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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
aliens
30 mars 2017

Crimée des pyramides sur la péninsule ukrainienne défendue ardamment par la russie .

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une ou plusieurs pyramides souterraines se trouveraient tout près de sebastopol, la ville principale du sud de la crimée, péninsule ukrainienne défendue ardamment par la russie ces jours-ci

on pourrait se demander pourquoi les russes ne vont pas renforcer la protection de leurs gazoducs si stratégiques traversant l'ukraine, mais se focalisent sur le fait qu'ils doivent éviter de perdre leur petit territoire militaire situé à sebastopol, juste là où se trouveraient une ou plusieurs pyramides, selon le chercheur vialij gokh

c'est assez compliqué de trouver des infos claires sur ce sujet, enfin je n'ai pas fait le tour assurément ( http://translate.google.fr/translate?sl=auto&tl=fr&js=n&prev=_t&hl=fr&ie=UTF-8&u=http%3A%2F%2Fwww.gokh.net%2F ) , mais voilà un article de bibliotecapleyades : http://www.bibliotecapleyades.net/piramides/coppens_pyramids04.htm

gokh a travaillé pour l'armée russe pendant 30 ans, puis a pris sa retraite à sebastopol, et s'est consacré à explorer la région

en 1999 il découvre plusieurs pyramides enfouies dans le sol, et même sous la mer au large des côtes, où par ailleurs certaines villes submergées sont connues.

comment a t il trouvé ces pyramides? étant ingénieur, il sait utiliser des appareils à résonnance magnétique et s'en est construit une lui-même, et comme sebastopol manque de source d'eau potable, il commença à en chercher dans le sol autour de sebastopol

---

on peut noter par ailleurs qu'il forme un équipe pour ce travail, qui entre en 2002 en contact avec le gouvernement mauritanien, et cherche avec succès de l'eau dans le sahara, près de la ville de atar, sous 240 mètres et sous une couche de roche solide, découverte qui sera utilisée pour procurer de l'eau à la région...

il avait peaufiné son appareil, qui détecte ainsi du pétrole, du gaz, des métaux précieux, et s'associe avec la compagnie pétrolière "chernomornefte-gaz"

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c'est ainsi qu'en 1999 son instrument signale une anomalie dans le sous sol dans la péripherie de sebastopol, ce qui sera appelé par gokh la premiere pyramide

sur place ils ne trouvent rien à premiere vue, a part le sol rocheux, puis découvrent un trou, tel un puits, profond de 9m, qui finit sur dalle de calcaire qu'ils percent et là, ils tombent sur une grande cavité

à mesure qu'ils explorent sur 30 mètres, ils concluent que le calcaire est composé de dalles de 1,5m sur 2,5m et concluent qu'ils sont face à une construction humaine

la forme de pyramide est obtenue grâce à des réglages et des améliorations de l'appareil de gokh, et en l'an 2000 ils arrivent à affirmer que la structure est pyramidale de base carrée, de 72m de côté et d'environ 50m de haut, avec la pointe absente, pointe qui arrive près de la surface du sol

ils affirment que les matières qui recouvrent la pyramide ont été amenées par des inondations ultérieures, et que la pyramide devaient à l'origine être à l'air libre

ils affirment également que 3 rayons d'énergie sont mesurés comme émegeant du haut de la pyramide, des fréquences de 900x109hz, 700x109hz et 500x109hz, et qu'un champ particulier de 10x109hz entoure la pyramide

ils affirment plus tard également qu'une créature momifiée de 1,5m, portant une couronnne, se trouve dans la pyramide...

leurs recherches continuent et l'équipe conclue à l'existence d'une ligne droite qui va de Sarych à Baia Kamyshovaia du nord ouest au sud est, et que sur cette ligne se trouvent 7 pyramides! l'une d'elle se trouvant sous la mer, près de la ville de foros...

après quelques temps, l'équipe affirme ensuite qu'il y a la possibilité de l'existence de 30 pyramides dans la presque ile de crimée, et qu'il y a également une anomalie souterraine d'une forme particulière allongée vers l'ouest qui pourrait être un sphinx...

ces découvertes remplissent les équipes d'enthousiasme, cependant toutes ces pyramides se trouvant sous terre, il faut beaucoup d'argent pour les mettre à jour et les déblayer

cependant, la ville de sébastopol n'est pas intéressée, ni l'académie des sciences ukrainienne, l'insistance de l'équipe permet seulement de mettre en place une fouille du sol de la région, qui ne donnera que des résultats déjà connus : des signes d'habitations anciennes remontant jusqu'à -400 ans av jc

évidemment, l'équipe affirmait que ce qui est intéressant se trouve dans les profondeurs du sol...

l'équipe ne peut pas continuer son travail seul, elle se met alors à faire des théories, qui sont totalement contraire à celles des académies classiques, ce qui aboutit au fait que les institutions n'ont plus aucune envie de sponsoriser des recherches

gokh et son équipe sont donc relégués au groupe des "fanatiques des pyramides"

en effet, leurs théories sont complexes et très originales, en résumé :

il y a un système global de pyramides réparties sur terre, datant d'environ 15000 ans, qui sont des régulateurs de haute technologie pour recevoir l'énergie cosmique et la modifier avant de la redistribuer à travers la planète, pour notamment contrôler et stabiliser la répartition des continents...

ils se mettent aussi à parler d'une relation avec une grande civilisation qui a disparu il y a 65 millions d'années à cause d'une météorite (cf dinosaures...), atlantis ou mu...

également mentionnées sont des théories sur la possibilité que la planète peut irradier plus d'énergie qu'elle en reçoit du soleil, et cela se fait notamment en filtrant l'énergie du centre de la glaxie à travers les pyramides et en la transmettant au centre cristallin de la terre...

à la manière de ce schéma :

13040810Ensuite l'archéologue en charge des fouille dit ceci:
Selon Vitalii Goh la pyramide a été bâtie du temps des dinosaures. « La pyramide Criméenne » a un sommet tronqué, comme une pyramide Maya, mais son apparence est plutôt Égyptienne. Elle est creusée à l’intérieur et la momie d’une créature inconnue est enterrée sous la fondation.« Sous la fondation se trouve un petit corps ayant la forme d’une momie de 1,3 à 1,4 mètres de long avec une couronne sur sa tête. » « Il y a une chambre de résonance des soi-disant Sphinx. Les pyramides ont été construites à l’époque des dinosaures, » a déclaré le scientifique dans une interview avec ICTV. Nous ne savons pas qui a construit la pyramide. Vitalii Goh a rapporté à Beki que c’est l’unique construction la plus vieille de la planète.

de la même manière qu'on a parlé des tablettes sumériennes perquisitionnées par les usa au début de l'invasion en irak (tablettes dont un scan par rayon x est nécessaire pour révéler le contenu original, qui aurait été recouvert ultérieurement par des couches d'argile supplémentaires pour réutiliser les tablettes), la légende que les usa toujours en irak aurait mis la main sur la tombe de gilgamesh, en encore la théorie de 7 pyramides en lybie enfouie sous le sahara comme la raison de l'invasion récente de ce pays, et encore d'un possible lien entre le conflit en syrie et les "villes mortes", vestiges archéologiques importants près d'alep ,

étrange coincidence la ligne 7 du metro  Depuis 1982, un nouvel embranchement a été créé au sud cette fois, en direction du Kremlin-Bicêtre

comprend la station 6 Crimée en direction de pyramide   stalingrade et de kremlin  en passant par les gobelins  Le terme remonterait au latin chrétien *gobalus « génie domestique », emprunt hypothétique au grec κοβαλος « lutin, génie malfaisant »OU DJINN batisseurs

[34.12]

Et à Salomon (Nous avons assujetti) le vent, dont le parcours du matin équivaut à un mois (de marche) et le parcours du soir, un mois aussi. Et pour lui nous avons fait couler la source de cuivre. Et parmi les djinns il y en a qui travaillaient sous ses ordres, par permission de son Seigneur.

Quiconque d’entre eux, cependant, déviait de Notre ordre, Nous lui faisions gouter le châtiment de la fournaise.

Ils exécutaient pour lui ce qu’il voulait: sanctuaires, statues, plateaux comme des bassin et marmites bien ancrées.

[38.36]

Nous lui assujettîmes alors le vent qui, par son ordre, soufflait modérément partout où il voulait.

De même que les diables, bâtisseurs et plongeurs de toutes sortes.

Pour guider sa nation vers les moyens susceptibles de repousser les tentations du Démon le Prophète, qu’Allah le bénisse et le salue, dit: «Le Démon vient vers l’un d’entre vous et dit: – Qui a créé telle chose ? Qui a créé telle autre chose ? jusqu’à demander qui a créé ton Seigneur?. Arrivé a ce stade, le serviteur doit rechercher la protection du Seigneur et en finir» (Rapporté par Al-Boukhari).

