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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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tesla
23 septembre 2018

N’importe quelle maladie et de mort cellulaire peut être transmis par des ondes électromagnétique

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En juillet 1976 les Etats Unis ont reçu des salutations très spéciales pour leur Bicentenaire de la part de l’union Soviétique. A ce moment, les systèmes de communications du monde dans la bande de 3 à 30 mégahertz ont soudainement rencontré une interférence substantielle en provenance d’émetteurs soviétiques extrêmement puissants qui ont été soudainement activés. Ces émetteurs continuent leurs émissions à ce jour. Les estimations de la puissance de ces émetteurs varient, mais l’échelle des valeurs s’élève à plusieurs centaines de mégawatts, avec une puissance nominal de 100 mégawatts.
Ces puissants émetteurs ont été surnommés bien à propos les « Piverts » à cause du son caractéristique de la modulation du signal à la réception, c’est-à-dire que le signal reçu fait le son du « picotage »  très semblable à un Pivert frappant un morceau de bois de son bec.

Plusieurs nations ont protesté, mais les puissants signaux ont continué jusqu’à ce jour, la seule réponse soviétique a été d’ajouter un système « spectre de diffusion », afin que l’émetteur ne demeure pas trop longtemps sur une fréquence spécifique, mais permute périodiquement à d’autres fréquences.
Ces émetteurs n’ont apparemment jamais été localisés précisément par l’Intelligence américaine, mais leurs rayons comportent de nombreuses caractéristiques du radar au-delà-de-l’horizon [OTH, over-the-horizon], ils ont été classés radars OTH par l’Intelligence américaine, et peuvent sans aucun doute effectuer cette mission et d’autres très intéressantes que les services de renseignements américains n’ont pas étudiées.
Le « Soviet Military Power » du département de la défense (1985, p.45) montre l’intersection directe au-dessus des Etats Unis des rayons radar de Pivert utilisés dans un rôle OTH. De plus il est montré un rayon de « scanner » supplémentaire lequel peut scanné à travers la « grille » d’intersections au-dessus des Etats Unis, formée par l’interférence d’onde de forme des deux rayons Pivert principaux.
D’abord, ils peuvent être employés dans un mode radar OTH conventionnel, puisque leurs rayons suivent le guide d’onde de l’ionosphère terrestre et se courbent autour de la Terre. Dans ce mode ils peuvent détecter les bombardiers et les missiles, que ce soit dans leur phase de lancement ou dans leur course.
Ces armes à grilles d’interférences scalaires peuvent être employées pour attaquer biologiquement des populations entières dans un secteur ciblé, cet aspect n’est pas développé dans ce rapport, je me contenterais de dire que des signaux de modulation ELF (extrême basse fréquence) verrouillés en phase de 10 hertz et moins sont souvent détectés sur des fréquences Pivert multiples simultanément. Dans un secteur ciblé, cette modulation – qui est suffisamment plus forte que la résonance Schumann du champ magnétique terrestre – entraînera un certain pourcentage des cerveaux en « entraînement forcé ». Dans ce cas, ces cerveaux humains sont « synchronisés » aux signaux de Pivert afin que des fréquences cohérentes multiples soient verrouillées en phase en eux. C’est-à-dire que des canaux EM cohérents et multiples existent maintenant directement dans ces cerveaux entraînés. A ce point, des expansions de Fourier peuvent maintenant être employés pour attaquer géométriquement des zones spécifiques du  cerveau. De plus, toujours avec les expansions de Fourier des patterns EM scalaires de maladies peuvent être modulés sur les [ondes] porteuses. Des effets biologiques spécifiques peuvent être induits à volonté dans les populations entraînées, limités seulement par l’état de l’art de la technologie soviétique utilisée pour les attaquer. Les effets possibles inclut : morts instantanées, crises cardiaques, perturbations émotionnelles sévères, pertes de contrôles des fonctions internes, maladies, déficience du système immunitaire, et même implantations de pensées, d’émotions, et d’idées qui sont interprétées par les sujets comme étant les leurs.
Alors que la discussion de ce domaine est au-delà de la portée de ma connaissance, les aspects biologiques des émetteurs Piverts sont horribles. Je me bornerais à dire que, dans des milliers d’expériences,

Communication entre organismes vivants par biophotons

 

Le système de communication par rayonnement photonique est abondamment utilisé par les plantes, comme par exemple les tiges d'ognon, mais également par les animaux.

 

C'est un fait avéré que les abeilles ou les termites d'un même groupe communiquent entre eux. Des chercheurs ont mis en évidence que cette communication s'effectuait par des signaux électromagnétiques.

 

On sait aussi que des insectes peuvent communiquer entre eux sur de longues distances en émettant des odeurs, des molécules appelées phéromones. C'est ainsi que des papillons de nuits mâles et femelles peuvent se rejoindre même s'ils se trouvent à des kilomètres. Or le biologiste P.S. Callahan a découvert qu'ils localisaient ces phéromones en détectant les photons qu'elles émettent dans la longueur d'onde des infra-rouges.

 

La communication par des biophotons a été vérifiée entre cellules nerveuses par le biochimiste Helmut A. Fischer. Il a montré que ce processus se produisait en complément des transmissions par médiateur chimique entre les synapses, ces prolongements tentaculaires des cellules. (Photons as transmitters for intra-­ and intercellular biological and biochemical communication, ­ The construction of a hypothesis, H.A. Fischer, dans Electromagnetic Bio­-Information, 1989, Urban & Schwarzenberg)

 

Expériences de Kaznacheyev

Expériences de VP Kaznacheev
Merci à Tom Bearden

Les expériences de Kaznacheev

 

Dès 1974, le docteur Vlail P. Kaznacheev (ou Kaznacheyev) et son équipe de recherche (S. Stschurin, L. Michailova, etc.) à l'Institut de médecine clinique et expérimentale de Novosibirsk en Russie, mettent en évidence des communications photoniques entre les cellules.

 

Des cellules sont placées dans un tube scellé où elles baignent dans une solution nutritive. A proximité se trouve un autre tube scellé avec des cellules provenant du même tissu biologique. Lorsqu'on porte atteinte à l'une des cultures, par un virus ou un empoisonnement, on constate que les cellules du flacon voisin, bien que protégées de la transmission chimique par la paroi du flacon, deviennent malades à leur tour. C'est donc la preuve que les cellules envoient des informations aux autres cellules.

 

Les conditions de succès de cette expérience sont les suivantes. Elle a lieu dans l'obscurité. La fenêtre optique entre les deux tubes doit être en quartz. La durée du contact doit être supérieure à 4 ou 5 heures et si possible 48h. L'effet se manifeste au bout de 18 heures environ dans 70% des cas. Il n'a pas lieu si la fenêtre optique est en verre, qui arrête les ultraviolets. Après plus de 12'000 expériences, ces chercheurs ont montré que la communication entre cellules était effectuée par l'intermédiaire de radiations ultraviolettes de longueur d'onde 220 nm à 360 nm (référence, en russe: V.P. Kaznacheev, L.P. Mikhailova, Ultraweak Radiation in Cell Interactions, 1981, Nauka - Voir Tom Bearden, Extraordinary biology).

 

Kaznacheyev a démontré que presque n’importe quel genre de pattern de maladie et de mort cellulaire pouvait être transmis électromagnétiquement. Kaznacheyev a rapporté l’effet dans le proche ultraviolet, des expérimentateurs à l’Université de Marburg en Allemagne de l’Ouest ont répété les expérimentations dans l’infrarouge.

Le résultat est que les photons eux-mêmes peuvent transporter des modèles de maladies et de mort entre les cellules. La technologie EM scalaire permet la synthèse du pattern potentiel réel (qui après tout représente le contrôle total de charge et la distribution de charge, et de là, la biochimie dans la cellule) d’une maladie particulière ou d’un mécanisme mortel. Les                                                              et d’autres mécanismes ont été induits par les expérimentations de Kaznacheyev.

Le Dr Popp d’Allemagne de l’Ouest a publié une analyse du système de contrôle maître photon virtuel des cellules. Puisque l’EM scalaire représente l’ordre délibéré du flux de particule virtuel dans des modèles déterminés, le système de contrôle maître peut aisément être pénétré avec des techniques scalaires pour induire maladies et désordres à volonté...

URL de cette page: http://voltair.free.fr/scalar/scalaire.htm

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18 juillet 2018

Les secrets de l'énergie libre de l'électricité froide : Le plus grand secret de Tesla

De toutes les grandes inventions et découvertes de Nikola Tesla, rien ne ressortait avec un plus grand bénéfice potentiel pour l'ensemble de l'humanité que sa découverte de l' énergie radiante.en 1889. La série d'observations qui a conduit à la découverte de l'énergie rayonnante est née des expériences que Tesla avait menées pour tenter de reproduire les résultats que Heinrich Hertz avait prétendu en affirmant l'existence d'ondes électromagnétiques, dont la découverte Hertz a annoncé en 1887. Tout en reproduisant les expériences de Hertz, Tesla a expérimenté avec des décharges électriques DC violemment brusques et a découvert une nouvelle force dans le processus. Ce n'est qu'après avoir mené des essais expérimentaux exhaustifs pour les trois prochaines années que Tesla a annoncé cette stupéfiante découverte dans un article publié en décembre 1892, intitulé "The Dissipation of Electricity". Incroyablement, la plupart des académiciens de l'époque ont complètement raté la cible pour comprendre la véritable signification de son article. Des scientifiques notés tels que Sir Oliver Lodge, pensaient à tort que Tesla faisait référence à l'électricité à courant alternatif à haute fréquence dans l'opération du Transformateur Tesla, une énorme bévue qui reste à ce jour dans le mauvais sens et l'interprétation erronée de la bobine Tesla. Le transformateur mentionné par Tesla dans le document de 1892 ne fonctionnait pas à induction magnétique / électrique créée par des courants alternatifs. Il a opéré dans un domaine entièrement nouveau de la physique basé sur les décharges abruptes des potentiels électrostatiques et la libération subséquente de l'énergie radiante cinétique de l'éther omniprésent. Tesla fonctionnait maintenant sous des règles entièrement nouvelles qu'il appelait des forces électrostatiques «dynamiques» et avait, à ce jour, complètement abandonné tout intérêt supplémentaire pour la forme d'onde AC. La genèse de l'incompréhension Lodge, 
  

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Les équations de Maxwell 
Utilisant des modèles mathématiques, James Clerk Maxwell avait précédemment suggéré que deux types différents de perturbations électriques pourraient exister dans la nature. Un type était une onde électrique longitudinale qui nécessitait des concentrations alternées de pulsations densifiées et raréfiées de champs électrostatiques qui se déplaçaient le long d'un seul vecteur (aujourd'hui, nous les appelons ondes stationnaires ou ondes scalaires). Maxwell a fini par rejeter cette idée parce qu'il était convaincu que ce type de propagation d'ondes était impossible à réaliser, mais son hypothèse était erronée et présagerait plus tard des conséquences formidables pour Tesla et le monde en général. 
  
La deuxième postulation de Maxwell était celle d'une onde électromagnétique transversalecela présentait une alternance rapide de champs électriques le long d'un axe fixe qui rayonnait loin de son point d'origine à la vitesse de la lumière et était détectable à de grandes distances. Maxwell avait plus confiance en l'existence de ce type de vague et encourageait les expérimentateurs à regarder dans cette direction. C'était la découverte de ce type d'onde que Hertz avait revendiqué, mais Tesla était méticuleux et méticuleux dans la réplication des paramètres expérimentaux de Hertz et il ne pouvait pas obtenir les résultats revendiqués par Hertz.

Tesla a découvert une faille fondamentale dans l'expérience de Hertz: Hertz n'avait pas pris en compte la présence d'air dans ses expériences. Hertz avait identifié par erreur les inductions électrostatiques ou les ondes de choc électrifiées comme de véritables ondes électromagnétiques. Tesla était attristée d'apporter cette nouvelle à l'éminent académicien, mais elle estimait que l'honnêteté scientifique était primordiale si l'on voulait progresser. Tesla a rendu visite à Hertz en Allemagne et lui a personnellement démontré l'erreur expérimentale. Hertz était d'accord avec Tesla et avait prévu de retirer sa revendication, mais les réputations, les agendas politiques, la fierté nationale, et surtout, de puissants intérêts financiers,

L'introduction de Tesla aux phénomènes de l'énergie radiante a commencé avec des observations précoces par des juges de lignes travaillant pour Thomas Edison, l'ancien employeur de Tesla.

Anomalies DC 
Avant que l'invention du générateur Polyphase AC par Tesla devienne la norme de l'industrie et dépasse l'utilisation de générateurs DC par Thomas Edison, le système électrique DC était le seul système disponible pour fournir de l'électricité aux maisons et aux usines américaines. En raison de la résistance offerte par les longues lignes de transmission, Edison a dû produire des tensions continues très élevées de ses générateurs afin de fournir suffisamment de tension et de courant à sa destination finale. Il a également dû fournir des stations de «pompage» supplémentaires en cours de route pour augmenter la tension d'affaissement qui a diminué des pertes de ligne. Une anomalie curieuse s'est produite au tout premier instant de la mise en marche de l'interrupteur d'alimentation à la centrale:Des pointes violettes / bleues rayonnent dans toutes les directions le long de l'axe des lignes électriques pendant un instant . En outre, une sensation choquante, choquante comme un rayon a été ressentie par ceux qui se tenaient près des lignes de transmission. Dans certains cas, lorsque des tensions DC très importantes surgissaient des générateurs, la sensation de «picotement» était si grande que, de temps en temps, une pointe bleue sautait de la ligne et se fondait sur un ouvrier, le tuant dans le processus.

Tesla a réalisé presque immédiatement que les électrons n'étaient pas responsables d'un tel phénomène parce que les phénomènes de pic bleu cessaient dès que le courant indiquait circuler dans les lignes. Quelque chose d'autre se passait juste avant que les électrons aient une chance de se déplacer le long du fil. À l'époque, personne ne semblait très intéressé à découvrir pourquoi ces élévations dramatiques du potentiel électrique statique se produisaient, mais plutôt les efforts de conception technique visaient à éliminer et à éteindre cette étrange anomalie qui était considérée par tout le monde comme une nuisance ... sauf Tesla. Tesla le considérait comme une forme d'énergie puissante, mais inconnue, qui devait être comprise et exploitée si possible. Le phénomène ne s'est manifesté que dans le premier moment de la fermeture du commutateur, avant que les électrons puissent commencer à se déplacer. Il semblait y avoir un effet de «regroupement» ou de «suffocation» en jeu, mais seulement brièvement. Une fois que les électrons ont commencé leur mouvement dans le fil, tout reviendrait à la normale. Quelle était cette énergie étrange qui essayait de se libérer si fort au moment de la fermeture du commutateur? .

Tesla, génie hors du temps 
Dans le dernier quart du 19ème siècle, Tesla était seul dans son opposition aux vues fondamentales de la nature des forces électriques décrites par trois des plus grands noms de la science électrique: James Clerk Maxwell, Herman Von Helmholtz et Heinrich Hertz. Tesla a possédé une vision plus large du cosmos parce que son sens aigu de la conscience et surtout ses intuitions intuitives naturelles lui ont donné une compréhension plus profonde du rôle que l' éther (ou éther ) a joué dans les manifestations de tous 

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phénomènes électriques alors que ses contemporains ont concentré leur attention exclusivement sur la composante électromagnétique (en supposant qu'aucun autre composant ne pourrait être impliqué). Ce manque de perspicacité éthérique de la part de ses contemporains (à l'exception de Sir William Crookes) et la controverse enflammée que la simple mention de l'éther avait suscitée était de provoquer le ridicule et le sarcasme de Tesla d'intellectuels inférieurs pendant des décennies. La controverse éthérée s'est largement dissipée dans l'arène académique après la publication de la théorie de la relativité d'Eienstein (1905) et l'expérience Michaelson-Morley qui déclarait essentiellement que la théorie de l'éther était morte, mais les idées et déductions de Tesla concernant le rôle de l'éther corriger tout le long.

L'éther existait alors et il existe maintenant, malgré les dérives de l'étape de verrouillage par la science dominante, passée ou présente. Rudolf Steiner, un autre homme de génie, a affirmé que l'éther était composé de quatre fractions qu'il a décrites comme 1) l'éther de lumière, 2) l'éther de chaleur, 3) l'éther chimique, et 4) l'éther de vie, une combinaison de Trois premiers. Les expériences de Tesla à New York et au Colorado lui ont confirmé que l'énergie rayonnante était liée à l'éther insaisissable, mais pouvait se manifester par la rupture brusque de l'équilibre des fractions éther en utilisant des impulsions de grande amplitude de courte durée. 
C'était la clé qui a débloqué l'énergie radiante.

"Voyez l'excitation venir!" 
Ce sont les mots que Tesla a utilisés à la fin de sa conférence de décembre 1892, "The Dissipation of Electricity". Il débordait de dynamisme et d'optimisme pour l'avenir. Dans les années 1890, Tesla mena un grand nombre d'expériences qui confirmèrent sa théorie et affinèrent sa compréhension des conditions spéciales requises pour que l'énergie rayonnante s'exprime. Plus tard, il a élargi son travail à New York avec les essais expérimentaux à grande échelle menées à Colorado Springs, Colorado en 1899. 

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Tesla, l'humanitaire, voulait plus que tout partager cette énorme découverte avec son prochain. Tesla a parlé des applications pratiques de l'énergie radiante qui étaient si étendues qu'elles auraient pu créer un saut profond et immense dans le futur pour l'humanité dans pratiquement tous les secteurs de la vie quotidienne:

 Une électricité illimitée peut être mise à disposition n'importe où et n'importe quand, en poussant simplement une tige dans le sol et en allumant l'appareil électrique. Les maisons, les fermes, les bureaux, les usines, les villages, les bibliothèques, les musées, les réverbères, etc., pourraient répondre à tous leurs besoins d'éclairage simplement en accrochant des ampoules ordinaires ou des tubes fluorescents, sans avoir besoin de câblage. 24 heures par jour. L'énergie de moteur pour n'importe quelle utilisation imaginaire telle que les applications industrielles, le transport, les tracteurs, les camions, les trains, les bateaux, les automobiles, les avions et les avions pourrait être alimentée librement n'importe où sur la planète à partir d'un seul émetteur grossissant. Cette nouvelle forme d'énergie avait même la capacité d'élever la conscience humaine à des niveaux de compréhension et de clarté mentale grandement améliorés. Il aurait été possible de réaliser des applications thérapeutiques sans intérêt pour améliorer la santé humaine et éliminer les maladies, il y a 100 ans, si Tesla avait été autorisé à terminer son développement commercial de Radiant Energy. Mais de puissants barons de l'industrie, principalement en la personne de John Pierpont Morgan, se sont entendus pour lui refuser le soutien financier dont il avait besoin et, ce faisant, ont refusé à l'humanité l'un des dons d'énergie libre les plus abondants et les plus inépuisables.

Le Transmetteur Magnifier 
Le plus proche Tesla est venu à une application industrielle mondiale de son rêve Radiant Energy était la construction de son énorme émetteur Magnifying à Shoreham, Long Island, un site qu'il a appelé Wardenclyffe. Après son retour à New York de Colorado Springs en 1899, Tesla était enthousiaste et plein d'enthousiasme pour mettre en œuvre son plan pour l'application commerciale de l'énergie radiante. Il s'est tourné vers JP Morgan pour une partie substantielle du financement pour financer l'énorme projet de Wardenclyffe. 

Wardenclyffe

Morgan se préoccupait principalement de tirer profit des transmissions radiophoniques à l'étranger puisque Marconi fermait rapidement le marché et Morgan, toujours agresseur, voulait une part du marché. Lorsque Tesla lui a dit que l'émetteur pouvait transmettre "l'intelligence" au monde, Morgan a supposé qu'il entendait les communications radio ordinaires, mais Tesla ne faisait pas référence aux transmissions radio ordinaires. Il parlait de quelque chose de beaucoup plus grand, mais évitait de tout révéler à Morgan durant cette première phase du projet Wardenclyffe. Quelques temps plus tard, Tesla finit par se sentir obligé de dire à Morgan les plus grandes possibilités offertes par le Magnifying Transmitter quand il avait besoin de plus de financement pour terminer le projet. Tesla pensait que Morgan serait submergé par son explication élargie des capacités réelles de l'émetteur et serait anxieux d'achever le travail, mais l'hypothèse de Tesla s'était retournée contre lui et Morgan refusa de mettre plus d'argent pour l'émetteur. Malheureusement, les énormes avantages qui auraient pu être mis à la disposition de la société par le projet Magnifying Transmitter de Tesla sont morts à l'époque.

Morgan et Westinghouse 
Morgan avait déjà orchestré des circonstances dans la vie de Tesla afin de forcer Tesla à dépendre de lui pour un soutien financier. Au cours d'une période antérieure, quand Tesla lui-même avait reçu des millions de Polynastie AC et d'autres revenus, Morgan voulut séduire Tesla avec un accord qui donnait à Morgan le contrôle de ses droits de brevet et de ses projets, mais Tesla refusa. qu'il avait assez d'argent pour financer ses projets. En revenant à son hôtel de cette même réunion avec Morgan, cependant, Tesla a été dit que son laboratoire avait été brûlé au sol. Cela représentait une énorme perte pour Tesla et cela le secoua profondément. Tout le monde, bien sûr, était convaincu que Morgan était derrière l'incendie criminel. Afin de sauver la face, Morgan a été embarrassé par Tesla en mettant de l'argent pour payer la reconstruction d'un nouveau laboratoire comme un acte de «philanthropie». À partir de ce moment-là, cependant, d'autres bailleurs de fonds n'ont pas été trouvés. Morgan était assez puissant pour dresser une liste noire de Tesla parmi les élites de l'establishment de l'Est qui, auparavant, avaient harcelé et fêté avec Tesla comme s'il était l'un des leurs. La liste noire et l'ostracisation par les autorités et les financiers ont quelque peu augmenté après la mort de Morgan, mais ont continué à hanter Tesla pour le restant de ses jours. Morgan était assez puissant pour dresser une liste noire de Tesla parmi les élites de l'establishment de l'Est qui, auparavant, avaient harcelé et fêté avec Tesla comme s'il était l'un des leurs. La liste noire et l'ostracisation par les autorités et les financiers ont quelque peu augmenté après la mort de Morgan, mais ont continué à hanter Tesla pour le restant de ses jours. Morgan était assez puissant pour dresser une liste noire de Tesla parmi les élites de l'establishment de l'Est qui, auparavant, avaient harcelé et fêté avec Tesla comme s'il était l'un des leurs. La liste noire et l'ostracisation par les autorités et les financiers ont quelque peu augmenté après la mort de Morgan, mais ont continué à hanter Tesla pour le restant de ses jours.

Avant le tournant du siècle, Tesla a également volontairement abandonné des millions, peut-être des milliards de dollars en redevances à George Westinghouse dans un acte d'amitié sans précédent. Westinghouse avait cru en la supériorité du système de courant alternatif de Tesla et avait fourni l'argent pour construire les grands générateurs de courant alternatif de Tesla à Niagra Falls, NY. Tesla a été payé des millions à l'avance pour ses brevets, mais devait également recevoir des redevances pour chaque kilowatt de puissance produite. Lorsque Westinghouse a rencontré des difficultés financières à une date ultérieure, Tesla a déchiré son contrat de redevances afin d'éviter à Westinghouse la ruine financière. S'il n'avait pas fait cela, Tesla aurait eu assez d'argent des redevances pour le maintenir dans une grande richesse pour le reste de sa vie.

