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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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big pharma
29 novembre 2017

Ces plantes qui font trembler Big Pharma

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Les très actifs et puissants lobbyistes continuent d’œuvrer discrètement pour discréditer, voire faire interdire, certains médicaments naturels, des plantes médicinales, afin de préserver les intérêts de Big Pharma.

 

Ils sont nombreux à dénoncer ces firmes pharmaceutiques privées, qui sous prétexte de nous soigner, par le biais de brevets, et de subterfuges juridiques complexes, monopolisent un savoir qui appartient à toute l’humanité.

 

Comme l’écrit un internaute qui se fait appeler Socrate : « chaque pilule que vous avalez apporte sa petite pierre aux mille euros rapportés sur l’euro investi. Un retour sur investissement de 1 000 pour 1. Les firmes pharmaceutiques aiment votre ignorance et dépensent des fortunes pour la conserver, car c’est très rentable pour elles ».

 

En effet, s’il faut en croire Philippe Pignarre, l’auteur du livre « le grand secret de l’industrie pharmaceutique », (édition la découverte) l’industrie pharmaceutique était, jusqu’à récemment, une des plus rentables du capitalisme occidental avec des taux de profit approchant 20 %... avec des taux de marge brute de 70 % en moyenne, atteignant pour certains médicaments 90 %.

 

Et l’auteur, qui a travaillé 17 ans dans l’industrie pharmaceutique, sait de quoi il parle.

Les services de communication des labos ont un message très clair en direction des consommateurs : « les plantes, c’est très bien, mais ça peut être dangereux si on se trompe sur les doses… faites nous donc confiance, nos gélules, et nos pilules sont bien plus efficaces, et sans danger »… ajoutant parfois « et puis, les plantes, c’était bon au moyen-âge, c’est dépassé, c’est ringard »… et le message est bien passé pour la grande majorité des consommateurs, d’autant que ces médicaments sont remboursés en grande partie par la Sécurité Sociale, ce qui n’est généralement pas le cas des plantes… qui, si on a appris à les connaitre, sont faciles d’accès, et gratuites.

 

Un dicton affirme que toutes les plantes peuvent être considérées comme toxiques tant qu’on n’a pas découvert leurs propriétés… et un autre ajoute que notre planète a mis à notre disposition toutes les plantes nécessaires pour nous soigner.

 

Le combat semble malgré tout perdu d’avance entre le géant Big Pharma, et le petit herboriste.

 

Et pourtant, ceux qui préconisent la thérapie par les plantes sont régulièrement persécutés.

 

Dernière péripétie en date : l’OMS, s’exprimant au sujet d’une plante étonnante, l’artémise annua « prie instamment les autorités réglementaires des pays d’endémie palustre de bien vouloir prendre des mesures visant à cesser la production et la commercialisation de ces monothérapies par voie orale, et de promouvoir l’accès à des combinaisons thérapeutiques à base d’artémisine satisfaisants aux normes d’assurance qualité ».

 

Faut-il y voir la main de « Big Pharma » ?

 

Mais quelles sont donc les propriétés de cette Artemisia ?

 

L’artemisia annua(ou armoise citronnelle) est utilisée par la médecine chinoise en tant que puissant remède au paludisme, maladie dont on ignore souvent qu’elle est la plus ravageuse de la planète, mais grâce à des chercheurs américains, on sait aujourd’hui qu’elle est aussi efficace pour guérir les cancers du poumon et du sein.

 

Dans le cas de ce dernier, il a été obtenu un taux de 75 % de destruction du cancer après seulement 8 heures, et presque 100 % en seulement 24 heures.

 

Depuis d’autres expériences ont été menées sur d’autres cancers (prostate, intestins…) et d’après le docteur Len Saputo, l’artémisine, combinée au fer, agit comme « une bombe intelligente contre le cancer ». vidéo

 

En effet, la revue américaine des Sciences de la Vie a récemment publié une étude de l’Université de Washington, menée par les Docteurs Narenda Singh et Henry Lai, portant sur l’artémisine, substance que l’on trouve dans l’artemisia annua, mettant en évidence qu’elle pouvait détruire rapidement près de 30 % des cellules cancéreuses, et qu’en la combinant avec du fer, qu’elle pouvait, en 16 heures, éradiquer jusqu’à 98 % des cellules cancéreuses.

 

Bonne nouvelle pour les malades, mais manifestement mauvaise nouvelle pour les laboratoires de Big Pharma qui préfèrent pour l’instant vendre très cher ses thérapies, plutôt que de promouvoir cette plante.

 

L’occasion de citer une autre plante, l’Annona Muriaca, appelée Guanabana au Brésil, ou Corossol aux USA, qui, elle aussi, aurait la faculté de guérir le cancer.

 

Le fruit contient une substance, l’acétogénine qui serait beaucoup plus efficace que les médicaments utilisés en chimiothérapie. lien

Il serait dommage de ne pas évoquer aussi le curcuma.

Cette épice bien connue en nouvelle cuisine, pour colorer en jaune vif nos plats, provient d’une plante, le Curcuma Longa, originaire de l’Inde, du Sri Lanka, mais aussi du Bangladesh et du Myanmar, et est utilisée par la médecine traditionnelle chinoise depuis plus de 4 000 ans, pour soigner la digestion.

 

Une étude a permis de constater que la consommation journalière de 2 à 3 grammes de curcuma pendant 2 mois à permis une guérison des ulcères d’estomac chez 75 % des personnes traitées.

 

Au-delà de ses propriétés culinaires, on sait depuis moins longtemps qu’elle contient plusieurs substances qui peuvent soigner diabètes, excès de cholestérol, et les cancers de l’estomac ou des poumons. lien

 

La curcumine et ses composants révèlent en effet leurs propriétés thérapeutiques dans les recherches sur la résistance des cancers à plusieurs médicaments. lien

 

Des plantes aux champignons, il n’y a qu’un pas, et c’est l’occasion d’évoquer le ganoderme luisant, (ganoderma lucidum) appelé Reishi au Japon, ce champignon au chapeau luisant que certains collectionnent pour la beauté de son chapeau.

Il est connu depuis longtemps pour ses propriétés anti-oxydantes et des essais cliniques ont démontré récemment d’évidentes facultés anticancéreuses. lien

 

Ce polypore, appelé « l’herbe miraculeuse », cultivé sous serres au Japon et en Extrême Orient, bien que coriace disparait en hiver, mais il peut être desséché et conservé de nombreuses années. lien

 

Espérons que les milliers de Japonais qui souffrent des conséquences de la catastrophe de Fukushima penseront à l’utiliser pour se soigner des retombées de l’accident.

 

Pour en rester au cancer, c’est le docteur Otto Heinrich Warburg, cancérologue incontesté, qui est l’auteur d’une théorie surprenante : le cancer serait dû à une acidité trop importante dans le corps.

Il a découvert que les cellules cancéreuses persistent et prospèrent dans un pH plus faible, à 6,0… lorsqu’il y a conjointement concentration élevée en CO². lien

 

Cette découverte lui a fait obtenir le prix Nobel de physiologie en 1931 et on peut être surpris que cette indéniable avancée n’ait pas été mieux prise en compte dans les milieux scientifiques, alors que l’on sait que soigner un cancer par les méthodes que nous connaissons coute plus de 7 milliards d’euros annuels à la sécurité sociale, dont on sait le déficit abyssal. lien

 

Et pourtant quasiment rien n’est fait pour chercher des solutions moins onéreuses, et parfois bien plus efficace… et pire, ceux qui se tournent vers la médecine par les plantes ne sont pas vus d’un bon œil.

 

Les persécutions régulières que subissent les herboristes ne sont pas une nouveauté, et l’un d’eux, Michel Pierre, herboriste depuis plus de 50 ans a été récemment condamné par le tribunal correctionnel de Paris : on se souvient que, dès 1941, les pouvoirs publics avaient carrément supprimé le diplôme d’herboriste.

 

Michel Pierre n’est pas surpris : « au-delà de l’injustice que représente cette procédure, qui vient me punir après plus de 50 ans de métier sans incident, sans plainte de qui que ce soit et sans que jamais la clientèle ne faiblisse, je reconnais avoir eu de la chance : pour moi les autorités ont attendu tout ce temps. J’ai vu tous mes camarades se faire attaquer et condamner. Pas un n’y a échappé. C’était mon tour ».

 

Il n’est pas découragé pour autant, considérant que les écoles d’herboristerie font le plein régulièrement, et que les patients potentiels sont de plus en plus nombreux à faire confiance aux médecines dites douces, et aux plantes, et au mois de mai dernier, le congrès national des herboristes qui s’est tenu à Lyon a rencontré un succès indéniable.

 

 

Par Olivier Cabanel – Agoravox –

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24 avril 2017

Cybernetique moleculaire :Les maladies infectieuses viennent de L’INTÉRIEUR DU CORPS !!!!

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LES MICROZYMAS…UNE ETRANGE AFFAIRE

Somatids6Jules TISSOT, professeur de physiologie générale au Museum d'Histoire naturelle, qui confirma les thèses du précédent et en apporta les preuves par des photographies de haute précision de cellules végétales et animales. Il démontra que les organismes vivants, quand ils se dérèglent, produisent eux-mêmes bactéries pathogènes et virus. Il fut victime, comme Béchamp, de la conspiration du silence entretenue par les pasteuriens.

Nous allons évoquer ici un chapitre de la biologie très peu connu et qui aurait pu changer bien des choses dans notre vision de la médecine et de la santé…qui sait, ce sera peut-être le cas dans l’avenir. Aujourd’hui, nous vivons dans une lutte incessante contre le microbe. Il faudrait tout aseptiser pour se débarrasser de ces méchantes petites bêtes, cela devient parfois une phobie. Mais, nous souvenons-nous qu’il y a dans notre tube digestif beaucoup plus de microbes que notre corps contient de cellules ? Certains considèrent également que les mitochondries, ces « centrales énergétiques » cellulaires sont en lien avec les bactéries. Pourtant, dans le courant du 19e siècle, le professeur Antoine Béchamp avait bien mis en évidence que « le microbe n’est rien, le terrain est tout ». Louis Pasteur, l’un de ses principaux contemporains, l’a d’ailleurs reconnu sur son lit de mort. Pour mieux comprendre l’affaire, il faut remonter un peu dans l’histoire.Dès le 18e siècle, des savants découvrent en observant le vivant des « petits points » partout dans leurs préparations qui se lovent sur eux mêmes en un mouvement incessant.
Ces « petits points » (appelés aussi granulations moléculaires ou corpuscules vibrants par ces premiers chercheurs, puis microzymas par Antoine Béchamp, protits, somatides par Gaston Naessens, et enfin assez récemment nanobes ou nanobactéries par des géologues) ont été étudiés de manière rigoureuse et scientifique au cours du 19e siècle, pendant des années, par Antoine Béchamp. La prise en compte des microzymas permet de démontrer de manière scientifique que les maladies infectieuses en particulier viennent de L’INTÉRIEUR DU CORPS et non de l’extérieur, et, plus précisément des microzymas. Ces derniers, notamment en fonction du pH dumilieu extra-cellulaire, construisent des bactéries (pH alcalin) ou bacilles de Koch (pH acide) pour réparer l’organisme. Ce sont également eux qui construisent les cellules de l’organisme. Ils construisent également le tissu conjonctif – squelette microscopique de base de l’organisme – et les différents organes.Louis Pasteur, contemporain de Béchamp, a refusé de prendre en compte les microzymas. Ces derniers sont visibles sur le vivant à partir d’un grossissement de 750 et il a donc interdit à ses collaborateurs de dépasser un grossissement de 450 : il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ! Il a élaboré la théorie de la « panspermie atmosphérique » en mettant en route une guerre incessante aux germes venant soi-disant de l’extérieur.
Il a repris pour ce faire le système des vaccinations de Jenner (1789), très rentable financièrement.Le professeur Béchamp, chercheur remarquable et très méticuleux, agrégé de pharmacie, Docteur ès Sciences physiques, Docteur en médecine, n’était malheureusement pas un bon communicant et ses écrits sont souvent des pavés indigestes. Ses découvertes faites au 19è siècle au sujet des microzymas ont donc été occultées.Plus tard, dans les années 1920, tous les travaux européens antérieurs sur les microzymas ont été tout bonnement éliminés lors de la création de la FDA (Food and Drug Administration) comme l’attestent les docteurs américains Dennis Myers et Robert Miller. Ils témoignent même du fait que les ouvrages du professeur Béchamp ont été éliminés de l’université de Pittsburgh et qu’il en est de même à la librairie Nationale du Congrès à Washington DC. Donc, aujourd’hui, nous en sommes là. La science moderne découvre des bactéries et autres dans les tissus malades des maladies chroniques et dégénératives. Des formes microbiennes sont trouvées dans l’ulcère de l’estomac, l’artériosclérose, la maladie d’Alzheimer, le Parkinson, l’arthrite … et beaucoup d’autres affections. Cette science, pour expliquer l’origine des affections, prétend que les germes pénètrent par les gencives lors du brossage des dents, par exemple. Le travail de Béchamp prouve pourtant que cesbactéries sont présentes en tant que résultat et non en tant que cause. Les bactéries évoluent à partir des microzymas qui les construisent de façon à nettoyer les vieux tissus qui se détériorent. On trouve des bactéries dans tous les tissus malades de toutes les maladies chroniques ou dégénératives.
La médecine moderne ne les traite qu’avec des antibiotiques (anti-vie !) et des vaccins qui ne sont absolument pas nécessaires … puisque ces bactéries sont le résultat et non la cause.Ce n’est donc pas sur le microbe qu’il faut agir mais sur le terrain de la personne (par des ré-équilibrages internes comme le font certaines méthodes non iatrogènes comme l’énergétique, l’acupuncture, l’homéopathie, la naturopathie) et sur la dimension psychosomatique remise en évidence par le Docteur Michel Moirot et plus récemment par le docteur Ryke Geerd Hamer.Il serait temps que la médecine prenne en compte les travaux d’Antoine Béchamp et de certains de ses contemporains comme Claude Bernard ou d’autres précurseurs.

