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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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atlantes
11 septembre 2018

Mohenjo-Daro et la guerre nucléaire finale contre les Atlantes

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"Le Mohenjo-Daro se situe au Pakistan et c’est un site de la civilisation de la vallée de l’Indus qui était une civilisation de l’antiquité. Cette métropole était autrefois bâtie sur deux îles artificielles séparées par un bras inondé selon la saison, il y avait la ville haute et la ville basse . Quand le fleuve est en cru en été, on ne peut accéder à la ville que par l’eau, c’est par ce seul moyen qu’elle est encore accessible, le bateau est dès lors tout indiqué. Trente années de fouilles n’ont pas suffi aux chercheurs pour mettre à jour l’ensemble de ces vestiges de pierres.


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Remarquer les "petites briques" dont on parles precedement
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Squellettes radioactif
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" strates de glaise et de verre vert" ?Image

Mohenjo-Daro

Selon un article du New York Herald Tribune du 16 février 1947 , le rapport de l’explosion d’une bombe atomique dans le désert du nouveau Mexique , a décrit que l’explosion a fait fondre le sable qui s’est transformé en verre de couleur verte

Cela aurait troublé des archéologues qui avaient fouillés des sites datant de plusieurs millénaires dans la vallée de l’Euphrate

Ces sites comportaient des traces de destructions avec du sable fondu transformé en verre de couleur verte

Cela démontre que Yi a poursuivi les atlantes jusqu’à Sumer avec ses armes nucléaires …

Selon un article de la Pravda du 17 janvier 1994 , les archéologues Davenport et Vincenti , auraient découvert à Mohenjo-Daro , des strates comportant de l’argile et du sable fondu à haute température , transformés en verre de couleur verte , similaires aux traces d’explosion nucléaires du désert du Nevada

Ce qui est le plus troublant dans ce dernier article , c’est qu’ils nous précisent que les squelettes trouvés à Mohenjo-Daro , avaient un taux de radioactivité 50 fois supérieur à la normale …

Exactement , la dose de radiations du Gobi …

Davenport et Vincenti sont des archéologues et pas des physiciens …Ils n’avaient aucune raison de rapprocher ce taux de celui du Gobi , probablement pas inconnu à l’époque , mais certainement tenu secret …Il n’y a que quelques petites années , même pas 10 ans , qu’internet est totalement ouvert et permet de tout connaître , ou presque …

Et ce ne peut être un chiffe donné au hasard , car même si ce sont des archéologues et pas des physiciens , ils restent tout de même des scientifiques …Et ils n’auraient jamais inventé un taux représentant une explosion unique aussi puissante que 20 fois toute la radioactivité émise par la terre entière pendant 1 an :

Radioactivité naturelle + médicale + militaire + accidentelle ( fuites de centrales , etc … )

 

Le Mahabharata

Le Mahabharata nous raconte les effets de l’arme suprême :

C’est une coquille , qui étincelait comme le feu , mais sans dégager de fumée

Quand la coquille a touché le sol , le ciel est devenu obscur , les tornades et les tempêtes ont ravagé les villesUne horrible explosion a brûlé des milliers de gens et d’animaux , les réduisant en cendresUn autre extrait du Mahabharata raconte :

Ghurka surgit dans son puissant vimana et détruisit les trois cités des Vrishis et des Andhakas  avec un projectile unique chargé de toute la puissance de l’UniversUne colonne incandescente de fumée et de flammes aussi lumineuse que dix mille soleils s’éleva dans toute sa splendeur

C’était une arme inconnue , une foudre de fer , un gigantesque messager de mort qui réduisit en cendres la race entière des Vrishis et des Andhakas …

… Les cadavres étaient tellement brûlés qu’ils étaient méconnaissablesLeurs cheveux et leurs ongles tombaient

La poterie se cassait sans raison apparente et les oiseaux devenaient blancs

Au bout de quelques heures , toute nourriture était infectée …

…Pour échapper à ce feu les soldats se jetaient dans les rivières pour laver leur corps et leur équipement …

Mais dans les védas , le Ramayana , comme dans le Mahabharata , il y a bien d’autres passages qui citent des batailles aériennes et l’utilisation de l’arme nucléaire , avec la description de ses effets et de ses conséquences

 

Les guerres nucléaires

Tous les textes que nous avons déjà étudiés , et les réalités retrouvées sur le terrain , démontrent une conclusion sans appel :

Les guerres du Ramayana aux environs de -4300 , du Mahabharata aux environs de -3100 , 1ère et 2ème guerre du Gobi aux environs de -2650 et -2350 , sont des guerres nucléaires

Voir dans ce livre la 3ème partie : Les tokhariens , chapitres 4 et 5

La deuxième guerre du Gobi , racontée par les légendes chinoises , nous dit bien que Yi poursuivit ses agresseurs mais ne put détruire le 10ème vaisseau aérien des atlantes lors de la grande bataille , celle du Gobi

La vallée du Thar , domaine des indo-européens , alliés des tokhariens , aurait très bien pu abriter ce 10ème vaisseau …

Il fallait donc détruire cette région aussi …

Et l’on n’a plus jamais entendu parler de ce 10ème vaisseau …

Ni de la Sarasvatî non plus …

C’est pour cela qu’il ne reste aujourd’hui que la vallée de L’Indus et le désert du Thar …

On note d’ailleurs dans ce désert du Thar une radioactivité équivalente à celle du Gobi : un

taux 50 fois supérieur à la normale , soit 82 ms/an …

La légende chinoise précise que l’empereur céleste Huangdi était furieux contre Yi d’avoir fait tant de dégâts et de destructions sur la terre , la rendant inhabitable

En effet il a poursuivi les atlantes avec ses armes nucléaires jusqu’à Sumer , dévastant ainsi une grande partie de terres auparavant fertiles …

Cela a du peser lourd dans la décision des édenistes de repartir vers l’espace et d’abandonner la colonisation de la terre

Et Yi a été puni pour cela : il restera sur terre  …

 

Le désert du Thar

Le désert du Thar , d’une superficie de 200 000 km² , est appelé Mârusthali , le pays de la mort , en Inde

Au Pakistan , il porte le nom de désert du Cholistan

Cette zone est devenue désertique entre 2000 av. J.-C. et 1500 av. J.-C.

À cette époque le fleuve Sarasvatî s’enfonce dans le désert et ne laisse qu’un lit asséché , qui réapparait au  Pakistan

 

Le pétrole du désert du Thar

La compagnie pétrolière indienne Cairn India Ltd , estime les réserves de pétrole dans sa concession du désert du Thar , à 6.5 milliards de barils 

Cela représente un peu plus de 0,5% des réserves mondiales et environ un tiers des ressources chinoises

Le total des ressources découvertes va permettre de mettre en œuvre rapidement un pipe line pour acheminer le pétrole extrait

Actuellement l’Inde importe 70 % de son pétrole

 

Le charbon du désert du Cholistan

Le désert de Thar pakistanais dans la province du Sindh , possède la 5ème plus grande réserve mondiale de charbon , soit 184 milliards de tonnes

Actuellement seulement 4,5 à 5 millions de tonnes en sont extraits annuellement

C’est de la lignite de toute première qualité et qui peut être , sous réserve d’industrialisation adaptée , transformée en tous produits pétroliers …

Bien utilisée , cette ressource pourrait subvenir aux besoins énergétiques du Pakistan pour les 100 prochaines années

Le charbon devrait permettre de construire et alimenter une centrale électrique de capacité suffisante afin d’alimenter la région en énergie et même d’exporter de l’électricité vers l’Inde voisine

Une centrale de 6.000 MW devait être construite par les chinois , mais le projet a été abandonné , probablement à cause du risque terroriste

Malgré la viabilité économique du projet , les étrangers n’investiront que le jour où le Pakistan sera un pays libéral , exempt de risque de terrorisme

La taille de l’investissement est telle que ce n’est qu’avec un financement multinational qu’un tel projet peut être mené à son terme

L’abondance et le faible coût actuel du charbon , le place en tête des candidats pour le remplacement du pétrole 

D’ici là , il faudra maîtriser cette nouvelle utilisation en conformité avec les normes de pollutions actuelles , notamment pour limiter l’émission de CO2 dans l’atmosphère

Les estimations actuelles des réserves mondiales de charbon dépassent deux siècles contre une quarantaine d’années seulement pour le pétrole

 

L’eau du désert du Thar

Sous le désert du Thar , il n’y a pas que du pétrole et du charbon , il y a aussi la 5ème plus grande nappe phréatique d’eau douce du monde …

En fait , selon les endroits , l’eau est potable , saline ou saumâtre

Mais ce n’est pas de l’eau de mer , et moyennant des traitements appropriés et peu couteux , il y a suffisamment d’eau  souterraine pour créer un paradis fertile et verdoyant dans ces 200 000 km² …

Lecentral arid zone research institute de Jodhpur affirme , preuves à l’appui , que l’eau souterraine provient principalement des précipitations des glaciers himalayens qui coulent dans l’ancien cours de la Sarasvati

La central ground water commission a creusé le long du lit asséché de la Sarasvati , et sur 24 puits creusés , 23 ont fourni de l’eau potable

L’oil and natural gas corporation , lors des forages de recherches de pétrole dans le désert du Thar , a trouvé des puits d’eau trouvée très peu saline

La compagnie a creusé un puits à 554 mètres de profondeur sur le site Saraswati-1  , situé à environ sept kilomètres de Jaisalmer

Il en est extrait 76.000 litres d’eau à l’heure …

À Myzlar , au sud de Jaisalmer , dans les années 1970 , de l’eau douce potable a été trouvée dans un puits foré par la ONGC,  à une profondeur de 1.500 mètres

A Jumman Samoo , village du Pakistan , à 406 mètres de profondeur , le forage a révélé une nappe souterraine d’eau potable d’une hauteur de 400 mètres

Dans toute la zone charbonnière du Cholistan , soit environ 9000 km² , il y a 3 hauteurs de filon de lignite , chacun séparé par une nappe phréatique

La première nappe est à environ 50 mètres de profondeur pour une hauteur de 52 à 94 mètres

La seconde nappe est à environ 120 mètres de profondeur pour une hauteur moyenne de 68 mètres

La troisième nappe est à environ 200 mètres de profondeur pour une hauteur moyenne de 47 mètres

Les recherches ayant été faites pour le charbon , il n’a pas été creusé plus loin , mais tout semble indiquer qu’il existe encore une très grosse nappe sous l’ensemble charbonnier

 

Les radiations du Thar

Un article du World Island Review de janvier 1992 parle d’une épaisse couche de cendres radioactives qui recouvre , à 16 km à l’est de Jodhpur , une zone de 5 km²

Les archéologues ont découvert dans cette zone les restes d’une ville de la civilisation de la vallée du Thar comportant des traces d’explosion nucléaire survenue il y a plusieurs millénaires

On aurait remarqué dans cette zone une augmentation du nombre d’enfants nés avec des malformations et des cas de cancer

Les niveaux des radiations y serait tellement élevés que les autorités indiennes ont décidé d’interdire la zone

La raison officielle est qu’il s’agit de tenir à l’écart les populations d’une zone militaire

Le désert du Thar a aussi été utilisé par l’armée indienne pour leurs essais nucléaires …

Les essais souterrains ont eu lieu à Pokharan , en 1974 et 1998

En 1998 , le Bhabha atomic research center a mené une série de tests pour juger de l’impact de l’explosion sur la qualité de l’eau dans la région

Les tests et analyses ont confirmé que l’eau était potable et non contaminée

Le rapport public ne comportait pas de données chiffrées …

Au Pakistan , tous les relevés officiels de radioactivité du Thar , indiquent des radiations naturelles de 0.5 mSv

Soit un peu moins que le tiers de la radioactivité normale qui est de 1.64 mSv …

C’est pour eux la preuve que la zone est sans danger

Il n’y a pas eu de contre expertise d’un laboratoire étranger neutre

Mais , vous l’avez bien compris , il y a des raisons économiques majeures à cela …

 

La fin des indo-européens

Aussi soudainement que la civilisation indo-européenne était apparue , elle déclina et disparut …

Vers 1900 av. J.-C. , les habitants des cités états commencent à quitter les villes

Autour de 1800 av. J.-C. , la plupart des cités de la vallée du Thar ont été abandonnées

Même les grandes villes de Turkménie comme Altyn-depe et Namazga-depe sont abandonnées

Les grandes métropoles de la vallée du Thar disparaissent

Certains scientifiques on voulu expliquer cet effondrement par un changement climatique majeur

Ce fut bien le cas puisque la vallée du Thar était verdoyante et fertile, et qu’elle est devenue un désert aux environs de 1800 av. J.-C.

Mais cela ne suffit pas pour expliquer l’effondrement de la civilisation indo-européenne

Les indo-européens n’ont pas disparu

Obligés d’abandonner des terres stérilisées par les guerres nucléaires , ils se sont dispersé au nord ouest et à l’ouest , le nord et le sud étant déjà occupés par d’autres peuples atlantes

Et après leur lourde défaite , ils n’ont plus de moyens militaires suffisants pour entamer une nouvelle guerre

source http://destinationterre2.wordpress.com/2010/05/13

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19 janvier 2017

Le grand secret de l’Himalaya et des Atlantes

Nous allons faire la connaissance du professeur Ernest Rifgatovich Muldashev, qui a publié en 2001 un livre pour expliquer le fruit de ses recherches : Das Dritte Auge – und der Ursprung der Menschheit [ Le troisième œil et l’origine de l’humanité ]. Le docteur Muldashev, un réputé ophtalmologue et l’un des grands génies de la Russie, fait des conférences de par le monde et opère de nombreux patients – il semble donc avoir les pieds sur terre. Ernest Muldashev a fait, il y a quelques années, une découverte surprenante : la cornée, qui est la membrane transparente en forme de lentille à la surface de l’œil, a la particularité d’être de la même taille pour tous les êtres humains, qu’ils mesurent 1,8 mètre ou qu’ils soient encore des enfants. C’est la seule partie du corps humain qui est la même pour tout le monde. Muldashev a pu établir que la cornée ne pousse que jusqu’à l’âge de quatre ans, et qu’elle garde ensuite la même taille tout au long de la vie.

11. Les paramètres géométriques d’Ernest Muldashev, basés sur la cornée. Il a réalisé une étude sur 1 500 personnes, pour démontrer la possibilité de diagnostiquer des maladies physiques et psychiques, à partir des données qu’on trouve sur la cornée. Il a fait des clichés photographiques avec son équipe. Avec des ordinateurs performants, capables d’analyser les paramètres les plus subtils, il a fait une percée décisive : il a mis au point une méthode fiable de diagnostic de l’état physique et psychique d’une personne, par laquelle il peut également reconstituer la tête entière, la taille et la forme du crâne : « Sur la base des résultats d’une étude sur 1 500 personnes, nous avons pu affiner le principe. Nous sommes parvenus à une grande précision, car nous avons pu définir 22 caractéristiques de la géométrie de l’œil, alors que les deux rectangles ne représentent que deux d’entre elles [...] ( figure 11 ) Comme la géométrie de l’œil est en rapport avec la géométrie des traits du visage, il est possible de reconstituer l’apparence d’une personne à partir des paramètres de sa cornée [...] » La géométrie de l’œil permet plusieurs applications pratiques : l’identification d’une personne ; la reconstitution de son apparence ; la définition de ses caractéristiques mentales ; l’analyse objective des sensations et des émotions ; le diagnostic de pathologies physiques ou psychiques ; la détection de l’origine ethnique de l’individu ; même l’étude de l’origine de l’humanité ! Sur la base de ces découvertes, l’équipe du spécialiste a continué ses recherches. À partir de la coupe de l’œil, il est devenu possible de déterminer l’origine ethnique d’un individu. Dans son livre, Muldashev explique comment, en analysant les paramètres des différents types humains, il a pu réussir à déterminer l’origine de l’humanité. Muldashev et ses collaborateurs ont analysé les 35 types humains existants, selon la classification d’A. Jarcho. Ils sont parvenus à la conclusion suivante : « Nos recherches sur la géométrie de l’œil nous ont permis d’affirmer que l’humanité a une origine commune, qu’elle s’est développée à partir d’ancêtres communs, originaires du Tibet, dont les descendants ont essaimé dans le monde entier. » Les scientifiques ont donc concentré leurs recherches sur cette région de l’Himalaya, pour prouver leur affirmation. Ils ont fait une découverte fondamentale, en analysant les clichés d’un ami de Muldashev, représentant un regard, une paire d’yeux, que l’on trouve dans tous les temples tibétains.

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12. Le regard mystérieux des temples bouddhistes au Népal, en Inde et au Tibet. Muldashev a entré les paramètres dans son ordinateur, et il a pu reconstituer la tête entière. Il décrit ce qu’il voit : « Tout d’abord, on remarque qu’il manque la racine du nez. Qu’est-ce que cela veut dire ? Chez l’homme moderne, la racine du nez recouvre la partie intérieure du champ de vision. L’angle vers l’extérieur est de 80 à 90 degrés, l’angle vers l’intérieur est de 35 à 45 degrés. L’homme a une vision binoculaire, il voit avec les deux yeux, ce qui lui permet de voir le volume et d’apprécier la distance d’un objet, de 35 à 45 degrés, mais pas de 80 à 90 degrés . Cet inconvénient, dû à la racine du nez, est relativement peu important à la lumière du jour ; il l’est un peu plus sous une lumière artificielle ; sous une lumière rouge, c’est beaucoup plus gênant, car l’orientation dans l’espace devient plus difficile. Sans racine de nez, les hommes auraient une vision binoculaire de 80 à 90 degrés, ce qui faciliterait l’orientation sous une lumière rouge . »

13. La tête, telle que l’a reconstituée l’équipe de Muldashev. Muldashev se demande si l’homme vivait dans un environnement avec une lumière rouge. Il a consulté les écrits anciens, il a lu dans les écrits de Nostradamus que les Atlantes vivaient dans un environnement rougeâtre : le ciel était rouge, les arbres avaient une couleur rouge saturé. Nostradamus explique que le ciel avait changé de couleur, par suite d’une inversion des pôles magnétiques et d’un déplacement de l’axe de rotation de la Terre. On peut donc en déduire que les représentations qui ornent les temples tibétains montrent les yeux d’hommes d’une ancienne civilisation – les Atlantes ! Il continue : « Deuxièmement, on remarque l’arcade de la paupière, qui est inhabituelle. Alors que les paupières de l’homme moderne ont une forme circulaire régulière, celles que l’on peut voir sur les clichés montrent une protubérance centrale sur la paupière supérieure, qui pend légèrement au-dessus de l’œil. Qu’est-ce que cela veut dire ? Que la fente des paupières ne se refermait pas complètement, la protubérance de la paupière supérieure l’en empêchant. Les yeux gardent donc la vision périphérique. Et comme il n’y a pas de racine de nez, que la vision est binoculaire, nous avons établi que le possesseur de ces yeux inhabituels avait la capacité de voir les yeux fermés . » Il y a une autre particularité qui intrigue Muldashev : « Le coin de l’œil est orienté vers le bas et vers l’intérieur. Cela indique une plus grande sécrétion de liquide lacrymal, qui est nécessaire pour maintenir le taux d’humidité, quand les yeux ne sont pas complètement fermés. »manfromatlantis

14. Le Dr Ernest Muldashev. Des yeux qu’on ne ferme pas complètement, en maintenant une vision globale ? Muldashev ne voit qu’une explication : le besoin de protéger la cornée, quand on nage à grande vitesse sous l’eau ! Nostradamus mentionne que les Atlantes pouvaient rester longtemps sous l’eau, et qu’ils avaient des plantations sous-marines. Muldashev explique : « Les représentations sur les temples montrent qu’il y avait une ouverture en forme de spirale à la place du nez. Si les Atlantes vivaient en partie sous l’eau, peut-on imaginer que cette ouverture en forme de spirale était comme une valve, qui permettait la respiration ? Les animaux marins, les dauphins et les baleines disposent d’une valve de ce genre. À la différence d’un nez conventionnel, cette valve empêche l’eau de pénétrer dans les voies respiratoires pendant la plongée. On peut voir sur les représentations des temples une tache en forme de goutte au-dessus des yeux, là où les femmes hindoues peignent leur tache de beauté. On pense que cette tache représente le “troisième œil”. Nous savons que les hommes de la haute Antiquité avaient un troisième œil, selon les indications de l’embryologie.

