Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
rusty james news
rusty james news
  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog

 

90243223_3015402811831487_8561877086778687488_o (1)

3323033

coronavirus-patentes

images (19)

219-2199429_love-heart-beautiful-wallpapers-happy-valentines-day-nature

1025600_652515874786871_1894874949_o


nVskOPKB

téléchargement (100)

universal-biometric-identity-1024x576

91848411

téléchargement (11)

tree_horizon_sunset_128367_5000x2830

f04543b60ef77267e2b31c5f3920fbb0

photo-1542805700-2fadb851b97a

qxJUj0O

 

pIHMc8u

7kKizZj

ZcuYl3V


sea-beach-sunset-boats-red-sky-1080P-wallpaper-middle-size

night-sky-background-7047

sky-wallpaper-38

18557077_1435376306500820_5842715664996553589_n

 

 

798041343248-national-geographic-wallpaper-zealand-photo-waikawau-desktop-bigest-images

Firefox_Screenshot_2017-02-18T13-56-14

16195622_1077703329024709_5740688279216232976_n

sf

 

Pyramides-Gizeh

atlantide-compressor

Ancien-arbre-1

Ancien-arbre-2 - Copie

Ancien-arbre-3 - Copie

h21

h25

h25

h26

h27

SDSDS

SZSDFZFS

ZDZD

931270ecd7_50010171_bohr-heisenberg-aip-niels-bohr-library

don

 

1a686c3b37ddba12f5e282679288047b

62e74d09a526f5250c3c16f5bbb7d342

3a2057e1930aac61c9451db179973253

5aa85f74b15975d75e8a6d4e547b40b0

5c3e0b7842f37a0d63504d0a032ca422

5f6fce1a34d9027bdedb78ef0658a5af

9dbf5fc4a80275b619f44e3e7a8314d2

a37cf9c85664975cf3660c8f21f70899

a96a954487d536bd6f75942a6d02f5b9

a977356a4e04ae0cdaf4c67ca90d1939

ad9ee9f2e4a1d0e83945b78313c60f27

b7e27913185d0679a669ce0f634d95f0

Archives
haarp
9 novembre 2017

Le contrôle des conditions météorologiques avec du matériel plus performant que HAARP

Le radar à balayage électronique actif (AESA) du SBX-1 est monté sur une plate-forme de forage semi-submersible CS-50 de cinquième génération construite en Russie et conçue pour fonctionner dans le type de conditions défavorables souvent rencontrées dans les opérations océaniques. Le SBX-1 a été construit pour un but - modification météorologique qui a été révélée dans le rapport de l'US Air Force intitulé «Météo comme un multiplicateur de force: Posséder la météo en 2025» ils pourraient mettre fin à leur stupidité «changement climatique» en produisant assez d'ozone pour reconstituer cette couche protectrice, réduire le monoxyde de carbone et les oxydes toxiques similaires dans l'atmosphère, etc. et fournir des précipitations adéquates dans le désert aride en Afrique.

"Dans une conférence le 27 avril 1997 à l'Université de Géorgie, l'ancien Secrétaire à la Défense, William Cohen a parlé des armes de destruction massive. Lors de cette conférence, Cohen a affirmé que «les ondes électromagnétiques peuvent être utilisées pour stimuler des événements géophysiques tels que les tremblements de terre, les changements climatiques, les éruptions volcaniques et autres». "

En manipulant le courant-jet (en le poussant ou en le retirant), HAARP peut modifier les conditions météorologiques. HAARP peut modifier la trajectoire d'un système météorologique à haute pression existant (ciel dégagé) ou d'un système météorologique à basse pression (nuages orageux) n'importe où sur Terre simplement en chauffant l'ionphère sur la région cible.




Ils peuvent aussi éliminer la toxicité dans les océans pour produire autant de plancton que possible et augmenter les prises des pêcheurs. Plus de mammifères échoués sur les plages partout.

Cependant, les mêmes personnes ayant la capacité de contrôler la météo sont elles-mêmes en train de promouvoir les canulars du «changement climatique» ou «réchauffement climatique». Alors, comment pouvons-nous nous attendre à ce qu'ils soient la solution?

L'US Air Force et la DARPA voudraient nous faire croire qu'ils ont cessé d'utiliser HAARP en Alaska pour la recherche et l'expérimentation. Même alors, nous savons tous qu'il existe d'autres systèmes HAARP sous la forme de systèmes de communication et de surveillance radar qui sont installés sur des plates-formes mobiles qui peuvent être déployées dans toutes les eaux internationales du monde.

Tout ce qu'ils doivent faire est de tordre un bouton pour changer la fréquence à la gamme de micro-ondes et augmenter la puissance de transmission modulée en fréquence [FM] assez pour atteindre et réchauffer l'atmosphère au-dessus de la cible.

La technologie est couverte par le brevet US 4 686 605 sur le "Procédé et Appareil de Modification d'une Région dans l'Atmosphère, l'Ionosphère et / ou la Magnétosphère de la Terre".

Sans titre

haarp_10



Bref, ce sont les mêmes personnes qui occupent les couloirs du pouvoir. Nous devons être la solution. Nous devons agir autrement.

Seulement trois unités de ces plates-formes mobiles HAARP, se faisant passer pour des radars, peuvent rendre l'ouragan orientable par une méthode commune connue sous le nom de triangulation.

radar_10



Les conditions météorologiques non naturelles suggèrent que HAARP est toujours là. Ils peuvent ne pas lui ressembler, mais ils fournissent la même fonction.

radar_11



Ci-dessus, l'un des 159 radars météorologiques Doppler à bande S WSR-88D haute résolution dispersés sur le continent américain et comprenant le système NEXRAD, comme indiqué ci-dessous, et censés surveiller les conditions météorologiques.



Tel qu'indiqué ci-dessus, le système de surveillance météorologique Doopler de NEXRAD fonctionne dans la bande de fréquences de 2 à 4 GHz (ou 2 à 4 milliards d'impulsions par seconde), soit la même fréquence que nos fours à micro-ondes et autres appareils sans fil courants fonctionner.

La bande S est une désignation de l'Institut des ingénieurs électriques et électroniques (IEEE) pour une partie de la bande hyperfréquence du spectre électromagnétique couvrant des fréquences de 2 à 4 gigahertz (GHz) ... La bande S contient également l'ISM 2,4-2,483 GHz bande, largement utilisé pour les appareils micro-ondes sans licence de faible puissance tels que téléphones sans fil, écouteurs sans fil (Bluetooth), réseau sans fil (WiFi), ouvre-porte de garage, serrures de véhicule sans clé, moniteurs pour bébé ainsi que pour diathermies médicales et fours à micro-ondes. 2,495 GHz).

mythod10

Bombshell de la Force aérienne: admet qu'ils peuvent contrôler le temps - HAARP

Alors que HAARP et le contrôle météorologique ont été qualifiés de théorie du complot par les médias et les officiels du gouvernement, lors d'une audience du Sénat mercredi, David Walker, sous-secrétaire adjoint de l'Air Force pour la science, la technologie et l'ingénierie,

M. Walker a déclaré que ce n'était «pas un domaine dont nous aurions besoin dans le futur» et que ce ne serait pas une bonne utilisation des fonds de recherche de l'Armée de l'Air pour poursuivre HAARP. "Nous passons à d'autres façons de gérer l'ionosphère, ce que le HAARP a vraiment été conçu pour faire", a-t-il dit. "Injecter de l'énergie dans l'ionosphère pour pouvoir la contrôler. Mais ce travail a été achevé. "Ce n'est pas la première fois qu'un agent public reconnaît que HAARP et le contrôle des conditions météorologiques sont non seulement possibles, mais ont été et continuent d'être utilisés comme une «super arme», comme en témoigne une déclaration de l'ancien secrétaire américain à la Défense William Cohen, où il a dit:

   "D'autres [terroristes] s'engagent même dans un type de terrorisme éco-responsable par lequel ils peuvent altérer le climat, déclencher des tremblements de terre, des volcans à distance en utilisant des ondes électromagnétiques ... Il y a donc beaucoup d'esprits ingénieux qui travaillent dans lequel ils peuvent faire peur à d'autres nations ... C'est réel, et c'est la raison pour laquelle nous devons intensifier nos efforts [de contre-terrorisme]. "

Le SBX-1 et les systèmes terrestres font tous partie du projet MDD (Ground Miss Based Defense) de l'Agence américaine de défense antimissile (MDA) et jouent un rôle essentiel dans le système de défense contre les missiles balistiques (BMDS). Le SBX-1, les systèmes terrestres et l'orbitale X-37B sont tous des armes de destruction massive illégales. Tous sont interdits par le traité «Convention sur la modification de l'environnement (ENMOD)» - un traité international interdisant l'utilisation militaire ou autre de techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves. Il a été ouvert à la signature le 18 mai 1977 à Genève et est entré en vigueur le 5 octobre 1978.

http://presscore.ca/u-s-wages-war-

Publicité
Publicité
17 mars 2017

Psychotronique :Transmission de maladies par effet de champ bioplasmique

beamsky

 il est un phénomène que je ne pouvais occulter c’est celui de pouvoir communiquer à distance des pathologies voire la mort et ce sans dispersion d’agents pathogènes (virus, bactéries) ou autres moyens “ classiques ”. Les premières démonstrations de transmissions psychophysiques de maladies succèdent aux travaux de l’histologiste soviétique Gurvitch qui démontra la contamination à distance de cultures de tissus (in vitro) sains par des cultures rendues pathologiques par un virus. Schématiquement : un tissu unique est séparé en deux parties qui sont mises en culture dans un milieu approprié. L’infestation soit virale soit bactérienne ou chimique d’une des deux cultures est transmise à l’autre. La transmission optimale se faisant si les récipients sont en quartz (qui lui, laisse passer les rayons U.V et I.R.) . Gurwitch confirmait ainsi ce qui est nommé le rayonnement mitogénétique par photons U.V. Les biologistes Russes parlent d’influence “ télépathique ” cellulaire. Je connais bien les expériences de Vlaïl Kasnachaïev de l’Institut Médical de Novossibirsck (cultures infestées de virus Cocksackie A 13). La recherche militaire a très rapidement compris ce que permettrait le développement maîtrisé de la transmission psychophysique des maladies. Il fut constaté (Krivorotov) que les sujets psi manifestant des capacités de guérisseur, multipliaient par 1.000 l’intensité des photons U.V (bio-photons) lorsqu’ils se concentraient sur leur patient. A l’aide de dispositifs qu’il serait trop complexe d’exposer ici , les sujets psi effectuent un transfert – par transmission psychotronique – de maladies mortelles à d’autres organismes par un processus d’orthorotation (Bearden). Le transfert s’expliquerait par le fait que le schème morbide virtuel qui s’introduit (secrètement) dans l’ensemble conscience-organisme au niveau du biochamp de la “ victime ” est activé par son propre corps physique (résonance morphique) où il exerce une influence destructrice sur des groupements de molécules (clusters) et des structures cellulaires en déclenchant des processus énergétiques et biochimiques dommageables. Ces schèmes morbides sont véhiculés dans la composante temporelle des photons UV, sachant que les “ signaux ” psi choisissent la ligne “ directe à travers l’hyperespace ”.

 

Le Psi perturbera t-il les

codes secrets du 21 ème siècle

comme la Cryptographie Quantique ?

 

Les codes secrets destinés aux espions n’échappent pas aux progrès scientifiques les plus en pointe. Les instructions destinées aux espions intiment de détruire le message après lecture ; les propriétés quantiques comblent le voeu des services secrets : le message est détruit parce qu'il est lu !

 

Le message quantique est constitué de photons - les particules de lumière - envoyés un à un à la suite les uns des autres. Le photon est le support du message, et sa polarisation, c'est-à-dire l'orientation de son champ électrique, la teneur du message. L'essence de la méthode tient à la mesure de la polarisation d'un photon. On utilise pour cette opération un filtre, symbolisé par une grille. Quand la grille est parallèle à la polarisation du photon, le photon traverse et est détecté ; quand la grille est perpendiculaire à la polarisation, le photon est absorbé et ne traverse pas. Lorsque la grille fait un angle de 45 degrés avec la polarisation du photon, celui-ci a une probabilité égale à un demi de traverser, et donc une chance sur deux de donner un signal en sortie.

 

Supposons que j'envoie un message composé de 1 et de 0. Pour envoyer 1, j'envoie un photon de polarisation verticale, et pour envoyer 0 un photon de polarisation perpendiculaire, c'est-à-dire horizontale. Si vous utilisez une grille verticale vous détecterez un photon dans le premier cas et pas de photon dans le second cas et le message sera parfaitement transmis. Le problème est que si un espion sait que le message est envoyé avec ce code de polarisation, il peut le détecter aussi bien que vous. Aussi je décide de compliquer l'émission en envoyant les photons 1 selon un axe de polarisation verticale ou selon un axe à 45 degrés de la verticale, et les photons 0 selon la polarisation horizontale ou à 135 degrés de la verticale. J'envoie ainsi une suite de 0 et de 1 selon une orientation de codage aléatoire, c'est-à-dire que je détermine la direction de polarisation

 

Un cryptage pas si sûr…

 

En cryptographie quantique, reprécisons-le, les photons sont émis un à un et captés après passage à travers une grille. Le photon traverse quand sa polarisation est parallèle à la grille, est absorbé quand il est perpendiculaire et la probabilité de traversée est 112 quand sa polarisation est à 45 degrés (ou 135 degrés) de la grille. À chaque polarisation est associée un bit 0 ou I. Dans la plupart des cas le photon est modifié par son passage à travers la grille, ce qui fait que le message est détruit quand il est lu. Une comparaison des orientations émises et reçues permet à l'émetteur et au récepteur d'établir une suite de bits, suite qui constitue un code secret permettant de coder un message ultérieur vertical ou à 45 degrés en tirant à pile ou face, mais je garde en mémoire la liste de mes tirages, De votre côté vous examinez la polarisation de chaque photon avec un filtre vertical ou à 45 degrés, le choix étant fait là aussi au hasard.

 

Lorsque mon orientation et la votre coïncident, vous avez le bon message, sinon (émetteur et détecteur sont à 45 degrés), le message que vous recevez ne signifie rien puisque, une fois sur deux, et sans que l'on puisse le déterminer, nous enseigne la mécanique quantique, le photon ne passe pas. je vous envoie alors la liste de mes orientations de polarisation : tout le monde peut la lire mais personne ne pourra en tirer profit, car vous avez été le seul à lire la suite de bits codés et qui a été détruite par la mesure. Vous savez alors quels chiffres correspondent à mon émission et vous me transmettez les numéros des bits que vous avez bien déchiffrés. Nous avons ainsi en commun une liste de bits convenablement déchiffrés, que personne d'autre ne peut connaître et qui peut nous servir à coder nos messages futurs. De plus je peux savoir si un intrus a intercepté tout ou partie du message, car tout photon lu est irrémédiablement détruit. Certes, me direz-vous, mais l'espion peut re-émettre les photons une fois qu'il les a lus.

 

Le talon d’Achille : les sujets Psi ?

 

Peut-être mais il se trompera souvent lorsque l'espion oriente mal sa grille, ce qui se produit une fois sur deux, il renvoie un photon mal imité qui n'est pas, une fois sur quatre, celui qui a été envoyé. Pour vérifier la présence ou l'absence d'un espion nous pouvons échanger non seulement le numéro des bits communs, mais aussi la nature du message (pour une partie de celui-ci, sacrifiée) ; si les messages diffèrent entre l'émetteur et le récepteur, c'est qu'un espion a essayé d'intercepter le message. Dans ce cas, nous jetterons nos listes au panier et j'en émettrai une nouvelle. La liste de 0 et de 1 ainsi établie entre nous, me servira à vous envoyer un message que vous seul pourrez reconnaître. La prolifération des communications incite les utilisateurs à coder leurs échanges. La cryptographie quantique est l'un des rares systèmes qui pourrait être absolument sûr, mais non seulement sa réalisation pratique est difficile, mais l’intervention d’un sujet Psi qui peut à un moment donné du processus, modifier l’orientation du photon (collapse Psi ) et rendre le cryptage obsolète au moment de sa « lecture » par le récepteur. En effet, il est délicat d'envoyer des photons isolés sans qu'ils soient absorbés, et le fondement de la méthode tient au fait que chaque photon transmet un message. S'il y avait plusieurs photons munis du même message, il suffirait au sujet d’en « prélever » un à l'insu des utilisateurs. Actuellement le système fonctionne avec un émetteur et un utilisateur distants de quelques dizaines de centimètres. Les progrès technologiques permettront d'augmenter cette distance, et dans le vide intersidéral où émettent les satellites, la méthode semble utilisable. Le talon d’Achille de ce cryptage est bel et bien le (ou les) sujet psi qui, déjà familiarisé aux générateurs de hasard émetteurs de photons, agirait sans trop de difficulté sur ces systèmes qui ne sont sûrs … que pour les promoteurs de ce type de cryptage !

Concluons : Pendant que la communauté scientifique “ civile ” s’échine à combattre l’étude de tout ce qui touche au paranormal, elle ferait mieux de s’y pencher très sérieusement et de ne pas laisser ces recherches uniquement aux militaires et aux politiques. Pour ces derniers, le problème posé n’est plus la réalité du psi mais plutôt de savoir comment le maîtriser pour en faire un instrument de pouvoir !

 

L’idée que les phénomènes Psi puissent être utilisés à des fins militaires ne datent pas d’hier si l’on en juge par l’article publié en 1916 dans les colonnes des « Annales des Sciences Psychiques »

Annales des Sciences Psychiques

REVUE MENSUELLE . 26ème Année - Février 1916 - N°2

Pourrait-on utiliser pour la guerre les phénomènes parapsychiques ?


M. L. Bardonnet a fait sur ce sujet d'actualité, une conférence à l'Hôtel des Sociétés Savantes, le Dimanche 6 février. Le conférencier est auteur d'un ouvrage : L'Univers Organisme, dont M. Emile Boirac a parlé assez favorablement dans la Revue de Philosophie de M. Th. Ribot. Il pense que les théories philosophiques et scientifiques qu'il a développées dans son livre peuvent contribuer puissamment à l'explication et à la systématisation des phénomènes parapsychiques, ou métapsychiques, de telle façon que les facultés de « vision à distance » présentées par quelques sujets pourraient probablement être employées pour découvrir l'emplacement des troupes, des fortifications, des batteries ennemies, etc. Il demande que des expériences soient faites au plus tôt dans ce sens.

L'auditoire, très nombreux, s'intéressa à la conférence de M. Bardonet, aussi bien à cause de l'originalité de ses aperçus que par l'élocution facile et limpide avec laquelle ses pensées furent exposées. M. de Vesme fit observer que tous les psychistes devaient nécessairement accueillir les théories et les projets de M. Bardonnet avec un scepticisme assez justifié par ce qu'ils connaissent de l'imperfection et de l'inconstance des facultés des « clairvoyants ». Il exprima toutefois l'avis que la proposition du conférencier ne devait pas être écartée a priori, ce qui lui paraissait anti-scientifique. M. le colonel Frater proposa la nomination d'une Commission chargée d'entreprendre les expériences réclamées par M. Bardonnet. On décida que la Commission serait constituée par le Comité de Direction de la Société.

Le Comité se réunit, en effet, quelques jours plus tard. Tout en reconnaissant que ce que l'on connaît de la clairvoyance ne permet guère d'envisager avec beaucoup de confiance la réussite de ces expériences, il décida de les entreprendre, en faisant appel aux sujets et opérateurs de bonne volonté. En effet, la Société n'ayant ni la volonté ni la possibilité de faire des expériences sur des buts militaires, ceux-ci ne devront être visés que plus tard, par d'autres groupes autorisés, dans le cas où les premières expériences faites par la Société aboutiraient à un résultat favorable .

Or ces premières expériences devront se borner à constater si, par les systèmes indiqués par M. Bardonnet, des sujets sont à même de décrire avec une fréquence et une uniformité suffisante, des localités et des scènes lointaines. Cela servira du moins à l'étude des phénomènes de « vision supernormale à distance ». Les expériences ont déjà commencé avec divers sujets, dont Madame Camille Hoffmann, la. somnambule bien connue qui a servi aux études, des savants de « l'Ecole de Nancy » et. dont on a beaucoup parlé au moment de l'affaire Cadiou, quand elle fit retrouver le.corps de l'assassiné. Chassée de Nancy par les obus allemands, elle est venue se réfugier à Paris, rue du Mont-Dore, 4. Les personnes qui auraient des communications à faire au sujet de ces expériences sont priées de s'adresser au Secrétariat de la Société.

 

 

Notes

Terme désignant la parapsychologie dans les pays de l’Est.

Defense Intelligence Agency

National Security Agency

Terme général utilisé par les Russes pour désigner la télépathie et l’action d’influence à distance par effet psi.

Sur la cinquantaine, citons : Labo. de Physique Théorique de Moscou (Terletsky), Institut Polytechnique Départ. de cybernétique. St Pétersburg, Institut de Physiologie Clinique de Kiev (A. Podchibiakine), Institut de Médecine Clinique Expérimentale. Novossibirsk ( V. Kanachaïev), Laboratoire Filatov de Physiologie de la vision (A. Chevalev) Odessa. Nous pourrions citer les 42 autres laboratoires dont nous avons connaissance pour les raisons déjà évoquées dans le cadre de l’opération « Stargate ».

Extra Low Frequency. Ondes de très basses fréquences comprises dans le spectre de celles de l’organisme humain et principalement du cerveau : de 7 Hz à 33 Hz.

Sujet récepteur conscient ou inconscient de l’information (message) télépathique

Enregistre la variation de la volémie sensible ici, au taux d’adrénaline libérée sous l’action du SN sympathique.

Leucopénie : diminution pathologie des globules blancs dans le sang.

Celui là même à l’origine l’enquête qui aboutit sur le scandale du Watergate et qui força le Pentagone en 1995 à publier le rôle de la CIA dans l’opération Stargate.

Schème : représentation abstraite, structure d’ensemble d’un objet, d’un processus.

Hyperespace : réunion de toutes les entités provisoirement saisissables par les mathématiques, mais non par la physique, au-delà de notre Univers à trois ou quatre dimensions. Paul Davies, le qualifie d’espace composé d’espaces. Brian Josephson (Prix Nobel) voit dans l’hyperespace détaché de l’espace et du temps le “ champ d’opération ” de tous les effets psychiques paranormaux, étant donné qu’ici, il n’existe plus ni avant, ni après, mais uniquement la simultanéité.

 http://www.girard.fr/textes/actualite-news.htm

17 mars 2017

Guerre électromagnétique et relation harmonique entre la Terre et notre corps/esprit.

harmonique

Les fréquences RS sont en rapport mathématiques sans toutefois être des harmoniques exactes. Peut-être est-il plus approprié de considérer la RS comme étant la "Voix de la Planète", plutôt que comme le battement de son cœur, qui se situe autour des 10 Hz (Lonetree). Il y a une relation harmonique entre la Terre et notre corps/esprit. Le champ isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique terrestre et le champ électrostatique qui émane de nos corps sont étroitement imbriqués.
Nos rythmes internes interagissent avec les rythmes externes, affectant notre équilibre, nos schémas REM [rapid eye mouvement], notre santé et notre concentration mentale. Les ondes RS participent sans doute à la régulation de notre horloge interne, agissant sur le sommeil et les rêves, les états d'éveil et les sécrétions hormonales.
Les rythmes et pulsations du cerveau humain reflètent les propriétés de résonance de la cavité terrestre qui fonctionne comme un régulateur d'ondes. Cette vibration naturelle n'est pas une valeur fixe mais la moyenne de plusieurs fréquences, de même que les EEG sont des lectures moyennes d'ondes cérébrales. Comma ces dernières, la RS fluctue en fonction de la situation géographique, de la foudre, des éruptions solaires, de l'ionisation atmosphérique et des cycles diurnes.


Le physicien finlandais Matti Pitkanen pense que la vie consciente est même influencée par les champs magnétiques interplanétaires et interstellaires. Il a construit un modèle mettant en corrélation les phénomènes psy et le temps sidéral qui désigne comme optimale une fourchette detemps se situant autour de 01h30. [Ndt : Le temps sideral en un lieu est l'angle horaire du point vernal (point formé par l'intersection entre l'écliptique et l'équateur céleste) en ce lieu. Ce temps n'a donc rien à voir avec l'heure locale ou le temps solaire vrai]. Il y implique le flux magnétique provenant du centre galactique combiné avec un moindre niveau de bruit du Champ géomagnétique. L’avancée de ses recherches le conduit à penser que les micro-ondes et les ondes radio jouent un rôle important dans le biocontrôle, dans l'homéostasie et dans les interactions mentales à distance.


Pitkanen suggère que, d'une certaine manière, le système corps/esprit fonctionne comme un bio-ordinateur quantique, dirigeant le couplage des mécanismes de verrouillage moléculaire. Il implique les plasmons comme base des circuits neuraux, et les champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés - dont les nœuds, les liens et les torsions sont entrainés par les forces géomagnétiques comme générateurs de changements dans la polarité magnétique.
"Allumer" [kindling] est un terme utilisé en particulier à propos de l'entrainement des neurones dans la cerveau. Ceux-ci sont animés en schémas globaux cohérents qui produisent des ondes plus larges à travers une plus grande surface du cerveau. Il semble évident qu'en état de méditation profonde, lorsque les ondes des rythmes alpha et thêta parcourent le cerveau entier, il devient possible que l'être humain et la planète entrent en résonance.
C'est un transfert d'énergie et d'information qui est "incrusté" dans un champ mais qui n'est pas le champ. Peut-être que la planète communique avec nous par ce langage premier des fréquences. Ceci expliquerait pourquoi les transes et les guérisons [par magnétisme] semblent se produire dans les fréquences RS primaires associées aux rythmes alpha.
De nombreuses preuves anthropologiques montrent que les humains se sont intuitivement synchronisés, au cours de leur histoire et depuis la nuit des temps, avec la résonance planétaire. Des traces transculturelles révèlent une variété de pratiques rituelles destinées à consacrer cette harmonisation avec le champ planétaire.
Peut-être que les activateurs les plus évidents de ces états de transe sont les tambours chamaniques et les danses extatiques qui semblent avoir existé depuis 50 000 ans. La lumière pulsante ou scintillante est un autre moyen permettant d’obtenir le même résultat. D’autres exemples se retrouvent dans les religions juive et musulmane, dont de nombreux pratiquants s'inclinent et se balancent de façon rythmique en psalmodiant des prières ou des textes sacrés. Ce phénomène de transe pourrait servir à engrammer des textes à un niveau plus profond et doctrinement conceptuel. Cela pourrait aussi être lié de quelque façon aux gestes (mudra) et paroles hypnotiques et donc à des personnalités charismatiques ou "mana".
Dans leurs chroniques de la formation des personnalités, Mead et Bateson citent une technique transmise aux enfants balinais, que leur culture utilisait intuitivement pour harmoniser leur communauté. N'importe qui peut faire de même et vous êtes peut-être en train de le faire inconsciemment. Assis sur une chaise, vous déplacez le pied de manière à ce qu’il ne pose que sur les coussinets métatarsiens ; en trouvant le bon angle de pose, vous constaterez que votre jambe entière se met à vibrer ou osciller verticalement. Lorsque cette oscillation sera proche des fréquences RS, la transe sera facilitée.


Les enseignants et les parents sont sans cesse agacés par des enfants turbulents et leur disent de se tenir tranquilles. Cependant en faisant rebondir leurs jambes et en balançant les bras, ils utilisent un moyen naturel de stimuler leurs corps. Et ceci pourrait bien être le fondement de nombreuses expériences cérémonielles, telles que les guérisons. Le "corps commence à bouger et les mains à trembler et, qu'il n'y a pas de contrainte ou d'inhibition, le corps entier entre dans un mouvement de résonance qui est le reflet de l'intention de guérison. Par exemple, dans les danses de guérisons de bushmen du Kalaharides chamans investis de l'énergie vitale entrent en éveil, deviennent chauds et se mettent à trembler. Lorsqu'ils empoignent une autre personne et l'enlacent, l'autre commence aussi à trembler et peut à son tour en enlacer une autre. L'une après l'autre, toutes commencent à vibrer avec cette énergie pulsante. Cependant (comme pour la médecine chinoise), avant que cela n'atteigne notre culture ou d'autres cultures contemporaines, ce phénomène subit une forte contrainte et s'exprime par des pratiques plus subtiles, telle que "l'entraînement thérapeutique" (le rapport d'empathie entre le médecin ou guérisseur et son patient).
N'importe qui peut induire intentionnellement cette fréquence d'énergie de guérison et il n'existe pas de méthode unique idéale. C'est une capacité très naturelle que nos corps sont capables d'activer pour vibrer à l'unisson avec la pulsation de vie. L'objectif de ce mouvement est de sortir des limitations et des contraintes du mental individuel isolé et de se connecter à quelque chose de plus vaste."