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13 mai 2015

Doc : Signes secrets des mains des Francs-Maçons et symboles cabalistiques occultes

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Signes secrets des mains des Francs-Maçons et symboles cabalistiques occultes

2 juin 2014

Des biologistes californiens viennent de créer une bactérie dotée d’un code génétique alien

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Des biologistes californiens viennent d’annonce avoir créé une bactérie dotée d’un code génétique d’un nouveau genre, inventé par l’homme. Un autre alphabet, enrichi, de la vie. Une prouesse technique ?  Une folie demain incontrôlable ? « First life with “ alien” DNA » titre  Nature qui publie cette première. La revue ajoute : An engineered bacterium is able to copy DNA that contains unnatural genetic letters.

L’anglais est toujours plus performant pour dire, synthétiquement, l’effrayant. « Scientists Add Letters to DNA’s Alphabet, Raising Hope and Fear » ajoute The New York Times (Andrew  Pollack) (voir ici)

Historique

A l’exception du Monde  et de Slate.fr  (disclaimer) les médias français ne se sont guère intéressés au sujet. Pont du 8 mai ?  Pour l’heure, retenez ces noms : Denis A. Malyshev et Floyd Romesberg. Ces biologistes travaillent au Scripps Research Institute de La Jolla (Californie). Avec six de leurs collègues ils annoncent avoir franchi une nouvelle étape, historique, dans la manipulation du vivant. Cette équipe signe donc dans Nature  une communication qui pourrait faire date dans l’histoire de la biologie (1).

Ils annoncent la création d’une bactérie porteuse d’un patrimoine génétique qui n’a jamais existé depuis le début de la vie sur la Terre : une bactérie dont le code génétique n’est plus seulement constitué des « quatre lettres  de l’alphabet du vivant » : les quatre « bases azotées » A, T, C, G structurant la célèbre hélice de l’ADN. Mais une bactérie comportant en son sein ces quatre « lettres » associées à deux autres, synthétiques, créées par les chercheurs américains. Il faudra bien vite écrire une suite à Gattaca.

Bactéries « augmentées »

En pratique l’équipe américaine annonce avoir réussi à intégrer dans le génome d’une Escherichia coli, une nouvelle paire de bases baptisées  « d5SICS » et « dNaM ». La prouesse technique réside dans le fait que ces deux éléments ont non seulement été « tolérés » par Escherischia coli mais que cette bactérie les a intégré au sein de son propre mécanisme de reproduction d’elle-même. En d’autres termes ces structures artificielles sont présentes dans la quasi-totalité de la descendance des bactéries artificiellement « augmentées ».  C’est cette transmission au fil de la réplication bactérienne qui constitue une  première.

L’affaire couvait de longue date. Il y a treize ans précisément  (Science du 20 avril 2001) nous découvrions les travaux de l’équipe américaine dirigée par Peter G. Schultz (Scripps Research Institute de La Jolla, déjà) et de celle, franco-américaine, dirigée par Philippe Marlière, fondateur de la société Evologic. Ces chercheurs étaient parvenus à créer, de deux manières différentes, une Escherichia coli ne correspondant plus vraiment aux règles du code génétique naturel, et contenant, en son sein, un acide aminé modifié.

Greffe synthétique

Le résultat d’aujourd’hui n’a été obtenu qu’au prix d’une succession de manipulations complexes. Il s’agissait en substance d’obtenir que ce microorganisme fruit d’une très longue évolution « accepte » cette greffe synthétique de nouvelles « lettres » du vivant.  Pour l’heure ces lettres sont tolérées au sein du vivant bactérien, ce qui constitue en soi un événement.

L’étape suivant, plus attendue encore, est de savoir si cette greffe s’intègrera pleinement dans l’intimité de la machinerie bactérienne et comment elle en modifiera le sens et les fonctions. Une intégration qui se transmettra d’elle-même. Que restera-t-il alors de l’antique Escherischia coli et quels seront les profils et les performances  des nouvelles Escherischia coli « augmentées » ?

Biologie réinventée

Il ne s’agit plus ici  d’une simple « recombinaison » de fragments de génomes créés à partir d’un alphabet du vivant, alphabet tenu jusqu’ici pour universel et indépassable. Il s’agit bien au contraire de la création d’une vie bactérienne nouvelle à partir d’un alphabet « enrichi » de deux nouvelles « bases ». De ce point de vue les perspectives ouvertes sont considérables, enthousiasmantes pour les uns, potentiellement effrayantes pour d’autres. Ces travaux réactivent à quarante de distance et sur une toute autre échelle les angoisses nées avec l’émergence des nouvelles techniques dite de « génie génétique » qui ont donné naissance aux OGM.

La publication de Nature pourrait bien être l’étape précédant une sorte de biologie réinventée, complétée, renouvelée par l’homme. Deux écoles s’opposent déjà. Pour les uns on peut voir là un Eldorado avec d’innombrables applications dans les champs environnementaux, énergétiques ou médicaux. Pour les autres il faudra vite déchanter quant aux applications commerciales.

Démiurge

Il semble clair, en revanche que l’homme a créé là des microorganismes bactériens qui pourront pianoter sur un nouveau clavier, infiniment plus large, de son métabolisme et de sa reproduction ; des microorganismes à mi chemin du naturel et de l’artificiel, aux frontières du « paranaturel » ; des bactéries comme frankensteinisées. On parle déjà ici de xénobiologie. Le chercheur français Philippe Marlière   voit la xébobiologie  comme la discipline qui verra la création de formes de vie radicalement étrangères à celles connues sur Terre, qu’il s’agisse de la chimie ou du codage génétique.

« Les travaux de Denis A. Malyshev et Floyd Romesberg  constituent le franchissement d’un « cap symbolique historique, a-t-il déclaré au Monde. Une troisième paire de bases entièrement artificielle a pu être répliquée in vivo. Il ne s’agit que de quelques générations dans une bactérie, mais le Rubicon est franchi. » M. Marlière ne dit pas ce qui attend l’homme sur l’autre rive du Rubicon. Ni ce qui, généralement, attend le démiurge au tournant.

A demain

(1)    A semi-synthetic organism with an expanded genetic alphabetDenis A. MalyshevKirandeep Dhami,Thomas Lavergne,Tingjian Chen,Nan Dai,Jeremy M. Foster,Ivan R. Corrêa & Floyd E. Romesberg Nature (2014 )doi:10.1038/nature13314

Pour l’histoire (et pour les spécialistes), l’abstract de la publication de Nature  :

« Organisms are defined by the information encoded in their genomes, and since the origin of life this information has been encoded using a two-base-pair genetic alphabet (A–T and G–C). In vitro, the alphabet has been expanded to include several unnatural base pairs (UBPs). We have developed a class of UBPs formed between nucleotides bearing hydrophobic nucleobases, exemplified by the pair formed between d5SICS and dNaM (d5SICS–dNaM), which is efficiently PCR-amplified1 and transcribed in vitro, and whose unique mechanism of replication has been characterized67. However, expansion of an organism’s genetic alphabet presents new and unprecedented challenges: the unnatural nucleoside triphosphates must be available inside the cell; endogenous polymerases must be able to use the unnatural triphosphates to faithfully replicate DNA containing the UBP within the complex cellular milieu; and finally, the UBP must be stable in the presence of pathways that maintain the integrity of DNA. Here we show that an exogenously expressed algal nucleotide triphosphate transporter efficiently imports the triphosphates of both d5SICS and dNaM (d5SICSTP and dNaMTP) into Escherichia coli, and that the endogenous replication machinery uses them to accurately replicate a plasmid containing d5SICS–dNaM. Neither the presence of the unnatural triphosphates nor the replication of the UBP introduces a notable growth burden. Lastly, we find that the UBP is not efficiently excised by DNA repair pathways. Thus, the resulting bacterium is the first organism to propagate stably an expanded genetic alphabet. »

http://jeanyvesnau.com/2014/05/08/le-code-genetique-a-ete-viole-avec-succes-ladn-nest-plus-ce-quil-a-ete/

27 mai 2014

Les Aliens Viennent des Enfers

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Les satanistes qui contrôlent les gouvernement, la NASA et les bases militaires secrètes comme la zone 51 utilisent à la fois l'occultisme et la technologie pour faire perdre pied à l'humanité.