Références : - « Les Microzymas », Antoine Béchamp, réédité en 1990 par le Centre d’Information A. Béchamp, 163, rue St Honoré, 75001 Paris (épuisé : commande du CD du livre : bechamp@eternite.com).- « Béchamp ou Pasteur ? », Douglas Hume de 1948, disponible en français sous forme de CD à : l’Académie pour la Défense des Etres Humains, 37, rue de la Pépinière, 17000 La Rochelle.- « Les Microzymas, la Révolution en Biologie », Dr. Alain Scohy, Editions de l’Institut Paracelse (www.alain-scohy.com).- « Origine des Cancers, traitement et prévention », Dr. Michel Moirot, Les Lettres Libres.- www.Sortir-Autrement.com, revues 1,2,8 et 9.- « Pour en Finir Avec Pasteur », Dr. Eric Ancelet, Editions Marco Pietteur, collection Résurgence.

Christian Bauer,Ingénieur, naturopathe, thérapeute.

cbauer1@hotmail.fr


Source : http://christian-bauer.rmc.fr/156336/LES-MICROZYMAS/

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Plus, fiche wikipédia de Béchamps survolant le sujet microzymas :

Chaque microzyma est quasiment éternel ; on retrouve des microzymas vivants, fossilisés, dans des roches calcaires de plus de douze millions d'années. Récemment, les géologues en ont retrouvés au sein de la plupart des météorites recensés sur la planète. Bien qu'ils les aient baptisés nanobes, il est évident qu'ils parlent des mêmes êtres vivants.

Les microzymas sont spécifiques d'un individu et ils sont très probablement les seuls responsables de la transmission des caractères héréditaires. Ces notions permettent de nier toutes les pseudo-connaissances actuelles sur les chromosomes et l'ADN que jamais personne n'a pu visualiser de manière claire et évidente. En effet, les microzymas sont bien trop petits pour contenir des chromosomes, et, nous le verrons plus loin, ce sont eux qui bâtissent les cellules qui n'ont pas de vie propre !

Chaque microzyma est capable de fabriquer certaines enzymes ou « zymases », c'est-à-dire des substances organiques étonnantes dont le mystère n'est toujours pas élucidé à ce jour. Il faut voir le Pr Béchamp s'extasier devant la puissance de l'action des zymases (dans son livre « Les Microzymas ») comparativement à celle des acides forts ! « On dirait que les zymases se souviennent de leur origine, qui est un organisme vivant : elles y ont puisé une force qui supplée la chaleur ! » (p. 290). Et un peu plus loin : « Qu'un alcali caustique, un acide puissant, attaque et transforme des matières organiques, il n'y a là rien qui surprenne. Mais que des zymases, des corps sans réactions chimiques violentes, pas du tout acides ou alcalins, opèrent des transformations aussi profondes que l'acide sulfurique ou la potasse, et à dose extraordinairement moindre, et à température peu élevée (généralement la température physiologique : 37 à 40°), voilà qui a lieu de surprendre. Et c'est là l'effet d'une merveilleuse harmonie : les acides auraient produit des désordres redoutables là où les zymases agissent avec une douceur physiologique digne de la plus grande attention et qui provoque l'étonnement ! »

Chaque microzyma est capable de métaboliser certaines substances par un mécanisme de nutrition. On retrouve au niveau du microzyma les phases classiques que sont l'assimilation, la respiration et la désassimilation. L'alcool de la fermentation alcoolique est en fait un produit de désassimilation !

Ce travail de désassimilation peut être à l'origine de la fabrication de toxines : c'est ce qu'on observe dans le déroulement de certaines maladies comme les toxi-infections : tétanos, botulisme, diphtérie, etc. Dans ce cas, les microzymas, faute de certains éléments comme la vitamine C, rejettent des toxines particulièrement néfastes. Ils n'ont pas pu métaboliser complètement les substances ingérées : cela fait penser au mono-oxyde de carbone rejeté par certains poêles encrassés et mal entretenus.

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Chaque microzyma est capable de se reproduire à très grande vitesse.

En fonction des constantes bioélectroniques, de la température, de la présence ou non d'oxygène et de substances nutritives dans le milieu dans lequel il baigne, le microzyma va pouvoir :

1. S'associer à d'autres microzymas pour constituer tel ou tel germe, mycelle, mycobactérie qui sera capable de remplir une mission précise... Ces « constructions » redeviendront microzymas ensuite... Les maladies avec germes sont toujours des processus de guérison et de vie. Elles ne prennent un caractère de gravité qu'en cas de carences importantes en certains éléments nutritifs, comme les protéines, l'eau, le sucre ou la vitamine C.

2. Construire des fibres complexes en maintenant bout à bout des protéines (la fibrine du sang par exemple comporte 95% de protéines pour 5% de microzymas), ces fibres pouvant ensuite constituer des membranes complexes comme la mère du vinaigre ou de véritables trames à la base de l'organisation des êtres vivants complexes. C'est ce procédé qui est utilisé par les microzymas pour construire le tissu conjonctif, squelette microscopique de ces corps organisés : les microzymas maintiennent bout à bout des fibres de collagène et quelques fibres élastiques et sécrètent à l'intérieur de cette trame un gel protéique dans lequel ils vont pouvoir se déplacer et travailler.

3. Construire les cellules, puis des tissus, organes, et organismes complexes... Le Pr Béchamp a pu démontrer que les noyaux cellulaires ne sont en fait que des réservoirs de microzymas. Ils représentent sans doute la caserne des pompiers du village qu'est la cellule. La cellule n'est donc pas l'unité de base de la vie, mais bien le microzyma.

La cellule ne se multiplie pas (les mitoses et les méioses présentées par les biologistes officiels ne sont visibles au microscope qu'après utilisation d'un protocole hallucinant pour tuer la vie, dilacérer les tissus et les digérer par des acides puissants avant de regarder au microscope ! Il n'est pas possible d'en observer sur le vivant), elle est construite par les microzymas à la demande, et c'est vrai également pour les neurones.

Dans tous les cas, ces constructions faites par les microzymas peuvent être « démontées » pour redonner des microzymas... Ce sont eux qui sont véhiculés par les poussières de l'air, beaucoup plus souvent que les germes de la fameuse panspermie atmosphérique montée au pinacle par Pasteur...


Conséquences

Tout ceci permet de jeter au panier les hypothèses guerrières de Pasteur. Si la contagion parasitaire peut exister avec des organismes complexes et déjà organisés comme Béchamp l'a démontré, la contagion microbienne n'existe pas comme on l'entend. Les germes ou les vaccins inoculés ou transmis à une personne saine ne s'y développent jamais. Ils s'évacuent spontanément comme s'ils étaient des greffes dans un organisme étranger. Les microzymas qui les constituent peuvent transmettre, dans certains cas, des informations. Elles permettront aux receveurs de mettre en route des processus de guérison qui étaient en instance. Ensuite, ces microzymas repartiront...

Il n'existe donc pas de guerre bactérienne et le système immunitaire n'est qu'un banal service d'éboueurs pour l'évacuation des corps étrangers et des toxines.

Surtout, ces découvertes réduisent à néant la théorie de la génération spontanée. Il n'y a pas de vie sans microzymas ! Ils travaillent manifestement selon un plan et un projet précis qui implique la notion de projet créateur à l'origine de toute vie organisée. L'évolutionnisme ne peut plus être concevable dans ces conditions.

Si l'on admet que seul, l'amour est capable de créer quelque chose de beau et de positif, cela entraîne comme conséquence la notion d'une instance spirituelle personnelle, pétrie d'amour, à l'origine de la création de l'univers que nous connaissons !

La médecine conventionnelle et ses théories de guerre ne tiennent donc pas devant ces découvertes fondamentales. Au contraire, la dimension psychosomatique apparaît alors parfaitement cohérentes. La maladie - cancer ou autre pathologie - ne peut plus être la conséquence d'une agression, elle devient une solution constructrice pour nous permettre de survivre, une véritable bouée de sauvetage qui nous est offerte dans une situation dramatique.

Ces vérités, associées aux découvertes sur la vitamine C et l'hygiène de vie, permettent aux patients de prendre en charge leurs pathologies et d'aller vers leur guérison. Ils auront bien sûr besoin de se faire accompagner au cours de ce cheminement, mais non plus « soi – niés » comme ils le sont actuellement dans le cadre de la médecine officielle.

Ce travail d'accompagnement est le but essentiel de l'Institut Paracelse créé en Espagne3, de l'autre côté de la frontière, pour y bénéficier de la tolérance des espagnols ! Nous y apprenons aux patients les bases de la médecine psychosomatique et de l'hygiène de vie en tenant compte de la réalité des microzymas et de la vie. (à suivre)


«
Dieu a créé l’homme comme une merveilleuse pierre précieuse dans laquelle se mire toute la
Dans le cadre de sa pratique, il est très rapidement effaré par la santé déplorable des petits enfants. Il mettra trois ans à en comprendre l'une des causes : la pratique des vaccinations multiples avant l'âge de 9 mois, c'est à dire pendant une période de la vie où les petits enfants sont en poussée de croissance majeure.

A partir de 1978 et jusqu'en 1996, il exerce la médecine à Orange dans le Vaucluse en tant qu'homéopathe, acupuncteur et même psychanalyste aux alentours de 1995...

En 1996, il est radié à vie de l'Ordre des Médecins pour délit d'opinion : il a osé demander à ses "pairs" l'application du principe de précaution et du Code de Déontologie Médicale (qui interdit l'utilisation de produits ou procédés dont l'intérêt et l'efficacité ne sont pas certains ou qui ne sont pas suffisamment éprouvés) lors de la campagne de vaccination contre l'hépatite B de 1994 dans les collèges et lycées : un vaccin nouveau, révolutionnaire, préparé sur des cellules OGM et testé à grands frais sur nos enfants.

Dans cette affaire, le Conseil de l'Ordre des médecins était à la fois le plaignant et le juge ! À la suite de cette sanction, et avant qu'elle ne soit effective, il préfère démissionner et continue à travailler comme "accompagnateur-thérapeutes" (le thérapeute étant le malade).

Écrivain et conférencier dans le Gard jusqu'en novembre 2002, il est obligé de s'expatrier pour éviter une contrainte par corps (il avait subi un redressement fiscal sur la base de ses revenus de médecin avant la radiation alors qu'il n'a plus aucun revenu propre : il travaille pour des associations qui sont de leur côté parfaitement en règle au plan fiscal).

Alain travaille actuellement avec Brigitte, son épouse, à l'Institut Paracelse (Agullana - Espagne) pour accueillir des malades et former de accompagnateurs-thérapeutes.

Il édite depuis 1994 une revue pour diffuser ses découvertes en matière de santé : * sur le plan pharmaceutique ou vaccinal, * sur le plan de la Biologie avec en particulier les découvertes -fondamentales - beaucoup trop méconnues - du Pr. Antoine Béchamp,
* sur la Médecine Psychosomatique (Médecine Nouvelle du Dr Ryke Geerd Hamer),
* sur les problèmes de terrain avec la Bioélectronique de Louis Claude Vincent,
* sur l'hygiène de vie et en particulier le problème du scorbut,
* sur la dimension spirituelle incontournable propre à l'être humain.

Elle aborde de multiples sujets, sur le plan de la santé - comme la psychologie, la diététique, les vaccins, la médecine traditionnelle chinoise, l'homéopathie, la géobiologie - mais aussi sur d'autres plans : les atteintes à la liberté, l'agriculture, le bon sens etc..

Ayant trouvé une véritable liberté de pensée, il redécouvre maintenant les véritables scientifiques, médecins ou non, qui ont fait réellement avancer les connaissances en biologie et en médecine :

* Le Dr SEMMELWEIS (hygiène, contagion mais surtout respect du malade),
* Le Pr. Antoine BECHAMP (les microzymas),
* Le Pr. Louis-Claude VINCENT (la Bioélectronique),
* Le Dr MASCHI (la nocivité des champs électromagnétiques), * Le Dr HAMER (La Médecine Nouvelle - apportant la clef des cancers, leucémies, sida, infarctus etc...)
* Le Dr KALOKERINOS (le problème de la mort subite du nouveau-né, la vitamine C), etc..

