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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
2 novembre 2016

Le pouvoir des langages de lumière et la puissance des mots

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Le pouvoir des langages de lumière relève d'une science d'avant-garde très complexe, dont nous ne comprenons encore que peu de choses. Cette science se situe bien au-delà de la science limitée de la matière, au-delà même de la physique quantique . Elle en est une prolongation et prend appui sur la cybernétique, l'information et l'énergie. Elle nous apparait comme les prémisses d'une connaissance plus vaste qui s'ouvrira à nous, au fur et à mesure que nos dimensions supérieures seront redéployées.

A .Boudet

Au final, l'être humain a été doté d'un splendide schéma directeur divin mais ce schéma a été dévié de sa fonction initiale. Actuellement, des langages géométriques et sonores spécifiques sont à la disposition de l'humanité pour redonner vie aux schémas d'origine.
Toutefois, leur mise en œuvre demande notre participation active c'est pour cette raison que la priere est bienfaisante pour les hommes lorsque celle ci et pratiquée dans une langue sémitique  , qui s'ecrit de droite a gauche ,elle génére une énergie positive et puissante qui illumine tous nos centres énérgétiques  en les purifiants  ,et harmonise leur rotation dans le sens bénéfique , voyant l'importance du verbe dans les differentes cultures la première phrase de l’Évangile de Jean : « Dans le principe était la Parole, et la Parole était auprès de Dieu, et la Parole était Dieu » (Jean 1. 1.). « Dans le Principe », c’est-à-dire dans le Père, en Dieu l’Un — et non « au commencement » comme on peut le lire dans mainte traduction : la Parole n’a pas de « début » puisqu’elle EST avant le Temps, avant tout début de création, et qu’elle est, avec l’Esprit, co-éternelle au Père. D’autres traductions parle de Verbe. Notez aussi la relation monadique de Dieu et de sa parole. Ils sont faits UN et de la même réalité.

Sumer (environ IV° millénaire avant JC.) Les sumériens influencèrent d’autres peuples, en particulier les sémites. Nous trouvons dans un écrit sémite la phrase.: «.Le mot d’Enlil (dieu mésopotamien, maître de la terre ferme) s’élance et l’œil ne le voit pas.». Se rapportant encore au dieu Enlil, une inscription sémite énonce.: «.L’expression de ta bouche est un vent bienfaisant, le souffle de vie des terres.». Par ailleurs, le mot sumérien Mummu signifiait raison créatrice, ce qui crée toutes choses. Et encore.: «.Le mot qui en haut secoue les cieux — le mot qui est en bas fait trembler la terre.». La encore nous voyons la raison ou la pensée liée au mot prononcé désigner le pouvoir et la capacité créatrice.

Égypte. Memphis, capitale de l’ancien empire de 3200 à 2280, était le siège d’un puissant clergé qui servait Ptah dieu des artisans et créateur de l’univers. Ce clergé déclarait que Ptah était un être suprême. Il disait que toutes les choses prirent naissance dans la pensée de Ptah. Ce fut la première théorie théologique de l’histoire connue des hommes. En d’autres termes, ce fut alors que la croyance en la conscience universelle, comme cause en soi, prit naissance pour la première fois. Mais, les prêtres allèrent même plus loin.; ils déclarèrent qu’il avait fallu que Ptah prononce une parole pour matérialiser ses pensées — pour les amener à l’existence. L’un de ces anciens prêtres rapporte, dans un poème, comment Ptah matérialisa ses pensées à l’aide de mots prononcés. Il dit.: «.Ptah le grand, est la pensée et la langue des dieux… La pensée donne naissance à toute manifestation réussie… Ptah, de qui procède la puissance de la pensée et de la langue.».

Akkad (2325-2160 av. J.C.) et Babylone (2160 à 729). Les prêtres babyloniens disaient que le dieu Mardouk, le plus important des dieux du panthéon, était le créateur du monde et ils l’identifiaient également avec le mot Mummu.

Hébreux (XII° à 70 après JC). La comparaison de la théologie hébraïque avec les anciens écrits fait apparaître une grande similitude entre eux. Il y a un syncrétisme évident, autrement dit, emprunt et amalgame. Par exemple, un passage de l’un des anciens psaumes écrit après l’Exode ressemble à la théologie babylonienne. Il dit.: «.Par la parole de Yahvé, les cieux furent créés et par le souffle de sa bouche tous leurs habitants.».

La Kabbale hébraïque est une autre conception de la création de l’univers due à l’efficacité de la voix. Le Sepher Yezirah, le premier livre introductif de celle-ci, considéré comme le plus ancien, signifie littéralement « Livre de la Création ». Il remonte au VI° siècle, mais il provient de manière évidente d’une source beaucoup plus ancienne. Le mot Sepher est associé à un mot qui signifie émanation numérique et désigne le pouvoir qui émane du nombre. En bref, le livre expose que les attributs et la qualité de la divinité sont symbolisés par les nombres 1 à 10. Certains sont mâles et d’autres femelles. Le premier nombre, Un est considéré comme indivisible et incapable de multiplication. Mais l’on dit que le nombre Un possède son reflet grâce auquel il donne naissance au dyade ou nombre deux.

Le Zohar, ou « Livre des splendeurs » comprend plusieurs volumes dont le plus important est celui de la « Grande Assemblée ». Cette œuvre discute des propriétés mystiques de Dieu et de la manière dont elles se sont étendues pour donner naissance à l’univers physique et à l’homme. Il explique que ces propriétés créatrices divines sont inhérentes à la fois aux lettres et aux nombres, et qu’elles peuvent être utilisées par l’homme s’il connaît leur exacte combinaison.

Grecs. Les anciens Grecs de l’école de philosophie de Milet disaient : « La substance cosmique est raison, sagesse et harmonie ». Ceci correspond aux qualités attribuées à l’ancien mot babylonien Mummu. Les Stoïques disaient que Dieu est la loi opérant dans tout l’univers et ils appelaient cette loi le Logos. Ils disaient que le Logos est la pensée et l’intelligence exprimées en action. Le Logos est l’âme et la parole se manifestant dans la matière et dans le pneuma ou souffle. Nous notons la similitude de ceci avec les anciens enseignements égyptiens et leurs affirmations datant de 2000 ans au sujet du dieu Ptah.

Hermétisme. Plus qu’en aucun temps, semble-t-il, les mots, ces chevilles du langage, assument des devoirs importants. Ils permettent aux hommes d’embrasser la Connaissance, à une époque où la science trône au sommet de leurs préoccupations, car les mots sont chargés de refléter fidèlement la pensée de celui qui parle.

Or, on constate trop souvent, qu’ils assument dans le langage, de fausses identités, que la syntaxe ne suit pas le rythme de la pensée, que les événements auxquels ils s’appliquent leurs confèrent une signification différente de celle communément adoptée, bref, qu’ils s’anoblissent ou s’encanaillent à volonté.

Les mots, reflets du Verbe, véhiculent par leur sonorité, une dynamique de l’émission juste d’une vague sonore, évoque le mouvement des connaissances. Limpide et pure, la vibration des mots transmet comme un écho de ce qui se situe au-delà d’un sens qui varie dans le temps, écho auquel résonnent les neurones du cerveau.

La Cabale Phonétique, qui est une branche de la Cabale Hermétique ou Universelle (aucun rapport avec la Kabbale Hébraïque), est la science de cet écho. Elles attribuent aux mots des âmes, les voyelles, qui animent les consonnes, leurs corps. Le corps des mots change et se dégrade, l’âme continue à vibrer et capter son message, c’est comprendre que les mots, traduisant l’idée, enfantée par l’Esprit, respirent.

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L’occident a oublié l’impact que produit la vague sonore. Il a oublié que Dieu commanda au premier Adam de nommer les choses pour qu’elles existent, en leur imprimant une vibration spécifique. Il a oublié que les Anciens désignèrent celui qui déroule un discours comme un logothète, terme dérivé de Logos, la Loi. La Cabale Phonétique se base sur la vibration sonore des voyelles, écho d’un langage jadis universel, écho de la parole perdue dont les syllabes, à écouter la légende la légende, seraient enterrées dans les sept déserts du Monde. Il n’est pas absurde d’imaginer que les sept syllabes enfouies, symbolisent les sept vibrations fondamentales, et par extension, les sept notes de la gamme cosmique (macrocosme), dont les combinaisons rythmiques conduisent au déroulement du Verbe.

 

 

 

 

 

Islam : celui qui connaît les secrets de la langue humaine pénètre dans les secrets les plus profonds de la création surtout si sa méditation porte sur la parole la plus pure, la plus divine qui puisse s'écouter sur terre, à savoir le Coran. D'autre part, cela suggère que l'homme connaissant la structure intime de cette langue, ayant compris que chaque lettre est, à son plus haut degré, un ange, se trouve par le fait même investi d'un pouvoir vaste (Sh. M. : 14,63,75).

Mais le sens supérieur de l'arabe coranique, comme celui de la langue des anges, relève en fait d'un autre ordre, celui du nombre. Le nombre, nous le disions plus haut, est l'esprit de la lettre, celle-ci prenant la fonction du corps pour le nombre – corps subtil si elle est prononcée, corps physique si elle est écrite (Sh. M. :6, 78).

Les arabes de l’ère préislamique étaient conscients de la puissance magique de leur langue. Les poètes jouissaient, à cette époque, de la plus haute considération. Ils étaient, dit-on, la fleur de l'éloquence et leurs œuvres étaient récitées, psalmodiées avant d'être suspendues au mur de la Kaaba pour être soumises au jugement populaire.

Pourtant le Coran leur lança un défi qu’ils n’ont jamais pu relever


C'est aussi une langue remarquable par sa richesse lexicale, sa ductilité sémantique, l’originalité et la rigueur de sa logique grammaticale ; langue de profil sémitique dotée de puissances de démonstration autant que de puissances d’incantation qui en font selon la belle formule de J. Berque « la conscience oratoire de l’Orient ».

La parole est ainsi conçue comme une énergie vibratoire dans laquelle l’essence fondamentale de toutes choses existe. Par analogie, nous pouvons la comparer à un son simple qui pourrait inclure toutes les octaves et tonalités simultanément. Par conséquent, chaque son individuel que l’oreille pourrait entendre dépendrait, quant à son existence, de la cause originelle, du son simple unifié. De même que chaque couleur est une composante de la lumière blanche, de même toute la création est issue de la loi composée qu’embrasse la Parole. Par conséquent, une telle Parole à l’important apanage d’être la clef de l’univers.

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Pour calmer les theosophistes qui voudront y voir la divinité de l'homme dans un tel pouvoir au lieu de révéler simplement que un tel pouvoir nous a été donné par notre créateur non pour nous croire supérieur mais pour ne pas oublier son origine divine .

 

 

 comme une riviére dont le langage serait l'eau qui prendrait sa source dans le divin ,se priver de prononcer les mots purifiés des livres saints  , serait  comme suivre une riviére sans eau et avec le temps on  finirait  par croire que l'eau n'avait  jamais existé .......rJames

 

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Chaque mot est une goutte d'eau dans le desert de la foi .Rjames

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24 octobre 2016

Les Rayons cosmiques et leurs effets sur la vie

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La Voie lactée, notre galaxie, est formée de plusieurs bras spiraux.
Notre système solaire (le point blanc) les traverse successivement tous les 135
millions d’années, périodicité qu’on peut mettre en relation avec les fluctuations
de la biodiversité terrestre.

Pour prendre du recul, faisons un zoom arrière. D’après nos connaissances actuelles, notre galaxie, la Voie lactée, a plusieurs bras spiraux. Le Système solaire tourne en orbite au sein de la Galaxie, de la même manière que notre planète tourne autour du Soleil. Si nous mesurons une année sur Terre par le temps qu’elle met à accomplir une révolution, nous pourrions appeler « année galactique » le temps qu’il nous faut pour faire une révolution dans la galaxie. Au cours d’une année galactique, notre système solaire traverse chacun des bras spiraux de la voie lactée. Il a été calculé qu’il faut approximativement 135 millions d’années pour passer d’un bras spiral à l’autre !

Cela nous ramène aux rayons cosmiques. La densité de leur rayonnement n’est pas uniforme dans notre Galaxie. Chaque bras spiral est densément peuplé d’étoiles nouvellement formées et de supernovas en explosion. D’après nos connaissances, c’est principalement de ces supernovas que proviennent la plupart des rayonnements cosmiques. L’espace entre les bras spiraux est moins densément peuplé par ces supernovas. On peut donc s’attendre à ce que la traversée de ces bras spiraux et des espaces qui les séparent corresponde à des variations dans les rayonnements cosmiques rencontrant notre planète. Cela expliquerait le cycle de 143 millions d’années mis en évidence par l’étude du potassium radioactif dans les météorites retrouvés sur terre.

Une question se pose alors : est-ce que ce cycle pourrait également expliquer les deux longs cycles de la biodiversité sur notre planète ? Considérons l’autre cycle, plus court mais plus prononcé, de 62 millions d’années. Si l’on fait un nouveau zoom arrière, en regardant cette fois-ci notre galaxie de profil, on constate que notre Système solaire « surfe » au-dessus et en dessous du plan équatorial de la Voie lactée, pendant qu’il tourne autour de son centre.

 

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En regardant de profil le mouvement qu’il effectue par rapport à la Voie lactée, l’on constate que notre système solaire « surfe » d’abord au-dessus et puis en dessous du plan équatorial de la Voie lactée, pendant qu’il tourne autour de son centre.

Cette oscillation varie au fur et à mesure que l’on traverse les bras spiraux. En réalité, ces cycles se font sur des périodes d’environ 60 millions d’années ! Si l’on prend en compte la probabilité pour que la densité de rayonnement cosmique varie d’un plan à l’autre de la galaxie, cette oscillation et les variations qu’elle engendre en termes de flux de rayons cosmiques pourraient expliquer le cycle de 62 millions d’années.

Au-delà de la biodiversité, ce cycle correspond également à d’autres changements cycliques sur la Terre, dont une composante des mesures (réalisées par la société pétrolière Exxon) des fluctuations du niveau des mers : la quantité de terre ferme affectée par les variations de niveau des mers, qui se reflètent dans le taux d’isotopes Strontium 87/86. Cela met en évidence une relation entre le glissement des plaques tectoniques et les cycles astronomiques. L’étude des variations des dépôts de roche volcanique montre que l’activité volcanique suit ce cycle d’environ 60 millions d’années.

Un cycle d’environ 140 millions d’années de variations de la biodiversité correspond donc au mouvement de notre Système solaire à travers les bras spiraux de notre Galaxie, c’est-à-dire aux variations de flux de rayonnement cosmique ; tout cela étant mis en évidence par les données en isotopes et en températures sur la terre.

Ensuite, un cycle d’environ 60 millions d’années de variations de la biodiversité, correspondant au mouvement de notre Système solaire au-dessus et en dessous du plan de la Galaxie, en supposant que nous soyons davantage exposés aux rayonnements cosmiques d’un côté du disque galactique par rapport à l’autre. Ce cycle correspond également aux cycles géologiques d’activité volcanique et de variation du niveau des mers.

Cette corrélation manifeste entre les cycles galactiques et les degrés de biodiversité du vivant sur terre laisse supposer l’existence surprenante d’un lien entre les processus astrophysiques et ceux que nous pouvons observer au sein de notre biosphère : une résonance entre les cycles astronomiques et la vie sur Terre. Il est toutefois important de préciser que nous n’en connaissons pas encore les causes.

Toutefois, si l’on prend du recul en considérant le développement de notre cosmos sur de longues périodes (des centaines de millions d’années), il devient évident que ces « forces faibles » – comme les rayonnements cosmiques –, que la plupart des scientifiques négligent, se révèlent alors plus importantes et plus puissantes par rapport aux forces se présentant immédiatement à nos yeux. Comme nous venons de le montrer, il semblerait que ces rayonnements cosmiques soient liés aux puissants processus de l’évolution, non seulement des espèces vivantes considérées individuellement, mais également de la biosphère dans son ensemble.

La vie elle-même, lorsqu’on la considère sur une échelle de millions d’années, fait également partie de ces puissantes forces « faibles ». L’étude de l’interaction entre la vie et les rayonnements cosmiques, deux « forces faibles », pourrait nous ouvrir de nouvelles pistes de réponse. Bien que nous ne connaissions pas encore la cause exacte de l’augmentation de la biodiversité, laquelle permet à notre biosphère d’atteindre des ordres supérieurs d’organisation et d’accroître l’efficacité des processus vivants, nous savons que la vie est très sensible à différentes formes de radiations. Contrairement à la conception réductrice n’attribuant que des effets destructeurs à toute forme de rayonnement, des preuves irréfutables démontrent que certaines fréquences de rayonnement, à un certain degré d’exposition, sont indispensables aux processus vivants. Une fois de plus, ce sont bien ces « forces faibles » qui, jusqu’à maintenant, sont généralement restées « hors de l’écran radar » de la plupart des chercheurs.

Après avoir exploré l’impact des processus cosmiques sur la biosphère dans son ensemble,regardons maintenant comment ces forces faibles agissent sur les processus vivants dans le microcosme.

 Rayonnement cosmique et organismes vivants

Nombreux sont les exemples montrant que les êtres vivants réagissent aux radiations. Le plus évident est le processus de la photosynthèse par lequel les plantes convertissent la lumière du soleil en hydrocarbures, permettant le développement des processus métaboliques sur terre. Mais de nouveaux éclaircissements ont été apportés sur des formes de radiation plus faibles, certes, en quantité mais ayant indéniablement des effets qualitatifs sur la vie.

On observe chez la plupart des organismes vivants des cycles annuels, lunaires ou diurnes, apparemment causés par le Soleil et la Lune, à travers des comportements tels que le sommeil, l’alimentation et la reproduction, aussi bien pour les plantes que pour les animaux ou les hommes. Mais quels effets ont les radiations cosmiques à haute intensité énergétique ? Dans les années 1950, le biologiste Frank Brown étudia les cycles métaboliques des plantes et des animaux, et trouva des signes d’une influence possible de forces telles que les rayonnements cosmiques sur les rythmes biologiques journaliers des plantes et des animaux.

