systémiques de la soif de guerre de l'ouest dans cet article : " Deflationary Gap and the West's War Addiction ".

Bref, il ne faut pas se laisser distraire par le drap rouge du torero : les coupables ultimes, le super-prédateur sont les banquiers : une poignée de familles et d'individus qui contrôlent et gèrent le système monétaire actuel. Nous n'avons pas d'autre choix que de les affronter. Aujourd'hui, nous sommes armés de vérités et d'informations dont les générations passées n'auraient pas pu rêver. Aujourd'hui, nous pouvons faire la différence et offrir à nos enfants et à leurs enfants un monde de prospérité et de liberté au-delà de tout ce que nous pouvons imaginer actuellement. Cette lutte vaut tous les efforts.

 

Alex Krainer – @NakedHedgie est un ancien gestionnaire de fonds spéculatifs, créateur de I-System Trend Follow et fondateur de Krainer Analytics. Il a écrit « Mastering Uncertainty in Commodities Trading », classé n° 1 sur la liste FinancialExpert.co.uk des « 5 meilleurs livres sur les matières premières pour les investisseurs et les commerçants ». Son livre « Grand Deception : The Browder Hoax » a été interdit à deux reprises sur Amazon sur ordre de créatures des marais du département d'État américain. Il écrit également sur ISystem-TF.com . Ses points de vue et opinions ne sont pas toujours pour la société polie mais ils sont toujours exprimé dans la poursuite sincère de la vraie connaissance et de la compréhension claire des idées qui comptent.

26 novembre 2019

Rudolphe Steiner sur le but de la vaccination à venir

 

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"Vacciner comme un meurtre d'âmes" avec des vaccins, des médecins matérialistes chasseront l'âme des enfants ... Vous vaccinez contre l'attachement à la spiritualité. "~ Rudolf Steiner

"L'âme sera abolie par un médicament. D'un "point de vue sain", on trouvera un vaccin à travers lequel l'organisme est traité dans la plus jeune jeunesse possible, de préférence à la
naissance, pour que ce corps humain ne vienne pas à l'idée qu'il existe une âme et un esprit. - Les
deux courants philosophiques se confronteront si vivement .

Il faudra réfléchir à la manière dont les concepts et les idées doivent être développés de manière à pouvoir
faire face à la réalité réelle , la réalité de l'esprit et de l'âme. Les autres, les adeptes des matérialistes d'aujourd'hui, rechercheront le vaccin qui rend le corps "sain", c'est-à-dire que ce corps ne parle pas de choses aussi stupides que de l'âme et de l'esprit, mais "sain". parle des forces qui vivent dans les machines et la chimie qui constituent les planètes et les soleils dans la nébuleuse du monde. Cela se fera par des procédures physiques. les médecins matérialistes vous transmettre, les âmes
chassez de la race humaine ».
- Dr Rudolf Steiner, GA 177, page 97f., Extrait des conférences à Dornach du 29 septembre au 28 octobre 1917.

.... Pour cela, bien sûr, tout d’abord, les conceptions du monde, les conceptions du peuple doivent être confondues, les
concepts, les idées doivent d’abord être inversées. Et voici un domaine sérieux à surveiller, car il s’agit de l’un des fonds les plus importants des événements en cours de préparation.
- Dr. Rudolf Steiner, GA 177, pp. 236-238, extrait des conférences à Dornach du 29 septembre au 28 octobre 1917 " un scientifique du CERN en Suisse qui a été évincé de son service avec son équipe par un "groupe occulte", (toujours le même) qui s'est emparé du LHC.

Ce scientifique que nous remercions, nous avaient prévenus des dangers du vaccin.

 La vaccination pourquoi ?

L'injection de plasmides pour empêcher l'évolution neurologique et spirituelle de l'Homme !!!!

RUDOLF STEINER 1861-1925

Viendra un temps où l'on développera des vaccinations qui pourront empêcher les tendances à la spiritualité…Ces inoculations auront une influence telle sur le corps humain qu'elle l'amèneront à refuser d'accorder la moindre place aux tendances spirituelles de l'âme… Je vous ai avertis que les esprits des ténèbres vont inspirer les humains…pour la mise au point d'un vaccin qui, dès le plus jeune âge, extirpera de l'âme toute tendance à la spiritualité… ces tendances qui ne sont que « folies » aux yeux des matérialistes.

- Rudolf Steiner: Fall of the Spirits of Darkness Lecture 13 The Fallen Spririts - Influence in the World, Dornach, 27, Oct. 1917

il disait vrai rudolphe certainement ces infos il les a eut lors de discussions avec le monde astral , car récemment lors d'un exorcisme un ami m'a alerté sur le fait que les vaccins contenait du sang de sacrifices fait aux demons et servirait de cheval de troie pour le control spirit humain ......et la possession ....

 

26 novembre 2019

Traces radioactives de la catastrophe nucléaire de Fukushima découvertes dans un vin de Californie

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«Après l'accident de la centrale nucléaire de Fukushima en 2011, des déchets radioactifs se sont déversés dans les zones environnantes, ainsi que dans les eaux et les aliments contaminés. Sept ans plus tard, des traces du désastre ont été retrouvées à l'autre bout du monde, dans le vin de Californie.

Un groupe de physiciens nucléaires français a testé 18 bouteilles de rosé et de cabernet sauvignon de Californie produits en 2009 et par la suite, et a découvert que les vins produits après la catastrophe avaient augmenté les niveaux d'une particule radioactive produite par l'homme. Le cabernet sauvignon, par exemple, en avait le double. [Suivi des débris du tsunami au Japon (infographie)]

Ils ont rapporté leurs découvertes dans le journal en ligne pré-imprimé Arxiv.

Les chercheurs ont utilisé deux méthodes pour rechercher les traces d'un isotope radioactif appelé césium 137. La première méthode a été développée il y a environ 20 ans et pouvait détecter les particules à travers la bouteille de vin, sans la détruire ni l'ouvrir. Avant la présence de césium 137 avant 1952, il est impossible (c’est un isotope synthétique libéré dans les environs par des essais nucléaires au milieu du XXe siècle), il s’est avéré très efficace pour détecter les fraudes dans les vieux vins millésimés, selon l'étude.

Pour une détection plus précise, les chercheurs ont détruit les vins en les chauffant et en les réduisant "en cendres", ont-ils écrit. Ils ont testé le césium 137 dans ces cendres.

Selon le New York Times, ils ont certes constaté une augmentation des niveaux de déchets radioactifs, mais les experts affirment qu’il n’ya rien à craindre. Il n’ya pas de «problèmes de santé et de sécurité pour les résidents de la Californie», a déclaré le Département de la santé publique de Californie au Times.

Selon l'Organisation mondiale de la santé, les niveaux de toxines radioactives présents dans les aliments et les boissons à l'extérieur du Japon sont trop faibles pour être dangereux.

Même au Japon, au cœur de la crise, bien que plus de 100 000 personnes aient été évacuées de leurs maisons, aucun décès ni aucune maladie provoquée par les radiations n’a été signalé à ce jour, selon l’Association nucléaire mondiale. En outre, la plupart des bouteilles de vin élaborées après 1952 contiennent au moins un peu de cette torsion nucléaire. "

Source: https://www.livescience.com/63131-fukushima-radiation-in-california-wine.html

17 novembre 2018

Le canular des dinosaures - la grande majorité n'ont jamais existé !

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C’est “Sir” Richard Owen, de la Royal Society et surintendant du département d’histoire naturelle du British Museum qui a défini en 1842 la classe des “dinosauria”. En d’autres mots, l’existence des dinosaures s’appuie au départ sur l’hypothèse théorique d’un directeur de musée nommé chevalier, “comme par hasard” au milieu du 19ème siècle, âge d’or de l’évolutionnisme, avant même qu’on ait découvert un seul fossile de dinosaure. Les organes de presse, tant maçonniques que grand public démarrèrent un battage publicitaire sur ces supposés animaux depuis longtemps disparus et, surprise, 12 ans plus tard en 1854, Ferdinand Vandiveer Hayden lors de son exploration de la vallée du Missouri, découvrit une “preuve” de la théorie d’Owen ! Quelques dents non identifiées qu’il envoya au paléontologue réputé Joseph Leidy, qui déclara plusieurs années plus tard qu’elles provenaient d’un ancien dinosaure éteint, le “trachodon” (ce qui veut dire, toute ironie à part, “dent grossière”).

