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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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1 juillet 2019

Spiritualité et énergie : La prière permet d’émettre des ondes scalaire et de recevoir de la lumière

LA DÉCOUVERTE DES VAGUES SCALAIRES

Tout a commencé au 18 ème siècle avec un Écossais nommé James Clerk Maxwell (1831-1879).

 

Il était un génie mathématique et ses travaux ont conduit au développement de la physique quantique qui a conduit plus tard à la relativité d'Einstein. Les équations de Maxwell associaient électricité et magnétisme et il a découvert d'autres ondes plus élevées que les ondes électromagnétiques hertziennes normales. Elles sont positionnées perpendiculairement aux ondes électromagnétiques et sont omnidirectionnelles, tandis que les ondes électromagnétiques hertziennes normales ne peuvent être mesurées qu’avec un équipement normal et se déplacent en ligne droite.

 

On les appelle aussi ondes gravitiques car elles appartiennent au champ gravitationnel. (Voir le glossaire pour d'autres noms pour les ondes scalaires) Le spectre électromagnétique de Maxwell est allé plus haut que notre réalité physique 3D et dans l'hyperespace où existent de fines ondes scalaires indiscernables. (Maxwell a dit qu'ils coulaient dans l'éther / l'hyperespace). Les ondes scalaires sont si fines qu'elles ne font qu'un cent millionième de centimètre carré de largeur, donc plus fines que les rayons X et les rayons gamma.

 

Ils peuvent également être manipulés dans différents types de modes et de fréquences.

 

À la mort de Maxwell, ses travaux ont été interprétés par trois experts (dont Hertz) qui ont jeté les bases de la physique. Ils ont donc décidé que toute onde dépassant ce qui pouvait être mesuré avec un instrument de cette époque était "mystique" et donc sans valeur.

 

Selon Tom Bearden , la physique standard (à partir de ce moment-là) en tant que discipline comportait vingt-deux erreurs.

 

Nikola Tesla (1856 ou 1857-1943), un génie yougoslave devenu citoyen américain en 1891, poursuivit les travaux de Maxwell. Tesla travaillait pour Thomas Edison, qui a inventé le courant continu, tandis que Telsa a inventé le courant alternatif, mais les deux hommes ne s'entendaient pas bien et se séparaient.

 

Tesla a ouvert des laboratoires à Long Island et à Colorado Springs et a appris à exploiter les ondes scalaires d’un émetteur à l’autre sans utiliser de fil. Il recevait un soutien financier partiel de JP Morgan, propriétaire des nouveaux projets d’électricité, mais Morgan ne souhaitait pas perdre toute son activité d’électricité en permettant aux gens de puiser dans le vide de l’énergie pure (hyperespace) pour obtenir le leur (ce qui est maintenant le cas). appelé "énergie libre" sans frais. À cette époque, Edison avait besoin d’une centrale de dix étages, occupant un pâté de maisons entier pour fournir de l’électricité à un kilomètre carré de clients.

 

Tesla a identifié ce qu'il a appelé "énergie radiante" ou "téléfonction" en 1889. Il a été découvert lors d'expériences que Tesla avait faite pour reproduire ce que l'Allemand Heinrich Hertz avait fait en 1887, prouvant l'existence d'ondes électromagnétiques.

 

Lors de la copie des expériences de Hertz, Tesla a expérimenté des décharges électriques à courant continu violemment abruptes et a découvert de l'énergie scalaire, une nouvelle force. En 1904, Tesla annonça qu'il avait achevé son travail en utilisant des ondes scalaires pour transmettre de l'énergie sans fil, mais malheureusement, lorsqu'il essaya d'obtenir de l'aide, un échec se produisit.

 

Il a été poursuivi pour sa facture d'électricité de laboratoire de Colorado Springs , et son laboratoire a été démoli. Il a également été poursuivi pour non-paiement d'un prêt de son avocat et ses problèmes financiers ne se sont jamais apaisés.

 

"à la fin des années 1960, Lisitsyn rapporta que les Soviétiques avaient violé le" code génétique "du cerveau humain. Celui-ci avait 44 chiffres ou moins, et le cerveau utilisait 22 bandes de fréquences couvrant presque tout le spectre EM. Mais seulement 11 de la fréquence les groupes étaient indépendants.

 

Ce travail implique que, si 11 canaux de fréquence corrects ou plus peuvent être «verrouillés en phase» dans le cerveau humain, il devrait être possible d'influencer considérablement les pensées, la vision, le fonctionnement physique, les émotions et l'état de conscience de l'individu, même de très loin.

 

On a observé que jusqu'à 16 porteurs géants du pic soviétique effectuaient une modulation commune à 10 Hz à verrouillage de phase. Beck, Rauscher, Bise et d'autres l'ont démontré: ils sont capables de s'entraîner physiquement ou de "verrouiller en phase". "le cerveau humain, si plus fort que la résonance Schumann du champ magnétique de la Terre.

 

Un cerveau humain entraîné par une modulation commune à 10 Hz à verrouillage de phase sur 16 fréquences porteuses aurait effectivement 16 canaux de fréquence bloqué en phase dans celui-ci. La possibilité d'utiliser les émetteurs de Woodpecker pour verrouiller en phase un pourcentage appréciable de cerveaux humains dans une zone ciblée, puis induire dans la population des effets similaires et encore plus dramatiques que ceux du personnel de l'ambassade des États-Unis à Moscou devrait être fortement soulignée en dehors.

 

Couplé aux travaux de Kaznacheyev sur la transmission EM de la mort et de la maladie cellulaires, l’utilisation des signaux de Pics pour induire la mort et la maladie dans la population ciblée peut également être une possibilité distincte. La modification de l’ADN / ARN et des virus eux-mêmes est également une possibilité. "

Sur le site http://www.umf.net/umf/, ceci a été trouvé:

"Dans les années 1950, ITT a mis au point une technologie de détection capable d'afficher littéralement ce qu'une personne pensait. Il s'agissait essentiellement d'une machine de lecture de l'esprit. Elle fonctionnait selon le principe de capter les fonctions électromagnétiques de l'homme et de les traduire sous une forme compréhensible.

 

Il s'agissait d'une chaise dans laquelle une personne pouvait s'asseoir. Des bobines, qui servaient de capteurs, étaient placées autour de la chaise. Il y avait également trois récepteurs, six canaux et un ordinateur Cray 1 qui permettait d'afficher ce qui était dans la tête d'une personne, de manière numérique ou sur un écran. "

Retour à la table des matières
 

 

 


15. INDUCTION DE MALADIE

Bearden dit que les faisceaux scalaires peuvent également être utilisés pour induire des maladies en imitant les modèles de maladie ou les «signatures» en les recréant sur les porteurs scalaires. Celles-ci sont appelées «armes potentielles quantiques».

 

Des effets biologiques spécialement conçus peuvent être utilisés pour attaquer toute population atteinte de diverses maladies, même de multiples maladies ensemble. Il énumère les effets induisant une mort instantanée, une crise cardiaque, une grave perturbation émotionnelle, une perte de contrôle des fonctions internes, des maladies, une déficience du système immunitaire et même l'implantation de pensées, d'émotions ou d'idées interprétées comme un sujet ciblé.

 

Il existe également une vibration suicidaire qui a été utilisée pour se débarrasser des personnes, sans aucune preuve.

 

10 Hz est la longueur d'onde utilisée par les agences de renseignement pour hypnotiser. Ainsi, l'hypnose de masse peut être induite dans une population entière par l'ajout de mots subliminaux dans leur propre langue. Ceci peut être utilisé pour voter. Bearden dit que presque tous les types de mort et de maladies cellulaires peuvent être transmis électromagnétiquement par des faisceaux scalaires utilisant des fréquences ultraviolettes à infrarouges.

 

Il écrit que les photons eux-mêmes peuvent porter la mort et la maladie entre les cellules. La technologie Scalar EM permet la synthèse du motif potentiel réel des cellules de biochimie.

 

Cela peut être fait pour produire une maladie cellulaire particulière ou un mécanisme de mort et même activer des maladies génétiquement latentes. On a trouvé des preuves de symptômes manufacturés et de la mort cellulaire qui en résulte, de la radiation nucléaire, d’un empoisonnement chimique, d’une infection bactérienne, ainsi que de symptômes d’hallucinations induites par un médicament.

 

Même la voix de «Dieu» a été produite.

 

Pour citer Bearden:

"Le Dr Popp, Allemagne de l’Ouest, a analysé le système de contrôle maître de photons virtuel des cellules. Scalar EM représente l’ordre délibéré du flux de particules virtuelles en modèles déterministes, de sorte que le système de contrôle maître peut être facilement entré avec des techniques scalaires volonté".

Sur le site il y a plus de données:

"Les armes scalaires à grille d'interférence peuvent être utilisées pour attaquer biologiquement des populations entières dans une zone ciblée.

 

Il suffit de dire que des signaux de modulation ELF à verrouillage de phase de 10 Hz et moins sont souvent détectés simultanément sur plusieurs fréquences de Woodpecker. Dans une zone cible, cette modulation - est suffisamment plus forte que la résonance Schumann du champ magnétique terrestre - entraînera un pourcentage des cerveaux dans un "entraînement forcé". Dans ce cas, ces cerveaux humains sont "synchronisés" avec les signaux de Woodpecker, de sorte que plusieurs fréquences cohérentes y sont verrouillées en phase.

 

C'est-à-dire qu'il existe maintenant plusieurs canaux EM cohérents directement dans ces cerveaux entraînés. À ce stade, les extensions de Fourier peuvent désormais être utilisées pour attaquer géométriquement des parties spécifiques du cerveau. "

Le site indique que les schémas de la maladie EM scalaire peuvent être modulés sur les porteurs, là encore avec des extensions de Fourier et que des effets biologiques spécifiques peuvent être induits dans les populations entraînées à volonté, par la technologie russe.

 

Cependant, HAARP peut faire la même chose. Les effets sont la mort instantanée, une crise cardiaque, une perturbation émotionnelle grave, une perte de contrôle des fonctions internes, des maladies, un système immunitaire invalidant et même l'implantation de pensées, d'émotions et d'idées interprétées par les sujets comme étant les leurs. Freedom Domain a également déclaré que, lors de milliers d'expérimentations, d'un homme appelé Kaznacheyev, émetteur de Pics, avait démontré que presque tous les types de mort cellulaire et de maladie pouvaient être transmis de manière électromagnétique.

 

Kaznacheyev a rapporté l'effet dans le proche ultraviolet.

 

Des expérimentateurs de l'Université de Marburg en Allemagne de l'Ouest ont dupliqué les expériences dans l'infrarouge. Les photons eux-mêmes peuvent véhiculer des schémas de mort et de maladie entre les cellules. La technologie EM scalaire permet la synthèse du schéma "potentiel" réel, qui représente le contrôle total de la charge et la distribution de la charge, de la biochimie dans la cellule, d'une maladie particulière ou d'un mécanisme de mort.

 

Les expériences comprenant le potentiel quantique de Kaznacheyev ont induit des symptômes, notamment la mort cellulaire due à la radiation nucléaire, un empoisonnement chimique, une infection bactérienne et d'autres mécanismes. Le Dr. Popp de l'Allemagne de l'Ouest a analysé le système de contrôle de photon maître virtuel des cellules.

 

Étant donné que la scalaire électromagnétique représente l’ordre délibéré du flux de particules virtuelles en modèles déterministes, le système de commande principal peut facilement être entré avec des techniques scalaires pour induire la maladie et le désordre à volonté.

 

Tesla continua son travail alors qu'il n'avait pas d'argent et mourut dans une chambre d'hôtel à New York en 1943, bien que Preston Nichols, dans son livre « Encounter in the Pleiades », affirme qu'un vagabond a été incinéré à sa place et qu'il existe des preuves que il a été emmené au Royaume-Uni.

les 5 prières des musulmans sont le moyen de capter l'énergie scalaire qui arrive sur terre a des moments précis ou le vortex de la mecque est ouvert ,voila la raison des prières a heures précises si l'énérgie leur parvient effectivement a des heures aussi précise qui a pu leur indiquer ce secret ,certainement pas un

homme d'ailleurs très peu de musulmans ne connaissent ce mystère , que la science n'a pas encore exploré comme il le faudrait ,et ce nest pas pret d'arriver car on va certainement pas vous révéler a quoi sert la spiritualité spirit esprit et ritualité un rituel pour respecter le processus nécessaire a la quete d énergie lumineuse et bienfaitrice.....c'est l'énergie vitale de toute creatures vivantes tout ce qui est vivant ne l'est que grace a l'énergie de celui qui est a l'origine de  toute vie .....

