Des scientifiques ont réussi à implanter une puce permettant à la mémoire, la pensée, et aux comportements d’être transférés
Le déni et la création de souvenirs
Pour en arriver à ces conclusions, les deux psychologues avaient construit un mode opératoire assez simple : « Chaque participant de l’étude lisait quatre récits rédigés par un membre de sa famille. Ces textes décrivaient des événements présentés comme étant des expériences vécues alors qu’il était âgé de 5 ou 6 ans. L’un des récits, totalement faux, racontait une aventure angoissante au cours de laquelle il s’était perdu, enfant, dans un centre commercial. Recueilli par une vieille dame, il fut ensuite ramené à ses parents. » (Publication du CNRS) Les résultats de l’enquête furent étonnants, en effet 25 % des participants se sont souvenus à tort, et avec plus ou moins de détails, s’être perdus dans le centre commercial.
Dans une deuxième expérience menée quelque temps plus tard, Elizabeth Loftus et Jacqueline Pickrell, se sont aussi « amusées » à recréer le faux souvenir d’une visite à Disneyland à partir d’une fausse publicité où l’on voyait le personnage de Bugs Bunny (qui ne fait pas partie de l’univers Disney). Les conclusions de l’enquête ont montré que près de 30 % des personnes qui ont été exposées à la fausse publicité (avec Bugs Bunny) déclaraient se souvenir d’avoir rencontré Bugs Bunny lors de leur visite à Disneyland.
maintenant passons au niveau supérieur :
Des scientifiques ont réussi à implanter une puce qui contrôle le cerveau
Des scientifiques ont réussi à implanter une puce qui contrôle le cerveau permettant à la mémoire, la pensée, et aux comportements d’être transférés d'un cerveau à un autre
Des scientifiques ont réussi, grâce à des implants neuronaux à pallier aux systèmes hippocampiques défectueux, ce qui est un message d'espoir pour toutes les personnes touchées par la maladie d’Alzheimer. Des pensées et des souvenirs pourraient même être « téléchargés » d'un cerveau à un autre. Imaginez que l'on puisse apprendre le Kung Fu en 2 secondes ! Ces applications pratiques n'ont pas échappées au ministère américain de la Défense, qui y voit la possibilité d'apprendre instantanément à ses jeunes recrues comment piloter, de façon opérationnelle un coûteux F-15, ou à la toute aussi innovante Sécurité intérieure des États-Unis, qui elle y voit plus de possibilités de scanner vos pensées (et pourquoi pas dans le futur à distance), ceci pour les analyser grâce à des systèmes experts... Et ainsi préventivement les « patcher » en vous empêchant de nuire avant même que vous n'en ayez eu l'idée !... Sinon ça reste une bonne nouvelle pour l'humanité... ; ) Encore une fois ce n'est PAS la technologie qui est en cause, mais ce que l'on en FAIT. Un pas de plus vers le Transhumanisme...le but finale c'est de telecharger la mémoire humaine et lui assurer une immortalité a travers ses propres souvenirs evidemment réservées aux elites ,
Les scientifiques qui travaillent à l'Université de Californie du Sud, au département du Centre National de la Sécurité Intérieure d’analyse des risques économiques et des événements terroristes, ont créé un système de mémoire artificielle qui permet à la pensée, aux souvenirs et aux comportements appris d’être transférés d'un cerveau à un autre.
Dans une scène tout droit sorti d'un roman de George Orwell, une équipe de scientifiques travaillant dans les domaines de «l'ingénierie des neurones» et des «systèmes biomimétique microélectroniques» ont réussi à créer une puce qui contrôle le cerveau et peut être utilisé comme un périphérique de stockage pour les souvenirs a long terme. Dans ces études, les scientifiques ont été capables d'enregistrer, de télécharger et de transférer des souvenirs dans les autres hôtes avec la même puce implantée. L'avancement de la technologie amène le monde un pas de plus vers un état policier global et vers la réalité du contrôle de l'esprit absolu.
Plus terrifiant est le potentiel de mise en œuvre de ce qui était seulement un fantasme de science-fiction – avec la «Police de la Pensée» - où le gouvernement lit les mémoires et les pensées et peut ensuite les réhabiliter par la torture, avant qu'ils n’aient jamais même pu commettre un crime, grâce à une analyse informatique statistique, des personnes présentant certains types de pensées, qui sont susceptibles de commettre un certain type de crime dans le futur.
Nous avons déjà de façon préemptive envahi des nations et torturé des suspects de terrorisme sans aucune procédure légale, donc l'idée de torturer de manière préemptive un suspect de terrorisme à l'avance pour l'empêcher de commettre un acte de terrorisme à l'avenir n’est pas à écarter.