Ils veulent que vous confondiez le monde des esprits (démons déguisés en aliens, petit-gris, reptiliens et autres créatures démoniaques) avec le monde réel (technologie d'engins volants à propulsion électro-magnétique, hologrammes géants, show spatial, mind control, Blue Beam.cesetres polymorphes peuplaient la terre avant lepremier homme cruel violent et sanguinaire ils furent detruit etlessurvivant repoussaient sur lesiles etal'interieur de laterre le peredeces creature etait satan paradoration envers dieu ilpris latete d'une armée d'ange et detruisit sa propre race ,il etait le genie leplus croyant et celui qui adoré le mieux dieu pour le remmercier, il fut elevé parmi les anges lui le djinn ,là les adorateurs de ce genie aime à le dire ange ,mais c'estfaux les anges etant sans libre arbitre ne desobeissent jamais àdieu ,lui etait un djinn avec un libre arbitre ,il est aussi leplusgrand scientifique sur terre d'ailleurs ceux qui ont pactisés avec lui obtinrent un avantage technologique qui leur permet de dominer le monde aujourdhui ......

 

27 mai 2014

La paralysie du sommeil ou attaque des invisibles .

La paralysie du sommeil ou attaque des invisibles .
La croyance dans la possibilité de relations sexuelles entre un esprit et un mortel, homme ou femme, est très ancienne et présente sur la Terre entière. Dans la mythologie grecque, le fruit d’une telle union étrange était un demi-dieu. Avec l’arrivée...
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23 janvier 2014

Les soucoupes volantes viennent de l'intérieur de la Terre 1ere partie

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Les soucoupes volantes viennent de l'intérieur de la Terre. Nous allons maintenant citer Ray Palmer, rédacteur en chef de Soucoupes volantes, expert en la matière, convaincu que les découvertes de l'amiral Byrd aux deux pôles offrent une explication sur l'origine des soucoupes volantes. Ray Palmer croit, en effet, que les engins volants non identifiés ne viennent pas d'autres planètes, mais de l'intérieur de la Terre, où existe une civilisation très en avance sur la nôtre en matière d'aéronautique, utilisant les soucoupes volantes pour leurs voyages aériens, et se propulsant à la surface de la Terre par l'intermédiaire des ouvertures polaires. La Terre creuse  Voici comment Palmer explique son point de vue « La Terre est-elle bien connue ? N'existe-t-il aucun endroit sur Terre qui pourrait nous fournir une explication possible sur l'origine des soucoupes volantes ? Il y en a deux. Ils se trouvent dans l'Arctique et dans l'Antarctique. « Les deux vols de l'amiral Byrd aux pôles prouvent que la configuration de notre globe dans ces régions a quelque chose « d'étrange ». Byrd s'envola vers le pôle Nord, mais ne s'y arrêta pas. Il continua au-delà, sur une distance de 2 700 kilomètres, puis fut obligé de rebrousser chemin, car sa réserve d'essence diminuait. Comme l'appareil progressait au-delà du pôle, apparurent des régions libres de glace, avec des lacs et des montagnes couvertes d'arbres, et même à un moment un animal monstrueux qui ressemblait à un mammouth de l'Antiquité. Tout cela fut rapporté par les occupants de l'avion. Pendant presque la totalité du voyage, l'appareil survola un paysage de montagnes, de forêts, de lacs et de rivières. « Quel était ce pays inconnu ? Est-ce que Byrd en naviguant plein nord était entré dans l'intérieur creux de la Terre à travers l'ouverture polaire ? « Avec la dernière expédition de Byrd au pôle Sud, nous pénétrons une fois de plus dans une région mystérieuse et inconnue, dont il n'est fait mention sur auc une carte. Et une fois de plus, après la première annonce de l'événement, c'est le silence total. Des milli ons de gens apprennent la chose - et quelle chose ! Elle mériterait au moins quelques commentaires. Mais rien ! La curiosité du public s'aiguise... dans le vide. On se heurte à un mur. Vraiment étrange... « Et pourtant les faits sont là.

Aux deux pôles existent de vastes éte ndues de terre inconnues, apparemment habitables, dont la superficie peut à peine êt re calculée. Cette superficie doit être énorme, peut- être aussi grande que celle des Etats-Unis tout entiers en ce qui concerne le pôle Nord, et encore plus grande au pôle Sud. « Les soucoupes volantes pourraient venir de ces deux terres inconnues " au-delà des pôles ". Notre opinion est que l'existence de ces terres ne peut être ré futée par personne, si l'on veut bien considérer sans préjugés les faits que nous venons d'énoncer. » Voilà ce que dit Ray Palmer. Et une fois de plus la question essentielle est posée. Si l'amiral Byrd a proclamé devant tous que son expédition au pôle Sud ét ait « la plus importante de l'histoire du monde », et si, au retour, il a ajouté : « La présente expédition a ouvert une nouvelle et vaste terre », par quel phénomène étrange et inexplicable une telle découvert e est-elle pratiquement entrée dans l'oubli ? Des raisons politiques. Il n'y a qu'une seule réponse rationnelle à ce mystère. Après la brève annonce publiée dans la presse américaine, et basée sur le rapport radio de Byrd, toute publicité ultérieure a été supprimée par le gouvernement, pour qui Byrd travaillait, et qui ava it des raisons politiques importantes à cacher cette découverte. Car les terres étranges survolées par l'amir al aux deux pôles sur une distance totale de 6 400 kilomètres sont probablement aussi grandes que l'Am érique du Nord et l'Amérique du Sud réunies. Et il est évident que le gouvernement des Etats-Unis a craint qu'un autre pays n'entreprenne des vols similaires et n'aille plus loin, jusqu'à revendiquer ces territoires pour son propre compte. « Considérant tout cela, écrit Ray Palmer, il n'est pas étonnant que les nations du monde entier se soient soudain vivement intéressées aux régions polaire s - et particulièrement à l'Antarctique - et qu'elles aient entrepris des explorations de grande envergure. » Cette terre, centre du mystère. Palmer estime que le nouveau territoire découvert par Byrd, et qui n'est mentionné sur aucune carte, se trouve à l'intérieur, et non à l'extérieur de notre gl obe. C'est pour cela que le grand explorateur l'a appelé « le Grand Inconnu ».

La Terre creuse Après avoir discuté de la signification du terme « au-delà » employé par Byrd, et non « au-dessus » ou « au travers » des pôles, Palmer conclut que la terre inconnue de Byrd se situe à l'intérieur des concavités polaires, et qu'elle jouit d'un climat cha ud puisqu'on y découvre une végétation verte et une vie animale. Voici ce qu'écrit encore Ray Palmer sur la question « En février 1947, l'amiral Richard E. Byrd fit la décl aration suivante : « J'aimerais voir cette terre au- delà du pôle. Cette terre qui est le centre du Grand Inconnu. » « Des millions de gens lurent cette déclaration da ns leurs journaux quotidiens. Des millions de gens se passionnèrent pour le vol de Byrd au-delà du pôle No rd. Des millions de gens entendirent la description radiodiffusée du vol, qui fut publiée aussi par les journaux. « De quelle terre était-il question ? Regardez une car te. Calculez les distances de tous les points connus Sibérie, Spitzberg, Alaska, Ca nada, Finlande, Norvège, Groenland, Islande... Ils sont à peu près tous à moins de 2 700 kilomètres du pôle. Et pourtant Byrd n'a survolé aucune terre connue. Ce qu'il a découvert, il l'a nommé lui-même « le Grand Inc onnu ». Et combien grand, en effet ! Car après 2 700 kilomètres de vol, il fut contraint de faire demi-tour par manque d'essence, et à ce moment il était loin d'avoir atteint les limites de ce territoire. Il n'aurait dû voir au-dessous de lui qu'un océan en partie bloqué par les glaces. Au lieu de cela, il survola des montagnes c ouvertes de forêts! « De forêts ! « Incroyable ! L'extrême limite des régions boisées se situe assez bas dans l'Alaska, le Canada et la Sibérie. Au nord de cette ligne, aucun arbre ne pousse ! Ce qui veut dire que, l ogiquement, tout autour du pôle Nord, on ne doit apercevoir le plus petit arbre dans un rayon de 2 700 kilomètres ! « Alors ? « Alors il faut croire que l'amiral Byrd a bien pénétré dans cette terre au-delà du pôle, cette terre qu'il désirait tant voir parce qu'elle était le centre du mystère. Un problème de navigation. « Pourtant, aujourd'hui, on ne trouve fait mention nulle part de cette terre mystérieuse. Pourquoi ? Le raid accompli par Byrd en 1947 était-il une fiction ? Les journaux ont-ils tous menti ? Menti aussi le radio qui émettait de l'avion de Byrd ? « Non, l'amiral Byrd a bien volé au-delà du pôle. « Au-delà ? « Que voulait dire l'amiral quand il a employé ce mo t ? Comment est-il possible d'aller " au-delà " du pôle ? Réfléchissons un instant. Imaginons que nous soyons transporté d'un coup de baguette magique au point exact du pôle Nord magnétique. Nous y arrivons in stantanément, sans savoir de quelle direction nous venons. Tout ce que nous savons, c'est que nous voulons alle r du pôle au Stipzberg. Mais où est le Spitzberg ? Quelle direction devons-nous prendre ? Celle du Sud, bien sûr ! Mais quel Sud ? Du pôle Nord, toutes les directions vont vers le Sud ! « C'est un simple problème de navigation. Toutes le s expéditions polaires, terrestres, maritimes, ou aériennes, ont dû faire face à ce problème.

