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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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proces
1 avril 2016

Monsanto, un demi-siècle de scandales sanitaires

La condamnation, lundi 13 février, du géant américain de l'agroalimentaire Monsanto, poursuivi par un petit agriculteur charentais intoxiqué par un herbicide, est une première en France. A l'échelle de l'histoire de la multinationale, centenaire, cette condamnation ne constitue qu'une péripétie judiciaire de plus dans un casier déjà très chargé.

PCB, agent orange, dioxine, OGM, aspartame, hormones de croissance, herbicides (Lasso et Roundup)… nombre de produits qui ont fait la fortune de Monsanto ont été entachés de scandales sanitaires et de procès conduisant parfois à leur interdiction. Mais rien n'a jusqu'ici freiné l'irrésistible ascension de cet ancien géant de la chimie reconverti dans la biogénétique et passé maître dans l'art du lobbying. Portrait d'une multinationale multirécidiviste.

    • Un géant de la chimie… explosif
    • Depuis sa création en 1901 à Saint-Louis, le petit producteur de saccharine devenu un des principaux semenciers de la planète n'a cessé de défrayer la chronique. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l'explosion accidentelle d'une usine de plastique Monsanto provoquée par celle d'un cargo français chargé de nitrate, qui fit 500 morts à Texas City en 1947, est ainsi restée dans les annales comme l'un des premiers désastres de l'industrie chimique.

      Deux ans plus tard, c'est au tour d'une deuxième usine de la firme, à Nitro en Virginie, de partir en fumée. Cette fois-ci, la responsabilité de l'entreprise est engagée. Plus de deux cents ouvriers développent des chloracnés, un trouble aussi rare que sévère de la peau, rapporte Marie-Monique Robin, lauréate du prix Albert-Londres, dans son documentaire Le monde selon Monsanto.

      L'accident révèle que le produit phare de la marque, l'herbicide 2,4,5-T, contient des niveaux élevés de dioxines, des substances hautement toxiques et cancérigènes, de composition assimilable à celle des polychlorobiphényles (PCB). La première étude suggérant la dangerosité potentielle de la dioxine était connue de Monsanto dès 1938 : la commercialisation de l'herbicide se poursuivra pourtant pendant près de quarante ans, avant son interdiction dans les années 1970.

      Monsanto, qui a dirigé l'usine de Nitro entre 1934 et 2000, a par ailleurs fait l'objet d'une plainte déposée en 2007 par 77 habitants de Virginie atteints de cancer, qui accusent la compagnie d'avoir diffusé "illégalement" de la dioxine dans les environs de l'usine.

      • PCB : le procès de la honte

       

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      En 2001, 3 600 habitants de la ville d'Anniston, en Alabama, attaquent Monsanto pour une contamination aux PCB. Selon un rapport déclassifié de l'Agence de protection de l'environnement des Etats-Unis (EPA), Monsanto a déversé pendant près de quarante ans des milliers de tonnes de déchets contaminés dans un ruisseau et une décharge à ciel ouvert, au cœur du quartier noir de la ville.

      La façon dont The Washington Post rapporte l'histoire est édifiante : "Des milliers de pages de documents de Monsanto – dont beaucoup sont estampillés 'CONFIDENTIEL : lire et détruire' – montrent que pendant des décennies, la multinationale a dissimulé ce qu'elle faisait et surtout ce qu'elle savait. En 1966, des responsables de l'entreprise avaient découvert que des poissons immergés dans ce ruisseau se retournaient sur le dos en moins de dix secondes, pissant le sang et perdant leur peau comme s'ils avaient été bouillis vivants. Ils ne l'ont dit à personne", raconte le quotidien américain.

      En 1975, une étude menée par Monsanto révèle que le PCB provoque des tumeurs chez le rat. La multinationale décide d'en changer les conclusions, de "légèrement tumorigènes" à "n'apparaît pas cancérigène". "Nous ne pouvons nous permettre de perdre un seul dollar" : ainsi se conclut l'un des mémos consultés par The Washington Post.

      Monsanto a finalement été jugée coupable en 2002 d'avoir pollué "le territoire d'Anniston et le sang de sa population avec les PCB". La firme sera condamnée à payer 700 millions de dollars de dommages et intérêts et à assurer le nettoyage de la ville. Aucune peine de prison n'a été retenue contre les responsables de l'entreprise.