Il est arrivé à une synthèse remarquable (sans cesse perfectible bien sûr) qui permet tous les espoirs pour demain, tant pour nous que pour nos enfants.

L'univers est bienveillant par essence. Il suffit d'en comprendre les mécanismes et d'en respecter les règles du jeu pour garder une santé parfaite et vivre dans l'amour et l'harmonie.

 

 

28 février 2017

Vaccins sans danger? Prouvez-le pour 100 000 $, dit De Niro

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L'acteur Robert de Niro s'est lancé dans une campagne anti-vaccin accompagné de l'avocat et militant Robert F. Kennedy Jr. Les deux hommes sont prêts à offrir 100 000 dollars à celui qui prouve que le vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons est sans danger pour la santé.

«Nous allons offrir une récompense de 100 000 $, cela s'appelle le 100K Challenge, à tout journaliste ou n'importe qui d'autre qui prouverait qu'il est sûr d'injecter du mercure dans les bébés et les femmes enceintes, au niveau où ils sont actuellement injectés avec le vaccin contre la grippe», a déclaré Kennedy dans une conférence de presse à Washington D.C. le 15 février 2017.

Kennedy et De Niro souhaitent qu'une enquête indépendante soit menée pour comprendre quel impact a le thimérosal sur le corps humain. Le thimérosal est un composé chimique contenant du mercure qui se trouve dans de nombreux vaccins pour éviter une prolifération bactérienne.

Robert De Niro a un fils atteint d'autisme. Il affirme que son comportement aurait changé du jour au lendemain après avoir été vacciné.

http://fr.canoe.ca/sante/nouvelles/archives/2017/02/20170224-150754.html

16 février 2017

Big Pharma admet enfin que le cannabis tue les cellules cancéreuses

 

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En avril 2015, l’Institut national de l’abus des drogues a reconnu que le cannabis tue les cellules cancéreuses et réduit de façon spectaculaire la croissance de nouvelles cellules cancéreuses du cerveau. Ce fut une admiration surprenante, étant donné que la position du gouvernement fédéral sur le cannabis le conserve comme un médicament de l’annexe 1 sans « bénéfice médical ».

La recherche a continué en dépit de ce barrage routier, et maintenant l’industrie pharmaceutique pourrait réellement aider à surmonter l’obstination du gouvernement sur le cannabis comme médicament.

La société britannique GW Pharmaceuticals a testé les extraits de cannabis ces dernières années et a maintenant des preuves cliniques que certaines formulations réduisent le taux de mortalité des personnes atteintes de Glioblastome Multiforme (GBM), une forme de cancer du cerveau qui tue habituellement les patients dans les deux ans. Les résultats de l’étude de phase 2 de la preuve de concept ont été annoncés le 7 février.

Combiné au temozolomide, le médicament utilisé actuellement pour traiter le GBM, la survie médiane des patients était de plus de 550 jours, comparativement à 369 jours sans le traitement du cannabis. Le traitement CBD (cannabidiol) -THC (tétrahydrocannabinol) a contribué à un taux de survie d’un an de 83 pour cent, contre 53 pour cent pour les traitement sans-cannabis.

Des études antérieures ont montré qu’une combinaison CBD-THC « a conduit à une réduction synergique de la viabilité des cellules de gliome U87MG », et la « co-administration de temozolomide avec THC et CBD avait d’autres effets synergiques, entraînant une réduction significative de la viabilité cellulaire. »

Dans son communiqué de presse, GW a noté qu’il existe d’importantes recherches oncologiques sur les cannabinoïdes pour traiter plusieurs formes de cancer, avec 15 publications sur les effets positifs sur la croissance et la suppression des tumeurs – en particulier dans la promotion de l’autophagie ou « le processus d’autodégradation réglementée par cellules. »

« Nous croyons que les signaux d’efficacité démontrés dans cette étude renforcent encore le rôle potentiel des cannabinoïdes dans le domaine de l’oncologie et de fournir à GW la perspective d’un nouveau produit cannabinoïdes candidat dans le traitement du gliome », a déclaré le PDG Justin Gover.

GW peut être considéré comme l’un des plus respectables sociétés pharmaceutiques. Au lieu de lutter activement contre la légalisation du cannabis – comme les sociétés américaines l’ont fait en finançant de la propagande anti-pot avant les initiatives électorales – GW adopte la puissance du cannabis.

GW Pharma est sur le point de faire approuver un médicament dérivé du cannabis appelé Epidiolex pour traiter les enfants souffrant d’épilepsie sévère. Il sera déposé pour approbation cette année aux États-Unis et au Royaume-Uni. Les essais ont montré une « importance statistique élevée » pour aider les patients, dont certains souffrent de 80 crises graves par jour.

Bien sûr, nous savons déjà à travers d’innombrables exemples que l’administration de CBD ou d’autres types d’huile de cannabis arrête les saisies dans leurs voies pour les enfants souffrant d’épilepsie. C’est pourquoi une entreprise du Colorado a produit un spray de cannabis nasal qui arrête à plusieurs reprises les crises dans les 20 secondes.

Alors que de nombreux États reconnaissent maintenant cette réalité et légalisent les extraits de cannabis pour les saisies, Epidiolex a le potentiel d’offrir un traitement efficace à l’échelle nationale. Il mettra également la classification absurde du cannabis et de ses dérivés comme médicament de l’annexe 1 au test ultime.

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http://www.worldwidenetwork.fr/big-pharma-admet-enfin-que-le-cannabis-tue-les-cellules-cancereuses/

10 novembre 2016

Comment se détoxifier complètement du sucre en 10 jours

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    Comment l’industrie du sucre a payé des prestigieux chercheurs de Harvard pour dire que les graisses (PAS le sucre) provoquent des maladies cardiaques

  • Des documents nouvellement dévoilés révèlent que l’industrie du sucre a soudoyé les scientifiques de Harvard
  • C’était dans les années 1960 – avant que les conflits d’intérêts devaient être déclarés
  • Après la « mauvaise presse » du sucre, les chefs de l’industrie ont commandité une nouvelle évaluation
  • Ils ont demandé à des professeurs de Harvard de dire que les graisses étaient la pire cause des maladies cardiaques
  • Ces résultats ont modelé l’opinion publique sur la nutrition pendant des années

L’industrie du sucre a payé des prestigieux scientifiques de Harvard pour qu’ils publient une recherche indiquant que les graisses – pas le sucre – étaient l’une des principales causes des maladies cardiaques, comme le révèlent les documents nouvellement divulgués.

A l’époque, dans les années 1960, il n’était pas nécessaire de communiquer les conflits d’intérêts.

Cela signifiait que les chefs du sucre pouvaient travailler en étroite collaboration avec des chercheurs pour remanier et revoir leurs études jusqu’à ce qu’elles deviennent « satisfaisantes », sans avoir à déclarer leur participation.

Ces publications ont façonné les méthodes de la santé publique pendant des années.

Ces découvertes, révélées aujourd’hui dans un rapport spécial de JAMA Internal Medicine, ont déclenché des ondes de choc dans le milieu de la recherche.

« Je pensais avoir tout vu, mais cella m’a atterrée », a dit Marion Nestle de l’Université de New York, qui a écrit un éditorial sur ces nouvelles découvertes.

« C’était si flagrant. Et la corruption était si énorme. »

« Le financement de la recherche est éthique », dit Marion Nestle.

« Soudoyer des chercheurs pour qu’ils produisent les preuves que vous voulez ne l’est pas. »

La recherche biaisée est parue dans une revue en 1967, dans le New England Journal of Medicine.

Elle dénonçait les graisses et le cholestérol comme les coupables alimentaires des maladies cardiaques, passant sous silence les preuves datant des années 1950 que le sucre, et non les graisses, était lié aux maladies cardiaques.

Selon le nouveau rapport, la revue NEJM a été sponsorisée par la Fondation de la Sugar Research Foundation (SRF), qui s’appelle aujourd’hui la Sugar Association.

Son rôle dans l’étude n’a pas été révélé avant 1984.

Un professeur de nutrition de Harvard, le Dr Mark Hegsted a codirigé le premier projet de recherche sur les maladies cardiaques de la SRF de 1965 à 1966.

Dans le nouveau rapport, Laura A. Schmidt de l’Université de Californie, San Francisco, et ses collègues, ont découvert des correspondances qui montrent comment le Dr Hegsted avait été payé par la SRF pour parvenir à une conclusion spécifique.

Des archives de l’Université de l’Illinois de la Bibliothèque Médicale de Harvard révèlent que la Fondation a fixé l’objectif de la revue médicale, financé et examiné les projets du manuscrit.

Les chercheurs ont également examiné les méthodes du colloque et l’historique des différents rapports.

En 1954, disent-ils, le président de la fondation a donné une conférence soulignant le potentiel qu’offrait une réduction de la consommation de graisses des Américains : une compensation de ces calories sous forme de glucides augmenterait la consommation de sucre par habitant de plus d’un tiers.

En 1962, un rapport sur la nutrition d’une Association Médicale Américaine a indiqué que les régimes à faible teneur en matières grasses et riches en sucre peuvent en fait encourager le développement du mauvais cholestérol.

Deux ans plus tard, selon le nouveau rapport, le vice-président de la SRF, John Hickson a suggéré que la SRF se lance dans un grand programme pour contrer les « attitudes négatives envers le sucre ».

De plus en plus, les rapports épidémiologiques suggéraient que le sucre dans le sang, plutôt que le taux de cholestérol sanguin ou une pression artérielle élevée, était un meilleur prédicteur de l’athérosclérose.

Deux jours après la publication par le New York Herald Tribune d’une page entière sur le lien avec le sucre, en juillet 1965, la SRF a approuvé le « Projet 226 », une analyse documentaire sur le métabolisme du cholestérol qui serait menée par Hegsted et, parmi d’autres, Frederick Stare, un autre nutritionniste de Harvard ayant des liens financiers avec l’industrie.

Neuf mois plus tard, Schmidt et ses collègues ont produit l’analyse documentaire. Hegsted a expliqué que le projet avait été retardé dans le but  de ré-écrire sans cesse des réfutations à de nouvelles preuves liant le sucre aux maladies cardiaques qui avaient été publiées dans l’intervalle.

En septembre 1966, selon le rapport, Hickson demandait d’autres modifications de l’analyse documentaire des chercheurs de Harvard, mais il n’y a aucune preuve claire que la Fondation avait commenté ou modifié les documents préliminaires.

Le 2 novembre, Hickson a approuvé la dernière version comme étant « tout à fait ce que nous attendions ».

L’analyse en deux parties, concluant que le seul changement nécessaire pour prévenir les maladies cardiaques était de réduire la consommation de graisses, a été publiée dans le NEJM (New England Journal of Medicine) l’année suivante, sans aucune mention de la participation de la SRF.

La revue n’a pas été obligée de révéler les conflits d’intérêts avant 1984.

« L’association du sucre a payé de prestigieux scientifiques de Harvard pour qu’ils publient une recherche se focalisant sur les graisses saturées et le cholestérol comme les principales causes des maladies cardiaques à une époque où les études devenaient très nombreuses indiquant que le sucre est un facteur de risque pour les maladies cardiaques », a déclaré Schmidt.

« Ceci a un impact sur l’ensemble de la communauté de la recherche et sur la direction qu’elle va prendre ».

« Par exemple, beaucoup de discours au cours de cette période concernant la façon de prévenir les maladies cardiaques suggéraient d’utiliser de la margarine plutôt que du beurre, car elle contient moins de graisses saturées », a déclaré Schmidt. Maintenant, nous savons que la margarine est pleine de graisses trans, ce qui provoque des maladies cardiaques et elle a presque été éradiquée de l’approvisionnement alimentaire des Etats-Unis.

« Quand les fabricants ont cessé de vendre des produits gras, ils ont commencé à ajouter du sucre », dit-elle. « Nous avons vraiment perdu beaucoup de temps sur notre évaluation de l’impact du sucre dans les maladies coronariennes », mais le réel impact sur la santé publique pendant les cinq dernières décennies est impossible à mesurer.

De grandes quantités de sucre et de graisses saturées sont toutes deux préjudiciables à la santé et leurs effets sont difficiles à séparer, dit Marion Nestle, mais il semble raisonnable de maintenir une consommation de sucre à environ 10% des calories quotidiennes.

Aujourd’hui, l’argent de l’industrie finance encore beaucoup de recherches scientifiques, mais de plus en plus de revues et de scientifiques révèlent ces sources de financement, a déclaré Schmidt.

« Nous reconnaissons que la Sugar Research Foundation aurait dû exercer une plus grande transparence dans l’ensemble de ses activités de recherche, cependant, lorsque les études en question ont été publiées, les critères de transparence et de divulgation des financements n’avaient pas les normes qu’elles ont aujourd’hui, » a déclaré l’Association du Sucre dans un communiqué.