Ou bien elles doivent revenir sur leurs pas, ou bien il leur faut découvrir quelle direction vers le Sud est la bonne, et cela quel que soit l'objet de la destination. Le problème est résolu de la façon suivante : on choisit une dir ection au hasard, n'importe laquelle, et on avance d'une vingtaine de milles ; puis on s'arrête, on fait le point à l'ai de des étoiles et de la boussole (l'aiguille aimantée n'est plus dirigée vers le bas mais vers le pôle Nord magnétique), et on trace la rout e sur la carte. Si on veut aller au Spitzberg, pour reprendre notre exemple, c'est alors facile de prendre la bonne direction vers le Sud. La Terre creuse  « L'amiral Byrd, lui, n'a pas suivi ce procédé trad itionnel de navigation. Une fois le pôle atteint, il continua sa route plein Nord sur une distance de 2 700 kilomètres. Et aussi étrange que cela paraisse, il a atteint cette « terre au-delà du pôle » qui, jusqu'à ce j our, si nous consultons les archives des journaux, des livres, de la radio et de la télévision, n'a jamais plus été explorée. « Cette terre, sur les cartes actuelles, ne peut pas exister. Et pourtant... elle existe, comme nous venons de le voir. Il faut donc en conclure que les car tes actuelles sont inexactes, incomplètes, et ne donnent pas une véritable image de l'hémisphère Nord. « Quoi qu'il en soit, il ne fait aucun doute pour nous qu'a été localisée dans le Nord une vaste étendue de terre - le centre du Grand Inconnu - dont les 2 700 kilomètres parcourus par Byrd ne sont qu'une infime partie. » Un black-out étrange, Une découverte aussi importante aurait dû être universellement connue. Seulement voilà, comme nous l'avons dit, le gouvernement américain fit le blackout total sur cette affaire, et il y réussit si bien qu'elle était pratiquement oubliée lorsque Giannini s'avisa de la mentionner dans son livre : M ondes au-delà des pôles, publié à New York en 1959. Mais là encore, par quelque étrange et obscure raison, le livre de Giannini ne reçut pas la publicité qu'il méritait et n'atteignit pas le grand public.

Cependant, à la fin de cette même année 1959, Ray Pa lmer prit connaissance de cet ouvrage, et il fut tellement impressionné par l'aventure fabuleuse de Byrd qu'il en parla aussitôt dans son magazine Soucoupes volantes, largement distribué dans tous les Etats-Unis. L'information parut dans le numéro de décembre 1959. A la suite de quoi se produisit une séri e d'incidents bizarres indiquant que des forces secrètes étaient à l'œuvre pour couper court à cette information et l'empêcher d'atteindre la grande masse des lecteurs. Quelles étaient ces forces secrètes ? Et quelles raisons particulières pouvaient-elles avoir de faire obstacle à une telle publication ? La réponse est facile : ces forces étaient les mêmes que celles qui avaient opéré au lendemain de la découverte de Byrd, et elles avaient les mêmes raisons de s'opposer à tous commentaires concertant cette découverte. Les révélations de Palmer sur les découvertes de By rd dans l'Arctique et l'Antarctique donnèrent pour la première fois une large publicité à l'extraordinaire av enture de l'explorateur. Elles avaient une portée plus grande que les chapitres que leur avait consacrés Giannini dans un livre au tirage restreint et qui n' avait bénéficié d'aucun lancement. C'est pour cela qu'on chercha à stopper leur divulgation sur une grande échelle. Des incidents bizarres. Le numéro de Soucoupes volantes, daté de d écembre 1959, était prêt à être distribué aux abonnés et mis en vente dans les kiosques, lorsqu'il fut retiré mystérieusement de la circulation. Quand la camionnette venant de l'imprimerie avec les paquets de magazines arriva chez l'éditeur, on n'y trouva plus le moindre exemplaire. Elle était vide ! L'éditeur téléphona à l'im primeur. Qu'est-ce que cela voulait dire ? L'imprimeur chercha dans ses papiers, mais ne trouva aucun récépi ssé prouvant que l'expédition avait été faite. Le tirage de ce numéro ayant été payé, l'imprimeur fut prié de remettre les presses en marche et de faire un nouveau tirage.

Mais, coïncidence étrange, les clichés étaient en si mauvais état qu'une réimpression immédiate était impossible. Où étaient passés les milliers d'exemplaires qui avaient été imprimés ? Pourquoi n'avait-on pas retrouvé le bon d'expédition ? S'il avait été égaré, et si les magazines avaient été envoyés à une mauvaise adresse, ils auraient dû être retournés à l'expéditeur. Or, ils ne le furent pas. Résultat : 5 000 abonnés ne reçurent pas le magazi ne. Un distributeur qui avait 750 exemplaires à vendre fut porté disparu, et les 750 exemplaires s'éva nouirent avec lui. Les magazines avaient été envoyés avec prière de les retourner en cas de non réception. On ne les revit jamais. Bref, ce fameux numéro de La Terre creuse 15 décembre 1959 disparut complètement. Néanmoins, plusieurs mois après, il était réimprimé et envoyé aux abonnés. Quelle bombe contenait donc ce magazine ? Simplement - et c'était beaucoup - un compte rendu du vol de l'amiral Byrd au-delà du pôle Nord, en 1947. C'était suffisant pour le faire considérer comme dangereux par les forces occultes qui tentaient de mainte nir à tout prix le black-out sur les découvertes de Byrd. La théorie de Giannini. De larges passages du livre de Giannini, Mondes au-delà des pôles, étaient cités dans le magazine. Voici ce qu'écrit Giannini « Depuis le 12 décembre 1929, les expéditions polaires de la Marine U.S. ont constaté l'existence d'une terre indéterminée au-delà des pôles. « Le 13 janvier 1956, alors que ce livre était en prépar ation, une unité de l'Air U.S. pénétrait sur une distance de 3 700 kilomètres au-delà du pôle Sud, qu'on supposait être le bout du monde. Pour des raisons majeures, cette randonnée mémorable fut négligée par la presse qui se contenta de la mentionner brièvement. « Les Etats-Unis, ainsi qu'une trentaine d'autres nations, préparèrent des expéditions polaires sans précédent au cours des années 1957-1958, ayant pour objectif de pénétrer dans cette terre au-delà des pôles.

Lorsqu'en 1926 j'avais émis l'idée d'une terre inconnue s ituée dans les hémisphères Nord et Sud, la presse avait décrété que cette affirmation était encore " plus audacieuse que tout ce que Jules Verne avait jamais imaginé ". » Et il est vrai, en effet, que le monde scientifique ne prêta aucune attention à l'étrange et révolution- naire théorie géographique que Giannini présentait dans son livre. On l'ignora, on la considéra comme une fantaisie sans fondement, un délire relevant de la scie nce-fiction. Et pourtant... Et pourtant les déclarations de l'amiral Byrd n'ont de sens que si on veut bien accepter cette théorie. Giannini écrit « Les extrémités nord et sud de la Terre n'ont pas de fi n réelle. On ne peut pas en faire le tour, au sens propre du terme. Cependant certains vols qualifiés d' " autour du monde " ont cont ribué à entretenir dans l'opinion l'idée fausse que la Terre peut être " circumnaviguée " au nord et au sud. « Franchir le pôle Nord et revenir vers la zone te mpérée, sans en faire le tour, est une chose impos- sible à réaliser. Il en est de même pour le pôle Sud. « L'existence de mondes au-delà des pôles a été confirmée par les explorations polaire s U.S. au long des trente dernières années. La plus importante étant celle du plus vieil explorateur du monde, le vice amiral Richard E. Byrd. » On n'a jamais survolé le pôle. Commentant les déclarations de Giannini sur l'impossibilité de continuer plein nord après le pôle et d'atteindre l'autre côté de la Terre (ce qui serait le cas si la Terre était convexe au lieu d'être concave au pôle), Ray Palmer écrit dans son magazine « Beaucoup de lecteurs croient que des vols comme rciaux franchissent continuellement le pôle et passent de l'autre côté de notre globe. Cela n'est pa s vrai, bien que les officiels des lignes aériennes, quand on les questionne, prétendent le contraire. Et pour quoi n'est-ce pas vrai ? Parce qu'interviennent des manœuvres de navigation qui éliminent automatiqueme nt tout vol en ligne droite au-delà du pôle.  Circumnavigation : voyage maritime (aérien) autour d'un continent. (NA.T.) La Terre creuse  « En examinant le trajet des vols à travers les régions polaires, nous nous apercevons que ce trajet contourne toujours le pôle, ou passe à côté, mais qu'il ne le survole jamais. N'est-ce pas étrange ? Il ne fait aucun doute que si on annonçait un vol passant directement au-dessus du pôle Nord, il attirerait un grand nombre de passagers désireux d'éprouver une sensati on nouvelle. Or, chose bizarre, aucune ligne aérienne n'a jamais offert un tel vol.