On peut à cela donner plusieurs noms, mais cet "Esprit plus vaste" nous relie les uns aux autres et à la Nature, manifestant l'axiome métaphysique : "Ce qui est en Bas est comme ce qui est en Haut". Cette interconnexion dynamique établit le lien entre corps/esprit, galaxie/atome et sensation/stimulus en une boucle esprit-dominant-matière, où le sujet et l'objet ne font qu'un, où la conscience galactique et la conscience humaine sont effectivement unies.
C.M. Anderson, MD (1998) de Harvard décrit un phénomène dont l'expérience est familière mais mal comprise qu'il nomme "Persistant Oscillatory Sound" (POS) [Son Oscillatoire Persistant]. Beaucoup de gens observant ce "son" généré à l'intérieur, particulièrement en cas de maladie ou de déshydratation, car il semble alors devenir plus fort. Cela ressemble à un bourdonnement d'insecte. Anderson ne l'attribue pas seulement au REM (rapid eye mouvement) ou à l'état de rêve et de désordre de stress post-traumatique (PTSD), mais au rythme normal alpha de 10 Hz.
Anderson parle des effets dérangeants de la lumière et des sons qui pourraient provenir d’une perte d'accoutumance due à la déstabilisation de la RF (formation réticulaire), débouchant sur la peur et/ou la rage. Aussi, l'histoire des traumatismes et de l'abus de stupéfiants est fortement associé à l'asymérie de la fonction hémisphérique. Les structures du lobe temporal, telles que l'hippocampe et l'amygdale cérébelleuse, sont particulièrement sensibles aux effets des mauvais traitements et traumatismes de l'enfance.


Anderson subodore que le son oscillatoire pourrait indiquer une alternance ou cycle rapide de l'attention entre les hémisphères gauche et droit, rétrogradant la rythmicité normalement consrante de 10 Hz du système olivocérébelleux. Cet effet auditif oscillatoire pourrait fonctionner comme un moteur auditif. L'effet de rétrogradation pourrait indiquer une inondation de l'hémisphère gauche par des matériaux provenant du droit non inhibé qui assume la concentration consciente primaire. Ceci, avec les fluctuations phasiques du S-net (réseau sérotonergique du groupe des cellules neurales) et de la PGO (protubérance genouillée occipitale) non inhibée, prépare le terrain au brusque surgissement de l'état SOC (état critique auto-organisé) et de la période de rêve éveillé.
Anderson fait allusion aux "rêves éveillés en tant que voyages de guérison à travers l'hyperespace fractal des souvenirs émotionnellement engrangés par la mémoire enfantine..."
"Chez l'adulte, le rappel d'expe’riences traumatisantes de l'enfance, dû à l'immaturité des structures limbiques au moment des traumatismes, pourrait nécessiter la stimulation électrique ou une activité intensive de type PGO présente pendant l'état onirique. La rupture accoutumée des processus normaux du sommeil par le stress associé aux conflits, à la privation, au divorce, aux maltraitements infantiles, à la négligence et à la toxicomanie perturbe la fonction réparatrice naturelle du processus phasique du REM". (L Miller et G. Swinney, 2001).

28 février 2017

Etude sur la Géoingenierie et « Contrôle du climat »

Comme à l’aube d’une ère géologique nouvelle, dans un fracas gigantesque, l’univers entier s’effondre et de nouvelles montagnes surgissent, tandis que des abîmes béants s’ouvrent, que des plaines et des mers nouvelles définissent leurs limites, de même la structure présente de l’Europe sera renversée dans un immense cataclysme.(…) La seule chance qu’ait l’Allemagne de pouvoir résister à cette pression, c’est de prendre elle-même l’initiative et la conduite du bouleversement inévitable d’où naîtra la nouvelle ère historique. - Hermann Rauschning, Hitler m’a dit, 1939

(…) c’est que nous avons fondé notre société sur la science et la technologie, et personne ne comprend rien à la science et à la technologie. Et ce mélange détonnant d’ignorance et de pouvoir, tôt ou tard, va nous sauter à la figure. Je veux dire, qui dirigera la science et la technologie dans la démocratie si le public n’y connaît rien? Carl Sagan à Charlie Rose, 27 mai 1996

Firefox_Screenshot_2017-02-16T12-06-17

Firefox_Screenshot_2017-02-16T12-10-38

La course au contrôle de l’espace a débuté en 1945, lorsque l’opération Paperclip [1] a attiré aux États‑Unis des ingénieurs, des techniciens et des scientifiques acquis à la cause nazie pour qu’ils conçoivent leurs merveilles au cours de cette ruse hégélienne de la raison qu’était la Guerre froide. Parmi les 10 000 nazis qui ont trouvé refuge aux USA se trouvait Arthur Rudolph, ex-collègue de Wernher von Braun, ingénieur en aérospatiale et directeur du Centre de vol spatial Marshall de la NASA.

ob_ed8f33_paperclip

 

Rudolph avait été le directeur de l’usine souterraine Mittelwerk, surnommée « l’enfer de Dante », où 52 000 prisonniers ont fabriqué 6 000 fusées V-2. De1951 à 1961, Rudolph était à l’emploi de Martin Marietta à Waterton, au Colorado. En 1995, Martin Marietta a fusionné avec la Lockheed Corporation pour former la société Lockheed Martin. D’abord chargé de la R. et D. liée au missile Pershing, Rudolph est devenu un citoyen étasunien, a été à la tête du projet Saturne pour la NASA et a reçu le Distinguished Service Award, la plus haute distinction accordée par la NASA. En 1984, il a renoncé à sa citoyenneté étasunienne et est retourné en Allemagne, après avoir fidèlement servi au transfert du Troisième Reich aux États-Unis.

C’est donc poussé par le complexe militaro-industriel que le cheval de Troie que le crypto-nazisme est entré aux États-Unis riches en ressources. La loi sur la sécurité nationale, la formation de la CIA et la Guerre froide ont suivi peu après. Les fusées, les satellites, les ordinateurs, le projet de manipulation mentale MK-ULTRA et la propulsion exotique ont donné pendant le 20e siècle l’impulsion nécessaire à l’entrée dans le nouveau millénaire.

L’ère spatiale – « l’ultime frontière » de Star Trek – était d’abord une question de domination de l’espace aérien, de l’espace circumterrestre et du climat. La recherche militaire pour le contrôle du climat s’est faite discrète tout au long de la Guerre froide, pendant que des avertissements alarmistes au sujet du « petit âge glaciaire » des « gaz à effet de serre », de la « désertification » puis des « conditions climatiques extrêmes » et du « réchauffement planétaire » étaient lancés pour que les fonds continuent d’arriver.

Aujourd’hui, on utilise davantage le terme plus neutre de « changement climatique », qui fait l’objet de retentissantes conférences internationales réunissant des tas de titulaires de doctorat, qui recommandent toutes sortes de « solutions » coûteuses relevant de la géo‑ingénierie, qui est une manipulation intentionnelle des systèmes climatiques de la Terre par l’être humain (Stanford Environmental Law Journal) visant à transformer les conditions climatiques en « multiplicateur de force » [2] pour les sept opérations militaires mentionnées dans mon livre précédent Chemtrails, HAARP, and the Full Spectrum Dominance of Planet Earth : 1) modification climatique; 2) modification de l’environnement et de la géophysique; 3) manipulation électromagnétique; 4) suprématie militaire totale; 5) manipulation biologique; 6) collecte de renseignements et surveillance; 7) détection et obscurcissement de la technologie de propulsion exotique. [3]

« Contrôle du climat »

L’administration fédérale est engagée depuis plus de 30 ans dans la modification climatique sous divers aspects, par l’entremise d’activités menées par le Congrès et le pouvoir exécutif. Depuis 1947, des projets de loi liés à la modification climatique, qui portent sur un soutien à la recherche, des opérations, des examens de politique, des règlements, des responsabilités, des rapports d’activités, la création de groupes et de comités d’experts et des réponses à des préoccupations internationales, sont présentés au Congrès. Des audiences ont été tenues sur bon nombre des mesures proposées et les programmes en cours pertinents ont fait l’objet d’audiences de surveillance. [4]

Infiltration et cooptation, compartimentation, accords de confidentialité, ententes secrètes, menaces, pots‑de‑vin, recherches faussées, comités des pairs noyautés, médias internationaux infiltrés – c’est incroyable de voir tous ces tours de passe‑passe employés pour orienter les conférences internationales, les comités, les maisons d’édition, les organes de presse et les programmes scolaires des universités et des écoles primaires de façon à échafauder cet immense château de cartes transformant le carbone, un élément constitutif de la vie, en une cause célèbre pour justifier le fait que la manipulation de l’ionosphère par les militaires a transformé notre atmosphère et notre climat. De plus, les taxes sur le carbone et l’échange de quotas d’émission permettent de faire encore plus d’argent sur le dos de l’environnement, qui est utilisé comme une arme. La réalité est pourtant différente, car le niveau de CO2 n’est pas très loin au‑dessus du seuil minimal requis pour soutenir la vie végétale [5] et les pays devraient augmenterle CO2 au lieu d’être pénalisés pour le CO2 qu’ils possèdent. [6]

Puis l’empereur est nu. Le premier rapport du Congrès sur la géo‑ingénierieà la Chambre des représentants n’a pas été présenté avant octobre 2010, soit juste avant le moratoire contre la géo‑ingénierie adopté à la 10e Conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique (CDB10) à Nagoya, au Japon (un moratoire que les USA ne comptaient pas ratifier). [7] Les délégués de 193 pays savaient‑ils que les USA et d’autres pays de l’OTAN recouraient à la géo‑ingénierie depuis plus d’une décennie? Quatre mois après le moratoire de Nagoya, un tremblement de terre géo‑orchestrée a frappé le Japon.

Depuis le moratoire, les médias infiltrés rajoutent de la confusion à propos du climat dans l’esprit des gens, en blâmant les voitures et les polluants industriels sans dénoncer les pires pollueurs et propagandistes de tous : l’armée étasunienne gonflée à l’excès et le complexe militaro‑industriel qui la dirige. En 2013, le Cinquième rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) signalait que la gestion des radiations solaires (GRS) était déjà une réalité : « Si la GRS était abandonnée pour une quelconque raison, on peut affirmer, avec un degré de confiance élevé, que la moyenne de la surface du globe augmenterait très rapidement jusqu’à atteindre des valeurs correspondant au forçage des gaz à effet de serre. » [8]

Ce forçage gaz à effet de serre estle moindrede nos soucis. Qu’en est‑il des militaires voyous qui transforment notre atmosphère dans le cadre de leur programme de suprématie totale?

De temps à autre, des scientifiques comme le chercheur en physique des particules élémentaires du CERN Jasper Kirby [9] et l’héliophysicien du Centre des vols spatiaux Goddard de la NASA Douglas E. Rowland (« Il y a différents types de traînées chimiques, comme vous le savez probablement déjà ») [10] révèlent des bribes d’information révélatrices sur ce qui se passe vraiment, qui sont tacitement ignorées par les médias institutionnels. On apprend qu’un sénateur italien exige qu’on déclassifie les documents sur les traînées chimiques [11] que le ministre de l’Agriculture et de l’Environnement chypriote promet de se pencher sur les traînées chimiques [12], puis plus rien.

Encore et toujours,les organismes publics qui défendent le plus la thèse du « changement climatique » (NASA, NOAA, EPA, etc.) sont surpris à mentir, mais les médias infiltrés font comme si de rien n’était. La NASA a déclaré que juillet 2012 était le mois le plus chaud à n’avoir jamais été enregistré, ce que le Centre national des données climatiques de la NOAA (Administration océanique et atmosphérique nationale) a corroboré : la moyenne des températures en juillet 2012, qui s’établissait à 77,6ºF, dépassait de 3,3ºF la moyenne du 20e siècle et de 0,2ºF le record précédent de juillet 1936 (pendant la grande sécheresse des années 1930). Cependant, quand le météorologue Anthony Watts a vérifié les données de la NOAA, il a découvert que juillet 1936 était redevenu le mois le plus chaud jamais enregistré. « Il n’y a pas de preuve plus claire que la NOAA modifie des températures déjà enregistrées », a‑t‑il écrit.

« Ce n’est pas seulement une question de mise en grille, d’anomalies ou de méthode. Nous parlons ici de la NOAA qui n’arrive pas à présenter des renseignements climatiques historiques exacts pour les USA (…). C’est inacceptable. Ce n’est pas honnête envers la population. Ce n’est pas scientifique. Cela viole la loi sur la qualité des données. » [13]

David L. Lewis, PhD, un ancien microbiologiste du Bureau de la recherche et du développement de la EPA (Agence pour la protection de l’environnement) a écrit dans Science For Sale: How the Government Uses Powerful Corporations and Leading Universities to Support Government Policies, Silence Top Scientists, Jeopardize Our Health, and Protect Corporate Profits (Skyhorse éd., 2014) que la direction de la EPA « gère mal la science » continuellement. Un incident s’est produit en 2003, lorsque l’ancien administrateur adjoint par intérim Henry L. Longest II a demandé aux responsables de niveau intermédiaire de la EPA de lire un livre de la conseillère en gestion Margaret Wheatley(Turning to One Another), qui appelle les environnementalistes « à abandonner la science occidentale en faveur de la ‘nouvelle science’ (…), de ‘l’espace du non‑savoir’ et de ‘l’abîme.’ En sautant dans l’abîme, les nouveaux scientifiques font abstraction de leurs croyances religieuses et de leurs inhibitions sexuelles, puis se tournent les uns vers les autres. » [14] Les candidats aux postes de gestion devaient ensuite remplir un questionnaire confidentiel portant sur leur promiscuité, leur religion, leur moralité et leur disposition à garder un secret. (Que faisait exactement la EPA pendant les années Bush II?)

Ajoutez le meurtre à la propagande, à la manipulation des convocations internationales, à l’obtention d’information sur des écarts sexuels pour nouer des liens secrets et au chantage sur des pays en les menaçant d’influencer leur climat par la géo-ingénierie. Le membre de la Chambre des représentants Dennis Kucinich (Ohio) s’est battu avec acharnement pour que soit adoptée la loi sur la préservation de l’espace de 2001 (HR2977) qui, au cours des années qui ont suivi, s’est retrouvée bloquée par un comité après l’autre, jusqu’à ce qu’elle soit rejetée. Le 19 décembre 2007, le jeune frère de Dennis Kucinich, qui avait 52 ans, a été retrouvé mort. Le 12 novembre de l’année suivante, sa sœur de 48 ans a succombé au syndrome de détresse respiratoire aiguë. Coïncidence ou vengeance?

Le 9 août 2010, le sénateur Ted Stevens (Alaska) faisait enquête sur le HAARP (photo ci-contre) à la demande du pilote de brousse de l’Alaska Theron « Terry » Smith, lorsque leur avion s’est écrasé, tuant Stevens et Smith, mais pas l’administrateur de la NASA Sean O’Keefe, qui était aussi à bord. Lorsqu’on sait que son beau-fils a perdu la vie quelques jours plus tôt dans l’écrasement d’un C‑17 à la base aérienne de Elmendorf, la thèse d’un « accident » ou d’une « coïncidence » se défend mal. Le Conseil national de la sécurité des transports a attribué l’écrasement à une absence de réaction temporaire pour des raisons qui n’ont pu être établies » [15]

ob_84abec_haarp

D’étranges purges sont en cours. Le Canada a remercié 2 000 scientifiques et éliminé des centaines de programmes liés à la surveillance des fumées rejetées, à l’inspection des aliments, aux déversements de pétrole, à la qualité de l’eau, au changement climatique et ainsi de suite, en plus de fermer sept des onze bibliothèques du ministère des Pêches et des Océans :

(…) un document classifié « secret » qu’a obtenu Postmedia News indique que « l’élimination de documents » constitue la principale activité dans la réduction du nombre de bibliothèques (…) on a rapporté que des livres étaient étalés sur le sol et s’empilaient même dans les bennes à ordures. [16]

Après des décennies de subterfuge, de manipulation et d’« expérimentation » avec les conditions climatiques extrêmes au vu et su des pays dont les citoyens ont cessé de croire en leurs propres perceptions, se tournant plutôt vers les interprétations des médias (au moment où j’écris ces lignes, l’ouragan Matthew et la tempête tropicale Nicole remplissent les poches des capitalistes du désastre le long des côtes de la Floride, de la Géorgie et des Carolines), voici le moment venu d’assujettir les pays à la volonté des Nations Unies contrôlées par les USA en utilisant le climat comme arme.

Changement de pouvoir à l’ONU

La participation des USA et de la Chine est significative, car ces deux pays sont responsables de plus de 40 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. L’entente entrera en vigueur une fois que 55 pays responsables d’au moins 55 % des émissions mondiales auront signé officiellement (…). Les parties à l’accord devront tout de même cheminer dans le processus d’adhésion, qui seront dans la plupart des cas soumis à des processus d’approbation à l’intérieur des pays (…). [17]

Le Jour de la Terre 2016, était signée la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. On l’avait martelée au cours des nombreuses conférences ayant abouti à la conférence de Paris sur le climat (COP21) du 30 novembre au 11 décembre 2015. En 2011, lors de la Conférence de Durban sur les changements climatiques (COP17), l’Afrique du Sud avait tenté d’inclure une disposition prévoyant la création d’un tribunal international de justice climatique, [18] mais elle n’était plus au programme lors de la COP21.

C’était tout un spectacle. Les porte-parole ont été triés sur le volet : le IPCC, les géo‑ingénieurs David Keith et Ken Caldeira, des universités prestigieuses, des ONG noyautées, des organismes gouvernementaux, la Banque mondiale et le FMI et, bien sûr, les gros bonnets de Wall Street et de Londres habituels. Les scénaristes se sont acharnés des heures durant sur le sort de la Terre pendant que les caméras montraient des images d’éclairs, de tempêtes déferlantes, de déluges, de sécheresse, de bébés qui pleurent, de salles d’urgence bondées, etc. L’ONU a été chargée d’imposer une nouvelle taxe globale et d’instaurer des pouvoirs de réglementation pour maintenir le réchauffement planétaire en bas de 2°C.

Une réunion de l’ONU plus discrète s’était tenue à New York deux mois avant la COP21 : le sommet sur le Programme de développement durable à l’horizon 2030 (l’Agenda 21 sous un autre nom), afin de coordonner la supercherie liée au carbone de façon à transformer l’idée de nation en une simple adresse :

Sous les acclamations et les applaudissements, et peut-être aussi un certain soulagement, les 17 objectifs mondiaux qui constitueront l’ébauche du développement mondial des 15 prochaines années ont été ratifiés par les États membres de l’ONU à New York vendredi. Après les discours du pape François et de la lauréate du prix Nobel Malala Yousafzai, puis les chansons de Shakira et d’Angelique Kidjo, le programme ambitieux – qui compte s’attaquer à la pauvreté, au changement climatique et à l’inégalité pour tous dans tous les pays – a été signé par 193 pays au début du Sommet des Nations Unies sur le développement durable, d’une durée de trois jours (…). Ce sommet sur les objectifs mondiaux se poursuivra jusqu’à dimanche, après quoi tous les yeux se tourneront vers les négociations de l’ONU sur le climat en novembre. Lorsqu’on lui a demandé si les objectifs ne risquent pas d’être sabordés s’il n’y a pas d’accord ferme à Paris [COP21], Mogens Lykketoft, le président de l’Assemblée générale de l’ONU, s’est montré hésitant, en disant que les dirigeants font plus d’engagements qu’avant dans les réunions du COP. « Ce que nous savons et espérons, c’est qu’une meilleure proposition est davantage à portée de main. » [19]

Le Programme de développement durable à l’horizon 2030 n’attendait que ce moment pour donner le champ libre à la technologie de guerre climatique (c’est sûrement la raison pour laquelle des pays en développement ont tenté vaillamment de créer un tribunal international de justice climatique). Peu après les deux conférences, le groupe conjoint sur la météorologie de la défense néerlandaise (JMG) a commencé à « faire des prévisions météorologiques pour chaque exercice ou déploiement de la force opérationnelle interarmées à très haut niveau de préparation (VJTF) [de l’OTAN] ». [20] Il est peu probable que ce groupe se contente de faire des « prévisions du temps ».

ob_1128c7_green-climat

Pour être juste, certains intellectuels se penchent sur le cas de l’empereur nu. Comment parviendra‑t‑on exactement à retirer le CO2 de l’atmosphère « à l’aide d’une infrastructure inexistante et d’une technologie qui ne fonctionnera pas à une telle échelle, pour ensuite la mettre dans des endroits que nous ne trouvons pas? » [21] D’autres admettent que la solution au problème du carbone est un leurre pour mieux s’emparer de l’argent à tirer du capitalisme du désastre :90 billions de dollars d’investissements en infrastructures énergétiques, un billion de dollars dans le marché obligataire, plusieurs billions de dollars dans le marché du carbone, 391 billions de dollars dans l’industrie du financement climatique. [22] À lui seul, le Fonds vert sur le climat de l’ONU dégagera 100 billions de dollars par an, soi‑disant pour soutenir les projets de réduction du carbone dans les pays en développement. Tous les paris sont ouverts pour savoir si l’argent parviendra aux pays en développement une fois que les banques multilatérales et privées comme la Banque mondiale et la Deutsche Bank auront pris leur part. Après tout, l’empereur nu n’est pas connu pour remplir ses promesses.

Les fondations bureaucratiques traditionnelles comme Ford, Rockefeller et Carnegie seraient en train d’être remplacées par le « philanthrocapitalisme », une nouvelle approche plus musclée envers les œuvres de bienfaisance, en vertu de laquelle les qualités entrepreneuriales des milliardaires seraient mises à contribution pour répondre aux problèmes les plus pressants (…). [23]

Trop tard, car le public prend conscience de la dure réalité que ses institutions, ses agences, ses universités, ses laboratoires et ses tribunaux obéissent à ces mêmes pouvoirs qui ont drainé les biens publics. Sécurité des travailleurs et salubrité des aliments, disparues. Déclaration des droits, disparue. Protection de l’environnement, disparue. Bientôt, le Partenariat transpacifique (TPP), le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP) ou leurs fac-similés enclencheront le féodalisme des entreprises régi par une oligarchie mondiale. Les membres milliardaires du club du bien [24] créent des « centres d’études sur le cerveau » pour soutenir les « Brain Institutes » et leurs neuroscientifiques au service d’un avenir transhumaniste. [25]

« La science s’est cassée »

Pendant deux décennies, des scientifiques indépendants et des esprits scientifiques ont tenté de sonner l’alarme sur ce qui se passe dans le ciel et dans l’orbite terrestre basse,tandis qu’un nombre croissant de laboratoires et de scientifiques universitaires se voient octroyer des subventions de l’armée dans le but de militariser tout ce qui brille sous le soleil (même le soleil n’y échappe pas). Le climatologue de la Rutgers University Alan Robock explique comment des experts-conseils financés par la CIA ont communiqué avec lui pour lui poser deux questions : Si nous contrôlons le climat d’un autre pays, ses habitants vont‑ils s’en apercevoir? Les experts en climatologie sont‑ils en mesure de déterminer si un autre pays a tenté de contrôler le climat?La CIA, qui n’est pas particulièrement réputée pour être coopérative, a accordé de nombreuses subventions axées sur la domination du climat (y compris pour le programme HAARP par l’entremise de subordonnés comme Raytheon), y compris pour la rédaction, en février 2015, de deux rapports de l’Académie nationale des sciences portant sur les stratégies d’intervention climatiques : Climate Intervention: Carbon Dioxide Removal and Reliable Sequestration (154 pages), et Climate Intervention: Reflecting Sunlight to Cool Earth (234 pages). [26]

Le système d’évaluation par les pairs a été coopté. Il favorise certaines théories et certains scientifiques et en bannit d’autres en les abandonnant dans les ténèbres de la non‑publication ou du confinement professionnel. Voici ce qu’en dit le biologiste lauréat d’un prix Nobel Sydney Brenner :

Je crois que l’évaluation par les pairs entrave la science. En fait, je crois que ce système est devenu complètement corrompu. Il est corrompu de bien des façons, car les scientifiques et les chercheurs ont laissé aux soins des maisons d’édition la capacité de juger la science et les scientifiques. De nombreux comités m’ont appris qu’il y a des universités aux USA qui ne tiennent pas compte des travaux publiés dans des revues à faible facteur d’impact (…) le jugement se retrouve dans les mains de gens qui n’ont aucune raison d’exercer ce jugement. Tout cela se fait à l’avantage du commerce, car il existe maintenant des organismes gigantesques qui font beaucoup d’argent avec cela. [27]

« Une orthodoxie puissante contre une hétérodoxie marginalisée ». C’est ainsi que Charles Eisenstein décrit l’opposition aux scientifiques de pointe de l’Univers électrique :

Si vous avez foi en la solidité de nos institutions scientifiques, vous conclurez que les dissidents sont marginalisés pour la simple et bonne raison que leurs travaux sont de piètre qualité. Si vous croyez que le système d’évaluation par les pairs est juste et transparent, les rares références par les pairs de leurs travaux [dans l’Univers électrique] seront pour vous une critique sévère de leur théorie. Puis si vous croyez que le corpus de la physique traditionnelle est fondamentalement correct et que la science se rapproche toujours plus de la vérité, vous verrez avec un grand scepticisme tout écart par rapport aux théories habituelles (…). Pouvons‑nous nous fier au consensus scientifique? Pouvons‑nous nous fier à l’intégrité de nos institutions scientifiques? Peut‑être pas. Ces dernières années, une clameur grandissante d’opposants de l’intérieur dénonce les sérieuses lacunes dans les façons de financer et de publier la recherche scientifique, ce qui en a amené certains à dire que « la science s’est cassée ». [28]

De 1973 à 2013, la décision de publier ou non les articles scientifiques appartenait à six grandes maisons d’édition (ACS; Reed Elsevier; Sage; Taylor & Francis; Springer; et Wiley-Blackwell), qui sont toutes dans la poche des grandes sociétés pharmaceutiques et de l’industrie médicale :

« Aussi longtemps que la publication dans les revues à haut facteur d’impact demeure pour les chercheurs une exigence pour obtenir des postes, un financement à la recherche et une reconnaissance des pairs, les grandes maisons d’édition commerciales garderont leur mainmise sur le système des publications universitaires », a ajouté [le professeur Vincent Larivière, l’auteur principale de l’étude de l’École de bibliothéconomie et des sciences de l’information de l’Université de Montréal]. [29]

Il existe aussi un quotient de danger bien pire que la perte d’emploi pour les scientifiques qui travaillent sur des projets classifiés. Au moment de la mise en œuvre de l’Initiative de défense stratégique surnommée « Guerre des étoiles », devenue depuis la « barrière spatiale », plus de vingt scientifiques et experts à l’emploi de Marconi et Plessey Defence ont soit disparu, soit perdu la vie dans des « circonstances mystérieuses ». La plupart étaient des microbiologistes. Le taux de mortalité parmi les scientifiques a continué d’augmenter dans les années 1990 et après le 11 septembre 2001. [30] Aujourd’hui, les cibles semblent être les naturopathes et les médecins ayant la santé à cœur qui osent regarder ce qui se cache derrière les programmes de vaccination, la recherche sur l’autisme et le cancer comme source de profit des grandes sociétés pharmaceutiques. [31]

Prochain arrêt : la barrière spatiale (système de surveillance de l’espace)

Nous sommes loin des rêves de l’ère spatiale du président Kennedy et de la volonté de stopper les polluants chimiques et la destruction du sol et de la biodiversité. Aujourd’hui, le secrétaire à la Défense des USA Ashton B. Carter possède un doctorat en physique de l’Université d’Oxford, et d’un simple coup de plume présidentiel, le jour de l’Action de grâce 2015, la U.S. Commercial Space Launch Competitiveness Act (HR2262) ou Space Act, a fait un pied de nez au Traité de l’espace de 1967, en effaçant toute trace de distinction qui restait entre les militaires et les grandes sociétés en leur permettant de tirer profit d’opérations minières sur des astéroïdes et de l’extraction d’hélium enrichi en isotope 3 sur la lune.