« Au-delà de cela, il est difficile pour nous de commenter sur des faits qui se seraient produits il y a 60 ans, et sur des documents que nous n’avons jamais vus ».

« L’Association du Sucre est toujours à la recherche d’une meilleure compréhension du rôle du sucre sur la santé, mais nous nous fions à la science de qualité et aux faits pour étayer nos affirmations », ajoutait ce communiqué.

 

Prenez la décision de vous détoxifier

Avez-vous réellement besoin de vous détoxifier du sucre? Voici 3 tests, si vous répondez « oui » à l’une de ces questions, une cure de détoxification de sucre est votre passeport pour vous sentir bien et perdre du poids sans douleur:

Le premier est le test du diabète.

  • Êtes-vous pré-diabétique ou diabétique de type 2?30086568_MrP_NoCandy_answer_2_xlarge-300x264
  • Avez-vous de la graisse au niveau du ventre?
  • Êtes-vous en surpoids?
  • Avez-vous envie de sucre et de glucides?
  • Avez-vous un taux élevé de triglycérides, un faible taux de HDL (« bon cholestérol) ou vous a t-on dit que votre taux de sucre dans le sang était un peu élevé?

Le second est le test de dépendance à la nourriture.

  • Vous arrive-t-il de manger sans avoir faim?
  • Vous êtes-vous déjà senti mal après avoir mangé?
  • Vous sentez-vous mal concernant vos habitudes alimentaires ou évitez-vous certaines activités à cause de votre alimentation?
    Obtenez-vous des symptômes de sevrage lorsque vous réduisez ou arrêtez de manger du sucre ou de la farine?

Le troisième est le test de toxicité. Les symptômes comprennent des ballonnements, des gaz, des reflux, le symptôme du côlon irritable, des douleurs articulaires ou musculaires, le brouillard du cerveau, des problèmes de mémoire ou des sautes d’humeur, des symptômes d’allergie et plus encore. Nous sommes des millions à avoir ce syndrome et nous ne nous rendons pas compte que nous ne sommes qu’à quelques jours de la santé et du bonheur.

2. Arrêtez complètement le sucre

Le seul moyen de gérer une véritable addiction physiologique est de l’arrêter complètement. Les toxicomanes n’ont pas le droit à une seule ligne de cocaïne ou à un verre. Pour vous détoxifier du sucre, vous devez arrêter complètement, c’est le seul moyen de remettre vos neurotransmetteurs à zéro. Il est également souhaitable d’éviter au maximum durant ces 10 jours les plats industriels déjà préparés, pour consommer principalement des aliments frais.

Cessez de consommer toute forme de sucre, les produits à base de farine, et les édulcorants artificiels qui augmentent les envies et ralentissent le métabolisme, et provoquent un stockage des graisses. Débarrassez-vous aussi de tout ce qui contient des graisses trans ou hydrogénées et le glutamate monosodique. Idéalement, pendant 10 jours, évitez les aliments en boite, emballés ou qui ont une étiquette. Tenez-vous en aux produits frais.

3. Ne buvez pas vos calories

Toute forme de sucre liquide est pire que de la nourriture solide contenant du sucre ou de la farine.b11 Boire des boissons sucrées revient à envoyer un shoot direct de sucre à votre foie. Ce sont des calories vides qui vous conduisent à manger davantage au cours de la journée, et vous vous retrouvez avec la fameuse graisse autour du ventre.

Vous ne vous sentez pas rassasié, donc vous mangez plus tout au long de la journée et vous avez envie de plus de sucre et de glucides. C’est également la principale source de calories dans notre alimentation.

Cela inclut les sodas, les jus de fruits autres que les jus verts de légumes, les boissons pour sportifs, et les thés ou les cafés sucrés.

Une canette de soda par jour augmente les risques d’être obèse de 60 pour cent et les risques de diabète de type 2 pour un femme de 80 pour cent.

4. Ajoutez des protéines à votre alimentation

Consommer des protéines à chaque repas, et particulièrement au petit-déjeuner, est la clé pour maintenir le taux de sucre dans le sang et le niveau d’insuline à des niveaux acceptables, mais aussi pour éviter les fringales. Commencez votre journée avec des œufs fermiers ou une boisson protéinée.

Utilisez des noix, des graines, des œufs, du poisson, du poulet ou de la viande nourrie à l’herbe pour les protéines à chaque repas.

5. Ne vous limitez pas sur les bons glucides

shutterstock_678797471-raw-nutrition-300x300Oui, vous avez bien lu, il n’est pas nécessaire de limiter votre consommation de glucides… tant que ce sont des bons glucides! Il s’agit ainsi de tous les légumes non féculents comme les légumes verts, la famille des brocolis (chou-fleur, chou frisé, chou) les asperges, les haricots verts, les champignons, les oignons, les courgettes, les tomates, le fenouil, les aubergines, les artichauts, les poivrons, pour n’en citer que quelques-uns.

Évitez les pommes de terre, les patates douces, les courges d’hiver et les betteraves, seulement pendant 10 jours. Éliminez également les céréales et les haricots.

6. Remplacez le sucre par les matières grasses

Ce ne sont pas les matières grasses qui font grossir, c’est le sucre. Les matières grasses vous rassasient, équilibrent votre taux de sucre dans le sang, et sont nécessaires pour alimenter vos cellules. Avec les protéines, consommez de bonnes bonnes graisses à chaque repas et collation y compris les noix et les graines (qui contiennent aussi des protéines), l’huile d’olive extra vierge, huile de coco extra vierge, les avocats et les oméga-3 provenant des poissons.

7. Soyez prêt pour les urgences

Ayez toujours un petit en-cas sur vous sain et équilibré qui vous évitera de vous jeter sur le premier aliment sucré venu en cas de coup de barre. Vous pouvez prendre des noix, des amandes, des graines de citrouilles, des myrtilles, une conserve de sardine ou de saumon.

8. Surveillez votre niveau de stress

Lorsque vous êtes stressé, vos hormones deviennent folles. Le cortisol augmente ce qui donne faim, provoque un stockage des graisses au niveau du ventre, et conduit à un diabète de type 2. Des études indiquent que prendre des respirations profondes active un nerf spécial, appelé le nerf vague.

Prenez 5 respirations profondes. C’est quelque chose que vous pouvez faire n’importe où, à tout moment. Il suffit de prendre cinq respirations profondes lentes en comptant jusqu’à cinq. Cinq fois. C’est tout. Faites-le à chaque situation stressante ou vague de panique. Regardez ce qui se passe.

9. Luttez contre l’inflammation

298Des études montrent que l’inflammation provoque des déséquilibres de sucre dans le sang, augmente la résistance à l’insuline et favorise le prédiabète et le diabète de type 2.

Les sensibilités alimentaires cachées, telles que les produits laitiers et le gluten, sont une source importante d’inflammation.

Les coupables les plus courants sont le gluten et les produits laitiers. Nous avons souvent un besoin impérieux d’aliments auxquels nous sommes allergiques.

Arrêtez le gluten et les produits laitiers pendant 10 jours. Ce n’est pas facile d’arrêter, mais après seulement 2 ou 3 jours sans eux vous aurez un regain d’énergie, moins d’envies, et les symptômes les plus courants disparaîtront.

10. Soignez votre sommeil

Un manque de sommeil entraîne des envies de sucre et glucides en affectant les hormones de l’appétit. Dans une étude réalisée sur des étudiants, seulement deux heures en moins sur les huit heures de sommeil recommandées ont conduit à une augmentation des hormones de la faim, une baisse des hormones coupe-faim, et de grandes envies de sucre et de glucides raffinés.

Alors, que pensez-vous de ces conseils pour se détoxifier du sucre? Vous semblent-ils applicables dans votre vie quotidienne? N’hésitez pas à nous donner votre avis dans  les commentaires  et à partager d’autres conseils.

Source: Dr Hymanhttp://www.sante-nutrition.org/revele-lindustrie-sucre-a-paye-prestigieux-chercheurs-de-harvard-dire-graisses-sucre-provoquent-maladies-cardiaques/#more-32879