Peut-être un exemple moins sensationnel que celui que je viens de peindre à partir du célèbre roman dystrophique d'Orwell serait d’utiliser la technologie telle qu'elle est dépeinte dans les films modernes de nos jours comme « Matrix », dans lequel les programmes informatiques sont téléchargés dans le cerveau des gens en leur permettant d’apprendre instantanément à effectuer une grande variété de tâches.
C'est exactement l'exemple que Planet Smart utilise dans leur écriture sur le communiqué de presse USC
La réalité Matrix : des scientifiques implantent avec succès un système de mémoire artificiel
Il semble que l'industrie de la science-fiction l’ait fait de nouveau. Les prévisions faites dans des romans comme Johnny Mnemonic, ou le Neuromanciendans dans les années 1980 avec des implants neuronaux reliant nos cerveaux aux machines sont devenues une réalité.
À l'époque, il semblait impensable que nous ayons jamais des mégaoctets caché dans notre cerveau comme le personnage deKean Reeves dans Johnny Mnemonic le faisait dans le film basé sur le roman de William Gibson. Ou que le personnage Néo dans Matrix avait eu des capacités d’arts martiaux téléchargés dans son cerveau, rendant célèbre la réplique, « Je connais le Kung Fu.» (Pourquoi Kean Reeves est devenu la tête d'affiche des films de science fiction, je ne le saurai jamais.) Mais aujourd'hui nous avons des macaques qui peuvent contrôler un bras robotisé avec leurs pensées seules. Nous avons donnée la possibilité à des paraplégiques de contrôler des curseurs informatiques et des fauteuils roulants avec leurs ondes cérébrales. Bien sûr ce n'est qu’au sujet du cerveau contrôlant un périphérique.
Mais qu'en est-il de l'autre sens où nous pourrions avoir un dispositif d'amplification du cerveau? Alors que l'implant cochléairepeut être le meilleur dispositif connu de ce genre, les scientifiques ont travaillé sur les implants cérébraux dans le but d'améliorer la mémoire. Ce genre de découverte pourrait conduire à la construction d'une prothèse neurale pour aider les victimes d'AVC ou les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. Ou à l'extrême, penser à télécharger des talents de Kung Fu dans nos cerveaux.
Depuis une décennie de travail dirigé par Theodore Berger à l'Université de Californie du Sud, en collaboration avec les équipes de l'Université Wake Forest, qui a permis un grand pas dans la direction du travail de la mémoire artificielle. Leur étude est finalement publiée aujourd'hui dans le Journal of Neural Engineering. Une micro-puce implantée dans le cerveau d'un rat peut prendre le rôle de la zone responsable des modèles, et à long terme de la mémoire des souvenirs et du codage des ondes cérébrales de l'hippocampe afin d’envoyer ensuite ce même schéma électrique de signaux à travers le cerveau.
Dès 2008, Berger a déclaré, à l'American Scientific que si les schémas cérébraux de la phrase, «See Spot Run», ou même un livre entier pourrait être déchiffré, alors nous pourrions faire du téléchargement d’instructions vers le cerveau, une réalité. «Le genre d'exemples que le ministère américain de la Défense aime généralement utiliser avec les informations de codage pour le vol d'un F-15», Berger est cité dans l'article comme disant.
Dans cette étude, les scientifiques faisaient en sorte que les rats apprennent une tâche, en appuyant sur l'un des deux leviers pour recevoir une gorgée d'eau. Les scientifiques ont inséré une puce dans le cerveau du rat, avec des fils vissés dans l'hippocampe. La puce a enregistré des schémas électriques à partir de deux domaines spécifiques étiquetés CA1 et CA3 qui travaillent ensemble pour apprendre et mémoriser les nouvelles informations et quel levier presser pour obtenir de l'eau. Les scientifiques ont alors fermé CA1 avec un médicament. Et construit une partie artificielle hippocampique qui pourrait reproduire ces schémas électriques entre CA1 et CA3, et l'ont inséré dans le cerveau du rat. Avec cette partie artificielle, dont les rats CA1 avaient été bloquée pharmacologiquement, ils pourraient encore encoder des souvenirs à long terme. Et dans ces rats qui avaient un fonctionnant normal de CA1, le nouvel implant a prolongé la durée que la mémoire pouvait être tenue.
Source : Planet Smart
L'article de Planet Smart poursuit en soulignant que la prochaine phase de test sera effectuée sur les primates et que le processus finira par être testé sur des humains.