Pour ceux qui vivent en Amérique du Nord, la Loi sur la qualité de l’air a été modifiée, tout comme le Partenariat nord-américain en matière de climat, d’énergie propre et d’environnement en juin 2016 par le Canada, les USA et le Mexique. « L’avenir durable » de ces trois pays semble être une union hémisphérique. Le rêve d’Hillary Clinton, qu’elle a divulgué à des banquiers brésiliens en 2013, est « un marché commun hémisphérique avec des frontières ouvertes dans l’avenir », [32] qui résonne pas mal comme le plan de partenariat des trois chefs d’État :

Les mesures que nous prenons dans le but d’harmoniser les politiques sur le climat et l’énergie protégeront la santé des personnes et contribueront à uniformiser les règles du jeu pour nos entreprises, nos foyers et nos travailleurs (…). Nous serons résolument engagés sur la voie qui nous mènera vers un avenir durable. [33]

Dans ce double discours, les mesures qui « protégeront la santé des personnes » comprennent‑elles la vaccination pour tous? La contribution à « uniformiser les règles du jeu » sonne-t-elle le glas à la classe moyenne? Parvenir à quelque chose de durable, c’est la faire durer au moyen de formes de soutien fiables. La déclaration des chefs d’État fait‑elle allusion à la barrière spatiale du Système de surveillance de l’espace construite et exploitée par des intérêts nord-américains et liés à l’OTAN – un immense dispositif de surveillance aux multiples composantes qui, ensemble, assurent une véritable suprématie mondiale totale non seulement du climat et de l’environnement circumterrestre, mais aussi de l’ensemble de la planète et de ses habitants pendant des générations?

Il est quasiment impossible de décrire la barrière spatiale de l’Initiative de défense stratégique « Guerre des étoiles » qu’on a ressuscitée. Notre atmosphère a été transformée en antenne sans fil pour mieux « dominer le domaine humain ». Mais nous devons nous préparer en vue du confinement de l’ère spatiale qui prend forme autour de nous dans les airs et sur la terre, dont il est question dans mon livre Under An Ionized Sky: From Chemtrails to Space Fence Lockdown.

Elana Freeland

 

Article original en anglais :

Planetary Lockdown, Geoengineering and “The Deep State”, publié le 13 février 2017

Traduit par Daniel pourMondialisation.ca

 

Notes

1. La Joint Intelligence Objectives Agency (JIOA) avait alors court-circuité l’ordonnance antinazie du président Truman et effacé les affiliations nazies, pour ensuite leur donner de nouvelles identités et leur accorder des habilitations de sécurité.

2. Col. Tamzy J. House et al. Weather as a Force Multiplier: Owning the Weather in 2025, août 1996. Il s’agit d’une étude conçue pour se plier à une directive du chef du personnel de l’Armée de l’air qui voulait examiner les concepts, les capacités et les technologies que les États‑Unis devaient posséder pour continuer de dominer le ciel et l’espace dans l’avenir.

3. Ces catégories ont été pour la première fois rendues publiques par le scientifique indépendant Clifford Carnicom, carnicominstitute.org.

4. Robert E. Morrison, spécialiste en sciences de la terre, Science Policy Research Division, Congressional Research Service. « Chapter 5: Federal Activities in Weather Modification, » Weather Modification: Programs, Problems, Policy, and Potential, comité du Sénat chargé du commerce, de la science et du transport, 15 novembre 1978.

5. P. Gosselin. « Atmospheric CO2 Concentrations At 400 PPM Are Still Dangerously Low For Life On Earth », NoTricksZone, 17 mai 2013.

6. « Deserts ‘greening’ from rising CO2. » Commonwealth Scientific and Industrial Research Organization (CSIRO), 3 juillet 2013.

7. Juliet Eilperin. « Geoengineering sparks international ban, first-ever congressional report », Washington Post, 29 octobre 2010.

8. GIEC. Changements climatiques 2013 – Les éléments scientifiques, 2013.

9. « Chemtrails Confirmed: Climate Scientist Admits Jets Are ‘Dumping Aerosols’ », Chemtrailsplanet.net, 9 janvier 2015.

10. « NASA Scientist Admits ‘Chemtrails’ Are Real », Chemtrailsplanet.net, 11 mars 2016.

11. Christina Sarich. « Italian Senator Calls for Declassification of Chemtrail Documents », Naturalsociety.com, 15 avril 2014.

12. « Minister pledges probe into chemtrails », Cyprus-mail.com, 17 février 2016.

13. J.D. Heyes. « NOAA quietly revises website after getting caught in global warming lie, admitting 1936 was hotter than 2012 », Naturalnews.com,1er juillet 2014.

14. David Lewis. « EPA’s disturbing leadership », The Oconee Enterprise, 12 mai 2016.

15. Alan Levin. « NTSB: Ted Stevens’ plane crash remains a mystery », USA Today, 24 mai 2011.

16. Ari Phillips. « Canadian Government Dismantles Ecological Libraries After Dismissing Thousands of Scientists », Climate Progress, 10 janvier 2014.

17. « World Leaders Sign Paris Climate Agreement », Huffington Post, 22 avril 2016. L’article se termine en disant qu’un « groupe d’entreprises dont Google, Ikea, Starbucks et General Mills ont donné leur appui lors de la cérémonie de signature ».

18. Sarah Malm. « UN planning an ‘international tribunal of climate justice’ which would allow nations to take developed countries to court », Daily Mail, 2 novembre 2015.

19. Liz Ford. « Global goals received with rapture in New York – now comes the hard part », The Guardian, 25 septembre 2015.

20. « The Netherlands takes over meteorology for the NATO Response Force », communiqué de presse du Grand quartier général des puissances alliées en Europe (SHAPE), 13 janvier 2016.

21. Jocelyn Timperley. « Academics call for geoengineering preparation in wake of Paris Agreement’s ‘deadly flaws », BusinessGreen, 11 janvier 2016.

22. James Corbett. « And Now For The 100 Trillion Dollar Bankster Climate Swindle … », The Corbett Report,24 février 2016.

23. Jacob Levich. « The Real Agenda of the Gates Foundation », Aspects of India’s Economy, numéro 57, Mai 2014.

24. Paul Harris. « They’re called the Good Club – and they want to save the world », The Guardian, 30 mai 2009.

25. William J. Broad. « Billionaires With Big Ideas Are Privatizing American Science », New York Times, 15 mars 2014.

26. Daniel Barker. « Nations are now using weather modification as clandestine warfare, CIA warns », NaturalNews.com, 19 décembre 2015.

27. Charles Eisenstein. « The Need For Venture Science », Huntington Post, 27 août 2015.

28. Ibid.

29. Sean Adl-Tabatabai. « Nearly All Scientific Papers Controlled By Same Six Corporations », YourNewsWire.com, 20 juillet 2015.

30. Mark J. Harper. « Dead Scientists and Microbiologists – Master List », 5 février 2005, http://rense.com/general62/list.htm.

31. Erin Elizabeth. « A Connection with the Holistic Doctor Deaths? », HealthNutNews.com, 1er février 2016.

32. Amy Chozick et coll. « Leaked Speech Excerpts Show a Hillary Clinton at Ease With Wall Street, » New York Times,7 octobre 2016.

33. Patrick Wood. « NAU Reborn As ‘North American Climate, Clean Energy and Environment Partnership », Technocracy News, 30 juin 2016.http://lintegral.over-blog.com/2017/02/confinement-planetaire-geo-ingenierie-et-etat-profond.html

 

 

Par Elana Freeland

28 juin 2016

Jose Delgado – Contrôle physique de l’esprit : Vers une société psychocivilisée

global-intelligence1

« Nous avons besoin d’un programme de psychochirurgie pour le contrôle politique de notre société. Le but est le contrôle physique de l’esprit. Chacun qui dévie de la norme donnée peut être chirurgicalement mutilé. L’individu peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais c’est seulement son point de vue personnel. Même si cette attitude libérale est très séduisante, ceci manque de perspective historique. L’homme n’a pas le droit de développer sa propre façon de penser. Nous devons contrôler le cerveau électriquement. Un jour, les armées et les généraux seront contrôlés par stimulation électrique du cerveau. »Jose Delgado, physiologiste à l’Université de Yale, Procès verbal des séances du Congrès américain, numéro 26, vol. 118, le 24 février 1974.

Chers amis,

Je vous annonce une bonne nouvelle : l’horrible livre de l’ignoble savant José Delgado, « Physical Control of the Mind : Toward a Psychocivilized Society » est désormais accessible à tous sur le web, et ce sur plusieurs sites et via plusieurs moyens !

C’est une « bonne » nouvelle car à présent, la PREUVE que des savants-fous sont parvenus à CONTRÔLER les individus CORPS ET ÂME est disponible pour tous ET NE POURRA PLUS ÊTRE IGNORÉE !!!

Certes, je n’ai pu trouver que des versions incomplètes, mais le principal y est.

Ce livre a été écrit il y a PLUSIEURS DÉCENNIES, en 1969 pour être précis (voir sur Amazon)…

Demandez-vous donc OU ON EN EST ARRIVE AUJOURD’HUI (presque 40 ANS PLUS TARD) AU NIVEAU DU CONTRÔLE MENTAL DES INDIVIDUS ET DES PEUPLES ? Une pensée qui donne le vertige… et la nausée.

Vous pouvez par exemple trouver le livre (en anglais) sur le site suivant.

Vous allez le voir, le contrôle physique de l’esprit EST UN FAIT SCIENTIFIQUE AVÉRÉ, et le contrôle de l’individu, CORPS ET ÂME, via un IMPLANT CÉRÉBRAL actionné à distance par RADIOFRÉQUENCES, est une RÉALITÉ !!!

Certaines personnes de mauvaise foi ou très mal informées croient encore que Delgado n’a pas fait d’expérience sur des êtres humains… Ceux-là vont avoir un fameux choc et vont être forcés d’ouvrir les yeux et l’esprit à ce danger immense que représentent les puces implantables !

Vous ne comprenez pas l’anglais ? CE N’EST PAS GRAVE ! Je vais vous poster, dans les prochains jours, des traductions en français des passages importants de ce livre ! Restez donc tous bien en ligne les jours qui viennent…

Afin de vous donner un petit aperçu de ce qui va suivre, voici déjà un extrait, traduit pour vous en français.

A bientôt pour la suite…

Vic.


CHAPITRE NEUF : EVOLUTION HISTORIQUE DU CONTRÔLE PHYSIQUE DU CERVEAUA) Fait expérimental : les muscles d’une grenouille se contractent lorsqu’ils sont stimulés par électricité. Volta, 1800 ; Galvani, 1791 ; DuBoisReymond, 1848.

Implication : les « esprits vitaux » ne sont pas essentiels pour les activités biologiques. Les stimuli électriques contrôlés par l’homme peuvent être à l’origine du contrôle et de la modification des processus vitaux.

B) Fait expérimental : la stimulation électrique du cerveau auprès d’un chien anesthésié a provoqué les mouvements localisés de son corps et de ses membres. Fritsch et Hitzig, 1870.

Implication : Le cerveau est excitable. La stimulation électrique du cortex cérébral peut produire des mouvements.

C) Fait expérimental : la stimulation du diencéphale auprès de chats non anesthésiés a provoqué des effets moteurs bien organisés et des réactions émotionnelles. Hess, 1932.

Implication : des manifestations motrices et émotionnelles peuvent être provoquées chez des animaux éveillés.

D) Fait expérimental : chez des animaux seuls, l’apprentissage, le conditionnement, les réponses instrumentales, la douleur et le plaisir ont été provoqués ou inhibés par stimulation électrique du cerveau chez les rats, les chats et les singes. Delgado et collègues 1954 ; Olds et Milner, 1954 ; voir bibliographie dans Sheer, 1961.

Implication : des phénomènes psychologiques peuvent être contrôlés par stimulation électrique de certaines régions du cerveau.

E) Fait expérimental : dans les colonies de chats et de singes, l’agression, la domination, mountIng, et d’autres interactions sociales ont été provoqués, modifiés ou inhibés par radio stimulation de zones cérébrales spécifiques. Delgado, 1955, 1964.

Implication : le comportement social peut être contrôlé par stimulation radio de zones spécifiques du cerveau.

F) Fait expérimental : chez des patients, la stimulation du cerveau lors d’interventions chirurgicales ou avec des électrodes implantées pendant plusieurs jours ou mois a bloqué le processus de la pensée, a entravé la parole et le mouvement, ou dans d’autres cas, a provoqué la joie, le rire, la convivialité, la production verbale, l’hostilité, la peur, des hallucinations et des souvenirs. Delgado et collègues 1952, 1968 ; Penfield et Jasper, 1954 ; voir bibliographie dans Ramey et O’Doherty, 1960.

Implication : les fonctions mentales humaines peuvent être influencées par stimulation électrique de certaines régions du cerveau.

Résumé

Les fonctions autonomiques et somatiques, le comportement individuel et social, les réactions affectives et mentales peuvent être provoqués, maintenus, modifiés ou inhibés, à la fois chez les animaux et chez l’homme, par stimulation électrique de certaines structures cérébrales. Le contrôle physique de nombreuses fonctions du cerveau est un fait prouvé, mais les possibilités et les limites de ce contrôle sont encore peu connues.

Pages 70-71


Chers amis,

Voici ci-dessous, traduit pour vous en français, la partie finale du livre du savant malade José Delgado, un véritable nazi qui a testé sur des animaux ET SUR DES ÊTRES HUMAINS LES IMPLANTS CÉRÉBRAUX A RADIOFRÉQUENCE QUI PERMETTENT LE CONTRÔLE DU CORPS, DE L’ESPRIT ET DU COMPORTEMENT.

CETTE PARTIE NOUS PROUVE SANS LE MOINDRE DOUTE POSSIBLE QUE LE CONTRÔLE PHYSIQUE DU COMPORTEMENT EST BIEN RÉEL ET A DÉJÀ ÉTÉ TESTE !!!

Ceci nous signale aussi les DANGERS INFINIS LIES A CETTE TECHNOLOGIE LIBERTICIDE, TOTALITAIRE ET NAZIE !

PIRE : l’utilisation de ces implants démoniaques comme une ARME potentielle est également RECONNUE, puisque ces implants peuvent par exemple « RETARDER UN BATTEMENT DU COUR » !!! Il est donc possible de retarder ce battement… jusqu’à la mort !!!

Nous allons nous apercevoir que Delgado est un MATÉRIALISTE FORCENÉ, pour qui l’être humain se réduit finalement à un tas de matière. Delgado rejette, en définitive, toute conception spirituelle et repousse toute opposition ou objection (théologique, morale, éthique, philosophique) à l’application de sa technologie dictatoriale !

Nous allons voir la façon absolument perfide dont il tente de justifier la « nécessaire » utilisation de son abominable technologie… et aussi la façon absolument répugnante dont il retourne le problème : au lieu que ce soient les autorités qui prennent la décision (décision totalitaire, bien entendu, ce qui est toujours le cas et ce qui dénote la volonté immonde des dirigeants vendus au Nouvel Ordre Mondial), lui part du principe que ce sont des personnes (des malades mentales, dans l’exemple repris dans l’extrait ! ) qui lui « réclamaient » le contrôle de leur esprit via stimulation électrique du cerveau par le biais d’un implant cérébral !!! Ben voyons !

Nous allons voir également, dans l’extrait qui suit, comment de SIMPLES BAGARRES constituent, pour lui, une « raison suffisante » pour CONTRÔLER ET DIRIGER LE CERVEAU ET LE COMPORTEMENT DE L’INDIVIDU, SUPPRIMANT TOUTE FORME DE LIBRE ARBITRE ! Atroce…

Point intéressant : l’argumentation pseudo-médicale et policière utilisée par Delgado aujourd’hui est EXACTEMENT LA MÊME que celle qui est reprise aujourd’hui par d’autres crapules nazifiantes qui tentent d’imposer les puces implantables, telles que, par exemple, le sénateur belge et neurochirurgien Jacques Brotchi qui, quel « hasard », a proposé la puce implantable de contrôle comportemental pour les pédophiles !

Nous pouvons donc constater que selon les ignobles individus de ce genre, la MOINDRE INFRACTION au code que les dirigeants imposent constituent une « raison suffisante » pour SUPPRIMER LES LIBERTÉS PREMIÈRES DE L’INDIVIDU : le libre choix, le libre-arbitre et la liberté de pensée !!!

TOUT CECI NOUS INDIQUE UNE FOIS DE PLUS LA NÉCESSITÉ DE RENDRE TOTALEMENT ILLÉGALE ET INTERDITE DE GENRE DE TECHNOLOGIE LIBERTICIDE !

Sans quoi, nous finirons dans un société dans laquelle AUCUN CHOIX, AUCUN LIBRE-ARBITRE ET AUCUNE LIBERTÉ NE NOUS SERONT LAISSES !

Nous avons vu que le « crime de pensée » est désormais en train d’entrer en scène, via les dernières lois iniques et liberticides mises en place par le maléfique et totalitaire gouvernement des U.S.A. … LE MÊME RISQUE DE SE PRODUIRE CHEZ NOUS, nous l’avons vu aussi ! Sans ce contexte nazi de crime de la pensée, le CONTRÔLE DE L’ESPRIT ET DU COMPORTEMENT DEVIENNENT UNE ÉVIDENCE, ET L’UTILISATION DES PUCES IMPLANTABLES DE CONTRÔLE COMPORTEMENTAL ÉGALEMENT.

IL NE NOUS RESTE QUE TRÈS PEU DE TEMPS POUR RÉAGIR…

L’extrait, ci-dessous… Davantage d’extraits traduits en français suivront dans les prochains jours.

BONNE RÉVOLUTION… OU BON ESCLAVAGE !!! Vic.


MANIPULATION ÉLECTRIQUE DE LA PSYCHÉL’aspect le plus inquiétant de la stimulation électrique du cerveau est que la réactivité psychologique peut être influencée en appliquant quelques volts dans une zone déterminée du cerveau. Ce fait a été interprété par de nombreuses personnes

Page 213

comme une inquiétante menace à l’intégrité de l’homme. Dans le passé, l’individu pouvait faire face à des risques et des pressions tout en préservant sa propre identité. Son corps pouvait être torturé, ses pensées et ses désirs pouvaient faire face à des défis via des pots-de-vin, des émotions et via l’opinion publique, et son comportement pouvait être influencé par des circonstances environnementales, mais il avait toujours le privilège de décider de son propre destin, de mourir pour un idéal sans changer d’idée. La fidélité à notre passé affectif et intellectuel donne à chacun de nous un sentiment de stabilité transcendantale – et peut-être d’immortalité – ce qui est plus précieux que la vie elle-même.

La nouvelle technologie neurologique, toutefois, possède une efficacité raffinée. L’individu est sans défense contre la manipulation directe du cerveau parce qu’il est privé de ses mécanismes les plus intimes de réactivité biologique. Durant les expériences, une stimulation électrique d’intensité appropriée l’a toujours emporté sur le libre-arbitre ; et, par exemple, la flexion de la main provoquée par la stimulation du cortex moteur ne peut pas être évitée de son plein gré. La destruction des lobes frontaux a produit des changements dans l’efficacité qui sont au-delà de tout contrôle personnel.

La possibilité scientifique de l’annihilation de l’identité personnelle, ou même pire, son contrôle délibéré, a parfois été considérée comme une menace future plus terrible que l’holocauste atomique. Même les médecins ont exprimé des doutes quant à la propriété de la manipulation de la psyché, maintenant que l’identité personnelle devrait être inviolable, que toute tentative visant à modifier les comportements des individus est contraire à l’éthique, et que la méthode et la recherche qui y est associée – qui peuvent influencer le cerveau humain – devraient être interdits. La perspective d’un degré de contrôle physique de l’esprit provoque toute une série d’objections : des objections théologiques parce qu’elle affecte le libre-arbitre, des objections morales parce qu’elle affecte la responsabilité individuelle, des objections éthiques car elle peut bloquer les mécanismes d’autodéfense, des objections philosophiques, car elle menace l’identité personnelle.

Ces objections sont toutefois discutables. Une interdiction de l’avancée scientifique est évidemment naïve et irréaliste. Elle ne pourrait pas être imposée universellement, et, plus important encore, ce n’est pas

Page 214

la connaissance elle-même, mais sa mauvaise utilisation qui doit être réglementée. Un couteau n’est ni bon ni mauvais ; mais il peut être utilisé soit par un chirurgien, soit par un assassin. La science devrait être neutre, mais les scientifiques devraient prendre parti (242). L’esprit n’est pas une entité statique, innée appartenant à l’individu et autosuffisante, mais l’organisation dynamique des perceptions sensorielles du monde extérieur, corrélée et remodelée grâce à la structure anatomique interne et fonctionnelle du cerveau. La personnalité n’est pas une façon de réagir intangible, immuable, mais un processus souple en évolution continue, affectée par son milieu. La culture et l’éducation sont destinées à façonner des modes de réaction qui ne sont pas innés dans l’organisme humain ; elles sont destinées à imposer des limites à la liberté de choix. Les codes moraux peuvent différer complètement d’une civilisation à une autre. La polygamie était acceptable dans les temps bibliques, et est encore pratiquée chez les musulmans, mais elle est rejetée par de nombreux autres civilisations avec de fortes pressions sociales, juridiques, religieuses, éducatives afin d’obtenir un comportement monogame. Bien sûr, il n’y a pas d’obstacle physique à l’acquisition d’une demi-douzaine de femmes – du moins jusqu’à ce que la loi ou les dames entrent en jeu -, mais ensuite nous entrons dans un jeu de force, dans l’équilibre dynamique entre tous les éléments qui déterminent le choix du comportement. S’il y a de très fortes raisons de réagir d’une manière particulière (par exemple, de n’avoir qu’une seule femme), les chances de vivre selon une autre coutume sont tellement minces qu’elles sont négligeables.

C’est précisément le rôle de la stimulation électrique du cerveau : ajouter un nouveau facteur à la constellation d’éléments déterminants du comportement. Le résultat, comme on le voit de façon expérimentale chez les animaux, est une somme algébrique, avec la stimulation cérébrale qui prévaut habituellement sur les réactions. La pratique médicale visant à essayer de modifier les réactions antisociales ou anormales des malades mentaux est admise. La psychanalyse, l’utilisation de médicaments tels que les tranquillisants et les énergisants, l’application d’insuline ou d’électrochocs, et d’autres variétés de soins psychiatriques sont toutes destinées à influencer la personnalité anormale du patient dans le but de changer ses caractéristiques mentales indésirables. L’utilisation possible, par conséquent, d’électrodes implantées dans les malades mentaux ne devrait pas

Page 215

poser de complications éthiques inhabituelles médicales acceptées si les règles médicales acceptées sont suivies. Peut-être que l’efficacité limitée des procédures standard en psychiatrie constitue une raison pour laquelle elles n’ont pas provoqué d’alarme parmi les scientifiques ou les profanes. La psychanalyse nécessite une longue durée, et une personne peut facilement retirer sa coopération et refuser d’exprimer ses pensées intimes. Les électrochocs sont une méthode rudimentaire à l’efficacité douteuse chez les personnes normales. Bien que la stimulation électrique du cerveau en est encore au stade initial de son développement, elle est en revanche beaucoup plus sélective et puissante ; elle peut retarder un battement du coeur, déplacer un doigt, amener un mot à la mémoire, ou définir un ton comportemental déterminé.

Lorsque les indications médicales sont claires et que les procédures thérapeutiques standard ont échoué, la plupart des patients et des médecins sont prêts à tester une nouvelle méthode, à condition que la possibilité de succès soit supérieure au risque d’aggraver la situation. La décision cruciale pour commencer à appliquer une nouvelle méthode thérapeutique à des patients humains exige une combinaison d’évaluation intelligente des données, de connaissances en neurophysiologie comparative, de prévoyance, d’intégrité morale et de courage. Une agressivité excessive chez un médecin peut entraîner des dommages irréparables, mais une trop grande prudence peut priver les patients de l’aide nécessaire. La procédure chirurgicale de la lobotomie fut peut-être appliquée à de nombreux malades mentaux trop rapidement, avant que ses dangers et ses limites fussent compris ; mais la pallidectomie et la thalamotomie dans le traitement de la maladie de Parkinson rencontrèrent une redoutable opposition au départ avant d’avoir atteint leur reconnaissance actuelle et leur statut respecté.

Bien que le traitement pharmacologique et chirurgical des personnes atteintes de maladie mentale soit accepté comme bon, les personnes ayant d’autres écarts de comportement posent un autre type de problème éthique. Elles peuvent être dangereux pour elles-mêmes et pour la société lorsque leurs fonctions mentales sont maintenues dans les limites normales et que l’un des aspects de leur conduite personnelle est socialement inacceptable. Les droits d’un individu à obtenir un traitement approprié doivent être pesés avec une évaluation professionnelle de ses problèmes comportementaux et de leur éventuelle base neurologique, ce qui nécessite un jugement de valeur par rapport au comportement de la personne en comparaison

Page 216

avec les normes acceptées. Un exemple pour illustrer ces considérations.

Au début des années 1950, une patiente dans un hôpital psychiatrique d’état nous approcha, le Dr Hannibal Hamlin et moi-même, et nous demanda de l’aide. Elle était une belle femme de 24 ans, d’intelligence et d’éducation moyenne, et qui avait un long passé d’arrestations pour trouble de l’ordre. Elle avait été impliquée à plusieurs reprises dans des bagarres de café dans lesquelles elle incitait les hommes se battre contre elle et elle avait passé la plus grande partie des quelques années précédentes en prison ou dans des établissements psychiatriques. La patiente exprimait un vif désir, de même que l’impossibilité de modifier son comportement, et parce que le traitement psychiatrique avait échoué, elle et sa mère demandèrent instamment qu’une certaine forme de chirurgie cérébrale soit effectuée afin de contrôler son comportement peu scrupuleux et impulsif. Elles demandèrent en particulier que des électrodes soient implantées afin d’orienter la possible électrocoagulation d’une zone limitée du cerveau ; et si cela n’était pas possible, elles voulaient la lobotomie.

Les connaissances médicales et l’expérience, à l’époque, ne pouvaient pas savoir si l’électrostimulation du cerveau ou l’application de lésions cérébrales pourraient contribuer à résoudre ce problème du patient, et l’intervention chirurgicale fut donc rejetée. Lorsque cette décision fut expliquée, la patiente et sa mère réagirent avec les mêmes commentaires anxieux, demandant : « Quel est l’avenir ? La prison ou l’hôpital uniquement ? N’y a-t-il aucun espoir ?  » Ce cas révéla les limites de la thérapie et le dilemme d’un possible contrôle du comportement. En supposant que la stimulation à long terme d’une structure cérébrale déterminée pourrait influencer les tendances d’un patient à boire, flirter, et inciter des bagarres, serait-il éthique de changer ses caractéristiques personnelles ? Les gens changent leur caractère par l’automédication via la prise de drogues hallucinogènes, mais ont-ils le droit d’exiger que les médecins leur administrent un traitement qui va radicalement modifier leur comportement ? Quelles sont les limites des droits de l’individu et des obligations des médecins ?

Comme la science semble approcher la possibilité de contrôler de nombreux aspects du comportement de façon électronique et chimique, ces questions doivent être posées. Si, comme dans le cas de cette patiente, la déviation du comportement entre en conflit de façon si grave que la société

Page 217

la prive de sa liberté personnelle, une intervention médicale pourrait être justifiée. La conduite de cas criminels habituels est un autre exemple de ce type de problème. Exclamation Les décisions thérapeutiques liées à la manipulation psychique requièrent de l’intégrité morale et une éducation éthique. La formation scientifique se concentre principalement dans le domaine des sciences naturelles et néglige souvent l’étude et l’assimilation des codes de déontologie, considérant qu’ils sont au-delà du domaine de la science. Peut-être oublie-t-on souvent que l’enquêteur a besoin d’un ensemble de convictions et de principes, non seulement pour gérer l’argent des subventions, pour donner un véritable crédit au travail des autres, et afin d’être civilisé avec ses collègues, mais surtout pour orienter sa vie et ses recherches, et afin de prévoir les conséquences de ses propres découvertes.


