Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
rusty james news
rusty james news
  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog

 

90243223_3015402811831487_8561877086778687488_o (1)

3323033

coronavirus-patentes

images (19)

219-2199429_love-heart-beautiful-wallpapers-happy-valentines-day-nature

1025600_652515874786871_1894874949_o


nVskOPKB

téléchargement (100)

universal-biometric-identity-1024x576

91848411

téléchargement (11)

tree_horizon_sunset_128367_5000x2830

f04543b60ef77267e2b31c5f3920fbb0

photo-1542805700-2fadb851b97a

qxJUj0O

 

pIHMc8u

7kKizZj

ZcuYl3V


sea-beach-sunset-boats-red-sky-1080P-wallpaper-middle-size

night-sky-background-7047

sky-wallpaper-38

18557077_1435376306500820_5842715664996553589_n

 

 

798041343248-national-geographic-wallpaper-zealand-photo-waikawau-desktop-bigest-images

Firefox_Screenshot_2017-02-18T13-56-14

16195622_1077703329024709_5740688279216232976_n

sf

 

Pyramides-Gizeh

atlantide-compressor

Ancien-arbre-1

Ancien-arbre-2 - Copie

Ancien-arbre-3 - Copie

h21

h25

h25

h26

h27

SDSDS

SZSDFZFS

ZDZD

931270ecd7_50010171_bohr-heisenberg-aip-niels-bohr-library

don

 

1a686c3b37ddba12f5e282679288047b

62e74d09a526f5250c3c16f5bbb7d342

3a2057e1930aac61c9451db179973253

5aa85f74b15975d75e8a6d4e547b40b0

5c3e0b7842f37a0d63504d0a032ca422

5f6fce1a34d9027bdedb78ef0658a5af

9dbf5fc4a80275b619f44e3e7a8314d2

a37cf9c85664975cf3660c8f21f70899

a96a954487d536bd6f75942a6d02f5b9

a977356a4e04ae0cdaf4c67ca90d1939

ad9ee9f2e4a1d0e83945b78313c60f27

b7e27913185d0679a669ce0f634d95f0

Archives
agartha
19 janvier 2017

Le grand secret de l’Himalaya et des Atlantes

Nous allons faire la connaissance du professeur Ernest Rifgatovich Muldashev, qui a publié en 2001 un livre pour expliquer le fruit de ses recherches : Das Dritte Auge – und der Ursprung der Menschheit [ Le troisième œil et l’origine de l’humanité ]. Le docteur Muldashev, un réputé ophtalmologue et l’un des grands génies de la Russie, fait des conférences de par le monde et opère de nombreux patients – il semble donc avoir les pieds sur terre. Ernest Muldashev a fait, il y a quelques années, une découverte surprenante : la cornée, qui est la membrane transparente en forme de lentille à la surface de l’œil, a la particularité d’être de la même taille pour tous les êtres humains, qu’ils mesurent 1,8 mètre ou qu’ils soient encore des enfants. C’est la seule partie du corps humain qui est la même pour tout le monde. Muldashev a pu établir que la cornée ne pousse que jusqu’à l’âge de quatre ans, et qu’elle garde ensuite la même taille tout au long de la vie.

11. Les paramètres géométriques d’Ernest Muldashev, basés sur la cornée. Il a réalisé une étude sur 1 500 personnes, pour démontrer la possibilité de diagnostiquer des maladies physiques et psychiques, à partir des données qu’on trouve sur la cornée. Il a fait des clichés photographiques avec son équipe. Avec des ordinateurs performants, capables d’analyser les paramètres les plus subtils, il a fait une percée décisive : il a mis au point une méthode fiable de diagnostic de l’état physique et psychique d’une personne, par laquelle il peut également reconstituer la tête entière, la taille et la forme du crâne : « Sur la base des résultats d’une étude sur 1 500 personnes, nous avons pu affiner le principe. Nous sommes parvenus à une grande précision, car nous avons pu définir 22 caractéristiques de la géométrie de l’œil, alors que les deux rectangles ne représentent que deux d’entre elles [...] ( figure 11 ) Comme la géométrie de l’œil est en rapport avec la géométrie des traits du visage, il est possible de reconstituer l’apparence d’une personne à partir des paramètres de sa cornée [...] » La géométrie de l’œil permet plusieurs applications pratiques : l’identification d’une personne ; la reconstitution de son apparence ; la définition de ses caractéristiques mentales ; l’analyse objective des sensations et des émotions ; le diagnostic de pathologies physiques ou psychiques ; la détection de l’origine ethnique de l’individu ; même l’étude de l’origine de l’humanité ! Sur la base de ces découvertes, l’équipe du spécialiste a continué ses recherches. À partir de la coupe de l’œil, il est devenu possible de déterminer l’origine ethnique d’un individu. Dans son livre, Muldashev explique comment, en analysant les paramètres des différents types humains, il a pu réussir à déterminer l’origine de l’humanité. Muldashev et ses collaborateurs ont analysé les 35 types humains existants, selon la classification d’A. Jarcho. Ils sont parvenus à la conclusion suivante : « Nos recherches sur la géométrie de l’œil nous ont permis d’affirmer que l’humanité a une origine commune, qu’elle s’est développée à partir d’ancêtres communs, originaires du Tibet, dont les descendants ont essaimé dans le monde entier. » Les scientifiques ont donc concentré leurs recherches sur cette région de l’Himalaya, pour prouver leur affirmation. Ils ont fait une découverte fondamentale, en analysant les clichés d’un ami de Muldashev, représentant un regard, une paire d’yeux, que l’on trouve dans tous les temples tibétains.

8434812531_5d86758ed7_b

12. Le regard mystérieux des temples bouddhistes au Népal, en Inde et au Tibet. Muldashev a entré les paramètres dans son ordinateur, et il a pu reconstituer la tête entière. Il décrit ce qu’il voit : « Tout d’abord, on remarque qu’il manque la racine du nez. Qu’est-ce que cela veut dire ? Chez l’homme moderne, la racine du nez recouvre la partie intérieure du champ de vision. L’angle vers l’extérieur est de 80 à 90 degrés, l’angle vers l’intérieur est de 35 à 45 degrés. L’homme a une vision binoculaire, il voit avec les deux yeux, ce qui lui permet de voir le volume et d’apprécier la distance d’un objet, de 35 à 45 degrés, mais pas de 80 à 90 degrés . Cet inconvénient, dû à la racine du nez, est relativement peu important à la lumière du jour ; il l’est un peu plus sous une lumière artificielle ; sous une lumière rouge, c’est beaucoup plus gênant, car l’orientation dans l’espace devient plus difficile. Sans racine de nez, les hommes auraient une vision binoculaire de 80 à 90 degrés, ce qui faciliterait l’orientation sous une lumière rouge . »

13. La tête, telle que l’a reconstituée l’équipe de Muldashev. Muldashev se demande si l’homme vivait dans un environnement avec une lumière rouge. Il a consulté les écrits anciens, il a lu dans les écrits de Nostradamus que les Atlantes vivaient dans un environnement rougeâtre : le ciel était rouge, les arbres avaient une couleur rouge saturé. Nostradamus explique que le ciel avait changé de couleur, par suite d’une inversion des pôles magnétiques et d’un déplacement de l’axe de rotation de la Terre. On peut donc en déduire que les représentations qui ornent les temples tibétains montrent les yeux d’hommes d’une ancienne civilisation – les Atlantes ! Il continue : « Deuxièmement, on remarque l’arcade de la paupière, qui est inhabituelle. Alors que les paupières de l’homme moderne ont une forme circulaire régulière, celles que l’on peut voir sur les clichés montrent une protubérance centrale sur la paupière supérieure, qui pend légèrement au-dessus de l’œil. Qu’est-ce que cela veut dire ? Que la fente des paupières ne se refermait pas complètement, la protubérance de la paupière supérieure l’en empêchant. Les yeux gardent donc la vision périphérique. Et comme il n’y a pas de racine de nez, que la vision est binoculaire, nous avons établi que le possesseur de ces yeux inhabituels avait la capacité de voir les yeux fermés . » Il y a une autre particularité qui intrigue Muldashev : « Le coin de l’œil est orienté vers le bas et vers l’intérieur. Cela indique une plus grande sécrétion de liquide lacrymal, qui est nécessaire pour maintenir le taux d’humidité, quand les yeux ne sont pas complètement fermés. »manfromatlantis

14. Le Dr Ernest Muldashev. Des yeux qu’on ne ferme pas complètement, en maintenant une vision globale ? Muldashev ne voit qu’une explication : le besoin de protéger la cornée, quand on nage à grande vitesse sous l’eau ! Nostradamus mentionne que les Atlantes pouvaient rester longtemps sous l’eau, et qu’ils avaient des plantations sous-marines. Muldashev explique : « Les représentations sur les temples montrent qu’il y avait une ouverture en forme de spirale à la place du nez. Si les Atlantes vivaient en partie sous l’eau, peut-on imaginer que cette ouverture en forme de spirale était comme une valve, qui permettait la respiration ? Les animaux marins, les dauphins et les baleines disposent d’une valve de ce genre. À la différence d’un nez conventionnel, cette valve empêche l’eau de pénétrer dans les voies respiratoires pendant la plongée. On peut voir sur les représentations des temples une tache en forme de goutte au-dessus des yeux, là où les femmes hindoues peignent leur tache de beauté. On pense que cette tache représente le “troisième œil”. Nous savons que les hommes de la haute Antiquité avaient un troisième œil, selon les indications de l’embryologie.

 

Chez l’homme moderne, il en subsiste des rudiments, la glande pinéale (l’épiphyse), cachée à l’intérieur du cerveau. On pense généralement que le troisième œil était l’organe de la bioénergie (télépathie, etc.), qui était capable, selon les légendes, de faire des miracles – la transmission de pensées, l’influence sur la gravitation et la guérison de maladies, entre autres. » On peut se demander pourquoi on trouverait au Tibet des yeux d’Atlantes représentés sur les temples. Muldashev et son équipe pensent avoir trouvé la réponse. Je vous résume ce qu’ils ont expliqué dans un livre épais, très bien documenté. Munie du cliché réalisé par Muldashev ( figure 13 ), l’équipe a entrepris une expédition transhimalayenne, parcourant l’Inde et le Népal jusqu’au Tibet, où elle a pu rencontrer les représentants de divers monastères, allant d’une surprise à l’autre. Tous ceux qui voyaient la photo semblaient comprendre tout de suite ce dont il s’agissait, comme le Swâmi Daram, un Indien, qui leur a demandé aussitôt : « Avez-vous trouvé le corps dans les montagnes ? – Dans la mer ? » Muldashev explique qu’ils ont réalisé ce cliché en partant d’observations de la géométrie de la cornée. Tous les sages qu’ils ont rencontrés savaient qui était représenté sur la photo, mais personne ne voulait le dire. Muldashev a pu établir, après d’autres expéditions et d’innombrables conversations, que la créature représentée ne l’était pas de façon correcte, qu’il s’agissait d’un être n’appartenant pas à notre civilisation, mais à une civilisation antérieure.

Avant le Déluge, il existait des civilisations évoluées : les Atlantes et avant eux les Lémuriens, précédés d’autres civilisations. Les Lémuriens, les Atlantes et certaines personnes appartenant à notre monde moderne sont capables d’entrer dans un état de conscience qu’on appelle le samâdhi , dans lequel l’individu est en mesure, suivant le principe que l’esprit domine la matière , de réduire à zéro les processus de son métabolisme, et de maintenir l’organisme dans cet état – à l’instar des animaux en hibernation. Selon le Swâmi (guide spirituel) indien, il est possible, si la personne sait bien méditer, d’agir sur l’être entier en influant sur l’eau qui le baigne, son champ biologique étant lié à l’eau de son organisme. Bref, le samâdhi est la plus haute forme de méditation. Une fois que l’organisme a atteint l’état de samâdhi , il peut se maintenir en état de conservation pendant plusieurs années, plusieurs millénaires même, selon les sages de l’Himalaya, sans que la personne meure. Lors du samâdhi , l’âme se trouve en fait à l’extérieur du corps, elle est reliée à l’organisme par un fil d’argent. Le fil d’argent, un lien d’énergie, est pour ainsi dire le cordon ombilical entre les deux organismes, comparable à un fil électrique entre la vie ici-bas et l’au-delà. Quand la personne meurt, le fil d’argent se désolidarise du corps physique, l’énergie vitale se retire. Comme la séparation du cordon ombilical de la mère représente le début de la vie physique, la coupure du fil d’argent représente en quelque sorte la naissance dans l’au-delà. En état de samâdhi , le fil d’argent se maintient aussi longtemps que l’on veut. Dans un état de samâdhi prolongé, la température descend à quatre degrés, on peut la garder constante dans une grotte ou sous l’eau. L’état de samâdhi permet pleinement d’expérimenter l’âme.

Quand l’âme retourne dans le corps, la personne se réveille peu à peu et elle reprendra ensuite une existence normale. Un médecin qui ausculte une personne en état de samâdhi constate la mort clinique. Il n’y a pas de pouls, l’électrocardiogramme et l’électroencéphalogramme sont plats. La température du corps chute, le corps se pétrifie, il devient immobile, froid et solide, comme une pierre. La pétrification immobile est une expression bien connue des spécialistes des religions orientales. Muldashev est convaincu d’avoir découvert le grand secret de l’Himalaya, que des êtres en état de samâdhi séjournent dans des grottes de l’Himalaya depuis de très nombreuses années, parfois plusieurs centaines de milliers, et forment le fonds génétique de l’humanité . En cas de nouveaux cataclysmes, comme au temps de l’Atlantide, ou de destruction massive de la surface de la Terre et de l’humanité, des êtres peuvent revenir à la vie quand ils le décident, et ils possèdent non seulement le savoir du passé, mais aussi les facultés improbables qu’on attribue à ces êtres, dont la téléportation et la télépathie. Les habitants des grottes sont les gardiens d’un savoir millénaire. Très peu de gens, quelques familles, ont accès à ces grottes. Elles prennent soin de ces êtres, elles peuvent communiquer avec eux. N’ont accès à ces grottes que les individus que les êtres tolèrent. Les grottes sont très difficiles à localiser, elles sont bien dissimulées, à l’abri du regard des hommes. On y trouve des forces mystérieuses, inconnues, mortelles pour certains ; elles protègent l’accès d’éventuels intrus. Si un individu en trouve l’entrée et qu’il arrive à s’y introduire, il va peu à peu commencer à se sentir mal, le malaise ira grandissant, puis il va s’effondrer, et s’il ne fait pas demi-tour, il est sûr de mourir.

On trouve quelques récits de personnes qui ont pu y pénétrer, pour des raisons exceptionnelles. Une légende relate les événements suivants : Quand il y a eu une grande sécheresse en Inde au XIe siècle, un prince a entrepris un voyage vers une de ces grottes sacrées, pour consulter un homme célèbre dans la Haute Antiquité, et lui demander conseil. Beaucoup de dangers le guettaient dans la grotte : des serpents, des vrais et des mystiques, la difficulté de respirer ; des forces inconnues agissaient sur son corps et son esprit. En état de méditation, il est parvenu à entrer en contact avec l’esprit de ce grand homme. Quand celui-ci s’est rendu compte que le prince était bien intentionné et qu’il demandait de l’aide pour ses congénères, les forces hostiles se sont tues, il a pu rester. La grotte était immense, elle contenait douze salles séparées. Dans l’une de ces salles, le prince a trouvé le grand homme en état de samâdhi, son esprit planait dans l’espace. Son corps était desséché, mais il était vivant. Il séjournait là depuis un million six cent mille ans. Il a entrouvert les yeux. Le prince indien a commencé à s’adresser à lui en sanscrit, pour lui demander assistance. L’homme desséché lui faisait signe du regard qu’il comprenait sa requête. Il lui a montré un objet qui pendait au mur. C’était un anneau mystique. Le prince a pris l’anneau, puis il s’est dirigé vers la sortie. Dans une salle voisine, il a vu un autre homme en état de samâdhi, un prince sikh, qui était entré en état de samâdhi au V e siècle, et dont on sait qu’il est revenu à une existence normale au XVIIe siècle. À la sortie de la grotte, le prince est tombé nez à nez avec huit serpents. Un des serpents a fait couler une goutte de sang sur l’anneau mystique. La goutte s’est élevée dans le ciel, il s’est mis à pleuvoir. Un homme appelé Devendra Lowndel a pénétré dans la grotte en 1637, il y séjourne depuis en état de samâdhi. Après lui, plus personne n’est entré dans cette grotte. Un lama de la lignée Bön (un Bönpo), que Muldashev a rencontré, dit à ce propos : « Il existe, au nord du Tibet, une grotte où séjourne un homme, Moze Sal Dzyang, depuis plusieurs siècles, en état de samâdhi.

10356250_1427569180854940_6708834901965036298_n

topic

la découverte de la dépouille d’un lama tibétain momifiée en position du lotus agite le monde scientifique et religieux. Selon les adeptes du bouddhisme tibétain, le moine retrouvé dans une grotte, enveloppé de peaux de bêtes, et dont l’état de conservation du corps étonne les scientifiques, serait en « méditation très profonde ».
Ses restes ont été découverts le 27 janvier dernier dans le district de Songino Khairkhan, au centre nord de la Mongolie, près de la capitale Oulan-Bator, rapporte The Telegraph du 5 février dernier. Selon la tradition du bouddhisme tibétain, ce moine se trouverait dans un état rare de méditation appelé « tukdam ».

Les ecclésiastiques de la région le voient régulièrement. Ce ne sont pas des hommes singuliers, mais des religieux ordinaires. On n’a pas besoin de l’autorisation spéciale de cet être, l’accès est sans danger. Il suffit d’être bien intentionné, mais il est interdit de prendre des photos et de parler – ce serait un sacrilège ! » Le lama conclut le récit en disant que les Chinois étaient au Tibet maintenant, et qu’il était donc très dangereux de s’y rendre. On peut se demander pour quelle raison les Chinois s’intéressent tellement au Tibet : peut-être à cause de ses nombreux mystères ? Quand les Chinois ont envahi le Tibet, beaucoup de religieux tibétains ont avoué sous la torture, et confirmé l’existence des grottes. Les Chinois en ont fouillé plusieurs, pour trouver des lamas. Le lama Bönpo raconte : « Un lama est entré en 1960 en état de samâdhi dans une grotte. Il y est resté jusqu’en 1964. Le neveu de cet homme et ses amis lui ont souvent rendu visite, et ont raconté qu’ils l’avaient trouvé dans la pose du Bouddha, dans un état de pétrification immobile. Les communistes chinois l’ont trouvé et mis en prison. Le corps du lama s’est “ramolli” peu à peu, il est revenu à la vie. Il est resté dans une prison sécuritaire, de 1964 à 1987 ; on ne sait malheureusement pas ce qu’il est devenu. » On peut évidemment se demander comment les Chinois ont pu pénétrer dans des grottes défendues par des barrières spirituelles. Le Bönpo a expliqué que la force spirituelle des lamas de notre civilisation était moins puissante que celle des Atlantes, que dans certains cas la protection était moindre, voire inexistante. Il a expliqué que tout dépendait du troisième œil, qui n’était prononcé que chez les Atlantes, et malheureusement sous-développé dans notre civilisation.

giant-skeleton-unknown

Le lama évoquait les corps de grande taille qu’on avait trouvés au sud du Tibet, accrochés à des piquets par des Chinois. Le bouclier de protection n’avait pas été efficace, à cause de trop nombreuses intrusions sans doute. On sait que beaucoup de Chinois ont péri en tentant de pénétrer dans les grottes ; un jour, ils ont même renoncé à toute tentative d’y entrer de nouveau, par peur. Eux aussi veulent vivre, après tout. Le lama Bönpo a également mentionné une autre grotte au sud du Tibet, où l’on a trouvé un grand nombre de soldats chinois morts dans l’entrée. Leurs visages figés, grimaçants de douleur, ne portaient aucune trace de blessure. Leurs cadavres étaient indemnes. Ils avaient succombé à la force psychique du bouclier. Des habitants des villages voisins ont vu sortir d’une autre grotte quelques douzaines de soldats chinois courant, hurlant comme pris de folie, en se tenant la tête et le ventre. Ces soldats sont morts les uns après les autres.