 

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Une étonnante corrélation avec des radiations cosmiques élémentaires a été mise en lumière par une étude réalisée sur les cycles métaboliques des huîtres du Connecticut, dont la coquille s’ouvre et se ferme au rythme des marées. Frank Brown et ses collaborateurs en ont prélevé quelques-unes, dans le port de New Haven, pour les emporter jusque dans une chambre noire pour photographie dans l’Illinois, où elles ont été mises dans des récipients contenant de l’eau de mer. Bien qu’étant gardées dans un environnement protégé de la lumière du jour, sans contact direct avec le soleil, ces huîtres ne tardèrent pas à répondre à leur nouvel environnement. Petit à petit, elles ont réadapté le rythme d’ouverture de leur coquille, passant en deux semaines du cycle des marées hautes de New Haven à celui de l’Illinois. Il apparut ainsi que ces animaux ne font pas que réagir aux marées, ou aux repères directs que constituent le Soleil et la Lune. Que peut-on donc en conclure concernant leurs cycles ?

 

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Par la suite, Brown réalisa d’autres expériences afin de pousser plus loin les recherches. Au cours de deux étés successifs, il fit pousser des pommes de terre dans un laboratoire, en régulant la lumière, la pression atmosphérique et la température ; il a pu étudier leur métabolisme, en mesurant le niveau de leur consommation d’oxygène. Toutefois, les variations métaboliques de la pomme de terre se sont avérées compliquées, que ce soit au cours de la journée, ou même d’un jour à l’autre. Perplexes, Brown et son équipe ne parvenaient pas à trouver des variations dans l’environnement du laboratoire permettant d’expliquer cela. C’est seulement en prenant en compte l’environnement extérieur qu’ils ont pu remarquer que la pression barométrique coïncidait avec les variations sporadiques du taux métabolique de la plante.

Suite à ces expérimentations, Brown a pu obtenir des données sur la quantité de rayonnement cosmique à laquelle la terre avait été exposée au cours de ces deux étés. Constatant une correspondance entre ces données et les variations du taux de métabolisme des pommes de terre, Brown émit l’hypothèse que les radiations cosmiques, dont le flux traverse les murs du laboratoire, pouvaient influer sur ces organismes.

 

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Les crabes uca (fiddler crab) agissent eux aussi en fonction du rayonnement cosmique, mais de façon inverse. Quand le rayonnement cosmique est moindre, leur activité augmente.

Si des formes de rayonnements invisibles peuvent réguler les cycles métaboliques d’un organisme, se pourrait-il qu’il en existe d’autres qui agissent sur les processus vivants ?

 

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Le scientifique russe Alexander Gurvitch (1874-1954) étudia l’influence du rayonnement sur la division cellulaire (mitose).

En 1923, le scientifique russe Alexander Gurvitch (1874-1954) remarqua que bien que les organismes vivants, au stade final de leur développement, soient très élaborés, la formation et la division des cellules composant l’organisme en pleine croissance semble se dérouler de manière aléatoire et désordonnée. Il choisit alors de faire un test sur l’oignon, dont la croissance se fait de manière symétrique, avec un taux de division cellulaire similaire de part et d’autre ; il voulait ainsi détecter la présence éventuelle d’une source invisible de radiation qui proviendrait de l’extrémité de la racine et régulerait la division des cellules.

Il disposa deux oignons de sorte que la racine de l’un soit pointée perpendiculairement sur celle de l’autre. Après avoir laissé à la mitose le temps de se développer, Gurvitch compara le taux de division cellulaire des deux racines. Dans la racine « visée », il observa une croissance cellulaire de 20% supérieure à celle de l’autre. Cela permit d’établir que la racine de l’oignon émettait une forme de radiation qui stimulait la division cellulaire de la racine de l’autre ; Gurvitch la qualifia de rayonnement mitogénétique. Mais des recherches plus poussées étaient nécessaires pour mieux cerner la nature de ces radiations. En plaçant une lame de verre entre les deux tiges, la division cellulaire revenait à des taux normaux, montrant que l’effet mitogène avait disparu. En remplaçant cette vitre par une lame de quartz, l’effet mitogène réapparaissait.

 

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Pour son expérience, Gurvitsch disposa deux oignons
perpendiculairement, les deux racines pointant l’une vers l’autre. Après un certain temps, il compara le taux de division cellulaire des deux racines et observa une croissance supérieure de 20 % dans la tige « visée » établissant qu’une forme de radiation était émise par la racine de l’oignon : un rayonnement mitogénétique.

Puisque les rayonnements mitogénétiques ne traversent pas le verre mais passent facilement à travers le quartz, Gurvitch en conclut que ces rayonnements sont émis dans le spectre ultraviolet qui, lui, n’est pas en mesure de traverser la lame de verre mais traverse le quartz.

Il ne s’agit que de quelques exemples dans un vaste domaine de recherches à défricher. Il est absolument nécessaire de pousser plus loin ces recherches, qui soulèvent des questions fondamentales à propos du rôle joué par les rayonnements dans les processus vivants. Gurvitch a démontré ainsi qu’une infime quantité d’énergie ultraviolette participe à la formation d’organismes vivants.

La puissance de ces forces apparemment faibles nous révèle l’existence d’une réalité invisible capable de rendre possible la vie sur Terre. Il y a encore beaucoup de choses que nous ignorons concernant l’influence des rayonnements sur la vie, notamment la nature exacte des rayonnements cosmiques, et ce qui fait que cela affecte le développement de la vie. Les virus réagissent également aux rayonnements : des expériences en laboratoire ont montré que leur activité dépendait directement de la présence de rayons ultraviolets.

Quel rôle jouent-ils dans le processus de l’évolution ? Inversement, quelle quantité de rayonnement cosmique est-elle nécessaire à l’existence des processus vivants ? Si ces cycles galactiques, et les variations de rayonnement cosmique qui y sont associées, font partie intégrante du développement de la vie et de la biosphère,alors notre compréhension de la vie dans l’univers pourrait en être complètement transformée.

Comment, en effet, ces cycles galactiques de variations du rayonnement cosmique pourraient-ils jouer un rôle fondamental dans le développement anti-entropique de la vie, sans arborer les mêmes caractéristiques anti-entropiques que la vie et la biosphère ? Comment les organismes s’accordent-ils à cette harmonie galactique, et qu’est-ce qui permet l’existence d’une telle relation ?

Tout ce que nous croyons savoir à propos des sources de rayonnement cosmique, comme la Nébuleuse du Crabe, les pulsars et les supernovas, n’est que pure spéculation, extrapolée à partir de l’expérience acquise sur Terre. Mais la création constante de nouvelles sources de rayonnement cosmique nous donne un sens de la nature créative de l’univers, et même de l’univers apparemment abiotique : il s’agit d’un processus en mouvement et allant dans une direction particulière, plutôt qu’un simple processus cyclique, et qui présente une qualité de développement semblable à la biosphère et à la noosphère.

Comprendre de quelle manière ils entrent en résonance avec la vie sur Terre nous permettra de mieux comprendre leurs caractéristiques créatives.

Un des aspects fondamentaux des études sera l’extension du tableau périodique, de manière à ce qu’il reflète les relations fondamentales entre les rayonnements, la matière et les processus vivants. En étendant notre compréhension de l’influence des phénomènes énergétiques sur la matière vivante, nous allons révolutionner des domaines comme celui de la technologie médicale appliquée sur terre.

Vue d’en haut, la biosphère de notre planète peut être considérée comme une région de transformation. Le pouvoir de la matière vivante se situe dans sa capacité à exploiter des forces telles que les rayonnements cosmiques ou autres, contribuant ainsi au processus de développement continu, vers des ordres d’évolution supérieurs. Cela se caractérise par un accroissement en termes d’organisation et de niveaux de flux de densité d’énergie.

Si l’action de la vie participe naturellement à la création, qu’en est-il de la contribution de l’humanité ? Comment l’activité humaine a-t-elle contribué à faire évoluer plus rapidement et plus efficacement l’organisation de l’univers, en faisant appel à sa propre créativité consciente ? Qu’attendons-nous pour nous consacrer davantage à cette mission créatrice ?

 II. En défense de la chlorophylle,
cellules photovoltaïques contre cellules végétales

Par Oyang Teng et Sky Shields, de l’équipe scientifique du LaRouche PAC

L’adoption du grand projet d’aménagement des cours d’eau NAWAPA (North American Water And Power Alliance) inaugurera une ère nouvelle de développement continental qui révolutionnera l’idée même d’infrastructure, pour en faire l’aménagement conscient de la biosphère par l’homme. Ainsi, Vladimir Vernadski écrivait en 1945 : « L’humanité, prise dans son ensemble, est en train de devenir une force géologique majeure. Ceci pose le problème de la reconstruction de la biosphère dans les intérêts d’une humanité librement pensante, considérée comme un tout unique. Ce nouvel état de la biosphère, que nous approchons sans nous en rendre compte, c’est la noösphère. » [1]

Qui oserait nier que les intérêts vitaux d’une « humanité librement pensante » impliquent la présence de nourriture et d’eau potable en abondance, ainsi que de grandes étendues de verdure créant les conditions d’un climat tempéré, d’une planète plus accueillante et d’une vie plus agréable – en particulier dans les zones désertiques d’où la biosphère s’est plus ou moins retirée ? A l’opposé des projets de panneaux solaires à grande échelle, ce programme serait véritablement écologique, générateur d’emplois « verts », combinant la puissance du Soleil et le travail humain, pour reverdir les espaces qui en ont besoin.

 Qu’est, réellement, la puissance du Soleil ?

Les peuples anciens (et les nouveaux païens de notre époque) vénéraient le Soleil pour des raisons évidentes : il assure toute vie sur Terre. Aujourd’hui, grâce à des télescopes spatiaux de plus en plus sophistiqués, nous le connaissons mieux. Cependant, nous commençons à peine à comprendre sa structure complexe et les processus de fusion qui l’animent. Un flot de radiations électromagnétiques en émane et inonde à tout moment la Terre et l’ensemble du Système solaire. Une grande partie de ces radiations se situe dans les ultraviolets et les infrarouges invisibles, mais également dans le spectre de la lumière visible.

Au fil du temps, la vie sur Terre a su utiliser ingénieusement toute cette gamme de fréquences. Notre propre capacité de vision en est l’illustration la plus évidente. Cependant, les papillons de nuit et d’autres insectes ont un « flair » pour la communication et les déplacements, ce qui implique la détection de diverses bandes étroites de fréquences dans l’infrarouge, émises par des molécules odorantes en suspension dans l’atmosphère. D’autre part, beaucoup d’insectes et animaux de toutes sortes ont des yeux capables de voir dans l’ultraviolet. Mais l’usage le plus important des radiations solaires par des organismes vivants, c’est la photosynthèse ! Autrement dit, la conversion directe de la lumière visible en énergie utilisable par la vie végétale et animale, et en oxygène pour la respiration. [2]

Nous pouvons remercier la photosynthèse et la très humble molécule de chlorophylle qui rend tout cela possible. En outre, si la Terre n’est ni une boule de glace, ni une terrible serre comme Vénus, mais plutôt un espace dense de transmission et de transformation des radiations cosmiques et solaires, en particulier en surface, c’est grâce à l’action des organismes vivants. Il y a au moins 2,5 milliards d’années, les organismes photosynthétiques commencèrent à produire de l’oxygène dans l’atmosphère, et réalisèrent ainsi la couche d’ozone qui nous protège, ainsi que la stabilisation de l’hydrosphère. Ceci permit à l’eau de circuler au niveau planétaire, sous ses formes liquide, gazeuse et solide, façonnant pour une large part le climat terrestre, mais aussi la composition chimique et l’activité tectonique de la croûte terrestre.

Pour effectuer tout ce travail, seule une part infime des radiations émises par le Soleil atteint réellement la Terre, et seule une petite portion de cette quantité est effectivement utilisée par les organismes photosynthétiques. En effet, dans les couches supérieures de l’atmosphère, l’énergie moyenne provenant du Soleil est d’environ 340 watts par mètre carré. A peu près un quart est immédiatement réfléchi et retourne dans l’espace. Un autre quart est absorbé par l’atmosphère. Cela laisse approximativement la moitié de cette énergie atteindre la surface de la Terre, où un mètre carré reçoit en moyenne 170 watts. Là où un rayon de Soleil incident relativement faible rencontre une plante verte, il travaille à produire un grand effet, participant au cycle énergétique de l’ensemble de la planète.

Mais là où la lumière du Soleil rencontre un désert aride, elle est gaspillée, pratiquement inutilisée par la vie.

En réalité, les déserts sont des échecs, soit de la nature, soit de l’homme. Alors que la désertification progresse dans certaines régions du globe, le NAWAPA et d’autres projets similaires rendront triviaux de tels problèmes. Il est déjà prouvé qu’une augmentation de la biomasse (qui, au passage, profiterait de hausses marginales en CO2 atmosphérique) grâce à des programmes d’irrigation et de plantation d’arbres bien planifiés, améliorerait les conditions climatiques locales, augmenterait et rajeunirait les sols. A ce sujet, des scientifiques russes ont proposé une théorie qu’ils ont baptisée « Pompe biotique », selon laquelle les forêts côtières, via une évapotranspiration intense, attirent l’air riche en humidité des océans et alimentent les cycles de précipitation et d’évapotranspiration à l’intérieur des continents. [3]

Ainsi, la planification de nouvelles forêts donnera un sens nouveau à ce vieil adage des pionniers, « la pluie suit la charrue », et les déserts de tous les continents se couvriront de fleurs.

L’idée de libérer le plein potentiel de la biosphère, grâce à la transformation des déserts en forêts fertiles et en terres agricoles, est une mission donnée à l’homme en tant que gardien et ingénieur de la Terre, et constitue sans doute le « passage au vert » le plus ambitieux de l’histoire. A l’opposé, ceux qui préconisent le maintien de la désertification « naturelle » de ces paysages, avec des projets destructeurs consistant à y installer des panneaux solaires, semblent plutôt « virer au brun ».

 Photosynthèse et Biosphère

Afin de mieux comprendre le danger que représentent les panneaux solaires, examinons de façon plus précise le rôle de la photosynthèse dans les processus de l’ensemble de la biosphère (Figure1).

 

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Fig 1. Le cycle de la photosynthèse.

Tout d’abord, les rayons solaires chauffent l’atmosphère, la surface de la terre et les océans. Les courants thermohalins (courants dans les profondeurs des océans, dus à des différences de température et de densité en sels [Ndt]), qui dépendent des températures et des salinités relatives des eaux océaniques, modèrent les températures atmosphériques en circulant autour du globe. L’évaporation à partir des océans produit de la vapeur d’eau atmosphérique et des nuages. Les plantes contribuent aussi à l’humidité et à la formation des nuages au-dessus des terres. En effet, les grandes surfaces de végétation, optimisées pour une captation maximale des rayons solaires, favorisent une évaporation significative des eaux de précipitation captées par les plantes, tandis que la transpiration libère de l’eau, que les racines tirent d’un sol gardé humide grâce à la couverture végétale. L’évapotranspiration permet également de refroidir les régions arides par un refroidissement dû à l’évaporation directe.

Les scientifiques commencent seulement à comprendre la contribution de la végétation terrestre au cycle global de l’eau, notamment au niveau des processus de recyclage de l’humidité au-dessus des terres, qui semblent bien plus importants que ce que l’on croyait initialement. Ainsi, on estime que dans les régions fortement boisées comme la forêt amazonienne, l’eau issue des océans peut être recyclée jusqu’à six fois, via l’évaporation et les précipitations. Ce processus est régi par la photosynthèse et lui est nécessaire.

En plus des précipitations, les nuages jouent un rôle important pour réguler les températures et diriger la « machine thermique » du climat. Tout d’abord, ils réfléchissent les rayons solaires ; plus il y a de nuages, plus les températures sont basses. Cependant, ils rayonnent aussi de la chaleur dans l’atmosphère de différentes manières : par réflexion de la chaleur de la surface terrestre, par absorption et ré-émission (les nuits nuageuses sont plus chaudes), et par la chaleur latente de la condensation (lorsqu’il pleut, l’eau passe de l’état gazeux à l’état liquide en restituant l’énergie qu’elle avait reçue précédemment pour s’évaporer).

En fait, l’étude du rôle de l’eau dans l’atmosphère est un domaine qui montre à quel point nous ne comprenons que très peu combien la biosphère est un milieu structuré et organisé sur tous les plans, par l’activité des organismes vivants. Tout comme le protoplasme d’une cellule (contenu de la cellule vivante, essentiellement composé d’eau [Ndt]) possède une organisation bien définie au delà du simple rôle de solvant qu’on lui attribue généralement, l’atmosphère présente des propriétés structurales propres à l’eau. Considérons, par exemple, le cas étrange des nuages noctulescents (nuages brillants visibles à la fin du crépuscule, [Ndt]) qui se forment à la limite de l’atmosphère, dans ses couches les plus élevées. Dans ces hauteurs, l’air extrêmement froid a beau être cent millions de fois plus sec que celui du Sahara, des nuages de cristaux de glace peuvent pourtant s’y former.

Lorsqu’on examine le flux total d’énergie solaire dans la biosphère, il est important de souligner que l’efficacité de la photosynthèse ne peut pas être mesurée strictement en utilisant les mêmes termes thermodynamiques que pour les systèmes abiotiques. Pratiquement aucune part de la chaleur impliquée dans ces processus ne peut être qualifiée de « perte par dissipation thermique », mais elle fournit, au contraire, les conditions de fonctionnement nécessaires pour la photosynthèse, et de ce fait, pour presque toute vie sur la planète. Si les plantes absorbaient 100% des radiations solaires et ne réfléchissaient rien sous forme de chaleur, la Terre gèlerait, ce qui ne serait pas vraiment propice à la photosynthèse.

En dehors des effets climatologiques, les produits de base générés par la photosynthèse sont les hydrates de carbone et l’oxygène. Les hydrates de carbone, qui constituent la structure des plantes et des animaux, sont à la base de toute la chaîne alimentaire. Cela signifie que la photosynthèse prend la lumière du Soleil et l’imbrique littéralement dans la structure de la biosphère. L’oxygène alimente la respiration des plantes et des animaux, fournissant en retour le dioxyde de carbone nécessaire à la photosynthèse. L’oxygène alimente également la production d’ozone, qui aide à filtrer, dans la haute atmosphère, les formes les plus dangereuses de radiations ultraviolettes.

