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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
nazisme
22 janvier 2014

Ré-écrire l’histoire:le fils "secret" du Führer

Adolf Hitler - Signed Photo - Germany - Occult History Third Reich - Peter Crawford

Gauche

La ressemblance est frappante entre le Führer et Jean-Marie Loret...son fils?

La ressemblance est frappante entre le Führer et Jean-Marie Loret…son fils?

Adolf Hitler aurait eu un fils avec une française. Jean-Marie Loret a voulu assumer son ascendance avant d’y renoncer suite aux conseils de son avocat et de ses enfants. 

C’est une information assez surprenante qu’a été dévoilée l’an passé,en 2012. Adolf Hitler aurait eu un fils… et il était français ! L’histoire qu’a raconté cet homme, décrit par son avocat comme quelqu’un de plutôt grand, parlant un français parfait sans accent et ne ressemblant pas à un hurluberlu, est assez étonnante. "Maître, je suis le fils d’Hitler ! Dites-moi ce que je dois faire", a t-il déclaré en débarquant dans le bureau de François Gibault à la fin des années 1970.

La rencontre du caporal et de la paysanne

Jean-Marie Loret est le fils d’Adolf Hitler. Voici son histoire. En 1914, lorsque Adolf Hitler est caporal dans l’armée allemande contre les troupes françaises en Picardie, il a pour habitude, comme les autres soldats, d’être "envoyé à l’arrière" pour prendre du bon temps et se reposer. C’est dans une petite ville à l’Ouest de Lille, à Fournes-en-Weppe plus précisément, que Hitler fait la connaissance de Charlotte Lobjoie. Elle révèle à son fils bien des années plus tard qu’alors âgée de 16 ans elle faisait "les foins, avec d’autres femmes, lorsqu’[elles virent] un soldat allemand, installé de l’autre côté de la rue. Il avait une sorte de carton et semblait dessiner. Toutes les femmes trouvèrent intéressant ce soldat et se montrèrent curieuses de savoir ce qu’il dessinait. [Charlotte est] désignée pour essayer de l’approcher". Suite à de longues conversations entre ce soldat et la jeune paysanne, commence une relation qui durera plusieurs semaines.

La colère du futur Führer se faisait déjà ressentir

Elle continue : "Lorsque ton père était là – très rarement -, il aimait m’emmener dans des promenades à la campagne. Mais ces promenades se terminaient en général plutôt mal. En effet, ton père, inspiré par la nature, entreprenait un discours auquel je ne comprenais pas grand chose. Ne pouvant s’exprimer en français, il déclamait en allemand, s’adressant à un auditoire absent. Si je parlais l’allemand, je ne pouvais le suivre, d’autant plus que l’histoire de la Prusse, de l’Autriche ou de la Bavière ne m’était pas familière, loin de là. Ma réaction mettait ton père en colère en me voyant rester de marbre à ses effets oratoires !". Cette colère et cette frustration, présentes chez ce jeune soldat, ont été confirmées lorsque le caporal s’est transformé en immense tribun.

Jean-Marie Loret, "fils de soldat"

C’est un soir de juin 1917, suite à une soirée un peu arrosée, que Hitler se fait très entreprenant auprès de la jeune paysanne. Neuf mois plus tard, en mars de l’année suivante, naît un fils. Jean-Marie se bat souvent avec ses camarades car, dans le village, il est considéré comme un "fils de Boche". Des années plus tard, lorsque Adolf Hitler est devenu tristement ce célèbre tribun, Charlotte est honteuse. Elle souhaite masquer l’identité du père, et en arrive même à délaisser ce fils et à le confier à un autre couple plus aisé. En 1934, Jean-Marie est adopté par cette "nouvelle famille". Même si son "vrai père" ne souhaite pas le reconnaître, il n’en demeure pas moins insistant envers la paysanne, à qui il écrit souvent.

"Ton père s’appelait Hitler"

C’est au début des années 1950 que Charlotte avoue à son fils la véritable identité de son père. "Afin de ne pas tomber dans l’anxiété, je travaillais sans relâche, ne prenant jamais de vacances, jamais de distraction : 20 ans sans rentrer dans une salle de cinéma", raconte Jean-Marie Loret, totalement choqué par cette annonce. Il en publiera même un livre en 1981 aux Editions de l’Université et de l’Enseignement moderne. Le titre ? Ton Père s’appelait Hitler. Un aveu qui n’a pas connu le succès escompté.

Les enquêtes confirment l’ascendance

Car c’est en devenant adulte et père de famille, qu’il souhaite officialiser cette ascendance. Un historien retourne alors sur les lieux de son enfance, interroge des témoins et entame une série d’enquêtes. Au programme, une expertise en méthode d’identification par la physionomie comparative, une autre de l’Institut d’Anthropologie et de génétique de l’Université de Heideberg, une étude comparative psychographologique entre Adolf Hitler et Jean-Marie Loret, ainsi qu’une comparaison graphologique des écritures des deux hommes. Toutes ces enquêtes sont menées afin de constater les ressemblances et aboutissent à la même conclusion. Il est fort probable que Jean-Marie soit le fils d’Hitler ! De plus la ressemblance physique est plutôt frappante.

Autres détails qui émergent. Pendant l’Occupation, des officiers de la Wehrmacht livraient de l’argent liquide à Charlotte. Cet argent contenu dans des enveloppes s’ajoutent à des toiles signées "Adolf Hitler" que Jean-Marie a retrouvé dans le grenier de la maison à la mort de sa mère et à un portrait fort ressemblant à celui de sa mère découvert en Allemagne. Il faut avouer que cette "nouvelle" induit une convergence entre les historiens des différents pays. Les historiens germaniques et nippons semblent accepter ces découvertes alors que les historiens français tentent de noyer le poisson et de ne pas voir la vérité en face.

Tout avouer ou tout masquer ?

En 1979, dans le bureau de Maître François Gibault, Jean-Marie Loret débarque. L’avocat raconte: "Lorsqu’il vient me voir en 1979, j’ai devant moi un homme un peu paumé qui ne sait pas s’il doit se faire reconnaître comme le fils d’Adolf Hitler ou s’il doit effacer tout cela d’un trait de plume. Il éprouve ce que ressentent beaucoup d’enfants naturels : l’envie de retrouver un passé aussi lourd soit-il, mais la peur de retourner de vieilles boues. J’ai énormément parlé avec lui, jouant plus le rôle d’un psychologue que d’un avocat. Certes, il pouvait revendiquer une part des droits d’auteur de Mein Kampf et, pourquoi pas, des comptes en banque que le Führer avait peut-être ouverts en Suisse, mais à 60 ans passés était-ce raisonnable? Après avoir conversé avec moi et avec ses enfants, il a de lui-même décidé de ne pas révéler son sulfureux état civil". Mais, quelques mois plus tard, comme on l’a évoqué précédemment, Jean-Marie Loret publie un livre. Passé inaperçu sur le territoire national, c’est au Pays du Soleil Levant que Jean-Marie se fera une voix. Invité à la télévision publique japonaise, il est présenté comme le fils du dictateur nazi.

Un fils qui s’engage contre son père

Pour la petite anecdote, en 1940, l’unité de combat de Jean-Marie mène une violente bataille dans les Ardennes contre les troupes allemandes. C’est sous l’Occupation que le fils d’Hitler est engagé dans l’OCM (Organisation Civile et Militaire). Ignorant ses origines à cette époque, il s’engage dans la résistance aux armées hitlériennes. Son nom, au sein de l’organisation, sera… Clément.

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Jean-Marie Loret se battra jusqu'à sa mort,en 1985,pour faire reconnaître son ascendance.

Jean-Marie Loret se battra jusqu’à sa mort,en 1985,pour faire reconnaître son ascendance.

Une curieuse destinée

Jean-Marie Loret, mort en 1985, serait le fils caché d’Adolf Hitler et d’une habitante de Fournes-en-Weppes.

‘information date d’il y a 30 ans mais Le Point la ressort ce vendredi et a réussi à en faire un "buzz". Adolf Hitler aurait un fils caché et sa mère serait originaire du Nord, de Fournes-en-Weppes précisément.

L’histoire

Jean-Marie Loret, c’était son nom. Il serait né des suites d’une aventure entre sa mère et le caporal Adolf Hitler en 1917.

A l’époque, le soldat est engagé dans l’armée allemande. Ces soldats allaient se détendre régulièrement à Fournes-en-Weppes, petite ville située à l’ouest de Lille, près de La Bassée. Là, Hitler a fait la connaissance de Charlotte Lobjoie, une jeune femme de 16 ans.

En mars 1918, naît un fils. Aux yeux des enfants du village, le petit Jean-Marie est un "fils de Boche". Charlotte ne s’exprime jamais sur les mystérieuses circonstances de la naissance de son fils. Son  "père", Adolf Hitler, ne le reconnaît pas, refuse de le voir, mais continue de loin en loin à prendre des nouvelles de sa mère.

Assez rapidement, Jean-Marie Loret est abandonné par sa mère et adopté par une famille qui, chose étrange, se retrouve propriétaire d’un immeuble à Francfort qu’elle ne paye pas.

On sait aussi que pendant la seconde guerre mondiale, Jean-Marie Loret se serait enrôlé dans les corps francs et serait devenu résistant aux armées hitlériennes.

Est-on sûr de la véracité de cette histoire ?

Pour les historiens allemands et japonais, rappelle Le Point, cela ne fait aucun doute, Hitler a bien eu un fils. Mais leurs homologues français sont plus sceptiques.

Il existe toutefois des éléments qui penchent en faveur de la véracité de cette étonnante histoire : pendant l’Occupation, des officiers de la Wehrmacht auraient apporté des enveloppes d’argent liquide à Charlotte. De plus, Jean-Marie Loret a retrouvé dans le grenier familial des toiles signées par "Adolf Hitler", et en Allemagne un portrait ressemblant à sa mère a été retrouvé.