Le Dr Muldashev a récolté au cours de ses voyages un grand nombre de renseignements sur les civilisations antérieures (au nombre de 22) : elles avaient atteint un très haut niveau technologique, elles ont disparu à la suite de catastrophes cosmiques, cest pipeau ils ont été exterminés par satan et des anges car ils semés le chaos sur terre et faisaient trop couler le sont ils senfuirent a linterieur de la terre et sur les iles et deserts ,il fut un temps ou les atlantes ou genies etaient adorés par les hommes comme des divinités car ils etaient alors visbles aux hommes et se jouaient de la credulité des hommes en se faisant adorer comme des divinites ,ils leur demandaient des sacrifices

616x510

et de la nouriture .

 

 

 

 

 

 

 

A lepoque du prophete salomon dieu donna un pouvoir a salomon un anneau pour les dominer tous cest cet histoire que nous conte discretement le seigneur des anneaux un clin doeil a saturne

saturn_satel

alias satan divinisé lors de ce film par son auteur de façon subliminale ,poursuivant quand Salomon eut le pouvoir de les dominer il leur fit construire un temple que nul homme ne construira jamais apres lui ,des cette epoques les genies devinrent invisibles et commença le regne du monotheisme ,ainsi qu'en asie ou les temples edifiés a ces demons furent gardés intact sur ces legendes ils batirent un pantheon de divinité en leur donnant les noms de chaque attribut divin ainsi lhindouisme se changea ainsi que le boudhisme ,et  integrèrent comme le vatican integra la culture paienne romaine au christianisme fraichement debarqué d'orient. en inde ils avient reçu le message divin et le monotheisme mais avec le temps ils transformerent le boudhisme et lhindouisme en une religion idolatres et de demiurge il suffit de regarder leur pantheon pour comprendre que leur statue represente des etres tout droit sortis de l'enfer ....

kali04

220px-Shiva_meditating_Rishikesh83278043_o

AIZEN copysource  Van Helsing Jan (Holey Jan Udo)

 

 

Publicité
Publicité
7 mars 2016

L'Agartha serait un sanctuaire souterrain caché sous la chaîne de l’Himalaya,

 Jan2011-01-1024x767
Ferdinand Ossendowski (1876-1945)

BÊTES,HOMMES ET DIEUX par F.OSSENDOWSKI
PAGE DU SITE D'ÉSOTÉRISME EXPÉRIMENTAL
[image]

C'est au siècle dernier que Saint-Yves d'Alveydre fit état pour la première fois en Occident de ce nom d'Agartha. Personnage curieux que cet occultiste, grand maître de l'ordre martiniste, précurseur de la synarchie  , alchimiste qui composa des formules pour la production de l'or et de l'argent par sulfuration des métaux inférieurs, connaissant à la perfection l'hébreu et le sanskrit, ce qui lui permit de remonter aux sources de la kabbale et du brahmanisme.
[image]
Né en 1842, d'origine bretonne, le marquis d'Alveydre épousa la comtesse Weller, apparentée à la haute aristocratie européenne, qui lui facilita des contacts avec la cour impériale de Saint-Pétersbourg et lui donna l'occasion de rencontrer des initiés des monastères de l'Asie centrale, colonie tsariste.
[image]
II consigna ce qu'il avait appris dans un ouvrage, Mission de l'Inde, qu'il fit imprimer, mais dont il détruisit toute l'édition, pris de remords d'avoir révélé des secrets ne lui appartenant pas, à l'exception d'un seul exemplaire qui parvint entre les mains de Papus et permit de faire, en 1910, une seconde édition.

[image]
Après Saint-Yves d'Alveydre, Jacoliot, ancien consul de France, fit allusion à l'Agartha dans la Bible dans l'Inde, puis ce fut le tour de H.-P. Blavatsky, la fondatrice de la théosophie, dans la Doctrine secrète et lsis dévoilée. Un peu plus tard, dans le Roi du monde, René Guénon donne d'amples renseignements sur l'Agartha.

D'après lui, un cataclysme, naturel ou provoqué, aurait mis fin il y a des millénaires à la civilisation avancée du Gobi. Les maîtres spirituels de cette partie du monde, surnommés les fils des Intelligences du Dehors » (faut-il y voir une origine extra-terrestre.?), trouvèrent refuge dans un immense réseau de cavernes sous l'Himalaya. Ils se scindèrent bientôt en deux groupes, « la voie de la main droite », et « la voie de la main gauche ».

Cependant, les informations les plus complètes et les plus étonnantes sur l'Agartha émanent de Ferdinand Ossendowski. Ce Polonais, ancien ministre du gouvernement de l'amiral Xoltchak qui tenta de s'opposer à la révolution bolchevique, dut fuir devant l'Armée rouge en traversant la Mongolie et une partie de la Chine. Durant son odyssée, il vécut quelque temps dans des lamaseries où il collecta des informations de première main qu'il exposa dans son récit "Bêtes, hommes et dieux" publié en 1924 chez Plon (réédité par "J'ai lu" en 1970 as la collection "L'Aventure mystérieuse" n° A 202).
[image]
Il y a plus de six mille ans, fut-il raconté à Ferdinand Ossendowski, un saint homme disparut avec toute tribu dans une immense caverne et y fonda un royaume souterrain, Agartha, bénéficiant de ancienne science perdue. A sa tête est le Roi du Monde qui connaît toutes les forces de la nature, lit dans toutes les âmes humaines et dans le grand livre de la destinée. Invisible, il règne sur huit-cents millions d'hommes qui sont prêts à exécuter ses ordres.

"La capitale d'Agartha est entourée de villes où habitent des grands prêtres et des savants, dit un jour le lama Turgut à Ferdinand Ossendowski. Elle rappelle Lhassa où le palais du Dalaï lama, le Potala, se trouve au sommet d'une montagne recouverte de temples et de monastères. Le trône du Roi du Monde est entouré de deux millions de Génies ou djinn incarnés. Ce sont ies saints pandits. Le palais lui-même est entouré des palais des Goros, qui possèdent toutes les forces visibles et invisibles de la Terre, de l'Enfer et du Ciel et qui peuvent tout faire pour la vie et la mort des hommes. Si notre folle humanité commençait la guerre contre eux, ils seraient capables de faire sauter la surface de notre planète et de la transforrmer en désert."
[image][image][image]
Sous cette forme, la légende de l'Agartha se rattache à la tradition des Neuf Inconnus dont Louis Pauwels et Jacques Bergier ont révélé l'existence aux lecteurs français dans leur "Matin des magiciens".

On peut également voir certains rapprochements entre le mystère de la cité souterraine de l'Agartha et les révélations de Lobsang Rampa. Dans "le Troisième Oeil"(Voir la couverture dans l'édition Albin Michel d'Avril 1970) , ce lama raconte qu'après avoir atteint le dernier degré d'initiation il fut conduit par trois grands métaphysiciens lamaïstes dans une profonde crypte de Lhassa où résiderait le véritable secret du Tibet.

Dès 1886, Saint-Yves d'Aveydre avait écrit ces quelques autres lignes, qu'on pourrait qualifier de prophétiques: "Je vois, à un siècle d'échéance, votre civilisation judéo-chrétienne pour toujours éclipsée, votre suprématie brutale pour toujours matée, par une renaissance incroyable de l'Asie tout entière, res- suscitée, debout, croyante, savante, armée de pied en cap".

Vont-ils prochainement sortir de leur retraite et remonter sur la Terre. Certaines prophéties annoncent ce retour, parce que l'ère des Poissons se termine, laissant la place à celle du Verseau :

"Le roi du Monde appraîtra devant tous les hommes quand le temps sera venu pour lui de conduire tous les bons dans la guerre contre les méchants; mais ce temps n'est pas encore venu. Les plus mauvais de l'humanité ne sont pas encore nés".

le roi du monde n'est autre que l'antechrist tant attendu par les occultistes du monde entier vous savez le signe de l'oeil unique que l'on trouve partout et le signe que les elites savent et attendent sa venue .

 L’Agartha,   qui   fut   révélée   par   Saint-Yves   d’Alveydre,   René
Guenon    et   F.  Ossendowski,   serait   un   sanctuaire     souterrain
caché sous la chaîne de l’Himalaya, où officieraient les Maîtres
du Monde.  Voici,  d’après   Saint-Yves  d’Alveydre,  brillamment commenté   par   M.   Jacques   Weiss117,  un  reportage   (condensé)
sur    ce  mystérieux   royaume  à  l’existence duquel il  nous faut croire sur parole :

      « L’Agartha est  la  grande université initiatique  d’Asie, et son chef,  le  Mahatma,  joue  – sans  l’usurper –  le  rôle  de Souverain Pontife Universel. Ce rôle est essentiellement éducatif et pacifique, encore que l’Agartha possède la connaissance d’une science  physique  qui lui permettrait de faire exploser notre planète et que sa science psychique soit à l’avenant. Elle a voulu  laisser ignorer  son  existence  jusqu’au    XIX e siècle.
Pourquoi   les  Pontifes  ont-ils   dérobé  leur université aux regards du public ? Parce que leur science aurait,   comme   la nôtre,  armé  contre  l’humanité  le   Mal,    l’Anti-Dieu     et  le gouvernement général de l’Anarchie. Ordo ab chaos

 image073

 

 

 

 

 

 

2 février 2014

Hitler occulte et les ovnis foo fighters de la seconde guerre mondiale

974183893Moyenne

 

blacksun_40

php2fwiyyMoyenne

Adolf Schicklgruber et la société Thulé Pour apporter un peu plus d'éclairage sur le troisième Reich entouré de mystère et sur le rôle joué par Adolf Hitler, nous devons remonter un peu plus loin dans le temps. On entend parler partout de la doctrine de la race d'élite aryenne et des chambres à gaz pour les juifs mais personne ne connaît l'origine de ces faits. Dans les livres scolaires, on parle aux écoliers du méchant Adolf Hitler qui, soutenu par une propagande bien ciblée et par l'hypnose des masses, est, selon toutes les apparences, l'unique responsable de ces événements. Mais on ne leur raconte pas de qui il tenait son idéologie, on ne leur dit pas qui l'avait placé dans cette position et surtout par qui il était financé. Des livres qui auraient pu dévoiler ces choses furent volontairement soustraits par les Alliés et il fut même défendu de les lire. Cela a contribué aussi à maintenir jusqu'à nos jours un sombre voile de mysticisme sur ce passé. C'est pourquoi nous pensons qu'il est plus que nécessaire d'éclairer ce qui est resté dans l'on1bre, même si les thèses des SS peuvent apparaître comme incroyables à plus d'un. Vous allez trouver ici véritable matière à discussion. Entre 1880 et 1890, beaucoup de personnalités et, parmi elles, quelques têtes des plus éminentes d'Angleterre se retrouvèrent pour former l'Ordre Hermétique de l'Aube Dorée (The Hermetic Order of the Golden Dawn). Les membres du Golden Dawn étaient recrutés, en premier lieu, dans la Grande loge de la Franc-Maçonnerie anglaise (loge mère) et dans l'Ordre des Rose+Croix. Le Golden Dawn était, en quelque sorte, à la pointe de la Franc-Maçonnerie ésotérique anglaise de cette époque et constituait son noyau le plus intime et le plus secret.  de ses plus proches collaborateurs fut Prescott Bush, père de , George Bush, ex-président des Etats-Unis. Prescott et George Bush sont, tous deux, membres de Skull & Bones. Jusqu'en 1936, plus de 100 firmes américaines furent impliquées dans la construction de la machinerie de guerre allemande. Entre autres la General Motors, Ford, International Harvester et Du Pont. Les investisseurs ne visaient, en tout cas, pas des affaires à court terme puisque le contrat entre ces firmes et le gouvernement allemand stipulait que celles-ci n'avaient pas le droit de sortir un Pfennig d'Allemagne.

US-Pearl-Harbor-7decembre1941-4

Les profits ne débuteraient que cinq ans plus tard lorsque les Japonais attaqueraient Pearl Harbour entraînant, par ce fait, , les Etats-Unis dans la guerre. De toute évidence, tout cela avait déjà été préparé dans le moindre détail. Cependant, seuls les ini-. " , . nes etatent au courant. Des Griffin résume les derniers événements ainsi : Les banquiers internationaux et leurs agents sont à l'origine de la situation qui a conduit à la Première Guerre ; ils en retirèrent un bon butin ; ils financèrent la révolution russe et obtinrent le contrôle de ce grand pays ; ils manipulèrent les événements dans l'Europe d'après-guerre de façon à provoquer une situation (selon les propres mots d'Edward Stanton) qui les amena, financièrement parlant, au septième ciel ; ils utilisèrent des fonds américains qui leur permirent d'empocher d'énormes commissions pour équiper l'industrie allemande d'installations techniques de pointe et l'amener, ainsi, largement à la seconde place au rang mondial. Ces vautours sans scrupule qui détenaient les monopoles ont manipulé et utilisé les Allemands, ils les ont tant et si bien exploités qu'ils auraient mérité leur haine à tout jamais. Pendant qu'ils mettaient sur pied l'industrie allemande tout en luttant dans le même temps contre le peuple allemand. Ils allaient permettre à un homme fort d'entrer sur la scène politique. Celui-ci, à son tour, gagnerait les masses à sa cause en leur promettant de les libérer des rapaces financiers internationaux. L'Allemagne des années trente était une bombe à retardement fabriquée par les banquiers internationaux. Elle était dans l'attente d'une personne telle qu'Hitler qui allait entrer en scène et prendre le pouvoir. 138 ; Etaient, entre autres, membres : Florence Farr ; W. B. Yeats, prix Nobel de littérature ; Bram Stoker (auteur de Dracula) ; Gustav Meyrink (auteur des livres Der Golem et Das Grüne Gesicht) ; Aleister Crowley (le magi cien le plus connu des cent dernières années qui passa, plus tard, à la magie noire, fondateur de l'Eglise Thelema et franc-maçon du 33ème degré du Rite écossais), Rudolf Steiner (fondateur de l'anthroposophie, franc-maçon du 33ème degré du Rite écossais, dirigeant de la Société théosophique en Allemagne, grand maître de l'ordre des Illuminés Ordo Templi Orientis (OTO) et grand maître de la branche Mysteria Mystica Aeterna. Il quitta, cependant, plus tard le Golden Dawn pour divergences de vues.

Steiner refusa d'accepter au Golden Dawn l'occultiste Trebisch-Lincoln, on le lui revaudra plus tard. En 1917, les personnes suivantes se rencontrèrent à Vienne : l'occultiste baron Rudolf von Sebottendorf, le disciple de Gurdjieff Karl Haushoper, l'aviateur de combat Lothar Waiz, le prélat Gernot de la Société des héritiers des Templiers (Societas Templi Marcioni) et Maria Orsitsch (Orsic), une médium de Zagreb. Ces personnes avaient beaucoup étudié les doctrines ct· les rituels du Golden Dawn et étaient particulièrement renseignées sur les loges secrètes asiatiques. Sebottendorf et Haushofer, en particulier, étaient des voyageurs expérimentés de l'Inde er du Tibet, très imprégnés des doctrines et des mythes de ces pays. Haushofer noua des contacts pendant la Première Guerre avec une des plus influentes sociétés secrètes de l'Asie, celle des Bonnets Jaunes. Celle-ci fut fondée en 1409 par le réformateur bouddhiste Tsongkhapa. Haushofer y fut initié et jura de se suicider si sa mission devait échouer. Suite à ces contacts, des communautés tibétaines se formèrent en Allemagne dans les années • vmgt. Lors de la réunion à Vienne, les quatre jeunes gens espéraient apprendre quelque chose sur les textes de révélations secrètes des Templiers ainsi que sur la confrérie secrète les Maîtres de la Pierre Noire. Le prélat Gernot appartenait à la société des héritiers des Templiers qui est l'unique vraie société templière. Il s'agit des successeurs des Templiers de 1307 qui se sont transmis leurs secrets de père en fils-jusqu'à aujourd'hui. Le prélat Gernot leur aurait parlé de l'arrivée d'une ère nouvelle-du passage de 140 l'ère des Poissons à l'ère du Verseau. On y échangeait sur le fait que notre année solaire correspondant aux douze révolutions de la Lune est divisée en douze mois de même que la révolution de notre Soleil autour du gros soleil central (le soleil noir dont parlent des anciens mythes) est divisée en douze parties. C'est tout cela, sans oublier la précession du mouvement conique de la Terre sur elle-même due à l'inclinaison de son axe, qui détermine les ères. Selon ces données, un mois cosmique dure 2.155 années, une année cosmique dure environ 25.860 années. D'après les dires des Templiers, nous sommes non seulement au seuil d'une ère nouvelle (comme c'est le cas tous les 2.155 ans), mais aussi à la fin d'une année cosmique et au seuil d'une autre. Ayant accompli ses 25.860 années, la Terre reçoit les derniers faibles rayons de l'ère des Poissons avant d'entrer dans l'ère du Verseau au fort rayonnement. Elle quitte, selon la définition indo-aryenne, l'époque du Kali-Yoga, ère du péché. Tous les changements d'ère ont conduit à des bouleversements politiques, religieux, sociaux ct même géologiques de très grande. ampleur. Cette phase de transformation de l'ancien vers le nouvel âge est désignée dans la doctrine de la Mésopotamie de trois pas doubles de Marduk. C'est un laps de 168 années au milieu duquel est attendue sur Terre l'arrivée du rayon ILU, du rayon divin.

Après de savants calculs, les Templiers désignèrent le 4 février 1962 comme date de l'apparition de ce rayon. C'est ainsi qu'on connut la date correspondant à la moitié de cette période de transformation de 168 années et que des événements parti-'ulièrement importants furent prévus pour les années 1934 et 1990. On peut supposer que le sujet principal de la conversation entre les personnes mentionnées plus haut concernait les sousentendus d'un passage du Nouveau Testame~1t de Matthieu 21,43 où Jésus s'adresse au juifs : Le royaume de Dieu vous sera ôté et sera donné à un autre peuple qui produira les fruits. Le texte originel complet à ce sujet qui se trouve dans les archives de la Societas Templi Marcioni en parle de façon beaucoup plus claire . En fait, Jésus a dit concrètement de quel autre peuple il s'agit puisqu'il parle à des Germains qui servent dans une légion romaine et leur dit que ce sera leur peuple. C'était ce que Sebottendorf et ses amis avaient voulu définitivement savoir : 141 ' le peuple germain, donc allemand, avait été missionné pour créer le royaume de lumière sur Terre. On avait annoncé que le rayon pénétrerait la Terre au mont Untersberg, près de Salzbourg. Fin septembre 1917, Sebottendorf rencontra les membres de la société les Maîtres de la Pierre Noire au mont Untersberg pour maintenir vivante la puissance de la pierre violet noir, nom dont s'était inspirée la société secrète. Les maîtres de la Pierre Noire, issus en 1221 de la sociét~ des Templiers marcionistes et dirigés par Hubertus Koch, s'étaient donnés pour but de combattre le mal dans ce monde et de participer à la construction du royaume de lumière du Christ. Cette force sombre qu'il fallait combattre s'était manifestée dans le soidisant Ancien Testament de la Bible comme Dieu à travers Moïse et d'autres médiums. Yahvé s'adresse ainsi à Abraham avec les mots hébreux :Ani ha El Schaddai, traduit par Je suis El Schaddai - le grand ange déchu (Schaddei El) - le Satan (voir la traduction originale de la Bible, Genèse : .