Donc le fait de prier ou de méditer, non seulement nous met en résonance avec la source d’énergie infinie et nous permet de nous synchroniser a tout ce qu'il ya de vivant sur terre  – via le 7,82 Hz de la terre tous connectés par nos coeur qui vibrent sur la meme frequence ..– , mais en plus, cela nous permet d’ouvrir nos mains-antennes et de concentrer ce champ ambiant tout proche de nous, bien plus que si ce geste était négligé …

en posant leur front  sur le sol en direction du vortex il capte via leur  glande pinéale l'énergie scalaire indispensable a la vie et se régénère a la fois biologiquement et sur un plan étherique  ....Si les hommes pouvaient voir cette lumière

pénétrer leur corps et les purifier qui pourraient nier l'existence d'une source pure et bienfaitrice a l'origine de ce phenomène qui ne laisse aucune place au hasard de la survenue de la vie et de sa preservation .Rjames

amour

La méditation comme la prière sont donc des états de conscience modifiés qui nous rapprochent de notre planète d’une part, qui nous chargent littéralement en énergie telluro-cosmique par résonance. Au-delà, dans cet état de calme intérieur, une résonance plus spirituelle, donc plus spécifiquement humaine, peut être trouvée, ce qui correspond à un autre type de source d’énergie, plus mentale et moins cosmique, mais il s’agit bien là d’une énergie très concrète. Une source qui nourrit tout autant sinon plus … Mais autant le soleil est unique pour tous, autant chaque priant a une source spirituelle signifiante pour lui, avec laquelle il entre en résonance selon sa culture et son éducation, qui n’est pas forcément celle de son voisin ; quand votre coeur aime son createur et vous pensez a lui votre coeur génére des ondes scalaires qui vous connectes instantanement a lui vous ressentez en retour une énergie si pure que vos yeux ne peuvent contenir leur larme c'est le signe que la connection a bien été faite ,le temps n'existe que pour la matière, tout esprit et hors du temps, méditez et explorez les mondes qui sont cachés juste là ou on ne les cherches plus ....dans le coeur de celui qui croit  ,et dans cette croissance il s'élève a la hauteur de sa foi .....rjames

 

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5 août 2017

Le secret final de l'énergie libre

CouvertureSecretFinal

 

THE FINAL SECRET OF FREE ENERGY

© 1993 T. E. Bearden

Version française - version dubbed into french
Traduction: Alfred Smile
A.D.A.S.
P.O. Box 1472
Huntsville, AL 35807
9 Février 1993 (Révisé le 23 Mars 1993)

 

Partie I

 

Avant-propos (*)

Ce document contient concrètement le secret pour libérer l'énergie du vide simplement, utilisant un nombre varié de source de potentiel (batterie, générateur électrostatique, etc..). L'objectif est de réaliser des appareils à énergie du vide pour le débutant. J'ai découvert le 'principe clé' en une trentaine d’années.

J'ai établit des définitions claires et précises afin de comprendre clairement le procédé. Ce document contient donc les points essentiels établis pour comprendre l'extraction de l'énergie du vide.

L'électromagnétisme est une discipline faussement fondée et incomplète. Par exemple la définition de l'énergie est fausse. Laissez-moi vous énumérer quelques-unes de ces anomalies rencontrées dans le modèle l'électromagnétisme classique comme suit:

-la définition de la charge et du potentiel ne sont pas définies .Les algorithmes pour calculer une amplitude sont bafouées. L'électromagnétisme fait encore usage des champs de force comme causes de tous les phénomènes EM. Il est dit depuis 1959 que les forces sont des effets et non des causes, que les champs de forces EM existent seulement à travers la particule de masse, chargée dans le système physique et que le potentiel est la première cause dans un phénomène EM. La masse et la force n'ont aucunes définitions adéquates, exactes et réelles en électromagnétisme. L'amplitude d'une charge électrique sur un électron n'est pas quantifiable. Elle est plutôt implicite étant une fonction de l'amplitude du flux de photons virtuel échangé entre le vide et la particule chargée. Quand la particule chargée est placée dans un potentiel diffèrent de l’actuel, alors l'amplitude du flux de photons virtuel et enfin l'amplitude de la charge électrique sur l'électron est altérée. La mécanique quantique n'a plus rien à démontrer quand à l'existence d'un éther. Le fait que les champs de forces EM et d'ondes existent dans l'éther est complètement faux.

Seuls, les potentiels et gradients de potentiels existent dans le vide. Les ondes EM dans le vide ne sont pas des champs de forces d'ondes tel qu'il est encore enseigné. A la place des ondes EM il y a oscillation de potentiels et gradients de potentiels. Les potentiels sont caractérisés par la présence d'une structure interne faite par une paire d'onde EM bidirectionnel où les paires d'ondes EM sont en blocage de phase dans une série 
d’harmoniques. Dans une paire d'onde photons et anti-photons sont constamment en couplage et découplage (gravitons à deux spin).C'est ainsi que gravitation et électromagnétisme sont maintenant unifiés

Aucun livre papier ou document ne fait référence aux équations de James Clark Maxwell .Les théorie de Maxwell et ses équations ont été rédigé en quaternion, les quels sont un système mathématique complet .L'électromagnétisme est une discipline échouée qui ne demande que ce qu'on la refasse. Jusque là le modèle présent bloque l'énergie libre, l'antigravité, une physique des champs unifiés, et une théorie unifiée de l'interaction esprit-matière.

Quelques définitions

  • Le vide quantique mécanique : Il se compose d'un intense flux de particules virtuelles (VPF).
  • Énergie et potentiel : L'énergie est synonyme de potentiel et vice versa .Elle est désordonnée statique ou dynamique.
  • Potentiel scalaire : Il est désordonné / dynamique dans le VPF du vide.
  • Potentiel vecteur : Il est désordonné / statique dans le VPF du vide.

 

Structure interne du potentiel scalaire

Structure d'un potentiel scalaire

Le potentiel prend l'aspect d'un flux de particules composé de deux ondes superposées dans l'espace mais inversées dans le temps (une onde [onde+anti-onde] ou [photon+anti-photon] :

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Un potentiel de l'autre coté de l'univers

Donc nous avons un parfait flux intérieur de particules virtuel (VPF), développé dans le potentiel scalaire électrostatique. Nous avons aussi une disposition ordonnée parfaite développée dans ce potentiel. Quand nous rassemblons un simple ensemble de charge sur une balle ou une petite région de celle-ci, le potentiel scalaire EM de cette charge provient à travers l'univers. En cela nous avons une série d'harmoniques infinies d'ondes EM en phase dans le temps et l'espace s'en allant de la charge vers tout point distant de l'univers entier. Et nous avons une série d'harmoniques infinies d'ondes EM en phase « bloqué » dans l'espace et en phase inversé dans le temps, venant de tout point de l'univers qui revient à la source constituée des charges collectées.

 

Un potentiel est une rivière d'énergie

Le point est que vous avez dévoilé la présence d'une rivière cachée, possible grâce à deux chemins d'énergie entre cette collection de charges et tous les autres points dans l'univers. Il y a une énergie infinie dans chacune de ces ondes et anti-ondes développées. Mais dans une région localisée, la densité d'énergie dans chaque onde est finie. Aucun champ de force n’existe dans le vide, juste des gradients de potentiel.

Le potentiel d'ondes scalaire est en faite un potentiel d'ondes scalaire longitudinal. Les ondes EM dans le vide sont des ondes EG (électro-gravitationnel).

L'énergie interne est illimitée, infinie

Un potentiel statique qui est pareil à un excès d'énergie – est de façon interne – dynamique infini et illimité. Puisque l'énergie interagit localement avec la matière nous parlerons de densité d'énergie local (joules / Coulomb).

Un principe d'une grande importance

La seule façon que vous pouvez d'avoir un gros morceau ou un montant fini d'énergie pour être dissipé dans un circuit comme travail est d'avoir avant tout un potentiel de densité d'énergie local interagissant avec un collecteur local de masse fini. L'interaction normale de masse du collecteur local se fait par les électrons libres du circuit.

Tension, force, gradients de potentiel, charges et travail

Maintenant, intéressons-nous aux aspects des circuits. La tension est essentiellement définie comme étant une chute de potentiel. C'est la dissipation (de façon désordonnée) d'un montant fini de gradients de potentiel. Mais la seul façon d'obtenir un montant fini de gradients de potentiel (énergie) est d'abord en faisant interagir le gradient de potentiel interne /fini et de densité d'énergie en excès avec un collecteur de masse fini. Soit:

[Joules / Coulomb disponible pour être collectés]x[ Coulombs déjà collectés] = excès de Joules déjà collectés avec l'interaction des coulombs, disponible pour la dissipation. Donc la tension est réellement la dissipation d'une collection finie de gradients de potentiel d'énergie EM en excès. La dissipation de potentiel ou gradients de potentiel n'existe pas. Vous ne pouvez donc pas définir l'énergie (=potentiel) comme étant de la propre dissipation.

Nous capturons un gradient de potentiel à l'aide de quelques masses chargées - localement – habituellement des électrons libres sous la forme de gaz d'électrons libres – dans notre circuit. Nous exprimons la densité d'énergie finie d'un gradient de potentiel (avant collection sur les charges), dans la région local (Joules / Coulomb).Le dit-gradient de potentiel est un changement vers le potentiel ambiant ,et donc , il contient un excès de densité d'énergie (l'amplitude peut-être soit positive soit négative).Puis nous recueillons ce potentiel (densité de potentiel) sur un certain nombre de Coulomb, plaçant de minuscules petits gradients de potentiel à travers chaque électrons libres (couplage). Sur chaque particule ayant fait la collection d'un petit gradient, il y a une minuscule force F (s’écrit F°(ma) ,avec (ma) indivisible et inséparable).

Donc ce petit électron potentialisé se déplace tout seul dans le circuit. Dans la charge le petit électron subit secousses et accélérations, d’où radiation d'énergie. L'électron potentialisé s'est débarrassé du gradient réduisant la force à zéro.

 

Collection et dissipation de l'énergie

Nous considérons la densité d'énergie locale de potentiel scalaire en termes de Joules par seconde. C'est à dire dans une sphère spécifique de charge, le montant d'énergie collecté depuis un gradient de potentiel sur le nombre fini de charges collectant cette énergie est égale au nombre de Joules d'énergie par Coulomb multiplié par le nombre de Coulomb recevant le gradient de potentiel. Dissipation: Les Coulombs activés multipliés par l'excès d'énergie collecté par Coulomb activé donne le montant d'énergie dissipé dans la charge (travail effectué).

Nous définissons la collection comme la connexion du gradient de potentiel (une source) vers la masse chargé dans un élément du circuit (le collecteur), où un délai de temps fini pour potentialiser les électrons libres ne permet pas encore le déplacement comme du courant. Dans le collecteur pendant ce délai les électrons piégés sont activés par un gradient de potentiel en couplage avec ces derniers.

Techniquement le temps de délai dans le collecteur est appelé temps de relaxation, dans le cas de gaz d'électron libre (dans un fil ou un élément de circuit).

Pendant ce temps de relaxation les électrons potentialisés sont piégés, sans mouvements comme pour le courant .Chaque capture d'un nouvel électron libre entraine un petit gradient supplémentaire, mais aucun courant ne circule encore. Autrement dit, pendant le temps de relaxation fini, le potentiel est extrait depuis la source et ceci sans circulation de courant. Durant ce temps de relaxation, seul un courant de VPF est extrait de la source et y est réinjecté en continue par les échanges violents du VPF du vide avec les charges bipolaires de la source. Aucune énergie n'est consommée par et dans la source durant ce temps de relaxation mais il y est extrait des densités d'énergie libre. Cette densité d'énergie libre en couplage avec une quantité finie d'électrons nous donne un montant d'énergie collecté fini. Dans ce contexte, laissons l'opération se répéter pour donner une forme utilisable d'énergie libre.

 

Le gaz d'électrons

Une approche de type mécanique classique est nécessaire bien que se soit les lois de la mécanique quantique qui régissent le processus.

Quand un circuit est connecté à une source de gradient de potentiel (batterie), la première chose qui se passe immédiatement est que le gradient de potentiel s'emballe sur le fil relié le parcourant à la vitesse de la lumière.

Sur la surface du fil conducteur le gradient d'énergie se couple aux électrons libres dans le gaz d'électrons libres. Cependant à l'intérieur du fil ces électrons peuvent fortement résister, l'essentiel du déplacement du courant se fait donc à la surface du conducteur et se phénomène s'appelle effet de peau.

 

Force, gradients de potentiel couplé et translation d'électrons

Électrons couplés a un gradient de potentiel le tout en mouvement

Quand l'électron est activé par un gradient de potentiel couplé, il se déplace de lui même jusqu'à ce qu'il perde de son activation ou gradient de potentiel couplé.