Tout d’abord, pas besoin de préciser qu’il est impossible de reconstituer l’intégralité d’un animal hypothétique disparu en se basant sur quelques dents ! Mais il est encore plus douteux que d’innombrables formes intermédiaires anciennes reptile/oiseau et reptile/mammifère nécessaires à la théorie en plein essor de l’évolution, fassent d’abord l’objet d’une hypothèse et soient ensuite “découvertes” fort à propos par des équipes d’archéologues évolutionnistes cherchant à dessein de tels fossiles ! Et il est encore plus douteux que ces soi-disant fossiles aient pu exister pendant des millions d’années en restant inconnus des différentes civilisations de l’histoire de l’humanité et qu’ils n’aient jamais été découverts avant la renaissance maçonnique évolutionniste du milieu du 19ème siècle !
“Pourquoi les indiens n’en ont-ils jamais découvert pendant toutes les années où ils ont arpenté les continents d’Amérique ? Il n’y a aucune croyance associée aux dinosaures dans la religion ou la tradition des amérindiens. Pourquoi d’ailleurs n’y a-t-il eu aucune découverte antérieure au 19ème siècle dans une quelconque partie du monde ? Selon la World Book Encyclopedia, ‘Avant les années 1800, personne ne connaissait l’existence des dinosaures’. On a découvert de grands gisements de fossiles de dinosaures à la fin des années 1800 et au début des années 1900. . . Pourquoi l’homme a-t-il fait soudain toutes ces découvertes ?”
– David Wozney, “Dinosaures : Science ou Science Fiction”
Aucune tribu, culture ou pays du monde n’a découvert le moindre os de dinosaure avant le milieu des années 1800 et on en a trouvé ensuite tout autour du monde, en Amérique du nord, Amérique du sud, Europe, Asie, Afrique, Argentine, Mongolie, Tanzanie, et de nombreux autres endroits possédaient apparemment de grands gisements de fossiles de dinosaures jamais découverts auparavant. Tous ces endroits étaient habités et bien explorés depuis des milliers d’années avant cette date, pourquoi personne n’en a-t-il jamais trouvé avant ?
Selon le livre, “Projet Dinosaure“, le journaliste paléontologue Wayne Grady déclare que pendant la période qui a suivi, entre 1870 et 1880 environ, “se pratiquèrent en Amérique du nord certaines des combines les plus tordues de l’histoire de la science“.
Pendant ce qu’on a appelé “Le grand rush vers les dinosaures”, ou “La guerre des ossements”, une rivalité et une passion de toute une vie pour la “chasse au dinosaure” commença entre Edward Drinker Cope de l’Académie des Sciences Naturelles et Othniel Marsh du musée Peabody. Ils étaient amis au début mais ils devinrent ensuite des ennemis acharnés au cours d’une querelle légendaire où se mêlèrent trahison, calomnie, corruption, vol, espionnage et destruction d’ossements. On disait que Marsh avait découvert plus de 500 anciennes espèces différentes dont 80 dinosaures, alors que Cope n’en aurait découvert que 56. Sur les 136 espèces de dinosaures qu’auraient soi-disant découvert les deux hommes, pourtant seules 32 sont actuellement considérées comme valides ; le reste s’est révélé de totales falsifications et fabrications ! Aucun des deux n’a jamais déclaré non plus avoir trouvé de squelette complet, tout leur travail supposait donc des reconstitutions. En fait, à ce jour aucun squelette complet n’a été découvert et tous les dinosaures sont donc des reconstitutions.
“Il semble que les découvertes et les fouilles ne sont pas faites par des gens désintéressés, comme des agriculteurs, des éleveurs, des randonneurs, des promeneurs, des ouvriers maniant des pelleteuses pour creuser les fondations de bâtiment, qui creusent les tranchées d’oléoducs et travaillent dans l’exploitation minière mais plutôt par des gens personnellement très investis, comme les paléontologues, les scientifiques, les professeurs d’université et le personnel d’organisation de musée, qui faisaient délibérément une recherche d’ossements de dinosaures ou qui les avaient déjà étudiés. Les trouvailles sont souvent faites par ces gens au cours de voyages et d’expéditions spéciales de chasse à l’os de dinosaure dans des régions déjà habitées et explorées. Ce qui semble hautement invraisemblable. Plus crédible est le cas de la découverte des premiers rouleaux originaux de la Mer Morte en 1947, qui furent découverts sans le vouloir par un enfant et qui furent tous publiés en 1955. Dans certains cas de découverte d’ossements de dinosaures par une personne désintéressée, un ‘professionnel’ dans le domaine lui suggérait de regarder ou de creuser dans une zone particulière. Très intéressant aussi à noter, ce sont les zones spéciales réservées et désignées comme parc à dinosaure où les chasseurs de dinosaure amateurs doivent obtenir d’abord un permis de chasse au dinosaure”.
– ibid.
Quelle que soit la destination prise par ces archéologues et paléontologues financés par l’establishment, ils semblaient trouver des quantités incroyables de fossiles dans des zones minuscules. Dans l’un des plus grands site de fouilles de dinosaures, nommé Ruth Mason Quarry, plus de 2000 fossiles auraient été découverts. Des moulages et des squelettes originaux assemblés à partir de ces os sont actuellement exposés dans plus de 60 musées du monde. On doit à Florentino Ameghino, directeur de paléontologie au musée La Plata l’étonnante découverte de 6000 espèces fossiles pendant sa carrière en Argentine. Le chasseur de dinosaures Earl Douglass a envoyé 350 tonnes d’ossements de “dinosaures”, résultat de sa vie de fouilles, au musée Carnegie d’histoire naturelle, provenant tous du “Dinosaur National Monument” dans l’Utah. Durant une expédition en Patagonie, le Dr Luis Chiappe et le Dr Lowell Dingus auraient découverts des milliers d’œufs de dinosaures sur un site de seulement quelques hectares. De nombreux experts ont mentionné que la découverte d’une telle quantité de fossiles dans une seule zone, par seulement quelques individus fortement investis, s’oppose aux lois de la probabilité et rend crédibles de probGaucheables contrefaçons ou des efforts d’implantation localisés.
“Les os de dinosaures se vendent contre beaucoup d’argent dans les ventes aux enchères. C’est un marché juteux. On exhorte les spécialistes à publier des articles. Les musées font le commerce d’expositions populaires et attirantes. Les producteurs de films et les médias ont besoin de produire du matériel à vendre pour rester dans la course. Les médias grand public adorent faire une grande publicité autour de supposées découvertes de dinosaures. On gagne beaucoup à transformer la plate découverte d’un os d’origine moderne en une trouvaille impressionnante et à laisser faire l’imagination d’artistes pour les interpréter et les mettre en valeur. Il y a des gens avec une folle envie de prestige, de renommée et d’attention. Il y a l’effet de mode et le comportement de la foule. Et il y a ensuite des gens et des entités qui poursuivent des agendas politiques et religieux. Les bénéfices financiers et économiques hautement gratifiants qui reviennent aux organismes d’éducation et de recherche, aux départements universitaires de paléontologie, aux découvreurs et propriétaires d’os de dinosaures et aux industries du livre, de la télévision, du cinéma et des médias seront des motifs suffisants pour ridiculiser toute franche remise en question et supprimer toute investigation honnête”
– ibid.
Des os de “T-Rex” qui se sont vendus pour plus de 12 millions de dollars aux enchères montre combien lucratif peut être le domaine de la chasse au dinosaure et il se trouve que ce sont les officiels des musées qui semblent faire les découvertes fortuites les plus prolifiques ! Le premier dinosaure présenté en public a été le “Hadrosaurus foulkii”, à l’académie Edward Drinker Cope de sciences naturelles de Philadelphie. C’était une co-découverte de Joseph Leidy, l’estimé professeur de Cope et le responsable du “trachodon” dentosaurus. La reconstitution originale de l’hadrosaurus, qui est toujours exposé aujourd’hui, montre le moulage en plâtre d’un énorme reptile bipède debout se servant de sa queue comme troisième jambe. Ce que peu de gens savent, cependant, c’est qu’on n’a jamais découvert de crâne et qu’on n’a jamais présenté d’os originaux au public.
“Deux spécialistes en arts visuels et en sculpture furent promptement embauchés pour inventer un crâne et en partant des illustrations d’un autre artiste, qui avait représenté un iguanodon, les deux artistes dessinèrent la même tête pour le hadrosaurus foulkii. Les personnes impliquées pouvaient maintenant défendre techniquement l’existence de ce dinosaure si quelqu’un posait la question. La combine fonctionna si bien, et dupa si complètement le public, qu’ils purent changer par la suite la tête de la créature sans que personne ne le remarque. À ce jour, l’hadrosaurus foulkii est exposé à l’académie des sciences naturelles de Philadelphie. Il est dit que les ossements sont gardés derrière de lourdes portes closes, mais qu’une copie en plâtre est présentée à la place… Nous apprenons donc que le crâne d’un iguane a remplacé celui d’un dinosaure exposé. L’a-t-on dit au public à l’époque ? Que nous cache-t-on aujourd’hui ?”
– ibid.
Ce qu’on ne nous dit pas, c’est que c’est la règle et non l’exception. À ce jour, pas un seul squelette complet de dinosaure n’a été trouvé ! Tous les modèles exposés dans les musées, tous les dessins animés et tous les films de monstres préhistoriques que vous avez pu voir ne sont que des reconstitutions imaginaires basées sur des squelettes incomplets arrangés de façon à les rendre tout à fait réalistes et crédibles aux paléontologues. De plus, il est communément admis que les squelettes exhibés dans les musées sont tous de complexes fabrications à base de plâtre, fibre de verre, résines variées et d’os d’autres animaux, et non les fossiles d’origine.
“Faire son propre dinosaure avec des
os de poulet” Instructions inratables
pour paléontologues en herbe
Quand les os d’un “dinosaure” sont préparés pour être expédiés, on utilise des bandes de toile de jute trempées dans du plâtre pour les envelopper. Après l’application préalable d’un tissu séparateur qui va empêcher un contact direct du plâtre avec l’os, on étend les bandes de toile de jute trempées jusqu’à ce qu’il soit entièrement emballé à la manière d’une momie et prêt pour le transport. Dans un article intitulé “Sur la piste des fossiles, de la fouille à l’exposition“, un informateur remarquait :
“À l’aide de moules et de plâtre, nous pouvons intégralement fabriquer des pattes, des côtes, des vertèbres, etc. pour les éléments manquants de la structure articulée d’un squelette. Le plâtre, la fibre de verre et la résine sont souvent et couramment utilisés. Pour un travail de reconstitution d’os simples, on peut reboucher les fissures, petites ou grandes, avec du papier mâché ou du plâtre mélangé à de la dextrine, un amidon qui confère une qualité d’adhésion et une dureté supplémentaire au moule en plâtre habituel. Nous avons eu également une bonne réussite avec des mastics à base de résine. Il est possible de sculpter directement sur place les fragments manquants avec ces mêmes matériaux.”
En d’autres mots, le personnel des musées travaille avec du plâtre et d’autres matériaux pour transporter et fabriquer en permanence des squelettes et des os manquants ou incomplets. En fait, il est admis que les expositions avec d’immenses “os de dinosaures” qu’on voit dans les musées du monde sont des faux soigneusement préparés ! Aucun chercheur indépendant n’a jamais examiné un vrai squelette de dinosaure ! On prétend que tous les fossiles réels sont conservés dans des réserves sous haute sécurité, mais seuls quelques paléontologues choisis sont autorisés à les examiner, le grand public n’a donc aucun moyen pour établir leur authenticité.
“La plupart des gens pensent que les squelettes de dinosaure exposés dans les musées sont composés d’ossements de dinosaures. Ce n’est pas le cas. Les vrais os sont enfermés dans d’épaisses chambres fortes dont les clefs sont détenues par quelques chercheurs haut placés seulement, ce qui veut dire qu’AUCUN chercheur indépendant n’a tenu entre les mains un os de tyrannosaurus rex. Quand des personnes non affiliées à l’establishment paléontologique tentent d’accéder à des os de dinosaures pour les étudier, ils essuient refus sur refus… seuls 2100 lots d’os de dinosaures ont été découverts de par le monde et sur ce nombre, seuls 15 ensembles incomplets d’os de tyrannosaurus rex ont été découverts. Ces lots d’os n’ont jamais formé de squelette complet, mais à partir de ces ensembles d’os incomplets, les paléontologues ont construit une hypothèse sur l’apparence du squelette entier, dont ils tirent un modèle en plastique. Si des milliers de créatures au long cou et de grands reptiles carnivores avaient vraiment marché sur Terre, nous n’aurions pas trouvé juste 2100 lots d’ossements, mais des millions, avec des gens ordinaires qui trébuchent dessus quand ils bêchent leur carré de potager.”
– Robbin Koefoed, “Les dinosaures n’ont jamais existé”
“Quand des enfants vont dans un musée de dinosaures, ce qui est exposé est-il de la science ou de l’art et de la science-fiction ? Sommes-nous trompés et avons-nous subi dès notre enfance un lavage de cerveau nous faisant croire au mythe des dinosaures ? Il est nécessaire de poser des questions pointues sur toute cette affaire de dinosaures. Il a fallu l’apport constant depuis les premières ‘découvertes’ de dinosaures, d’un assortiment d’os de divers animaux, comme des crocodiles, alligators, iguanes, girafes, éléphants, bovins, kangourous, autruches, émeus, dauphins, baleines, rhinocéros, etc. pour fabriquer et créer le concept artificiel nouveau d’un animal préhistorique appelé dinosaure. Quand les os d’animaux existants ne trompent pas suffisamment, on va fabriquer et utiliser des substituts en plâtre. Des matériaux qui ressemblent à une pâte à modeler en argile ou du plâtre feront l’affaire. On peut employer aussi des moules. Quelle serait la motivation d’un tel effort de supercherie ? D’évidentes motivations font référence à une tentative de prouver la théorie de l’évolution [darwinisme], de réfuter ou de jeter le doute sur la bible chrétienne et l’existence du Dieu des chrétiens et de réfuter la ‘théorie de la terre jeune’[créationnisme]. Le concept de dinosaure implique que si Dieu existe, Il a ‘bricolé’ son idée de dinosaure pendant un moment, puis l’a probablement écarté ou s’est fatigué de cette création et a poursuivi en créant l’homme. La chronologie historique des dinosaures présentée suggère un Dieu imparfait pour qui s’est présentée après coup l’idée de l’homme, reléguant ainsi l’idée biblique de Dieu ayant créé l’homme à Son image.”
– David Wozney, “Les dinosaures : science ou science-fiction”
Tapez “squelettes de dinosaures” dans un moteur de recherche et vous trouverez une variété de répliques de dinosaures faits sur mesure et de squelettes ” de qualité- musée”. L’un des plus grands et des plus renommés fournisseurs de faux dinosaures est la société Zigong Dino Ocean Art au Sichuan en Chine qui ravitaille les musées d’histoire naturelle partout dans le monde avec des squelettes ultra-réalistes de dinosaures fabriqués à partir de vrais os !
Des os de poulet, grenouille, chien, chat, cheval et porc sont fondus, mélangés avec de la colle, de la résine et du plâtre, puis utilisés comme matériau de base pour re-mouler des “os de dinosaures”. On leur fait même subir des fractures intentionnelles et on leur donne un aspect ancien/fossilisé pour les faire apparaître réels. Ils s’en vantent sur leur website :
“Plus de 62 % de notre production part sur les marchés américains et européens, ce qui veut dire que nous sommes au courant des complexités et des règlements d’exportation vers ces pays… Comme nous sommes partenaires des musées de dinosaures, tous les produits sont fabriqués sous la direction d’experts de l’Académie des Sciences chinoise… Nous bénéficions d’un réseau mondial de ventes, touchant des pays comme les USA, le Brésil, la France, la Pologne, la Russie, l’Allemagne, l’Arabie Saoudite, la Corée du sud, la Thaïlande, l’Indonésie, et nos produits sont exposés au Pérou, en Argentine, à Vancouver, Cincinnati, Chicago et à d’autres endroits.”
“J’ai entendu dire qu’il existe une usine de faux fossiles au nord-est de la Chine, dans la province de Liaoning, près de dépôts où on aurait trouvé ces supposés récents dinosaures à plumes.”
– Alan Feduccia, professeur de paléontologie à l’université de Caroline du Nord
“La possibilité existe que d’importants os de dinosaure exposés aient été modifiés artificiellement par sculpture et gravure. Sculpter des os n’est pas une activité inconnue de l’homme. De nombreuses cultures ont pris part à la création d’objets artificiels à partir d’os existants, totalement impossibles à différencier de l’original. L’industrie du dinosaure est-elle cliente de ce genre de trafic ? Est-il possible que la réplique d’un squelette de dinosaure soit reconstituée ou fabriquée secrètement dans des bâtiments privés loin de la vue du public, avec des os fabriqués artificiellement ou utilisés à partir de plusieurs animaux différents d’aujourd’hui ? Pourquoi s’embêter à posséder des fossiles originaux authentiques quand de supposées répliques plaisent au public ?”
– David Wozney, “Les dinosaures : Science ou Science-fiction ?”
n autre problème avec les dinosaures est leur dynamique structurelle non naturelle. De nombreux squelettes et reconstitutions de dinosaure présentent des monstres bipèdes comme le T-Rex, avec un tronc qui penche vers l’avant et une tête bien plus grosse et plus lourde que le contrepoids donné par la queue. De nombreux modèles exposés dans les musées ne peuvent même pas tenir debout à cause de leur propre poids ; il est hautement improbable que des bêtes aussi énormes et disproportionnées aient pu jamais exister. La charge agissant sur leur squelette est si forte que des calculs indiquent que les os des plus grands dinosaures se déformeraient et se fissureraient sous leur énorme poids ! Des experts ont aussi souligné que les dinosaures devaient marcher bien plus lentement que ce qu’on montre dans les films, pour éviter des chocs brusques à leurs squelettes.
“Cette idée d’animaux se déplaçant lentement ne colle pas avec l’analyse bio-mécanique des dinosaures, qui indique qu’ils étaient d’agiles et actives créatures. C’est un paradoxe entre la taille et le mode de vie des dinosaures. De nombreuses représentations et dessins se révèlent absurdes en montrant un animal à deux pattes qui serait en total déséquilibre, avec le poids de la tête et de l’abdomen bien plus élevé que celui de la queue, supposée agir comme contrepoids. L’industrie du dinosaure est-elle le cas d’une science essayant d’aller au devant des désirs ou des attentes du public ? Le film Jurassic Park montre l’exemple de dinosaures beaucoup plus grands que toutes les représentations actuelles des musées. Après la sortie du film, il est intéressant de noter que de nombreux articles ont été écrit demandant, ‘Ceci est-il possible ?’ Je me souviens d’un rapport sur l’ADN d’un dinosaure retrouvé préservé dans de l’ambre, qui s’est avéré être un faux par la suite.”
– ibid.
“Plusieurs millions de dollars ont été mondialement dépensés pour promouvoir l’existence de dinosaures à travers des films, des émissions de TV, des magazines et des bandes dessinées. Le monde du cinéma et de la paléontologie marchent la main dans la main. La vision des gens sur l’existence des dinosaures se base non pas sur des preuves formelles, mais sur les impressions artistiques fixées par Hollywood. Des documentaires illustrent de manière éclatante les caractéristiques de chaque dinosaure, comme leur couleur, leur poids et leur masse musculaire, mais Don Lessem (conseiller pour Jurassic Park) admet que cela relève de pure supposition – envisagez par exemple la question du poids de ces dinosaures. Don Lessem dit, ‘Les scientifiques ne savent quel poids faisaient les dinosaures !”
– Robbin Koefoed, “Les dinosaures n’ont jamais existé”
Les dinosaures sont présentés au public sous la forme de reconstitutions artistiques colorées, de dessins, de modèles, de gigantesques squelettes de musées, de dessins animés et de films montrant ces bêtes en détails explicites, mais tout comme les nombreuses espèces supposées d’homme-singes, toutes les reconstitutions de dinosaures sont des fabrications 100 % fictives créées par des évolutionnistes intéressés et inventifs.
Ils présentent à dessein des dinosaures aux enfants dans les médias pour exciter leur jeune imagination et les influencer vers leurs combines. Des dessins animés comme “L’âge de glace” et “Le petit dinosaure et la vallée des merveilles“, les films comme “Jurassic Park” et “Dinosaur Island“, les livres, poupées, jouets en plastique, manuels scolaires de primaire et représentations dans les musées ont un effet certain sur les jeunes esprits en devenir.

Les films de National Geographic et de la série ‘l’âge de glace’ ont été produits par la société du franc-maçon Rupert Murdoch et par 20th Century Fox. La société de production franc-maçonne Universal Studios a créé Jurassic Park et Le petit dinosaure et la vallée des merveilles. Ils appartiennent à Comcast, dont les principaux actionnaires sont les franc-maçons JP Morgan et les Rothschild. Le Discovery Channel [chaîne de TV pour les jeunes] qui propose de nombreux documentaires sur les dinosaures a pour conseiller financier Rothschild et fils Limited.