On raconte souvent que lorsque Morgan a appris de Tesla que le véritable objectif de l'émetteur de Wardenclyffe était de fournir de l'électricité gratuite au monde, il a brusquement retiré le financement. Ce n'est pas complètement exact. Les conditions économiques étaient récessionnistes à l'époque et le marché boursier avait considérablement baissé cette année-là. Morgan n'était pas intéressé à risquer plus de capital dans des temps périlleux sur un projet qu'il ne pouvait pas complètement comprendre et n'était pas complètement convaincu de. Tesla détenait la propriété foncière du site et de la tour Wardenclyffe, mais aucun travail supplémentaire n'a été fait après 1910. En 1914, Tesla était profondément endetté et a signé l'acte de Wardenclyffe Station pour rembourser des années de loyer en raison des propriétaires du Nouveau. Yorker Hotel où il vivait (il occupait deux suites penthouse à l'hôtel). En 1917, les propriétaires de l'hôtel ont fait démolir la tour et vendre ses pièces à des fins de récupération. Malgré la perte de Wardenclyffe, Tesla a continué d'affiner sa compréhension de l'énergie radiante et de miniaturiser l'équipement nécessaire pour le produire. Il a finalement été en mesure de réduire l'équipement à la taille d'une valise.

Ken Adachi

Les convertisseurs de l'énergie des champs électriques

L'énergétique sans carburant - les générateurs à l’éléctricité naturelle

 

Il est connu que la planète Terre et son ionosphère forment « un condensateur sphérique » avec la réserve de l'énergie, d'après les estimations de E. Rauscher en 2002, d'environ 3∙109 kWh, et la capacité 15∙103 microfarads. Il crée un champ électrostatique d'intensité moyenne de 100 V/m. Cela « permet de percevoir la Terre en tant qu'un immense réservoir d'électricité ... » et donne de l'espoir pour l'humanité, aux dires de Nikola Tesla, « de connecter les machines à la source même de l'énergie de l'espace environnant ».  Une des conceptions possibles proposées par lui était une antenne sous la forme d'un ballon métallisé soulevé au-dessus du sol et servant pour le stockage de charge électrique. Connecté au convertisseur de puissance par un câble, cet accumulateur est capable d'utiliser l'énergie gratuite de l'électricité atmosphérique.

 

Une série d'expériences simples, qui confirment la possibilité « d'extraire la puissance de l'air », a été tenue par G. Svenson. La fréquence naturelle des pulsations du champ électrique de la planète 7,5 Hz est connue depuis l'époque de Tesla. Svenson travaillait avec une fréquence de résonance de 375 kHz et une antenne de 10 mètres. La mise en œuvre de cette méthode d'extraction de l'énergie de l'environnement est représentée aussi par le générateur électrostatique de Efimenko. Dans sa machine, un rotor cylindrique tourne dans le champ électrique à potentiel, créant, au moyen d'une dynamo classique, la puissance d'environ 70 watts. La source de champ (≈ 6000 V) est le champ électrique de la Terre et pour cela, l'installation comprend une antenne et une mise à la terre. Des dispositifs similaires pour l'utilisation de la différence de potentiel entre la surface de la planète et l'ionosphère sont connus depuis les années 1800. Dans ce cas-là, ce n'est pas la question qui est d'intérêt, mais sa solution.

 

La mise en oeuvre des effets « électrodynamiques » associés au mode impulsionnel des dispositifs utilisant l'électricité naturelle, est beaucoup plus prometteuse. Déjà N. Tesla, qui dans les années 90 du XIX siècle menait des expériences avec un générateur de courant continu à haute tension, un éclateur et un transformateur à haute tension sans noyau (transformateur Tesla), a remarqué l'augmentation considérable de la puissance dégagée par un tel dispositif vers l'environnement par rapport à celle dégagée par le générateur de courant alternatif à haute fréquence avec un transformateur élévateur conventionnel. Il a appelé cette puissance supplémentairement attirée                                               « l'électricité radiante » et l'a assocée à l'éther, à l'opposé du courant électrique normal comme un flux d'électrons.

 

La raison de ceci était en un effet découvert par Tesla, quand le courant continu haute tension se déchargeait dans l'éclateur à étincelle et s'interrompait avant que le courant inverse n'ait apparu. Cet effet consistait en apparition de tension spatiale distribuée qui augmentait sur toute la longueur de la bobine secondaire de son transformateur non-électromagnétique et qui pouvait être des milliers de fois supérieure à la tension initiale à l'éclateur. Il augmentait grandement quand un condensateur était connecté au circuit de la source de courant continu à haute tension. Le flux d'énergie, provoqué par cet effet, se propageait comme un gaz incompressible, sous forme d'un flux longitudinal                   « semblable à la lumière » qui se déplaçait le long de la surface de la bobine dans le sens perpendiculaire aux spires, sans pénétrer à l'intérieur des conducteurs.

 

L'interruption rapide du courant continu par les disjoncteurs magnétiques engendrait une onde de choc dans le laboratoire où se trouvait le transformateur de Tesla,  qui pouvait être ressentie par un coup sec et une irritation électrique (le picotement) - pénétrant, à la différence du rayonnement électromagnétique classique, à travers les écrans métalliques et la plupart des diélectriques. Néanmoins, les impulsions d'une durée inférieure à 100 microsecondes, émises par le transformateur de Tesla, étaient absolument inoffensives pour l'homme et ne provoquaient pas d'échauffement. L'amplitude de ces impulsions était fonction de leur durée et de la tension sur l'éclateur. Elles créaient des effets lumineux dans des tubes à vide et provoquaient une « réaction » dans des métaux sous la forme de l'accumulation de charge électrique.

 

L'un des successeurs  de Tesla était Tomas Henri Moray, États-Unis. Dans les années 1909-1910, il a créé un nombre de dispositifs qui fonctionnaient, selon lui, avec la charge électrostatique de la Terre et l'ionosphère. Un dispositif de démonstration a été présenté à des experts pour examen (à l'exception d'une petite boîte que l'inventeur préférait garder dans sa poche de poitrine). Le dispositif comportait un condensateur, un transformateur élévateur, un éclateur et un panneaux avec deux tubes radio, ainsi qu'un aimant permanent, des commutateurs  et des luminaires de 100 et 20 W comme charge. Le dispositif n'avait pas de batterie, mais il y avait les antennes d'une longueur de 200 pieds, élevées à une hauteur d'environ 80 pieds, et une mise à la terre de profondeur de 7 pieds. Cet appareil a été testé pendant un temps assez long à domicile comme dans la montagne (loin des lignes électriques). Certains des dispositifs délivraient à la charge une puissance jusqu'à 650 W à une tension de 250 kV. Comme on peut le voir, le dispositif avait beaucoup de similitudes avec la technique de N. Tesla.

 

Beaucoup de ces éléments sont trouvables  dans le moteur-générateur  « supraunitaire » de Edwin Vincent Cray. Pendant la période de 1961 à 1986, il a construit et breveté plusieurs prototypes de dispositifs autonomes EMA (Electric Magnétic Association), capables de produire l'énergie électrique sans utiliser de carburant et de fournir de l'électricité à une maison, une voiture, un train ou un avion. Des maintes démonstrations de sa technique ont reçu une résonance enthousiaste dans la presse, et Gray a obtenu le titre de « L'inventeur de l'année » (1976) et un  « Certificat de qualité » de Ronald Reagan, alors gouverneur de Californie. L'opérabilité de la conception du moteur fut confirmée par H. Magretten.

 

Comme chez Tesla, le générateur de Gray était alimenté en courant continu à haute tension. Cependant, au lieu du générateur de courant continu à haute tension, il utilisait une batterie dont le courant de sortie était interrompu par un multivibrateur. Les impulsions du multivibrateur étaient amenées à l'enroulement primaire d'un transformateur classique dont l'enroulement haute tension était connectée au pont redresseur. Comme chez Tesla, une alimentation haute tension à courant continu chargeait périodiquement un condensateur à forte capacité. Un autre composant commun était un éclateur. Cependant, le dispositif Gray employait, au lieu de transformateur, un « tube modulaire de commutation et conversion », constitué d'une résistance, d'un éclateur et des grilles réceptrices de charge, c'est-à-dire, trois composants du dispositif de Tesla. C'était ce tube qui accomplissait le travail, alimentant le moteur, le téléviseur, la radio, les ampoules, etc. Le dispositif « à l'électricité froide » comme Gray l'appelait, fonctionnait probablement ainsi : la tension de la batterie  augmentait à 3000V et s'accumulait dans le condensateur de haute capacité. Ensuite, les impulsions se déchargeaient via l'éclateur commandé par des tubes électroniques, de telle sorte que la durée d'impulsion fût inférieure à 50 microsecondes. Cette séquence discontinue d'impulsions  passait par le tube de commutation et conversion pour être captée par les grilles réceptrices de charge. En tant qu'une charge, servait un transformateur abaisseur de la tension pour alimenter des lampes à incandescence et d'autres dispositifs de charge, ainsi qu'un transformateur abaisseur complémentaire pour charger une batterie secondaire. Commutant périodiquement les batteries, Gray non seulement récupérait l'énergie dépensée, mais aussi recevait un impressionnant « excès » d'énergie.

 

Cependant, toutes les tentatives de l'inventeur d'appliquer la technologie à des fins commerciales se sont soldées par un échec. À la fin des années 1970, la société Zeteh Incorporated a acheté la technologie de Gray; les tentatives de l'inventeur d'éveiller l'intérêt du gouvernement et du sénat des États-Unis n'ont pas reçu de réponse. Edwin Vincent Gray est mort en avril 1989 dans son atelier à Sparks, Nevada, à l'âge de 64, dans des circonstances mystérieuses.

 

Mais les idées ne meurent pas sans laisser de trace, ce qui confirme à nouveau le générateur de puissance Testatika inventé par Paul Baumann et construit dans la communauté chrétienne  Methernita (Suisse). Plusieurs générateurs livrent, pendant déjà plus de 30 ans, 750 kW d'électricité sans carburant, couvrant les besoins de la communauté, y compris les ateliers qui sont au même endroit.

 

Comme cela est le cas avec E. Gray, l'idée est venue à P. Baumann lors de l'étude de la foudre. Contrairement aux dispositifs de Tesla et de Gray, la machine de Baumann, pour générer une haute tension continue, utilise le générateur de Wimshurst (1832-1903) qu'on a cessé d'utiliser en pratique avec l'apparition des générateurs électromagnétiques. Le générateur de Wimshurst est composé des deux disques de contre-rotation, avec des segments en acier ou en aluminium fixés sur eux. La séparation des  charges électriques sur les segments de disque est assurée par le frottement des balais. Les balais effectuent la levée de la charge électrique des segments de disque. Ensuite, la charge s'écoule dans les bouteilles de Leyde et s'accumulent là. Dans la Testatika, la haute tension de ces condensateurs est appliquée à la partie supérieure de grandes bouteilles métalliques. (P. Baumann ne montre le contenu des bouteilles à personne, et les hypothèses étaient nombreuses, depuis des condensateurs avec des additifs d'uranium jusqu'à une combinaison étrange de cristaux et des aimants.) Puis la charge électrique s'écoule par la partie inférieure des bouteilles aux éclateurs à étincelle. À côté des éclateurs sont mis deux électroaimants en forme de fer à cheval. Ainsi, le générateur Baumann utilise les mêmes éléments pour intensifier l'étincelage et interrompre l'arc que le dispositif de Tesla.

 

Dans la machine de Baumann, l'autorotation des disques après l'impulsion initiale est due à la répulsion mutuelle des segments des deux roues en raison des forces d'interaction électromagnétique, car le disque rotatif électrisé du générateur  forme avec le circuit externe une boucle fermée du courant puissant circulant dans les disques dans la direction opposée. La contribution des forces de répulsion électrostatique est également possible. Le réglage de la rotation est effectué par le déplacement relatif des balais.

 

Un prototype de telle machine avec les disques d'un diamètre de 20 cm produisait environ 200 watts de puissance, alors que les machines Testatika ont les disques d'un diamètre de 2 mètres et la puissance de plus de 30 kW. Un module de diode spécial et les bouteilles de Leyde assurent le réglage de la fréquence. Le dispositif comprend également une part qui réduit la tension de 100 kV (ou plus) jusqu'à 220 V.

 

 

Stefan Marinov

 

Le fait que cette machine existe et fonctionne, fut confirmé par les rapports de 12 chercheurs compétents qui ont visité la communauté à différents moments pour examiner et tester les performances de Testatika  (y compris le professeur Stefan Marinov qui a construit un modèle opérationnel du générateur et qui est mort finalement dans des circonstances mystérieuses). Cependant, tous ces rapports tombent d'accord que les principes de fonctionnement de Testatika restent peu clairs.  

 

Marinov

 

 

 

 

 

 

 

 

Le dispositif de William Hyde est l'une des conceptions modernes dont la solution technique est proche de celle de la machine de Baumann. L'auteur l'a appelé  « un système produisant l'énergie depuis le champ électrique ». Il comprend des éléments traditionnels du générateur électrostatique utilisant les disques rotatifs avec les segments comme dans le convertisseur suisse Testatika. Dans le prototype de 1987, Hyde utilisait jusqu’à 240 segments de rotor et 480  segments de stator. Son générateur tourne à une vitesse d'un ordre de grandeur supérieure de la vitesse de  Testatika. En outre, Hyde a introduit dans la constitution plusieurs nouveaux éléments - les disques de stator sur les plaques d'électrode, la source externe de tension de 3 kV qui charge les plaques d'électrode, etc. Avec tel potentiel, la tension des impulsions sur le stator atteint 300 kV. Dans sa machine, les doubles disques rotatifs tournent dans le même sens. Ainsi, les paires de segments de stator sont mis périodiquement à l'abri de l'influence polarisant de l'excitateur. Chaque segment de stator est connecté électriquement à un élément de paire par un circuit dans lequel des impulsions de tension sont rectifiées et abaissées pour le circuit de sortie. Afin d'accélérer le rotor de la machine, Hyde utilise un champ  électrostatique à potentiel dans la partie du trajet où le travail du champ est positif. Mais là où il inhibe le rotor, Hyde le met partiellement à l'abri. Cela crée un déséquilibre Fi' et Fi", permettant de recevoir l'énergie d'une source stationnaire du champ. La puissance débitée de son générateur est de 22,9 kW, avec la puissance d'entrée de 2,4 kW et la puissance totale sur la charge de 20,5 kW. Au final, et avec le descriptif technique qui existe, le générateur autorotateur électrostatique de Hyde est l'une des conceptions les plus attractives parmi les générateurs sans carburant.

 

La dynamo hydromagnétique de O. Gritskevitch mérite également l'attention. Elle fut brevetée en 1988 en Union Soviétique comme « un procédé de génération et un générateur de plasma électrostatique qui l'utilise ». Considérant notre planète comme un énorme générateur électrostatique, l'inventeur a proposé une méthode pour convertir le champ de force de la planète en énergie utile. Cette méthode est basée sur des principes physiques connus, mais implique des solutions constructives uniques.

 

La dynamo « non-mécanique » de Gritskevitch était de la forme d'un tore dans lequel l'eau fait fonction d'un rotor. Ces générateurs, surnommés « réchauffeur d'eau », ne comportaient pas de pompe et ni pièce frottant, et pouvaient fonctionner pendant des années pratiquement sans entretien, ne consommant pas un gramme de carburant. Cependant, ils étaient compacts et pouvaient être placés dans chaque foyer et même voiture. Le coût de l'énergie produite par eux était 40 fois moins que celui pour une centrale atomique, 20 fois que pour une centrale thermique et 4 fois moins que pour l'énergie d'une éolienne. Le premier prototype fonctionnait avec succès depuis plus de cinq ans dans la montagne de l'Arménie, fournissant l'électricité au camp de recherche sur le terrain. Cependant, malgré le certificat du Rospatent [office des brevets de Russie] et l'approbation de la communauté scientifique, la dynamo hydromagnétique de Gritskevitch n'a trouvé aucune demande commerciale ni en Russie, ni aux États-Unis, où l'inventeur et ses sept collègues du bureau d'études s'en sont allés à la fin de 1999.

 

Ce fait montre une fois de plus, que le problème n'est pas lié seulement à la validité scientifique des générateurs sans carburant, voire non pas à la recherche des conceptions les plus réussies, mais à la géopolitique des propriétaires du secteur de l'énergie.

 

 

V. A. Etkine, docteur-ingénieur

Source samlib.ru (publié en 2008, modifié en 2011) et la version complète en pdf et doc

Traduit par Olga (TdR)

11 mars 2018

Les 10 inventions de Nikola Tesla qui ont changé le monde

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Nikola Tesla était un génie , un découvreur fabuleux 
Nous savons qu'il a été sans aucun doute persécuté par les courtiers en énergie de son époque - à savoir Thomas Edison, à qui nous apprenons à l'école à révérer comme un génie. Il fut également attaqué par JP Morgan et d'autres «capitaines d'industrie». À la mort de Nikola Tesla le 7 janvier 1943, le gouvernement américain s'installa dans son laboratoire et son appartement confisquant toutes ses recherches scientifiques, dont certaines ont été publiées par le FBI. grâce à la loi sur la liberté de l'information. (J'ai inclus les 250 premières pages ci-dessous et ajouté un lien vers le fichier .pdf des dernières pages, soit 290 au total).

Outre sa persécution par des intérêts de gouvernement d' entreprise (qui est pratiquement une certification d'authenticité), il y a au moins une indication solide de l'intégrité de Nikola Tesla - il a rompu un contrat avec Westinghouse qui valait des milliards pour sauver l'entreprise ses énormes paiements de redevances.

Mais, jetons un coup d'œil à ce que Nikola Tesla - un homme qui est mort brisé et seul - a effectivement donné au monde. Pour le meilleur ou pour le pire, avec ou sans crédit, il a changé la face de la planète d'une manière que peut-être aucun homme n'a jamais.

1. Courant alternatif
C'est là que tout a commencé et ce qui a finalement causé tant de remous à l'Exposition universelle de 1893 à Chicago. Une guerre éclata toujours entre la vision d'Edison et la vision de Tesla sur la façon dont l'électricité serait produite et distribuée. La division peut être résumée comme une question de coût et de sécurité: le courant continu sur lequel Edison (soutenu par General Electric) travaillait était coûteux sur de longues distances et produisait des étincelles dangereuses à partir du convertisseur requis (appelé un commutateur). Quoi qu'il en soit, Edison et ses partisans ont utilisé les «dangers» généraux du courant électrique pour instiller la peur dans l'alternative de Nikola Tesla: le courant alternatif. Pour preuve , Edison a parfois électrocuté des animaux lors de manifestations. Par conséquent, Edison a donné au monde la chaise électrique, tout en critiquant la tentative de Tesla d'offrir la sécurité à moindre coût. Tesla a réagi en démontrant que AC était parfaitement en sécurité en tirant couramment du courant à travers son propre corps pour produire de la lumière. Cette querelle d'Edison-Tesla (GE-Westinghouse) en 1893 fut le point culminant de plus d'une décennie de transactions commerciales louches, d'idées volées et de suppression de brevets qu'Edison et ses intérêts financiers exerçaient sur les inventions de Tesla. Pourtant, malgré tout, c'est le système de Tesla qui assure la production et la distribution d'électricité en Amérique du Nord à notre époque moderne.

2. Lumière
Bien sûr, Nikola Tesla n'a pas inventé la lumière elle-même, mais il a inventé comment la lumière peut être exploitée et distribuée. Tesla a développé et utilisé des ampoules fluorescentes dans son laboratoire quelque 40 ans avant que l'industrie ne les "invente". À l'exposition universelle, Tesla a pris des tubes de verre et les a pliés en noms de scientifiques célèbres, créant ainsi les premiers signes au néon. Cependant, c'est son Tesla Coil qui pourrait être le plus impressionnant et controversé. La bobine de Tesla est certainement quelque chose que la grande industrie aurait aimé supprimer: le concept que la Terre elle-même est un aimant qui peut générer de l'électricité (électromagnétisme) en utilisant des fréquences comme émetteur. Tout ce qui est nécessaire à l'autre extrémité est le récepteur - un peu comme une radio.
3. Les rayons X
Les rayonnements électromagnétiques et ionisants ont fait l'objet de nombreuses recherches à la fin des années 1800, mais Nikola Tesla a fait des recherches sur l'ensemble de la gamme. Tout, d'un précurseur à la photographie Kirlian , qui a la capacité de documenter la force de vie, à ce que nous utilisons maintenant dans le diagnostic médical, c'était une invention transformative dont Tesla jouait un rôle central . Les rayons X, comme beaucoup de contributions de Tesla, provenaient de sa conviction que tout ce dont nous avons besoin pour comprendre l'univers est virtuellement autour de nous à tout moment, mais nous devons utiliser notre esprit pour développer des dispositifs du monde réel pour augmenter notre perception innée de existence.

4. Radio
Guglielmo Marconi a été initialement crédité, et la plupart le croient pour être l'inventeur de la radio à ce jour. Cependant, la Cour Suprême a renversé le brevet de Marconi en 1943, quand il a été prouvé que Tesla a inventé les années de radio antérieures à Marconi. Les signaux radio sont juste une autre fréquence qui nécessite un émetteur et un récepteur, ce que Tesla a également démontré en 1893 lors d'une présentation devant la National Electric Light Association. En 1897, Tesla a demandé deux brevets US 645576 et US 649621 . En 1904, toutefois, l'Office des brevets des États-Unis a renversé sa décision, accordant à Marconi un brevet pour l'invention de la radio, possiblement influencé par les bailleurs de fonds de Marconi aux États-Unis, dont Thomas Edison et Andrew Carnegie. Cela a également permis au gouvernement américain (entre autres) d'éviter de devoir payer les redevances réclamées par Nikola Tesla.

5. Contrôle à distance
Cette invention était un affleurement naturel de la radio. Le brevet n ° 613809 a été le premier modèle de bateau télécommandé, présenté en 1898. Il utilise plusieurs grandes batteries; des commutateurs commandés par des signaux radio, qui ont ensuite alimenté l'hélice, le gouvernail et les feux de circulation du bateau. Bien que cette technologie exacte n'ait pas été largement utilisée pendant un certain temps, nous pouvons maintenant voir le pouvoir qui a été approprié par l'armée dans sa poursuite de la guerre télécommandée . Les chars radiocommandés ont été introduits par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale, et les développements dans ce domaine se sont rapidement éloignés de la direction de la liberté humaine.