Sebottendorf avait trouvé réponse à sa question : Le Schaddai, le Dieu de l'Ancien Testament, était le corrupteur, l'adversaire de Dieu. Ses adeptes participaient donc à la destruction de la Terre, de la nature, des hommes. C'étaient les Hébreuxle peuple juif. , Jésus l'explique sans détours dans l'Evangile de Jean 8 : 30-45 quand il dit aux juifs : Ils (les juifs) répondirent et lui dirent: Abraham est notre père. Jésus leur dit: Si vous étiez enfants d'Abraham, vous feriez les œuvres d'Abraham; mais maintenant vous cherchez à me faire mourir, moi, un homme qui vous ai dit la vérité que j'ai ouïe de Dieu: Abraham n'a pas fait cela. Vous, vous faites les œuvres de votre Père. Ils lui dirent donc: Nous ne sommes pas nés de la fornication; nous avons un père, Dieu. Jésus leur dit: Si Dieu était votre père, vous m'aimeriez, car moi je procède de Dieu et je viens de lui; car je ne suis pas venu de moi-même, mais c'est lui qui m'a envoyé. Pourquoi n'entendez-vous pas mon langage ? Parce que vous ne pouvez pas ouïr ma parole. Vous, vous avez pour père le diable, et vous voulez faire les convoitises de votre père. Lui a été meurtrier dès le commencement, et il n'a pas persévéré dans la vérité, car il n'y a pas de vérité en lui. Quand il  profère le mensonge, il parle de son propre fonds, car il est menteur, et le père du mensonge. Mais moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas. Beaucoup demandent toujours naïvement : Pourquoi Hitler s'attaqua-t-il précisément aux juifs ? Les lignes ci-dessus devraient vous éclairer. D'après la Société Thulé, d'où sont issus, plus tard, le DAP, le NSDAP, les SS etc., le peuple juif missionné par le Dieu Yahvé de l'Ancien Testament pour créer l'enfer sur Terre était la cause des guerres et des discordes sur Terre. Les gens de Thulé savaient pertinemment ce qu'il en était des systèmes bancaires juifs, c'est-à-dire de Rothschild et compagnie ainsi que des Protocoles des Sages de Sion. Ils se sentaient mandatés, en accord avec la révélation de Sajaha, pour combattre ce peuple et particulièrement le système des loges juives et de leurs banques afin de créer le royaume de lumière sur Terre. Remarque: • Comme vous pouvez le constater, ces hommes étaient tout autant incapables de s'attaquer aux causes, comme leur maître Jésus-Christ le leur avait enseigné, et de transformer le monde par l'amour de soi, de la création et de son prochain (et le prochain peut appartenir à une autre race ou religion). Ils ont rejeté leur propre responsabilité et se sont déchargés sur un coupable, Satan. Leur haine les a rendus si aveugles qu'ils ne se sont même pas rendu compte qu'ils utilisaient les mêmes armes que le soidisant Dieu satanique Yahvé qu'ils voulaient combattre. Ces genslà devaient, pourtant, savoir que la paix ne s'obtient pas en faisant la guerre. Autour du baron Rudolf von Sebottendorf se forma un cercle qui passa de l'ordre germain à la Société Thulé en 1918 à Bad Aibling. Outre les pratiques du Golden Dawn telles que le tantrisme, le yoga et les méditations orientales, ils s'adonnaient à la magie, à l'astrologie, à l'occultisme, décryptaient le savoir des Templiers et ils essayaient d'établir un lien entre ces domaines et la politique. La Société Thulé croyait, selon la révélation d'Isaïe, à la venue d'un Messie, le troisième Sargon, qui devait apporter la gloire et une nouvelle culture aryenne à l'Allemagne.

  La Société Thulé se divisa, plus tard, en deux branches, la branche ésotérique (le mot grec esoteros signifie intérieur) dont Rudolf Steiner faisait partie, et la branche exotérique (exoteros en grec signifie extérieur) dont Hitler prit, plus tard, la direction. Certains auteurs affirment que les exotéristes auraient, entre autres, tenu des débats judiciaires et condamné des hommes à mort. En tout cas, Hitler fit poursuivre, plus tard, Steiner et ses disciples et fit mettre à mort ceux dont il put s'emparer. Quelques-unes des doctrines capitales qui ont marqué fortement la société Thulé furent La religion germano-aryenne Wihinai élaborée par le philosophe Guido von List, La glaciologie du monde de Hans Horbiger et Le christianisme originel des adeptes de Marcion, qui s'oppose à l'Ancien Testament. Le cercle le plus intime s'était, en tout cas, ligué contre les juifs du monde entier et contre la franc-maçonnerie et ses loges. Beaucoup d'auteurs prétendent, cependant, que la Société Thulé aurait eu, en plus, une autre idéologie. L'histoire de Thulé en bref : Ultima Thulé aurait été la capitale du premier continent colonisé par les Aryens. Celui-ci s'appelait Hyperborée et aurait été plus vieux que la Lémurie et l'Atlantide (continents engloutis, habités jadis par de grandes civilisations). En Scandinavie, il y a une légende autour de Thulé, ce pays merveilleux dans le Grand Nord où le soleil ne se coucherait jamais et où vivraient les ancêtres de la race aryenne. Le continent Hyperborée aurait été situé dans la mer du Nord et aurait été englouti lors d'une époque glaciaire. On suppose que ses habitants vinrent jadis du système solaire d' Aldébaran qui est l'astre principal dans la constellation du Taureau ; ils mesuraient environ quatre mètres, avaient la peau blanche et étaient blonds aux yeux bleus. Ils ne connaissaient pas les guerres et ils étaient végétariens (Hitler aussi, d'ailleurs). D'après les soidisant textes de Thulé, les Hyperboréens étaient très en avance dans leur technologie et ils se seraient servis des Vril-ya, engins volants que nous désignons aujourd'hui du nom d'ovnis. Grâce à l'existence de deux champs magnétiques inversement rotatifs, ces disques volants auraient été capables de lévitation, ils auraient atteint des vitesses énormes et accompli des manœuvres en vol, performances que nous observons également chez les ovnis. Ils auraient utilisé la force Vril comme potentiel énergétique, c'està-dire comme carburant (Vril = éther, ou prana, ch'i, force cosmique, argon ...

Mais ce mot est dérivé aussi du vri-IL akkadien qui signifie semblable à la plus grande divinité ou égal à Dieu.) Ils soustrayaient donc de l'énergie (qui ne coûtait rien) au champ magnétique terrestre, comme le font les convertisseurs à tachyons du commandant Hans Coler ou le moteur à espace quanta développé par Oliver Crane. Lorsque le continent Hyperborée commença à s'enfoncer, les habitants se seraient mis à creuser des tunnels gigantesques dans la croûte terrestre avec de grosses machines et ils se seraient établis sous la région de l'Himalaya. Ce royaume souterrain a le nom d' Agartha ou Agarthi, et sa capitale s'appelle Shamballah. Les Perses appelèrent ce royaume souterrain Ariana ou Ariane, le pays d'origine des Aryens. Précisons ici que Karl Haushofer affirma que Thulé était, en fait, l'Atlantide et il disait, contrairement à tous les autres chercheurs du Tibet et de l'Inde, que les survivants de Thulé-Atlantide s'étaient partagés en deux groupes, un bon et un méchant. Les bons qui, d'après leur oracle, prirent le nom d'Agarthi s'installèrent dans la région de l'Himalaya, les méchants qui s'appelaient, d'après Haushofer, les Shamballah et qui voulaient réduire les hommes à l'esclavage se dirigèrent vers l'Ouest. Haushofer affirmait qu'un combat durait depuis des milliers d'années entre ceux d'Agarthi et ceux de Shamballah, combat que reprit à son compte la Société de Thulé avec le troisième Reich représentant ceux d' Agarthi contre ceux de Shamballah, les francs-maçons et les sionistes. C'était probablement aussi la mission de Haushofer. Le souverain de ce royaume serait Rigden Iyepo, le roi du monde, et son représentant sur Terre serait le dalaï-lama. Haushofer était persuadé que ce royaume souterrain sous l'Himalaya était le lieu d'origine de la race aryenne. Il en aurait soi-disant eu la preuve lors de ses nombreux voyages au Tibet et en Inde. Le signe distinctif de Thulé aurait été la svastika aux branches tournées vers la gauche. Selon les dires de lamas tibétains et du dalaï-lama en personne, les gens d'Agarthi existent encore aujourd'hui. Le royaume souterrain, qui est bien ancré dans presque tous les enseignements orientaux, se serait répandu au long des millénaires sous toute la surface de la Terre avec des centres immenses sous le Sahara, sous la montagne du Matto Grosso et sous la montagne Santa Catarina au Brésil, sous le Yucatan au Mexique, sous le mont Shasta en Californie, en , Angleterre, en Egypte et en Tchécoslovaquie ...

1610354936

Hitler aurait eu particulièrement à cœur de trouver les entrées du royaume souterrain d'Agartha et d'entrer en contact avec les descendants des hommes-Dieu aryens d'AldébaranHyperborée. Dans les légendes et les traditions de ce royaume souterrain, on rapporte, entre autres, qu'il y aura sur notre globe une méchante guerre mondiale (la troisième) qui prendra fin à cause de tremblements de terre et d'autres catastrophes naturelles y compris le renversement des pôles qui entraîneront la mort des deux tiers de l'humanité. Après cette dernière guerre, les différentes races de l'intérieur de la Terre se réuniront de nouveau " avec les survivants de la surface du globe et introduiront l'Age d'Or millénaire (l'ère du Verseau). Hitler voulait créer un Agartha ou l' Ariana à la surface de la Terre avec la race des maîtres aryens, et ce lieu devait être l'Allemagne. Durant le troisième Reich, il y eut deux grandes expéditions des SS dans les Himalayas pour trouver des entrées du royaume souterrain. D'autres expéditions eurent lieu dans les Andes, dans les montagnes du Matto Grosso et de Santa Catarina au Brésil, en Tchécoslovaquie et en Angleterre. Et puis, certains auteurs affirment que les gens de Thulé croyaient qu'indépendamment du système de tunnels et de villes souterraines, la Terre était creuse, avec deux grandes entrées, l'une au pôle Nord et l'autre au pôle Sud. On s'en référa aux lois de la nature : tel le microcosme, tel le macrocosme. Qu'il s'agisse d'une cellule du sang, d'une cellule du corps ou d'un ovule, d'une comète ou d'un atome, ils ont tous un noyau et une cavité entourée d'une enveloppe, la corona radiata, la vie propre se passe donc à l'intérieur. Les gens de Thulé en avaient conclu que la Terre devait être constituée selon le même principe. Même les druzes confirmaient ce fait car ce sont des cavités rocheuses dont la vie propre, c'est-à-dire les minéraux et cristaux, se trouve à l'intérieur. La Terre devrait, par conséquent, être creuse aussi - ce qui correspondrait, d'ailleurs, aux dires des lamas tibétains et du  dalaï-lama - et elle devrait avoir un noyau, c'est-à-dire un soleil central qui confère à son intérieur un climat régulier et une lumière solaire permanente. La vraie vie de notre planète se passerait à l'intérieur de celle-ci, la race des maîtres vivrait au-dedans et les mutants à la surface. Ce serait la raison qui explique pourquoi nous ne pouvons découvrir aucune vie sur les autres planètes de notre système solaire puisque les habitants y vivraient aussi à l'intérieur. Les entrées principales seraient au pôle Nord et au pôle Sud, pôles traversés par la lumière du soleil central qui crée les aurores boréales, les soi-disant lumières des pôles. La masse solide occuperait plus de volume à l'intérieur de notre planète que la masse des eaux. D'après l'explorateur des pôles Olaf Jansen et d'autres explorateurs, l'eau à l'intérieur serait de l'eau douce ce qui expliquerait que la glace de l'Arctique et de l'Antarctique n'est pas constituée d'eau salée mais d'eau douce.

Cette thèse sur la constitution de notre Terre est étayée par les tém étranges qui ne concordent pas avec les théories scientifiques établies . Tous constataient que le vent s'échauffait au-dessus du 76ème degré de latitude, que les ooignages des explorateurs des pôles Cook, Peary, Amundsen, Nansen, Kane et aussi par l'amiral E. Byrd. Ils eurent tous les mêmes expériencesiseaux volaient au-dessus de la glace en direction du Nord et que des animaux tels que des renards se dirigeaient dans la même direction, qu'on trouvait de la neige colorée et grise qui, en fondant, livrait un pollen de fleurs multicolores ou de la cendre volcanique. La question se pose : D'où vient le pollen de fleurs qu'on trouve au pôle Nord? D'où vient la poussière volcanique puisque aucun volcan n'est signalé sur les cartes officielles disponibles ? De plus, il arrivait à certains des chercheurs de se trouver parfois dans une mer d'eau douce et tous relatent avoir aperçu deux soleils à un certain moment du voyage. En outre, ils trouvèrent des mammouths à la chair encore fraîche et dont l'estomac contenait, quelquefois, de l'herbe fraîche. Remarque: Que la Terre soit creuse, ce n'est, jusqu'à nos jours, qu'une théorie pour le public bien que certains explorateurs des pôles  affirment y avoir été. L'amiral E. Byrd aurait même pris de nombreuses photos. Il est indéniable que tous les explorateurs eurent de très étranges expériences qui sont restées inexpliquées jusqu'à aujourd'hui ce qui prouve qu'il se passe de bien curieuses choses là-bas. De même que ce n'est qu'une théorie d'affirmer que la Terre posséderait un noyau en fusion. Par contre, c'est un fait qu'il existe des systèmes de tunnels et de cavernes souterrains construits par des hommes. On les trouve dans presque tous les pays de la Terre, ils témoignent d'une technique hautement développée, d'une ancienne culture remontant à des millions d'années.

Ils sont, pour la plupart, éclairés par une source de lumière (une lueur verdâtre qui s'éclaircit au fur et à mesure que l'on y pénètre), ils ont des parois taillées lisses et recèlent des machines inconnues, telles que celles qui ont été retirées au Boynton Canyon, à Sedona, en Arizona. Pour les gens de Thulé, ces mythes sur la Terre creuse étaient, manifestement, assez étoffés pour être pris au sérieux. Une expédition, au moins, eut lieu, pendant la Deuxième Guerre mondiale, en Antarctique. (Plus de détails par la suite.) Pour montrer que l'histoire des Hyperboréens aryens n'est pas sans fondement, voici deux exemples. Lorsqu'en 1532 les conquérants espagnols sous la direction de Pizarro arrivèrent en Amérique du Sud, les indigènes les appelèrent les vicarochas (maîtres blancs). Dans leur légende, il est question d'une race de maîtres géants à la peau blanche qui, des siècles plus tôt, descendaient du ciel avec des disques volants. Ces derniers avaient régné longtemps sur une partie de leurs villes et avaient ensuite disparu, après avoir promis de revenir. Les indigènes crurent voir le retour des vicarochas dans les Espagnols à la peau claire et leur remirent donc, au début, leur or. Il se passa la même chose au Tibet et dans d'autres régions des Himalayas lorsque les premiers voyageurs blancs arrivèrent. Les Tibétains les regardaient médusés en leur demandant pourquoi ils venaient d'en bas (du pied des montagnes) puisqu'ils arrivaient d'habitude d'en haut.

Vous, amis lecteurs, n'en avez-vous jamais entendu parler ? Non? C'est bien regrettable. Car l'idéologie des dirigeants allemands du Reich était, en fait, basée sur le thème d'El Shaddaï  qui eut pour conséquence la persécution des juifs, sur la révélation d'Isaïe, sur le savoir des Templiers et peut-être aussi sur ce qui vient d'être relaté. Ces thèmes étaient sous-jacents dans toutes les actions entreprises, y compris dans le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale. Il y a deux façons de concevoir tout cela : Soit vous pensez que toute l'élite du troisième Reich avait l'esprit dérangé et qu'elle se droguait et vous ignorez tout de la chose. Soit vous vous donnez la peine de chercher si ces histoires . ~ . ~ ne contiennent pas une vente. Remarque: Eu égard aux activités d'extrême droite en RFA, il était certainement opportun d'interdire certains écrits qui en appelaient ouvertement et, parfois aussi, d'une façon assez primitive à un racisme violent. Mais si on veut restituer fidèlement les événements politiques et religieux du passé et du présent, il ne faut pas omettre cette information. Mais nous n'en avons pas fini avec ces mystères. Comme nous allons le démontrer, c'est en se référant à ces mythes que l'élite allemande du Reich passa à l'action. En octobre 1918, Sebottendorf donna la mission aux frères de loge Karl Harrer et Anton Drexler de former un cercle de travailleurs. Celui-ci devint, plus tard, le parti des travailleurs allemands, le DAP (Deutsche Arbeiterpartei). La revue de la Société Thulé était le Vôlkischer Beobachter (l'observateur du peuple). Ellel fut directement reprise par le NSDAP qui se forma à partir de la DAP.

En octobre 1918, le jeune occultiste et ésotériste Adolf Hitler (qui s'appelait, en fait, Adolf Schicklgruber ; Hitler était le nom de jeune fille de sa mère) rentre dans le DAP, le parti de Thulé, et il est remarqué pour ses talents d'orateur. Trevor Ravenscroft le décrit dans Der Speer des Schicksals (L'épée du destin), ce qu'a aussi rapporté un ami de jeunesse d'Hitler, Walter Johannes Stein qui devint, plus tard, le conseiller du franc~maçon Winston Churchill : Hitler, déjà grand adepte du mysticisme à l'âge de 20 ans, essaya d'atteindre des niveaux de conscience élevés à l'aide de drogues. Par l'intermédiaire du libraire Pretzsche à Vienne, adepte du mysticisme germanique et de la doctr~ne de la race  des maîtres aryens qui en découlait, l-litler se forgea les bases de sa vision future du monde et avec son aide, il fit usage du Peyotl, drogue hallucinogène pour accéder à l'Illumination mystique. À cette époque-là, Hitler eut aussi connaissance des Protocoles de~ Sages de Sion ce qui le renforça dans son aversion pour les juifs. Il n'est pas étonnant qu'Hitler, déjà dépendant de drogues quand il était jeune homme, prit de forts narcotiques toute sa vie. D'après le journal de bord de son médecin personnel, Theodor Morell, Hitler reçut pendant les six ans que dura b guerre des injections de différents calmants, de strychnine, dl: cocaïne, de dérivés morphiniques et d'autres drogues. Hitler fut engagé par le DAP, le parti de Thulé, comme orateur électoral et apprit, plus tard, à bien lire et écrire grâce ~\ Dietrich Eckart, anti-bolchevique et frère de la Société Thulé. Eckart fit de lui la personnalité que nous connûmes plus tard. on l'introduisit dans les cercles munichois et berlinois et Hitler adopta presque en totalité les conceptions de la Société Thulé. En 1924, lorsque Hitler se trouva en prison à Landsberg J la suite du putsch munichois manqué, Haushofer passa plusieurs heures par jour avec lui à lui transmettre ses théories et ses projets. Il lui passa, entre autres, le livre de lord Bulwer-Lytton The Coming Race (La race à venir).

Robert_Bulwer_Lytton

La description de Bulwer-Lytton d'une race aryenne hautement développée qui vit sous terre est presque identique à celle dont nous venons de parler. Dans son livre, les vaisseaux en forme de soucoupe jouent un rôle essentiel. Il y eut, de plus, la publication du livre de Ferdinand Ossendowski Bêtes, hommes et dieux qui dévoila les légendes d'Agartha et de Shamballah. Hitler était, de fait, complètement absorbé par sa recherche du royaume souterrain et par la doctrine de la race aryenne propre aux membres de la Société Thulé. Haushofer et Rudolf Hess prirent en charge l'instruction politique d'Hitler. A Landsberg, Hitler écrivit Mein Kampf en faisant un amalgame des théories de Haushofer, des pensées de Rosenberg et de la propagande politique. Rudolf Hess s'occupait de la formulation exacte et tapait le texte à la machine. L'influence de Karl Haushofer désigné comme le grand magicien du troisième Reich montre quel rôle jouèrent le mysticisme et l'occultisme dans le Reich. On prêtait à Haushofer le don de prophétie, c'est la précision de ses prédictions qui lui fit 150 bénéficier d'une ascension fulgurante dans les milieux influents occultes de l'époque d'avant-guerre en Allemagne. Jack Fisherman écrit à ce sujet dans The Seven Men of Spandau que Rudolf Hess, entre autres, était complètement obnubilé par les idées et les théories de Haushofer. Son voyage étrange en Angleterre le prouve. Haushofer avait, en effet, fait un rêve où il apercevait Rudolf Hess traversant les couloirs de châteaux anglais et apportant la paix aux deux plus grandes nations nordiques. Et comme Hess était persuadé de la justesse des prophéties de Haushofer, il suivit ce rêve à la lettre. Nous allons nous rendre compte à quel point les dirigeants du troisième Reich prirent à leur compte l'équipement magique de la Société Thulé. Le salut de Thulé Heil und Sieg (Salut et victoire) fut repris par Hitler qui le transforma en Sieg Heil. Ce salut, en liaison avec le bras levé, est un rituel magique utilisé pour la formation de voltes. Franz Bardon a décrit en détailles voltes magiques et leurs utilisations. ·

preview_html_m2eedd09e

Franz Bardon, appelé aussi Frabato, fut le magicien allemand le plus connu (1909-195 8). Hitler lui proposa des postes élevés dans le gouvernement à condition qu'il mette à sa disposition ses talents de magicien pour l'aider à gagner la guerre. En outre, Bardon devait révéler à Hitler les adresses des 98 autres 99èmes loges répandues sur Terre. Lorsque celui-ci refusa de l'aider, il fut soumis aux pires tortures. (Frabato, Franz Bardon, p. 173) Mais les Allemands ne furent pas les seuls à utiliser les rites magiques à des fins politiques. Le signe de la victoire des Anglais, signe avec les doigts écartés, ne fut connu jusqu'en 1940 que par les plus grands des initiés des hauts grades francmaçonniques. Lorsque Winston Churchill, franc-maçon d'un grade élevé, craignit, en 1940, que l'Angleterre ne soit ensorcelée par le signe magique d'Hitler qui avait, apparemment, du succès (le salut à Hitler), son mentor en magie, le sataniste Aleister Crowley, lui conseilla de contrecarrer ce danger par le signe magique des doigts écartés. Les SS, appelés aussi l'Ordre Noir, n'étaient nullement un régiment de police mais un véritable ordre religieux avec une structure hiérarchique. Qui aurait pu penser que ce brutal parti nazi était un ordre sacré ? Une telle affirmation peut paraître 151 ridicule après coup mais ce n'est pas la première fois dans l'Histoire, qu'un ordre sacré est responsable d'actes d'une atrocité sans nom. Les Jésuites, mais aussi les Dominicains qui diri-,... geaient l'Inquisition au Moyen Age, en sont des exemples éclatants. L'Ordre Noir était la manifestation concrète des concep-, tians ésotériques et occultes de la Société Thulé. A l'intérieur des SS se trouvait une autre société secrète, l'élite, le cercle le plus intime des SS, les SS Soleil Noir. Notre Soleil tournerait autour du soleil noir, c'est-à-dire d'un grand soleil central, le soleil primordial qui est représenté par la croix aux branches isocèles. Cette croix fut dessinée sur les avions et les chars du troisième Reich. Les Templiers, les Rose+Croix et beaucoup d'autres anciennes loges l'emploient encore dans cette même optique.

