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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
vitamines
3 juin 2017

La forme de Silice la plus efficace contre parkinson et osteoporose .....

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L’ortie accompagne l’homme partout où il vit – du moins dans les climats dits tempérés. Pourquoi ? Parce qu’en fait elle apprécie à la fois les déchets organiques et ferreux et l’humidité.

Maria Treben raconte qu’un jour, dans une émission radio, un médecin signala que l’ortie est au nombre des plantes médicinales les plus efficaces que nous possédions. Ceci n’empêche pas qu’elle soit presque ignorée par la médecine officielle, et peu signalée en médecines alternatives. Elle a pourtant été largement utilisée avec succès depuis l’antiquité pour des tas de pathologies sous forme d’infusions de feuilles fraîches, de teinture, et de bains.

L’ortie est pourvoyeuse de deux éléments majeurs : la Silice et le Fer, minéraux qu’elle a végétabilisés. Dans le sol, des milliards de micro-travailleurs attaquent (entre autres) ces éléments pour en faire un miellat comestible par les radicelles des plantes. Nous, animaux humains, avons besoin de ces deux intermédiaires, pour pouvoir profiter de ces précieux minéraux ainsi rendus assimilables. On notera que la médecine anthroposophique de Rudolph Steiner propose depuis plus d’un demi-siècle Ferrum per urtica contre l’anémie ferriprive.

Quant à la silice (Si O²), il faut savoir que l’ortie piquante (urtica dioïca) est la championne « toutes catégories » de production, devant la prêle qui la suit de près, puis des outsiders connus tels que les nœuds de bambou, les farines complètes de céréales bio, etc. En médecine populaire, l’ortie a toujours été utilisée dans les cas de :

  • Calculs rénaux
  • Céphalées
  • Crampes ou ulcères de l’estomac
  • Dépuration du sang
  • Diarrhées
  • Eczéma – dartres
  • Epuisement
  • Glaires gastriques ou pulmonaires
  • Goutte
  • Hémorragies
  • Inflammations urinaires
  • Maladies pulmonaires
  • Mycose des ongles
  • Pipi au lit (avec les semences)
  • Prurit intense
  • Rétention d’eau (diurétique)
  • Rhumatismes 
  • Troubles du foie et de la rate
  • Ulcères intestinaux

 

Mais il y a encore une possibilité étonnante et peu connue de la silice, qu’elle soit d’ortie ou de prêle, c’est de recharger les organismes en calcium par « transmutation à basse énergie » – (le magnésium peut faire la même chose). En effet, en raison de l’utilisation intensive des engrais qui brûlent et exterminent la plupart des micro-organismes du sol, les cultures céréalières se trouvent carencées en minéraux indispensables à leur structuration et à leurs métabolismes basiques – non seulement ces cultures sont malades avec des défenses affaiblies, mais elles transmettent leurs problèmes à toute la chaîne alimentaire qui arrive jusqu’à chacun de nous. Les expériences de Kervran (Bretagne) ont prouvé que des poules ne pouvant picorer que du sol granitique (silice) donnaient sans limite des œufs… avec une belle coquille en calcaire.

La Silice, antidote de l’aluminium

Dans un précédent article concernant la silice de prêle (Contr’Infos n°3), j’avais montré comment l’aluminium stocké dans le cerveau des gens atteints d’Alzheimer avait pu être neutralisé et éliminé par la présence de silice, ce qui peut être une explication de la maladie et aussi un espoir curatif.
Ce qui est vrai pur la prêle l’est, bien sûr, encore plus pour l’ortie. Mais encore faut il que des membres de la famille des malades essayent, car ce n’est pas la médecine officielle qui le fera. L’ordre veille !!! Navré, on ne m’invite pas à la télé pour diffuser l’info…