Bien que simplifiée, notre figure suffit pour montrer combien la photosynthèse est centrale dans la régulation de la biosphère. Modéliser ces relations pour prévoir les changements futurs dans le système, et en particulier ceux que nous désirons induire volontairement, nécessitera une approche « systémique » allant bien au-delà des méthodes utilisées aujourd’hui pour construire les modèles climatiques. Nous avons représenté ici les caractéristiques de base des cycles de l’eau, du dioxyde de carbone et de l’oxygène, qui intersectent tout le processus de photosynthèse. Ces cycles ne représentent qu’une partie de la migration biogénique des atomes dans la biosphère, identifiée par Vernadski comme l’expression primaire d’une énergie biogéochimique, une grandeur qui n’a fait que croître au cours de l’histoire géologique de notre planète.

Tel est le potentiel que l’on peut libérer en reverdissant les déserts.

Ayant cela en tête, remplaçons dans notre schéma les apports de la chlorophylle par ceux des panneaux solaires, et voyons comment s’effondre notre fonction biosphérique (Figure2).

 

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Fig. 2. Le cycle de la photosynthèse perturbé par les panneaux solaires.

 Pourquoi les plantes vertes détestent les « cellules solaires »

Les panneaux solaires photovoltaïques absorbent en général 20% de la lumière solaire incidente pour la convertir en électricité. Ils ne contribuent en rien à recycler l’humidité et ne tirent aucun bénéfice des précipitations. En réalité, c’est en l’absence totale de nuages qu’ils sont le plus efficace.

Alors que la migration biogénique des atomes est accélérée par les divers cycles biogéochimiques rencontrés au cours de la photosynthèse, la présence de panneaux solaires perturbe ce processus. Pire, contrairement aux plantes, les panneaux solaires produisent de la chaleur durant leurs opérations, mais n’en consomment pas. En effet, la plus grande partie de la lumière solaire qui atteint une cellule solaire est soit reflétée, soit absorbée en tant que chaleur, sans induire un courant électrique. Cette chaleur, ainsi que celle produite par le courant électrique à travers les fils conducteurs, constitue une perte d’énergie. En fait, les panneaux solaires fonctionnent mieux à des températures glaciales comme celles que l’on trouve dans l’espace.

La poussière pose par ailleurs un autre problème : on estime que moins d’une cuillère à soupe de poussière par mètre carré peut réduire de 40% l’efficacité d’un panneau solaire normal, ce qui correspond à peu près à la quantité qui se dépose en une semaine, dans le désert. La poussière, qui est l’une des principales exportations sur Terre, provenant principalement de déserts comme le Sahara, représente une menace écologique majeure et un risque sérieux pour la santé humaine, puisqu’elle peut véhiculer, entre autres, des maladies infectieuses en traversant les océans.

De plus, les panneaux solaires eux-mêmes sont une menace directe à la survie des organismes vivants. En effet, certaines espèces d’insectes aquatiques, qui déposent leurs œufs dans l’eau, sont attirées par la lumière polarisée que les panneaux réfléchissent, qu’ils confondent avec celle réfléchie par l’eau. Ces mirages condamnent non seulement les œufs, qui cuisent sur les panneaux, mais aussi les insectes qui, enchantés par les chatoiements de ces oasis fallacieux, volent autour d’eux jusqu’à mourir d’épuisement. Des espèces entières d’insectes pourraient disparaître à cause de telles installations « respectueuses de l’environnement ».

Le meilleur emplacement pour un panneau solaire semble donc être une étendue de désert stérile (si possible pavée pour éliminer la poussière), sans nuages ni plantes susceptibles d’apporter une ombre indésirable, ni insectes ou tout autre forme de vie qui puisse être menacée par le processus ou interférer avec lui – en tout cas, pendant les jours ensoleillés.

 Les panneaux solaires et la mort

Considéré du point de vue de la Terre en tant que système, l’usage de l’énergie solaire par des cellules photovoltaïques représente une augmentation globale de chaleur et d’électrons en mouvement, ou une augmentation quantitative de chaleur et de mouvement. Comparons ce phénomène à celui de la photosynthèse par lequel l’énergie solaire est utilisée par les plantes pour analyser l’eau, fixer le dioxyde de carbone, produire de l’oxygène et des hydrates de carbone. Dans ce cas, l’énergie solaire est convertie dans la structure d’organismes vivants sur la planète. Ajoutons que les plantes produisent l’oxygène et modèrent les effets climatologiques, et l’on pourra voir que l’énergie solaire sert également à constituer des organismes supérieurs et à créer les conditions de leur survie.

L’expression de cette transformation n’est plus pour notre Terre une simple augmentation quantitative, mais un changement dans l’ensemble de la géométrie du processus. C’est d’autant plus vrai si l’on reconnaît que les structures produites par la vie végétale n’ont pas seulement permis la survie des organismes vivants, mais également leur évolution vers des stades d’organisation plus élevés. Ainsi, ce ne sont pas de simples cycles d’énergie en soi que la biosphère a engendrés, mais bel et bien l’augmentation de la densité de flux d’énergie – une organisation et un débit d’énergie plus grands sur l’ensemble de la planète.

Ces aspects qualitatifs se reflètent, à un certain degré, dans quelques considérations quantitatives simples.

Par exemple, au cours de la photosynthèse, une molécule d’oxygène (O2) est libérée en cassant deux molécules d’eau. Ce processus implique le transfert d’électrons à travers la totalité de l’appareil de photosynthèse. En effet, chaque liaison H-O nécessite 4,22électronsvolts (eV) pour se former ou se casser. Cependant, la plus petite longueur d’onde visible ne présente que 3,1eV par photon, et cette énergie va en diminuant à mesure que la longueur d’onde augmente. Ainsi, la seule lumière qui puisse casser la liaison H-O de l’eau est l’ultraviolet ou d’autres longueurs d’onde plus petites. Cependant, la plus petite longueur d’onde d’activation qu’on trouve dans la chlorophylle est d’environ 435nm, soit dans le violet profond, et non pas dans l’ultraviolet. Certains types de chlorophylle opèrent jusque dans l’infrarouge (comme la « chlorophyllef » découverte récemment). Ainsi, l’apparition de la chlorophylle et de son appareil photosynthétique représente un bond dans la densité de flux énergétique délivrée sur Terre sous forme de rayons lumineux.

Ce qui est particulièrement significatif, c’est la distinction absolue entre les processus de transfert d’électrons impliqués dans le fonctionnement d’un panneau solaire et ceux impliqués dans une réaction de photosynthèse, bien que ces processus puissent sembler analogues à première vue.

 

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Implanter des panneaux solaires dans le désert, comme le prévoit le projet
Desertec, est une très mauvaise idée pour l’homme et surtout… pour la nature !

Les panneaux solaires opèrent sur la base d’un effet photoélectrique, dans lequel la lumière du Soleil excite les électrons dans un matériau semi-conducteur comme le silicium, afin de les amener à un niveau d’énergie supérieur, produisant un mouvement d’électrons libres qui passent finalement dans un circuit externe pour produire un flux continu d’électricité.

Dans les plantes, un photon incident de la lumière du soleil excite un électron dans la molécule de chlorophylle, l’amenant à un niveau d’énergie supérieur. Avant qu’il ne retourne à son état fondamental, « la vie se place elle-même entre ces deux processus et fait redescendre l’électron dans sa propre machinerie, en utilisant son énergie… Pour y parvenir efficacement, elle doit associer l’électron à une substance spécialement constituée (principalement la chlorophylle), et coupler cette substance à un système qui convertit l’énergie de l’excitation électronique, très instable, en un potentiel chimique plus stable : l’énergie chimique. » [4]

En réalité, on ne sait toujours pas très bien ce qui se passe dans l’appareil photosynthétique, entre l’entrée de la lumière et la production d’hydrates de carbone et d’eau, bien que de nombreuses étapes intermédiaires aient été énumérées depuis plusieurs décennies d’expérimentation. Le processus du transport d’électron au cours de la photosynthèse met en défaut toute description simple, par étapes, du mouvement de la particule. On est ici en présence d’une opération dont l’efficacité est pratiquement de 100%, ce qui n’arrive jamais dans le domaine abiotique, à part sous des conditions extrêmes comme la supraconductivité atteinte à des températures proches du zéro absolu. Dans de tels phénomènes, la notion de « particules » discrètes individuelles ne signifie plus rien.

 

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L’homme commence à peine à comprendre la structure complexe du
Soleil et les processus de fusion qui l’animent. Un flot de radiations
électromagnétiques en émane et inonde en permanence la Terre et
l’ensemble du Système solaire.

Nous voyons l’importance de distinguer les différences fondamentales entre les domaines du vivant, du non-vivant et du cognitif. La puissance de transformation contenue dans les matières organiques hautement développées produites par la photosynthèse, repose sur sa fonction irremplaçable qui est de soutenir directement la vie, y compris la vie humaine. [5]

Grâce aux processus industriels dont la société humaine dépend, nous utilisons les processus abiotiques des domaines atomiques et subatomiques, capables de produire un travail sous forme de chaleur ou d’électricité, et dont les densités énergétiques sont des millions de fois plus grandes que celle des rayons solaires incidents. En effet, l’énergie solaire contenue dans les molécules organiques liées aux carburants fossiles a atteint les limites de son utilité en tant que source d’énergie pour l’humanité. Aujourd’hui, un tournant vers des sources d’énergie à plus haute densité de flux est nécessaire, comme la fission nucléaire et la fusion thermonucléaire, ce qui constituera la plateforme technologique d’une humanité destinée à voyager dans l’espace (car il serait assurément honteux de laisser à l’abandon tout cet hélium-3 que le Soleil a généreusement déposé sur la Lune depuis des milliards d’années, alors qu’il est le carburant idéal de la fusion).

 Des emplois verts pour la chlorophylle

Pour tous ceux qui, après cela, voudraient encore du photovoltaïque, nous lançons un appel aux consciences, au nom des pompiers du monde entier, compte tenu des menaces, récemment mises en évidence, que représentent les incendies impliquant des panneaux solaires. A ce danger, s’ajoutent les coûts de production d’énergie solaire absurdes comparés à leur rendement [6], et il devient clair que les panneaux solaires sont non seulement une menace écologique, mais aussi un danger sociétal considérable.

Dans notre souci d’utiliser toute la lumière du Soleil, « gratuitement » dispensée à la Terre, souvenons-nous de ne pas négliger la quantité infiniment plus grande inutilisée dans tout le Système solaire. Mettre ces radiations au travail signifie que nous devons étendre l’activité de la vie dans tout le Système solaire. Des serres en orbite terrestre pourront être un bon début sur le chemin de la colonisation de la Lune et de Mars – une mission qui commencera par la terra-formation de notre propre planète, grâce au NAWAPA. Pour son accomplissement, nous emploierons des millions de personnes, notamment des scientifiques qualifiés, des ingénieurs, des spécialistes de la construction, dont les connaissances seront cruciales pour diriger cette mobilisation économico-physique sans précédent dans l’histoire. Nous emploierons également le pouvoir de travail productif de cette humble et petite molécule de chlorophylle à une échelle largement étendue. N’est-ce pas cela, après tout, une véritable politique verte ?

Peter Martinson et Michelle Lerner ont contribué à ce document.


[1Vladimir Vernadski, “Some Words About the Noösphere”, 21st Century Science Technology, Spring 2005.

[2Quelques bactéries photosynthétiques qui ne produisent pas d’oxygène utilisent la lumière infrarouge. Une nouvelle étude a également prouvé l’existence d’une nouvelle forme de chlorophylle provenant d’une bactérie qui produit de l’oxygène (chlorophyllef) et utilise les rayons proches de l’infrarouge.

[3A.M Makarieva and V.G. Gorshkov, “Biotic pump of atmospheric moisture as driver of the hydrological cycle on land,” Hydrol. Earth Syst. Sci., 11, 1013-1033, 2007

[4Citation d’un chercheur pionnier à propos de la photosynthèse : Albert Szent-Györgyi, Introduction to a Submolecular Biology,1960.

[5Il n’est pas dit que l’homme ne puisse pas améliorer la photosynthèse. Cela devrait figurer parmi les objectifs de tout effort de colonisation de l’espace proprement pensé, tel que par exemple, Lyndon Larouche l’a décrit dans cet extrait de Il n’y a pas de Limites à la Croissance, publié en 1980,dans le chapitre intitulé « Les forêts et les villes de Mars » : Avec des sources d’énergie relativement abondantes et des technologies fortement améliorées pour les utiliser, l’une des caractéristiques de la nature les plus agaçantes pour les scientifiques et les administrateurs, sera la faible performance des processus biologiques à rendre disponibles de plus grands flux de densité d’énergie. A ce sujet, nous ne pouvons pas blâmer la faiblesse des performances des espèces végétales sur Terre. En effet, la vie végétale terrestre a dû s’adapter à la mauvaise qualité de la puissance solaire. Compte tenu du fait que la vie végétale « inventa » la chlorophylle, nous devons remercier les végétaux d’avoir fait le mieux possible pour gérer la production de notre biosphère, malgré le traitement peu généreux dont les a gratifiés le Soleil. Maintenant que nous avons rendu disponible des niveaux d’énergie supérieurs pour les plantes amies, à peu près sous toutes les formes d’alimentation énergétique utiles pour elles et ce qu’elles peuvent désirer, nous devons leur communiquer d’une façon ou d’une autre cette bonne nouvelle. En résumé, nous devons accélérer le taux de reproduction de la biomasse utile, à l’instar des chimistes de l’alimentaire comme J. Liebig et L. Pasteur qui nous ont ouvert cette voie au cours du XIXe siècle ; désormais, à l’âge de la technologie de fusion par laser, nous devons avancer à pas de géant dans cette voie.

17 octobre 2016

Mystique et magie Le pouvoir des mots et La grammaire cosmique

puissance du verbe des mots divin

La fonction attribuée au verbe en magie islamique ne dérive pas de la simple idée que la parole véhicule une force, ou que la structure du langage correspond à celle de l'univers. Pour les ésotéristes musulmans, le monde sensible et le langage sont deux faces d'une même réalité. Les paroles prononcées ou écrites manifestent et accompagnent le déploiement en acte de la création. Les ouvrages d'al-Bûnî ou d'Ibn al-Hâjj Tilimsânî proposent des techniques où l'usage des noms et notamment des versets coraniques permet d'exercer une action sur des anges, des djinns ou des forces naturelles. Ces pratiques sont souvent assumées par des marabouts, soufis ou supposés tels ; mais chaque croyant peut y avoir accès et profiter des bienfaits du pouvoir secret de la parole sacrée.

Les mots contiennent une puissance que le créateur du verbe leur confère preuve que le verbe est d'essence divine
 
la preuve est que seul l'homme le vicaire terrestre a eut ce pouvoir sur les bêtes et sur les djinns ,c'est ici que la religion qui véhicule le verbe divin entre en ligne ,et déploie son utilité première en étudiant le bismillah des musulmans on comprend pourquoi il le prononcent dans chaque action, en mangeant en pratiquant leur ablution ,lorsque vous prenez votre douche faite ce test : verset l’eau sur votre tête et dite bismilah et ensuite votre épaule droite et ensuite votre épaule gauche bismillah qui veut dire au nom de dieu ,vous sentirez une énergie purificatrice traverser vos centre énergétique et ensuite allez au travail léger et faite cela avant de vous coucher vous serez protégé lors de votre sommeille, si vous faites des cauchemars faite le test sincèrement alors vous ferez de beaux rêves ,c'est la preuve absolu que Dieu existe et que les mots contiennent sa puissance qui se révèlent ,a ceux qui y croient c'est aussi simple que çà pas la peine de chercher là ou il n'ya que du vent resté simple et logique, et avancé en validant chaque processus généré et opéré par vos soins . je suis parti du postulat que la magie noire n’existe et ne fonctionne que par des mots ou incantations personne ne peux faire de la magie sans déclencheur signe de mains ou mot alors pour le bien, j’ai été persuadé que c’était logiquement pareil , mais a l’inverse au lieu d’utiliser des livres saint en utilise des livres écrits sous la dictée d entités désincarnés et négatives. en finissant cet article je suis tombé sur cette citation
" ’Chaque ordre de la réalité qui ne commence pas par la Basmala (Au nom de Dieu, Le Clément, Le Miséricordieux)) n’a pas de postérité’, puisque la Basmala est la clé des secrets de chaque sourate du Coran. Elle est l’Imam (conducteur) du verbe divin. Celui qui n’a pas d’Imam n’a pas de station spirituelle ici-bas comme lors de l’appel  : ’Au jour où Nous appellerons le nom de leur imam toutes les séries d’humains...’ (Coran, Sourate XVII, verset 71).
je comprends mieux la puissance qui se degage de cette formule .......
 
Si la magie existe et elle existe alors le bien a forcement édicté a son tour la vérité dans des livres révélés .......
 
je perçois certaines énergie comme vibration énergie subtil ou aura et lorsque jai testé ce processus en dehors de la sensation d’énergie qui circulait et apaisante , j'ai vu une énergie blanche tout autour de mon corps l'aura purifiée
 
qui devenait bleu en mode de méditation ,c'est a cela que la religion nous amenes à nous purifier se borner a commenter les religions sur les plans matériels et avec des cas ou nous avons a faire aux choses les plus abjectes est malhonnête et injuste .
 
On ne peut prétendre que le bien n’est pas dans l'homme ,quand  on parle que de violeur ou d'assassin ; ce serait aussi idiot , fort heureusement il ya de bonnes personnes sur terre , comme il yen a des méchantes et des perverses ...mais cela et le fruit de leur choix ,et de leur manque de cœur et d’éveil ,ils ne fonctionnent qu'avec les instincts les plus bas et déconnectés de la véritable énergie divine qui est le bien Absolu dans l'Amour ,le Respect et le Partage avec les autres ..rjames

 

 De nombreuses formes de pensée magique de par le monde accordent au verbe, proféré ou écrit, une part essentielle dans la symbolique et dans le déroulement du rite. Il arrive très fréquemment que ce verbe ait déjà, dans la cosmogonie, une fonction instauratrice : c'est par la parole que le Dieu origine de l'univers produit à l'existence les choses et les individus, qu'il les ordonne et les dirige. Par cette imitation sacrée qui fonde souvent la pratique culturelle et/ou la magie, l'homme de connaissance et de pouvoir peut à son tour manier cette parole instauratrice, dont la fonction n'est pas uniquement de fournir une information comme le fait le discours usuel, mais d'exercer une action sur le déroulent des processus vitaux.