Le champ de force EM est connu pour ses effets existant seulement dans et sur la particule chargée et n'existant pas séparément mais aussi n'existant pas dans le vide. Dans ce cas nous avons clairement indiqué que le gradient de potentiel du vide fourni le potentiel pour produire un champ électrique antiparallèle sur et dans une masse chargée par couplage. Un électron potentialisé se déplace uniquement grâce à une force. L'électron potentialisé accélère constamment. Cependant il est maintenu dans un état qui l'empêche de parcourir le fil directement.

L'électron doit sortir de l'intérieur du fil pour se poster à la surface de celui-ci pour être en mesure de se déplacer en tant que courant .Le collecteur est soit une bobine soit un condensateur le tout en matériau 
« spécial ». L'objectif est d'avoir un matériau qui a pour effet d'empêcher la circulation du courant et de maintenir les électrons (obtenu dans un gaz d'électrons libres), temporairement fixes – les électrons continuent de « battre » / « tournoyer » violemment à l'échelle microscopique, mais n'effectuent pas de translations à l'échelle macroscopique – pour un délai fini (temps de relaxation) – à la suite de quoi rassemblés tous ensemble à la surface ils sont préparés pour la circulation du courant. Pendant ce délai fini de temps de relaxation les électrons seront appelés NNTE (No Net Translation Electron). Durant ce délai de non courant les électrons deviennent potentialisés / activés par le gradient de potentiel « imprimé » à travers le collecteur.

 

Le secret de l'énergie libre

2 cycles / 2 circuits

(1) Nous connectons le collecteur à une source primaire de potentiel (batterie), pendant le cours instant où le courant ne circule pas – mais potentialise. C'est à dire pendant le délai du temps de relaxation nous permettons au flux de particules virtuelles (VPF) de circuler sur les électrons NNTE du collecteur pour les potentialiser et les activer – mais pas encore pour leurs permettre de circuler comme courant – mais seulement de les laisser se déplacer transversalement dans le fil du collecteur. Ceci est la capture d'un montant spécifique de gradient de potentiel à l'aide de la source (batterie) vers le collecteur. Nous avons gratuitement élevé la charge du collecteur qui fonctionne après quoi comme une source (batterie) secondaire.

(2) Le collecteur potentialisé est alors brusquement déconnecté de la source primaire (batterie), pour être branché sur un circuit fermé comportant une charge – et la source, la batterie, se trouve connectée à rien à ce moment là (sauf certainement à une densité d'énergie de gradient de potentiel du vide).Pour résumé ce qui a été ponctionné depuis la source est un gradient de potentiel seulement – sans circulation de courant.

Vous avez simplement multiplié la densité d'énergie locale de gradient de potentiel (appelé tension et qui est un excès de Joules/seconde), par le nombre de charges de Coulombs qui est activé dans le collecteur.

Aucun travail sur la charge de la source primaire (résistance interne de la batterie) n'a été permis - soit pas de circulation de courant d'électron n'a eu lieu dans le circuit [batterie-collecteur]. Nous n'avons pas permis cela.

A la place on s'est servi du collecteur activé comme une batterie temporaire secondaire. L'utilisation de cette 
« batterie » secondaire avec la charge se fait de façon tout à fait conventionnel. L'énergie EM capturée sera dissipée et la « batterie secondaire » ne sera plus potentialisée / activée.

 

Le circuit standard pour l'extraction d'énergie

Le circuit conventionnel

Le potentiel « source » bipolaire est connecté en circuit fermé avec la charge. Ceci connecte la résistance interne de la batterie et celle de la charge en série. Les électrons traversent la charge externe du circuit à travers la résistance interne de la batterie, du pôle – au pôle +. La dissipation d'énergie dans la résistance interne de la batterie est du travail qui dérange « la chimie » de la batterie qui s'efforce de maintenir la séparation des charges. De cette manière la séparation des charges de la source (qui est le seul accès au gradient de potentiel d'énergie), est en train de disparaître par la circulation du courant et la batterie qui à son tour se voit détruire le gradient de potentiel.

 

L'énergie de la charge externe est gratuite aux prix de l'énergie de la source

Ici est le secret de l'énergie libre électrique. L'énergie fournissant du travail à la charge est gratuite. La seule énergie qui coûte est celle utilisée à l'intérieur de la source par la résistance interne …
(Les compagnies d'électricité nous roulent dans la farine au sujet du gâchis d'énergie fait par nos appareils)

 

Toute énergie est gratuite

Pas un seul watt d'énergie peut ne pas provenir, en aucune manière, du vide !

 

Dissipation de l'énergie collectée

Le cycle de travail

Le gradient de potentiel est transféré dans le circuit de charge à travers la circulation des électrons lors de la connexion du collecteur potentialisé au circuit de charge. L'électron ne se soucie pas si la batterie est reliée ou non, il est son propre moteur de bateau avec sa propre petite machine de conduction. Lors du passage dans la charge les électrons éjectent leurs petits gradients de potentiel. Quand tous les électrons potentialisés ont irradiés dans la charge, ils ne sont plus alors potentialisés.

Notes de ce que l'on a fait

Nous avons pris quelques densités d'énergie EM capturées c'est à dire un gros morceau de gradient de potentiel, depuis la source puis nous l'avons connecté au collecteur. Sur un collecteur le gradient de potentiel est couplé, potentialisé et activé à ses électrons NNTE. Donc le collecteur à recueilli un montant fini d'excès d'énergie de Joules par Coulomb le tout multiplié par le nombre de coulomb capturés sur ses électrons libres devenus maintenant excité, activés. Désormais nous basculons le collecteur potentialisé à la charge. Rapidement le temps de relaxation dans le collecteur expire. Les électrons potentialisés dans le collecteur sont libérés pour se déplacer dans la charge externe du circuit. L'éparpillement, les chocs, les collisions, les accélérations irrégulières dans la charge éliminent le gradient de potentiel sur les électrons de conduction avec rayonnement EM soit rayonnement de chaleur. En se débarrassant des photons, les électrons perdent leur petit gradient de potentiel et aussi leur activation (excès d'énergie EM).

 

Qu'est-ce que l'énergie dans un circuit électrique

Énergie dans un circuit électrique

Il est un principe limpide.
L'énergie dans un circuit électrique implique seulement la potentialisation et la dépotentialisation des électrons porteurs dans ce circuit. Les circuits électriques utilisent simplement les électrons comme porteur de gradient de potentiel circulant depuis la source vers la charge. La secousse-accélération des électrons-activés dans la charge cause la perte du gradient de potentiel dans l'espace environnant sous forme de chaleur appelé aussi rayonnement EM.

Suite des opérations

Une fois le cycle II terminé nous reconnectons le collecteur à la source (cycle I) pour recommencer à nouveau la collection de gradients de potentiel d'énergie. Alors nous basculons à nouveau le collecteur une fois potentialisé sur le circuit externe de charge (cycle II) suite à quoi les électrons libre potentialisés vont pouvoir perdre leur gradient de potentiel au travers de la charge par rayonnement EM (chaleur).Nous pouvons se faire succéder le cycle I et II autant de fois que nous le souhaitons. Si vous permettez au courant de circuler lors du cycle I, vous réduisez alors la séparation de charge à l'intérieur de la batterie qui s'efforce de fournir le potentiel de la source.

Tout gradient de potentiel (excès de densité d'énergie piégé), est libre d'accès

Le potentiel est dû à l'échange violent de VPF entre le vide et les charges bipolaires séparés fournissant le gradient de potentiel de la source. L'énergie de l'univers entier est en circulation à travers le potentiel de la source. Vous pouvez avoir toute l'énergie piégée que vous souhaitez depuis la source.

Les règles du fer

Si vous établissez un courant, vous détruisez la barrière de bipolarité fournissant le gradient de potentiel (densité d'énergie de la source). Dans ce cas la source est en cours de destruction. Si vous n'établissez pas de courant vous ne détruisez pas la barrière de bipolarité et la source reste intacte. Dans ce cas vous pouvez continuez d'utiliser la source et d'extraire de l'énergie EM piégé à jamais.

 

Encore des définitions

Énergie : Elle est désordonnée et repose sur le VPF.

Énergie EM : Elle est désordonnée et repose sur le flux de photons virtuels du vide.

Énergie statique : Elle est un modèle ordonné, stationnaire avec respect d'un observateur externe.

Énergie dynamique : Elle est un modèle ordonné, non stationnaire avec respect d'un observateur externe.

Potentiel : Il est un modèle désordonné et qui repose sur le flux de particules virtuelles (VPF) du vide.

Potentiel scalaire : Il est un modèle ordonné et qui ne se déplace pas avec respect d'un observateur externe.

Potentiel vecteur : Il est un modèle ordonné qui est en mouvement avec respect d'un observateur externe.

Potentiel scalaire EM : Il est dynamique et repose sur le VPF du vide avec respect d'un observateur externe.

Encore une fois Énergie et Potentiel ont la même définition. Le potentiel est en fait de l'énergie piégée.

 

Le concept double de la Tension

Avant-propos

Le Voltmètre influence la mesure prise (à travers sa résistance interne de mesure) et rigoureusement les valeurs deviennent erronées.

On ne peut de toute évidence mesurer l'énergie ou potentiel comme de la Tension.

Toutefois pour clarifier et améliorer la compréhension des circuits électriques à énergie libre nous aurons besoin d'équations (pseudo-équations) en corrélation avec les moyens de mesures et d’expérimentations actuelles. Bien que faisant du tord à la rigueur d'esprit du scientifique dans le domaine de l'énergie libre.

Les pseudo-équations

T  : trapped (piégé)

m : translated (en mouvement)

d : dissipate or dissipating (dissipé …)

K : energie

V = Volt = chute de potentiel ou potentiel dissipé = rayonnement EM dans la charge (chaleur) = travail effectué par la charge

f : potentiel scalaire électrostatique

coul : Coulombs

i = ampère = dissipation des Coulombs potentialisés par seconde pendant la circulation du courant = amps toujours en translation = Amps sont des Coulombs par unité de temps, seconde, qui sont en train de dissiper leur excitation.

[Il y a seulement amps (avec super conductivité exclut) quand il y a une chute de potentiel à travers une charge (les électrons potentialisés traversent la charge)].

n : nombre d'électrons par Coulomb = 6,3.10^18 électrons/coulomb. 

Df = VT

Travail : Kd = Vd x ampd x sec = watts x sec = puissance x temps = Vd x (could/sec) x sec

-->>Dans le switching nous switchons KT  vers Kd donc :

 KT ==> Kd

Mais :     VT  x coulT = KT

Ou    :     Énergie piégée par Coulomb piégé : [VT] = [KT] / [coulT]

              MONTANT D'ENERGIE PIEGEE A CHAQUE CYCLE : [KT] = [VT] x [coulT]

C'est donc ce à quoi nous souhaitons connaître : le montant d'énergie piégé que l'on peu transférer dépend du nombre d'électron piégé dans le gaz d'électron libre piégé dans le collecteur et du gradient de potentiel appliqué à ces Coulombs piégés pour les potentialiser.

 

Temps de relaxation et semi conducteurs

Temps de relaxation

Le temps que prend les électrons libres dans un conducteur pour atteindre la peau du conducteur (surface fil), après que le potentiel soit appliqué est, évidement, appelé le temps de relaxation. Durant ce temps les électrons libres dans le gaz sont piégés jusqu'au moment de la production de courant (dissipation du potentiel). Cependant, immédiatement après la fin du temps de relaxation, un courant apparaît et la dissipation de l'énergie piégée commence.

Dans le cuivre le temps de relaxation est incroyablement, rapide. C'est environs : 1,5.10^-19 sec. Bien que dans le quartz c'est environs 10 jours ! Donc tel que vous le voyez nous avons besoin d'être situé entre ces deux valeurs et donc nous aurons à mixer ou doper les matériaux. Nous devons avoir un temps de relaxation suffisamment long tel que nous pouvons collecter et  

basculer confortablement entre les cycles I et II. Mais aussi le temps de relaxation nécessaire doit être assez court pour permettre des décharges rapides dans la charge, dès que nous connectons ensemble la source primaire et le collecteur. Plutôt que du simple cuivre nous aurions besoin d'un matériau semi-conducteur dégénéré.

Matériau semi-conducteur dégénéré

Un matériau semi-conducteur est intermédiaire entre un bon conducteur et un isolant. C'est un matériau non-linéaire et dopé. Un matériau semi-conducteur est un matériau qui a toutes ses bandes d'énergie pleines et remplies d'électrons, et enfin qui semble être un conducteur. Avec un tel matériau dopé on peut augmenter le temps de relaxation.