Indications connues de la Silice d’Ortie

  • Aluminium cérébral : neutralise et élimine
  • Alzheimer
  • Arthrose
  • Baisse de mémoire
  • Concentration
  • Douleurs articulaires chroniques
  • Fatigue chronique
  • Fibromyalgie
  • Myofascite à macrophages
  • Ostéoporose
  • Parkinson
  • Phanères (peau ongles cheveux)
  • Raideurs ostéo-articulaires
  • Tendinites
  • Tissus ramollis
  • Toxémie cellulaire générale
  • Troubles de l’attention
  • Troubles du sommeil…

La forme de Silice la plus efficace

Pour être vraiment bio disponible, donc parfaitement assimilable et efficace, le silicium doit être issu de la voie végétale, et n’être associé à aucun additif toxique.
Alors attention aux conservateurs, arômes et stabilisateurs. Quel est l’intérêt de prendre un produit sain si c’est pour le mélanger avec des parabènes perturbateurs endocriniens, de l’acide phosphorique déminéralisant ou du benzoate de sodium cancérigène ?

Par ailleurs, ce que l’on appelle du « silicium organique » n’est absolument pas naturel, tel celui de la famille des G5 et dérivés qui sont en fait du mono-méthyl-silane-triol de synthèse.

ARTICULATIONS, TENDONS, OS, MUSCLES

Il est nécessaire à la formation et l’entretien de ces composés tissulaires qu’on retrouve dans tout l’organisme :

  • le collagène qui confère leur résistance à tous les organes et tissus de l’organisme,
  • L’élastine qui donne souplesse et élasticité en grande quantité dans la peau, les tendons, les ligaments et la paroi des vaisseaux sanguins.
  • Les protéoglycanes (glucosamine, chondroïtine sulfate et l’acide hyaluronique), sont des pièges à eau qui assurent l’hydratation des organes, des tissus (en particulier la peau), des cartilages et des articulations.

BIENFAITS CELLULAIRES ET REEQUILIBRATEURS

Le silicium de part son rôle conducteur agit sur la polarité des membranes cellulaires et rend les réactions de l’organisme plus efficaces.

ELIMINATION

C’est un chélateur des métaux lourds et un antioxydant qui aide l’organisme à se défendre et à éliminer les composés toxiques.

JEUNESSE, PEAU, CHEVEUX ET ONGLES

Il favorise la fermeté des tissus, la souplesse et la minéralisation en synergie avec les autres composants
de l’ortie. Ces effets ajoutés aux propriétés antioxydantes ralentissent les effets du vieillissement et permettent de conserver la jeunesse des tissus.

Silice d’ortie, un produit de qualité d’un genre nouveau.

L’ortie est une plante riche en minéraux (silicium, calcium, fer,..), vitamines, acides aminés et autres éléments aidant au bon fonctionnement de l’organisme.

Notre objectif avec Silice d’Ortie est de créer un produit concentrant de manière efficace les éléments
contenus dans l’ortie et en particulier le silicium, de manière 100% naturelle sans utiliser de conservateurs. Pour cela, nous utilisons une quantité importante de plantes pour fabriquer notre produit et nous avons effectué d’importantes recherches sur notre méthode d’extraction, qui est l’étape principale dans la fabrication du produit.

Une Silice d’Ortie non toxique à long terme

Phytonika (Maison Baccichetti), avait déjà mis au point un procédé de fabrication de silicium organique permettant de produire le premier concentré 100% naturel totalement dépourvu de quercétol, de conservateurs et d’additifs.

Jusqu’à présent, l’ortie était déconseillée sur le long terme car l’acide formique et d’autres substances qu’elle contient, responsables de l’effet urticant bien connu au toucher, sont néfastes pour les reins. C’est pourquoi les anciens savaient que les soupes et tisanes d’orties ne devaient pas être prises quotidiennement sur une longue durée.
Feu Dr Yves Baccichetti considérait que l’ortie aurait été une excellente source de silicium sans ce problème. L’élimination de l’acide formique nécessitait une transformation chimique, perturbant l’énergie naturelle de la plante. La Prêle était donc la meilleure plante existante avec les technologies d’extraction connues.