L’ancien étudiant en paléontologie, Michael Forsell, a clamé pendant une interview radiophonique avec le paléontologue réputé Jack Horner que ce dernier était “un fraudeur complet, qui fabrique des preuves et perpétue le mythe des dinosaures“. Il ajouta,
“J’ai débuté ma carrière dans le domaine de la paléontologie et j’ai arrêté mes études après avoir réalisé que tout l’ensemble n’était qu’une vaste fumisterie. C’est n’importe quoi, presque tous les prétendus squelettes des musées sont en fait des moulages en plâtre. On le dit même franchement aujourd’hui dans les documentaires, que c’est pour préserver les os ! Ouais, c’est ça ! J’ai eu du mal quand j’étais étudiant, surtout parce que je ne pouvais pas faire la différence entre un œuf fossilisé et une pierre ordinaire et bien sûr il n’y a pas de différence. J’ai été traité comme un pestiféré quand j’ai refusé de marcher dans leur propagande, et j’ai aussitôt arrêté les cours. Les dinosaures n’ont jamais existé, tout ce bazar n’est que du grand guignol, ils ne font que prendre une paire de vieux os en les façonnant pour en faire la dernière pièce à conviction à la manière du monstre de Frankenstein. Si les dinosaures existaient, on les aurait mentionné dans la bible. Nous avons tous été dupés et c’est inadmissible, mais ensemble nous pouvons le stopper“
Beaucoup disent qu’avec la radiométrie [la très contestée méthode de datation au radiocarbone] on fait remonter les fossiles de dinosaures à des dizaines de millions d’années, leur authenticité est donc prouvée. Le fait est pourtant que les méthodes utilisées pour dater les fossiles consiste non pas à mesurer les fossiles eux-mêmes, mais les roches près desquelles ils ont été découverts. On trouve surtout les fossiles près de la surface de la terre et si un animal contemporain devait mourir dans le secteur, les paléontologues lui attribueraient probablement la même ancienneté ! Le Dr Margaret Helder écrit dans un de ses livres,
“Les scientifiques ont été très impressionnés par le potentiel de la radiométrie pour réussir à dater de manière fiable l’âge de certaines variétés de roches. Ils ne pensent plus ainsi. Ayant eu à s’occuper de plusieurs dates calculées qui sont trop jeunes ou trop vieilles comparées à ce qu’ils attendaient, les scientifiques admettent aujourd’hui que le processus comporte beaucoup plus d’incertitudes que ce qu’ils supposaient auparavant. Le public ne sait presque rien sur les incertitudes de la datation des roches. L’impression reçue par la plupart des gens est que de nombreuses roches sur terre sont extrêmement vieilles et que la technologie existe pour faire des mesures précises de leur âge. Les scientifiques ont pris de plus en plus conscience que les mesures faites par les machines peuvent ne rien nous dire sur l’âge réel d’une roche”
“Le chaînon manquant”
L’une des principales raisons du “besoin” des évolutionnistes de l’existence des dinosaures était de répondre aux problèmes complexes existant dans la théorie de l’évolution, à savoir : les animaux aquatiques qui se transforment en animaux terrestres ; les reptiles qui deviennent des animaux ailés à plumes, qui volent et deviennent des oiseaux ; ainsi que d’autres reptiles évoluant en animaux à sang chaud, vivipares, pourvus de mamelles et devenant des mammifères. Grâce à sa chronologie imaginaire de plusieurs millions d’années et la diversité d’apparences supposées transitoires de dinosaures, l’establishment paléontologique s’est débrouillé pour que différents dinosaures marins, reptiles/oiseaux et reptiles/mammifères combler ces fossés. De nombreux professionnels et experts en ce domaine ont pourtant contesté ces découvertes au fur et à mesure de leur arrivée. Le Dr Storrs Olson, scientifique au Smithsonian Institute, écrivait,
“L’idée de dinosaures à plumes et d’oiseaux descendant de thérapodes [par exemple le “vélociraptor” qu’on voit dans Jurassic Park] est activement diffusée par un groupe de scientifiques zélés agissant de concert avec certains éditeurs de Nature [une célèbre revue] et de National Geographic, devenus eux-mêmes d’ardents défenseurs de cette croyance et cherchant avec partialité à y convertir les autres. Vérité et passage des preuves à un crible scientifique soigneux ont figuré parmi les premières victimes de leur programme, qui est en passe de devenir l’un des plus grands canulars scientifiques de notre époque“
On n’a jamais trouvé de plumes sur des fossiles de dinosaure, malgré bien entendu quelques tentatives de canulars. Le Dr Olson disait que rajouter des plumes était, “du battage médiatique, des fantasmes, de la propagande, une affabulation sans queue ni tête, et un canular”. Dans les années 1990 on aurait trouvé de nombreux fossiles à plumes en Chine (bizarrement proches de l’usine Zigong) mais après examen, le Dr Timothy Rowe a constaté que le prétendu “Confuciusornis” était un canular élaboré. Il a aussi découvert que le spécimen “Archéoraptor” qu’on aurait retrouvé dans les années 90 était composé d’os provenant de 5 animaux différents ! Quand le Dr Rowe présenta ses découvertes à National Geographic, le directeur scientifique lui aurait répondu, “Eh bien, ils ont tous été trafiqués !” National Geographic poursuivit ensuite sa conférence de presse et les médias racontèrent que les fossiles d’Archéoraptor étaient authentiques et qu’ils constituaient le chaînon manquant dans la théorie de l’évolution.
“Cet article de novembre 1999 du National
Geographic a été retiré après qu’on ait
démontré que le fossile “Archéoraptor”
était une fraude”
“En 1999, le magazine National Geographic a été pris la main dans le sac en présentant, dans un article fantaisiste haut en couleurs, le chaînon manquant. Leur Archéoraptor, était supposé étayer le principe de base de la théorie de l’évolution, à savoir que les dinosaures avaient lentement évolué sur des millions d’années. Leur preuve consistait en un fossile sur lequel des marques osseuses soigneusement réparties donnaient l’impression d’une créature mi-dinosaure, mi-oiseau. L’escroquerie fut découverte pendant un scanner qui révéla l’artifice. Le magazine dut admettre, contraint et forcé, que le fossile était une création humaine !”
– Robbin Koefoed, “Les dinosaures n’ont jamais existé”
Les paléontologues prétendent que l'”Archéoptéryx” est une autre forme transitoire d’oiseau ayant évolué à partir des dinosaures, mais cette théorie tombe à l’eau face à d’écrasantes preuves du contraire. D’autres espèces comme le Confuciusornis, le Liaoningornis et l’Eoalulavis se sont avérés contemporains de l’Archéoptéryx et impossibles à différencier des oiseaux actuels. Alan Feduccia de l’université de Caroline du nord, l’un des plus célèbres ornithologues au monde a déclaré,
“J’ai étudié les crânes d’oiseaux pendant 25 ans et je ne vois pourtant aucun point commun. Aucun. L’idée d’oiseaux descendant de thérapodes sera, à mon avis, ce qui mettra les paléontologues du 20ème siècle dans le plus grand embarras.” Larry Martin paléo-ornithologue à l’université du Kansas, dit, “J’avoue que si je devais encourager l’origine dinosaurienne des oiseaux avec ces caractères, je serais très gêné d’avoir à en parler“
Même si les dinosaures avaient évolué en oiseaux pour combler les lacunes dans la théorie de l’évolution, cela n’explique pas comment une chose comme la mouche domestique commune aurait pu évoluer. Les mouches agitent leurs ailes à un rythme de 500 fois par seconde, la plus légère discordance vibratoire leur ferait perdre l’équilibre et les ferait tomber, mais cela ne se produit jamais. Comment pourraient-elles faire “évoluer”une capacité aussi étonnante et aussi spécialisée ?
Pourquoi n’a-t-on jamais découvert de dinosaures avant la renaissance évolutionniste du milieu du 19ème siècle ? Pourquoi les paléontologues pensent-ils pouvoir reconstituer l’espèce entière d’un animal éteint à partir de quelques dents ? Pourquoi tant de “découvertes” de dinosaures se sont-elles avérées des canulars ? Pourquoi tous les “fossiles de dinosaures authentiques” sont-ils gardés sous clé sans possibilité d’une analyse indépendante ? Comment se fait-il que l’érosion et l’exposition aux éléments n’aient pas détruit toutes ces empreintes et fossiles censés être vieux de millions d’années ? Si les dinosaures avaient été balayés par la chute d’une météorite ou par une autre catastrophe mondiale de ce genre, pourquoi les autres espèces d’animaux qui existent aujourd’hui n’ont-ils pas subi aussi cette disparition ? Il y a bien d’autres questions qui demandent réponse avant que des gens sains d’esprit puissent envisager l’existence des dinosaures autrement que comme un mythe évolutionniste bien commode.
“L’establishment des paléontologues a un pouvoir de contrôle sur le choix des hypothèses incluses dans les manuels et les cours. Les élèves et étudiants vont ainsi être conditionnés à une pseudo-réalité contrôlée par le contenu des textes et l’autorité de l’enseignant. Un bref exemple concret : on trouve par hasard une dent sur un site de fouilles et à partir de cette dent, on devine le reste du squelette. Ce n’est pas une plaisanterie. L’intégralité du programme paléontologique dans le domaine des dinosaures est une imposture“
– Robbin Koefoed, “Les dinosaures n’ont jamais existé”
“Une nouvelle vision du monde de l’évolution a été lancée au 19ème siècle par des gens influents comme Darwin et Marx. C’est pendant cette ère de pensée qu’on a fait les premières découvertes de dinosaures. Ces découvertes furent-elles ‘fabriquées’ pour tenter de maquiller les incohérences des fossiles pour coller avec la théorie de l’évolution ? Les problèmes soulevés plus loin allument quelques signaux d’alarme concernant l’intégrité de l’industrie du dinosaure et jettent un doute sur l’existence même des dinosaures :

1. Des découvertes de dinosaures qui n’ont été faites que pendant les deux derniers siècles et dans des quantités de concentration tout à fait inhabituelles, contraires aux lois de la nature et des probabilités ;

2. Des découvreurs de dinosaures typiquement pas désintéressés dépourvus d’intérêts personnels ;

3. Un genre de préparation à une exposition publique qui remet en question la véracité des fossiles et leur origine, et qui autorise la possibilité de falsification et de substitution d’os, et possibilité d’activités frauduleuses de manière systématique ;

4. Existence de dessins d’artistes et d’expositions publiques montrant de périlleuses postures de déséquilibre incompatibles avec les lois physiques de base ;

5. Très faibles probabilités que tous ces os de dinosaures aient été fossilisés mais relativement peu d’os d’autres animaux ;

6. Implications de la découverte de dinosaures dans la théorie de l’évolution et dans la croyance que l’homme a été créé à l’image de Dieu, suggérant de possibles agendas secrets, politiques et religieux servis à un public naïf et peu méfiant ; et

7. Manque de financement pour les organismes et personnes remettant en question ou affichant un scepticisme pour chaque découverte et exhibition publique. La possibilité existe que des dinosaures vivants n’aient jamais existé sur terre. La possibilité existe que le concept de dinosaures préhistoriques vivants ait été une fabrication de personnages du 19ème et du 20ème siècle poursuivant probablement un agenda évolutionniste, anti-biblique et anti-chrétien. Au lieu de croire aveuglément à l’histoire des dinosaures, remettre en question ce qui a été dit est le meilleur choix. Le choix entre croire les mots de l’homme, les évolutionnistes, ou les mots de Dieu, la Bible, reste une affaire de foi”.en effet comme dans la génese il nya aucune mention de ces creatures ,cela donne le sentiment que la Bible est fausse sur ce point ainsi que les autres livres ou la seule mention qui est faites dans la creation d'une autre espece que lhomme y est mentionné dans le coran ,comme ceci ,mais ici on ne parle pas de la creation de reptiles mais des djinns qui etaient les vicaires de la terre avant l'homme et qui sont les batisseurs des pyramides sur terre le premier des hommes etait Adam est le premier de la race de ces genies ou djinn etait Satan qui obeissait aux lois divines et avaient été admis parmi les anges ,alors que sa race dotés d'un niveau technologique inouie semés la perdition et la guerre sur terre il partit avec un groupe d'anges exterminer la grande majorité de sa race ,et obligeant le reste a se refugier dans les deserts et sur les iles , en recompense il eut la possibilité de creer lui meme sa propre descendance car il est hermaphrodite ...

Sourate 2 Verset  29 :

C’est Lui qui a créé pour vous tout ce qui est sur la terre, puis S’est orienté vers le ciel et en fit sept cieux. Et Il est Omniscient 

 

Dis:«Parcourez la terre et voyez comment Il a commencé la création. Puis
comment Allah crée la génération ultime. Car Allah est Omnipotent». (Coran 29-20)
en réponse aux faussaires gnostique qui se sont permis de pretendre que dieu se reposa le 6 e jours ce verset et venu leur répondre   Quoi? Avons-Nous été fatigué par la première création? Mais ils sont dans la confusion [au sujet] d’une création nouvelle. (50-15)


Dis: «Parcourez la terre et voyez comment Il a commencé la création. Puis comment Allah crée la génération ultime. Car Allah est Omnipotent». (29-20)

Le Coran précise que l'homme n'a pas été créé à partir d'un singe ou d'une autre espèce vivante

 

"Nous avons certes créé l'homme dans la forme la plus parfaite. (Coran, 95 : 4)

A la plus simple des lecture du Coran il apparaît nettement a tout un chacun que le Coran vénéré ne contient aucun récit "évolutionniste" de la création de l'homme et des êtres vivants :

"Et si tu obéis à la majorité de ceux qui sont sur la terre, ils t'égareront du sentier de Dieu : ils ne suivent que la conjecture et ne font que fabriquer des mensonges. (Coran, 6 : 116)

 

J'ajouterais que le Dieu de l'Islam nous dit en toute franchise : 


Je ne les ai pas pris comme témoins de la création des cieux et de la terre, ni de la création de leurs propres personnes. Et Je n’ai pas pris comme aides ceux qui égarent. (18-51)


Dieu nous a créé et nous a donné ensuite une forme :
Nous vous avons créés, puis Nous vous avons donné une forme, ensuite Nous avons dit aux Anges: «Prosternez-vous devant Adam.» Ils se prosternèrent, à l’exception de Iblis qui ne fut point de ceux qui se prosternèrent. (7-11)

L'homme n'était rien avant sa création :
L’homme ne se rappelle-t-il pas qu’avant cela, c’est Nous qui l’avons créé, alors qu’il n’était rien? (19-67)

Ont-ils été créé à partir de rien ou sont-ils eux les créateurs? (35) Ou ont-ils créé les cieux et la terre? Mais ils n’ont plutôt aucune conviction. (52-36)

 

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«la probabilité pour la vie soit le résultat d’un accident est comparable à a probabilité pour qu’un dictionnaire soit le résultat de l’explosion d’une imprimerie» Edwin Conklin, biologiste américain (1863-1952)
David Wozney, “Les dinosaures : Science ou Science-fiction ?”
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17 novembre 2018

UN CAMP DE CONCENTRATION EN FORME DE PYRAMIDE !

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Oranienburg-Sachsenhausen dit “Sachso” fut un camp de concentration nazi d’une superficie de 600 hectares implanté en 1935 à 30km au nord de Berlin.

De 1936 à 1945, on estime que 200 000 personnes y ont été internées et que 100 000 y sont

Parmi les personnalités internées dans le camp, on citera


- Georges Mandel, homme politique français maçon
- Fritz Thyssen, baron allemand de l’acier  maçon 33 e degré
- Kurt von Schuschnigg, ancien chancelier d’Autriche
- Herschel Grynszpan, assassin d’Ernst vom Rath, conseiller de l’ambassade d’Allemagne à Paris en 1938
- Francisco Largo Caballero, chef du gouvernement de la République espagnole au début de la guerre d’Espagne, arrêté en France.
- Iakov Djougachvili, fils aîné de Joseph Staline
- Paul Reynaud, homme politique français
- Léon Blum, homme politique français
- Salah Bouchafa, résistant algérien

C’est dans ce camp que Himmler installa son état-major et que l’inspection centrale des SS fit expérimenter ses méthodes d’extermination avant de les faire appliquer dans les autres camps.

À la différence de beaucoup d’autres camps nazis, Sachsenhausen fut un camp où peu de juifs furent envoyés. En effet, on y internait essentiellement des prisonniers dits politiques. Des ressortissants de nombreuses nationalités y furent internés, y compris des résistants fra

 simplement un camps de franc maçons illumminati aux commandes.

30 novembre 2017

Les Secrets les plus sombres du Vatican

 

La Cité du Vatican est le cœur de l'Église catholique et le pape (Pontifex Maximus) est le chef de l'Église et le chef suprême «spirituel» de tous les catholiques du monde. Mais le Vatican cache certains des secrets les plus sombres que l'on puisse imaginer.

Sedes Sacrorum - Étymologie

Sedes Sacrorum (latin pour Holy Seat), connu sous le nom de Saint-Siège en anglais, est le sceau de l'État de la Cité du Vatican.

SS

Sedes Sacrorum (SS)

"Le culte romain * qui contrôle l'Église catholique soutient que la première personne à utiliser le concept du Saint-Siège était Saint-Pierre.

Ceci est bien sûr impossible car l'étymologie du mot "Sedes" (voir) et sa signification associée n'existaient que des centaines d'années après l'exécution de Saint Pierre en 70 EC au siège de Jérusalem. " [Ref. 1]

* Le Culte romain est un groupe d'ombre de sadomantes assoiffés de sang , impliqué dans « le sacrifice d'enfants, le brûlage de personnes vivantes (depuis le 11ème siècle), le culte démoniaque et le célibat absolu de ses plus petits prêtres.

"Depuis le 1er siècle avant notre ère, ses grands prêtres connus sous le nom de" Pontifes " - une position héréditaire contrôlée par une poignée de familles anciennes - revendiquaient l'ancien titre pré-républicain de Pontifex Maximus après que les empereurs romains se soient portés haut prêtres de Magna Mater (Cybèle).

Coat of Arms

Francis du pape
Blason

"Gardant jalousement leur héritage païen et le droit de sacrifier les gens à leurs dieux démoniaques , les familles sacerdotales ont été bannies de Rome plus d'une fois avec la fermeture du temple du Vatican.

"Cependant, pendant les périodes tumultueuses de l'histoire romaine après l'effondrement de Rome comme centre de l'Empire, les grands prêtres païens ont assumé le rôle de leaders communautaires à Rome et pendant plus d'une période, sont retournés ouvertement à leurs pratiques païennes de sacrifice d'enfants , le cannibalisme et le culte démoniaque aussi tard que 590 à 752, 847 à 872 et même aussi tard que 896, 1057. " [Ref. 2]

"Sous le pape Innocent VIII, le rôle de l'Inquisition et de l'Inquisiteur a changé pour augmenter leur autorité juridique et spirituelle lors de l'envoi des" hérétiques ".

Vers 1483, Tomás de Torquemada fut nommé Inquisidor General d'Aragon, de Valence et de Catalogne. Ses bourreaux et ses miliciens spéciaux ont ensuite été bénis en jurant dans l'ordre sacré le plus élevé du culte romain - les SS ou les Chevaliers du Sedes Sacrorum.

En tant qu'ordre militaire de l'Eglise Catholique Romaine, les Chevaliers du Sedes Sacrorum (SS) ont reçu des ordres légaux du Pontife Romain au nom de l'Eglise Mère pour mener une sainte Inquisition constante contre tous les 'hérétiques', y compris les assassinats, la torture et le contre-espionnage, pour protéger le nom de la Sainte Église Catholique Romaine et représenter directement les intérêts du Saint-Siège en tant qu'ordre primaire des Chevaliers Saints - les SS (Sedes Sacrorum ou Saint-Siège).

En tant qu'ordre spirituel de l'Eglise Catholique Romaine, les SS ont reçu l'extraordinaire grâce catholique romaine d'être pardonnés pour tous leurs péchés mortels (donc peuvent aller au Ciel) que "malheureusement" doit être fait afin d'observer ses ordres temporels.

En d'autres termes, les troupes du Grand Inquisiteur Tomás de Torquemada furent le premier ordre religieux religieux à se voir accorder «l'immunité» de l'Enfer par le Pape à cause de ses actes de torture, de terreur et de mal.

Les derniers sacrifices rituels ouverts sous la Sainte Inquisition datent du début du XIXe siècle. Au début du 20ème siècle, il y avait moins de quelques centaines de soldats SS encore affectés à la Sainte Inquisition.

Cependant, après la nomination du Père Heinrich Himmler SJ en 1929 au NSDAP en Allemagne, une nouvelle armée des SS (Chevaliers du Sedes Sacrorum) de plusieurs centaines de milliers fut créée en 1939 pour mener la plus grande Inquisition jamais entreprise par le Culte Romain - avec plus de 18 millions d'innocents brûlés vifs dans des fours en Russie et en Pologne.

Les SS allemands ont été dissous à la fin de la Seconde Guerre mondiale, avec le manuscrit romain des SS remis aux SS (Service secret / Sedes Sacrorum) en 1945. Les SS des États-Unis ont été officiellement créées en une force militaire / spirituelle après l'assassinat du président William McKinley en 1901.