Jean-Marie Loret va se battre jusqu’à sa mort en 1985 afin de faire reconnaître son ascendance…,mais peine perdu.Il écrira un livre qui passera totalement inaperçu,en 1981.Comme quoi nul ne peut prétendre être prophète en son pays!

Loin de s’estomper,la Conspiration nazi est plus puissante et présente que l’on croit.Quand des éléments risquent d’apporter la Vérité sur le Fûhrer,le "système corrompu et mensonger" du Nouvel Ordre Mondial vient rabattre la couverture  dessus.

En maintenant les gens dans le mensonge et l’ignorance,le "système" se perpétue  par notre complaisance,notre refus de voir une ou des vérités dérangeantes et…notre négligence engendrée par la recherche de la facilité.

http://michelduchaine.com/2013/03/28/re-ecrire-lhistoirele-fils-secret-du-fuhrer/

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19 octobre 2013

La Symphonie Rouge Deuxieme partie ! La «guerre contre le terrorisme» est une ruse des banquiers centraux

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Les francs-maçons «doivent mourir aux mains de la révolution qui a été menée grâce à leur coopération», selon C.G. Rakovski, un des fondateurs de l’Internationale Communiste.

«Le vrai secret de la maçonnerie est le suicide de la franc-maçonnerie en tant qu’organisation, et le suicide physique de chaque important maçon.»

Cette révélation provient d’un interrogatoire de la police stalinienne en 1938 intitulé «The Red Symphony». (Transcription de Des Griffin dans Fourth Reich of the Rich, p. 254)

«Il est clair que je sais cela non pas comme franc-maçon, mais comme un de ceux qui appartiennent à «eux» [les Illuminati] déclare Rakovski, un collègue de Léon Trotski arrêté pour complot contre Staline.

LES PROTOCOLES DE SION ET LA SYMPHONIE ROUGE

La franc-maçonnerie est la plus grande société secrète du monde avec plus de cinq millions de membres, dont trois millions aux États-Unis. Elle joue un rôle dans la conspiration totalitaire. Dans Les Protocoles des Sages de Sion, l’auteur (qui je crois est Lionel Rothschild) écrit :

«La maçonnerie des gentils sert aveuglément d’écran entre nous et nos objectifs, mais le plan d’action de notre force, même sa place exacte, reste pour tout le peuple un mystère inconnu… Qui et quoi pourrait bien se trouver en position de renverser une force invisible?» (Protocole 4)

Encore une fois, il écrit : «nous allons créer et multiplier librement les loges maçonniques… absorber en elles tous ceux qui peuvent devenir importants ou qui occupent déjà une place importante dans l’activité publique, car dans ces loges nous trouverons notre principal bureau de renseignement et les moyens d’influence… Les complots politiques les plus secrets seront connus de nous et tomberont sous nos mains… Nous connaissons le but final… alors que les goyim n’ont connaissance de rien… » (Protocole 15)

Dans son interrogatoire, Rakovski dit que des millions affluent dans la franc-maçonnerie pour obtenir un avantage. «Les dirigeants de toutes les nations alliées étaient francs-maçons, à quelques exceptions près.»

Toutefois, le véritable objectif est «de créer toutes les conditions requises pour le triomphe de la révolution Communiste, ce qui est le but évident de la franc-maçonnerie, il est clair que tout cela est fait sous des prétextes divers ; mais ils se cachent toujours derrière leur slogan bien connu [Liberté, Égalité, Fraternité]. Vous comprenez?» (254)

Les maçons devraient se rappeler la leçon de la Révolution Française. Bien qu’«ils aient joué un rôle révolutionnaire colossal ; la plupart des maçons furent éliminés… » Comme la révolution exige l’extermination de la bourgeoisie en tant que classe, [pour que toutes les richesses soient détenues par les Illuminati sous le couvert de l’État], il s’ensuit que les francs-maçons doivent être liquidés. Le vrai sens du Communisme est la tyrannie des Illuminati.

Lorsque ce secret sera révélé, Rakovski imagine «l’expression de bêtise sur le visage de certains francs-maçons quand ils se rendront compte qu’ils doivent mourir aux mains des révolutionnaires. Comment ils hurleront et voudront que l’on fasse grand cas de leurs services rendus à la révolution! C’est un spectacle à la vision duquel on peut mourir… mais de rire!» (254)

Rakovski se réfère à la Franc-maçonnerie comme une supercherie : «une maison de fous mais en liberté.» (254)

En Russie, en 1929, tous les maçons qui n’étaient pas juif furent tués avec leur famille, selon Alexey Jefimow "Quels sont les souverains de la Russie?" (77)

Comme les maçons, les autres candidats de l’utopie humaniste de leur maître (les néocons, les libéraux, les Sionistes, les activistes gays et féministes) pourraient être l’objet d’une mauvaise surprise. Ils pourraient être mis de côté une fois qu’ils ont atteint leur objectif.

QUI SONT LES «ILS»?

imagesLorsque l’interrogateur presse Rakovski de désigner des notables Illuminati pouvant être approchés avec une initiative, Rakovski est sûr de deux seules personnes qui sont maintenant décédés : Walter Rathenau, le ministre des affaires étrangères de Weimar, et Lionel Rothschild. Il dit que Trotski est sa source d’information.

D’autres, insiste-t-il sont de la spéculation :

«En tant qu’institution, la banque de Kuhn Loeb & Company de Wall Street : [et] les familles de Schiff, Warburg, Loeb et Kuhn, je dis familles pour souligner plusieurs noms puisqu’ils sont tous reliés… par des mariages, puis Baruch, Frankfurter, Altschul, Cohen, Benjamin, Strauss, Steinhardt, Blom, Rosenman, Lippmann, Lehman, Dreifus, Lamont, Rothschild, Lord, Mandel, Morganthau, Ezéchiel, Lasky… quel que soient les noms que j’ai énuméré, même ceux qui n’appartiennent pas à «Eux» pourraient toujours aboutir à «Eux» pour toute proposition importante.» (272)

En donnant à des banquiers le privilège de créer de l’argent, nous avons créé un vampire insatiable. Si vous pouviez fabriquer l’argent, imaginez la tentation de tout posséder!

LA RÉVOLUTION DÉGUISÉE

Rakovski se réfère à la crise de 1929 et à la Grande Dépression comme une «Révolution Américaine». Elle a été délibérément précipitée par les Illuminati à leur seul profit, pour casser «l’américain classique» et prendre le pouvoir politique.

«L’homme par qui ils ont fait usage d’un tel pouvoir était Franklin Roosevelt. Avez-vous compris? Cette année 1929 fut la première de la Révolution Américaine, en février Trotski quitte la Russie ; le krach a lieu en octobre… Le financement d’Hitler est convenu en juillet 1929. Vous pensez que tout cela était par hasard? Les quatre années du règne de Hoover ont été utilisées pour la préparation de la prise du pouvoir aux États-Unis et en U.R.S.S. : là par le biais d’une révolution financière, et ici [en Russie], avec l’aide de la guerre [Hitler et la Deuxième Guerre mondiale] et la défaite qui allait suivre. Un roman faisant preuve d’une grande imagination serait-il plus évident pour vous?» (273)

Rakovski propose que Staline coopère avec les Illuminati, (ce qu’il fit par la suite.) La première condition était qu’il arrête d’exécuter les trotskistes. Puis «plusieurs zones d’influence» seront établies en divisant «le Communisme formel du véritable.» Il y aura «des concessions mutuelles pour une aide mutuelle pour un temps pendant que le plan dure… Il apparaîtra des personnes influentes à tous les niveaux de la société, même très élevés, qui aideront le Communisme Stalinien formel… » (276)

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Rakovski décrit le plan des Illuminati pour faire fusionner le Communisme et le Capitalisme. Dans chaque cas, les Illuminati contrôlent toutes les richesses et le pouvoir.

«A Moscou, il y a le Communisme : à New York le Capitalisme. Ce sont la même chose sous forme de thèse et d’antithèse. Analysez les deux. Moscou est du Communisme subjectif, mais [objectivement] du Capitalisme d’Etat. New York : un Capitalisme subjectif, mais il s’agit en fait d’un Communisme objectif [l’état étant la propriété du banquier central]. Une synthèse personnelle, la vérité : l’Internationale Financière, la Capitaliste Communiste. «Eux». (276)

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La «guerre contre le terrorisme» est une ruse des banquiers centraux pour contrôler chaque aspect de votre vie.

En relisant "La Symphonie Rouge" récemment, j’ai été choqué de lire la déclaration d’un initié disant que les banquiers ne sont pas satisfaits avec une richesse infinie, ils veulent un pouvoir illimité.

L’expérience humaine est menacée par des intérêts privés qui ont usurpé la fonction de création monétaire. L’histoire moderne reflète le processus progressif par lequel ils transfèrent toute la richesse et le pouvoir pour eux-mêmes, détruisant la Civilisation Occidentale et œuvrant à la création d’un état policier mondial.

Rakovski, dont le vrai nom était Chaïm Rakover, a été condamné à mort au cours de la purge stalinienne de la faction trotskiste du parti. Léon Trotski écrivit dans son autobiographie, My Life : «Christian G. Rakovski … joua un rôle actif dans les travaux internes de quatre partis socialistes : le bulgare, le russe, le français, le roumain – pour devenir finalement l’un des dirigeants de la Fédération Soviétique, un des fondateurs de l’Internationale Communiste, président des Commissaires du Peuple du Soviet Ukrainien, et le représentant diplomatique soviétique en Angleterre et en France… »

Rakovski essaya de convaincre son interrogateur que Staline devrait coopérer avec les banquiers qui «sont juste comme vous et moi. Le fait qu’ils contrôlent une somme d’argent illimité, dans la mesure où ils la créent, ne détermine pas les limites de leurs ambitions… Les banquiers ont une soif de pouvoir, de la pleine puissance. Tout comme vous et moi.»