      En février 2007,The Guardian révèle que le géant agrochimique a appliqué les mêmes méthodes sur plusieurs sites en Grande-Bretagne entre 1965 et 1972. Le quotidien a eu accès à un rapport gouvernemental montrant que 67 produits, dont l'agent orange, la dioxine et des PCB, ont été identifiés dans une carrière au pays de Galles. En France, la fabrication et l'utilisation des PCB sont interdites depuis 1987.

      • Agent orange : condamné pour "empoisonnement"

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      Durant ces mêmes années, entre 1961 et 1971, Monsanto produit l'agent orange, constitué à partir de l'herbicide 2,4,5-T, dont la dangerosité est largement connue depuis l'explosion de l'usine de Nitro. Ce défoliant sera massivement déversé par l'aviation américaine au-dessus des forêts vietnamiennes pendant la guerre. Les conséquences se font encore sentir aujourd'hui, avec de nombreux cancers et des malformations de naissance au Vietnam, ainsi que des séquelles diverses chez nombre d'anciens combattants américains.

      Dans les années 1970, des vétérans du Vietnam ouvrent une Class Action contre les producteurs de l'agent orange. Monsanto se retrouve, au côté de six autres entreprises, accusé principal d'un procès en réparation pour empoisonnement. En 1987, les sept producteurs de l'agent orange sont condamnés à verser 180 millions de dollars à un fonds de compensation destiné aux soldats américains.

      Durant le procès, Monsanto présentera des études scientifiques démontrant l'absence de lien entre l'exposition à la dioxine et les nombreux cancers dont souffraient les vétérans, pour les débouter de leur action. Il sera démontré au début des années 1990 que ces études se fondant sur les conséquences de l'explosion de l'usine de Nitro en 1949 étaient biaisées.

      Cette fraude scientifique sera confirmée par le National Research Council, qui constate que les études de Monsanto "souffraient d'erreurs de classification entre les personnes exposées et non exposées à la dioxine, et qu'elles avaient été biaisées dans le but d'obtenir l'effet recherché". L'affaire sera relatée en 1990 par Greenpeace et le chercheur Joe Thornton dans un rapport intitulé Science for Sale.


      En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/
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9 mars 2016

Début à Londres du procès du fonds souverain libyen contre Goldman Sachs et Société générale

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La Libyan Investment Authority a intenté deux procès contre l'américain Goldman Sachs et le français Société générale, deux groupes bancaires qu'il accuse de lui avoir vendu des produits financiers toxiques et auxquels les gestionnaires du fonds demandent quelque 2,5 milliards de dollars de compensation. Le procès s'ouvre ce lundi devant la Haute Cour de justice de Londres.


Le procès du fonds souverain libyen Libyan Investment Authority (LIA) contre le français Société générale et la banque d’investissement américaine Goldman Sachs s’ouvre ce lundi devant la Haute Cour de justice de Londres.

LIA, créé en 2007 sous le régime du Colonel Khadafi pour faire fructifier les gains du pétrole, a porté plainte au Royaume-Uni contre les deux banques en 2014 les accusant de lui avoir vendu des produits financiers toxiques.

La LIA, dans une plainte introduite auprès de la Haute Cour de justice de Londres en mars 2014, réclame 1,5 milliard de dollars de dommages et intérêts à la Société générale. Le fonds libyen accuse le groupe français d’avoir versé des pots-de-vin à un des proches d’un fils du colonel Kadhafi en contrepartie de supposés services de conseil portant sur l’investissement par la LIA de 2,1 milliards de dollars dans des obligations émises par Société générale et plusieurs de ses filiales fin 2007 et mi-2009.

En janvier 2014, Goldman Sachs était elle attaquée à Londres par la LIA pour « avoir tiré parti du manque de sophistication financière du personnel du fonds souverain libyen pour l’encourager à investir plus d’un milliard de dollars dans des transactions sans intérêt pour lui », selon le texte de la plainte rapporté par Reuters.

Les deux établissements bancaires contestent le bien-fondé des plaintes.

67 milliards de dollars d’actifs

La dernière valorisation de LIA, réalisée début 2013 par le cabinet Deloitte, fait état de 67 milliards de dollars d’actifs sous gestion.

Un trésor que réclament les deux gouvernements opposés en Libye. La légitimité de Hassan Bouhadi, nommé par le gouvernement de Tobrouk à la présidence du fonds, est contestée par Abdulmagid Breish, basé à Tripoli, qui soutient avoir été investi à ce poste en juin 2013 alors que le pays n’avait qu’un seul gouvernement.