N'achetez plus jamais une autre batterie (Annonce)
6. Moteur électrique
L'invention du moteur électrique par Nikola Tesla a finalement été popularisée par une voiture brandissant son nom. Bien que les spécifications techniques dépassent la portée de ce résumé, il suffit de dire que l'invention par Tesla d'un moteur à champs magnétiques en rotation aurait pu libérer l'humanité beaucoup plus tôt de la mainmise de Big Oil. Cependant, son invention en 1930 a succombé à la crise économique et à la guerre mondiale qui a suivi. Néanmoins, cette invention a fondamentalement changé le paysage de ce que nous considérons maintenant comme acquis: les ventilateurs industriels, les appareils ménagers, les pompes à eau, les machines-outils, les outils électriques, les lecteurs de disques, les montres-bracelets électriques et les compresseurs.

7. Robotique
L'esprit scientifique trop développé de Nikola Tesla l'a conduit à l'idée que tous les êtres vivants sont simplement conduits par des impulsions externes. Il a déclaré: «J'ai, par chaque pensée et chaque acte de moi, démontré, et cela quotidiennement, à ma satisfaction absolue que je suis un automate doué de pouvoir de mouvement, qui répond simplement aux stimuli externes.» Ainsi, le concept de robot est né. Cependant, un élément humain est resté présent, Tesla affirmant que ces répliques humaines devraient avoir des limites - à savoir la croissance et la propagation. Néanmoins, Nikola Tesla a embrassé sans vergogne tout ce que l'intelligence pouvait produire. Ses visions pour un futur rempli de voitures intelligentes, de compagnons humains robotisés, et l'utilisation de capteurs, et les systèmes autonomes sont détaillés dans une entrée incontournable dans le Journal serbe de génie électrique, 2006 (PDF) .

8. Laser
L'invention du laser par Nikola Tesla peut être l'un des meilleurs exemples du bien et du mal liés ensemble dans l'esprit de l'homme. Les lasers ont transformé les applications chirurgicales d'une manière indéniablement bénéfique, et ils ont donné naissance à une grande partie de nos médias numériques actuels. Cependant, avec ce saut dans l'innovation, nous avons également traversé la terre de la science-fiction. Du système de défense laser «Star Wars» de Reagan à l'arsenal «non létal» Orwellien d'aujourd'hui, qui comprend des fusils laser et des «rayons de mort» à énergie dirigée, il existe un grand potentiel de développement dans les deux sens.

9 et 10. Communications sans fil et énergie libre illimitée
Ces deux sont inextricablement liés, car ils étaient la dernière goutte pour l'élite du pouvoir - à quoi sert l'énergie si elle ne peut pas être mesurée et contrôlée? Gratuit? Jamais. JP Morgan a soutenu Nikola Tesla avec 150 000 $ pour construire une tour qui utiliserait les fréquences naturelles de notre univers pour transmettre des données, y compris un large éventail d'informations communiquées à travers des images, des messages vocaux et du texte. Cela représentait les premières communications sans fil du monde, mais cela signifiait aussi que, outre le coût de la tour elle-même, l'univers était rempli d'énergie libre qui pouvait être utilisée pour former un réseau mondial reliant tous les gens dans tous les les gens à exploiter l'énergie libre autour d'eux. Essentiellement, les 0 et les 1 de l'univers sont intégrés dans le tissu de l'existence pour que chacun d'entre nous puisse y accéder au besoin. Nikola Tesla a été dédié à l'autonomisation de l'individu à recevoir et à transmettre ces données pratiquement gratuitement. Mais nous connaissons la fin de cette histoire. . . jusqu'à maintenant?

Nikola Tesla avait peut-être des milliers d'autres idées et inventions qui restent inédites. Un regard sur ses centaines de brevets montre un aperçu de la portée qu'il avait l'intention d'offrir. Si vous estimez que les recherches techniques et scientifiques supplémentaires de Nikola Tesla devraient être révélées au public pour examen et discussion, au lieu d'être réprimées par la grande industrie et même nos supposées institutions d'enseignement supérieur , rejoignez l'appel mondial pour dire aux courtiers de puissance partout que nous sommes prêts occuper l'énergie et apprendre ce que notre univers a vraiment à offrir.

La publication de la recherche scientifique et technique de Nikola Tesla - en particulier ses recherches sur l'exploitation de l'électricité de l'ionosphère dans une installation appelée Wardenclyffe - est une étape nécessaire vers une véritable liberté d'information. Veuillez ajouter votre voix en partageant cette information avec autant de personnes que possible.

Pour plus d'informations sur la demande de version ou pour l'utiliser comme modèle pour créer votre propre demande, rendez-vous sur: http://releaseteslasresearch.weebly.com/

Comme ils le disent:

Dites à vos amis, évoquez-le et discutez-en lors de votre prochaine assemblée générale, faites tout ce que vous pouvez pour faire passer le mot, organisez-vous localement pour défendre la publication de la recherche de Nikola Tesla ... L'Amérique est fatiguée de la cupidité corrompue des entreprises, soutenue par le gouvernement américain, qui nous retient dans une société stagnante au nom du profit. . . La crise énergétique est un mensonge.

En aparté: certains ont fait remarquer que l'expérimentation de Nikola Tesla sur l'ionosphère aurait pu provoquer l' explosion massive de Tunguska, en Sibérie, en 1908, qui aurait rasé 60 millions d'arbres sur 2 150 kilomètres carrés, et pourrait même avoir conduit à la technologie HAARP tant décriée. Je soutiens que nous ferions bien de nous rappeler que la technologie n'est jamais le véritable ennemi; c'est le mauvais usage de la technologie qui peut asservir plutôt que libérer l'humanité de son survivalisme au niveau animal.

21 octobre 2017

Les humains peuvent communiquer par télépathie pendant leur sommeil !

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 ce n'est pas un concept nouveau, car l'intérêt scientifique pour la télépathie remonte aux pères du mouvement psychanalytique. Freud, par exemple, a examiné les implications de la télépathie sur la pensée psychanalytique. Il a également considéré la télépathie de rêve, ou l'influence télépathique de la pensée sur le rêve, à plusieurs reprises. Carl Jung a cru à l'hypothèse télépathique sans poser de question, et a même développé un système théorique pour expliquer les événements «paranormaux» de cette nature.

Il semble que tous les grands esprits encouragent l'étude de divers types de phénomènes non physiques.

"Le jour où la science commencera à étudier les phénomènes non physiques, elle fera plus de progrès en une décennie que dans tous les siècles précédents de son existence."

- Nikola Tesla

Russel Targ, physicien et auteur, pionnier dans le développement des applications laser et laser, et co-fondateur de l'étude des capacités psychiques du Stanford Research Institute (SRI) dans les années 1970 et 1980, a récemment donné une conférence annulée par TED. Vous pouvez regarder cette conférence ICI.

Selon le Dr Stanley Krippner, professeur de psychologie à l'Université Saybrook en Californie:

Il existe une abondance de matériel anecdotique et clinique qui soutient la possibilité d'effets télépathiques se produisant dans les rêves (Krippner, 1974). Cependant, une approche expérimentale du sujet n'est devenue possible que lorsque la technologie de laboratoire psychophysiologique est devenue disponible. Il a été découvert que les participants à la recherche sur le sommeil éveillés par des périodes d'activité rapide du mouvement oculaire (REM) étaient souvent capables de se souvenir d'épisodes de rêves. En conséquence, il était possible de demander à un «récepteur télépathique» d'essayer de rêver d'un stimulus cible qui était focalisé sur un endroit éloigné d'un «expéditeur télépathique». ( Source )

Expériences et résultats

Au milieu des années 1960, Montague Ullman, MD, a commencé un certain nombre d'expériences au Centre Médical Maimonides à Brooklyn, New York, pour tester l'hypothèse que les gens pourraient être amenés à rêver de matériel choisi au hasard. En d'autres termes, ils pouvaient choisir ce dont ils rêvaient avant de s'endormir, et cela pouvait inclure n'importe quoi, des œuvres d'art aux films en passant par les photographies et plus encore. Peu de temps après le début de ces expériences, Ullman fut rejoint par Stanley Krippner (cité plus haut), un scientifique avec une expérience impressionnante en psychologie, en parapsychologie et en rêves.

Les expériences qu'ils ont menées ont duré plus de 10 ans et ont «donné des résultats statistiquement significatifs».

Pendant les expériences, il y avait habituellement un «expéditeur télépathique» et un «récepteur télépathique». Ils se sont rencontrés au laboratoire pendant une courte période de temps avant d'être placés dans des pièces complètement séparées juste avant de dormir. L'expéditeur télépathique avait une enveloppe qui les attendait dans la pièce où ils dormiraient. Il contiendrait quelque chose comme une image ou un dessin. Les récepteurs ont ensuite été éveillés délibérément peu de temps après le début du sommeil paradoxal (REM) afin que les chercheurs puissent faire un rapport de rêve.

 Une session très significative

Une session mémorable et significative d'expérimentation de télépathie de rêve a eu lieu, où l'œuvre d'art sélectionnée était "School of Dance" d'Edgar Degas, qui représente plusieurs jeunes femmes dans un cours de danse. Selon Krippner, les rapports de rêve des récepteurs comprenaient des phrases telles que «J'étais dans une classe composée peut-être d'une demi-douzaine de personnes, c'était comme une école» et «Il y avait une petite fille qui essayait de danser avec moi. "   Ces résultats sont fascinants, et l'idée que l'on puisse influencer les rêves d'autrui ouvre beaucoup de portes. Bien que nous ne comprenions pas le processus qui sous-tend le transfert de l'information, et nous ne pouvons pas voir ce transfert s'effectuer de l'esprit à l'esprit, nous en avons la preuve. Ceci est assez commun lorsque nous examinons des études scientifiques qui ont évalué les phénomènes parapsychologiques - nous savons ce qui se passe, mais pas comment .

Une autre session significative menée par Krippner et Ullman a eu lieu le 15 mars 1970. Lors de cette session, un grand groupe de personnes à un concert de rock de Holy Modal Rounders a été sélectionné pour envoyer quelque chose par télépathie. Un artiste des médias locaux du nom de Jean Millay était chargé de préparer les expéditeurs télépathiques pour la «préparation de la cible». Elle l'a fait avec l'aide de la Lidd Light Company, un groupe d'artistes responsables du spectacle de lumière. Millay donna au public un bref ensemble de directives avant que l'image ne soit projetée sur le grand écran que les télépathes regardaient. Six projecteurs de diapositives ont été utilisés pour projeter un film couleur sur les aigles et leurs habitudes de nidification, ainsi que des informations sur divers oiseaux du monde entier (y compris des oiseaux de la mythologie, comme le phénix). Tout cela s'est passé en même temps que les Saints Modal Rounders jouaient leur chanson "Si tu veux être un oiseau".

Il y avait cinq récepteurs télépathiques volontaires pour cette expérience, et ils étaient tous situés dans un rayon de 100 miles des expéditeurs télépathiques. Tous les récepteurs étaient au courant de l'emplacement du concert et on leur a dit d'enregistrer leurs images à minuit, parce que c'était à ce moment que le matériel leur serait envoyé.

Selon Krippner:

Un «récepteur télépathique», Helen Andrews, avait l'impression de «quelque chose de mythologique, comme un griffon ou un phénix». Les deuxième, troisième et quatrième participants ont rapporté des images de «serpent», de «raisin» et d '«embryon». en feu". Le cinquième participant était Richie Havens, le célèbre chanteur et artiste américain, qui a fermé les yeux à minuit et visualisé «un certain nombre de mouettes qui volent au-dessus de l'eau». Les rapports de M. Havens et de Mme Andrews représentaient des correspondances directes avec le matériel cible. ( source )

Des résultats plus remarquables ont été observés lorsque le groupe de rock Grateful Dead s'est également porté volontaire pour participer à une séance de télépathie de rêve sur une période de six nuits. Vous pouvez en lire plus à ce sujet (et d'autres résultats) ici . Ces résultats ont été publiés par l'American Psychological Association .

Ce sont généralement les instructions données aux sujets qui participent à ces expériences:

1. Vous êtes sur le point de participer à une expérience ESP.
2. Dans quelques secondes, vous verrez une image.
3. Essayez d'utiliser votre ESP pour "envoyer" cette image au récepteur.
4. Le récepteur va essayer de rêver de cette image. Essayez de "l'envoyer" à eux.
5. Ensuite, les destinataires seront mis au courant de l'emplacement de l'expéditeur.

Voici une grande interview avec le Dr Krippner et Jeffrey Mishlove, PhD, est l'auteur de Les racines de la conscience, Psi Development Systems et The PK Man. Entre 1986 et 2002, il a animé et coproduit la série télévisée publique Thinking Allowed originale.

Il décrit ici une série d'expériences qui ont duré dix ans durant son mandat en tant que directeur du Laboratoire de recherche sur les rêves du Centre médical Maimonides à Brooklyn, New York.

Explications possibles?

La physique quantique a mis en lumière la vaste interdépendance de tout dans l'univers. Une explication possible est l'intrication quantique. Par exemple, considérons deux électrons qui sont créés ensemble. Si vous en envoyez un de l'autre côté de l'univers, l'autre répondra instantanément, quelle que soit la distance qui les sépare. C'est une façon d'interpréter comment tout est vraiment connecté d'une manière ou d'une autre. Einstein l'a appelé «des actions effrayantes à distance». Pour une grande démonstration visuelle de ceci, cliquez ici .

Article CE connexe: Notre monde matériel physique n'est pas vraiment physique du tout

La vérité est que nous n'avons aucun moyen d'expliquer comment cela fonctionne. Les chercheurs impliqués ont seulement pu observer et enregistrer ce qui se passait, ce qui, encore une fois, est très commun pour le phénomène parapsychologique.

En même temps, ces expériences impliquent des rêves, un état complètement différent et altéré de «réalité» dont nous ne savons pas vraiment grand-chose. C'est un monde séparé (ou du moins, nous pensons être séparé) du monde dans lequel nous sommes "éveillés" (bien que, bien sûr, le monde que nous percevons quand nous sommes éveillés pourrait très bien être juste un rêve. sujet pour un autre article.)

Les phénomènes parapsychologiques ont été prouvés et documentés partout dans le monde

Les phénomènes parapsychologiques (PSI) ont été étudiés, documentés, observés et prouvés (encore et encore) par un certain nombre de scientifiques de renom dans des laboratoires du monde entier. Le ministère de la Défense s'intéresse énormément à ce sujet (et l'a étudié) depuis un certain nombre d'années, mais son étude scientifique est cachée au public et laissée à l'écart des universités et des sciences dominantes, ce qui n'est pas juste. Pas vrai. Ce n'est pas comme si cette information nous était inaccessible; certains de ces documents et ces publications sont disponibles dans le domaine public. CE les a couvert en profondeur, et le lien ci-dessous vous mènera à un article détaillé et bien documenté sur le sujet. Il y a d'autres exemples sur notre site Web, donc si cela suscite votre intérêt, n'hésitez pas à le parcourir et à en chercher d'autres!

Articles CE connexes:

Le document de la CIA confirme la réalité des humains ayant des capacités spéciales qui sont capables de faire des choses impossibles

Les scientifiques distingués se rassemblent pour souligner que la matière n'est pas la seule réalité

Sources autrement non liées dans l'article:

Source d'image

http://psycnet.apa.org/psycinfo/1986-13291-001

http://archpsyc.jamanetwork.com/article.aspx?articleid=489052

http://stanleykrippner.weebly.com/a-pilot-study-in-dream-telepathy-with-the-grateful-dead.html

http://www.neuroquantology.com/index.php/journal/article/view/385

http://connection.ebscohost.com/c/articles/59574068/dreams-telepathy-various-states-consciousness

https://www.google.ca/#q=Dreams%2C+Telepathy%2C+and+Divers+Etats+de+Conscience+Stanley+Krippner+et+Cheryl+Fracasso

21 octobre 2017

La machine à communiquer dans le temps de Nikola Telsa.

timetrap3bigLa machine à Appareillage scientifique fabriqué en 1910 et restauré une première fois pendant les années '30 et une seconde fois en 1995-6.
Comporte un clavier de communication, des capsules de cuivre/laiton, une valise réception, divers générateurs, piles et machines de Wimshurst. Divers documents, plans et une boîte scellée en 1910
Ce jour là, le Duc d'Ursel, commissaire Général de l'Exposition Universelle de Bruxelles recevait dans son bureau privé un des scientifiques les plus reconnu de son temps : Nikola Tesla.

Agé de 54 ans, Nikola Tesla n'est pas un inconnu ; il est même un des plus grand génie que l'histoire ait connu. D'origine serbe, né en 1856, il a travaillé pour Thomas Edison avant d'émigrer aux U.S.A. Inventeur du courant alternatif, de la radio, des robots télécommandés qu'il fit fonctionner à Madison Square Garden, de la transmission d'énergie par les airs, de la turbine Tesla et de milliers d'autres brevets. Tesla a illuminé la Colombian exposition en 1893 à Chicago. Il a également transformé les chutes du Niagara en gigantesque générateur de courant alternatif. Raflant un fabuleux contrat à Edison lui-même. Un de ses meilleurs amis, Samuel Clemens (Mark Twain), a publié en 1889 une nouvelle, la première, sur le thème du voyage dans le temps : " A yankee at the court of king Arthur. " ( Il est intéressant de noter que dans ce roman, c'est la foudre, donc l'électricité, qui projette le voyageur à la cour du roi Arthur.)
Et, après avoir assisté à une de ses conférence en Angleterre, un jeune homme du nom de Herbert Georges Wells s'est précipité chez lui pour écrire un roman qui deviendra célèbre : " The Time Machine ". Nikola Tesla, l'homme électricité, aurait donc tout pour être heureux si ce n'est qu'une chose le tracasse. En 1909, le prix Nobel fut accordé au savant d'origine italienne Marconi, pour avoir inventé la radio télégraphie.

Et Nikola Tesla sait que Marconi lui a volé son invention (fait qui sera d'ailleurs reconnu en 1943 par la justice américaine). C'est une des raisons pour laquelle Tesla dépose de moins en moins de brevets de manière officielle.

Aussi, c'est avec une certaine rancœur et un désir de revanche que le Serbe vient présenter à l'Exposition Universelle de Bruxelles une invention unique : La machine à communiquer dans le temps. 1910 est également l'année de la mort de son ami Mark Twain, ce serait une excellente occasion de lui rendre un fabuleux hommage.

Le Duc d'Ursel, qui sait que Marconi a été invité à donner un exposé sur la télégraphie sans fil au cours du mois de septembre, ne peut décemment refuser à Nikola Tesla de présenter une invention de ce calibre. Même si la situation peut devenir conflictuelle. ( Et puis, Tesla est l'ami du roi Albert I qui vient de succéder à Léopold II. Lorsqu'il n'était que prince, Albert fut fasciné par une démonstration que lui fit Tesla dans son laboratoire américain, et l'a maintes fois invité en Belgique .)

D'autant qu'il comprend très vite les phénoménales possibilités de la machine et de la fortune que peut faire le détenteur de l'engin... Aussi, il offre à Tesla de tester la machine en présence d'un nombre limité de témoins.
mode-emploibig
Il propose donc la date du dimanche 14 août 1910 vers 20.00 heures ; dans le bureau du commissariat général de l'exposition. Ce bureau se trouve juste à côté de la section électricité dans la section belge.

Cette expérience se fera en présence d'un savant belge de haut niveau, le Professeur François de Walque. Ingénieur civil des mines, ingénieurs des arts et manufactures, professeur à l'université de Liège puis de Louvain, collaborateur à la société scientifique de Bruxelles, collaborateur honoraire du Surnatéum, actionnaire de l'exposition universelle. D'une haute intelligence et d'une probité à toute épreuve, ce savant sera le juge idéal et impartial de l'expérience. Et si celle ci s'avère être positive, Nikola Tesla se verra offrir une place de conférencier au Congrès International de la mi-septembre. Le duc d'Ursel ne pouvant être présent ce jour là, déléguera son cousin, le Comte d'Ursel comme témoin. Un journaliste et une secrétaire compléteront le groupe.Bureau du Duc d'Ursel à l'Exposition, aux environs du 15 juillet 1910

Lorsque Nikola Tesla présenta son projet au duc d'Ursel et au professeur de Walque, il s'attendait à rencontrer une certaine incompréhension. Aussi avait-il prévu une démonstration fort sommaire mais impressionnante. Il emprunta une boite d'allumettes aux témoins et en retira quelques-unes unes. Il demanda ensuite au professeur d'en briser ou d'en faire brûler 3 ou 4. Le prototype de taille réduite, qu'il déposa sur le bureau du duc, pouvait envoyer un petit objet 10 minutes dans son propre passé et lui redonner la forme qui était la sienne à ce moment. Le professeur de Walque examina soigneusement la petite machine, puis introduisit les allumettes brûlées dans la capsule temporelle et ferma cette dernière hermétiquement. Tesla mis l'appareil en marche. En dehors d'un picotement léger, le témoin qui assistait à l'expérience ne ressentit rien.

Mais quand il ouvrit le tube, les allumettes étaient à nouveau intactes.
'voir l'illusioniste superbe film ou l'on voit l'invention de nicolas tesla en pleine action.
.Le temporisoscope. Bureau du Duc d'Ursel à l'exposition ; le 14 août 1910
tesla2
Tesla qui parle couramment plusieurs langues, dont le français, a appelé son appareil le temporisoscope, c'est du moins ce que nous pensons, probablement pour faire plaisir à son ami français d'Arsonval, qui ne doit pas être totalement étranger à l'invention.

Les découvertes de Planck en 1900 et d'Einstein en 1905 - 1906 permettent à Nikola Tesla d'imaginer la théorie qui suit. Si l'on rend porteuse d'une information une onde qui se déplace plus vite que la lumière (que nous nommons actuellement un tachyon), cette information voyagera dans le temps. A condition de disposer du récepteur adéquat on pourra donc recevoir un message du futur ou du passé. Aucun déplacement ou communication temporel ne pourra se faire avant la première date de mise en fonction de la machine. Hélas !

Depuis 1910 ils savent  que la vitesse de la lumière n'est pas une limite je vous laisse imaginer l'avance technologique militaire par rapport au civil  1 siècle entre 1910 et 2011 et la découverte du CERN soit disant nouvelle....

Cette théorie fut ré-énoncée sous le nom "d'antitéléphone tachyonique" par le professeur Benford et deux collègues de l'université d'Irvine. La machine combine différents champs magnétiques pour ouvrir une brèche dans le temps. (En fait, un trou noir de dimension réduite. La création d'énergie négative à partir du vide va empêcher le trou noir de s'effondrer sur lui-même.) Les capsules temporelles sont des cylindres en laiton, ce qui semble confirmer la théorie contemporaine de Michio Kaku (Hyperspace : Michio Kaku ; Anchor books) qui dit que la forme idéale d'une machine à remonter le temps serait un cylindre.

Cette théorie unifiant la mécanique quantique et la théorie de la relativité est étudiée actuellement par Stephen Hawkings. (Nikola Tesla affirmera d'ailleurs qu'Albert Einstein se trompe en partie dans ses théories, et que la vitesse de la lumière n'est pas une limite infranchissable.) En février 1994, deux chercheurs de l'université de Yale ont réalisé la création d'énergie négative sans compensation positive (positrons), en tirant celle-ci du vide. Ce qui rend le voyage dans le temps possible matériellement. (Cette énergie permet d'empêcher l'effondrement du trou noir, et maintient ouverte la porte de passage d'une époque à l'autre. Principe de Casimir, énoncé en 1940.) Notre temporisoscope utilise un principe similaire... mais il fut conçu en 1910.