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Ils créèrent l’état Communiste comme une «machine de pouvoir total» sans précédent dans l’histoire. Dans le passé, en raison de nombreux facteurs, «il y avait toujours de la place pour la liberté individuelle. Comprenez-vous que ceux qui règnent déjà partiellement sur les nations et les gouvernements mondiaux ont des prétentions à la domination absolue? Comprenez bien que c’est la seule chose qu’ils n’ont pas encore atteinte.» (C’est moi qui souligne)

Une force pernicieuse paralyse nos vies nationales. Rakovski l’identifie : «Imaginez-vous, si vous le pouvez, un petit nombre de personnes ayant un pouvoir illimité grâce à la possession de la richesse réelle, et vous verrez qu’ils seront les dictateurs absolus du marché boursier et de [l'économie] … Si vous avez assez d’imagination alors … vous serez capable de voir [leur] influence anarchique, morale et sociale, c’est à dire une influence révolutionnaire… Comprenez-vous maintenant?»

Le Mouvement Révolutionnaire, qui définit l’histoire moderne, était un moyen d’accroître le pouvoir des banquiers en détruisant l’ordre ancien.

Au cours de la Révolution Française le pouvoir passa subtilement aux banquiers qui n’étaient pas contraints de se plier aux élégances Chrétiennes, dit Rakovski. «Le pouvoir royal suprême a été repris par des personnes, dont la morale, l’intellect et les qualités cosmopolites leur permis de l’utiliser. Il est clair que c’étaient des gens qui n’avaient jamais été Chrétiens, mais cosmopolites.»

Le Communisme, loin de distribuer la richesse, est conçu pour la concentrer entre les mains des personnes les plus riches du monde. (L’État possède la richesse et ils possèdent l’état.) Et le marxisme, «avant d’être un système philosophique, économique et politique, est une conspiration pour servir les buts de la révolution.»

Rakovski se moque du «marxisme élémentaire … le démagogique et populaire» qui est utilisé pour duper les intellectuels et les masses. [Quelle que soit sa valeur intrinsèque, le socialisme semble conçu pour corrompre et rendre les gens dépendants d’un grand gouvernement, que les banquiers contrôlent.]

En ce qui concerne la franc-maçonnerie : «Chaque organisation maçonnique essaye de créer toutes les conditions préalables requises pour le triomphe de la révolution Communiste, ce qui est le but évident de la franc-maçonnerie» dit Rakovski, lui-même un franc-maçon de haut rang.

Le but de la Révolution n’est rien de moins que de redéfinir la réalité en fonction des intérêts des banquiers. Ceci implique la prééminence de la vérité subjective sur la vérité objective. Si Lénine «sent que quelque chose est vrai», alors c’est réel. «Pour lui, toute réalité, toute vérité est relative face à la seule vérité absolue : la révolution.»

Rakovski s’étonne que «les bancs sur lesquels étaient assis les usuriers graisseux pour faire commerce de leurs fonds, aient été convertis en temples, qui se tiennent avec magnificence à chaque coin de nos grandes villes contemporaines avec leurs colonnades païennes, et les foules s’y rendent… pour apporter assidûment leurs dépôts représentant tous leurs biens, au dieu de l’argent…»

Il dit que l’étoile Soviétique à cinq branches représente les cinq frères Rothschild avec leurs banques, qui possèdent une accumulation de richesses colossales, la plus grande jamais connue.»

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N’est-il pas étrange que Marx n’ait jamais mentionné ce fait? Demande Rakovski. N’est-il pas étrange que pendant les révolutions, les insurgés n’aient jamais attaqué les banquiers, leurs châteaux ou leurs banques?

La guerre est le moyen par lequel les banquiers centraux avancent vers leur objectif d’un gouvernement mondial totalitaire. Rakovski déclare que Trotski était derrière l’assassinat de l’Archiduc Ferdinand (qui a déclenché la Première Guerre mondiale.) Il rappelle la phrase prononcée par la mère des cinq frères Rothschild : «Si mes fils le veulent, alors il n’y aura pas de guerre». Cela signifie qu’ils étaient les arbitres, les maîtres de la paix et de la guerre, et non pas les Empereurs. Etes-vous capable de visualiser un fait d’une telle importance cosmique? La guerre n’a-t-elle pas déjà une fonction révolutionnaire? La  Guerre, la Commune. Depuis ce temps, chaque guerre fut un pas de géant vers le Communisme.»

Après l’assassinat du [membre des Illuminati, le ministre des Affaires étrangères de Weimar] Walter Rathenau en 1922, les Illuminati ne donnèrent des positions politiques ou financières qu’à des intermédiaires, dit Rakovski. «Evidemment à des personnes qui sont dignes de confiance et dont la loyauté peut être garantie de mille manières : on peut ainsi affirmer que ces banquiers et politiciens [aux yeux du public], sont des hommes de paille… même s’ils occupent des places très élevées, et apparaissent comme les auteurs des plans qui sont menés.»

En 1938, Rakovski souligna trois raisons pour la Seconde Guerre mondiale à venir. La première est qu’Hitler avait commencé à imprimer sa propre monnaie. «C’est très grave. Beaucoup plus que tous les facteurs externes et cruels du National-Socialisme.»

Deuxièmement, le «nationalisme complètement développé de l’Europe occidentale est un obstacle au marxisme… le besoin de la destruction du nationalisme vaut à lui seul une guerre en Europe.»

Finalement, le Communisme ne peut pas triompher sauf s’il supprime la «Chrétienté encore en vie.» Il se réfère à la «révolution permanente» comme datant de la naissance du Christ, et à la Réforme comme «sa première victoire partielle» parce qu’elle divisa la chrétienté. Ceci suggère que la «conspiration» contient aussi un facteur racial ou religieux.

«En réalité, le Christianisme est notre seul véritable ennemi car tous les acteurs politiques et les phénomènes économiques des états bourgeois en découlent. La Chrétienté contrôlant les individus est capable d’annuler la projection révolutionnaire de l’état laïc Soviétique ou de l’État athée.»

Maintenant les banquiers centraux font la promotion de la Troisième Guerre Mondiale sous la forme «d’un choc des civilisations». Substituez l’Islam au Christianisme et vous comprendrez de quoi il s’agit.

CONCLUSION

Nos croyances doivent s’adapter à la vérité et non l’inverse. Apparemment, la vérité est qu’une relativement petite clique de familles de banquiers juifs et leurs alliés non juifs des familles dirigeantes en Europe et en Amérique, ont usurpé le contrôle de la création monétaire, et avec elle le destin du monde.

Cette classe supérieure possède ou contrôle la plupart des plus grandes sociétés du monde, les organisations des médias, les agences de renseignement, les sociétés secrètes, les universités, les politiciens, les fondations, les think tanks et les O.N.G. Il apparaît aussi qu’ils dominent le crime organisé.

Le 11 septembre, la guerre contre le terrorisme et en Irak font partie d’un inexorable processus par lequel la classe supérieure accroît sa richesse et son contrôle. L’objectif final est un état policier mondial dans lequel les masses seront privées de leur richesse, de la liberté et possiblement de leur vie.

Les néoconservateurs sont réellement des néo-communistes. Ils compromettent la sécurité de leurs compatriotes juifs (ainsi que celle de tous les américains) par leurs machinations malfaisantes. Les juifs devraient suivre mon exemple et les répudier.

La classe supérieure veut que nous le voyions comme un «problème juif». De cette façon, elle peut détourner le blâme sur des juifs innocents puis rejeter alors toute opposition comme de la «haine» et des «préjugés». Le problème est principalement celui de la création monétaire (crédit) qui a conduit à une concentration intenable de la richesse et du pouvoir entre quelques mains.

Presque tout le monde qui «réussi» dans la société, juif ou non, est forcé, sciemment ou non, de s’aligner avec cette classe. Nos institutions religieuses, culturelles et politiques ont été détournées. C’est ce qui explique la fausse qualité de la vie sociale en Occident.

Rappelons-nous le message du Christ : Dieu est Amour. Dieu est plus puissant que la force satanique qui tient l’humanité dans son emprise. Mais sa volonté ne peut pas être faite si les hommes ne la font pas.

Quel que soit le coût, ne rien faire coûtera plus cher. La prospérité dont nous jouissons aujourd’hui fait partie d’un complot multiséculaire pour piéger et asservir l’humanité

.http://henrymakow.wordpress.com/2013/07/12/la-symphonie-rouge-troisieme-partie-les-banquiers-centraux-cherchent-un-controle-totalitaire/

 

 

25 septembre 2013

La fréquence de l'univers est de 432 hertz goebels l'a changé en 440 hertz

dream_720pxConnaissez-vous la fréquence de résonance de l’Univers, la Lumière ..432 Hz

Quasiment toutes les musiques (pas celle que vous entendez là) sont réglées en...440 HzDonc logiquement...Quasiment tous les instruments sont réglés en 440 Hz ! Seuls les instruments qui datent d’il y a plus de 63 ans sont réglés dans la bonne fréquence de 432 Hz...

Nous sommes complètement déréglés ! Pourquoi ?

En : 1936, cette fréquence a été modifiée par cet homme : J. Goebbels

Pourquoi ? Il a réglé la fréquence avec...

1,776%

Vous reconnaissez quelque chose ?

1776. symbole de la création des illuminés de Bavière les illuminatis  Hitler et goebels Avant la standardisation de 440Hz, de nombreux pays et organisations suivaient la recommandation de 435Hz émise par le gouvernement Autrichien en 1885.