 

Chez l’homme moderne, il en subsiste des rudiments, la glande pinéale (l’épiphyse), cachée à l’intérieur du cerveau. On pense généralement que le troisième œil était l’organe de la bioénergie (télépathie, etc.), qui était capable, selon les légendes, de faire des miracles – la transmission de pensées, l’influence sur la gravitation et la guérison de maladies, entre autres. » On peut se demander pourquoi on trouverait au Tibet des yeux d’Atlantes représentés sur les temples. Muldashev et son équipe pensent avoir trouvé la réponse. Je vous résume ce qu’ils ont expliqué dans un livre épais, très bien documenté. Munie du cliché réalisé par Muldashev ( figure 13 ), l’équipe a entrepris une expédition transhimalayenne, parcourant l’Inde et le Népal jusqu’au Tibet, où elle a pu rencontrer les représentants de divers monastères, allant d’une surprise à l’autre. Tous ceux qui voyaient la photo semblaient comprendre tout de suite ce dont il s’agissait, comme le Swâmi Daram, un Indien, qui leur a demandé aussitôt : « Avez-vous trouvé le corps dans les montagnes ? – Dans la mer ? » Muldashev explique qu’ils ont réalisé ce cliché en partant d’observations de la géométrie de la cornée. Tous les sages qu’ils ont rencontrés savaient qui était représenté sur la photo, mais personne ne voulait le dire. Muldashev a pu établir, après d’autres expéditions et d’innombrables conversations, que la créature représentée ne l’était pas de façon correcte, qu’il s’agissait d’un être n’appartenant pas à notre civilisation, mais à une civilisation antérieure.

Avant le Déluge, il existait des civilisations évoluées : les Atlantes et avant eux les Lémuriens, précédés d’autres civilisations. Les Lémuriens, les Atlantes et certaines personnes appartenant à notre monde moderne sont capables d’entrer dans un état de conscience qu’on appelle le samâdhi , dans lequel l’individu est en mesure, suivant le principe que l’esprit domine la matière , de réduire à zéro les processus de son métabolisme, et de maintenir l’organisme dans cet état – à l’instar des animaux en hibernation. Selon le Swâmi (guide spirituel) indien, il est possible, si la personne sait bien méditer, d’agir sur l’être entier en influant sur l’eau qui le baigne, son champ biologique étant lié à l’eau de son organisme. Bref, le samâdhi est la plus haute forme de méditation. Une fois que l’organisme a atteint l’état de samâdhi , il peut se maintenir en état de conservation pendant plusieurs années, plusieurs millénaires même, selon les sages de l’Himalaya, sans que la personne meure. Lors du samâdhi , l’âme se trouve en fait à l’extérieur du corps, elle est reliée à l’organisme par un fil d’argent. Le fil d’argent, un lien d’énergie, est pour ainsi dire le cordon ombilical entre les deux organismes, comparable à un fil électrique entre la vie ici-bas et l’au-delà. Quand la personne meurt, le fil d’argent se désolidarise du corps physique, l’énergie vitale se retire. Comme la séparation du cordon ombilical de la mère représente le début de la vie physique, la coupure du fil d’argent représente en quelque sorte la naissance dans l’au-delà. En état de samâdhi , le fil d’argent se maintient aussi longtemps que l’on veut. Dans un état de samâdhi prolongé, la température descend à quatre degrés, on peut la garder constante dans une grotte ou sous l’eau. L’état de samâdhi permet pleinement d’expérimenter l’âme.

Quand l’âme retourne dans le corps, la personne se réveille peu à peu et elle reprendra ensuite une existence normale. Un médecin qui ausculte une personne en état de samâdhi constate la mort clinique. Il n’y a pas de pouls, l’électrocardiogramme et l’électroencéphalogramme sont plats. La température du corps chute, le corps se pétrifie, il devient immobile, froid et solide, comme une pierre. La pétrification immobile est une expression bien connue des spécialistes des religions orientales. Muldashev est convaincu d’avoir découvert le grand secret de l’Himalaya, que des êtres en état de samâdhi séjournent dans des grottes de l’Himalaya depuis de très nombreuses années, parfois plusieurs centaines de milliers, et forment le fonds génétique de l’humanité . En cas de nouveaux cataclysmes, comme au temps de l’Atlantide, ou de destruction massive de la surface de la Terre et de l’humanité, des êtres peuvent revenir à la vie quand ils le décident, et ils possèdent non seulement le savoir du passé, mais aussi les facultés improbables qu’on attribue à ces êtres, dont la téléportation et la télépathie. Les habitants des grottes sont les gardiens d’un savoir millénaire. Très peu de gens, quelques familles, ont accès à ces grottes. Elles prennent soin de ces êtres, elles peuvent communiquer avec eux. N’ont accès à ces grottes que les individus que les êtres tolèrent. Les grottes sont très difficiles à localiser, elles sont bien dissimulées, à l’abri du regard des hommes. On y trouve des forces mystérieuses, inconnues, mortelles pour certains ; elles protègent l’accès d’éventuels intrus. Si un individu en trouve l’entrée et qu’il arrive à s’y introduire, il va peu à peu commencer à se sentir mal, le malaise ira grandissant, puis il va s’effondrer, et s’il ne fait pas demi-tour, il est sûr de mourir.

On trouve quelques récits de personnes qui ont pu y pénétrer, pour des raisons exceptionnelles. Une légende relate les événements suivants : Quand il y a eu une grande sécheresse en Inde au XIe siècle, un prince a entrepris un voyage vers une de ces grottes sacrées, pour consulter un homme célèbre dans la Haute Antiquité, et lui demander conseil. Beaucoup de dangers le guettaient dans la grotte : des serpents, des vrais et des mystiques, la difficulté de respirer ; des forces inconnues agissaient sur son corps et son esprit. En état de méditation, il est parvenu à entrer en contact avec l’esprit de ce grand homme. Quand celui-ci s’est rendu compte que le prince était bien intentionné et qu’il demandait de l’aide pour ses congénères, les forces hostiles se sont tues, il a pu rester. La grotte était immense, elle contenait douze salles séparées. Dans l’une de ces salles, le prince a trouvé le grand homme en état de samâdhi, son esprit planait dans l’espace. Son corps était desséché, mais il était vivant. Il séjournait là depuis un million six cent mille ans. Il a entrouvert les yeux. Le prince indien a commencé à s’adresser à lui en sanscrit, pour lui demander assistance. L’homme desséché lui faisait signe du regard qu’il comprenait sa requête. Il lui a montré un objet qui pendait au mur. C’était un anneau mystique. Le prince a pris l’anneau, puis il s’est dirigé vers la sortie. Dans une salle voisine, il a vu un autre homme en état de samâdhi, un prince sikh, qui était entré en état de samâdhi au V e siècle, et dont on sait qu’il est revenu à une existence normale au XVIIe siècle. À la sortie de la grotte, le prince est tombé nez à nez avec huit serpents. Un des serpents a fait couler une goutte de sang sur l’anneau mystique. La goutte s’est élevée dans le ciel, il s’est mis à pleuvoir. Un homme appelé Devendra Lowndel a pénétré dans la grotte en 1637, il y séjourne depuis en état de samâdhi. Après lui, plus personne n’est entré dans cette grotte. Un lama de la lignée Bön (un Bönpo), que Muldashev a rencontré, dit à ce propos : « Il existe, au nord du Tibet, une grotte où séjourne un homme, Moze Sal Dzyang, depuis plusieurs siècles, en état de samâdhi.

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la découverte de la dépouille d’un lama tibétain momifiée en position du lotus agite le monde scientifique et religieux. Selon les adeptes du bouddhisme tibétain, le moine retrouvé dans une grotte, enveloppé de peaux de bêtes, et dont l’état de conservation du corps étonne les scientifiques, serait en « méditation très profonde ».
Ses restes ont été découverts le 27 janvier dernier dans le district de Songino Khairkhan, au centre nord de la Mongolie, près de la capitale Oulan-Bator, rapporte The Telegraph du 5 février dernier. Selon la tradition du bouddhisme tibétain, ce moine se trouverait dans un état rare de méditation appelé « tukdam ».

Les ecclésiastiques de la région le voient régulièrement. Ce ne sont pas des hommes singuliers, mais des religieux ordinaires. On n’a pas besoin de l’autorisation spéciale de cet être, l’accès est sans danger. Il suffit d’être bien intentionné, mais il est interdit de prendre des photos et de parler – ce serait un sacrilège ! » Le lama conclut le récit en disant que les Chinois étaient au Tibet maintenant, et qu’il était donc très dangereux de s’y rendre. On peut se demander pour quelle raison les Chinois s’intéressent tellement au Tibet : peut-être à cause de ses nombreux mystères ? Quand les Chinois ont envahi le Tibet, beaucoup de religieux tibétains ont avoué sous la torture, et confirmé l’existence des grottes. Les Chinois en ont fouillé plusieurs, pour trouver des lamas. Le lama Bönpo raconte : « Un lama est entré en 1960 en état de samâdhi dans une grotte. Il y est resté jusqu’en 1964. Le neveu de cet homme et ses amis lui ont souvent rendu visite, et ont raconté qu’ils l’avaient trouvé dans la pose du Bouddha, dans un état de pétrification immobile. Les communistes chinois l’ont trouvé et mis en prison. Le corps du lama s’est “ramolli” peu à peu, il est revenu à la vie. Il est resté dans une prison sécuritaire, de 1964 à 1987 ; on ne sait malheureusement pas ce qu’il est devenu. » On peut évidemment se demander comment les Chinois ont pu pénétrer dans des grottes défendues par des barrières spirituelles. Le Bönpo a expliqué que la force spirituelle des lamas de notre civilisation était moins puissante que celle des Atlantes, que dans certains cas la protection était moindre, voire inexistante. Il a expliqué que tout dépendait du troisième œil, qui n’était prononcé que chez les Atlantes, et malheureusement sous-développé dans notre civilisation.

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Le lama évoquait les corps de grande taille qu’on avait trouvés au sud du Tibet, accrochés à des piquets par des Chinois. Le bouclier de protection n’avait pas été efficace, à cause de trop nombreuses intrusions sans doute. On sait que beaucoup de Chinois ont péri en tentant de pénétrer dans les grottes ; un jour, ils ont même renoncé à toute tentative d’y entrer de nouveau, par peur. Eux aussi veulent vivre, après tout. Le lama Bönpo a également mentionné une autre grotte au sud du Tibet, où l’on a trouvé un grand nombre de soldats chinois morts dans l’entrée. Leurs visages figés, grimaçants de douleur, ne portaient aucune trace de blessure. Leurs cadavres étaient indemnes. Ils avaient succombé à la force psychique du bouclier. Des habitants des villages voisins ont vu sortir d’une autre grotte quelques douzaines de soldats chinois courant, hurlant comme pris de folie, en se tenant la tête et le ventre. Ces soldats sont morts les uns après les autres.

Le Dr Muldashev a récolté au cours de ses voyages un grand nombre de renseignements sur les civilisations antérieures (au nombre de 22) : elles avaient atteint un très haut niveau technologique, elles ont disparu à la suite de catastrophes cosmiques, cest pipeau ils ont été exterminés par satan et des anges car ils semés le chaos sur terre et faisaient trop couler le sont ils senfuirent a linterieur de la terre et sur les iles et deserts ,il fut un temps ou les atlantes ou genies etaient adorés par les hommes comme des divinités car ils etaient alors visbles aux hommes et se jouaient de la credulité des hommes en se faisant adorer comme des divinites ,ils leur demandaient des sacrifices

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et de la nouriture .

 

 

 

 

 

 

 

A lepoque du prophete salomon dieu donna un pouvoir a salomon un anneau pour les dominer tous cest cet histoire que nous conte discretement le seigneur des anneaux un clin doeil a saturne

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alias satan divinisé lors de ce film par son auteur de façon subliminale ,poursuivant quand Salomon eut le pouvoir de les dominer il leur fit construire un temple que nul homme ne construira jamais apres lui ,des cette epoques les genies devinrent invisibles et commença le regne du monotheisme ,ainsi qu'en asie ou les temples edifiés a ces demons furent gardés intact sur ces legendes ils batirent un pantheon de divinité en leur donnant les noms de chaque attribut divin ainsi lhindouisme se changea ainsi que le boudhisme ,et  integrèrent comme le vatican integra la culture paienne romaine au christianisme fraichement debarqué d'orient. en inde ils avient reçu le message divin et le monotheisme mais avec le temps ils transformerent le boudhisme et lhindouisme en une religion idolatres et de demiurge il suffit de regarder leur pantheon pour comprendre que leur statue represente des etres tout droit sortis de l'enfer ....

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AIZEN copysource  Van Helsing Jan (Holey Jan Udo)

 

 

6 juin 2016

Le SAMARANGANA SUTRADHARA : LE MANUEL DE LA SCIENCE DE LA GUERRE de l'atlantide

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Le Samarangana Sutradhara est un recueil d'anciens manuscrits décrivant en 230 pages une science de la guerre tout à fait exceptionnelle, ainsi que l'art de construire les vimanas. Le Samar raconte que des villes entières furent détruites par deux astronefs dénommés "Astra" et "Brahma". Les armes "Astra" ou "Soposamhara"étaient de véritables projectiles à jets. Mentionnons la description dans ce recueil :

- Des bombes sphériques "sikharastra", qui répandaient des jets enflammés analogues aux bombes au napalm et dont le lancement se faisait grâce à une sorte de catapulte montée sur une plate-forme.
- L'arme Avidyastra qui agissait sur le système nerveux de l'ennemi par un pouvoir de suggestion.
- Le Prasvapana ou "flèche du sommeil", qui était un projectile à gaz toxique.
- Le "Samvarta", qui répandait des rideaux fumigènes.
- Le "Saura" ou "bombe du dieu Soleil", qui dégageait des flammes et un bruît de tonnerre.
- Le "Dard d'lndra", qui avait la forme d'une longue flèche aux empennages triangulaires,pouvait tuer 10.000 ennemis en une seule fois, et était lancé grâce à une gigantesque catapulte.
- "L'Agniratha" (char de feu), qui était un engin à réaction transporté par un astronef et capable de réduire en cendres 100.000 hommes avec la rapidite de la foudre.
- Le "Kapilaksha" ou "œil de Kapila (inventé par le sage Kapila), qui a transformé en un instant, dit-on, 60.000 sujets du roi Sagara en autant de petits tas de cendres.
- L'arme circulaire ou "œil rond" ayant la forme d'un objectif parabolique, "la seule susceptible de concentrer des ondes supersoniques. On parle de char blindé, qui comportait une grande plate-forme montée sur 8 paires de roues avec un gros tube massif devant ressembler à un canon primitif qui lançait un énorme obus explosif. C'était une espèce de gros char blindé ou plutôt un gros calibre sur affût automoteur avec des blindages latéraux pour protéger les servants.

 

On mentionne aussi une arme pouvant être lancée des vimanas ou du sol. 100, 500 et 1000 sont les nombres indiquant les guerriers que l'engin tuait selon la charge employée.

 

Armes terribles
Voici une description extraite du Drona Parva : "Un énorme projectile flamboyant, brûlant d'un feu sans fumée, fut lancé. Une obscurité profonde enveloppa les troupes et les objets. Un vent terrible commença à souffler, d'épais nuages couleur de sang descendirent presque sur la terre, la nature semblait affolée et le soleil tournait sur lui-même. Les ennemis tombaient comme des arbustes détruits par les flammes, l'eau des fleuves devenait bouillonnante, et les êtres qui essayaient de s'y réfugier périssaient misérablement. Les forêts n’étaient plus qu'un seul flamboiement, et des milliers d'éléphants et de chevaux atrocement brûlés remplissaient l'air de barrissements et de hennissements, tandis qu'ils couraient affolés parmi les flammes. Après toute cette terrible confusion, une brise forte et fraîche dissipa la fumée et éclaircit l'horizon. Nous contemplâmes un spectacle terrifiant : sur le champ de bataille, brûlés par une arme épouvantable dont nous n'avions jamais entendu parler, des milliers de tués étaient réduits presque en cendres. Ce projectile puissant et terrible était dénommé l'Arme d'Agneya. Il ressemblait à un long fuseau pointu et était introduit dans un gros tube de guidage, dont la portée pouvait être réglée." Le Drona Parva mentionne aussi la "Foudre de Fer", qui réduisit en cendres presque tous les membres de la race des Vrishnis et des Andhakas. Son efficacité était due à la très fine poudre contenue dans l'engin qui, à cause du vent, se répandit un jour pendant qu'on la jetait à la mer et provoqua de terribles brûlures aux hommes et aux animaux, lesquels périrent en l'espace de quelques heures. La zone devint dangereuse à cause d'invisibles radiations, et des mutations se produisirent dans la faune plusieurs mois après. On peut voir ici une ressemblance certaine avec nos missiles de moyenne portée, munis de têtes atomiques.
On disait, de "l'Arme de Brahma", qu'elle contenait la "puissance de Dieu". Elle avait la forme d'un gigantesque bouclier concave, dont la partie intérieure était parfaitement polie et mobile ; elle était montée sur une vaste plate-forme munie de roues. Un rayon incandescent était utilisé... L'opérateur déroulait des câbles et les plongeait dans l'eau, ainsi qu'une prise de terre, probablement pour établir un bon contact. À cette époque, de nombreuses lois défendaient l'emploi de cette arme, sauf en cas de nécessité absolue...