En juillet 2015, pour permettre à la justice britannique de statuer sur leurs plaintes contre Goldman Sachs et Société générale, Hassan Bouhadi et Abdulmagid Breish ont, via leurs avocats respectifs, conjointement demandé à la justice britannique de nommer BDO, le cabinet d’audit et de conseil international basé à Bruxelles, pour être le récepteur et le gestionnaire des dossiers litigieux du fonds souverain libyen.

Cependant, faute de la reconnaissance par le Parlement internationalement reconnu de Tobrouk, du gouvernement d’union nationale libyen annoncé au Maroc le 14 février 2016, le juge britannique William Blair (frère de l’ancien Premier ministre Tony Blair) devra d’abord décider de la partie jugée légitime pour représenter les intérêts de la LIA. Le procès doit durer jusqu’au 16 mars et aucun jugement ne sera rendu immédiatement.

Estimée à quelques centaines de milliards de dollars, la fortune des Kadhafi fait l'objet d'une véritable chasse au trésor.

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Quelle est la valeur du magot des Kadhafi ? « Quelque 400 milliards de dollars » (environ 360 milliards d’euros), estime l’homme d’affaires tuniso-suédois Erik Iskander Goaied, qui se consacre depuis trois ans à cette chasse au trésor. « Pour la seule Libyan Investment Authority [la LIA, principal fonds souverain à l’époque du « Guide »], les avoirs représentent entre 60 et 65 milliards de dollars, évalue quant à lui l’expert américain Michael Bosco, du cabinet DLA Piper. Pour le reste, notamment le Libyan African Portfolio [un fonds officiellement rattaché à la LIA, mais en réalité très autonome], les avoirs sont beaucoup plus difficiles à évaluer, car leur gestion était plus opaque. » De son côté, Éric Vernier*, chercheur associé à l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), à Paris, pense que le total des avoirs Kadhafi ne doit pas dépasser 100 milliards de dollars.

L’Afrique du Sud, premier pays d’accueil des fonds Kadhafi

Quelle que soit la somme, elle suscite toutes les convoitises. Depuis 2013, beaucoup de regards se tournent vers l’Afrique du Sud, où, selon la presse, de nombreux actifs libyens sont dissimulés dans une demi-douzaine de banques locales. « C’est le premier pays d’accueil des fonds Kadhafi, devant les États-Unis, la Suisse et l’Italie, confirme Éric Vernier. Du temps du Guide, il y avait beaucoup d’investissements croisés entre la Libye et l’Afrique du Sud. De plus, ce pays est stable politiquement et relativement opaque sur le plan financier. C’est l’endroit idéal pour ce genre de transferts. »

En attendant de savoir qui est légitime en Libye, il vaut mieux que cet argent soit gelé là où il est, assure Éric Vernier

Pour essayer de récupérer ces fonds, les premiers gouvernements libyens post-Kadhafi ont mobilisé quelques hommes d’affaires bien introduits auprès de l’ANC, le parti au pouvoir à Pretoria. En avril 2013, deux d’entre eux ont même réussi à être reçus par le président Jacob Zuma. Mais ensuite, celui-ci a fait la sourde oreille. Surtout, « depuis le début de la guerre civile en Libye, à la mi-2014, tout est bloqué, affirme Michael Bosco. D’ailleurs, c’est aussi bien. Aujourd’hui, si des fonds étaient transférés à Tripoli, ils arriveraient dans les caisses d’une banque centrale où tout le monde peut venir se servir comme il veut, sans aucun contrôle ». Et Éric Vernier de renchérir : « En attendant de savoir qui est légitime en Libye, il vaut mieux que cet argent soit gelé là où il est. » Sous-entendu : si des islamistes touchaient le magot, ils s’arrogeraient un pouvoir exorbitant.

À qui profite le gel du magot ?

Premiers bénéficiaires de ce gel : les grandes banques internationales, qui conservent pour l’instant cet argent libyen sur leurs comptes. Puis les ex-associés américains et européens – italiens, notamment -, qui, pour certains, ont servi de prête-noms au colonel Kadhafi et à ses proches afin de camoufler certains placements. Enfin, bien entendu, ce trésor permet aux rescapés du clan Kadhafi de financer leur cavale. Avant sa capture en Mauritanie, en mars 2012, Abdallah Senoussi, le chef des services de renseignements du régime Kadhafi, se soignait dans les meilleures cliniques du Maroc grâce à des fonds d’origine inconnue. Aujourd’hui, Béchir Saleh, l’ancien directeur de cabinet du « Guide », vit confortablement du côté de Johannesburg. Comme il était l’un des grands argentiers du régime Kadhafi, on devine aisément pourquoi il a choisi l’Afrique du Sud comme pays-refuge…