A la fin 2013, les biochimistes de Phytonika – Adrien et Katerina Baccichetti – ont réussi à trouver un procédé doux permettant d’éliminer à froid les composés toxiques de l’ortie, tout en conservant les principes actifs intacts, et la rendant à la fois efficace et inoffensive pour une prise régulière sur le long terme. Le silicium est encore plus efficace lorsqu’il est extrait par le glycérol végétal fabriqué à base de plantes, car le glycérol est une molécule organique présente naturellement dans l’organisme et elle est donc reconnue par les cellules du corps. Elle passe naturellement la barrière intestinale par les transporteurs des cellules de l’intestin grêle, favorisant avec elle le passage du silicium. C’est donc la meilleure forme de silicium organique d’origine naturelle qu’il est actuellement possible d’extraire à froid.

https://micheldogna.fr/la-silice-dortie/

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15 août 2015

L’Histoire de la Vitamine B17 (Laetrile)

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Dans les années 1940, le Dr. Ernst T. Krebs, Sr. et son fils (le Dr E.T. Krebs, Jr.) ont publié un document intitulé « La Thèse Unitaire ou Trophoblaste du Cancer », dans le Medical Record, de New York. Dans les années qui ont suivi, l’équipe formée par le père et le fils firent des recherches sur les co-enzymes et sur la possibilité que le cancer pourrait résulter d’une carence en vitamines. Dans le début des années 1950, ils émirent l’hypothèse que le cancer est causé par l’absence d’un composé alimentaire essentiel, manquant dans l’alimentation moderne de l’homme, identifié comme faisant partie de la famille des nitrilosides, qui se trouve dans plus de 1200 plantes comestibles. Ils apprirent, l’existence du royaume des Hunzas, dans les montagnes Himalayennes situées au nord du Pakistan, et où il était dit que ce peuple vivait « sans cancer ».

Les Docteurs Krebs savaient qu’ils mangeaient de grandes quantités d’abricots, mais ils ne croyaient pas que le fruit contenait des substances pouvant lutter contre le cancer … jusqu’à ce qu’ils ont apprennent que les Hunzakuts mangent également les semences contenues dans les noyaux d’abricot, qui sont riches en nitrilosides ! Les nitrilosides sont particulièrement répandues dans les graines d’abricots, les pêches, les pommes, le millet, les fèves germées, le sarrasin, et aussi dans d’autres fruits et noix, y compris les amandes amères. Les Dr. Krebs ont pu extraire certains glycosides des plantes qui contenaient les nitrolosides, et finalement, ont effectué une demande de brevet pour le procédé de production du métabolite formé par ces glycosides, en vue d’une utilisation clinique. Il nomma ceci « Laetrile ».

Il a fallu plusieurs années, et la réalité des essais cliniques effectués à travers le monde, avant qu’un modèle ne soit proposé afin de rationaliser l’utilité de la Laetrile dans la prévention, ainsi que pour le traitement du cancer, après tout ce temps, le nom de « vitamine B17″ fut reçu. Les Hunzakuts consomment entre 100-200 fois plus de B17 dans leur alimentation, que l’Américain moyen, en raison principalement du fait de manger les graines d’abricots, et aussi beaucoup de millet. Fait intéressant, l’argent n’existe pas, au Hunza. La richesse d’un homme se mesure par le nombre d’abricotiers qu’il détient. Et la nourriture la plus convoitée est la semence contenue dans les noyaux d’abricot, l’une des plus importantes sources de B17 sur la Terre. Les équipes visiteuses de médecins ont trouvé les Hunzacuts exempts de cancer. L’une des premières équipes médicales chargée d’étudier les Hunza, était dirigée par le chirurgien britannique de renommée mondiale, le Dr. Robert McCarrison. Écrivant dans le Journal AMA, du 7 janvier 1922, il a indiqua : « Les Hunza n’ont pas d’incidence connue avec le cancer. Ils bénéficient d’une abondante récolte d’abricots. Ils les sèchent sous le soleil, et les utilisent en grande partie dans leur alimentation ».

