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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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le secret
11 novembre 2016

Le Secret de la Vie : Ondes cosmiques et radiations vitales

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Ondes cosmiques et radiations vitales

En 1925, Lakhovski publie son livre intitulé : « Le Secret de la Vie : ondes cosmiques et radiations vitales  », dont la préface est signée par le Pr. Jacques Arsène d’Arsonval. En 1928, le Dr Anastas Kotzareff publie à Paris une thèse sur le «Traitement par les ondes de cancers incurables, inopérables et abandonnés ». Puis les expériences de Lakhovski sont reprises en Italie : à l’hôpital de Pérouse avec le Dr Vicenzo Riviera, à Bologne, avec les Pr. Mazzadroli et Vareton et l’hôpital San Spirito de Rome avec le Dr Attili. Ce dernier est directeur d’un service de radiologie et traite 300 malades dont 24 cancéreux avec ce système. Grâce aux traitements utilisant la machine de Lakhovski, il améliore la santé de ses patients et obtient deux rémissions complètes. D’autres pays sont les hôtes des ces recherches de médecine énergétique d’avant-garde, comme la Suède et la Brésil.

L’Ocsillateur à Ondes Multiples
En 1928, Lakhovski invente une nouvelle machine : l’Oscillateur à Ondes Multiples, le fameux MWO (Multi Waves Oscillator). Il émet l’hypothèse que « l’amplitude des oscillations cellulaires doivent atteindre une certaine valeur afin que l’organisme soit assez fort pour repousser les vibrations destructrices de certains microbes. » Pour lui, le but « n’est pas de tuer les microbes en contact avec la cellule en santé mais de renforcer les oscillations de chaque cellule directement par renforcement de la radioactivité du sang ou en produisant vers les cellules une action directe par renforcement de leur propre rayonnement. »

Son Oscillateur à Ondes Multiples (MWO) est construit autour d’une bobine de Tesla  connectée à deux résonateurs entre lesquels le patient prenait place.

Ces deux antennes spéciales sont composées d’anneaux de cuivre  concentriques semi-ouverts, maintenus en place grâce à du fil de soie. Ces anneaux sont disposés dans le même plan  de telle manière que l’ouverture de chaque cercle soit disposée à l’opposé de la suivante selon une rotation de 180 degrés : le design de l’ensemble ressemble à une cible. L’appareil génère des hautes fréquences  (150 MHz) sur un très large spectre qui sont couplées à des charges statiques en provenance des résonateurs.

Ces hautes fréquences produisent des effets de corona, produits par les décharges d’électricité statique à l’intérieur des antennes et autour de leur périmètre extérieur. Tesla les nommait  electric brush  et Lakhovski les baptisa effuvia ou effluves. Ce sont les fameux rayons violets (violet ray energy).

Le patient était installé sur un siège en bois entre les deux résonateurs. Il était exposé à leur énergie durant quinze minutes.

Pour Lakhovski, toute cellule vivante quelle qu’elle soit, composant un tissu ou un organe, est un émetteur récepteur miniature, ayant sa propre fréquence : « Dans la nature, tout est vibration, en particulier la vie cellulaire, menacée en cas de déséquilibre oscillatoire. Chaque cellule vivante est un minuscule circuit oscillant qui joue le rôle d’un émetteur-récepteur d’ondes. Les vibrations de tous les circuits oscillants du corps sont dépendantes des ondes électromagnétiques ».

Principes de fonctionnement
La théorie qu’il élabora est que la maladie n’est pas le résultat d’un désordre chimique qui se rétablirait par une drogue ou un médicament. Pour lui, la maladie est le résultat d’une faiblesse de rayonnement et d’oscillation cellulaire, une anomalie dans l’amplitude de sa vibration, dues à un facteur externe à la cellule. L’intervention thérapeutique consiste alors, toujours selon Lakhovski, à inverser le processus provoquant la baisse de rayonnement énergétique en amplifiant ou renforçant la vibration fondamentale de la cellule et en lui redonnant toutes ses harmoniques, au moyen de vibrations lui permettant de retrouver l’amplitude de son oscillation naturelle.