Chers amis,

Voici une autre partie du livre de l’infect savant-fou Jose Delgado traduite pour vous en français.

Deux choses transparaissent de façon absolument limpide dans cet extrait :

1) Delgado fut le précurseur des actuelles puces cérébrales, telles que la M.M.E.A. (multiple micro electrode array) sur laquelle je vous avais déjà posté un article édifiant.

2) Les expériences actuelles menées à l’université de Reading (UK) par Kevin Warwick (un autre savant-fou transhumaniste qui se considère lui-même comme le premier « cyborg » et dont je vous avais déjà parlé) reprennent les expériences de Delgado afin de les amener plus loin encore.

Bref, Delgado a fait des émules… preuve s’il en est que, comme le disait Einstein, la science est devenue criminelle !

Les extraits ci-dessous nous parlent notamment de « communication radio bidirectionnelle avec le cerveau »… « Qu’est-ce que cela signifie ? », pourrait se demander le profane ou le novice.

Ce que cela signifie, c’est ce que l’article sur la M.M.E.A. que je vous avais déjà posté expliquait de façon très claire : qu’un individu auquel on a implanté une puce cérébrale activée par radiofréquence peut se servir de cette puce pour agir sur l’extérieur, mais que l’extérieur peut aussi intervenir sur l’individu, ce qui permet de le contrôler physiquement et spirituellement ! Dans les deux sens, donc…

Vous allez pouvoir constater que le CONTRÔLE de l’individu via ces implants démoniaques est total : comportemental, physique, biologique. Et ce qui est décrit ici a été développé et testé sur des humains il y a presque 40 ANS !

Vous allez voir également que Delgado, dans son livre abominable, NIE ou MINIMISE les dangers de cette puce cérébrale implantable qu’il a testée sur les humains , et considère que les « avantages » à en tirer (notamment au point de vue de la santé… on retrouve donc exactement le même prétexte pseudo-médical que celui mis en avant par VeriChip) sont plus importants que les dangers potentiels de manipulation des esprits, de suppression des libertés et de dictature orwellienne qu’elle représente ! Immonde !!!

Un petit détail encore : si vous souhaitez voir les tristes et répugnantes images liées à cette traduction, rendez-vous donc sur le lien original, en anglais…

Bonne lecture, ET BONNE INSURRECTION, SURTOUT ! Vic.


PARTIE III CONTRÔLE EXPÉRIMENTAL DES FONCTIONS CÉRÉBRALES SUR DES SUJETS DE BONNE CONDUITECHAPITRE DIX : CONTRÔLE EXPÉRIMENTAL DES FONCTIONS CÉRÉBRALES SUR DES SUJETS DE BONNE CONDUITE

Dans notre environnement technologique actuel, nous sommes habitués à l’idée que les machines puissent être contrôlées à distance par le biais de signaux radio.

Les portes de garage peuvent être ouvertes ou fermées en poussant un bouton dans la voiture ; les chaînes et le volume d’un téléviseur peuvent être ajustés en appuyant sur les boutons correspondants d’une petite télécommande sans bouger d’un bon fauteuil confortable ; et même les satellites en orbite peuvent être dirigés à partir de stations de pistage sur Terre. Ces réalisations devraient nous familiariser avec l’idée que l’on peut également contrôler à distance les fonctions biologiques des organismes vivants. Les chats, les singes ou les êtres humains peuvent être amenés à fléchir un membre, à rejeter de la nourriture ou à ressentir une excitation émotionnelle sous l’influence d’impulsions électriques qui atteignent les profondeurs de leur cerveau via des ondes radio intentionnellement envoyées par un investigateur.

Cette réalité a introduit une série de questions philosophiques et scientifiques, et a permis de mieux comprendre l’importance, les possibilités et les limites du contrôle du cerveau ; il convient de passer brièvement en revue la base de l’activité comportementale normale et la méthodologie pour sa potentielle modification artificielle, et ensuite d’examiner quelques exemples représentatifs du contrôle électrique du comportement, à la fois chez les animaux et chez l’homme.

Page 75

Nos connaissances actuelles des bases physicochimiques de l’activité biologique, qui possèdent une vaste bibliographie (23, 182, 203), permet d’énoncer les principes suivants :

(1) Toutes les manifestations comportementales, y compris leurs aspects mentaux, nécessitent l’existence d’ondes de négativité accompagnées par des changements électriques et chimiques au niveau cellulaire.

(2) Une dépolarisation membranaire, artificiellement induite par des moyens chimiques ou électriques, peut être suivie par des manifestations comportementales observables.

(3) Bien que la complexité de ces réponses soit extraordinaire et que bon nombre de leurs aspects soient inconnus, les explications sur l’activité motrice du comportement et sur l’activité psychique ne nécessitent pas « d’esprits vitaux » ni aucun autre principe métaphysique parce qu’elles sont liées à des lois physiques et chimiques qui peuvent être étudiées expérimentalement.

Page 78

Dans les investigations sur le cerveau ainsi que sur les muscles, l’activation électrique est préférable, car elle n’est pas nocive pour les cellules et permet l’étude répétée des mêmes processus biologiques. En appliquant de l’électricité, nous pouvons activer les mécanismes fonctionnels préétablis d’une structure et découvrir son éventuel rôle dans le comportement spontané. Par le biais de l’ESB (Electric Stimulation of the Brain, ou stimulation électrique du cerveau), il est possible de contrôler une variété de fonctions, un mouvement, les sécrétions d’une glande ou une manifestation mentale spécifique, en fonction de la cible. La méthodologie nécessaire et des exemples de résultats sélectionnés seront examinés dans les chapitres suivants.

Page 80

(…)

Communication radio bidirectionnelle avec le cerveau

La technologie électronique a atteint un haut degré de sophistication, et la communication radio bidirectionnelle avec les automobiles, les avions, et les véhicules spatiaux est courante, aujourd’hui. Le décalage notable dans le développement d’une instrumentation similaire pour la communication avec les profondeurs du cerveau reflète l’évolution déséquilibrée déjà évoquée de notre civilisation technologique, qui semble plus intéressée par l’accumulation de pouvoir que par le fait de comprendre et d’influencer les mécanismes fondamentaux de l’esprit humain.

Cette lacune est à présent comblée, et les figures 4 et 5 montrent qu’il est déjà possible d’équiper des animaux ou des êtres humains avec de minuscules instruments appelés « stimoceivers » pour la transmission radio et pour la réception de messages électriques vers et à partir du cerveau auprès de sujets complètement débridés. La microminiaturisation des composants électroniques de cet instrument permet le contrôle de tous les paramètres

Page 90

d’excitation pour la radio-stimulation de trois points différents à l’intérieur du cerveau et aussi l’enregistrement télémétrique de trois canaux de l’activité électrique intracérébrale. Chez les animaux, le stimoceiver peut être ancré au crâne, et les différents membres d’une colonie peuvent être étudiés sans perturber leurs relations spontanées au sein d’un groupe. Un comportement tel que l’agression peut être provoqué ou inhibé. Chez les patients, le stimoceiver peut être arrimé à des bandages placés autour de la tête, permettant la stimulation électrique et la surveillance de l’activité intracérébrale sans perturber les activités spontanées.

Les stimoceivers offrent de grandes promesses pour l’investigation, le diagnostic et la thérapie des troubles cérébraux chez les humains. L’information préliminaire concernant leur utilisation chez des patients souffrant de crises d’épilepsie au lobe temporal (voir figure 4) a démontré les avantages suivants par rapport aux autres méthodes d’exploration intracérébrale (60) :

(1) Le patient est instrumenté simplement, en branchant le stimoceiver dans la prise qui est vissée dans sa tête

(2) Il n’y a pas de perturbation de la spontanéité de l’individu ou du comportement social du patient.

(3) Le sujet est sous surveillance médicale continue, et les stimulations et leurs enregistrements peuvent être effectués de jour comme de nuit.

(4) Les études sont menées au cours des interactions sociales spontanées en milieu hospitalier, sans introduire des facteurs d’anxiété ou de stress.

(5) Chez les patients gravement perturbés, le cerveau peut être exploré sans le confinement d’une chambre d’enregistrement.

(6) Puisque le raccordement à des fils n’est pas nécessaire, il n’y a pas de risque que les électrodes soient délogées durant un comportement anormal.

(7) La stimulation thérapeutique programmée du cerveau peut être prolongée pendant le temps qui est nécessaire.

Il est raisonnable de supposer que dans un proche avenir, le stimoceiver pourra fournir le lien essentiel depuis l’homme vers l’ordinateur, puis à nouveau vers l’homme, avec un feedback réciproque entre les neurones et les instruments, feedback qui représente une nouvelle orientation pour le contrôle médical des fonctions neurophysiologiques. Par exemple, il est concevable que l’activité électrique anormale et localisée qui annonce l’imminence d’une crise d’épilepsie puisse être captée par l’extrémité des électrodes implantées, télémétrée vers une salle des instruments distante,

Page 91

enregistrée sur cassette et analysée par un ordinateur capable de reconnaître les schémas électriques anormaux. L’identification de la perturbation électrique spécifique pourrait déclencher l’émission de signaux radio afin d’activer le stimoceiver du patient et appliquer une stimulation électrique dans une zone inhibitrice déterminée du cerveau, bloquant ainsi le début de l’épisode convulsif.

Cette spéculation est supportée par les expériences suivantes achevées en juin 1969, en collaboration avec les Drs. Johnston, Wallace, et Bradley. Le chimpanzé Paddy (Figure 3), tandis qu’elle libre dans sa cage, fut équipée d’un stimoceiver afin de télémétrer l’activité cérébrale des noyaux amygdaloïdes droit et gauche vers une pièce voisine, où ces ondes furent reçues, enregistrées sur cassette, et analysées automatiquement par un ordinateur analogique en ligne. Cet instrument était chargé de reconnaître un schéma d’ondes spécifique, une rafale de petits faisceaux, qui est normalement présent dans les deux noyaux amygdaloïdes pendant une seconde, plusieurs fois par minute. L’ordinateur était également chargé d’activer un stimulateur, et à chaque fois que les faisceaux apparaissaient, des signaux radio étaient renvoyés vers le cerveau de Paddy afin de stimuler un point dans sa formation réticulée, connue pour avoir des propriétés de renforcement négatif. De cette façon, la stimulation électrique d’une structure cérébrale était subordonnée à la production d’un schéma spécifique d’électroencéphalogramme par une autre région du cerveau, et l’ensemble du processus d’identification de l’information et du contrôle de l’action était décidé par l’ordinateur en ligne.

Les résultats ont montré qu’environ deux heures après que le feedback cerveau-vers-ordinateur-vers-cerveau ait été établi, l’activité des faisceaux du noyau amygdaloïde était réduite à 50% ; et six jours plus tard, avec des périodes quotidiennes de 2 heures de feedback, les faisceaux étaient drastiquement réduits à seulement 1% de l’occurence normale, et le chimpanzé était plus calme, moins attentif et moins motivé pendant les essais comportementaux, bien que capable d’accomplir des tâches olfactives et visuelles sans commettre d’erreur.

L’ordinateur était ensuite déconnecté, et deux semaines plus tard, l’électroencéphalogramme et le comportement de Paddy revenaient à la normale. L’expérience a été répétée plusieurs fois avec des résultats similaires, soutenant

Page 92

les conclusions qu’une communication directe peut être établie entre le cerveau et l’ordinateur, contournant les organes sensoriels normaux, et aussi que l’apprentissage automatique est possible en envoyant des signaux directement dans les structures neuronales spécifiques sans participation consciente.

L’un des facteurs limitants dans ces études était l’existence de fils allant du cerveau au stimoceiver en dehors du cuir chevelu. Les fils représentaient une porte d’entrée potentielle pour les infections et pouvaient constituer un frein aux soins de la chevelure en dépit de leur petite taille. Il serait évidemment beaucoup plus souhaitable d’employer des instruments minuscules qui pourraient être implantés complètement sous la peau. A cet effet, nous avons mis au point dans notre laboratoire un petit stimulateur à trois canaux qui peut être implanté en sous-cutané et qui a pour but final d’être implanté dans le cerveau (Figure 6).

L’instrument est à l’état solide, ne possède pas de piles, et peut fonctionner indéfiniment. L’énergie électrique nécessaire, le contrôle à distance des paramètres de la stimulation, et le choix des canaux sont fournis par couplage transdermique, à l’aide d’une petite bobine qui est activée par la modulation de la fréquence de signaux radio. En février 1969, une expérience a commencé avec le singe Nona et le chimpanzé Suzi qui étaient équipés de stimulateurs sous-cutanés afin d’activer leur cerveau de temps en temps pour le reste de leur vie. Les contacts du terminal étaient situés dans les voies motrices, de façon à provoquer la flexion de la jambe controlatérale, un effet assez simple que pour pouvoir être observé et quantifié sans difficulté. L’étude de Nona et Suzi et les investigations enquêtes préliminaires effectuées auprès d’autres animaux ont démontré que l’instrumentation sous-cutanée est efficace, fiable et bien tolérée. Les réponses comportementales étaient cohérentes, et l’excitabilité motrice locale n’était pas modifiée par la répétition de l’expérimentation. Donc, les problèmes techniques concernant la stimulation des zones du cerveau aussi longtemps que nécessaire en l’absence de fils conducteurs traversant la peau ont été résolus, les possibilités scientifiques et thérapeutiques ont été multipliées et le confort des sujets a été considérablement accru.

La prochaine étape technique consistera à combiner la stimulation transdermique du cerveau avec la télémétrie transdermique de l’électroencéphalogramme.

Page 93

Figure 6

Les deux côtés d’un stimulateur transdermique à trois canaux. Cet instrument n’a pas de piles, est activé par ondes radio, et peut être utilisé à vie, de sorte que le cerveau peut être stimulé indéfiniment. Le Chimpanzé Suzi (à droite) dispose de deux unités (six canaux) implantées sous la peau de son dos.

Dans ce cas, le stimoceiver ne sera pas situé à l’extérieur de la peau, comme c’était le cas pour Paddy (Figure 3), et il ne sera pas limité à la seule stimulation transdermique (Figure 6) comme c’était le cas pour Nona et Suzi : l’instrument tout entier sera totalement sous-cutané. Cette technologie utilisée pour la communication non sensorielle entre le cerveau et les ordinateurs via la peau intacte est déjà à portée de la main, et ses conséquences sont difficiles à prédire. Dans le passé, les progrès de la civilisation ont considérablement amplifié la puissance de nos sens, de nos muscles et de nos compétences. A présent, nous ajoutons une nouvelle dimension : l’interface directe entre le cerveau et les machines. Bien que vraie, cette déclaration est peut-être un peu trop spectaculaire, et elle exige des éclaircissements prudents.

Nos connaissances actuelles concernant le codage de l’information, les mécanismes de la perception, et les bases neuronales du comportement sont tellement élémentaires qu’il est hautement improbable que les mises en corrélation électriques des pensées ou des émotions puissent être recueillies, transmises et

Page 95

appliquées par électricité à la structure appropriée d’un autre individu afin d’être reconnues et de déclencher des pensées ou émotions apparentées. Il est cependant déjà possible d’induire une grande variété de réponses, depuis des effets moteurs jusqu’à des réactions émotionnelles et des manifestations intellectuelles, par stimulation électrique directe du cerveau. De plus, plusieurs enquêteurs ont appris à identifier des schémas d’activité électrique (qu’un ordinateur pourrait également reconnaître) localisés dans des zones spécifiques du cerveau et liés à des phénomènes déterminés tels que la perception des odeurs ou la perception visuelle des bords des objets et des mouvements. Nous avançons rapidement dans la reconnaissance des formes des mises en corrélation électriques du comportement et dans la méthodologie pour la communication radio bidirectionnelle entre le cerveau et les ordinateurs.

On a exprimé la crainte que ces nouvelles technologies portent avec elles la menace d’éventuels contrôles à distance des activités cérébrales de l’homme par d’autres hommes, des contrôles non désirés et non éthiques, mais comme on le verra plus tard, ce risque est tout à fait improbable et est contrebalancé par les avantages cliniques et scientifiques qui en sont attendus. Les connaissances en électronique et la microminiaturisation ont tellement progressé que les limites semblent plutôt biologiques que technologiques. Notre plus grand besoin consiste à obtenir plus d’informations sur l’expérimentation des mécanismes neuronaux liés au comportement et aux processus mentaux, et la recherche auprès de sujets non réprimés promet d’aboutir à une nouvelle compréhension des esprits normaux et à des thérapies plus efficaces pour les cerveaux dérangés.

Page 96

CHAPITRE DOUZE :

STIMULATION ELECTRIQUE DU CERVEAU (ESB)

La commande générale de contrôle de l’ensemble de l’organisme réside dans le cerveau, et la nouvelle méthodologie des électrodes implantées a fourni un accès direct aux centres qui régissent la plupart des activités du corps. Le cerveau constitue également le substrat matériel des fonctions mentales, et en explorant ses neurones en plein travail, nous avons la possibilité d’étudier de façon expérimentale certains des problèmes classiques de mise en corrélation de l’esprit et du cerveau. En plus de nouvelles réponses, l’implantation d’électrodes a introduit de nouveaux problèmes : est-il faisable de provoquer des performances de type robotique chez les animaux et les humains en poussant les boutons d’un radio stimulateur cérébral ? Les pulsions, les désirs et les pensées pourraient-ils être placés sous le contrôle artificiel de l’électronique ? La personnalité peut-elle être influencée par stimulation électrique du cerveau ? L’esprit peut-il être contrôlé physiquement ?

Dans la littérature scientifique, il existe déjà une importante quantité de renseignements démontrant les remarquables effets induits par la stimulation électrique du cerveau. Le cour, par exemple, peut être arrêté quelque temps, être ralenti ou accéléré par une stimulation appropriée de structures corticales et sous-corticales déterminées, illustrant la réalité physiologique que c’est le cerveau qui contrôle le cour, et non l’inverse. La fréquence et l’amplitude respiratoires ont été contrôlées par stimulation électrique du cerveau ; les sécrétions gastriques et la motilité ont également été modifiées par stimulation cérébrale ;le diamètre de la pupille peut être réglé à volonté (Figure 7), depuis sa constriction maximale jusqu’à sa dilatation maximale, comme s’il s’agissait d’un appareil photographique ; il suffit de changer l’intensité du bouton de d’un stimulateur électrique connecté à la zone hypothalamique du cerveau (61).

Page 97

Figure Sept

Le diamètre de la pupille peut être commandé électriquement comme s’il s’agissait du diaphragme d’un appareil photographique. Ci-dessus, des yeux normaux, et en dessous, une constriction de la pupille droite provoquée par la stimulation de l’hypothalamus. Certains effets de la stimulation électrique du cerveau tels que celui-ci sont infatigables et peuvent être maintenus pendant plusieurs jours, aussi longtemps que la stimulation est appliquée (61).

Page 98

La plupart des fonctions viscérales ont été influencées par stimulation électrique du cerveau, de même que les perceptions sensorielles, les activités motrices, et les fonctions mentales. Plutôt que d’étudier chaque type de découverte en détail, nous avons choisi quelques exemples pour illustrer les principaux aspects du contrôle électrique du cerveau et de ses conséquences sur le comportement.


Chers amis,

Nous allons voir aujourd’hui comment le NAZI Delgado présente son horrible invention et comment il tente, de façon sournoise et perfide, nous persuader du « bienfondé » et de la « nécessité » de ces puces cérébrales…

Vous allez voir qu’en réalité, il s’autopersuade lui-même (c’en est presque de l’auto-hypnose), sans doute afin de NIER ce que sa conscience lui criait : qu’implanter des puces dans le cerveau d’animaux et d’êtres humains est une abomination !

Delgado essaie même de nous faire croire que ces puces cérébrales ne sont pas si dangereuses et qu’elles ne sont pas désagréables à porter, et qu’il est tout à fait « éthique » de planter des puces dans le cerveau des gens !!! Quel CULOT, quel MENSONGE et quelle MANIPULATION !!! Toute personne qui sait ce qu’est une trépanation réalise pleinement les DOULEURS HORRIBLES qu’ont dû endurer les personnes pucées. Sans même parler de ce que la « stimulation électrique » du cerveau peut provoquer…

Vous allez voir les prétextes pseudo-médicaux invoqués afin de « justifier » ces implants diaboliques.

Tout cela peut sembler, AU PREMIER ABORD Exclamation , « positif »…

Dans les jours qui suivent, je vous posterai la traduction concernant le CONTRÔLE PHYSIQUE DE L’INDIVIDU que ces puces infernales permettent, puis le TRÈS DANGEREUX CONTRÔLE DE L’ESPRIT, DU COMPORTEMENT, DE ÉMOTIONS ET DES SENSATIONS qu’elles permettent.

Vous constaterez alors que les buts véritables de Delgado étaient bien différents de prétendus buts « thérapeutiques »…

La traduction en français, pour vous, ci-dessous…

BONNE INSURRECTION… OU BON ESCLAVAGE !!! Vic.


DES ELECTRODES DANS LE CERVEAU HUMAINNos connaissances actuelles sur le système nerveux central se fondent principalement sur des enquêtes menées sur les animaux. L’expérience a montré que l’on peut répondre à de nombreuses questions sur l’implantation dans le corps humain, telle que celle de la tolérance biologique des électrodes par les tissus neuraux, et que l’on peut répondre à ces questions en recourant à des chats ou à des espèces inférieures. Certains des événements électrochimiques de la conduction neurale peuvent être analysés de façon tout aussi adéquate chez calamars que chez les mammifères, et pour certaines études de la mémoire, le poulpe s’est avéré un excellent sujet. Le rat a été – et reste – l’animal préféré des psychologues expérimentaux, car il s’agit d’un mammifère petit et peu coûteux qui peut être utilisé en grandes quantités afin de fournir des résultats comportementaux convenables pour une évaluation statistique. Le répertoire comportemental limité de ces animaux, cependant, ne peut être comparé aux activités complexes des singes et des primates. Ces espèces, les plus proches parents de l’homme, sont des sujets qui sont plus appropriés pour l’étude neurophysiologique du comportement intelligent, et lorsque nous voulons enquêter sur les plus hautes fonctions psychologiques du cerveau, fonctions qui impliquent la communication verbale, il n’y a pas de substitut possible à l’homme lui-même.

Le cerveau humain, comme toute autre partie du corps, risque de souffrir d’accidents traumatiques, de tumeurs ou de maladies, et il a souvent été nécessaire d’explorer les zones affectées afin d’identifier les structures, d’évaluer l’anomalie des tissus, de tester l’excitabilité et

Page 86

d’apprendre où sont localisées les fonctions importantes qui ne devraient pas être perturbées au cours des procédures chirurgicales. La participation consciente du patient fut nécessaire dans certaines de ces explorations afin, par exemple, de déterminer si l’aura des attaques épileptiques pouvait être déclenchée par la stimulation électrique d’un point spécifique du cortex, fournissant ainsi des informations sur la source possible de décharges épileptiques, source qui pourrait être supprimée via chirurgie. Pour ce genre d’enquête, le cerveau était placé sous anesthésie locale, ce qui représente une occasion exceptionnelle d’étudier les réponses comportementales et psychologiques provoquées par stimulation électrique du cerveau auprès de sujets pleinement éveillés. Les plus importants travaux dans ce domaine ont été effectués par Penfield et ses associés, à Montréal (174), et un nombre considérable d’études similaires ont été réalisées par d’autres neurochirurgiens aussi (2, 8, 97, 124, 163, 215).

L’exploration d’un cerveau ainsi exposé possède, toutefois, certaines limites évidentes. Elle doit être brève afin d’éviter la prolongation de la chirurgie ; les électrodes sont généralement maintenues en place manuellement, causant des différences au niveau de la pression mécanique qui est appliquée ; le cerveau ainsi exposé est sujet à de potentiels traumatismes thermiques, mécaniques et chimiques ; les aires corticales sont identifiées seulement par inspection visuelle ; et le stress physique et psychologique du patient qui subit l’opération crée des facteurs difficiles à contrôler. La plupart de ces handicaps peuvent être évités avec l’utilisation d’électrodes implantées, et compte tenu de l’expérience provenant de l’expérimentation animale, il était naturel que des enquêteurs consciencieux envisagent l’application de cette méthodologie pour des patients et dans des buts thérapeutiques et de diagnostic (19, 59, 9Cool.

Les neurochirurgiens avaient déjà prouvé que le système nerveux central n’est pas aussi délicat que la plupart des gens le croient, et au cours d’opérations chirurgicales thérapeutiques, des parties de tissu cérébral ont été coupées, congelées, cautérisées ou enlevées avec des effets négatifs négligeables pour les patients. L’introduction exploratoire d’aiguilles dans les ventricules cérébraux est une procédure clinique bien connue et relativement sûre, et puisque les électrodes sont plus petites que le diamètre de ces aiguilles, leur introduction dans le cerveau devrait être encore moins traumatisante. L’expérience a confirmé la sûreté et l’utilité de l’implantation à long terme d’électrodes chez l’homme, et la procédure a été utilisée dans des centres médicaux spécialisés tout autour du

Page 87

monde pour aider des milliers de patients souffrant d’épilepsie, de mouvements involontaires, de douleurs intraitables, d’anxiété névrotique et d’autres troubles cérébraux. En général, plusieurs assemblages de fines électrodes comptant un total de vingt à quarante contacts sont placés à la surface et/ou dans les profondeurs du cerveau, avec les connecteurs terminaux qui ressortent à travers le cuir chevelu et qui sont protégés par un petit bandage placé autour de la tête (voir la figure 4). Dans certains cas, les électrodes sont restées (implantées) pendant près de deux ans, avec une excellente tolérance.

Laisser des fils à l’intérieur d’un cerveau qui pense peut paraître désagréable ou dangereux, mais en réalité, les nombreux patients qui ont subi cette expérience n’ont pas été préoccupés par le fait d’être câblé, ni n’ont ressenti de l’inconfort dû à la présence de conducteurs dans leur tête. Certaines femmes ont prouvé leur capacité d’adaptation féminine face à ces circonstances en portant des chapeaux ou des perruques attrayants afin de dissimuler leur équipement crânien électrique, et de nombreuses personnes ont pu jouir d’une vie normale en tant que patients externes, retournant périodiquement à la clinique pour être examinées et stimulées. Dans un petit nombre de cas dans lesquels les contacts (des électrodes) sont situés dans des zones agréables, les patients ont eu l’occasion de stimuler leurs propres cerveaux en appuyant sur le bouton d’un instrument portatif, et l’on a rapporté que cette procédure a des bienfaits thérapeutiques.

Les électrodes implantées chroniquement permettent à de minutieuses explorations de diagnostic d’être effectuées sans limite de temps, et des excitations électriques répétées ou des coagulations bien contrôlées peuvent être mesurées selon les réactions du patient. En prime, des informations importantes sur les corrélations psychophysiologiques, fournissant des connaissances directes sur les bases cérébrales du comportement humain, sont en cours d’acquisition. Dans nos études (60, 109, 150), une situation d’interview a été choisie comme la méthode la plus susceptible d’offrir une alimentation continue en données verbales et comportementales. Alors que l’activité électrique de huit paires de points cérébraux était en train d’être enregistrée, nous avons mis sur cassette environ une heure de conversation entre le thérapeute et le patient. Des notes sur le comportement observable ont également été prises. Durant l’interview, les stimulations électriques du cerveau étaient appliquées pendant 5 secondes, avec des intervalles de trois minutes ou plus, et chaque point important fut étudié à plusieurs reprises.

Page 88

Figure 4 Deux jeunes filles qui souffrent de crises d’épilepsie et de perturbations comportementales nécessitant l’implantation d’électrodes dans le cerveau à des fins thérapeutiques et de diagnostic. Sous leur couvre-chef, chaque patiente porte un « stimoceiver », utilisé afin de stimuler le cerveau par radiofréquence et afin d’envoyer les signaux électriques de l’activité cérébrale par télémétrie alors que les patientes sont complètement libres au sein de l’hôpital (60). Un exemple d’enregistrements électriques est illustré à la figure 17.