En 1906, le professeur Korn envoya également la première photo par radio. Le temporisoscope allait-il être la prochaine étape ?

Le protocole établi par le professeur de Walque proposait d'envoyer à cinq ans de là (en 1915) un code qu'il aurait choisi ainsi que deux ou trois petites choses inconnues en 1910.

Après sa mise en fonction en 1910, ce qui fut sauvé dela machine fut soigneusement enfermé dans une caisse scellée et confié au professeur de Walque. Avec pour instruction de ne pas y toucher avant le 14 août 1915. Hélas, ils n'avaient à l'époque pas pu prévoir que la première guerre mondiale empêcherait l'expérience d'avoir lieu. Et qu'une partie de la machine serait détruite durant l'expérience, pour être partiellement reconstruite au début des années 30.
Pour résoudre les problèmes d'espace-temps, le temporisoscope communique avec lui-même ; il est à la fois émetteur et récepteur.
time8big
Lorsqu'ils mirent en marche l'appareil, quelle ne fut pas leur surprise de recevoir un message de 1997, avec mes coordonnées. Malheureusement, l'état dans lequel ils reçurent le message n'était pas suffisant pour confirmer, de manière absolue, le fonctionnement du temporisoscope. Aussi, le professeur de Walque pris la décision de me la faire parvenir par son futur descendant provoquant les troubles dont je souffre dans le présent. Liés à une modification du passé, dont je suis la première victime. (Il semblerait d'ailleurs que Tesla souffrait de troubles similaires.)


La deuxieme équipe : le 14 août 1997. Rapport d'expérience.


Si nous sommes réunis ici ce soir dans le laboratoire du Surnatéum, c'est parce que nous allons tenter de contacter l'équipe de 1910. Nous avons beaucoup hésité avant d'entreprendre cette expérience car elle n'est pas exempte de danger. Outre les paradoxes classiques liés au voyage temporel , et la science-fiction en est truffé, il nous a semblé que nous risquons de modifier la texture de notre passé, ou de sauter dans une autre dimension de l'Histoire. Mais au fond, si on pouvait prévenir l'humanité du danger que représentent des malades comme Hitler ou Staline, nous pourrions peut-être améliorer les choses durant ce siècle passé.
Nous sommes certainement un peu naïfs, ou il est plus probable que nous ne faisons que chercher un prétexte pour jouer à l'apprenti-sorcier ; je penche plutôt pour la deuxième option.
Après tout, si j'ai reçu cet engin, c'est que d'une manière ou d'une autre je l'ai remis en marche ; alors allons-y !

Dans ce journal de l'Exposition Universelle de 1910, daté du 20 août, nous avons comme page centrale un plan de l'Exposition, ce qui nous permettra de situer l'endroit où a eu lieu l'expérience. Rien n'y est dit au sujet de la réussite ou de l'échec de notre expérience.
Nous allons devoir suivre ce protocole établi par l'équipe de 1910.
Communiquer avec des gens disparus depuis longtemps est une expérience étrange... Mais pour eux nous ne sommes pas encore nés ; et après tout ils s'attendent à communiquer avec eux-même. Nous savons qu'ils vont être surpris.

Les appareils sont correctement branchés les uns aux autres, et tout est en parfait état de fonctionnement. Sauf la valise de réception qui montre quelques signes d'hésitation. C'est elle qui doit accueillir le "puits de lumière ", sortie du micro trou noir que nous allons créer.
Sont présents : Outre moi-même, il y a Benoit Drager, notre technicien qui a restauré l'appareil, Antoine Salembier, le mathématicien de l'équipe, mon assistant Nicolas Stevens. et un observateur externe indépendant.
Une dizaine d'invités, dont un historien spécialisé dans l'histoire des Expositions Universelles assistent, à une certaine distance, à l'expérience.
L'expérience est bien entendu classée "Top Secret ".Rapport d'expérience (suite) : le 15 août 1997

Maintenant que cela a été fait, et que nous avons survécu, je vais tenter de résumer notre tentative.

Nous avons commencé par brancher les divers appareils contenus dans la malle après les avoir testés.

Le protocole exigeait que nous transmettions d'abord mes coordonnées, la manière, la date et le lieu d'acquisition et enfin la date et le lieu de sa mise en fonction ainsi que deux événements historiques se passant en 1912 (soit deux ans après l'expérience).

Nous avons signalé le naufrage du Titanic qui aura lieu le 14 Avr. 1912 et le fait que le 14 Oct. 1912 Schranke tirera sur le président Roosevelt.
Nous leur avons également suggéré de supprimer un certain Adolf Hitler. Ils ne savent pas encore qui il est, mais on peut toujours essayer.

Au moment ou nous émettions le document, celui ci se modifia en passant au travers de l'appareil. Et nous pûmes lire instantanément la réponse de l'équipe de 1910.
C'est là que j'appris que dans un passé que nous appellerons 'Temps UN', j'ai acquis la machine en très mauvais état, et je l'ai restaurée ; mais le premier essai de transmission fut si mauvais qu'ils décidèrent de me faire parvenir l'engin par la descendance du professeur de Walque. Cette modification de mon propre passé, nous a fait rentrer dans un " Temps DEUX ". Provoquant cette impression de dédoublement, et ces curieuses visions et prémonitions qui apparurent à la réception de l'appareil.
Curieusement, m. de Walque ne ressentait rien. Cela est probablement dû au fait qu'il vit à proximité de l'appareil depuis sa naissance.

Le protocole exigeait ensuite confirmation de leur part qu'il ne s'agissait pas d'un canular.

Ils nous ont donc envoyé un objet unique de 1910 qu'il aurait été impossible de dupliquer de nos jours.

Apparu alors dans un éclair (sorte de puits de lumière), l'abonnement à l'exposition universelle du Comte d'Ursel, témoin 1910 de l'expérience. (Nous l'avons fait expertiser, elle est authentique.)

Dans le même temps, nous avons nous aussi envoyé deux objets : l'huissier a emprunté un billet de banque neuf de 200Fb dont nous avons relevé le numéro et une boucle d'oreille en plastique (le métal voyage mal dans le temps).

Ces deux preuves physiques se sont désintégrées et brusquement la machine a explosé.

Lorsque la fumée s'est dissipée le contenu d'un journal sur l'Exposition datant du 20 août 1910 avait changé. Nous l'avions utilisé pour montrer le plan de l'Exposition.
incendie exposition bruxelles 1910 tesla
Il expliquait maintenant que l'Exposition Universelle avait été détruite le 14 août 1910 au soir, par un mystérieux incendie qui avait ravagé le bureau du commissaire général, la section électricité, la section belge la section anglaise, et toute la kermesse. La ménagerie Boskop avait vu tous ces animaux périr, mais heureusement aucune perte humaine n'était à déplorer. Une fois de plus, notre passé s'était modifié. L'Histoire aussi.

Qu'avions nous fait ?

Conclusion

Il restait une petite chose que nous ne pouvions accomplir qu'à la fin de l'expérience. Il se trouvait dans le coffre et parmi les objets reçus, une boîte en fer scellée qui ne devait être ouverte sous aucun prétexte avant la fin de l'expérience sous peine de courir de graves dangers ! Quand l'huissier la descella, il constata que cette boîte contenait le billet emprunté et la perle de plastique, vieillis de près de 90 ans.

A ce moment la partie de la machine qui n'avait pas été endommagée par l'explosion se remis à fonctionner. Et un curieux message venu d'un autre temps et d'un autre lieu apparut :
Le Titanic a bien coulé ; mais Pierpont-Morgan, son propriétaire, a refusé de monter à bord au dernier moment. Ce qui est incompréhensible lors d'un voyage inaugural. Il était un ami de Nikola Tesla et son employeur... Néanmoins, il n'en profitera pas longtemps car il mourut l'année suivante ; la faucheuse avait rattrapé sa proie.

Schranke a bien tiré sur Roosevelt, mais l'a raté. Les services de protection du président avaient-ils été prévenus ?

Tesla fit pas mal de commerce avec la Belgique, il y fut payé 10 000 dollars pour les droits d'exploitation de sa turbine Tesla .

Hitler a survécu à de nombreux attentats, mais rien ne prouve que quoique ce soit de son histoire ait changé.

Un historien qui assistait à l'expérience à une distance de plus de 10 mètres, nous confirma que l'Exposition Universelle avait bien été détruite par le feu le 14 août 1910, et qu'il en avait toujours été ainsi. Seuls ceux se trouvant dans un cercle de moins de 10 mètres de rayon par rapport au centre de l'appareil conservent deux mémoires. Celle d'avant et celle d'après l'expérience

Comme l'Histoire s'est modifiée, nous nous trouvons dans l'impossibilité de démontrer qu'elle était autre avant.
Mais l'appareil fonctionne encore partiellement.

communiquer dans le temps de Nikola Telsa.

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5 août 2017

Le secret final de l'énergie libre

CouvertureSecretFinal

 

THE FINAL SECRET OF FREE ENERGY

© 1993 T. E. Bearden

Version française - version dubbed into french
Traduction: Alfred Smile
A.D.A.S.
P.O. Box 1472
Huntsville, AL 35807
9 Février 1993 (Révisé le 23 Mars 1993)

 

Partie I

 

Avant-propos (*)

Ce document contient concrètement le secret pour libérer l'énergie du vide simplement, utilisant un nombre varié de source de potentiel (batterie, générateur électrostatique, etc..). L'objectif est de réaliser des appareils à énergie du vide pour le débutant. J'ai découvert le 'principe clé' en une trentaine d’années.

J'ai établit des définitions claires et précises afin de comprendre clairement le procédé. Ce document contient donc les points essentiels établis pour comprendre l'extraction de l'énergie du vide.

L'électromagnétisme est une discipline faussement fondée et incomplète. Par exemple la définition de l'énergie est fausse. Laissez-moi vous énumérer quelques-unes de ces anomalies rencontrées dans le modèle l'électromagnétisme classique comme suit:

-la définition de la charge et du potentiel ne sont pas définies .Les algorithmes pour calculer une amplitude sont bafouées. L'électromagnétisme fait encore usage des champs de force comme causes de tous les phénomènes EM. Il est dit depuis 1959 que les forces sont des effets et non des causes, que les champs de forces EM existent seulement à travers la particule de masse, chargée dans le système physique et que le potentiel est la première cause dans un phénomène EM. La masse et la force n'ont aucunes définitions adéquates, exactes et réelles en électromagnétisme. L'amplitude d'une charge électrique sur un électron n'est pas quantifiable. Elle est plutôt implicite étant une fonction de l'amplitude du flux de photons virtuel échangé entre le vide et la particule chargée. Quand la particule chargée est placée dans un potentiel diffèrent de l’actuel, alors l'amplitude du flux de photons virtuel et enfin l'amplitude de la charge électrique sur l'électron est altérée. La mécanique quantique n'a plus rien à démontrer quand à l'existence d'un éther. Le fait que les champs de forces EM et d'ondes existent dans l'éther est complètement faux.

Seuls, les potentiels et gradients de potentiels existent dans le vide. Les ondes EM dans le vide ne sont pas des champs de forces d'ondes tel qu'il est encore enseigné. A la place des ondes EM il y a oscillation de potentiels et gradients de potentiels. Les potentiels sont caractérisés par la présence d'une structure interne faite par une paire d'onde EM bidirectionnel où les paires d'ondes EM sont en blocage de phase dans une série 
d’harmoniques. Dans une paire d'onde photons et anti-photons sont constamment en couplage et découplage (gravitons à deux spin).C'est ainsi que gravitation et électromagnétisme sont maintenant unifiés

Aucun livre papier ou document ne fait référence aux équations de James Clark Maxwell .Les théorie de Maxwell et ses équations ont été rédigé en quaternion, les quels sont un système mathématique complet .L'électromagnétisme est une discipline échouée qui ne demande que ce qu'on la refasse. Jusque là le modèle présent bloque l'énergie libre, l'antigravité, une physique des champs unifiés, et une théorie unifiée de l'interaction esprit-matière.

Quelques définitions

  • Le vide quantique mécanique : Il se compose d'un intense flux de particules virtuelles (VPF).
  • Énergie et potentiel : L'énergie est synonyme de potentiel et vice versa .Elle est désordonnée statique ou dynamique.
  • Potentiel scalaire : Il est désordonné / dynamique dans le VPF du vide.
  • Potentiel vecteur : Il est désordonné / statique dans le VPF du vide.

 

Structure interne du potentiel scalaire

Structure d'un potentiel scalaire

Le potentiel prend l'aspect d'un flux de particules composé de deux ondes superposées dans l'espace mais inversées dans le temps (une onde [onde+anti-onde] ou [photon+anti-photon] :

StPotScal

 

Un potentiel de l'autre coté de l'univers

Donc nous avons un parfait flux intérieur de particules virtuel (VPF), développé dans le potentiel scalaire électrostatique. Nous avons aussi une disposition ordonnée parfaite développée dans ce potentiel. Quand nous rassemblons un simple ensemble de charge sur une balle ou une petite région de celle-ci, le potentiel scalaire EM de cette charge provient à travers l'univers. En cela nous avons une série d'harmoniques infinies d'ondes EM en phase dans le temps et l'espace s'en allant de la charge vers tout point distant de l'univers entier. Et nous avons une série d'harmoniques infinies d'ondes EM en phase « bloqué » dans l'espace et en phase inversé dans le temps, venant de tout point de l'univers qui revient à la source constituée des charges collectées.

 

Un potentiel est une rivière d'énergie

Le point est que vous avez dévoilé la présence d'une rivière cachée, possible grâce à deux chemins d'énergie entre cette collection de charges et tous les autres points dans l'univers. Il y a une énergie infinie dans chacune de ces ondes et anti-ondes développées. Mais dans une région localisée, la densité d'énergie dans chaque onde est finie. Aucun champ de force n’existe dans le vide, juste des gradients de potentiel.

Le potentiel d'ondes scalaire est en faite un potentiel d'ondes scalaire longitudinal. Les ondes EM dans le vide sont des ondes EG (électro-gravitationnel).

L'énergie interne est illimitée, infinie

Un potentiel statique qui est pareil à un excès d'énergie – est de façon interne – dynamique infini et illimité. Puisque l'énergie interagit localement avec la matière nous parlerons de densité d'énergie local (joules / Coulomb).

Un principe d'une grande importance

La seule façon que vous pouvez d'avoir un gros morceau ou un montant fini d'énergie pour être dissipé dans un circuit comme travail est d'avoir avant tout un potentiel de densité d'énergie local interagissant avec un collecteur local de masse fini. L'interaction normale de masse du collecteur local se fait par les électrons libres du circuit.

Tension, force, gradients de potentiel, charges et travail

Maintenant, intéressons-nous aux aspects des circuits. La tension est essentiellement définie comme étant une chute de potentiel. C'est la dissipation (de façon désordonnée) d'un montant fini de gradients de potentiel. Mais la seul façon d'obtenir un montant fini de gradients de potentiel (énergie) est d'abord en faisant interagir le gradient de potentiel interne /fini et de densité d'énergie en excès avec un collecteur de masse fini. Soit:

[Joules / Coulomb disponible pour être collectés]x[ Coulombs déjà collectés] = excès de Joules déjà collectés avec l'interaction des coulombs, disponible pour la dissipation. Donc la tension est réellement la dissipation d'une collection finie de gradients de potentiel d'énergie EM en excès. La dissipation de potentiel ou gradients de potentiel n'existe pas. Vous ne pouvez donc pas définir l'énergie (=potentiel) comme étant de la propre dissipation.

Nous capturons un gradient de potentiel à l'aide de quelques masses chargées - localement – habituellement des électrons libres sous la forme de gaz d'électrons libres – dans notre circuit. Nous exprimons la densité d'énergie finie d'un gradient de potentiel (avant collection sur les charges), dans la région local (Joules / Coulomb).Le dit-gradient de potentiel est un changement vers le potentiel ambiant ,et donc , il contient un excès de densité d'énergie (l'amplitude peut-être soit positive soit négative).Puis nous recueillons ce potentiel (densité de potentiel) sur un certain nombre de Coulomb, plaçant de minuscules petits gradients de potentiel à travers chaque électrons libres (couplage). Sur chaque particule ayant fait la collection d'un petit gradient, il y a une minuscule force F (s’écrit F°(ma) ,avec (ma) indivisible et inséparable).

Donc ce petit électron potentialisé se déplace tout seul dans le circuit. Dans la charge le petit électron subit secousses et accélérations, d’où radiation d'énergie. L'électron potentialisé s'est débarrassé du gradient réduisant la force à zéro.

 

Collection et dissipation de l'énergie

Nous considérons la densité d'énergie locale de potentiel scalaire en termes de Joules par seconde. C'est à dire dans une sphère spécifique de charge, le montant d'énergie collecté depuis un gradient de potentiel sur le nombre fini de charges collectant cette énergie est égale au nombre de Joules d'énergie par Coulomb multiplié par le nombre de Coulomb recevant le gradient de potentiel. Dissipation: Les Coulombs activés multipliés par l'excès d'énergie collecté par Coulomb activé donne le montant d'énergie dissipé dans la charge (travail effectué).

Nous définissons la collection comme la connexion du gradient de potentiel (une source) vers la masse chargé dans un élément du circuit (le collecteur), où un délai de temps fini pour potentialiser les électrons libres ne permet pas encore le déplacement comme du courant. Dans le collecteur pendant ce délai les électrons piégés sont activés par un gradient de potentiel en couplage avec ces derniers.

Techniquement le temps de délai dans le collecteur est appelé temps de relaxation, dans le cas de gaz d'électron libre (dans un fil ou un élément de circuit).

Pendant ce temps de relaxation les électrons potentialisés sont piégés, sans mouvements comme pour le courant .Chaque capture d'un nouvel électron libre entraine un petit gradient supplémentaire, mais aucun courant ne circule encore. Autrement dit, pendant le temps de relaxation fini, le potentiel est extrait depuis la source et ceci sans circulation de courant. Durant ce temps de relaxation, seul un courant de VPF est extrait de la source et y est réinjecté en continue par les échanges violents du VPF du vide avec les charges bipolaires de la source. Aucune énergie n'est consommée par et dans la source durant ce temps de relaxation mais il y est extrait des densités d'énergie libre. Cette densité d'énergie libre en couplage avec une quantité finie d'électrons nous donne un montant d'énergie collecté fini. Dans ce contexte, laissons l'opération se répéter pour donner une forme utilisable d'énergie libre.

 

Le gaz d'électrons

Une approche de type mécanique classique est nécessaire bien que se soit les lois de la mécanique quantique qui régissent le processus.

Quand un circuit est connecté à une source de gradient de potentiel (batterie), la première chose qui se passe immédiatement est que le gradient de potentiel s'emballe sur le fil relié le parcourant à la vitesse de la lumière.

Sur la surface du fil conducteur le gradient d'énergie se couple aux électrons libres dans le gaz d'électrons libres. Cependant à l'intérieur du fil ces électrons peuvent fortement résister, l'essentiel du déplacement du courant se fait donc à la surface du conducteur et se phénomène s'appelle effet de peau.

 

Force, gradients de potentiel couplé et translation d'électrons

Électrons couplés a un gradient de potentiel le tout en mouvement

Quand l'électron est activé par un gradient de potentiel couplé, il se déplace de lui même jusqu'à ce qu'il perde de son activation ou gradient de potentiel couplé.

Le champ de force EM est connu pour ses effets existant seulement dans et sur la particule chargée et n'existant pas séparément mais aussi n'existant pas dans le vide. Dans ce cas nous avons clairement indiqué que le gradient de potentiel du vide fourni le potentiel pour produire un champ électrique antiparallèle sur et dans une masse chargée par couplage. Un électron potentialisé se déplace uniquement grâce à une force. L'électron potentialisé accélère constamment. Cependant il est maintenu dans un état qui l'empêche de parcourir le fil directement.

L'électron doit sortir de l'intérieur du fil pour se poster à la surface de celui-ci pour être en mesure de se déplacer en tant que courant .Le collecteur est soit une bobine soit un condensateur le tout en matériau 
« spécial ». L'objectif est d'avoir un matériau qui a pour effet d'empêcher la circulation du courant et de maintenir les électrons (obtenu dans un gaz d'électrons libres), temporairement fixes – les électrons continuent de « battre » / « tournoyer » violemment à l'échelle microscopique, mais n'effectuent pas de translations à l'échelle macroscopique – pour un délai fini (temps de relaxation) – à la suite de quoi rassemblés tous ensemble à la surface ils sont préparés pour la circulation du courant. Pendant ce délai fini de temps de relaxation les électrons seront appelés NNTE (No Net Translation Electron). Durant ce délai de non courant les électrons deviennent potentialisés / activés par le gradient de potentiel « imprimé » à travers le collecteur.

 

Le secret de l'énergie libre

2 cycles / 2 circuits

(1) Nous connectons le collecteur à une source primaire de potentiel (batterie), pendant le cours instant où le courant ne circule pas – mais potentialise. C'est à dire pendant le délai du temps de relaxation nous permettons au flux de particules virtuelles (VPF) de circuler sur les électrons NNTE du collecteur pour les potentialiser et les activer – mais pas encore pour leurs permettre de circuler comme courant – mais seulement de les laisser se déplacer transversalement dans le fil du collecteur. Ceci est la capture d'un montant spécifique de gradient de potentiel à l'aide de la source (batterie) vers le collecteur. Nous avons gratuitement élevé la charge du collecteur qui fonctionne après quoi comme une source (batterie) secondaire.

(2) Le collecteur potentialisé est alors brusquement déconnecté de la source primaire (batterie), pour être branché sur un circuit fermé comportant une charge – et la source, la batterie, se trouve connectée à rien à ce moment là (sauf certainement à une densité d'énergie de gradient de potentiel du vide).Pour résumé ce qui a été ponctionné depuis la source est un gradient de potentiel seulement – sans circulation de courant.

Vous avez simplement multiplié la densité d'énergie locale de gradient de potentiel (appelé tension et qui est un excès de Joules/seconde), par le nombre de charges de Coulombs qui est activé dans le collecteur.

Aucun travail sur la charge de la source primaire (résistance interne de la batterie) n'a été permis - soit pas de circulation de courant d'électron n'a eu lieu dans le circuit [batterie-collecteur]. Nous n'avons pas permis cela.

A la place on s'est servi du collecteur activé comme une batterie temporaire secondaire. L'utilisation de cette 
« batterie » secondaire avec la charge se fait de façon tout à fait conventionnel. L'énergie EM capturée sera dissipée et la « batterie secondaire » ne sera plus potentialisée / activée.

 

Le circuit standard pour l'extraction d'énergie

Le circuit conventionnel

Le potentiel « source » bipolaire est connecté en circuit fermé avec la charge. Ceci connecte la résistance interne de la batterie et celle de la charge en série. Les électrons traversent la charge externe du circuit à travers la résistance interne de la batterie, du pôle – au pôle +. La dissipation d'énergie dans la résistance interne de la batterie est du travail qui dérange « la chimie » de la batterie qui s'efforce de maintenir la séparation des charges. De cette manière la séparation des charges de la source (qui est le seul accès au gradient de potentiel d'énergie), est en train de disparaître par la circulation du courant et la batterie qui à son tour se voit détruire le gradient de potentiel.