2Ces considérations renvoient un écho tout particulier en climat culturel islamique, où la Parole joue un rôle religieux de premier plan. Le Coran est reçu comme un message divin « dicté » pour ainsi dire au prophète Muhammad par l'Ange, et dont chacun des mots, des phrases et des versets a été voulu et construit par l'intention divine. En récitant à son tour le texte du Coran, le simple croyant ré-actualise la descente du Verbe sur terre ; il prend en quelque sorte la position de l'ange de la révélation. Les mots qu'il articule ne sont pas assimilables à une simple récitation liturgique, car ils sont tout chargés du pouvoir de l'énergie divine même qui les a proférés. Par cette récitation du Coran, le Musulman pratiquant s'approprie l'énergie divine, il se laisse compénétrer par son efficience surnaturelle. On comprendra sans peine que cette valeur quasi sacramentelle accordée à la lecture du Coran ait dès les premières générations de l'Islam glissé vers des pratiques plus utilitaires, et qu'on ait utilisé des versets à des fins de guérison ou de divination.

3L'idée que nous voudrions avancer et illustrer ici est qu'en climat islamique, la parole n'est pas seulement un élément parmi d'autres dans les pratiques « occultes », mais qu'elle y exerce une fonction d'encadrement et de structuration de l'ensemble de la pensée et de l'agir magique. Il existe certes, comme partout dans le Proche-Orient antique et moderne, une magie sympathique où la pensée et les pratiques se meuvent selon des rapports d'analogie. De même, le rôle des considérations astrologiques est omniprésent dans la plupart des textes de quelque importance. Toutefois, il apparaît que la magie du verbe précède et informe ces autres formes de raisonnement. C'est ainsi que les signes du zodiaque, les planètes ou les maisons lunaires sont « marqués » par des lettres distribuées sur chaque zone de l'espace dont elles désignent les qualités spécifiques. En effet, elles ne représentent pas seulement des signes, des repères pour l'action céleste qui est désignée, mais sont des matrices de ces actions en quelque sorte, qui sont ontologiquement supérieurs aux astres. La tradition soufie y voit souvent des hiérarchies supérieures d'anges.

  • 1 Shams al-ma’ârif wa-latâ’if al-’awârif, Matbaa Mustafa Muhammad, Le Caire, s.d., ici Sh. M. ; et S (...)

4Cette prééminence de la magie littérale sur les autres formes d'action occulte est surtout sensible dans les textes plus tardifs. Les premiers grands traités de la littérature magique arabe (comme l'œuvre de Ibn Wahshiyya, ou le Ghâyat al-hakîm du pseudo-Majrîtî) dépendaient encore notablement de modèles antiques, et faisaient une part plus importante aux forces astrales ou aux « propriétés intrinsèques » (khawâss)des substances. Les textes plus récents, et dont se servent le plus souvent les praticiens modernes des sciences occultes, se fondent par contre pour l'essentiel sur la composition de formules, de talismans, de rituels etc. à partir de noms divins, de certains versets, de certaines lettres tirés du Coran ; comme si toute magie dans le monde représentait en quelque sorte un prolongement, une réverbération de la parole divine adressée aux terriens. Nous référerons ici plus particulièrement au Shams al-ma'ârif de Bûnî (13e siècle), et au Shumûs al-anwâr d'Ibn al-Hâjj Tilimsânî (14e siècle)1.

La grammaire cosmique

5Le nom d'une chose ou d'une personne est considéré, dans nombre de systèmes magiques, comme l'expression de son essence même. C'est également le cas pour nos textes de magie musulmane. Mais celle-ci insère cette croyance dans une vision sous-jacente plus générale, à savoir que l'ensemble des lois régissant l'univers obéissent à une sorte de syntaxe universelle, comprenant ses noms (les essences), ses adjectifs (les accidents), ses verbes (les processus de transformation). Or cette parole cosmique est parallèle à la parole humaine. Pour présenter les choses autrement, on pourrait dire que la langue humaine (il s'agit ici bien sûr de l'arabe) est un reflet du même ordre, de la même composition, de la même sagesse divine qui structure le monde entier. Ce qui engendre deux conséquences. D'une part, cela implique que celui qui connaît les secrets de la langue humaine pénètre dans les secrets les plus profonds de la création surtout si sa méditation porte sur la parole la plus pure, la plus divine qui puisse s'écouter sur terre, à savoir le Coran. D'autre part, cela suggère que l'homme connaissant la structure intime de cette langue, ayant compris que chaque lettre est, à son plus haut degré, un ange, se trouve par le fait même investi d'un pouvoir vaste (Sh. M. : 14,63,75).

  • 2 Ibn Arabi, dans le 2ème chapitre des Futûhât al-Makkiyya consacré à la science cachée des lettres, (...)

6Commençons par la définition de cette métalangue magique. Comment l'aborder ? Il n'existe bien sûr pas d'enseignement en tant que tel. La tradition soufie orale et les quelques textes que nous possédons font état de l'explication que des maîtres ont fourni sur tel ou tel point particulier ; mais il semble surtout que la « science des lettres » s'acquière par de longues méditations individuelles, suscitant la germination progressive de significations ésotériques dans l'esprit du méditant qui se présentent alors à lui comme autant d'inspirations, d'illuminations intérieures accompagnées ou non de visualisations2.

7Mais ce caractère inspiré et assez arbitraire de l'apprentissage de la science des lettres n'a pas empêché cette dernière de se doter d'un certain nombre de principes et de règles stables. Le monde a selon nos textes été créé à partir des 28 lettres de l'alphabet arabe, qui ont composé les 99 Beaux Noms de Dieu (qui sont les matrices de tous les êtres créés), puis se sont réparties dans l'ensemble du cosmos. Chaque constellation du Zodiaque, chaque corps céleste, chaque heure du nycthémère se trouve affecté d'une ou plusieurs lettres qui sont ses « patrons », son ange recteur. Réparties selon les Qualités Elémentaires (lettres chaudes, sèches, froides, humides), les lettres structurent également les lois physiques du monde sublunaire. Il n'est pas un aspect de la vie matérielle ou psychique de chaque être humain qui ne puisse être traduit selon cet alphabet cosmique, ce repérage servant bien entendu aussi de diagnostic (Sh. M. : 5 & s., Sh. A . : 77 et Lory, 1989b).

8La lecture attentive du Coran vient enrichir constamment ce type de spéculation. On tiendra compte du rôle des lettres lumineuses (lettres séparées mises en exergue de certaines sourates) opposées aux autres, « ténébreuses ». On relèvera quelles lettres font partie de la première sourate, la Fâtiha, et quelles autres en sont absentes. Partant de l'idée plus ou moins exprimée que le verbe coranique attire la présence des anges, que ses sourates, versets ou lettres sont elles-mêmes, au plus haut niveau de l'être, des entités angéliques (cf. Ibn Arabi, 1988 : 454 & s., et Sh. M. : 14), la récitation répétée ou la composition de talismans cherchera à comprendre et maîtriser cet influx d'en haut. La méditation prendra appui ici sur des spéculations arithmologiques parfois extrêmement complexes cherchant à traduire les lettres considérées en nombres (le nombre étant 1'« esprit » de la lettre), puis à ramener ces nombres à des noms prononçables. A chaque fois, l'intention sera voisine : puisque tout ce qui advient dans notre monde sensible est le résultat d'interactions survenant dans les mondes supérieurs, l'activité magique cherchera à intervenir directement dans ces zones subtiles « avant » la manifestation de l'événement attendu ou redouté (Sh. M. : 57-59).

  • 3 C'est à dire dans des cas de « possession angélique », où une entité spirituelle se manifeste par l (...)
  • 4 Cf. Bûnî, 1956 : 91 sq. ; Sh. M. : 32. Le cas de A.A. al-Dabbâgh (XVIIe-XVIIle siècles) est plus ri (...)

9La langue arabe devient ici un support matériel concret pour la découverte et l'appropriation de niveaux de langage supérieurs. La compréhension et le maniement de la « langue des anges » est certes un domaine bien trop insaisissable pour qu'on puisse en parler avec précision. Nos textes y font allusion parfois en appelant cet idiome surnaturel al-suryâniyya, le syriaque. Il ne s'agit pas ici bien sûr de la langue araméenne occidentale désignée usuellement par ce terme, mais d'un mode de communication angélique qui se manifeste parfois dans les hadra soufies sous forme de phénomènes de glossolalie3. Nos auteurs se bornent à nous signaler à ce sujet qu'en suryâniyya, chaque lettre prise isolément est signifiante, porteuse du sens matriciel qu'elle diffuse dans les mondes inférieurs. Le Coran lui-même peut donc être « traduit » en suryâniyya, ce dont certains auteurs fort différents comme Bûnî en magie et 'Abd al-Azîz al-Dabbâgh dans le domaine de la mystique nous fournissent des échantillons4. Il s'agit bien sûr à chaque fois d'inspirations individuelles, ou de données de tradition qui ne laissent aucune prise à l'induction pour un observateur extérieur.

10Mais le sens supérieur de l'arabe coranique, comme celui de la langue des anges, relève en fait d'un autre ordre, celui du nombre. Le nombre, nous le disions plus haut, est l'esprit de la lettre, celle-ci prenant la fonction du corps pour le nombre – corps subtil si elle est prononcée, corps physique si elle est écrite (Sh. M. :6, 78). Nous retrouvons des intuitions de base du pythagorisme, du platonisme du Timée, de plusieurs spéculations gnostiques, et bien sûr de la kabbale hébraïque. L'important pour nous est de noter l'aspect profondément islamique de ces spéculations arithmoloqiques. Celles-ci se déroulent selon la valeur numérique des lettres arabes et selon des données coraniques : ainsi p. ex. le nombre des lettres de la basmala, des lettres isolées, etc. (Sh. M. : 31s, 39s & 58). La dialectique du pair et de l'impair y est guidée par la théologie unitarienne de l'Islam classique (Sh. M. : 60, 76). L'origine comme la finalité de la science musulmane des lettres repose donc sur une démarche numérologique qui lui est propre.

Le pouvoir des mots

  • 5 Sur cet aspect de l'œuvre de Jâbir, cf. Paul Kraus, 1986 : 223 s., et Pierre Lory, 1989a : 124 s.

11De l'évocation de cette « grammaire de l'univers », on peut donc inférer que la connaissance profonde, ésotérique du langage donne accès à la connaissance des secrets de la nature. C'est très exactement ce que s'était proposé d'accomplir et de décrire l'école d'alchimistes placée sous le patronage de Jâbir ibn Hayyân. Pour elle, l'analyse méthodique de la composition de chaque substance, de la nature de chaque lettre (chaude ou froide, humide ou sèche) permettait de déterminer avec précision la composition intime de chaque minéral ou substance organique5. Mais il y a plus, car la science des lettres ne se présente pas comme un simple savoir, elle entend conférer un pouvoir réel sur l'objet ou la personne nommée.

12C'est en effet une croyance très répandue, peut-être même universelle, que la profération du nom peut exercer une influence sur le nommé, le nom donnant en quelque sorte l'essence, le germe ontologique de chaque existence particulière. La magie en terre d'Islam a beaucoup développé ce type de considération, qui fut appliqué dans des domaines variés, suivant des modalités très différenciées. Cette efficacité du nom a été invoquée jusque dans la médecine populaire telle qu'elle est rapportée par exemple par Suyûtî dans son Kitâb al-rahma fî al-tibb : pour soigner une fièvre, donc un excès de chaleur, on pourra avoir recours à un talisman ou à une formule jaculatoire où domineront les lettres froides. Dans un tout autre domaine, celui de la mystique du tasawwuf, le disciple reçoit un nom divin à réciter comme dhikr personnel, et le contenu même de ce nom (p. ex. yâ Latîf, « ô Bienveillant ») est censé induire une transmutation progressive de la personne du récitant, qui se dépouille de ses qualités purement humaine pour s'assimiler la bienveillance même de Dieu (Sh. M. : 140).

13Mais l'application la plus fréquente de la puissance du mot dans la magie islamique concerne en fait l'invocation des esprits. Ces derniers sont désignés par le terme assez général de rûhâniyyât, qui peut se rapporter à des catégories d'entités assez différenciées, principalement aux différentes classes d'anges, lesquels sont également appelés ‘ulwiyyât, les êtres d'en haut, car résidant dans les différentes sphères célestes ou plus haut encore, près du Trône divin (Sh. M. : 63 ; Sh. A. : 75& s., 179). Mais les invocations et talismans les plus usuels s'adressent plus simplement aux sufliyyât, terme désignant parfois des anges de rang inférieur, et le plus souvent les djinns, êtres vivant sur terre comme les hommes, et comme eux de vertu variable, potentiellement pécheurs sans être pour autant systématiquement malfaisants. Enfin, la parole magique peut également s'adresser aux shayâtîn, démons plus nettement maléfiques de la compagnie d'Iblîs ; mais nos textes sont singulièrement discrets sur ce genre de pratiques glissant dans la magie noire la plus répréhensible au regard de la Loi.

14C'est ici que l'efficacité accordée au nom se manifeste dans toute son ampleur. A lire les textes de Bûnî ou de Tilimsânî, on constate que le praticien qui accomplit son rituel magique dans les règles peut imposer sa volonté de façon pratiquement illimitée aux djinns : par la parole il les rend visibles, par la parole il les contraint, même contre leur gré, d'accomplir sa propre volonté sans contrepartie réelle de sa part. Ces djinns sont appelés souvent « serviteurs de (tel) Nom ». Il suffit de connaître celui-ci et de savoir s'en servir pour obliger le djinn à partir (exorcismes, guérisons) ou au contraire à demeurer dans un endroit, à fournir des informations (cas de la divination), à accomplir des prodiges etc. Il peut s'agir d'un des 99 Beaux Noms de Dieu, mais aussi du nom propre d'un ange supérieur ou du djinn lui-même, ou encore d'une formule magique donnée telle quelle, dont le sens n'est pas explicité.

  • 6 La puissance conférée sur les djinns en particulier est inconditionnelle (Sh.A., 6 et s, 16), et ce (...)

15Les purifications rituelles et souvent les prières et les jeûnes sont requis, mais il semble toutefois que ce soit l'accomplissement correct de l'acte magique qui assure son efficacité, et que celle-ci ne soit donc directement liée ni au mérite d'une piété ou d'une vertu personnelle, ni à une sainteté particulière accordée par Dieu. Les actes évoqués dans nos manuels de magie sont d'ailleurs eux-mêmes souvent éloignés des préceptes fondamentaux de la religion : ainsi lorsqu'il s'agit de rendre malade son ennemi, voire de le faire mourir6. L'efficacité du rite ne dépend apparemment pas non plus d'un échange entre le magicien et le djinn, ce dernier devant obéir à l'ordre qui lui est impéré sans contrepartie apparente.

16Or cette maîtrise conférée au magicien à l'égard des djinns, des sufliyyât, se retrouve en fait également dans ses rapports avec les anges et les entités supérieures. Certes, les invocations sont plus respectueuses, les rites plus exigeants notamment dans le respect des rythmes astrologiques. Mais nulle part n'apparaît l'éventualité qu'un ange puisse refuser d'accomplir l'injonction qui lui est adressée, fût-il l'un des quatre archanges porteurs du Trône.

17L'assimilation la plus complète entre sainteté et compétence en magie littérale apparaît dans l'idée que, par la connaissance de formules de prière appropriées, le praticien en magie peut s'attirer les faveurs du Dîwân al-Sâlihîn. Il s'agit de l'assemblée des plus grands saints des temps passés, présidée par le prophète Muhammad lui-même, et qui joue apparemment un rôle de relais de l'initiative divine, intervenant dans les affaires terrestres pour guider ou guérir, avertir ou châtier, ou simplement pour intercéder auprès de Dieu. Certaines formules permettent d'acquérir leur soutien, leur science ou leur pouvoir, voire même de devenir membre de leur assemblée (Sh.A. : 9, 14-15, 65). Le magicien obtient donc pour lui la capacité de participer aux plus hautes instances décidant du sort de l'humanité.

18Il va en fait même jusqu'à suggérer implicitement qu'il se trouve investi d'une véritable puissance divine, puisque c'est au(x) Nom(s) de Dieu qu'il convoque et asservit les djinns, qu'il obtient le concours des anges et des saints (Sh.A. : 16). Son attitude n'est donc pas directement assimilable à de l'impiété ou de la mégalomanie, puisqu'il entend simplement faire usage de moyens d'agir qui lui ont été accordés par le Créateur, prolongeant la volonté de Celui-ci, sans s'y opposer ou lui substituer la sienne propre. On aurait tort, nous semble-t-il, de juger cette attitude selon une perspective théologique et juridique. Nous sommes cependant conduits à regarder d'un peu plus près les rapports entre ces pratiques magiques et les comportements et idées plus strictement religieux en Islam.

Mystique et magie

  • 7 Sans même parler des pouvoirs surnaturels qui étaient attribués, de son vivant, à la personne même (...)

19Si les théologiens musulmans ont pour la plupart récusé la pratique de la magie, la jugeant au mieux comme inutile, au pire comme une blâmable impiété, passible dans certains cas de la peine capitale, la réalité sociale est en fait beaucoup plus nuancée. Nous ne faisons pas ici seulement allusion au phénomène du « maraboutisme » tel qu'il a été décrit au Maghreb et en Afrique soudanaise ces derniers siècles, car si l'on interroge les premiers documents qui nous ont fait connaître l'émergence du soufisme en Islam, on s'aperçoit combien la notion de « sainteté » (gardons ce pis-aller pour traduire walâya)a été dès le départ liée à des manifestations préternaturelles de façon très étroite7. Certes les hagiographes les plus soucieux de démontrer le caractère orthodoxe et honorable du tasawwuf ont souligné qu'il s'agissait de pures grâces divines (karâmât). Mais il n'est pas sûr du tout que le public non soufi ait perçu les choses de cette façon, et des personnages historiquement déjà bien connus comme Dhû al-Nûn Misrî ou Hallâj ont été accusés par leurs adversaires de magie vulgaire et de sorcellerie, tandis que leurs admirateurs voyaient en eux les dépositaires de sciences ésotériques d'origine divine.