 

On lit, dans le Drona Parva, que le fils de Drona, "ayant établi le contact, déchargea la Narayana" (autre nom de l'arme). Cela provoqua des vents violents, des trombes d'eau, des tonnerres terrifiants, un tremblement de terre, le soulèvement des eaux par dessus les digues, sans oublier les montagnes qui "se fendaient". Le rayon frappait particulièrement les guerriers munis de cuirasses, ceux-ci devenant transparents et disparaissant ; le rayon devait probablement désintégrer les cellules du corps. Au cours d'une bataille dans l'estuaire du Gange, de nombreux guerriers ennemis eurent la vie sauve en se jetant à l'eau, en mouillant leurs armes et en se lavant complètement, ce qui leur permettait de neutraliser les effets de l'épouvantable rayon ; ou peut-être s'étaient-ils mis à l'abri...
Prouesses aériennes et capacités destructrices des Vimanas
Dans le Samarangana Sutradhara, on mentionne des vimanas grands comme des temples, le texte décrivant des vimanas de forme allongée avec quatre réservoirs pleins de mercure. En 1992, Michel Coquet a fait un intéressant parallèle, à ce propos, avec l'étude par la Nasa, d'un projet de sonde jovienne propulsée par un moteur ionique à mercure, cette sonde devant emporter environ 400 kg de mercure. L'énergie nécessaire pour éjecter ce carburant serait fournie par 190 m2 de batterie solaire délivrant 14 kw.
On parle également de certains types de vimanas qui pouvaient voler grâce à la désintégration atomique de l'air lorsqu'ils se trouvaient dans l'atmosphère... Le texte précise que certains vimanas pouvaient monter jusque dans les régions solaires, puis de là vers les régions stellaires. M. Coquet note aussi que l'on mentionne, dans certains textes tibetains (le Kanjour et le Tanjour) des machines volantes qui atteignaient les étoiles, ainsi qu'un astronef interstellaire de forme fuselée qui tournait en orbite autour de la Terre et qui pouvait transporter plus de 1000 personnes. De ce astronef, des fusées plus petites partaient... Salva le chef cruel qui combattait Krishna, était monté sur un char volant appelé Saubha à partir duquel il envoyait ses projectiles, ses fusées, ses lances, etc. On dit aussi, "à l'égal de nos actuels ovnis, que son char pouvait se rendre invisible".
Dans le Samarangana Sutradhara, on mentionne une diversité d'engins ainsi que leurs méthodes de fabrication, précisant que leur structure était légere et solide ; le cuivre, le fer et le plomb étaient utilisés. Ces engins pouvaient, tout comme nos actuels ovnis, s'élever verticalement et s'arrêter net... Il y avait l'agni-ratha ou véhicule ardent, le "vivana", "véhicule à air", etc...

 

Technologie et barbarie
Dans le Karna Parva, un témoin oculaire a raconté le bombardement auquel les engins volants des Rakshasas soumirent son peuple : "Nous aperçûmes dans le ciel quelque chose qui ressemblait à un nuage écarlate, comme les flammes cruelles d'un feu ardent. De cette masse émergea un énorme vimana peint en noir qui lança de nombreux projectiles flamboyants : le bruit qu'il faisait en se rapprochant de la terre ressemblait à celui de mille tambours roulant tous ensemble. Le vimana se rapprochait du sol à une vitesse incroyable en lançant de nombreuses armes étincelantes comme l'or, des milliers de foudres accompagnées d'explosions violentes, et des centaines de roues de feu. Ce fut un tumulte affreux pendant lequel on vit tomber les chevaux, les éléphants de guerre et des milliers de soldats tués par les explosions. L'armée en déroute fut poursuivie parle terrible vimana jusquà ce qu'elle fut anéantie."
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Une arme secrète est aussi évoquée : la "Langue du Destructeur", la "Sœur de la Mort". Karna la braqua contre les Rakshasas. Le projectile étincelant s'élança vers le ciel nocturne, il y eut une explosion terrifiante, et les vimanas des Rakshasas furent réduits en cendres. Mais l'un des vimanas, seulement endommagé, détruisit l'arme meurtrière. L'arme avait disparu avec des centaines de guerriers, et à sa place, il y avait un grand trou dans le sol qui aurait pu facilement contenir "500 éléphants de guerre harnachés". David Childress, considéré comme le vrai Indiana Jones, souligne que si l'on en croit la grande épopée indienne du Mahabharata, d'inconcevables batailles furent livrées dans le passé à l'aide d'aéronefs, de rayons de particules, d'armes chimiques et, dirait-on, d'armes atomiques. Ainsi, il n'est pas impossible que les batailles des derniers temps de l'Atlantide aient mis en jeu des armes à la technologie extrêmement sophistiquée.
L'auteur néo-zélandais, Robin Collyns, dans son livre intitulé "Ancien Astronauts : A Time Reversal ?", a dénombré cinq techniques de guerre que les anciens auraient pu utiliser parmi lesquelles il y a les canons à plasma. Le plasma est un gaz ionisé. Or des gaz ionisés semblent mentionnés dans l'ancien livre indien sur les vimanas intitulé Vimaanika Shastra (ou Vymanika Shastra), qui évoque l'utilisation du mercure comme carburant - le mercure, métal liquide, étant susceptible de devenir un plasma par électrisation. Le Mahabharata relate des guerres effroyables survenues très longtemps avant l'époque où l'ouvrage fut composé (en dravidien ancien, puis en sanskrit). Mais quelles étaient, à cette époque lointaine, les nations en conflit ?
Alain Moreau - TOP SECRET n°16 - Dec/Janvier 2005 

 

L'EMPIRE DE RAMA ET L'ATLANTIDE
David Childress observe que l'empire de Rama, décrit par le Mahabharata et le Ramayana, était apparemment contemporain des grandes cultures occidentales atlante et osirienne.
L'empire de Rama avait été fondé par les Nagas (ou Naacals), arrivés en Inde en provenance de Birmanie et anciennement originaires, selon le colonel James Churchward, de "la patrie de l'est". Ils s'installèrent sur le plateau du Deccan, en Inde du nord, et établirent leur capitale sur l'emplacement de l'actuelle Nagpour. Leur empire semble s'être étendu ensuite sur toute l'Inde du nord et avoir englobé les cités d'Harappa, Mohenjo-Daro, Kot Diji (Pakistan actuel), Lothal, Kalibanga, Mathoura, et peut-être d'autres cités telles que Bénarès, Ayodhya et Patalipoutra. Ces cités étaient dirigées par des "grands professeurs", ou "maîtres", constituant l'aristocratie bienveillante de la civilisation de Rama. On les appelle aujourd'hui les "rois ­prêtres" de la civilisation de l'Indus, et on a retrouvé un certain nombre de statues de ces "dieux". Ils auraient été dotés de pouvoirs psychiques extraordinaires ...
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On pense que la cité d'Ayodhya, cité mentionnée dans le Ramayana, pourrait être la petite ville d'Ayodhya qui se trouve en Inde du nord, et où chaque année, à l'occasion d'un festival hindou, on promène une réplique de vimana. Selon S. N. Pande (1998), cependant, une autre localisation, l'Afghanistan, qui est possible, car l'actuelle ville d'Ayodhya ne date que d'environ 800 av. J.-C. Selon lui, la 1ère Ayodhya fut reconstruite sous le nom de Kushak, qui faisait référence à la tribu (de Kashi, puis à Kusha, fils de Rama ; c'est-ainsi qu'Ayodhya et Kashi devinrent synonyme.

 

Les forces en présence
L'Atlantide semble avoir existé au milieu de l'Atlantique et avoir été une civilisation de haute technologie. 
La civilisation osirienne était géographiquement localisée dans le bassin méditerranéen et l'Afrique du nord ; qualifiée aussi de civilisation égyptienne prédynastique, elle aurait été ravagée par les inondations au moment où s'abîma l'Atlantide et où la Méditerranée commença à se remplir d'eau. L'empire de Rama se serait évanoui au cours du millénaire qui suivit la destruction du continent atlante (ou -ajouterai-je- de ce qu'il en restait, diverses sources faisant état de plusieurs destructions séparées dans le temps). Cet empire se serait étendu en Afghanistan et en Iran ; il allait probablement jusqu'à l'Indonésie, l'Asie du sud-est et le Pacifique.

 

Déroulement possible du conflit
À l'origine, les populations du pourtour de Mu, ou Lémurie, le continent disparu de l'océan Pacifique, se seraient divisées, avec le temps, en deux groupes, et auraient émigré, l'un vers l'Atlantide, l'autre vers l'Inde, l'empire de Rama. Les premiers étaient les tenants du temporel, alors que les autres étaient les tenants du spirituel. Il semble que l'Atlantide ait voulu imposer sa suzeraineté à l'empire de Rama. Il en résulta les guerres atroces rapportées par les anciennes épopées indiennes ...
Dans un premier temps, les Rois-Prêtres de l'empire de Rama auraient battu les Atlantes. Selon David Childress, qui se réfère à une source et aux traditions "ésotérique", c'est avec des moyens "psychiques" que l'armée atlante aurait été mise en déroute.Le Roi-Prêtre aurait levé les bras au ciel, faisant appel à une "technique mentale" connue des seuls initiés. Son intervention aurait eu pour conséquence la mort du général et des officiers atlantes. Les forces atlantes s'enfuirent dans leurs vaisseaux aériens. Dans la cité assiégée, aucun individu n'avait péri. La suite de l'histoire est contée par les épopées indiennes. L'Atlantide semble avoir eu recours à son arme la plus destructrice, qui s'apparente à une arme atomique si l'on se réfère à certains vers du Mahabharata où l'on parle d'un "projectile unique" chargé "de toute la puissance de l'univers", et d'une "colonne incandescente de fumée et de flamme, brillante comme mille soleils". Cette "foudre de fer" réduisit en cendres "la race entière des Vrishnis et des Andhakas". Les cadavres brûlés furent méconnaissables, les cheveux et les ongles tombèrent, les poteries se cassèrent sans cause apparente, et les oiseaux blanchirent. Au bout de quelques heures, toute la nourriture fut infectée. Pour échapper à ce feu, les soldats durent se jeter dans des ruisseaux pour se laver, eux et leur équipement. Ainsi que le note David Childress, nous avons ici, très précisément décrits, les effets d'une explosion atomique. La radioactivité provoque, en effet, la chute des cheveux et des ongles. Contre elle, l'immersion dans l'eau, même si elle ne guérit pas, est la seule échappatoire.
Nous noterons au passage, que, curieusement, l'ancienne littérature sanskrite était familière à J. Robert Oppenheimer, le père de la bombe H.Au cours d'une interview donnée après le premier essai atomique, il cita la Bhagavad Gita : "Je suis devenu la Mort, le Destructeur des Mondes ; nous avons tous dû ressentir cela".

 

Sept ans plus tard, après le premier test nucléaire d'Alamogordo, on lui demanda à l'université de Rochester si c'était la première bombe atomique qui venait d'exploser, et il répondit :"Dans l'histoire moderne, oui".

 

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Ruines mystérieuses et cratères
Au Cachemire, les ruines du temple de Parshapour (en bordure de Srinagar) témoignent d'une totale destruction, comme si une explosion avait soufflé les énormes blocs de pierre dispersés sur une vaste superficie. David Chlidress se demande s'il s'agit là du résultat des armes utilisées lors des batailles décrites par le Mahabharata. Il y a aussi, à 400 km au nord-est de Bombay, le cratère géant, quasi circulaire, de Lonar lequel mesure 2154 m de diamètre et est âgé d'au moins 50.000 ans. Le site et ses alentours sont vierges de toute trace de météorite alors qu'il s'agit du seul cratère "d'impact" en basalte que l'on connaisse. Ce site présente des marques de choc violent (une pression au moins égale à 600.000 atmosphères) et de chaleur intense et soudaine (ce dont font folles sphérules de verre basaltique). Pat Franck, consultant américain en sciences spatiales, a développé la théorie selon laquelle certains grands cratères terrestres seraient en réalité des vestiges d'anciennes explosions nucléaires...

 

David Childress fait un parallèle entre les guerres atomiques anciennes de l'Asie du sud et les menaces mutuelles que se sont lancées, à notre époque, l'Inde et le Pakistan. Il note à ce propos que l'Inde moderne est fière de sa force nucléaire et la compare à la "flèche de Rama". De son côté, le Pakistan ne rêve-t-il pas d'envoyer ses bombes sur l'Inde ? Ironie de l'histoire, le Cachemire, site probable d'une guerre atomique antérieure, est une fois de plus au centre de ce conflit. David Childress note que selon la littérature ésotérique, l'Atlantide aurait également voulu soumettre une civilisation établie dans le désert de Gobi, à une époque où celui-ci était encore une plaine fertile. Les atlantes auraient tiré vers le centre de la Terre à l'aide d'un "armement à ondes scalaires", et auraient ainsi anéanti leurs ennemis, "se sabordant peut-être eux-mêmes par la même occasion" ! 

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Histoire, mythe et science védique
Pour certains individus, un récit comme celui du Mahabharata n'est qu'un conte imaginaire. C'était le cas par exemple de Gaston Courtillier pour qui ce récit n'est que la mise en œuvre de légendes locales à des fins d'éducation brahmanique.
Toutefois, comme le note Michel Coquet, on aurait tort de n'y voir qu'un grand mythe, car il recèle un fond historique encore inexploité. Il précise qu'aux yeux des prêtres brahmanes ou des moines "renonçant", "l'aspect historique et chronologique des événements humains n'a jamais été considéré comme une valeur essentielle, l'espace et surtout le temps étant des expressions du monde et donc sujets à la limitation et à l'illusion". Ce qui compte pour le sage, c'est "sa capacité à comprendre le monde de l'Esprit et des causes, non celui des effets qui intéressent tant les savants occidentaux". L'aspect historique, sans avoir été négligé, a simplement été utilisé comme support d'un fond mystique, allégorique et ésotérique. Ce fait se retrouve largement exprimé dans la grande épopée (maha-kavya) du Mahabharata, épopée écrite par le rishi Vedavyasa, le plus grand historien des temps védiques. Ce mélange entre mythe et histoire a déconcerté la plupart des orientalistes occidentaux... On a mis en doute l'histoire du royaume de Krishna à Dvaraka(dans le Gujarat) jusqu'au jour où le Dr S. R. Raoa mis au jour les ruines de cette ancienne cité mentionnée dans le Mahabharata et vieille de plus de 3000 ans av. J.-C.

 

En outre, la grande précision des descriptions des engins volants et des guerres aériennes, dans les épopées hindoues, ne permet pas de réduire tout cela à des récits simplement issus de l'imagination d'auteurs antiques. Dans le Rig Veda (mandala VI, sukta 58, mantra III), on parle de "bateaux faits d'or/fer sur la mer, sous la mer et dans l'espace". On peut citer aussi le Vaimanikashastra (écrit par le rishi Bharadvaja) ; le Yantra Sarvasva ; le Mudduku Enthiram ("le pionnier de la technologie moderne de l'hélicoptère"), décrit dans l'ancienne épopée tamoule Sivagachintamani. D'après Gaura Krishna ("Rama Nama" n°15) le Yantra Sarvasva et l'Agasti Samhita démontrent "que les aspects opérationnels d'un avion et des missiles guidés étaient connus des Rishis védiques". Une batterie est notamment décrite "comme ayant un pôle maître (positif) et un pôle varuna (négatil)" ; l'eau, dit-on, est dissociée, par l'électricité, en pranavayu (oxygène) et en udanavayu (hydrogène).
La réalité des guerres aériennes
David Childress évoque lui aussi les guerres aérienne de l'inde ancienne. Les anciennes épopées Indiennes écrit-il, relatent avec force détails des guerres aériennes survenues voilà plus de 10.000 ans. Il cite le sanskritiste Ramachandra Dikshitar (qui a été professeur a Oxford), auteur de "War in Ancient India" (1944) : "Notre vaste littérature pouranique et épique contient de nombreux exemples montrant la façon admirable dont les Indiens de l'antiquité surent conquérir les airs."
Selon R. Dikshitar l'un des Brahmanas parle de "L'Agnihotra", un vaisseau qui s'élevait dans le ciel. Dans le Rig Veda Samhita, on lit que les Ashvins transportèrent Bhoujya au moyen de vaisseaux ailés' et sûrs. Dikshitar évoque les Samarangana Soutradhara de Bhoja et ses références aux machines volantes et autres engins utilisés à des fins militaires ou autres. Dikshitar note que les auteurs anciens faisaient la distinction entre les guerres mythiques (diti daiva) et les guerres réelles (dites manousa). Les premières comprennent par exemple la lutte entre Soumbha et la déesse Dourga. On trouve la référence au cheval volant du brahmane Galava, etc. Maya, par contre possédait une voiture dorée qui volait, équipée d'armes diverses. Le Vikramaourvasiya relate que le roi Pouraravas se lança, à aide d'une voiture aérienne, à la poursuite du Danava qui avait enlevé Ourvasi. Dans le passage consacré au combat entre Lava et Candraketou (acte VI), l'Outtararamacarita mentionne la présence de plusieurs voitures aériennes transportant des spectateurs célestes. Et le Harsacarita contient une phrase affirmant que le Yavanas sont accoutumés aux machines aérienne. Quant au Jivakacintamani, un ouvrage tamoul, il parle des évolutions aériennes de Jivaka.
Récits imaginaires ?
Sur le Yantra Sarvasva (du Maharishi Bharadvaja), est basé le livre Vaimanika Prakaram, avec le commentaire de Bhodananda. Dans ce livre, référence est faite à une liste de 50 ouvrages sur l'ancienne science aéronautique (Sakti Sutra d'Agastya, Saudamini Kala d'Jshvara, Amasuma Tantra de Bharadvaja, Vayutattva Prakarana de Sakatayana, Vaisvamana Tantra et Dhuma Prakarana de Narada, etc.).
  • Le Rishi Bharadvaja a noté 32 procédures secrètes permettant de piloter les vimanas. 
  • Le Kritaka Rahasya évoque quant à lui les matériaux de base utilisés pour la construction de vimanas... 
  • Le Guda Rahasya parle des diverses forces portantes de l'atmosphère (Yasa, Viyasa, Prayasa, etc.), ce qui permettrait au pilote de cacher la présence des vimanas. 
  • L'Aparoksha Rahasya mentionne le pouvoir d'une force électrique spéciale causée par le tonnerre, laquelle était utilisée pour voir clairement les objets en face des vimanas. 
  • Le Sarpagamana Rahasya évoque le processus qui permet d'utiliser la puissance solaire afin de créer un mouvement serpentin des vimanas.

 

Conclusion
Wheeler Wilcox a dit, à propos de l'Inde, que c'est le pays des grands Veda, ces textes contenant des idées religieuses, mais aussi "des faits que la science a depuis prouvés comme étant exacts" ; l'électricité, le radium, les électrons, les vaisseaux aériens, semblaient être connus des gens à l'origine des Veda.
Dans le Vaimanika Shastra, on évoque les moyens de déplacement de pays en pays, de planète à planète. Les scientifiques de l'époque connaissaient 64 espèces de métaux convenant à la construction d'engins volants. Des études d'anciens shastras en sanskrit (préservés sur des feuilles de palmier) font mention de formules permettant de fabriquer des super-alliages (avec des propriétés inconnues à notre époque). C. S. R. Prabhu, directeur technique du Centre National Informatique de l'Inde, évoque, parmi ces alliages, les exemples suivants qui ont tous été testés)
-         Tamogarbha loha, un alliage à base de plomb aux propriétés inhabituelles.
-         Pancha loha, mélange de plomb, de cuivre et de zinc, avec, pour un alliage de cuivre, une résistance inhabituelle à la corrosion par l'eau salée.
-         Chapala grahaka, une céramique de haute qualité.
-         Bhandhira loha, "un alliage insonore".
-         Il se trouve que les industries indiennes aérospatiales et de la défense se sont dites intéressées...
RÉFÉRENCES :
-         David Childress, "Les Technologies des Dieux", éd. La Huppe, 2004,
-         Andrew Tomas, "Nous ne Sommes pas les Premiers ", éd. Albin Michel, 1972.
-         Mîchel Coquet, "O.V.N.I. à la Lumière de la Tradition", éd. L'Or du Temps, 1992,
-         M. Coquet, "Histoire des Peuples et des Civilisations, de la Création Jusqu'à nos Jours", éd. Nouvelles Réalités, 2002
-         M. Coquet, "Lumières de la Grande Loge Blanche ", éd. l'Or du Temps, édition de 1987
-         Aurella Loulse Jones et Dianne Robbins, "Telos", t. 1, éd. Ariane, 2002 ; A. L. Jones, "Telos", t. 2, 2003.