Dans cette optique, le MWO permettrait aux cellules affaiblies par la maladie, de vibrer dans son champ énergétique  et d’être soumises à un bain de fréquences. Elles se mettraient à vibrer alors en résonance en captant les vibrations qui leur manquent. Les cellules malades sélectionnant automatiquement, dans un processus de résonance expliqué par la physique (loi de résonance sympathique), leur « bonne » fréquence, celle dont elles ont besoin pour retrouver leur vibration naturelle. Grâce à cette opération, elle se remettraient à vibrer à leur amplitude optimale. Ce processus est identique à la résonance provoquée par un diapason en vibration, posé sur la caisse d’une guitare : Il va faire vibrer la corde qui a la même fréquence que lui, en amplifiant sa vibration et en faisant chanter sa note.

Dans l’hypothèse de Lakhovski, on peut donc comparer le processus qui rend un organisme malade, à celui qui rendrait un piano désaccordé. Les cellules (cordes) qui le composent, ont perdu leur vibration naturelle qui les faisait jouer juste ou en santé.

Le passage du « corps-instrument » du patient traité au sein du bain d’ondes générées par le MWO, jouerait le même rôle que le passage d’un instrument entre les mains d’un accordeur : Les cellules se « réaccorderaient » en « écoutant » les ondes émises par l’appareil, au sein desquelles elle reconnaîtraient leur fréquence naturelle. Elles se remettraient alors à chanter leur note juste avec la bonne amplitude « santé », alors qu’elles avaient été préalablement faussées ou affaiblies par la maladie. L’accordeur de piano agit quant à lui sur la tension des cordes en appliquant une clé d’accord sur leur cheville (on parle ici toujours bien d’un piano). Pour que notre comparaison soit tout à fait correspondante, il faudrait que le  tuning  du piano se fasse automatiquement, en faisant simplement jouer les notes justes à l’instrument qui se réaccorderait tout seul… N’oublions pas qu’en mars 2004, le Dr Jim Gimzewski de l’UCLA (University of California, Los Angeles) a démontré que les cellules émettaient des fréquences qui diffèrent selon que la cellule est en santé ou non. Il a rendu le son de ces cellules audible, grâce à un microscope à effet tunnel et qu’il envisage de pouvoir détecter des cancers, juste en écoutant les son des cellules d’un patient .

Encore des hôpitaux
Les premiers essais cliniques du nouvel oscillateur à ondes multiples de Georges Lakhovski ont eu lieu en 1931 à l’hôpital St-Louis de Paris, dans le service du Dr Achille Louste. Le premier patient soigné souffrait d’un cancer de la bouche et fût guéri en l’espace de quatre semaines. La même année, Lakhovski publia son livre « L’Oscillation Cellulaire  ». Puis les années passent. En 1937, de séjour en Italie, il soigne le Pape Pie IX.

En 1939, la première édition anglaise que son livre « Le Secret de la Vie » est édité à Londres . En 1941, il fuit l’occupation nazie et part s’installer à New York. Il entretenait déjà des contacts avec un urologue new-yorkais et à Manhattan, Tesla avait son laboratoire… Une fois arrivé sur place, il rend visite à son ami Tesla et commence à faire des traitements expérimentaux de MWO thérapie dans un hôpital new-yorkais qui met en place durant 7 semaines un test clinique sur des patients atteints d’arthrite sévère et sur des malades incurables.

Dans l’édition suivante de The Secret of Life (1941) , Lakhovski décrit les résultats remarquables obtenus par cet important urologue de Brooklyn dont il ne donne pas l’identité.

La fin d’une aventure
En 1942, Georges Lakhovski meurt prématurément dans un accident, alors qu’il est renversé par une voiture. Encore conscient, il supplie les ambulanciers de le ramener chez lui et non à l’hôpital, où il jhnéanmoins conduit et où il meurt 24 heures plus tard. La mort accidentelle du chercheur, alors âgé de 73 ans, mit fin brutalement à la MWO thérapie expérimentée dans les hôpitaux de New York. Les protocoles de recherche avec cette thérapie prometteuse ont été arrêtés, les oscillateurs ont disparus du service hospitalier qui les expérimentait et les archives furent détruites. Ainsi, les résultats spectaculaires sur nombre de pathologies et les réussites thérapeutiques obtenues en particulier sur les cancers sont tombées dans les oubliettes.