L’industrie de la musique américaine a atteint son propre compromis non-officiel de 440 Hz en 1926, et l’a utilisé dans la fabrication des instruments.En 1936, l’American Standards Association a recommandé que le La au-dessus du Do moyen soit réglé en 440 Hz. Cette norme a été embrassée par l’International Organization for Standardization en 1955 (et fut réaffirmée par eux en 1975) en tant qu’ISO 16. Depuis, elle a servie de fréquence audio de référence pour l’étalonnage des pianos, violons, et des autres instruments de musique (WikipediA).

Jim Morrison - 3-7-1971 - 27 ans

Jimi Hendrix - 18-9-1970 - 27 ans

Janis Joplin - 4-10-1970 - 27 ans

John Lennon - 8-12-1980 - 42ans

Elvis Presley - 16-8-1972 - 42 ans

Kurt Cobain - 5-4-1994 - 27 ans

Pourquoi ?

Est-ce cela le prix de leur pacte signé avec le Diable ?"

Signez s’il vous plait derrière le 440 ?

Tromper les masses et eux-mêmes tandis qu’ils ne le savaient pas ?

Maintenant nous savons ! Réglez maintenant votre musique... utilisez un logiciel audio pour la baisser de 1,776% !!!mais alors pourquoi ce changement , vous n'avez pas trouvé encore , comme je le disais l'univers est un solfège , avec des harmoniques, le 432  hertz permet harmoniser notre adn nos cellules et d'augmenter notre spiritualité ,et ouvre le chakra du cœur , le mettant en harmonie avec l'univers ,

432Hz vibre sur les principes du nombre d’or PHI et unifie les propriétés de la lumière, temps, espace, la matière, la gravité et le magnétisme avec la biologie, le code de l’ADN et la conscience.

432Hz Natural Tuning a des effets profonds sur la conscience et aussi sur le niveau de la cellule de notre corps.et après cela ils diront que le hasard a tout crée ,en tous les cas c'est raté mr goebels ,quand le mensonge prend l'ascenseur, la vérité elle prend toujours l'escalier et remet les choses au diapason du 432 hertz.

D’autres théories attirent notre curiosité. Les pyramides seraient en relation avec le choix du LA à
432Hz. La longueur des cotés de certaines pyramides égyptiennes (Khéops) ou mayas (La Grande Pyramide
du Soleil) mesurent 432 STU (Standard Teotihuacan Unit). Ici, nous comparons des unités de mesure avec des
Hertz. Cela ne peut donc pas confirmer une relation potentiel car ce sont deux choses totalement différentes.
Dans le même genre: on trouve, dans le calendrier Maya le “
chiffre 432. le cycle Katun comprend 7 200 jours
où l’on retrouve à nouveau le 72, le tiers de 432.”
Là aussi, les unités sont différentes et le raisonnement ne
tient pas puisque cela n’a pas d’impact sur la musique à 432Hz. Ceci est donc un exemple de raisonnement à
l’envers, d’effet Barnum ou encore un biais de confirmation d’hypothèse. Il nous présente des chiffres qui
sont en lien avec 432 mais aucun lien avec le 432Hz. Dans la continuité, l’on pourrait ajouter le fait que
dans
le calendrier des vedas on a un grand cycle de 432 000 ans.”

le nazisme a voulu éteindre notre âme ,pour nous faire gouter aux ténèbres ,mais de nos jours on lutte toujours contre la spiritualité en conservant ses standard de mind control ,en stigmatisant toute quète spirituelle par le dénigrement et la désinformation maintenant vous savez .qui joue de la flute de pan et provoque la pan ique.

27 août 2013

Le courage de L'HOMME QUI REFUSA DE FAIRE LE SALUT NAZI

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IL S'APPELLE AUGUST LANDMESSER. UN JOUR DE 1936, A HAMBOURG, IL REFUSE DE FAIRE LE SALUT FASCISTE, AU MILIEU D'UNE FOULE QUI LEVE LE BRAS A L'UNISSON. IL AVAIT DES "RAISONS PERSONNELLES DE NE PAS FAIRE LE SALUT NAZI", lit-on sur le site du Washington Post. Capture d'écran de la page Facebook de Senri no michi



LA PHOTO D'UN HOMME, BRAS CROISES, REFUSANT DE FAIRE LE SALUT NAZI A HAMBOURG UN JOUR DE 1936, fait le tour du monde grâce à une page Facebook... japonaise. Voici son histoire.

IL S'APPELLE AUGUST LANDMESSER. UN JOUR DE 1936, DANS L'ALLEMAGNE D'ADOLF HITLER, IL REFUSE DE FAIRE LE SALUT NAZI, AU MILIEU D'UNE FOULE QUI LEVE LE BRAS A L'UNISSON POUR CELEBRER LE DEPART D'UN NAVIRE FLAMBANT NEUF DU PORT DE HAMBOURG. La scène a été immortalisée par un photographe. Et le cliché est réapparu il y a quelques jours sur Internet, faisant rapidement le tour du monde.

La photo a été postée le 4 février sur la page Facebook d'une organisation visant à aider les victimes du séisme qui a touché le Japon en mars 2011. Séisme suivi d'un tsunami meurtrier et de la catastrophe de Fukushima (cf. http://www.lexpress.fr/actualite/monde/le-japon-face-a-la-catastrophe_971149.html ). Depuis, plus de 87 000 internautes ont "aimé" cette photo sur le réseau social, près de 32 000 l'ont "partagée" et près de 7000 ont déposé un commentaire.

Pour l'organisation japonaise Senri no michi, cet instantané symbolise "le courage de dire non". "Courage", c'est aussi le titre que lui a donné Fasena, un site d'informations sur le camp de concentration d'Auschwitz (cf. http://www.fasena.de/courage/english/index.htm ), cité par le Washington Post.



Une famille "déchirée par l'Allemagne nazie"


Quand la photo est prise, August Landmesser travaille encore au chantier naval de Hambourg. D'où sa présence au lancement d'un navire Blohm & Voss. D'après un site mentionné (cf. http://www.postiar.com/post/209/the-man-who-refused-the-nazi-salute.html ) par le Huffington Post (cf. http://www.huffingtonpost.co.uk/2012/02/08/august-landmesser-hamburg-shipyard-worker-who-refused-to-make-nazi-salute-photo_n_1262876.html?ref=uk ), ce jour-là, Adolf Hitler lui-même se trouve à Hambourg pour participer aux célébrations. "August Landmesser a alors des raisons personnelles de ne pas faire le salut nazi", lit-on sur le site du Washington Post (cf. http://www.washingtonpost.com/blogs/blogpost/post/august-landmesser-shipyard-worker-in-hamburg-refused-to-perform-nazi-salute-photo/2012/02/07/gIQA1ZzExQ_blog.html?tid=pm_national_pop ).

UN AN AVANT LE CLICHE, EN 1935, LE JEUNE HOMME DE 25 ANS EPOUSE IRMA ECKLER, 22 ANS. PROBLEME MAJEUR DANS L'ALLEMAGNE DE L'EPOQUE: ELLE EST JUIVE. LA LOI NAZIE INTERDIT LEUR UNION. AUGUST LANDMESSER EST EXCLU DU PARTI NAZI AUQUEL IL A ADHERE EN 1931. LE COUPLE DEFIE AUSSI L'ALLEMAGNE NAZIE EN METTANT AU MONDE DEUX PETITES FILLES, INGRID EN OCTOBRE 1935 ET IRENE EN JUILLET 1937.

LE COUPLE EST ARRETE EN 1938. AUGUST LADMESSER ET SA FEMME SONT EMPRISONNES POUR AVOIR "DESHONORE LA RACE". ILS SONT CONDAMNES AUX TRAVAUX FORCES. AUGUST LANDMESSER, LUI, EST REMIS EN LIBERTE EN 1941, MAIS AUSSITOT ENVOYE AU FRONT, OU L'ON PERD SA TRACE. ELLE SERAIT MORTE EN DETENTION EN 1942. LES DEUX ENFANTS SONT ENVOYEES A L'ORPHELINAT. MAIS ELLES SURVIVENT.

Comment sait-on qu'il s'agit bien de lui sur cette photo élevée au rang de quasi-icône? EN 1991, IRENE RECONNAIT SON PERE SUR LA PHOTOGRAPHIE UTILISEE PAR UN JOURNAL ALLEMAND. Depuis quelques années déjà, elle rassemble des documents sur le destin de ses proches. Elle en fait même un livre, publié en 1996, dans lequel elle raconte l'histoire de sa famille "déchirée par l'Allemagne nazie".

31 mars 2013

Des disques volants nazis aux Ovnis militaires

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Des disques volants nazis aux Ovnis militaires
Partie 3 : Les sombres menées du SS Kammler

Le SS Kammler, inventeur des « blacks projects »?

La récupération de ces thèmes par l’extrême droite ne doit pas nous empêcher d’examiner ces hypothèses selon lesquelles la SS avait un programme très avancé en matière d’armes exotiques, non conventionnelles et en matière de disques volants. Car une des principales conséquences des recherches nazies serait que les Américains (ainsi que les Soviétiques) auraient pu bénéficier par le biais de l’opération Paperclip du fruit de ces recherches. Et, toujours selon certains enquêteurs comme Nick Cook, la majorité des « Skunk Projects », des projets secrets de l’Air Force par exemple en matière de furtivité, de propulsion MHD ou d’antigravitation (si ceux-ci existent) seraient les « descendants » des premiers projets allemands.