Depuis le communiqué de presse USC :
USC : restauration de la mémoire, et réparation de cerveaux endommagés et effacement de memoire ce qu'il ne dit pas
par project-world-vision 02 Jul
Des scientifiques ont réussi à implanter une puce qui contrôle le cerveau
Des scientifiques ont réussi à implanter une puce qui contrôle le cerveau permettant à la mémoire, la pensée, et aux comportements d’être transférés d'un cerveau à un autre
Du gros, du lourd, avec cet article de BlacklistedNews. Des scientifiques ont réussi, grâce à des implants neuronaux à pallier aux systèmes hippocampiques défectueux, ce qui est un message d'espoir pour toutes les personnes touchées par la maladie d’Alzheimer. Des pensées et des souvenirs pourraient même être « téléchargés » d'un cerveau à un autre. Imaginez que l'on puisse apprendre le Kung Fu en 2 secondes ! Ces applications pratiques n'ont pas échappées au ministère américain de la Défense, qui y voit la possibilité d'apprendre instantanément à ses jeunes recrues comment piloter, de façon opérationnelle un coûteux F-15, ou à la toute aussi innovante Sécurité intérieure des États-Unis, qui elle y voit plus de possibilités de scanner vos pensées (et pourquoi pas dans le futur à distance), ceci pour les analyser grâce à des systèmes experts... Et ainsi préventivement les « patcher » en vous empêchant de nuire avant même que vous n'en ayez eu l'idée !... Sinon ça reste une bonne nouvelle pour l'humanité... ; ) Encore une fois ce n'est PAS la technologie qui est en cause, mais ce que l'on en FAIT. Un pas de plus vers le Transhumanisme... David va être content ; )
Par Alexander Higgins – Article activiste
Les scientifiques qui travaillent à l'Université de Californie du Sud, au département du Centre National de la Sécurité Intérieure d’analyse des risques économiques et des événements terroristes, ont créé un système de mémoire artificielle qui permet à la pensée, aux souvenirs et aux comportements appris d’être transférés d'un cerveau à un autre.
Dans une scène tout droit sorti d'un roman de George Orwell, une équipe de scientifiques travaillant dans les domaines de «l'ingénierie des neurones» et des «systèmes biomimétique microélectroniques» ont réussi à créer une puce qui contrôle le cerveau et peut être utilisé comme un périphérique de stockage pour les souvenirs a long terme. Dans ces études, les scientifiques ont été capables d'enregistrer, de télécharger et de transférer des souvenirs dans les autres hôtes avec la même puce implantée. L'avancement de la technologie amène le monde un pas de plus vers un état policier global et vers la réalité du contrôle de l'esprit absolu.
Plus terrifiant est le potentiel de mise en œuvre de ce qui était seulement un fantasme de science-fiction – avec la «Police de la Pensée» - où le gouvernement lit les mémoires et les pensées et peut ensuite les réhabiliter par la torture, avant qu'ils n’aient jamais même pu commettre un crime, grâce à une analyse informatique statistique, des personnes présentant certains types de pensées, qui sont susceptibles de commettre un certain type de crime dans le futur.
Nous avons déjà de façon préemptive envahi des nations et torturé des suspects de terrorisme sans aucune procédure légale, donc l'idée de torturer de manière préemptive un suspect de terrorisme à l'avance pour l'empêcher de commettre un acte de terrorisme à l'avenir n’est pas à écarter.
Peut-être un exemple moins sensationnel que celui que je viens de peindre à partir du célèbre roman dystrophique d'Orwell serait d’utiliser la technologie telle qu'elle est dépeinte dans les films modernes de nos jours comme « Matrix », dans lequel les programmes informatiques sont téléchargés dans le cerveau des gens en leur permettant d’apprendre instantanément à effectuer une grande variété de tâches.
C'est exactement l'exemple que Planet Smart utilise dans leur écriture sur le communiqué de presse USC
La réalité Matrix : des scientifiques implanteGrandent avec succès un système de mémoire artificiel
Il semble que l'industrie de la science-fiction l’ait fait de nouveau. Les prévisions faites dans des romans comme Johnny Mnemonic, ou le Neuromanciendans dans les années 1980 avec des implants neuronaux reliant nos cerveaux aux machines sont devenues une réalité.