La Société Thulé et ceux qui allaient devenir, plus tard, les SS Soleil noir travaillèrent en étroite collaboration non seulement avec la colonie tibétaine à Berlin, mais aussi avec un ordre de magie noire tibétain. Hitler était en contact permanent avec un moine tibétain aux gants verts qui était désigné comme le gardien de la clef et qui aurait su où se trouvait l'entrée de l'Agartha (l' Ariana)(SOl. Le 25 avril 1945, les Russes découvrirent les cadavres de six Tibétains disposés en cercle dans une cave berlinoise, au milieu se trouvait celui de l'homme aux gants verts. On aurait dit un suicide collectif. Le 2 mai 1945, après l'entrée des Russes à Berlin, on trouva plus de 1.000 hommes morts qui étaient, sans aucun doute, originaires des régions himalayennes et avaient combattu avec les Allemands. Que diable faisaient donc des Tibétains à des milliers de kilomètres de chez eux dans des uniformes allemands ?

model10

D'innombrables jeunes hommes furent formés par le Soleil noir pendant le troisième Reich, ils étaient consacrés dans le château fort de Wewelsburg et envoyés au Tibet pour y continuer à survivre et se préparer à affronter le grand combat final de cette fin de siècle. D'après les dires de Franz Bardon, Adolf Hitler était aussi membre d'une loge F.O.G.C. (ordre franc-maçonnique de b Centurie d'or), connue, en fait, comme la 99ème loge. En ce qui concerne les 99èmes loges, il y en a 99 disséminées dans le monde et chacune est composée de 99 membres. Chaque loge est sous  la domination d'un démon et chaque membre a un propre démon bien à lui. Le démon aide la personne à acquérir argent et puissance mais, en échange, l'âme de cette personne est tenue de servir ce démon après sa mort. De plus, chaque année, un membre se voit sacrifier au démon de la loge, en vertu de quoi un nouveau membre est admis. Les membres des 99èmes loges sont aussi des dirigeants très influents dans l'économie et la finance ct sont plus présents aujourd'hui que jamais. Les loges F.O.G.C., c'est-à-dire les 99èmes loges, sont le pire des dangers ; à côté d'elles, le satanisme, auquel se réfère l'église de Satan d'Anton La Vey, dont on parle dans les médias, est bien inoffensif! Franz Bardon confirmait qu'Hitler et l'ordre de Thulé ne furent qu'un instrument entre les mains d'un groupe de magie noire tibétain. Seul celui qui sait cela est en mesure de comprendre la phrase d'Hitler lors de son discours du 30 janvier 1945 : Ce n,est pas l'Asie centrale qui sortira victorieuse de cette guerre mais l'Europe et à la pointe de celle-ci la nation qui, depuis 1.500 ans, s,est révélée comme la puissance prédominante capable de représenter l'Europe contre l'Est et qui la représentera aussi dans l'avenir: je parle de notre grand Reich allemand, la nation allemande! (extrait de Hitler-Reden und Proklamationen 1932-1945 -Discours et proclamations d'Hitler de 1932 à 1945 -de Max Domarus.) Ce qu'est devenu Hitler a suscité beaucoup de mythes. D'après les dires de Franz Bardon et Miquel Serranos (exambassadeur chilien en Autriche), Hitler s'est enfui en Amérique du Sud avec l'aide de la 99ème loge. On dit même que le cadavre que l'on trouva et dont la denture a été identifiée comme étant fausse par le dentiste d'Hitler aurait été placé là par la 99ème loge. Un journal allemand à grand tirage publia le 5 mars 1979 que l'on avait trouvé l'avion privé d'Hitler dans la jungle en Amérique du Sud. Joseph Greiner (auteur de La fin du mythe Hitler) affirme qu'Hitler a décollé avec son avion le 30 avril 1945 de l'aéroport de Tempelhof à Berlin. Ce qui semble, cependant, le plus probable, au cas où il a survécu, c'est qu'il s'est servi des engins volants développés par la Société Vril pour quitter l'Allemagne. Qu'Hitler soit mort ou non à cette époque-là, depuis lors, en tout cas, c'est certain !  Karl Haushofer, après avoir échoué dans sa mission, :1 d'abord assassiné sa femme le 14 mars 1946, avant de se faire Hara Kiri ainsi qu'il l'avait juré aux Bonnets Jaunes. C'est à l'instigation de la Société Thulé que s'est construit tout l'arsenal théorique et pratique du troisième Reich. Les banquiers internationaux leur fournirent les fonds. La terre d' ol1 tout est sorti est toujours fertile puisque des rejetons de la Société Thulé sont toujours vivants. Il y eut aussi une autre société secrète qui annonça la venue d'un Messie aryen, la Société Edelweiss. Hermann Goring, le responsable des finances des nazis, en était membre. Mais il est inutile d'en parler plus longuement ici.

LA SOCIÉTÉ VRIL Au premier abord, la Société Vril ne devrait pas rentrer dans le cadre de notre sujet qui relève plus de la politique mais elle est une des sociétés secrètes les plus intéressantes qui ait jamais existé. C'est pourquoi il nous faut absolument la mentionner. Il n'y a pas un seul livre en Allemagne sur cette Société Vril et tout autre document qui aurait pu renvoyer à ce nom a été bel et bien soustrait par les Alliés. Mais, comme vous vous en apercevrez, tout n'a pas disparu. Et j'éprouve un plaisir tout particulier à vous dévoiler ici ce thème. En effet, vous allez constater quels sont les milieux influents non allemands qui tiennent à cacher la vérité aux Allemands. Karl Haushofer fonda, avant 1919, un deuxième ordre, les Frères de la Lumière, qui prit, plus tard, le nom de Société Vril. Dans celle-ci se retrouvèrent aussi les maîtres de la pierre noire (DHvSS), une nouvelle fondation des Templiers, issue de l'ordre Germain en 1917, et les Chevaliers Noirs du Soleil Noir, élite de la Société Thulé et des SS. Si nous comparons la Société Vril à la Société Thulé, la différence peut se résumer ainsi : la Société Thulé s'occupait de choses matérielles et politiques tandis que la Société Vril avait des occupations qui concernaient surtout l'au-delà. Cependant, elles avaient quand même quelques points communs. Toutes deux étudiaient l'Atlantide, Thulé, l'Ile des Bienheureux de Gilgamesh, les rapports originels entre les Germains et les Mésopotamiens  • ainsi que les anciens sanctuaires comme Stonehenge avec ses pierres dressées(BJ>. En décembre 1919, une maison forestière fut louée dans le Ramsau, près de Berchtesgaden, où se rencontrèrent quelques personnes des Sociétés Thulé, D H vSS et V ril. Parmi elles, les médium Maria Orsitsch et Sigrun. Maria avait capté des informations dans une écriture secrète des Templiers-une langue tout à fait inconnue pour elle - avec des précisions techniques pour construire un engin volant. Ces messages télépathiques étaient transmis, d'après les écrits de la Société Vril, du système solaire d'Aldébaran situé dans la constellation du Taureau. Nous voulons vous présenter un résumé des messages qui ont été reçus pendant des années par les télépathes de la Société Vril et qui ont été à la base des actions entreprises par cette der-. ' mere. Le système solaire d'Aldébaran serait à 68 années-lumière de la Terre et deux planètes habitées qui constitueraient le royaume de Sumeran tourneraient autour de son soleil. Les habitants de ce système solaire seraient subdivisés en un peuple de maîtres, d'hommes-dieu blancs (Aryens) et en différentes autres races humaines. Celles-ci se seraient développées à cause de changements climatiques sur les planètes isolées et seraient le résultat d'une dégénérescence de ces hommes-dieu. Ces mutants auraient cu un développement spirituel inférieur aux hommes-dieu. Plus les races se mélangeaient, plus leur développement spirituel se dégradait. Par conséquent, lorsque le soleil d'Aldébaran se mit à grandir, ils ne purent plus faire des voyages interplanétaires comme leurs ancêtres, il leur était devenu impossible de quitter leurs planètes. C'est ainsi que les races inférieures, totalement dépendantes de la race des maîtres, auraient été évacuées dans des vaisseaux spatiaux et amenées sur d'autres planètes habitables. Malgré ces différences, le respect était de mise entre ces deux races, elles n'empiétaient pas sur l'espace vital de l'autre. Chaque race respectait le développement de l'autre (contrairement aux terriens). La race des maîtres, les hommes-dieu blancs, aurait commencé à coloniser d'autres planètes similaires à la Terre il y a quelques 500 millions d'années, suite à l'expansion du soleil d'Aldébaran et de la chaleur grandissante qui en résulta et qui  rendit les planètes inhabitables. On dit qu'ils auraient colonisé dans notre système solaire d'abord la planète Mallona (nommée aussi Maldek, Marduk ou bien Phaeton chez les Russes) qui aurait existé, à l'époque, entre Mars et Jupiter, là où se trouvent les astéroïdes aujourd'hui. Ce fut, après, au tour de Mars dont les grandes villes pyramidales et le visage martien bien connu, photographiés en 1976 par la sonde Viking, témoignent du haut niveau de développement de ses habitants. D'où la supposition que les hommes-Dieu de Sumeran-Aldébaran vinrent à cette époquelà pour la première fois sur Terre. De vieilles traces d'un soulier fossilisé remontant à environ 500 millions d'années en témoignent, ainsi qu'un trilobite fossilisé piétiné avec le talon de cc soulier. Cette écrevisse primitive vivait alors sur Terre et a disparu il y a 400 millions d'années.

Societevril01

Les membres de la Société Vril pensaient que les Aldébariens atterrirent, plus tard, lorsque la Terre devint peu à peu habitable, en Mésopotamie et qu'ils formèrent la caste dominante des Sumériens. On appela ces Aldébariens hommes-dieu blancs. De plus, les télépathes de Vril reçurent l'information suivante : la langue des Sumériens était non seulement identique à celle des Aldébariens, mais elle avait aussi des sonorités semblables à l'allemand et la fréquence de ces deux langues était presque identique. Cela correspond-il à la réalité ? Disons simplement que les plans de construction et les renseignements techniques reçus par les télépathes-d'où qu'ils viennent-étaient si précis que naquit l'idée la plus fantastique jamais conçue par l'homme : la construction de la machine vers l'au-delà ! Le concept d'une autre science mûrit dans les esprits (on emploierait, de nos jours, le terme de formes d'énergies alternatives). Il fallut trois ans pour que le projet soit mis en place. Dans cette première phase d'une autre technique ou d'une autre science, le Dr W. O. Schumann, membre des Sociétés Thulé et Vril, fit un exposé à la Faculté des sciences de Munich. En voici • un extrait : Dans tous les domaines, il y a deux principes qui déterminent les événements: la lumière et l'ombre, le bien et le mal, la création et la destruction, comme le plus et le moins en électricité. Il s'agit toujours de: d'une façon ou de l'autre!  Ces deux principes-désignons-les concrètement comme les principes créateurs et destructeurs - détenninent aussi nos moyens techniques. [ ... ] Le principe destructeur est l'œuvre du diable, le principe créateur l'œuvre de Dieu. [ ... ] Toute technique basée sur le principe de l'explosion ou de la combustion peut être cataloguée de technique satanique. La nouvelle ère qui arrive sera l'ère d'une technique nouvelle, positive et divine! [ ... ] (extrait des archives secrètes des SS). ' A la même période, le scientifique Viktor Schauberger travaillait à un projet similaire. Il avait fait sien l'enseignement de Johannes Kepler qui était en possession de la doctrine secrète des pythagoriciens, reprise et tenue secrète par les Templiers. Cela concernait le savoir sur l'implosion (dans ce cas, cela signifie l'utilisation du potentiel des mondes intérieurs dans le monde extérieur). Hitler et tous les autres membres des Sociétés Thulé et Vril savaient que le principe divin est toujours créateur, c'est-àdire constructif. Une technologie·qui, par contre, repose sur l'explosion est donc, de ce fait, destructrice, opposée au principe divin. On voulut alors créer une technologie reposant sur l'implosion. La doctrine de l'oscillation de Sc hauberger (le principe de la série des harmoniques = monocorde) part du savoir sur l'implosion. Disons plus simplement : l'implosion à la place de l'explosion! Au moyen des trajectoires de l'énergie du monocorde et de la technique de l'implosion, on pénètre dans le domaine de l'antimatière et on dissout, ainsi, la pesanteur. Le premier vaisseau en forme de soucoupe fut construit à l'été 1922, sa propulsion était basée sur la technique de l'implosion (la machine vers l'au-delà). Il comprenait un disque de 8 rn de diamètre, surhaussé d'un disque parallèle de 6,5 rn diamètre et flanqué en dessous d'un autre disque de 6 rn de diamètre. Ces trois disques avaient dans leur centre un orifice de 1,80 rn de diamètre où l'on monta le propulseur de 2,40 rn de haut. En bas, le corps central se terminait en forme de cône. Dans ce cône se trouvait une sorte de pendule qui avait pour effet de stabiliser l'appareil.

Les disques inférieur et supérieur tournaient en sens inverse pour créer un champ de rotation électromagnétique. On ne connaît pas les performances de ce premier disque volant. Il fut expérimenté pendant deux ans avant d'être détnonté  et entreposé dans les ateliers de Messerschmidt à Augsbourg. On retrouve des aides de financements pour ce projet dans les comptabilités de plusieurs entreprises industrielles, mentionnées sous le code JFM. Il est certain que le mécanisme Vril est issu de la machine vers l'au-delà mais il a été répertorié comme le lévitateur Schumann SM. En principe, la machine vers l'au-delà devait engendrer un champ extrêmement fort autour d'elle et dans son proche voisinage qui faisait de tout l'espace environnant y compris celui de la machine et des occueants un microcosme tout à fait indépendant de notre cosmos. A sa puissance maximale, ce champ serait totalement indépendant de toutes les forces et influences de notre Univers, telles que la gravitation, l'électromagnétisme, le rayonnement ou même de n'importe quelle matière. Il pourrait se mouvoir à volonté dans tous les champs gravitationnels sans qu'on y détecte ou qu'on y sente des forces d'accélération. En juin 1934, Victor Schauberger fut invité par Hitler et les plus grands représentants des sociétés Vril et Thulé et travailla, désormais, en collaboration avec eux. Le premier ovni allemand vit le jour en juin 1934. C'est sous la direction de Dr W. O. Schumann que naquit le premier avion circulaire expérimental sur le terrain de la fabrique d'avions Arado à Brandebourg : il s'agissait du RFZ 1. Lors de son premier vol qui fut aussi le dernier, il s'éleva à la verticale d'une hauteur d'environ 60 rn mais se mit alors à tournoyer et à danser dans l'air pendant plusieurs minutes. L'empennage Arado 196 qui devait guider l'appareil s'avéra complètement inefficace. C'est avec grand-peine que le pilote Lothar Waiz réussit à le poser au sol, à s'en échapper et à s'éloigner en courant car l'appareil se mit à tourner comme une toupie avant de capoter et d'être complètement mis en pièces. C'était la fin du RFZ 1 mais le début des engins volants VRIL. Le RFZ 2 fut terminé avant la fin de l'année 1934, il avait une propulsion Vril et un pilotage à impulsion magnétique. Son diamètre était de 5 rn et ses caractéristiques étaient les suivantes : les contours de l'appareil s'estompaient quand il prenait de la vitesse, et il s'illuminait de différentes couleurs ce qui est bien caractéristique des ovnis. Selon la force de propulsion, il devenait rouge, orange, jaune, vert, blanc, bleu ou violet.  •

haunebu_2

Il put donc fonctionner et l'année 1941 lui réserva un destin remarquable. Il fut utilisé comme avion de reconnaissance à grande distance pendant la bataille d'Angleterre. Il s'avéra que les chasseurs allemands standards ME 109 étaient inaptes à des vols de reconnaissance transatlantiques à cause de leur petit rayon d'action. On le photographia fin 1941 au-dessus du sud de l'Atlantique alors qu'il se dirigeait vers le croiseur auxiliaire Atlantis se trouvant dans les eaux de l'Antarctique. Il ne pouvait pas être utilisé comme avion de chasse pour la raison suivante : à cause de son pilotage à impulsion, le RFZ 2 ne pouvait effectuer des changements de direction que de 90°, 45° ou 22,5°. C'est incroyable, vont penser certains d'entre vous mais ce sont précisément ces changements de vol en angle droit qui sont caractéristiques des ovnis. Après le succès du petit RFZ 2 comme avion de reconnaissance à grande distance, la Société Vril disposa d'un terrain d'expérimentation à Brandebourg. Le chasseur VRIL 1, disque volant équipé d'armes légères, volait à la fin de l'année 1942. Il avait 11,5 rn de diamètre, possédait un siège et une propulsion à lévitation Schumann et un pilotage par impulsion à champ magnétique. Il atteignait des vitesses de 2.900 à 12.000 km/h, pouvait accomplir en pleine vitesse des changements de vol à angle droit sans préjudice pour le pilote, il n'était pas soumis aux conditions atmosphériques et était parfaitement apte à voler dans l'espace. On construisit 17 exemplaires du Vril 1, il y eut aussi plusieurs variantes à deux sièges, munies d'un dôme en verre. Au même moment, un projet V-7 vit le jour. Plusieurs disques volants portèrent ce nom mais ils avaient une propulsion par réacteurs conventionnels. C'est grâce à Andreas Epp que le RFZ 7 fut créé, il combinait un disque volant à lévitation avec cette propulsion à réaction. L'équipe de Schriever-Habermohl et celle de Miethe-Belluzo participèrent à son élaboration. Il avait 42 rn de diamètre mais se fracassa lors d'un atterrissage à Spitzbergen. Aux alentours de Prague, on prit cependant, plus tard, une photo d'un RFZ 7 construit de la même façon. D'après Andreas Epp, il devait être équipé d'ogives nucléaires et il devait bombarder New York. 159 En juillet 1941, Schriever et Habermohl construisirent un avion circulaire qui décollait à la verticale, mû par une propulsion à réaction mais qui avait, cependant, de graves défaillances.