 

Que cela soit dans les versions ésotériques, peut-être fantaisistes ou plus proche de la vérité historique de l’histoire des disques volants nazis, un personnage central revient à tous les coups: le brigadefürher SS Dr Ing (ingénieur) Hans Kammler devenu ensuite Obergruppenführer. Un homme mystérieux qui a sans doute joui à certains moments de la guerre de plus de pouvoir que le Reichfürher Himmler lui-même alors que ce dernier était son supérieur hiérarchique. Hans Kammler a connu une ascension aussi rapide, brutale qu’irrépressible mais certainement pas étonnante au vu des qualité de froideur organisatrice et d’implacabilité du personnage. Des traits de caractère qui sont bien vus au sein de la SS. A la mi-1943, on assista sous l’impulsion de Himmler lui-même à un véritable coup d’état au sein du cartel militaro-industriel allemand. Le grand chef de la SS persuada Hitler qu’il était nécessaire de faire en sorte que les recherches de pointe en armement échappent au contrôle de l’armée allemande -la Wermacht- et que les cartels industriels qui travaillaient dans le cadre de certains projets devaient être contrôlés par des mains 100% allemandes, 100% nazies donc 100% fidèles, à savoir la SS. C’est ainsi que le projet concurrent au V1 (ce célèbre drone, bombe volante, sorte d’avion sans pilote qui était lancé via une catapulte), la fusée A4 (ou encore V2) échappa très rapidement au contrôle exclusif de l’armée allemande et d’Albert Speer alors ministre de l’armement pour se retrouver entre les mains des SS suite au bombardement anglais de l’usine de Peenemünde. La raison en était essentiellement structurelle car la SS avait mis sur pied un véritable empire composé d’une main d’œuvre d’esclaves corvéables à merci et que l’on pouvait éliminer sans problème lorsqu’ils devenaient des témoins gênants. Par conséquent, les risques d’espionnage, de fuites, de sabotages et d’infiltrations d’agents étrangers parmi la main les travailleurs du STO et des ingénieurs étrangers étaient réduits au stricte minimum grâce à l’emploi d’une main d’œuvre concentrationnaire destinée à la mort. Himmler fit alors appel à Kammler car en tant qu’ingénieur nommé à la Division des travaux et des constructions SS, il s’était consacré corps et âme avec une efficacité redoutable à la construction en des temps de records de camps de concentration, de hangars, de bunkers et d’usines souterraines tout d’abord en tant que civil pour Herman Goering et ses services de la RLM (Reich Air Ministery, ministère de l’air du 3ième Reich) ensuite pour la SS d’Oswald Polh (le grand patron des camps) dans les services logistiques des camps de concentration. Il n’allait donc pas sortir de son domaine de prédilection. Dès la fin 1943, Kammler avait déjà élaboré un programme de plus de 13 milliards de marks pour la construction de baraquements pour la SS et de camps de concentrations dans les territoires compris entre la Norvège et l’URSS. Quelque mois plus tard encore, il obtint une nouvelle rallonge budgétaire très conséquente afin d’agrandir la capacité d’accueil des camps à plus de 4 millions de personnes. Et en annexe à ces camps étaient bien entendu édifiés de gigantesques complexes industriels. Kammler est décidément le prototype même du SS à la Heydrich, l’homme qui élabora à Wansee la « solution finale » à savoir l’extermination complète des juifs et de tous les « sous-hommes ». C’est au sein de cet empire que furent édifiés les complexes souterrains de Peenemünde, de Dora ou de Nordhausen, une usine creusée dans la montagne déroulant plus de 20 kilomètres de galeries et de tunnels dans le seul et unique but de construire dans le plus grand secret le programme de fusées et de missiles des nazis et donc l’édification coûta plus de 20.000 morts. Mais ce ne fut pas la seule mission du protégé de Himmler. A la fin de la guerre, Hitler lui-même confia à Kammler la mission de réformer la Luftwaffe du « fidèle Hermann » (Hermann Goering) alors en pleine déliquescence. Goebels , patron de la propagande nazie écrivit sur Kammler le 3 avril 1945:  » Kammler travaille de façon excellente et répond à merveille aux espoirs que l’on a placé en lui « . Qu’est-ce que cette phrase peut bien signifier alors que tout est perdu en ce début avril 1945 et que la guerre ne pouvait plus être gagnée? L’homme devait certainement avoir une mission très particulière sans grand rapport avec la refonte de la Luftwaffe proche de la destruction totale.

Revenons sur les différentes missions de Kammler. Outre la construction des camps et des usines, il aurait en fait créé une unité de recherche en armement ultra secrète et totalement autonome, disposant d’une autorité absolue et de budgets très importants ne dépendant pas du bon vouloir d’un ministère ou d’un autre ou encore de l’armée régulière. C’est sur les activités de cette unité que nous allons nous pencher mais également sur son devenir à la fin du conflit. Pourquoi s’attarder ainsi avec un tel luxe de détails sur ce mystérieux général ? Parce que la description de son caractère, de ses compétences et de ses missions rend plausible les allégations de Cook à propos d’une ténébreuse opération menée à la toute fin de la guerre et qui concernerait notre sujet !

Il est très difficile de trouver des informations originales sur Hans Kammler, même au musée de l’armée de Bruxelles. Certes, cette figure incontournable des projets d’armements exotiques de la SS est cité par exemple dans la littérature concentrationnaire puisqu’il a construit nombre de camps. Il serait l’un des créateurs et logisticiens qui a édifié les premières installations génocidaires (chambre à gaz et système d’incinération industriel) et surtout, dans le domaine qui nous intéresse, il a dirigé d’une main de fer le camp de Dora, l’installation souterraine construite après le bombardement de Peenemünde pour produire en série les fusées A4-V2. (cfr: voir le livre « Dora » de Jean Michel Edition Lattès, Livre de Poche). Vesco et Childress parlent également du rôle de Kammler en déplorant aussi le manque de données biographiques à son égard. Quant à Nick Cook, le fameux consultant du Jane’s Defence Weekly, il s’est même demandé si les alliés n’avaient pas tenté de supprimer le plus d’informations disponibles sur l’individu. Pour finalement découvrir une piste par l’intermédiaire d’un archiviste de l’Imperial War Museum de Londres qui lui a signalé l’existence d’un ouvrage et de son auteur: un certain Tom Agoston , un correspondant étranger ainsi qu’un spécialiste interprète de photographies aériennes auprès de l’armée anglaise pendant la guerre et diplômé de Cambridge avait rédigé sa version restée assez confidentielle de l’histoire des armes secrètes nazies dans « Blunder, How the US Gave Away Nazi Supersecrets to Russia ». Agoston affirme avoir rencontré les derniers témoins des activités ultra secrètes de Kammler. Pour Agoston, la mission de Kammler était cruciale puisqu’il était en fait à la tête d’un centre de recherche top secret dans lequel on construisait  » des armes secrètes de seconde génération au développement déjà bien avancé « , ce que l’on appellerait aujourd’hui dans le jargon militaire américain un « SS research Think-Tank » pour des « special projects ». Exactement le genre d’endroit « où l’on s’attendrait à trouver de la technologie sur l’anti-gravité  » note encore Nick Cook avec une quasi délectation.

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Sécurité maximale pour le projet SS Kronos