Après la fusillade organisée en dehors de Blair House en 1950, les SS des États-Unis ont eu la protection absolue du président des États-Unis, le tenant virtuellement prisonnier de l'État sous couvert de protection officielle. " [Ref 3]

Le code caché de la SS


Fish gods

Représentation babylonienne de prêtres avec des costumes de poisson,
travailler avec l'arbre de la vie, tout en tenant des pommes de pin
(glande pinéale) et des seaux - signes d'avancée
connaissances en génétique - être surveillé
par un "dieu" dans un navire volant


Les armoiries des SS et du Pape François ont la mitre papale au centre, qui est une couverture de tête portée par les cardinaux et le pape et remonte aux prêtres Dagon , il y a plus de 4 500 ans.

Vu de profil, la mitre ressemble à une tête de poisson à la bouche ouverte, et c'est exactement ce qu'elle représente. C'est le culte du poisson "dieu", qui serait sorti de l'eau et aurait offert une grande connaissance au peuple.

Le logo du poisson "chrétien" représente le même "dieu" de Dagon.

Dagon ou Oannes était «un dieu du poisson qui a transmis une grande connaissance au peuple et lui a appris à construire des villes.

Il leur a également enseigné les mathématiques et les lois géométriques, et a été crédité de leur donner toutes les connaissances qu'ils recevraient jamais.

La nuit, il retournait dans la mer pour passer la nuit, car il était amphibie. Il avait la tête d'un homme; couvert par la tête d'un poisson, et avait les jambes et les pieds d'un homme et le torse d'un homme, mais était couvert par les écailles et la queue d'un poisson. " - Berossus, à partir de fragments anciens (Isaac Preston Cory) [Ref 4]

Selon le " Livre perdu d'Enki ", le poisson "dieu" n'était autre que Ea (le chef anunnaki de la planète Terre, qui fut plus tard connu sous le nom d'Enki), qui débarqua son énorme vaisseau spatial sur l'eau .

Il a ensuite émergé de l' eau en portant son «costume de poisson» (c'est-à-dire probablement un costume d'astronaute quelconque) et a construit la première colonie pour les Anunnaki sur Terre . Il l'a appelé Edin (l' Eden biblique ), qui signifiait "la maison des justes " (c'est-à-dire la maison des dieux Anunnaki).

(Ce fut dans le Edin que la ville d'Eridu fut établie, ce qui signifiait "la maison de loin".) Le nom, plus tard "émigré" dans toutes les grandes cultures du monde, était connu comme Erde en allemand, Ertz en kurde, Eretz en hébreu et Erthe en anglais moyen, ce qui signifie que nous appelons encore notre planète "la maison de loin" à ce jour). [Ref. 5]

Le fondateur de cette religion était Nimrod ( le roi de Shinar), qui était un nom de Dumuzi . Nimrod / Dumuzi était sur les fils d' Enki , d' où le sang «royal» des Anunnaki. Beaucoup de lignées «royales» d'aujourd'hui sont des descendants de Nimrod.

Les clés trouvées sur les deux logos du Vatican et la façon dont ils sont positionnés, se réfèrent à un secret soigneusement gardé. Dans le symbolisme, la clé représente la connaissance verrouillée et / ou les secrets gardés.

Mais quels secrets le Vatican protège-t-il? La façon dont les clés sont positionnées est seulement un petit indice, indéchiffrable pour les gens ordinaires.

Heureusement, le code caché du Vatican a été critiqué par l'écrivain et chercheur Wayne Herschel , qui a basé ses recherches sur le puzzle pictographique trouvé dans les manuscrits de la "Clé de Solomon".

Solomon Key

Le parchemin hébreu contenant le secret de la clé de Salomon
Crédit d'image: Key of Solomon de Wayne Herschel ;

Orion - Pleiades

Crédit d'image: Wayne Herschel YouTube ;

La clef de Salomon ouvre le mystère derrière les constellations de la maison des "dieux", et il ne sera pas surprenant pour mes lecteurs de les identifier comme la ceinture d'Orion et les Pléiades - les deux mêmes constellations signalées par toutes les civilisations avancées comme maison des dieux, et adorée obsessionnellement par "l'élite" depuis lors.

Vatican STAR_MAP

Ci-dessus: la ceinture d'Orion, les Pléiades et l'étoile de Ra (aka Marduk)
Bellow: Le Vatican représente la ceinture d'Orion, tandis que les sept collines de Rome
représenter les Pléiades. Le triangle formé par les obélisques égyptiens trouvés dans
la Piazza del Popolo et devant le Panthéon, avec Castel Sant'Angelo
(utilisé notamment par l'Inquisition romaine comme prison pour "hérétiques"), représente
les étoiles de la Trinité. La Star Fortress représente également l'étoile de Ra (Marduk).
Crédit d'image: Wayne Herschel ;

En déchiffrant plus avant les secrets des SS, je vais maintenant soumettre à votre attention la croix , qui représente probablement la croix formée par les étoiles de la constellation d'Orion. Une autre théorie se réfère à la croix comme représentant une autre de leurs présumées maisons, Nibiru (qui , selon Sitchin, se traduit par «la planète de la traversée»). [Ref. 6]

Le symbole "chrétien" de Chi-Rho représente les constellations d'Orion et des Pléiades:

 

Chi-Rho

Le symbole "chrétien" de Chi-Rho

Wayne Herschel Star Patern

À droite: la constellation d'Orion et la traversée
A gauche: les Pléiades, la trinité et l'étoile des "dieux"
( Basé sur la preuve, c'est l' étoile de la maison des Anunnaki )
Crédit d'image: Wayne Herschel ;

Pour les gens ordinaires et décents, la croix représente un hommage apporté à Jésus-Christ et à son grand sacrifice, mais comme je vous l'ai déjà montré, la croix est antérieure à la crucifixion du Christ depuis des millénaires . Pour eux, il a un symbolisme différent.

Sur le manteau des armes du pape François nous pouvons également observer: un soleil, une étoile à huit pointes et une pomme de pin.

Le soleil représente probablement l'étoile des dieux (présentée par Ra / Marduk comme son étoile).

L'étoile à huit branches représente Melchizédek, qui était le roi de Salem et un prêtre du «plus haut des dieux». Certains théologiens ont supposé qu'il était Shem, le fils de Noah / Ziusudra, et grand-père de Nimrod (qui devint plus tard le roi de Shinar et prêtre du dieu poisson, comme je l'ai expliqué précédemment). En maçonnerie, Melchizédek est relié au degré de Souverain Sacrificateur (rang élevé de maçon). [Ref. 7]

Le cône de pin est une représentation symbolique de la glande pinéale, qui est également connu comme le troisième œil et l'œil égyptien d'Horus:

Eye of Horus

À gauche: Egyptian Eye of Horus
Droite: la glande pinéale

Le nom pinéale vient de la ressemblance de la glande avec une pomme de pin. Le cône de pin comme symbole de la connaissance suprême peut être trouvé dans de nombreuses cultures anciennes (par exemple babyloniennes, égyptiennes) et le culte romain (la société secrète qui contrôle le Vatican) le révère hautement.

Une statue gigantesque d'un cône de pin peut être trouvée dans la cour intérieure du Vatican et même sculptée sur le personnel du pape .

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En conclusion, le Vatican n'est pas un lieu d'amour et de paix, comme on pourrait l'imaginer. C'est un lieu de rituels sombres et de grand secret.

Leur but est d' enlever la liberté de notre espèce par l'endoctrinement, la peur et le contrôle.

Et parce que les gens ont peur de ce qu'ils ne comprennent pas, l'influence du Vatican et de l'église catholique est immense - plus grande que n'importe quelle armée, tyran ou gouvernement.

6 septembre 2017

El Hiri Rujm - 42 000 pierres organisées en anneaux concentriques par une race de géants

Rujm_el-HiriPlateau du Golan - Syrie. Enorme monument mégalithique consistant 
en plusieurs cercles de pierre concentriques constitué de plus de 42 000 roches de basalte.


- Au centre , se trouve une sortes de tumulus de 20 Mètres (tas de pierre ayant recouvert une inhumation). Le Tumulus a été largement "fouillé" par des voleurs de tombe malheureusement.
Certains chercheurs pensent toutefois que ce tumulus etait d'origine et que les cercles ont été fait autour de lui.

- Il ya au total 5 cercles , connectés par de ptits murets de pierre . Certaines parties des cercles atteignent 2 mètres de haut .

- La roche brute / et parfoirs retravaillée utilisées pour cette construction ets du basalte. une roche locale et commune donc , dans cette region volcanqiue du Levant.

- Il ya 2 entrée à ces cercles concentriques situées au Nord Est et Sud Est de ce monument. Le couloir qui mène au centre sembel aligné avec le solciste de Juin , et le site semble connecé
et aligné avec le Mont Hermon et le Mont tabor.

- Le nom arabe de ce site Rujm  confirme que le site est connu pour avoir été un tumulus

- Le nom hebreux gilgal Refaim ramène à la notion d 'esprits , de fantomes, et du terme " Raphaite "  une race de "géants" censée avoir habité Le Golan ( Basham)

-Selon ls archéologues le site est estimé avoir été erigé entre 3000 et 2700 ans av JC

 

Rami Arav, un archéologue de l'Université de Nebraska, vient de proposer, en fin de semaine dernière, une nouvelle théorie visant "à percer l'énigme" du site de " la roue spectrale ".
Selon lui, il s'agirait d'un "temple astrologique qui comprendrait également un vaste " complexe funéraire ".

Le site révèle quatre cercles composés de quarante deux mille tonnes de pierres.
Arav a souligné qu'il s'agit là " d'un énorme exploit de construction, pour des gens qui vivaient il y a 6000 ans ".

Rappelons que d'autres archéologues considèrent que le site fut en activité à une date plus récente : entre 4500 et 3500 avant l'ère chrétienne.
Selon plusieurs légendes locales, transmises de génération en génération, le site serait l'emplacement de " la tombe du roi de Bashan, Og", personnage que d'anciens textes présentent comme un " géant " quasi surnaturel.

Des adeptes de divers courants du "New Age" y ont aussi effectué des " séances de méditation", en raison de la "très vive énergie" qui, selon eux, se dégage de ce lieu.

Un expert (qualifié "d'expert autoproclamé" par les chercheurs israéliens et étrangers) – a même été jusqu'à "dévoiler le nom" de l'antique prêtresse, une certaine Nogia, qui " conduisait les sessions rituelles auxquelles les gens venaient prendre part ".

Le site Rogem Hiri est constitué d'une installation monumentale de blocs de basalte locaux de tailles diverses. Il se compose de deux unités architecturales : quatre cercles concentriques entourant un tumulus central rond. Le cercle extérieur, le plus large, d'un diamètre de 156 mètres, est long de quelque 500 mètres. Les murs, d'une épaisseur variable - 3,5 m au maximum - ont été préservés jusqu'à une hauteur de 2,5 m, même s'ils sont à certains endroits détruits par des chute de pierres. Plusieurs parois radiales relient les murs circulaires, créant une structure labyrinthique qui comporte deux entrées seulement, l'une faisant face au nord-est et l'autre au sud-est.

Au centre de ces cercles se trouve le cairn, un amas irrégulier de pierres. De 20 à 25 mètres de diamètre, il est conservé jusqu'à une hauteur de 6 mètres. Le tumulus est constitué par un amas central de pierres entouré d'un encadrement plus bas, lui donnant la forme d'un cône tronqué. Une recherche géophysique au radar a révélé que la pile de pierres était creuse. Une chambre mortuaire, à laquelle menait un étroit corridor, fut ainsi découverte. Cette chambre ronde, d'un diamètre de 2 m, était construite en larges plaques de pierre superposées, mais obliquant légèrement vers l'intérieur. Elle était recouverte de deux dalles massives de basalte, pesant chacune 5,5 tonnes, et formant un demi-dôme en encorbellement au-dessus de la chambre funéraire.

Rogem Hiri est l'un des sites archéologiques les plus étonnants d'Israël. Toute une gamme de théories quant à la fonction de cette structure, sans exemple au Proche-Orient, avait été proposée jusqu'ici. Rogem Hiri fut même identifié à la tombe d'Og, roi de Bashan et dernier des géants. (Deutéronome III, 11)

Og, roi de Bashan, battu par Moïse et les Israélites lors de leur entrée dans la terre promise.
Il était un de ces géants.

« Og, roi de Basan, était resté seul de la race des Rephaïm. Voici, son lit, un lit de fer, n’est-il pas à Rabbath, ville des enfants d’Ammon? Sa longueur est de neuf coudées, et sa largeur de quatre coudées, en coudées d’homme. »
Deutéronome 3:11

[ c.-à-d., La coudée pour un homme, (pas un ange), mesure 18 pouces ]. la terre d’Og, était appelée « la terre des géants »

« Je donnai à la moitié de la tribu de Manassé le reste de Galaad et tout le royaume d’Og en Basan: toute la contrée d’Argob, avec tout Basan, c’est ce qu’on appelait le pays des Rephaïm
. »Deutéronome 3 :13

6) On parle aussi de géant.
« Og, roi de Basan, seul reste des Rephaïm, qui habitait à Aschtaroth et à Edréï. Tout le royaume d’Og en Basan, qui régnait à Aschtaroth et à Edréï, et qui était le seul reste des Rephaïm. Moïse battit ces rois, et les chassa.
Josué.12:4, 13:12

Selon nos imaginatifs démonologues, Astaroth est un "Grand Duc et le Grand Trésorier de l'Enfer". Il procure l'amitié des grands seigneurs, chose pour laquelle il semble impératif de l'invoquer le mercredi, jour de Mercure (si vous voulez vous lancez en politique, vous savez à présent ce qu'il vous reste à faire !). Les théologiens chrétiens, qui opposent neuf ordres d'anges à neuf ordres de démons, font d'Astaroth le chef de l'Ordre des Calomniateurs. On dit aussi de lui qu'il a le visage d'un ange particulièrement laid et qu'il chevauche un dragon. Dans sa main gauche, il tient une vipère et on le reconnaît à son odeur fétide, même lorsqu'il prend la forme du serpent.

Ashtaroth est également le nom d'une cité située à l'est du lac de Gennéraseth, dans le pays de Moab, où réside le roi Og de Bashân (Deutéronome 1 : 4) :
"(.) après qu'il eut battu Séhon, roi des Amorrhéens, qui habitait à Hésebon, et Og, roi de Basan, qui habitait à Astaroth et Edraï."

      (Crampon)



"Il avait battu Sihôn, roi des Amorites qui résidait à Heshbôn, et Og, roi de Bashân qui résidait à Ashtarot et à Edreï."

    (Jérusalem)

Le Roi Og, cité dans le Deutéronome 3:11 dont le lit en fer mesurait approximativement 4 mètres 30 de long et 1mètre 80 de large. Le Roi Og devait mesurer au moins 3 mètres 60.

Un squelette humain de 5 mètres 94 a été trouvé en 1577, Après J-C, sous un chêne déraciné dans le canton de Lucerne.Ce squelette fut minutieusement étudié par un moine médecin Danois Mr "SAXO"

Un squelette de 7 mètres a été trouvé en 1456, Après J-C, près d'un fleuve vers valence, en France.

Un squelette de 7 mètres 90 environ, a été trouvé en 1613, Après J-C, près du château de Chaumont en France. Ce squelette, est décrit comme étant presque complet.

Incroyable et presque au-delà de la compréhension, fut la trouvaille de deux restes humains (distincts) de 11 mètres environ chacun, découvert par des Carthaginois quelque part entre 200-600 Av J-C.

1. Un squelette humain de 3 mètres 50 a été trouvé dans une mine de houille italienne. Source le : « Dinosaure , par Dr. Carl Baugh » (254) 897-3200.

2. Un squelette humain de 2 mètres 64 a été récupéré sous un monticule en pierre, dans un tombeau, à Brewersville, en Indiana, en 1879. Source: Nouvelles D'Indianapolis, le 10 novembre 1975. Cité dans « reader digest, mystères de l'expliqué », essayez également vers Renee et Peter Schissel @ rue de 9985 W. 208th Lakeville, Manganèse 55044. Leur numéro de téléphone est 612-469-4060.

3. Un squelette humain de 3 mètres 50 a été trouvé dans le lit du lac Humbolt (nanovolt) en juin 1931. Source: Revue De Lovelock - Mineur 19 Juin 1931.

4. Un squelette humain de 3 mètres 66 a été trouvé par des soldats dans le ranch de Lompoc, Califorina en 1883. Source: Le non expliqué par Dr. Karl Shuker p. 1515. Certains insectes géants, comme les sauterelles, mesuraient dans le passé 61 cm .

5. Ce sont quelques unes des nombreuses empreintes de pas d'humain et de dinosaures géants trouvées côte à côte dans tout le Paluxy Riverbed à Glenn Rose, dans le Texas. Voir le www.creationevidence.org et www.omniology.com. Homme et dino.

6 Une humanoïde de 2 mètres 14 et plusieurs autres de ces mamans ont été trouvées en Chine dans les années '96'. Du livre de Joe (mont blanco) « Faits et Imaginations Fossiles » www.mtblanco.com .

7. Des chameaux grands de 6 mètres 10 et des humains géants ont été trouvés. Ils ont été trouvés dans le Texas, en Arizona, en Ohio, en Europe, et particulièrement au Moyen-Orient.