Renouveau du MWO
Il a fallu ensuite attendre vingt et un ans pour que l’on reparle du fameux MWO, grâce à un physicien, le Dr Bob Beck (1925-2002). Ce dernier a retrouvé en 1963 un Multi Waves Oscillator dans le sous-sol d’un hôpital de Californie. Il en étudia le fonctionnement et consulta les divers documents et brevets déposés par Lakhovski à l’époque . En collaboration avec Thomas J. Brown, il écrivit une série d’articles explicatifs publiés dans le Borderlands Journal   et de nombreuses personnes se mirent à fabriquer leur propre oscillateur.

En 1986, l’éditeur du Borderlands Journal publie un imposant manuel intitulé : The Lakhowsky Multiple Wave Oscillator Handbook. Puis l’édition fût revue et augmentée en 1988, 92 et 94. Ces nouvelles publications ont inclus des articles de chercheurs ou d’expérimentateurs ainsi que des articles écrits par Lakhovski.

Georges Lakhovski a été l’un des grands pionniers de la médecine énergétique électromagnétique. Dès les années 1920, il a postulé que la cellule vivante captait et émettait de l’énergie. Il construisit des machines très simples basées sur la génération de courants électriques à haute fréquence, dont Nikola Tesla et Arsène D’Arsonval avaient avant lui soupçonné l’intérêt thérapeutique. Ainsi naquit le Multi Waves Oscillator.

Les recherches et observations faites par Lakhovski sont à mettre en parallèle avec celles du Dr Royal Rife, qui à la même époque, sur la côte ouest, s’est intéressé à l’usage thérapeutique des fréquences, pour détruire virus et bactéries. Cela se passait dans un laboratoire à La Jolla, en Californie mais cela, c’est une autre histoire…

Les rapports avec la Sonologie


À la lecture de ces histoires d’ondes, on peut se demander quels sont les rapports existants entre les théories de Lakhovski et la Sonologie. Dans cette discipline, nous nous intéressons aux sons, il est vrai mais aussi aux vibrations : tous les sons sont des vibrations mais toutes les vibrations ne sont pas des sons.

Il existe des vibrations acoustiques inaudibles pour l’être humain et d’autres formes de vibrations, de nature non acoustique, soit électromagnétiques, comme les couleurs ou les hautes fréquences utilisées par Tesla ou Lakhovski.

En Sonologie, nous nous intéressons à toutes formes de vibrations, acoustiques ou non et en cela les recherches relatées ici sont pour nous du plus grand intérêt en sachant que d’autres scientifiques se sont intéressés aussi à ce domaine de recherche.

 

Un des intérêts majeurs de la démarche de Lakhovski réside dans le fait d’avoir eu l’idée de produire un bain harmonique multifréquentiel, dans lequel les cellules affaiblies peuvent trouver la fréquence qui leur manque. L’utilisation de telles ondes transcodée à un niveau acoustique par transfert d’octaves, permet de renforcer l’idée selon laquelle la pratique du chant harmonique ou d’autres instruments harmoniques, comme le monocorde ou harpe harmonique, les bols tibétains, le tampura, le sitar etc., permet de créer un champ multifréquenciel produisant un large spectre, dans lequel les cellules du corps vont trouver une nourriture vibratoire avec laquelle s’harmoniser. Ceci sans parler des ondes de forme générées par les intervalles harmoniques caractéristiques des sons, proches du nombre d’or et de la suite de Fibonacci, qui jouent certainement un rôle.

La fin d’une aventure En 1942, Georges Lakhovski meurt prématurément dans un accident, alors qu’il est renversé par une voiture. Encore conscient, supplie les ambulanciers de le ramener chez  lui et non à l’hôpital, où il est néanmoins conduit et où il meurt 24 heures plus tard. La mort accidentelle du chercheur, alors âgé de 73 ans mit fin
brutalement à la MWO thérapie expérimentée dans les hôpitaux de New York. Les protocoles de recherche avec
cettethérapie prometteuse ont été arrêtés les oscillateurs ont disparus du servicehospitalier qui les expérimentait et les archives furent détruites.