Chers amis,

Voici un article qui va vous prouver que, DES LES ANNÉES 1960, le CONTRÔLE PHYSIQUE DES INDIVIDUS VIA DES PUCES CÉRÉBRALES FONCTIONNANT PAR RADIOFRÉQUENCE ÉTAIT DÉJÀ ACQUIS !

NOUS ALLONS VOIR ÉGALEMENT QUE LA VOLONTÉ DE L’INDIVIDU EST IMPUISSANTE FACE A CETTE INVASION IGNOBLE DE SON ESPRIT !!!

Bien entendu, à l’heure actuelle, on arrive à enregistrer sur ordinateur chaque schéma électromagnétique des mouvements bien coordonnés, des sensations, des émotions, voire des pensées… et à les transférer de manière précise au cerveau. Voir à ce sujet l’article que je vous avais traduit et posté sur ce forum et concernant la puce cérébrale M.M.E.A. (multiple micro electrode array, disponible également en anglais ici : http://www.angelfire.com/d20/philad… ).

Je vous poste aujourd’hui un autre extrait du livre de l’infect José Delgado (un hybride entre Viktor Frankenstein et du Dr. Mengele) afin de vous prouver sans le moindre doute que ces puces sont un DANGER ÉNORME pour toutes nos libertés !

Je terminerai de poster les extraits de ce livre dans les quelques jours qui viennent, avec la preuve du CONTRÔLE DE L’ESPRIT (émotions, sensations) VIA CES PUCES IMPLANTABLES DANS LE CERVEAU ! Ensuite, nous retournerons à l’actualité des puces implantables…

La traduction en français, pour vous, ci-dessous…

BONNE INSURRECTION… OU BON ESCLAVAGE ! Vic.


CHAPITRE 13 : RÉPONSES MOTRICESLe comportement est le résultat d’activités motrices, qui vont de la simple contraction musculaire jusqu’à la création d’une ouvre d’art. Si nous considérons les compétences qui sont impliquées dans la construction d’un nid, dans les stratégies d’animaux qui se battent ou dans la précision requise pour jouer du piano, il est évident que ces activités ne sont pas uniquement le résultat des processus physiques et chimiques de la contraction musculaire, mais dépendent d’une direction consciente – la complexité raffinée de leur commande cérébrale.

Très peu de choses sont connues sur les aspects automatiques des actes volontaires, sur la façon dont le but est lié à la performance, ou sur le fait de savoir comment les contractions (musculaires) sont organisées dans le temps et l’espace. La méthodologie actuelle, cependant, a placé certaines de ces questions à la portée de l’expérimentation. Le fait que la stimulation électrique du cerveau puisse induire des mouvements simples a été découvert au XIXe siècle, et, aujourd’hui, nous savons que l’organisation de la motilité cérébrale est localisée principalement dans le cortex du lobe pariétal. La stimulation de ce secteur provoque des mouvements du côté opposé du corps, tandis que sa destruction entraîne la paralysie. Ces découvertes ont été exprimées via des diagrammes attractifs montrant les zones motrices du cerveau sous la forme d’un « homoncule » couché la tête en bas dans le cortex pariétal, avec un grand visage et un gros pouce, en guise de caricature d’un petit homme en charge de la motilité. Cette image a été en partie responsable du fait que l’on considère le cortex comme étant l’organisateur suprême et intelligent du comportement.

Toutefois, d’autres études ont démontré que les réponses motrices obtenues à partir de ce cortex sont plutôt rudimentaires et que d’autres zones

Page 100

dans les profondeurs du cerveau possèdent un rôle déterminant dans l’organisation de la motilité qualifiée. Les concepts modernes suggèrent que le cortex ne devrait pas être considéré comme la plus haute structure hiérarchique du système moteur ou même comme le point de départ des impulsions motrices, mais plutôt comme une station routière, comme un autre maillon dans les boucles des corrélations sensori-motrices. La multiplicité et la complexité de la représentation motrice est logique lorsqu’on considère l’extraordinaire variété des formes de comportement qui constituent le seul moyen de communication entre l’individu et son environnement. Cette relation requiert une performance motrice avec une coordination temporelle et spatiale précise parmi de nombreuses unités fonctionnelles et le traitement d’une grande quantité d’informations pour l’adaptation et l’orientation des mouvements, et pour l’adaptation instantanée aux changements de circonstances. En raison de la complexité de ces mécanismes, on a supposé que la stimulation électrique artificielle ne pourrait jamais provoquer une performance motrice raffinée et dans un but déterminé. Le fait étonnant est que, en fonction de son emplacement, la stimulation électrique du cerveau est capable de provoquer non seulement des réponses simples, mais aussi un comportement complexe et bien organisé qui peut être très difficile à distinguer de l’activité spontanée.

(…)

Effets moteurs chez l’homme

L’effet le plus courant obtenu par stimulation électrique du cerveau humain est une simple réaction motrice, telle que la contraction d’un membre. Cet effet est souvent accompagné de l’absence d’un contrôle volontaire des muscles impliqués, et parfois il est limité à une paralysie sans autres symptômes observables. En général, les contractions provoquées sont simples au niveau des performances, de caractère artificiel, sans but, et sans l’élégance de la motilité spontanée. Par exemple, chez l’un de nos patients, la stimulation du cortex pariétal gauche grâce à des électrodes implantées a provoqué une flexion de la main droite en commençant par la contraction des deux premiers doigts et de la poursuite de la flexion des autres doigts. Le poing fermé fut ensuite maintenu pendant le reste de cette stimulation de 5 secondes. Cet effet n’est pas désagréable ni inquiétant, et il s’est développée sans interrompe le comportement ou la conversation spontanée en cours. Le patient était conscient du fait que sa main avait bougé de façon involontaire, mais il n’avait pas peur et c’est seulement sous notre questionnement qu’il a expliqué qu’il sentait que son bras était « faible et étourdi ». Lorsque le patient fut averti de l’arrivée de la stimulation et qu’on lui demanda d’essayer de garder ses doigts étendus, il ne put pas empêcher le mouvement provoqué et dit : « J’ai l’impression, docteur, que votre électricité est plus forte que ma volonté. »

Si cette stimulation était appliquée pendant que le sujet était en train d’utiliser volontairement sa main, par exemple pour tourner les pages d’un magazine, cette action n’était pas bloquée, mais la flexion provoquée de la main déformait la performance provenant de la volonté de la personne et entraînait le froissement ou le déchirement des pages. Dans notre expérience, et dans les rapports effectués par d’autres enquêteurs, la stimulation électrique du cortex moteur n’a pas provoqué des mouvements précis ou habiles, et dans tous les cas, les réponses provoquées ont été maladroites et anormales.

L’excitation d’une zone motrice supplémentaire, située à proximité du cortex moteur principal, peut produire trois types d’effets (174) :

Page 114

(1) Il peut y avoir des changements de posture, dans lesquels le mouvement commence lentement et atteint un point final déterminé avec, plus ou moins, l’implication générale de l’organisme.

(2) Les mouvements peuvent avoir un caractère phasique tel que le fait de donner des coups avec la main, faire un pas avec le pied ou fléchir et étendre les doigts ou le poignet.

(3) La réponse peut se composer de mouvements non coordonnés. La possibilité d’activer des membres paralysés par le biais de la stimulation électrique du cerveau possède un intérêt particulier. Par exemple, un patient souffrait d’une soudaine paralysie du bras et de la jambe gauche, paralysie probablement causée par une embolie, et au bout de quatre ans, il avait commencé à ressentir une douleur brûlante dans le côté gauche de son corps, douleur qui était exacerbée lorsqu’on touchait son thorax ou son bras gauche. Après l’échec des autres traitements, deux interventions chirurgicales furent effectuées afin de procéder à l’ablation des parties du cortex sensorimoteur, et on observa que la stimulation électrique effectuée dans la zone motrice supplémentaire produisait la vocalisation, la levée du bras paralysé, et d’autres réponses motrices. Ces effets étaient similaires à ceux provoqués chez d’autres patients non paralysés. Donc, il est clair que la zone supplémentaire du cortex indépendant possède des voies d’accès indépendantes des voies d’accès classiques et que les mouvements provoqués peuvent être indépendants de l’intégrité de la représentation motrice principale dans le cortex.

La stimulation électrique du cerveau produit apparemment des résultats similaires, qu’elle soit appliquée à la zone motrice d’un enfant ou d’un adulte, d’un travailleur manuel ou d’un artiste accompli. Les compétences et mouvements raffinés ne sont pas créés afin d’être représentés dans le cortex, ou du moins ils n’ont pas été suscités par cette stimulation électrique. Le cortex moteur est probablement un grand clavier situé sur le côté afférent, qui traite la sortie de l’activité, qui est en mesure de jouer les cordes de la contraction musculaire et de produire des mouvements, mais qui exige la direction d’autres structures cérébrales, qui sont encore peu connues à ce jour.

En contraste avec ces effets, la stimulation électrique du cerveau peut provoquer des réponses plus élaborées. Par exemple, chez l’un de nos patients, la stimulation électrique de la partie rostrale de la capsule interne produisit un tour de tête et un lent déplacement du corps de chaque côté et avec une séquence bien orientée et apparemment normale, comme si le patient

Page 115

était à la recherche de quelque chose. Cette stimulation fut répétée six fois sur deux jours, avec des résultats comparables. Le fait intéressant est que le patient considérait l’activité provoquée comme spontanée et offrait toujours une explication raisonnable pour celle-ci. Lorsqu’on lui demanda « Que faites-vous ? », les réponses furent : « je cherche mes pantoufles », « j’ai entendu un bruit », « je suis inquiet », et « je cherchais sous le lit ». Dans ce cas, il était difficile de déterminer si la stimulation avait provoqué un mouvement que le patient tentait de justifier, ou si une hallucination avait été suscitée ce qui, par la suite, amenait le patient à se déplacer et à explorer les environs.

Il y a très peu de rapports cliniques de mouvements complexes provoqués par stimulation électrique du cerveau et qui sont comparables aux réponses séquentielles observées chez les singes, ce qui pourrait indiquer que l’organisation cérébrale est moins stéréotypée chez l’homme que chez les animaux. La stimulation du lobe temporal chez l’homme a provoqué des automatismes incluant le tâtonnement maladroit avec des draps chirurgicaux ou avec les propres mains du patient, et des mouvements bien organisés visant à dégager la table d’opération.

Généralement, les patients n’ont pas de souvenir de ces automatismes provoqués. Des vocalisations et un discours plus ou moins intelligible peuvent également être inclus parmi ces réponses motrices complexes, bien qu’ils représentent l’activation des mécanismes moteurs et liés aux idées. Des vocalisations ont été obtenues par stimulation de la zone motrice dans le gyros précentral et aussi par stimulation de l’aire motrice supplémentaire dans les deux hémisphères. La réponse se compose habituellement d’un cri soutenu ou interrompu avec le son d’une voyelle qui a parfois une consonne comme composante (174).

Page 116


Chers amis,

Voici aujourd’hui pour vous, en français, l’EXTRAIT (tiré du livre de José Delgado « Physical control of the mind : toward a psychocivilized society« ) qui vous prouve SANS LAISSER PLANER LE MOINDRE DOUTE que la MANIPULATION DU COMPORTEMENT via des puces cérébrales actionnées par radiofréquence est une REALITE !!!

Ceci date d’il y a presque 40 ans… A L’HEURE ACTUELLE, TOUT CECI A ÉTÉ RAFFINE, DÉVELOPPÉ, ANALYSE, AMÉLIORÉ afin de pouvoir, via les puces cérébrales CONTRÔLER L’ESPRIT HUMAIN.

CECI A DÉJÀ ÉTÉ TESTE SUR DES HUMAINS !!!

L’EXTRAIT CI-DESSOUS, AINSI QUE LES AUTRES EXTRAITS QUE JE VOUS AI POSTES DE CE LIVRE ABOMINABLE, LE PROUVENT : LE MENTAL ET LE COMPORTEMENT DE L’ÊTRE HUMAIN PEUVENT COURT-CIRCUITER SA VOLONTÉ, SON LIBRE-ARBITRE, SA FAÇON D’AGIR ET DE PENSER !!! ON A DÉJÀ OSE MENER DES EXPÉRIENCES A CE SUJET IL Y A BIEN LONGTEMPS… ET AUJOURD’HUI, DES COMPAGNIES ET DES CENTRES « MÉDICAUX » SPÉCIALISÉS PROMEUVENT CETTE MÉTHODE DE NAZIS !!!

LES PUCES CÉRÉBRALES PEUVENT DONC CONTRÔLER UN INDIVIDU PHYSIQUEMENT (cf. l’article ci-avant) AINSI QUE SON MENTAL ET SON COMPORTEMENT (voir ci-dessous)… ON PEUT MEME LES UTILISER COMME ARMES (retarder les battements du coeur – cf. articles précédents – mais aussi provoquer de la douleur chez les individus – voir l’extrait ci-dessous) !!!

LES PUCES IMPLANTABLES (sous-cutanées, neurales, cérébrales) SONT UN DANGER ABOMINABLE. NOUS EN AVONS TOUTES LES PREUVES !

Nous nous devons d’ARRÊTER CES DISPOSITIFS DIABOLIQUES, ET RENDRE ILLÉGALES ET INTERDITES LES PUCES IMPLANTABLES POUR HUMAINS (et pour animaux aussi, d’ailleurs) !!!

BONNE REVOLUTION… OU BON ESCLAVAGE !!! Vic.


CHAPITRE QUATORZE : L’ENFER ET LE PARADIS DANS LE CERVEAULES SYSTÈMES DE SANCTION ET DE RÉCOMPENSE

Lorsque l’homme a évolué et s’est élevé au-dessus des autres puissants animaux, la taille et la complexité de son cerveau ont augmenté, en lui donnant une intelligence supérieure mais aussi plus d’angoisse, un chagrin plus profond et une plus grande sensibilité que n’importe quel autre être vivant. L’homme a également appris à apprécier la beauté, à rêver et à créer, à aimer et à haïr. Dans l’éducation des enfants ainsi que dans la formation des animaux, la punition et la récompense constituent les plus puissantes motivations pour apprendre. Dans notre orientation hédoniste de la vie visant à minimiser la douleur et à rechercher le plaisir, nous attribuons souvent ces qualités à l’environnement sans nous rendre compte que les sensations dépendent d’une chaîne d’événements qui aboutit à l’activation de mécanismes intracérébraux déterminés. Les dégâts physiques, la perte d’un enfant chéri, ou une catastrophe apocalyptique ne peuvent pas nous faire souffrir si certaines de nos structures cérébrales ont été bloquées par anesthésie. Le plaisir ne réside pas dans le fait d’être caressé sur la peau ou d’avoir le ventre plein, mais quelque part à l’intérieur de la boîte crânienne.

En même temps, la douleur et le plaisir ont d’importantes composantes culturelles et psychiques liées à l’histoire de l’individu. Des hommes inhibés par une sortie extraordinaire tribaux ou formation religieuse à endurer l’inconfort ont été torturés à mort sans montrer des signes de souffrance. On sait aussi qu’en l’absence de blessure physique, l’élaboration mentale de l’information peut produire la pire forme de souffrances. Le rejet social, les sentiments de culpabilité, et

Page 117

d’autres tragédies personnelles peuvent produire des manifestations autonomiques, somatiques et psychologiques plus grandes que la douleur physique.

Il existe une forte réticence à accepter que de telles interprétations personnelles et raffinées comme le fait d’avoir peur et d’être amoureux sont subordonnées à la dépolarisation de la membrane de groupes de neurones déterminés, mais ceci est un aspect des phénomènes émotionnels qui ne devrait pas être ignoré. Après une lobotomie frontale, des patients atteints du cancer ont indiqué que la douleur persistait sans faiblir, mais que leur souffrance subjective était radicalement réduite, et ils ne se plaignaient pas ni ne demandaient autant de médicaments qu’avant l’opération. Les patients lobotomisés réagissaient autant à des stimuli nociceptifs, sinon plus, qu’avant leur opération, sursautant lorsqu’on les piquait avec une aiguille et répondant rapidement aux tests objectifs de chaleur excessive, mais ils présentaient une diminution d’inquiétude. Il semble que dans les lobes frontaux, il existe un mécanisme de potentialisation de l’évaluation des souffrances personnelles, et après la lobotomie, la sensation initiale de douleur n’est pas modifiée, alors que la composante réactive à ce sentiment est fortement réduite. Ce mécanisme est assez spécifique des lobes frontaux ; la destruction bilatérale des lobes temporaux ne parvient pas à modifier les souffrances personnelles.

Les questions importantes à résoudre sont les suivantes : est-ce que certaines structures cérébrales possèdent le rôle spécifique d’analyser des types précis de sensations ? Est-ce que le codage de l’information au niveau des récepteurs est indispensable à l’activation de ces structures ? Il n’y a pas si longtemps, beaucoup de scientifiques auraient rejeté comme naïf le fait déjà démontré selon lequel la punition et la récompense peuvent être provoqués à volonté en manipulant les commandes d’un instrument électrique connecté au cerveau.

Perception de la souffrance

Dans les manuels scolaires et les articles scientifiques, des termes comme « récepteurs de la douleur », « fibres de la douleur », et « voies de la douleur » sont fréquemment utilisés, mais il convient de préciser que les nerfs périphériques ne sont pas porteurs de sensations. Les voies neuronales transmettent seulement des schémas d’activité électrique

Page 118

avec un message qui doit être déchiffré par le système nerveux central, et en l’absence de cerveau, il n’ya pas de douleur, même si certaines réactions de réflexe moteur peuvent encore être présentes. Une grenouille décapitée ne peut rien ressentir, mais elle sautera avec une assez bonne coordination motrice lorsqu’on lui pince les pattes arrière. Durant les sports de compétition ou sur le champ de bataille, l’émotion et le stress peuvent temporairement bloquer la sensation de douleur chez l’homme, et souvent les blessures ne sont pas immédiatement remarquées. L’interprétation cérébrale des signaux sensoriels est tellement décisive qu’un même stimulus peut être considéré comme agréable ou désagréable selon les circonstances. Un fort choc électrique sur les pieds effraie un chien et inhibe la sécrétion de sa salive. Si, toutefois, la même excitation « douloureuse » est suivie pendant plusieurs jours par l’administration de nourriture, l’animal accepte le choc, remuant la queue joyeusement et salivant par anticipation de la récompense de la nourriture. Certains de ces chiens ont été entraînés à appuyer sur un levier afin de déclencher le choc électrique qui précède l’alimentation. Pendant les relations sexuelles chez l’homme, les morsures, les égratignures et d’autres sensations potentiellement douloureuses sont souvent interprétées comme agréables, et certains déviants sexuels recherchent les châtiments corporels en tant que source de plaisir.

Le paradoxe est que, alors que la peau et les viscères possèdent plein de terminaisons nerveuses pour la réception sensorielle, le cerveau ne possède pas ce type d’innervation. Chez les patients sous anesthésie locale, le tissu cérébral peut être coupé, brûlé, déchiqueté ou congelé sans causer d’inconfort. Cet organe tellement insensible à sa propre destruction est, toutefois, le capteur exquis des informations reçues depuis la périphérie. Chez les espèces animales plus élevées, il y a une différentiation sensorielle impliquant les récepteurs périphériques spécialisées qui codent l’information externe en impulsions électriques et des analyseurs internes qui décodent les sensations entrantes qui circulent dans le but d’accroître la perception des sensations.

La plupart des messages sensoriels voyagent à travers les nerfs périphériques, les racines dorsales, la moelle épinière et la moelle vers les noyaux thalamiques dans le cerveau, mais à partir de là nous perdons leurs traces et nous ne savons pas où l’information est interprétée en tant que douloureuse ou agréable, ni la manière dont les composantes affectives sont attribuées à une sensation (212, 220).

Page 119

Bien que les investigations anatomiques indiquent que les fibres thalamiques se projettent vers le cortex « sensoriel » pariétal, la stimulation de ce secteur ne produit pas de douleur chez les animaux ni chez l’homme. Aucune gêne n’a été rapportée après l’excitation électrique de la surface ou de la profondeur des zones motrices, des lobes frontaux, des lobes occipitaux, de la circonvolution cingulaire et de nombreuses autres structures, alors que la douleur, la rage et la peur ont été provoquées par l’excitation du tegmentum gris central, et de quelques autres régions.

Les animaux partagent avec l’homme l’aspect expressif des manifestations émotionnelles. Quand un chien remue la queue, nous supposons qu’il est heureux, et quand un chat siffle et crache, nous supposons qu’il est furieux, mais ces interprétations sont anthropomorphes et, en réalité, nous ne connaissons pas les sentiments de quelque animal que ce soit. Plusieurs auteurs ont essayé d’établir une corrélation entre les manifestations objectives et les sensations ; par exemple, la stimulation de la cornée de l’oeil provoque une lutte, la dilatation de la pupille et la montée de la pression sanguine (87), mais ces réponses ne sont pas nécessairement liées à la prise de conscience des sentiments, comme cela est clairement démontré par la capacité défensive de la grenouille décapitée. L’étude expérimentale des mécanismes de la douleur et du plaisir chez les animaux est handicapée par leur absence de communication verbale, mais heureusement, nous pouvons déterminer si un animal aime ou n’aime pas la sensation perçue via l’analyse instrumentale de ses réponses. Les rats, les singes et d’autres espèces peuvent apprendre à appuyer sur un levier pour recevoir une récompense telle qu’une boulette de nourriture ou apprendre à éviter quelque chose de désagréable tel qu’un choc électrique sur la peau. Via l’acte volontaire de la manipulation d’un instrument, un animal exprime si oui ou non la nourriture, les chocs, ou la stimulation cérébrale sont désirables, ce qui permet une qualification objective de la sensation. De nombreuses structures cérébrales ont été étudiées de cette façon en vue d’identifier leurs propriétés de renforcement positives ou négatives.

À l’heure actuelle, il est généralement admis que des zones spécifiques du cerveau participent à l’intégration des sensations de la douleur, mais le mécanisme est loin d’être clair, et dans nos expérimentations animales, nous ne savons pas si nous stimulons les voies ou des centres d’intégration plus élevés. Le concept d’une conduction directe des messages de la douleur

Page 120

depuis la périphérie vers le système nerveux central était trop élémentaire. Les messages qui arrivent sont probablement traités à de nombreux niveaux avec des retours qui modifient la sensibilité et le filtrage de l’information à de nombreuses étapes, y compris au niveau des récepteurs périphériques. L’excitation du cerveau, par conséquent, peut avoir une incidence sur la transmission tout comme sur l’élaboration des ordres entrants et la rétroaction de la modulation. Les stimuli électriques ne transportent pas de message précis car ils sont une répétition monotone d’impulsions semblables, et le fait qu’ils constituent un élément déclencheur acceptable de la perception centrale de la douleur signifie que la réception d’un code sous forme de schémas n’est pas nécessaire, mais seulement l’activation non spécifique des ressources neuronales qui sont accessibles pour l’étude. En plus de l’importance de ces études pour trouver de meilleures thérapies pour l’atténuation de la douleur, il y a un autre aspect qui a beaucoup d’intérêt social : les relations possibles entre la perception de la douleur et la violence.

L’anxiété, la peur et la violence provoquées par stimulation électrique du cerveau chez les humains

L’anxiété a été considérée comme l’alpha et l’oméga de la psychiatrie. Elle est l’un des thèmes centraux de la philosophie existentielle, et elle nuance la vie normale – et anormale – de la plupart des êtres humains. Plusieurs états émotionnels peuvent être classés sous la rubrique de l’anxiété, notamment la peur, l’effroi, la panique et la terreur, qui sont des variantes de la même expérience. L’un des troubles mentaux les plus complexes, l’anxiété déraisonnable ou excessive, y compris les phobies et obsessions compulsives, souvent, ne répond bien souvent pas aux standards et, dans certains cas, il a été amélioré par électrocoagulation de zones discrètes du pôle frontal. Grey Walter (234) a signalé une récupération sociale totale de 85% chez un groupe de soixante malades atteints d’anxiété et d’obsessions traités avec des coagulations soigneusement dosées et effectuées via des électrodes implantées dans les lobes frontaux.

Sans entrer dans des discussions sémantiques, nous pouvons considérer que l’anxiété est un état émotionnel d’une tension consciente ou inconsciente, liées à des menaces réelles ou imaginaires, contre l’intégrité psychologique ou physique de l’individu. Un faible degré d’anxiété peut mobiliser, alors que des niveaux excessifs peuvent paralyser l’activité mentale et somatique. Au-delà d’une certaine limite, l’anxiété possède des caractéristiques fort déplaisantes. Dans des circonstances normales, elle est produite, de même que toute autre émotion,

Page 133

par les apports sensoriels de l’environnement et par des souvenirs, qui tous deux exigent une élaboration mentale de messages qui peuvent être influencés par des facteurs neuronaux et liés à l’humeur. En outre, il existe des preuves abondantes que l’anxiété et la peur peuvent être provoquées en tant que catégorie de réponse soit primaire, soit secondaire, par stimulation électrique du cerveau. La perception ou l’attente de la douleur peuvent être effrayantes, et dans certains cas, lorsque la stimulation électrique du cerveau a produites un malaise (inconfort) généralisé ou localisé, les patients ont exprimé leur inquiétude concernant la poursuite de l’exploration des procédures. En plus de la peur naturelle de la possibilité d’un nouvel inconfort, il pourrait y avoir eu une composante de l’anxiété primaire qui serait difficile à évaluer.

La destruction de parties discrètes du thalamus produit un soulagement de l’anxiété névrotique et de la névrose obsessionnelle compulsive qui est probablement lié à l’interruption des parcours toniques vers les lobes frontaux.

La stimulation du noyau thalamique, cependant, produit très rarement de l’anxiété, et les rapports des patients sont limités à des sentiments de faiblesse, d’être différent, de tournis, de flottement, et de quelque chose de semblable à l’intoxication par l’alcool (214).

Des manifestations plus claires de la provocation directe de la peur, sans autres sensations qui les accompagnent, ont été rapportées par plusieurs enquêteurs. Des lésions dans le thalamus médian donnent un soulagement efficace de la douleur avec un minimum de perte de sensibilité, et pour cette raison, cette zone a souvent été explorée électriquement chez les patients atteints du cancer. Dans certains cas, elle a produit des crises d’angoisse aiguë, qu’un patient décrit de façon frappante comme suit : « C’est un peu comme le sentiment d’avoir été manqué de peu par une voiture et d’avoir bondi en arrière vers la bordure (du trottoir) et de s’être dit « Brrr ». » Quelque chose au plus profond de lui donnait une impression très déplaisante, très inhabituelle, et il ne voulait certainement plus ressentir cela (73). Le fait surprenant est que la désagréable sensation de peur fut ressentie d’un côté du corps, du côté contraire à celui de la stimulation cérébrale. Sweet (221) a rapporté le cas d’un patient très intelligent, le doyen d’une université, qui, après une sympathectomie unilatérale afin de soigner l’hyperhidrose de ses membres supérieurs, a révélé que sa précédente et coutumière sensation de frisson en écoutant un émouvant passage de musique se produisait dans un seul côté (du corps), et il ne pouvait

Page 134

pas être ému dans la moitié de son corps qui avait reçu la sympathectomie. Ces cas étaient intéressants car les émotions sont généralement expérimentées de façon assez diffuse et bilatérale, sauf si l’innervation a été spécifiquement interrompue.

Le rôle du thalamus dans l’intégration de la peur est également suggéré par l’étude d’une patiente dont les attaques d’anxiété spontanées et paralysantes d’une intensité écrasante avaient mené à plusieurs tentatives de suicide et à un état chronique de dépression et d’agitation assez réfractaire aux médicaments et à la psychothérapie. La stimulation du noyau dorsolatéral du thalamus provoquait précisément le même type d’attaque à un niveau de la symptomatologie directement proportionnel à l’intensité appliquée. Il a été possible de trouver le seuil électrique pour une légère anxiété ou de l’augmenter à des niveaux supérieurs en tournant simplement le cadran d’un stimulateur. « On pouvait s’asseoir avec sa main sur le bouton et contrôler le niveau de son angoisse » (73).