vril-haun

On développa pourtant une autre toupie volante à électregravitation avec une propulsion à tachyons qui eut plus de réussite. Puis ce fut au tour du RFZ 7 T, construit par Schriever, Habermohl et Belluzo, qui fonctionna à merveille lui aussi. Comparés aux disques Vril et Haunebu, les disques volants V-7 étaient plutôt des jouets d'enfants. Au sein même des SS se trouvait un groupe qui travaillait à " la production d'énergie alternative : le Bureau d'Etude IV du Soleil Noir = SS-E-IV dont le but principal était de rendre l'Allemagne indépendante du pétrole brut étranger. Le SS-E-IV développa le mécanisme Thulé, appelé, plus tard, Tachyonateur Thulé, à partir du mécanisme Vril et du convertisseur de tachyons du commandant Hans Col er. En août 1939 décolla le premier RFZ 5. C'était une toupie volante équipée d'armes moyennement lourdes du nom étrange de Haunebu l. Elle avait un équipage composé de huit hommes, avait 25 rn de diamètre, sa vitesse au départ était de 4.800 km/h pour atteindre, plus tard, jusqu'à 17.000 km/h. Elle était équipée de deux canons à rayons forts (KSK) de 60 mm, montés sur tourelles rotatives, et de quatre MK 106 et avait une aptitude moyenne à voler dans l'espace. Fin 1942, le Haunebu II était également fin prêt. Son diamètre variait de 26 à 32 rn, sa hauteur était de 9 à 11 m. Il pouvait transporter un équipage de 9 à 20 personnes. Propulsé par un tachyonateur Thulé, il atteignait dans la périphérie terrestre 6000 km/h. Il était apte à se déplacer dans l'espace et avait une autonomie de 55 heures de vol. Il existait alors déjà des projets pour le grand vaisseau spatial Vril 7 de 120 rn de diamètre qui devait transporter des compagnies entières. Peu après, on construisit le Haunebu III, exemplaire absolument prestigieux entre tous avec ses 71 rn de diamètre. Il vola et fut même filmé. Il pouvait transporter 32 personnes, son autonomie en vol était de plus de huit semaines et il atteignait une vitesse d'au moins 7.000 km/h (et d'après des documents d'archives secrètes des SS, il pouvait atteindre 40.000 km/h). 160 • Virgil Armstrong, ex-membre de la CIA et retraité de Green Beret, déclare que les engins volants allemands pendant la Deuxième Guerre pouvaient atterrir et décoller à la verticale et voler en angle droit. Ils atteignaient 3.000 km/h et étaient armés de canons laser (probablement le KSK, canon à rayons forts) qui pouvait traverser une épaisseur de 10 cm de blindage. Le professeur J. J. Hurtak, ufologue et auteur de Les clefs d,Enoch, dit que les allemands étaient en train de construire ce que les Alliés désignaient de système d'armes miracles.


construction de Peenemünde par fuseologie

Hurtak eut entre ses mains des documents mentionnant: 1. la construction de Peenemünde, ville d'expérimentation d'engins téléguidés vers l'espace 2. la venue des meilleurs techniciens et scientifiques d'Allemagne. Ces documents mentionnaient aussi l'existence de ce qu'on appelait les foo-fighters (les boules de feu). La CIA et les services secrets britanniques étaient déjà au courant, en 1942, de la construction et de l'emploi de tels objets volants, mais ils ne les apprécièrent pas à leur juste valeur. Les Alliés désignaient, en fait, . sous le nom de foo-fighters toutes les sortes d'appareils volants lumineux allemands. Deux inventions correspondaient particulièrement à ce qu'on appelait les foo-fighters : les tortues volantes ct les bulles de savon. Les deux n'avaient rien à voir entre elles mais les Alliés les associaient à tort. La tortue volante fut conçue par le bureau d'études SS-E-IV à Wiener Neustadt. Sa forme rappelait celle d'une carapace de tortue. C'était une sonde volante sans équipage qui devait perturber le système d'allumage électrique du matériel militaire ennemi. Cette sonde était aussi équipée d'armes sophistiquées, de tubes à Klystron appelés rayons de la mort par les SS. Mais le sabotage par coupure de contact ne fonctionna pas parfaitement au début. On continua, plus tard, à développer cette technique. Quiconque a déjà vu des ovnis pourra confirmer que cette coupure de contact, c'est-à-dire l'arrêt des installations électriques, est une des caractéristiques typiques des ovnis quand ils apparaissent. Wendell C. Stevens, pilote de l'US Air Force pendant la Deuxième Guerre mondiale, dit que les foo-fighters étaient parfois gris vert ou rouge orange, qu'ils s'approchaient jusqu'à 5 rn des avions et qu'ils restaient dans cette position. Il n'était pas possible de se débarrasser d'eux, Probablement un appareil de Schauberger avec camouflage d'hiver (région d'Augsbourg en 1939)  même lorsqu'on leur tirait dessus, et ils obligeaient parfois les escadrilles à faire demi-tour ou à atterrir. Quant aux bulles de savon désignées souvent comme foofighters, c'étaient, en fait, de simples ballons à l'intérieur desquels se trouvaient de fines spirales en métal pour brouiller les radars des avions ennemis. Leur efficacité fut probablement minime, mis à part l'effet d'intimidation psychologique. Au début de l'année 1943, on lança même le projet d'un astronef en forme de cigare qui devait être construit dans les chantiers de Zeppelin, c'était l'appareil Andromeda (long de 139 rn). Il devait transporter plusieurs vaisseaux spatiaux en forme de soucoupes pour des vols (interstellaires) de longue durée. Une réunion importante de la Société Vril eut lieu aux environs de Noël1943 à Kolberg, station balnéaire en mer du Nord, à laquelle assistèrent les médiums Maria et Sigrun. Le sujet principal concernait l'entreprise Aldébaran. Les médiums avaient reçu des renseignements précis sur les planètes habitées, situées autour du soleil d'Aldébaran, et un voyage fut programmé pour s'y rendre.

Adolf Hitler - Signed Photo - Germany - Occult History Third Reich - Peter CrawfordGauche

Heinrich Himmler - Occult History Third Reich - Peter Crawford

Le 2 janvier 1944, Hitler, Himmler, Künkel et Dr Schumann (tous deux de la Société Vril) se rencontrèrent pour parler de ce projet Vril. Ils voulaient se diriger à l'aide d'un gros astronef, le Vril 7, vers Aldébaran par tin canal dimensionnel. D'après Ratthofer, le pretnier essai en vol dans un canal dimensionnel aurait eu lieu l'hiver 1944. L'appareil aurait évité de justesse un désastre, car d'après les photos du Vril 7 prises après son retour, on aurait dit qu'il avait voyagé pendant un siècle. Le revêtement extérieur des cabines paraissait très usé et il était abîmé en maints endroits. Le 14 février 1944, le pilote d'essai Joachim Roehlike testa à Peenemünde l'hélicoptère supersonique construit par Schriever et Habermohl sous le nom du projet V-7 qui était équipé de douze turbopropulseurs BMW 028. Sa vitesse de montée à la verticale était de 800 rn à la minute, il atteignait une hauteur de 24.200 111 et sa vitesse en vol horizontal était de 2.200 km/h. Il pouvait être propulsé aussi par une énergie non conventionnelle. Il ne put, cependant, jamais intervenir car Peenemünde fut bombardé en 1944 et son transfert à Prague s'avéra inutile puisque cette ville fut occupée par les Américains et les Russes bien avant qu'on ne puisse utiliser les disques volants. •

vril02_24

Lorsqu'ils occupèrent l'Allemagne début 1945, les Britanniques et les Américains découvrirent, entre autres, dans les archives secrètes des SS des photos du Haunebu II et du Vril I ainsi que de l'appareil Andromeda. En mars 1946, le président Truman fit en sorte que le comité de la flotte de guerre des USA donnâr la permission de rassembler le matériel allemand pour qu'ils puissent expérimenter cette haute technologie. Des savants allemands travaillant en secret furent emmenés aux USA dans le cadre de l'opération paperclip. Il s'y trouvait, entre autres, Viktor Schauberger et W ernher von Braun. Résumons brièvement ici les constructions qui devaient être produites en série : Le premier projet fut conduit sous la direction du Prof. Dr W. O. Schumann de la Faculté des sciences de Munich. C'est dans ce cadre qu'auraient été construits, jusqu'au début de 1945, 17 disques spatiaux volants de 11,5 rn de diamètre qui auraient accompli 84 essais en vol, c'étaient eux qu'on appelait les Chasseurs Vri/1. Un Vril-7 et un Vril-7 grand modèle du nom de Odin auraient, pour le moins, décollé de Brandebourg vers Aldebaran, en avril 1945, après avoir fait sauter tout le terrain d'essais et en emmenant une partie des scientifiques de Vril et des membres de la loge Vril. Le deuxième projet était mené par le bureau d'étude IV des SS qui fit construire, jusqu'au début 1945, trois types de toupies spatiales de différentes grandeurs en forme de cloche : Le Ha une bu I, 25. rn de diamètre, en deux exemplaires, testé 50 fois (vitesse en vol d'environ 4.800 km/h). Le Haunebu II, 32 rn de diamètre, en 7 exemplaires, testé 1_00 fois (vitesse en vol d'environ 6.000 km/h). Il était, en fait, prévu de construire des Haunebu II en série. Une offre aurait été lancée auprès des firmes d'avions Dornier et Junkers. Fin mars 1945, Dornier décrocha le contrat. L'appellation officielle de ces lourdes toupies volantes allait être DO-STRA (avions Dornier Stratosphère). Le Ha une bu III, 71 rn de diamètre, construit en un seu 1 exemplaire, vola au moins 19 fois (vitesse en vol d'environ 7.000 km/h). •Moyenne

haunebu_2

L'appareil Andromeda, astronef de 139 rn qui pouvait recevoir un Haunebu II, deux Vril 1 et deux Vril II resta à l'état de • proJet Il y a, de plus, des documents attestant que le Vril-7, version grand modèle, fut terminé à la fin 1944 et qu'après des essais, il fit quelques vols qui ne dépassèrent pas l'orbite terrestre et qui furent tenus secrets : 1. Atterrissage près du lac Mondsee dans le Salzkammergut avec des essais de plongée pour vérifier la résistance du fuselage, à la pression. 2. Le Vril -7 a probablement stationné dans la forteresse des Alpes de mars à avril 1945 pour des raisons de sécurité et des motifs stratégiques. De là-bas, il s'envola vers l'Espagne où s'étaient réfugiées des personnalités importantes du Reich pour les emmener vers l'Amérique du Sud et vers le Neuschwabenland (Nouvelle Souabe) et les mettre en sécurité dans les bases secrètes que les Allemands avaient construites là-bas pendant la guerre. 3. Aussitôt après, le Vril-7 aurait décollé secrètement vers le Japon, mais nous n'en savons pas plus. Qu'advint-il des vaisseaux spatiaux après la guerre ? On ne peut exclure une production. en une très petite série du Haunebu Il. Les différentes photos d'ovnis qui, après 1945, montrent des constructions typiquement allemandes nous le laissent à penser.

Certains disent qu'une partie des engins aurait été coulée dans le lac Mondsee en Haute-Autriche, d'autres pensent qu'ils auraient été emmenés en Amérique du Sud ou qu'ils y furent transportés en pièces détachées. Il est certain que même s'ils n'ont pas forcément atteint l'Amérique du Sud, on y fabriqua, à l'aide de plans de construction, de nouveaux appareils .. On les fit voler, ct une part importante de ceqe technologie fut utilisée en 1983 dans le cadre de l'expérience Phoenix, projet précédé par l'expérience Philadelphia de 1943. (Il s'agit d'expériences de téléportation, de matérialisation et de voyages dans le temps de la US Navy qui furent plus couronnées de succès qu'on ne l'aurait imaginé dans les· rêves les plus téméraires. Il y aurait ici matière :1 un autre livre mais cela nous écarterait du sujet. Voir la bibliographie.) En 1938 eut lieu une expédition allemande en Antarctique menée par le porte-avions Schwabenland. Les Allemands s' attribuèrent 600.000 km carrés de terrain qu'ils baptisèrent Neuschwabenland (Nouvelle Souabe). C'était une région sans glace avec des montagnes et des lacs. Des flottes entières de sousmarins du type 21 et 23 prirent, plus tard, la route vers la Nouvelle Souabe. Jusqu'à ce jour, plus de cent sous-marins allemands y disparurent. Ils étaient équipés, entre autres, du tuba Walter qui leur permettait de rester plusieurs semaines sous l'eau. On peut penser qu'ils se sont enfuis vers la Nouvelle Souabe avec les soucoupes volantes en pièces détachées ou qu'ils ont, au moins, emporté les plans de construction.

On peut supposer aussi, puisque les essais en vol furent couronnés de succès, qu'à la fin de la guerre les soucoupes volantes s'y sont rendues directement. Cette supposition peut paraître osée à plus d'un, mais beaucoup d'indices importants permettent, cependant, d'imaginer .

1944-45, les Foo Fighters

Bien que les rapports d'observations sur ce que l'on a par la suite appelé les OVNIS puissent être tracés loin dans l'histoire, beaucoup de gens font débuter l'histoire des OVNIS au milieu des années 40 à la suite de l'apparition d'OVNIS au-dessus des théâtres Européens et Pacifiques de la deuxième guerre mondiale. Ces OVNIS reçurent toutes sortes de noms, qui indiquent le manque de compréhension de leur nature et de leur origine. Pour les alliés, ils étaient les "kraut fireballs" ou les "foo fighters", cette dernière appellation ayant fait long feu. On pense maintenant que les Allemands et les Japonais les observaient également en imaginant qu'il s'agissait d'une arme secrète des alliés.

Les rapports sur des "boules transparentes, métalliques et rougeoyantes inexplicables" ont commencé en grand nombre en juin, 1944, à peu près au moment du débarquement des alliés en Normandie, et au moment ou l'Allemagne Nazie se mettait é envoyer ses fusées V-1 vers Londres, inaugurant par ce fait l'ère des missiles sans pilotes. Les rapports se sont intensifiés en novembre 1944, peu de temps après que les premières fusées V-2 balistiques Allemandes aient été tirées vers Londres et Paris.

Les pilotes et leurs équipages ont rapporté que "des choses étranges" volaient en formation avec leurs avions, en "se jouant" d'eux, et en se comportant généralement comme s'ils étaient sous le contrôle d'une intelligence. A aucun moment, ils n'ont noté de comportement agressif. Néanmoins, la plupart des gens ont supposé qu'elles étaient un dispositif ennemi expérimental étant expérimenté pour un usage opérationnel. Des rumeurs d'armes fortement avancées étaient communes à cette période, alimenté par l'impressionnante réalité des armes V1 et V2. Ce qui suit est typique des nombreux rapports de "foo fighters" ayant été enregistrés. Il y a des rumeurs persistantes selon lesquelles la Huitième Armée de l'Air des États-Unis en Angleterre a commissionné une étude sur ces rapports, mais aucun trace documentaire n'a pu être trouvée jusqu'à présent.

PHOTOGRAPHIES:

Les photographies de Foo Fighers sont assez rares.Photographie de Foo Fighters

LES OBSERVATIONS DE FOO FIGHTERS:

http://ufologie.patrickgross.org/press2/currentscienceandaviation22jan1945f.htm

La Manche, 1943:

Observation de Gordon J. Cammell.

Océan Indien, août 1944:

Le 10 août 1944 au-dessus de l'Océan Indien, les co-pilotes d'un bombardier lourd B-29 Superfortress des forces aériennes de l'Armée Américaine Ont rédigé ce compte rendu:

"Un objet étrange nous suivait à environ 500 yards [475 m.] au large de l'aile droite. A cette distance il apparaissait comme un objet sphérique, probablement de cinq ou six pieds [1 à 2 m.] de diamètre, d'un rouge ou d'un orange très lumineux et intense... il semblait avoir un effet de halo.

"Mon mitrailleur a rapporté qu'il est arrivé depuis une position à 5 heures (arrière droite) à notre niveau. Il semblait palpiter ou vibrer constamment. Supposant que c'était quelque objet radio-commandé envoyé pour nous repérer, j'ai effectué des manoeuvres évasives, changeant constamment de direction, de jusqu'à 90 degrés et d'une altitude d'environ 2.000 pieds [600 m.]. Il a suivi chacune de nos manoeuvres pendant environ huit minutes, tenant toujours une position à environ 500 yards [475 m.] et à environ 2 heures (avant droit) par rapport à l'avion. Quand il est parti, il a fait un virage brusque de 90 degrés, accélérant rapidement, et a disparu dans la couverture nuageuse."

(Clark, Jerome, and Farish, Lucius, "The Mysterious 'Foo Fighters' of World War II," dans '1977 UFO Annual'.

Hagenau, Allemagne, décembre 1944:

Le 22 décembre 1944 au-dessus de Hagenau, en Allemagne, le pilote et l'opérateur de radar d'un chasseur de nuit Américain ont rencontré deux "grandes lueurs oranges" qui se sont élevées rapidement vers eux. Quand le pilote a plongé en piqué rapide et a viré brusquement, les objets sont restés avec eux. Le pilote a indiqué:

"Au moment ou ils ont rejoint notre altitude, ils se sont stabilisés et sont restés à notre suite... Après deux minutes, ils ont filé au loin en volant de manière parfaitement contrôlée."

(Clark, Jerome, et Farish, Lucius, "The Mysterious 'Foo Fighters' of World War II," dans '1977 UFO Annual'.

 

Atoll de Truk, le Pacifique, mai 1945:

http://ufologie.patrickgross.org/press2/currentscienceandaviation22jan1945f.htm

Speyer, Allemagne, novembre 1944:

Scan

DOCUMENTS:

Des documents concernant des incidents avec des foo fighters sont encore en train d'être mis à jour même maintenant plus de 50 ans après la fin de la deuxième guerre mondiale. En 1992, le chercheur Barry Greenwood de Citoyens Contre le Secret OVNI (CAUS) s'est rendu aux archives nationales US à Suitland, dans le Maryland et a localisé quinze "Rapports de Mission" du 415e escadron de chasse de nuit, couvrant une période entre septembre 1944 et avril 1945. Voici deux échantillons:

"Le 22-23 décembre 1944 - mission 1, 17:05 - 18:50. Dirigé vers cible vers 17:50, avons eu contact de l'A.I. [radar d'interception de l'avion] à 4 miles de distance vers Q-7372. Surcharge et pas pu reprendre le contact. A.I. s'est éteint et météo devenue mauvaise donc retour à la base. Observé 2 lumières, dont une a semblé s'éteindre et s'allumer à Q-2422.

"13/14 février 1945 - mission 2, 18:00 - 20:00. Environ 19:10, entre Rastatt et Bishwiller, avons rencontré des lumières à 3.000 pieds, deux groupes de lumières. Sommes dirigés vers eux, un groupe s'est éteint et l'autre est monté directement 2-3.000 pieds [600 - 900 mètres], puis s'est éteint. Retourné à la base et regardé et encore vu les lumières revenues à leur position originale."

(Greenwood, Barry, "More Foo-Fighter Records Released," Just Cause, No. 33, CAUS, septembre 1992.)

On a suggéré comme explication, à l'époque et encore aujourd'hui, qu'ils s'agirait de prototypes d'armes anti-aériennes de l'autre camp, des feux de Saint Elme (ce sont des lueurs d'électricité statique) et des identifications erronées d'autres ennemis.

(Chamberlain, Jo, "The Foo Fighter Mystery," The American Legion Magazine, décembre 1965;
Article de l'Associated Press, "Nazi Fire Balls May Be Kind of Ball Lightning," New York Herald Tribune, 3 janvier 1945;
nombreux autres articles de presse.)

Foo-Fighters

NEWSWEEK - 15 Janvier 1945

C'était il y a un plus d'un mois, une des premières fois ou des combattants alliés de ont rencontré ce qu'ils appellent maintenant "foo-fighters." [*] En plus des sphères vues près des extrémité des ailes, des pilotes en ont rapporté deux autres types (1). L'un est un groupe de trois sphères plus petites qui volent devant leurs avions, l'autre un groupe d'environ quinze qui apparaissent une certaine distance au loin et clignote en s'allumant et en s'éteignant (2). Apparemment commandé par radio (3), les foo-fighters restent en formation avec les avions, même lorsqu'ils plongent, montent, ou prennent des mesures évasives. "mais ils n'explosent pas et ne nous attaquent pas," a dit Meiers la semaine dernière. "Ils semblent juste nous suivre comme des diables sortis d'une boîte. (4)"

Probablement ayant quelque rapport avec les boules argentées vues par les pilotes de jour (NEWSWEEK, 25 Décembre 1944), les foo-fighters déroutent jusqu'ici apparemment des officiers du renseignement. Probablement sont-ils les résultats d'un nouveau dispositif antiradar que les Allemands ont développé (5). D'un autre côté, ils peuvent être les traînées d'échappement d'un plus petit modèle radio-commandé du Messerschmitt-163, une aile volante propulsée par fusée.

Des bombardiers de jour ont rencontré le Me163, qui a une charge explosive dans le nez et est apparemment conçu pour s'écraser sur les avions alliés. Quand un pilote a étroitement inspecté des foo-fighters qui le serraient, cependant, il n'a rien vu d'autre que ces sphères. (7)

[*] Le nom vient de la bande dessinée comique "Smokey Stover."