Mais pourquoi n’avez-vous pas entendu parler de la vitamine B17 ? Cela semble si simple ! Eh bien, la vérité sur cette question, c’est que l’Industrie du Cancer a supprimé cette information et a même ordonné le fait qu’il soit illégal de vendre la B17. La Mafia Médicale a monté avec grand succès, des campagnes «effrayantes», basées sur le fait que la vitamine B17 contient des quantités «meurtrières» de cyanure. Ceci est manifestement faux. Des études montrent que la vitamine B17 est inoffensive pour les tissus sains.

Voici pourquoi : chaque molécule de B17 contient une unité de cyanure d’hydrogène, une unité de benzaldéhyde et deux unités de glucose (sucre) bien verrouillés ensemble. Pour que le cyanure d’hydrogène devienne dangereux, il faut d’abord nécessairement déverrouiller la molécule qui le libérera, une astuce qui ne peut être effectuée que par une enzyme appelée bêta-glucosidase, qui n’est présente partout dans le corps humain, qu’en quantités infimes, mais par contre, en grande quantité dans un seul endroit : les cellules cancéreuses.

Ainsi, le cyanure d’hydrogène n’est déverrouillé que sur le site où se trouve le cancer, et ce, avec des résultats radicaux, qui deviennent tout à fait dévastateurs pour les cellules cancéreuses, puisque l’unité de benzaldéhyde se déverrouille en même temps. Les cellules cancéreuses obtiennent un double coup, à la fois de cyanure et de benzaldeyhde ! Le benzaldéhyde est un poison mortel en lui-même, mais quand il fait équipe avec le cyanure, le résultat en fait un poison 100 fois plus mortel que lorsqu’il agit seul. Les cellules cancéreuses sont littéralement oblitérées !

Mais tout ceci n’est-il pas sans danger pour le reste des cellules du corps ? Un autre enzyme, le rhodanese, toujours présent en quantités beaucoup plus imortantes que l’enzyme de déverrouillage beta-glucosidase dans les tissus sains, a la capacité de dégrader entièrement, à la fois le cyanure, et le benzaldéhyde, en thiocyanate (une substance inoffensive), et en salicylate (qui est un tueur de douleur semblable à l’aspirine). Fait intéressant, les cellules cancéreuses malignes ne contiennent pas de rhodanese du tout, ce qui les laisse complètement à la merci des deux poisons mortels. Tout ce processus est connu sous le nom de toxicité sélective, puisque seules les cellules cancéreuses sont spécifiquement ciblées et détruites.

Les centaines d’études cliniques menées par de nombreux médecins compétents dans le monde entier, y compris celles qui sont dirigées par le Dr. Ernesto Contreras à l’Oasis of Hope Hospital au Mexique, nous donnent toute confiance, que le traitement avec la thérapie B17 ne présente aucun danger pour les cellules normales. Ce sont de mauvaises nouvelles pour l’Industrie du Cancer. Les graines d’abricots ne sont pas chères … vraiment pas chères … pas aussi coûteuses que leur dernier cocktail médicamenteux de chimiothérapie.

‘‘J’ôtais les pépins et jetais les pommes. Maman récupérait les pommes de la corbeille et cuisinait des tartes’’.
~ Jason Vale

Mon ami, Jason Vale, a écopé d’une condamnation à mort par ses médecins, dans le milieu des années 1990, lorsqu’on a découvert qu’il avait un cancer en phase « terminale ». Il a appris, grâce à des recherches approfondies, que les gens qui avaient un cancer, découvraient des propriétés curatives dans les pépins de pommes et les noyaux d’abricots, lesquels, comme je l’ai mentionné ci-dessus, contiennent de grandes quantités de vitamine B17.