20L'opinion du théologien, comme celle de l'historien de la pensée, se fonde le plus souvent sur un jugement normatif. Chaque discours, même religieux ou magique, étant repéré, classé, devait se rapporter à une zone bien précise de la réalité sociale ou du psychisme. On a de ce fait souvent abouti à exclure l'une de l'autre des attitudes logiquement incompatible, mais pratiquement assumées et vécues simultanément, comme p. ex. la foi musulmane et les pratiques occultes. La coalescence entre soufisme et pouvoir magique apparaît plus clairement, me semble-t-il, si l'on prend en compte les données suivantes :

  • 8 Selon al-Bûnî, reprenant une sentence déjà très répandue avant lui, la basmala est au croyant ce qu (...)

21– D'abord, tous les « magiciens », auteurs ou consommateurs de textes occultistes de la période considérée (le bas Moyen-Age), ont certainement été des Musulmans et des Soufis complètement sincères. On ne distingue plus chez eux de relents de données païennes (comme chez Ibn Wahshiyya), et même l'astrologie se trouve comme « encadrée » par des considérations sur les 99 Beaux Noms de Dieu. Qu'ils aient été plus ou moins intéressés par l'argent ou le pouvoir est une autre question. Mais il me semble hors de doute qu'ils se voulaient, se pensaient Musulmans ; plus encore, qu'ils se considéraient comme les dépositaires des plus hautes sciences dérivant de la révélation coranique, et d'un pouvoir prolongeant celui de Dieu8.

  • 9 En effet, souligne Bûnî, la magie licite n'apporte que bénéfices dans l'au-delà pour le croyant (Sh (...)

22– Ensuite, il semble loisible d'attendre de l'adhésion au Coran des bienfaits surabondants, et ce non seulement dans l'Au-delà avec les récompenses promises aux croyants vertueux, mais également au cours de notre vie d'ici-bas. Le texte sacré lui-même le suggère. Le hadith est également prolixe pour décrire les avantages attachés au jeûne et à la prière, avantages qui commencent dès le moment de la pratique. La mort physique marque certes un passage important, mais dès son entrée en Islam, le croyant se trouve être l'objet de la miséricorde divine ; les joies terrestres qu'il pourra connaître seront donc comme une anticipation du bonheur également sensible qu'il connaîtra dans le Jardin. Confectionner des talismans à l'aide de versets coraniques ou de noms divins n'a donc rien d'aberrant ou de blasphématoire : quel mal y aurait-il à puiser à cet océan de force et de grâces divines que manifeste le Verbe divin9 ?

23– Par ailleurs, l'accusation de culte rendu aux djinns, voire aux démons, qui est souvent lancée contre les praticiens des diverses sciences occultes, est peu justifiée, hormis sans doute certains cas de magie noire. Certes, le commerce avec les esprits (istihdâr al-rûhâniyyât) est l'un des aspects majeurs dans les pratiques de la magie musulmane. Mais il ne s'agit nullement d'un culte rendu à ces entités, ni non plus, a fortiori, d'une adoration concurrente de celle due à Dieu. Les rûhâniyyât, nous l'avons vu, sont contraints d'obéir au magicien, non en vertu d'une autorité propre que posséderait celui-ci, mais à cause du pouvoir du nom divin ou du talisman en dérivant. C'est au nom de Dieu, par son pouvoir, que l'opération magique a lieu. Il y a donc là une différence essentielle avec la magie pré-islamique, où les djinns notamment étaient invoqués pour servir d'intermédiaires, voire d'intercesseurs entre les hommes et Dieu, et où ils occupaient par le fait même une fonction autonome et même une position de force par rapport à leurs « adorateurs » ; c'est du moins ce qui ressort d'une série de citations coraniques et de mentions dans la littérature du hâdith et dans la Sîra (cf. à ce sujet : Lory, 1988 : 86 & suiv., Chelhod, 1964 : 70 et 79 & suiv., et Wellhausen, 1897 : 149-172).

  • 10 Nous plaçons cette expression entre guillemets, car l'observation précise montre bien qu'il n'exist (...)

24Plus positivement, on peut considérer que la sainteté dans le soufisme « populaire »10 est vue comme un accroissement simultané de la connaissance et du pouvoir surnaturel. Être saint, ce n'est pas seulement avoir acquis, par dévotion ou par grâce divine, un état de proximité purement mentale à Dieu. La conscience populaire n'imaginerait pas que cet état de proximité n'induise pas nécessairement des effets dans les mondes subtils et physiques, que la profusion de baraka qui en résulte ne se manifeste pas à l'extérieur par des guérisons, des prédictions, ou la simple diffusion d'un esprit de paix et de sérénité. Comment une personne récitant des invocations, coraniques ou non, des milliers de fois par jour, ne finirait-elle pas par aimanter autour de sa personne physique un faisceau de présences angéliques et de forces célestes ? L'arrivée de phénomènes surnaturels auprès des awliya’, de leurs proches ou de leurs tombes devient dès lors un phénomène sinon « normal », du moins attendu. Le comportement même du saint n'est apparemment pas lié à un modèle unique. Il peut être ascète ou vivre dans le confort, ermite ou chef de guerre : le pouvoir qu'il transmet semble transcender sa propre personne et ses propres défauts apparents, voire ses échecs.

Conclusion

  • 11 En fait, on peut trouver des invocations ou des talismans qui garantissent l'entrée dans le paradis (...)

25Il n'est pas toujours aisé pour autant d'évaluer le rapport exact entre attitude religieuse et pratique magique. Il semble en tout cas clair que la magie évolue dans une zone de la vie nettement profane : amour et guérison, argent et pouvoir sont les thèmes principaux qui lui sont attachés. Quant au salut de l'homme post mortem, il relève de l'exclusif vouloir divin : aucune invocation, aucun sacrifice, aucune intercession auprès des awliyâ’ ne vient déroger à ce principe11. Le saint peut guider dans une prise de décision, soulager telle ou telle souffrance, alléger un fardeau. Mais il ne peut pas forcer la mesure décidée par la Providence, même auprès de ses disciples sur la voie soufie qu'il s'est chargé de guider au seuil de la Présence divine. Son action est un simple prolongement du vouloir divin, mais qui rend ce dernier singulièrement plus concret pour les croyants ordinaires.

26Au total, on constate que les pratiques magiques sont venues occuper l'espace précis qui avait été laissé vide par l'Islam littéraliste et le fiqh. Celui-ci prenait en charge tout ce qu'il est nécessaire de savoir et de faire en vue de l'agrément divin et de l'obtention de la récompense du Paradis, et ce par une Loi applicable uniformément pour chaque être humain. Les soucis et les détresses purement individuels, les besoins de soulagement immédiats, la nécessité de nourrir des espoirs simplement terrestres, tout ce qui pèse au jour le jour sur notre condition présente d'êtres humains, cela a été pris en charge par ces « hommes de pouvoir » que l'on hésite parfois à appeler des saints, mais qui sont venus apporter à de nombreuses couches de la société musulmane la dimension qui leur manquait : celle d'un surnaturel qui soit proche, domestique en quelque sorte, aussi riche en force et en potentiel que la vie sensible en est pauvre, un surnaturel qui s'adresse à chaque consultant, particulièrement, pour lui redire que sa vie est une promesse unique que Quelqu'un a prononcé devant Ses anges.

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Bibliographie

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Bûni, Ahmad ibn ’Alî (s.d.) Shams al-ma ârif wa-latâ if al- awârif, Matba’a Mustafa Muhammad, Le Caire.

Bûni, Ahmad ibn ’Alî (1956) Sharh al-Jaljalûtiyyaal-kubrâ, dans Al-Usûl wa-dawâbit al-hikma, s.l., éd. A.A. Ibn Shaqrûn.

Chelhod, Joseph (1964) Les structures du sacré chez les Arabes, Paris, Maisonneuve et Larose.

Depont, Oscar et Coppolani, Xavier (1897) Les confréries musulmanes, Alger.

Ibn Arabi (1988) Les Illuminations de La Mecque, Paris, Sindbad.

Ibn al-Hâjj Tilimsânâ (s.d.) Shumûs al-anwâr wa-kunûz al-asrâr, Al-Maktaba al-falakiyya al-’ilmiyya, Beyrouth.

Kraus, Paul (1986) Jâbir ibn Hayyân. Contribution à l'histoire des idées scientifiques dans l'Islam, Paris, Les Belles Lettres.

Lory, Pierre (1988) « Sur la notion de Dieu dans la religion arabe anté-islamique », Cahiers d'Etudes Arabes, 2, p. 86 et suiv.

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Lory, Pierre (1989b) « La magie des Lettres dans le Shams al-maârif d'al-Bûnî », Bulletin d'Etudes Orientales, XXXIX-XL.

Wellhausen, J. (1897) Reste arabischen Heidentums, Berlin.
DOI : 10.1515/9783110834161

11 septembre 2016

L'Homme est un être électromagnétique qui produit des ondes scalaires

 

giphy

 

Les champs scalaires générent une énergie semblable à celle constatée dans les hauts lieux telluriques avec tous les bienfaits inhérents à ces endroits recherchés de tous temps, et souvent trouvés intuitivement...

Les plantes, les animaux apprécient cette énergie bienfaisante ...

C'est un cylindre  qui grâce à son champ de haut potentiel agit sur l’organisme humain émettant des charges électriques négatives. Résultats bénéfiques : stimulation et renforcement du système immunitaire, consolidation des champs bio électromagnétiques, accélération des capacités naturelles d’auto guérison.

 

A l’origine les cellules humaines sont remplies d’électricité à charge négative. Lors des désordres physiologiques et psychologiques qui entrainent des maladies, ces charges diminuent et le corps s’affaiblit. On peut dire qu’il se remplit d’une charge électrique positive qui est néfaste pour la santé.

Renforcer le corps de l’extérieur par une charge électrique négative aide les processus naturels de rétablissement.

 

Les toxines, les métaux lourds et les poisons pénètrent le corps humain et selon le principe de l’attraction des contraires sont attirés par les cellules humaines à charge négative. Ils se fixent sur elles, ils les suffoquent et oppressent leur fonctionnement normal.

 

Selon « l’électricité qui guérit » tous les processus et réactions biochimiques qui créent les désordres et les maladies, ont leur origine dans les interactions électromagnétiques du corps avec l’environnement.

 

Quand nous émettons une électricité à charge négative, nous faisons plonger le corps dans un milieu électromagnétique favorable et propice à la guérison et le bien être. Ce potentiel négatif entre en réaction avec les toxines dans le corps chargées positif, les neutralise et les toxines se décrochent des cellules humaines qui se libèrent par les émonctoires…

 

Les effets bénéfiques :

Augmentation de la capacité respiratoire

Stimulation du fonctionnement des vassaux sanguins

Stimulation de la bioénergie dans le cerveau

Augmentation du niveau de l’oxygène dans le sang

Soulagement des maux de tête, soulagement des douleurs

Amélioration des réflexes, du sommeil

Accroissement des capacités de concertation

Plus de forces face aux facteurs polluants de l’environnement

Etat de bien être général

Restaure l’ADN.

Restaure l'énergie des lieux

Toutes les énergies sont trop complexes pour pouvoir être étudiées, même sommairement. Il fallait toutefois en évoquer certaines car la Terre génère un champ magnétique altéré par des champs de force. Et tout porte à croire que la santé humaine est liée aux paramètres géophysiques par le biais d'énergies qui ont une influence sur notre mental, la structure générale et cellulaire de notre corps, nos cycles de sommeil et de rêve, nos émotions et notre esprit, et peuvent constituer des éléments tendant à modifier l'homme et la vie même sur notre planète.

La Résonance de Schumann

En 1957, le Pr. O.W.Schumann (Université Munich) découvre les Ondes Transversales Magnétiques Terrestres aujourd'hui connues sous le nom d'Ondes de Schumann ou Résonance de Schumann. Il s'agit d'un phénomène atmosphérique naturel et permanent qui se propage autour de la Terre sous la forme d'une Onde Radioélectrique Dans les années 50, Russes et Américains s'intéressent aux travaux de TESLA et se rendent vite compte que de puissantes émissions d'ondes ionisantes ont le pouvoir de modifier le climat. Ils leurs suffit d'activer les Electrons qui composent les différentes couches de l'atmosphère jusqu'à en modifier la densité. Le système HAARP de modification du climat est déjà là.

Mais ces ondes participent aussi à la régulation de notre horloge interne, On sait maintenant qu'il y a une relation harmonique entre la Terre et notre corps-esprit. Le champ isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique terrestre et le champ électrostatique de notre corps sont étroitement entrelacés. Ainsi, nos rythmes internes interagissent avec les rythmes externes influençant ainsi notre équilibre, la santé, la concentration mentale, régulant nos horloges internes et agissant sur les schémas Sommeil/Rêve/Eveil/Sécrétion Hormonale. Cette vibration naturelle n'est pas une valeur fixe mais fluctue en fonction de la situation géographique, de la foudre, des éruptions solaires, de l'ionisation atmosphérique et des cycles diurnes. Elle émet une onde de 7,5 cycles par seconde c'est-à-dire d'une fréquence de 7,5 Hz qui est précisément la fréquence de résonance des structures cérébrales des mammifères dont l'homme fait partie...

Le Réseau Hartman

Hartman est un chercheur allemand qui a mit en évidence un quadrillage électromagnétique naturel terrestre dont les mailles rectangulaires émettent de l'énergie qui s'élève à la verticale. L'intersection de ces murs, appelée nœud, peut être extrêmement nocive en cas de perturbations. La géobiologie (science occidentale) ou le Feng shui (tradition orientale) utilisent ce réseau de mailles d'énergie tellurique.

Les Celtes choisissaient toujours leurs lieux sacrés en fonction de ce réseau, sans le savoir scientifiquement. Plus tard les bâtisseurs de cathédrales ont fait de même. À notre époque, des chercheurs font le lien entre ce réseau d'énergie et l'emplacement des pyramides, la région de Stonehenge en Angleterre ou la présence de certains Crop Circles (toujours dans des lieux de concentration au niveau de la grille de Hartman, qui n'est pas uniforme sur la Terre).

Un autre nom mystérieux : Les ondes scalaires

Albert Einstein a reconnu l'existence de cette forme d'énergie et a fait référence à l'énergie Scalaire dans les années 1920. Et Nicolas Tesla est généralement considéré comme le père de l'électromagnétisme scalaire. Cette énergie est appelée aussi "scalaire énergie" ou "point zéro" énergie "Radiant Energy."

L'univers visible ne représente qu'une petite partie des forces qui s'exercent dans notre cosmos. Cette force naturelle cosmique peut s'exercer de manière infinitésimale et constituer une énergie supplémentaire dite surunitaire. C'est ce que l'on nomme d'ordinaire l'énergie libre. Ce processus qui permet l'énergie surunitaire peut être réalisé n'importe où, c'est une source d'énergie cosmique infinie.

Le plus extraordinaire est qu'il semble que le corps humain puisse produire lui-même ce genre d'énergies !

Et qu'est-ce que cela donne ? Eh bien, c'est peut-être ce qui permet aux guérisseurs ou magnétiseurs d'opérer sans instruments.

Ce serait ce que l'on retrouve dans les transes et les guérisons (par magnétisme) dans certaines pratiques rituelles, dans les états de transe au rythme des tambours chamaniques, ou de la plupart des danses extatiques, des prières religieuses...

On pourrait, qui sait ?,également détruire le cancer et tous les virus...

( Note : Une énergie n'est ni bonne, ni mauvaise, elle existe. L'électricité qui est employée par un chiropracteur ou un kinésithérapeute pour stimuler nos muscles et nous aider à guérir avec du matériel spécialisé, est la même électricité qui est employé dans certains pays pour exécuter les condamnés à mort sur les chaises électriques. De même, la lumière laser qui est employée comme rayon de la mort dans les films pour abattre des missiles ennemis est aussi employée par les oculistes pour améliorer notre vision via la chirurgie Laser ou par les spécialistes de chirurgie esthétique pour effectuer des soins du visage, des cheveux et éliminer les rides. C'est juste une question de fréquence, d'amplitude employée et comment elles sont employées. Chargez votre corps de bonnes fréquences et vous éviterez les maladies.)

Nous notons par exemple ce lien particulier habituellement qualifié de "télépathique" et décrit comme une communication extrasensorielle visible surtout entre des êtres liés émotionnellement.

Ces phénomènes se rapprocheraient de la théorie quantique.

 

Pour manifester ces ondes scalaires, le corps humain doit produire de l'électricité. C'est de cette manière que l'information voyage dans l'influx nerveux.

Pour produire une onde scalaire le corps humain doit donc amplifier son potentiel électrique. Il faut essentiellement deux choses : Un émetteur et une source d'énergie, tous les nerfs du corps humain aboutissent au cerveau et les deux lobes du cerveau humain deviennent donc les deux antennes émetteur/recepteur qui peuvent produire des ondes scalaires.

L'être humain possède tout ce qu'il faut pour produire des ondes scalaires naturellement, mais il doit apprendre à les contrôler parfaitement pour agir, par exemple, sur la matière à distance !

Déjà en 1974 Jean-Pierre Girard fournissait des preuves de psychokinèse observables :

La pensée ne génère pas automatiquement des ondes scalaires, car l'état d'esprit ordinaire de l'humain ne lui permet pas de contrôler efficacement les ondes produites par son cerveau. De plus, la culture propre à notre réalité sociale ajoute des tabous qui limitent et même oblitèrent l'esprit de l'homme occidental.

Il faut s'entraîner : tantrisme, méditation, sciences occultes, yoga...