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8 septembre 2016

Liste des médicaments contenant de l'Aspartam

seul-au-monde

ABILIFY 10 mg cp orodispers
ABILIFY 15 mg cp orodispers
ACETYLCYSTEINE EG sans sucre 200 mg pdre p sol buv sachet-dose
ACETYLCYSTEINE SANDOZ CONSEIL 200 mg gél p sol buv
AMODEX 1 g cp dispers
AMOXICILLINE ALMUS 1 g cp pellic dispers
AMOXICILLINE ARROW 1 g cp pellic dispers
AMOXICILLINE ARROW 125 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ARROW 250 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ARROW 500 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE BIOGARAN 1 g cp dispers
AMOXICILLINE BIOGARAN 125 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE BIOGARAN 250 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE BIOGARAN 500 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE EG LABO 1 g cp dispers
AMOXICILLINE QUALIMED 125 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE QUALIMED 250 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE RANBAXY 1 g cp dispers
AMOXICILLINE RATIO 125 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE RATIO 250 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE RATIOPHARM 500 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE RPG 250 mg/5 ml pdre p susp buv en flacon
AMOXICILLINE RPG 500 mg/5 ml pdre p susp buv en flacon
AMOXICILLINE SANDOZ 1 g cp dispers
AMOXICILLINE SANDOZ 125 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE SANDOZ 250 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE SANDOZ 500 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ZENTIVA 1 g cp pellic dispers
AMOXICILLINE ZENTIVA 250 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ZENTIVA 500 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ZYDUS 125 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ZYDUS 250 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ZYDUS 500 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ZYDUS FRANCE 1 g cp dispers
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ALMUS 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ALMUS 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ALTER 1 g/125 mg pdre p susp buv en sachet adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ALTER 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ALTER 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ARROW 1 g/125 mg pdre p susp buv adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ARROW 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ARROW 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE BIOGARAN 1 g/125 mg pdre p susp buv adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE BIOGARAN 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE BIOGARAN 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE EG 1 g/125 mg pdre p susp buv en sachet-dose adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE MYLAN 1 g/125 mg pdre p susp buv en sachet-dose adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE MYLAN 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv en flacon nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE MYLAN 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE QUALIMED 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv en flacon enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE RATIO 1 g/125 mg pdre p susp buv en sachet adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE RATIO 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv en flacon enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE RATIO 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE RPG 1 g/125 mg pdre p susp buv adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE RPG 100 mg/12,5 mg pdre p susp buv Enf
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE RPG 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE SANDOZ 1 g/125 mg pdre p susp buv adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE SANDOZ 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv en flacon enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE SANDOZ 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE TEVA SANTE 1 g/125 mg pdre p susp buv sachet-dose adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE TEVA SANTE 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv en flacon enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE TEVA SANTE 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv en flacon nourrisson
ANGIPAX cp orodispers
APRANAX 250 mg glé p susp buv
APRANAX 500 mg glé p susp buv
ASPIRINE DU RHONE 500 mg cp à croquer
ASPIRINE UPSA 500 mg cp efferv
ASPIRINE UPSA TAMPONNEE EFFERVESCENTE 1000 mg cp efferv
AUGMENTIN 1 g/125 mg pdre p susp buv Ad
AUGMENTIN 100 mg/12,5 mg p ml pdre p susp buv Enf
AUGMENTIN 100 mg/12,5 mg p ml pdre p susp buv Nour
AZANTAC 150 mg cp efferv
AZANTAC 300 mg cp efferv
AZANTAC 75 mg cp efferv
BEROCCA cp efferv sans sucre
BETAMETHASONE ARROW 2 mg cp dispers séc
BETAMETHASONE BIOGARAN 2 mg cp dispers séc
BETAMETHASONE EG 2 mg cp dispers séc
BETAMETHASONE ZENTIVA 2 mg cp dispers séc
BIODALGIC 50 mg cp efferv
BREXIN 20 mg cp efferv
CACIT VITAMINE D3 500 mg/440 UI cp à croquer/sucer
CALCIFORTE VITAMINE D3 cp à croquer/sucer/dispers
CALCIPRAT 1000 mg cp à sucer
CALCIPRAT 500 mg cp à sucer
CALCIPRAT 750 mg cp à sucer
CALCIPRAT VITAMINE D3 1000 mg/800 UI cp à sucer
CALCIPRAT VITAMINE D3 500 mg/400 UI cp à sucer
CALCIUM MYLAN 500 mg cp à croquer/sucer
CALCIUM SANDOZ 500 mg cp efferv
CALCIUM SANDOZ 500 mg pdre p susp buv
CALCIUM TEVA 500 mg cp à sucer
CALCIUM VITAMINE D3 BIOGARAN 500 mg/400 UI cp à sucer
CALCIUM VITAMINE D3 EG 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
CALCIUM VITAMINE D3 MYLAN 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
CALCIUM VITAMINE D3 RANBAXY 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
CALCIUM VITAMINE D3 RATIOPHARM 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
CALCIUM VITAMINE D3 SANDOZ 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
CALCIUM VITAMINE D3 TEVA 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
CALCIUM/VITAMINE D3 ZYDUS 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
CALCOS VITAMINE D3 cp à croquer/sucer
CALPEROS 500 mg cp à sucer séc
CALPEROS D3 cp à sucer
CALPRIMUM 500 mg cp enr croquer
CANTALENE cp à sucer
CEFPODOXIME ARROW ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME BIOGARAN ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME EG ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME ISOMED ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME MYLAN ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME QUALIMED ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME RATIOPHARM ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME SANDOZ ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME TEVA ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME ZENTIVA 40 mg/5 ml glé p susp buv enfant nourrisson
CEFPODOXIME ZYDUS 40 mg/5 ml pdre p susp buv enfant nourrisson
CEFUROXIME MYLAN 125 mg cp enr
CEFUROXIME MYLAN 250 mg cp enr
CEFUROXIME MYLAN 500 mg cp enr
CEFUROXIME QUALIMED 250 mg cp enr
CEFUROXIME QUALIMED 500 mg cp enr
CEFUROXIME SANDOZ 125 mg cp enr
CEFUROXIME SANDOZ 250 mg cp enr
CEFUROXIME SANDOZ 500 mg cp enr
CEFUROXIME WINTHROP 125 mg cp enr
CEFUROXIME WINTHROP 250 mg cp enr
CEFUROXIME WINTHROP 500 mg cp enr
CELESTENE 2 mg cp dispers séc
CELLCEPT 1 g/5 ml pdre p susp buv
CETORNAN 10 g pdre p sol buv/entér en sachet
CETORNAN 5 g pdre p sol buv/entér
CIMETIDINE TEVA 200 mg cp efferv
CIMETIDINE TEVA 800 mg cp efferv
CITRATE DE BETAINE CRISTERS 2 g pdre p sol buv
CLAMOXYL 1 g cp dispers
CLAMOXYL 125 mg/5 ml pdre p susp buv
CLAMOXYL 250 mg/5 ml pdre p susp buv
CLAMOXYL 500 mg/5 ml pdre p susp buv
CYCLADOL 20 mg cp efferv
DAFALGAN 1 g cp efferv
DAFALGAN 150 mg pdre efferv p sol buv
DAFALGAN 250 mg pdre efferv p sol buv
DAFALGAN CODEINE cp efferv séc
DAFALGANHOP 1 g cp efferv
DEBRIDAT glé p susp buv sachet
DENSICAL 600 mg cp à sucer
DENSICAL VITAMINE D3 cp à croquer/sucer
DIACOMIT 250 mg pdre p susp buv
DIACOMIT 500 mg pdre p susp buv
DIASTROLIB 2 mg lyoph oral
DOLIPRANEORO 500 mg cp orodispers
DOLKO 500 mg pdre p sol buv
DONEPEZIL ACTAVIS 10 mg cp orodispers
DONEPEZIL ACTAVIS 5 mg cp orodispers
DONEPEZIL SANDOZ 10 mg cp orodispers
DONEPEZIL SANDOZ 5 mg cp orodispers
DONEPEZIL TEVA 10 mg cp orodispers
DONEPEZIL TEVA 5 mg cp orodispers
DRILL ENROUEMENT 15 mg past à sucer sans sucre
DRILL SANS SUCRE past
DYNAMISAN 3 g pdre p sol buv
EBASTINE TEVA 10 mg cp orodispers
EFFERALGAN 1 g cp efferv
EFFERALGANODIS 500 mg cp orodispers
EXOMUC 200 mg glé p sol buv
FERVEX ENFANT glé p sol buv
FERVEX SANS SUCRE glé p sol buv
FIXICAL 500 mg cp à croquer/sucer
FIXICAL VITAMINE D3 1000 mg/800 UI cp à sucer
FIXICAL VITAMINE D3 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
FLECTOR 50 mg glé p sol buv
FLUIMUCIL 200 mg glé p sol buv
FLUIMUCIL 200 mg glé p sol buv adulte
FLUOXETINE CRISTERS 20 mg cp dispers séc
FLUOXETINE ZYDUS 20 mg cp dispers séc
GAVISCON MENTHE cp à croquer
GAVISCONELL cp à croquer sans sucre menthe
GAVISCONELL SANS SUCRE CITRON cp à croquer
GLOSSITHIASE cp subling
GLUCOPHAGE 1000 mg pdre p sol buv
GLUCOPHAGE 500 mg pdre p sol buv
GLUCOPHAGE 850 mg pdre p sol buv
IMODIUMLINGUAL 2mg lyoph oral
JOSACINE DISPERSIBLE 1000 mg cp dispers adulte
KESTINLYO 10 mg lyoph oral
KLEAN PREP pdre p sol buv
LAMOTRIGINE EG 100 mg cp à croquer/dispers
LAMOTRIGINE EG 200 mg cp à croquer/dispers
LAMOTRIGINE EG 25 mg cp à croquer/dispers
LAMOTRIGINE RANBAXY 100 mg cp dispers
LAMOTRIGINE RANBAXY 200 mg cp dispers
LAMOTRIGINE RANBAXY 25 mg cp dispers
LAROSCORBINE 1 g cp efferv
LAROSCORBINE sans sucre 1 g cp efferv
LAROSCORBINE sans sucre 500 mg cp à croquer
LEVITRA 10 mg cp orodispers
LOPERAMIDE LYOC 2mg lyoph oral
MAXALTLYO 10 mg lyoph oral
MAXALTLYO 5 mg lyoph oral
MELAXOSE gelée orale en pot
MIGPRIV pdre p sol buv
MIRTAZAPINE ACTAVIS 15 mg cp orodispers
MIRTAZAPINE ALMUS 15 mg cp orodispers
MIRTAZAPINE AUROBINDO 15 mg cp orodispers
MIRTAZAPINE BIOGARAN 15 mg cp orodispers
MIRTAZAPINE RANBAXY 15 mg cp orodispers
MOVIPREP pdre p sol buv en sach
NATECAL VITAMINE D3 600 mg/400 UI cp orodispers
NATECAL VITAMINE D3 600mg/400UI cp mâcher
NICOPASS 1,5 mg past sans sucre menthe fraîcheur
NICOPASS 1,5 mg past sans sucre réglisse menthe
NICOPASS 1,5 mg SANS SUCRE EUCALYPTUS past
NICOPASS MENTHE FRAICHEUR 2,5 mg SANS SUCRE past
NICOPASS REGLISSE MENTHE 2,5 mg SANS SUCRE past
NICORETTE MICROTAB CITRON 2mg cp subling
NICOTINELL 1 mg cp à sucer menthe
NICOTINELL MENTHE 2mg cp à sucer
NIQUITIN 2 mg cp à sucer menthe fraîche édulcoré à l’aspartam
NIQUITIN 2 mg cp à sucer sans sucre édulcoré à l’aspartam
NIQUITIN 4 mg cp à sucer menthe fraîche édulcoré à l’aspartam
NIQUITIN 4 mg cp à sucer sans sucre édulcoré à l’aspartam
NUROFENTABS 200 mg cp orodispers
OGASTORO 15 mg cp orodispers
OGASTORO 30 mg cp orodispers
OLANZAPINE ACTAVIS 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE ACTAVIS 15 mg cp orodispers
OLANZAPINE ACTAVIS 20 mg cp orodispers
OLANZAPINE ACTAVIS 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE ARROW GENERIQUES 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE ARROW GENERIQUES 15 mg cp orodispers
OLANZAPINE ARROW GENERIQUES 20 mg cp orodispers
OLANZAPINE ARROW GENERIQUES 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE BIOGARAN 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE BIOGARAN 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE BLUEFISH 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE BLUEFISH 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE EG 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE EG 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE ISOMED 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE ISOMED 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE RANBAXY 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE RANBAXY 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE RATIOPHARM 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE RATIOPHARM 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE ZYDUS FRANCE 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE ZYDUS FRANCE 5 mg cp orodispers
ONDANSETRON ARROW 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON BIOGARAN 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON CRISTERS 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON EG 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON MYLAN 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON QUALIMED 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON RATIOPHARM 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON SANDOZ 4 mg cp orodispers
ONDANSETRON SANDOZ 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON TEVA 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON WINTHROP 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON ZYDUS 8 mg cp orodispers
ORDIPHA 500 mg cp dispers séc
ORELOX 40 mg/5 ml glé p susp buv enfant nourrisson
OROCAL 500 mg cp à sucer
OROCAL VITAMINE D3 500 mg/200 UI cp à sucer
OROCAL VITAMINE D3 500 mg/400 UI cp à sucer
OROMAG cp à sucer
OROZAMUDOL 50 mg cp orodispers
OSAFLEXAN 1178 mg pdre p sol buv
OSSEANS VITAMINE D3 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
OTRASEL 1,25 mg lyoph oral
OXOGLURATE D’ORNITHINE MYLAN 10 g pdre p sol buv
OXOGLURATE D’ORNITHINE MYLAN 5 g pdre p sol buv
OXYNORMORO 10 mg cp orodispers
OXYNORMORO 20 mg cp orodispers
OXYNORMORO 5 mg cp orodispers
PARACETAMOL ARROW 1000 mg pdre p sol buv
PARACETAMOL ARROW 300 mg pdre p sol buv
PARACETAMOL ARROW 500 mg pdre p sol buv en sach-dose
PARACETAMOL BIOGARAN 1000 mg pdre p sol buv
PARACETAMOL BIOGARAN 300 mg pdre p sol buv
PARACETAMOL BIOGARAN 500 mg pdre p sol buv
PARACETAMOL TEVA 1000 mg pdre p sol buv sachet-dose
PARACETAMOL TEVA 300 mg pdre p sol buv sachet-dose
PARACETAMOL TEVA 500 mg pdre p sol buv sachet-dose
PARALYOC 250 mg lyoph oral
PARALYOC 500 mg lyoph oral
PARATABS 500 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL ACTAVIS 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL ARROW 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL BIOGARAN 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL CRISTERS 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL EG 80mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL ISOMED 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL MYLAN 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL RATIOPHARM 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL RPG 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL SANDOZ 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL SANDOZ CONSEIL 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL TEVA 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL WINTHROP 80 mg cp orodispers
PREDNISOLONE ACTAVIS 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE ARROW 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE BIOGARAN 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE CRISTERS 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE EG 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE MYLAN 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE RANBAXY 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE RATIOPHARM 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE SANDOZ 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE TEVA 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE ZENTIVA 20 mg cp orodispers
PROTELOS 2g glé p susp buv
PROXALYOC 20 mg lyoph oral
PSEUDOPHAGE glé p sol buv
QUESTRAN 4 g pdre oral
RANIPLEX 150 mg cp efferv
RANIPLEX 300 mg cp efferv
RANITIDINE ARROW 150 mg cp efferv
RANITIDINE ARROW 300 mg cp efferv
RANITIDINE ARROW 75 mg cp efferv
RANITIDINE BIOGARAN 150 mg cp efferv
RANITIDINE BIOGARAN 300 mg cp efferv
RANITIDINE EG 150 mg cp efferv
RANITIDINE EG 300 mg cp efferv
RANITIDINE QUALIMED 150 mg cp efferv
RANITIDINE QUALIMED 300 mg cp efferv
RISPERDALORO 0,5 mg cp orodispers
RISPERDALORO 1 mg cp orodispers
RISPERDALORO 2 mg cp orodispers
RISPERDALORO 3 mg cp orodispers
RISPERDALORO 4 mg cp orodispers
RISPERIDONE EG 0,5 mg cp orodispers
RISPERIDONE EG 1 mg cp orodispers
RISPERIDONE EG 2 mg cp orodispers
RISPERIDONE MYLAN 0,5 mg cp orodispers
RISPERIDONE MYLAN 1 mg cp orodispers
RISPERIDONE MYLAN 2 mg cp orodispers
RISPERIDONE MYLAN 3 mg cp orodispers
RISPERIDONE MYLAN 4 mg cp orodispers
RISPERIDONE RATIOPHARM 0,5 mg cp orodispers
RISPERIDONE RATIOPHARM 1 mg cp orodispers
RISPERIDONE RATIOPHARM 2mg cp orodispers
RISPERIDONE SANDOZ 0,5 mg cp orodispers
RISPERIDONE SANDOZ 1 mg cp orodispers
RISPERIDONE SANDOZ 2 mg cp orodispers
RISPERIDONE SANDOZ 3 mg cp orodispers
RISPERIDONE SANDOZ 4 mg cp orodispers
RISPERIDONE TEVA 0,5 mg cp orodispers
RISPERIDONE TEVA 1 mg cp orodispers
SARGENOR A LA VITAMINE C cp efferv
SINGULAIR 4 mg cp à croquer
SINGULAIR 5 mg cp à croquer
SOLISPASM 80 mg cp orodispers
SOLUPRED 20 mg cp orodispers
SOLUPRED 5 mg cp orodispers
SPASMAG gél
SPASMOCALM 80 mg cp orodispers
SPEDIFEN 400 mg glé p sol buv sachet-dose
SPIFEN 400 mg glé p sol buv
STOMEDINE 200 mg cp efferv
TAHOR 10 mg cp à croquer
TAHOR 20 mg cp à croquer
TAKADOL 100 mg cp efferv séc
TRACLEER 32 mg cp dispers
TRAMADOL MYLAN 50 mg cp efferv
TRAMADOL TEVA 50 mg cp efferv
TRAMADOL WINTHROP 50 mg cp efferv
TRANSILANE SANS SUCRE pdre p susp buv
TRANSIPEG 2,95 g pdre p sol buv en sachet
TRANSIPEG 5,9 g pdre p sol buv en sachet
TRANSULOSE gelée orale en pot
VECTRINE 300 mg pdre p susp buv en sachet
VIDEX 100 mg cp à croquer/dispers
VIDEX 150 mg cp à croquer/dispers
VIDEX 25 mg cp à croquer/dispers
VIDEX 50 mg cp à croquer/dispers
VIRACEPT 50 mg/g pdre oral
VITAMINE C UPSA 500 mg cp à croquer
VITAMINE C UPSA 500 mg cp à croquer fruit exotique
VITASCORBOL SANS SUCRE TAMPONNE 500 mg cp à croquer
VOGALENE LYOC 7,5 mg lyoph oral
VOGALIB 7,5 mg lyoph oral sans sucre
ZINNAT 125 mg glé p susp buv en sachet enfant nourrisson
ZINNAT 125 mg/5 ml glé p susp buv en flacon enfant nourrisson
ZOLMITRIPTAN ACTAVIS 2,5 mg cp orodispers
ZOLMITRIPTAN EVOLUGEN 2,5 mg cp orodispers
ZOLMITRIPTAN MYLAN 2,5 mg cp orodispers
ZOLMITRIPTAN ZENTIVA 2,5 mg cp orodispers
ZOLMITRIPTAN ZYDUS FRANCE 2,5 mg cp orodispers
ZOMIGORO 2,5 mg cp orodispers
ZOPHREN 4 mg lyoph oral
ZOPHREN 8 mg lyoph oral
ZUMALGIC 100 mg cp efferv
ZUMALGIC 50 mg cp efferv
ZYPREXA VELOTAB 10 mg cp orodispers
ZYPREXA VELOTAB 15 mg cp orodispers
ZYPREXA VELOTAB 20 mg cp orodispers
ZYPREXA VELOTAB 5 mg cp orodispers
ZYVOXID 100 mg/5 ml glé p susp buv