Alain Moreau - TOP SECRET n°16

8 mai 2016

Les souterrains de l'ile de malte des disparitions inexpliquées

20080909121006Juste en-dessous de la pointe sud de l'Italie, dans la partie la plus occidentale de la mer Méditerranéenne, se trouve l'île de  Malte. Malte fut dans le passé la possession de nombreuses nationalités, et fut considérée comme l'un des points les plus stratégiques de toute la terre, port et point d'intersection  entre l'Europe, l'Asie, le Moyen Orient, l'Afrique, etc. Cette
 île de 15 km de long fut l'ancien centre de la civilisation à  l'époque où les Phéniciens de Carthage l'envahirent et commençèrent à la diriger. Lorsqu'un groupe d'anciens prêtres adorant le "dieu" Moloch (un autre nom pour Baal, Osiris, ou Nimrod - considéré par les ancient comme étant le "dieu soleil")  visita l'île à l'époque de l'Ancien Testament, les insulaires acceptèrent  promptement leurs enseignements, y compris ceux consistant à offrir des sacrifices humains afin d'apaiser leur "dieu" Moloch, parce que les anciens
Maltais eux-mêmes pratiquaient le sacrifice du sang humain en offrande  aux "dieux" du monde souterrain dont  ils pensaient qu'ils existaient sous l'île-même et ailleurs, divinités
ainsi appelées qui furent souvent identifiées aux "serpents".. Depuis l'époque des Carthaginois, Malta a connu de nombreux  dirigeants Romains, Arabes, Normands, Argoniens, Castillans, les (Hospitalers) ou l'Ordre de St. Jean de Jérusalem, connus plus tard sous le nom de Chevaliers de Rhodes, et encore plus tard comme les Chevaliers de Malte, qui y sont toujours
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 aujourd'hui, possédant un autre siège à Rome. A quelques kilomètres de la ville de Valleta, à Malte, se trouve le petit village de Casal Paula. En l'an 1902, des ouvriers qui creusaient un puit tombèrent littéralement dans la terre. Ce qu'ils découvrirent (ou plutôt re-découvrirent) était une série d'anciennes caves, dont la plupart étaient taillées directement dans la roche, qui descendait dans la terre et sur trois niveaux inférieurs. Ces catacombes sur plusieurs niveaux dévinrent connues sous le nom de "Hypogeum de Hal Saflienti", nom de la rue sous laquelle il les découvrirent. Hypogeum est le nom Latin désignant une structure souterraine. Près du sol de la dernière chambre, au 3ème et dernier (officiellement reconnu) niveau de ces anciennes catacombes, se trouvent certaines "chambres mortuaires" comme on les appelle. Elle n'offrent qu'une surface de quelques mètres carrés à peine, sont situées à même le sol, et l'on doit se mettre à genoux, voir même à terre, ne serait-ce que pour regarder à l'intérieur. Ces "chambres mortuaires" sont juste assez larges pour que quelqu'un puisse y ramper. Il circule depuis des années des
 rumeurs suggérant que l'une de ces "chambres mortuaires" ne finit pas, mais continue bien au-delà, vers d'autres cavernes plus profondes et inexplorées. Ceci, d'après certaines sources, fut le passage souterrain et  la chambre qui furent décrits il y a des années dans un article paru dans le numéro d'Août 1940 du magazine National Geographic. L'article en question indiquait ce qui suit à propos de diverses personnes ayant disparu dans ces catacombes sans laisser de traces : "De nombreux passages souterrains, y compris d'anciennes catacombes, font aujourd'hui partie des fortifications et du système de défense de l'île. Des vivres sont conservées dans de nombreux tunnels; d'autres sont des abris contre les bombes. Certaines des zones souterraines situées sous Valletta servirent de résidence pour les pauvres. Des hommes préhistoriques construisirent des temples et des chambres dans ces souterrains. Dans une fosse située près
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 d'un autel reposent des milliers de squelettes humains il y a des années, il était possible d'aller d'un bout à l'autre  de Malte par ces souterrains. Le gouvernement ferma les entrées de ces tunnels après que des écoliers et leurs  enseignants en voyage d'étude se perdirent t dans le labyrinthe et ne revinrent jamais." L'histoire est en fait plus "importante" que le National  Geographic ne l'indique. D'autres sources indiquent que  près de 30 enfants disparurent dans ces catacombes lors de ce voyage d'étude, et que lors de la découverte initiale del'Hypogeum" furent également découverts près de 30000  squelettes d'hommes, de femmes et d'enfants (victimes de l'ancien sacrifice aux "dieux du monde souterrain" perpétré par un ancienne race néolithique).Un article écrit par Miss Lois Jessup, à l'époque employée de l'ambassade  Britannique et plus tard secrétaire du NYSIB, paru dans un vieux numéro du magazine Science Frontière (Borderland Science) de Riley Crabb's, publié par la BSRF et plus tard repris dans son intégralité dans le livre du Dr.  Allen "Enigma Fantastique".a004

Miss Jessup déclara avoir visité Malte et l'Hypogeum, une première fois avant  la tragique disparition des enfants, et une autre fois peu après. Elle décrivit comment, lors de sa première visite des catacombes, elle convainquit le guide de la laisser examiner l'une des fameuses  "chambres mortuaires" près du sol de la dernière chambre dans le troisième soubassement, la "fin" supposée de la visite de l'Hypogeum.Il semblait savoir quelque chose  qu'elle ignorait, mais consentit finalement à lui dire qu'elle pouvait entrer "à ses propres risques"...
Ce fut ce qu'elle fit, bougie à la main et sa ceinture défaite  utilisée comme corde de guide pour ses amis qui la suivaient,  rampant dans le mince passage pour finalement déboucher
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 dans une grande carverne, où elle se trouvait sur une  plate-forme surplombant un abîme très profond, semblant sans fin. Plus bas et de l'autre côté de l'abîme  se trouvait une autre plate-forme semblant donner sur une porte ou un tunnel s'enfonçant dans le mur opposé.  Nous réalisons que ce qui survint ensuite pourrait sembler  incroyable à beaucoup de lecteurs, mais nous leur
 demandons de se faire leur propre idée de sa véracité. Miss Jessup jure que ce qui suit s'est réellement passé. De ce tunnel inférieur situé de l'autre côté de l'abîme, déclare-t-elle, surgirent en file indienne quelques très grandes créatures de forme humanoïde, mais totalement recouverte de poils de la tête aux pieds. L'apercevant, elles levèrent leurs armes en sa direction, à tel point qu'un "vent" violent se mit à souffler dans la caverne, soufflant sa bougie. Une "chose" humide et rampante (apparemment une créature de différente sorte) la frôla alors.
Tout ceci se passa au moment où la personne qui la suivait commençait à émerger depuis le passage dans la caverne. Ils ne purent comprendre ses tentatives paniquées pour rejoindre le passage et regagner la chambre de l"Hypogeum", mais y consentirent après son insistance. Lorsqu'ils se retrouvèrent tous dans la chambre de l'Hypogeum, le guide vit son expression et la regarda d'un air "entendu". Environ une semaine après la disparition des enfants et de  leur(s) enseignant(s), elle vit lors de sa seconde visite un tout nouveau guide qui nia que l'autre guide ait jamais travaillé ici, bien qu'elle su que ce guide-ci cachait quelque chose. Elle apprit d'autres sources plus coopératives cependant  que ceci était le tunnel que les enfants, leur(s) enseignant(s)
 et probablement l'ancien guide, avaient emprunté. Elle apprit  également qu'après que le dernier enfant y ait pénétré, les murs du petit tunnel se refermèrent ou s'effondrèrent. Bien
 que la version officielle établit que les murs s'étaient écroulés sur les étudiants, les équipes de recherche ne furent jamais capable de trouver la moindre trace de l'(ou des)

 enseignant(s) ou des enfants, bien que la corde qu'ils avaient utilisé pour s'attacher à la plus basse des chambres de l'Hypogeum fut retrouvée nettement coupée, comme par
 quelque chose de tranchant (pas un roc tombant). Il fut prétendu que, durant les semaines qui suivirent, les gémissements et cris des enfants furent entendus sous terre en différents endroits de l'île, sans que personne ne parvienne à localiser l'origine de ces cris. Comme pour les catacombes sous Malte, il existe d'anciens récits stipulant  que de profondes cavernes sous l'île se prolongent sous terre  au-delà des rivages, et d'après une source, qu'une partie de ce labyrinthe s'étend sur des centaines de kilomètres au nord et possède des intersections avec les catacombes de Rome (la colline Vaticanus ?) ou que cela fut du moins le cas à une  certaine époque.

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28 mars 2016

Larimar, la pierre bleu de l'Atlantide

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Cette pierre très particulière connait une histoire qui l'est tout autant. En effet, Edgar Cayce (1877-1945) le médium Américain bien connu a révélé que l'on allait retrouver dans les Caraïbes certaines parties du continent d'Atlantide. Au début du siècle dernier les prophéties de Cayce annonçaient la redécouverte dans l'île d'"Hispaniola", d'une pierre bleue extraordinaire ayant des vertus curatives fabuleuses, et qui serait indispensable aux besoins énergétiques de l’Homme au moment où on la trouverait.

Les lectures de Cayce affirment l'existence de l'Atlantide, un vaste continent avec une technologie de pointe dont les réfugiés ont peuplé l'Égypte antique et les régions précolombiennes d'Amérique. D'après Cayce, la société atlante a été divisée en deux factions politiques d'une grande longévité : une "bonne" faction appelée les "fils de la loi d'Un", et une faction "mauvaise" appelée les « fils de Belial ». Toujours selon lui, beaucoup de personnes vivantes seraient les réincarnations d'âmes atlantéennes, qui doivent maintenant faire face aux mêmes tentations qu'avant.

Visions du passé ou fausses affirmations, chacun se fera son idée ! Mais pour revenir à notre Larimar, une chose est vraie et véritable : Edgar Cayce avait annoncé la découverte de cette pierre dans ses prophéties avec une grande précision. Et c'est bien là que surgit un ecueil ! car le Larimar a été découvert plus de 29 ans après son décès.

Surpris ?

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La véritable carte d'Hispaniola lors de sa découverte par les espagnols


Donc, il était une fois une île, appelée "Hispaniola" par les Espagnols, qui aurait fait partie du continent submergé d'Atlantide, et ou, selon Cayce, se trouvait une pierre bleue extraordinaire ! Un conte pour enfants ?

Et bien non ! Car chères toutes et chers tous, cette île d'Hispaniola existe belle et bien ! De nos jours, cette île, est divisée en deux pays : Haiti et La République Dominicaine. Et c'est justement en 1974, qu'une pectolite bleu volcanique, connue sous le nom de Larimar, a été trouvée en République dominicaine.

Le larimar, de son non savant le « pectolite bleu », appartient à la famille des quartz silicates dont la dureté est de 5 sur l’échelle de Mohs qui compte 10 graduations déterminant la dureté d’un minéral.  

 

La chaîne de Baoruco est un massif montagneux situé à l'ouest de la République dominicaine près de la frontière avec Haïti. Cette chaîne de montagnes dont l'altitude moyenne est de 600 mètres, s'étend dans les provinces de Barahona, Independencia et Pedernales.



Coincidence ?

Laissons de coté cette question pour entrer plus profondément dans l'histoire du Larimar. C'est donc dans cette année 1974, qu'au pied de la chaîne de Bahoruco, dans la province côtière de Barahona, une bande bleue dans le sable de la plage a retenu l’attention de deux hommes. Pourtant, ce n'était pas une découverte qu'ils faisaient là, mais plutôt une redecouverte. En effet, le larimar n'était pas inconnu des habitants de la région. Cette gemme bleutée, parfois confondue avec une turquoise translucide, avait déjà un passé, sur cette île, connu de quelques initiés. En effet, les premiers spécimens avaient été retrouvés dans le lit de la rivière du Bahoruco, et les indigènes, qui pensaient que cette pierre venait de la mer, l’avaient appelé la pierre bleue.

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La pierre bleu Larimar


Donc, et bien avant l'arrivée des deux hommes en 1974, c'est le 22 novembre 1916, que le père Miguel Domingo Fuertes de Loren de la paroisse de Barahona avait demandé la permission au ministère de la République Dominicaine d’explorer et d’exploiter une mine qu’il avait découvert. Mine qui contenait une certaine roche bleue ! Etant donné que personne ne connaissait ce dont le prêtre parlait, la demande a échoué et la découverte de la pierre a été retardée.

Et voila comment quelques dizaines d'années plus tard, Norman Rilling, un Peace Corps Américain, et Miguel Mendez, un médecin Dominicain ont localisé dans les montagnes, la mine d'où s'étaient échappés les quelques échantillons. Le Docteur Mendez eût le privilège de nommer la trouvaille ! Un savant mélande du prénom de sa fille "LARIssa", et du mot espagnol qui signifie mer : MAR. Ainsi, il composa le nom de cette pierre, semi précieuse, mais de nos jours rarissime : Larimar.

Cette gemme rare, se trouve dans un seul endroit au monde, une mine en République Dominicaine. C’est pourquoi le Larimar est considéré comme une pierre unique et très prisée. En effet, sur un plan géologique, la seule localité où le Larimar, ou Pectolite bleue, apparaît sur la croûte terrestre, est la province de Barahona, dans la région du sud-ouest de la République Dominicaine.

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La région de Barahona


Pour être encore plus exacte, le gisement se trouve dans le village de "Los Chupaderos" à environ 10 Km de la ville de Barahona, dans les montagnes. A ce titre, il faut préciser que les quelques et premières pierres trouvées sur la plage, étaient du sédiment alluvial, lavé dans la mer par le fleuve de Bahoruco. Une recherche ascendante a indiqué que la mine de Los Chupaderos constituait l’unique mine de Larimar connue dans le monde. A ce titre, le Larimar fut classé en 1979 comme pierre semi-précieuse.

Continuons notre voyage géologique. Le Larimar est une variété de pectolite, ou une roche composée en grande partie de pectolite, d’hydrate acide de silicate de calcium et de sodium : vous avez tout comrpis ? Moi non ! Reprenons depuis le début.

L’île de "Hispaniola" a commencé à se former suite à des éruptions volcaniques, il y a environ 100 millions d’années. Une nouvelle montagne s’est formée avec la chaîne de Bahoruco dans de sud-ouest de l’île, en commençant par sa partie orientale. La formation du Larimar est mise en évidence par des basaltes et des andésites. Les phénomènes volcaniques ont favorisé l’association d’éléments chimiques, et c'est là, que le miracle se produit !

Car c'est à ce moment que s’est formée une association très peu fréquente dans la nature : du silicium-oxygène qui se combine avec des éléments sodiques et calciques. Ainsi, se sont formées dans des proportions adéquates, mais au hasard, des concrétions compactes de petites masses. En géologie elles sont connues sous le nom de pectolite ou encore roche secondaire.

A cause de la haute température à laquelle est soumise la masse incandescente, la cristallisation d’une variété minéralogique connue sous le nom de Pectolite se produit. La cristallisation de cette pectolite s’est faite à l’intérieur de cheminées volcaniques où la matière incandescente a été poussée par le gaz. De ce fait, l’exploitation de pectolite dépend de la localisation de ces cheminées.

Toutefois, dans le cas de notre pierre du jour, bien que le pectolite se trouve dans beaucoup d’endroits, aucun n’a la coloration bleue volcanique unique du Larimar. Cette couleur bleue, distincte de celle d’autres pectolites est le résultat de la substitution de cobalt par du calcium. Donc, unique ! Il faut ajouter, pour une parfaite compréhension, que ce processus de formation du larimar, a eût lieu dans une région montagneuse bien loin de la montagne du Cibao (montagne des pierres), il y a de cela des millions d'années.

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En effet, il faut aussi tenir compte de la tectonique des plaques, ou plus simplement, la dérive des continents. Dernière petite précision a apporter à ce chapitre, malgré le fait que cette roche a été découverte il y a peu de temps à l'échelle géologique, force est de constater aujourd'hui, que l’extraction se fait de plus en plus profondément dans l’ancien volcan. Le Larimar devient donc une gemme très rare ! Il est également connu sous deux autres noms : la pierre du dauphin ou de l'Atlantide selon.

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Concerant ses propriétés, c'est une pierre féminine d'une extrême douceur qui apporte calme et équilibre. Elle permet une harmonisation parfaite du plan émotionnel. Douce et féminime elle agit en profondeur sur les hommes dominateurs tout en estompant certains penchants sexistes. D'un point de vue psychologiques le larimar agit sur un comportement d'auto-sabordage, les blocages des contraintes que l'on s'impose, car c'est une pierre qui permet de prendre le contrôle de sa vie.

Elle travaille sur la joie de vivre, l'harmonisation et lutte donc contre la colère et l'irritabilité. Elle chasse aussi les peurs et les sentiments de culpabilité. Dans le rapport à autrui elle développe la compassion. Elle permet la franchise et l'ouverture aux autres et au monde et aide à agrandir son espace spirituel et à le délimiter ainsi qu’à assimiler les impressions accumulées. Elle Elargit également la perception, stimule l’activité cérébrale et la sensibilité et aide en cas de douleurs dans la poitrine, mais est aussi conseillée pour la gorge et la tête.

très important pour ne pas tomber dans l'erreur en donant le pouvoir a la pierre et creer par cela de l'association qui est un péché énorme dont je ne veux aucunement etre associé ou vous le faire commettre il est recommandé pour accentuer la vibration positive et Pour accentuer les effets de la pierre choisie, la prendre en main au moins deux fois par jour et la remercier en formulant positivement son voeu.
  “Dieu Tout-Puissant présent dans mon coeur, bénis cette pierre et apporte-moi (citez ici le voeu correspondant à la pierre) durant toute cette journée. Je T'en remercie.amen" car rien ne soigne ou ne rend malade sans l'accord du seigneur ,evidemment pour les non croyants vous etes libre je fais juste mon devoir d'information ...........

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Sur le chakra de la gorge justement, elle sera efficace pour les problemes de cartilages et les cheveux. Elle aidera celui le thérapeute qui doit detecter les points d'acupuncture qui doivent etre activé chez un patient, principalement au niveau de ses pieds. Elle sera donc très utile en reflexologie.

Sur le chakra du plexus solaire, elle atténue la pugnacité. Un travail sur le 3eme oeil nous permettra de comprendre pourquoi on est incarné et permettra aussi de voir les chaines que l'on s'est soi meme imposées. Toujours apposée sur le même chakra, elle apportera serenité et amour dans son environnement.

Accompagnée d'un cristal de roche on pourra purger son enveloppe etherique des entités qui ont pu s'y accrocher. Elle stimule également les chakras superieurs depuis celui coeur à celui de la couronne.

D'une manière générale, le Larimar est utilisé pour faciliter la dissolution de blocages d'énergies qui sont à la base de certains problèmes mentaux ou physiques. Il est recommandé pour gérer le stress et la tension. la propriété la plus connue est de favoriser le flot d'énergie qui permet une ouverture d'esprit aux changements et aux progrès.