Tous ce qui contredit la « religion » d'état disparaît systématiquement. Lorsqu'un géant est trouvé le musée ou tout autre organisme l'ayant trouvé reçoit bourse, argent pour une étude avec le système gouvernemental.

Tout est soigneusement catalogué, photographié, empaqueté, mis en caisse et puis tout à disparus plus de preuves. Sauf si vous êtes encore indépendant. Mais les pressions sont énormes, dans ces cas là. Et lorsque vous écrivez pour vérifier certaines découvertes ou pour les étudier, elles sont ignorées, perdues, jetées, introuvables.

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Traces de pieds humains et de dinosaures, « fossilisées » ensembles. Pourtant, 65 millions d'années devraient les séparer, d'après certaines théories!

Ce site a également été considéré comme un observatoire astronomique, une espèce de Stonehenge proche-oriental. Cette théorie est confortée par le fait que le côté oriental, qui fait face au soleil levant, a été édifié avec le plus grand soin. Les deux seules entrées sont situées précisément de ce côté-là, et celle du nord-est est grossièrement orientée dans la direction du lever du soleil au solstice d'été, le 21 juin.

Les archéologues qui ont fouillé le site proposent deux autres explications possibles. Selon la première, ces cercles concentriques auraient été édifiés au début de l'âge du bronze, au milieu du troisième millénaire av.. Le site aurait alors servi de centre de culte et de cérémonie, où se rassemblaient chaque année les nomades déjà entrés dans un processus de sédentarisation. Plus tard, à la fin de l'âge du bronze (1400-1300 av.), le tumulus contenant une chambre funéraire aurait été ajouté (il fut pillé dans l'antiquité et seuls quelques objets y ont été découverts, dont des boucles d'oreille en or et des pointes de flèche en bronze). Les relevés confirment que le tumulus n'est pas situé au centre des cercles concentriques, ce qui conforte la théorie selon laquelle ce cairn constitue un ajout ultérieur.

Selon une autre théorie, l'architecture de Rogem Hiri attesterait que les cercles concentriques et le tumulus participeraient d'une structure unique. Rogem Hiri serait par conséquent une monumentale tombe commémorative - le mausolée sur le Golan d'un leader du début de l'âge du bronze. La tombe aurait été vidée de ses vestiges funéraires à la fin de l'âge du bronze, puis réutilisée comme lieu de sépulture. L'envergure de ce site atteste d'une organisation centralisée et de l'existence d'une direction capable de réaliser un projet architectural d'une telle ampleur (on estime que près de 42 000 tonnes de pierres ont été transportées).

Le mystère de Rogem Hiri reste inexpliqué. Ceux qui l'ont édifié voilà quelque cinq millénaires ont quitté la scène de l'Histoire, emportant avec eux les secrets de ce site extraordinaire.


Les fouilles ont été menées par Y. Mizrahi et M. Zohar, dans le cadre du projet régional de la terre de Geshour, dirigé par M. Kochavi, de l'Institut d'archéologie de l'université de Tel-Aviv.Un mini partage d'images de ce cercle en Israël que l'on surnomme plus précisément "Gilgal Refaim" ou en son langage hébraïque original גלגל רפאים .

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 http://www.mfa.gov.il/MFAFR/MFAArchive/1990_1999/1999/11/Sites%20Archeologi…

12 janvier 2017

Vidéos Rare L’immortel comte de Saint-Germain , a t'il decouvert le secret du temps .

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Je suis le comte de Saint-Germain et je traverse le temps et l’histoire pour apporter mon message aux hommes. Mon histoire est incroyable et pourtant elle est vraie. Des amis m’ont demandé de l’enregistrer afin que tout le monde connaisse la mission que je dois accomplir en France, en cette année 1972. Je ne cherche pas à vous convaincre. J’accomplis simplement ce que des forces mystérieuses pour vous me poussent à faire.

Nous sommes douze de par le monde venus du fond des temps. Dans quelques semaines, mon Maître par le savoir, Nicolas Flamel, viendra me rejoindre.

Maintenant écoutez… voici mon histoire.

une videos tres rare qui nous montre un homme  qui pretend etre celui qui a a crée les roses croix ,et qui detient des secrets incroyables , a vraiment le profil du parfait vampire , detenant   le secret de la creation de l'or et du voyage dans le temps celle de la transmigration de l'ame . Occultiste confirmé ,on pense a un  excentrique au debut mais plus on l'ecoute plus on se rend compte que ce qu'il dit est reel et il ne peut l'inventer a voir cest assez surprenant ,comme discours et image censurés qui avaient disparu ce comte de Saint-Germain n’ést pas seulement bon chimiste, mais aussi parfait alchimiste et détenteur d'un grand secret ce doc est a voir pour vous forger votre propre opinion

C’est un trait curieux du caractère humain que de considérer les étrangers et l’inconnu comme un danger. Ce trait rend l’homme soupçonneux et inquiet en face de tout nouveau venu qui ne se conforme pas au mode de penser et aux règles de conduite établis.

Lorsque le comte de Saint-Germain, parut en Angleterre, en 1745, il ne fut pas surprenant qu’un honorable Anglais conformiste comme l’était Horace Walpole, ait donné de lui le portrait suivant : « Il chante et joue du violon à merveille, il compose, il est fou et déraisonne. »

Certaines encyclopédies vont plus loin encore dans leur jugement sur ce personnage mystérieux et le traitent, simplement, « d’aventurier ». Mais il y a un abîme entre l’épithète dont on affuble un homme et l’étude objective de sa vie et de sa nature. La plupart des commentaires défavorables sur Saint-Germain ont des sources politiques.

Pour la police française, il fut un espion prussien. D’autres services secrets européens le soupçonnèrent d’être à la solde de la Russie ou des jacobites anglais. Toutefois, ainsi que l’écrivit Lord Holdernesse à Mitchell, l’ambassadeur d’Angleterre en Prusse : « Son interrogatoire ne fit apparaître aucune preuve matérielle. »

Voltaire, l’un des plus grands esprits qui aient illustré le brillant XVIIIe siècle, avait une opinion définitive sur le comte de Saint-Germain : « C’est un homme qui sait tout », disait-il.

Dans les Mémoires de mon temps qu’écrivit le prince Karl Von Hesse-Kassel, grand ami et disciple de Saint-Germain, il estime que le comte est « l’un des plus grands philosophes qui aient jamais existé  ».  [1]

Le comte Johann Karl Phillip Cobenzl (1712-1770), ambassadeur d’Autriche à Bruxelles, avait aussi une très haute opinion de Saint-Germain : « Il sait tout, disait-il et il montre une droiture et une bonté d’âme qui forcent l’admiration. » [2]

Notre incursion dans la vie de Saint-Germain aborde ses réalisations scientifiques, c’était un maître des sciences anciennes dont nous pouvons discerner les traces dans l’histoire et la légende.

Ce fut le maréchal de Belle-Isle qui présenta le comte de Saint-Germain à Mme de Pompadour et à Louis XV en 1749. Le roi s’ennuyait ; la marquise vit en cet étranger un moyen de le distraire. Le comte eut, sur l’alchimie, la science et autres sujets, plusieurs longs entretiens avec le roi et sa favorite.

Stéphanie-Félicité, comtesse de Genlis (1746-1830), pédagogue qui écrivit plus de 80 volumes et reçut une pension de Napoléon I, disait dans ses Mémoires (Paris, 1825),que Saint-Germain « était fort instruit en physique et grand chimiste ». « Mon père », ajoutait-elle, « très qualifié pour en juger, était sur ce point un grand admirateur de ses capacités. » [3]

CENSURÉ TRÉS RARE Le Comte de Saint Germain un homme etrange vampire ou occultiste

Saint-Germain, le grand alchimiste

Sans aucun doute, le comte de Saint-Germain n’était pas seulement bon chimiste, mais aussi parfait alchimiste. On lit dans le London Chronicle du 3 juin 1760 : « En toute justice nous pouvons dire que cet homme doit être considéré comme un étranger inconnu mais inoffensif, il a des ressources dont la provenance est inexplicable mais qui lui permettent de mener grand train. Venant d’Allemagne, il parvint en France avec la réputation éclatante d’un alchimiste qui possède la poudre secrète et, de ce fait, la médecine universelle. On murmura que l’étranger pouvait faire de l’or. Le pied sur lequel il vit paraît confirmer cette rumeur. »

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La collection de diamants et de pierres précieuses du comte augmentait encore sa réputation d’alchimiste. Le baron Charles-Henri de Gleichen, diplomate danois en France, publia dans Mercure étranger, Paris (1813), le récit des rencontres qu’il eut avec Saint-Germain. Au cours de l’une d’elles « il me montra », dit-il, « une quantité de gemmes et surtout des diamants de couleur, d’une grandeur et d’une perfection extraordinaires. Je crus voir les trésors d’Aladin, possesseur de la lampe merveilleuse ». [4]

De nombreux épisodes attestent l’habileté de Saint-Germain dans la transmutation des métaux. Lorsque le marquis de Valbelle lui rendit visite dans son laboratoire, l’alchimiste lui demanda une pièce d’argent de six francs. Après l’avoir enduite d’une substance noirâtre, il la soumit au feu ; quelques minutes plus tard, le comte retira la pièce du four et quand elle fut refroidie, elle n’était plus en argent, mais en or fin. [5]

Casanova relate une expérience semblable dans ses Mémoires : « Le comte me demanda si j’avais sur moi quelque monnaie. Je pris plusieurs pièces et les mis sur la table. Il se leva et sans me dire ce qu’il allait faire, prit un charbon ardent, le posa sur une plaque de métal et plaça une pièce de douze sols sur le charbon après avoir posé sur la monnaie un grain de poudre noire. Le comte alors souffla dessus et en deux minutes elle parut incandescente. “ Attendez, me dit-il, laissez-la refroidir. ” Elle refroidit presque instantanément. “ Prenez-la, elle est à vous ”, dit l’alchimiste. Je pris la pièce de monnaie et vis qu’elle était changée en or. » [6]

Casanova resta toutefois quelque peu sceptique sur cette transmutation, mais l’histoire est de celles qui méritent l’attention. Le comte de Cobenzl fut aussi témoin, chez Saint-Germain, de « la transmutation d’un morceau de fer en un métal aussi beau que l’or et au moins aussi propre aux travaux d’orfèvrerie ».

Lorsqu’un chapelain de la cour de Versailles demanda soupçonneusement à Saint-Germain s’il ne s’adonnait pas à la magie noire, celui-ci répliqua que son laboratoire ne comportait rien de surnaturel et qu’il était lui-même un chercheur sérieux dont les découvertes étaient déjà utiles à l’humanité.

Si la pierre philosophale servit à l’alchimiste à fabriquer de l’or et des diamants, elle lui permit aussi de confectionner une eau de Jouvence.

De nombreux écrits, issus de personnes ayant connu Saint-Germain, indiquent qu’il possédait un élixir dont il fit présent à certains, en de rares occasions.

Dans une lettre à Frédéric le Grand, Voltaire fait une allusion significative à la longévité du comte : « Il aura probablement, écrit-il, l’honneur de voir Votre Majesté au cours des cinquante prochaines années. »

L’examen des documents contemporains, lettres, mémoires, articles de presse, permettra peut-être de tirer une conclusion sur le pouvoir qu’eut Saint-Germain de conserver vigueur et jeunesse au-delà des limites assignées à l’homme.

Notre premier témoin, le baron de Gleichen (1735-1807) rapporte dans ses Mémoires qu’il a entendu « Rameau et une vieille parente d'un ambassadeur de France à Venise, attester avoir connu M. de Saint-Germain en 1710, quand il avait l’apparence d’un homme de cinquante ans ». Jean-Philippe Rameau (1683-1764) est le célèbre compositeur d’opéras et de ballets. [7]

De leur côté, le maréchal de Belle-Isle et Mme du Hausset décrivent deux scènes qui soulignent de façon typique l’intérêt que Saint-Germain avait suscité chez Mme de Pompadour par sa réputation de perpétuelle jeunesse. 

« — Vous prétendez donc avoir fabriqué un élixir de Jouvence ? dit la favorite.

—    Ah ! madame, répond le comte, toutes les femmes désirent l’élixir de jeunesse et tous les hommes convoitent la pierre philosophale ; les unes, la beauté éternelle, les autres, l’éternelle fortune.

—    Quel âge avez-vous ?

—    Quatre-vingt-cinq ans, peut-être !

—    Vous ne m’abuserez pas, monsieur de Saint-Germain, j’en saurai davantage sur vos prétentions, s’exclama la marquise. J’ai déjà démasqué maints imposteurs et charlatans.

—    L’homme qui est devant vous est votre égal, madame, risposta fièrement Saint-Germain. Avec votre permission, souffrez que je me retire. »

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L’âge de l’alchimiste fut une nouvelle fois discuté en 1758 et Mme du Hausset consigna le débat mot pour mot  [8] :  

« — Vous ne nous dites toujours pas votre âge, remarque la Pompadour, et vous vous donnez pour fort vieux. La comtesse de Gergy, qui était ambassadrice à Venise il y a cinquante ans, je crois, dit vous y avoir connu tel que vous êtes aujourd’hui.

—    Il est vrai, Madame, que j’ai connu Mme de Gergy il y a bien longtemps.

—    Mais suivant ce qu’elle dit, vous auriez plus de cent ans à présent !

—    Ce n’est pas impossible, dit le comte en riant, mais je conviens qu’il est possible que cette dame, que je respecte, radote.

—    Elle dit que vous lui avez donné un élixir aux effets merveilleux, elle prétend qu’elle a longtemps paru n’avoir que 24 ans. Pourquoi n’en donneriez-vous pas au roi ? questionna la marquise.

—    Ah ! madame, s’écria-t-il avec une sorte d’effroi, que je m’avise de donner au roi une drogue inconnue ! Il faudrait que je fusse fou ! »

Refusant de donner son élixir à Louis XV, Saint-Germain n’en prépara pas moins des crèmes de beauté très efficaces dont la Pompadour fut enchantée.

Chronologie, selon les sources de l'époque

Les réminiscences de Rameau et de Mme de Gergy placent notre alchimiste à Venise en 1710. A cette date, il paraît avoir environ cinquante ans. Il était donc né vers 1660 et en 1758, comme le disait la marquise, il frisait la centaine.

De 1737 à 1742, Saint-Germain est l’hôte très honoré du shah de Perse.

En 1745, l’auteur anglais Horace Walpole écrit à Mann résidant à Florence : « L’autre jour fut saisi un curieux homme qui vit sous le nom de comte de Saint-Germain. Il est à Londres depuis deux ans. »

Le prince Ferdinand Lobkowitz reçoit le comte à Vienne sous son toit au cours des années 1745-1746.

En 1749 il arrive à Paris sur l’invitation du maréchal de Belle-Isle qui, nous l’avons vu, l’introduit à la cour de Versailles.

En 1750, l’éditeur Walsh, de Londres, publie la musique pour violon composée par Saint-Germain, ce qui nous fournit encore une date précise pour établir la biographie du personnage. [9]

En 1756, le général Robert Clive, fondateur de la colonie britannique des Indes, rencontre Saint-Germain dans ce lointain pays.

comte_de_saint_germain_bustele plus incroyable cest que la statue a le meme regard que le personnage de 1960 sur la videos incroyable il ya une ressemblance indeniable ......le fait quil soit en communication en permanence avec des entités est la possibilité que ce soit qune coquille vide dans laquelle on reintegre l'EGO de st germain oui souvenez vous ce quarin ,le compagnon de lhomme qui vit plusieurs siecles et qui connait parfaitement toute la vie et les secret du mage ce serait la seul explication et le plus grand secret des roses croix c'est tout a fait possible avec des rites de transmigrations des ames que lon trouve chez les egyptiens et dans le livre des morts tibetain l'idee m'est venue en regardant la vidéos .....

Le comte réside à Saint-Pétersbourg en 1762 et prend part au coup d’Etat qui place la Grande Catherine sur le trône de Russie. A la fin de la même année, et en 1763, il est à Chambord, plongé dans ses expériences chimiques et alchimiques.

Sa trace est retrouvée à Berlin, en 1768, et l’année suivante, son passage est signalé en Italie, en Corse et à Tunis.

En 1770, il est l’hôte du comte Orlov lorsque la flotte russe est au mouillage à Livourne (Italie). Saint-Germain porte alors l’uniforme de général russe et les frères Orlov ont toujours parlé du rôle important qu’il joua dans la révolution de palais dont la Grande Catherine fut la bénéficiaire.

Durant les années 70, le comte séjourne en Allemagne où il participe aux activités des francs-maçons et rose-croix avec son protecteur, ami et disciple, le prince Karl de Hesse-Kassel.