 

L'énergie de la charge externe est gratuite aux prix de l'énergie de la source

Ici est le secret de l'énergie libre électrique. L'énergie fournissant du travail à la charge est gratuite. La seule énergie qui coûte est celle utilisée à l'intérieur de la source par la résistance interne …
(Les compagnies d'électricité nous roulent dans la farine au sujet du gâchis d'énergie fait par nos appareils)

 

Toute énergie est gratuite

Pas un seul watt d'énergie peut ne pas provenir, en aucune manière, du vide !

 

Dissipation de l'énergie collectée

Le cycle de travail

Le gradient de potentiel est transféré dans le circuit de charge à travers la circulation des électrons lors de la connexion du collecteur potentialisé au circuit de charge. L'électron ne se soucie pas si la batterie est reliée ou non, il est son propre moteur de bateau avec sa propre petite machine de conduction. Lors du passage dans la charge les électrons éjectent leurs petits gradients de potentiel. Quand tous les électrons potentialisés ont irradiés dans la charge, ils ne sont plus alors potentialisés.

Notes de ce que l'on a fait

Nous avons pris quelques densités d'énergie EM capturées c'est à dire un gros morceau de gradient de potentiel, depuis la source puis nous l'avons connecté au collecteur. Sur un collecteur le gradient de potentiel est couplé, potentialisé et activé à ses électrons NNTE. Donc le collecteur à recueilli un montant fini d'excès d'énergie de Joules par Coulomb le tout multiplié par le nombre de coulomb capturés sur ses électrons libres devenus maintenant excité, activés. Désormais nous basculons le collecteur potentialisé à la charge. Rapidement le temps de relaxation dans le collecteur expire. Les électrons potentialisés dans le collecteur sont libérés pour se déplacer dans la charge externe du circuit. L'éparpillement, les chocs, les collisions, les accélérations irrégulières dans la charge éliminent le gradient de potentiel sur les électrons de conduction avec rayonnement EM soit rayonnement de chaleur. En se débarrassant des photons, les électrons perdent leur petit gradient de potentiel et aussi leur activation (excès d'énergie EM).

 

Qu'est-ce que l'énergie dans un circuit électrique

Énergie dans un circuit électrique

Il est un principe limpide.
L'énergie dans un circuit électrique implique seulement la potentialisation et la dépotentialisation des électrons porteurs dans ce circuit. Les circuits électriques utilisent simplement les électrons comme porteur de gradient de potentiel circulant depuis la source vers la charge. La secousse-accélération des électrons-activés dans la charge cause la perte du gradient de potentiel dans l'espace environnant sous forme de chaleur appelé aussi rayonnement EM.

Suite des opérations

Une fois le cycle II terminé nous reconnectons le collecteur à la source (cycle I) pour recommencer à nouveau la collection de gradients de potentiel d'énergie. Alors nous basculons à nouveau le collecteur une fois potentialisé sur le circuit externe de charge (cycle II) suite à quoi les électrons libre potentialisés vont pouvoir perdre leur gradient de potentiel au travers de la charge par rayonnement EM (chaleur).Nous pouvons se faire succéder le cycle I et II autant de fois que nous le souhaitons. Si vous permettez au courant de circuler lors du cycle I, vous réduisez alors la séparation de charge à l'intérieur de la batterie qui s'efforce de fournir le potentiel de la source.

Tout gradient de potentiel (excès de densité d'énergie piégé), est libre d'accès

Le potentiel est dû à l'échange violent de VPF entre le vide et les charges bipolaires séparés fournissant le gradient de potentiel de la source. L'énergie de l'univers entier est en circulation à travers le potentiel de la source. Vous pouvez avoir toute l'énergie piégée que vous souhaitez depuis la source.

Les règles du fer

Si vous établissez un courant, vous détruisez la barrière de bipolarité fournissant le gradient de potentiel (densité d'énergie de la source). Dans ce cas la source est en cours de destruction. Si vous n'établissez pas de courant vous ne détruisez pas la barrière de bipolarité et la source reste intacte. Dans ce cas vous pouvez continuez d'utiliser la source et d'extraire de l'énergie EM piégé à jamais.

 

Encore des définitions

Énergie : Elle est désordonnée et repose sur le VPF.

Énergie EM : Elle est désordonnée et repose sur le flux de photons virtuels du vide.

Énergie statique : Elle est un modèle ordonné, stationnaire avec respect d'un observateur externe.

Énergie dynamique : Elle est un modèle ordonné, non stationnaire avec respect d'un observateur externe.

Potentiel : Il est un modèle désordonné et qui repose sur le flux de particules virtuelles (VPF) du vide.

Potentiel scalaire : Il est un modèle ordonné et qui ne se déplace pas avec respect d'un observateur externe.

Potentiel vecteur : Il est un modèle ordonné qui est en mouvement avec respect d'un observateur externe.

Potentiel scalaire EM : Il est dynamique et repose sur le VPF du vide avec respect d'un observateur externe.

Encore une fois Énergie et Potentiel ont la même définition. Le potentiel est en fait de l'énergie piégée.

 

Le concept double de la Tension

Avant-propos

Le Voltmètre influence la mesure prise (à travers sa résistance interne de mesure) et rigoureusement les valeurs deviennent erronées.

On ne peut de toute évidence mesurer l'énergie ou potentiel comme de la Tension.

Toutefois pour clarifier et améliorer la compréhension des circuits électriques à énergie libre nous aurons besoin d'équations (pseudo-équations) en corrélation avec les moyens de mesures et d’expérimentations actuelles. Bien que faisant du tord à la rigueur d'esprit du scientifique dans le domaine de l'énergie libre.

Les pseudo-équations

T  : trapped (piégé)

m : translated (en mouvement)

d : dissipate or dissipating (dissipé …)

K : energie

V = Volt = chute de potentiel ou potentiel dissipé = rayonnement EM dans la charge (chaleur) = travail effectué par la charge

f : potentiel scalaire électrostatique

coul : Coulombs

i = ampère = dissipation des Coulombs potentialisés par seconde pendant la circulation du courant = amps toujours en translation = Amps sont des Coulombs par unité de temps, seconde, qui sont en train de dissiper leur excitation.

[Il y a seulement amps (avec super conductivité exclut) quand il y a une chute de potentiel à travers une charge (les électrons potentialisés traversent la charge)].

n : nombre d'électrons par Coulomb = 6,3.10^18 électrons/coulomb. 

Df = VT

Travail : Kd = Vd x ampd x sec = watts x sec = puissance x temps = Vd x (could/sec) x sec

-->>Dans le switching nous switchons KT  vers Kd donc :

 KT ==> Kd

Mais :     VT  x coulT = KT

Ou    :     Énergie piégée par Coulomb piégé : [VT] = [KT] / [coulT]

              MONTANT D'ENERGIE PIEGEE A CHAQUE CYCLE : [KT] = [VT] x [coulT]

C'est donc ce à quoi nous souhaitons connaître : le montant d'énergie piégé que l'on peu transférer dépend du nombre d'électron piégé dans le gaz d'électron libre piégé dans le collecteur et du gradient de potentiel appliqué à ces Coulombs piégés pour les potentialiser.

 

Temps de relaxation et semi conducteurs

Temps de relaxation

Le temps que prend les électrons libres dans un conducteur pour atteindre la peau du conducteur (surface fil), après que le potentiel soit appliqué est, évidement, appelé le temps de relaxation. Durant ce temps les électrons libres dans le gaz sont piégés jusqu'au moment de la production de courant (dissipation du potentiel). Cependant, immédiatement après la fin du temps de relaxation, un courant apparaît et la dissipation de l'énergie piégée commence.

Dans le cuivre le temps de relaxation est incroyablement, rapide. C'est environs : 1,5.10^-19 sec. Bien que dans le quartz c'est environs 10 jours ! Donc tel que vous le voyez nous avons besoin d'être situé entre ces deux valeurs et donc nous aurons à mixer ou doper les matériaux. Nous devons avoir un temps de relaxation suffisamment long tel que nous pouvons collecter et  

basculer confortablement entre les cycles I et II. Mais aussi le temps de relaxation nécessaire doit être assez court pour permettre des décharges rapides dans la charge, dès que nous connectons ensemble la source primaire et le collecteur. Plutôt que du simple cuivre nous aurions besoin d'un matériau semi-conducteur dégénéré.

Matériau semi-conducteur dégénéré

Un matériau semi-conducteur est intermédiaire entre un bon conducteur et un isolant. C'est un matériau non-linéaire et dopé. Un matériau semi-conducteur est un matériau qui a toutes ses bandes d'énergie pleines et remplies d'électrons, et enfin qui semble être un conducteur. Avec un tel matériau dopé on peut augmenter le temps de relaxation.

Du bon fil de cuivre... sûrement pas !

Les inventeurs de circuit sur-unitaire obtiennent plus de puissance à la sortie qu'à l'entrée. Mais dès que l'un d'eux cherche à améliorer l'appareil sur-unitaire avec utilisation de composants et matériaux purs et de meilleure qualité... BOOM ! Il n'y a plus du tout de sur-unité. Explication : La plupart des inventeurs obtinrent des effets de succès (parfois irréguliers), lorsqu'ils se débattaient avec des matériaux oxydés, usés, et vieux. En fait moins bon est le matériau meilleur sera le résultat. Plus c'est contaminé et dopé mieux c'est !

Le moment où vous aurez décidé de construire un circuit avec du bon fil de cuivre connecté entre la batterie ou un autre type de source et la partie du circuit contenant le collecteur, vous pourrez dire au revoir à la sur-unité. Vous aurez perdu ça dans le cuivre après les premières 1,5.10^-19 secondes !

Pensez d'un bon conducteur réellement tel que le cuivre comme un matériau linéaire essentiellement. Linéaire signifie énergie conservatrice. La sur-unité peut seulement être obtenue avec un effet hautement non-linéaire. Donc votre conducteur doit être constitué de matériaux non-linéaires. En fait ils doivent être des matériaux de type semi-conducteur dégénéré. Pour le circuit le cuivre et le fil de cuivre doivent être dopés.

L'installation électrique (tout le circuit) doit être constituée d'un matériau semi-conducteur dégénéré (DSC). 
Les industriels peuvent fabriquer cela avec le temps de relaxation désiré.

C'est un tel câblage qui doit être utilisé pour relier la source au collecteur. Le collecteur lui aussi doit être de cette nature. Le collecteur est soit un condensateur soit une bobine.

A l'inverse du collecteur vers la charge on veut utiliser du bon conducteur, du fil de cuivre sera parfait.

Maintenant que cela est fini, l'affaire est dans le sac. Pour la fabrication du matériau DSC, il faudra simplement au préalable calculer un temps de relaxation adéquat pour être adapté et intégré aisément dans le circuit avec les composants qui agissent sur le « switching ». Exemple : pour une valeur de 1 ms on pourrait même utiliser des composants mécaniques, alors qu'avec des nanosecondes les composants seront plus chers peut-être...

Donc dans le collecteur vous calculez le nombre de coulombs piégés que vous avez. Mesurez la « tension 
piégé » (densité d'énergie de potentiel de courant gratuit par coulomb) que vous extrayez depuis la source lors du temps de relaxation après connexion au collecteur. Multiplié le nombre de coulombs piégés dans le collecteur par la tension piégée durant la phase de collection, et vous avez le montant d'énergie en Joules que vous recueillez gratuitement, sans payer pour ça, depuis la source pour un nombre souhaité de cycles.

 

Sources, collecteurs et puissance

Mesurez l'énergie du vide

Vous êtes en train de posséder l'excès d'énergie électrique directement depuis le vide, comme cité plus haut. Le vide va gracieusement reconstituer toute la « tension piégé » depuis la source primaire durant le temps de relaxation des électrons. (Nous ne somme pas obligés d'attendre que le temps de relaxation des électrons soit atteint pour basculer le collecteur sur la charge externe du circuit).

La source peut-être presque rien

Vous pouvez utiliser comme source un simple fil élevé pour se placer entre la Terre et l'Ionosphère avec
200-300V/m. Le fil doit être dopé...

Finalement vous devez ajuster la répétition des « switching » en les synchronisant avec le temps de décharge avec la charge comme suit : (le temps en série est Dt1+Dt2+Dt3+Dt4)

(1) : extraire l'énergie piégé (potentiel), depuis la source sur le collecteur pendant le temps Dt1,

(2) : Basculer le collecteur sur la charge pendant le temps Dt2,

(3) : Attendez la décharge du collecteur à travers la charge durant le temps Dt3,

(4) : Re basculez le collecteur vers la source pendant le temps Dt4.

Limité seulement par un seul modèle?

Évidement il existe des variantes, je vous ai juste donné les points essentiels de la réussite. On peut combiner plusieurs collecteurs, utiliser de la THT pour la source ou placer une batterie à la place de la charge, etc, …

 

 

Partie II

 

 

INFORMATIONS SUPPLEMETAIRES SUR

LE SECRET FINAL DE L'ENERGIE LIBRE

Mise à jour : 15 février 1994
© 1994 T. E. Bearden1994

Use of Step-Charged Capacitor as the Collector by Tom Bearden

 

 

Introduction

Suite à de nouvelles découvertes et de nouveaux brevets déposé, j'ai ainsi rédigé se document.

 

Sommaire de l'invention

Une méthode et un appareil pour l'extraction d'énergie d'onde EM bidirectionnel depuis le vide par le gradient de potentiel scalaire à travers les terminaux d'une source électrique, collectant l'excès d'énergie dans un collecteur sans entropie, puis de façon séparé déchargeant l'énergie collecté à travers la charge pour exécuter un travail, sans renvoyer le courant de la charge à travers la source primaire contre son gradient de potentiel. C'est à dire, contre sa bemf (back-emf). Retirer le courant de la charge interne de la source réduit substantiellement la production de travail à l'intérieur de la source pour ne pas dissiper sa bipolarité. Disant que le travail de dissipation interne étant bien connu pour être la cause d'épuisement de l'habilité de la source à continuer de fournir une emf vers le circuit externe. Par réduction de ces dissipations internes, la source est capable de fournir plus d'énergie pour de la dissipation dans la charge externe qu'il en est pour la charge de la source. La source est capable d'opérer de façon sur-unitaire. LE système est dit ouvert, il extrait et utilise l'excès d'énergie EM depuis une libre circulation dans la source externe (le flux d'échange entre le vide environnant et la source bipolaire fait de cette dernière un système ouvert).

Ce système sur-unitaire peut opérer avec une grande efficacité, sans violation des lois de la physique, de façon analogue, mais entièrement différente, à peu près comme une pompe à chaleur (frigorifique). La bipolarité de la source est utilisée premièrement comme une antenne dipôle pour recevoir l'énergie d'onde EM bidirectionnel circulant depuis le vide et pour diriger cette énergie sans entropie à l'aide de composants « switcher » vers le collecteur ! La conduction des électrons dans le collecteur est temporairement restreinte, lesquels sont en train d'être sur-potentialisé par excès d'énergie en train d'être collecté sur eux. Le collecteur et ses électrons sur-potentialisés sont alors déconnectés de la source et connectés maintenant à travers la charge tel un circuit fermé et séparé. Les électrons dans le collecteur et leur excès d'énergie sont alors automatiquement relâchés pour circuler comme le courant en une décharge à travers la charge. Cette énergie effectue un travail dans la charge. Le collecteur (une fois l'énergie dissipée dans la charge), se rebranche sur la source pour un nouveau cycle de collection.

Fig1B

Figure 1A : Circuit type utilisant un générateur de rampes pour charger le condensateur sans travail, avec décharge séparé de l'énergie collecté sur la charge sans épuisement substantiel sur la source primaire.

Fig1A

Figure 1b : Circuit type pour charger un collecteur en semi-conducteur dégénéré (DSC), avec de simples impulsions sans travail appréciable avec décharge séparée de l'énergie collecté sur la charge sans épuisement substantiel sur la source primaire.

 

Toutes sources électrique de potentiel est déjà une source d'énergie libre

La source agit comme une antenne dipolaire pour recueillir en permanence le courant du potentiel scalaire (d^/dl), (courant se déplaçant sans masse), depuis le vide. Pour les conditions pour une charge libre, (di*/dl) est continuellement reçue depuis le vide par n'importe quel dipôle, et la circulation d'énergie est continuellement échangée en va et vient depuis le dipôle. Cet échange d'énergie libre avec le vide est vrai dans deux points : dans notre circuit qui possède un circuit ouvert de tension ou ddp (différence de potentiel), entre les deux pôles de la source. Les sources d’antennes dipolaires d'énergie libre sont partout. Nous avons juste à apprendre comment casser la symétrie dans l'échange de leurs flux d'énergie avec le vide, collecter quelques influx circulant librement et distribuer cet excès d'énergie collecté vers une charge séparée et isolée. Autrement dit nous avons simplement qu'à copier sur les pompes à chaleur (frigorifique).

Fig2

Figure 2 : Pourquoi les systèmes d'énergie électrique actuels ont une efficacité opérationnelle sous-unitaire?!

 

Condensateur (chargé par pulse) comme collecteur

Continuons notre recherche par un matériau spécial pour un temps de relaxation de gaz d'électrons prolongé pour le collecteur, un alliage composé de 98% d'Aluminium et 2% de Fer.

Cycle 1 (collection d'énergie) :

Cycle2

 

Puis temps de relaxation atteint :

Cycle1-b

 

Cycle 2 (dissipation d'énergie)

Cycle1-a

Cependant la production de cet alliage est assez onéreuse, c'est pourquoi nous recherchons autant que nous le pouvons d'autres solutions.

En attendant, on peut faire déjà autrement. Utilisons un condensateur normal pour le collecteur, en le chargeant avec un générateur de rampes. La preuve que ceci peut librement charger un condensateur avec de l'énergie, sans avoir à effectuer du travail appréciable est déjà connu dans la littérature. Vous pouvez charger un condensateur sans entropie et essentiellement sans avoir à établir un courant de masse d'électrons.

Pour faire court, nous considérons que le condensateur peut-être chargé sans déplacement de masse (d'électrons), de circulation de courant.

Nous envisageons, dans l'usage du circuit, que le déplacement «d'électrons sans masse » est un courant de potentiel scalaire (dØ/dl) - un courant de potentiel pure (d'énergie EM capturé), le long du conducteur ou à travers le vide.

 

Opération avec circuit à 2 fils, fermé, conventionnel

Là il y a circulation de courant dans ce circuit fermé, au travers la charge et le reste du circuit. Les électrons seront considérés comme un fluide matériel pour du travail à faire, pour transporter et décharger l'excès d'énergie EM et en forçant les électrons à revenir à travers la force électromotrice de retour (bemf), qui recharge encore les électrons envoyés avec un excès d'énergie EM, sous la forme d'excès de petites densités d'énergies capturées Ø’S, sur chaque électron recyclé.

Quelques excès de Ø collectés sur les électrons sont dissipés dans la charge comme du travail utile, mais seule la moitié est dépensée (le reste perdu en friction, inefficacité, etc), et ceci sans excès de Ø, petite densité d'énergie capturée.

Ces circuits à boucle fermé sont sous-unitaire perpétuellement (cf. fig. 2).

A noter que ces circuits sont tout de même des circuits ouverts « branchés » sur le vide et recevant en permanence de l'énergie libre, mais ils ont le défaut d'être conçu de manière suicidaire.

 

Efficacité opérationnelle

Nous définissons operational efficiency Alpha comme la puissance moyenne dans la charge divisé par la puissance moyenne à l'intérieur de la source pour dissiper et détruire la barrière de bipolarité.

 

Thermodynamique et système à sur-unité ouvert et en déséquilibre (asymétrique)

Dans cette approche nous avons un circuit ouvert lors de tous cycles de collections, avec une source externe qui reçoit un flux d'énergie sans relâche. Nous avons exprès cassé la symétrie d'échange avec le vide, d'énergie du système, en séparant dans l'espace et à travers le temps, l'opération par un cycle de collection d'énergie et un autre cycle de dissipation d'énergie. L'efficacité opérationnelle de la sur-unité est possible sans violation des lois de la nature. Bien que l'équilibre dans le flux d'énergie local ait été cassé, celui dans le flux d'énergie global ne l'a pas été.

 

Courant de déplacement sans masse

C'est la technique que nous utilisions. On utilise le déplacement de courant sans masse pour charger le condensateur, plutôt que le flux de courant d'électrons (habituel).C'est un flux d'énergie réel néanmoins. Il est un phénomène bien connu dans le chargement d'un condensateur. Un coté du condensateur charge déjà l'autre coté à l'aide justement de se déplacement de courant sans masse, transportant de l'énergie EM réel à travers l'espace qui sépare les deux plaques du condensateur - les électrons eux-mêmes ne traversent pas cet espace.

Le déplacement du courant est toujours bien connu pour être un transport d'énergie libre sans aucune dissipation en puissance ou/et travail. En établissant un déplacement de courant sans masse, seulement à partir de la source antenne à la place d'un flux de courant d'électrons, vous pouvez établir du travail gratuit ou du non travail, sans dissipation d'énergie de la source-antenne.

Le ' truc ' est d'empêcher la circulation de la composante masse (déplacement longitudinale des électrons) du courant électrique dans la source primaire lors du processus de collection.

Dans le document 1/3 nous avons expliqué que ceci pouvait être fait en utilisant pour collecteur un matériau semi-conducteur dégénéré avec un temps de relaxation du gaz d'électrons relativement étendu. Dans ce document il aura été plutôt question de charger gratuitement un condensateur par un générateur de rampes pour des raisons économique.

TBearden

Ci-dessus Tom Bearden théoricien et inventeur en énergie libre

 

 

Partie III

 

APPAREILS ELECTRIQUES SUR-UNITAIRE - PRATIQUE

PRACTICAL OVERUNITY ELECTRICAL DEVICES

© T.E. Bearden - 13 Mai, 1994

 

LEGENDE:

 = produit scalaire

Ø = Champ potentiel électrostatique scalaire

 = Nabla (désigne soit le gradient d'une fonction en analyse soit une connexion de Koszul en géométrie différentielle).

|x| = valeur absolue de x

uf = microFarad

La charge n'est pas quantifiée

La valeur de la charge est changeante lorsque celle ci se déplace dans le circuit et elle se représente par une fonction selon le contexte du potentiel.

 

Les deux composantes du courant électrique

La seule façon de comprendre l'énergie libre est d'abord d'appréhender le courant électrique tel que constitué par deux courants couplés ensemble : [(dØ/dt) (dm/dt)].

Le composant (dØ/dt), est connu et mal compris, il est le déplacement de courant sans masse.

Le composant (dm/dt), est le déplacement de courant de masse.

L'opérateur  signifie couplé à ou sur le point de le faire.

L'opérateur de couplage représente une opération bien réelle : l'échange de photons virtuels entre le potentiel du vide et la masse chargée.