La puissance de son action est surtout révélée au 5è Chakra, ou centre d'énergie, situé près de la gorge. Ce centre regroupe le thymus, régulateur du système immunitaire, et la glande thyroïde (près de la trachée), organe important dans la croissance. On lui attribue une action bénéfique dans l'amélioration de l'expression verbale et des habiletés communicatives et en outre, il est a signaler un renforcement dans le processus des guérisons.


Les effets de la gemme curative peuvent être ressentis quand la pierre est portée en pendentif, ou en contact direct avec la peau. Dernier petit conseil si vous avez la chance d'en avoir une, je recommandé chez vous de placer la pierre près de vous ou de la personne concernée, dans une poche, sous un oreiller ou une table de nuit.


Le Larimar se purifie à l’eau. Passez le sous un filet d’eau froide. Pour le recharger préférez le soleil levant. A cet instant, c'est là que les énergies solaires sont les plus dynamisantes

http://www.cercle-de-samsara.com

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5 février 2015

Les archipels des Canaries et des Açores constitueraient les ultimes preuvent de l'existence des atlantes au rhesus negatif.

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Combien parmi les nombreux touristes qui séjournent aux Canaries s’intéressent aux Guanches? Il n’est pas aisé d’y obtenir des informations à moins de visiter quelques sites comme le « Museo de la Naturaleza y el Hombre » à Santa Cruz de Ténerife.

Le terme espagnol « Guanchos » serait, selon Nunez de la Pena, une déformation par les espagnols de « Guanchinet », terme local signifiant homme ( Guan ) de Tenerife ( Chinet ). Stricto sensu, les Guanches seraient donc uniquement les aborigènes de l'île de Ténerife. Le terme a ensuite été étendu à l'ensemble des populations indigènes de l'archipel. Tenerife est un toponyme d'origine amazigh. Dans cette langue berbère, Tin Irifi signifie « endroit de la soif », pour confirmer que l’eau est une denrée rare sur cette île.
<>Les Guanches seraient d'origine paléo-berbère. Les Berbères qui peuplèrent une grande partie de l'Afrique du Nord dès l'époque de l'ancienne Égypte, auraient, depuis les côtes sud du Maroc actuel, traversé cette partie de l'Atlantique, et ce, avant le début de l’ère chrétienne. Y avait-il d’autres peuples avant leur arrivée ? On ne le sait pas même si certains ont pu évoquer un peuplement préhistorique proche de l’homo sapiens dit de Cro Magnon. Dans l'hypothèse d'une migration berbère, deux époques sont possibles : celle de la culture mégalithique ( 5° au 3° millénaire ), et celle de l'époque des Phéniciens et des Carthaginois. (Ancien DNA analysis and the origin of the Guanches,Nicole Maca-Meyer& al, European Journal of Human Genetics (2004) 12, 155–162et Bernard Lugan, Histoire de l'Afrique des origines à nos jours. Ellipses Edition, 2009) Actuellement, les chercheurs espagnols pensant qu’il y a probablement eu plusieurs vagues plus ou moins rapprochées dans le temps.
En France la fréquence du Groupe Rhésus négatif se situe à 15% de la population). Entre les sources historiographiques et les recherches archéologiques (toujours en cours ), il est donc difficile de dire si les Guanches furent ou non les premiers habitants des îles Canaries.
Lorsque les Espagnols débarquèrent aux îles Canaries au début du XIVème siècle, ils durent s’imposer par la force aux Guanches, c’est-à-dire aux tribus qui résidaient dans ces îles et en particulier à Tenerife. Ils sont décrits par les conquistadors comme des individus blonds de grande taille. Il fallut plus d’un siècle aux Espagnols pour conquérir ce petit territoire qui comprend 8 iles habitées dont la superficie totale ne fait pas 8000 km², soit à peu près la superficie de la Corse.
Les premiers contacts des Guanches avec le monde chrétien furent donc très violents et les indigènes de ces îles quand ils étaient vaincus et capturés étaient le plus souvent réduits en esclavage. Actuellement les Guanches, exterminés, ont disparu.
Qui étaient les Guanches ? : small;">Les Guanches ont été identifiés successivement comme des aventuriers scandinaves égarés, des Celtes venus de la péninsule ibérique, des tribus cousines des Basques. Certains caractères culturels font évoquer une proximité avec les populations précolombiennes d’Amérique du Sud et Centrale. De nos jours, ils sont reconnus comme des descendants de tribus libyco-berbères venues du Maroc dont les côtes sud ne sont distantes que d’une centaine de km. En amazigh ils sont nommés Igwanciyen. En effet le lien de parenté entre Guanches et Berbères est attesté par les similitudes de leurs toponymes, leurs pratiques culturelles, leurs rites mortuaires et les gravures rupestres. De même, les yeux bleus et la chevelure blonde ne sont pas rares chez les Berbères, en particulier chez ceux d’entre eux qui ne se sont pas métissés aux Arabes après la conquête musulmane de l’Afrique du Nord. Enfin des études génétiques menées sur des momies guanches au début des années 2000 permettent d’affirmer une parenté étroite avec les Berbères .Un examen de sang et de restes de viscères prélevés sur les momies Guanches a permis de mettre en valeur une caractéristique sanguine extrêmement rare : la prédominance du groupe O Rhésus négatif, inconnue parmi les populations européennes vivantes. Cette proportion se rapproche de celles remarquée chez les tribus Berbères du Haut-Atlas ( 80%, contre 84% à Tenerife et 95% sur Gran Canaria ). En France la fréquence du Groupe Rhésus négatif se situe à 15% de la population. L’haplo-groupe le plus courant chez eux est le R1B ce qui indique une forte influence basque et aussi un héritage berbère car la même prédominance du rhésus négatif a été remarquée chez les Basques, peuple à l'origine toujours discutée chez les Basques la proportion de Rhésus négatif est toujours inférieure à 30% sauf chez les Basques émigrés en Amérique où elle atteint 35%.
On estime qu’avant la conquête espagnole du XVème siècle, les Guanches étaient au nombre de 30 000 à la Grande Canarie et à Tenerife, plus de 4000 à La Palma, plus d’un millier sur El Hierro et quelques centaines à Lanzarote et à Fuerteventura. Comme les Maures, population originaire de Maurétanie c’est-à-dire de l’actuel Maroc et des trois-quarts ouest de l’Algérie, ils élevaient de grands chiens, d’où le nom de l’Archipel des Canaries qui dérive de canis ( chien en latin ) et vivaient pour la plupart dans des grottes. Pline l’Ancien signale dans son Histoire Naturelle que le roi Maure Juba II a envoyé au début de l’ère chrétienne une expédition vers ces îles à la rencontre des tribus émigrées. C’est ainsi qu’il nomma une ile Pluviala ( du latin pluvia, la pluie ) qui serait Gomera ou El Hierro, alors que Nivaria ( de niva la neige ) est certainement tenerife quiaurait interpellé les explorateurs grâce à l’enneigement hivernal du Teide, volcan qui culmine à 3718 m.
small;">Les Guanches formaient une société tribale avec à la tête de chaque tribu un chef ou un roi jouissant d’un pouvoir quasi absolu. Ils vivaient comme les Berbères des Matmatas de Tunisie ou les Chaouias des Aurès en Algérie le plus souvent dans des grottes naturelles mais certains résidaient dans de modestes habitations en pierre : les grottes et les cavernes les plus petites étaient utilisées comme greniers à céréales ou comme lieux de culte.
La société guanche était de type patriarcal, mais les femmes bénéficiaient d’une réelle considération. Ainsi on sait que sur l’île de la Grande Canarie, les droits de succession étaient transmis par la mère et non par le père. Mais lorsque les temps étaient durs, ils l’étaient encore plus pour les femmes. En période de disette, l’infanticide était une pratique habituelle dans tout l’archipel, avec les filles pour victimes exclusives.
Comme dans toute l'Europe néolithique, les Guanches vouaient une importance particulière à l’élément féminin en tant que symboles de fertilité et de fécondité que personnifiait la femme. Celle-ci jouissait donc d’une place privilégiée au sein d’une communauté fortement hiérarchisée. >Les Guanches vivaient de l’agriculture, l’élevage, la chasse et la cueillette. Ils se nourrissaient essentiellement de protéines (chèvres et poissons ) et de gofio ( à base d’orge moulue et grillée ), plats toujours consommés de nos jours, même si la population guanche a complètement disparu.
La peau de chèvre était l’élément prépondérant dans l’habillement, les bijoux étaient des parures en terre cuite avec perles et coquillages. Les outils et les armes étaient fabriqués à partir du bois, de la pierre et des os.
Les Guanches avaient un dieu baptisé Alcorac à la Grande Canarie, Abora à La Palma et Achaman à Tenerife. Ces divinités étaient étroitement associées au Soleil qui s’appelait Magec. Les habitants de Tenerife pensaient que l’Enfer( Hadès ) se trouvait dans le cratère du volcan Teide et qu’il était sous les ordres d’un démon nommé Guayota. C’étaient donc des païens.
L’archipel des Canaries était connu au temps de l’Empire romain et des guerres puniques sous le nom d’Insulae Fortunatae ou Iles des bienheureux. L’histoire a retenu que c’est un capitaine génois du nom de Lanzerotto Malocello ( Lancelot Maloisel ) qui est arrivé par hasard au début du XIVème siècle sur une île à laquelle il a donné son nom : Lanzarote. A l’arrivée des envahisseurs au XVème siècle, l’ensemble du territoire comprenait au moins 25 suzerainetés, le record étant détenu par La Palma qui comprenait 12 territoires autonomes. Ces clans étaient enclins à se quereller.
Le 1er mai 1402, un seigneur normand, Jean de Béthencourt, arrive à Lanzarote avec quelques hommes et des religieux dans l’intention d’évangéliser ces peuples païens. Ils ne rencontrent aucune résistance des indigènes qu’ils nommèrent Guanches et qui étaient alors gouvernés par le roi Guardafia ( mencey ) et bâtissent un fort sur Fuerteventura. Ces hommes se croyaient seuls au monde et étaient persuadés être les derniers survivants d’une terrible catastrophe qui avait anéanti le reste du monde. L’île était divisée en 2 royaumes tribaux – Jandia au sud et Maxorata au Nord - séparés par un muret long de 6 km. Les Guanches résistèrent plus ou moins aux assauts des Européens, mais ils furent rapidement soumis, exploités, évangélisés pour être finalement vendus comme esclaves. Les révoltes furent réprimées dans le sang. La Palma et surtout Tenerife résistèrent longuement. En mai 1493, 1000 soldats et 150 cavaliers débarquèrent sur l’île de Tenerife. Les envahisseurs furent repoussés lors de la première bataille d’Acentejo par les Guanches qui furent avantagés par leur meilleure connaissance du relief montagneux. Mais le 25 décembre 1494, 5000 Guanches emmenés par leur roi Bencomosont furent écrasés par les Espagnols à La Victoria. Tenerife est la dernière île à être soumise. La culture originale des Guanches est presque totalement anéantie.
Une culture originale

: small;">Les Guanches embaumaient leurs morts qu’ils inhumaient, pratique inhabituelle pour des sociétés néolithique. C’est ce qui fait dire aux archéologues que l’existence des Guanches remonterait à au moins 3000 ans avant notre ère. Sur l’île de Hierro, on a découvert des grottes sépulcrales où ils déposaient les cadavres embaumés près d’autels pyramidaux ou tronconiques. Un millier de momies ont été retrouvées dans des niches aménagées dans la grotte du Barranco de Herque sur l’île de Tenerife. Cette pratique rappelle celle pratiquée au Pérou par les populations précolombiennes.
Les Guanches éviscéraient les cadavres à l’aide de couteaux d’obsidienne ( roche volcanique ) avant de les bourrer d’herbes aromatiques. Ils étaient ensuite séchés au soleil puis enveloppés dans des peaux de chèvres finement cousues à l’aide de boyaux effilés. Pour momifier leurs morts, ils utilisaient la sève du dragonnier qui est une résine rouge qui évoque la couleur du sang. Les momies portent souvent une abondante chevelure rouge et sont ensevelies en décubitus latéral gauche, les mains jointes sur la poitrine, tout comme les momies péruviennes. Elles sont parfois découvertes dans des cavernes, face à la paroi rocheuse, accroupies ou assises, tout comme les momies mexicaines ou les premières momies égyptiennes. Les Guanches inhumaient des chiens avec leurs maîtres, ainsi que des poteries et autres éléments nécessaires à la vie de l’au-delà.
La découverte de pyramides à plusieurs étages à Tenerife au style évoquant celui des pyramides méso-américaines continuent d’interroger les scientifiques. Le site de Güimar compte plusieurs pyramides à étages avec une orientation nord-sud sur l’axe du solstice d’été. La perfection de la taille des diverses pierres d’angle et des structures pyramidales leur confère un caractère cérémoniel, voir astronomique peut-être en relation avec le culte solaire. L’Institut d’Astrophysique des Canaries a remarqué que le sommet de ces structures était un lieu propice à l’observation du ciel. Entre les pyramides beaucoup voient des espaces délimités qui ont pu avoir pour fonction de permettre la célébration d’un culte ou d’expériences sur les cultures. En effet, l’observation des mouvements de la lune et du soleil a pu permettre d’identifier des cycles agricoles comme semble l’étayer leur localisation près des points d’eau et l’abondance de représentations astrales ou cosmologiques rupestres.
Cette population Guanche n’a pas livré tous ses secrets, c’est pourquoi elle interpelle les ethnologues.
 http://euro-synergies.hautetfort.com/archeologie/
Roger Vetillard
Ex: http://metamag.fr

LES GUANCHES
Une civilisation aux Canaries et aux Açores

Les archipels des Canaries et des Açores constitueraient les ultimes vestiges d'un continent englouti.

Les archipels des Canaries et des Açores constitueraient les ultimes vestiges du continent englouti. Qu'on soit d'accord ou pas avec cette hypothèse, il faut reconnaître que l'origine des premiers Canariens pose un réel problème ethnologique. Quand les navigateurs français débarquèrent en 1406 pour la première fois aux îles Canaries, ils se trouvèrent en présence d'indigènes au teint clair et de taille haute, qui se désignaient eux-mêmes sous le terme de Guanches, mot qui veut dire " homme ".

Lorsqu'il fut possible de comprendre leur langue, les Français furent étonnés de voir que les Guanches se croyaient seuls au monde, persuadés d'être les derniers survivants d'une terrible catastrophe qui, plusieurs millénaires auparavant, avait anéanti l'humanité toute entière. Pendant près de 60 ans, les Français vécurent en harmonie avec les populations locales.

>Au début, cependant, le peuple guanche s'opposa à cette incursion étrangère. Avant que Jean de Bethencourt chambellan de Charles VI, puisse étendre son hégémonie sur les Canaries, ses troupes eurent à faire face à la résistance désespérée des Guanches qui préféraient la mort à la servitude.

Dans ces combats, les Français reconnurent le courage et la bonne foi de ces indigènes. Jean de Béthencourt racontera d'ailleurs lui-même que ses soldats s'étant emparés d'un groupe de femmes réfugiées dans une grotte de Fuerteventura, ils virent l'une d'elles étrangler son enfant pour qu'il ne tombât pas entre les mains des envahisseurs.

La conquête de l'archipel des Canaries par les Espagnols, en 1478, acheva de réduire ce peuple à l'impuissance. Dans ce même temps, une épouvantable épidémie, appelée par les Espagnols " modorra ", décima les Guanches qui n'avaient pas accepté la défaite. Dès lors, les survivants se virent offrir le baptême et leurs noms désormais hispanisés se confondirent bientôt avec ceux des conquérants.

Les ethnologues anciens et modernes qui ont étudié la nature de cette race guanche ont distingué deux types bien distincts. L'un, le plus répandu, de taille haute supérieure à 1,80 m, imberbe, aux yeux et à la peau clairs, et au front de penseur. L'autre, de taille plus réduite, avec une peau sensiblement plus brune, des yeux de jais et un profil convexe qui révélerait un origine sémite. Il y a encore, mais de façon très localisée, à Gomera, des individus de courte taille et à tête large. Les Français d'abord, puis les Espagnols, furent très étonnés d'observer ce peuple guanche aux mœurs si archaïques, mais héritiers d'une civilisation évoluée et originale. Tout en ignorant l'usage des métaux et des tissus et n'utilisant que des outils en pierre, ils connaissaient en revanche l'écriture, l'astronomie et appréciaient la poésie. Leur législation, encore, était très élaborée et leur religion avait des rites compliqués. L'alphabet des Guanches, fort heureusement recueilli par les premiers missionnaires envoyés aux Canaries, ressemble aux alphabets des langues sémitiques (Phénicien, Carthaginois, Hébreu). Mais on a découvert à plusieurs reprises dans les îles de l'archipel, des inscriptions en caractères inconnus. Lors d'un voyage effectué sur place, Robert Charroux a pu photographier une des ces inscriptions alphabétiformes à La Caleta (île Hierro).

Les linguistes ont pu établir certaines connexions entre le Guanche et les dialectes parlés par les Touaregs et par les Berbères, et plus spécialement par les Senhadja qui habitent le Hoggar. Des traces d'influence arabe semblent certaines. Il ne fait aucun doute, pour le moins, que le monde antique connut l'existence des Guanches. Ainsi, le roi de Mauritanie, Juba II, qui vivait au Ier siècle de notre ère, nous parle des îles habitées par cette ethnie. II vante leur nombreuse population et leur prospérité. L'île actuelle de Ténériffe, aux riches plantations de palmiers dattiers, était appelée jadis " Junonia ". Plus loin encore dans les siècles, Platon lui-même décrit les Guanches comme de grands hommes blonds, mais il leur prête aussi une maîtrise incomparable dans l'art de traiter les métaux et d'édifier les cités. Ce qui est incontestablement à l'opposé des possibilités guanches du XVème siècle, qui n'utilisaient plus qu'un outillage d'os, de pierre ou de bois, et aménageaient des grottes pour y habiter. En rapport encore avec d'anciennes relations entre les Guanches et des peuplades du Sahara, le colonel Braghine cite une trouvaille près de San Miguel, dans l'île de Ténériffe, d'une soixantaine de momies, environnées d'un grand nombre de poteries et de peaux de lion. Or, souligne cet auteur, " ce qui a plongé les savants dans une grande perplexité, c'est que le lion n'a jamais existé sur ces îles ! "( L'énigme de l'Atlantide, 1952).

Le rapprochement linguistique du guanche et de l'arabe constituerait pour plusieurs auteurs une preuve de l'origine atlante de la population des Canaries. Les Touaregs avec qui ils auraient été en rapport, ancêtres eux-mêmes des Garamantes, seraient les descendants de ce " peuple de la mer " refoulé de la Vallée du Nil par les soldats du Pharaon Ramsès Il au XIIIe siècle avant notre ère.