Les registres de l’église d’Eckernfôrde, en Allemagne, renferment le procès-verbal suivant : « Décédé le 27 février, enterré le 2 mars 1784, celui qui se donnait le nom de comte de Saint-Germain et Weldon, sur lequel on n’a pas d’autres renseignements, a été inhumé dans l’église de notre ville. »

Le document paroissial qui ne dit pas où le comte était né n’indique pas davantage la véritable identité du « soi-disant comte de Saint-Germain ». Mais si nous nous référons à Rameau et à la comtesse de Gergy, il aurait eu 124 ans au moment de son décès !

Toutefois, un an après cette mort officiellement enregistrée, nous trouvons le mystérieux personnage participant à une réunion maçonnique ! Le Freimauer Brüderschaft in Frankreich insère cette notice : « Parmi les francs-maçons invités à la grande conférence de Wilhelmsbad le 15 février 1785, nous trouvons Saint-Germain et Saint-Martin parmi beaucoup d’autres. » [10]

La comtesse de Genlis, déjà cité plus haut, consigne un fait extravagant dans ses Mémoires - elle aurait rencontré le comte à Vienne en 1821 !

Peu après cette date, le comte de Châlons, ambassadeur de France à Venise, prétend également avoir tenu une conversation avec l’immortel Saint-Germain sur la place Saint-Marc.

Si, dans cette même Venise et d’après le témoignage de Mme de Gergy, le comte paraissait avoir la cinquantaine en 1710, nous pouvons calculer qu’en 1821 il aurait eu 161 ans !

Le grand âge et l’extrême verdeur du comte de Saint-Germain sont une réalité qui ne peut s’expliquer sans admettre l’hypothèse de la pierre philosophale. Le grand Voltaire aurait-il eu raison qui disait de l’alchimiste : « C’est un homme qui ne meurt jamais » ? [11]

La Très Sainte Trinosophie

L’unique manuscrit qui nous soit parvenu du comte de Saint-Germain est la Très Sainte Trinosophie dont l’original est à la bibliothèque de Troyes.

Le document renferme des illustrations symboliques et un texte hermétique. La section 5 contient quelques axiomes étranges :

« A peine étais-je parvenu à la surface de la terre, que mon conducteur invisible m’entraina plus rapidement encore, la vélocité avec laqu’elle nous parcourions les espaces aeriens ne peut être comparée à rien qu’a elle même; en un instant j’eus perdu de vue les plaines sur les qu’elles je dominais... j’avais observé avec étonnement, que j’étais sorti du sein de la Terre (...) La Terre ne me semblait plus qu’un nuage confus, j’étois élevé à une hauteur immense mon guide invisible m’abandonna je redescendis pendant un assez long tems je roulai dans l’espace; déja la terre se deployait a mes regards troublés (...) je voyois des globes rouler autour de moi, des terres graviter à mes peids. Etc... »

Sans trop d’imagination, le passage suggère un long vol spatial au cours duquel la Terre devient minuscule, ainsi qu’elle le parut aux équipages d’Apollo. Mais Saint-Germain dut aller plus loin que la Lune car il semble avoir atteint les planètes.

Transmutation, prolongement de la vie, voyage spatial, conquête du temps sont les frontières de la science et l’on peut admettre que le comte de Saint-Germain avait accès à la fontaine secrète du savoir.

Notes :

Bibliographie :

  • Nous ne sommes pas les premiers, Andrew Tomas, éd. Albin Michel, Paris, 1972.
  • Jean Mourat et Paul Louvet, St Germain le Rose-Croix immortel. Gallimard, Paris, 1934.
  • « Anecdotes of a Mysterious Stranger », in London Chronicle, 31 mai - 3 juin, 1760.
  • Jean Léclaireur : « Le secret du comte de Saint-Germain », in Le lotus bleu, nº 7, 27 septembre 1895.
  • La Très sainte trinosophie. Édition intégrale, Paris, Denoël, 1971.
  • Franz Graeffer. Kleine Wiener Memoiren, Wien, 1846.
  • Horace Walpole, Letters to Sir Horace Mann. London, 1833.

Table des illustrations :

  • 1) Le comte de Saint-Germain ? {Source inconnue}
  • 2) La seule et unique gravure représentant le comte de Saint-Germain, [ portrait gravé au burin par N. Thomas, en 1783 d’après une œuvre originale peinte à l’huile, introuvable à ce jour. La gravure a été reproduite en janvier 1785 par le « journal de Berlin » (Berlinirche Monatrchrift) sous le titre « Le Comte de Saint-Germain, célèbre Alchimiste » ]
  • 3) Page de titre des Mémoires de Madame Du Hausset.
  • 4) Buste du comte de Saint-Germain. Musée Nicolas Roerich, Moscou.
  • 5) La Très Sainte Trinosophie
  • http://www.inmysteriam.fr/personnages-enigmatiques/limmortel-comte-de-saint-germain.html
12 janvier 2017

les Jésuites sont a l'origine de la science moderne

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Nombreux sont les personnes qui pensent que la science etait opposée a la religion , et que la religion a empeché la science de developper ses theories ,alors que ce sont les Jésuites qui ont développé la science ,dans quel but  ,il est étrange ,que  ces sciences  ont servi a ébranler la bible et sa génése etrange pour des hommes censés etre des hommes d'église qui ne travaillaient qu'à la négation de leur dogme .

À l’issue d’un accident de guerre, en 1521, au siège de Pampelune, Ignace de Loyola, grièvement blessé à la jambe par un boulet de canon, a sublimé son énergie sexuelle de manière contrôlée. Ce n’est pas nouveau, car c’est la base même de l’occultisme. Mais il a codifié un système de développement occulte très efficace en liaison avec la force de la planète Mars ou, tout au moins, avec l’un des esprits de cette sphère.

On amuse les gens avec le yoga de la Kundalini, mais les hauts initiés jésuites détiennent de puissants secrets. De plus, leurs chefs sont dirigés par des entités occultes supérieures tel celui qui inspira Ignace de Loyola, ainsi que son incarnation suivante, le clairvoyant Swedenborg. Le « Jésus » des Jésuites est un prête-nom, une couverture fallacieuse car jamais Jésus ne commanda la ruse et le meurtre pour faire avancer le royaume de Dieu. Loyola était un militaire espagnol du XVIe siècle qui rêvait de conquérir le monde, mais qui réalisa que la religion était le meilleur moyen pour entrer chez l’ennemi avec des paroles de paix à la bouche. Blessé, il resta longtemps allongé ce qui lui permit d’analyser ses mécanismes psychiques les plus subtils. Il sublima l’énergie sexuelle et mit au point un système de développement psychique qui fabrique des anormaux. Il se fit prêtre pour infiltrer l’Église, débarqua à Rome, promit au pape de sauver son trône du danger de la Réforme, établit une milice totalitaire camouflée en ordre religieux et partit à la conquête de l’univers « Pour la plus grande gloire de Dieu ». C’est ainsi qu’il devint l’agent du destin dans l’âge noir. Il se mit au « service du Pape », ce qui signifie exactement le contraire si l‘on connaît le langage Jésuite. C’est dire que la religion catholique est totalement entre les mains du général de l’ordre, le pape noir, qui n’est lui-même que la pointe de la pyramide visible.

Tous les Jésuites du monde sont dans une obéissance absolue, et selon leur formule « s’abandonner comme un cadavre », ils sont comme des robots entre les mains de leurs chefs. Ils forment donc un corps militaire d’élite – à la fois prêtres et guerriers – présent dans tous les pays. C’est une armée démoniaque qui a investi la Terre, et la liaison des Jésuites avec les Gris extraterrestres est plus que probable.
Ils contrôlent les polices secrètes, les armées et les organismes internationaux.

À travers ces relais, ils expérimentent ce qu’ils veulent sur les populations. Par exemple, la guerre du Viêt-Nam leur a permis d’éliminer leurs adversaires dans ce pays, et le génocide du Cambodge a nettoyé un million de bouddhistes récalcitrants à la conversion chrétienne. Les bouddhistes de la tradition du Petit Véhicule ont particulièrement souffert, alors qu’au contraire les Lamas tibétains sont financés par les Jésuites. Sans cette aide, le lamaïsme ne serait pas connu du public et le Dalaï-Lama ne bénéficierait pas d’une telle publicité. Il faut un sérieux coup de pouce pour monter aussi haut lorsqu’on est un pauvre réfugié sans patrie ni argent.

Autre info qui n’est pas anodine, le sceau des illuminati était déjà utilisé par les jésuites en 1744, soit 26 ans avant leur création par Weishaupt.

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2 fondateurs de la géologie, et Roger Boscovich (1711 - 1787), pionnier de la théorie atomique moderne. Un chapitre important de cette période est la saga des astro nomes jésuites de Chine où, à partir de l’arrivée de Matteo Ricci (1552 - 1610) à Pékin, ils introduisirent l’astronomie européenne et dirigère nt durant 150 ans l’Observatoire impérial. Les travaux des astronomes jésuites en Inde et en Indochine sont moins connus. La découverte de l’Amérique fut pour les Jésuites l’occasion d’étudier la terre, la faune et la flore du nouveau monde , et d’explorer des territoires in connus depuis le Canada jusqu’à la Patagonie. A partir de leur intérêt pour la géographie, les Jésuites dessinèrent les premières cartes de nombreuses régions d’Amérique, de Chine, d’Inde, du Tibet et d’Ethiopie. Alors que les travaux scientifiques des Jésuites connaissaient un sommet, ils furent interrompus par la suppression de l’ordre en 1773. Un nouveau chapitre des travaux scientifiques des Jésuites démarra avec la restauration de l’ordre en 1814. A partir de 1825, les Jésuites fondèr ent un nouveau réseau d’environ 70 observatoires astronomiques, météorologiques et sismologiques dans le monde entier.

Ceux qui étaient installés en Afrique, en Asie et en Amérique Centrale et Amérique du Sud firent partie, dans beaucoup de cas, des premières institutions scientifiques de ces pays. Durant cette période, les Jésuites apportèrent des contributions importantes, particulièrement dans l’étude et la prévision des ouragans tropicaux a insi que dans la recherche en sismologie et dans le magnétisme terrestre. Parmi les personnalités marquantes de cette période, citons Angelo Secchi (1818 - 1878), directeur de l’observatoire du Collège romain et pionnier de l’astrophysique ; Stephen Perry (1833 - 1889), directeur de l’observatoire de Stonyhurst (Grande - Bre tagne), l’un des premiers chercheurs en géomagnétisme e t en physique solaire ; James Macelwane (1883 - 1956), professeur de géophysique à l’université Saint Louis (USA) et directeur de l’Association s ismologique jésuite , et Pierre Teilhard de Chardin (1881 - 1 955), paléontologue qui travailla sur les premiers fossiles humains de Chine et devint célèbre par ses idées sur l’évolution et sur l’avenir de l’humanité. De nos jours, les Jésuites dirigent 133 universités et environ 200 collèges du second degré dans le monde entier. Un certain nombre de professeurs de science jésuites allient l’enseignement et la recherche, gardant ainsi vivante la tradition scientifique de la Compagnie de Jésus. 2. Science et spiritualité jésuite Nous en arrivons à la question suivante : comment peut - on expliquer la présence particulière des Jésuites en science ? Il ne fait pas de doute que d’autres ordres religieux ont aussi connu de hautes figures scientifiques, comme par exemple Gregor Mandel, pionnier de la génétique faisant partie de l’ordre des Augustiniens. Cependant, avec les Jésuites, nous constatons une présence continue et institutionnelle depuis les tout premiers jours de leur fondation jusqu’à présent. Un signe de cette présence particulière dans le domaine scientifique rési de dans le fait que , dix - huit ans après la naissance de l’observatoire du Vatican, le pape Pie X en confia la d irection aux Jésuites, comme c’est encore le cas aujourd’hui. Cet engagement dans les sciences apparut durant la première période de l’histoire d e la Compagnie de Jésus et dura jusqu’à la suppression de l’ordre en 1773 ; elle fut poursuivie après sa restauration en 1814 jusqu’à nos jours, ainsi que nous l’avons vu dans le court résumé précédent. Il est, par conséquent, pertinent de poser la questio n de la spécif icité jésuite expliquant cet engagement dans les domaines scientifiques. Steven J. Harris écrivit l’ une des premières tentatives de réponse à cette question 2 .

Il l’a basée sur les seuls Jésuites des XVIIème et XVIIIème siècles, mais on peut aussi appliquer ses idées aux Jésuites modernes. Dans une analyse très bien fondée et détaillée, Harris situe la base de l’engagement des Jésuites en faveur de la science s ur ce qu’il appelle la « spiritualité apostolique », qui est au cœur de « l’idéologie jésuite ». L’expression « idéologie jésuite » fut employée pour la première fois par Ritka Feldhay pour décrire leur façon de considérer la connaissance comme moyen du sa lut 3 . Pour Harris, 2 Steven J. Harris, Transposing Merton’s thesis: Apostolic spirituality and the establishment of the Jesuit scientific tradition. Science in Context , 3 (1989), 29 - 65. 3 Rivka Feldhay, Knowledge as salvation in Jesuit culture. Science in C ontext , 1 (1987), 195 - 213. 3 les principaux éléments de cette spiritualité sont les suivants. En premier lieu, l’importance attribuée au service chrétien qui a canalisé les sentiments religieux vers l’extérieur et dans des activités mondaines qui ne sont pas habitue llement associées à la vie religieuse. A cela, il ajoute un engagement actif avec le monde, qui conduit au respect de l’expérience ou au fait de « tester au moyen de l’expérience » et à « la preuve par l’expérience », qui sont devenus des méthodes standard pour évaluer les idées et les projets. Dans le domaine scientifique, l’importance a été accordée aux aspects expérimentaux des observations et des expériences.

C’est ainsi que, pour Harris, la spiritualité apostolique , qui constitue la force de base forma nt le caractère de toute activité de tout Jésuite, comprend la motivation pour un travail scientifique. Un autre élément est une « estime pour le savoir » particulière. Cet aspect conduit à ce qu’il appelle la « sanctification du savoir », responsable de l ’énorme effort des Jésuites depuis leur origine dans le domaine de l’éducation, avec la fondation des collèges et des universités. D’après Harris, la sanctification du savoir les a conduits à prendre des engagements avec les activités séculières mises au s ervice de buts spirituels in fine, autrement dit le salut des âmes. Il voit cette action menée dans trois domaines principaux : dans l’éducation, dans les monarchies d’ Europe et dans les missions étrangères. Des facteurs historiques, également mentionnés par Harris, ont joué un rôle important. Tout d’abord, il cite la coïncidence entre la fondation de la Compagnie de Jésus et le début de la science moderne et son engagement envers l’éducation dans les écoles et les universités. Quand ils ouvrirent leurs éco les, les Jésuites ne souffraient d’aucune tradition doctrinale pour les conditionner, comme ce fut le cas, par exemple, des Dominicains et des Franciscains. Les Jésuites ont pu plus facilement incorporer leur enseignement dans les courants neufs de la scie nce moderne et ainsi répondre aux exigences sociales de l’époque.

De cette façon, les Jésuites ont pu incorporer dans leur enseignement les nouveaux courants des sciences mathématiques et expérimentales. Clavius, de par son influence, fit un grand effort p our introduire l’enseignement des mathématiques dans les collèges jésuites, ce qui fut finalement accepté comme norme établie pour tous les établissements du Ratio Studiorum. Il insista sur le fait que les mathématiques sont une vér itable science, à l’enco ntre de l’opinion générale des cercles traditionnels de son temps, et sur leur nécessité absolue pour étudier la philosophie naturelle. L’introduction des sciences mathématiques comme élément important des programmes des collèges jésuites constituait égale ment une réponse à l’importance sociale croissante que la science moderne était en train d’acquérir. Christopher Schneider était conscient de cette exigence sociale et de son importance apostolique. Dans une lettre à Johannes Rader, il observa que l’étude des mathématiques devrait être mieux prise en compte parmi les Jésuites. A Paul Gudin, professeur de mathématiques au collège de Graz, il écrivait : « Il est évident que les mathématiques sont le filet avec lequel on peut attraper les élites et les nobles, et les enrôler au service de Dieu 4 ». La nouveauté de l’engagement des Jésuites envers les sciences mathématiques est exprimée dans le document adressé au roi d’Espagne Philippe IV par les professeurs des universités de Salamanque et Alcalá de Henares tra itant de la montée du collège des Jésuites de Madrid, le Collège Impérial, au rang universitaire de Reales Estudios (Etudes Royales). Ils étaient opposés aux projets du roi et écrivaient qu’il n’était ni convenable ni « décent » pour des religieux d’enseig ner des matières profanes telles que les mathématiques, l’astrologie, la navigation et les sciences militaires. Les Jésuites répondirent qu’ils pouvaient justement enseigner ces matières car elles faisaient partie des programmes d’une école ecclésiastique et religieuse, qu’elles étaient nécessaires pour enseigner la philosophie, et qu’elles étaient utiles pour éviter « le recours abusif du public en général à la superstition et à la prévision de l’avenir 5 ». Après la restauration de la Compagnie de Jésus au XIXème siècle, la présence de Jésuites en science était également justifiée en tant qu’argument apologétique contre ceux qui, à l’époque, attaquaient 4 Steven J. Harris, Les chaires de mathématiques. Luce Giard (ed.), Les Jésuites à la renaissance . Paris : Presses Universitaires de France, (1995) , 239 - 262, (253 - 254). 5 José Simón Díaz, Historia del Colegio Imperial de Madrid . Madrid: Consejo Superior de Investigaciones Científicas (1952), 72 - 84. 4 l’Église en disant qu’elle était ennemie de la science. La présence de savants jésuites et l’ existence de leurs institutions scientifiques furent présentées comme argument évident sur la fausseté de ces accusations et comme exemple de la compatibilité entre la science et la foi chrétienne. Aloysius Cortie (1859 - 1925), directeur de l’observatoire d e Stonyhurst, écrivant en 1923 au sujet d’Angelo Secchi, remarquait : « Les ennemis de la Sainte Église ont fait un tel usage abusif de la science comme arme pour attaquer ses vérités les plus fondamentales , que l’impression s’est manifestée parmi beaucoup de ses enfants selon laquelle l’étude de la science est nuisible et dangereuse pour la foi...