La documentation et le témoignage d’Agoston permettent à Cook de constater que l’équipe spéciale constituée par Kammler pour ses travaux visionnaires était en fait une section bien compartimentée travaillant dans les usines Skoda en Tchécoslovaquie, totalement indépendante du groupe Skoda et de n’importe quelle autre autorité et qui a sans doute démarré ses activités très spéciales dès juin 1942. Agoston précise aussi que le département R&D (recherche et développement) du Kammlerstab (l’équipe de Kammler) était surveillé par un triple cordon de sécurité composé par des spécialistes SS du contre espionnage spécialement formé pour cette tâche. C’est dire si l’enjeu des travaux de cette équipe était capital et ultra secret. Agoston a rencontré et a assisté à l’interrogatoire d’un témoin et acteur capital de l’équipe Kammler, un certain Colonel Wilhelm Voss , directeur général de Skoda et comme c’est souvent le cas pour les hauts cadres, Colonel honoraire dans la SS. En tombant sous l’autorité directe de Kammler, cette branche « recherche et développement »  de Skoda devenait totalement indépendante de la bureaucratie et pouvait conserver un secret total autour de ses activités grâce à ce fameux triple cordon de sécurité. Cook découvre alors que le peu de données, voir l’absence totale de données matérielles et historiques sur ces recherches est due aux strictes mesures de sécurité imposées par Kammler mais aussi à cause de son attitude criminelle qui a consisté en l’élimination systématique de tous les participants à ses projets (des prisonniers en passant par le « petit personnel » ouvrier civil jusqu’aux ingénieurs) dans le cadre d’une opération préméditée et rondement menée juste avant l’arrivée des Russes. Au cours de cette opération type « terre brûlée », Kammler aurait reçu de Hitler et de Bormann une autorité totale, supérieure à Himmler lui-même. C’est dans le cadre de cette opération que les technologies les plus sensibles, celles relatives sans doute à l’antigravité, auraient été évacuées, selon un chercheur polonais, Igor Witkowski (nous verrons cela dans quelques instants), d’abord par camions ensuite par avions et sous-marins jusque en Espagne puis en Amérique du Sud. C’est de là que serait sans doute né le mythe de l’évacuation des secrets et de la puissance allemande dans des bases en Antarctique. Tout simplement parce que des U Boat chargés de technologies sensibles devaient faire escale dans le continent de glace avant d’arriver en Amérique du Sud. Tous ces éléments factuels proviendraient du contenu d’un interrogatoire mené par les alliés, à savoir le US CIC (Counter Intelligence Corps) sur Voss, un Voss qui se serait ainsi confié à Agoston. L’affaire serait d’autant plus sensible que Voss aurait demandé spécifiquement à Agoston de ne jamais divulguer dans des publications ces éléments relatifs à l’équipe Kammler, secret qui sera respecté par Agoston jusqu’au décès du colonel honnoraire en 1974 . Le même Agoston aurait par la suite tenté mais sans succès d’obtenir une copie des PV d’interrogatoire mené par le US CIC sous le couvert du Freedom for Information Act mais sans succès, les autorités allant jusqu’à dire que ces interrogatoires n’avaient jamais existé. Il faut donc croire Agoston sur parole et c’est bien ce qui pose problème aux sceptiques et aux détracteurs de Nick Cook. Pourtant, selon Cook, il subsisterait dans les archives américaines des indices accréditant l’existence de recherches nazies sur des technologies exotiques comme par exemple les documents « Lusty »  évoquant des recherches sur «  des armes à énergie, des lasers et des armes anti-aériennes à rayon  ». Ces recherches auraient été conduites à Vienne dans un centre secret situé 87 Weimarestr. Cook décrit par le détail toutes les tractations de Kammler avec ses supérieurs hiérarchiques ainsi qu’avec ses concurrents comme von Braun ou Speer pour constituer son équipe de recherche et nous fournit bien trop de détails pour que cela soit le fruit d’une pure mystification. Autre témoin et chercheur critiqué par les sceptiques, le polonais Igor Witkowski que l’on dit animé par des mobiles douteux et qui aurait tout simplement mené Cook en bateau. Possible mais les sceptiques ne m’en ont pas apporté une preuve palpable et convaincante. Witkowski se serait donc longuement documenté sur le Kammlerstab et sur Wilhelm Voss pour découvrir qu’une bonne partie des équipes de Kammler planchait sur le nucléaire. Il y aurait eu à la fin de la guerre des négociations top secrètes entre Kammler et les services de renseignements américains pour revendre des technologies très précieuses. Witkowski explique à Cook que Kammler avait mis au point une opération d’évacuation, « Special Evacuation Kommando  » au cours de laquelle les SS auraient réussi à évacuer en pièces détachées par camions, par avions spéciaux (des Ju290 et 390) et par U Boat les éléments technologiques relatifs à la recherche en matière d’antigravitation, une installation que Cook nommera dans son ouvrage sous l’appellation « The Bell », « la cloche » (des recherches baptisées par le nom de code Chronos et « Laternentrager ») et dont il a visité les supposées ruines près de Nordhausen. Pour cette opération d’évacuation, Kammler aurait bénéficié de toute autorité grâce à Martin Bormann, l’éminence grise de Hitler, passant ainsi au dessus de l’autorité du chef de la SS, Himmler. Quant à la plupart des ingénieurs et des scientifiques, ils auraient tout simplement été abattus entre le 28 avril et le 4 mai 1945 par les SS, précise Witkowski à Cook, ce qui explique la quasi impossibilité de découvrir des témoins sur les véritables buts des recherches de l’équipe Kammler, des recherches d’une portée telle que cela aurait justifié un si grand nombre d’assassinats. Ces assassinats auraient été perpétrés par des membres des Sonderkommando, les bataillons mobiles de tueries qui s’étaient fait une spécialité de ces meurtres collectifs qui ne devaient pas laisser de traces. Deux SS par victime, deux équipes, 31 balles par équipe et des déportés pour creuser les fosses….les détails donnés par le consultant du Jane’s sont très nombreux. Cook décrit alors de façon très convaincante le type de recherche menée dans « the Bell » dans le cadre de l’opération Chronos, des recherches ayant pour but de générer des vortex et de l’antigravité. Ces recherches ont-elles été couronnées de succès ? Cook l’ignore et ne peut que faire des suppositions. Il retrace alors toutes les recherches menées en matière d’antigravitation par les alliés dans les remous de l’opération Paperclip. Et il ne peut s’empêcher de penser aux successeurs supposés de ces équipes de recherche allemandes, les « black budget, » et autres « skunk project » américains dont certains membres, au milieu des années 50 «  furent contraints au silence par de ténébreuses équipes d’agences de renseignement afin de garder secrète la vérité sur les véritables percées technologiques allemandes après la seconde guerre mondiale  ». Bref, pour Nick Cook, il semble acquis que les Américains ont réellement mis la main sur quelque chose après la défaite des nazis et la technologie furtive des ailes volantes du genre B2 et F117 ne serait que la suite et les répercussions des premières recherches exotiques allemandes. Comme nous l’avons déjà mentionné, le travail de Cook a été critiqué par les sceptiques, comme par exemple, les gens du Fortean Magazine parce que l’intéressé, sans doute de bonne volonté, aurait été manipulé par des inconnus aux intentions peu louables dont le but était «  de rendre au régime nazi des dehors plus favorables et ce par le biais de manipulations et de mensonges  ». On parle même « d’individus agissant pour le compte d’un groupe qui suit un plan spécifique », à savoir un travail de relations publiques pour le compte de l’idéologie nazie. Et de s’étonner que Cook n’ait pas été mis en garde contre les activités de ces agents manipulateurs ou qu’il n’ait lui-même pas su faire preuve de plus de discernement. Les reproches à l’adresse de Cook se focaliseront surtout sur le chapitre relatif à Victor Schauberger, cet autodidacte autrichien, passionné par les forces de la nature qui aurait mis en point un générateur d’énergie qui copiait les forces dégagées par les vortex et les tourbillons générés par l’eau. Certains auteurs affirment que Schauberger aurait mis au point une soucoupe volante pour les SS puis pour les Américains et l’illustration représentant son générateur (le Repulsine) ou plutôt sa « turbine à eau » dont l’apparence évoque une soucoupe volante a bien souvent été « maquillée » en Ovni nazi en l’ornant d’une croix germanique. Le « Cook Report », ce document qui critique le livre de Cook, estime que tout ce qui a été rapporté au consultant anglais à propos de Schauberger relève de la plus haute fantaisie… mais sans nous dire exactement pourquoi. Tout comme on ne nous explique pas clairement pourquoi Witkwoski est un personnage peu crédible. Ni qui serait ce mystérieux groupe pro nazi obéissant à « un plan spécifique » et qui exactement aurait manipulé Cook en lui envoyant des informateurs chargés de lui raconter des mensonges. L’auteur du rapport Cook et du rapport sur les Ovnis nazis conclut :«  je ne vois aucune raison qui me permet de croire que Victor Schauberger ait été capable de faire tout cela…, ou qu’il a construit un disque volant …  ». Et pour ma part, je ne vois pas de raisons de croire aveuglément les conclusions de l’auteur du Fortean Magazine. Si cela vous intéresse, jetez un œil sur le chapitre « the Cook Report » dans l’article que le Fortean Magazine consacre aux Nazis UFO.

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Sceptiques contre croyants, qui sont les gagnants ?

Je dois confesser que tout au long de cette enquête, mon opinion a changé de manière quasi diamétrale. Au départ, je croyais –non sans une certaine frayeur mais aussi sans une certaine fascination- qu’il y avait un fondement plus que concret à ce dossier des Ovnis nazis et à l’existence des vaisseaux Vrils et Haunebu. Aujourd’hui je suis beaucoup moins affirmatif et mille fois plus méfiant. Au delà de l’aspect « extrême droite », je me rend compte au fil de mes lectures et échanges de courriers sur l’affaire qu’il est très difficile de se forger une opinion circonstanciée car les arguments des sceptiques ne répondent pas à toutes les questions loin de là. D’ailleurs, l’un d’entre eux, Kevin Mc Lure , auteur d’un article assez sobre et bien équilibré sur le mythe des soucoupes nazies, a listé sur le Web une longue liste de questions à laquelle il n’avait toujours pas de réponses, ce qui démontre l’honnêteté du personnage. J’ai bien tenté de confronter les recherches et donc théories de deux passionnés de l’affaire, Kevin Mc Clure d’une part endossant la défense du camp des sceptiques et Tim Matthews (Flying Saucers, Secret History) d’autre part qui persiste dans l’idée que les soucoupes nazies ont vraiment existé, du moins dans une certaine mesure. Et je suis aujourd’hui incapable de les départager car je ne possède pas les moyens matériels (références bibliographiques, testimoniales etc…) pour donner complètement raison à l’un ou à l’autre.

Examinons par exemple de façon très brève la vision du dossier de Kevin Mc Lure. Celui-ci estime qu’avant 1950, il n’y avait aucune publication, aucun article de quelque ordre que ce soit sur des soucoupes nazies et autres aéronefs exotiques. La première fois que l’on en parle, c’est en 1950 dans une dépêche d’agence publiée par le magazine allemand Der Spiegel qui relate les propos d’un soit disant Capitaine Rudolph Schriever qui évoque l’existence d’un projet théorique de disque volant, le fameux disque Schriever-Habermohl-Miethe et Belonzo . En 1957, un certain Major Lusar dans l’ouvrage « German Secret Weapons of the Second World War » colporte la même histoire mais affirme que le disque était opérationnel et lui confère des données et des performances qui semblent fantaisistes. Mc Lure estime que l’existence même de Schriever n’est pas confirmée (il était trop jeune au moment de la guerre) et ajoute que les données les plus fantaisistes et les plus imprécises circulent sur les autres participants au projet (Habermohl et consort), voire qu’ils n’ont jamais existé (aucune trace dans aucune archive historique ou militaire d’aucune sorte).