Du bon fil de cuivre... sûrement pas !

Les inventeurs de circuit sur-unitaire obtiennent plus de puissance à la sortie qu'à l'entrée. Mais dès que l'un d'eux cherche à améliorer l'appareil sur-unitaire avec utilisation de composants et matériaux purs et de meilleure qualité... BOOM ! Il n'y a plus du tout de sur-unité. Explication : La plupart des inventeurs obtinrent des effets de succès (parfois irréguliers), lorsqu'ils se débattaient avec des matériaux oxydés, usés, et vieux. En fait moins bon est le matériau meilleur sera le résultat. Plus c'est contaminé et dopé mieux c'est !

Le moment où vous aurez décidé de construire un circuit avec du bon fil de cuivre connecté entre la batterie ou un autre type de source et la partie du circuit contenant le collecteur, vous pourrez dire au revoir à la sur-unité. Vous aurez perdu ça dans le cuivre après les premières 1,5.10^-19 secondes !

Pensez d'un bon conducteur réellement tel que le cuivre comme un matériau linéaire essentiellement. Linéaire signifie énergie conservatrice. La sur-unité peut seulement être obtenue avec un effet hautement non-linéaire. Donc votre conducteur doit être constitué de matériaux non-linéaires. En fait ils doivent être des matériaux de type semi-conducteur dégénéré. Pour le circuit le cuivre et le fil de cuivre doivent être dopés.

L'installation électrique (tout le circuit) doit être constituée d'un matériau semi-conducteur dégénéré (DSC). 
Les industriels peuvent fabriquer cela avec le temps de relaxation désiré.

C'est un tel câblage qui doit être utilisé pour relier la source au collecteur. Le collecteur lui aussi doit être de cette nature. Le collecteur est soit un condensateur soit une bobine.

A l'inverse du collecteur vers la charge on veut utiliser du bon conducteur, du fil de cuivre sera parfait.

Maintenant que cela est fini, l'affaire est dans le sac. Pour la fabrication du matériau DSC, il faudra simplement au préalable calculer un temps de relaxation adéquat pour être adapté et intégré aisément dans le circuit avec les composants qui agissent sur le « switching ». Exemple : pour une valeur de 1 ms on pourrait même utiliser des composants mécaniques, alors qu'avec des nanosecondes les composants seront plus chers peut-être...

Donc dans le collecteur vous calculez le nombre de coulombs piégés que vous avez. Mesurez la « tension 
piégé » (densité d'énergie de potentiel de courant gratuit par coulomb) que vous extrayez depuis la source lors du temps de relaxation après connexion au collecteur. Multiplié le nombre de coulombs piégés dans le collecteur par la tension piégée durant la phase de collection, et vous avez le montant d'énergie en Joules que vous recueillez gratuitement, sans payer pour ça, depuis la source pour un nombre souhaité de cycles.

 

Sources, collecteurs et puissance

Mesurez l'énergie du vide

Vous êtes en train de posséder l'excès d'énergie électrique directement depuis le vide, comme cité plus haut. Le vide va gracieusement reconstituer toute la « tension piégé » depuis la source primaire durant le temps de relaxation des électrons. (Nous ne somme pas obligés d'attendre que le temps de relaxation des électrons soit atteint pour basculer le collecteur sur la charge externe du circuit).

La source peut-être presque rien

Vous pouvez utiliser comme source un simple fil élevé pour se placer entre la Terre et l'Ionosphère avec
200-300V/m. Le fil doit être dopé...

Finalement vous devez ajuster la répétition des « switching » en les synchronisant avec le temps de décharge avec la charge comme suit : (le temps en série est Dt1+Dt2+Dt3+Dt4)

(1) : extraire l'énergie piégé (potentiel), depuis la source sur le collecteur pendant le temps Dt1,

(2) : Basculer le collecteur sur la charge pendant le temps Dt2,

(3) : Attendez la décharge du collecteur à travers la charge durant le temps Dt3,

(4) : Re basculez le collecteur vers la source pendant le temps Dt4.

Limité seulement par un seul modèle?

Évidement il existe des variantes, je vous ai juste donné les points essentiels de la réussite. On peut combiner plusieurs collecteurs, utiliser de la THT pour la source ou placer une batterie à la place de la charge, etc, …

 

 

Partie II

 

 

INFORMATIONS SUPPLEMETAIRES SUR

LE SECRET FINAL DE L'ENERGIE LIBRE

Mise à jour : 15 février 1994
© 1994 T. E. Bearden1994

Use of Step-Charged Capacitor as the Collector by Tom Bearden

 

 

Introduction

Suite à de nouvelles découvertes et de nouveaux brevets déposé, j'ai ainsi rédigé se document.

 

Sommaire de l'invention

Une méthode et un appareil pour l'extraction d'énergie d'onde EM bidirectionnel depuis le vide par le gradient de potentiel scalaire à travers les terminaux d'une source électrique, collectant l'excès d'énergie dans un collecteur sans entropie, puis de façon séparé déchargeant l'énergie collecté à travers la charge pour exécuter un travail, sans renvoyer le courant de la charge à travers la source primaire contre son gradient de potentiel. C'est à dire, contre sa bemf (back-emf). Retirer le courant de la charge interne de la source réduit substantiellement la production de travail à l'intérieur de la source pour ne pas dissiper sa bipolarité. Disant que le travail de dissipation interne étant bien connu pour être la cause d'épuisement de l'habilité de la source à continuer de fournir une emf vers le circuit externe. Par réduction de ces dissipations internes, la source est capable de fournir plus d'énergie pour de la dissipation dans la charge externe qu'il en est pour la charge de la source. La source est capable d'opérer de façon sur-unitaire. LE système est dit ouvert, il extrait et utilise l'excès d'énergie EM depuis une libre circulation dans la source externe (le flux d'échange entre le vide environnant et la source bipolaire fait de cette dernière un système ouvert).

Ce système sur-unitaire peut opérer avec une grande efficacité, sans violation des lois de la physique, de façon analogue, mais entièrement différente, à peu près comme une pompe à chaleur (frigorifique). La bipolarité de la source est utilisée premièrement comme une antenne dipôle pour recevoir l'énergie d'onde EM bidirectionnel circulant depuis le vide et pour diriger cette énergie sans entropie à l'aide de composants « switcher » vers le collecteur ! La conduction des électrons dans le collecteur est temporairement restreinte, lesquels sont en train d'être sur-potentialisé par excès d'énergie en train d'être collecté sur eux. Le collecteur et ses électrons sur-potentialisés sont alors déconnectés de la source et connectés maintenant à travers la charge tel un circuit fermé et séparé. Les électrons dans le collecteur et leur excès d'énergie sont alors automatiquement relâchés pour circuler comme le courant en une décharge à travers la charge. Cette énergie effectue un travail dans la charge. Le collecteur (une fois l'énergie dissipée dans la charge), se rebranche sur la source pour un nouveau cycle de collection.

Fig1B

Figure 1A : Circuit type utilisant un générateur de rampes pour charger le condensateur sans travail, avec décharge séparé de l'énergie collecté sur la charge sans épuisement substantiel sur la source primaire.

Fig1A

Figure 1b : Circuit type pour charger un collecteur en semi-conducteur dégénéré (DSC), avec de simples impulsions sans travail appréciable avec décharge séparée de l'énergie collecté sur la charge sans épuisement substantiel sur la source primaire.

 

Toutes sources électrique de potentiel est déjà une source d'énergie libre

La source agit comme une antenne dipolaire pour recueillir en permanence le courant du potentiel scalaire (d^/dl), (courant se déplaçant sans masse), depuis le vide. Pour les conditions pour une charge libre, (di*/dl) est continuellement reçue depuis le vide par n'importe quel dipôle, et la circulation d'énergie est continuellement échangée en va et vient depuis le dipôle. Cet échange d'énergie libre avec le vide est vrai dans deux points : dans notre circuit qui possède un circuit ouvert de tension ou ddp (différence de potentiel), entre les deux pôles de la source. Les sources d’antennes dipolaires d'énergie libre sont partout. Nous avons juste à apprendre comment casser la symétrie dans l'échange de leurs flux d'énergie avec le vide, collecter quelques influx circulant librement et distribuer cet excès d'énergie collecté vers une charge séparée et isolée. Autrement dit nous avons simplement qu'à copier sur les pompes à chaleur (frigorifique).

Fig2

Figure 2 : Pourquoi les systèmes d'énergie électrique actuels ont une efficacité opérationnelle sous-unitaire?!

 

Condensateur (chargé par pulse) comme collecteur

Continuons notre recherche par un matériau spécial pour un temps de relaxation de gaz d'électrons prolongé pour le collecteur, un alliage composé de 98% d'Aluminium et 2% de Fer.

Cycle 1 (collection d'énergie) :

Cycle2

 

Puis temps de relaxation atteint :

Cycle1-b

 

Cycle 2 (dissipation d'énergie)

Cycle1-a

Cependant la production de cet alliage est assez onéreuse, c'est pourquoi nous recherchons autant que nous le pouvons d'autres solutions.

En attendant, on peut faire déjà autrement. Utilisons un condensateur normal pour le collecteur, en le chargeant avec un générateur de rampes. La preuve que ceci peut librement charger un condensateur avec de l'énergie, sans avoir à effectuer du travail appréciable est déjà connu dans la littérature. Vous pouvez charger un condensateur sans entropie et essentiellement sans avoir à établir un courant de masse d'électrons.

Pour faire court, nous considérons que le condensateur peut-être chargé sans déplacement de masse (d'électrons), de circulation de courant.

Nous envisageons, dans l'usage du circuit, que le déplacement «d'électrons sans masse » est un courant de potentiel scalaire (dØ/dl) - un courant de potentiel pure (d'énergie EM capturé), le long du conducteur ou à travers le vide.

 

Opération avec circuit à 2 fils, fermé, conventionnel

Là il y a circulation de courant dans ce circuit fermé, au travers la charge et le reste du circuit. Les électrons seront considérés comme un fluide matériel pour du travail à faire, pour transporter et décharger l'excès d'énergie EM et en forçant les électrons à revenir à travers la force électromotrice de retour (bemf), qui recharge encore les électrons envoyés avec un excès d'énergie EM, sous la forme d'excès de petites densités d'énergies capturées Ø’S, sur chaque électron recyclé.

Quelques excès de Ø collectés sur les électrons sont dissipés dans la charge comme du travail utile, mais seule la moitié est dépensée (le reste perdu en friction, inefficacité, etc), et ceci sans excès de Ø, petite densité d'énergie capturée.

Ces circuits à boucle fermé sont sous-unitaire perpétuellement (cf. fig. 2).

A noter que ces circuits sont tout de même des circuits ouverts « branchés » sur le vide et recevant en permanence de l'énergie libre, mais ils ont le défaut d'être conçu de manière suicidaire.

 

Efficacité opérationnelle

Nous définissons operational efficiency Alpha comme la puissance moyenne dans la charge divisé par la puissance moyenne à l'intérieur de la source pour dissiper et détruire la barrière de bipolarité.

 

Thermodynamique et système à sur-unité ouvert et en déséquilibre (asymétrique)

Dans cette approche nous avons un circuit ouvert lors de tous cycles de collections, avec une source externe qui reçoit un flux d'énergie sans relâche. Nous avons exprès cassé la symétrie d'échange avec le vide, d'énergie du système, en séparant dans l'espace et à travers le temps, l'opération par un cycle de collection d'énergie et un autre cycle de dissipation d'énergie. L'efficacité opérationnelle de la sur-unité est possible sans violation des lois de la nature. Bien que l'équilibre dans le flux d'énergie local ait été cassé, celui dans le flux d'énergie global ne l'a pas été.

 

Courant de déplacement sans masse

C'est la technique que nous utilisions. On utilise le déplacement de courant sans masse pour charger le condensateur, plutôt que le flux de courant d'électrons (habituel).C'est un flux d'énergie réel néanmoins. Il est un phénomène bien connu dans le chargement d'un condensateur. Un coté du condensateur charge déjà l'autre coté à l'aide justement de se déplacement de courant sans masse, transportant de l'énergie EM réel à travers l'espace qui sépare les deux plaques du condensateur - les électrons eux-mêmes ne traversent pas cet espace.

Le déplacement du courant est toujours bien connu pour être un transport d'énergie libre sans aucune dissipation en puissance ou/et travail. En établissant un déplacement de courant sans masse, seulement à partir de la source antenne à la place d'un flux de courant d'électrons, vous pouvez établir du travail gratuit ou du non travail, sans dissipation d'énergie de la source-antenne.