Le Père Secchi est un exemple frappant de quelqu’un qui savait unir religion et science 6 ». Outre ces éléments historiques , en liaison avec les besoins apostolique s dans le travail éducatif des collèges et universités, il nous faut chercher des éléments intrinsèques plus spécifiques dans la spiritualité jésuite. On peut également trouver quelques éléments d’une spiritualité apostolique dans d’autres ordres religieux modernes (fondés après le XVIIème siècle) , certains à la suite de l’exemple jésuite, mais n’offrant pas une telle présence dans les domaines scientifiques. Il nous faut, par conséquent, chercher des éléments plus spécifiques dans la spiritualité jésuite a postolique afin d’expliquer cette tradition scientifique particulière On peut trouver les traits fondamentaux de ce qu’on appelle « la spiritualité ignat ienne », fondés sur les expériences ascétique s et mystiques de Saint Ignace, dans ses deux grands ouvra ges : les Exercices spirituels , et les Constitutions

7 . Les E xercices spirituels, corpus de prières et de méditations pour un mois, au début et à la fin de la formation de tout Jésuite, et répété durant huit jours chaque année, forment le cœur de cette spir itualité. C’est là qu’il nous faut chercher les motivations qui peuvent expliquer l’engagement particulier des Jésuites envers la science. La caractéristique la plus imp ortante de la spiritualité ignat ienne est une mystique du service, compris comme servic e à Dieu à travers le ministère apostolique envers les hommes

8 . Les Constitutions définissent le but de la Compagnie de Jésus « non seulement pour aider au salut et au perfectionnement de ses propres membres par la grâce divine, mais à l’aide de la même gr âce pour aider au salut et au perfectionnement de leurs frères humains

9 ». Saint Ignace comprend ce service comme un service à l’Église. Il a souvent répété dans ses écrits ce qui est devenu la devise des Jésuites, que tout doit être fait pour « la plus gr ande gloire de Dieu » ( Ad majorem Dei Gloriam ). On peut déjà trouver cela dans Saint Paul : « faites tout pour la gloire de Dieu » (1Co 10,31), mais Saint Ignace a ajouté le comparatif « plus grande » pou r indiquer que les Jésuites ont le devoir de rechercher non seulement la gloire de Dieu, mais la plus grande gloire. Dans la première méditation des Exercices spirituels, « Principe et Fondation » , il exhorte chacun à agir à chaque occasion, « en désirant et en choisissant seulement ce qui nous cond uit le mieux vers le but pour lequel nous avons été créés

10 ». Le terme « plus » (en latin magis ) est un élément important de cette spiritualité. En tout temps et en toute circonstance, cette spiritualité est ce qui pousse les Jésuites à chercher « plus » d ans leur activité. Ce que de nombreux Jésuites ont trouvé dans leur activité scientifique. Saint Ignace insiste aussi souvent dans ses écrits sur le fait de « trouver Dieu en tout es choses » ; Il parle ainsi d’une conscience croissante de ce que l’on peut trouver Dieu en chaque personne, en chaque lieu et en chaque chose ; c’est la forme que prend une attitude de prière dans la vie active. Il s’agit là d’un aspect important présent dans la dernière méditation des Exercices spirituels et intitulée « Contempl ation pour atteindre l’amour ». Dans cette méditation, il est demandé de « voir comment Dieu est présent dans les créatures, dans les éléments, dans les plantes, dans les animaux, dans les hommes (en moi, moi - même), [...] et de considérer comment Dieu s’emploie à travailler pour moi dans tout ce qui est créé sur la terre ». Voilà qui transforme tout : choses, gens, circonstances, en occasions de trouver Dieu.

De plus Saint Ignace, en insistant sur l’humanité du 6 A. L. Cortie, Angelo S e cchi, S. J. (1818 - 1878). En B. Windle (ed.) Twelve catholic men of science . L ondres: Catholic Truth Society, (1923), 149 - 164. 7 S. Ignacio, Obras , 221 - 238, 432 - 646. 8 Jean - Claude Dhôtel, La spiritualité ignatienne. Points de repère. Paris 1991. 9 S . Ignacio, Obras , (Examen Primero y General, Cap. 1. 3), 466. 10 S. Ignacio, Obra s , 272 - 273. 5 Christ, nous invite à voir que tout ce qui est h umain, et on peut y inclure la science, peut nous servir à rencontrer Dieu. Jerónimo Nadal, un des compagnons de St Ignace, décrit cette attitude par l’expression « contemplatifs dans l’action » pour parler de ce qu’on a appelé « la façon jésuite ». Elle i mplique une union entre la prière et l’action ; on peut trouver Dieu dans le silence de la prière , et dans l’activité du travail. Par conséquent, il n’y a pas d’activité, pas de sujet quelque profane qu’il paraisse, qui ne puisse être transformé en prière. Enseigner les mathématiques ou la physique dans une université, observer la lumière d’une lointaine galaxie ou dessiner la carte d’une région inconnue sont des activités qu’un Jésuite trouve parfaitement compatible s avec sa vocation et à travers laquelle il peut essayer de trouver Dieu dans sa vie. Dans d’autres groupes religieux, ce peut être aussi une attitude personnelle, mais pour les Jésuites, elle jaillit du cœur de leur spiritualité. Angelo Secchi, le célèbre astrophysicien, disait : « La contemplat ion de l’œuvre de Dieu est l’une des activités les plus nobles de l’esprit ; c’est le but principal de l’étude de la nature

11 ». De cette façon, les Jésuites s’impliquent dans des activités, parmi lesquelles la recherche scientifique, que d’autres considère nt incompatibl es, ou du moins peu convenables pour des religieux. On peut les trouver actifs dans un emploi social, responsables de paroisse, chercheurs en biologie ou en astrophysique, écrivains poètes, avec chez tous une motivation basée sur la même spir i tualité : chercher Dieu en toutes choses. Un autre aspect de l a spiritualité apostolique ignat ienne est sa préférence pour choisir des situations ou des activités dont nous dirons qu’elles sont « aux frontières ». Ce que nous voulons signifier ainsi c’est que les Jésuites, au lieu de se consacrer à des activités pastorales traditionnelles à l’intérieur de l’Église, essaient d’entrer en contact avec des activités extérieures parfois considérées non conventionnelles. Le pape Benoît XVI le reconnu t quand il dit aux Jésuites : « Comme mes prédécesseurs vous l’ont dit à plusieurs occasions, l’Église a besoin de vous, compte sur vous et continue à se tourner vers vous avec confiance, en particulier afin d’atteindre ces lieux physiques et spirituels que d’autres n’atteignent pas ou peinent à atteindre

12 ». Voici pourquoi nous pouvons trouver un Jésuite en pri ère dans un monastère bouddhique ou poursuivant des recherches en physique dans un accélérateur de particules. Les Jésuites sont toujours conduit s aux frontières, vers des lieux et des situations où le message chrétien est encore inconnu. Par exemple, c’est cet esprit qui conduisit Ma t teo Ricci et ses compagnons au XVIIème siècle à se présenter à la cour impériale de Chine en tant qu’astronomes occ identaux, à adopter les costumes et les manières des lettrés chinois. Au XIXème siècle et au début du XXème, on considérait que la science était un domaine étranger, sinon hostile, à la religion. Les Jésuites ont senti que leur responsabilité était de mont rer, grâce à leurs travaux scientifiques, qu’il n’y a pas d’incompatibilité entre science et foi, et que le travail scientifique lui - même peut aussi être une façon de trouver Dieu. De cette attente naquit la fondation du réseau d’observatoires jésuites dis séminés dans le monde. L’homme de science jésuite moderne considère la communauté scientifique comme sa paroisse, brisant ainsi par sa présence de nombreuses frontières et des barrières d’incompréhension. Daniel Linehan (1904 - 1987), inlassable sismologue e t explorateur, conscient de son rôle de prêtre et de savant, fit graver sur le pied de son calice : « Première Messe au Pôle Nord Magnétique 1954 » et « Première Messe au Pôle Sud 1958 ». Ses priorités étaient claires à ses yeux quand il déclara à un journ aliste du magazine Life : « Je donnerais toute ma sismologie pour célébrer une seule Messe comme celle à laquelle vous avez assisté ce matin

13 ». 3. Témoignages de Jésuites hommes de science Les savants jésuites des XVIIème et XVIIIème siècles ne ressentaient pas le besoin de justifier leur activité, qu’ils considéraient comme parfaitement normale. Quelques scientifiques jésuites modernes, cepend ant, ont considéré nécessaire d’écrire à ce sujet. Secchi a été parmi les premiers à 11 Angelo Secchi, Le soleil , Paris : G authier - Villar, 1875 , (Prologue), 6. 12 Discours du pape Benoît XVI à la Congrégation Générale 35. 13 Charlotte B. Harvey, The voyage of the Monte Carlo. Boston College Magazine , ( Fall 2000 ) . 6 le faire. Il a considéré que son travail était une express ion de la compatibilité entre science et religion, sujet controversé à son époque (XIXème siècle) : « La vraie foi n’est pas hostile à la science, mais les deux domaines sont comme deux rayons venant du même Soleil qui devrait illuminer nos esprits au moyen de la vérité

14 ». Teilhard de Chardin, commentant en face d’un groupe de jeunes Jésuites la lettre du Père Général Johannes Janssen de 1947 sur l’apostolat intellectuel, présenta ce qu’il pensait de l’engagement des Jésuites envers la science dans le contexte de sa pensée

15 . Il commença par insister sur l’énorme importance de la science dans le monde moderne, en disant que c’est devenu ce qu’il appelle la Grande Affaire du Monde , « fonction humaine aussi vitale que la nutrition et la reproduction ». Pour lui, la recherche scientifique constitue la pointe de la flèche de l’évolution humaine. Il s’est demandé pourquoi il est si important pour nous, Jésuites, de prendre part à la recherche scientifique, et il répondit que « c’est l a forme sous laquelle est cachée et opère plus intensément dans la nature qui nous entoure la puissance créatrice de Dieu ». A travers elle, ajoute - t - il, de nouveaux progrès de conscience apparaissent dans le monde. Teilhard est convaincu du besoin de réco nciliation du « problème des deux fois », la foi en Dieu et la foi en l’homme. Cette réconciliation est nécessaire afin de faire avancer dans le monde le Royaume de Dieu. Pour lui, ces deux fois sont en fait les deux composants essentiels d’un mystique hum ano - chrétien complet. On ne peut rendre présent dans le monde leur réconciliation et leur synthèse à moins que ce soit vécu concrètement, d’où l’importance de la recherche scientifique chez les Jésuites. Teilhard finit sur ces mots : « Nous, prêtres jésuit es, non seulement nous devons nous intéresser, nous prêter, mais nous devons croire à la Recherche parce que la Recherche (poursuivie ‘avec foi’) est le terrain même sur lequel a des chances de s’élaborer la seule mystique humano - chrétienne qui puisse fair e demain une unanimité humaine

16 ». C’est ainsi que nous pouvons trouver dans une formulation diffé rente la même spiritualité ignat ienne qui discerne dans la recherche scientifique le meilleur moyen pour conduire à l’expansion du Royaume de Dieu grâce à la réconciliation des deux fois. Dans son célèbre essai La Messe sur le Monde , Teilhard exprime sous une formulat ion différente le principe ignat ien : trouver Dieu en toutes choses

17 . Dans cette prière, il consacre à Dieu tous les efforts et toutes les souffra nces des hommes, hostie universelle sur l’autel du monde. Dans les années 1960, il y avait un bon nombre, près de 300, de scientifiques jésuites aux Etats - Unis. Ce qui conduisit certains d’entre eux à poser explicitement la question de la vocation du prêtr e - homme de science et du Jésuite - homme de science. C’était un aspect particulier du problème plus général de ce que l’on appelait à l’époque le prêtre avec trait d’union, c’est - à - dire le prêtre avec d’autres activités professionnelles. Frank Haig, professe ur de physique, considère que le prêtre - scientifique ne peut seulement s’expliquer par l’intérêt personnel ou par le rôle apologétique de défense de l’Église

18 . Pour lui, ce sont des raisons nécessaires mais non suffisantes , et il propose que le prêtre - scientifique exerce avant tout un rôle symbolique dans l’intégration d’une vie de la science et d’une vie de la grâce. Il a justifié cette intégration par le besoin vécu maintenant dans l’Église de repenser son message dan s la langue du monde scientifique, et d’être ainsi présente aux frontières de la connaissance. D’après Haig, le prêtre - scientifique « essaie de rendre le monde de la foi et le monde de la science transparents l’un envers l’autre ». Ernest Spittler, professeur de chimie, applique ces concepts a u cas concret des Jésuites et donne une position centrale à leur rôle en tant que prêtres, médiateurs entre Dieu et les hommes

19 . Ce rôle doit être réalisé à l’intérieur de l’Église, 14 Cité par Van Tricht , Secchi (1878), 370. 15 Teilhard de Chardin, Sur la valeur religieuse de la recherche . Science et Christ. Oeuvres 9 , Paris : Éditions du Seuil, 19 65 , 255 - 263 . 16 Ibid., 263 17 Teilhard de Chardin, La Messe sur le monde Le cœur de la Matière Oeuvres 13 , Paris : Éditions du Seuil ( 19 76) , 139 - 156 . 18 Fra n k. R. Haig, vocation of the priest - scientist. Bull. American Association of Jesuit Scientists, 36 (1961), 3 - 21. 19 Ernest G. Spittler, The priest - scientist in the Church. Bull. American Association of Jesuit Scientists, 39 (1962), 30 - 37. 7 et il est « médiateur » à l’égard de la communauté scientifique, et des laïcs catholiques et non - catholiques. Il constitue un véritable apostolat, lequel est souvent caché et , en ce qui concerne les Jésuites, il sera souvent exercé à travers l’éducation. William Meissner, psycho - analyste, l’applique plus directement au Jésuite - scientifique qui adopte deux rôles, celui de prêtre, et celui de scientifique, et déclare que l’individu est ainsi placé dans une situation qui n’est pas libre de conflits, de frustrations, d’insécurité et d’anxiété

20 . Afin de résoudre ces conflits, il propose la nécessité d’intégrer les valeurs de la science et les valeurs de la vie jésuite. Le prêtre - scientifique est avant tout un prêtre, et il exerce une fonction spécifiquement religieuse, apostolique et symbolique en même temps. Elle est apostolique dan s la mesure où il passe pour quelqu’un qui porte témoignage de la vérité. Elle est symbolique dans la mesure où il est le signe visible de la plénitude de la vie religieuse chrétienne : « Il est, alors, le symbole de l’unification dans la vérité des savoir s religieux et scientifiques, de la foi et de la raison, de la sagesse catholique et du savoir séculier, de l’Église et de la science moderne ». Meissner présente ce qui est spécifiquement jésuite dans ce qu’il nomme la « proposition jésuite », que nous co mprenons comme la spiritualité jésuite. Il commence par considérer les moyens permettant à la Compagnie de Jésus de poursuivre ses fins, telles qu’elles sont proposées par St Ignace dans les Constitutions, et dont certaines sont surnaturelles et d’autres n aturelles