Ainsi, les résultats spectaculaires sur nombre de pathologies et les
réussites thérapeutiques obtenues en particulier sur les cancers sont tombées dans les oubliettes. Renouveau du MWO Il a fallu ensuite attendre vingt et un ans pour que l’on reparle du fameux MWO, grâce à un physicien, le Dr Bob Beck (1925-2002). Ce dernier a retrouvé en 1963 un Multi Waves Oscillator dans le sous-sol d’un hôpital de
Californie. Il en étudia le fonctionnement et consulta les divers documents et brevets déposés par Lakhovski à Voir la page (en anglais) : http://www.smithsonianmag.si.edu/smithsonian/issues04/mar04/phenomena.html Ed. Gaston Dion, Paris 1931, 319 p Georges Lakhovsky, The Secret of Life : Cosmic rays & radiations of living beings, London, En

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21 novembre 2014

Le secret des gourous de la loi d'attraction.

secretL'éditeur de Marc Britan, voyant que ce dernier trouvait Le Secret complètement absurde et incohérent, lui a suggéré d'écrire un livre qui viendrait contredire ces propos. Chose que Britan a fini par accepter après avoir été lui-même confronté à des proches qui avaient de la misère à faire la part des choses à travers cet écrit.C'est un peu par hasard que cet auteur de fiction a décidé de riposter. Il avait entendu parler de Byrne par l'entremise de proches et connaissances qui avaient perçu ce livre comme une révélation. Par curiosité, il a fait comme d'autres et a fini par parcourir cet ouvrage qui, aux yeux de certains, est devenu une véritable bible. Premier constat pour Britan, la consternation.

"J'ai été extrêmement déçu du contenu. J'ai été même irrité par cet ouvrage un peu bidon, à la spiritualité de pacotille. C'est une manière de voir les choses basée sur l'égoïsme et la société de consommation à outrance."


"Au départ, l'idée ne me disait pas trop. C'est en côtoyant un neveu, dont la mère ne va pas très bien en raison de la faillite de son entreprise et dont le père a un cancer incurable, que mon projet de réplique a fait son chemin. Lorsque mon neveu a vu que je possédais le livre Le Secret, il m'a dit que grâce à ce livre, sa vie irait mieux puisqu'il avait demandé à l'univers que son papa s'en sorte. J'en ai eu des frissons dans le dos. J'étais en colère, car je voyais les conséquences de ce livre autour de moi. C'est comme si mon neveu attendait un miracle, comme trop de gens, je pense. Ce n'est pas en restant assis à ne rien faire que quelque chose risque d'arriver."

Après avoir réalisé diverses recherches, il en est arrivé à la conclusion que tout ce que l'auteure était arrivée à faire, c'est de mettre de l'avant un concept nouvel âge sur fond de réalité moderne de manière désincarnée.

"La loi de l'attraction existe depuis la nuit des temps, note M. Britan. Cependant, on peut distinguer sept principes qui s'y rattachent. L'auteure du Secret a décidé de n'en prendre qu'un seul et de le pomper. Selon elle, il suffit de demander pour recevoir. La personne est au centre de tout et ne fait pas abstraction de tout ce qui l'entoure, c'est comme si elle devenait Dieu. C'est insensé et intolérable."

Pour l'écrivain, la vision des choses dans Le Secret propose quelque chose de très matérialiste. Comme s'il fallait posséder une grosse maison ou une voiture de luxe pour être heureux. "C'est une démarche égotiste qui ne met pas les bonnes valeurs en place. Pour une personne fragile psychologiquement, ça peut être extrêmement néfaste. La personne peut sentir de la culpabilité par ses choix. Car selon Le Secret, si vous vivez mal, c'est à cause de vos pensées négatives. Il y a une limite à ça."

Finalement, ce qu'a voulu faire Marc Britan en écrivant un ouvrage de la sorte, c'est de démontrer comment la vie n'est pas parsemée de chemins préfaits. Et que ce n'est seulement qu'en vainquant la peur que l'on peut véritablement avancer.