 

La masse est un composant interne de force

C'est à travers la force que la masse prend toute son importance (exemple F=(ma)). On trouve la masse par exemple dans un champ électrique qui est défini comme étant la force par coulomb. Un champ électrique n'existerait pas sans la composante de masse. Un champ scalaire électrostatique ( Ø)cherche à se coupler à la masse d'une charge q tel que (Ø+ Ø)m et de là un champ-E (champ électrique), est créé et existe 
E s -[( Ø)(q)]/|q|. C'est ainsi que la masse devient un composant incontournable de force.

Un condensateur idéal est celui qui est un bloqueur d'électrons

Dans un condensateur classique les plaques et le diélectrique sont en mouvement due aux forces électrique. 
Il s'en suit un courant d'électrons se dissipant dans la source pour faire du travail... Il existe cependant des condensateurs rigidifiés (~$400 à $2000 le condensateur de 1 µF)...

Un condensateur idéal ne laisse pas passer de courant d'électrons mais laisse seulement passer le courant sans masse tel que décrit dans les équations de Maxwell.

 

Composant de blocage d'électrons

Il y a le « transistor semi-conducteur Fogal » du nom de l'inventeur William J. Fogal (un ami de Bearden - détenteur des brevets [5430413 High gain low distortion faste] et [5196809 High gain low distortion faste]). 
Il permet la séparation du courant en deux composants, bloquant uniquement le composant de flux de masse (les électrons).

Le transistor de Fogal bloque le passage des électrons au niveau des pattes, mais laisse le déplacement du courant dØ/dt de potentiel scalaire à travers lui.

 

Énergie, flux, montant fini d'énergie, collecteur

Le flux de courant (dØ/dt) est énergie alors que le flux de courant de masse (dm/dt) est du travail dans le circuit. Toutes mesures à l'aide d'un instrument de mesure ne seront que travail et non le calcul du montant de l'énergie. L'énergie ne peut-être mesurée en pratique et en théorie, à priori.

 

Secret de la sur-unité

La charge (masse chargé), fournie un flux libre sans masse d'énergie EM à partir du vide qui peut-être dirigé vers un collecteur qui emmagasine le tout dans un champ-E ou un champ-B.

Cependant le premier secret de l'énergie libre est le blocage de la composante de charge électrique de masse 
dm/dt du courant dq/dt permettant au flux d'énergie sans masse (dØ/dt)• de circuler vers le collecteur pour obtenir un champ-E ou un champ-B.

Le deuxième secret concerne la façon dont le deuxième cycle se déroule.

La masse du circuit de charge externe et la masse du collecteur devraient être les mêmes pour que le courant d'électrons chargés retourne à travers la fem-back de la source primaire, tel que autant d'excès de travail sera fait à l'intérieur de la source pour dissiper ses séparations de charges que de travail fait dans la charge externe. Dans ce cas la sur-unité serait détruite ! D'où la nécessité d'utiliser deux circuits isolés.

 

Un simple appareil sur-unitaire à boucle ouverte

 

Figu1

Cette figure montre un très simple mais puissant appareil à sur-unité, utilisant un semi-conducteur à blocage de charge [charge blocking semiconductor (CBS) (such as a Fogal semiconductor)], alimenté en AC.

Le ' truc ' du circuit c'est une source AC pour contrôler le CBS qui utilise une partie de l'énergie pour s’auto-alimenter et qui ne laisse passer toujours, uniquement, que la composante sans masse du courant dans le circuit de sortie. Le potentiel scalaire de sortie du CBS est obtenu avec l'enroulement primaire du transformateur élévateur de tension. Le gain en courant du CBS dépendra de la charge connectée dessus, et de son habilitée à bloquer le champ-E des charges capturées en augmentation, comme un flux d'énergie libre (dØ/dt) qui s'établit à travers lui par la charge. Ainsi la charge et le CBS doivent être le mieux pensés/choisies pour ne pas faire échouer nos plans. L'enroulement primaire du transformateur avec le potentiel scalaire (dØ/dt) produit un champ-H. Il emmagasine l'excès d'énergie dans ce champ. C'est un champ-H magnétique normal. 
Tout champ-H est produit par (dØ/dt). Ce champ-H se couple à l'enroulement secondaire. Dans le circuit secondaire le courant est un courant d'électrons et peut circuler sans contrainte du CBS. C'est un courant de masse chargée qui circule désormais dans la charge.

 

Amplification de puissance libre

Si on place un ampèremètre à la sortie du CBS, entre lui et le primaire du transformateur, le courant sans masse sera lu comme si de rien n'était (comme avec un courant d'électrons).

 

La résistance négative: un système (auto-alimenté et CBS) en boucle fermé

Figu2

Le dessin montre le bouclage fermé de l'appareil de tel façon que le système une fois lancé et stable peut se voir retirer la source d'alimentation du circuit.

Une résistance négative accepte des électrons entrant inertes depuis son pôle négatif, mais accepte aussi l'énergie (dØ/dt) entrante depuis le vide comme des photons virtuel se laissant absorbé par des électrons inertes tel que  Ø est ajouté au courant d'électrons créant un excès d'électrons excités.

La résistance négative est maintenant connue pour être une source d'énergie libre auto-contenue.

 http://www.magnetosynergie.com/Pages-Fr/Presentez/SecretFinal/FR-LeSecretFinal-01.htm

 

Et les liens vers les originaux en langue anglaise : 

Partie 1. http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%209%20Feb%201993/indexold.html
Partie 2.http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%20of%2015%20Feb%201994/index.html
Partie 3. http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%2013%20May%201994/index.html

 

Site Internet de Thomas E. Bearden : http://www.cheniere.org/

21 mars 2017

RUSSIE énergie libre : ils veulent reconstruire la tour de Tesla pour fournir de l’énergie à la planète entière

tesla-coil-marx-generator-642x361« High Voltage Marx and Tesla Generators Research Facility » (Centre de Recherche des Générateurs Tesla et Marx à Haut Voltage). L’appareillage de test, qui fait partie de l’Université d’ingénierie électrique de Moscou, se trouve dans la paisible ville d’Istra, à 40 km à l’ouest de Moscou.

Imaginez, de l’énergie propre sans fil, disponible pour n’importe qui dans le monde, que l’on peut connecter sur des voitures ou des avions à zéro émission, de l’électronique qui se rechargerait toute seule, des appareils sans fil exploitant tous de l’énergie par l’intermédiaire d’une antenne radio. Cela peut ressembler à de la science-fiction, mais cela est basé en fait sur des découvertes vieilles d’un siècle de Nikola Tesla.

C’était son plan pour la tour Wardenclyffe jusqu’à ce qu’elle ait été réduite à néant par des industriels, parce qu’ils ne pouvaient pas la contrôler et la doser. La tour était un amplificateur et un émetteur d’ondes radio traversant l’atmosphère et à laquelle les appareils électroniques pouvaient librement s’alimenter. Tandis que beaucoup de micro-utilisations de ce type d’énergie commencent à apparaître, une application à large échelle est encore absente.

Deux scientifiques russes espèrent changer cela en construisant la tour « émettrice d’énergie sans fil » de Tesla.



Leonid Plekhanov et Sergey Plekhanov, tous les deux diplômés de l’institut de la physique et de la technologie de Moscou, croient qu’en combinant les plans de Tesla avec les matériaux modernes et d’autres découvertes récentes, ils réussiront à donner de l’énergie propre à la planète entière.

« Les matériaux et le matériel modernes nous fournissent une incroyable occasion de réimplémenter l’invention de Tesla, et d’établir une solution aux problèmes de transmission d’énergie d’aujourd’hui ! Nous avons recréé une version de la tour Wardenclyffe de Tesla fondée sur ses principes, mais à l’aide des matériaux et composants électroniques avancés modernes et nous sommes prêts à la construire », écrivent-ils sur leur href="https://www.indiegogo.com/projects/let-s-build-a-planetary-energy-transmitter" target="_blank" rel="nofollow">page de crowdfunding.

Les tours fonctionnent fondamentalement pour magnifier l’énergie électrique et pour la transmettre par l’intermédiaire d’ondes radio à travers le globe en utilisant le « guide d’ondes entre la Terre et la ionosphère comme une sorte de simple fil. »

« Nikola Tesla a imaginé que cette technologie propre alimenterait des maisons et des véhicules électriques, y compris des avions. Mais aujourd’hui les utilisations semblent sans fin. Michael Jaeger a astucieusement expliqué le potentiel de l’énergie sans fil dans un article daté de 2012 :

Les émetteurs de puissance approvisionnés par des installations de production pourraient envoyer des mégawatts de puissance avec des millions de volts à des fréquences gigahertz dans l’atmosphère en tant qu’ondes radio, et les appareils mobiles comme les téléphones portables pourraient la saisir à travers l’air, plus aucun besoin de batteries. Tous les véhicules pourraient être électriques avec des émissions zéro, et selon le nombre d’émetteurs et la puissance de sortie de ces émetteurs, on pourrait théoriquement conduire à travers tout le pays sans que cela exige de grandes batteries. Les maisons auraient des antennes pour les brancher à la grille d’alimentation plutôt que des fils. Les pertes de puissance seraient minimales, pas comme aujourd’hui. Nos grilles d’alimentation voient par habitude des pertes de puissance de 8 pour cent. Il n’y aurait aucun encombrement de ligne d’alimentation, ce qui produit de grandes pointes dans l’évaluation localisée du prix dans le marché de gros de l’électricité en raison de la limitation de transmission par ligne. On éliminerait des coûts d’infrastructure pour transmettre sans risque l’énergie.

Cela raisonne, comme un futur assez étonnant.

 




Supportez ce projet chez IndieGoGo.
** Cet article a été initialement décrit sur Activist post.**

Source: http://www.neotrouve.com/?p=5485

 

8 mars 2017

Les ondes scalaires, la lumière qui nourrit et qui guérit

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Par le Dr vet Hervé Janecek


Introduction
Toutes les traditions nous rappellent que nous sommes constitués de 4 éléments, qui
sont les aliments que nous mangeons, symbolisés par l’élément terre, l’eau que nous
buvons, l’air que nous respirons et la lumière que nous absorbons, symbolisée par
l’élément feu.
Les 3 premiers éléments, terre, eau et air nous sont vitaux à échéance de quelques
semaines à quelques minutes, c’est dire leur importance et la nécessité que nous ayons
pleine conscience de leur qualité. Pourtant le principal élément parmi les 4, est encore la
lumière, un élément que nous avons oublié, mais qui heureusement lui, ne nous oublie
pas ! Il nous inonde et nous traverse à chaque seconde notre vie, dans un courant
abondant et incessant …
Il existe en fait plusieurs types de lumière que nous pouvons ramener à 2 grandes
catégories, l’électromagnétisme et les ondes dites scalaires.
Depuis James Clerk Maxwell au XIXè siècle et ses fameuses équations qui inspirèrent les
plus grands physiciens (Hertz, Tesla, Einstein, Planck, etc …), on sait que la lumière,
l’électricité ou le magnétisme sont des phénomènes de même nature !

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Mais malheureusement, les équations originales du génial Maxwell furent tronquées et
seule la lumière électromagnétique fut mise en avant et étudiée, en particulier par Hertz.
Dès lors, on confondit la lumière et l’électromagnétisme, c’est-à-dire les ondes du spectre
solaire visible, les ondes radio, les micro-ondes, … qui purent être mises en évidence et
mesurées.

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Pourtant, dès la fin du XIXè siècle un ingénieur physicien et expérimentateur surdoué,
dénommé Nikola Tesla, avait mis en évidence un autre type de rayonnement ; les
mathématiciens et physiciens de son temps, Steinmetz en Allemagne et Kelvin en Ecosse
perçurent tout de suite que l’on avait à faire à un autre type de lumière : ces ondes
originales devaient se déplacer en vortex alors que les ondes électro-magnétiques
évoluaient selon une double sinusoïde. Là se trouvait une première différence.
Plus tard, reprenant minutieusement les travaux de Tesla, un Professeur allemand de
physique, le Pr Dr ing. Konstantin Meyl, dénomma ces ondes « ondes scalaires ».
Définition des ondes scalaires

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Le Professeur Meyl a expliqué et miniaturisé les technologies d’émission et de capture
des ondes scalaires inventées autrefois par Nikola tesla ; il a pu en proposer également les
bases physiques et mathématiques en complétant les équations de Maxwell pour y
inclure aussi la réalité du rayonnement scalaire.
Ces ondes scalaires sont émises par une antenne de forme adaptée (sphérique ou
hélicoïdale) et elles sont reçues par une autre antenne – identique à la première - et reliée
à elle : les 2 antennes forment alors un couple émetteur/récepteur, comme un
« condensateur ouvert » selon la description du Pr Meyl. (Voir figure ci-dessous).

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Dès que l’accord de résonance est réalisé entre émetteur et récepteur, une transmission
d’énergie et d’information se fait sans fil au travers de l’air et un retour électrique se
réalise par un « fil de terre » : il y a alors plus d’énergie en μWatts reçue sur le récepteur
que d’énergie initialement envoyée par l’émetteur ? Ceci vient du fait que des ondes
scalaires (un bruit de fond permanent et diffus) du milieu ambiant viennent se « greffer »
sur le premier vecteur scalaire et vont ainsi amplifier l’émission de base ! C’est ce que l’on
appelle « l’énergie libre » ; créer un vortex artificiel dans l’espace attire ainsi des vortex
naturels en une zone restreinte (le champ initial) ; finalement, donner un peu d’énergie au
départ en fait récupérer de 1 ,5 à 3 voire 5 fois plus selon les endroits !
Il existe dans la nature de nombreux couples émetteur/récepteur selon ce modèle :
l’émetteur émet et le récepteur reçoit ainsi un message, enrichi de toutes les ondes
scalaires de l’environnement, harmoniques de la première onde émise : le soleil et la terre
forment un tel couple, où la terre est réceptrice ; l’homme et tous les êtres vivants sur la
terre sont alors considérés comme des récepteurs secondaires, tertiaires, etc …se
partageant l’énergie émise par le soleil et plus généralement par le cosmos.


A une autre échelle, le médecin et son patient forment aussi un couple
émetteur/récepteur, avec échange d’énergie et d’informations : le médecin est d’un côté
un récepteur secondaire sachant capter l’énergie du ciel et de la terre, et d’un autre côté
il est émetteur en redirigeant (par ses mains et/ou par des aiguilles d’acupuncture)
l’énergie captée vers son patient, qui devient alors récepteur tertiaire. L’homme médecin
est donc toujours un « médium », plus ou moins conscient de son potentiel en tant que tel !
Importance biologique des ondes scalaires


Les mouvements de l’eau et de l’air dans le milieu ambiant, ainsi que les mouvements des
liquides dans le corps se font en permanence en flux tourbillonnaire, c’est-à-dire sous la
forme de vortex répétés.
Il n’est donc pas illogique de penser qu’il en soit de même pour l’essentiel des ondes que
nous recevons : Nikola Tesla a démontré au début du XXè siècle l’existence d’un tel
rayonnement, très abondant, capable de traverser la terre elle-même et dont le
rendement était sur-unitaire ; Le Professeur K. Meyl a ainsi supposé plus tard que les
particules associées à ces ondes ne pouvaient être que des neutrinos, ces très petites
particules à masse et charge variable, et donc très pénétrantes.


Les neutrinos, qui circulent en vortex, nous arrivent à la « dose » de 60 milliards de
particules par seconde et par cm2 de surface ! Les physiciens estiment aujourd’hui que les
neutrinos sous leurs 4 formes principales (ou saveurs) formeraient quelques 85% de la
masse de tout l’univers, dont la fameuse matière noire ! Qu’ils forment une partie
importante de ces ondes scalaires n’est donc pas étonnant, avec des vitesses de
progression souvent supérieures à celle de la lumière. Mais ils existent des ondes scalaires
émises à des vitesses inférieures par tout ce qui vit sur terre, mais aussi par les roches et
l’eau en mouvement.


Le rayonnement scalaire forme un rayonnement que l’on appelle le « bruit de fond » aussi
important que vital pour tous les êtres vivants sur la terre ! Tout ce qui existe émet en
vortex, sans que les ondes produites trouvent forcément un récepteur ? Elles finissent
donc par s’amortir sous forme de chaleur, et composent ce bruit de fond très complexe,
une énergie disponible dans laquelle peuvent puiser tous les êtres vivants.

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Le générateur d’ondes scalaires du Pr Konstantin Meyl.


Afin de renforcer en un lieu la captation des ondes en vortex de l’environnement, le Pr
Meyl a inventé un générateur d’une onde pure de type longitudinal ; avec les composants
électroniques d’aujourd’hui, il est possible de produire ce vecteur scalaire avec une
L’ADN émet et reçoit sur un mode scalaire de  par sa forme en hélice.

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Plus précis encore, dans ce champ d’énergie créé, sont télétransmises des informations
placées dans le champ magnétique de l’antenne réceptrice : cela peut être les 300
molécules d’une huile essentielle, les 500 molécules d’une solution de propolis, un
cocktail d’oligo-éléments marins comme le plasma de quinton, les protéines typiques
d’une extrait d’organe ou de tissu….


La personne sous l’influence du champ est donc non seulement rechargée en énergie,
mais aussi ré-informée dans un sens précis : un peu comme si d’une part on rechargeait la
batterie de sa voiture, mais aussi en plus que l’on étudiait la bonne direction à prendre et
que l’on avait enfin les moyens physiques et/ou métaboliques de ce déplacement !
Du temps de Nikola Tesla est apparu aussi un générateur d’énergie à longueurs d’ondes
multiples, inventé par le célèbre biologiste Georges Lakhovsky ; mais la base de ce
générateur était le dipôle de Hertz – répété 12 fois - avec la volonté de produire un
rayonnement électro-magnétique très riche en fréquences de base et en harmoniques. La
tension utilisée pour fabriquer l’onde porteuse puis pour la moduler par un éclateur, était
très forte, de l’ordre de 400 à 500 000 volts !

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Comment capter soi-même les ondes scalaires ?


Si nous captons à chaque seconde des ondes scalaires émises par le soleil et le cosmos,
nous devrions toujours être en grande forme, alimentés par cette lumière discrète et
pénétrante à tout moment de notre vie ? Or il nous arrive de tomber malades ou d’être
fatigués ! … ce qui signifie alors que les dépenses excèdent les apports.
Comme en comptabilité, la solution est donc de favoriser les entrées et de limiter les
sorties !


Si cela est possible, il faut choisir l’emplacement de sa maison et les matériaux qui la
composent, en fonction de l’apport d’énergie que l’on peut en retirer la nuit, au moment
où on est le plus récepteur ? Eviter ainsi des rivières ou des failles sous-terraines qui
doivent absorber une partie des infrarouges et des géo-neutrinos qui nous nourrissent et
nous réchauffent la nuit ? Bâtir les murs avec des pierres et des briques qui renvoient le
rayonnement régulier et naturel de la pierre ou de la terre sur le corps, pendant les 8 h de
la nuit, ce qui nous recharge en lumière alors que des matériaux plus « modernes »
(béton, isolant en polystyrène, colles diverses) ne nous nourrissent en rien ! …


Comment alors limiter les sorties d’énergie ? tout d’abord il s’agit de redevenir un bon
résonateur soi-même, en évitant les pollutions électro-magnétiques de son
environnement : installer une bonne terre chez soi, s’éloigner des prises et des appareils
électriques, isoler les fils de son installation, supprimer le téléphone sans fil, stopper les
transmissions Wifi, neutraliser les failles sous-terraines ; aussi sur un plan plus mental,
arriver à se concentrer toujours par la méditation en recherchant un état de calme, qui
nous apprend à ne pas perdre une énergie mentale excessive, en cas de stress …
Il est possible toutefois que ces différentes « pratiques naturelles » ne suffisent pas
complètement à restaurer un état énergétique compromis ? La dette en énergie est dans
ce cas devenue trop importante : il s’agit alors de s’adresser à un praticien qui va devenir
pour vous le canal vers une source d’énergie renforcée.


Le potentiel des champs scalaires induits
Depuis quelques années en Allemagne et aux USA, mais aussi plus récemment en
Espagne et en France, le générateur d’ondes scalaires du Pr K. Meyl a démontré qu’il
pouvait être un véritable médium, transportant des médicaments sur des substrats très
divers, inhibant des tissus cancéreux en culture, et plus encore ! …


Le Dr vet G. dans l’Ouest m’appelle ainsi il y a 2 semaines pour me décrire le cas d’un
vieux chien de sa clientèle, présentant une forte diarrhée, des troubles respiratoires et
une tendance à un raidissement de la nuque et du cou interprété comme un début
d’encéphalite ! Un diagnostic de maladie de Carré, une encéphalite virale mortelle chez le
chien, est posé : le traitement consiste en un pansement intestinal et une séance entre les
2 tours du SWD de 10 minutes ; avec modulation par 2 huiles essentielles aux propriétés
antivirales et la préparation d’un remède à partir d’une banale eau mise en flacon. Le
chien au bord de l’épuisement va se réveiller et rester tonique durant 2 jours, puis dormir
2 jours encore et enfin revenir à son mode de vie normal au bout de 8 jours complets ! …
Cette observation montre que 2 huiles essentielles bien choisies peuvent être efficaces
contre une infection interne, et qu’elles peuvent être « téléchargées » à distance par des
ondes scalaires, et en même temps « poussées » par une charge d’énergie qui permet leur
action immédiate jusque dans l’intimité des tissus !
Une autre observation rapportée par un thérapeute du Nord cette fois, nous décrit un
vieux monsieur de 84 ans, diabétique et avec des troubles vasculaires des jambes (jambes
violacées thrombotiques) qui lui occasionnent des douleurs chroniques à la marche. Il
faudra 3 séances de 10 minutes avec le SWD à 8 jours d’intervalle, avec passage d’une
information tissulaire dans le champ créé, pour que ses jambes redeviennent rosées et
que les douleurs disparaissent ! Là encore un « rappel » de la séance s’est fait au travers
d’une eau informée bue tous les jours dans l’intervalle entre les séances …


Ces 2 cas parmi de nombreux autres exemples, tant chez l’homme que chez l’animal ou
chez la plante, montrent que le champ scalaire renforcé en lieu précis, permet de
recharger un animal ou une personne avec une énergie qu’il ou elle avait perdue ? Et
ensuite de ré-informer cette personne de manière répétée par ce médium universel
qu’est l’eau, laquelle - n’en déplaise à certains - a bien une mémoire !

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L’expérience était la suivante : une culture de cellules cancéreuses standardisée de type
HEla est placée sur l’antenne réceptrice de l’appareil ; vous y ajoutez un poison cellulaire,
Les expérimentations
de Heidelberg en 2012
ont été reproduites
à Madrid en 2013
avec les mêmes résultats.

par ex de l’eau oxygénée, qui va tuer rapidement ces cellules expérimentales par
suroxydation. En 10 minutes, leur nombre passe de 3 millions à 0.7 million, puis après 24 h,
à zéro. Dans le même temps, au milieu de l’espace créé entre les 2 antennes, sont placées
à nouveau 3 millions de cellules cancéreuses Hela, mais cette fois-ci sans ajout d’aucun
poison ! Que se passe-t-il ? il se trouve que les cellules cancéreuses meurent dans les
mêmes conditions, car elles ne sont plus que 1 million après 10 minutes, puis disparaissent
comme les premières en 24 heures … alors que dans le même intervalle de temps, des
cellules témoins, sans poison, mais sans énergie scalaire spécifique, ont bien diminué elles
aussi, mais elles sont encore 2,6 millions après 10 minutes et toujours 1,5 million après 24h.