L'article ci-dessous est paru dans le journal Current Science and Aviation, USA, le 22 janvier 1945.

"Foo Fighters"

La dernière arme aérienne des Nazi est les "foo-fighters", des boules de feu rouges et argentées mystérieuses qui suivent les avions alliés à des vitesses de 300 miles par heure. On n'a pas encore déterminé quel but cette nouvelle arme peut avoir. Les boules ne frappent pas nos avions, mais volent simplement bord à bord avec eux, puis filent soudainement hors de la vue. Apparamment radio-commandées, elles pourraient n'être qu'une menace psychologique.

 http://ufologie.patrickgross.org/press2/currentscienceandaviation22jan1945f.htm

Merci à Julien pour ces infos

23 janvier 2014

Les soucoupes volantes viennent de l'intérieur de la Terre 1ere partie

p1x8000a1

Les soucoupes volantes viennent de l'intérieur de la Terre. Nous allons maintenant citer Ray Palmer, rédacteur en chef de Soucoupes volantes, expert en la matière, convaincu que les découvertes de l'amiral Byrd aux deux pôles offrent une explication sur l'origine des soucoupes volantes. Ray Palmer croit, en effet, que les engins volants non identifiés ne viennent pas d'autres planètes, mais de l'intérieur de la Terre, où existe une civilisation très en avance sur la nôtre en matière d'aéronautique, utilisant les soucoupes volantes pour leurs voyages aériens, et se propulsant à la surface de la Terre par l'intermédiaire des ouvertures polaires. La Terre creuse  Voici comment Palmer explique son point de vue « La Terre est-elle bien connue ? N'existe-t-il aucun endroit sur Terre qui pourrait nous fournir une explication possible sur l'origine des soucoupes volantes ? Il y en a deux. Ils se trouvent dans l'Arctique et dans l'Antarctique. « Les deux vols de l'amiral Byrd aux pôles prouvent que la configuration de notre globe dans ces régions a quelque chose « d'étrange ». Byrd s'envola vers le pôle Nord, mais ne s'y arrêta pas. Il continua au-delà, sur une distance de 2 700 kilomètres, puis fut obligé de rebrousser chemin, car sa réserve d'essence diminuait. Comme l'appareil progressait au-delà du pôle, apparurent des régions libres de glace, avec des lacs et des montagnes couvertes d'arbres, et même à un moment un animal monstrueux qui ressemblait à un mammouth de l'Antiquité. Tout cela fut rapporté par les occupants de l'avion. Pendant presque la totalité du voyage, l'appareil survola un paysage de montagnes, de forêts, de lacs et de rivières. « Quel était ce pays inconnu ? Est-ce que Byrd en naviguant plein nord était entré dans l'intérieur creux de la Terre à travers l'ouverture polaire ? « Avec la dernière expédition de Byrd au pôle Sud, nous pénétrons une fois de plus dans une région mystérieuse et inconnue, dont il n'est fait mention sur auc une carte. Et une fois de plus, après la première annonce de l'événement, c'est le silence total. Des milli ons de gens apprennent la chose - et quelle chose ! Elle mériterait au moins quelques commentaires. Mais rien ! La curiosité du public s'aiguise... dans le vide. On se heurte à un mur. Vraiment étrange... « Et pourtant les faits sont là.

Aux deux pôles existent de vastes éte ndues de terre inconnues, apparemment habitables, dont la superficie peut à peine êt re calculée. Cette superficie doit être énorme, peut- être aussi grande que celle des Etats-Unis tout entiers en ce qui concerne le pôle Nord, et encore plus grande au pôle Sud. « Les soucoupes volantes pourraient venir de ces deux terres inconnues " au-delà des pôles ". Notre opinion est que l'existence de ces terres ne peut être ré futée par personne, si l'on veut bien considérer sans préjugés les faits que nous venons d'énoncer. » Voilà ce que dit Ray Palmer. Et une fois de plus la question essentielle est posée. Si l'amiral Byrd a proclamé devant tous que son expédition au pôle Sud ét ait « la plus importante de l'histoire du monde », et si, au retour, il a ajouté : « La présente expédition a ouvert une nouvelle et vaste terre », par quel phénomène étrange et inexplicable une telle découvert e est-elle pratiquement entrée dans l'oubli ? Des raisons politiques. Il n'y a qu'une seule réponse rationnelle à ce mystère. Après la brève annonce publiée dans la presse américaine, et basée sur le rapport radio de Byrd, toute publicité ultérieure a été supprimée par le gouvernement, pour qui Byrd travaillait, et qui ava it des raisons politiques importantes à cacher cette découverte. Car les terres étranges survolées par l'amir al aux deux pôles sur une distance totale de 6 400 kilomètres sont probablement aussi grandes que l'Am érique du Nord et l'Amérique du Sud réunies. Et il est évident que le gouvernement des Etats-Unis a craint qu'un autre pays n'entreprenne des vols similaires et n'aille plus loin, jusqu'à revendiquer ces territoires pour son propre compte. « Considérant tout cela, écrit Ray Palmer, il n'est pas étonnant que les nations du monde entier se soient soudain vivement intéressées aux régions polaire s - et particulièrement à l'Antarctique - et qu'elles aient entrepris des explorations de grande envergure. » Cette terre, centre du mystère. Palmer estime que le nouveau territoire découvert par Byrd, et qui n'est mentionné sur aucune carte, se trouve à l'intérieur, et non à l'extérieur de notre gl obe. C'est pour cela que le grand explorateur l'a appelé « le Grand Inconnu ».

La Terre creuse Après avoir discuté de la signification du terme « au-delà » employé par Byrd, et non « au-dessus » ou « au travers » des pôles, Palmer conclut que la terre inconnue de Byrd se situe à l'intérieur des concavités polaires, et qu'elle jouit d'un climat cha ud puisqu'on y découvre une végétation verte et une vie animale. Voici ce qu'écrit encore Ray Palmer sur la question « En février 1947, l'amiral Richard E. Byrd fit la décl aration suivante : « J'aimerais voir cette terre au- delà du pôle. Cette terre qui est le centre du Grand Inconnu. » « Des millions de gens lurent cette déclaration da ns leurs journaux quotidiens. Des millions de gens se passionnèrent pour le vol de Byrd au-delà du pôle No rd. Des millions de gens entendirent la description radiodiffusée du vol, qui fut publiée aussi par les journaux. « De quelle terre était-il question ? Regardez une car te. Calculez les distances de tous les points connus Sibérie, Spitzberg, Alaska, Ca nada, Finlande, Norvège, Groenland, Islande... Ils sont à peu près tous à moins de 2 700 kilomètres du pôle. Et pourtant Byrd n'a survolé aucune terre connue. Ce qu'il a découvert, il l'a nommé lui-même « le Grand Inc onnu ». Et combien grand, en effet ! Car après 2 700 kilomètres de vol, il fut contraint de faire demi-tour par manque d'essence, et à ce moment il était loin d'avoir atteint les limites de ce territoire. Il n'aurait dû voir au-dessous de lui qu'un océan en partie bloqué par les glaces. Au lieu de cela, il survola des montagnes c ouvertes de forêts! « De forêts ! « Incroyable ! L'extrême limite des régions boisées se situe assez bas dans l'Alaska, le Canada et la Sibérie. Au nord de cette ligne, aucun arbre ne pousse ! Ce qui veut dire que, l ogiquement, tout autour du pôle Nord, on ne doit apercevoir le plus petit arbre dans un rayon de 2 700 kilomètres ! « Alors ? « Alors il faut croire que l'amiral Byrd a bien pénétré dans cette terre au-delà du pôle, cette terre qu'il désirait tant voir parce qu'elle était le centre du mystère. Un problème de navigation. « Pourtant, aujourd'hui, on ne trouve fait mention nulle part de cette terre mystérieuse. Pourquoi ? Le raid accompli par Byrd en 1947 était-il une fiction ? Les journaux ont-ils tous menti ? Menti aussi le radio qui émettait de l'avion de Byrd ? « Non, l'amiral Byrd a bien volé au-delà du pôle. « Au-delà ? « Que voulait dire l'amiral quand il a employé ce mo t ? Comment est-il possible d'aller " au-delà " du pôle ? Réfléchissons un instant. Imaginons que nous soyons transporté d'un coup de baguette magique au point exact du pôle Nord magnétique. Nous y arrivons in stantanément, sans savoir de quelle direction nous venons. Tout ce que nous savons, c'est que nous voulons alle r du pôle au Stipzberg. Mais où est le Spitzberg ? Quelle direction devons-nous prendre ? Celle du Sud, bien sûr ! Mais quel Sud ? Du pôle Nord, toutes les directions vont vers le Sud ! « C'est un simple problème de navigation. Toutes le s expéditions polaires, terrestres, maritimes, ou aériennes, ont dû faire face à ce problème.

Ou bien elles doivent revenir sur leurs pas, ou bien il leur faut découvrir quelle direction vers le Sud est la bonne, et cela quel que soit l'objet de la destination. Le problème est résolu de la façon suivante : on choisit une dir ection au hasard, n'importe laquelle, et on avance d'une vingtaine de milles ; puis on s'arrête, on fait le point à l'ai de des étoiles et de la boussole (l'aiguille aimantée n'est plus dirigée vers le bas mais vers le pôle Nord magnétique), et on trace la rout e sur la carte. Si on veut aller au Spitzberg, pour reprendre notre exemple, c'est alors facile de prendre la bonne direction vers le Sud. La Terre creuse  « L'amiral Byrd, lui, n'a pas suivi ce procédé trad itionnel de navigation. Une fois le pôle atteint, il continua sa route plein Nord sur une distance de 2 700 kilomètres. Et aussi étrange que cela paraisse, il a atteint cette « terre au-delà du pôle » qui, jusqu'à ce j our, si nous consultons les archives des journaux, des livres, de la radio et de la télévision, n'a jamais plus été explorée. « Cette terre, sur les cartes actuelles, ne peut pas exister. Et pourtant... elle existe, comme nous venons de le voir. Il faut donc en conclure que les car tes actuelles sont inexactes, incomplètes, et ne donnent pas une véritable image de l'hémisphère Nord. « Quoi qu'il en soit, il ne fait aucun doute pour nous qu'a été localisée dans le Nord une vaste étendue de terre - le centre du Grand Inconnu - dont les 2 700 kilomètres parcourus par Byrd ne sont qu'une infime partie. » Un black-out étrange, Une découverte aussi importante aurait dû être universellement connue. Seulement voilà, comme nous l'avons dit, le gouvernement américain fit le blackout total sur cette affaire, et il y réussit si bien qu'elle était pratiquement oubliée lorsque Giannini s'avisa de la mentionner dans son livre : M ondes au-delà des pôles, publié à New York en 1959. Mais là encore, par quelque étrange et obscure raison, le livre de Giannini ne reçut pas la publicité qu'il méritait et n'atteignit pas le grand public.

Cependant, à la fin de cette même année 1959, Ray Pa lmer prit connaissance de cet ouvrage, et il fut tellement impressionné par l'aventure fabuleuse de Byrd qu'il en parla aussitôt dans son magazine Soucoupes volantes, largement distribué dans tous les Etats-Unis. L'information parut dans le numéro de décembre 1959. A la suite de quoi se produisit une séri e d'incidents bizarres indiquant que des forces secrètes étaient à l'œuvre pour couper court à cette information et l'empêcher d'atteindre la grande masse des lecteurs. Quelles étaient ces forces secrètes ? Et quelles raisons particulières pouvaient-elles avoir de faire obstacle à une telle publication ? La réponse est facile : ces forces étaient les mêmes que celles qui avaient opéré au lendemain de la découverte de Byrd, et elles avaient les mêmes raisons de s'opposer à tous commentaires concertant cette découverte. Les révélations de Palmer sur les découvertes de By rd dans l'Arctique et l'Antarctique donnèrent pour la première fois une large publicité à l'extraordinaire av enture de l'explorateur. Elles avaient une portée plus grande que les chapitres que leur avait consacrés Giannini dans un livre au tirage restreint et qui n' avait bénéficié d'aucun lancement. C'est pour cela qu'on chercha à stopper leur divulgation sur une grande échelle. Des incidents bizarres. Le numéro de Soucoupes volantes, daté de d écembre 1959, était prêt à être distribué aux abonnés et mis en vente dans les kiosques, lorsqu'il fut retiré mystérieusement de la circulation. Quand la camionnette venant de l'imprimerie avec les paquets de magazines arriva chez l'éditeur, on n'y trouva plus le moindre exemplaire. Elle était vide ! L'éditeur téléphona à l'im primeur. Qu'est-ce que cela voulait dire ? L'imprimeur chercha dans ses papiers, mais ne trouva aucun récépi ssé prouvant que l'expédition avait été faite. Le tirage de ce numéro ayant été payé, l'imprimeur fut prié de remettre les presses en marche et de faire un nouveau tirage.

Mais, coïncidence étrange, les clichés étaient en si mauvais état qu'une réimpression immédiate était impossible. Où étaient passés les milliers d'exemplaires qui avaient été imprimés ? Pourquoi n'avait-on pas retrouvé le bon d'expédition ? S'il avait été égaré, et si les magazines avaient été envoyés à une mauvaise adresse, ils auraient dû être retournés à l'expéditeur. Or, ils ne le furent pas. Résultat : 5 000 abonnés ne reçurent pas le magazi ne. Un distributeur qui avait 750 exemplaires à vendre fut porté disparu, et les 750 exemplaires s'éva nouirent avec lui. Les magazines avaient été envoyés avec prière de les retourner en cas de non réception. On ne les revit jamais. Bref, ce fameux numéro de La Terre creuse 15 décembre 1959 disparut complètement. Néanmoins, plusieurs mois après, il était réimprimé et envoyé aux abonnés. Quelle bombe contenait donc ce magazine ? Simplement - et c'était beaucoup - un compte rendu du vol de l'amiral Byrd au-delà du pôle Nord, en 1947. C'était suffisant pour le faire considérer comme dangereux par les forces occultes qui tentaient de mainte nir à tout prix le black-out sur les découvertes de Byrd. La théorie de Giannini. De larges passages du livre de Giannini, Mondes au-delà des pôles, étaient cités dans le magazine. Voici ce qu'écrit Giannini « Depuis le 12 décembre 1929, les expéditions polaires de la Marine U.S. ont constaté l'existence d'une terre indéterminée au-delà des pôles. « Le 13 janvier 1956, alors que ce livre était en prépar ation, une unité de l'Air U.S. pénétrait sur une distance de 3 700 kilomètres au-delà du pôle Sud, qu'on supposait être le bout du monde. Pour des raisons majeures, cette randonnée mémorable fut négligée par la presse qui se contenta de la mentionner brièvement. « Les Etats-Unis, ainsi qu'une trentaine d'autres nations, préparèrent des expéditions polaires sans précédent au cours des années 1957-1958, ayant pour objectif de pénétrer dans cette terre au-delà des pôles.

Lorsqu'en 1926 j'avais émis l'idée d'une terre inconnue s ituée dans les hémisphères Nord et Sud, la presse avait décrété que cette affirmation était encore " plus audacieuse que tout ce que Jules Verne avait jamais imaginé ". » Et il est vrai, en effet, que le monde scientifique ne prêta aucune attention à l'étrange et révolution- naire théorie géographique que Giannini présentait dans son livre. On l'ignora, on la considéra comme une fantaisie sans fondement, un délire relevant de la scie nce-fiction. Et pourtant... Et pourtant les déclarations de l'amiral Byrd n'ont de sens que si on veut bien accepter cette théorie. Giannini écrit « Les extrémités nord et sud de la Terre n'ont pas de fi n réelle. On ne peut pas en faire le tour, au sens propre du terme. Cependant certains vols qualifiés d' " autour du monde " ont cont ribué à entretenir dans l'opinion l'idée fausse que la Terre peut être " circumnaviguée " au nord et au sud. « Franchir le pôle Nord et revenir vers la zone te mpérée, sans en faire le tour, est une chose impos- sible à réaliser. Il en est de même pour le pôle Sud. « L'existence de mondes au-delà des pôles a été confirmée par les explorations polaire s U.S. au long des trente dernières années. La plus importante étant celle du plus vieil explorateur du monde, le vice amiral Richard E. Byrd. » On n'a jamais survolé le pôle. Commentant les déclarations de Giannini sur l'impossibilité de continuer plein nord après le pôle et d'atteindre l'autre côté de la Terre (ce qui serait le cas si la Terre était convexe au lieu d'être concave au pôle), Ray Palmer écrit dans son magazine « Beaucoup de lecteurs croient que des vols comme rciaux franchissent continuellement le pôle et passent de l'autre côté de notre globe. Cela n'est pa s vrai, bien que les officiels des lignes aériennes, quand on les questionne, prétendent le contraire. Et pour quoi n'est-ce pas vrai ? Parce qu'interviennent des manœuvres de navigation qui éliminent automatiqueme nt tout vol en ligne droite au-delà du pôle.  Circumnavigation : voyage maritime (aérien) autour d'un continent. (NA.T.) La Terre creuse  « En examinant le trajet des vols à travers les régions polaires, nous nous apercevons que ce trajet contourne toujours le pôle, ou passe à côté, mais qu'il ne le survole jamais. N'est-ce pas étrange ? Il ne fait aucun doute que si on annonçait un vol passant directement au-dessus du pôle Nord, il attirerait un grand nombre de passagers désireux d'éprouver une sensati on nouvelle. Or, chose bizarre, aucune ligne aérienne n'a jamais offert un tel vol.

Tous les itinéraires passent à côté de ce point stratégique. Pourquoi ? Ne serait- ce pas parce que, si le pôle était vraiment franchi, l'avion, au lieu d'aborder l'autre côté du globe, s'enfoncerait dans cette terre au-delà du pôle, " le centre du Grand Inconnu ", comme l'appelait Byrd ? » Palmer suggère qu'une expédition avançant toujours pl ein nord devrait être organisée, reconstituant le trajet de l'amiral Byrd, et continuant sur sa lancée jusqu'à ce que soit atteint l'intérieur creux de la Terre. Apparemment, cela n'a jamais été tenté. Et pourtant la Marine des Etats-Unis possède dans ses archives un compte rendu des vols et des découvertes de Byrd. Peut-ê tre faut-il chercher la raison de cet oubli dans la nouvelle conception géographique de la Terre au ni veau des régions polaires. Conception qu'il est nécessaire d'accepter pour pouvoir donner toute leur signi fication aux découvertes de Byrd. Et comme, évidemment, les chefs de la Marine n'attachent pas une grande importance à cette théorie - quand ils ne l'ignorent pas -, il leur a été difficile d'apprécier à leur juste et réelle valeur les rapports de l'amiral. Ce qu'a dit plus haut Palmer, concernant les r outes aériennes commerciales qui ne passent pas au- dessus du pôle Nord, semble fondé à la lumière des nouvelles découvertes soviétiques sur le pôle magné- tique. Les Russes ont trouvé que le pôle magnétique n'éta it pas un point, mais une ligne. Cette ligne, nous pensons, quant à nous, qu'elle est circulaire et qu'elle délimite les bords de la concavité polaire. De sorte que n'importe quel point sur ce cercle pourrait être identifié au pôle Nord magnétique. Il serait alors impossible aux avions de traverser le pôle Nord, celui-c i se situant au centre de la dépression polaire, et non à la surface de la Terre. En effet, quand les pilotes croient atteindre le pôle Nord, après avoir fait les corrections habituelles de navigation, ils se trouvent en réalité sur le bord de la concavité polaire, là où se tient le pôle magnétique. Une technique de vol pour entrer dans la dépression polaire, Se référant à l'ouvrage de Giannini, Palmer commente « Ce livre étrange nous fournit la preuve définitive que la Terre revêt une forme étrange aux pôles. Elle n'est pas nécessairement creuse d'un bout à l'au tre, mais se présente un peu comme un beignet qui aurait beaucoup gonflé en cuisant et laisserait apparaître une profonde dépression à chaque extrémité. « Aucun être humain n'a jamais volé directement au-dessus du pôle Nord et continué tout droit. Moi, je pense que ce devrait être fait, et fait immédiatement. Et je voudrais être sûr qu'un tel vol ne se terminerait pas dans une des régions environnant le pôle, exact ement à l'opposé du point de départ. Il serait utile d'apporter un soin particulier à la technique de na vigation. Premier point : éliminer la boussole ou la triangulation sur les cartes existantes, et utiliser uni quement le gyrocompas qui permet de garder une direction droite, constante et invariable depuis l'inst ant du décollage jusqu'à celui de l'atterrissage. Et pas seulement un gyrocompas à plan horizontal, mais un aussi à plan vertical (une fois entré dans l'ouverture polaire). Voilà un point positif, indiscutable. « On sait qu'un gyrocompas horizontal, comme il en ex iste actuellement, permet à un avion de gagner continuellement de la hauteur à mesure que la Terre d écrit une courbe au-dessous de lui. Or, suivant notre théorie de la dépression polaire, cel a signifierait que lorsqu'un avion entre dans cette dépression le gyro- compas devrait indiquer une augmentation d'altitude plus importante que celle qu'il enregistrerait norma- lement, cette différence étant attribuable à la courbure in térieure de la Terre au pôle.