Si la guerre civile s’arrête un jour, les Libyens reverront-ils l’argent de leur ancien dictateur ? CCFD-Terre solidaire en doute. En 2009, l’association s’était aperçue qu’après la chute de grands despotes comme le Philippin Ferdinand Marcos ou l’Haïtien Jean-Claude Duvalier « moins de 5 % des avoirs avaient été restitués »…

* Éric Vernier, auteur de Techniques de blanchiment et Moyens de lutte (Dunod, 2013) et de Fraude fiscale et Paradis fiscaux (Dunod, 2014).

http://www.jeuneafrique.com/mag/300221/economie/libye-piste-milliards-clan-kadhafi/

10 octobre 2014

Ne pas faire vacciner ses enfants : deux ans de prison et 30.000 euros d’amende

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C’est le risque encouru par les parents qui estiment que les vaccins sont un poison pour leurs enfants. Les laboratoires ont bien fait leur travail en ne laissant pas le choix aux français… La seule solution pour ne pas avoir de problème est de se faire faire de faux certificats. C’est une affaire à suivre avec attention car la réponse qui sera apportée à la QPC pourrait ouvrir une brèche et laisser plus de liberté aux parents désireux d’éloigner leurs progénitures des vaccins.

 Un couple comparaît ce jeudi pour maltraitance devant le tribunal correctionnel d’Auxerre, dans l’Yonne. Motif: ils refusent de faire vacciner leur fille de trois ans contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP), rapporte le site de France Info. Samia et Marc, qui ont deux enfants âgés de 15 mois et trois ans, se défendent d’être des illuminés. Leur choix est même très réfléchi, assurent-ils. «Il y a des études sérieuses qui sont menées aujourd’hui et qui prouvent que les vaccins peuvent rendre malades nos enfants plus que les protéger», explique Samia Larère à France Info. «Il y a des adjuvants (dans ces vaccins) comme le mercure et l’aluminium qui sont dangereux.»

Le couple milite pour la liberté de vaccination. «Si l’on va devant les tribunaux, ce n’est pas que pour nous, c’est évidemment pour faire évoluer cette loi (…) Il n’y a pas d’obligation thérapeutique en France, on est couvert par la loi Kouchner de 2002», fait valoir le père, Marc Larere. En début d’audience, leur avocat Me Emmanuel Ludot déposera une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) en ce sens. «Ils ne font pas dans l’anti-vaccin primaire, ils n’appartiennent à aucune structure, aucune secte. Les vaccins, d’accord, mais sans adjuvants», explique-t-il. «Je vais très certainement obtenir la saisine du Conseil constitutionnel pour savoir si l’on peut imposer un vaccin.»

Aujourd'hui, le couple doit assumer ce choix aux conséquences lourdes. Impossible d'inscrire leurs enfants à l'école, en crèche ou en centre aéré. «Dans notre organisation de vie, c'est un peu pénible», concède Marc Larère. Mais le couple s'expose surtout à des poursuites pénales. La peine encourue est très lourde: deux ans de prison et 30.000 euros d'amende. Ils ont été convoqués en justice après un signalement au parquet du conseil général de l'Yonne. En France, seul l'anti-DTP (diphtérie, tétanos et poliomyélite), est obligatoire. Une obligation qui ne se justifie plus, estiment les anti-vaccins, dans la mesure où ces maladies on quasiment disparu en France. Mais cette éradication est précisément due à ces campagnes de vaccination massives, répondent les autorités de santé.

La ministre de la Santé Marisol Touraine s'est dite préoccupée jeudi par «un mouvement de défiance envers les vaccins». Elle estime que la liberté de vaccination «s'arrête là où commence la santé publique et la sécurité de l'ensemble de la population». «Je lance un appel à ce qu'il n'y ait pas d'arrêt de vaccination, et que l'on ne prenne pas de risque avec sa santé et avec celle de l'ensemble des Français», a-t-elle poursuivi, rappelant que certaines maladies font leur réapparition, comme la «polio en Syrie».

Lu sur Le Figaro :

http://www.contre-info.com/

 

29 mai 2011

Sophia stewart à l'origine des films Matrix et terminator accuse

Sophia stewart à l'origine des films Matrix et terminator accuse
Hollywood s’est bien gardé de révéler que derrière les succès planétaires des productions « The Matrix I, II, III » et « Terminator I, II, III » se trouve une femme noire. Ah ?! Cette africaine-américaine presque anonyme se nomme Sophia Stewart. On croit...
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