Tous les itinéraires passent à côté de ce point stratégique. Pourquoi ? Ne serait- ce pas parce que, si le pôle était vraiment franchi, l'avion, au lieu d'aborder l'autre côté du globe, s'enfoncerait dans cette terre au-delà du pôle, " le centre du Grand Inconnu ", comme l'appelait Byrd ? » Palmer suggère qu'une expédition avançant toujours pl ein nord devrait être organisée, reconstituant le trajet de l'amiral Byrd, et continuant sur sa lancée jusqu'à ce que soit atteint l'intérieur creux de la Terre. Apparemment, cela n'a jamais été tenté. Et pourtant la Marine des Etats-Unis possède dans ses archives un compte rendu des vols et des découvertes de Byrd. Peut-ê tre faut-il chercher la raison de cet oubli dans la nouvelle conception géographique de la Terre au ni veau des régions polaires. Conception qu'il est nécessaire d'accepter pour pouvoir donner toute leur signi fication aux découvertes de Byrd. Et comme, évidemment, les chefs de la Marine n'attachent pas une grande importance à cette théorie - quand ils ne l'ignorent pas -, il leur a été difficile d'apprécier à leur juste et réelle valeur les rapports de l'amiral. Ce qu'a dit plus haut Palmer, concernant les r outes aériennes commerciales qui ne passent pas au- dessus du pôle Nord, semble fondé à la lumière des nouvelles découvertes soviétiques sur le pôle magné- tique. Les Russes ont trouvé que le pôle magnétique n'éta it pas un point, mais une ligne. Cette ligne, nous pensons, quant à nous, qu'elle est circulaire et qu'elle délimite les bords de la concavité polaire. De sorte que n'importe quel point sur ce cercle pourrait être identifié au pôle Nord magnétique. Il serait alors impossible aux avions de traverser le pôle Nord, celui-c i se situant au centre de la dépression polaire, et non à la surface de la Terre. En effet, quand les pilotes croient atteindre le pôle Nord, après avoir fait les corrections habituelles de navigation, ils se trouvent en réalité sur le bord de la concavité polaire, là où se tient le pôle magnétique. Une technique de vol pour entrer dans la dépression polaire, Se référant à l'ouvrage de Giannini, Palmer commente « Ce livre étrange nous fournit la preuve définitive que la Terre revêt une forme étrange aux pôles. Elle n'est pas nécessairement creuse d'un bout à l'au tre, mais se présente un peu comme un beignet qui aurait beaucoup gonflé en cuisant et laisserait apparaître une profonde dépression à chaque extrémité. « Aucun être humain n'a jamais volé directement au-dessus du pôle Nord et continué tout droit. Moi, je pense que ce devrait être fait, et fait immédiatement. Et je voudrais être sûr qu'un tel vol ne se terminerait pas dans une des régions environnant le pôle, exact ement à l'opposé du point de départ. Il serait utile d'apporter un soin particulier à la technique de na vigation. Premier point : éliminer la boussole ou la triangulation sur les cartes existantes, et utiliser uni quement le gyrocompas qui permet de garder une direction droite, constante et invariable depuis l'inst ant du décollage jusqu'à celui de l'atterrissage. Et pas seulement un gyrocompas à plan horizontal, mais un aussi à plan vertical (une fois entré dans l'ouverture polaire). Voilà un point positif, indiscutable. « On sait qu'un gyrocompas horizontal, comme il en ex iste actuellement, permet à un avion de gagner continuellement de la hauteur à mesure que la Terre d écrit une courbe au-dessous de lui. Or, suivant notre théorie de la dépression polaire, cel a signifierait que lorsqu'un avion entre dans cette dépression le gyro- compas devrait indiquer une augmentation d'altitude plus importante que celle qu'il enregistrerait norma- lement, cette différence étant attribuable à la courbure in térieure de la Terre au pôle.

Si l'avion poursuit sa route vers le Nord, cette augmentation d'altitude ira croi ssant ; mais si, par contre, l'appareil essaie de se maintenir à la même hauteur, il suivra la courbe inte rne de la dépression polaire et plongera dans le creux intérieur de la Terre. » La Terre creuse Une série d'articles de Giannini. Voici maintenant ce qu'écrivit Giannini à un lecteur de Soucoupes volantes qui lui demandait certaines précisions « Le bureau de la Recherche navale de New York avait aimablement accordé à l'auteur la permission d'envoyer un message radio à l'amiral Byrd, message ad ressé à sa base arctique en février 1947, et lui souhaitant bonne chance. « L'amiral Byrd venait d'annoncer dans la presse " J'aimerais voir la terre au-delà du pôle. Cette terre est le centre du Grand Inconnu. " A la suite de cela, Byrd et un corps expéditionnaire effe ctuèrent un vol de sept heures sur une distance de 2 700 kilomètres au-delà du pôle Nord considéré comme le " bout " de la Terre. « En janvier 1947, avant le fameux vol, l'auteur réussit à vendre une série d'articles à une agence internationale de presse, et cela uni quement en donnant l'assurance au directeur de l'agence que Byrd irait véritablement au-delà de ce point fictif qu'est le pôle. « Le résultat ne se fit pas attendre. Dès que les ar ticles parurent dans la presse, le bureau des Ren- seignements de la Marine rendit visite à l'auteur. Cette enquête prouvait en tout cas une chose : que les théories révolutionnaires de l'auteur n'étaient pas aussi fantaisistes qu'on voulait bien le croire, et qu'elles trouvaient une confirmation définitive dans le vol de Byrd. « Plus tard, en mars 1958, l'auteur prononça une allocution radiophonique dans le Missouri, dans laquelle il soulignait l'importance de la découverte de l'amiral Byrd. » Evoquant les comptes rendus de la presse new-yorkaise sur l'expédition de Byrd de février 1947, Giannini écrit « Ces dépêches, décrivant le vol de Byrd au-dessus de terres et de lacs d'eau douce, se multiplièrent jusqu'au moment où une censure stricte fut imposée de Washington. » A la porte du Royaume intérieur de la Terre. Un autre écrivain américain s'intéressant aux UFOs , Michael X, impressionné par les découvertes de Byrd, arriva à la conclusion que les soucoupes volantes venaient d'une civilisation avancée à l'intérieur de la Terre. Byrd en avait visité les zones limitrophes. Michael X décrit ainsi le voyage de Byrd « Il y avait une étrange vallée au-dessous d'eux. Cette vallée, bizarrement, n'était pas couverte de glace, comme cela aurait dû être le cas. Elle était verte et luxur iante. Il y avait des montagnes avec d'épaisses forêts, de l'herbe grasse et des broussailles. Encore plus st upéfiant, un immense animal fut observé, avançant dans ces broussailles. Dans une région de glace, de neige et de froid intense, c'était à peine croyable. « Quand l'amiral entra dans ce territoire inconnu, où se trouvait-il en réalité ? A la lumière des théories de Marshall Gardner, on peut répondre qu'il éta it précisément à la porte du Royaume intérieur de la Terre. « L'Alaska et le Canada ont fourni ces derniers temps un grand nombre de témoignages de gens qui avaient aperçu des soucoupes volantes. Y a-t-il un rapport avec la " terre au-delà du pôle " - ce territoire inconnu situé à l'intérieur de notre globe ? « Nous pensons que si les soucoupes volantes sortent de l'intérieur de la Terre, et y retournent en passant par les ouvertures polaires, il est logique qu' elles soient aperçues d'une manière beaucoup plus fréquente par les habitants de l'Alaska et du Canada, ces pays étant évidemment très proches du pôle. » L'Oasis de Bunger.