Si l'avion poursuit sa route vers le Nord, cette augmentation d'altitude ira croi ssant ; mais si, par contre, l'appareil essaie de se maintenir à la même hauteur, il suivra la courbe inte rne de la dépression polaire et plongera dans le creux intérieur de la Terre. » La Terre creuse Une série d'articles de Giannini. Voici maintenant ce qu'écrivit Giannini à un lecteur de Soucoupes volantes qui lui demandait certaines précisions « Le bureau de la Recherche navale de New York avait aimablement accordé à l'auteur la permission d'envoyer un message radio à l'amiral Byrd, message ad ressé à sa base arctique en février 1947, et lui souhaitant bonne chance. « L'amiral Byrd venait d'annoncer dans la presse " J'aimerais voir la terre au-delà du pôle. Cette terre est le centre du Grand Inconnu. " A la suite de cela, Byrd et un corps expéditionnaire effe ctuèrent un vol de sept heures sur une distance de 2 700 kilomètres au-delà du pôle Nord considéré comme le " bout " de la Terre. « En janvier 1947, avant le fameux vol, l'auteur réussit à vendre une série d'articles à une agence internationale de presse, et cela uni quement en donnant l'assurance au directeur de l'agence que Byrd irait véritablement au-delà de ce point fictif qu'est le pôle. « Le résultat ne se fit pas attendre. Dès que les ar ticles parurent dans la presse, le bureau des Ren- seignements de la Marine rendit visite à l'auteur. Cette enquête prouvait en tout cas une chose : que les théories révolutionnaires de l'auteur n'étaient pas aussi fantaisistes qu'on voulait bien le croire, et qu'elles trouvaient une confirmation définitive dans le vol de Byrd. « Plus tard, en mars 1958, l'auteur prononça une allocution radiophonique dans le Missouri, dans laquelle il soulignait l'importance de la découverte de l'amiral Byrd. » Evoquant les comptes rendus de la presse new-yorkaise sur l'expédition de Byrd de février 1947, Giannini écrit « Ces dépêches, décrivant le vol de Byrd au-dessus de terres et de lacs d'eau douce, se multiplièrent jusqu'au moment où une censure stricte fut imposée de Washington. » A la porte du Royaume intérieur de la Terre. Un autre écrivain américain s'intéressant aux UFOs , Michael X, impressionné par les découvertes de Byrd, arriva à la conclusion que les soucoupes volantes venaient d'une civilisation avancée à l'intérieur de la Terre. Byrd en avait visité les zones limitrophes. Michael X décrit ainsi le voyage de Byrd « Il y avait une étrange vallée au-dessous d'eux. Cette vallée, bizarrement, n'était pas couverte de glace, comme cela aurait dû être le cas. Elle était verte et luxur iante. Il y avait des montagnes avec d'épaisses forêts, de l'herbe grasse et des broussailles. Encore plus st upéfiant, un immense animal fut observé, avançant dans ces broussailles. Dans une région de glace, de neige et de froid intense, c'était à peine croyable. « Quand l'amiral entra dans ce territoire inconnu, où se trouvait-il en réalité ? A la lumière des théories de Marshall Gardner, on peut répondre qu'il éta it précisément à la porte du Royaume intérieur de la Terre. « L'Alaska et le Canada ont fourni ces derniers temps un grand nombre de témoignages de gens qui avaient aperçu des soucoupes volantes. Y a-t-il un rapport avec la " terre au-delà du pôle " - ce territoire inconnu situé à l'intérieur de notre globe ? « Nous pensons que si les soucoupes volantes sortent de l'intérieur de la Terre, et y retournent en passant par les ouvertures polaires, il est logique qu' elles soient aperçues d'une manière beaucoup plus fréquente par les habitants de l'Alaska et du Canada, ces pays étant évidemment très proches du pôle. » L'Oasis de Bunger.

La Terre creuse  Les observations ci-dessus - qui font état d'une forte concentration de soucoupes volantes dans la région arctique - correspondent à de semblables obs ervations faites par Bender et Jarrold dans l'An- tarctique. Certains experts pensent d'ailleurs que l'Anta rctique sert de base d'atterrissage aux UFOs. Quoi qu'il en soit, suivant la théorie développée dans le présent ouvrage, une chose est sûre : c'est par les ouvertures polaires qu'on peut avoir accès au Monde intéri eur de la Terre, c'est donc par là que passent les soucoupes volantes qui sont les super-engins aériens de ce monde. Aimé Michel, dans sa théorie de la « ligne droite », prouve que les souc oupes volantes ont presque toutes le même type de vol, suivant une direction nord-sud. Ce qui confirmerait encore, s'il en était besoin, leur origine polaire. En février 1947, à peu près à l'époque où l'amiral Byrd accomplissait son vol mémorable au-delà du pôle Nord, une importante découverte était faite dans l'Antarctique, celle de « l'Oasis de Bunger ». Le capitaine David Bunger était aux commandes d'un des six grands appareils de transport utilisés par la Marine américaine pour « l'Opération High-jump » (1946-1947). Il avait quitté la base de Shackleton, près de la Côte de la Reine Marie, dans la Terre de Wilkes, et il volait vers l'intérieur du continent antarctique, lorsque, à environ 6 kilomètres du littoral, il aperçut une région sans glace, avec des lacs. Ces lacs étaient de différentes couleurs. Cela a llait du rouge sombre au bleu profond, en passant par le vert. Ils avaient tous plus de 4 kilomètres de l ongueur. L'eau était plus chaude que dans l'océan. Bunger put le vérifier en posant son hydravion sur l'un de ces lacs. La grève était en pente douce. L'oasis représentait grossièrement un carré. Au-delà, c' était une étendue sans fin de neige éternelle et de glace. Deux des côtés de l'oasis se dressaient à près de trente mètres de hauteur et étaient constitués de grands murs de glace. Les deux autres côtés étaient moins abrupts. La présence d'une telle oasis en plein Antarctique semblerait indiquer dans cet endroit précis des conditions de températures plus clémentes. Tel qu'il en existerait si l'oasis se trouvait justement dans la dépression polaire sud ! On peut di fficilement expliquer autrement les choses. Dire que cela résulte d'une activité volcanique souterraine n'est pas une réponse satisfaisante. Ce territoire sans glace représente une surface d'environ 600 kilomètres carrés, étendue trop im portante pour être affectée par une source de cha- leur volcanique. Les courants de vent chaud en prove nance de l'intérieur de la Terre sont une meilleure explication. Ainsi, Byrd dans l'Arctique et Bunger dans l'Anta rctique ont découvert à peu près à la même époque des régions bénéficiant d'une température presque chaude. Mais ils n'ont pas été les seuls. Il y a quelque temps, un journal de Toronto, le Globe and Mail, publiait une photo d'une vallée verdoyante, prise par un aviateur dans la région arctique . Evidemment, l'aviateur avait pris le cliché en vol et n'avait pas cherché à atterrir.

C'était une belle vallée avec des collines vertes, appartenant certainement à ce même territoire que Byrd avait visité au-delà du pôle. Cette photo fut publiée en 1960. La Terre creuse  Récit d'un voyage à l'intérieur de la Terre. Autre confirmation de la découverte de l'amiral les relations d'individus affirmant qu'ils étaient entrés dans la dépression polaire nord (comme beaucoup d'explor ateurs de l'Arctique le firent sans le savoir) et avaient atteint le Monde souterrain dans l'intérieur creux de la Terre. Le Dr Nephi Cottom, de Los Angeles, a rapporté qu'un de ses patients, un homme d'origine nordique, lui avait fait le récit suivant « J'habitais près du cercle arctique, en Norvège. Un été, je décidai avec un ami de faire un voyage en bateau et d'aller aussi loin que possible dans le Nord. Nous fîmes donc une provision de nourriture pour un mois et primes la mer. Nous avions un petit bateau de pêche muni d'une voile, mais aussi d'un bon moteur. « Au bout d'un mois, nous avions pénétré très avant dans le Nord, et nous avions atteint un étrange pays qui nous surprenait par sa température. Parfois il faisait si chaud la nuit que nous n'arrivions pas à dormir. (Les explorateurs arctiques qui se sont enfoncés dans les régions polaires ont fait de semblables observations sur ces hausses de température qui parfois les poussaient à ôter leurs lourds vêtements chauds. - L'AUTEUR.) « Nous vîmes plus tard quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne dans laquelle, à un certain endroit, l'océan semblait se déverser ! Intrigués, nous continuâmes da ns cette direction, et nous nous trouvâmes bientôt en train de naviguer dans un vaste ca non qui conduisait au centre du globe. Nous n'étions pas au bout de nos surprises. Nous nous rendîmes compte un peu plus tard qu'un soleil brillait à l'intérieur de la Terre! « L'océan qui nous avait transportés au creux de la Terre se rétrécissait, devenait graduellement un fleuve. Et ce fleuve, comme nous l'apprîmes plus tard, traversait la surface interne du globe d'un bout à l'autre, de telle sorte que si on en suivait le cours jusqu'à son terme on pouvait atteindre le pôle Sud. « Comme nous le constatâmes, la surface interne de notre planète comprenait des étendues de terre et d'eau, exactement comme la surface externe.

Le soleil y était éclatant, et la vie animale et végétale s'y déve- loppait abondamment. « Au fur et à mesure que nous avancions, nous déc ouvrions un paysage fantastique. Fantastique parce que chaque chose prenait des proportions gigantesques, les plantes, les arbres... et aussi les êtres humains. Oui, les êtres humains ! Car nous en rencontrâmes, et c'était des GÉANTS. « Ils habitaient des maisons et vivaient dans des villes semblables à celles que nous avons à la surface, mais de taille plus grande. Ils utilisaient un mode de tr ansport électrique, une sorte de monorail qui suivait le bord du fleuve d'une ville à l'autre. « Certains d'entre eux aperçurent notre bateau sur le fleuve et furent très étonnés. Ils nous accueillirent amicalement, nous invitèrent à déjeuner chez eux. Mon compagnon alla dans une maison, moi dans une autre. «J'étais complètement désemparé en voyant la taille é norme de tous les objets. La table était colossale. On me donna une assiette immense, et la portion qu'elle contenait aurait pu me nourrir une semaine entière! Le géant m'offrit au dessert une grappe de raisin, et chaque grain était aussi gros qu'une pêche. Le goût en était délicieux. A l'intérieur de la Terre, les fruits et les légumes ont une saveur délicate, un parfum subtil. Rien de comparable avec ceux de "l'extérieur". « Nous demeurâmes chez les géants pendant une a nnée, goûtant leur compagnie autant qu'ils appré- ciaient la nôtre. Nous observâmes au cours de ce séjour un certain nombre de choses aussi étranges qu'inhabituelles, toujours étonnés par l'ampleur des connai ssances scientifiques dont faisaient preuve ces gens. La Terre creuse  Durant tout ce temps, ils n'affichèrent jamais la moi ndre hostilité envers nous, et ils ne firent aucune objection quand nous décidâmes de repartir chez nous. Au contra ire, ils nous offrirent même courtoisement leur protection au cas où nous en aurions eu besoin pour le voyage de retour. » Ces géants, de toute évidence, appartenaient à la race antédiluvienne des Atlantes. Ils s'étaient réfugiés à l'intérieur de la Terre pour échapper au déluge qui submergea leur continent. « Le Dieu qui fume. »

Une expérience identique d'une visite à l'intérieu r de la Terre, par l'ouverture polaire, fut rapportée par un autre Norvégien, Olaf Jansen, et consignée dans le livre The Smoky God (Le Dieu qui fume). Ce livre, écrit par Willis George Emerson, est basé sur le r écit fait par Jansen à l'auteur de son extraordinaire voyage. Le titre : Le Dieu qui fume se rapporte au soleil central situé dans l'intérieur creux de la Terre. Etant plus petit et moins brillant que le nôtre, il donne l'im pression d'être brumeux, comme entouré d'un nuage de fumée. Le livre relate la véritable expérience d'un Norvégien et de son fils qui, dans leur petit bateau de pêche, tentent avec un courage indomptable de trouver « la terre d'au-delà du vent du nord », dont ils ont entendu vanter la douceur et la beauté. Une extraordinaire te mpête les projette dans l'ouverture polaire, et ils se retrouvent à l'intérieur de la planète où ils vont séjour ner deux ans, pour ensuite revenir par l'ouverture opposée, au pôle Sud. Là, malheureusement, un iceberg coupe en deux le bateau. Le père est tué. Son fils est sauvé de justesse. Mais il passera vingt-quatre années de sa vie en prison, incarcéré pour déficience mentale. Personne n'avait cru à son histoire. Une fois relâché, il se garda bien de reparler de son aventure. Il devint pêcheur pour gagner sa vie. Au bout de vingt-six ans, ayant économisé assez d'argent, il partit pour les Etats-Unis, s'établit dans l'Illinois, et ensuite en Californie. Il avait près de 90 ans lorsque , par hasard, l'écrivain Willis George Emerson fit sa connaissance et devint son ami. Le vieillard lui rac onta alors la fantastique aventure de sa jeunesse, lui montra les cartes qu'il avait dressées de l'intérieur de la Terre. Il n'avait jamais osé reparler de cela, de peur qu'on le prenne de nouveau pour un fou et qu'on l'enferme. Mais maintenant la mort était proche, et puis Emerson était son ami. Alors... Alors le vieillard mourut, et le livre Le Dieu qui fume, racontant son étrange périple, parut en 1908. Il y est question des gens qui habitent l'intérieur de la Terre, et que lui, Olaf Jansen, et son père ont rencontrés. Ces êtres vivent de 400 à 800 ans et possèdent une science très avancée. Ils peuvent se transmettre leurs pensées en utilisant certains types de radiations, et ils possèdent des sources d'énergie plus puissantes que l'électricité. Ainsi ces engins aériens qu'ils ont mis au point, et que nous appelons soucoupes volantes, sont-ils propulsés par une énergie supérieure, tirée de l'électromagnétisme de l'atmo sphère. Quant à leur stature, elle est tout aussi remarquable. Ils mesurent entre trois et quatre mètres de haut. Il est intéressant de noter combien ce récit recoupe cel ui que nous avons cité plus haut. Pourtant ils sont tout à fait indépendants l'un de l'autre. De la même façon, la taille gigantesque des êtres humains correspond à celle des animaux, comme l'a mis en lumière l'amiral Byrd, qui, au cours de son vol au-delà du pôle Nord, aperçut un animal monstrueux ressemblant à un mammouth. Nous présenterons plus tard la théorie de Mars hall Gardner, selon laquelle les mammouths découverts gelés dans la glace ne sont pas, comme on le croit, de s animaux préhistoriques morts il y a des milliers d'années, mais d'énormes pachydermes vivant actuellement à l'intérieur de la Terre.

 
 
RAYMOND BERNARD
LA TERRE
CREUSE
La plus grande découverte géogr
aphique de l'histoire humaine
Traduit de l'américain par
ROBERT GENIN
Edition originale américaine THE HOLLOW EARTH
1969 by University Books Inc., New York.
© Editions Albin Michel, 1971.
8 janvier 2014

ULTIMA THULE Hyperborée et royaume souterain de l'Agartha

agartha

"ULTIMA THULE" aurait été la capitale du premier continent colonisé par les Aryens. Celui-ci s’appelait "Hyperborée" et aurait été plus vieux que la Lémurie et l’Atlantide (continents engloutis, habités jadis par de grandes civilisations). En Scandinavie il y a une légende autour de l’ "Ultima Thule", ce pays merveilleux dans le Grand Nord ou le soleil ne se coucherait jamais et ou vivraient les ancêtres de la race aryenne.

Le continent "Hyperborée" aurait été situé dans la mer du Nord et aurait été englouti lors d’une époque glaciaire. On suppose que ses habitants vinrent jadis du système solaire d’Aldébaran qui est l’astre principal dans la constellation du Taureau : ils mesuraient environ quatre mètres, avaient la peau blanche et étaient blonds aux yeux bleus. Ils ne connaissaient pas les guerres et ils étaient végétariens (Hitler aussi, d’ailleurs). D’après les prétendus textes de Thulé, les Hyperboréens étaient très en avance dans leur technoloje et ils se seraient servis des "Vril-ya", engins volants que nous désignons aujourd’hui du nom d’ "OVNIs". Gràce à l’existence de deux champs magnétiques inversement rotatifs, ces disques volants auraient été capables de lévitation, ils auraient atteint des vitesses énormes et accompli des manoeuvres en vol, performances que nous observons également chez les OVNIs. Ils auraient utilisé la force Vril comme potentiel énergétique, c’est-à-dire comme carburant (Vril = éther, ou prana, chi, force cosmique, orgon… Mais ce Mot est dérivé aussi du "vri-IL" akkadien qui signifie "semblable à la plus grande divinité" ou "égal à Dieu".) Ils soustrayaient donc de l’énergie (qui ne coûtait rien) au champ magnétique terrestre, comme le font les convertisseurs à tachyons du commandant Hans Coler ou le moteur à "espace quanta" développé par Oliver Crane.

Lorsque le continent HYPERBORÉE commença à s’enfoncer, les habitants se seraient mis à creuser des tunnels gigantesques dans la croûte terrestre avec de grosses machines et ils se seraient établis sous la région de l’Himalaya. Ce royaume souterrain a le nom d’ "AGARTHA" ou "AGARTHI", et sa capitale s’appelle "SHAMBALLAH".

Les Perses appelèrent ce royaume souterrain "Ariana" ou "Arianne", le pays d’origine des Aryens. Précisons ici que Karl Haushofer affirma que Thulé était en fait, l’Atlantide et il disait, contrairement à tous les autres chercheurs du Tibet et de I’Inde, que les survivants de Thulé-Arlantide s’étaient partagés en deux groupes, un bon et un méchant. Les bons qui, d’après leur oracle, prirent le nom d’Agarthi s’installèrent dans la région de l’Himalaya, les méchants qui s’appelaient, d’après Haushofer les Shamballah et qui voulaient réduire les hommes à l’esclavage se dirigèrent vers l’Ouest. Haushofer affirmait qu’un combat durait depuis des d’années entre ceux d’Agarthi et ceux de Shamballah, combat que reprit à son compte la Société de Thulé avec le troisième Reich représentant ceux d’Agarthi contre ceux de Shamballah, les francs-maçons et les sionistes. C’était probablement aussi la mission de Haushofer.

Le souverain de ce royaume serait "Rigden lyepo", le roi du monde, et son représentant sur Terre serait le dalaï-lama. Haushofer était persuadé que ce royaume souterrain sous l’Himalaya était le lieu d’origine de la race aryenne. Il en aurait soi-disant eu la preuve lors de ses nombreux voyages au Tibet et en lnde.

Le signe distinctif de Thulé aurait été la svastika aux branches tournées vers la gauche. Selon les dires de lamas tibétains et du dalaï-lama en personne, les gens d’Agarthi existent encore aujourd’hui. Le royaume souterrain, qui est bien ancré dans presque tous les enseignements orientaux, se serait répandu au long des millénaires sous toute là surface de la Terre avec des centres immenses sous le Sahara, sous la montagne du Matto Grosso et sous la montagne Santa Catarina au Brésil, sous le Yucatan au Mexique, sous le mont Shasta en Californie, en Angleterre, en Egypte et en Tchécoslovaquie.