"Les gens ont perdu le sens des valeurs, ils ne savent plus comment gérer leur vie. Ils ont besoin de balises, de solutions faites d'avance. Et pourtant, la vie est remplie d'inconnu et de les affronter, ça nous fait grandir et évoluer. Et surtout, l'entraide, la coopération, la solidarité entre individus permet beaucoup de choses. C'est souvent grâce aux autres que l'on peut atteindre nos buts et nos rêves. Tout seul, on n'y arrive pas vraiment.
Natacha Condo-Dinucci est psychoéducatrice. Il y a huit mois, son frère Jean-Charles et elle ont amorcé une enquête au sujet du best-seller Le Secret qui s’est écoulé à plus de 360 000 exemplaires au Québec. Ce qu’ils ont appris au fil de leurs recherches et des entrevues qu’ils ont effectuées se retrouve dans le livre Enquête sur Le Secret paru aujourd’hui aux éditions Amérik Média.


«Nous ne sommes pas contre la pensée positive, déclare avec fermeté Natacha Condo-Dinucci. Le Secret va bien au-delà cette pratique. Il y a des énormités dans ce livre : de fausses citations, des noms de personnalités historiques qui sont faussement utilisés et des détournements de mentions scientifiques. La science est prise en otage dans ce livre.»

La «loi de l’attraction» est l’ingrédient principal qui constitue la recette du succès de l’auteure du Secret, l’Australienne Rhonda Byrne. Après avoir affirmé que Beethoven, Martin Luther King, Newton, Platon, Victor Hugo, Bell, Winston Churchill et Thomas Edison connaissaient le secret, Rhonda Byrne se serait tout simplement servi des moyens de marketing dont elle pouvait disposer pour populariser cette théorie.

Domaine ésotérique

Selon Natacha Condo-Dinucci, les propos contenus dans Le Secret tiennent carrément du domaine ésotérique: «La loi de l’attraction veut que la pensée émette des fréquences mesurables. Ces fréquences iraient ensuite jusque dans l’univers où l’univers traiterait ces fréquences et les matérialiserait par la suite. Donc, si une personne ne pense pas de façon positive, elle va s’attirer des maladies, des accidents et ainsi de suite. Ça peut être très culpabilisant et angoissant pour les gens qui sont déjà fragiles psychologiquement.»

Au cours des derniers mois, Natacha et Jean-Charles Condo, qui a fait des études en sciences, ont constaté que Le Secret pouvait avoir des répercutions négatives chez les adeptes qui se sont retrouvés face au désillusionnement.

«Au début, les gens regardent le DVD, lisent le livre et en parlent avec leurs amis. Après un certain temps, plusieurs se retrouvent devant l’évidence que les principes qu’ils ont appliqués n’ont pas eu les effets escomptés. Ce que nous avons observé, c’est que les personnes qui avaient des tendances dépressives avant la lecture du livre retournaient non seulement à la case départ, mais sombraient parfois dans un état encore pire que celui dans lequel ils se trouvaient initialement», révèle Natacha Condo-Dinucci.

Après avoir constaté dans Le Secret ce qu’ils considèrent comme des propos «sectaires», les auteurs d’Enquête sur Le Secret ont fait appel aux connaissances d’Yves Casgrain, ex-directeur de la recherche à Info-Secte et consultant en mouvements sectaires, pour les éclairer.

Yves Casgrain signe même la postface du livre où il étale les similitudes entre les théories du Secret et les discours qui circulent dans les sectes. Pour ce qui est de la préface de l’essai, ce sont l’auteur du livre Petit cours d’autodéfense intellectuelle, Pierre Baillargeon, et le président des Septiques du Québec, Louis Dubé, qui introduisent les théories destructrices de Natacha et Jean-Charles Condo.

Après avoir illusionné les adultes ils s'attaquent aux ados ave la version teenager du secret

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«Le Secret du pouvoir des ados» de Paul Harrington est publié en français chez «Un monde différent» (c'est l'éditeur de la version française du Secret de Rhonda Byrne).