À l'époque, il semblait impensable que nous ayons jamais des mégaoctets caché dans notre cerveau comme le personnage deKean Reeves dans Johnny Mnemonic le faisait dans le film basé sur le roman de William Gibson. Ou que le personnage Néo dans Matrix avait eu des capacités d’arts martiaux téléchargés dans son cerveau, rendant célèbre la réplique, « Je connais le Kung Fu.» (Pourquoi Kean Reeves est devenu la tête d'affiche des films de science fiction, je ne le saurai jamais.) Mais aujourd'hui nous avons des macaques qui peuvent contrôler un bras robotisé avec leurs pensées seules. Nous avons donnée la possibilité à des paraplégiques de contrôler des curseurs informatiques et des fauteuils roulants avec leurs ondes cérébrales. Bien sûr ce n'est qu’au sujet du cerveau contrôlant un périphérique.
Mais qu'en est-il de l'autre sens où nous pourrions avoir un dispositif d'amplification du cerveau? Alors que l'implant cochléairepeut être le meilleur dispositif connu de ce genre, les scientifiques ont travaillé sur les implants cérébraux dans le but d'améliorer la mémoire. Ce genre de découverte pourrait conduire à la construction d'une prothèse neurale pour aider les victimes d'AVC ou les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. Ou à l'extrême, penser à télécharger des talents de Kung Fu dans nos cerveaux.
Depuis une décennie de travail dirigé par Theodore Berger à l'Université de Californie du Sud, en collaboration avec les équipes de l'Université Wake Forest, qui a permis un grand pas dans la direction du travail de la mémoire artificielle. Leur étude est finalement publiée aujourd'hui dans le Journal of Neural Engineering. Une micro-puce implantée dans le cerveau d'un rat peut prendre le rôle de la zone responsable des modèles, et à long terme de la mémoire des souvenirs et du codage des ondes cérébrales de l'hippocampe afin d’envoyer ensuite ce même schéma électrique de signaux à travers le cerveau.
Dès 2008, Berger a déclaré, à l'American Scientific que si les schémas cérébraux de la phrase, «See Spot Run», ou même un livre entier pourrait être déchiffré, alors nous pourrions faire du téléchargement d’instructions vers le cerveau, une réalité. «Le genre d'exemples que le ministère américain de la Défense aime généralement utiliser avec les informations de codage pour le vol d'un F-15», Berger est cité dans l'article comme disant.
Dans cette étude, les scientifiques faisaient en sorte que les rats apprennent une tâche, en appuyant sur l'un des deux leviers pour recevoir une gorgée d'eau. Les scientifiques ont inséré une puce dans le cerveau du rat, avec des fils vissés dans l'hippocampe. La puce a enregistré des schémas électriques à partir de deux domaines spécifiques étiquetés CA1 et CA3 qui travaillent ensemble pour apprendre et mémoriser les nouvelles informations et quel levier presser pour obtenir de l'eau. Les scientifiques ont alors fermé CA1 avec un médicament. Et construit une partie artificielle hippocampique qui pourrait reproduire ces schémas électriques entre CA1 et CA3, et l'ont inséré dans le cerveau du rat. Avec cette partie artificielle, dont les rats CA1 avaient été bloquée pharmacologiquement, ils pourraient encore encoder des souvenirs à long terme. Et dans ces rats qui avaient un fonctionnant normal de CA1, le nouvel implant a prolongé la durée que la mémoire pouvait être tenue.
Source : Planet Smart
L'article de Planet Smart poursuit en soulignant que la prochaine phase de test sera effectuée sur les primates et que le processus finira par être testé sur des humains.
Depuis le communiqué de presse USC :
USC : restauration de la mémoire, et réparation de cerveaux endommagés
Les ingénieurs biomédicaux analysent et reproduisent les mécanismes-neuronaux de l'apprentissage chez les rats
LOS ANGELES, 17 Juin, 2011 / PRNewswire /
Les scientifiques ont développé un moyen de transformer les souvenirs en marche et en arrêt littéralement en actionnant un interrupteur.
(Informations sur l'image) pour les accidentés ou les victimes de la maladie d'Alzheimer, la promesse de la récente percée du Dr Theodore Berger est énorme: imaginez une puce-prothèse insérée dans le cerveau qui imite la fonction de l'hippocampe d’un cerveau endommagé (la région associée à la mémoire à long terme). Les tests actuels de laboratoire ont démontré avec succès sur des rats, avec la restauration de la mémoire à long terme à la chiquenaude d'un interrupteur, va maintenant être dupliqué chez les primates (singes) et finalement les humains. (PRNewsFoto / USC Viterbi School of Engineering)
En utilisant un système électronique qui duplique les signaux neuronaux associés à la mémoire, ils ont réussi à reproduire le fonctionnement du cerveau chez les rats associés à un comportement appris à long terme, même lorsque les rats avaient été drogués pour oublier.