Le mécanisme de transfert de l'énergie-source vers le cerveau, en passant par la colonne vertébrale, a été modélisé par la physique qui présente de manière originale ceci comme un circuit électronique.

« En réalité, lever une montagne avec le gros orteil est facile » affirme le Bouddha dans le Sadharma Pundarika Sutra.

Note: Le mot CHAKRAS a été en 2003, enfin accepté dans la langue française.

On parle aussi d'Ondes de formes ou Emissions des Formes (EIF) :

Tout ce qui a une forme dégage de l'énergie, émet une onde qui agit sur l'espace dans lequel elle se propage.

Emanations de la constante spirituelle et matérielle de l'Etre et de l'Univers, les ondes de formes agiraient sur le physique et sur le mental, pouvant même influencer, dans une certaine mesure, les événements. Leurs sources en sont diverses (objets, dessins, structures matérielles naturelles ou artificielles, pensées, idées...) et leurs possibilités d'utilisation vastes mais encore floues... (Action sur l'environnement, sur soi-même ou sur autrui, soutien à la chance, à l'amour ou au succès matériel, abandon des mauvaises habitudes, réforme du caractère et développement des capacités intellectuelles ou psychiques de l'individu, neutralisation des ondes nocives...).

Chaque forme semble émettre des ondes car elle déforme le champ d'énergie dans lequel baigne l'univers, créant un EIF ou champ inducteur d'expérience.

De la grande pyramide de Kheops aux cathédrales de l'Europe occidentale, l'architecture sacrée peut également recouvrir des aspects liés aux ondes de formes…

Ainsi des champs hypothétiques contiendraient de l'énergie sans être constitué de matière et seraient même déterminant dans le comportement des êtres vivants ; l'esprit ne s'identifie pas avec le cerveau, mais s'étend au-delà de l'organe physique sous la forme d'un champ de perception produit par l'activité cérébrale, il n'y reste pas confiné et constitue un champ sensible qui interagit avec l'environnement.

De nombreux scientifiques s'intéressent à ces domaines de perception mais une minorité de sceptiques très active impose une attitude dogmatique opposée à ces études ce qui est en soi une prise de position totalement antiscientifique.

L'intêret de la science est au contraire dans l'étude de tous les phénomènes de la nature.

En fait, l'homme est un être complexe, plus électromagnétique que chimique (c'est aussi le cas pour l'univers) et sensible aux champs électromagnétiques naturels et artificiellement provoqués. Le pont qui relie les résonances du système solaire et les fréquences cérébrales se situe dans l'hélice de l'ADN humain qui s'est structuré dans l'environnement Terrestre.

Les domaines de la science et de la spiritualité, qui sont indissociables et complémentaires, en se réunissant harmonieusement, modifient irréversiblement notre vision et notre compréhension de l'Univers, et cela doit permettre d'accélérer l'ouverture des consciences individuelles et collectives qui devient incontournable et urgente.

http://energiescalaire.centerblog.net/3-energie-scalaire

25 août 2016

LA COQUILLE SAINT-JACQUES - Son utilisation en géobiologie et dynamisation

 

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st jacques ondes geobiologie

photo Kirlian du rayonnement d'une coquille

Pourquoi utiliser la coquille Saint-Jacques en géobiologie?

 

Parce que la coquille, de par sa forme, émet un rayonnement énergétique très puissant et très positif,  qu'on appelle " émission induite par les formes" (EIFS)ou "onde de forme". Il faut bien comprendre que la nature de la coquille (en général on utilise la partie la plus bombée) importe peu, ce qui compte c'est la forme, car un dessin ou des photos produisent le même résultat.

Ce type d'émission découvert par messieurs de Bélizal, Chaumery et Morel dans les années 1930 ont d'abord été classées dans les ondes électromagnétiques, puis on s'est aperçu qu'elles ne correspondaient à rien de connu dans notre univers physique. En tous cas, ces ondes ont une influence sur la santé des êtres vivants car elles entrent en résonnance avec la cellule. 


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coquille au pied d'une plante, avec un cristal de roche en plus

On va donc utiliser la coquille saint-jacques pour DYNAMISER et PURIFIER :

  • en jardinage par exemple : pour dynamiser des plantations, en pot ou dans le jardin (vos plantes pousseront plus vite). J'ai ainsi sauvé un ficus pratiquement mort, dont le taux vibratoire est passé de 5000 U.B à 8000 en 2 heures
  • Dans le jardin j'en mets plusieurs au feeling, côté bombé à l'extèrieur)
  • dans une maison :

 - pour augmenter le taux vibratoire d'une pièce, en installant un des montages ci-dessous, les stries étant orientées Nord-Sud dans le sens du magnétisme terrestre. C'est le montage avec 5 coquilles toutes orientées grand côté au nord qui me parait le plus performant

 

- autres utilisations : - une coquille posée sur un noeud géopathogène (croisement du réseau Hartmann par exemple) va supprimer l'effet nocif de ce croisement

- une coquille fixée sur une poutre au-dessus d'un lit supprime l'effet nocif de cette poutre

 - une ou plusieurs coquilles posées sous un lit vont procurer un meilleur sommeil

 

Pour PURIFIER : par exemple vous avez acheté des bijoux dans une brocante, mettez-les dans une coquille saint-jacques pour les purifier, pour enlever les mémoires qui y sont attachées.

 

En lithothérapie et radièsthésie,  on utilise aussi la coquille pour "nettoyer" pendant quelques heures les pierres ou les pendules utilisés. L'action sera encore plus efficace avec de l'eau, qui devient une eau d'un très haut taux vibratoire (comme de l'eau bénite) dans la coquille.

 

Vous remarquerez que les bénitiers à l'entrée des églises ont souvent une forme de coquille saint-jacques, car l'eau y est dynamisée en permanence et reste vivante.

 

Je me sers souvent aussi de coquilles (orientées nord-sud) pour dynamiser tout ce qui se mange ou se boit :  fruit posé dans la coquille, carafe d'eau à côté de la coquille, élixir floral, etc...

dynamiser coquille st jacques pommeshttp://www.geobiologie-vercors.com/coquille-saint-jacques-et-g%C3%A9obiologie/

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4 juillet 2016

LES ÉGRÉGORES Forces psychiques des groupes humains

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ASPECTS PSYCHIQUES ET ÉNERGÉTIQUES 
 
L’égrégore possède une composante à la foi psychique et énergétique. L’égrégore est une énergie qui contient toutes les vibrations des gens qui le créent, le font vivre… et qui leur échappe. 
 
La concentration des personnes réunies dans un même but, avec les mêmes pensées intenses créée un égrégore qui se constitue, se développe, s’amplifie et devient actif. 
 
 
 
Un savant français, Jean Charon, a publié aux éditions Tchou-Laffont un livre dont le titre est « L’infini Sursis », dans lequel il révèle le résultat de ses travaux sur ” La mémoire des électrons et la projection de l’inconscient “. 
 
Il me paraît important de citer ce qu’il écrit : 
 
“Les électrons qui nous constituent contiennent un espace-temps qui n’obéit pas aux lois de notre univers quotidien. De plus la totalité de notre esprit est contenue dans chacune des particules.” 
 
Les cellules qui constituent l’égrégore sont tirées de l’humanité. Il vit sur le plan physique par l’intermédiaire de l’être humain et sur le plan astral par la projection astrale de ceux qui y adhèrent. 
 
Inutile de le rappeler, tout est une question d’énergies. Et dans une première approximation, on pourra considérer qu’un égrégore aurique est une “boule” d’énergie visualisable dans l’astral qui a été crée la plupart du temps par un groupe d’individus humain. cette énergie aurique, avec laquelle il possible d’interagir, possède un caractère qui lui est propre, caractère attribué par ses créateurs. C’est comme un accumulateur d’une énergie possédant ses propres caractéristiques, et motivé par la foi ou la concentration de plusieurs personnes à la fois. Il est alors aisé de comprendre qu’il existe des égrégores aurique de toutes sortes (Égrégore chrétien, égrégore bouddhiste, égrégore islamiste, égrégore sectaire, égrégore sataniste, etc …) . 
 
Un égrégore peut être perçu comme la résonance vibratoire aurique émise par la psyché d’un groupe de personnes vibrant sur une note déterminée. Les actes, les émotions, les pensées et les idéaux de chaque entité constituant ce groupe, fusionnent pour édifier un tout cohérent, une forme dont les composants sont de nature énergétique. La tradition ésotérique lui donne le nom de « forme pensée aurique». 
 
Bien que d’essence subtile et impalpable, une forme pensée est aussi pénétrante, enveloppante et perceptible qu’une présence matérielle. Ce sont les courants émotionnels, mentaux et spirituels, émanant de l’ensemble des membres d’un groupe qui élaborent une forme pensée, pour ensuite la structurer. 
 
 
 
La notion d’égrégore se rapproche de celle d’inconscient collectif, de conscience collective ou de champ morphogénétique ou de champs de conscience opérant entre eux.  
 
ORIENTATION D’UN ÉGRÉGORE 
 
Un égrégore est un agrégat de forces constituées de courants vitaux, émotionnels, mentaux et spirituels, suivant la qualité vibratoire de la forme pensée aurique. Ces courants vitaux, créés par le groupe d’individus duquel l’égrégore est issu, pénètrent la conscience du groupe sous forme de désirs, de concepts et d’aspirations. 
 
La patrie, la république, la justice, la guerre ne sont rien d’autre que des images égrégoriques. 
 
L’égrégore de nature astrale peut être orienté par le mental et nourrit essentiellement par l’énergie émotionnelle, (la forme pensée provoquée par les désirs, les aspirations, les rêves, les décision, les engagements, les idées, la volonté, d’un ou de plusieurs êtres humains.) 
 
 
Dans un groupe, on suppose que si les objectifs et les orientations personnelles des participants sont de nature matérielle, les égrégores, leur double subtil, manifestent des intérêts analogues. Si au contraire, les buts et les orientations des personnes constituant un groupe sur le plan physique sont inclusifs, son égrégore sera animé des mêmes intentions. 
 
 
« Il existe une raison importante pour laquelle les groupes ésotériques (quelle que soit leur origine) restent discrets. Leurs symboles, rituels et réunions, répétés à travers le temps, développent un égrégore, ou « esprit de groupe », qui lie les membres, les harmonise, les motive et les stimule afin de réaliser les objectifs du groupe. Il leur permet également de faire des progrès “spirituels” qu’ils ne feraient pas s’ils travaillaient seuls. Un égrégore peut cependant être perturbé par la pensée négative de personnes qui ne sont pas en accord avec les objectifs. Par conséquent, les groupes ésotériques tentent de se protéger de pensées négatives qui pourraient affecter leur égrégore. » (Gaetan Delaforge in GNOSIS n°6) 
 
 
En se focalisant sur un objectif et en agissant pour lui donner vie, une personne est en mesure de créer un égrégore susceptible de se développer pendant un temps indéterminé. Suivant l’intensité de l’idée émise et du nombre de personnes qui y adhéreront, ce temps peut durer de quelques jours à plusieurs millénaires. 
 
 
 
Pour donner deux exemples: 
 
Une association créée par un groupe d’amis, pendant une durée de deux mois autour du projet d’organiser un concert en vue de recueillir des fonds pour réaliser un objectif particulier, va créer un égrégore à durée de vie limitée. 
 
Un égrégore peut être réactivé et transformé au cours des siècles. 
 
 
 
L’égrégore de la Franc-Maçonnerie contemporaine, que l’on nomme: spéculative, avait déjà un long passé avant d’être de nouveau réactivé au début du dix-huitième siècle. 
 
La maçonnerie spéculative est un sous-égrégore aurique de celui qui anime l’Esprit de la Maçonnerie qui et beaucoup plus ancien. La Maçonnerie actuelle, fondée en 1717 à Londres, est une émanation aurique de l’Egrégore Maçonnique dont il est difficile de connaître l’origine qui se perd dans la nuit des temps… 
 
 
Selon certain enseignements de haute magie, l’égrégore peut parait il être détourné de son but original. Par exemple, l’église catholique est un excellent exemple d’égrégore aurique. La foi de millions de personnes dans les dogmes ancien de l’église, canalisé par les prêtres, donne un des plus puissant égrégore aurique connu, très prisé par les médium ou voyant occidentaux. Selon certains, le medium étant le manipulateur conscient d’énergie aurique, serait capable de se “brancher” sur l’égrégore aurique de l’église catholique. 
 
 
La tradition Occulte rapporte le principe de l’envoûtement par messe triangulaire n’est plus pratiqué de nos jours. L’opérateur, devant pour ce faire, s’assurer la complicité de trois prêtres qui disaient simultanément trois messes dans trois”églises formant triangle. L’opérateur se plaçait au centre géométrique du triangle… Ce rituel utilisait l’égrégore catholique dévié de son emploi dans un but de nuisance. Il est à rapprocher de la pratique dite Média-Vita, largement utilisée jusqu’au XVe siècle et qui constituait avec les messes de saint Jude et de saint Sicaire des pratiques d’envoûtement autorisées et effectuées avec la complicité de l’église contre les ennemis de cette dernière… bien entendu.  
NAISSANCE DE L’ÉGRÉGORE 
 
L’égrégore est activé par une seul personne à la base l’idée créatrice fait que plein de personne adhère … 
Selon la recherche ésotérique, un égrégore naîtrait, par exemple, d’une fervente prière collective, d’une thérapie de groupe, d’un soin énergétique, d’un rituel qui pourrait être chamanique par exemple. Mais il est tout autant être la résultante d’extrémismes religieux, politiques ou nationalistes ou même d’un évènement traumatisant susceptible d’engendrer une émotion collective puissante et durable tel que les attentats du 11 Septembre 2001… 
 
Une idée collective est vouée à la vaporisation, si elle n’est pas ancré à la base par une personne ou un sujet… 
 
Le collectif et fait de personne stable ou non stable avec des idées diffluentes si pas un ancrage sur l’idée central qui dégagera le positif, avec la meilleur volonté du monde l’énergie temporaire se volatilisera. 
 
Afin de donner à l’égrégore une forme concrète, on en fait une représentation symbolique, qui sera un support de visualisation. Ce signe représente sa nature, ses buts, ses moyens. 

Nous aurons donc le sceau de Salomon, l’étoile de David, le pentagramme, la croix latine, le triangle maçonnique, la croix gammée… 
 
Le symbole porte en lui-même une représentation qui parle immédiatement à l’être humain de façon figurée. Tous ces innombrables signes et sceaux ne sont que des représentations de l’égrégore. Ces signes sont à la fois une protection, un support et un point de contact entre les membres. Ils deviennent alors de véritables pentacles. 
 
ASPECT CONSTRUCTIFS DE L’ÉGRÉGORE 
 
En Amérique et en Europe, on a expérimenté des “groupes de prières” dans les hôpitaux , qui prient pour la guérison physique des malades qui le leur ont demandé. On s’est aperçu, que des malades atteint de maladies graves, et pour qui priaient ces groupes, se remettaient beaucoup pus rapidement et avaient des chances de guérison beaucoup plus élevé, que des malades qui ne bénéficiaient pas de ces groupes ! Pourquoi ? Tout simplement parce que le “groupe de prières”, par sa dévotion, va canaliser une énergie aurique et faire son propre égrégore que l’on pourrait appeler “énergie de guérison”, et qui va se mêler à l’énergie aurique du malade visé, le rendant ainsi beaucoup plus fort, pour se battre contre la maladie ! 
 
 
 
Pour le travail, c’est la même chose : vous travaillez dans une entreprise qui vous demande de constituer un groupe afin de réaliser un projet. Si, dans votre groupe, chacun est soudés, “sur la même longueur d’onde aurique”, votre projet sera terminé en un rien de temps, et vous bénéficierez des honneurs de vos employeurs. Par contre, si dans le groupe existe une ou plusieurs “brebis galeuse”, l’énergie développée par votre groupe sera quasiment nulle ou très négative, les idées manqueront, votre travail n’avancera pas et le moral de vos “troupes” sera au plus bas ! Vous essuierez ainsi un cuisant échec auprès de vos responsables. Que se sera-t-il passé ? L’énergie développée par ce groupe à la base “malsain”, sera inexistante, voire malsaine. La meilleure solution aurait donc été que vous fassiez le travail seul, ce qui aurez été plus long, mais beaucoup moins difficile, étant donné que vous n’auriez subi aucune entrave à sa réalisation, contrairement à ce qui se sera passé dans votre groupe aurique négatif. 
 
 
 
L’efficacité d’un Egrégore aurique repose sur la cohérence du groupe. Cohérence au niveau de l’identité, des objectifs, cohérence dans le temps et par delà le temps. 
 
 
 

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NURITION DE L’ÉGRÉGORE 
 
La puissance d’un égrégore dépend de sa « masse psychique concentrée ou mobilisée ». 
 
 
La puissance et la nature de ces courants émis déterminent la qualité de la forme pensée aurique. Plus elle est alimentée et plus son rayonnement s’étend. En contrepartie, moins elle est nourrie et plus sa force s’affaiblit. C’est ainsi que les égrégores se créent, se développent, puis s’anémient et disparaissent. La durée de vie d’un égrégore dépend des paramètres identiques à ceux de toutes institutions humaines. Plus elles sont vitalisées auriquement, plus on leur porte de l’intérêt et plus elles se renforcent. Dans le cas contraire, moins elles sont fertilisées et moins elles sont susceptibles de battre des records de longévité. 
 
 
Un égrégore, nourrit par des millions de gens et ce, sur un laps de temps considérable (bien que le temps soit modifié voir inexistant dans la plupart des autres plans), peut être devenu indépendant et capable de se régénérer en se nourrissant des énergies de ses “esclaves”, le chi. Peut-être même un égrégore peut-il développer un conscience, et ainsi devenir redoutable.  
Les mêmes lois régissent le domaine matériel et le domaine psychique. Ce qui vaut pour l’un, vaut pour l’autre. Il n’y a aucune différence. Il en va bien évidemment de même pour ce qui touche au monde spirituel. 
 
 
En tant qu’humain “moyen” ou non initié, la seul chose qu’on puisse faire pour lutter contre un égrégore, c’est savoir se contrôler: ses sentiments, émotions, pensées. Le fait de penser à un égrégore, on le nourrit. Détester, haïr, aimer, idolâtrer, prier, etc, on le nourrit. 
 