Jason a immédiatement commencé à se sentir mieux, en mangeant des pépins de pommes et des noyaux d’abricots, dans le cadre de son régime alimentaire quotidien. Dans un court laps de temps, le cancer de Jason a littéralement disparu. Lorsque l’histoire « Extraordinaire » de Jason fut diffusée à la télévision nationale, dans le milieu des années 1990, cela à provoqué une audience si grande que le même reportage a été diffusé une deuxième fois, la semaine suivante.

L’enthousiasme des spectateurs fut si grand que Jason se retrouva inondé d’appels téléphoniques, provenant de personnes résidant dans tout le pays. Au cours des années suivantes, Jason a littéralement aidé des milliers de gens, à traiter avec succès leur cancer, en consommant des semences de noyaux d’abricot.

Jason fut victime d’une opération coup de poing de « Gestapo », décidée par la FDA, il a été condamné le 18 juin 2004, à soixante-trois mois de prison et trois ans de liberté surveillée, par un tribunal de district des États-Unis dans le District Est de New York. Son crime ? La vente de graines d’abricot sur son site web, et de dire aux gens la VERITE sur leurs propriétés curatives. Bienvenue au « pays de la liberté et dans la patrie des braves ».

Après avoir purgé près de quatre ans de prison, Jason a été libéré de la maison d’arrêt au début de 2008. Le site web de Jason est www.ApricotsfromGod.info.http://www.cancersortezdelaboite.com/l%E2%80%99histoire-de-la-vitamine-b17-laetrile/

9 août 2013

Vitamine D Un milliard de personnes en déficit !

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Personnes âgées
Ce déficit intéresse surtout les personnes âgées. «Une étude a montré que 98 % des personnes vivant en maison de retraite avaient un taux insuffisant de vitamine D», a expliqué le Pr Claude Jeandel, gérontologue au CHU de Montpellier. A cela plusieurs raisons. Les pensionnaires vivant dans ces institutions sortent peu, et avec l’âge, la peau synthétise moins bien la vitamine D sous l’effet du soleil. «Même à Hawaï, des personnes présentent des carences en vitamine D», a précisé le Pr Claude Jeandel.
Mais aussi paradoxalement dans beaucoup d’autres pays ensoleillés de nombreuses personnes surtout les femmes sont très probablement carencées en vitamine D, car la religion interdit de se découvrir.
A ce propos sous nos latitudes le Dr Sonja Belaid de l’Université Claude Bernard, 8 avenue Rockefeller, F-69008 Lyon, France a réalisé une étude très intéressante. Après avoir diagnostiqué plusieurs cas d’hypovitaminose D sévère chez les femmes de 18 à 49 ans portant des vêtements très couvrants, elle a mis en évidence le caractère endémique et chronique de cet état de carence en vitamine D dans une population jeune, habituellement en bonne santé et en âge de procréer. Cela indique que des efforts restent à faire dans le diagnostic et la prise en charge par une action ciblée de prévention par la supplémentation. La vitamine D, contrairement aux autres vitamines, est très peu apportée par l’alimentation.

75 % des citadins concernés
En France, les déficits en vitamine D concerneraient en hiver 75 % des citadins. Une étude conduite par des chercheurs de l’université de Liège a conclu que 80% des femmes européennes ménopausées n’ont pas assez de vitamine D. «En tant que scientifiques, écrivent les 15 chercheurs, le but de notre travail est d’améliorer la santé du public. Nous savons ce que sont les concentrations de vitamine D active dans le sérum des populations du globe, et nous sommes parvenus à la conclusion que la santé publique bénéficiera d’un meilleur statut en vitamine D. Nous savons combien de vitamine D il faut consommer pour porter les concentrations de vitamine active au niveau désiré. Alors pourquoi la science n’a-t-elle aucun impact sur la santé publique? L’une des raisons est qu’il n’y a pas assez de pression du public sur les responsables de la santé pour les obliger à mettre à jour les recommandations nutritionnelles.»
Les chercheurs estiment que les besoins en vitamine D sont proches de 1 000 UI par jour. Or en France l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (Afssa) estime en dépit du bon sens, qu’il suffit à un adulte de 200 UI pour rester en bonne santé (400 à 600 UI/j pour les personnes âgées). Les autorités sanitaires ont d’ailleurs fixé la dose de sécurité pour la vitamine D à 1 000 UI/j. Un niveau dénoncé par les signataires qui soulignent que l’on peut tolérer sans risque, jusqu’à 10 000 UI par jour.