Publié en anglais le 15 septembre 2009, The Secret to Teen Power (Le Secret du pouvoir des ados) est une adaptation pour les adolescents (12 ans et plus) du livre Le Secret de Rhonda Byrne.

L'auteur de The Secret to Teen Power, Paul Harrington, n'est pas un inconnu dans le lucratif secteur de la pensée magique déguisée en croissance personnelle: il était le producteur du film Le Secret.

D'ailleurs, le communiqué annonçant la publication de cette version du Secret pour les ados signalait qu'en tant que producteur, «Paul Harrington a appris la loi de l'attraction de la bouche même de Rhonda Byrne». Il s'agit d'un détail intéressant car Rhonda Byrne, qui se présentait comme un quidam découvrant par hasard une soi-disant loi universelle, est maintenant élevée au statut de «gourou» de la loi de l'attraction.

Les extraits de The Secret to Teen Power publiés sur le Web en PDF montrent que Paul Harrington a simplement reformulé la recette magique de Rhonda Byrne en des termes utilisés par les jeunes, et adapté ses exemples d'application de la «loi de l'attraction» aux préoccupations du groupe ciblé: relations amoureuses, vie scolaire et image de soi.

Le Secret pour les adolescents (The Secret to Teen Power) est publié chez Simon & Schuster, le même éditeur que Le Secret de Rhonda Byrne. Cet «ouvrage» ressemble tant à l'original (presque les mêmes chapitres, avec les mêmes noms!) qu'on pourrait presque parler d'une simple réécriture du Secret avec un langage plus jeune (même si Le Secret est lui-même écrit dans un langage simpliste).

The Secret to Teen Power se fonde, par conséquent, sur les mêmes affirmations mensongères, pseudoscientifiques, sectaires et dangereuses que son grand frère et, regrettable absence d'éthique, tente de faire renaître la pensée magique chez des jeunes qui viennent à peine d'émerger de ce stade du développement cognitif.

pour conclure il suffisait de regarder le S en forme de  serpent du secret pour comprendre de qui venait le secret , c'est le plus vieux secret du monde vous avait la force en vous pour tout changer surtout matériellement evidemment faut surtout pas vous connecter spirituellement juste vous faire miroiter la richesse qui ressemble a une ruine de votre ame car basé que sur votre bien etre matériel  .

Les Russes ont désormais leur Anti-Secret!

anti-tanhaPopuri, la maison d'édition qui a acheté les droits d'Enquête sur Le Secret, annonce sur sa page d'accueil la parution de la version russe de notre livre. L'ouvrage est intitulé Anti-Secret (Анти-Тайна) et porte la mention «великое расследование» (grande enquête) en guise de sous-titre. La très jolie couverture semble mentionner, dans le coin inférieur droit, le Défi sceptique d'un million de dollars offert à quiconque pourra prouver rigoureusement que Le Secret fonctionne.

La description qu'en fait Popuri (ici pour la traduction automatique de Google), et qui sera vraisemblablement le texte du quatrième de couverture, va droit au but en indiquant que l'ouvrage est une «antithèse du Secret», et qu'il dénonce les faussetés, les mensonges et les incohérences de la fausse loi de l'attraction présentée par Rhonda Byrne. En soulignant que la doctrine de Madame Byrne et de ses gourous de la loi de l'attraction «n'est pas aussi anodine qu'elle peut le sembler à première vue», le texte fait aussi référence, quoique discrètement, à l'aspect sectaire et aux autres dangers potentiels du Secret.

Espérons que cette version russe éveillera quelques-uns des esprits qui ont été séduits par cette pensée magique déguisée en pseudoscience qu'est la loi de l'attraction. Et ces esprits sont probablement nombreux car, près d'un an après son lancement en Russie, Le Secret de Rhonda Byrne figure encore en bonne position dans les palmarès des livres les plus vendus.

Titre: Анти-Тайна
Auteurs: Жан-Шарль Кондо, Наташа Кондо-Динуччи
Nombre de pages: 208
Format: 84 х 108 1/32
ISBN: 978-985-15-0695-4

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