La Terre creuse  Les observations ci-dessus - qui font état d'une forte concentration de soucoupes volantes dans la région arctique - correspondent à de semblables obs ervations faites par Bender et Jarrold dans l'An- tarctique. Certains experts pensent d'ailleurs que l'Anta rctique sert de base d'atterrissage aux UFOs. Quoi qu'il en soit, suivant la théorie développée dans le présent ouvrage, une chose est sûre : c'est par les ouvertures polaires qu'on peut avoir accès au Monde intéri eur de la Terre, c'est donc par là que passent les soucoupes volantes qui sont les super-engins aériens de ce monde. Aimé Michel, dans sa théorie de la « ligne droite », prouve que les souc oupes volantes ont presque toutes le même type de vol, suivant une direction nord-sud. Ce qui confirmerait encore, s'il en était besoin, leur origine polaire. En février 1947, à peu près à l'époque où l'amiral Byrd accomplissait son vol mémorable au-delà du pôle Nord, une importante découverte était faite dans l'Antarctique, celle de « l'Oasis de Bunger ». Le capitaine David Bunger était aux commandes d'un des six grands appareils de transport utilisés par la Marine américaine pour « l'Opération High-jump » (1946-1947). Il avait quitté la base de Shackleton, près de la Côte de la Reine Marie, dans la Terre de Wilkes, et il volait vers l'intérieur du continent antarctique, lorsque, à environ 6 kilomètres du littoral, il aperçut une région sans glace, avec des lacs. Ces lacs étaient de différentes couleurs. Cela a llait du rouge sombre au bleu profond, en passant par le vert. Ils avaient tous plus de 4 kilomètres de l ongueur. L'eau était plus chaude que dans l'océan. Bunger put le vérifier en posant son hydravion sur l'un de ces lacs. La grève était en pente douce. L'oasis représentait grossièrement un carré. Au-delà, c' était une étendue sans fin de neige éternelle et de glace. Deux des côtés de l'oasis se dressaient à près de trente mètres de hauteur et étaient constitués de grands murs de glace. Les deux autres côtés étaient moins abrupts. La présence d'une telle oasis en plein Antarctique semblerait indiquer dans cet endroit précis des conditions de températures plus clémentes. Tel qu'il en existerait si l'oasis se trouvait justement dans la dépression polaire sud ! On peut di fficilement expliquer autrement les choses. Dire que cela résulte d'une activité volcanique souterraine n'est pas une réponse satisfaisante. Ce territoire sans glace représente une surface d'environ 600 kilomètres carrés, étendue trop im portante pour être affectée par une source de cha- leur volcanique. Les courants de vent chaud en prove nance de l'intérieur de la Terre sont une meilleure explication. Ainsi, Byrd dans l'Arctique et Bunger dans l'Anta rctique ont découvert à peu près à la même époque des régions bénéficiant d'une température presque chaude. Mais ils n'ont pas été les seuls. Il y a quelque temps, un journal de Toronto, le Globe and Mail, publiait une photo d'une vallée verdoyante, prise par un aviateur dans la région arctique . Evidemment, l'aviateur avait pris le cliché en vol et n'avait pas cherché à atterrir.

C'était une belle vallée avec des collines vertes, appartenant certainement à ce même territoire que Byrd avait visité au-delà du pôle. Cette photo fut publiée en 1960. La Terre creuse  Récit d'un voyage à l'intérieur de la Terre. Autre confirmation de la découverte de l'amiral les relations d'individus affirmant qu'ils étaient entrés dans la dépression polaire nord (comme beaucoup d'explor ateurs de l'Arctique le firent sans le savoir) et avaient atteint le Monde souterrain dans l'intérieur creux de la Terre. Le Dr Nephi Cottom, de Los Angeles, a rapporté qu'un de ses patients, un homme d'origine nordique, lui avait fait le récit suivant « J'habitais près du cercle arctique, en Norvège. Un été, je décidai avec un ami de faire un voyage en bateau et d'aller aussi loin que possible dans le Nord. Nous fîmes donc une provision de nourriture pour un mois et primes la mer. Nous avions un petit bateau de pêche muni d'une voile, mais aussi d'un bon moteur. « Au bout d'un mois, nous avions pénétré très avant dans le Nord, et nous avions atteint un étrange pays qui nous surprenait par sa température. Parfois il faisait si chaud la nuit que nous n'arrivions pas à dormir. (Les explorateurs arctiques qui se sont enfoncés dans les régions polaires ont fait de semblables observations sur ces hausses de température qui parfois les poussaient à ôter leurs lourds vêtements chauds. - L'AUTEUR.) « Nous vîmes plus tard quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne dans laquelle, à un certain endroit, l'océan semblait se déverser ! Intrigués, nous continuâmes da ns cette direction, et nous nous trouvâmes bientôt en train de naviguer dans un vaste ca non qui conduisait au centre du globe. Nous n'étions pas au bout de nos surprises. Nous nous rendîmes compte un peu plus tard qu'un soleil brillait à l'intérieur de la Terre! « L'océan qui nous avait transportés au creux de la Terre se rétrécissait, devenait graduellement un fleuve. Et ce fleuve, comme nous l'apprîmes plus tard, traversait la surface interne du globe d'un bout à l'autre, de telle sorte que si on en suivait le cours jusqu'à son terme on pouvait atteindre le pôle Sud. « Comme nous le constatâmes, la surface interne de notre planète comprenait des étendues de terre et d'eau, exactement comme la surface externe.

Le soleil y était éclatant, et la vie animale et végétale s'y déve- loppait abondamment. « Au fur et à mesure que nous avancions, nous déc ouvrions un paysage fantastique. Fantastique parce que chaque chose prenait des proportions gigantesques, les plantes, les arbres... et aussi les êtres humains. Oui, les êtres humains ! Car nous en rencontrâmes, et c'était des GÉANTS. « Ils habitaient des maisons et vivaient dans des villes semblables à celles que nous avons à la surface, mais de taille plus grande. Ils utilisaient un mode de tr ansport électrique, une sorte de monorail qui suivait le bord du fleuve d'une ville à l'autre. « Certains d'entre eux aperçurent notre bateau sur le fleuve et furent très étonnés. Ils nous accueillirent amicalement, nous invitèrent à déjeuner chez eux. Mon compagnon alla dans une maison, moi dans une autre. «J'étais complètement désemparé en voyant la taille é norme de tous les objets. La table était colossale. On me donna une assiette immense, et la portion qu'elle contenait aurait pu me nourrir une semaine entière! Le géant m'offrit au dessert une grappe de raisin, et chaque grain était aussi gros qu'une pêche. Le goût en était délicieux. A l'intérieur de la Terre, les fruits et les légumes ont une saveur délicate, un parfum subtil. Rien de comparable avec ceux de "l'extérieur". « Nous demeurâmes chez les géants pendant une a nnée, goûtant leur compagnie autant qu'ils appré- ciaient la nôtre. Nous observâmes au cours de ce séjour un certain nombre de choses aussi étranges qu'inhabituelles, toujours étonnés par l'ampleur des connai ssances scientifiques dont faisaient preuve ces gens. La Terre creuse  Durant tout ce temps, ils n'affichèrent jamais la moi ndre hostilité envers nous, et ils ne firent aucune objection quand nous décidâmes de repartir chez nous. Au contra ire, ils nous offrirent même courtoisement leur protection au cas où nous en aurions eu besoin pour le voyage de retour. » Ces géants, de toute évidence, appartenaient à la race antédiluvienne des Atlantes. Ils s'étaient réfugiés à l'intérieur de la Terre pour échapper au déluge qui submergea leur continent. « Le Dieu qui fume. »

Une expérience identique d'une visite à l'intérieu r de la Terre, par l'ouverture polaire, fut rapportée par un autre Norvégien, Olaf Jansen, et consignée dans le livre The Smoky God (Le Dieu qui fume). Ce livre, écrit par Willis George Emerson, est basé sur le r écit fait par Jansen à l'auteur de son extraordinaire voyage. Le titre : Le Dieu qui fume se rapporte au soleil central situé dans l'intérieur creux de la Terre. Etant plus petit et moins brillant que le nôtre, il donne l'im pression d'être brumeux, comme entouré d'un nuage de fumée. Le livre relate la véritable expérience d'un Norvégien et de son fils qui, dans leur petit bateau de pêche, tentent avec un courage indomptable de trouver « la terre d'au-delà du vent du nord », dont ils ont entendu vanter la douceur et la beauté. Une extraordinaire te mpête les projette dans l'ouverture polaire, et ils se retrouvent à l'intérieur de la planète où ils vont séjour ner deux ans, pour ensuite revenir par l'ouverture opposée, au pôle Sud. Là, malheureusement, un iceberg coupe en deux le bateau. Le père est tué. Son fils est sauvé de justesse. Mais il passera vingt-quatre années de sa vie en prison, incarcéré pour déficience mentale. Personne n'avait cru à son histoire. Une fois relâché, il se garda bien de reparler de son aventure. Il devint pêcheur pour gagner sa vie. Au bout de vingt-six ans, ayant économisé assez d'argent, il partit pour les Etats-Unis, s'établit dans l'Illinois, et ensuite en Californie. Il avait près de 90 ans lorsque , par hasard, l'écrivain Willis George Emerson fit sa connaissance et devint son ami. Le vieillard lui rac onta alors la fantastique aventure de sa jeunesse, lui montra les cartes qu'il avait dressées de l'intérieur de la Terre. Il n'avait jamais osé reparler de cela, de peur qu'on le prenne de nouveau pour un fou et qu'on l'enferme. Mais maintenant la mort était proche, et puis Emerson était son ami. Alors... Alors le vieillard mourut, et le livre Le Dieu qui fume, racontant son étrange périple, parut en 1908. Il y est question des gens qui habitent l'intérieur de la Terre, et que lui, Olaf Jansen, et son père ont rencontrés. Ces êtres vivent de 400 à 800 ans et possèdent une science très avancée. Ils peuvent se transmettre leurs pensées en utilisant certains types de radiations, et ils possèdent des sources d'énergie plus puissantes que l'électricité. Ainsi ces engins aériens qu'ils ont mis au point, et que nous appelons soucoupes volantes, sont-ils propulsés par une énergie supérieure, tirée de l'électromagnétisme de l'atmo sphère. Quant à leur stature, elle est tout aussi remarquable. Ils mesurent entre trois et quatre mètres de haut. Il est intéressant de noter combien ce récit recoupe cel ui que nous avons cité plus haut. Pourtant ils sont tout à fait indépendants l'un de l'autre. De la même façon, la taille gigantesque des êtres humains correspond à celle des animaux, comme l'a mis en lumière l'amiral Byrd, qui, au cours de son vol au-delà du pôle Nord, aperçut un animal monstrueux ressemblant à un mammouth. Nous présenterons plus tard la théorie de Mars hall Gardner, selon laquelle les mammouths découverts gelés dans la glace ne sont pas, comme on le croit, de s animaux préhistoriques morts il y a des milliers d'années, mais d'énormes pachydermes vivant actuellement à l'intérieur de la Terre.