La conclusion est que le message ondulatoire émis par des cellules cancéreuses
mourantes peut être transmis par la voie d’un champ scalaire à des cellules cancéreuses
en pleine prolifération et ainsi inhiber leur croissance, comme le ferait une action directe
utilisant la radiothérapie ou la chimiothérapie. A la différence que, dans le cas des cellules
placées sous champ scalaire, l’action est très spécifique de cellules cancéreuses d’un seul
type vers leurs homologues de la même lignée, sans interférer avec les cellules saines.
De quoi imaginer donc une « scalaire-thérapie » très précise et sans aucun effet
secondaire, pouvant s’appliquer à n’importe quel type de tumeur : il suffirait de prélever
un fragment d’une tumeur cancéreuse, d’en réaliser une culture et de la mettre en
contact avec un produit inhibiteur spécifique (enzyme, extrait de plante, etc …) de façon
à ne pas toucher les cellules saines du corps. Il faudrait ensuite placer le patient malade et
porteur de tumeurs, voire de métastases, entre les 2 tours du SWD du Pr Meyl. Et
constater la régression des tumeurs chez le patient lui-même.


Ceci a déjà été réalisé en France et en Espagne ; mais un être vivant étant plus complexe
qu’une culture cellulaire, il faut y adjoindre quelques informations complémentaires : un
drainage des acides du corps, l’apport de suppléments nutritionnels (vitamine C, lysine,
proline, acide lipoïque, magnésium, etc …). Et le prélèvement à effectuer sur le patient
peut n’être que son sang et non pas ses tissus cancéreux, ce qui apparait plus simple !

L’avenir de la thérapie des maladies de dégénérescence est ainsi d’une part dans l’apport
d’énergie (ondes scalaires) et d’autre part dans le choix d’informations ciblées (supports
tissulaires, vitamines, anti-oxydants, oligo-éléments, huiles essentielles, enzymes) qui
vont être portées par les ondes.
Une autre application majeure des ondes scalaires est de créer un espace ressemblant à
une bulle, dans laquelle la prise d’énergie libre (les ondes scalaires du bruit de fond) est
largement facilitée et amplifiée ! Que ce soit dans l’espace des soins d’un centre de bienêtre
ou bien au sein d’un cabinet d’acupuncture, le fait de se placer dans le champ entre
émetteur et récepteur garantit un apport d’énergie, à la fois progressif et physiologique.


L’acupuncteur implante à la surface du corps de son patient quelques aiguilles, dont
l’extrémité sphérique se prolonge par un enroulement de type « bobine Tesla » ; il s’agit
donc d’antennes adaptées à la réception des ondes scalaires. Entre 2, voire 3 ou 4 aiguilles
se crée un champ, capteur de cette lumière en vortex.
Un patient sur lequel sont insérées des aiguilles de ce type qui est placé entre les 2
antennes d’un générateur d’ondes scalaires, récupère alors beaucoup d’énergie naturelle
de type scalaire, un peu comme si son médecin était devenu un grand « médium »,
capable de concentrer ce type d’énergie pour son patient et de la lui donner, en la
dirigeant par les aiguilles …
L’acupuncture raisonnée, amplifiée sous champ scalaire, est très efficace : l’effet
thérapeutique est puissant et le nombre de séances pour un bon résultat est réduit.

Conclusions
Capter l’énergie libre, qui circule autour de nous sous la forme d’ondes en vortex, avec
comme support des milliards de particules - dont les neutrinos -, est une opération banale
que nous réalisons tous à chaque seconde de notre vie. Bienheureusement ! Car il est
démontré que ce bruit de fond énergétique nous est vital.
Nous ne pouvons éviter le fait que les neutrinos nous traversent, et pas plus, nous ne
pouvons empêcher que notre coeur batte au rythme d’environ 1 Hertz (1 battement par
seconde) : les neutrinos qui passent et notre coeur qui bat produisent ensemble de la
lumière, que nous absorbons ensuite dans nos tissus, dans un accord de résonance précis,
fréquence par fréquence.


Il en va ainsi depuis la nuit des temps et c’est grâce à la physiologie de ces ondes scalaires
que nous pouvons décrire ces processus, les nommer et en prendre conscience … enfin !
Les applications thérapeutiques de ces ondes sont infinies : en pratiquant pour soi-même
le yoga et/ou les différentes formes de Qi gong, on peut en capter naturellement plus en
quantité, et ainsi absorber littéralement de la lumière pour nous en nourrir …
Grâce à des technologies plus fines, à la suite des travaux il y a 100 ans de Nikola Tesla et
de ceux contemporains du Pr Konstantin Meyl, il devient même possible de concentrer le
champ scalaire local et de lui faire transporter des informations thérapeutiques, pour des
applications très diverses, jusqu’au traitement des maladies les plus graves.
Les thérapies du 3è millénaire sont ainsi déjà opérationnelles : elles procèdent du mariage
heureux d’une forme d’énergie assimilable et d’informations aussi diverses que biologiques.
Dr vet Hervé JANECEK

11 novembre 2016

Le Secret de la Vie : Ondes cosmiques et radiations vitales

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Ondes cosmiques et radiations vitales

En 1925, Lakhovski publie son livre intitulé : « Le Secret de la Vie : ondes cosmiques et radiations vitales  », dont la préface est signée par le Pr. Jacques Arsène d’Arsonval. En 1928, le Dr Anastas Kotzareff publie à Paris une thèse sur le «Traitement par les ondes de cancers incurables, inopérables et abandonnés ». Puis les expériences de Lakhovski sont reprises en Italie : à l’hôpital de Pérouse avec le Dr Vicenzo Riviera, à Bologne, avec les Pr. Mazzadroli et Vareton et l’hôpital San Spirito de Rome avec le Dr Attili. Ce dernier est directeur d’un service de radiologie et traite 300 malades dont 24 cancéreux avec ce système. Grâce aux traitements utilisant la machine de Lakhovski, il améliore la santé de ses patients et obtient deux rémissions complètes. D’autres pays sont les hôtes des ces recherches de médecine énergétique d’avant-garde, comme la Suède et la Brésil.

L’Ocsillateur à Ondes Multiples
En 1928, Lakhovski invente une nouvelle machine : l’Oscillateur à Ondes Multiples, le fameux MWO (Multi Waves Oscillator). Il émet l’hypothèse que « l’amplitude des oscillations cellulaires doivent atteindre une certaine valeur afin que l’organisme soit assez fort pour repousser les vibrations destructrices de certains microbes. » Pour lui, le but « n’est pas de tuer les microbes en contact avec la cellule en santé mais de renforcer les oscillations de chaque cellule directement par renforcement de la radioactivité du sang ou en produisant vers les cellules une action directe par renforcement de leur propre rayonnement. »

Son Oscillateur à Ondes Multiples (MWO) est construit autour d’une bobine de Tesla  connectée à deux résonateurs entre lesquels le patient prenait place.

Ces deux antennes spéciales sont composées d’anneaux de cuivre  concentriques semi-ouverts, maintenus en place grâce à du fil de soie. Ces anneaux sont disposés dans le même plan  de telle manière que l’ouverture de chaque cercle soit disposée à l’opposé de la suivante selon une rotation de 180 degrés : le design de l’ensemble ressemble à une cible. L’appareil génère des hautes fréquences  (150 MHz) sur un très large spectre qui sont couplées à des charges statiques en provenance des résonateurs.

Ces hautes fréquences produisent des effets de corona, produits par les décharges d’électricité statique à l’intérieur des antennes et autour de leur périmètre extérieur. Tesla les nommait  electric brush  et Lakhovski les baptisa effuvia ou effluves. Ce sont les fameux rayons violets (violet ray energy).

Le patient était installé sur un siège en bois entre les deux résonateurs. Il était exposé à leur énergie durant quinze minutes.

Pour Lakhovski, toute cellule vivante quelle qu’elle soit, composant un tissu ou un organe, est un émetteur récepteur miniature, ayant sa propre fréquence : « Dans la nature, tout est vibration, en particulier la vie cellulaire, menacée en cas de déséquilibre oscillatoire. Chaque cellule vivante est un minuscule circuit oscillant qui joue le rôle d’un émetteur-récepteur d’ondes. Les vibrations de tous les circuits oscillants du corps sont dépendantes des ondes électromagnétiques ».

Principes de fonctionnement
La théorie qu’il élabora est que la maladie n’est pas le résultat d’un désordre chimique qui se rétablirait par une drogue ou un médicament. Pour lui, la maladie est le résultat d’une faiblesse de rayonnement et d’oscillation cellulaire, une anomalie dans l’amplitude de sa vibration, dues à un facteur externe à la cellule. L’intervention thérapeutique consiste alors, toujours selon Lakhovski, à inverser le processus provoquant la baisse de rayonnement énergétique en amplifiant ou renforçant la vibration fondamentale de la cellule et en lui redonnant toutes ses harmoniques, au moyen de vibrations lui permettant de retrouver l’amplitude de son oscillation naturelle.

Dans cette optique, le MWO permettrait aux cellules affaiblies par la maladie, de vibrer dans son champ énergétique  et d’être soumises à un bain de fréquences. Elles se mettraient à vibrer alors en résonance en captant les vibrations qui leur manquent. Les cellules malades sélectionnant automatiquement, dans un processus de résonance expliqué par la physique (loi de résonance sympathique), leur « bonne » fréquence, celle dont elles ont besoin pour retrouver leur vibration naturelle. Grâce à cette opération, elle se remettraient à vibrer à leur amplitude optimale. Ce processus est identique à la résonance provoquée par un diapason en vibration, posé sur la caisse d’une guitare : Il va faire vibrer la corde qui a la même fréquence que lui, en amplifiant sa vibration et en faisant chanter sa note.

Dans l’hypothèse de Lakhovski, on peut donc comparer le processus qui rend un organisme malade, à celui qui rendrait un piano désaccordé. Les cellules (cordes) qui le composent, ont perdu leur vibration naturelle qui les faisait jouer juste ou en santé.

Le passage du « corps-instrument » du patient traité au sein du bain d’ondes générées par le MWO, jouerait le même rôle que le passage d’un instrument entre les mains d’un accordeur : Les cellules se « réaccorderaient » en « écoutant » les ondes émises par l’appareil, au sein desquelles elle reconnaîtraient leur fréquence naturelle. Elles se remettraient alors à chanter leur note juste avec la bonne amplitude « santé », alors qu’elles avaient été préalablement faussées ou affaiblies par la maladie. L’accordeur de piano agit quant à lui sur la tension des cordes en appliquant une clé d’accord sur leur cheville (on parle ici toujours bien d’un piano). Pour que notre comparaison soit tout à fait correspondante, il faudrait que le  tuning  du piano se fasse automatiquement, en faisant simplement jouer les notes justes à l’instrument qui se réaccorderait tout seul… N’oublions pas qu’en mars 2004, le Dr Jim Gimzewski de l’UCLA (University of California, Los Angeles) a démontré que les cellules émettaient des fréquences qui diffèrent selon que la cellule est en santé ou non. Il a rendu le son de ces cellules audible, grâce à un microscope à effet tunnel et qu’il envisage de pouvoir détecter des cancers, juste en écoutant les son des cellules d’un patient .

Encore des hôpitaux
Les premiers essais cliniques du nouvel oscillateur à ondes multiples de Georges Lakhovski ont eu lieu en 1931 à l’hôpital St-Louis de Paris, dans le service du Dr Achille Louste. Le premier patient soigné souffrait d’un cancer de la bouche et fût guéri en l’espace de quatre semaines. La même année, Lakhovski publia son livre « L’Oscillation Cellulaire  ». Puis les années passent. En 1937, de séjour en Italie, il soigne le Pape Pie IX.

En 1939, la première édition anglaise que son livre « Le Secret de la Vie » est édité à Londres . En 1941, il fuit l’occupation nazie et part s’installer à New York. Il entretenait déjà des contacts avec un urologue new-yorkais et à Manhattan, Tesla avait son laboratoire… Une fois arrivé sur place, il rend visite à son ami Tesla et commence à faire des traitements expérimentaux de MWO thérapie dans un hôpital new-yorkais qui met en place durant 7 semaines un test clinique sur des patients atteints d’arthrite sévère et sur des malades incurables.

Dans l’édition suivante de The Secret of Life (1941) , Lakhovski décrit les résultats remarquables obtenus par cet important urologue de Brooklyn dont il ne donne pas l’identité.

La fin d’une aventure
En 1942, Georges Lakhovski meurt prématurément dans un accident, alors qu’il est renversé par une voiture. Encore conscient, il supplie les ambulanciers de le ramener chez lui et non à l’hôpital, où il jhnéanmoins conduit et où il meurt 24 heures plus tard. La mort accidentelle du chercheur, alors âgé de 73 ans, mit fin brutalement à la MWO thérapie expérimentée dans les hôpitaux de New York. Les protocoles de recherche avec cette thérapie prometteuse ont été arrêtés, les oscillateurs ont disparus du service hospitalier qui les expérimentait et les archives furent détruites. Ainsi, les résultats spectaculaires sur nombre de pathologies et les réussites thérapeutiques obtenues en particulier sur les cancers sont tombées dans les oubliettes.

Renouveau du MWO
Il a fallu ensuite attendre vingt et un ans pour que l’on reparle du fameux MWO, grâce à un physicien, le Dr Bob Beck (1925-2002). Ce dernier a retrouvé en 1963 un Multi Waves Oscillator dans le sous-sol d’un hôpital de Californie. Il en étudia le fonctionnement et consulta les divers documents et brevets déposés par Lakhovski à l’époque . En collaboration avec Thomas J. Brown, il écrivit une série d’articles explicatifs publiés dans le Borderlands Journal   et de nombreuses personnes se mirent à fabriquer leur propre oscillateur.

En 1986, l’éditeur du Borderlands Journal publie un imposant manuel intitulé : The Lakhowsky Multiple Wave Oscillator Handbook. Puis l’édition fût revue et augmentée en 1988, 92 et 94. Ces nouvelles publications ont inclus des articles de chercheurs ou d’expérimentateurs ainsi que des articles écrits par Lakhovski.

Georges Lakhovski a été l’un des grands pionniers de la médecine énergétique électromagnétique. Dès les années 1920, il a postulé que la cellule vivante captait et émettait de l’énergie. Il construisit des machines très simples basées sur la génération de courants électriques à haute fréquence, dont Nikola Tesla et Arsène D’Arsonval avaient avant lui soupçonné l’intérêt thérapeutique. Ainsi naquit le Multi Waves Oscillator.

Les recherches et observations faites par Lakhovski sont à mettre en parallèle avec celles du Dr Royal Rife, qui à la même époque, sur la côte ouest, s’est intéressé à l’usage thérapeutique des fréquences, pour détruire virus et bactéries. Cela se passait dans un laboratoire à La Jolla, en Californie mais cela, c’est une autre histoire…

Les rapports avec la Sonologie


À la lecture de ces histoires d’ondes, on peut se demander quels sont les rapports existants entre les théories de Lakhovski et la Sonologie. Dans cette discipline, nous nous intéressons aux sons, il est vrai mais aussi aux vibrations : tous les sons sont des vibrations mais toutes les vibrations ne sont pas des sons.

Il existe des vibrations acoustiques inaudibles pour l’être humain et d’autres formes de vibrations, de nature non acoustique, soit électromagnétiques, comme les couleurs ou les hautes fréquences utilisées par Tesla ou Lakhovski.

En Sonologie, nous nous intéressons à toutes formes de vibrations, acoustiques ou non et en cela les recherches relatées ici sont pour nous du plus grand intérêt en sachant que d’autres scientifiques se sont intéressés aussi à ce domaine de recherche.

 

Un des intérêts majeurs de la démarche de Lakhovski réside dans le fait d’avoir eu l’idée de produire un bain harmonique multifréquentiel, dans lequel les cellules affaiblies peuvent trouver la fréquence qui leur manque. L’utilisation de telles ondes transcodée à un niveau acoustique par transfert d’octaves, permet de renforcer l’idée selon laquelle la pratique du chant harmonique ou d’autres instruments harmoniques, comme le monocorde ou harpe harmonique, les bols tibétains, le tampura, le sitar etc., permet de créer un champ multifréquenciel produisant un large spectre, dans lequel les cellules du corps vont trouver une nourriture vibratoire avec laquelle s’harmoniser. Ceci sans parler des ondes de forme générées par les intervalles harmoniques caractéristiques des sons, proches du nombre d’or et de la suite de Fibonacci, qui jouent certainement un rôle.

La fin d’une aventure En 1942, Georges Lakhovski meurt prématurément dans un accident, alors qu’il est renversé par une voiture. Encore conscient, supplie les ambulanciers de le ramener chez  lui et non à l’hôpital, où il est néanmoins conduit et où il meurt 24 heures plus tard. La mort accidentelle du chercheur, alors âgé de 73 ans mit fin
brutalement à la MWO thérapie expérimentée dans les hôpitaux de New York. Les protocoles de recherche avec
cettethérapie prometteuse ont été arrêtés les oscillateurs ont disparus du servicehospitalier qui les expérimentait et les archives furent détruites.

Ainsi, les résultats spectaculaires sur nombre de pathologies et les
réussites thérapeutiques obtenues en particulier sur les cancers sont tombées dans les oubliettes. Renouveau du MWO Il a fallu ensuite attendre vingt et un ans pour que l’on reparle du fameux MWO, grâce à un physicien, le Dr Bob Beck (1925-2002). Ce dernier a retrouvé en 1963 un Multi Waves Oscillator dans le sous-sol d’un hôpital de
Californie. Il en étudia le fonctionnement et consulta les divers documents et brevets déposés par Lakhovski à Voir la page (en anglais) : http://www.smithsonianmag.si.edu/smithsonian/issues04/mar04/phenomena.html Ed. Gaston Dion, Paris 1931, 319 p Georges Lakhovsky, The Secret of Life : Cosmic rays & radiations of living beings, London, En

24 septembre 2016

John Searl l'homme qui construisait des soucoupes volantes

The John Searl Story Free Energy

En 1968, l’ingénieur britannique John Searl accomplissait devant les médias le premier vol d’une soucoupe volante civile, montrant ainsi aux yeux du monde que la surunité et l’antigravité ne relevaient pas de la science-fiction.
Source: http://peswiki.com/index.php/Directory:Searl_Effect_Generator_(SEG)

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Le brevet international des russes Vladimir Roschin et Sergei Godin de l’Académie des Sciences de Moscou, rendu public le 26 mai 2006, apporte la démonstration scientifique qu’un système sur-unitaire est réalisable. Pour faire cela, ils se sont basés sur les travaux de John Searl, un scientifique britannique, qui dés 1968 mis au point un système capable de léviter.
« Ce brevet présente un système magnétique composé d’aimants de terres rares capables de convertir diverses formes d’énergie, dés lors qu’un certain régime de fonctionnement critique est atteint. Lorsque le régime critique est atteint, l’installation expérimentale devient énergétiquement entièrement autonome. »
(source: Morphéus N°23, Septembre/Octobre 2007, www.morpheus.fr)


John Roy Robert Searl né le 2 mai 1932 est un inventeur britannique de Wantage en Angleterre.

Searl prétend qu'entre 1946 et 1956 il a conçu et construit un objet connu sous le nom de Générateur à effet Searl (Searl Effect Generator-SEG) capable d'antigravité et de mouvement perpétuel, en violation de la première loi de la thermodynamique.

source: wiki

Citer
John Roy Robert Searl est né le 2 mai 1932 dans une famille anglaise très pauvre. A l’âge de quatre ans, il a été séparé de son frère et de sa sœur et placé dans une famille d’accueil. Depuis l’âge de quatre ans et demi, jusqu’à dix ans il s’est mis à faire deux rêves par an dont l’un était la suite de l’autre. A dix ans, il a pensé que ces rêves avaient un sens et il a essayé de les interpréter.



Searl est l’un des nombreux inventeurs qui découvrit un moyen de générer de l’énergie gratuite et sans limites ainsi qu’une force d’antigravité, simplement en montant des systèmes rotatifs.

A quatorze ans, il construisit son premier Space Energy Generator (SEG) grâce au financement d’un gentleman âgé, M. George Haines qui croyait en lui. Ce premier appareil monté au domicile de M. Haines se mettait à accélérer lorsque Searl plaçait les rouleaux sur les plaques. Quand le SEG accélérait, un champ se développait autour de lui, il perdait de sa gravité, décollait et percutait le plafond à la grande surprise de M. Haines qui, lui, comptait sur un générateur et non un objet volant.

Le SEG restait collé au plafond jusqu’à ce qu’il sorte et disparaisse ; c’est ainsi que six modèles furent définitivement perdus . Searl ne savait pas comment contenir le champ produit. Pour M. Haines c’était de drôles de pétards à tirs uniques et ‘’ terriblement coûteux ! ’’ selon Searl.

Un témoignage anonyme

Searl, en 1949 travaillait pour la Compagnie des Midlands comme simple assembleur d’appareils électroniques. C’est en autodidacte qu’il étudia le mécanisme des génératrices et des moteurs électriques. Il constata rapidement que le mouvement rotatif des pièces de métal engendre une faible force électromotrice dont la polarité négative tendait à s’éloigner de l’axe de rotation tandis que la polarité positive tendait à s’en rapprocher.

En 1950, il poursuivit ses recherches en se servant d’une dynamo rotative composée de bagues collectrices oudisc-rotorsegmenté, que l’on mettait en rotation à grande vitesse parmi des électroaimants situés dans sa périphérie. A l’aide d’un appareil de mesure classique, il enregistra la force électromotrice de faible intensité qu’elle générait. Ayant remarqué que ses cheveux avaient tendance à se hérisser lorsqu’il se tenait à proximité de la dynamo en mouvement, il en déduisit que des électrons libres de charge négative, produisaient un champ de force centrifuge alors que l’électricité statique du métal engendrait un champ de force centripète. Il décida alors de construire une génératrice sur ce principe.

Il acheva dès 1952, sa première magnéto, d’un diamètre de un mètre. Le rotor était constitué d’un disque segmenté qui, en tournant, transmettait l’énergie à un stator périphérique formé d’électroaimants lesquels contribuaient à produire la force électromotrice. Avec l’aide d’un ami, Searl transporta son appareil dans un champ et le mit en route au moyen d’un petit moteur. Comme prévu, sa génératrice produisit de l’électricité mais à un taux qui dépassa largement ses attentes. A une vitesse relativement faible, elle était de l’ordre de 100.000 volts estimée d’après l’électrisation des objets environnants. Très vite, le million de volts fut dépassé, produisant un crépitement et une odeur d’ozone. Searl dit : '' Une fois que la machine a dépassé un certain seuil de potentiel, l’énergie à la sortie excédait celle d’entrée. A partir de ce moment, la production d’énergie semblait virtuellement sans limites. ''

C’est alors que se produisit un phénomène totalement inattendu. Le rotor se mit à accélérer, puis l’appareil commença à s’élever de terre, rompit le cordon d’alimentation qui le rattachait au moteur et se mit à flotter dans l’air en tournant de plus en plus vite, et continua à grimper jusqu’à une altitude de quinze à vingt mètres à laquelle il se stabilisa quelques temps. Tout autour du générateur - effet corona - , l’air était devenu rose fluorescent tant l’ionisation qu’il produisait était importante. Dans les parages, des récepteurs radio se mirent à fonctionner spontanément à cause de l’induction électromagnétique

Finalement, le rotor de la génératrice s’emballa à une vitesse fantastique et l’appareil ‘’tomba’’ dans l’espace comme si la gravitation terrestre était inversée et on ne l revit jamais.