En résumé, on peut dire que les premières publications sur le sujet datant des années 60 de Schriever, Lusar puis Vesco (« Intercept But Don’t Shoot ») sont toujours sujettes à caution. Mc Clure – il n’est pas le seul, loin de là – affirme donc ne pas avoir trouvé d’indices probants démontrant que les faits « fondateurs » des Ovnis nazis sont palpables, incontournables et vérifiables. Quant à l’origine du corpus de croyances sur les Vrils et Haunebu, Mc Lure souligne par exemple le rôle très important joué par les écrits d’Allen Harbinson avec sa série de nouvelles « Projekt Saucer » qui ne sont que des œuvres de fiction paraît-il très bien construites. De la même manière, Mc Lure passera à la moulinette une grande partie des autres affirmations proférées par Chilldress, Cook et quantité d’autres chercheurs de type « croyant ». Il s’intéresse tout particulièrement à Branton et ses « Omega Files », un mystérieux protagoniste du Web, extrêmement prolixe sur le conspirationnisme en général et sur les Short Greys que certains sceptiques décrivent comme un agent désinformant de la CIA. Mc Lure le place au même niveau que Terziski de par l’imagination fertile et se pose lui aussi des questions sur les mobiles qui anime «  ce personnage impliqué dans des affaires d’abductions depuis sa prime enfance…, programmé avec une personnalité double ou comme agent dormant pour la CIA  » Et de souligner que le dossier Omega de Branton appelé « Nazi Files » est un autre exemple «  de présentation de choses incroyables sous forme de faits  », parlant à son sujet de «  désert moral et intellectuel  ». Car Mc Lure s’emporte contre Branton principalement parce que celui-ci utilise des éléments de l’Holocauste (par exemple, le soit disant envoi de déportés de Buchenwald en Antarctique pour construire une base secrète pour Ovnis) qu’il déforme pour donner corps à ses fantasmes et se demande quelle genre de pulsion peut bien pousser Branton à de telles constructions de l’imaginaire opérées sur le dos des déportés. Mc Lure a raison, il y a quelque chose de détestable dans cette réécriture de l’histoire, quelque chose d’autant plus désagréable que cela introduit des notes d’invraisemblance dans le dossier de la déportation. Mais malgré tout, en dépit de ces invraisemblances, si Branton était quand même de bonne foi ? Car Mc Lure ne nous apporte aucune preuve que l’intéressé raconte totalement des inepties si ce n’est le fait que ces faits n’ont jamais été rapportés d’une quelconque façon dans la littérature concentrationnaire. Enfin, Mc Lure reconnaît qu’il y a encore pas mal de choses à éclaircir dans cette affaire, notamment suite à la publication récente d’un livre sur le 3 ième Reich en Antarctique et en Amérique du Sud, « Arktos », rédigé par une certaine Jocelyne Goodwin . Avec Mc Lure, le mythe se dégonfle brique après brique, souvent de façon convaincante, parfois avec des raccourcis qui ne me satisfont pas. Il serait fastidieux de se pencher sur tous les éléments qu’il énumère pour écorner l’affaire de l’Amiral Byrd, les bases en Antarctique, les Vrils, Haunebus, Foo Fighters car finalement, c’est l’aveu de ne pas pouvoir répondre à toutes les questions, éclaircir toutes les zones d’ombre qui crédibilise le travail de Mc Lure et le rend modeste, donc touchant et humain, ce qui est rare dans le domaine.

Autre cas de figure, totalement inverse , celui de Tim Matthews qui se fait l’avocat de ceux qui croient en l’existence d’une partie du mythe des Ovnis nazis ou à tout le moins d’une origine humaine aux Ovnis puisqu’il n’hésite pas à affirmer que «  les soucoupes volantes se sont développées jusqu’à un certain degré en parallèle de chaque côté de l’Atlantique au cours de la seconde guerre mondiale  », en d’autres termes, pour Matthews, il faut voir derrière les Ovnis l’œuvre du monde du renseignement (de « l’Intelligence ») plutôt que l’œuvre d’une intelligence extraterrestre. Ce croyant ou plutôt ce croyant qui aimerait bien se faire la peau de quelques sceptiques, incarne une nouvelle tendance dans la recherche sur les Ovnis nazis, celle qui refuse la main mise de l’extrême droite sur l’affaire. Pour lui «  tout d’abord, ce n’est certainement pas le cas que les avocats défendant la thèse des soucoupes volantes construites par l’homme fassent automatiquement l’apologie du régime nazi, comme cela est suggéré par les sceptiques qui affirment que parce que certains des chercheurs « nazis » en Ovnis sont douteux en matière de propagande politique, par conséquent, toute forme de recherche dans ce secteur n’est pas valide. Ce genre de culpabilisation par le biais de l’association est la manière la moins efficace de débattre avec les preuves…  » affirme-t-il dans un article publié sur le Web, « Flying Saucers – Secret History ». Matthews ne rejette pas l’histoire des soucoupes volantes nazies sous prétexte que l’affaire des Vrils et des Haunebu est totalement invraisemblable et qu’elle fait pas la part belle aux séides de Hitler, Himmler et autres sadiques dégénérés. Il revient sur les recherches effectuées par le professeur Heinrich Focke (constructeur des célèbres Focke Wulf) qui s’est intéressé très tôt au décollage vertical et aux technologie relatives au rotor et aux hélicoptères, il passe en revue les travaux des frères Horten dont les ailes volantes ont été popularisées tant au cinéma (Les Aventuriers de l’Arche Perdue) qu’en BD (voir l’aile volante façon Horten dans le Secret de l’Espadon de Jacobs ) et dont on peut être certain que la firme Northrop Grumman s’est inspirée avec le fameux bombardier B2 (voir à ce sujet Horten et les B2, l’article très intéressant de Jean-Pierre Petit ainsi que son étonnant et passionnant livre sur « les Ovnis et les armes secrètes américaines »). Matthews s’attarde plus longuement sur le AS6 (V1) mis en évidence dans la revue « Flugzeug Profile » (évoquée plus haut dans ce papier) grâce à un article rédigé par Hans Herbert et Hans Meier dans la revue « Luftfahrt International » datant de 1980 mettant en évidence les propriétés de furtivité des ailes circulaires. Matthews insiste sur le fait que les recherches sur les ailes circulaires n’avaient aucun rapport avec des connections ésotériques et autres connaissances occultes relatives à l’énergie Vril «  et autres non sens  » mais seulement parce que ce genre de design possèderait des propriétés furtives « et que les ailes circulaires sont plus robustes et plus faciles à construire ». Toujours selon Mathews, le premier appareil à aile circulaire et à propulsion par jet a été imaginé et sinon construit autour de 1943 et de citer comme source, le témoignage de Rudolph Schriever qui en 1950 aurait affirmé avoir travaillé dans les environs de Prague sur un véhicule de type « soucoupe volante ». Il cite également le fameux article de Der Spiegel tant contesté par Mc Lure. Mathews passe aussi en revue toutes les armes exotiques sur lesquelles les allemands se sont penchés : ailes volantes, missiles filoguidés, armes à particules, eau lourde etc… Quant à la raison pour laquelle les recherches dans ces domaines n’ont pas abouti, il met en avant l’attitude très rétrograde de Hitler lui-même à l’égard de ce que l’on pourrait appeler les nouvelles technologies, à savoir «  l’indifférence de Hitler et de son immédiate hiérarchie pour la recherche dans les sciences nouvelles,  naturelles qui pouvait aller jusqu’à une positive hostilité  ».

Des chefs nazis rétrogrades en matière d’armements ?

Nous voici donc très loin de l’image d’Epinal d’un Hitler passionné par les sciences « underground », les solutions radicalement novatrices, féru d’occultisme et investi totalement par les pseudo recherches dans les énergies ésotériques, les Vril et autres engins inspirés par des guides extraterrestres de type aryens. C’est sans doute la raison pour laquelle les fameuses armes miracles qui devaient sauver le cours de la guerre, la fusée A4 ou l’avion à réaction par exemple sont arrivées si tardivement sur le terrain des opérations : Hitler n’y croyait tout simplement pas. Nous sommes à des années lumières de cette autre représentation d’un Reich magique, d’une Waffen SS ultra puissante, toute dévouée aux décisions innovantes d’un chef visionnaire guidé par des puissances magiques. Le fossé entre ces deux représentations est tel qu’il ne laisse pratiquement aucune place à un moyen terme, à un réel où une partie du mythe des Ovnis nazis aurait sa place et aurait donc existé. Le scepticisme me semble pour l’instant être l’attitude la plus confortable et la plus fondée puisque l’avocat même des croyants avance certains arguments imparables qui dégonflent le mythe. Et que les éléments matériels historiques que l’on peut « tracer » sont d’une maigreur impressionnante. Il reste les nombreuses questions sans réponses que les sceptiques n’abordent pas de façon convaincante, des questions relevées par l’un de leur meilleur avocat, Tim Mc Lure. Il reste certaines affirmations énigmatiques de gens comme le Colonel Corso , ex Colonel au département « technologies étrangères » du Pentagone qui affirme que l’armée US a bel et bien récupéré une soucoupe extraterrestre à Roswell et possèderait des modèles opérationnels. Dans son livre, il évoque l’étrange phrase de son supérieur hiérarchique, le Général Trudeau qui lui demandait d’inventorier les recherches technologiques que les Allemands avaient faites pendant la seconde guerre mondiale, de récupérer ce matériel et « de l’incorporer dans les recherches en cours  ». Mais Trudeau fait soudainement allusion à d’autres technologies que celles plus classiques de l’avion à réaction, du canon Grosse Bertha ou des nouveaux Panzers : «  le matériel dans cette armoire est légèrement différent de celui qui nous passe entre les mains. Je ne sais pas ce que vous avez eu l’occasion d’apprendre sur cela quand vous étiez à la Maison Blanche mais avant d’écrire un quelconque rapport, vous devriez faire une petite recherche sur le dossier Roswell  ». Voilà une très étrange phrase, une très bizarre suggestion de relier Roswell aux recherches des nazis. Mais bon, pour les sceptiques, Corso est sans doute du même tonneau, un mystificateur, un agent désinformant payé par on ne sais quelle officine de renseignement de l’armée pour des raisons que l’on ne comprend pas très bien. C’est possible. Mais une fois de plus, il ne suffit pas de dire que Corso raconte des bobards parce qu’il nous fait part de choses invraisemblables (comme les voyages interplanétaires, les bases sur Mars et sur la Lune). Et puis, il y a les constatations de gens comme Jean-Pierre Petit ou même de Nick Cook qui laissent transparaître le fait que la version officielle sur les progrès opérés en matière d’antigravitation ou de propulsion MHD par l’Air Force et les autres officines de recherche et développement n’a pas grand rapport avec ce qui se passe réellement sur le terrain. Il est curieux de constater qu’officiellement, on est quasiment nul part en matière d’antigravitation. A titre d’exemple, les recherches menées par la Nasa ou par British Aerospace ont à peine été capable d’isoler un effet antigravitationnel et les chercheurs sont aptes par exemple, par le biais de certains appareils, à supprimer à peine de 1 à 2 % du poids d’un objet lorsqu’il est soumis à ladite technologie antigravitationnelle, le but étant de découvrir le point zéro, l’annulation totale de la gravité. Curieux paradoxe donc que ces recherches qui coûtent des dizaines de millions de dollars pour arriver à des effets peu concluants face à d’autres chercheurs, non officiels ceux-là qui, œuvrant dans leur garage de banlieue, seraient arrivés à faire décoller tel ou tel objet, à produire des quantités d’énergie absolument incroyables. Des gens que l’on doit alors croire sur parole et dont on peut facilement se procurer les coordonnés dans des magazines comme Nexus ou dans des livres sur l’énergie libre (celui de Jeane Manning aux éditions Louise Courteau par exemple), autre pomme de discorde entre physiciens « sérieux » et autres Pr. Tournesol « Underground ». Nick Cook ne peut s’empêcher de penser que l’on a pu faire silence sur les véritables percées scientifiques des nazis en matière d’antigravitation car «  ces révélations auraient provoqué la mort prématurée de la toute jeune science aérospatiale… Une science qui aurait rendu leur propre monde redondant  » et donc inutile, ce qui aurait sonné le glas « des missiles balistiques, des avions à réaction, des armes guidées, des avions transatlantiques  » et de la conquête spatiale telle que nous l’avons connue. Une hypothèse et une logique très séduisante mais qui ne valide pas l’existence des Ovnis nazis parce que cette hypothèse est justement logique !