15 mai 2016

Micro-puces dans des médicaments : l’industrie pharmaceutique va commencer à en insérer

Quand la Réalité dépasse la Fiction : TEVA (Israël) et la société MicroChip Biotech (USA) viennent de signer un accord de développement. Une micro puce sera administrée avec le médicament. Le principe est qu’une fois implantée la puce associée au médicament délivrera de façon programmée la dose sur des mois, voire des années.  Les traitements concernés pourront être par exemple, l’ostéoporose ou l’hypothyroïdie.

L’ère du micro-puçage pharmaceutique est maintenant devant nous. Novartis AG, l’une des plus importantes sociétés pharmaceutiques dans le monde, a dévoilé un projet afin de commencer à implanter des micro-puces dans des médicaments dans le but de créer une technologie de « pilule intelligente ».

La technologie de micro-puçage est brevetée par Proteus Biomedical à Redwood City, Californie. Une fois activée par l’acide de l’estomac, la micro-puce intégrée commence à détecter son environnement et à émettre des données à un récepteur utilisé par le patient. Ce récepteur est également un émetteur qui peut envoyer les données par Internet à un médecin.

L’idée derrière tout cela est de créer des « pilules intelligentes » qui peuvent détecter ce qu’il se passe dans le corps et délivrer cette information au médecin du patient. Novartis prévoit de commencer à micro-pucer ses médicaments anti rejet de transplantation d’organe et puis potentiellement étendre le micro-puçage à d’autres produits de sa gamme pharmaceutique. Cette même technologie pourrait également bientôt se retrouver dans des pilules fabriquées par d’autres sociétés pharmaceutiques.

Proteus-Biomedical-medicament-micropuce-584x400

Les meilleurs programmes mis en avant…

En surface, tout cela paraît bien, mais les lecteurs de NaturalNews (site original de l’article) ont certainement tout un tas de questions sceptiques à propos de cette technologie. Pour commencer, Novartis ne prévoit apparemment pas de réaliser des essais cliniques qui pourraient prendre en compte les problèmes de sécurité liés à l’ingestion de micro-puces. « Novartis ne s’attend pas à devoir conduire des essais cliniques approfondis afin de prouver que les nouveaux produits fonctionnent », rapporte Reuters. « A la place, son but est de réaliser de soi-disant tests de bio-équivalence afin de montrer que ce sont les mêmes que les originaux. » (http://www.reuters.com/article/idUSTRE6A754720101108)

Mais j’ai une question : quels produits chimiques ou quels métaux lourds sont-ils présents dans la micro-puce elle-même ? Une micro-puce qui transmet des données doit évidemment posséder une source d’énergie, ce qui signifie qu’elle doit avoir une très petite batterie ou un genre de condensateur. Les matériaux utilisés dans les condensateurs et les batteries, à ma connaissance, sont toxiques pour le corps humain et ne devraient jamais être avalés.

Les micro-puces ne sont pas de la nourriture et le fait de les avaler semble dangereux pour votre santé, particulièrement si vous ingérez plusieurs puces par jour.

La confidentialité des données

Un autre problème important soulevé par les micro-puces qui transmettent des données concerne leur confidentialité. Si ces puces émettent de l’information, alors cette information peut évidemment être collecté par tout ce qui se trouve à proximité, y compris éventuellement par des individus peu scrupuleux ou des organisations qui pourraient en faire une mauvaise utilisation.

Par exemple, supposons qu’une pharmacie locale installe un détecteur de signal de micro-puce dans leur porte d’entrée principale dans le but de suivre les gens qui émettent des données de « médication ». Ils pourraient alors théoriquement décoder cette donnée et l’utiliser afin de déterminer quelle maladie affecte le client, et puis vendre des produits pharmaceutiques génériques faisant office de substitution.

Des agents gouvernementaux pourraient être équipés de « scanners à micro-puce pharmaceutique » qui déterminent quelles pilules vous prenez en ce moment. Ceci pourrait être utilisé afin de violer votre vie privée en partageant cette information avec d’autres agences gouvernementales ou même en la vendant à un tiers, comme des sociétés de marketing.

Je doute clairement du fait que les données transmises par ces micro-puces dans ces pilules seront codées car le cryptage nécessite une véritable puissance de traitement, et dans ces toutes petites puces, il n’y a pas vraiment de place pour une unité de traitement ou une source d’énergie. Très probablement, elles vont transmettre des signaux bruts, non traités, qui peuvent être détectés et décodés plutôt facilement.

Souvenez-vous de prendre vos médicaments

Mais la partie la plus effrayante à propos de ces micro-puces médicales est le fait que cette technologie sera utilisée afin de s’assurer que les gens prennent bien leur traitement. Les compagnies pharamaceutiques perdent des milliards de dollars par an (d’après elles) à cause des patients qui oublient de prendre leurs pilules. Bien entendu, l’une des raisons pour lesquelles ils oublient de prendre leurs pilules est qu’une grande partie des produits pharmaceutiques provoquent des dégâts aux fonctions cognitives, mais cela est ici hors-sujet.

Cette technologie de pilule micro-puce intelligente va donc probablement être utilisée pour traquer les pilules que les patients auront prises afin qu’il leur soit « gentiment rappelé » de prendre les éventuelles pilules qu’ils auraient oubliés de prendre. Dans le domaine du marketing, cela s’appelle un « programme de continuité ». C’est un moyen destiné à s’assurer que des ventes répétitives se produisent de façon régulière.

Dans ce contexte, le micro-puçage des pilules profite aux compagnies pharmaceutiques, mais pas nécessairement aux patients. C’est particulièrement vrai lorsque l’on considère ces produits pharmaceutiques qui sont nocifs pour la santé humaine – et nous savons tous que le marché pharmaceutique est rempli de pilules dont on a plus tard découvert qu’elles étaient extrêmement dangereuses voire mortelles (quelqu’un se rappelle-t-il du Vioxx ?).

Le futur : les scanners à médicaments de la police et les scanners à médicaments des employeurs

Maintenant, il y a peut-être un effet secondaire intéressant à propos de tout cela : les employeurs qui réalisent des entretiens pour des candidats à un travail potentiel pourraient être capable d’acheter (ou de fabriquer) un simple scanner à médicaments qui détecte la présence d’un signal de transmission d’une micro-puce pharmaceutique.

Ceci pourrait être très utile pour des employeurs qui ne souhaitent pas engager des personnes sous traitement. Ils vous invitent pour un entretien et scannent discrètement à la recherche de données de transmission médicales. Une lumière rouge les prévient lorsque vous émettez des données médicales, et ils vous disent calmement que l’entretien est terminé et « nous vous recontacterons ».

Les employeurs sont en ce moment dépassés par les coûts de l’assurance maladie. Cela pourrait fournir une méthode simple et facile pour les entreprises afin qu’elles évitent de recruter quelqu’un susceptible d’être un fardeau pour leurs programmes d’assurance maladie (d’après leurs opinions). Je ne suis pas nécessairement d’accord avec cette utilisation de cette technologie; Je dis juste que c’est une méthode qui sera probablement utilisée par les employeurs afin d’acarter les employés qui sont sous traitement.

Les policiers pourraient également utiliser un scanner similaire afin de déterminer si un conducteur sur une scène d’accident pourrait être affecté par des médicaments. Voilà une utilisation que je cautionne. Les routes d’aujourd’hui sont remplies de conducteurs affaiblis mentalement qui sont littéralement drogués aux médicaments. A propos, le problème est en fait bien plus grave que des conducteurs ivres, et pourtant jusqu’à présent rien n’est fait afin de combattre ce problème de « conducteurs sous médicaments » (la plupart des personnes ne savent même pas que ce problème existe).

Si les personnes qui prennent des médicaments émettent ces informations par l’intermédiaire de toutes les micro-puces qu’elles avalent, dans ce cas, analyser la présence de médicaments est simple. C’est même encore plus simple qu’un alcootest car cela ne nécessite aucune action de la part du sujet test. Le policier appuie simplement sur un bouton, patiente deux secondes, et peut alors déterminer si vous émettez des données médicales. Jusque là, vous pourriez être arrêté en étant suspecté de « conduite sous traitement ».

Une autre raison de ne pas prendre de médicaments

Il y a bien évidemment une tonne de questions sans réponses et même des risques potentiels quant à l’ingestion de produits pharmaceutiques à micro-puces. Pour certaines personnes, les problèmes de vie privée sont les plus importants de tous, car évidemment, qui souhaite émettre des données sur le fait qu’il prend des médicaments ?

Je ne prends pas de produits pharmaceutiques, évidemment, et la plupart des lecteurs de NaturalNews les évitent également. Le fait que les médicaments seront bientôt micro-pucés est encore une fois une bonne raison de trouver une façon plus holistique de prendre soin de notre santé. Ne misez pas votre vie (et votre vie privée) sur les pilules de l’industrie pharmaceutique. Optez pour un mode de vie holistique et sain basé sur des aliments biologiques, nutritifs, de l’exercice régulier et le refus de tous les produits chimiques (synthétiques) d’origine humaine, et vous n’aurez probablement jamais besoin de produits pharmaceutiques durant votre vie entière.

L’ère du micro-puçage des peuples et du micro-puçage des médicaments se trouve devant nous. Etant donné ce que fait l’agence nationale Américaine de sécurité dans les transports (TSA) avec les scanners corporels (http://www.naturalnews.com/030100_naked_body_scanners_airport.html), vous pouvez clairement imaginer ce que Big Brother fera avec vos données médicales que vous pourriez émettre depuis l’intérieur de votre corps.

En fait, l’idée même d’avoir une micro-puce qui émet des données depuis l’intérieur de votre corps pourrait vous faire signaler comme terroriste potentiel par la TSA, qui pourra alors procéder à une fouille des parties génitales et à une pression de la poitrine dans le cadre de leur nouvelle technique incertaine de « fouille approfondie » (http://www.naturalnews.com/030302_TSA_naked_body_scanners.html).

La meilleure façon d’éviter tout cela est de simplement manger vos légumes et boire vos superfoods. Ne devenez pas un sujet traçable et micro-pucé de l’industrie médicale qui souhaite transformer votre corps en un centre de profit par produits chimiques.