21 . Si on l’applique au Jésuite - scientifique, ceci implique la complémentarité de l’idéal religieux de la sainteté personnelle et de l’engagement pour la science. Pour un Jésuite, le travail scientifique doit toujours être apostolique et Meissner i nterprète cette obligation comme étant « de l’incarnation », c’est - à - dire participant à la présence du Verbe incarné de Dieu parmi les hommes pour la sanctification de toute activité humaine. Il reconnaît les difficultés inhérentes à l’exécution de cette f onction , qui doit être une synthèse dynamique entre le fait d’être, authentiquement, homme de Dieu et homme de science. C’est un rôle complexe, Meissner l’admet, et en conséquence il y aura toujours une certaine tension dans la vie d’un Jésuite - scientifiqu e. Timothy Toohig, Jésuite travaillant sur la physique des particules au Fermilab, essaie de trouver la connexion entre son travail de physicien et sa spiritualité 22 . Il démarre en considérant que la physique cherche à comprendre la structure ultime de la m atière, ses constituants élémentaires et les forces qui les lient, en même temps que l’origine et le destin final de l’univers. Pour cette raison, dit - il , ne soyons pas surpris que des physiciens tels qu’Albert Einstein et Werner Heisen b er g et, plus récemm ent, Stephen Hawking et Steven Weinberg, dans certains de leurs écrits, parlent d es questions ultimes de l’existence , et finissent par parler, d’une façon ou d’une autre, de Dieu. Toohig essaie de montrer qu’il existe une certaine analogie entre le travail des physiciens et la recherche de Dieu. Il examine la façon dont Einstein et Niels Bohr reconnaissent la présence d’un mystère caché derrière la structure de l’univers qui reste toujours ouvert à de nouvelles intuitions et de nouvelles inspirations. Tous deux, selon Toohig, avaient une approche intuitive des problèmes physiques et pratiquaient leurs travaux avec la profonde conviction de l’existence d’une simplicité sous - jacente de la structure de la matière. Il se demande si ces attitudes ne témoignent pa s d’une spiritualité sous - jacente et d’une certaine expérience implicite de Dieu. Toohig, dans son analyse, utilise le concept d’ « expérience transcendantale » développé par le théologien jésuite allemand Karl Rahner, signifiant par là une expérience de la transcendance présente chez chacun, et constituant en soi une « connaissance anonyme et non - thématique de Dieu ». Toohig pense qu’il y a une similitude entre cette expérience transcendantale et l’expérience des physiciens en face du mystère de l’univers. Il affirme que, bien que ce ne soit pas dit, on peut considérer la recherche en physique comme une quête de Dieu. On peut mettre en question cette similitude, mais on peut comparer son intention de trouver un certain sens « religieux » dans l’expérience sc ientifique elle - même à la propositio n 20 William W. Meissner, The Jesuit as a priest - scientist. Bull. American Association of Jesuit Scientists, 40 (1963), 25 - 33. 21 San Ignacio, Obras, ( Constituciones X, 3, 813 - 814), 641 - 642. 22 Timothy E. Toohig, Physics re search, a search for God. Studies in the Spirituality of Jesuits , 21/2 (1999), 1 - 26. 8 ignatienne de trouver Dieu en toutes choses. Toohig présente également des analogies entre certains autres aspects de la spiritualité ignat ienne tels, par exemple, que l’expérience de la rédemption personnelle à de profonds niveaux de la vie, proposée dans les Exercices spirituels, et la faim que les physiciens montrent dans leur vie pour une pénétration toujours plus profonde du mystère de l’univ ers. Il va jusqu’à suggérer une certaine similitude entre l’expérience d’Einstein découvrant de nouvelles théories physiques et l’expérience mystique de St Ignace sur la création , près du fleuve Cardoner. L’approche de José Gabriel Funes, actuel directeur de l’observatoire du Vatican, est plus spécifique ; il démarre en déclarant que la tradition scientifique jésuite a ses ra cines dans la spiritualité ignat ienne

23 . Il discute les défis à la foi chrétienne posés par la science de nos jours et l’appel à l’« ap ôtre scientifique » à être présent aux frontières entre l’Église et le monde de la science, et il offre son propre témoignage selon lequel il n’existe pas de conflit entre les deux. A l’objection pratique selon laquelle il existe de nos jours d’autres prob lèmes plus urgents pour un prêtre, Funes répond par la scène de l’onction de Jésus à Béthanie (Mc 14, 3 - 9) justifiant ce que l’on peut considérer comme une vie « gâchée » dans l’étude des galaxies, mais accomplie au service du Seigneur. Il termine avec l’i dée, déjà mentionnée par d’autres, que le prêtre - scientifique joue le rôle de pont entre l’Église et la communauté scientifique. Un autre membre de l’équipe de l’observatoire du Vatican, Paul Gabor, essaie de répondre à la question : l’implication des Jésu ites dans la science est - elle une expression de l’identité jésuite elle - même, c’est - à - dire est - elle de l’ordre du charisme, ou bien est - ce le résultat d’influences extérieures

24 ? Il commence par un panorama du travail scientifique dans la Société depuis Cl avius au XVIème siècle jusqu’à la Congré gation Générale 31 de 1961. A nalysant la motivation derrière ce travail, Gabor présente d’abord les motivations extérieures, par exemple apologétiques et utilitaires, qu’il considère comme insuffisantes. Puis il exam ine les motivations internes et relie la recherche scientifique avec la spiritualité igna ienne dans les Constitutions et les Exercices spirituels de St Ignace. Gabor déclare que « la science est pratiquée pour son propre intérêt dans la Société, en tant qu e véritable quête spirituelle ». C’est ainsi qu’il déclare que les raisons étrangères, telles que pragmatiques, pastorales, pédagogiques et spirituelles ne sont pas nécessaires et que la motivation fondamentale des scientifiques jésuites est la recherche e lle - même. Il affirme également que l’on peut trouver de nombreux parallèles entre la vie scientifique et la vie spirituelle. En ce qui concerne en particulier la physique, Gabor trouve qu’il y a plusieurs aspects dans le travail du physicien, tels que le goût du jeu, la poursuite de la sagesse, les implications et dimensions ascétiques, qui sont des exemples de ses affinités spirituelles. Il termine en disant qu’« il existe une affinité indiscutable entre la science et la spiritualité ignatienne ». Dans ces quelques témoignages nous avons vu que les scientifi ques jésuites voient eux - mêmes leur activité non seulement compatible avec, mais conséq uence de leur spiritualité ignat ienne , justifiée en elle - même et non seulement par des motivations utilitaires apost oliques. Nous avons vu aussi qu’il y a un véritable effort pour montre r les affinités entre le travail scientifique et cette spiritualité, bien qu’il ne soit pas parfaitement clair de définir en quoi consiste nt ces affinités. Gabor reconnaît qu’il existe d es témoignages plutôt que des analyses approfondies, mais il trouve frustrant le manque d’études systématiques concernant la spiritualité du travail scientifique. Funes déclare que parmi les Jésuites il existe différentes façons de vivre l’apostolat scient ifique, de même qu’il y a de nombreuses façons différentes de vivre la vocation jésuite elle - même. Comme exemple, il présente les différences entre un Matteo Ricci et un Teilhard de Chardin , et il s’identifie davantage avec le premier

25 . Tous les témoignages débutent par le postulat selon lequel pendant presque toute son histoire, les Jésuites se sont distingués dans l’Église en tant qu’appartenant à l’institution qui a eu, et a encore, un engagement spécial et une implication dans la science. Leur conclusion fait, d’une certaine façon , le 23 José G. Funes, Una imagen evangélica para el apostolado científico (Mc 14, 3 - 9). Rev. de Espiritualidad Ignaciana , 37, (2007) 87 - 95. 24 Paul Gabor, Jesuit identity and science. An inside look. En Petra Čemus (ed.) Proceedings of the Bohemia Jesuitica Conference (Prague 25 - 27 April 2006) Prague: Carolinum (2010), 647 - 660. 25 Funes, Una Imagen (2007), 92. 9 lien entre cette implication et la spiritualité igna t ienne, fondement de la vie jésuite, bien que cette relation soit exprimée à partir de différents points de vue et que d’autres études soient nécessaires. 4. Pr atique scientifique et vie jésuite Il y a encore une question que nous devons étudier sur la façon dont l’engagement envers la science a été vécue de fait par les Jésuites dans le contexte de le ur propre ordre religieux et comment il a été vu par d’autres Jésuites, en particulier par leurs supérieurs. Tout d’abord, il nous faut tenir compte du fait que les hommes de science ont été, et sont toujours, une petite minorité parmi les Jésuites. Leur formation, en quelque sorte, les sépare du reste de leurs frère s, qui s’occupent plus spécialement de théologie, de philosophie et d’humanités, ou de travail pastoral direct. Il est vrai qu’ils ont suivi une formation théologique et philosophique similaire, mais leur formation et leur travail scientifiques ne sont pas partagés par les autres. Voilà pourquoi, parfois, le scientifique jésuite peut se sentir un peu incompris, ou isolé dans son travail, un peu un « outsider » dans sa propre communauté. Les supérieurs regrettent aussi parfois ne pas pouvoir dédier les scien tifiques à d’autres tâches qu’ils considèrent plus utiles. Mordechai Feingold examine la situation en détail avec les Jésuites scientifiques des XVIIème et XVIIIème siècles, et il pose la question : pourquoi, parmi eux, n’y a - t - il pas de savants de premièr e grandeur comme Galilée, Descartes ou Newton

26 ? Bien qu’il soit permis de s’interroger sur la pertinence de cette question, puisque les savants de ce niveau sont si rares qu’il est difficile à une institution d’apporter une seule contribution. Mais la que stion permet à Feingold d’examiner une série de circonstances qui dressent des obstacles dans les activités des scientifiques jésuites. Il se demande même s’il n’existe pas de réelle incompatibilité entre la vocation jésuite et l’engagement envers une scie nce séculière, puisque pour eux la science est toujours un moyen vers une fin et non une fin en elle - même. Il nous faut admettre que pour un Jésuite le travail scientifique, comme n’importe quelle autre activité de Jésuite, est finalement orientée vers le but apostolique du salut des âmes. Cependant, ceci n’invalide pas leur engagement pour la science, puisque même les plus grands savants ont une variété de motivations dans leur travail. La pureté de la poursuite de la science pour elle - même est, en fait un mythe, comme l’a montré le sociologue de la science Robert K. Merton

27 . Feingold examine une série de problèmes pratiques qui pourraient placer des obstacles dans la progression de la carrière scientifique d’un Jésuite. Parmi eux, il place le peu d’intérêt de ses supérieurs pour ce type d’études et l’urgence présentée par d’autres domaines considérés comme plus importants. Un exemple concret en est la priorité attribuée par les supérieurs aux besoins d’enseignement dans les collèges et les universités par r apport à la recherche. Un autre exemple de ce problème réside dans la priorité donnée à la publication de livres scolaires par opposition aux résultats de recherches. Feingold pose que les Jésuites ont excellé davantage en tant que professeurs et formateur s dans les domaines scientifiques qu’en tant que chercheurs eux - mêmes. Citons en exemples les étudiants de collèges jésuites tels que Torricelli, Descartes, Laplace, Volta, Buffon et Lalande. D’autres obstacles rencontrés par les Jésuites dans leur travail scientifique, selon Feingold, sont les réticences des supérieurs à l’égard des nouveautés, les règles pour l’unité de la doctrine, la censure intérieure de l’ordre et l’auto - censure des auteurs eux - mêmes. Un problème con cret qui affecta les scientifiques jésuites au XVIIème et au XVIIIème siècles fut l’acceptation du système de Copernic en astronomie et en physique atomique. Il nous faut reconnaître la présence de ces problèmes, reconnus par les scientifiques jésuites eux - mêmes, mais ce ne furent pas des obstacles insurmontables. Nous ne pouvons pas non plus séparer de façon aussi drastique l’enseignement et la recherche ; si les Jésuites ont été de si bons professeurs de science, c’est qu’ils unissaient enseignement et re cherche. 26 Mordechai Feingold, Jesuits : Savants. En M. Feingold (ed.), Jes uit science and the republic of letters . Cambridge (Mass.): The MIT Press (2002), 1 - 45. 27 Robert K. Merton, La sociología de la ciencia . Madrid, Alianza Universidad (1973), (Las pautas de conducta de los científicos) 423 - 443. 10 L’œuvre scientifique des Jésuites dans la Société restaurée après 1814 a été principalement centrée sur les observatoires et les universités. Cette époque ne connaissait plus de préjugés contre les théories scientifiques depuis que la science étai t séparée des questions philosophiques et théologiques. Les scientifiques jésuites jouissaient d’une liberté complète dans leurs travaux du domaine scientifique. Teilhard de Chardin, par exemple, n’eut jamais aucun problème pour la publication de ses trava ux scientifiques. De plus, ses supérieurs lui conseillèrent de rester dans le domaine scientifique et de ne pas se mêler de questions théologiques. Les travaux des nouveaux observatoires, fondés après 1824, étaient grandement appréciés par les Jésuites, no urris et encouragés par les supérieurs jusqu’aux années 1970, où ils commencèrent à décliner. En 1893, le Père Général Luis Martin, parlant des travaux effectués à l’observatoire de Manille (Philippines), déclara qu’ils contribuaient non seulement à la « s plendeur de la science et à la bonne réputation de notre Société, mais aussi à l’utilité des scientifiques et à l’assistance des âmes, but de toutes nos études et activités selon notre institution

28 ». Pierre Lejay (1898 - 1958), directeur de l’observatoire d e Zikawei (Chine), se plaignait en 1933 de ce que le travail scientifique de l’observatoire n’était pas suffisamment apprécié par la Mission jésuite chinoise, quelques missionnaires le considérant comme une perte de temps. Le Père Général Wladimir Ledochow ski lui écrivit pour lui dire qu’« il avait toujours protesté personnellement contre cette opinion injuste » et pour mettre en évidence « la haute importance du travail intellectuel et la faveur qu’il a toujours eu e dans l’ Église et les traditions missionn aires 29 ». Nous pouvons conclure que le travail scientifique jouit encore d’une grande estime parmi les Jésuites, sauf par quelques critiques qui ne comprennent pas son importance. Dans les temps modernes, l’importance donnée à l’enseignement, que nous avon s vue dans la période précédente, est toujours d’actualité, du fait du plus grand nombre d’universités dirigées par des Jésuites et du besoin de professeurs jésuites dans les départements des sciences. Ernesto Gherzi (1886 - 1976), dernier directeur de l’obs ervatoire de Zikawei qui travailla ensuite à l’observatoire géophysique jésuite de Montréal, se plaignait en 1970 du peu de soutien qu’il rencontrait chez les autres Jésuites dans ses recherches de géophysique. Louis Larendeau, Provincial de la province ca nadienne française jésuite, reconnut que les supérieurs n’étaient pas souvent familiers du monde de la science de sorte que la vocation des scientifiques jésuites est rarement récompensée, spécialement en ce qui concerne ceux qui font de la recherche. Cependant, il concède que l’enseignement est mieux reconnu et accepté

30 . Carl - Henry Geschwind, écrivant dans le contexte des travaux jésuites contemporains de sismologie aux Etats - Unis pose aussi la question, comme Feingold : les Jésuites ont - ils travaillé en s cience pour la science ou bien poursuivaient - ils d’autres fins ? Il déclare qu’au XIXème siècle la tradition scientifique jésuite s’était effacée et qu’en Amérique du Nord « idéologiquement, une absence de goût pour une libre recherche » s’était développée

31 . C’est faire fi de personnalités telles que Angelo Secchi, Stephen Perry et Benito Viñes qui, au XIXème siècle, apportèrent des contributions durables et significatives en astrophysique, en géophysique et en météorologie. Il fait la différence avec l’attitude envers la recherche sismologique de Frederik Odenbach et James Macelwane, considérant que seul le deuxième bénéficiait d’une véritable mentalité scientifique. Nous avons déjà mentionné la complexité des motivations dans le travail scientifique, et comment la présence chez des scientifiques jésuites d’un but religieux ultime n’invalide pas leurs travaux d’hommes de science. Conclusion 28 Lettre au P. Miguel Saderra (3 Nov 1893), Archivum Romanum Societatis Iesu ( ARSI ), Lettres du P. Luis Martín, 1892 - 1906,158 29 Lettre au P. Pierre Lejay (17 Abril 1933). ARSI , Lettres du P. Wladimir Ledochowski, 1915 - 1942, 482 - 483 , . 30 Lettre du provincial de la Province G allo - canadienne Louis Laurendeau au P. Ernesto Gherzi (Montreal, 3 février 1970) Saint - Jérôme, ASJCF , Bo - 214 - 35. 31 Geschwind, Embracing science (1998), 28 y 49.

rien néchappe a ces jésuites ils ont meme un téléscope surnommé lucifer  tres en accord avec leur manigance.

LUCIFER, de son nom complet le Large Binocular Telescope Near-infrared Spectroscopic Utility with Camera and Integral Field Unit for Extragalactic Research, soit en français « Installation spectroscopique proche infrarouge du Grand Télescope binoculaire avec caméra et unité intégrale de champ pour la recherche extragalactique », est un instrument utilisé en astronomie sur le télescope appelé Large Binocular Telescope. L'ensemble fait partie de l'Observatoire international du Mont Graham, construit en 1989. Il est situé sur le Mont Graham, dans le sud-est de l'Arizona aux États-Unis LUCIFER a été mis en service au début 2011 après 10 années de développement et de test. Le sigle correspond à « Instrument pour le Télescope à Large Binoculaire, spectroscopique proche de l'infrarouge avec Caméra et unité intégrale de champs pour la recherche extragalactique1 » : il s'agit d'une caméra couplée à un spectrographe qui viennent compléter le télescope. Ce télescope est considéré comme l'un des télescope les plus puissants au monde.

 

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