Aussitôt que la génératrice franchit un certain seuil d’énergie potentielle de l'ordre de milliards (sic) de volts, la puissance fournie se met à dépasser celle qui est absorbée et continue de monter vers un niveau virtuellement illimité. Les mesures prises la situaient à des milliards (sic) de watts. A ce niveau de puissance, la génératrice et toutes ses composantes paraissent s’affranchir de la force d’inertie ; mais en se libérant de l’attraction terrestre, elles semblent aussi attirer à elles des morceaux de matière puisqu’elles ont tendance, en s’élevant, à arracher des mottes de gazon. (Voir l'effet d'écran que M. David explique par suppression d'une certaine quantité de gravitons ce qui annule ainsi une partie de la poussée gravitationnelle en direction de la Terre).

Il y a tout lieu de croire que la génératrice provoque une tension dans l’espace qui l’entoure. L’effort fourni pour abaisser cette tension se manifeste sous la forme d’un champ magnétique dont l’énergie est absorbée à nouveau par la génératrice qui, ainsi alimentée, fournit encore plus de tension à l’espace environnant, lequel réagit par un accroissement du champ magnétique qui, à son tour relance la génératrice dans une interaction sans fin, créant par le fait même une sorte de mouvement perpétuel. Ce processus démontre à l’évidence qu’il n’y a qu’une infime proportion de tissu spatial traversant l’appareil qui est convertie en énergie.

Au cours des expériences suivantes, Searl monta ses turbines dont deux de 10 mètres de diamètre, plus fermement dans le sol. Mais celles-ci s’arrachaient encore de la terre emportant avec elles leurs fondations. Elles semblaient produire une puissante force d’antigravité et d’après le cratère de forme hémisphérique laissé dans le sol, on déduisit que cette force opérait sur une sphère dont le générateur était le centre. Searl venait de ‘’tomber’’ sur d’extraordinaires phénomènes associés avec le mouvement de vortex.

Le Pr Searl a construit ensuite 40 disques à lévitation, contrôlés, que M Haines démontait ensuite pour protéger la technologie, les pièces étant utilisées pour la génération suivante. Le dernier appareil fabriqué était Demo 1, malheureusement perdu lui aussi. Ce n'était pas un petit modèle tenu par des fils mais un vaisseau de 6,40 mètres de diamètre, capable de voler et qui pesait des tonnes.

Des effets curatifs du SEG : Les appareils de Searl ont été détruits sauf deux donnés à des malades dont l’un d’eux avait une espérance de vie de quelques mois en raison d’une maladie des poumons. Le SEG a un avantage certain, il produit des décharges d’ions phénoménales aux effets curatifs. Searl avait été un jour brûlé par l’huile bouillante d’un récipient qu’il transportait dehors et qu’une malencontreuse ouverture de porte lui fit renverser. De plus, il était en sang. Deux semaines plus tard, il n’avait absolument plus aucune cicatrice.

John Searl offre son invention : tout le monde fait la sourde oreille

Dans les années 70, Searl qui était patriote offrit d’abord sa technologie à l’Angleterre. A la Reine et au Prince, il fit savoir ceci :

" Voudriez accepter ceci, je peux vous montrer comment construire cet appareil pour produire de l’énergie et pour fabriquer réellement un nouveau type de vaisseau aérien, ou simplement un appareil capable de remplacer l’avion."

Dans leurs réponses la Reine et le Prince le remercièrent vivement mais ne désirèrent pas le voir.

Searl offrit alors son invention aux USA. Il fit une démonstration à la base de l’Air Force d’Edwards. Au cours de la démonstration, il fit, à la télécommande, faire un tournant à 25 g. Les hommes de la base lui ont dit : ‘’Bon, cela pourrait tuer tous les passagers à bord des avions, nous ne voulons pas voir cet appareil, trop dangereux, nous ne pouvons pas nous en servir .’’

Searl, déconcerté fit ensuite un certain nombre d’essais pour déterminer la valeur des forces " g " internes de son appareil. Dans un de ces essais, un peu stupide, une ampoule contenant un élément radioactif était suspendue à l’appareil. Elle était censée se casser sous une force de 2 g. Searl fit subir à l’appareil diverses évolutions qui auraient pu le détruire, mais au retour, l’ampoule était intacte, démontrant ainsi que la relativité à l’intérieur de l’appareil n’était pas la même que dans un aéronef classique.

En 1989, Searl offrit sa technologie à Munich, en Allemagne et à un groupe de scientifiques autorisés à travailler dessus, du moins en R&D pour fabriquer un SEG. Le contrat de fabrication n’est pas connu, ses termes en seront discutés quand les offres seront présentes et qu’il sera alors possible de parler aux investisseurs devant l’appareil en fonctionnement.

Les médias et le Pr Searl

Les quatre plus grandes chaînes de télévision anglaises ont des vidéos complètes sur les disques en vol, on peut les demander à BBC1 qui se propose de les vendre – cher : 32 livres pour les 30 premières minutes et 10 livres pour chaque image plus 17,5 % de taxes - au Pr Searl (qui est à la recherche de tous documents puisque les siens ont été détruits).

24/01/1976BBC.1Nationwide Prog ram

28/10/1988BBC.1 Daytime

May 1994Southern Oregon Public Television & Local Access Cable

16/07/1994Radio WCVE

08/09/1994Radio WCVE

29/05/1995KRO Ararat Radio Station,Hilversum.

La presse écrite a beaucoup parlé de Searl :

Daily Mirrorrdu 13/03/1968

Hants & Berks Gazettedu 04/07/1969

Sunday Mirrordu 28/11/1971

Parade Magazinedu 19/05/1973

Daily Expressdu 25/04/1978

The Chronicle Toowoombadu 19/07/1995, Queensland, Australia

Perth Paper,du 07/08/1995, Western Australia

Hendon Timesdu 02/11/1995

Raum & Zeitde Décembre 1984, avril-mai, Juin-Juillet, Octobre Novembre 1989, et Janvier-Février1990

MAG2000vers 1968, n° 4 Février-Mars 1995, et n°103 Août-Septembre 1996

Dansk Institut For koogisk TeknikNo 21 –2 05/10/1990

UFO NORGE1991

Extra Ordinary Science Symposium EditionVol.VI Issue 2,n°1 Mai 1994

SAFE NEWSn°1 oct / nov / déc 1989

A chaque conférence, Searl a l’appareil avec lui ce qui lui permet d’en faire la démonstration. Un générateur à effet Searl a été présenté au congrès de la DVS à Denver en 1994.

La destruction du travail de Searl

En 1982, alors qu’il était occupé à une de ses expériences, dans sa maison de Mortimer dans le Berkshire en Angleterre, un groupe d’officiers pénétra chez lui, confisqua son appareil et arracha le câblage électrique. Il fut jugé pour vol d’électricité à la compagnie locale et condamné à payer une amende. Comme son appareil ne lui fut jamais rendu, il refusa de payer l’amende, et ce refus l’amena en prison. Sa femme et ses enfants n'ont jamais rien su de plus sur le travail de Searl que ce qui s'est dit à la télévision ou dans les articles à son sujet.

Le Pr Searl avait demandé à Gunnar Sandberg d'aller chez lui et retrouver des papiers y compris le registre de tous ses témoins. Sandberg s'y est rendu mais a dit au Pr qu'il y avait trop de choses et qu'il y retournerait plus tard. Pendant qu’il était incarcéré, sa maison fut incendiée. les autorités ont brûlé tous ses papiers avec le consentement de sa femme.

Il a fallu quatre jours pour détruire des années de travail et l'équivalent de 5 millions de livres. Sa femme, seule à en connaître la raison, est responsable de son emprisonnement et de l'incendie. Cet épisode entraîna leur séparation et le Pr Searl ne veut plus rien savoir de sa famille. Selon un témoignage, Le Pr Searl aurait vécu à Birmingham après 1987 sous un nom d'emprunt.


Des manœuvres indélicates

D'après un récit de Searl datant de décembre 1996, certains ont cherché à s'approprier " L'effet Searl " - controversé - tout en cherchant à le copier et tout en disant ne jamais l'avoir observé…

Lors d'une conférence au Danemark, le Dr Andreas Heerfordt a vivement critiqué Searl au sujet de rapports écrits par d'autres personnes sur l'effet Searl (critiques reprises dansElectric Spacecraft Journal).

Le Dr Heerfordt affirmait que G. Sandberg ne pouvait témoigner avoir vu des faits inhabituels en rapport avec les aimants utilisés par Searl. Sandberg était par ailleurs lié par contrat avec Collins qui s'attribue la propriété de " l'appareil Collins " supérieur selon lui à celui de Searl, mais qui n'avait pas fait ses preuves auprsè du Dr Edwards de l'Université. Sandberg avait cherché à obtenir la signature de Searl car l'Université où Collins travaillait avait besoin de son expérience ( Sandberg ayant cassé pour l'étudier un aimant prêté par Searl).

Collins cherchait à négocier les droits de son appareil en Australie en omettant bien de mentionner le nom de Searl.

Le Pr Searl disposant de milliers d’articles de journaux et d’émissions de télévision sur son travail dit ne rien avoir à prouver à M. Heerfordt ni à Electric Spacecraft Journal. Searl recommande à M. Heerfordt de lire ses livres pour connaître son appareil (ce qu’il n’avait toujours pas fait en décembre 1996).

Searl ne donnera pas davantage d'informations ni ne fera de démonstrations pour M. Heerfordt qui selon lui est seulement intéressé pour ce qu'il pourrait vendre sans que J. Searl n'en bénéficie.

Le S.E.G. de Searl, le rêve perdu

Le travail de Searl avait attiré des visiteurs par centaines (dont des gens célèbres) qui signaient le livre d’or et y écrivaient leurs commentaires. Tout a été perdu dans l’incendie.

Searl voulait voler lui-même sur un de ses appareils car il avait été déçu des refus des pilotes d’essais craignant les facteurs G élevés et les hauts voltages. Il était quasiment prêt à le faire grâce à l’investissement d’amis de Nouvelle Zélande. Le terrain était prêt, les trois passagers choisis. Searl venait juste d’obtenir son diplôme pour voler avec passagers (ce qui est bien autre chose qu’une licence de Piper Club) lorsqu’il a été arrêté.

Pendant qu’on le persécutait, il dut laisser pendant longtemps sa plus grande maquette sans surveillance, mais il la croyait en sûreté. Récemment, (1996 sans doute) il voulut la récupérer. Malheureusement, pendant ce temps, la personne qui lui avait permis d’utiliser son terrain était décédée, et sa femme avait tout vendu. Le nouveau propriétaire, un policier, avait vendu l’appareil pour le cuivre - cinq tonnes environ.

Cette déception était d’autant plus grande pour Searl que tout le reste avait été détruit. Même les photos provenant des différentes personnes ayant travaillé avec lui arrivaient au compte-goutte. L’affaire n’avait pas reçu de publicité et la plupart des films et photos ont été détruites. Toute personne disposant encore de photos ou de films des appareils de Searl est priée de contacter John A. Thomas à l’adresse de D.I.S.C. (ci-après).


Description d'un S.E.G.


 



Un SEG est composé d’une série de trois anneaux et de rouleaux qui circulent autour sans les toucher. L’appareil a un cylindre de néodymium contenu dans des anneaux de nylon, de fer et d’aluminium. Searl a choisi le nylon 66 car il a une qualité négative élevée ainsi qu’une double configuration de liaison (le nylon est utilisé comme semi-conducteur dans une diode).

Le premier anneau contient douze rouleaux (plus éventuellement, mais pas moins) correspondants au douze cycles ou phases minimum d’un moteur linéaire. Tous les détails de construction sont basés sur la Loi des Carrés. En observant une coupe, on voit que le SEG utilise le carré de quatre.

L’appareil est stationnaire : les électrons sont émis de l’élément central et ils circulent dans les autres éléments. L’élément central choisi est au néodyme, le Professeur Searl le connaissait depuis 1946 et l’a utilisé bien avant sa " découverte " par l'USAF en 1966. Cet élément découvert depuis 1885 était utilisé dans la fabrication de certains types de verre qui ne transmettent pas les rayons infrarouges. Sans le nylon, le SEG se comporterait comme un laser, une impulsion sortirait, s’arrêterait, se reconstruirait. Le nylon agit comme barrière de contrôle pour donner un flux régulier d’électrons dans le SEG.

Les balais capteurs d’électrons sont sur les bords externes du SEG et conçus pour être utilisés dans des véhicules à antigravité. Un jeu de transformateurs classiques en forme de C collectent l’énergie à utiliser et la transfèrent à l’endroit où elle doit être utilisée. Les appareils anti-g sont un peu différents des générateurs classiques en ce sens qu’au lieu d’alimenter en 240 v comme en Europe et 130 V comme aux USA, il sort des centaines de millions de volts.


Les Champs magnétiques imprimés

Les rouleaux ont un pôle nord et un pôle sud primaires comme les plaques. Le pôle nord du rouleau étant bien sûr attiré par le pôle sud de la plaque. D’habitude, ils se calent droit dessus et ne sont pas capables de se déplacer, particulièrement avec le néodyme. Mais il y a un champ secondaire imprimé inscrit sur ces aimants au moyen d’un composant à courant alternatif. En imprimant un tel champ magnétique sur le rouleau, le Pr Searl était capable de faire circuler les rouleaux autour de la barre, même vers un angle de 90 ° parce que les lignes (voies) des champs sont imprimés sur les aimants.

Pour faire ces aimants, il faut un composant à courant alternatif pour influencer le champ de courant continu. Quand le champ est déformé de multiples pôles se forment à la surface des rouleaux et des anneaux. La fréquence utilisée est différente sur les rouleaux et les anneaux, ce qui crée une non unité entre les deux faces de manière à empêcher aux aimants de réussir l’unité en allant vers une orientation nord-sud.

L’impression, qui se fait en Allemagne, est difficile à réaliser. Il faut imprimer les lignes magnétiques et refroidir sans provoquer de cassure. On utilise des bobines pour ce faire, en supprimant d’abord les champs existants puis en produisant ensuite le champ imprimé, et enfin en refroidissant le composant terminé. On contrôle à l’oscilloscope la forme de l’onde imprimée.

Si l’on place les rouleaux sous de la limaille de fer sur une feuille, on obtient des résultats inhabituels…un grand modèle sur chaque pôle, quasiment aucun modèle angulaire dans un arc entre les pôles. Il y a à la fois des pôles en couches et des pôles individuels, cette uniformité des pôles à l’extérieur étant très importante, ces pôles magnétiques étant leurs propres moteurs primaires.

Le SEG est remarquable car aucune de ses parties n’est en contact avec les autres, il n’y a donc aucune friction. Les rouleaux planent sur le champ magnétique en raison du composant courant alternatif inscrit sur eux. Ils ne décolleront pas à cause du courant continu qui leur a été imprimé. Ils circulent autour du premier anneau à 400 km à l’heure et deux fois et demi plus vite en allant vers l’extérieur.


L’effet Searl est mesurable

Au séminaire de l’Université du Middlesex à Londres, le 10/03/1996, le Pr Searl a utilisé des instruments de mesure facilement disponibles pour prouver sa découverte. Il a commencé sa démonstration avec un segment construit selon ses indications spécifiques. Il a alors fait toucher une sonde venant de l’oscilloscope au centre du segment, l’autre sonde touchant l’anneau extérieur à ce segment. Le résultat a été visible sous forme de crête observée sur l’oscilloscope. Ce pic a montré qu’il existe vraiment une charge lorsqu’une combinaison d’éléments est pressée et mise en forme d’une façon bien déterminée. Searl a montré une charge de 3 volts toutes les cinq millisecondes, un de ses associés a même pu obtenir 12 à 15 volts.

Le circuit se déplace à travers les éléments en couches dans le segment qui montre un potentiel négatif, c’est à dire, une libération d’électrons qui est une preuve de charge.

Il est donc possible d’extraire de l’électricité de notre environnement, et seulement avec les éléments ambiants. Le segment émet un flux d’électrons en captant le potentiel de cette fabrique d’espace environnant. Il y a donc là une source d’électrons qui est transmise du noyau interne du segment vers son périmètre, et continuellement libérés.


Importance du choix de l’élément

En observant la Table des Eléments, Searl a remarqué que la structure atomique de chacun est illustrée et a découvert que les éléments qui convenaient le mieux étaient hexagonaux, ce qui n’est pas le cas du fer. Il les utilise en conjonction avec une configuration hexagonale pour capter la meilleure manière de développer l’effet.

Les poudres qui doivent avoir une granulation spécifique, un poids atomique et des dimensions exactes sont assemblées pour répondre aux exigences de la Loi des Carrés. Ce sont les éléments du centre qui ont le poids atomique le plus lourd (néodymium 60 utilisé dès le premier SEG).

La Loi des Carrés


 La Loi des Carrés, assez complexe (John Thomas l’a étudiée de très près) est basée sur trois et (trois seuls) groupes de carrés de groupe 1, 2 et 3. Les carrés du groupe 1 comprennent tous les nombres impairs, ceux du groupe 2 ont tous les nombres pairs divisibles par quatre, et tous les nombres impairs non divisibles par quatre sont dans le groupe 3. Dans ses livres, Searl signale qu’un carré de groupe 1 tourne.

Dans ces carrés, la somme de tous les nombres en lignes horizontales, verticales ou diagonales donne le même nombre. Dans le passé, on les nommait Carrés magiques, ce n’est donc pas une nouvelle technique. John Thomas a fait une extrapolation d’un carré de groupe 2 dans un cube déployé. Il s’est rendu compte qu’il se trompait en pensant que la même valeur serait obtenue pour toutes les directions des lignes. Avec ce cube, il a trouvé qu’il y avait un modèle de commutation impliqué que l’on pouvait mettre en équation le modèle de commutation des carrés avec celui vu dans le cube, ce qui conduisait à un monde en trois dimensions.

 



Il était ensuite possible de passer facilement à un modèle de commutation dans les valences atomiques ou la structure atomique

La découverte fortuite et heureuse du système de contrôle des S.E.G.

Un jour, le Pr Searl donnait une interview filmée pour un journal. Il finissait à peine de dire que son appareil ne s’arrêtait pas, que celui-ci stoppa. Searl en resta bouche bée. Mais c’était le meilleur coup de chance qu’il pouvait lui arriver car Searl a pu grâce à cela contrôler ses disques avec à un circuit de télécommande mécanique ou électronique.

Il réalisa immédiatement que la clé se trouvait dans la fréquence, la caméra vidéo s’était abaissée sur le SEG pour le prendre en gros plan. L’harmonique ou la fréquence de résonance émise par la caméra vidéo résonnait sur la fréquence primaire du SEG et la neutralisait, ce qui faisait que les pôles arrivaient à l’unification et stoppaient.

Il se passe des choses curieuses dans les disques de Searl. Un vide se produit et se développe au centre, siège d’un champ libéré de l’inertie. C’est le principe même utilisé dans le SEG (Space Energy Generator) et qui fait qu’une masse de métal en rotation projette les électrons sur le bord d’un accumulateur-récepteur. Il est alors possible de capter ces énergies électrostatiques à haute densité, (comme dans une machine de Wimshurst ou Testatika ou une machine de Hyde). Ou bien, la rotation peut faire fonctionner un autre générateur.

Le rêve retrouvé de Searl

On pourrait penser que tout le travail de Searl est perdu, comme celui des Tesla, Keely, Schauberger, Carr et tant d’autres qui ont été contraints de garder leurs secrets pour ne pas se les voir voler ou les voir exploiter dans de mauvaises mains. Quelles fabuleuses inventions auraient pu sortir de l’esprit de ces grands hommes à la lumière de nos découvertes modernes ?

Mais Searl n’est pas homme à s’arrêter, il a une volonté de fer et se voue à offrir sa technologie pour un monde meilleur. Il a diffusé ses travaux dans son livre " la Loi des Carrés ".

En 1989 le Pr Searl a donné des conférences à Munich, à Einsiedeln en Suisse au congrès international sur l’énergie

En 1990, à l’école de médecine de Munich, à l’Institut de l’Environnement au Danemark suivi d’une tournée de trois semaines de conférences

En 1994, au congrès INE de Denver Colorado

En 1996, à l’Université du Middlesex, au Centre Commercial Ilsington et à l’école supérieure du comté de Mill Hill

Trois séminaires étaient prévus en 1996 en Angleterre

Le Pr Searl poursuit avec acharnement ses travaux en dépit de grandes difficultés et il met actuellement au point un générateur d'électricité basé sur sa technologie. Il souhaite que cela atteigne le public avant une autre censure ou destruction. Il croit que le temps est venu pour que le monde dispose de cette technologie pour le plus grand bénéfice de l'humanité et la réparation des dommages causés à la couche d'ozone par la pollution mondiale.

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13 Blackburn Mower Strand, Grahame Park Estate London NW9 5NG

Tél : +44 (0) 181 200-0714 Fax : +44 (0) 181 200-5932

D.I.S.C.détient la connaissance nécessaire à : la construction d’un SEG de 11 kW à usage domestique sur 240V ou 110V en courant alternatif (il peut être construit pour l’industrie à tous voltages et ampérages) et à la construction d’un vaisseau volant dénommé véhicule à anti - (IGV).

Neuf personnes entourent le Pr Searl, dont John Thomas, co-fondateur. Il est possible d’appeler le Pr Searl au Tél. 0181 200 0714, Fax 0181 200 5932 ou par e-mail sur le site http://www.moose.co.uk/userfiles/prof.j.searl/index.html

Il existe d’autres correspondants aux USA, en Allemagne, en Irlande, en Nouvelle-Zélande, en Australie

Parmi eux, des physiciens, des ingénieurs, pilotes d’avions, informaticiens et d’autres personnes qui font connaître les travaux de Searl et ses livres

Adresse aux USA : John A. Thomas Jr, 373 Rock Beach Road, Rochester, New York 14617-1316

Tél : +1 716 467 2694 Fax:+ 1 716-338-2663 –e-mail : discjt@servtech.com

Voir une nouvelle conception de SEG par Dave Squires sur le site de Jean-Louis Naudin. Cette extension faite d'après les travaux sur le moteur électrostatique à capacité et haut voltage, le PFT MK2 n'a pas encore été expérimentée mais son auteur pense que le déséquilibre de vecteur S -Poynting est la cause du mouvement des rouleaux. http://www.fortunecity.com/tattooine/delany/256/html/newseg.htm



Source:http://quanthomme.free.fr/energielibre/gravitation/GR_Inventeur1.htm

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