Le ' truc ' est d'empêcher la circulation de la composante masse (déplacement longitudinale des électrons) du courant électrique dans la source primaire lors du processus de collection.

Dans le document 1/3 nous avons expliqué que ceci pouvait être fait en utilisant pour collecteur un matériau semi-conducteur dégénéré avec un temps de relaxation du gaz d'électrons relativement étendu. Dans ce document il aura été plutôt question de charger gratuitement un condensateur par un générateur de rampes pour des raisons économique.

TBearden

Ci-dessus Tom Bearden théoricien et inventeur en énergie libre

 

 

Partie III

 

APPAREILS ELECTRIQUES SUR-UNITAIRE - PRATIQUE

PRACTICAL OVERUNITY ELECTRICAL DEVICES

© T.E. Bearden - 13 Mai, 1994

 

LEGENDE:

 = produit scalaire

Ø = Champ potentiel électrostatique scalaire

 = Nabla (désigne soit le gradient d'une fonction en analyse soit une connexion de Koszul en géométrie différentielle).

|x| = valeur absolue de x

uf = microFarad

La charge n'est pas quantifiée

La valeur de la charge est changeante lorsque celle ci se déplace dans le circuit et elle se représente par une fonction selon le contexte du potentiel.

 

Les deux composantes du courant électrique

La seule façon de comprendre l'énergie libre est d'abord d'appréhender le courant électrique tel que constitué par deux courants couplés ensemble : [(dØ/dt) (dm/dt)].

Le composant (dØ/dt), est connu et mal compris, il est le déplacement de courant sans masse.

Le composant (dm/dt), est le déplacement de courant de masse.

L'opérateur  signifie couplé à ou sur le point de le faire.

L'opérateur de couplage représente une opération bien réelle : l'échange de photons virtuels entre le potentiel du vide et la masse chargée.

 

La masse est un composant interne de force

C'est à travers la force que la masse prend toute son importance (exemple F=(ma)). On trouve la masse par exemple dans un champ électrique qui est défini comme étant la force par coulomb. Un champ électrique n'existerait pas sans la composante de masse. Un champ scalaire électrostatique ( Ø)cherche à se coupler à la masse d'une charge q tel que (Ø+ Ø)m et de là un champ-E (champ électrique), est créé et existe 
E s -[( Ø)(q)]/|q|. C'est ainsi que la masse devient un composant incontournable de force.

Un condensateur idéal est celui qui est un bloqueur d'électrons

Dans un condensateur classique les plaques et le diélectrique sont en mouvement due aux forces électrique. 
Il s'en suit un courant d'électrons se dissipant dans la source pour faire du travail... Il existe cependant des condensateurs rigidifiés (~$400 à $2000 le condensateur de 1 µF)...

Un condensateur idéal ne laisse pas passer de courant d'électrons mais laisse seulement passer le courant sans masse tel que décrit dans les équations de Maxwell.

 

Composant de blocage d'électrons

Il y a le « transistor semi-conducteur Fogal » du nom de l'inventeur William J. Fogal (un ami de Bearden - détenteur des brevets [5430413 High gain low distortion faste] et [5196809 High gain low distortion faste]). 
Il permet la séparation du courant en deux composants, bloquant uniquement le composant de flux de masse (les électrons).

Le transistor de Fogal bloque le passage des électrons au niveau des pattes, mais laisse le déplacement du courant dØ/dt de potentiel scalaire à travers lui.

 

Énergie, flux, montant fini d'énergie, collecteur

Le flux de courant (dØ/dt) est énergie alors que le flux de courant de masse (dm/dt) est du travail dans le circuit. Toutes mesures à l'aide d'un instrument de mesure ne seront que travail et non le calcul du montant de l'énergie. L'énergie ne peut-être mesurée en pratique et en théorie, à priori.

 

Secret de la sur-unité

La charge (masse chargé), fournie un flux libre sans masse d'énergie EM à partir du vide qui peut-être dirigé vers un collecteur qui emmagasine le tout dans un champ-E ou un champ-B.

Cependant le premier secret de l'énergie libre est le blocage de la composante de charge électrique de masse 
dm/dt du courant dq/dt permettant au flux d'énergie sans masse (dØ/dt)• de circuler vers le collecteur pour obtenir un champ-E ou un champ-B.

Le deuxième secret concerne la façon dont le deuxième cycle se déroule.

La masse du circuit de charge externe et la masse du collecteur devraient être les mêmes pour que le courant d'électrons chargés retourne à travers la fem-back de la source primaire, tel que autant d'excès de travail sera fait à l'intérieur de la source pour dissiper ses séparations de charges que de travail fait dans la charge externe. Dans ce cas la sur-unité serait détruite ! D'où la nécessité d'utiliser deux circuits isolés.

 

Un simple appareil sur-unitaire à boucle ouverte

 

Figu1

Cette figure montre un très simple mais puissant appareil à sur-unité, utilisant un semi-conducteur à blocage de charge [charge blocking semiconductor (CBS) (such as a Fogal semiconductor)], alimenté en AC.

Le ' truc ' du circuit c'est une source AC pour contrôler le CBS qui utilise une partie de l'énergie pour s’auto-alimenter et qui ne laisse passer toujours, uniquement, que la composante sans masse du courant dans le circuit de sortie. Le potentiel scalaire de sortie du CBS est obtenu avec l'enroulement primaire du transformateur élévateur de tension. Le gain en courant du CBS dépendra de la charge connectée dessus, et de son habilitée à bloquer le champ-E des charges capturées en augmentation, comme un flux d'énergie libre (dØ/dt) qui s'établit à travers lui par la charge. Ainsi la charge et le CBS doivent être le mieux pensés/choisies pour ne pas faire échouer nos plans. L'enroulement primaire du transformateur avec le potentiel scalaire (dØ/dt) produit un champ-H. Il emmagasine l'excès d'énergie dans ce champ. C'est un champ-H magnétique normal. 
Tout champ-H est produit par (dØ/dt). Ce champ-H se couple à l'enroulement secondaire. Dans le circuit secondaire le courant est un courant d'électrons et peut circuler sans contrainte du CBS. C'est un courant de masse chargée qui circule désormais dans la charge.

 

Amplification de puissance libre

Si on place un ampèremètre à la sortie du CBS, entre lui et le primaire du transformateur, le courant sans masse sera lu comme si de rien n'était (comme avec un courant d'électrons).

 

La résistance négative: un système (auto-alimenté et CBS) en boucle fermé

Figu2

Le dessin montre le bouclage fermé de l'appareil de tel façon que le système une fois lancé et stable peut se voir retirer la source d'alimentation du circuit.

Une résistance négative accepte des électrons entrant inertes depuis son pôle négatif, mais accepte aussi l'énergie (dØ/dt) entrante depuis le vide comme des photons virtuel se laissant absorbé par des électrons inertes tel que  Ø est ajouté au courant d'électrons créant un excès d'électrons excités.

La résistance négative est maintenant connue pour être une source d'énergie libre auto-contenue.

 http://www.magnetosynergie.com/Pages-Fr/Presentez/SecretFinal/FR-LeSecretFinal-01.htm

 

Et les liens vers les originaux en langue anglaise : 

Partie 1. http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%209%20Feb%201993/indexold.html
Partie 2.http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%20of%2015%20Feb%201994/index.html
Partie 3. http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%2013%20May%201994/index.html

 

Site Internet de Thomas E. Bearden : http://www.cheniere.org/

24 octobre 2016

Les Rayons cosmiques et leurs effets sur la vie

72147503

La Voie lactée, notre galaxie, est formée de plusieurs bras spiraux.
Notre système solaire (le point blanc) les traverse successivement tous les 135
millions d’années, périodicité qu’on peut mettre en relation avec les fluctuations
de la biodiversité terrestre.

Pour prendre du recul, faisons un zoom arrière. D’après nos connaissances actuelles, notre galaxie, la Voie lactée, a plusieurs bras spiraux. Le Système solaire tourne en orbite au sein de la Galaxie, de la même manière que notre planète tourne autour du Soleil. Si nous mesurons une année sur Terre par le temps qu’elle met à accomplir une révolution, nous pourrions appeler « année galactique » le temps qu’il nous faut pour faire une révolution dans la galaxie. Au cours d’une année galactique, notre système solaire traverse chacun des bras spiraux de la voie lactée. Il a été calculé qu’il faut approximativement 135 millions d’années pour passer d’un bras spiral à l’autre !

Cela nous ramène aux rayons cosmiques. La densité de leur rayonnement n’est pas uniforme dans notre Galaxie. Chaque bras spiral est densément peuplé d’étoiles nouvellement formées et de supernovas en explosion. D’après nos connaissances, c’est principalement de ces supernovas que proviennent la plupart des rayonnements cosmiques. L’espace entre les bras spiraux est moins densément peuplé par ces supernovas. On peut donc s’attendre à ce que la traversée de ces bras spiraux et des espaces qui les séparent corresponde à des variations dans les rayonnements cosmiques rencontrant notre planète. Cela expliquerait le cycle de 143 millions d’années mis en évidence par l’étude du potassium radioactif dans les météorites retrouvés sur terre.

Une question se pose alors : est-ce que ce cycle pourrait également expliquer les deux longs cycles de la biodiversité sur notre planète ? Considérons l’autre cycle, plus court mais plus prononcé, de 62 millions d’années. Si l’on fait un nouveau zoom arrière, en regardant cette fois-ci notre galaxie de profil, on constate que notre Système solaire « surfe » au-dessus et en dessous du plan équatorial de la Voie lactée, pendant qu’il tourne autour de son centre.

 

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En regardant de profil le mouvement qu’il effectue par rapport à la Voie lactée, l’on constate que notre système solaire « surfe » d’abord au-dessus et puis en dessous du plan équatorial de la Voie lactée, pendant qu’il tourne autour de son centre.

Cette oscillation varie au fur et à mesure que l’on traverse les bras spiraux. En réalité, ces cycles se font sur des périodes d’environ 60 millions d’années ! Si l’on prend en compte la probabilité pour que la densité de rayonnement cosmique varie d’un plan à l’autre de la galaxie, cette oscillation et les variations qu’elle engendre en termes de flux de rayons cosmiques pourraient expliquer le cycle de 62 millions d’années.

Au-delà de la biodiversité, ce cycle correspond également à d’autres changements cycliques sur la Terre, dont une composante des mesures (réalisées par la société pétrolière Exxon) des fluctuations du niveau des mers : la quantité de terre ferme affectée par les variations de niveau des mers, qui se reflètent dans le taux d’isotopes Strontium 87/86. Cela met en évidence une relation entre le glissement des plaques tectoniques et les cycles astronomiques. L’étude des variations des dépôts de roche volcanique montre que l’activité volcanique suit ce cycle d’environ 60 millions d’années.

Un cycle d’environ 140 millions d’années de variations de la biodiversité correspond donc au mouvement de notre Système solaire à travers les bras spiraux de notre Galaxie, c’est-à-dire aux variations de flux de rayonnement cosmique ; tout cela étant mis en évidence par les données en isotopes et en températures sur la terre.

Ensuite, un cycle d’environ 60 millions d’années de variations de la biodiversité, correspondant au mouvement de notre Système solaire au-dessus et en dessous du plan de la Galaxie, en supposant que nous soyons davantage exposés aux rayonnements cosmiques d’un côté du disque galactique par rapport à l’autre. Ce cycle correspond également aux cycles géologiques d’activité volcanique et de variation du niveau des mers.

Cette corrélation manifeste entre les cycles galactiques et les degrés de biodiversité du vivant sur terre laisse supposer l’existence surprenante d’un lien entre les processus astrophysiques et ceux que nous pouvons observer au sein de notre biosphère : une résonance entre les cycles astronomiques et la vie sur Terre. Il est toutefois important de préciser que nous n’en connaissons pas encore les causes.

Toutefois, si l’on prend du recul en considérant le développement de notre cosmos sur de longues périodes (des centaines de millions d’années), il devient évident que ces « forces faibles » – comme les rayonnements cosmiques –, que la plupart des scientifiques négligent, se révèlent alors plus importantes et plus puissantes par rapport aux forces se présentant immédiatement à nos yeux. Comme nous venons de le montrer, il semblerait que ces rayonnements cosmiques soient liés aux puissants processus de l’évolution, non seulement des espèces vivantes considérées individuellement, mais également de la biosphère dans son ensemble.