 
 
RAYMOND BERNARD
LA TERRE
CREUSE
La plus grande découverte géogr
aphique de l'histoire humaine
Traduit de l'américain par
ROBERT GENIN
Edition originale américaine THE HOLLOW EARTH
1969 by University Books Inc., New York.
© Editions Albin Michel, 1971.
27 décembre 2013

Découvertes au Rwanda de sépulture de créatures gigantesques qui ressemblent peu aux humains.

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Une équipe d'anthropologues a trouvé une sépulture mystérieuse dans la jungle près de la ville de Kigali au Rwanda (Afrique centrale). Le reste appartient à des créatures gigantesques qui ressemblent peu aux humains. Chef du groupe de recherche estime qu'elles pourraient être les visiteurs d'une autre planète qui est décédé à la suite d'une catastrophe.

Selon les scientifiques, ils ont été enterrés à au moins 500 ans. Dans un premier temps, les chercheurs pensaient qu'ils ont découvert les restes d'anciennes colonies, mais aucun signe de vie humaine ont été trouvés à proximité.

Le 40 fosses communes avait environ 200 cadavres en eux, tous parfaitement conservés. Les créatures étaient grands - environ 7 pieds. Leurs têtes étaient disproportionnées et ils n'avaient pas la bouche, le nez ou les yeux.

Les anthropologues croient que les créatures ont été membres d'un atterrissage extraterrestre, probablement détruit par un virus terrestres pour lesquels ils n'avaient aucune immunité. Toutefois, aucune trace de l'atterrissage du vaisseau spatial ou de ses fragments ont été découverts.


Ce n'est pas la première constatation de telles découvertes . À l'été 1937, un groupe de scientifiques chinois menés par le professeur Chi Putei interrogés les grottes du mont Bayan-Kara-Ula. A l'intérieur ils ont trouvé des squelettes avec des têtes trop grandes et les organes chétifs. A proximité il ya eu 176 plaques de pierre. Dans le centre de chaque assiette il y avait un trou à partir de laquelle une rainure en spirale répartis sur le périmètre avec des personnages sur elle.

En outre, les parois des grottes ont été couverts avec des images du soleil levant, la lune et les étoiles, avec de nombreux points peints ou de petits objets, s'approche lentement de la montagne et la surface du globe.

Les experts dans le déchiffrage des caractères anciens écrits ont été intrigués au cours de la divulgation de secrets les spirales de la grotte de Bayan-Kara-Ula depuis deux décennies. Enfin, le professeur de l'Université de Pékin Zum Umniu déchiffré plusieurs inscriptions.

Les lettres rainuré rapporté que quelque 12 mille ans des objets volants se  sont  écrasé dans ces montagnes. Archéologues chinois ont découvert une mention des peuples qui vivaient dans les grottes montagneuses de Bayan-Kara-Ula.

Un cadavre d'un autre "étranger" a été trouvé par des spéléologues turc. Une momie de l'ère glaciaire se reposait dans un sarcophage en matériau cristallin. La hauteur de la créature humanoïde mâles ne dépassent pas 1 mètre 20 centimètres, sa peau était vert clair, et il avait de grandes ailes transparentes sur ses côtés.

Selon les chercheurs, en dépit de l'aspect inhabituel de la créature ressemblait davantage à une personne plutôt que d'un animal. Son nez, lèvres, oreilles, mains, pieds, les ongles, sont très semblables à l'homme. Seuls ses yeux étaient très différentes, trois fois plus grandes que celles d'un humain, et incolore, comme des yeux de reptile.

Il n'ya pas longtemps dans l'un des tombeaux anciens égyptiens une momie d'un homme de 2,5 mètres de haut a été trouvé. Il n'avait pas de nez ou les oreilles, et sa bouche était très large et n'avait pas la langue.

Selon l'archéologue Gaston de Villars, l'âge de la momie est d'environ 4 mille ans. Il a été enterré comme un noble égyptien - soigneusement momifiés et entouré d'objets domestiques, alimentaires et de l'art conçu pour l'au-delà. Cependant, comme il a été découvert, et non pas tous les objets autour de la recherche appartiennent à la culture égyptienne ou même de la Terre. Par exemple, parmi les découvertes était un disque rond en métal poli recouverte d'étranges personnages, un costume fait de métal avec les restes de quelque chose ressemblant à des chaussures en plastique, et de nombreuses tablettes de pierre rempli d'images d'étoiles, de planètes et de machines étranges. Le Sanctuaire, où une momie étrange a été trouvée examine aussi inhabituel. L'inhumation a été faite de la matière inconnue dans l'antiquité. La pierre a été littéralement sculptés dans la roche afin que les murs étaient lisses, comme le marbre poli. Il a regardé comme si il était coupé par un laser. Incidemment, la surface de la pierre a été fusionné. Le tombeau a été décorée avec une avance de substance ressemblant.

Cependant, les «étranges» théorie ne sont pas  les seules. Selon certains chercheurs, les «géants» et «nains» pourrait être une branche latérale simple de l'humanité qui ont vécu sur Terre, mais pour quelque raison que se sont éteints. ces récits sont clairement expliqués dans les livres anciens ces races venus du ciel certes ou plutôt tombés du ciel car exclut  pour une rébellion contre la création ils vinrent en légion et s'installèrent aux quatre coins du monde en jurant qu'ils installeraient la corruption a travers le monde ,ils y sont plutôt bien arrivés quand on voit l'état de notre planète ce sont ces génies qui enseignèrent aux hommes les plus grands secrets de l'univers ,les mathématiques ,l'astrologie,la magie, et la musique de leur chef PAN. il est amusant que la compagnie PAN américaine rende un si bel hommage a cette histoire dans l'ignorance totale  du plus grand nombre ......

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1 octobre 2012

Final Events le livre d'investigation qui révèle que les OVNIs sont une tromperie démoniaque.