 
Les égrégores, on ne les ressent pas, on les subit, en tant qu’humain “moyen”, c’est tout ce qu’il y a à faire. Il parait que seul un mage initié peut lutter “activement” contre un égrégore.  
Pour cela, les dirigeants de ces cercles organisent des rassemblements, des meetings, des cultes… Afin d’augmenter le pouvoir de l’égrégore, on a recours à des rituels qui sont des formules, des prières, des invocations, la visualisation d’une image qui se concrétise, l’encens, les chaînes d’union, les courants mentaux… 
 
 
A travers la croyance que nous avons mise sur le sang, celui-ci libéré sous forme de sacrifice accroîtra sa vitalité et certaines sectes utilisent ce procédé, de même que certaines religions animistes et nos anciennes pratiques religieuses mais aussi lors du sacrifice du mouton pendant la fête de l’Aïd chez les musulmans. Ce sacrifice leur permet ainsi de renforcer la vitalité de l’égrégore. Les masses non- familiarisées avec ce concept n’y voient pourtant là qu’une banale tradition…  
La vie matérielle de l’égrégore est assurée par le nombre des membres d’un groupe, par leur discipline, leur union, leur stricte observance des rituels, mais aussi par les courants de sympathie ou d’antipathie du monde.. 

L’Egrégore tire son énergie de l’énergie aurique psychique de chacun des membres de la communauté qui le nourrit auriquement par l’idée première. Étant autonome, il perdure tant qu’il est alimenté. Et pour nourrir un égrégore aurique, quoi de mieux que le recours à la Tradition qui assure le maintien des formes à travers le temps. Ainsi, se relier à une tradition ancienne, c’est pouvoir encore bénéficier ou subir l’énergie d’un égrégore du passé. Chaîne qui relie les adeptes d’une société par-delà le temps et l’espace. 
 
 
 
C’est l’Égrégore qui donne sa coloration, son esprit, son “ambiance” à une assemblée humaine. L’énergie disponible sur un chemin spécifique dépend de la qualité d’intégration de l’individu à l’Égrégore aurique qui préside à ce chemin. Mais toute médaille à son revers : ce qui relie est aussi ce qui enchaîne. Ce qui peut être une aide dans une voie spécifique est également une entrave pour tous ceux qui veulent s’en écarter. On comprend pourquoi les religions se battent pour convertir les masses à leur cause. Pour Bernard de Clairvaux (1090-1153) grand prédicateur de la 2ème croisade (1147-1149) c’était on ne peut plus clair « le baptême ou la mort » ou encore « conversion ou extermination ». Vous pouvez imaginer aisément que le système avait crucialement besoin d’énergie vitale pour porter ses égrégores qui n’ont rien à voir avec le bien ou le mal tout comme des bras pour 
 
porter le fusil. Car le nombre réel de bénéficiaires de tels égrégores ne peut pas à lui seul fournir une aussi importante « masse psychique concentrée » pour les alimenter…  
QUAND L’ÉGRÉGORE DEVIENT “ENTITÉ”
Selon certains auteurs, l’égrégore serait doté d’une véritable personnalité ! 
 
Cette “entité psychique” naîtrait d’un ensemble d’individualités réunis autour d’une même action. 
 
 

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Cette entité psychique collective est composée de toutes les entités individuelles, sans en être la somme, mais bien une entité indépendante de tous ses composants. 
 
L’égrégore aurique formerait donc une entité produite par un puissant courant de pensées collectives. C’est également un artificiel, mais énorme et puissant, étant donné qu’il est produit collectivement, et dont les manifestations peuvent être indifféremment bonnes ou mauvaises. 
 
Cette entité est produite par la dévotion, le fanatisme, l’enthousiasme. Les grandes idéologies politiques, les religions sont des égrégores. Cela nous fait penser aux égrégores produits par les sectes religieuses, les matchs de football et les discours d’Hitler…  
Selon Eliphas Levi, « les égrégores sont des dieux…Les agragores sont des esprits moteurs et créateurs de formes. Ils naissent du respire de Dieu ». Ou encore : « les égrégores de la terre sont les génies de la mer et des montagnes ; pour les anciens
 
c’étaient des dieux, pour la kabbale ce sont des esprits mortels ignorants et sauvages, 
 
 
parce que la terre est un monde des plus imparfaits » 
 
Ils sont des esprits moteurs et créateurs de formes ?. Ils naissent de la respiration aurique de dieu…  
Ce que l’on peut retirer de cette interprétation un peu métaphorique d’E.Levi ; c’est que l’égrégore a une vie aurique propre capable d’influencer les humains et la marche de l’histoire. 
 
” Les égrégores sont des créatures psychiques artificielles, créées par la pensée unanime d’une réunion d’individualités dynamisées et entretenues en vie par des rites, voire des sacrifices et qui acquièrent une puissance occulte d’action en rapport avec celles des impulsions qui leur sont suggérées par leurs animateurs. “ 
 
 
 
Dans son livre « Le Grand Livre de la Wicca et de la Sorcellerie Bénéfique » (Ed. Dynapost), Jacques Rubinstein relate l’expérience qu’il eut la possibilité de faire au cours d’une émission sur France inter, présenté par Marie Christine Thomas et Jacques Pradel : 
 
 
 
“(…) ce soir là un “dieu” fut créé, féminin du nom de Véronica. Ce Dieu fut crée pour avoir 24 heures de vie. Là ne s’arrêta pas l’expérience car nous décidâmes ensemble, les journalistes et moi-même, de faire agir Véronica; on lui donna mission de supprimer dans la minute même, toute douleurs à ceux qui , à l’écoute, souffraient quelque part en leur corps physique. On indiqua aussi au public qu’il pouvait demander différentes choses à Véronica, dont l’action dans 24 heures ne pouvait se révéler que quelques jours ou semaines plus tard. Enfin, on demanda au public d’écrire. Cette expérience fut suivie par des gens groupés à Marseille, à Bordeaux, etc… Certains savants dont je tairai le nom pour éviter les moqueries déplacées, suivirent aussi l’émission. C’est par centaines et centaines que les lettres sont arrivées et arrivent encore. Le côté le plus marquant de l’expérience fut bien sûr le plus immédiat, celui de la cessation de toute douleur ! Ensuite venaient des résultats absolument inattendues et ce dans tous les domaines…” 
 
MORT ET DÉSACTIVATION DE L’ÉGRÉGORE 
 
Faute d’être entretenu et nourri régulièrement, un égrégore se 
 
désagrège et meurt car il n’est pas autonome comme on peut le voir. 
 
Il est également très difficile de se détacher d’un égrégore. 
 
L’égrégore aurique devient une entité très puissante qui a sa vie propre et elle se détruit difficilement. Si on désire l’éliminer rapidement, il faut avoir recours à l’incinération de tout ce qui la concerne. Il est prescrit de procéder de façon inverse à celle qui est à l’origine de l’attachement. Ainsi, s’il y a eu une cérémonie d’initiation, lors de la liaison avec l’égrégore, il faudra alors procéder de façon inverse, mais identique pour produire le détachement. 
 
 
 
Cependant, les réactions de l’égrégore à l’égard de la cellule expulsée sont parfois très dangereuses pour l’homme concerné. La meilleure façon de se protéger serait d’adhérer à un concept de force équivalente, ne serait-ce que pour un temps… 

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Le péché est l'égrégore qui nourrit le mal alors que la piété nous apporte la lumière et nous purifie ,imaginez l'énérgie généré a chaque impulsion electromagnetique sur le net ou on commence par faire allegence au 666 WWW ensuite le mot le plus recherché sur internet et sex ou porno je vous laisse imaginer le genre d'entité qui vont et viennent a travers ce gate avec une recrudescence de cas demprise et de cauchemards générés de nos jours avec lapport dun tel piège énérgétique ,le mal n'existe que par les pensées parasites ou suggestions qu'ils nous envoient et a laquelle l'homme réponds ou refuse d'y répondre "   Et quand tout sera accompli, le Diable dira : “Certes, le seigneur  vous avait fait une promesse de vérité; tandis que moi, je vous ai fait une promesse que je n'ai pas tenue. Je n'avais aucune autorité sur vous si ce n'est que je vous ai appelés, et que vous m'avez répondu. Ne me faites donc pas de reproches; mais faites-en à vous même. Je ne vous suis d'aucun secours et vous ne m'êtes d'aucun secours. Je vous renie de m'avoir jadis associé " S.Abraham coranil est évident en ôtant la barrière morale et religieuse des gens, ils répondront de plus en  plus a son appel jusqu'à même le dépasser a tel point que le diable apprend de nos jours des hommes lui l'enseignant de la première heure le mal heure ou le leurre du mal pour faire perdre foi a l'homme en sa destiné en le faisant désespérer de la miséricorde de son créateur....Rjames
 
Sources : 
 
« LES ÉGRÉGORES Forces psychiques des groupes humains », d’Alain Brêthes 
 
« TRAITÉ DU DÉSENVOUTEMENT, CONTRE-ENVOUTEMENT & DE L’EXORCISME », de Pierre MANOURY 
 

http://agentssanssecret.blogspot.fr/2012/05/la-realite-des-egregores.html



"La vérité vous rendra libres"
Jésus Christ, conspirationniste (Jean 8:32

13 avril 2016

Les étranges pouvoirs des lamas tibétains

Dunkelretreat-Hand

Les étranges pouvoirs des lamas tibétains
QUAND LES IDEES PRENNENT FORME
L'idée selon laquelle l'esprit est supérieur à la matière et distinct d'elle se retrouve dans de nombreuses civilisations. Les religieux tibétains, notamment, croient en l'existence d'un principe spirituel capable de créer des formes mentales visibles par tous, les tulpas.
Jusque tard dans le cours du XXe siècle, le Tibet, le "pays des Neiges" comme le surnomment ses habitants, et notamment sa capitale Lhassa, restent interndits aux étrangers. rares sont donc les voyageurs qui parviennent à s'y rendre et à bénéficier des enseignements dispensés par les réligieux tibétains - les lamas. Alexandra David-Neel fait partie de ces privilégiés, et elle est le témoin de phénomènes étranges.
L'univers entier : une construction mentale ?
Après un long séjour dans les piémonts himalayens, c'est en juin 1912 que cette Française de quarante-quatre ans se rend dans les "Hautes Terres", le Tibet proprement dit. Elle consigne le souvenir de ce voyage et des suivants dans plusieurs écrits, dont le premier est le Voyage d'une Parisienne à Lhassa, publié en 1927. De nombreux passages du livre sont consacrés à un phénomène extraordinaire, que les Tibétains nomment "tulpa".
Le tulpa est, pour les Tibétains, la projection matérielle d'une forme conçue par l'esprit. C'est une "fantôme", si l'on veut, créé par le moine ou l'initié au terme d'une longue méditation. Il peut prendre la forme, indifférement, d'un animal, d'un paysage, d'un objet ou d'un homme. Ce n'est pas une simple vision, mais un phénomène doué de consistance physique, capable de dégager une odeur, d'émettre des sons, etc. Comme l'écrit Alexandra David-Neel dans Mystiques et magiciens du Tibet (1929) : "L'odeur d'un buisson de roses fantôme se répandra au loin ; une maison fantôme abritera des voyageurs en chair et en os, etc."
La création des tulpas est expliquée ainsi par les lamas tibétains. Selon leur conception du monde, l'univers autour de nous est une simple vision mentale : rien n'existe dans l'ordre du phénomène, si ce n'est conçu par l'esprit de l'homme. le but de l'initiation religieuse est d'élargir la capacité de conception de l'esprit humain : son aptitude à faire passer de l'ordre du potentiel - le vide physique, ou nouménal - à l'ordre du tangible, ou phénomènal, le plus grand nombre de réalités possibles.
L'enseignement des lamas
Accroître la puissance de production mentale est ainsi au centre de l'enseignement religieuc des Tibétains. Les exercices qui constituent la formation du jeune moine tibétain sont fondés sur la maîtrise de la respiration (qui lui permet de parvenir à la sérénité de l'esprit) et sur une pratique intense de la méditation. celle-ci s'appuie sur un kylkhor, diagramme dessiné sur une étoffe, inscrit sur du papier ou gravé dans la pierre.
Certains kylkhor, plus élaborés que d'autres, représentent de véritables mondes en miniature. En leur centre se trouve un personnage, une divinité tutélaire le plus souvent, appelée yidam. Au fur et à mesure de ses progrès, le jeune moine parvient à "animer" son kylkhor, c'est-à-dire à faire en dorte que les scènes qui y sont dessinées et sur lesquelles la méditation s'applique prennent réalité. L'élèvre parvient, au terme de son initiation, à comprendre que tout phénomène en ce monde n'est que mirage issu de l'imagination. Il peut dès lors maîtriser ses craintes et ses sensations.
Un lam parvenu à ce stade est censé, ainsi, pouvoir résister au froid au point de survivre à une nuit passée nu dans la neige : le sentiment de chaleur ou de froid apparaît en effet pour ce qu'il est - une illusion de l'esprit - qu'il combat par une autre illusion, en stimulant par sa volonté la chaleur interne de son corps. L'esprit, dès lors, n'a plus rien à redouter de la matière, il la contrôle entièrement et peut en jouer. La projection de tulpas s'inscrit dans cette logique.
Hallucination ou réalité ?
Que la forme physique appelée par les Tibétains tulpa soir le produit d'une simple hallucination est l'explication qui vient imméditement à l'esprit des Occidentaux. Mais il faut croire alors que cette hallucination est collective puisque, dans bien des cas, le tulpa est vu, non seulement par celui qui le suscite, mais aussi par son entourage.
Dans le monde tibétain lui-même, le tulpa est diversement interprété. pour certains lamas, c'est une forme physique à l'existence incontestable : ce qui signifie que l'esprit est capable de susciter des formes physiques. Pour d'autres cependant, la pensée de celui qui a créé le tulpa s'impose aux autres et parvient à leur faire voir ce qu'elle même perçoit : la création du tulpa relève donc d'un cas de suggestion très forte.
La création des tulpas
Les scéances au cours desquelles naissent les tulpas n'ont rien de comparable avec celles du spiritisme occidental : elles peuvent avoir lieu en plein soleil, et elle ne nécessitent nullement la présence d'un médium en transes.
Alexandra David-Neel raconte avoir été témoin de la création de ces formes mentales. En vue de ces occasions, elle a vu apparaître le "double" exacte de l'homme qui se livrait à l'expérience, et a pu même le toucher. La forme suscitée avait néanmoins peu de consistance et s'évanouit peu à peu. Dans un autre cas, elle vit se manifester le double d'un lama de sa connaissance, qui se trouvait alors à des kilomètres d'elle. Elexandra elle-même se préoccupa de vérifier la possibilité de procéder à une telle création. Au bout de quelques mois de concentration intense, elle parvint à susciter un personnage, qui, selon ses dires, fut vu aussi par des témoins. Mais son esprit peu expérimenté lui fit perdre le contrôle de sa créature ; l'aspect de celle-ci se modifia jusqu'à devenir extrêment inquiétant. A force d'efforts, Alexandra parvint à la chasser de son esprit, et elle disparut à jamais. mais il arrive parfois, disent les Tibétains, que l'apparition continue d'exister par elle-même et mène une vie indépendante de son créateur...

27 mars 2016

Les Archontes , Le corps éthérique et le corps physique

 

 

Il émet une aura (ou rayonnement) parfois appelée « aura de santé ou de vitalité ». Notons que certains clairvoyants confondent l’aura avec le corps correspondant (« astral », etc.). A la vision clairvoyante, le corps éthérique apparaît comme un corps de lumière constitué de millions de filaments lumineux ressemblant à des canaux conducteurs d’énergie.

 

On peut déceler, dans le corps éthérique, un « cœur éthérique », un « cerveau éthérique », etc., dans la mesure où il reproduit, globalement, les organes du corps physique.

 

Il constitue une partie de l’« éther cosmique » qui interpénètre tout ce qui existe. (Franz Anton Mesmer, au dix-huitième siècle, avait compris cela, avec son « fluide universel » et son « magnétisme animal »).

 

 

 

1. Les 4 « éthers » :

 

Le corps éthérique est constitué de 4 « éthers » : de chaleur, de lumière, de son ou chimique, et de vie.

 

Le corps éthérique, associé à tous les rythmes vitaux, est à la base, par exemple, du rythme de la circulation sanguine et de la respiration, par l’intermédiaire des éthers de lumière et de son (ou chimique), lesquels agissent principalement dans la zone de la poitrine.

 

Les éthers de chaleur et de lumière pénètrent par le chakra coronal (au-dessus de la tête), alors que les éthers de son et de vie pénètrent par les pieds. Selon Pierre Lassalle, l’éther de vie pénètre par les pieds dès le lever du Soleil, monte par le côté droit, atteint la tête vers midi, et redescend par le côté gauche au coucher du Soleil. Cette circulation éthérique est à l’origine de la direction du courant sanguin dans l’organisme.

 

Pierre Lassalle note aussi que :

 

1° L’éther de chaleur agit principalement dans le système métabolique et les membres de l’être humain.

 

2° L’éther de vie se concentre surtout dans la tête (système « neurosensoriel »).

 

3° Les éthers de lumière et de son (ou chimique) se partagent le système rythmique (cœur-poumons), l’éther de lumière oeuvrant surtout sur l’aspect « conscience », et l’éther de son travaillant davantage sur la nutrition.

 

Les corps éthériques ne sont pas tous identiques au niveau de la quantité de chaque « éther », cette particularité étant à l’origine du « tempérament », concept connu depuis l’Antiquité : le colérique a une dominante d’éther de chaleur, le sanguin ou nerveux a une dominante d’éther de lumière, le flegmatique a une dominante d’éther de son, et le mélancolique a une dominante d’éther de vie. (1)

 

 

 

2. Le corps éthérique selon Max Heindel :

 

L’occultiste Max Heindel (décédé en 1919) enseignait que la « force vitale » du Soleil est absorbée par le corps à travers la partie éthérique de la rate, où elle devient rose pâle et se répand ensuite le long des nerfs à travers tout le corps physique. Il fit lui aussi référence aux 4 « éthers » constituant le corps éthérique :

 

– L’éther chimique (permettant l’assimilation de la nourriture et la croissance).