Chez l’une de nos patientes, la stimulation d’une zone similaire dans le thalamus provoqua une expression typique de peur, et elle se tournait des deux côtés, explorant visuellement la pièce derrière elle. Lorsqu’on lui demanda ce qu’elle faisait, elle répondit qu’elle ressentait une menace et pensait que quelque chose de terrible allait se produire. Cette sensation de peur était perçue comme réelle, et elle avait la prémonition d’une catastrophe imminente de cause inconnue. Cet effet fut fiable durant plusieurs jours et ne fut pas altéré par l’utilisation de l’éclairage et d’une caméra destinés à documenter les découvertes. Son activité motrice et le choix des mots variaient en fonction de l’environnement naturel, mais l’expression de son visage et la sensation aiguë d’une peur non spécifique, inexplicable, mais réelle était similaire suivant les différentes stimulations. La réponse commençait avec un délai de moins d’une seconde, durait aussi longtemps que la stimulation, et ne laissait pas de séquelles observables. La patiente se souvenait de sa peur, mais n’était pas bouleversée par ce souvenir.

Certains patients ont affiché de l’anxiété et de l’agitation lorsque le pallidum fut stimulé à des fréquences supérieures à 8 cycles par seconde, et ils ressentaient également de la chaleur ou une constriction dans la poitrine (123). Quelques-uns ont rapporté une « anxiété vitale dans le côté gauche de la poitrine »,

Page 135

et criaient de façon anxieuse si la stimulation était répétée. Des réactions émotionnelles intenses furent provoquées par stimulation du noyau amygdaloïde, mais les réponses varièrent auprès du même patient, même avec les mêmes paramètres de stimulation. L’effet était parfois la colère, parfois la peur. Un patient a expliqué, « Je ne sais pas ce qui m’a pris. J’avais l’impression d’être un animal de l’air « (100).

La sensation de peur, sans aucune douleur concomitante a également été observée à la suite de la stimulation électrique du cerveau au niveau du lobe temporal (230). Cet effet peut être classé comme une « illusion de la peur » (174) car il n’y avait manifestement pas de véritable raison d’avoir peur en dehors de l’activation électrique artificielle de certaines structures cérébrales. Dans tous les cas, cependant, la crainte est une interprétation cérébrale de la réalité qui dépend d’une multitude de facteurs culturels et de l’expérience, avec des raisons logiques ou illogiques. Le fait qu’elle puisse être éveillée par la stimulation d’un petit nombre de zones du cerveau permet l’exploration des mécanismes neuronaux de l’anxiété, et comme hypothèse de travail, nous pouvons supposer que les qualités émotionnelles de la peur dépendent de l’activation de structures déterminées situées probablement dans le thalamus, le complexe amygdalien, et quelques autres centres encore non identifiés à ce jour. Cette activation dépend généralement de l’évaluation symbolique de données entrantes sensorielles et codées, mais le seuil de cette activation peut être modifié – et aussi atteint – par l’application directe de la stimulation électrique du cerveau. La connaissance des mécanismes intracérébraux de l’anxiété et de la peur permettra la mise en place d’un traitement pharmacologique et psychiatrique plus rationnel de la souffrance de nombreux patients, et pourra aussi aider à comprendre et à améliorer le niveau croissant d’anxiété dans notre civilisation.

On sait aussi que dans certains cas tragiques, des processus neurologiques anormaux peuvent être le facteur déterminant d’une violence déraisonnable et incontrôlable. Les personnes qui en sont atteintes peuvent souvent blesser ou même tuer soit des étrangers, soit des membres proches de la famille généralement traités avec affection. Un exemple typique était J.P., charmante et jolie jeune fille de 20 ans qui avait un passé médical incluant une encéphalite à l’âge de dix-huit mois et de nombreuses crises du lobe temporal et des attaques épileptiques de type grand mal durant les dix dernières années (6o). Son principal problème social consistait en de fréquents et imprévisibles accès de rage

Page 136

qui, à plus d’une douzaine de reprises, aboutirent à une agression contre une autre personne telle que planter un couteau dans le myocarde d’un étranger, ou une paire de ciseaux dans la cavité pleurale d’une infirmière. La patiente fut enfermée dans un service pour les gens atteints de folie criminelle, et des électrodes furent implantées dans son complexe amygdalien et son hippocampe pour l’exploration d’éventuelles anomalies neurologiques. Comme elle était plutôt impulsive, le confinement dans la salle d’enregistrement de l’électroencéphalogramme était impraticable, et elle devint l’un des premiers cas cliniques équipé d’un stimoceiver, ce qui permit d’étudier l’activité intracérébrale sans retenue (voir figure 4). Les enregistrements en profondeur pris alors que la patiente se déplaçait librement dans le service démontrèrent des anomalies électriques marquées dans les deux amygdales du complexe amygdalien et l’hippocampe. Les périodes spontanées de marche sans but coïncidaient avec une augmentation du nombre d’ondes fortes de haute tension. D’autres fois, le discours de la patiente était spontanément inhibé pendant plusieurs minutes au cours desquelles elle ne pouvait pas répondre à quelque question que ce soit, même si elle conservait une compréhension et une conscience partielles. Ces périodes coïncident avec des rafales de pics d’activité localisées au rayonnement optique (fig. 17). L’excitation émotionnelle transitoire était liée à une augmentation en nombre et en durée de salves de 16 cycles par seconde ; mais la patiente lisait les journaux, conversait avec les autres personnes, et se promenait sans causer de modifications notables dans l’activité électrique intracérébrale qui était télémétrée.

Au cours d’explorations approfondies, il a été démontré que des crises de comportement agressif, semblables aux éclats de colère spontanés de la patiente, pouvaient être suscitées par la stimulation radio de 3 contacts dans l’amygdale cérébrale de droite. Une excitation d’1,2 milliampère de cette zone fut appliquée pendant qu’elle jouait de la guitare et à chantait avec enthousiasme et compétence. À la septième seconde de la stimulation, elle jeta la guitare et, dans un élan de rage, lança une attaque contre le mur, et ensuite fit des va-et-vient sur le sol pendant plusieurs minutes, après quoi elle se calma progressivement fait silence et reprit son comportement joyeux habituel. Cet effet fut répété sur deux jours différents. Le fait que seul le contact situé dans le complexe amygdalien induisait la rage suggérait que le terrain neuronal

Page 137

Figure 17 L’enregistrement télémétrique de l’activité électrique du cerveau chez une des patientes illustrées en figure 4. Les emplacements des contacts étaient les suivantes : Canal 1 : noyau amygdaloïde ; Canal 2 : rayonnement optique antérieur ; Canal 3 : rayonnement optique postérieur. A : les salves spontanées apparaissant dans le Canal 1 étaient plus importantes lorsque le patient était psychologiquement excité. B : l’arrêt soudain et spontané du discours a coïncidé avec des rafales de pic au Canal 3. C : les enregistrements de contrôle n’ont pas été modifiés par le comportement amical ou par les différents types d’activité motrice telles que la marche et la lecture (60).

Page 138

autour du contact 3 était impliqué dans le problème comportemental du patient, et cette constatation est d’une grande signification clinique dans l’orientation de traitement ultérieur par coagulation locale.

La démonstration que la stimulation du complexe amygdalien peut provoquer des comportements violents a également été fournie par d’autres chercheurs. King (128) a décrit le cas d’une femme ayant des sentiments de dépression et d’aliénation, avec un ton vocal extrêmement plat et une expression faciale qui était vide et immuable au cours des interviews, et qui lors de la stimulation du complexe amygdalien avec 5 milliampères avait beaucoup changé ses inflexions vocales et avait montré une expression de colère. Pendant ce temps, elle avait dit : « J’ai l’impression que je veux me lever de cette chaise ! Ne me laissez pas le faire, s’il vous plaît ! Ne me faites pas cela, je ne veux pas être méchante ! « . Lorsque l’intervieweur a demandé si elle voulait le frapper, la patiente a répondu : « Oui, je veux frapper quelque chose. Je veux tenir quelque chose et le déchiqueter, tout simplement. Prenez-le, de façon à ce que je ne le fasse pas ! » Elle remit ensuite son foulard à l’intervieweur qui lui donna une pile de papier, et sans aucun échange verbal, elle la déchira en lambeaux en disant : « Je n’aime pas me sentir comme ça. » Lorsque le niveau de la stimulation fut réduit à 4 milliampères, son attitude changea en un large sourire, et elle expliqua : « Je sais que c’est idiot, ce que je suis en train de faire. Je voulais me lever de cette chaise et courir. Je voulais frapper quelque chose, déchiqueter quelque chose – n’importe quoi. Pas vous, juste n’importe quoi. Je voulais juste à me lever et déchiqueter. Je n’avais pas de contrôle sur moi-même.  » Une augmentation de l’intensité jusqu’à 5 milliampères donna lieu à nouveau à de semblables manifestations d’agressivité, et elle leva le bras, comme si elle allait frapper.

Il est remarquable que, bien que les patients paraissaient être hors de contrôle dans ces deux cas d’agression provoquée par électricité, ils n’attaquaient pas l’intervieweur, indiquant qu’ils étaient conscients de leur situation sociale. Cette constatation n’est pas sans rappeler le comportement des singes que l’on avait stimulés et qui dirigeaient leur agressivité en fonction de leur expérience antérieure et de leur rang social et n’osaient pas défier l’autorité bien établie des chefs. Apparemment, la stimulation électrique du cerveau peut provoquer un état de réactivité violente accrue qui est exprimé conformément à la structure individuelle et aux circonstances environnementales. Nous pouvons donc conclure que

Page 139

le changement émotionnel provoqué artificiellement n’est qu’un élément de plus dans la constellation des éléments qui déterminent le comportement.

(.)(Source : myweb et marialerouxi, merci à Ambre

Publicité
Publicité
23 mars 2016

Comment désactiver votre wifi mode d'emploi pour chaque opérateur

380639

 

Et maintenant, DESACTIVONS LE WI-FI :
(Merci aux visiteurs ayant contribué à enrichir cette rubrique)

Voici le cas général le plus simple (voir les "autres cas" plus bas) pour désactiver le wifi de sa box ADSL :

- Tapez 192.168.1.1 dans la barre d'adresse (tout en haut) d'un navigateur Internet
- si nécessaire s'identifier (par défaut sur Livebox le login et le mot de passe est "admin" - consultez la documentation fournie), visitez les forum ou appelez votre service client pour connaître ce couple identifiant/mot de passe défini par défaut)

- Trouvez l'option (la case à cocher généralement) wifi à cocher ou à décocher selon les cas puis validez.

> Sur Livebox Orange Inventel v1, il faut choisir sécurité dans le menu à gauche puis 802.11g et décocher le cas échéant la case "activer le wifi" puis valider.

> Sur Livebox Orange Inventel v12, il y a un bouton on/off pour désactiver le Wi-fi.

> Sur Livebox Orange Sagem, sélectionnez la rubrique : Réseau sans fil puis voir dans la rubrique 'Service Réseau sans fil' , s’il est activé cliquez sur Désactiver
Ensuite Sauvegarder la configuration comme proposé.
Eteindre puis rallumer la livebox et attendre que l’initialisation soit terminée. Vérifier le Voyant correspondant au WiFi qui doit etre éteint : la Box a cessé d’émettre.

> Sur les Neuf Box, un onglet "Wifi" permet d'en désactiver facilement l'option. Si vous avez un menu Hotspot (Neufbox, version 4) permettant de faire de votre modem un point d'accès Wifi communautaire, veillez à en désactiver l'option également.

> SFR Box (dernière génération de NeufBox) : le 'Hotspot' (Wifi communautaire) est activé par défaut, en plus du Wifi domestique ! Il faut donc veiller à les désactiver tous les deux, en s'identifiant sur le 192.168.1.1
Puis aller sur l'onglet Wi-fi et cliquer sur Configuration et "désactiver".
Pour le communautaire, cliquez dans l'onglet Hotspot. Cliquer sur Configuration et "désactiver".

Vérifiez, selon les types de modem, que le voyant correspondant au Wifi est bien éteint après cette opération.

Attention !! en cas de réinitialisation sur la plupart des box (non pas l'interruption électrique du modem mais via une opération de maintenance volontaire - parfois effectuée par un technicien venu à domicile), l'option Wifi est alors réactivée - par défaut.

Autres cas de Box ADSL :
(Merci aux contributeurs)

> Pour les Bbox (box Bouygues Telecom) récentes, un bouton de désactivation se trouve sur le devant de la box. En restant appuyé, le bouton s'allume (marche) ou s'éteint (arrêt).
Pour le Wi-fi communautaire (Hotspot), aller dans le panneau de configuration de la Bbox à l'adresse 192.168.1.254
Votre navigateur vous demandera immédiatement le nom de l'utilisateur et du mot de passe. Le nom de l'utilisateur est « admin ». Si vous n'avez jamais changé votre mot de passe, il est réglé par défaut sur « password » ou « admin » (si le premier mot de passe ne fonctionne pas, essayez le second).
Allez ensuite dans l'onglet "Hotspot" pour le désactiver.


> Pour les Freebox (non HD), il faut s'identifier sur le site de Free en allant sur 'Mon Compte' (lien en haut).
Saisissez l'identifiant qui est votre numéro de téléphone (en 01, 02, 03, 04 ou 05) et le mot de passe qui est celui qui vous a été communiqué dans votre courrier de confirmation d'abonnement (par défaut, sinon celui que vous aurez volontairement défini).
Une fois identifié(e), vous obtenez un menu à gauche comprenant : téléphonie, internet, etc...
Cliquez 'Internet'. Vous obtenez alors un menu qui vous permet de choisir la "configuration du réseau Wifi" (un des premiers liens du menu).
Vous obtenez alors une page de configuration du Wifi dont la première case 'Activer' en face de 'Souhaitez-vous activer ce service' est à décocher pour désactiver le Wifi de la Freebox.
Un message vous indique de redémarrer le modem. (débranchez puis rebranchez l'appareil).

> Freebox HD :
L'option wifi n'est pas activée par défaut sur les Freebox HD (V5).
Mais la FREEPHONIE, le Wifi communautaire, est activée par défaut.

Pour désactiver le wifi , rendez-vous sur votre interface de gestion à http://subscribe.free.fr/login/ et allez dans la rubrique INTERNET, puis cliquez sur Configurer mon réseau WiFi Freebox et cochez la case Eteindre le module (tout en haut) et décochez la case Activer le réseau wifi personnel (juste en bas) puis débranchez votre Freebox et rebranchez-la.

Pour désactiver la Freephonie (wifi communautaire), allez sur votre interface de gestion à http://subscribe.free.fr/login/ et allez dans la rubrique INTERNET, puis cliquez sur Mes autres fonctions : IPv6, Freephonie, SMTP sortant, diodes et décochez la case Réseau Freephonie. Puis débranchez votre Freebox et rebranchez-la.

NOUVEAU : vous pouvez désormais profiter des appels illimités vers les mobiles depuis la Freebox v5 : http://www.01net.com/editorial/532522/les-appels-vers-les-mobiles-en-option-sur-les-freebox-v5-maj/

> Freebox Révolution (v6) :
- Pour désactiver la Freephonie et le Wi-fi personnel sur la Freebox Révolution, désactivez la carte wifi depuis l'interface de gestion sur http://portail.free.fr/, onglet "Mon Compte" puis rubrique "Ma Freebox, "Paramétrer mon réseau wifi", à la rubrique "Allumer le module WiFi", cliquez sur "Inactif" puis redémarrer la Freebox.
Ou bien passez par mafreebox.freebox.f, allez dans l'onglet "Wifi" puis "Configuration" et choisissez l'option d'inaction (rouge) de "Activer le réseau sans-fil".

- Pour résilier le Freewifi (Hotspot Free) de la Freebox Révolution, veuillez accéder à l'interface de configuration : https://wifi.free.fr/ et taper le code de sécurité à 4 chiffres qui apparait sur votre Freebox puis choisir "Désactiver ma borne (et mon accès) FreeWifi".

- Pour désactiver l'option DECT sur la Freebox Révolution depuis le menu digital Freebox Server :http://mafreebox.freebox.fr/, en choisissant "Téléphonie" puis "Paramètres du DECT" et désactiver l'option "Activer la base DECT" (en rouge)

NB : la télécommandes utilise une sorte de Wi-fi et n'est pas désactivable : http://www.robindestoits.org/_a1603.html


> Neuf / Club Internet ADSL :
Démarche du 'cas général' sauf qu'il faudra saisir "root" (sans les guillemets) comme login et "clubadmin" (sans les guillemets) comme mot de passe.


> Télé 2 Box :
Accéder au modem tele2 (par le logiciel fourni - voir dans liste des programmes à Tele2)
Cliquer Réseau privé (sur la liste à gauche)
Cliquer Interfaces
Point d'accès sans fil apparaît (avec la configuration en dessous)
Cliquer sur configuration (en haut à droite souligné et en rouge)
Décocher la case interface activée (première ligne cela enlève V dans la case)
Valider
(Vérifier que le voyant Wlan est éteint sur la Box)


> Alice Box :
2 méthodes :
1- Lancer CD installation
Menu : "Accéder au menu d'options avancées"
Menu : "Réseau sans fil"
Décocher la case "wifi activé" puis cliquer sur le bouton Sauver/Appliquer
Attendre la mise à jour de la page web (se fait automatiquement)
Redémarrer l'Alice Box
OU
2- Taper dans la bare d'adresse d'un navigateur web : 192.168.1.1 et saisir les login et password permettant d'accéder à l'interface dite de niveau 2
Login : support
Password : dvguhbti

ou

Login : alice
Password : alice

Menu de gauche : réseau sans fil : décocher la case "wifi activé"
Menu de gauche : Gestion:Sauver/redémarrer -> confirmer par le bouton au milieu de la page (reboot du modem)
La diode correspondant au wifi est alors éteinte

> Darty Box :
Tapez 192.168.1.254 via le navigateur Internet
Si nécessaire s'identifier (le login est "DartyBox" par défaut et le mot de passe "1234")
Choisissez le menu 'Réseau Wifi' à gauche puis trouvez l'option Wifi à désactiver.
NB : vous authentifier en mode expert au besoin :
Nom de l'utilisateur : DBAdmin
Mot de passe : dbox1234


> Pour Numéricable, il est écrit sous le modem comment le configurer :
tapez 192.168.0.1 dans la barre d'adresse de votre navigateur puis saisissez l'identifiant "admin" et le mot de passe "password".
Un onglet "connexion sans fil" vous permettra de désactiver l'option Wifi.


Que faire si j'ai changé mon mot de passe et que je l'ai oublié ?

Si vous avez perdu votre mot de passe, la seule solution est de réinitialiser la box complètement. De ce fait vous perdrez tous les réglages que vous aurez pu faire auparavant… Rien que vous ne puissiez refaire, néanmoins. Pour réinitialiser la box, vous devrez appuyer pendant 5 à 10 secondes sur le tout petit bouton "reset" situé à l'arrière de la box. Vous devrez probablement vous aider d'un trombone ou de la pointe d'un stylo.

NB : Vérifiez, selon les types de modem, que le voyant correspondant au Wifi est éteint.
Attention !! en cas de réinitialisation sur la plupart des box (non pas l'interruption électrique du modem mais via une opération de maintenance volontaire - parfois effectuée par un technicien venu à domicile), l'option Wifi est alors réactivée - par défaut.

Voilà, c'est fait , votre wifi est désactivé. Reste "plus qu'à" convaincre vos voisins d'en faire autant !...


Vous pouvez coller cette affichette dans le hall de votre immeuble ou la distribuer par mail ou dans les boîtes aux lettres. cliquez sur le lien et telechargez là en pdf wifi_pourquoi_cest_dangereux_1_2_

Merci de diffuser a tous vos amis et connaissance il en va de la santé de nous tous et des plus petits Godbless.

22 février 2016

Un physicien en colère tenait à rendre publique ce qu’il pense du monde scientifique de L' énergie libre interdite .

uggug

Un physicien en colère tenait à rendre publique ce qu’il pense du monde scientifique d’aujourd’hui dans un texte qu’il a écrit lui-même. Il y parle d’énergie libre interdite et de l’escroquerie du système actuel. Il donne des liens très intéressants. Il a choisit le média alternatif et philosophique Wikistrike pour s’exprimer. Nous tenions ici à le remercier. Ce texte est important, car voilà enfin un scientifique qui ose rompre le silence, dégouté par un système fasciste. Vive la démocratie et l’énergie libre !

Le savoir et la technologie comme base d’une civilisation contre la puissance des lobbys sur la recherche scientifique, voilà ce qu’il faut chercher ; ouvrons la boîte de Pandore, et mettons un terme à l’hégémonie du nucléaire, du pétrole et de toutes les autres ressources fossiles pour échapper à leurs conséquences dévastatrices sur notre environnement, notre TERRE.

Puisque quelques amis me l’ont si gentiment suggéré, au nom de la liberté d’expression, de mon mépris des Grenelle de l’environnement, de mon dégoût du nouveau cinéma – taxe carbone et MOX de Faux Cul Shima – et pour le bien être de tous, aujourd’hui, c’est l’heure du grand lavage de mains et de cerveau ! L’unique vérité est l’art de voir. Voyez.
Je fus chercheur et docteur en physique au THÉÂTRE de l’enseignement occidental, ce que je sais dépasse tout ce qu’on vous a appris et même tout ce qu’on vous a caché. C’est mon libre arbitre et ma recherche de la connaissance qui me l’ont révélé, à jamais merci à l’esprit philosophique français et à la culture des philosophes des lumières que j’ai adopté au cours de ma jeunesse d’expatrié.

Ce que je veux vous donner dans cet exposé, c’est une réalité simplifiée des propriétés cachées de cet univers, de sa compréhension viendra la fin de tous les problèmes de ce monde. Et viendra la motivation absolue de changer ce monde, avec un argumentaire solide et une vision future prometteuse qui n’existe plus dans aucun courant politique actuel petit ou grand.
Il s’agit des méthodes pour produire de l’énergie notamment sous forme électrique et quasi gratuitement en « consommant le vide de l’univers » et quelques technologies d’armement se basant sur les propriétés réelles du vide de l’univers. Et oui le vide n’est pas vide, c’est un océan d’énergie invisible dans une dimension (sous espace) que nous ne percevons pas par nos sens et le commun de notre technologie.

Vous pensez peut-être que le pétrole et le nucléaire sont les seules sources d’énergies qui existent, que les armes de votre armée sont les meilleures ?
Vous vous trompez tous, mais vous avez été trompés depuis au moins un siècle par des lobbys surpuissants, maléfiques, lesquels dirigent réellement ce monde en sélectionnant leurs dociles marionnettes les représentants (Obama, Hollande, Merkel, Ahmadinejad, …).

Lesquels pour exemple, au début du siècle dernier ont répondu à Nikola Tesla au sujet de son idée de générer de l’énergie électrique gratuite produite en puisant directement dans le vide énergétique inépuisable de l’univers, aussi rendant cette énergie accessible en tout point du monde sans fil : « Mais, Mr Tesla où allons nous placer le compteur ? », le principal actionnaire des projets de Tesla ce nommait déjà JP Morgan, lequel lui a rapidement coupé tout crédit, on comprendra cela pour continuer à exploiter les ressources fossiles et en tirer le maximum de profit entre amis. (1*)

Tenez maintenant dans votre esprit ces simples questions : de quoi dépend une civilisation ? Qu’est ce qui en fait sa puissance, sa liberté et son indépendance ?
Sa culture, sa langue, ses hommes politiques, son histoire, les infections mentales qui servent de religion, …. ! C’est beau, c’est du folklore, presque une pure perte de temps, un égarement nostalgique sans fin. Au fond nous partageons tous le même ADN, nous avons tous besoin de manger, et tous besoin d’énergie pour fabriquer ce dont nous avons besoin, faire grandir notre civilisation et notre bien être, nous simplifier l’existence et cela bien plus que d’une histoire ou encore une religion et une culture !

Alors une civilisation dépend peut être de son armée, et bien non, mais de la technologie et la connaissance utilisée par cette civilisation et son autonomie énergétique, donc des ressources pour atteindre cette autonomie, la clef d’une civilisation c’est son énergie et rien d’autre. Et si demain, une ressource nouvelle devait être le vide de l’univers, alors toute civilisation qui l’utiliserait deviendrait de facto indépendante de toutes les autres ressources dont notamment le nucléaire et le fossile et indépendante de tous les lobbys contrôlant ces dites ressources. Que pensez-vous de 1 millions de soldats rendus malades par une onde ! Ou morts ! Et bien ils n’auraient servis à rien ! Et tout le matériel dont ils disposaient avec ! Qui l’emporte ? Celui qui a le plus de connaissances même aux détriments d’une armée réduite, à l’extrême comme le disait Bonaparte « l’esprit l’emporte toujours sur l’épée », aujourd’hui c’est plus vraie que tout autre chose.

HAARP, le soit disant centre d’étude et de recherche atmosphérique américain situé en Alaska, il s’agit d’une arme en mesure de détruire toute forme de vie en quasi tout point du monde sur une zone dépendant de l’énergie disponible pour modifier les propriétés du vide de l’univers sur cette même zone et rendant ainsi ce même vide impropre pour toute forme de vie qui baignerait dedans ! Et bien d’autres phénomènes dont : tremblements de terre, catastrophes climatiques, rendre in-opérationnel tout équipement électronique, mur de plasma bouclier antimissile de telle sorte que le missile serait détruit durant son trajet immédiatement après avoir été détecté, et peut être même pour HAARP le dôme électromagnétique (à la façon Stargate, série dans laquelle l’énergie provient du vide) résistant aux explosions nucléaires et faisant écran à tous types de rayonnements y compris radioactifs et électromagnétiques ….

Et les armes atomiques, alors un cinéma de plus, il serait si facile de s’en protéger et si facile de châtier à distance n’importe quelle nation avec une arme électromagnétique. Ces technologies ainsi que les sources d’énergies autonomes puisant directement dans le vide de l’univers pour les faire fonctionner, depuis des décennies des nations les possèdent, de sources sûres les russes à un stade pleinement opérationnel (Kroutchev n’a-t-il pas laissé entendre que l’URSS possédait des super armes ?), les américains, et quelques autres à un stade plus ou moins avancé, bouche cousue avec les OVNI humains ce sont les secrets militaires les mieux gardés au monde. C’est Nikola Tesla qui a découvert expérimentalement, imaginé et développé le concept de l’arme électromagnétique ou rayon de la mort, il en a donné le principe de mise en œuvre et les explications nécessaires à quelques nations entres les deux guerres mondiales.

Le très éclairé docteur en physique et Colonel Tom Bearden de l’armée US en parle, en particulier au sujet des armes dites « secrètes » et des sources d’énergies alternatives, je vous conseille fortement de lire son site internet en anglais :
http://www.cheniere.org

Vous avez entendu parler des ovnis, et bien sachez qu’au moins une partie de ceux-ci sont humains et sont de simples applications de l’utilisation et de la manipulation de l’énergie du vide qui est la seule énergie capable de produire les phénomènes propres à un OVNI (anti gravité et accélération exponentielle).
Je vous suggère simplement de regarder ce brevet rédigé dans la langue de Molière sur le site de l’INPI (Institut Nationale de la Propriété Industrielle) :
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=FR&NR=2916316A3&KC=A3&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR

Bien sûr tous les scientifiques de la pièce de THEATRE, vous diront que tout cela est strictement impossible. Que ce n’est que du papier … de la théorie en dehors de la réalité, de la science fiction … y compris pour les armes électromagnétiques et les méthodes de productions d’énergie puisant dans le vide énergétique de l’univers, alors continuons un peu !
Maintenant, reconsidérez donc bien le cinéma qui est fait au sujet du programme nucléaire de l’Iran et à propos du pétrole et du contrôle des ressources fossiles partout dans le monde ! Son but, c’est déstabilisé l’ordre politique mondiale (de toute façon déjà soumis et pourri par tous types de lobbies économiques, politiques, voir même spirituels) dans le but d’assurer l’hégémonie des USA et pays vassaux ainsi que le modèle maléfique véhiculé par ceux-ci en le sauvant et le justifiant presque toujours par une guerre supplémentaire, bien sûr sous de spécieux prétextes acceptés comme sérieux par l’opinion publique manipulée (au fond il n’y avait pas d’arme de destruction massive en Irak, et Ben Laden n’est rien d’autre qu’une marionnette agente de la CIA, le 11 septembre un coup monté (2*) ).