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Un nouveau livre affirme qu’un comité gouvernemental affilié au ministère de la Défense a conclu que les OVNIs sont une tromperie démoniaque.
Le livre s’intitule Final Events, par Nick Redfern, nous ne prétendons pas savoir dans quelle mesure il est légitime. Dans ce livre, Redfern détaille les investigations d’un groupe surnommé le « Collins Elite », qui était composé de personnels du gouvernement, de l’armée, et des services de renseignement. Selon Redfern – un auteur spécialisé dans le paranormal qui écrit sur de nombreux sujets controversés (et pour beaucoup, bizarres) – le groupe, qui comprenait des agents des renseignements G-2 de l’Armée, ainsi que des membres de la Marine et des Forces aériennes, est parvenu à la conclusion « qu’il y a au milieu de nous une intelligence sinistre dénuée de sentiments d’origine démoniaque qui se fait passer pour des « aliens ». »
Pour beaucoup, bien sûr, cela semble absurde, et ça l’est peut-être. Mais parce que nous sommes depuis longtemps préoccupés par la nature spirituelle négative des rapports sur les « aliens », nous nous permettons de diffuser cette info. Redfern dit qu’il a été informé de l’existence de ce groupe par un prêtre anglican nommé le révérend Ray Boeche de Lincoln, Nebraska, qui dans les années 1990 avait rencontré deux membres du groupe qui étaient physiciens au ministère de la Défense et chrétiens nés de nouveau. Ils ont demandé à rencontrer le ministre du culte afin d’exprimer leurs préoccupations quant à la nature maléfique de ces phénomènes.
La première réaction à la simple mention des OVNIs (« objets volants non identifiés »), bien sûr, ce sont des éclats de rire – un sentiment qu’il s’agit de quelque chose de vraiment farfelu, quelque chose qui devrait être relégué dans un bac avec la mention « lunatic fringe« . Et bien entendu, dans de nombreux cas, cela pourrait-être vrai, en particulier avec ceux qui prétendent avoir des contacts extraterrestres. Il y a certainement des cas où de telles observations d’objets ou de rencontres ou de luminosités dans le ciel ont été les produits de la mystification, de l’imagination, ou des objets mal identifiés, que ce soit un satellite, un avion, ou un ballon météo.
En tout cas, ce sont les explications que les sceptiques citent le plus souvent. Il y a des cas pour lesquels mêmes les organismes gouvernementaux, (plus récemment, l’Angleterre) admettent qu’ils n’ont aucune explication à donner, des comptes rendus qui ont des pilotes, des contrôleurs radar, ou la police comme témoins. Même l’Observatoire du Vatican a exprimé son intérêt. Les rapports de ces cas sont maintenant couramment publiés dans les « grands » médias comme Fox News (voir aussi ceci), CNN, MSNBC, la chaîne History Channel, et Discover, entre autres – ainsi que sur bon nombre de sites Internet connus.
A la fin de l’été, un ancien contrôleur des Forces aériennes, le Capitaine Robert Salas, a rompu un long silence pour annoncer publiquement qu’il avait vu un OVNI le 16 Mars 1967, à l’Air Force Base de Malmstrom dans le Montana, et que cela avait affecté l’équipement de lancement nucléaire (rendant inactifs seize missiles, ainsi que plus tard sur une deuxième installation). D’autres militaires ont également témoigné. Le dernier buzz s’est produit il y a deux semaines en Mongolie intérieure, où des fonctionnaires chinois ont fait fermer un aéroport jusqu’à ce qu’une lumière étrange et inconnue quitte son espace aérien.
Nous ignorons combien de ces déclarations sont légitimes, mais nous avons des préoccupations spirituelles, car dans de nombreux cas d’OVNIs les témoins deviennent des « médiums », les « aliens » (souvent décrits comme des reptiliens, ou « gris » aux yeux bridés) peuvent souvent traverser les murs (se matérialiser et se dématérialiser), et dans certains cas, ne laissent qu’une odeur de soufre.
Dans d’autres cas, les OVNIs ressemblent plus à des « orbes » (voir également ceci) associés avec des esprits, et en fait les légendes indiennes contiennent des histoires de « lumières spirituelles. » Certains apparaissaient même – et réapparaissaient – près de vieux monticules, ou au-dessus de congrès de sorcières, les témoins sont souvent laissés dans la terreur, hantés pour le restant de leurs jours. Au cours des siècles, des esprits séducteurs sont venus, semble t-il, en accord avec la culture de l’époque – sous la forme de fées, nymphes, lutins, gnomes, et maintenant, à l’ère spatiale, au moins dans certains cas, semble t-il, comme des « extraterrestres » (même si nous n’excluons pas la possibilité d’une vie ailleurs dans l’univers).
Selon Redfern, dès 1969, le Bureau d’impression du gouvernement a publié un document établi par la Bibliothèque du Congrès pour le bureau de recherche scientifique des Forces aériennes, qui était intitulé « OVNIS et questions connexes: Une bibliographie annotée« . « Durant la préparation des travaux », note Redfern, « la bibliographe senior, Lynn E. Catoe, a étudié en profondeur des milliers d’articles et de livres sur les OVNIs. Dans le document de 400 pages, elle a déclaré « Une grande partie de la littérature disponible sur les OVNIs a un rapport étroit avec le mysticisme et la métaphysique. Elle traite de sujets comme la télépathie, l’écriture automatique, et les entités invisibles, ainsi que des phénomènes comme les manifestations de poltergeists [fantômes] et la possession. » Beaucoup des rapports d’OVNIs qui sont maintenant publiés dans la presse populaire sont des comptes-rendus d’incidents qui sont étonnamment similaires à la possession démoniaque et aux phénomènes dits paranormaux. »
Ce sont des mots, rapporte Redfern, qui émanent de notre gouvernement. Le Collins Elite en est arrivé à une conclusion encore plus forte. À tout le moins parmi ceux qui ont rencontré le ministre du culte, leur préoccupation, dit-il, était qu’une tromperie massive se trouvait en notre sein – celle que nous appelons depuis longtemps la « grande tromperie. » « La seule alternative qui pourrait s’avérer efficace pour contrecarrer les plans de l’ennemi », a déclaré un rapport de 1988 du Collins Elite, serait un « endoctrinement intense de la foi et des valeurs à l’échelle planétaire de manière radicale et rapide afin de modifier la mentalité actuelle de la population. »
S’agit-il de quelque chose de similaire aux Nephilim de l’époque de Noé (voir Genèse 6:4)?

Redfern rapporte qu’au Kennedy Space Center du gouvernement en Floride, se trouve un spécialiste de la sécurité du nom de Joe Jordan [ci-dessus] qui a étudié les « enlèvements » par les extraterrestres, et a également conclu qu’ils sont un phénomène maléfique. Les enlèvements, a t-il souligné, sont connus pour être stoppés net quand un « abductee » terrorisé invoque le nom de Jésus.
Avons-nous été conditionnés par les films à accepter les ETs?
Les gens s’ouvrent à cela, a déclaré Jordan, par le biais de comportements anti-chrétiens, anti-bibliques, ou anti-Dieu — ou en « barbotant » dans l’occultisme (voir également ceci), la métaphysique, le paranormal, ou le New Age.
Pourquoi ne sommes-nous pas avertis de tout cela?
Le Christ Lui-même n’a t-il pas dit qu’il y aurait des tromperies qui séduiraient même les « élus »? (cf Matthieu 24:24, Marc 13:22)
Pourquoi est-ce que les « aliens » s’en prennent-ils souvent aux croyances chrétiennes – mais pas à celles des autres religions?
Gnomes. Fées. Elfes.
ETs.
L’empereur change souvent de vêtements.
Dit un autre enquêteur, « Les questions les plus fréquentes que les chrétiens se posent lors de l’examen de l’enseignement documenté des aliens sont logiquement: Pourquoi est-ce que d’autentiques entités biologiques extraterrestres voyageraient pendant 90 milliards d’années lumière juste pour s’en prendre à une religion particulière? Pourquoi concentrent-ils leur effort à convaincre les gens que Jésus-Christ n’est pas le vrai Dieu, ou Dieu incarné? Compte tenu de leurs pouvoirs et de leurs capacités, le chrétien n’a vraiment pas d’autre choix que d’identifier ces créatures comme des esprits séducteurs. »
En effet, si une vague d’aliens se mettait tout à coup à « débarquer », comment cette notion de n’être pas fait à Son image affecterait la Foi?
Et est-ce que l’Observatoire du Vatican – qui considère plutôt positivement la notion d’aliens – tirerait profit d’un examen plus attentif?
Sommes-nous à l’aube d’un grand réveil, ou d’une grande tromperie?
Beaucoup d’abductees parlent des aliens comme de futurs aides après une apocalypse.
Des anges déchus?
Dit Malone: « Ce que je crois c’est que la divulgation sera le catalyseur qui unira le monde sous le leader mondial unique, l’anti-Christ. Il sera le leader du gouvernement mondial, de sa religion, et de son économie. Les gens doivent comprendre tout cela, ainsi, quand le rideau sera levé, ils auront déjà fait leur choix concernant le Dieu qu’ils doivent servir. » Redfern affirme que le Collins Elite a conclu que la présence des « aliens » dans notre monde nous encourage « à accepter et à embrasser Satan lui-même – bien que sous l’apparence trompeuse d’une entité alien avancée – comme notre sauveur, peu avant que le compte à rebours vers Armageddon soit enclenché et que la fin soit sur nous. »
Ceci vous semble fou, n’est-ce pas?
Si c’est le cas, faites une recherche Google sur les sites d’informations et voyez combien de rapports sont sortis sur le sujet – dans les grands médias. Nous ne pouvons justifier toutes les déclarations de ce livre. Mais nous savons par d’autres sources – y compris par un chercheur de Harvard qui a étudié le phénomène des « abductees » (Dr. John Mack) – qu’apocalyptique ou non, quelque chose de très désagréable se prépare ici, et que c’est seulement neutralisé par l'invocation du Christ ou de Dieu.

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