Récemment enfin, des anthropologues ont fait observer une prédominance du groupe sanguin O parmi les Canariens de souche. Or, avec eux se signalent les Basques et les Corses. Si il est à peine besoin de souligner combien le " mystère " basque n'a toujours pas été élucidé, on se souviendra que les Corses furent entraînés dans l'immense déferlement des envahisseurs venus du Nord. Comme dans l’Europe néolithique, les Guanches vouaient une importance particulière à l’élément féminin, en tant que symboles de fertilité et de fécondité que personnifiait la femme. Celle-ci jouissait donc d’une place privilégiée au sein de cette communauté fortement hiérarchisée, dont témoignent les rituels de momification et la richesse des matériaux ( peaux essentiellement ) dans les sépultures. On a également observé divers cas de trépanation, sans doute à des fins thérapeutiques ou chamaniques. Enfin, s’il nous reste peu d’éléments sur leur culte des morts, on connaît néanmoins quelques pratiques qu’avaient les menceys nouvellement élus sur le corps de leurs prédécesseurs. La religion monothéiste des Guanches semble avoir associé leurs momies à des motifs peints, et gravés tant sur le mobilier funéraire que sur les parois des cavernes où les rites étaient pratiqués. En effet, les Canariens y déposaient leurs morts, le plus souvent en décubitus dorsal. Les sépultures collectives étaient courantes et aménagées de murets pour compartimenter les corps en diverses niches. Nobles et notables bénéficiaient, quant à eux, de tumuli ou de grottes artificielles selon le cas, très fréquents sur l’autre île de Gran Canaria. Les tumuli sont inexistants sur Ténériffe, et les grottes artificielles de Gran Canaria étaient généralement regroupées en nécropoles. La momification semble avoir été réservée aux seuls nobles et notables ( menceys ), quoique la variété des procédés donne à penser que le reste de la population ait pu aussi en bénéficier. La technique consistait en une éviscération préalable pratiquée pour les seuls menceys, mais le cerveau n’était jamais extrait comme en Egypte ancienne. Le corps était ensuite recousu et exposé au soleil pour dessèchement, avant d’être ceint de bandelettes végétales et enveloppé d’un linceul en peaux travaillées.

momie


Les momies exhumées depuis les grottes ont été retrouvées souvent enveloppées de jonc, avec leurs viscères placées dans des récipients déposés près du corps, ce qui rappelle là la pratique des vases canopes en Egypte.
http://secretebase.free.fr/civilisations/autrespeuples/guanches/guanches.htm
29 janvier 2015

Atlantide : THOTH, l’Atlante, maître des mystères, gardien de la Mémoire ancestrale

ataltide thot djinn

"Je suis THOTH, l’Atlante, maître des mystères, gardien de la Mémoire ancestrale, Roi, Sage et Mage. Je suis celui qui survit d’une génération à l’autre et qui s’apprête à entrer dans la Chambre de l’Amenti pour guider ceux qui me suivront dans les souvenirs de la grande Atlantide."

Ainsi commence l’un des textes hermétiques les plus mystérieux qui soient...

Véritable traité d’alchimie spirituelle, les révélations que contiennent ces énigmatiques Tablettes, ne seront jamais accessibles par une lecture désinvolte, frivole ou superficielle.

Pour le profane inculte et paresseux, elles seront sans intérêt, ce qui n’est que la meilleure façon d’en préserver les secrets ainsi que les pouvoirs de Haute Magie, qu’elles confèrent à ceux qui font l’effort de soulever les voiles des préjugés, des certitudes raisonneuses stériles et des convictions reposant sur des postulats non éprouvés.

De nombreuses lectures sont nécessaires pour parvenir à l’essence de l’enseignement subtil que contiennent ces extraordinaires Tablettes d’Emeraude. Thoth, le dieu de la connaissance, de l’écriture et de la sagesse, en serait l’auteur, comme il serait l’auteur du corpus hermeticum sous la signature d’Hermès Trismégiste, ou encore du fameux livre d’Enoch.

"Dans une très lointaine époque avant l'Atlantide, il y avait des hommes qui exploraient les ténèbres et qui utilisèrent la magie noire pour invoquer des êtres qui habitent dans les grandes profondeurs que nous avons en dessous.
À cause de ces invocations, ces êtres parvinrent à la surface et arrivèrent dans cette époque. Auparavant ils étaient des entités sans forme qui vibraient à un niveau invisible pour les hommes.

C'est grâce au sang des hommes et à travers eux qu'ils purent arriver dans notre monde.
C’est alors que vinrent des maîtres habiles qui réussirent à les refouler dans leur royaume obscur. Mais certaines de ces entités réussirent à se cacher dans des espaces et des dimensions inconnus des hommes.
Elles vécurent à l'époque de l'Atlantide sous la forme d'ombres qui de temps en temps apparaissaient aux hommes.
Elles purent s'installer parmi les hommes à cause de sacrifices humains où le sang était répandu
Elles purent prendre la forme des hommes mais seulement en apparence. Lorsque leur déguisement était enlevé elles avaient des têtes de serpent.

Elles réussirent à s'infiltrer dans les lieux de rassemblement des hommes en prenant leur forme. Par la suite elles réussirent à exterminer les chefs des royaumes, à prendre leur forme et à dominer le peuple.
A partir du royaume des ombres elles voulaient détruire les hommes et prendre leur place.
Leur stratagème était très habile, seule la magie pouvait les démasquer. Certaines invocations sonores permettaient de voir leur vrai visage. Mais heureusement il y avait de grands Mages capables de neutraliser le voile qui masquait leur face de serpent et de les refouler dans leur domaine.

Ces maîtres enseignèrent à l'homme les mots et les incantations que seuls les hommes pouvaient prononcer. C'est ainsi qu'ils purent démasquer les serpents et les éloigner des hommes.
Mais soyez vigilants, les serpents sont toujours vivants, à certaines époques une porte peut s'ouvrir dans la dimension où ils habitent
. Invisibles, ils peuvent se déplacer dans certains lieux où des rituels ont été accomplis et si les temps sont propices ils pourront prendre la forme de l'homme. Ils peuvent être invoqués par le maître qui connaît le blanc et le noir, mais seul le maître blanc peut les contrôler et les déjouer lorsqu'ils habitent un corps. C'est pourquoi je te conjure d’éviter le royaume des ombres, sinon le mal va sûrement apparaître."

Merci a claude Lemoal  pour ce texte

https://sites.google.com/site/grandoeuvre/tablettes-de-thoth

les atlantes n'etaient pas des humains on leur donna de nombreux noms pour que vous ne fassiez jamais le rapprochement sur leur véritable nature,  des génies ou  djinn qui  se téléportent instantanément dans n'importe quel endroit de l'univers leur technologie a été transmise aux hommes par leur chef qui est satan  ,lorsque l'atlantide fut détruite ils furent chassés sur les iles et dans des places déserts car ils semèrent la corruption sur terre d'ailleur le trône de satan se trouve toujours sur mer ou ils lancent ses armées atlantes à l'assaut des citadelles et cela depuis des milliers d'années .le but de toute cette histoire serait de vous révéler leur existence et leur origine mais ils n'en est rien on préfère vous raconter des contes de fée qui sont romancés pour que vous vous  contentiez d'imaginer des etres de lumière au lieu de leur ténébreuse histoire qui perdure aujourd'hui ,nous sommes en guerres contre ces civilisations souhaitant nous reprendre la terre en y semant la mort et la corruption ainsi nous comprenons mieux la situation du monde actuel et de l'alliance secrète qui unie les elites avec leur père , .......... « Il y avait des génies (Djinns) sur terre avant les enfants d’Adam. Ils ont corrompu et verser le sang. Dieu leur a envoyé une tribu d’anges pour les tuer. Les survivants d’entre eux se sont réfugiés dans des îles et des sommets de montagne et Dieu fit d’Adam et de ses enfants les suppléants ». il 'y avait avant les hommes une première création dans le meilleur d'entre eux fut satan élevé aux rang des anges lui le génie le plus savant et le plus pieux jadis avant que les hommes ne naissent il était le génie préféré de Dieu avant sa rebellion il etait pas un ange et il n'y a pas d'anges déchus parce qu'ils n'ont pas de libre arbitre comme les hommes ou les génies donc ils ne se conduisent que parfaitement ,etant eternel ne se reproduise pas etant sans appareil génital  nécessaire a la reproduction des mortels je rectifie ainsi les mensonges véhiculaient dans des livres qui blasphèmes et inculquent de faux concepts aux hommes rjames

13 février 2014

Doc sur les pyramides de Lambayèque de la civilisation Sican

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A l’ombre de la cordillère des Andes, en Amérique du Sud, la vallée de Lambayèque a été le théâtre de la naissance et du déclin d’un peuple baptisé Lambayèque (également connu sous le nom de Sicàn). Cette civilisation pré-inca est beaucoup moins connue que celle des Mayas ou des Incas.
Les Lambayèques étaient obsédés par la construction des pyramides. Aujourd’hui, seuls quelques vestiges témoignent du nombre impressionnant de monuments qu’abritait cette vallée.
Pourquoi cette civilisation était-elle obsédée par la construction de ces pyramides ? Pourquoi ont-ils abandonné les trois sites ? Pourquoi il y a-t-il tant de squelettes ensevelis à côté des temples ?
Et enfin, que s’est-il passé de si tragique pour qu’une telle civilisation s’effondre en si peu de temps ?
C’est à toutes ces questions que l’équipe internationale d’archéologues a pu répondre ces dernières années.
Archéologues, climatologues et experts en médecine légale ont uni leurs efforts pour résoudre les mystères du peuple Lambayèque.

Une véritable obsession pour les pyramides

De nombreuses civilisations, à travers le monde, ont construit des pyramides mais aucune n’était à ce point obsédée par ce type de constructions.
On a dénombré environ 250 monuments dans la vallée. Erodées au fil du temps, ces pyramides ont fini par se fondre dans le paysage sous forme de collines. Dans la vallée de Lambayèque, trois grands sites se détachent :

  • Lampa Grande avec une immense pyramide de plus de 50 m de haut sur 200 m de large
  • Batan Grande avec une bonne douzaine de pyramides
  • Túcume avec ses 26 pyramides

Túcume est le plus grand complexe archéologique du peuple Lambayèque.

Grands bâtisseurs, ce peuple ne connaissait pas l’écriture. Leur nom leur a été donné par les archéologues en référence à la vallée.
Les Lambayèques ont prospéré dans cette région à partir de 700 de notre ère.

Au moins 12 autres civilisations ont construit des pyramides mais aucune ne ressemble à celles de cet étrange peuple.

Les datations au carbone 14 montrent que la première pyramide de Túcume a été construite autour de 1100 de notre ère.
Pendant 400 ans, ce peuple en a construit d’autres et ajouter des extensions à celles existantes.

Pourquoi les Lambayèques ont-ils construit autant de pyramides et à quoi servaient tous ces monuments ?

La fonction des pyramides Lambayèques

Quand on pense aux pyramides, le premier exemple qui vient à l’esprit est celui des pyramides d’Egypte.
Ces tombeaux pointus étaient destinés à accueillir les souverains après leur mort.
Les pyramides aztèques ou mayas pouvaient éventuellement abriter un tombeau mais leur principale fonction était d’être le siège de rituels bien précis.

Les pyramides construites par les Lambayèques sont totalement différentes. A Túcume, les 26 monuments sont de tailles différentes et construites en cercle autour d’une montagne, le Cerro la Raya.

Le site couvre plus de 1 500 km². Une construction se détache des autres : une gigantesque plate-forme rectangulaire, la Huaca Larga.
C’est la plus grande pyramide du monde avec ses 700 m de long sur plus de 20 m de haut. La terrasse est aussi grande que 7 terrains de football.

L’intérieur des pyramides est dépourvu de salles. Aplanie au sommet, une rampe permettait d’y accéder. Des couloirs et des espaces ouverts s’enchevêtrent en haut du monument.

Des milliers de personnes ont travaillé jour après jour à l’édification de ces gigantesques pyramides. Les briques étaient confectionnées à partir de boue séchée puis cuites au soleil.

C’est le sommet des pyramides qui a permis aux chercheurs d’en comprendre la fonction. Contrairement aux Egyptiens, il ne s’agissait nullement de tombeaux.
En fait, le sommet était habité par un seigneur. On a mis au jour de nombreux vestiges dont des salles richement décorées, des fours ou des restes alimentaires.
Les pyramides étaient donc des lieux de résidence permanentes aux seigneurs qui gouvernaient la région.

Le devant des pyramides, constitué d’un immense espace à ciel ouvert, était réservé aux grandes cérémonies publiques.

Mais, à Túcume, il y a 26 pyramides ce qui signifie que 26 seigneurs étaient rassemblés au même endroit.
Pourquoi un tel rassemblement ? Et pourquoi construire de tels monuments simplement pour héberger un seigneur ?

Pyramides et montagnes sacrées

Dans l’ancien Pérou, les montagnes sont sensées abriter des pouvoirs religieux et magiques.
Les dieux, vraiment puissants, vivent dans les montagnes. Quand ils étaient en colère, ils terrorisaient la population.
Un dieu avait le pouvoir de vie ou de mort. C’est lui qui donnait la vie grâce à l’eau qu’il faisait descendre des Andes. Sans cette eau, la vallée n’aurait été qu’un immense désert.

Ce n’est pas un hasard si les 26 pyramides de Túcume sont construites autour d’une montagne. D’après les scientifiques, quand les Lambayèques construisaient une pyramide, ils construisaient en fait une réplique de la montagne, dotée des mêmes pouvoirs surnaturels et capable de contrôler les forces de la nature.

C’est pourquoi les Lambayèques se sont tués à la tâche pour construire des monuments qu’ils croyaient investis des pouvoirs magiques des montagnes.

Et tout comme les dieux vivaient au sommet des montagnes, les seigneurs vivaient au sommet des pyramides pour protéger le peuple.

Mais qu’est ce qui les effrayait tant dans cette vallée ? Et pourquoi avaient-ils besoin d’autant de pyramides pour se protéger ?

De mystérieux abandons

Les datations au carbone 14 révèlent quelque chose de surprenant. Les trois principaux sites n’ont jamais été habités en même temps.
Chaque ville a été bâtie après que la précédente a été abandonnée :

  • Pampa Grande (600-750 de notre ère)
  • Batan Grande (750-1100 de notre ère)
  • Túcume (1100-1500 de notre ère)

L’abandon de Túcume sonna le glas du peuple Lambayèque.

Il existe cependant un lien commun dans ces trois villes. Un incendie a ravagé le sommet des monuments juste avant l’abandon de la ville.
Ces monuments en portent encore la trace. En effet, la couleur rouge des murs est due à un feu très intense.
On n’a retrouvé aucune trace d’invasion, ni de combats. Ce sont donc les habitants eux-mêmes qui ont mis le feu aux pyramides, détruisant ce qu’ils avaient mis des centaines d’années à construire.

Pour comprendre un tel comportement, il faut savoir que dans les croyances d’Amérique du Sud, le feu était utilisé pour purifier les endroits maudits.

Cette vallée était-elle maudite ? D’une certaine manière, on peut répondre « oui » car les catastrophes naturelles s’y sont succédées.
Les strates archéologiques de Batan Grande révèlent que la ville a été frappée de plein fouet par un mur d’eau.
Le site proche de Moche a été enseveli par une gigantesque et fulgurante tempête de sable.

On sait aujourd’hui que ces catastrophes climatiques sont provoquées par le phénomène appelé El Nino.
Cette région en est d’ailleurs toujours la cible.

Mais, pour les gens, ces catastrophes ne pouvaient être que l’expression de la colère des dieux.
Donc, si ces phénomènes se produisaient, c’est que les seigneurs et les pyramides n’avaient pas su les protéger.

A chaque nouvelle catastrophe qui provoquait de nombreux morts, des famines et des épidémies, la population quittait la ville pour trouver protection ailleurs.
Devenue maudite, la pyramide était incendiée.

C’est ce qui explique qu’autant de pyramides émaillent la vallée.

Cependant, à Túcume, les choses sont bien différentes.

Les sacrifices rituels de Túcume

A Túcume, il n’existe aucune trace de catastrophe naturelle. C’est durant l’été 2005 que les archéologues ont découvert pourquoi cette cité a été abandonnée et surtout pourquoi ce peuple a brutalement disparu.

Tout a commencé par la découverte des vestiges d’un passage à deux voies bordé de murs qui menait autrefois à la ville.
Cette ruelle en forme de labyrinthe tournait plusieurs fois autour de la cité pour déboucher devant un endroit précis : un temple de taille modeste, le temple de la Piedra Sagrada.
La population de Túcume y faisait ses offrandes pour les dieux.

Mais, dans les dernières semaines, ce temple est devenu le théâtre d’offrandes beaucoup plus sinistres.

Ce sont les nombreux corps découverts à l’extérieur du temple qui ont fourni les réponses. 119 corps ont été découverts, ensevelis sur cinq niveaux.
La plupart de ces gens ont été décapités. Parmi eux, il y avait quelques femmes et des enfants.
Le dernier niveau correspond aux derniers jours avant l’abandon de la ville. Les corps sont beaucoup plus nombreux à ce dernier niveau ce qui montre que les sacrifices se sont multipliés.

Grâce au travail des archéologues et aux récits d’anciens chroniqueurs espagnols, on sait comment les rituels se déroulaient.

L’élite des seigneurs Lambayèque et le gouverneur inca se rassemblaient autour du temple. Le grand prêtre soufflait des poudres colorées sur la pierre sacrée, symbolisant le dieu de la montagne.
En se parant d’un masque, il montrait qu’il endossait le rôle d’un dieu.

Les victimes étaient droguées. La drogue administrée paralysait le corps mais laissait la victime consciente.
Elle savait qu’elle allait mourir mais était incapable d’opposer la moindre résistance. Elle s’agenouillait et le prêtre se tenait derrière elle.
Une fois la gorge tranchée et la tête coupée, le prêtre retirait le cœur pour l’offrir aux dieux.

Un couteau sacrificiel, le tumi, a été découvert sur le site.

On sait que les peuples amérindiens pratiquaient le sacrifice humain mais pourquoi les Lambayèques ont-ils autant intensifié ces sacrifices ?

Du sang pour les dieux

L’effarante histoire des Lambayèques trouve sa source dans l’arrivée des conquistadors en 1532. Ils ont débarqué au Pérou, très loin de la vallée.
.
Vénérés à leur arrivée car assimilés à des dieux, ils ont très vite été craints, d’autant plus qu’ils arrivaient sur des chevaux, un animal inconnu en Amérique du Sud.

Les éléments retrouvés sur le site montrent que lorsque les Espagnols sont arrivés au Pérou, les Incas avaient déjà pris le contrôle de la vallée. Or, les Lambayèques partageaient avec les Incas une même croyance, à savoir que les envahisseurs étaient le signe de la colère des dieux. Il fallait donc les apaiser.

Un an après l’arrivée des envahisseurs, Les Lambayèques ont appris qu’ils avaient tué leur chef suprême, le demi-dieu incas.
Cette mort déclencha une vague de panique. Les habitants de la vallée devaient offrir aux dieux ce qu’ils avaient de plus précieux : des êtres humains.

Il fallait nourrir les dieux avec du sang humain pour les apaiser et repousser l’invasion.

Mais, les sacrifices n’ont pas stoppé les Espagnols. Plus la peur grandissait, plus cette peur devenait incontrôlable.
Vers la fin, les corps s’empilaient devant le temple.

Pour ce peuple, les pyramides avaient perdu leur pouvoir surnaturel. Elles n’avaient pu les protéger.
Ils y mirent donc le feu pour purifier la ville.