Appuyer sur l'interrupteur, et les rats vont se rappeler. Mettez-le sur « arrêt», et les rats vont « oublier », dit Théodore Berger, de l'USC School Viterbi du département Engineering de génie biomédical.
Berger est l'auteur principal d'un article qui sera publié dans le Journal of Neural Engineering. Son équipe a travaillé avec des scientifiques de l'Université Wake Forest dans l'étude, en s'appuyant sur les avancées récentes dans notre compréhension de la région du cerveau connue comme l'hippocampe et son rôle dans l'apprentissage.
Dans l'expérience, les chercheurs apprennent une tâche à des rats, en appuyant sur un levier plutôt qu'un autre pour recevoir une récompense. Avec l'utilisation des sondes électriques intégrés, l'équipe de recherche expérimentale, dirigé par Sam A. Deadwyler du Département de Wake Forest de physiologie et pharmacologie, a enregistré des changements dans l'activité du cerveau du rat entre les deux grandes divisions internes de l'hippocampe, appelé sous-régions CA3 et CA1. Pendant le processus d'apprentissage, l'hippocampe convertit la mémoire à court terme en mémoire à long terme, les chercheurs ont montré avec des travaux antérieurs.
«Pas d’hippocampe», explique Berger, «pas de mémoire à long terme, mais toujours de la mémoire à court terme.» CA3 et CA1 interagissent pour créer la mémoire à long terme, les recherches antérieures l’ont montré.
Dans une démonstration spectaculaire, les expérimentateurs ont bloqué des interactions de neurones normaux entre les deux zones en utilisant des agents pharmacologiques. Les rats préalablement formés, ne font plus le comportement à long terme appris.
«Les rats ont encore montré qu'ils savaient que lorsque vous appuyez sur la première à gauche, puis appuyez sur la droite la prochaine fois, et vice-versa,» a déclaré Berger. «Ils savaient encore en général presser les leviers pour l'eau, mais ils ne pouvaient se rappeler s’ils avaient appuyé à gauche ou à droite pour les 5-10 secondes précédentes.»
En utilisant un modèle créé par l'équipe de recherche prothésique dirigée par le Dr. Berger, les équipes sont ensuite allés plus loin et ont développé un système artificiel hippocampique qui pourrait reproduire le schéma d'interaction entre CA3-CA1.
Les capacités de la mémoire à long terme sont retournées aux rats pharmacologiquement bloqués lorsque l'équipe a activé le dispositif électronique programmé pour reproduire la fonction de mémoire de codage.
En outre, les chercheurs ont ensuite montré que si une prothèse et ses électrodes associées sont implantées dans des animaux avec un hippocampe fonctionnant normalement, le dispositif pourrait renforcer la mémoire générée en interne dans le cerveau et améliorer la capacité de mémoire des rats normaux.
«Ces études intégrées de modélisation expérimentale montrent pour la première fois que des informations suffisantes sur le codage neuronal des souvenirs, avec une prothèse neurale capable d'identification et de manipulation en temps réel du processus d'encodage peut restaurer et même améliorer les processus mnémoniques cognitifs», dit le papier.
Les prochaines étapes, selon Berger et Deadwyler, seront de tenter de reproduire les résultats du rat chez les primates (singes), dans le but d'éventuellement créer des prothèses qui pourraient aider les victimes humaines de la maladie d'Alzheimer, et des accidents vasculaires cérébraux ou les victimes de blessures afin de récupérer la fonction perdue ou altérée.
Le document est intitulé «Une prothèse neurale corticale pour la restauration et le renforcement de la mémoire.» Outre Deadwyler et Berger, les autres auteurs sont, Professeur Vassilis Z. Marmarelis de l'USC, le BME et le Professeur adjoint Dong Song, de Wake Forest, le professeur agrégé Robert E. Hampson et post-doctoral Anushka Goonawardena.
Berger, qui détient la chaire en génie de David Packard, est le Directeur du Centre d'USC pour le Neural Engineering, directeur associé de la National Science Foundation biomimétique Systèmes de génie microélectronique Research Center, et Fellow de l'IEEE, l'AAAS, et le AIMBE.
SOURCE USC Viterbi School of Engineering
LIENS
Après le lien vers le site de l'Université, nous trouvons les centres de recherche et les programmes suivants associés à l'école.
Source: Crashdebug
Creating false memories - Elizabeth Loftus -University of Washington
"I Tawt I Taw" A Bunny Wabbit At Disneyland: New Evidence Shows False Memories Can Be Created