Les questions demeurent

Au terme d’une lecture non exhaustive de ce dossier des Ovnis nazis, une partie de mes questions demeurent et je m’interroge toujours sur l’origine de certaines histoires et certains clichés même si l’hypothèse d’une motivation idéologique à la construction de ces récits me semble très naturelle, tentante et partiellement satisfaisante. D’une part, comme nous l’avons vu,  le mythe des Ovnis nazis sert le camp de l’extrême droite en accordant au régime hitlérien une aura de mystère, de magie et d’universalisme (via l’influence présumée d’une civilisation extraterrestre). D’autre part, d’autres intervenants plus proche du milieu New Age et pas nécessairement nazi au premier abord s’en servent pour la constitution d’une nouvelle religion, sorte de syncrétisme alliant Bouddhisme et Egyptologie, créant avec les nazis et leurs Ovnis l’image d’un ennemi tout puissant, de type luciférien qui a détourné des forces bienfaitrices pour leur propre compte. Une telle puissance incarnée par un tel ennemi qui a profondément marqué l’histoire ne peut alors que légitimer toutes les digressions et constructions ésotériques, idéologiques ou religieuses qui en découleraient. Mais je demeure ouvert à l’idée que cette affaire d’Ovni nazis n’est pas sortie de nul part uniquement pour satisfaire les besoins justificateurs de certains groupements. Je ne peux m’empêcher de ressasser encore et toujours cette petite phrase : « Et s’il y avait malgré tout un fond de vérité là dedans »

Source: Karmapolis

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28 décembre 2011

Le PDG d'Ikea INGVAR KAMPRAD, est accusé d'avoir eu des relations avec les nazis

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Le PDG d'Ikea INGVAR KAMPRAD, à gauche, EST MIS EN CAUSE POUR SES RELATIONS AVEC LES NAZIS dans le livre d'une journaliste suédoise.
afp.com/Eric Feferberg



Il a entretenu des LIENS plus poussés AVEC DES GROUPUSCULES NAZIS SUÉDOIS qu'il ne l'admet, affirme le livre d'une journaliste suédoise.
Rattrapé par son passé? LE FONDATEUR DU GROUPE SUÉDOIS IKEA A ENTRETENU, PENDANT ET APRÈS LA SECONDE GUERRE MONDIALE, DES LIENS PLUS POUSSÉS AVEC DES GROUPUSCULES NAZIS SUÉDOIS QU'IL NE L'A ADMIS PAR LA SUITE, selon un nouveau livre publié dans le royaume où il suscite des réactions critiques.  

INGVAR KAMPRAD (cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Ingvar_Kamprad ), UN MILLIARDAIRE ÂGÉ DE 85 ANS QUI CONTINUE À CONTRÔLER LE NUMÉRO UN MONDIAL DE L'AMEUBLEMENT, A RECONNU DEPUIS UNE QUINZAINE D'ANNÉES QU'IL AVAIT ADHÉRÉ À UN MOUVEMENT DE JEUNESSE FASCISTE DURANT LA GUERRE, en qualifiant cet épisode de "plus grave erreur" de sa vie et de "folie de jeunesse".  

LE SUÉDOIS AVAIT POURTANT ADHÉRÉ À UN AUTRE GROUPUSCULE ENCORE PLUS EXTRÉMISTE ET IL EST RESTÉ UN ADMIRATEUR DE PER ENGDAHL, L'UNE DES PRINCIPALES FIGURES NAZIES DE SUÈDE (cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Per_Engdahl ), détaille la journaliste suédoise Elisabeth Aasbrink, auteur d'un livre qui est sorti cette semaine. "C'est peut-être le plus surprenant. Il a toujours dit qu'il s'était impliqué dans la confusion de la jeunesse. MAIS EN AOÛT DERNIER, IL ÉTAIT ENCORE LOYAL À L'ÉGARD DE CE LEADER FASCISTE", a-t-elle assuré, sur la foi d'un entretien qu'Ingvar Kamprad lui avait alors accordé. "IL M'A DIT: "ENGDAHL ÉTAIT UNE GRANDE PERSONNALITÉ ET JE LE MAINTIENDRAI JUSQU'À LA FIN DE MES JOURS."  


Ami d'un jeune juif

LE LIVRE D'ELISABETH AASBRINK, ET LES ARBRES RESTENT DEBOUT À WIENERWALD, raconte l'histoire d'Otto Ullman, un jeune juif devenu un "très bon ami" d'Ingvar Kamprad, avoir avoir été envoyé d'Autriche vers la Suède, officiellement neutre, juste avant le début de la 2e guerre.  

Elisabeth Aasbrink a indiqué avoir voulu comprendre comment il avait pu devenir aussi proche d'Otto Ullman, tout en étant impliqué dans un mouvement dont l'idéologie avait contribué à envoyer les parents de l'Autrichien dans le camp d'Auschwitz où ils ont été tués. En insistant auprès de lui sur ce paradoxe, Kamprad a fini par lui répondre: "je ne peux pas voir là une contradiction".  


Proche d'un leader nazi

MÊME APRÈS LA GUERRE, INGVAR KAMPRAD (cf. http://www.epokhe.com/entrepreneurs/ingvar-kamprad/ ) EST RESTÉ AMI AVEC PER ENGDAHL (décédé en 1994). Elisabeth Aasbrink a rappelé notamment qu'IL AVAIT INVITÉ LE LEADER NAZI À SON PREMIER MARIAGE EN 1950 - ÉPISODE ADMIS PAR INGVAR KAMPRAD DANS LA BIOGRAPHIE AUTORISÉE QUI LUI EST CONSACRÉE. Elisabeth Aasbrink a également découvert que LE JEUNE KAMPRAD, QUI A ADMIS AVOIR REJOINT LE NOUVEAU MOUVEMENT SUÉDOIS DE PER ENGDAHL, AVAIT AUPARAVANT ÉTÉ MEMBRE D'UN GROUPUSCULE PLUS EXTRÉMISTE, LE RASSEMBLEMENT SOCIALISTE SUÉDOIS (SSS). SA CARTE DE MEMBRE PORTAIT LE NUMÉRO 4014.  

AUTRE ÉLÉMENT NOUVEAU DANS LE LIVRE, LA POLICE DE SÉCURITÉ SUÉDOISE, LA SAEPO, AVAIT OUVERT UN DOSSIER INTITULÉ "NAZI" SUR LE COMPTE D'INGVAR KAMPRAD EN 1943, L'ANNÉE OÙ IL AVAIT FONDÉ, À 17 ANS, UNE PETITE ENTREPRISE, IKEA, DANS UN VILLAGE DU SUD DE LA SUÈDE. Elisabeth Aasbrink a précisé ne pas avoir pu consulter ce dossier au-delà de l'année 1949. Dans la partie du document à laquelle elle a eu accès, la journaliste a lu qu'INGVAR KAMPRAD AFFIRMAIT À L'ÉPOQUE "AVOIR RECRUTÉ DES MEMBRES (...) ET NE SEMBLAIT PAS MANQUER UNE OCCASION DE SERVIR LE PARTI", LE SSS.  

Ni le Suédois, domicilié en Suisse depuis 1978, ni son porte-parole ne pouvait être joint pour un commentaire jeudi soir. Sur son site Internet, Ikea a souligné que "ce qui s'est passé il y a 70 ans est quelque chose pour laquelle Ingvar a présenté ses excuses à de nombreuses reprises (...) et cela n'a rien à voir avec les activités d'Ikea". "Ingvar a dédié sa vie d'adulte à Ikea et aux valeurs démocratiques que représente Ikea", est-il ajouté. 

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