Le peuple Lambayèque (1 de 3) par rochelion
Le peuple Lambayèque (2 de 3) par rochelion
Le peuple Lambayèque (3 de 3) par rochelion

6 février 2014

les iles canaries étaient peuplées de géants blonds (l'un d'entre eux mesurait 2m 70), ils s'appelaient les guanches

 

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En 1402, les
conquérants des îles Canaries furent surpris d'y découvrir
des hommes à la peau blanche, à cheveux blonds ou roux et aux yeux
bleus. Le livre de Jacques Charpentier sur le "Mystère Basque"
paru en 1975 consacre un chapitre au peuple Guanches. L'auteur y signale que:
"les Pères Bontier et Le Verrier, de l'expédition Béthencourt,
les considéraient comme les gens les plus beaux et les plus gaillards
(grands) qu'ils aient jamais vus, tant les hommes que les femmes."
D'où venaient les Guanches ? Pourquoi construisaient-ils des
pyramides ? Lors d'un voyage effectué chez Mgr Eduardo Molowny Martinez (Evêque de l'Eglise Gallicane aux Canaries), sur l'île de Ténérife,
en 1994, nous avions pu contempler ces étranges constructions qui  tenaient plus du style de l'Amérique centrale que de l'Egypte.

Les chapelains de l'expédition Béthencourt "assurent que se trouvait à Fuerteventura un homme d'une taille gigantesque qui se
trouvait en défense d'un village que les hommes de l'expédition attaquaient. Sa taille aurait été de neuf pieds, ce qui donne
approximativement 2,70 mètres.
"
Le livre de Jacques Charpentier signale aussi que les Guanches pratiquaient la momification de leurs défunts, "si bien que, sur ces momies, il a été possible de recueillir des restes de viscères, voire de tissus conjonctifs."
L'analyse des viscères de 370 individus a démontré une proportion extraordinairement élevée de sang O negatif .

Les archipels des Canaries et des Açores constitueraient les ultimes vestiges d'un continent englouti.Les archipels des Canaries et des Açores constitueraient les ultimes vestiges du continent englouti. Qu'on soit d'accord ou pas avec cette hypothèse, il faut reconnaître que l'origine des premiers Canariens pose un réel problème ethnologique. Quand les navigateurs français débarquèrent en 1406 pour la première fois aux îles Canaries, ils se trouvèrent en présence d'indigènes au teint clair et de taille haute, qui se désignaient eux-mêmes sous le terme de Guanches, mot qui veut dire " homme ". Chacune des sept îles de l’archipel des Canaries, abrita une culture propre mais apparentée, jusqu’à leur extermination par la conquête espagnole (1402-1500) : les Guanches ont cependant laissé des momies et des pyramides...     

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Les archipels des Canaries et des Açores constitueraient les ultimes vestiges du continent englouti. Qu'on soit d'accord ou pas avec cette hypothèse, il faut reconnaître que l'origine des premiers Canariens pose un réel problème ethnologique. Quand les navigateurs français débarquèrent en 1406 pour la première fois aux îles Canaries, ils se trouvèrent en présence d'indigènes au teint clair et de taille haute, qui se désignaient eux-mêmes sous le terme de Guanches, mot qui veut dire " homme ".

Lorsqu'il fut possible de comprendre leur langue, les Français furent étonnés de voir que les Guanches se croyaient seuls au monde, persuadés d'être les derniers survivants d'une terrible catastrophe qui, plusieurs millénaires auparavant, avait anéanti l'humanité toute entière. Pendant près de 60 ans, les Français vécurent en harmonie avec les populations locales.

 

Au début, cependant, le peuple guanche s'opposa à cette incursion étrangère. Avant que Jean de Bethencourt chambellan de Charles VI, puisse étendre son hégémonie sur les Canaries, ses troupes eurent à faire face à la résistance désespérée des Guanches qui préféraient la mort à la servitude.

Dans ces combats, les Français reconnurent le courage et la bonne foi de ces indigènes. Jean de Béthencourt racontera d'ailleurs lui-même que ses soldats s'étant emparés d'un groupe de femmes réfugiées dans une grotte de Fuerteventura, ils virent l'une d'elles étrangler son enfant pour qu'il ne tombât pas entre les mains des envahisseurs.

La conquête de l'archipel des Canaries par les Espagnols, en 1478, acheva de réduire ce peuple à l'impuissance. Dans ce même temps, une épouvantable épidémie, appelée par les Espagnols " modorra ", décima les Guanches qui n'avaient pas accepté la défaite. Dès lors, les survivants se virent offrir le baptême et leurs noms désormais hispanisés se confondirent bientôt avec ceux des conquérants.

Les ethnologues anciens et modernes qui ont étudié la nature de cette race guanche ont distingué deux types bien distincts. L'un, le plus répandu, de taille haute supérieure à 1,80 m, imberbe, aux yeux et à la peau clairs, et au front de penseur. L'autre, de taille plus réduite, avec une peau sensiblement plus brune, des yeux de jais et un profil convexe qui révélerait un origine sémite. Il y a encore, mais de façon très localisée, à Gomera, des individus de courte taille et à tête large. Les Français d'abord, puis les Espagnols, furent très étonnés d'observer ce peuple guanche aux mœurs si archaïques, mais héritiers d'une civilisation évoluée et originale. Tout en ignorant l'usage des métaux et des tissus et n'utilisant que des outils en pierre, ils connaissaient en revanche l'écriture, l'astronomie et appréciaient la poésie. Leur législation, encore, était très élaborée et leur religion avait des rites compliqués. L'alphabet des Guanches, fort heureusement recueilli par les premiers missionnaires envoyés aux Canaries, ressemble aux alphabets des langues sémitiques (Phénicien, Carthaginois, Hébreu). Mais on a découvert à plusieurs reprises dans les îles de l'archipel, des inscriptions en caractères inconnus. Lors d'un voyage effectué sur place, Robert Charroux a pu photographier une des ces inscriptions alphabétiformes à La Caleta (île Hierro).

Les linguistes ont pu établir certaines connexions entre le Guanche et les dialectes parlés par les Touaregs et par les Berbères, et plus spécialement par les Senhadja qui habitent le Hoggar. Des traces d'influence arabe semblent certaines. Il ne fait aucun doute, pour le moins, que le monde antique connut l'existence des Guanches. Ainsi, le roi de Mauritanie, Juba II, qui vivait au Ier siècle de notre ère, nous parle des îles habitées par cette ethnie. II vante leur nombreuse population et leur prospérité. L'île actuelle de Ténériffe, aux riches plantations de palmiers dattiers, était appelée jadis " Junonia ". Plus loin encore dans les siècles, Platon lui-même décrit les Guanches comme de grands hommes blonds, mais il leur prête aussi une maîtrise incomparable dans l'art de traiter les métaux et d'édifier les cités. Ce qui est incontestablement à l'opposé des possibilités guanches du XVème siècle, qui n'utilisaient plus qu'un outillage d'os, de pierre ou de bois, et aménageaient des grottes pour y habiter. En rapport encore avec d'anciennes relations entre les Guanches et des peuplades du Sahara, le colonel Braghine cite une trouvaille près de San Miguel, dans l'île de Ténériffe, d'une soixantaine de momies, environnées d'un grand nombre de poteries et de peaux de lion. Or, souligne cet auteur, " ce qui a plongé les savants dans une grande perplexité, c'est que le lion n'a jamais existé sur ces îles ! "( L'énigme de l'Atlantide, 1952).

Le rapprochement linguistique du guanche et de l'arabe constituerait pour plusieurs auteurs une preuve de l'origine atlante de la population des Canaries. Les Touaregs avec qui ils auraient été en rapport, ancêtres eux-mêmes des Garamantes, seraient les descendants de ce " peuple de la mer " refoulé de la Vallée du Nil par les soldats du Pharaon Ramsès Il au XIIIe siècle avant notre ère.

Récemment enfin, des anthropologues ont fait observer une prédominance du groupe sanguin O parmi les Canariens de souche. Or, avec eux se signalent les Basques et les Corses. Si il est à peine besoin de souligner combien le " mystère " basque n'a toujours pas été élucidé, on se souviendra que les Corses furent entraînés dans l'immense déferlement des envahisseurs venus du Nord.

 

LA RELIGION

 

Les Guanches semblent avoir été monothéistes : explorateurs espagnols et chercheurs actuels s’accordent à dire qu’ils vénéraient le soleil et l’eau, synonymes semble-t-il de vie ou survie dans une société basée sur l’agriculture et l’élevage. On relève également l’existence d’un jurement ( Mageb ) sur le soleil et le Telde, le majestueux volcan qui surplombe l’île de Ténériffe.
Comme dans l’Europe néolithique, les Guanches vouaient une importance particulière à l’élément féminin, en tant que symboles de fertilité et de fécondité que personnifiait la femme. Celle-ci jouissait donc d’une place privilégiée au sein de cette communauté fortement hiérarchisée, dont témoignent les rituels de momification et la richesse des matériaux ( peaux essentiellement ) dans les sépultures.

 

RITES FUNERAIRES ET MOMIFICATION

 

La religion monothéiste des Guanches semble avoir associé leurs momies à des motifs peints, et gravés tant sur le mobilier funéraire que sur les parois des cavernes où les rites étaient pratiqués. En effet, les Canariens y déposaient leurs morts, le plus souvent en décubitus dorsal. Les sépultures collectives étaient courantes et aménagées de murets pour compartimenter les corps en diverses niches. Nobles et notables bénéficiaient, quant à eux, de tumuli ou de grottes artificielles selon le cas, très fréquents sur l’autre île de Gran Canaria. Les tumuli sont inexistants sur Ténériffe, et les grottes artificielles de Gran Canaria étaient généralement regroupées en nécropoles.

 

La momification semble avoir été réservée aux seuls nobles et notables ( menceys ), quoique la variété des procédés donne à penser que le reste de la population ait pu aussi en bénéficier. La technique consistait en une éviscération préalable pratiquée pour les seuls menceys, mais le cerveau n’était jamais extrait comme en Egypte ancienne. Le corps était ensuite recousu et exposé au soleil pour dessèchement, avant d’être ceint de bandelettes végétales et enveloppé d’un linceul en peaux travaillées.
Les momies exhumées depuis les grottes ont été retrouvées souvent enveloppées de jonc, avec leurs viscères placées dans des récipients déposés près du corps, ce qui rappelle là la pratique des vases canopes en Egypte.

 

On a également observé divers cas de trépanation, sans doute à des fins thérapeutiques ou chamaniques. Enfin, s’il nous reste peu d’éléments sur leur culte des morts, on connaît néanmoins quelques pratiques qu’avaient les menceys nouvellement élus sur le corps de leurs prédécesseurs.

 

LES PYRAMIDES DE GUIMAR

 

Sur le plan architectural, l’île de Ténériffe recèle le lieu archéologique le plus spectaculaire de tout l’archipel : le site de Güímar compte plusieurs pyramides à étages, avec une orientation nord-sud sur l’axe du solstice d’été. La perfection de la taille de diverses pierres d’angle comme les structures pyramidales leur confère un caractère cérémoniel, voire astronomique : puisque l’Institut d’Astrophysique des Canaries en considère le sommet comme propice à l’observation du ciel.

 




Entre les pyramides, diverses places ou aires délimitées auraient pu servir de lieu de culte ou d’expériences sur les cultures. En effet, l’observation des mouvements de la lune et du soleil peut avoir servi à l’identification de cycles agricoles, comme semble l’étayer leur localisation près des points d’eau d’une part, et l’abondance de gravures rupestres attenant aux astres comme au cosmos d’autre part. près un siècle de conquête, les quelques 70 000 Guanches estimés pour 1402 ( dont ~30 000 sur Ténériffe et autant à Gran Canaria ) avaient déjà étaient réduits au tiers au début du XVIe siècle. Cette baisse drastique de leurs effectifs est due moins aux guerres contre l’envahisseur qu’à leur asservissement en esclavage vers l’Espagne. Si la langue et le système sociopolitique des Guanches ont aujourd’hui disparu après leur destruction systématique par les conquistadors, pratique qu’ils poursuivirent ensuite en Mésoamérique, les abondants témoignages d’époque et la recherche contemporaine apportent quelques lumières, telle leur parenté linguistique avec la langue des peuplades berbères des XIXe et XXe siècles… On ne peut donc qu’imaginer ce qu’étaient ces hommes perdus au large des côtes africaines, ces bâtisseurs de pyramides soigneusement taillées et construites, qui alimentèrent des siècles plus tard les théories diffusionistes de Thor Heyerdahl.

5 février 2014

Message secret gravés sur la patte du sphinx révèle l'origine de ces batisseurs

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Bien des personnes pensent tout savoir sur le sphinx du plateau de Giza et l’on ne peut imaginer les trois pyramides voisines de Chéops, Chéphren et Mykhérinos sans le sphinx tellement celui-ci est devenu indispensable à l’harmonie visuelle du plateau. Ceci n’est pas étonnant car le sphinx est placé exactement où il faut dans une conception basée sur des principes géométriques de la section d’or. Le nombre d’or est en relation avec une série de nombres: la suite de Fibonacci (0,1,1,2,3,5,8,13,21,34,55,89,…) et l’archéologue égyptien et Professeur Emeritus : Alexander Badawy (1913-1986) à prouvé dans son étude de plus de 50 temples au bord du Nil que les anciens égyptiens avaient bien utilisé cette série de nombres à dessein démontrant une fois de plus leur grande connaissances et sophistication en matière architecturale. Or je vais vous démontrer dans cet article que le sphinx recèle bien des secrets encore méconnus pour la plupart et que notre vision actuelle est bien déformée par rapport à son aspect originel.

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L’inscription méconnue de la patte gauche du sphinx

En 1817 Gianbattista Caviglia **(1770-1845) nettoie le devant du sphinx, chose qui n’avait pas été faite depuis la chute de l’Empire Romain. Il trouva en premier lieu un morceau de la barbe tombée du sphinx (aujourd’hui au British Museum !). Puis en désensablant un orteil de la patte gauche du sphinx, il trouve une inscription : un texte de 13 lignes en Grec, gravé bien visiblement avec une mention comme quoi il s’agit d’un texte officiel datant de 166 Après JC sous le règne de Marc-Aurèle pour commémorer la restauration des murs entourant le sphinx par les romains. Ce texte est passionnant et vous n’aurez pourtant aucune chance de l’aperçevoir aujourd’hui sur le sphinx tellement les restaurations successives et surtout les dernières, ont recouvert de couches incroyablement épaisses et souvent défigurantes les contours de notre sphinx comme sous les bandelettes étouffantes d’une momification.

Ecrite en Grec donc, et en lettres capitales, il n’y a je sache que trois traductions existantes en anglais et une en latin de ce texte. Une à partir de la copie faite par Henry Salt (1780-1827) consul général britannique au Caire en 1815, grand collectionneur d’Antiquités égyptiennes qui avait payé Caviglia en 1817 pour explorer le sphinx et qui fit publier sa retranscription dans la: « Quarterly Review » Vol 19) en 1818 traduite par le Dr Yong en anglais et latin lequel s’employa même à remplacer certains mots effacés à jamais, une autre du très grand archéologue égyptien Selim Hassan*(1893-1961) le premier égyptien à occuper une chaire d’égyptologie, et enfin :une par le Révérend Coleridge d’Eton publiée dans: « Opérations menées à la pyramide de Giza par le colonel Vyse » en 1842. Je vais vous livrer ici ma propre traduction de cette inscription: j’ai essayé d’être la plus fidèle possible à la grammaire du Grec ancien et de ne pas inventer les mots manquants :

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 « Cette structure est l’œuvre des Dieux immortels.
Placée de façon à dominer le sol de cette Terre de récolte,
Erigée au centre d’une cavitée dont ils ont retiré le sable,
Comme une île de pierres au voisinage des pyramides,
Pour que nous puissions le voir,
Non pas comme le sphinx tué par Œdipe,
Mais comme un servant sacré de Leto,
Qui garde avec vigilance,
Le Guide Sacré de la Terre d’Egypte.»

La référence à Leto*** ici se comprend car à l’époque où les pharaons Ptolémés d’origine Grecque régnaient sur l’Egypte, Giza se trouvait dans un district administratif appellé : « Letopolitain ». Le texte est signé Arrianos, sans doute l’historien et philosophe romain d’origine Grec qui écrivit la vie d’Alexandre le Grand (« Anabase d’Alexandre »). Donc outre la référence aux Dieux Immortels comme créateurs de ce sphinx qui est intéressante, nous y reviendrons, nous voyons bien par ce texte lui-même que le sphinx était considéré comme une île. Ceci est tout nouveau pour certains d’entre-vous.

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Leto  une djinn polymorphe comme toutes les deités egyptienne

le sphinx est un hommage a la mere qui fut comdamné a vivre sur une ile deserte sphinx et le symbole de l'ile

 

Un lion qui était un chien et l’île du sphinx

Or le savant Robert Temple et sa femme Olivia viennent de publier un livre de 565 pages en anglais intitulé: « The sphinx Mystery, the forgotten origins of the sanctuary of Anubis »(« Le Mystère du sphinx, les origines oubliées du sanctuaire d’Anubis ») fort bien documenté avec bien des éléments exhumés de l’oubli ou de multiples collections dispersées innaccessibles au public, dans lequel il nous dit: « Les douves du sphinx dans l’Ancien Empire étaient connues dans les Textes des Pyramides comme le lac du chacal, le canal du Dieu, le canal d’Anubis, le Lac de Vie… » Or on trouve beaucoup de références à cela dans toute la littérature égyptienne Antique : par exemple sur les autels dans la tombe de Tutankhamon à propos de Rostau (Giza) on dit que sa topographie est celle d’une citée d’eau et on parle de: « La maison du lac » à propos de l’île du sphinx. Même Auguste Mariette qui creusa autour du sphinx en 1858 admet que l’enclos du sphinx avait dû contenir de l’eau du Nil dans l’Antiquité (voir références). Dans les Textes des Sarcophages on nous parle du bassin lustral, du lac du chacal.

Pourquoi ? Tout simplement parce que l’universitaire Temple avance l’assertion que le sphinx à l’origine aurait été fait à l’image d’Anubis (« chacal » est une mauvaise dénomination des traducteurs car il n’y a jamais eu de chacals en Basse Egypte mais bien plutôt des chiens sauvages) le gardien du site par excellence et il le prouve avec force analyses, photos et recherches. Le sphinx serait devenu léonin vers la IV ème dynastie où les lions étaient fort à la mode dans toutes les représentations, puis au Moyen Empire Amenemhat II lui aurait apposé son visage (et non pas Chéops). Mais je ne vais pas entrer trop dans les détails de l’œuvre de Temple ici, seulement en évoquer quelques points et d’autres d’ailleurs. Le fait qu’à l’origine le sphinx ait pu être la représentation d’Anubis est quelque chose que j’annonce depuis des années devant le sphinx lui-même aux personnes qui m’accompagnent dans mes voyages en montrant: « in situ » l’inclinaison du dos, la queue, les traces d’érosion par l’eau dans les douves. Il faut comprendre que depuis l’Antiquité le sphinx à subi de multiples restaurations qui surtout pendant les dernières consistaient en rajouts d’épaisses couches de briques de pierres aussi laides qu’inutiles ne faisant que rendre « pataudes » les lignes du sphinx qui sont en dessous d’une grande finesse. C’est très visible aujourd’hui pour les pattes qui ressemblent maintenant à d’immenses barres de carton-pâte. Nous avons des clichés du début du 19ème siècle et beaucoup de photos ensuite nous permettant après une analyse minutieuse de voir déjà de grosses différences pendant les restaurations « modernes » et les desensablements successifs. Dans le Texte des « Sarcophages » non seulement on parle du lac du « chacal » (Anubis) mais on dit: « Son nom est face de chien, sa taille est grande » (versets 1165-1185), deux fois dans le Texte des « Pyramides » on cite Anubis comme celui de « la Hauteur de l’Ouest » ( la seule hauteur centrale en Basse Egypte c’est le plateau de Giza ) et le lac du « chacal » est aussi cité dans le livre « des Cavernes ».