La vie elle-même, lorsqu’on la considère sur une échelle de millions d’années, fait également partie de ces puissantes forces « faibles ». L’étude de l’interaction entre la vie et les rayonnements cosmiques, deux « forces faibles », pourrait nous ouvrir de nouvelles pistes de réponse. Bien que nous ne connaissions pas encore la cause exacte de l’augmentation de la biodiversité, laquelle permet à notre biosphère d’atteindre des ordres supérieurs d’organisation et d’accroître l’efficacité des processus vivants, nous savons que la vie est très sensible à différentes formes de radiations. Contrairement à la conception réductrice n’attribuant que des effets destructeurs à toute forme de rayonnement, des preuves irréfutables démontrent que certaines fréquences de rayonnement, à un certain degré d’exposition, sont indispensables aux processus vivants. Une fois de plus, ce sont bien ces « forces faibles » qui, jusqu’à maintenant, sont généralement restées « hors de l’écran radar » de la plupart des chercheurs.

Après avoir exploré l’impact des processus cosmiques sur la biosphère dans son ensemble,regardons maintenant comment ces forces faibles agissent sur les processus vivants dans le microcosme.

 Rayonnement cosmique et organismes vivants

Nombreux sont les exemples montrant que les êtres vivants réagissent aux radiations. Le plus évident est le processus de la photosynthèse par lequel les plantes convertissent la lumière du soleil en hydrocarbures, permettant le développement des processus métaboliques sur terre. Mais de nouveaux éclaircissements ont été apportés sur des formes de radiation plus faibles, certes, en quantité mais ayant indéniablement des effets qualitatifs sur la vie.

On observe chez la plupart des organismes vivants des cycles annuels, lunaires ou diurnes, apparemment causés par le Soleil et la Lune, à travers des comportements tels que le sommeil, l’alimentation et la reproduction, aussi bien pour les plantes que pour les animaux ou les hommes. Mais quels effets ont les radiations cosmiques à haute intensité énergétique ? Dans les années 1950, le biologiste Frank Brown étudia les cycles métaboliques des plantes et des animaux, et trouva des signes d’une influence possible de forces telles que les rayonnements cosmiques sur les rythmes biologiques journaliers des plantes et des animaux.

 

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Une étonnante corrélation avec des radiations cosmiques élémentaires a été mise en lumière par une étude réalisée sur les cycles métaboliques des huîtres du Connecticut, dont la coquille s’ouvre et se ferme au rythme des marées. Frank Brown et ses collaborateurs en ont prélevé quelques-unes, dans le port de New Haven, pour les emporter jusque dans une chambre noire pour photographie dans l’Illinois, où elles ont été mises dans des récipients contenant de l’eau de mer. Bien qu’étant gardées dans un environnement protégé de la lumière du jour, sans contact direct avec le soleil, ces huîtres ne tardèrent pas à répondre à leur nouvel environnement. Petit à petit, elles ont réadapté le rythme d’ouverture de leur coquille, passant en deux semaines du cycle des marées hautes de New Haven à celui de l’Illinois. Il apparut ainsi que ces animaux ne font pas que réagir aux marées, ou aux repères directs que constituent le Soleil et la Lune. Que peut-on donc en conclure concernant leurs cycles ?

 

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Par la suite, Brown réalisa d’autres expériences afin de pousser plus loin les recherches. Au cours de deux étés successifs, il fit pousser des pommes de terre dans un laboratoire, en régulant la lumière, la pression atmosphérique et la température ; il a pu étudier leur métabolisme, en mesurant le niveau de leur consommation d’oxygène. Toutefois, les variations métaboliques de la pomme de terre se sont avérées compliquées, que ce soit au cours de la journée, ou même d’un jour à l’autre. Perplexes, Brown et son équipe ne parvenaient pas à trouver des variations dans l’environnement du laboratoire permettant d’expliquer cela. C’est seulement en prenant en compte l’environnement extérieur qu’ils ont pu remarquer que la pression barométrique coïncidait avec les variations sporadiques du taux métabolique de la plante.

Suite à ces expérimentations, Brown a pu obtenir des données sur la quantité de rayonnement cosmique à laquelle la terre avait été exposée au cours de ces deux étés. Constatant une correspondance entre ces données et les variations du taux de métabolisme des pommes de terre, Brown émit l’hypothèse que les radiations cosmiques, dont le flux traverse les murs du laboratoire, pouvaient influer sur ces organismes.

 

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Les crabes uca (fiddler crab) agissent eux aussi en fonction du rayonnement cosmique, mais de façon inverse. Quand le rayonnement cosmique est moindre, leur activité augmente.

Si des formes de rayonnements invisibles peuvent réguler les cycles métaboliques d’un organisme, se pourrait-il qu’il en existe d’autres qui agissent sur les processus vivants ?

 

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Le scientifique russe Alexander Gurvitch (1874-1954) étudia l’influence du rayonnement sur la division cellulaire (mitose).

En 1923, le scientifique russe Alexander Gurvitch (1874-1954) remarqua que bien que les organismes vivants, au stade final de leur développement, soient très élaborés, la formation et la division des cellules composant l’organisme en pleine croissance semble se dérouler de manière aléatoire et désordonnée. Il choisit alors de faire un test sur l’oignon, dont la croissance se fait de manière symétrique, avec un taux de division cellulaire similaire de part et d’autre ; il voulait ainsi détecter la présence éventuelle d’une source invisible de radiation qui proviendrait de l’extrémité de la racine et régulerait la division des cellules.

Il disposa deux oignons de sorte que la racine de l’un soit pointée perpendiculairement sur celle de l’autre. Après avoir laissé à la mitose le temps de se développer, Gurvitch compara le taux de division cellulaire des deux racines. Dans la racine « visée », il observa une croissance cellulaire de 20% supérieure à celle de l’autre. Cela permit d’établir que la racine de l’oignon émettait une forme de radiation qui stimulait la division cellulaire de la racine de l’autre ; Gurvitch la qualifia de rayonnement mitogénétique. Mais des recherches plus poussées étaient nécessaires pour mieux cerner la nature de ces radiations. En plaçant une lame de verre entre les deux tiges, la division cellulaire revenait à des taux normaux, montrant que l’effet mitogène avait disparu. En remplaçant cette vitre par une lame de quartz, l’effet mitogène réapparaissait.

 

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Pour son expérience, Gurvitsch disposa deux oignons
perpendiculairement, les deux racines pointant l’une vers l’autre. Après un certain temps, il compara le taux de division cellulaire des deux racines et observa une croissance supérieure de 20 % dans la tige « visée » établissant qu’une forme de radiation était émise par la racine de l’oignon : un rayonnement mitogénétique.

Puisque les rayonnements mitogénétiques ne traversent pas le verre mais passent facilement à travers le quartz, Gurvitch en conclut que ces rayonnements sont émis dans le spectre ultraviolet qui, lui, n’est pas en mesure de traverser la lame de verre mais traverse le quartz.

Il ne s’agit que de quelques exemples dans un vaste domaine de recherches à défricher. Il est absolument nécessaire de pousser plus loin ces recherches, qui soulèvent des questions fondamentales à propos du rôle joué par les rayonnements dans les processus vivants. Gurvitch a démontré ainsi qu’une infime quantité d’énergie ultraviolette participe à la formation d’organismes vivants.

La puissance de ces forces apparemment faibles nous révèle l’existence d’une réalité invisible capable de rendre possible la vie sur Terre. Il y a encore beaucoup de choses que nous ignorons concernant l’influence des rayonnements sur la vie, notamment la nature exacte des rayonnements cosmiques, et ce qui fait que cela affecte le développement de la vie. Les virus réagissent également aux rayonnements : des expériences en laboratoire ont montré que leur activité dépendait directement de la présence de rayons ultraviolets.

Quel rôle jouent-ils dans le processus de l’évolution ? Inversement, quelle quantité de rayonnement cosmique est-elle nécessaire à l’existence des processus vivants ? Si ces cycles galactiques, et les variations de rayonnement cosmique qui y sont associées, font partie intégrante du développement de la vie et de la biosphère,alors notre compréhension de la vie dans l’univers pourrait en être complètement transformée.

Comment, en effet, ces cycles galactiques de variations du rayonnement cosmique pourraient-ils jouer un rôle fondamental dans le développement anti-entropique de la vie, sans arborer les mêmes caractéristiques anti-entropiques que la vie et la biosphère ? Comment les organismes s’accordent-ils à cette harmonie galactique, et qu’est-ce qui permet l’existence d’une telle relation ?

Tout ce que nous croyons savoir à propos des sources de rayonnement cosmique, comme la Nébuleuse du Crabe, les pulsars et les supernovas, n’est que pure spéculation, extrapolée à partir de l’expérience acquise sur Terre. Mais la création constante de nouvelles sources de rayonnement cosmique nous donne un sens de la nature créative de l’univers, et même de l’univers apparemment abiotique : il s’agit d’un processus en mouvement et allant dans une direction particulière, plutôt qu’un simple processus cyclique, et qui présente une qualité de développement semblable à la biosphère et à la noosphère.

Comprendre de quelle manière ils entrent en résonance avec la vie sur Terre nous permettra de mieux comprendre leurs caractéristiques créatives.

Un des aspects fondamentaux des études sera l’extension du tableau périodique, de manière à ce qu’il reflète les relations fondamentales entre les rayonnements, la matière et les processus vivants. En étendant notre compréhension de l’influence des phénomènes énergétiques sur la matière vivante, nous allons révolutionner des domaines comme celui de la technologie médicale appliquée sur terre.

Vue d’en haut, la biosphère de notre planète peut être considérée comme une région de transformation. Le pouvoir de la matière vivante se situe dans sa capacité à exploiter des forces telles que les rayonnements cosmiques ou autres, contribuant ainsi au processus de développement continu, vers des ordres d’évolution supérieurs. Cela se caractérise par un accroissement en termes d’organisation et de niveaux de flux de densité d’énergie.

Si l’action de la vie participe naturellement à la création, qu’en est-il de la contribution de l’humanité ? Comment l’activité humaine a-t-elle contribué à faire évoluer plus rapidement et plus efficacement l’organisation de l’univers, en faisant appel à sa propre créativité consciente ? Qu’attendons-nous pour nous consacrer davantage à cette mission créatrice ?

 II. En défense de la chlorophylle,
cellules photovoltaïques contre cellules végétales

Par Oyang Teng et Sky Shields, de l’équipe scientifique du LaRouche PAC

L’adoption du grand projet d’aménagement des cours d’eau NAWAPA (North American Water And Power Alliance) inaugurera une ère nouvelle de développement continental qui révolutionnera l’idée même d’infrastructure, pour en faire l’aménagement conscient de la biosphère par l’homme. Ainsi, Vladimir Vernadski écrivait en 1945 : « L’humanité, prise dans son ensemble, est en train de devenir une force géologique majeure. Ceci pose le problème de la reconstruction de la biosphère dans les intérêts d’une humanité librement pensante, considérée comme un tout unique. Ce nouvel état de la biosphère, que nous approchons sans nous en rendre compte, c’est la noösphère. » [1]

Qui oserait nier que les intérêts vitaux d’une « humanité librement pensante » impliquent la présence de nourriture et d’eau potable en abondance, ainsi que de grandes étendues de verdure créant les conditions d’un climat tempéré, d’une planète plus accueillante et d’une vie plus agréable – en particulier dans les zones désertiques d’où la biosphère s’est plus ou moins retirée ? A l’opposé des projets de panneaux solaires à grande échelle, ce programme serait véritablement écologique, générateur d’emplois « verts », combinant la puissance du Soleil et le travail humain, pour reverdir les espaces qui en ont besoin.

 Qu’est, réellement, la puissance du Soleil ?

Les peuples anciens (et les nouveaux païens de notre époque) vénéraient le Soleil pour des raisons évidentes : il assure toute vie sur Terre. Aujourd’hui, grâce à des télescopes spatiaux de plus en plus sophistiqués, nous le connaissons mieux. Cependant, nous commençons à peine à comprendre sa structure complexe et les processus de fusion qui l’animent. Un flot de radiations électromagnétiques en émane et inonde à tout moment la Terre et l’ensemble du Système solaire. Une grande partie de ces radiations se situe dans les ultraviolets et les infrarouges invisibles, mais également dans le spectre de la lumière visible.