Pour aller plus loin :

Les “labos” veulent entrer au domicile des patients. C’est Kodak qui a inventé la micropuce à avalerhttp://micro.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-kodak-invente-la-puce-rfid-a-avaler-433.html 

Les laboratoires pharmaceutiques revendiquent le droit d’entrer au domicile des patients pour surveiller la prise de leurs “traitements” http://www.lemonde.fr/old-societe/article/2006/12/25/les-labos-veulent-entrer-au-domicile-des-patients_849190_3226.html#ens_id=824239

et le nouveau projet de loi sur la psychiatrie en France prévoit un suivi contraignant des personnes qu’on aura décidé d placer sous médication, même en ambulatoire : http://www.jerpel.fr/spip.php?article306

Sources:
www.reuters.com
www.naturalnews.com
www.mondialisation.ca

- See more at: http://sain-et-naturel.com/micro-puces-dans-des-medicaments-ils-vont-commencer-a-en-inserer.html#sthash.kBwTJGJg.dpuf

17 mars 2016

Les études scientifiques au sujet des médicaments révèlent qu'ils contiennent du pétrole

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Une enquête a été menée afin d’estimer l’importance de la fraude scientifique dans les études portant sur les médicaments. La conclusionmontre que le problème est généralisé et réellement grave au point que l’on croirait à une plaisanterie de mauvais goût.

Cette étude approfondie met en évidence :

1°) Les conflits d’intérêts omniprésents qui menacent l’intégrité et la crédibilité de la plupart des études. À plusieurs reprises, il apparaît clairement que l’industrie pharmaceutique est très partiale. En effet, lorsque les études s’avèrent contraires à leurs attentes, les sociétés pharmaceutiques font appel à des experts internes à la société afin qu’ils mènent des études qui aboutiront à des résultats opposés. Semant le doute dans l’esprit de tous, on ne sait plus qui croire, mais cela n’empêche que les médicaments sont malgré tout mis sur le marché.

L’étude récente sur le réel impact des sodas industriels « light » qui grâce aux édulcorants vous font prendre du poids, alors qu’ils sont censés vous en faire perdre n’est qu’une illustration très parlante de ce type de dysfonctionnements.

Excepté qu’en ce qui concerne des médicaments comme les bêtabloquants à utiliser sur des patients qui ne présentent pas de problèmes cardiaques, ces conclusions erronées auraient pu entraîner la mort éventuelle de 800 000 Européens.

Entre temps, l’auteur de l’étude, le Dr Poldermans qui était également le président de la commission qui avait rédigé la directive, a démissionné.

Ce n’est qu’un exemple frappant parmi d’autres, exemple qui démontre la nécessité d’une intégrité scientifique rigoureuse.

2°) Les manipulations des sociétés pharmaceutiques 

En 2012, des chercheurs de l’Université de l’Illinois du Centre de recherchede pharmaco-économie de Chicago ont trouvé que parmi les médicaments étudiés et acceptés dans la pharmacopée, près de 75 % des études scientifiques ont subi des falsifications. Ces duperies portent tant sur la fabrication des médicaments que sur les statistiques douteuses ou encore sur le plagiat.

Et puisque la majorité des professionnels de la santé leur font confiance et suivent leurs recommandations de traitement, ce sontmalheureusementles patients dont la santéest mise en danger par la publication de ces résultats complètement falsifiés.

C’est quelque peu dramatique quand on sait que sur une période de 5 ans, ce serait près d’un million de patients opérés qui auraient perdu la vie en raison de ces mauvaises directives scientifiques.

Le Vioxx dont presque tout le monde a entendu parler est un exemple de ce type de médicament fabriqué et commercialisé de manière erronée. En quelques années, il a tué plus de 60.000 personnes avant d’être enfin retiré du marché.

C’est en 2008 que le Dr Joseph S. Ross de l’école de médecine du Mont Sinaï de New York a découvert le rapport de la société Merck concocté par son service marketing. Sur base de ces documents, des poursuites ont été entamées contre cette société.

Il est important de comprendre que notre système médical actuel a été orchestré de manière machiavélique par les compagnies pharmaceutiques. Elles nous font croire à une haute sécurité scientifique alorsque l’ensemble du processus repose sur du mensonge et de la manipulation. Cela leur permet de nous endormir et de nous vendre des médicaments coûteux et potentiellement toxiques sans que l’on y prenne garde.

Le monde des médicaments en France : dangers et dépendances

http://www.santenutrition.net/les-etudes-scientifiques-au-sujet-medicaments-remises-en-cause/

15 août 2015

L’Histoire de la Vitamine B17 (Laetrile)

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Dans les années 1940, le Dr. Ernst T. Krebs, Sr. et son fils (le Dr E.T. Krebs, Jr.) ont publié un document intitulé « La Thèse Unitaire ou Trophoblaste du Cancer », dans le Medical Record, de New York. Dans les années qui ont suivi, l’équipe formée par le père et le fils firent des recherches sur les co-enzymes et sur la possibilité que le cancer pourrait résulter d’une carence en vitamines. Dans le début des années 1950, ils émirent l’hypothèse que le cancer est causé par l’absence d’un composé alimentaire essentiel, manquant dans l’alimentation moderne de l’homme, identifié comme faisant partie de la famille des nitrilosides, qui se trouve dans plus de 1200 plantes comestibles. Ils apprirent, l’existence du royaume des Hunzas, dans les montagnes Himalayennes situées au nord du Pakistan, et où il était dit que ce peuple vivait « sans cancer ».

Les Docteurs Krebs savaient qu’ils mangeaient de grandes quantités d’abricots, mais ils ne croyaient pas que le fruit contenait des substances pouvant lutter contre le cancer … jusqu’à ce qu’ils ont apprennent que les Hunzakuts mangent également les semences contenues dans les noyaux d’abricot, qui sont riches en nitrilosides ! Les nitrilosides sont particulièrement répandues dans les graines d’abricots, les pêches, les pommes, le millet, les fèves germées, le sarrasin, et aussi dans d’autres fruits et noix, y compris les amandes amères. Les Dr. Krebs ont pu extraire certains glycosides des plantes qui contenaient les nitrolosides, et finalement, ont effectué une demande de brevet pour le procédé de production du métabolite formé par ces glycosides, en vue d’une utilisation clinique. Il nomma ceci « Laetrile ».

Il a fallu plusieurs années, et la réalité des essais cliniques effectués à travers le monde, avant qu’un modèle ne soit proposé afin de rationaliser l’utilité de la Laetrile dans la prévention, ainsi que pour le traitement du cancer, après tout ce temps, le nom de « vitamine B17″ fut reçu. Les Hunzakuts consomment entre 100-200 fois plus de B17 dans leur alimentation, que l’Américain moyen, en raison principalement du fait de manger les graines d’abricots, et aussi beaucoup de millet. Fait intéressant, l’argent n’existe pas, au Hunza. La richesse d’un homme se mesure par le nombre d’abricotiers qu’il détient. Et la nourriture la plus convoitée est la semence contenue dans les noyaux d’abricot, l’une des plus importantes sources de B17 sur la Terre. Les équipes visiteuses de médecins ont trouvé les Hunzacuts exempts de cancer. L’une des premières équipes médicales chargée d’étudier les Hunza, était dirigée par le chirurgien britannique de renommée mondiale, le Dr. Robert McCarrison. Écrivant dans le Journal AMA, du 7 janvier 1922, il a indiqua : « Les Hunza n’ont pas d’incidence connue avec le cancer. Ils bénéficient d’une abondante récolte d’abricots. Ils les sèchent sous le soleil, et les utilisent en grande partie dans leur alimentation ».

Mais pourquoi n’avez-vous pas entendu parler de la vitamine B17 ? Cela semble si simple ! Eh bien, la vérité sur cette question, c’est que l’Industrie du Cancer a supprimé cette information et a même ordonné le fait qu’il soit illégal de vendre la B17. La Mafia Médicale a monté avec grand succès, des campagnes «effrayantes», basées sur le fait que la vitamine B17 contient des quantités «meurtrières» de cyanure. Ceci est manifestement faux. Des études montrent que la vitamine B17 est inoffensive pour les tissus sains.

Voici pourquoi : chaque molécule de B17 contient une unité de cyanure d’hydrogène, une unité de benzaldéhyde et deux unités de glucose (sucre) bien verrouillés ensemble. Pour que le cyanure d’hydrogène devienne dangereux, il faut d’abord nécessairement déverrouiller la molécule qui le libérera, une astuce qui ne peut être effectuée que par une enzyme appelée bêta-glucosidase, qui n’est présente partout dans le corps humain, qu’en quantités infimes, mais par contre, en grande quantité dans un seul endroit : les cellules cancéreuses.

Ainsi, le cyanure d’hydrogène n’est déverrouillé que sur le site où se trouve le cancer, et ce, avec des résultats radicaux, qui deviennent tout à fait dévastateurs pour les cellules cancéreuses, puisque l’unité de benzaldéhyde se déverrouille en même temps. Les cellules cancéreuses obtiennent un double coup, à la fois de cyanure et de benzaldeyhde ! Le benzaldéhyde est un poison mortel en lui-même, mais quand il fait équipe avec le cyanure, le résultat en fait un poison 100 fois plus mortel que lorsqu’il agit seul. Les cellules cancéreuses sont littéralement oblitérées !

Mais tout ceci n’est-il pas sans danger pour le reste des cellules du corps ? Un autre enzyme, le rhodanese, toujours présent en quantités beaucoup plus imortantes que l’enzyme de déverrouillage beta-glucosidase dans les tissus sains, a la capacité de dégrader entièrement, à la fois le cyanure, et le benzaldéhyde, en thiocyanate (une substance inoffensive), et en salicylate (qui est un tueur de douleur semblable à l’aspirine). Fait intéressant, les cellules cancéreuses malignes ne contiennent pas de rhodanese du tout, ce qui les laisse complètement à la merci des deux poisons mortels. Tout ce processus est connu sous le nom de toxicité sélective, puisque seules les cellules cancéreuses sont spécifiquement ciblées et détruites.

Les centaines d’études cliniques menées par de nombreux médecins compétents dans le monde entier, y compris celles qui sont dirigées par le Dr. Ernesto Contreras à l’Oasis of Hope Hospital au Mexique, nous donnent toute confiance, que le traitement avec la thérapie B17 ne présente aucun danger pour les cellules normales. Ce sont de mauvaises nouvelles pour l’Industrie du Cancer. Les graines d’abricots ne sont pas chères … vraiment pas chères … pas aussi coûteuses que leur dernier cocktail médicamenteux de chimiothérapie.

‘‘J’ôtais les pépins et jetais les pommes. Maman récupérait les pommes de la corbeille et cuisinait des tartes’’.
~ Jason Vale

Mon ami, Jason Vale, a écopé d’une condamnation à mort par ses médecins, dans le milieu des années 1990, lorsqu’on a découvert qu’il avait un cancer en phase « terminale ». Il a appris, grâce à des recherches approfondies, que les gens qui avaient un cancer, découvraient des propriétés curatives dans les pépins de pommes et les noyaux d’abricots, lesquels, comme je l’ai mentionné ci-dessus, contiennent de grandes quantités de vitamine B17.

Jason a immédiatement commencé à se sentir mieux, en mangeant des pépins de pommes et des noyaux d’abricots, dans le cadre de son régime alimentaire quotidien. Dans un court laps de temps, le cancer de Jason a littéralement disparu. Lorsque l’histoire « Extraordinaire » de Jason fut diffusée à la télévision nationale, dans le milieu des années 1990, cela à provoqué une audience si grande que le même reportage a été diffusé une deuxième fois, la semaine suivante.

L’enthousiasme des spectateurs fut si grand que Jason se retrouva inondé d’appels téléphoniques, provenant de personnes résidant dans tout le pays. Au cours des années suivantes, Jason a littéralement aidé des milliers de gens, à traiter avec succès leur cancer, en consommant des semences de noyaux d’abricot.

Jason fut victime d’une opération coup de poing de « Gestapo », décidée par la FDA, il a été condamné le 18 juin 2004, à soixante-trois mois de prison et trois ans de liberté surveillée, par un tribunal de district des États-Unis dans le District Est de New York. Son crime ? La vente de graines d’abricot sur son site web, et de dire aux gens la VERITE sur leurs propriétés curatives. Bienvenue au « pays de la liberté et dans la patrie des braves ».

Après avoir purgé près de quatre ans de prison, Jason a été libéré de la maison d’arrêt au début de 2008. Le site web de Jason est www.ApricotsfromGod.info.http://www.cancersortezdelaboite.com/l%E2%80%99histoire-de-la-vitamine-b17-laetrile/

5 décembre 2014

Un nutriment, la S-Adenosil Méthionine (SAMe),POUR EN FINIR AVEC LA DEPRESSION !

au bout du rouleau

Un nutriment, la S-Adenosil Méthionine (SAMe), est aussi efficace que les médicaments et permet d'obtenir des résultats deux fois plus rapidement et sans aucun effet secondaire


La dépression n'est pas un problème mineur : près d'une personne sur deux connaît un épisode dépressif à un moment ou à un autre de sa vie. La dépression nous dépouille de notre vitalité et de notre joie de vivre. Elle ruine les relations humaines, les mariages et les carrières.

Malgré des progrès certains, les derniers médicaments antidépresseurs, lancés à grand renfort de campagnes médiatiques, restent des drogues dures qui peuvent occasionner des effets secondaires parfois insupportables et qui mettent des semaines pour produire un effet.