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Le remarquable chercheur Terence Du Quesne à dénombré beaucoup de références à Anubis : « Seigneur de Rostau (Giza) » dans des inscriptions et sur des murs, il a listé notamment dix sources publiées de ce titre précis à ce jour. Ce n’est qu’après la cinquième dynastie que le titre: « Seigneur de Rostau » est donné à Osiris. Rapelons qu’Anubis en égyptien c’est: « Inpou », « celui qui a la forme du chien », il est aussi dénommé: « L’Ouvreur de chemin » et guide les âmes et il est représenté aussi sous le nom d’ « Upuaout, ouvreur de chemin », à Abydos dans le sud. Il est aussi: « Seigneur du Pays de l’aurore » et comme l’écrit l’excellent René Lachaud: « (…) Il fait surgir la lumière anubienne de l’initiation qui correspond à ce moment ambigu, «entre chien et loup» où jour et nuit s’interpénètrent ». Et dans : « Le Livre de la sortie au jour » (qui est le véritable titre du Livre dit « des morts ») : Oh ! Anubis qui est sur ses secrets. Seigneur des secrets de l’Occident. Seigneur de ce qui est caché. »


Eh oui qu’Anubis est présidé sur le plateau de Giza n’est guère étonnant car à Giza/Rostau nous sommes au carrefour des plus grands mystères. Vous allez vite comprendre pourquoi. On ne vous parle jamais du « Livre de la Construction » qui se trouve gravé dans l’enclos du temple d’Horus le faucon à Edfu dans le sud de l’Egypte. Or quand vous lisez sur place celui-ci, il y a dedans des références à d’autres textes perdus comme : « Les Livres Sacré des Temples » qui rassemblent une description de l’histoire des lieux de pèlerinage le long du Nil. Et que dit ce texte? Il dit que ces lieux furent établis par un groupe « d’entités créatrices » les « Shebtiw » associés à Thot. Il est dit que ceux-ci que l’on appelle aussi les « Ainés », les « Faucons », se sont installés dans un premier endroit sur Terre et que ce premier endroit est…Rostau ! C’est à dire Giza ! Toujours selon ce texte, les livres sacrés et objets de pouvoir furent scellés dans une place secrète sous terre par les « Shebtiw » et ils construisirent au dessus une immense enceinte et des pilliers pour le protéger. Ce lieu s’appelle : Bw-Hmr, la place du trône de l’âme. D’autre part toujours dans ce texte il nous est suggéré que le monde souterrain de Giza est un modèle microcosmique du passage du temps et du processus de la première création dans notre univers pysique… vous comprenez mieux maintenant sur quoi le sphinx veille, ce n’est pas rien ! Les anciens Egyptiens nommaient aussi Giza/Rostau dans leurs descriptions : La Splendide Place du Premier Temps » et : « La Place secrète » et il est vrai que tout le plateau de Giza que je parcours depuis 20 ans mètre par mètre est bien truffé de milliers d’entrées souterraines, de cheminées d’aération, de puits sans fond. Tout cela prouve la présence d’un réseau souterrain impressionnant dont j’aurai l’occasion dans d’autres articles de vous parler davantage.

secret-sphinx-5.jpgOn voit ici le pataud des pattes trops restaurées (Photo Gigal)

En tout cas c’est seulement au Moyen Empire (époque où depuis un long moment déjà le sphinx n’avait plus sa tête d’Anubis selon Temple) qu’apparaît pour la première fois dans les hiéroglyphes le nom: « Sphinx »: « Sheshep » qui se traduit littéralement par « image » ou « statue ». Le nom entier du Sphinx alors est: « Sheshep-Ankh »: la « statue vivante ». Ce sphinx est un symbole vivant représentant bien des choses de l’invisible terrestre et céleste. Dans la langue copte, la plus ancienne langue de l’Egypte parlé encore actuellement, le sphinx se dit: « bel-hit »: « le Gardien ». Et juste après l’an mille on nomme le sphinx: « Twtw »: « Je suis image » que les Grecs retranscrivent en Tithoes et l’assimilent à Cronos le Dieu du temps. Et ce qui est intéressant aussi c’est que citant Manéthon, Pline prècise que Tithoes faisait partie des rois mytiques des toutes premières dynasties ou plutôt comme on dit maintenant de la fameuse dynastie zéro (car on a fait démarrer la première dynastie à Ménes (2920-2770 Avant J.C.) et cependant dans plusieurs documents sont cités des pharaons précédents mais leurs qualifications de dieux ou demie-dieux est dérangeante pour le conscensus universitaire) pourtant bien inscrite dans le papyrus de Turin (Le canon de Turin) et l’auteur latin précise bien que Tithoes succéda au dieu Amon et qu’il serait le tout premier constructeur du labyrinthe de Fayoum (à 120 km au sud du Caire au bord du lac Fayoum), le plus ancien labyrinthe de toute l’Antiquité que les gens venaient visiter alors du monde entier. Et qui est en ruines aujourd’hui au pied de la pyramide d’Hawara site que je fait visiter régulièrement...

Un sphinx bien plus ancien qu’on ne le pense.

secret-sphinx-6.jpgLe Sphinx en position sur le plateau avec au fond la pyramide de Chéops

En 1858 notre extraordinaire Auguste Mariette est chargé par le duc de Luynes de vérifier les propos de Pline l’Ancien selon lesquels le Sphinx serait construit et non monolithique. Il ouvre un chantier non loin de la pyramide attribuée à Chéops (qui régna de 2551-2528 av. J.C. 4ème dynastie). Dans un sanctuaire d’Isis tout proche il trouva la stèle dite de « l’Inventaire » dans laquelle on raconte ni plus ni moins que le sphinx et la grande pyramide existaient bien avant le règne des dirigeants de la 4ème dynastie donc bien avant 2575 av J.C.. Le texte précise que : « Durant le... règne de Chéops celui-ci ordonna la construction d’un monument le long du sphinx ». En toute logique cela implique que le sphinx était déjà là avant. Or s’il était déjà là du temps de Chéops, cela signifie que contrairement à ce que le « mainstream » affirme, à fortiori il n’a pas pu être construit sur ordre de Chéphren son successeur sur le trône ! Il faut dire que la théorie disant que le sphinx a été construit par Chéphren juste parce que la chaussée sur son côté sud mène aux pieds de la pyramide de Chéphren a été lancée sans aucune preuve ni connaissance par Caviglia qui n’était encore qu’un capitaine au long cours payé pour faire déblayer le sable du sphinx !! Aucune inscription ne confirme sa thèse lancée bien légèrement. Il existe aussi d’autres documents prouvant que le temple adjacent au Sphinx et qui possède exactement les mêmes marques d’érosion que celui-ci existait avant le règne de Chéops. Dans une inscription qui était conservée au musée de Boulak, le scribe royal du pharaon Chéops note une dédicace qu’il a a lui-même relevée sur un document antérieur. Cette dédicace prétend que le soleil en personne présida à la gigantesque construction, dont « l’origine se perdait dans la nuit des Temps ».

Or si l’on prend en compte ceci, c’est toute la datation chronologique actuelle en cours en égyptologie qu’il faudrait revoir ! Un peu trop pour certains… C’est pourquoi la majorité des égyptologues actuels se détourne de cette stèle dite de l’inventaire, car elle remet en question trop d’acquis pour eux. Certains préfèrent d’ailleurs affirmer que cette stèle faisant la liste de l’inventaire du temple d’Isis remonterait seulement à la 26 ème dynastie. Peut-être mais Auguste Mariette le découvreur, qui a passé plus de dix ans à fouiller le plateau de Giza a toujours affirmé lui, que la stèle fut érigée par Chéops lui-même.

Quant à la supposée ressemblance de la tête du sphinx avec Chéphren lui-même, cette théorie a été invalidée depuis 30 ans par le Directeur du service de médecine légale de la police de New-York expert en morphologie faciale Dr Franck Domingo. Après avoir photographié le sphinx sous plusieurs angles et lumières puis la statue de Chéphren au musée du Caire il compara avec sa méthode scientifique, il conclut sans appel qu’il s’agissait bien de deux personnes différentes...

Robert Temple lui, prouve d’ailleurs grâce à l’étude de la coiffe et de certains traits et aussi à cause de l’obsession du pharaon pour les sphinxs qu’il s’agit en fait d’Amenemhat II(1929-1892 Avant J.C.). En tout cas si à l’origine le sphinx avait bien une tête d’Anubis et que bien plus tard il comporta la tête de ce pharaon on pourrait penser également que d’autres avant Amenemhat II ont pu y apposer leur face également, la tête du sphinx comportant beaucoup de traces de multiples réfections et la tête actuelle étant fort disproportionnée par rapport au corps. On trouve également un texte du pharaon Amenhotep II (1448/1420 Avant J.C.) comportant une mention du sphinx en tant que : « plus ancien que les Pyramides ». Puis nous avons la fameuse stèle de Tutmosis IV qui a donné lieu à mes recherches sur le deuxième sphinx.

A la recherche du deuxième sphinx

Il était généralement admis pendant de longues périodes chez les Anciens Egyptiens que le Sphinx était recouvert par les sables, sauf la tête jusqu’à ce que le pharaon Tutmosis IV (18ème dynastie: 1420-1411 av. J.C.) ne le désensable. Et nous avons le merveilleux récit de Tutmosis IV gravé pour l’éternité sur une stèle de granit rose et érigée entre les pattes du Sphinx : c’est la stèle dite de Tutmosis IV. Ce pharaon qui n’était alors qu’un prince, n’appartenant même pas à la lignée principale de succession pharaonique, vint se reposer après une chasse à l’ombre de la tête seule apparente alors, et s’endormit. Là il rêva que le Sphinx lui parlait dans son sommeil, le suppliant de le débarasser de ses souffrances car il ne supportait plus les brûlures du sable du désert le recouvrant. En échange, il lui donnerait le pouvoir et la fortune. Tutmosis à son réveil décida de s’exécuter et devint en peu de temps pharaon ainsi que très fortuné.

Ce qui est particulièrement intéressant par rapport à cette stèle de Tutmosis IV c’est la représentation qui est faite du sphinx. Regardez bien, il y a deux sphinxs ! Et se tournant le dos ce qui ne veux pas dire d’aileurs, et pour des questions de règles anciennes de perspectives que dans une réalité, les deux sphinxs se tournent véritablement le dos. De plus ils sont allongés sur des structures avec portes indiquant par là que les sphinxs donnent accés à un ailleurs, un complexe souterrain. Mais où donc est passé le deuxième sphinx dessiné sur cette stèle ? Ce qui est bien curieux c’est que très peu de gens se sont mis à chercher les réponses...

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Sphinx et sa Stèle de Tutmosis IV au double sphinx

Dans la fameuse stèle de l’inventaire conservée au musée du Caire, il est fait mention qu’un éclair aurait foudroyé la coiffe du deuxième sphinx entraînant sa destruction ainsi que celle d’un sycomore, arbre sacré à l’époque, qui fut brûlé aussi par la foudre. Pour l’archéologue Michael Poe qui se réfère à des fragments de papyrus du Moyen Empire ce deuxième sphinx aurait été détruit par une crue du Nil particulièrement violente environ 1000 ans après J.C. Les villageois auraient alors prélevé les pierres pour reconstruire leur village.

C’est alors que je me suis mise à chercher en Egypte et grâce à mes connaissances d’Arabe classique j’ai vite trouvé des textes confirmant l’existence de deux sphinxs. Ainsi dans ses deux encyclopédies géographiques (Kitab al Mamalik, al-Mamsalik et Kitab al Jujori le grand géographe et savant arabe Al-Idrisi (1099-1166), mentionne bien la présence de deux sphinxs à Giza, l’un est en très mauvais état, il est atteint par les eaux du Nil et de nombreuses pierres manquent.

D’autres auteurs mentionnent également l’existence de deux sphinxs : Ainsi l’historien célèbre Musabbihi écrit au sujet d’un : « sphinx plus petit que l’autre » de l’autre côté du Nil, en très mauvais état, composé de briques et de pierres (Annales de Rabi II,vers 1024). C’est pourquoi je recherche inlassablement depuis des années l’emplacement du second sphinx. La tâche est très difficile car toute la rive opposée du Nil est couverte des buildings de la mégalopole du Caire et de ses banlieues gigantesques. Comment trouver l’emplacement d’un sphinx disparu ? Et c’est là qu’intervint une de mes cartes, celle de l’analyse par satellite minutieuse dont je suis spécialiste, couplée à une étude sur le terrain du moindre des détails. J’ai, après avoir sillonné des milliers de ruelles, déterminé deux endroits possibles. C’est alors que le grand géologue et archéologue égyptien Dr Barakat m’a fait l’honneur de me contacter en me disant, après avoir lu un de mes articles sur ce sujet en anglais qu’il appréciait beaucoup mon travail et était arrivé aux mêmes conclusions que moi, ce qui me conforte comme vous pouvez l’imaginer dans la continuation de cette recherche. Je vais m’y consacrer cet été et rencontrer le géologue lors d’entretiens qui promettent beaucoup et dont je vous ferait part ultérieurement.

D’autre part à l’instar des historiens arabes qui l’ont vu à leur époque, nous avançons l’hypothèse que l’un des deux sphinxs devaient être féminin. Al Idrisi dit clairement que le second sphinx était féminin et situé sur la rive Est du Nil faisant face au sphinx mâle celui que nous connaissons tous. N’oublions pas également que le nom Grec : « Sphinx » du verbe « sphingô » veux dire étrangler. Les deux sphinxs face à face de chaque côté du Nil formaient comme un goulot d’étranglement, comme une surveillance sur les navires provenant de Haute Egypte ou descendant au Sud… L’emplacement du second sphinx pourrait receler de nombreux secrets des temps préhistoriques même, beaucoup de choses dans le sous-sol. Ce sera dans le futur sans nul doute un projet archéologique colossal... dans le futur comme le dit le Dr Barakat.

Je vous dirais aussi et je ne suis pas la seule, que les deux sphinxs sont similaires aux deux piliers d’Hercule, l’un indiquant le pouvoir matériel s’impliquant vers le haut dans le pouvoir spirituel (le sphinx féminin) et l’autre (l’actuel), le pouvoir spirituel s’impliquant dans le monde matériel souterrain mais c’est là le sujet d’un de mes livres en cours…En tout cas pour boucler la boucle momentanément et pour apporter ma pierre à l’œuvre de Temple même s’il ne parle pas du tout de deuxième sphinx, j’ai découvert récemment qu’il y avait bien dans le passé deux Upuaout (Anubis)/ Sur la stèle JE 47381 aux trois registres sont bien figurés un: « Upuaout de Haute Egypte, controlleur des deux Terres »(« Wp-wAwt smaw aba-Tawy ») et dans le registre du millieu on voit celui-ci accompagné de: « Wepwawet de Basse Egypte » (« Wp-wAwt mttyt »). Donc les deux sphinxs tout à fait à l’origine aurait bien pu représenter deux Anubis...
Dans un prochain article je vous parlerais de l’état actuel des découvertes par rapport aux cavités à l’intérieur et sous le sphinx de Giza

encore bien des choses que peu savent...

Antoine Gigal

Notes :

*Selim Hassan (1887-1961) : Il est pour moi dans les trois plus grands egyptologistes et archéologues de tous les temps. Il excava sans relâche à Giza et Sakkara de 1929 à 1937 et découvrit beaucoup de structures que l’on redécouvre à peine aujourd’hui et écrivit une extraordinaire « Encyclopédie de l’Ancienne Egypte » en 16 volumes. Il publia en tout 170 livres sur l’archéologie en Egypte.

***Gianbattista Caviglia (1770-1845) : Capitaine au long cours Italien, il est embauché par Richard Vyse l’égyptologue Anglais qui remarqua en lui de très fortes capacités d’adaptation de débrouillardise c’est ainsi qu’il débuta des fouilles archéologiques avec lui sur la petite pyramide de Mykhérinos. Mais son attention fut vite attirée par des structures encore plus prometteuses comme le sphinx,la grande pyramide et d’autres.

****Leto : L’histoire de Leto telle qu’elle nous est raconté dans la mythologie greque peut fortement nous intéresser pour l’Egypte. Leto, fille des Titans (Anciens Dieux très puissants ayant régné pendant l’âge d’or sous la direction de l’un d’entre eux: Cronos (Saturne) après son père Uranus (Le ciel) pour les 21 premières générations de Titans.): Coeus régnant sur une zone céleste entre les deux pôles terrestre et Phoebe liée à la pleine Lune et à la purification lumineuse, tomba enceinte de Zeus. La femme de Zeus : Héra extrêmement jalouse fit en sorte que « toute terre ferme fuit Leto » de façon à ce que celle-ci ne trouve aucune terre ferme pour accoucher. Il est dit qu’alors Leto quitta l’Hyperborrée déguisée en louve pour la Lycie (pays des loups, peut-être une ancienne forme d’Anubis ?)) en Anatolie puis pour l’île de Délos. Il y a plusieurs destinations finales pour l’accouchement de Léto et les experts se battent pour savoir laquelle est la bonne. En tout cas elle accoucha dans une île non rattachée à la terre même sous la mer, une île flottante en quelque sorte ou une île « fabriquée ». On raconte en Egypte des histoires similaires pour Isis se réfugiant dans une île flottante du delta du Nile. Giza avec son île au sphinx était bien un endroit indiqué pour être lié à Leto. Celle-ci dû lutter contre beaucoup de monstres chtoniens et de Titans vivant sous terre et contre Python avant de pouvoir accoucher des jumeaux : Artémis et Apollon. Le grammairien Grec: Antoninus Liberalis cent ans après JC nous raconte tout cela avec force détails. Il est l’auteur de : « Les métamorphoses » un récit racontant 41 des transformations effectuées par des Dieux offensés). Notons qu’Hérodote nous raconte que Léto était adorée en Egypte sous la forme de Wadjet la déesse cobra protectrice de la Basse Egypte.

Références:

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/21/

Auguste Mariette: « Lettre au Vicomte de Rougé concernant les excavations faites dans le voisinage du grand sphinx de Giza »,Bibliothèque Egyptologique, Vol 18,Paris, 1904.

Alexander Badawy: “Ancient Egyptian Architectural Design:A Study of the Harmonic System », Berkeley university, 1965. Et:” History of Egyptian Architecture”,Berkeley university, 1968.

Selim Hassan: “The Great sphinx and Its secrets: Historical studies in the Light of Recent Excavations” vol 8,Cairo Gov Press,1953.

Terence Du Quesne: “Anubis and the spirit of the West »,Darengo publications, 1990.

Yves Herbo relai-SFH-10-2013

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/sciences/12/

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