Au fil du temps, la vie sur Terre a su utiliser ingénieusement toute cette gamme de fréquences. Notre propre capacité de vision en est l’illustration la plus évidente. Cependant, les papillons de nuit et d’autres insectes ont un « flair » pour la communication et les déplacements, ce qui implique la détection de diverses bandes étroites de fréquences dans l’infrarouge, émises par des molécules odorantes en suspension dans l’atmosphère. D’autre part, beaucoup d’insectes et animaux de toutes sortes ont des yeux capables de voir dans l’ultraviolet. Mais l’usage le plus important des radiations solaires par des organismes vivants, c’est la photosynthèse ! Autrement dit, la conversion directe de la lumière visible en énergie utilisable par la vie végétale et animale, et en oxygène pour la respiration. [2]

Nous pouvons remercier la photosynthèse et la très humble molécule de chlorophylle qui rend tout cela possible. En outre, si la Terre n’est ni une boule de glace, ni une terrible serre comme Vénus, mais plutôt un espace dense de transmission et de transformation des radiations cosmiques et solaires, en particulier en surface, c’est grâce à l’action des organismes vivants. Il y a au moins 2,5 milliards d’années, les organismes photosynthétiques commencèrent à produire de l’oxygène dans l’atmosphère, et réalisèrent ainsi la couche d’ozone qui nous protège, ainsi que la stabilisation de l’hydrosphère. Ceci permit à l’eau de circuler au niveau planétaire, sous ses formes liquide, gazeuse et solide, façonnant pour une large part le climat terrestre, mais aussi la composition chimique et l’activité tectonique de la croûte terrestre.

Pour effectuer tout ce travail, seule une part infime des radiations émises par le Soleil atteint réellement la Terre, et seule une petite portion de cette quantité est effectivement utilisée par les organismes photosynthétiques. En effet, dans les couches supérieures de l’atmosphère, l’énergie moyenne provenant du Soleil est d’environ 340 watts par mètre carré. A peu près un quart est immédiatement réfléchi et retourne dans l’espace. Un autre quart est absorbé par l’atmosphère. Cela laisse approximativement la moitié de cette énergie atteindre la surface de la Terre, où un mètre carré reçoit en moyenne 170 watts. Là où un rayon de Soleil incident relativement faible rencontre une plante verte, il travaille à produire un grand effet, participant au cycle énergétique de l’ensemble de la planète.

Mais là où la lumière du Soleil rencontre un désert aride, elle est gaspillée, pratiquement inutilisée par la vie.

En réalité, les déserts sont des échecs, soit de la nature, soit de l’homme. Alors que la désertification progresse dans certaines régions du globe, le NAWAPA et d’autres projets similaires rendront triviaux de tels problèmes. Il est déjà prouvé qu’une augmentation de la biomasse (qui, au passage, profiterait de hausses marginales en CO2 atmosphérique) grâce à des programmes d’irrigation et de plantation d’arbres bien planifiés, améliorerait les conditions climatiques locales, augmenterait et rajeunirait les sols. A ce sujet, des scientifiques russes ont proposé une théorie qu’ils ont baptisée « Pompe biotique », selon laquelle les forêts côtières, via une évapotranspiration intense, attirent l’air riche en humidité des océans et alimentent les cycles de précipitation et d’évapotranspiration à l’intérieur des continents. [3]

Ainsi, la planification de nouvelles forêts donnera un sens nouveau à ce vieil adage des pionniers, « la pluie suit la charrue », et les déserts de tous les continents se couvriront de fleurs.

L’idée de libérer le plein potentiel de la biosphère, grâce à la transformation des déserts en forêts fertiles et en terres agricoles, est une mission donnée à l’homme en tant que gardien et ingénieur de la Terre, et constitue sans doute le « passage au vert » le plus ambitieux de l’histoire. A l’opposé, ceux qui préconisent le maintien de la désertification « naturelle » de ces paysages, avec des projets destructeurs consistant à y installer des panneaux solaires, semblent plutôt « virer au brun ».

 Photosynthèse et Biosphère

Afin de mieux comprendre le danger que représentent les panneaux solaires, examinons de façon plus précise le rôle de la photosynthèse dans les processus de l’ensemble de la biosphère (Figure1).

 

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Fig 1. Le cycle de la photosynthèse.

Tout d’abord, les rayons solaires chauffent l’atmosphère, la surface de la terre et les océans. Les courants thermohalins (courants dans les profondeurs des océans, dus à des différences de température et de densité en sels [Ndt]), qui dépendent des températures et des salinités relatives des eaux océaniques, modèrent les températures atmosphériques en circulant autour du globe. L’évaporation à partir des océans produit de la vapeur d’eau atmosphérique et des nuages. Les plantes contribuent aussi à l’humidité et à la formation des nuages au-dessus des terres. En effet, les grandes surfaces de végétation, optimisées pour une captation maximale des rayons solaires, favorisent une évaporation significative des eaux de précipitation captées par les plantes, tandis que la transpiration libère de l’eau, que les racines tirent d’un sol gardé humide grâce à la couverture végétale. L’évapotranspiration permet également de refroidir les régions arides par un refroidissement dû à l’évaporation directe.

Les scientifiques commencent seulement à comprendre la contribution de la végétation terrestre au cycle global de l’eau, notamment au niveau des processus de recyclage de l’humidité au-dessus des terres, qui semblent bien plus importants que ce que l’on croyait initialement. Ainsi, on estime que dans les régions fortement boisées comme la forêt amazonienne, l’eau issue des océans peut être recyclée jusqu’à six fois, via l’évaporation et les précipitations. Ce processus est régi par la photosynthèse et lui est nécessaire.

En plus des précipitations, les nuages jouent un rôle important pour réguler les températures et diriger la « machine thermique » du climat. Tout d’abord, ils réfléchissent les rayons solaires ; plus il y a de nuages, plus les températures sont basses. Cependant, ils rayonnent aussi de la chaleur dans l’atmosphère de différentes manières : par réflexion de la chaleur de la surface terrestre, par absorption et ré-émission (les nuits nuageuses sont plus chaudes), et par la chaleur latente de la condensation (lorsqu’il pleut, l’eau passe de l’état gazeux à l’état liquide en restituant l’énergie qu’elle avait reçue précédemment pour s’évaporer).

En fait, l’étude du rôle de l’eau dans l’atmosphère est un domaine qui montre à quel point nous ne comprenons que très peu combien la biosphère est un milieu structuré et organisé sur tous les plans, par l’activité des organismes vivants. Tout comme le protoplasme d’une cellule (contenu de la cellule vivante, essentiellement composé d’eau [Ndt]) possède une organisation bien définie au delà du simple rôle de solvant qu’on lui attribue généralement, l’atmosphère présente des propriétés structurales propres à l’eau. Considérons, par exemple, le cas étrange des nuages noctulescents (nuages brillants visibles à la fin du crépuscule, [Ndt]) qui se forment à la limite de l’atmosphère, dans ses couches les plus élevées. Dans ces hauteurs, l’air extrêmement froid a beau être cent millions de fois plus sec que celui du Sahara, des nuages de cristaux de glace peuvent pourtant s’y former.

Lorsqu’on examine le flux total d’énergie solaire dans la biosphère, il est important de souligner que l’efficacité de la photosynthèse ne peut pas être mesurée strictement en utilisant les mêmes termes thermodynamiques que pour les systèmes abiotiques. Pratiquement aucune part de la chaleur impliquée dans ces processus ne peut être qualifiée de « perte par dissipation thermique », mais elle fournit, au contraire, les conditions de fonctionnement nécessaires pour la photosynthèse, et de ce fait, pour presque toute vie sur la planète. Si les plantes absorbaient 100% des radiations solaires et ne réfléchissaient rien sous forme de chaleur, la Terre gèlerait, ce qui ne serait pas vraiment propice à la photosynthèse.

En dehors des effets climatologiques, les produits de base générés par la photosynthèse sont les hydrates de carbone et l’oxygène. Les hydrates de carbone, qui constituent la structure des plantes et des animaux, sont à la base de toute la chaîne alimentaire. Cela signifie que la photosynthèse prend la lumière du Soleil et l’imbrique littéralement dans la structure de la biosphère. L’oxygène alimente la respiration des plantes et des animaux, fournissant en retour le dioxyde de carbone nécessaire à la photosynthèse. L’oxygène alimente également la production d’ozone, qui aide à filtrer, dans la haute atmosphère, les formes les plus dangereuses de radiations ultraviolettes.

Bien que simplifiée, notre figure suffit pour montrer combien la photosynthèse est centrale dans la régulation de la biosphère. Modéliser ces relations pour prévoir les changements futurs dans le système, et en particulier ceux que nous désirons induire volontairement, nécessitera une approche « systémique » allant bien au-delà des méthodes utilisées aujourd’hui pour construire les modèles climatiques. Nous avons représenté ici les caractéristiques de base des cycles de l’eau, du dioxyde de carbone et de l’oxygène, qui intersectent tout le processus de photosynthèse. Ces cycles ne représentent qu’une partie de la migration biogénique des atomes dans la biosphère, identifiée par Vernadski comme l’expression primaire d’une énergie biogéochimique, une grandeur qui n’a fait que croître au cours de l’histoire géologique de notre planète.

Tel est le potentiel que l’on peut libérer en reverdissant les déserts.

Ayant cela en tête, remplaçons dans notre schéma les apports de la chlorophylle par ceux des panneaux solaires, et voyons comment s’effondre notre fonction biosphérique (Figure2).

 

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Fig. 2. Le cycle de la photosynthèse perturbé par les panneaux solaires.

 Pourquoi les plantes vertes détestent les « cellules solaires »

Les panneaux solaires photovoltaïques absorbent en général 20% de la lumière solaire incidente pour la convertir en électricité. Ils ne contribuent en rien à recycler l’humidité et ne tirent aucun bénéfice des précipitations. En réalité, c’est en l’absence totale de nuages qu’ils sont le plus efficace.

Alors que la migration biogénique des atomes est accélérée par les divers cycles biogéochimiques rencontrés au cours de la photosynthèse, la présence de panneaux solaires perturbe ce processus. Pire, contrairement aux plantes, les panneaux solaires produisent de la chaleur durant leurs opérations, mais n’en consomment pas. En effet, la plus grande partie de la lumière solaire qui atteint une cellule solaire est soit reflétée, soit absorbée en tant que chaleur, sans induire un courant électrique. Cette chaleur, ainsi que celle produite par le courant électrique à travers les fils conducteurs, constitue une perte d’énergie. En fait, les panneaux solaires fonctionnent mieux à des températures glaciales comme celles que l’on trouve dans l’espace.

La poussière pose par ailleurs un autre problème : on estime que moins d’une cuillère à soupe de poussière par mètre carré peut réduire de 40% l’efficacité d’un panneau solaire normal, ce qui correspond à peu près à la quantité qui se dépose en une semaine, dans le désert. La poussière, qui est l’une des principales exportations sur Terre, provenant principalement de déserts comme le Sahara, représente une menace écologique majeure et un risque sérieux pour la santé humaine, puisqu’elle peut véhiculer, entre autres, des maladies infectieuses en traversant les océans.

De plus, les panneaux solaires eux-mêmes sont une menace directe à la survie des organismes vivants. En effet, certaines espèces d’insectes aquatiques, qui déposent leurs œufs dans l’eau, sont attirées par la lumière polarisée que les panneaux réfléchissent, qu’ils confondent avec celle réfléchie par l’eau. Ces mirages condamnent non seulement les œufs, qui cuisent sur les panneaux, mais aussi les insectes qui, enchantés par les chatoiements de ces oasis fallacieux, volent autour d’eux jusqu’à mourir d’épuisement. Des espèces entières d’insectes pourraient disparaître à cause de telles installations « respectueuses de l’environnement ».

Le meilleur emplacement pour un panneau solaire semble donc être une étendue de désert stérile (si possible pavée pour éliminer la poussière), sans nuages ni plantes susceptibles d’apporter une ombre indésirable, ni insectes ou tout autre forme de vie qui puisse être menacée par le processus ou interférer avec lui – en tout cas, pendant les jours ensoleillés.

 Les panneaux solaires et la mort

Considéré du point de vue de la Terre en tant que système, l’usage de l’énergie solaire par des cellules photovoltaïques représente une augmentation globale de chaleur et d’électrons en mouvement, ou une augmentation quantitative de chaleur et de mouvement. Comparons ce phénomène à celui de la photosynthèse par lequel l’énergie solaire est utilisée par les plantes pour analyser l’eau, fixer le dioxyde de carbone, produire de l’oxygène et des hydrates de carbone. Dans ce cas, l’énergie solaire est convertie dans la structure d’organismes vivants sur la planète. Ajoutons que les plantes produisent l’oxygène et modèrent les effets climatologiques, et l’on pourra voir que l’énergie solaire sert également à constituer des organismes supérieurs et à créer les conditions de leur survie.

L’expression de cette transformation n’est plus pour notre Terre une simple augmentation quantitative, mais un changement dans l’ensemble de la géométrie du processus. C’est d’autant plus vrai si l’on reconnaît que les structures produites par la vie végétale n’ont pas seulement permis la survie des organismes vivants, mais également leur évolution vers des stades d’organisation plus élevés. Ainsi, ce ne sont pas de simples cycles d’énergie en soi que la biosphère a engendrés, mais bel et bien l’augmentation de la densité de flux d’énergie – une organisation et un débit d’énergie plus grands sur l’ensemble de la planète.