Aujourd'hui, il existe enfin une alternative : un supplément nutritionnel qui est disponible sans ordonnance et qui permet, preuves à l'appui, de vaincre la dépression plus rapidement que les médicaments. Ce supplément a fait l'objet pendant 20 ans d'études cliniques portant sur plusieurs milliers de personnes dans des institutions prestigieuses aux Etats Unis et en Europe. Ce n'est ni une herbe ni une vitamine mais une substance produite naturellement par l'organisme. Restaurer des niveaux optimaux de ce nutriment essentiel peut avoir des effets remarquables. La SAMe a une efficacité supérieure ou égale à celle des meilleurs médicaments, démontrée par des études comparatives. Et, en moyenne, la SAMe commence à agir en sept jours seulement alors qu'il faut aux médicaments de deux à quatre semaines.

Le problème des effets secondaires

L'efficacité des médicaments contre la dépression s'est considérablement améliorée mais ils sont encore loin d'être des panacées. Il leur faut des semaines (parfois des mois) pour agir et, dans l'intervalle, l'état des patients empire souvent. De plus, ceux ci doivent supporter nombre d'effets secondaires déplaisants, comme la sécheresse de la bouche, les maux de tête, l'impossibilité de se concentrer, la constipation, les nausées et parfois la prise de poids et les dysfonctions sexuelles. Ces troubles conduisent souvent (dans 30% des cas au moins) les patients à interrompre leur traitement . Quant à ceux qui persistent, ils deviennent rapidement chimiquement dépendants de leur traitement : l'interruption brutale produit des symptômes de manque. L'arrêt du traitement doit donc être progressif et contrôlé. Les dépressions non dépistées

Ceux qui souffrent de dépression refusent souvent de l'admettre. Ils craignent que le fait de consulter pour dépression soit interprété comme un signe de faiblesse, une absence de caractère ou un défaut de personnalité. Un des principaux avantages de la SAMe est que celle ci peut s'obtenir facilement et sans consultation médicale : elle reste dans la sphère privée. Beaucoup de personnes qui auraient souffert en silence pourront ainsi trouver une solution à leur problème, et beaucoup plus rapidement qu'elles ne l'auraient espéré.

Attention : 90 % des dépressifs souffrent de dépression unipolaire : ils sont dépressifs en permanence ou presque. Les 10 % restant souffrent de dépression bipolaire (ou manie dépressive), dans laquelle des périodes d'intense excitation succèdent à des moments d'extrême mélancolie : ceux-ci ne devraient utiliser la SAMe que sur les conseils d'un thérapeute.

Qu'est ce que la SAMe ?

La SAMe est normalement produite dans l'organisme à partir de l'acide aminé essentiel Méthionine, de la vitamine B12, de l'acide folique et de la molécule énergétique Adénosine Triphosphate (ATP). La SAMe n'est pas distribuée de manière équitable parmi les êtres humains : les taux sériques sont sept fois plus élevés chez les enfants que chez les adultes. Les hommes en fabriquent un peu plus que les femmes. Les personnes atteintes de troubles neurologiques et de dépression ont toujours des niveaux de SAMe significativement déprimés.

La SAMe et la Méthylation

Le rôle clé de la SAMe dans le processus de méthylation la rend absolument indispensable à la santé humaine. La méthylation, par laquelle une molécule transfère à une autre molécule un groupe méthyl (un atome de carbone et trois atomes d'hydrogène) est un processus crucial qui active plus d'une centaine de réactions biochimiques. L'activité de méthylation décline avec l'âge. Les spécialistes pensent maintenant que ce ralentissement contribue au processus de vieillissement lui même et au développement de plusieurs maladies. La SAMe intervient notamment dans :

      - La méthylation de l' acide désoxyribonucléique (ADN), qui est le véritable système d'exploitation de l'organisme et contribue à réguler des processus aussi essentiels que la croissance cellulaire, le système immunitaire et la reproduction. On pense maintenant que la sous-méthylation de l'ADN est une raisons pour lesquelles les cancers se développent, puisqu'elle handicape la capacité de l'organisme à réparer les cellules endommagées avant qu'elles ne deviennent cancéreuses.

 

      - La méthylation des protéines, qui est impliquée dans l'activation des récepteurs membranaires, sans lesquels les cellules ne peuvent communiquer les unes avec les autres. Or, il est démontré qu'une simple déficience du métabolisme protéique est suffisante pour déclencher une dépression.

 

    - La méthylation des phospholipides, qui constituent les membranes cellulaires elles mêmes : la SAMe permet de maintenir leur flexibilité et leur perméabilité, indispensables aux échanges cellulaires.

La SAMe et la trans-sulfuration

La trans-sulfuration est le processus par lequel l'organisme produit son principal anti-oxydant endogène : le Glutathion, à partir des acides aminés cystéine, acide glutamique et glycine. La SAMe intervient de manière critique dans cette réaction. Des niveaux élevés de Glutathion permettent de protéger le foie et de le détoxiquer, de protéger l'ADN, de renforcer le système immunitaire et de réduire les phénomènes inflammatoires.

La SAMe et la transamino-propytation

La SAMe est impliquée dans la production des polyamines (dite aminopropytation) spermidine et spermine. Un sous produit de cette aminopropytation, la Methylthioadenosine, joue un rôle essentiel dans le contrôle de la douleur et de l'inflammation.

La SAMe et l'homocystéine

L'homocystéine est un acide aminé toxique qui est un sous produit du processus de Méthylathion. L'accumulation d'homocystéine est un facteur majeur de risque cardio-vasculaire. On a aussi observé une corrélation entre niveaux élevés d'homocystéine et dépression. La SAMe aide à réduire l'homocystéine en activant une enzyme (la cystathione-beta-synthetase) qui la convertit en Glutathion !

La SAMe et la dépression : une recherche superbe !

La SAMe est l'une des substances naturelles les plus étudiées : elle a fait l'objet de milliers d'études, dont 39 études cliniques portant sur sa capacité à contrôler la dépression. Ces études ont porté sur près de 1.400 patients, pour la plupart sévèrement dépressifs, et qui, souvent, n'avaient pas obtenu de résultats avec des traitements conventionnels.

D'après ces études, la SAMe est capable d'accroître simultanément les concentrations cérébrales de plusieurs neurotransmetteurs : noradrénaline (un stimulant naturel), dopamine (qui crée le sentiment de bien être) et sérotonine (un calmant naturel). Un accroissement des niveaux de ces neuromédiateurs est généralement associé à des effets antidépresseurs. Une méta-analyse publiée dans Acta Scandinavia Neurologica en 1994 a compilé les études publiées entre 1973 et 1992 (11 études contre placebo, 14 études comparatives et 13 études ouvertes) : cette "étude des études" conclut : "L'efficacité de la SAMe pour traiter les syndromes dépressifs est supérieure à celle des placebo et comparable à celle des antidépresseurs tricycliques. Comme la SAMe est un composé naturel quasiment dénué d'effets secondaires, ses effets antidépresseurs en font un outil potentiellement important dans l'arsenal du psychopharmacologue moderne". Ces études et d'autres études ultérieures confirment que la SAMe tient son rang parmi les antidépresseurs les plus puissants mais qu'elle s'en distingue par la rapidité avec laquelle elle agit et par la manière remarquable dont elle est tolérée.

Comment prendre de la SAMe ?

Le bon dosage : La dose de départ de SAMe est de 400 mg par jour (200 mg sur un estomac vide avant le petit déjeuner et avant le déjeuner). Ce dosage produit généralement des effets en moins de 15 jours. Certaines personnes peuvent avoir besoin de prendre 800 mg par jour. Si après 15 jours supplémentaires ce dosage n'apporte pas d'améliorations suffisantes, il sera nécessaire de consulter un thérapeute averti. Il se peut qu'un dosage supérieur soit nécessaire ou qu'il faille combiner la SAMe avec un autre produit.

Est ce que la SAMe va marcher pour moi ?
Le produit magique, efficace à 100 %, n'existe pas. Les études montrent que la SAMe est efficace sur 70% de ceux qui la prennent. Ce résultat est égal ou supérieur à ceux des autres antidépresseurs. Mais la SAMe, elle, ne peut pas vous faire de mal! Et lorsqu'elle est prise en combinaison elle permet souvent de réduire le dosage et d'améliorer l'efficacité des autres traitements.

Combien de temps faut il en prendre ?
Il n'y a aucun risque à prendre de la SAMe pendant longtemps. Bien que la SAMe agisse rapidement, il est préférable de ne pas interrompre le traitement avant d'avoir obtenu une amélioration complète et durable. Si vous n'êtes pas complètement remis d'une dépression, vous encourez un risque accru de récidive. S'il s'agit de votre premier épisode dépressif, continuez à prendre de la SAMe pendant au moins trois mois après que votre état se soit amélioré d'au moins 50%. S'il s'agit de votre troisième dépression, vous êtes une personne particulièrement à risque et vous devriez prendre une dose de maintenance de SAMe d'une manière continue.

Y a t il un risque de surdosage ou d'accoutumance ?
Non ! la SAMe a été administrée à des dosages allant jusqu'à 3.600 mg par jour sans effet secondaire autre que de légers troubles intestinaux. Et contrairement aux médicaments la SAMe ne crée aucune accoutumance. Il n'existe aucun risque lors de l'arrêt de la supplémentation autre que celui, bien sûr, du retour prématuré à un état dépressif.

Y a t il des interactions dangereuses ?
Il n'est pas conseillé de boire de l'alcool lorsqu'on est déprimé car l'alcool a un effet dépresseur propre. Cependant il n'est pas dangereux d'en boire lorsque l'on prend de la SAMe. En fait, la SAMe a un effet extrêmement bénéfique sur la fonction hépatique et a été utilisée, en combinaison avec d'autres nutriments et médicaments, pour aider les alcooliques à rompre avec la dépendance. Aucune contre-indication n'existe lorsque la SAMe est prise conjointement avec des médicaments. Cependant, il est déconseillé, par précaution, de combiner la SAMe avec les médicaments de la classe des Inhibiteurs de la Monoamine Oxydase (IMAO).

Peut on combiner la SAMe et l'extrait de Millepertuis ?
Oui, pour ceux qui n'ont pas répondu de manière satisfaisante à une seule de ces deux substances. Et prenez aussi une bonne formulation multi-vitamines contenant des dosages significatifs de vitamine B12 et d'acide folique, du magnésium et des acides gras oméga3.

Pas d'effets secondaires, mais des avantages multiformes

La SAMe a un rôle biochimique tellement important que c'est certainement l'un des nutriments les plus versatiles et puissants que vous puissiez prendre :

      - Des études cliniques importantes ont montré l'efficacité de la SAMe dans le traitement de l'arthrose, de l'arthrite et des rhumatismes. L'American Journal of Medicine a publié un numéro spécial entièrement consacré à ce sujet (20 novembre 1987, vol 83, supp.5A) et conclut "La SAMe est efficace pour soulager la douleur et elle est remarquablement dénuée d'effets secondaires". Dans une étude allemande portant sur 20.621 patients, 70 % des médecins et 75 % des patients l'ont jugée "efficace" ou "très efficace". La SAMe (400 à 800 mg par jour) soulage la douleur aussi bien que les anti-inflammatoires non stéroïdiens et elle apporte également des avantages chondroprotecteurs significatifs dont ceux ci sont dénués.

 

      - La SAMe a été utilisée avec succès pour traiter des affections hépatiques graves comme les hépatites et la cirrhose. La SAMe permet au foie d'accroître la production du Glutathion qui est l'élément clef du processus de détoxification. Dans le traitement de l'hépatite C, la SAMe a permis d'accroître l'efficacité du traitement à l'Interféron et de limiter ses effets secondaires.

 

    - La SAMe a également été utilisée, seule ou comme adjuvant, dans le traitement de la fibromyalgie (cf Nutranews octobre 1999), des maladies neuro-dégénératives (Alzheimer et Parkinson) et de tous les troubles associés à la présence excessive d'homocystéine dans l'organisme.

Est ce qu'une seule substance peut réellement faire tout cela ?

Oui ! la SAMe est une substance naturelle qui est normalement présente dans l'organisme. Elle joue un rôle crucial dans trois circuits biochimiques essentiels : transméthylation, trans-sulfuration et transaminopropylation, ainsi que dans trente cinq réactions qui leur sont associées. C'est cette versatilité elle même qui explique les puissants effets antidépresseurs, analgésiques, anti-inflammatoires, détoxifiants et chondroprotecteurs de la SAMe.


Cet article est largement inspiré de l'ouvrage "Stop depression now" de Richard Brown, M.D. et Teodoro Bottiglieri, Ph.D. (G.P. Putnam's Sons, New York, 1999). Le Dr Brown est professeur associé de psychiatrie clinique à l'Université de Columbia. Le Dr Bottiglieri est directeur de la neuropharmacologie à l' Université Baylor. Il étudie la SAMe depuis plus de 30 ans. Leur ouvrage contient toutes les références des études citées dans cet article.http://www.nutranews.org/sujet.pl?id=1244

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