La vitamine D est indispensable à la santé
Des données scientifiques substantielles existent désormais mettant en évidence le rôle de la vitamine D dans la prévention du cancer. De multiples études ont établi de façon raisonnable qu’un taux suffisant de vitamine D est associé, indépendamment des autres facteurs de santé, avec une incidence plus faible de plusieurs types de cancers, dont entre autres les cancers du sein, du côlon, des ovaires, des lymphomes nonhodgkiniens.
Les études scientifiques montrent que le statut vitaminique pour la vitamine D (indexé par le niveau sanguin de 25-hydroxyvitamine D) de la plupart des personnes en Amérique du Nord et en Europe doit être grandement amélioré pour obtenir une réduction substantielle de l’incidence et de la mortalité par cancer. En plus du cancer, plusieurs études épidémiologiques ont montré qu’un statut vitaminique D plus élevé est aussi associé à un risque réduit de plusieurs autres maladies chroniques graves, telles que les maladies cardiaques et accidents cérébrovasculaires, l’ostéoporose, la sclérose en plaque, et le diabète du type 2 chez l’enfant. Plusieurs études ont aussi observé qu’un statut vitaminique D plus élevé est associé à une incidence plus basse et une sévérité moins grande de la grippe, de la pneumonie et de plusieurs autres maladies infectieuses.

La plus grande partie de la population est déficitaire en vitamine D
Plusieurs études récentes ont montré qu’un taux optimal de 25-hydroxyvitamine D devrait se situer entre 75 et 150 nmol/L (30 et 60 ng/mL). On estime qu’aux Etats-Unis près de 80 % des personnes – de tout âge – ont un statut vitaminique D insuffisant (indexé par un taux de 25-hydroxyvitamine D dans le sang de moins de 75 nmol/L ou 30 ng/mL). En France, l’étude SU.VI.MAX a démontré que plus de 70% des adultes – hommes et femmes – ont un statut insuffisant. S’agissant des femmes ménopausées, une grande étude européenne estime que 79,6 % ont un statut insuffisant sur l’ensemble des pays européens. Ce nombre s’élève à 90,4 % en France.
Un statut vitaminique plus élevé peut être obtenu en augmentant les apports nutritionnels de vitamine D, ou par une exposition appropriée au soleil (sans augmentation significative du risque de cancer de la peau). L’apport adéquat de vitamine D pour une réduction du risque de cancer dépend pour chaque individu de son âge, de la pigmentation de sa peau (claire ou foncée), de son mode de vie et de la latitude de sa région de résidence. Les études scientifiques récentes indiquent qu’un apport de 1 000 à 2 000 unités internationales (UI) par jour pourrait prévenir une proportion substantielle de cancers et serait aussi efficace pour réduire le risque de chutes, de fractures, de maladies cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, de scléroses en plaque et de diabètes de type I dans l’enfance. Pour la protection contre les maladies infectieuses et virales, rhumes, infections pulmonaires, la vitamine D pourrait protéger de manière importante les populations vulnérables en hiver.

Toutefois un apport plus important encore pourrait être nécessaire pour les personnes âgées et celles qui sont rarement à l’extérieur, celles qui évitent l’exposition au soleil, ou celles dont la pigmentation de la peau est foncée et qui vivent dans des pays du nord, à cause de la diminution de la synthèse cutanée de vitamine D par exposition au soleil. Le choix d’une dose plus importante peut être fait par un médecin sur la base du taux sérique de 25- hydroxyvitamine D mesuré en hiver.