Ces aspects qualitatifs se reflètent, à un certain degré, dans quelques considérations quantitatives simples.

Par exemple, au cours de la photosynthèse, une molécule d’oxygène (O2) est libérée en cassant deux molécules d’eau. Ce processus implique le transfert d’électrons à travers la totalité de l’appareil de photosynthèse. En effet, chaque liaison H-O nécessite 4,22électronsvolts (eV) pour se former ou se casser. Cependant, la plus petite longueur d’onde visible ne présente que 3,1eV par photon, et cette énergie va en diminuant à mesure que la longueur d’onde augmente. Ainsi, la seule lumière qui puisse casser la liaison H-O de l’eau est l’ultraviolet ou d’autres longueurs d’onde plus petites. Cependant, la plus petite longueur d’onde d’activation qu’on trouve dans la chlorophylle est d’environ 435nm, soit dans le violet profond, et non pas dans l’ultraviolet. Certains types de chlorophylle opèrent jusque dans l’infrarouge (comme la « chlorophyllef » découverte récemment). Ainsi, l’apparition de la chlorophylle et de son appareil photosynthétique représente un bond dans la densité de flux énergétique délivrée sur Terre sous forme de rayons lumineux.

Ce qui est particulièrement significatif, c’est la distinction absolue entre les processus de transfert d’électrons impliqués dans le fonctionnement d’un panneau solaire et ceux impliqués dans une réaction de photosynthèse, bien que ces processus puissent sembler analogues à première vue.

 

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Implanter des panneaux solaires dans le désert, comme le prévoit le projet
Desertec, est une très mauvaise idée pour l’homme et surtout… pour la nature !

Les panneaux solaires opèrent sur la base d’un effet photoélectrique, dans lequel la lumière du Soleil excite les électrons dans un matériau semi-conducteur comme le silicium, afin de les amener à un niveau d’énergie supérieur, produisant un mouvement d’électrons libres qui passent finalement dans un circuit externe pour produire un flux continu d’électricité.

Dans les plantes, un photon incident de la lumière du soleil excite un électron dans la molécule de chlorophylle, l’amenant à un niveau d’énergie supérieur. Avant qu’il ne retourne à son état fondamental, « la vie se place elle-même entre ces deux processus et fait redescendre l’électron dans sa propre machinerie, en utilisant son énergie… Pour y parvenir efficacement, elle doit associer l’électron à une substance spécialement constituée (principalement la chlorophylle), et coupler cette substance à un système qui convertit l’énergie de l’excitation électronique, très instable, en un potentiel chimique plus stable : l’énergie chimique. » [4]

En réalité, on ne sait toujours pas très bien ce qui se passe dans l’appareil photosynthétique, entre l’entrée de la lumière et la production d’hydrates de carbone et d’eau, bien que de nombreuses étapes intermédiaires aient été énumérées depuis plusieurs décennies d’expérimentation. Le processus du transport d’électron au cours de la photosynthèse met en défaut toute description simple, par étapes, du mouvement de la particule. On est ici en présence d’une opération dont l’efficacité est pratiquement de 100%, ce qui n’arrive jamais dans le domaine abiotique, à part sous des conditions extrêmes comme la supraconductivité atteinte à des températures proches du zéro absolu. Dans de tels phénomènes, la notion de « particules » discrètes individuelles ne signifie plus rien.

 

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L’homme commence à peine à comprendre la structure complexe du
Soleil et les processus de fusion qui l’animent. Un flot de radiations
électromagnétiques en émane et inonde en permanence la Terre et
l’ensemble du Système solaire.

Nous voyons l’importance de distinguer les différences fondamentales entre les domaines du vivant, du non-vivant et du cognitif. La puissance de transformation contenue dans les matières organiques hautement développées produites par la photosynthèse, repose sur sa fonction irremplaçable qui est de soutenir directement la vie, y compris la vie humaine. [5]

Grâce aux processus industriels dont la société humaine dépend, nous utilisons les processus abiotiques des domaines atomiques et subatomiques, capables de produire un travail sous forme de chaleur ou d’électricité, et dont les densités énergétiques sont des millions de fois plus grandes que celle des rayons solaires incidents. En effet, l’énergie solaire contenue dans les molécules organiques liées aux carburants fossiles a atteint les limites de son utilité en tant que source d’énergie pour l’humanité. Aujourd’hui, un tournant vers des sources d’énergie à plus haute densité de flux est nécessaire, comme la fission nucléaire et la fusion thermonucléaire, ce qui constituera la plateforme technologique d’une humanité destinée à voyager dans l’espace (car il serait assurément honteux de laisser à l’abandon tout cet hélium-3 que le Soleil a généreusement déposé sur la Lune depuis des milliards d’années, alors qu’il est le carburant idéal de la fusion).

 Des emplois verts pour la chlorophylle

Pour tous ceux qui, après cela, voudraient encore du photovoltaïque, nous lançons un appel aux consciences, au nom des pompiers du monde entier, compte tenu des menaces, récemment mises en évidence, que représentent les incendies impliquant des panneaux solaires. A ce danger, s’ajoutent les coûts de production d’énergie solaire absurdes comparés à leur rendement [6], et il devient clair que les panneaux solaires sont non seulement une menace écologique, mais aussi un danger sociétal considérable.

Dans notre souci d’utiliser toute la lumière du Soleil, « gratuitement » dispensée à la Terre, souvenons-nous de ne pas négliger la quantité infiniment plus grande inutilisée dans tout le Système solaire. Mettre ces radiations au travail signifie que nous devons étendre l’activité de la vie dans tout le Système solaire. Des serres en orbite terrestre pourront être un bon début sur le chemin de la colonisation de la Lune et de Mars – une mission qui commencera par la terra-formation de notre propre planète, grâce au NAWAPA. Pour son accomplissement, nous emploierons des millions de personnes, notamment des scientifiques qualifiés, des ingénieurs, des spécialistes de la construction, dont les connaissances seront cruciales pour diriger cette mobilisation économico-physique sans précédent dans l’histoire. Nous emploierons également le pouvoir de travail productif de cette humble et petite molécule de chlorophylle à une échelle largement étendue. N’est-ce pas cela, après tout, une véritable politique verte ?

Peter Martinson et Michelle Lerner ont contribué à ce document.


[1Vladimir Vernadski, “Some Words About the Noösphere”, 21st Century Science Technology, Spring 2005.

[2Quelques bactéries photosynthétiques qui ne produisent pas d’oxygène utilisent la lumière infrarouge. Une nouvelle étude a également prouvé l’existence d’une nouvelle forme de chlorophylle provenant d’une bactérie qui produit de l’oxygène (chlorophyllef) et utilise les rayons proches de l’infrarouge.

[3A.M Makarieva and V.G. Gorshkov, “Biotic pump of atmospheric moisture as driver of the hydrological cycle on land,” Hydrol. Earth Syst. Sci., 11, 1013-1033, 2007

[4Citation d’un chercheur pionnier à propos de la photosynthèse : Albert Szent-Györgyi, Introduction to a Submolecular Biology,1960.

[5Il n’est pas dit que l’homme ne puisse pas améliorer la photosynthèse. Cela devrait figurer parmi les objectifs de tout effort de colonisation de l’espace proprement pensé, tel que par exemple, Lyndon Larouche l’a décrit dans cet extrait de Il n’y a pas de Limites à la Croissance, publié en 1980,dans le chapitre intitulé « Les forêts et les villes de Mars » : Avec des sources d’énergie relativement abondantes et des technologies fortement améliorées pour les utiliser, l’une des caractéristiques de la nature les plus agaçantes pour les scientifiques et les administrateurs, sera la faible performance des processus biologiques à rendre disponibles de plus grands flux de densité d’énergie. A ce sujet, nous ne pouvons pas blâmer la faiblesse des performances des espèces végétales sur Terre. En effet, la vie végétale terrestre a dû s’adapter à la mauvaise qualité de la puissance solaire. Compte tenu du fait que la vie végétale « inventa » la chlorophylle, nous devons remercier les végétaux d’avoir fait le mieux possible pour gérer la production de notre biosphère, malgré le traitement peu généreux dont les a gratifiés le Soleil. Maintenant que nous avons rendu disponible des niveaux d’énergie supérieurs pour les plantes amies, à peu près sous toutes les formes d’alimentation énergétique utiles pour elles et ce qu’elles peuvent désirer, nous devons leur communiquer d’une façon ou d’une autre cette bonne nouvelle. En résumé, nous devons accélérer le taux de reproduction de la biomasse utile, à l’instar des chimistes de l’alimentaire comme J. Liebig et L. Pasteur qui nous ont ouvert cette voie au cours du XIXe siècle ; désormais, à l’âge de la technologie de fusion par laser, nous devons avancer à pas de géant dans cette voie.

12 décembre 2014

Des ondes scalaires pour une mort massive d'espèces

Norway_torsion_3preuve d'utilisation d'ondes scalaires et distorsion du temps.

Des témoignages  mettant en évidence l'utilisation des ondes  scalaires comme arme militaire un peu  partout dans le monde. Ces armes ont   remplacé et supplanté les armes   nucléaires,raison du désarmement  nucléaire engagé par les deux blocs, est et  ouest, à l'époque de la fin de la guerre   froide.  On retrouve des schémas comme ceux utilisés par Tesla, la production d'un  "rayon mortel", le "death ray" cher à Tesla, 
qui avait découvert les ondes scalaires et   leur utilisation militaire potentielle. Ensuite il suffit de se demander à quoi    servent et comment marchent les  antennes de HAARP. On savait qu'elles  émettent des ondes électromagnétiques, 
 mais voilà comment on utilise leur potentiel: par la création d'ondes  scalaires. Car les ondes scalaires ont un   effet sur le coeur de la matière, maintenant en place ou non la cohésion du noyau des atomes; permettant de refroidir ou réchauffer des zones d'atmosphère, etc.

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Elles peuvent aussi tuer instantanément  des êtres vivants en arrêtant l'intégralité  des communications micro-électriques  dans les cellules (témoignages à l'appui).un très grand nombre d’oiseaux errants sur le bord des routes et avions mis ce phénomène en relation avec des essais d’armes à ondes, menés par l’OTAN en Europe. Ces essais nécessitant de garder les avions civils au sol, il fut invoqué le prétexte du nuage de cendre islandais. Aujourd’hui, il semble que ces essais ont été concluants et qu’ils ont été étendus à l’ensemble de la planète.
Comme le rapportent les médias officiels, des milliers d’oiseaux ont été retrouvés morts aux États-Unis, en Suède, au Japon et dans d’autres pays.Cette disparition des oiseaux n’est toutefois que l’effet visible d’une attaque qui se déploie sur le plan invisible, éthérique : car, avec l’intensification des ondes,Les autorités n'apporterons aucun éclaircissement la dessus, les scientifiques non plus.
Ils sont muselée par un groupe d'individu qui contrôle les masses, les gouvernements et qui font taire ceux qui parle.

"C'est quoi, nuage de Pollution, champs magnétisme, changement climatique etc...
peut être un ensemble de tout""

Rien de tous sa, comme je les indiqués plus haut la réponse est très certainement les ondes scalaire ou quelque chose dans se genre.
Il est impossible que se soit la pollution => si c'est le cas pourquoi cela a t-il touché des zones précise et pas d'autre, juste un certain secteur....et certaine espèces précise et pas d'autre a chaque fois, des espèces précise étais viser...
Champs magnétique ? => impossible, cela affecterais tous les animaux en même temps, et tous nos appareil électronique aussi....
Changement climatique ? => impossible également, en quoi le changement climatique tuerais des animaux au point de réduire en bouillie l'intérieur de leur corps....faut pas me dire que c'est un changement de t° qui a tuez des espèces spécifique a différent endroit du globe....

Tous sa ne sont que des essais, des essais pour quelque chose de plus gros qui se prépare, des essais pour faire plier des gouvernement...Ordo ab chao du chaos naitra l'ordre le nouvel ordre mondial..en tuant les moyens de subsistence des populations les plus pauvres ont s'assure de la mise a mort des populations les plus pauvres la nouriture allant en se rarifiant les prix vont s'envoler et ainsi on tuera les plus pauvres de faim ....et destabiliserons les autres ...

27 mai 2012

EISCAT LE HAARP SECRET EUROPEEN

EISCAT LE HAARP SECRET EUROPEEN
EISCAT (European Incoherent Scatter Scientific Association) L'association scientifique EISCAT est une organisation internationale de recherches, qui exploite trois installations de radar à diffusion incohérente à 931 MHz, 224 MHz et 500 MHz, dans le nord...
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