 

– L’éther vital (pour la reproduction).

 

– L’éther-lumière (chaleur du corps physique, action sur le système nerveux et sur les muscles).

 

– L’éther-réflecteur (fonction de mémorisation).

 

L’extension du corps vital (ou corps éthérique) au-delà du corps physique, disait Max Heindel, est d’environ quatre centimètres, sa coloration étant à peu près celle d’une fleur de pêcher fraîchement éclose.

 

Le corps physique est construit dans la matrice du corps vital pendant la vie intra-utérine, sa forme étant déterminée par les lignes de force du corps vital, « tout comme celles qui existent dans l’eau préparent la formation des cristaux de glace au moment de la congélation ».

 

Pendant toute la durée de la vie, « le corps vital construit et restaure la forme matérielle ».

 

« Sans l’activité du cœur éthérique, le cœur physique succomberait rapidement sous l’effort constant que nous lui demandons. Tous les abus auxquels nous soumettons le corps matériel sont neutralisés, dans la mesure du possible, par le corps vital qui lutte sans cesse contre la désintégration du corps dense. » (M. Heindel)

 

Le corps vital de l’homme est de nature « négative » et celui de la femme est « positif ». Le fait que la femme « cède facilement à ses émotions est dû à la polarité de son corps vital positif ». Il produit « un excès de sang et la force à agir sous l’effet d’une pression intérieure »…

 

Si une personne se noie, tombe d’une certaine hauteur ou est sur le point de mourir de froid, le corps vital abandonne le corps matériel… Et il peut arriver que le corps vital se retire partiellement, comme dans le cas où notre bras garde une mauvaise position, ce qui entraîne la sensation de main engourdie. A ce moment, écrit Max Heindel, « on pourrait voir la main éthérique pendue sous la main physique comme un gant ».

 

« Quand le bras revient à une position normale où la circulation n’est plus entravée, la main éthérique reprend sa place et ses pointes provoquent cette sensation assez désagréable de picotement. » (M. Heindel)

 

Parfois, dans le sommeil hypnotique, « la tête du corps vital se divise en deux et pend en dehors de la tête physique, une moitié sur chaque épaule, ou bien s’affaisse en rouleau autour du cou… ».

 

L’administration d’anesthésiques ‘rejette hors du corps physique une partie du corps éthérique en même temps que les véhicules supérieurs’.

 

« Si la dose est suffisamment forte pour expulser l’éther vital, la mort peut s’ensuivre. On peut observer un phénomène analogue dans le cas des médiums à matérialisations. La différence entre un médium de ce genre et un homme ou une femme ordinaires est la suivante : chez l’homme et la femme ordinaires, le corps éthérique et le corps physique sont, en l’état actuel de notre évolution, étroitement unis, tandis que chez le médium la connexion des deux véhicules est lâche (…). Quand un médium abandonne son corps vital à des entités du Monde du Désir* qui veulent se matérialiser, le corps vital se retire généralement du sujet par le côté gauche, à travers la rate, qui est son ‘‘passage spécial’’. Les forces vitales ne peuvent plus alors circuler dans le corps physique, comme elles le font à l’état normal, et les médiums deviennent extrêmement faibles ; un très grand nombre d’entre eux ont recours à des stimulants pour combattre cet épuisement et deviennent petit à petit d’incurables ivrognes. » (M. Heindel) (* « Monde du désir » : le Plan – ou Monde – astral.)

 

Quand certaines parties du corps physique sont amputées, « seul l’éther planétaire accompagne la partie détachée », et la contrepartie éthérique d’un membre amputé « se désintègre graduellement en même temps que la partie physique, ce qui explique pourquoi un opéré soutient qu’il souffre encore du bras dont on l’a amputé ».

 

(Sur ce point, on notera que différentes explications psychologiques et physiologiques ont évidemment été données pour expliquer la sensation de « membre fantôme » : simple souvenir – ce qui n’explique pas la souffrance éprouvée -, impulsions nerveuses aléatoires dans le moignon subsistant, en particulier dans les « neuromas » ou modules se formant sur les terminaisons nerveuses, origine dans la moelle épinière, dans le thalamus et le cortex cérébral ; mais l’extraction chirurgicale des parties concernées ne fait pas disparaître la douleur. Rupert Sheldrake, par contre, fait intervenir une notion qui correspond à l’explication « occultiste » du « membre fantôme » : il parle de champs « localisés précisément là où semblent être les fantômes ». Ils peuvent « occuper un espace plus vaste que celui du corps de chair et de sang ». Référence : « Facteur X » n° 39, éditions Marshall Cavendish, p. 1085-1087.)

 

A l’âge de 7 ans, l’éther chimique est arrivé à complète maturité. (L’assimilation et la croissance dépendent des forces agissant au pôle positif de l’éther chimique du corps vital.) A la quatorzième année, l’éther vital, lié à la faculté de reproduction, est complètement mûr.

 

Le corps vital manifeste principalement son activité dans le sang, les glandes et le système nerveux sympathique.

 

Les 7 principaux « chakras », localisés dans le corps éthérique, sont en rapport avec un plexus nerveux majeur et une glande endocrine majeure.

Le « chakra » du front est en relation avec la faculté de clairvoyance.

L’anatomie des « chakras » a été décrite dans la littérature tantrique tibétaine et yogi, ainsi que dans la littérature médiumnique et ésotérique occidentale contemporaine, certains auteurs ayant apporté dans ce domaine leur contribution grâce à leur vécu psi (informations obtenues par la perception clairvoyante des champs énergétiques localisés autour du corps).

Certains chercheurs se sont aussi intéressés aux « chakras » : Hiroshi Motoyama, Valery Hunt, Pierre de Vernejoul…

La vitesse de rotation des « chakras », rapide et variable, est fonction de l’état de santé de la personne. L’énergie pénètre dans le noyau du « chakra », atteint la colonne vertébrale, puis circule le long des « nadis » connectés au système nerveux central.

Le système des « nadis » constitue l’interface des niveaux « astral » et physique, les « chakras » jouant par ailleurs un rôle important dans l’équilibre physiologique et endocrinien du corps physique.

Comme le champ éthérique, le champ « astral » possède 7 « chakras » majeurs. Le champ « astral » étant lié à l’expression émotionnelle, « les chakras astraux sont perturbés chaque fois que l’état émotionnel l’est », ce qui provoque un déséquilibre dans le corps physique. Si les endocrinologues reconnaissent que certains déséquilibres émotionnels sont liés à des types spécifiques de dysfonctionnement glandulaire, il leur reste à découvrir que l’activité hormonale des glandes endocrines majeures dépend de l’influence énergétique de leurs « chakras » respectifs.

Depuis la découverte des phénomènes électromagnétiques par Maxwell et Faraday au dix-neuvième siècle, on sait qu’un courant électrique engendre un champ magnétique et qu’un champ magnétique engendre un courant électrique. Le docteur Richard Gerber considère qu’il est possible, note Patrick Drouot, que « les énergies magnétiques éthérique et astrale traversant les chakras puissent créer des effets de champs électriques associés ».

« Ce qui expliquerait les découvertes des champs électrostatiques sur les chakras du Dr Hiroshi Motoyama, et vraisemblablement les oscillations électriques enregistrées sur la peau au niveau de ces mêmes chakras par le Dr Valery Hunt de l’UCLA. » (P. Drouot) (6)

L’étude du docteur Karagulla, sur plus de 200 patients, montre que des anomalies graves dans les couleurs, les rythmes, les luminosités, les formes, les textures des « chakras », indiquent un sérieux problème de santé qui doit résulter du développement d’une maladie par dérèglement endocrinien ou dans la partie corporelle dans laquelle le centre correspondant pourvoit l’énergie. A partir de 1986 – date à partir de laquelle il put percevoir ces vortex -, Patrick Drouot put voir des points noirs, des taches sombres. Dans des cas plus graves, il vit « les pétales rongés comme des feuilles de salade mangées par des insectes ».

L’harmonie des « chakras », dans les champs éthériques, « astraux » et mentaux, constitue un important facteur de santé. Une « lecture énergétique » a pour but « d’obtenir une description claire et précise du corps éthérique chez une personne en bonne santé et de noter les changements lorsque la dysharmonie (maladie) devient imminente ou encore survient ». Les observations du docteur Karagulla et de Dora Kunz montrent que le potentiel de maladies est important en cas de perturbations dans le rythme des centres énergétiques. Notons, au passage, que la clairvoyante Dora Kunz a perçu le corps éthérique de couleur gris-bleu pâle ou violet-gris, « avec des miroitements identiques à ceux perceptibles dans l’atmosphère un jour de grande chaleur ». (7)

 

5. Médecines vibratoires et corps éthérique :

Larry Dossey a distingué trois périodes historiques ou ères dans les thérapies :

– La « médecine matérialiste » (qui s’appuie sur la chirurgie et un arsenal de drogues).

– La médecine du « corps-esprit » (période au cours de laquelle l’esprit a été reconnu comme pouvant interférer avec les mécanismes du corps).

– La « médecine « non-locale » ».

Cette dernière est constituée des « thérapies vibratoires » tenant compte des « états subtils de la matière » et de la « physiologie multidimensionnelle » de l’être humain. Le but recherché est de « ré-harmoniser » le champ énergétique interpénétrant le corps physique.

Patrick Drouot se réfère à la « palpation vibratoire » des champs énergétiques entourant une forme de vie. Chaque organe physique semble avoir son « double énergétique », et il est possible de « lire » l’état véritable des organes dans la contrepartie énergétique. Lorsqu’un organe est infecté, « chargé », dysharmonique, il est possible d’y travailler dessus en pratiquant une forme de chirurgie « micro-vibratoire ».

Le corps physique est dépendant, sur le plan énergétique, du champ énergétique. Lorsque le corps éthérique est distendu, ‘dysharmonique’, « des codages vibratoires vont peu à peu abaisser leur fréquence propre » pour finir par provoquer des perturbations d’ordre physique. (8) D’où l’intérêt de la chirurgie « micro-vibratoire »

 

Le docteur Gabriel Cousens, maître de Reiki, considère que l’être humain est le foyer de plusieurs champs énergétiques : des champs d’énergie subtile à fonction organisatrice. Ceux-ci se déplacent à une vitesse à la fois supérieure et inférieure à celle de la lumière, et agissent comme des vortex synchronisant « les vibrations d’énergie cosmique plus rapides que la vitesse de la lumière, et celles du corps beaucoup plus lentes ». Si ces champs s’affaiblissent ou se désorganisent sous l’effet de tensions émotionnelles, par exemple, il en résultera la maladie. L’affaiblissement et la désorganisation de ces champs activent le processus du vieillissement (accroissement de l’entropie), et leur stimulation constitue un facteur de régénération et de guérison (inversion du processus d’entropie)

http://www.mondenouveau.fr/le-corps-etherique-le-corps-spirituel-et-les-plans-de-conscience/

l e pouvoir du contrôle de l’ esprit de l’homme s’effectue depuis ses sept centres énergétiques et les centres énergétiques de la terre ( vortex ). C elui qui contrôle les vortex contrôle l’esprit de la terre et l’esprit des hommes, et celui qui contrôle les sept centres énergétiques de l’homme, contrôle directement son esprit et son âme .

Archons

un verset qui nous parlent des serviteurs du diable qui travaillent a son service dans la destruction de l'harmonie de la terre et du controle de l'énergie des hommes " La promesse qu'il fit lors de sa chute .....

"Certainement, je saisirai parmi Tes serviteurs, une partie déterminée. Certes, je ne manquerai pas de les égarer, je leur donnerai de faux espoirs, je leur commanderai, et ils fendront les oreilles aux bestiaux; je leur commanderai, et ils altéreront la création du seigneur . Et quiconque prend le Diable pour allié au lieu du seigneur, sera, certes, voué à une perte évidente. Il leur fait des promesses et leur donne de faux espoirs. Et le Diable ne leur fait que des promesses trompeuses. Voilà ceux dont le refuge est l'Enfer. Et ils ne trouveront aucun moyen d'y échapper ! » Coran 4/118 - 121

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L a coalition avec les hommes de pouvoir et les sorciers favorise la corruption à la fois physique et métaphysique , l’énergie vitale de nos sept centres à travers les aliments, le s boissons , la télévision , les jeux de hasards , les cauchemars, le fait de manger dans le rêve car tout ce qu’on mange dans le rêve est fort possible d’être un sort mangé, afin de mieux étendre leurs autorités et celle du diable sur nos vies . L’objectif final est de t ransformer toute la terre en énergie néga tive avant la sortie de l'antéchrist , le scellage se fait via les désirs  et les passions celui qui aime les sorties et les mondanité son esprit sera scellé dans l'alcool ou la drogue et ainsi de suite ce qui a pour effet de detruire son aura et son questionnement spirituel ,ce qui amenera le veritable controle de son esprit et cela depuis l'astral le siege se trouvant dans le triangle des bermudes juste a l'opposé de la vallée de baka  .

La manipulation de l'énérgie humaine lors de match de foot qui générent beaucoup d'emotion negative et de stress alcool et violence sont souvent là pour accentuer cette transformation de l'energie qui sera canalisée par les obelisques souvent placés en pleine foule lors de fan zone insidueusement......

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foule en totale excitation comme posédée par un simple match ,ils vont gagner quoi a la fin ?

 

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9 octobre 2014

DOC : Mondes intérieurs, Mondes extérieurs tout est Unité, tout est vibration

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« Mondes intérieurs, mondes extérieurs » est un document en 4 parties qui propose une synthèse vulgarisée de ce qu’on peut appeler la Conscience spirituelle, tandis que nous réalisons aujourd’hui que la science et les différentes traditions spirituelles et religieuses à travers l’histoire convergent vers la même conclusion : tout est Unité, tout est vibration, l’univers, la matière, l’être humain, la Conscience.Il  y'a a pendre et a laisser dans ce doc  akasha orienté new age ,je vous invite a faire preuve de discernement .

 

Partie 2 : La spirale

« Chaque scientifique qui approfondit l’univers et chaque mystique qui fait une introspection profonde finit par être confronté à la même chose : la spirale originelle. [...] La spirale originelle n’est pas une idée mais plutôt ce qui rend toute condition et toute idée possibles. »

De la nature aux nanotechnologies, cette spirale est partout. C’est une structure dynamique universelle créatrice de mouvement, de circulation, de changement, d’évolution. C’est aussi le lien qui relie les mondes intérieurs aux mondes extérieurs.
Cette partie du documentaire propose les plus belles images, nous interpellant sur la beauté de la nature et son incroyable perfection mathématique.

 

Partie 3 : Le serpent et le lotus

Que signifient les symboles du dragon, du lotus ou du serpent et de l’oiseau qu’on retrouve dans presque toutes les traditions anciennes de par le monde ?

Cette 3ème partie nous interpelle sur les symboles relatifs à nos mondes intérieurs et la connaissance ancestrale que l’homme moderne a choisi d’oublier, s’identifiant exclusivement à ses pensées et au monde matériel.

« La connaissance ancienne est ici, elle nous entoure, cachée à la vue de tous, mais on est trop absorbé par nos pensées pour la reconnaître. Cette sagesse oubliée est la voie qui restaure l’équilibre entre l’intérieur et l’extérieur, le yin et le yang, entre la spirale du changement et le calme dans notre cœur. »

Partie 4 : Au-delà de la réflexion

Saviez-vous que si vos pensées engendrent la peur, l’inquiétude, l’anxiété et la négativité, vous stimulez votre réseau neuronal à produire d’avantage de pensées similaires ? Si vos pensées engendrent par contre l’amour, la compassion, la gratitude et la joie, vous stimulez le réseau à reproduire ces expériences.

La dernière partie nous invite à mieux comprendre comment fonctionnent nos pensées et à questionner la place de la réflexion dans la quête de bonheur.

Certaines cultures considèrent la pensée comme un sens, un outil comme un autre au service de notre expérience humaine. Les pensées nous parviennent au moment même ou le corps ressent des sensations. Elles proviennent de la même source vibratoire. Mais Nous l’avons élevé à un tel niveau que nous nous identifions avec nos pensées.  »A quoi cela sert-il de penser autant si cela ne mène pas à un bonheur plus grand ? [...] Penser, agir et faire doit s’équilibrer avec être. Après tout nous sommes des êtres humains, pas des faits et des gestes humains. »

9 mars 2014

L'auréole des saints ou hologramme énergétique existe.

1SzU4HFY_istock_000000419371xsmall_s_D'habitude, les enveloppes énergétiques sont invisibles. Mais dans certaines conditions, il devient possible de faire luire le premier hologramme, surtout sa partie qui entoure la tête. Cela tient au fait que les chakras supérieurs sont plus saturés d'énergie. La puissance énergétique de la première enveloppe correspond à quelques fractions d'électron-volt. Cela suffit à provoquer une faible luminescence dans le spectre optique d'ondes. Mais pour y parvenir, il faut communiquer une grande quantité d'énergie aux chakras supérieurs. Cela signifie que l'homme doit mener un mode de vie particulier : se délivrer des viles passions et faire en sorte que ses pensées sentiments et actions soient nobles et élevés. Alors, en excitant la première orbite de quelques fractions d'électron-volt, l'énergie des chakras supérieurs fait apparaître autour de la tête d'un tel homme (un saint par exemple) une auréole lumineuse visible à ceux qui l'entourent.

Dans la peinture chrétienne, on représente en qualité de nimbe la partie supérieure de l'hologramme, celle qui est située autour de la tête. Dans les temples bouddhiques, on peut trouver des images montrant la luminescence de toute l'enveloppe.

Les documents bouddhiques anciens parlent de sept corps de l'homme, dont l'un est dense et les six autres, subtils. Le premier hologramme s'appelle "corps éthérique" ; le deuxième, "corps astral" ; le troisième, "corps mental" et ainsi de suite. Selon l'hypothèse leptonique, le nombre d'hologrammes peut être encore plus grand.
Mieux, il y a lieu de croire que les hologrammes entourent non seulement les gens et les autres êtres vivants, mais aussi les objets inanimés.

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