Pour ceux dont le statut vitaminique est évalué par un test sanguin, le niveau idéal de 25-hydroxyvitamine D doit être établi en consultation avec un professionnel médical, sur la base des caractéristiques de chaque individu.

Une recommandation générale pour les professionnels de santé qui choisissent d’évaluer le statut vitaminique de leurs patients par une prise de sang est de prendre comme objectif la fenêtre allant de 75 à 150 nmol/L (30 à 60 ng/ml), en dehors de contre-indications spécifiques. Les contre-indications sont rares et le plus souvent connues des médecins.

Vitamine D et Parkinson abe-horsserie-parkinson

Le manque de vitamine D jouerait un rôle majeur dans l’apparition de la maladie de Parkinson

La plupart des patients qui développent la maladie de Parkinson manque de vitamine D, d’après une étude publiée dans le journal Archives of Neurology.

L’évaluation du lien entre vitamine D et maladie de Parkinson se poursuit. Et d’après la dernière étude consacrée à ce sujet, la grande majorité des personnes qui en sont à un stade précoce de la maladie manquerait de vitamine D.

Les chercheurs de l’Université d’Emory ont suivi 157 patients atteints de la maladie de Parkinson à un stade précoce et ne recevant aucun traitement. Leur taux de vitamine D a été mesuré au début ainsi qu’à la fin de l’étude.

Les résultats révèlent que 69,4% des participants avaient un taux insuffisant de vitamine D au début de l’étude. Ce taux ne semble pas diminué lorsque la maladie progresse, au contraire, puisqu’à la fin de l’étude, 51,6% des participants avaient un taux insuffisant.

Pour les scientifiques, ces résultats sont en accord avec l’idée que le manque de vitamine D précède les manifestations cliniques de la maladie de Parkinson et peut jouer un rôle dans l’apparition de cette maladie.

Fracture du col du fémur: gare au manque de vitamine D!abe-horsserie-col-femur

D’après une récente étude, le manque de vitamine D serait associé à une augmentation du risque de fracture du col du fémur.

Les chercheurs de New Delhi viennent de confirmer le lien entre le taux de vitamine D et l’ostéoporose. Selon eux, le risque de fracture du col du fémur serait plus important chez les personnes âgées qui manquent de vitamine D.

Afin de déterminer la relation entre la vitamine D et le risque de fracture, les auteurs ont suivi deux groupes de personnes âgées, dont un composé de 90 patients ayant eu une fracture du col du fémur. Le taux de vitamine D de chaque participant a été mesuré.

L’étude montre que la grande majorité des personnes ayant eu une fracture du col du fémur manque de vitamine D.
En effet, 76,7 % des personnes ayant eu une fracture ont un taux insuffisant de vitamine D, soit un taux inférieur à 20 nanogrammes par millilitre, contre seulement 32,3 % des personnes n’ayant pas eu de fracture.

Ces résultats suggèrent que le taux de vitamine D pourrait être un indice utile pout évaluer le risque de fracture du col du fémur chez les personnes âgées. Jeudi 16 Décembre 2010 - 1st Asia-Pacific Regional Osteoporosis Meeting, Singapore, December 10-13, 2010.

Source: La Nutrition.fr 15 Mars 2011

Référence:
Marian L. Evatt; Mahlon R. DeLong; Meena Kumari; Peggy Auinger; Michael P. McDermott; Vin Tangpricha; High Prevalence of Hypovitaminosis D Status in Patients With Early Parkinson Disease. Arch Neurol, Mar 2011; 68: 314 - 319.

 http://www.alternatif.ch/alternatif-bien-etre/index.php?option=com_content&view=article&id=49%3Aalternatif-bien-etre&Itemid=65

12 mars 2010

se soigner du cancer cure naturelle.

se soigner du cancer cure naturelle.
La meilleure époque pour pratiquer la cure anti-cancer est le début du printemps ou la fin de l'hiver, période qui correspond à un rythme biologique que l'homme partage avec d'autres mammifères. 3° Elle est surtout indispensable aux personnes des deux...
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