Hitler aurait eu particutièrement à coeur de trouver les entrées du royaume souterrain d’Agartha et d’entrer en contact avec les descendants des "hommes-Dieu" aryens d’Aldébaran-Hyperborée. Dans les légendes et les traditions de ce royaume souterrain, on rapporte, entre autres, qu’il y aura sur notre globe une méchante guerre mondiale (la troisième) qui prendra fin à cause de tremblements de terre et d’autres cntastrophes naturelles y compris le renversement des pôles qui entraîneront la mort des deux tiers de l’humanité. Après cette "dernière" guer re, les différentes races de l’intérieur de la Terre se réuniont de nouveau avec les survivants de la surface du globe et introduiront l’ "AGE D’OR" millénaire (l’ère du Verseau). Hitler voulait créer un "Agartha" ou l’ "Ariana" à la surface de la Terre avec la race des maîtres aryens, et ce lieu devait être l’Allemagne. Durant le Troisième Reich, il y eut deux grandes expéditions des SS dans les Himalayas pour trouver des entrées du royaume souterrain. D’autres expéditions eurent lieu dans les Andes, dans les montagnes du Matto Grosso et de Santa Catarina au Brésil, en Tchécoslovaquie et en Angleterre.

Et puis certains auteurs affirment que les gens de Thulé croyaient qu’indépendamment du système de tunnels et de villes souterraines, la Terre était CREUSE, avec deux grandes entrées, l’une au pôle Nord et l’autre au pôle Sud. On s’en référa aux lois de la nature : "tel le microcosme, tel le macrocosme". Qu’il s’agisse d’une cellule du sang, d’une cellule du corps ou d’un ovule, d’une comète ou d’un atome, ils ont tous un noyau et une cavité entourée d’une enveloppe, la "corona radiata", la vie propre se passe donc à l’intérieur. Les gens de Thulé en avaient conclu que la Terre devait être constituée selon le même principe. Même les druses confirmaient ce fait, car se sont des cavités rocheuses dont la vie propre, c’est-à-dire les minéraux et cristaux, se trouve à l’intérieur.

La Terre devrait, par conséquent, être creuse aussi – ce qui correspondrait, d’ailleurs, aux dires des lamas tibétains et du dalai-lama – et elle devrait avoir un noyau, un soleil central qui confère à son intérieur un climat régulier et une lumière solaire permanente.
La vraie vie de notre planète se passerait à l’intérieur de celle-ci, la race des maîtres vivrait au-dedans et les mutants à la surface. Ce serait la raison qui explique pourquoi nous ne pouvons découvrir aucune vie sur les autres planètes de notre système solaire puisque les habitants y vivraient aussi à l’intérieur. Les entrées principales seraient au pôle Nord et au pôle Sud, pôles traversés par la lumière du soleil central qui crée les "aurores boréales", les prétendues lumières des pôles. La masse solide occuperait plus de volume à l’intérieur de notre planète que la masse des eaux. D’après l’explorateur des pôles Olaf Jansen et d’autres explorateurs, l’eau à l’intérieur serait de l’eau douce, ce qui expliquerait que la glace de l’Arctique et de l’Antarctique n’est pas constituée deau salée mais d’eau douce. Cette thèse sur la constituticon de notre Terre est étayée par les témoignages des explorateurs des pôles Cook, Peary, Amundsen, Nansen, Kane et aussi par l’amiral E. Byrd. Ils eurent tous les mêmes expériences étranges qui ne concordent pas avec les théories "scientifiques" établies :

Tous constataient que le vent s’échauffait au-dessus du 76ème degré de latitude, que les oiseaux volaient au-dessus de la glace en direction du Nord et que des animaux, tels que les renards, se dirigeaient dans la même direction, qu’on trouvait de la neige colorée et grise qui, en fondant, livrait un pollen de fleurs multicolores ou de la cendre volcanique. La question se pose : D’où vient la pollen de fleurs qui se trouve au pôle Nord ? D’où vient la poussière volcanique puisque aucun volcan n’est signalé sur les cartes officielles disponibles ? De plus, il arrivait à certains des chercheurs de se trouver parfois dans une mer d’eau douce, et tous relatent avoir aperçu deux soleils à un certain moment du voyage. En outre, ils trouvèrent des mammouths à la chair encore fraîche et dont l’estomac contenait, parfois, de l’herbe fraîche.

Pour les gens de Thulé, ces mythes sur la "Terre creuse" étaient, manifestement, assez étoffés pour être pris au sérieux. Une expédition au moins, eut lieu, pendant la Deuxième Guerre mondiale, en Antarctique.

Lorsqu’en 1532 les conquérants espagnols sous la direction de Pizarro arrivèrent en Amérique du Sud, les indigènes les appelèrent les Vicarochas (maîtres blancs). Dans leur légende, il est question d’une race de maîtres géants a la peau blanche qui, des siècles plus tôt, descendaient du ciel avec des "disques volants". Ces derniers avaient régné longtemps sur une partie de leurs villes et avaient ensuite disparu, après avoir promis de revenir. Les indigènes crurent voir le retour des Vicarochas dans les Espagnols à la peau claire et leur remirent donc, au début, leur or. Il se passa la même chose au Tibet et dans d’autres régions des Himalayas lorsque les premiers voyageurs blancs arrivèrent. Les Tibétains les regardaient médusés en leur demandant pourquoi ils venaient d’en bas (du pied des montagnes) puisqu’ils arrivaient d’habitude d’en haut.

L’idéologie des dirigeants allemands du Reich était, en fait, basée sur le thème d’El Shaddaï qui eut pour conséquence la persécution des Juifs, sur la révélation d’Isaïe, sur le savoir des templiers. Ces thèmes étaient sous-jacents dans toutes les actions entreprises, y compris dans le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale…

Le logo du groupe Thulé

Le logo du groupe Thulé

 

LA SOCIETE THULE ET ADOLF HITLER

Fin octobre 1918, Sebottendorf donna la mission aux frères de loge KARL HARRER et ANTON DREXLER de former un cercle de travailleurs. Celui-ci devint, plus tard, le parti des travailleurs allemands, le DAP (Deutsche Arbeiterpartei). La revue de la Société Thulé était le "Völkischer Beobachler" (l’Observateur du peuple). Il fut directement repris par le NSDAP qui se forma à partir de la DAP.

En octobre 1918, le jeune occultiste et ésotériste ADOLF HITLER (qui s’appelait, en fait, Adolf Schicklgruber; Hitler était le nom de jeune fille de sa mère) rentre dans le DAP, le parti de Thulé, et il est remarqué pour ses talents d’orateur.
Trevor Ravenscroft décrit dans "Der Speer des Schicksals" (L’épée du destin) ce qu’a aussi rapposé un ami de jeunesse d’Hitler, WAUFER JOHANNES STEIN qui devint, plus tard, le conseiller du franc-maçon WINSTON CHURCHILL : Hitler, déjà grand adepte du mysticisme à l’âge de 20 ans, essaya d’atteindre des niveaux de conscience élevés à l’aide de drogues. Par l’intermédiaire du libraire PRETZSCHE à Vienne, adepte du mysticisme germanique et de la doctrine de la race des maîtres aryens qui en découlait, Hitler se forgea les bases de sa vision future du monde et avec son aide, il fit usage du "peyolt", drogue hallucinogène pour accéder à l’illumination mystique.

Hitler, déjà dépendant de drogues quand il était jeune homme, prit de forts narcotiques toute sa vie. D’après le journal de bord de son médecin personnel, THEODOR MORELL, Hitler reçut pendant les six ans que dura la guerre des injections de différents calmants, de strychnine, de cocaïne, de dérivés morphiniques et d’autres drogues.

A cette époque-là, Hitler eut aussi connaissance des "PROTOCOLES DES SAGES DE SION", ce qui le renforça dans son aversion pour les juifs. Puis Hitler fut engagé par le DAP, le parti de Thulé, comme orateur électoral et apprit, plus tard, à bien lire et écrire gràce à DIETRICH ECKART, anti-bolchevique et frère de la Société Thulé. Il l’introduisit dans les cercles munichois et berlinois, et Hitler adopta presque en totalité les conceptions de la Société Thulé. En 1924, lorsque Hitler se trouva en prison à Landsberg à la suite du putsch munichois manqué, Haushofer passa plusieurs heures par jour avec lui à lui transmettre ses théories et ses projets. Il lui passa, entre autres, le livre de lord Bulwer-Lytton "THE COMING RACE" (La race à venir). La description de Bulwer-Lytton d’une race aryenne hautement développée qui vit sous terre est presque identique à celle que nous venons de parler. Dans son livre les vaiseaux en forme de soucoupe jouent un rôle essentiel. Il y eut, de plus, la publication du livre de Ferdinand Ossendowski "Bêtes, hommes et dieux" qui dévoila les légendes d’Agartha et de Shamballah. Hitler &tait, de fair complètement absorbé par sa recherche du royaume souterrain et par la doctrine de la race aryenne propre aux membres de la Société Thulé.

HAUSHOFER et HESS prirent en charge l’instruction politique d’Hitler. A Landsberg, Hitler écrivit "MEIN KAMPF" en faisant un amalgame des théories de Haushofer, des pensées de Rosenberg et de la propagande politique. Rudolf Hess s’occupait de la formulation exacte et et tapait le texte à la machine. L’influence de KARL HAUSHOFER désigné comme le "grand magicien du troisième Reich" montre quel rôle jouèrent le mysticisme et l’occultisme dans le Reich. On prêtait à Haushofer le "don de prophétie", c’est la précision de ses prédictions qui lui fit bénéficier d’une ascension fulgurante dans les milieux influents occules de l’époque d’avant-guerre en Allemagne.

Jack Fisherman écrit à ce sujet dans "The Seven Men of Spandau" que RUDOLF HESS, entre autres, était complètement obnubilé par les idées et les théories de Haushofer. Son voyage étrange en Angleterre le prouve. Haushofer avait en effet, fait un rêve ou "il apercevait Rudolf Hess traversant les couloirs de chateaux anglais et apportait la paix aux deux plus grandes nations nordiques". Et comme Hess était persuadé de la justesse des prophéties de Haushofer, il suivit ce rêve à la lettre.

 

Adoph Hitler saluant la foule.

Adoph Hitler saluant la foule.

Les dirigeants du troisième Reich prirent à leur compte, l’ "équipement" magique de la Société Thulé. Le salut de Thulé "Heil und Sieg" (Salut et victoire) fut repris par Hitler qui le transforma en "Sieg Heil." Ce salut, en liaison avec le bras levé, est un rituel magique utilisé pour la formation de voltes. Franz Bardon a décrit en détail les voltes magiques et leurs utilisations. Franz Bardon, appelé aussi Frabato, fut, pour moi, le magicien allemand le plus connu (1909-1958). Hitler lui proposa des postes élevés dans le gouvernement à condition qu’il mette à sa disposition ses talents de magicien pour l’aider à gagner la guerre. En outre, Bardon devait révéler à Hitler les adresses des 98 autres "99èmes loges" répandues sur Terre. Lorsque celui-ci refusa de l’aider, il fut soumis aux pires tortures. (Frabalo, Franz Bardon, p. 173)

Mais les Allemands ne furent pas tes seuls à utiliser les rites magiques à des fins politiques. Le "signe de la victoire" des Anglais, signe avec les doigts écartés, ne fut connu jusqu’en 1940 que par les plus grands des initiés des hauts grades franc-maçonniques. Lorsque WINSTON CLIURCHILL, franc-maçon d’un grade élevé, craignit, en 1940, que l’Angleterre ne soit ensorcelée par le signe magique d’Hitler qui avait, apparemment, du succès (le salut à Hitler), son mentor en magie, le sataniste Alcister Crowley, lui conseilla de contrecarrer ce danger par le signe magique des doigts écartés.

 

Tout comme les membres de la société Skulls and Bones,à laquelle adhérait Georges W. Bush et John Kerry,principal conseiller d'Obama,les SS arboraient un crâne comme symbole.

Tout comme les membres de la société Skulls and Bones,à laquelle adhéraient Georges W. Bush et John Kerry,principal conseiller d’Obama,les SS arboraient un crâne comme symbole.

Les SS appelés aussi l’ "ORDRE NOIR" n’était nullement un régiment de police mais un véritable ordre religieux avec une structure hiérarchique. Qui aurait pu penser que ce brutal parti nazi était un ordre sacré ? Une telle affirmation peut paraître ridicule après coup mais ce n’est pas la première fois dans l’histoire qu’un ordre sacré est responsable d’actes d’une atrocité sans nom. Les Jésuites, mais aussi les Dominicains qui dirigeaient l’inquisition au Moyen Age, en sont des exemples éclatants. L’ORDRE NOIR était la manifestation concrète des conceptions ésotériques et occultes de la Société Thulé. A l’intérieur des SS se trouvait une autre société secrète, l’élite, le cercle le plus intime des SS, les SS "SOLEIL NOIR". Notre soleil tournerait autour du soleil noir, c.-à-d. d’un grand soleil central, le soleil PRIMORDIAL qui est représenté, par la croix aux branches isocèles. Cette croix fut dessinée sur les avions et les chars du troisième Reich. Les templiers, les Rose-Croix et beaucoup d’autres anciennes loges l’emploient encore dans cette même optique.

La Société Thulé et ceux qui allaient devenir, plus tard, les SS "Soleil noir" travaillèrent en étroite collaboration non seulement avec la colonie tibétaine à Berlin, mais aussi avec un ordre de magie noire tibétain. Hitler était en contact permanent avec un moins tibétain aux gants verts qui était désigné comme le "gardien de la clef" et qui aurait su où se trouvait l’entrée de l’Agartha (l’Ariana).

Le 25 avril 1945, les Russes découvrirent les cadavres de six Tibétains disposés en cercle dans une cave berlinoise, au milieu se trouvait celui de l’homme aux gants verts. On aurait dit un suicide collectif. Le 2 mai 1945, après l’entrée des Russes à Berlin, on trouva plus de 1.000 hommes morts qui étaient, sans aucun doute, originaires des régions himalayennes et avaient combattu avec les Allemands. Que diable faisaient donc des Tibétains à des milliers de kilomètres de chez eux dans des uniformes allemands ?

D’innombrables jeunes hommes furent formés par le "Soleil noir" pendant le troisième Reich, ils étaient consacrés dans le château-fort de Wewelsburg et envoyés au Tibet pour y continuer à survivre et se préparer à affronter le grand combat final de cette fin de siècle.

D’après les dires de Fraftz Bardon, Adolf Hitler était aussi membre d’un’ loge "F.O.G.C." (ordre franc-maçonnique de la centurie d’or), connue, en fait, comme la 99ème loge. En ce qui concerne les 99èmes loges, il y en a 99 disséminées dans le monde et chacune est composée de 99 membres. Chaque loge est sous la domination d’un démon et chaque membre a un propre "démon" bien à lui. Le démon aide la personne à acquérir argent et puissance mais, en échange, l’âme de cette personne est tenue de servir ce démon après sa mort. De plus, chaque année, un membre se voit sacrifier au démon de la loge, en vertu de quoi un nouveau membre est admis. Les membres des 99èmes loges sont aussi des dirigeants très influents dans l’économie et la finance et sont plus présents aujourd’hui que jamais. Les loges F.O.G.C., c.-à-d. les 99èmes loges, sont, à ma connaissance, le pire des dangers ; à côté d’elles, le satanisme, auquel se réfère l’ "église de Satan" d’Anton La Vey, dont on parle dans les médias, est bien inoffensif !

Franz Bardon confirma qu’Hitler et l’ordre de Thulé ne furent qu’un instrument entre les mains d’un groupe de magiciens noirs tibétains. Seul celui qui sait cela est en mesure de comprendre la phrase d’Hitler lors de son discours du 30 janvier 1945 :
"Ce n’est pas "I’Asie centrale"" qui sortira victorieuse de cette guerre mais l’Europe et à la pointe de celle-ci la nation qui, depuis 1.500 ans, s’est révélée comme la puissance prédominante capable de représenter l’Europe contre l’Est et qui la représentera aussi dans l’avenir :je parle de notre grand Reich allemand, la nation allemande !" (extrait de "Hitler-Reden und Proklamationen 1932-1945" – Discours et proclamations d’Hitler de 1932 à 1945 – de Max Domarus).

Ce qu’est devenu Hitler a suscité beaucoup de mythes. D’après les dires de Franz Bardon et Miquel Serranos (ex-embassadeur chilien en Autriche), Hitler s’est enfui en Amérique du Sud avec l’aide de la 99ème loge. On dit même que le cadavre que l’on trouva et dont la denture a été identifiée comme étant fausse par le dentiste d’Hitler aurait été placé là par la 99ème loge. Un journal allemand à grand tirage publia le 5 mars 1979 que l’on avait trouvé l’avion privé d’Hitler dans la jungle en Amérique du Sud. Joseph Greiner (auteur de "Das Ende des Hitler-Mythos" – "La fin du mythe Hitler") affirme qu’Hitler a décollé avec son avion le 30 avril 1945 (1)de l’aéroport de Tempelhof à Berlin. Ce qui me semble le plus probable, au cas ou il a survécu, c’est qu’il s’est servi des engins volants développés par la "Société Vril", pour quitter l’Allemagne. Qu’Hitler soit mort ou non à cette époque-là, depuis lors, en tout cas, c’est certain !

Karl Haushofer, après avoir échoué dans sa "mission", a, d’abord, assassiné sa femme le 14 mars 1946 avant de se faire "Hara-kiri" ainsi qu’il l’avait juré aux "BONNETS JAUNES".

Il y eut aussi une autre société secrète qui annonça la venue d’un Messie aryen, la "SOCIETE EDELWEISS". Hermann Göring, le responsable des finances des nazis, en était membre.

 

Rudolph Hess,un membre important et un homme de confiance du Führer...jusqu'au vol de l'aigle.

Rudolph Hess,un membre important et un homme de confiance du Führer…jusqu’au vol de l’aigle.

L’importance de Rudolph hess  dans la "Nouvelle Religion"

Prolixes sur bien des points, les juges du tribunal militaire international de Nuremberg sont restés singulièrement discrets sur la jeunesse de Rudolf Hess. Ils ne se sont intéressés au second personnage du III° Reich qu’à partir de sa rencontre avec Adolf Hitler.
Quand on consulte les comptes rendus du procès des grands criminels de guerre , — et spécialement le tome VII, — on apprend que Hess naquit à Alexandrie en 1894.
Son père est un négociant de nationalité allemande, établi en Egypte depuis de nombreuses années. Sa mère, allemande aussi, est de bonne souche bavaroise.
Le petit Rudolf reste en Egypte jusqu’à l’âge de douze ans. Elevé au lycée français du Caire, il y fait de bonnes études, y apprend notre langue et l’anglais. Envoyé ensuite en Allemagne, il est pensionnaire dans une institution renommée de Bad-Godesberg, près de Bonn, en Rhénanie. Il continue ses études à Neuchâtel, puis, — ses parents le destinant à l’Export-Import, — fait un stage dans une grande firme d’exportation à Hambourg, stage étant interrompu par la mobilisation générale de 1914. Mobilisé, Rudolf se conduit vaillamment ; en novembre 1918, il est lieutenant-aviateur.
Démobilisé en 1919, il se fait inscrire à l’Université de Munich où il a pour professeur le docteur Karl Haushofer créateur de la Geopolitik, un des cerveaux du futur national-socialisme. Haushofer tient Rudolf Hess pour son disciple préféré, et son fils Heinz deviendra l’ami intime du « bras droit » d’Hitler.
Ses études entreprises en Europe n’ont jamais séparé totalement Rudolf de la terre d’Egypte. Il est revenu près de ses parents pendant chaque grandes vacances. Adolescent intuitif, inquiet, il a subi, — il a recherché, — la fascination du pays le plus « ensorcelant » du monde depuis des millénaires. On ne se guérit pas de l’Egypte comme le prouve l’oeuvre romanesque de Laurence Durell .)
« C’est au Caire  », écrit Paul Brunton, « que j’ai découvert, innombrables, médiums et magiciens, devins et astrologues, sorciers et diseurs de bonne aventure, fakirs et saints hommes. Toutes leurs variétés s’y présentaient, n’en déplaise aux rigueurs du gouvernement qui ont marqué combien peu ils lui agréent en prohibant la plupart de leurs pratiques… Des charlatans prenaient au piège des esprits crédules, des hâbleurs puérils trouvaient des auditeurs les écoutant religieusement, des voyants s’abusant eux-mêmes faisaient partager au bon public leurs aberrations… »

Rudolph Hess quand il s’envola vers l’Angleterre à bord d’un Messerschmith 110,a sans  doute voulu  se rapprocher de la magie  de Winston Churchill et d’Aleister Crowley…c’est-à-dire  "du diable en personne"!

http://michelduchaine.com/2013/05/29/re-ecrire-lhistoire-la-societe-secrete-thule/

Publicité
Publicité
Publicité