Et pourquoi ? Car qui contrôle l’énergie d’une civilisation contrôlent cette civilisation. En l’occurrence, il est facile de contrôler le pétrole et le nucléaire puisque tous les deux dépendent directement de gisements localisés dans des pays ou des zones d’influences de superpuissance ou groupements de pays se comportant comme tel, donc qui contrôlent les dits pays politiquement ou économiquement en dispose. A l’opposé de cela, il devient impossible de contrôler des pays ou une civilisation qui disposeraient de sources d’énergie infinies émanant directement d’une nouvelle ressource incommensurable et disponible en tous points de la Terre ou de l’univers, ressource qui existe depuis au moins l’apparition de l’univers, ressources qui sont simplement l’application des lois réelles de l’univers à la science et à l’ingénierie, lois découvertes mais masquées et sempiternellement jamais enseignées aux détriments du bien être de toute l’humanité pour que se perpétue toujours la toute puissance de quelques lobbies qui finalement se partagent et contrôlent ce monde (il se dit que les 100 familles les plus riches de la Terre possèdent 80 % de ses ressources ).

Allons, avec de l’eau du robinet et voir même votre pisse, il est possible de faire des milliers de km avec tous les moteurs actuels à combustible fossiles en acceptant quelques modifications sur le système de carburation. Malheureusement en anglais, regardez les brevets de Stanley Meyer sur le site de l’INPI (Institut National de la Propriété Intellectuelle):
http://fr.espacenet.com/searchResults?locale=fr_FR&DB=fr.espacenet.com&ST=advanced&IN=MEYER+STANLEY+A

Il semblerait que ce brave sexagénaire de Stanley se soit effondré mort à la sortie d’un restaurant en mai 2006, certainement empoisonné, aussi son buggy de démonstration fonctionné à l’eau et en consommé très peu, certains affirment 3 l pour 1000 km, d’autres pour 100 km ! La technologie de Stanley Meyer étant relativement simple et accessible, demandez-vous donc pourquoi aucun constructeur automobile ne la propose ni ne l’exige ?

Allons, avec un ou des aimants, un ou des électro-aimants, un système oscillant mécanique ou électronique, quelques composants électroniques, il est possible de produire de l’énergie électrique ou mécanique sans fin ou perpétuelle, sans consommer quoi que se soit (si ce n’est le vide énergétique infinie de l’univers dans lequel nous évoluons et sur lequel est basé toute la VRAIE physique, celle de l’entendement et de la raison, le contraire de la fiction, des plagiats et postulats douteux d’Einstein et autres savants soumis défroqués uni neurone, pas un neurone pour surveiller l’autre !).

Vous ne me croyez toujours pas, je vous suggère de lire attentivement ces quelques brevets sur le site de l’INPI et cette fois ci en français et d’une technologie tout à fait accessible à quiconque, la surcapacité (rendement supérieur à 1 ou encore par exemple une machine qui consomme 1 watt pour en produire 2 ou plus) est quelques fois clairement mise en avant :
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=FR&NR=2399757A2&KC=A2&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=FR&NR=2363929A1&KC=A1&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=FR&NR=2528257A1&KC=A1&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=0152390A1&KC=A1&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=02073779A1&KC=A1&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=2006045333A1&KC=A1&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR
…..
Et plus compliqué :
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=2007103020A2&KC=A2&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR
http://www.google.com/patents?id=uissAAAAEBAJ&printsec=abstract&zoom=4&dq=pulsed+capacitor+discharge+electric+engine
http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?adjacent=true&KC=A&date=20070523&NR=2432463A&DB=EPODOC&locale=fr_FR&CC=GB&FT=D
……
La liste est très longue …. Par crainte de non recevabilité des brevets, bien souvent il n’est pas mentionné dans ceux-ci : sur unité, rendement supérieur à 1, sur capacité, machine perpétuelle, boucle close sont des termes prohibés…. Sérieusement il ne faut pas contredire les lois de la thermodynamique (3*). Bien sûr, ces inventeurs pour certains chercheurs et docteurs es science ne sont que des BOUFFONS qui amusent la galerie dans la pièce de THEATRE dans laquelle nous vivons et surtout à traiter comme tels. Et pour tous ceux qui veulent en savoir plus, un très bon site en français qui vous apprendra comment modifier votre voiture simplement pour consommer de l’eau jusqu’à 50% et par la même cesser de polluer, ou encore comment combiner le dioxyde de carbone (CO2) avec l’eau pour reformer du carburant, cela ne serait il pas plus judicieux qu’une taxe carbone ?

Regardez par vous-même :
http://quanthomme.free.fr/
Un autre en anglais très complet sur de nombreux phénomènes et machines à surcapacité les exploitants:
http://peswiki.com/

Sérieusement vous pensez que jamais les constructeurs automobiles, les producteurs d’électricité ne furent sollicités par ces inventeurs ou encore par des chercheurs. Alors votre naïveté est grande, au contraire ces inventeurs furent dans le cas de contacts avec les constructeurs automobiles sommés de se taire ou bien encore de mourir comme ce brave Stanley et d’autres.
En ce qui concerne la production d’électricité, c’est identique. Il fallait toujours consommer une ressource tarissable pour être crédible, ou encore s’aventurer dans des projets pharaoniques comme les centrales nucléaires, ou la recherche sur la fusion nucléaire mais seulement à chaud !!!

Depuis des lustres, un consommateur qui consomme jusqu’à ce qui devrait être gratuit, comme du carburant au lieu d’eau pour sa voiture, de l’uranium, du charbon, du gaz, … au lieu du vide énergétique de l’univers dans lequel nous vivons, lequel vide sans fin contient une énergie colossale (le milieu qui se trouve entre les atomes, entre les planètes, dans tous l’univers, autrefois appelé éther, à titre d’analogie chaque centimètre cube contient assez d’énergie pour recréer toute la matière visible de l’univers que nous voyons avec le plus puissant de nos télescope, ou encore assez d’énergie pour mettre en ébullition tous les océans de la terre !).

Si vous n’avez jamais entendu parler d’énergie libre, de machines à sur unité ou sur capacité possédant des rendements bien supérieurs à 100% ; c’est pour que vous viviez en esclave de la consommation, en consommant en premier de l’énergie payante tout en dépendant de celle-ci, et celle-ci dépendant de sources tarissables comme les énergies fossiles ou nucléaires actuelles, justifiant ainsi l’impérialisme et la guerre, les légitimant par la crise (pétrole à 150 dollars). Le tout savamment orchestré par des médias malveillants obéissants et n’étant point des journalistes mais une mafia de la Pravda démocratique mondiale nous gouvernant, laquelle se trouve directement aux ordres des sectes et lobbies les plus puissants.

C’est cela qui fait donc la force de ses lobbys maléfiques et c’est vous le moteur de cette force suite à l’ignorance dans laquelle ils vous ont plongé.
Maintenant, j’espère que vous comprenez que les lobbys maléfiques contrôlant ce monde à tous les niveaux de sa hiérarchie, fabriquent les crises et les guerres pour vous asservir, fabriquent l’esclave moderne ! Le travailleur idéal et s’enrichissent de manière infinie sur votre dos et votre crédulité !

Toutefois, le système d’enseignement actuel en est responsable car lui aussi est contrôlé par les lobbies notamment énergétiques. Si vous saviez le nombre de thèses de recherche financées par Elf, EDF, et autres géants, dès fois je me suis demandé si l’enseignement public l’était encore, libre de lui-même ou bien un instrument pour faire réaliser des économies aux groupes industriels qui soumettent directement leurs propres sujets d’études. Dans les universités les « bons professeurs » lavent le cerveau des étudiants, ne leur donnent pas la connaissance, ni même l’indépendance d’esprit pour l’accueillir. Au contraire tout est fait pour les étudiants ne puissent jamais l’atteindre, jamais ouvrir leurs yeux et voir par eux-mêmes, rarement se poser une question pertinente et surtout en dehors de ce qu’ils apprennent. Cela sans même qu’ils ne s’en rendent compte, la parole du professeur étant quasi divine et son courroux terrible.

Je fus obligé d’apprendre des décennies la loi de conservation de l’énergie (3*) comme étant un principe universel et général de l’univers ! Alors que c’est un cas particulier, en réalité cet univers est une mer d’énergie, de la matière qui le compose jusqu’à son vide, dans cet univers sans cesse de l’énergie semble apparaître de nulle part, c’est pourquoi l’univers est en expansion, sa matière noire manquante (supercherie de la physique) c’est l’énergie de son vide. Je fus obligé de ne jamais aborder certains prix Nobel comme Lee & Yang (4*) au sujet des théories des interactions faibles et la non conservation de la parité, et de la loi de la conservation de la parité et autres lois de symétrie en physique. D’ailleurs ceux-ci et quelques autres ne sont et seront jamais mentionnés dans aucun ouvrage de physique. Les aborder aurait signifié que cette parité ou symétrie puisse se rompre ou ne soit pas si parfaite ! Et que de l’énergie puisse jaillir de nulle part ! Comme la gravité par exemple ! Ou encore c’est aussi idiot que cela, mais le magnétisme d’un aimant est permanent et pour autant l’aimant ne se consomme pas (au sens d’une bûche qui brulerait pour produire une flamme, la masse de l’aimant ne diminue pas pour produire son champ). L’énergie nécessaire pour fabriquer l’aimant est des milliards de fois moindre que l’énergie constante cumulée restituée par le champ de l’aimant au cours de son immense durée de vie (estimée à plusieurs siècles).

Je fus obligé d’enseigner les fausses théories d’Einstein et de ne jamais le critiquer pour ne pas être un vilain antisémite en particulier dans l’esprit des meilleurs cancres de la classe. La relativité est une pure idiotie de la physique et ne décrit absolument pas l’univers dans lequel nous évoluons car tout simplement basée sur des hypothèses fantaisistes, des postulats erronés ! Invérifiable par ailleurs et suggérant que la vitesse de la lumière ne peut être dépassée car étant une constante absolue, c’est archi faux et cela a trompé des générations de chercheurs et trompe encore (des expériences de laboratoires prouvent que des ondes peuvent sous certaines conditions se déplacer plus vite que la lumière (5*) ). J’affirme aussi que toute la communauté scientifique honnête et contemporaine d’Einstein riait de la théorie de la relativité, dont Nikola Tesla et ses confrères … en particulier car Einstein pensait avant de se rétracter que le vide était bien vide. Einstein c’est l’anti pierre de Rosette de la physique, une tromperie impensable et rien d’autre.

Je fus obligé de cautionner des idées folles comme la recherche du boson de High (particule hypothétique qui serait à l’origine de la gravité), et pour le trouver la construction d’accélérateur de particules comme celui du CERN d’un coût de 6,3 milliards d’euros (entièrement financé par des fonds publics gouvernementaux), pour au final ne jamais rien trouver. La gravité s’expliquerait bien plus volontiers comme étant la conséquence d’une rupture de symétrie inhérente à la structure de l’atome et le vide de l’univers, l’atome ne pouvant exister dans ce vide énergétique que dans en état de pseudo équilibre entre lui-même et ce vide, duquel se génère un champ uniforme émanant et s’exerçant sur tout atome, ce champ fait partie des propriétés physiques de la structure de tout atome et du vide de l’univers (c’est ainsi car la structure de l’atome et du vide énergétique dans lequel il évolue sont ainsi, la gravité est le résultat d’un champ, non pas d’une particule, ni même ce champ est l’émanation d’une particule, mais plutôt d’une multitude d’interaction de la structure de la matière avec le vide de l’univers).
Avec ces 6,3 milliards d’euros, nous aurions pu changer le monde déjà mille fois, votre voiture roulerait en consommant le vide de l’univers, l’électricité deviendrait gratuite, il n’y aurait plus de stations services, de centrales nucléaires, de pylônes électriques, de pollution, et surtout plus de guerres pour courir derrières les ressources naturelles ou en assurer leurs transports en toute sécurité.

Pourtant, la presse du monde vous a vendu cet accélérateur de particules comme étant la solution à la compréhension de l’univers et de la matière qui le compose, il n’en ait rien ! C’est au contraire s’éloigner davantage de la réalité pour ne surtout pas confirmer la théorie de la super symétrie et tous ses développements possibles. Aussi cet accélérateur vous a été vendu par la presse internationale comme pouvant déboucher un jour sur un moyen de produire de l’énergie propre en grande quantité, c’est un mensonge ! Jamais de telles recherches ne jailliront un seul kilowatt exploitable industriellement ! Je fus obligé de mentir au sujet des phénomènes de fusion à froid (6*), de les nier, alors que ceux si sont bien réels et peuvent produire de l’énergie notamment sous forme de chaleur au même titre que les phénomènes de fission des centrales nucléaires classiques, mais cette fois ci sans matériaux radioactifs épuisables comme l’uranium et en plus produisant des déchets encore plus radioactifs.

Je me souviendrais toujours du 23 mars 1989, la « Une » du Financial Times titrait : deux électro chimistes, Stanley Pons et Martin Fleischmann, déclaraient avoir réussi à obtenir une réaction de fusion nucléaire lors d’une relativement banale expérience d’électrolyse dans de l’eau lourde. De nouveau, je fus obligé de mentir et d’expliquer que cela était au minimum une erreur d’interprétation au maximum une farce et surtout impossible. Pourtant, suivant l’avis de dizaines de physiciens qui ont reproduit et perfectionné l’expérience, ca fonctionne très bien avec un potentiel apte pour arrêter toutes les vieilles centrales nucléaires du monde ! Aucun budget pour approfondir sérieusement le sujet, les lobbys considèrent que seule la fusion à chaud est possible, aussi ils ne voudraient pas perdre trop rapidement ce qui fait leurs puissances, le contrôle des ressources naturelles épuisables rendues superflues par excès de connaissance ! Martin Fleischman fut tant écœuré par la presse aux contrôles des lobbies qu’il fut obligé dans le regret de se rétracter ….

Et je fus obligé et obligé de suivre le programme d’enseignement à la LETTRE, de choisir les sujets des thèses de mes étudiants ….. De qui et pour qui ? Des lobbys ignobles … qui aujourd’hui ont précipité l’humanité là où elle se trouve, dans un véritable et bien réel THEATRE en feu très proche de son effondrement.

Dans les années 70 – 80 ; nous parlions déjà de l’énergie libre et de théories sur l’univers bien plus avancées et proches de la réalité que tout ce que nous devions enseigner, nous fermions la porte du bureau et n’en parlions pas avec tous nos autres collègues, par crainte d’être catalogué hystérique et de recevoir aucun budget, une mutation, ou pire …
Quelques uns d’entre nous à travers le monde y ont d’ailleurs laissé leurs vies ou plus simplement furent sévèrement remis en place pour en avoir parlé en public ou encore proposé des machines ou technologies qui mettraient fin à l’hégémonie de la fission nucléaire et du fossile, ou encore même démontré seulement pour la simple curiosité que le vide n’est pas vide mais plein d’énergie !

Demain, pour vous et vos enfants, vous pouvez changez ce monde, le rendre propre, sans pollution, sans guerre, vous pouvez retrouver votre liberté, votre indépendance, cela dépend de vous !

Peuples souverains, serions nous victime d’une CONSPIRATION ? Un bon PROCÈS pour TROMPERIE s’impose. Jugeons sous le regard du savoir et la technologie le Grenelle de l’environnement, et les solutions toutes les unes les plus absurdes que les autres qu’il véhicule, ces Grenelle si chers au nabot roi de France. Jugeons la taxe carbone qui aura certainement bon dos sur le dos des plus pauvres d’entre nous et ainsi que tous ces faux écologistes de pacotilles ne présentant que des solutions dictées par les grands groupes industriels.

N’oublions pas aussi les leaders et grands actionnaires de ces grands groupes industriels autrefois entreprises publiques qui je vous l’assure en connaissance de cause maintiennent ce monde comme il est et le détruise chaque jour un peu plus au nom du sacro saint profit et contrôle de votre existence, sans quoi ils n’existeraient plus depuis belle lurette.
Chassons ces démons, ces mafias, ces lobbys, leurs marionnettes, leurs organisations, leurs sectes … ! Ce sont des assassins, des comploteurs, des manipulateurs, des usurpateurs …. Des criminels contre l’humanité, la paix sur Terre et le genre humain bien pires que tous ceux qu’ils vous présentent comme étant les pires.
Le monde dans lequel nous évoluons actuellement est une INSULTE à l’immense potentiel intellectuel du genre humain et à l’immense potentiel énergétique de l’univers dans lequel nous avons la chance d’évoluer !

Le changement s’impose partout y compris dans l’enseignement et dans la science, et pour que plus jamais cela ne se reproduise, partageons et rendons la connaissance publique, OPEN SOURCE, sans contrôles et censures des lobbies, un monde meilleur apparaîtra alors.

RÉVEILLEZ-VOUS … aux armes, à vos ateliers citoyens, votre avenir et celui de cette planète vous appartiennent ne les laissez point entre les mains de ces hypocrites aux sourires angéliques, votre génie est plus grand que toute la force de toutes leurs épées réunies. Le pouvoir c’est vous le BON PEUPLE.

Auteur : un physicien en colère - Source : WikiStrike

Notes :

(1) Il s’agit des expériences que Tesla réalise à Wardencliff, suite auxquelles il découvre que finalement ses expériences ouvrent une brèche dans le vide énergétique de l’univers et qu’il apparait alors une quantité d’énergie phénoménale semblant provenir de nulle part, une très grande quantité d’énergie devient alors disponible avec un très faible investissement énergétique, en fait l’investissement énergétique nécessaire à perturber le vide énergétique de l’univers inépuisable et présent de manière uniforme en tout point de celui-ci. Ces expériences furent arrêtées suite à l’arrêt de tout financement, les installations démontées. C’est à Wardencliff que Tesla démontre qu’il est possible de rendre disponible l’énergie du vide à grande distance de la source perturbatrice de celui-ci qui ouvre une brèche dans celui-ci. C’est l’expérience des lampes qu’il allume à plus de 20 miles de son émetteur perturbant le vide, lesquelles lampes s’allument en ‘pompant’ cette énergie rendue disponible dans le milieu ambiant par la perturbation générée. Pour faire apparaitre de l’énergie du vide il faut l’exister de manière électromagnétique en générant sur une bobine des pulses de courant continue de plus de 500 kV et moins de 100 microsecondes alors s’ouvre la porte et apparait dans ce vide un potentiel énergétique quasi infini et utilisable. Pour modifier les propriétés du vide et le rendre par exemple impropre à l’évolution de la vie il faut l’exciter cette fois avec les mêmes pulses mais avec des durées supérieures à 100 microsecondes sans toutefois dépassée une valeur limite. Dans ce cas le vide devient une arme inimaginable, Tesla parlait du rayon de la mort. Quelques brides des travaux de Tesla et les brevets relatifs à ces inventions sont disponibles sur internet.

(2) Le 11 septembre, effondrement des tours du World Trade Center, un tel effondrement ne peut se produire que par l’utilisation d’explosifs, les poutrelles coupées en biais comme au chalumeau que l’on voit sur quelques photos du site après l’écroulement et au cours de son nettoyage témoignent de la présence d’explosif de découpe. D’ailleurs des traces d’explosifs ont été retrouvées sur des échantillons provenant du site. Rien que cela suffit à contredire la version officielle offerte par le gouvernement américain et ses agences de scénaristes.

(3) Lois de la thermodynamique
a. L’énergie d’un système se conserve, en l’occurrence l’énergie ne peut que se transformer, et il ne peut pas apparaitre en sortie d’un système donnée plus d’énergie qu’en entrée. Cela est vrai seulement à l’échelle macroscopique d’un système sans tenir compte des mécanismes microscopiques ou voir quantiques sous jacents à un système.
Hors dans le cadre de l’énergie du vide de l’univers il s’agit de phénomènes quantiques donc sous jacents à la matière et au milieu (vide énergétique) dans lequel elle se trouve.
b. Irréversibilité des processus macroscopiques spontanés. Il n’existe pas de processus dont le seul effet serait de faire passer de la chaleur d’une source froide à une source chaude. L’évolution spontanée d’un système isolé se traduit donc toujours par une augmentation de son entropie, puisque la quantité de chaleur qu’il reçoit est nulle. Cette évolution est irréversible, car à la transformation inverse correspondrait une diminution d’entropie.
Entropie ; grandeur qui, en thermodynamique, permet d’évaluer la dégradation de l’énergie d’un système.
Cette loi devient désuète dans le cadre de l’étude de l’énergie du vide et des phénomènes relatifs à celle-ci, à nouveau la loi ne peut décrire que des phénomènes macroscopiques et non quantiques. De plus, même si on considérerait une machine à surcapacité qui puiserait son énergie du vide comme un système macroscopique, alors son entropie diminuerait au cours de son fonctionnement, d’ou le gain d’énergie du système.
c. L’énergie et l’entropie ne sont définies par les deux premiers principes que par leurs variations et, donc, qu’à une constante près. Le troisième principe énonce que, à la température de 0 K, l’entropie de tous les systèmes est nulle.
Hors comme les deux premiers principes sont inapplicables dans le cadre de l’étude du vide énergétique de l’univers, ce dernier postulat perd son sens.
Par constats logiques, ces lois ne peuvent donc décrire que des cas particuliers dans lesquelles il n’y a aucune interaction de la matière ou d’ondes électromagnétiques avec le vide énergétique de l’univers (niveau quantique et subatomique). Dans le cas contraire ces lois ne sont tout simplement plus valables.

(4) TSUNG DAO LEE & CHEN NING YANG (résumé et implications des deux prix Nobel)
Weak interactions and non conservation of parity. Nobel Lecture, December 11, 1957
The law of parity conservation and other symmetry laws of physics. Nobel Lecture, December 11, 1957
La forte prédiction de la rupture de la symétrie par Lee et Yang et les preuves expérimentales de Wu et cie en 1957 initie une grande révolution à travers la physique et pour cela le prix Nobel leur fut décerné.
Une des preuves de la rupture de la symétrie par Wu et cie est publiée en 1957, il s’agit de la rupture de la symétrie de charges opposées, comme cela ce produit aux extrémités d’un dipôle.
Cette asymétrie est utilisée par les charges et les dipôles pour extraire de l’énergie hors du champ électromagnétique du vide. Pourtant aucun traité d’ingénierie électrique ou d’électromagnétique classique ne mentionne les implications énergétiques de l’asymétrie de tout dipôle. Comme aucun traité ne mentionne que toute charge et dipôle s’épanchent librement dans une réelle et observable énergie électromagnétique continuelle, sans énergie d’entrée observable.
Ainsi aucun traité implicite n’assume que tout les champs électromagnétiques, potentiels, et énergie sont librement engendrés à partir de rien d’autres que leurs charges associées à leurs sources.
Non plus que la loi de conservation de l’énergie soit falsifiée, ou que la charge doit recevoir son énergie des fluctuations du vide.
La rupture de la symétrie signifie que quelque chose de virtuel mais réel devient observable dans le sens de conséquences physiques qui sont à l’origine de toutes les forces de la nature. La rupture de symétrie à l’extrémité des charges d’un dipôle signifie cela, une fois que les charges sont séparées pour former un dipôle alors le dipôle (ces extrémités chargées) absorbe continuellement des quantums d’énergie provenant du vide, intégrant ces quantums en photon réels et observables, et rejetant ainsi l’énergie électromagnétique réelle sous forme de photons dans toutes les directions à la vitesse de la lumière.
C’est pourquoi un aimant dipolaire (N-S) permanent, avec ses charges magnétiques opposées à ses extrémités, exhibe continuellement un champ magnétique dans l’espace l’entourant. Il y a donc un flux d’énergie électromagnétique continue extrait directement du vide et intégré en champ magnétique observable provenant de la structure même de l’aimant.

(5) La vitesse de la lumière n’est pas une constante, ni une limite.

Entre autres …

Université Berkeley de Californie, Université Technique de Vienne, des expériences de tunneling avec des lasers affichent des vitesses de l’ordre de 1.7 à 2.4 fois la vitesse de la lumière (Prof. Dr. Ferenc Krausz, Prof. Raymond Chiao).

Université de Cologne, institut de physique, Nimtz,G.: Instantanes Tunneln, Tunnelexperimente mit elektromagnetischen Wellen, Phys.B1.49, VCH Weinheim (1993) Nr.12, S. 1119-1120
Thoma, P., Weiland.T.: Wie real ist das Instantane Tunneln? Phys.Bl.50, VCH Weinheim (1994) Nr.4, S. 359-361. Des expérimentations avec des micro-ondes soumises à un effet de tunnel démontrent clairement des vitesses supérieures à celle de la lumière.

F. K. Preikschat, A Critical look at the theory of Relativity, Library of Congress Catalogue No. 77-670044. Extensive compilation of measurements of the speed of light. Clearly shows the speed of light is not constant but changes, sometimes even daily.

L’interprétation de la force de Casimir suggère aussi quelque chose qui se déplace plus vite que la lumière.

Barton, Gabrlel Physics and Astronomy Division University of Sussex, Brighten BN1 9QH, England, UR G.Barton@sussex.ac.uk. Travaux théoriques sur les aspects de la fluctuation du vide, incluant le problème de la vitesse superluminique de la lumière entre les plaques de Casimir.

Scharnhorst, Klaus Department of Physics, University of Wales Sw Singleton Park, Swansea SA2 8PP, Wales, UR T R.Scharnhorst@swansea•ac•uk Theorist, découverte de l’effet Scharnhost, la vitesse de la lumière est plus grande que c quand perpendiculaire aux plaques de Casimir.

L’hypothèse de base des théories d’Einstein – la vitesse de la lumière constante et paramètre limite – tombe littéralement à l’eau. La vitesse de la lumière n’est pas une limite physique de l’univers, la théorie de la relativité devient absurde en physique quantique.

“C’est absurde.” Nikola Tesla
“La théorie de la relativité est une mascarade mathématique, derrière laquelle se cache une inextricable mixture faite d’idées, de contradictions, de mensonges, de postulats arbitraires et ignorant toute logique saine ” Erich Ruckhaber
Erich Ruckhaber, Nikola Tesla To Einstein’s Theories, Rare Book and Manuscript Library, Columbia University, 15.4.1932. Entnommen aus J.T.Ratzlaff: Tesla Said, Tesla Book Company, pp. 238, ISBN O-914119-OO-1

“Une physique hybride, de contradictions et confusions fantastiques, aucun sens !” Johann Marinsek: Rationale Physik, S. 163, dbv-Verlag TU Graz, 1989, ISBN3-7O41-O176-1

Tout est à revoir suivant de nouvelles hypothèses.
(6) Voir le science et vie de mai 2004 qui titre en première page ‘Retour sur l’affaire de la fusion froide’, 15 ans après les premières expérimentations on y admet enfin que la fusion froide est une réalité accessible.

 

2) aucun des brevets cités n’est l’objet d’une promotion de celui-ci, ceux-ci sont donnés à titre d’exemple et pour une meilleure compréhension du sujet, certains d’entres eux sont aujourd’hui dans le domaine public et donc librement exploitables commercialement par quiconque.

3) pour des raisons évidentes de compréhension et de clarté de mes propos je ne puis m’étaler davantage dans la théorie et des formules, pour tous ceux qui veulent en savoir encore plus pour l’heure de l’éventuel procès :

http://www.bio-sport.fr/un-physicien-rompt-le-silence-lire-entierement/

30 juin 2014

Le mystère des sinkhole un phénomène mondiale en augmentation

6687909-abstract-render-futuriste-num-ros-situ-s-sur-un-cercle-autour-d-un-plat-de-satellite

Il ya deux semaines e n Virginie un gouffre a fermé une partie de la I-81 près de Fairfield. La semaine dernière, il a été la route 250 ouest de Staunton. Et maintenant, c'est près de l'autoroute à nouveau. Ils sont en partie pourquoi VDOT de Staunton district a passé plus d'un million de dollars cette année sur des éboulements d' infrastructures.

Cette semaine il ya un autre gouffre grande pour les entrepreneurs de l'excavation et de remplissage. La cause de ces trous est karstique la géologie de la vallée de Shenandoah avec une roche calcaire qui n'est pas aussi solide qu''elle en a l'air.

un autre énorme trou de 20 mètres de larges dans la province du Zhejiang en Chine orientale.sinkhole-3

ces phénomènes de sinkhole se généralisent a travers la planète ,je sais que les micro ondes permettent de ramollir un sol est le rendre plus friable et malléable ce phénomène étant globale je pense a une arme globale type HAARP ,depuis 7ou  8 ans je constate que les glissements de terrains et autres phénomènes a travers le monde sont en augmentation, évidemment que la pluie accentue la glisse ou l'éboulement je dis çà pour les critiques et les sceptiques mais ce ne sont que les conséquences  pas l'origine ni les causes .....

107014_0323sinkhole1

3,h=3437ab80e5111424910d70e6a7067002116002276

 

Pour moi le sol est fragilisé par l'émission de micro ondes comme sur cette photos satellite météo inexpliquée,et une fois que la pluie va humidifier le sol est le sous-sol alors tout s'effondrera,  le crime parfait .

strange-weather-australia16-338x268 L’observatoire météorologique gouvernemental australien à  Kalgoorlie et Gile en Australie de l’Ouest déclare qu’il n’y avait aucun phénomène météorologique qui correspond à l’énorme anneau qui s’est formé sur les images satellites il y a quelques jours

une sacrée mise en scène digne des meilleurs films bien orchestrée pour faire accepter au plus grand nombre que si demain il se passe un évènement majeur, alors  ce sera naturelle,moi je pense qu'il sera provoqué ,oui  pour éliminer le surplus d'humains inutiles et qui déstabilisent l'ordre qui naîtra du chaos ,le système devient instable les gens et les consciences se réveillent alors il faut accélérer l'agenda ,il n'ya pas de hasard c'est planifié de longue date ...

3 juin 2014

Les USA ont-ils orchestré le tsunami de décembre 2004 ?

China_2002_wave_350Rendons au passage hommage à Joe Vialls, dont nous présentons son dernier article.

décédé en juillet 2005 d'un arrêt cardiaque

 

Avant de reproduire cet article, paru dans la version anglaise de la Pravda, signalons que les services secrets disposent d''une gamme extrêmement vaste de produits permettant de faire passer quiconque de vie à trépas, de la manière la plus naturelle possible. En 1988 le président Zia fut tué dans l'accident de l'appareil qui le transportait. L'examen de l'épave révéla que les commandes de vol avaient été enduites d'une substance appelée barnetyl, qui agit par voie transcutanée. Les pilotes de l'appareil, en saisissant ces commandes à mains nues se trouvèrent ainsi intoxiqués. Le barnetyl perturbe gravement le contrôle des muscles. Les deux hommes se trouvèrent ainsi, sans même comprendre ce qui leur arrivait, dans l'incapacité de piloter leur appareil, qui s'écrasa.

Avec la perte déjà avérée de l’Afghanistan et de l’Iraq, les banquiers de Wall Street recherchaient désespérément d’autres moyens pour contrôler notre planète, lorsque soudain et très opportunément, la fosse océanique de Sumatra a explosé

Malgré le nombre très important de victimes du tsunami dans son propre état du Tamil Nadu, l’Inde a transformé le bâtiment hydrographique INS Nirupak en un hôpital flottant de 50 lits en moins de 72 heures, puis l’a envoyé, dépourvu d’armements, afin d’aider les habitants désespérés d’Aceh, en Indonésie. En revanche, l’Amérique a envoyé des navires de guerre et des marines armés. La marine américaine possède deux navires-hôpitaux de 1 000 lits, le Comfort et le Mercy, mais aucun n’a été envoyé. Bien que le USNS Comfort ait été déployé sur New York quand 3 000 Américains sont morts en septembre 2001, cette inaction constitue un signal fort : 150 000 personnes (principalement des musulmans) ont trouvé la mort en Asie du Sud-Est, un demi million d’autres ont été blessées, mais cela n’émeut pas les puissants à New York.

Le gouvernement indien savait très bien qu’il ne s’agissait pas d’un tremblement de terre « normal ». Le 27 décembre, l’Inde a refusé de rejoindre le projet sélect de « club des quatre », qui aurait eu pour effet concret de retirer cette puissance nucléaire asiatique de sa nouvelle coalition avec la Russie, la Chine et le Brésil. Le 28 décembre, le gouvernement indien mettait poliment en garde les militaires américains contre toute incursion sur son territoire souverain, et le 29 décembre, l’éditorial du India Daily mettait publiquement en doute la nature de l’événement : « Était-ce une épreuve de force menée par un pays pour montrer à la région le type de ravage qui peut être créé ? » ... « Au vu du degré atteint par la dévastation et du rôle de l’Inde en tant que puissance régionale en Asie du Sud, la marine indienne a l’obligation de mener une enquête et d’en communiquer les résultats au monde. »

Théoriquement, il serait facile d’encapsuler une charge militaire thermonucléaire américaine W-53 de 9 mégatonnes dans une simili-chambre de plongée en saturation similaire à celle illustrée sur la droite, afin de la protéger de la très forte pression de 700 kilos par centimètre carré qui règne au fond de la fosse océanique de Sumatra. L’ensemble ainsi blindé pèserait moins de cinq tonnes, ce qui permettrait de le faire glisser à la poupe de tout navire de ravitaillement de plate-forme pétrolière, tel qu’il en existe plus de 300 rien qu’en Asie. Et qui le remarquerait ?

En dépit d’une tendance humaine naturelle à rester silencieux sous le choc au vu du nombre colossal des tués et des blessés survenus dans toute l’Asie le 26 décembre 2004, et malgré la crainte d’une perte de crédibilité personnelle en raison de la magnitude du crime apparent, il existe de nombreuses irrégularités démontrables dans l’histoire officielle américaine du tsunami qui restent encore à être enregistrées maintenant, sous peine de se perdre à jamais dans les sables de l’oubli.

Il est hors de doute qu’un mascaret géant (tsunami) a ravagé le Sud et le Sud-Est de l’Asie, et qu’il a eu encore assez de force pour poursuivre sa route à travers l’océan Indien jusqu’en Afrique, où il a tué et blessé encore quelques centaines de victimes. La seule question que nous devons donc nous poser est de savoir si ce tsunami était d’origine naturelle ou s’il a été provoqué par l’homme. Un événement naturel serait déjà assez horrifiant, mais si le tsunami était artificiel, nous serions alors indubitablement en face d’un des crimes de guerre les plus monstrueux de l’histoire de l’humanité.

À midi, heure locale d’Australie, j’ai fidèlement noté la magnitude et la position enregistrées par l’Office Géophysique de Jakarta, en Indonésie. Un tremblement de terre mesurant 6,4 sur l’échelle de Richter avait frappé le Nord de l’île indonésienne de Sumatra. L’Office Géophysique de Jakarta a noté méticuleusement que l’épicentre de l’événement était situé 155 miles au Sud-Sud-Est de la province d’Aceh.

Cet emplacement se trouve environ 250 miles au Sud de la position retenue ultérieurement par l’Administration Nationale Océanique et Atmosphérique (NOAA) américaine, qui a placé l’épicentre au Nord-Ouest d’Aceh et a initialement fait état d’une intensité de 8,0 sur l’échelle de Richter. Cependant, même cette valeur n’était pas suffisante pour rendre compte des dommages causés par cet événement extraordinaire. La NOAA a donc fait passer progressivement cette valeur à 8,5, puis à 8,9, et pour finir à 9,0 – du moins à l’heure actuelle.

Les premières irrégularités démontrables ont donc été colportées par des officiels américains de la NOAA, qui ont soudainement inventé un nouveau pic d’onde sismique « flexible » pour l’événement, d’une magnitude bien supérieure à celle de Jakarta, alors que le bureau de Jakarta était situé bien plus près, presque à bout portant. Croyez-moi lorsque je vous dis qu’il n’existe rien qui ressemble au prétendu nouveau pic « flexible » de la NOAA. Le premier pic sismique que vous enregistrez est le seul véritable, à moins bien entendu que vous n’impliquiez manuellement quelques autres pics de votre cru, dans le but de coller à un agenda qui vous arrange. Naturellement, il n’y a également qu’un seul épicentre, qui a été fidèlement enregistré par des douzaines de sismographes en Indonésie et en Inde.

Le matin du 27 décembre, les médias australiens (sous contrôle d’actionnaires de New York) disaient très clairement que le pays le plus touché de la région était le Sri Lanka, une île située à la pointe Sud de l’Inde qui, comme l’Australie, fait partie du Commonwealth britannique. En conséquence, Tim Costello, dirigeant de l’une des plus importantes associations caritatives d’Australie, s’est immédiatement employé à se rendre sur place pour y évaluer les besoins en aide. Mais ce même matin, Little Johnny [surnom de John Howard, premier ministre australien en exercice] dansait au son d’une toute autre musique qui, du fait de sa docilité avérée, devait provenir du combiné de la ligne téléphonique directe sécurisée qui le relie à Wall Street.

Agissant véritablement à la dérobée, Little Johnny a secrètement envoyé deux avions de transport Hercules de la RAAF (armée de l’air australienne) chargés de vivres en Malaisie afin qu’ils s’y tiennent en attente, ainsi que deux autres à Darwin, dans le Nord de l’Australie. Notez que si Little Johnny avait eu la moindre préoccupation humanitaire, les quatre Hercules auraient pu s’envoler directement vers le pays partenaire du Commonwealth, le Sri Lanka, là où tous les autres Australiens avaient appris par les médias que l’aide était requise. Mais non, les choses n’étaient pas prévues ainsi, et Little Johnny attendait patiemment les ordres en provenance de New York.

La durée d’attente fut courte, et après qu’un vol de reconnaissance à haute altitude par un chasseur ait confirmé que la piste était dégagée à Medan, dans l’Est de Sumatra, les quatre Hercules australiens, chargés de combattants, armes et autres équipements, envahirent Sumatra, juste au Sud de la province dévastée d’Aceh. À son tour, avec 90% de sa population tuée par le tsunami, Aceh pourrait peut-être devenir le Guantanamo de l’Indonésie, grouillant de centaines d’Australiens et d’Américains lourdement armés.

Souvenez-vous bien cependant qu’au moment où ces quatre Hercules atterrissaient à Medan, le grand public australien ne savait absolument pas que Sumatra avait été durement touchée. Seul Little Johnny le savait, ainsi que bien sûr sa boule de cristal à New York. Au diable le Sri Lanka, ses patrons voulaient disposer d’une base importante pour les volumineux contrats de reconstruction en Asie, conçus pour pallier aux échecs rencontrés pour le pillage de l’or noir et la reconstruction en Iraq, et permettre à cette bonne vieille Israël de tituber sur ses jambes new-yorkaises pendant encore quelques semaines ou quelques mois.

Inutile de dire que les Australiens n’étaient que le groupe de reconnaissance, destiné à être rapidement rejoint par une armée américaine curieusement bien préparée et bien équipée, bien qu’il soit douteux qu’aucun des officiers et des hommes de troupe concernés aient réellement compris ce qui se passait. Seuls quelques-uns se sont posé la question de savoir pourquoi ils avaient passé toute une année à s’entraîner pour une « mission humanitaire », alors que l’objectif premier de la marine américaine et du Marine Corps est généralement de tuer des gens en masse. Regardez Fallujah, vous autres, regardez donc Fallujah.

Comme par magie, le Pentagone réussit à disposer de deux groupements de bataille prêts à appareiller sans préavis de Hong Kong et de Guam au cours de la période généralement chaotique des fêtes de fin d’année. Mince alors ! La discipline militaire a fait des progrès fulgurants depuis mon époque, quand tout le monde, jusqu’au chat du navire, faisait la grasse matinée dans un de ces hôtels à la réputation plus que douteuse. Mais pas ces plus de 10 000 Américains, qui avaient dû se tenir au garde-à-vous jour et nuit à côté de leurs hamacs, saluant de façon frénétique autant que réglementaire à chaque fois qu’un officier ou sous-officier était en vue.

L’épisode suivant fut magnifiquement orchestré, car il se déroula en haute mer, loin des yeux des curieux sur les docks comme d’imaginaires agents du KGB. Mais j’oubliais… vous devez d’abord savoir qui était dans le coup. À toute vitesse, l’équipe un, composée du porte-avions à propulsion nucléaire USS Abraham Lincoln et de ses navires d’escorte, quitta précipitamment Hong Kong, tandis que l’équipe deux, bien plus intéressante, quittait Guam toutes voiles dehors, menée par l’USS Bonhomme Richard, un navire de débarquement chargé jusqu’au plat-bord de soldats de bois brandissant des armes. Et ce n’est pas tout, croyez-moi, car le Bonhomme Richard était en réalité à la tête d’une véritable armada appelée le Cinquième corps expéditionnaire de choc [Expeditionary Strike Group 5 ou ESG5].

La partie vraiment sournoise (inexplicable) s’est déroulée alors que les deux groupements de bataille entraient dans l’océan Indien. Le USS Abraham Lincoln avait l’air aussi innocent que possible pour un porte-avions embarquant 70 avions d’attaque, mais il transportait déjà 2 000 marines au lieu d’environ 500 en temps normal. C’est une puissance de feu bien lourde pour un déploiement dans les rues désertes de Banda Aceh, en particulier lorsque Wall Street s’attendrait normalement à ce que ces marines meurent tranquillement pour Israël en Iraq. Maintenant, comment savaient-ils que ce renfort de marines serait requis avant que l’équipe un ne quitte Hong Kong, car les 1 500 marines en supplément n’étaient certainement pas en train de flâner autour des docks de Kowloon, attendant qu’on les prenne en stop.

Alors, pendant que les deux groupements de bataille se dirigeaient (apparemment) dans deux directions différentes à travers l’océan Indien déserté, un événement encore plus étrange se produisit. Bien que le Cinquième corps expéditionnaire de choc (humanitaire) fût censé venir en aide aux habitants du Sri Lanka, les marines à bord du Bonhomme Richard furent transférés sur le vaisseau de transport amphibie USS Duluth, qui se sépara alors du Cinquième corps et se dirigea vers l’équipe un. Ainsi, sans que les Indonésiens en soient réellement conscients, le porte-avions (relativement) inoffensif et encombrant USS Abraham Lincoln avait été utilisé pour masquer l’arrivée d’au moins 3 500 US Marines lourdement armés dans la petite province d’Aceh.

Cela nous informe plus ou moins sur des activités militaires connues, bien qu’hier, un caméraman de la télévision australienne ait filmé accidentellement certains de ces marines lourdement armés (qui ont essayé de lui tirer dessus pour qu’il s’éloigne) explorant une base militaire indonésienne dévastée à la recherche d’éventuelles armes restantes. Vous pouvez me trouver vieux jeu, mais si ces gars et leurs patrons sont corrects, ce genre de tâches ne devrait-il pas être laissé à l’armée indonésienne ?

Je resterai circonspect sur la façon exacte dont une arme thermonucléaire américaine puissante aurait pu parvenir au fond de la fosse océanique de Sumatra, bien que toutes les observations sismiques et l’état de préparation de la mission qui a suivi indiquent de façon insistante que c’est ainsi que cela s’est passé. Après tout, nous revenons à la vieille question de savoir à qui profite le crime, et dans ce cas précis, « qui est assez fou pour tuer plus de 150 000 civils simplement pour asseoir son pouvoir ? » Si l’on se base sur leurs performances passées en Iraq et autres pays malchanceux, il semblerait que les seuls candidats réalistes soient Wolfowitz et compagnie, luttant comme à l’habitude pour créer un « gouvernement mondial unique ».

Il est certain qu’aucune autre puissance nucléaire, comme la Russie ou la Chine, n’aurait strictement rien à gagner d’une tuerie aussi effroyable, et donc, comme toujours, nous revenons à Sherlock Holmes grâce à la plume de Sir Arthur Conan Doyle : « Lorsque vous avez éliminé l’impossible, la solution restante, aussi improbable soit-elle, est la vérité. »

Pour le lobby sioniste, il n’est pas bien difficile d’obtenir une arme nucléaire aux États-Unis, en particulier avec le précédent que constituent 100 petites têtes nucléaires air/air « déclassées » sorties en fraude par la petite porte (civile) du Pentagone, pour former le cœur de l’arsenal nucléaire actuel de l’état juif. Une fois qu’un système d’armement est périmé et hors service, les militaires américains, loyaux et non informés, ne peuvent plus en suivre la trace.

Le concepteur de la bombe à ricochet (appelée « Highball ») de la RAF était un savant du nom de Barnes Wallace, qui avait déjà acquis une haute réputation avec son bombardier Wellington, dont la structure géodésique lui permettait de résister à des chocs énormes en vol. De nombreux Wellington revinrent ainsi à la base littéralement en lambeaux, alors que de nombreux appareils similaires tels que les Stirling et Halifax étaient bien trop souvent consignés dans les profondeurs troubles de la Mer du Nord.

Wallace savait qu’un bombardement vertical était une pure perte de temps, et que la seule chance de succès reposait sur la possibilité de placer une mine tout contre la base du mur du barrage. En effet, il est impossible de comprimer l’eau, ce qui signifie que si la mine était placée contre le barrage lors de la détonation, une partie de son énergie serait automatiquement transmise au mur. Si l’explosion avait lieu en eau relativement peu profonde, la plus grande part de l’énergie du souffle se serait perdue dans l’atmosphère, engendrant bien entendu l’explosion d’un immense nuage d’eau.

Bien qu’il soit évident qu’une seule bombe, lancée depuis un seul bombardier Lancaster, ne pourrait détruire le mur du barrage (elle aurait pesé bien trop lourd pour permettre à l’avion de décoller), Wallace avait placé ses espoirs sur le fait scientifiquement établi que la contrainte accumulée serait suffisante, et les faits lui donnèrent raison. Bien qu’officiellement trois des bombes, contenant chacune 3 tonnes de TNT, furent considérées comme des coups au but, l’une d’elles dévia légèrement de sa trajectoire, ce qui signifie que le barrage géant de Möhne fut brisé par 6 tonnes de trinitrotoluène.

C’est précisément l’incompressibilité de l’eau qui compte au fond de la fosse océanique de Sumatra. Au fond de la fosse, la pression exercée sur votre arme favorite est de 700 kilos par centimètre carré, et au-dessus, vous avez une colonne d’eau haute de 7 kilomètres, qui est précisément à l’origine de cette pression. Mais ce n’est pas tout. Le fond de la fosse est plus étroit, ce qui signifie que l’arme est « bordée », avec une chance très réelle de déplacer une plaque tectonique si la puissance utilisée est suffisante.

Dans ce cas précis, il n’était pas vraiment nécessaire de déplacer une plaque tectonique, et la science semble indiquer que si cette explosion avait eu un tel effet, de nombreuses répliques auraient suivi, comme cela s’est produit par le passé pour tous les autres tremblements de terre d’importance. Mais, comme indiqué précédemment, en mettant de côté le caractère apparemment délibérément provocateur des avertissements erronés de la NOAA américaine, il semble ne pas y avoir eu la moindre réplique susceptible d’être reliée de façon directe et scientifique à « l’événement » de la fosse océanique de Sumatra le 26 décembre 2004 à 07:58, heure locale. Les secousses sismiques ultérieures de faible amplitude pourraient être, ou non, liées à l’arme.

Pour contraindre l’Asie à la docilité et assurer la part du lion dans les contrats de reconstruction, incroyablement lucratifs, tout ce qu’il fallait, c’était un tsunami de très grande ampleur visant les pays sélectionnés, ce qui était tout à fait dans les capacités d’une bombe nucléaire de forte puissance. Il n’y a rien de nouveau concernant les explosions marines, ou « Sea Bursts », comme on les appelait, et il y a plus de 30 ans, les États-Unis comme la Russie élaboraient des plans visant à dévaster les cités côtières de leur adversaire à l’aide de cette même technique. Le mascaret provoqué par une explosion dans les eaux profondes est relativement propre, ce qui permet à l’agresseur de s’emparer des terrains, des bâtiments restants, etc. avec un délai minimal.

Si tout s’était passé comme prévu, l’Indonésie, le Sri Lanka et l’Inde seraient revenues dans le giron du FMI et de la Banque Mondiale pour trente ans ou plus — un temps suffisant pour attendre que le prix du pétrole diminue après le fiasco mortel en Iraq. Au même moment, si le gouvernement indien avait mordu à l’appât, cela aurait anéanti la menaçante coalition entre Russie, Chine, Inde et Brésil. Un résultat intéressant en une journée de travail avec une seule arme nucléaire retirée discrètement du processus de déclassement.

Joe Vialls

22 février 2014

La base secrète Pine Gap serait une arme sismique a u centre de l'Australie

PineGap_signLes USA disposent à la fois de l'arme climatique (HAARP) mais aussi de l'arme sismique. Au centre de l'Australie, sur la base américaine de Pine Gap, une antenne s'enfonce à 8 km de profondeur dans l'écorce terrestre. Elle émettrait des ondes basses fréquences qui peuvent être dirigées vers des zones instables en provoquant des séismes.

Elle peut aussi être utilisée pour générer une énorme onde stationnaire autour de la Terre.

Officiellement, la base est l'un des centres de contrôle les plus importants des satellites espions, et l'antenne est utilisée pour recharger les batteries des sous-marins par le biais d'émissions ELF.

Pine Gap est située à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest d'Alice Springs. D'après les témoignages des habitants, une quantité incroyable de matériel a été acheminée par avion depuis les Etats-Unis. Les locaux déclarent également qu'une énorme quantité de nourriture est conservée dans les entrepôts de ce qui pourrait bien être une véritable cité souterraine de plusieurs niveaux
Pine Gap est un endroit qui me fascine au plus haut point, pour différentes raisons.
- Bien sur, la première est le bruit qui court comme quoi Pine Gap possèderait une "Jump Room" vers Mars...
- Une autre raison, c'est que pour une base US en plein milieu de nulle part, elle ne possède pas de piste d'atterrissage; le plus proche: Alice Springs Airport 16 KM à vol d'oiseau et pas vraiment facile de s'y rendre par la route.
A se demander comment ils ont acheminé tout ça sans avions.
Cela implique également, et ce point me semble aussi important, que quand des officiels, hauts gradés ou hauts fonctionnaires de l'état y font une visite, ils sont obligés de se taper la route...!
- Elle semble posséder son propre générateur d'énergie (à mon avis le bâtiment gris en bas à gauche sur la photo), pas de ligne HT à proximité, quelle source d'énergie utilisée ??
- L'espèce de T que forme la base est pile poil orienté sur les axes N-S/E-O.
Il semble que ce soit vraiment voulu, mais pourquoi ? Ce n'est pas le cas pour Area 51 par exemple. Qu'est exactement Pine Gap ?
pine_g10
Aussi étrange que cela puisse paraître, même les membres du Parlement Fédéral Australien ne le savent pas. Seul un petit nombre "d'initiés" parmi les membres du Cabinet ont une vague idée de quoi il s'agit exactement.
Les seules informations disponibles au public proviennent de recoupements effectués par des chercheurs privés tels que Jimmy Guieu, en suivant des instructions trouvées dans des magazines américains ou australiens (toujours de courts paragraphes) et récupérant divers témoignages de locaux.
Sous Pine Gap se trouve le plus grand trou jamais creusé en Australie plus de 8 km ( soit 25 fois la Tour Effel,  1,6 fois le Mont Blanc) !!
Un tel trou est généralement utilisé comme une antenne souterraine permettant de recharger les batteries de sous-marins dans les océans Pacifique et Indien par le biais d'émissions ELF.
Une telle antenne gigantesque peut être utilisée pour générer une énorme onde stationnaire autour de la Terre.

Certains pensent que Pine Gap est un énorme générateur nucléaire fournissant de l'énergie à un nouveau type d'émetteur.
pinegap
Il semble également qu'un accélérateur de plasma à haut voltage particulièrement puissant puisse être installé afin de transmettre du courant électrique, ou même de produire un "rayon de la mort", ou tout simplement pour alimenter une arme à plasma.                       
Tout ceci n'est pas si incroyable qu'il y paraît : on sait aujourd'hui que la base américaine de West Cape possède un type d'émetteur précédemment utilisé à Pine Gap et qui sert à envoyer du courant électrique aux sous-marins américains immergés traînant derrière eux un fil d'antenne. Les courants électriques ainsi transmis sont appelés cellules plasmo-dynamiques.
Des habitants locaux eurent en de diverses occasions la possibilité de voir des disques blancs d'environ 30 m de diamètre en train d'être déchargés d'énormes avions-cargos dans les aéroports desservant Pine Gap. Ces disques portaient l'emblème de l'USAF
Il semble qu'ils étaient assemblés et basés à Pine Gap. Le nombre de disques observés la nuit ne laisse aucun doute dans l'esprit de chacun. Une quantité incroyable de matériel fut acheminée par avion depuis les Etats-Unis. Les locaux déclarent également qu'une énorme quantité de nourriture est conservée dans les entrepôts de ce qui pourrait bien être une véritable cité souterraine de plusieurs niveaux.
Pine Gap est également bien connue pour être un des centres de contrôle les plus importants de satellites espions tournant autour du globe. Un article publié fin 1973 indique que l'installation de Pine Gap, avec son installation sœur à Guam, fut utilisée pour contrôler les missions photographiques des grands satellites américains en orbite autour de la Terre.
Pine Gap possède d'énormes ordinateurs connectés à leurs équivalents américains et australiens, collectant l'ensemble des informations relatives à la sécurité dans ces pays, non seulement à propos de la finance et des technologies, mais également sur tout aspect de la vie du citoyen lambda.
Ces ordinateurs sont connectés à des serveurs centraux situés à Guam, à Krugersdorp en Afrique du Sud, et à la base américaine d'Amundsen-Scott au Pôle Sud.
 sept1st_anzus_meeting_1952                  
 tout commença avec la construction du nouveau Parlement à Canberra, qui coûta plusieurs milliards de dollars. L'Australie possède seulement 18 millions d'habitants, (...) Ce nouvel édifice, énorme, immense et magnifique répondrait facilement aux besoins de l'URSS ou des Etats-Unis, qui ont eux des centaines de millions de citoyens à diriger. Cette construction m'intriguait complètement, et je commençai à en parler jusqu'au jour où je tomba sur un anglais m'apprenant que le Premier Ministre australien, Bob Hawk, était un élève de Rhodes, et en tant que tel travailla sur l'élaboration d'un Gouvernement Mondial, ce à quoi de nouvel édifice parlementaire semblait fortement se rapporter.
Je tombais peut de temps après sur un pamphlet publié par l'Organisation des Droits de l'Homme à propos d'un groupe d'un centaine de personnes relativement bien placées dans les milieux de la haute-finance, de la politique, et dans les branches judiciaires et du commerce international. Ce groupe était appelé le Club de Rome. D'après ce pamphlet, le Club de Rome obéissait à un consortium contrôlant l'ensemble de la finance internationale. Nombre d'autres groupes similaires à celui du Club de Rome sont également aux ordres de ce consortium financier, et infiltrent divers groupes politiques et religieux dans l'intention d'établir à terme une dictature mondiale.
La chose dans son ensemble semblait quelque peu trop irrationnelle pour être vraie, me semblait-il. Cependant, un de mes amis me donna une cassette audio enregistrée par Peter Sawyer, un ancien fonctionnaire Australien de haut-rang, exposant un certain nombre de faits notés alors qu'il était en place.
Il parlait en particulier d'une central téléphonique à Camberra nommé le "Centre Deacon". Ce central, construit avec des murs d'une épaisseur de 12 m, coûta des centaines de millions de dollars. Il est équipé de nombreux ordinateurs, répartis en plusieurs niveaux. Il découvrit, lorsqu'il tenta de trouver pourquoi un tel équipement était nécessaire dans un pays de 18 millions d'habitants, que ces ordinateurs étaient connectés à toutes les banques, tous les bureaux de poste, tous les téléphones, tous les postes de police et toutes les maisons de particuliers ; à chaque bureau d'arrivée ou de départ d'avion ou de bateau, et également et par-dessus tout, aux autres centres de données collectant des données sur les citoyens moyens... résidant aux Etats-Unis comme en Europe.

http://www.rr0.org/PineGap_Gille.html

 

Publicité
Publicité
1 2 3 4 5 6 > >>
Publicité