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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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mediapart
3 novembre 2014

LES « BLACK PROGRAM »: LE PROJET SILVER BUG

UsaUFO


Un programme pour étudier la conception d’un nouveau type d’aéronef à décollage et attérrissage vertical.

Le projet « Silver Bug », « cafard d’argent » (projet n° 9961) avait été développé conjointement par l’ATIC, le « Air Technical Center », le « Centre de Renseignement Technique de l’Air » et le WADC, « Wright Air Developpement Center », le « Centre de recherche et de développement de Wright », en février 1953. En fait, il s’inspirait à l’origine d’un programme Canadien démarré en 1952. C’est le général D.C. Putt de « l’USAF Air Research and Développement », la branche « Recherche et Développement de l’Air Force », qui en prendra la direction.
Ce programme avait pour but d’étudier la possibilité d’une une toute nouvelle conception d’aéronefs tout-à-fait radicale. Pour envisager la réalisation d’un disque volant, qui serait capable à la fois de décollages et d’atterrissages verticaux, et ayant une vitesse de vol supersonique. Au départ, le projet avait mis en concurrence deux types d’engins différents.

Le projet « Silver Bug » avait été lancé, lorsque le renseignement de l’Air Force avait rapporté des informations indiquant un grand intérêt de la part de l’Union Soviétique dans ce domaine d’activité.

Une autre motivation de l’Air Force était de trouver un moyen de limiter au maximum la vulnérabilité des bases aériennes, qui sont toutes tributaires de leurs pistes d’atterrissage. Non seulement les pistes prennent énormément de place de par leur longueur, mais elles seraient tout-à-fait identifiables par des photos aériennes et aussi par des satellites espions (même si l’on en était qu’au début de l’ère spatiale, il y avait bien, pour l’Air Force, un risque pour la sécurité nationale, quand des satellites espions pourraient être mis en orbite par l’URSS). De plus, l’armée de l’air y voyait-là un moyen de ne plus dépendre des pistes d’atterrissage de ses bases (qui bien-sûr deviennent inutilisables, dès qu’elles sont bombardées).

En cas de succès, les nouveaux engins devaient être entreposés en sous-sol, évitant ainsi la nécessité d’avoir des longues pistes.

Un programme conjoint Américano-Canadien.

Le projet Silver Bug, s’appuyait pour ses recherches sur les travaux du contractant de la défense A. V. Roe Limited, une société Canadienne (que l’on appelle plus communément « AVRO ») et qui était une filiale de l’entreprise Américaine « Hawker-Siddley Group ». Le principal objectif était de résoudre les contraintes de ces nouveaux engins et de leur forme, identiques aux « soucoupes volantes ». Pour offrir à la force aérienne Américaine, des systèmes d’armement avancés, capable de décoller et d’atterrir verticalement, avec des capacités et des performances supérieurs aux jets militaires de l’époque. Et pouvoir proposer une utilisation possible dans la majorité des bases déjà existantes.

De plus, les supérieurs de l’Air Force avaient bien définis que:

- « Il ne semble y avoir aucune raison fondamentale, pour laquelle cette étude ne devrait pas donner lieu à un système d’armement. Cependant il existe plusieurs domaines techniques qui doivent être étudiés avant qu’un développement du programme à grande échelle ne soit lancé »;

- « La simplicité de la construction de l’engin devrait atténuer un grand nombre des problèmes logistiques liés à la construction, qui sont normalement associés avec le développement de nouveaux aéronefs »;

- « Se basant sur ces éléments, le double programme de recherche-développement est justifiable »;

- « Les échanges d’informations techniques sur ce projet se feraient en liaison directe, entre le WADC et l’ATIC »;

- « Un effort doit être entrepris, pour déterminer si l’Union Soviétique travaille encore ou a déjà travaillée pour conduire un projet similaire, quand les travaux ont commencés et l’état actuel de l’avancée Soviétique ».

Deux types d’engins seront envisagés, mais un seul sera retenu.

Durant les deux premières années, des études préliminaires pour un modèle d’aéronef à décollage vertical seront lancées. Et parmi eux, deux types de projets (regroupant chacun différents prototypes) se démarqueront:

- L’un appelé « Projet Y », qui visait un engin en forme d’aile volante à pointe fuselée, avec un décollage vertical par l’arrière de l’appareil (procédé de décollage type « tail-sitter »);

- Et un autre, appelé « Projet Y2″, qui visait une plate-forme volante circulaire, qui reste à l’horizontal au moment du décollage (de type dénommé « flat-riser »).

Ils étaient tous les deux classé « secret ». Après étude par les contractants, pour servir de base de travail, le projet Y sera finalement abandonné au profit du projet Y2 (1). L’Air Force désirant un appareil plus maniable, préférait une forme de soucoupe. Les forces Américaines avaient déjà fait l’expérience d’avions supersoniques à décollage vertical dans différents autres programmes, qui avaient posés des problèmes d’aérodynamisme et ils préféreront choisir un engin de forme circulaire (2).

A partir de ce moment, la direction prise par la recherche sera de s’orienter définitivement vers une forme de soucoupe circulaire, pour concevoir un prototype d’engin à décollage vertical. Les prototypes seront au départ appelés « VTO Aircraft », pour « Vertical Take Off Aircraft », « aéronef à décollage vertical ».

Le principe de l’aéronef qu’avait retenu l’Air Force au départ.

La forme générale était celle d’une plate-forme circulaire ayant l’apparence d’un « disque ». Le tout surmonté d’un cockpit central pour le pilote. La première étude du prototype, prévoyait 6 réacteurs Armonstrong-Sidney « Viper 8″ placés en étoile, dans l’épaisseur du fuselage, autour de la partie centrale, avec un système de volet, pour orienter les flux de gaz des réacteurs.   Voilà les plans ci-dessous:

Il y aura une seconde étude de prototype, permettant aussi un large flux radial d’energie sur sa circonférence mais avec un système de motorisation différent. C’est celui-là qui avait été retenu. Il sera appelé le « MX-1794″ aux Etats-Unis et le « PV-704″ au Canada, voilà les plans ci-dessous :

Les caractéristiques de cet engin « Radial-Flow Engine Aircraft »:

Diamètre: 29,20 pieds;
Hauteur: 3,79 pieds;
Poids total du fuselage et du cockpit : 9532 livres;
Poids total du système de propulsion : 10450 livres;
Equipement de vol, radio-électrique, air conditionné et oxygène: 1068 livres;
Capacité du réservoir de fuel: 1140 gallons;
Poids à vide: 21050 livres;
Charges de fuel: 7750 livres;
Equipage (un pilote): 200 livres;
Poids total en chage: 29000 livres.

Un système de propulsion et de contrôle indissociable.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser généralement en voyant les plans de cet aéronef, il ne s’agissait pas d’un engin à « antigravité ».

Il utilisait un mode de propulsion disons plus conventionnel, avec des rotors, des réacteurs et des turbines, et une chambre de compression qui étaient alimentées au fuel. Il y aura plusieurs versions étudiées, avec le principe de réacteurs et de turbines, qui comprimait l’air, en l’éjectant sur son pourtour. Une partie de l’air pouvant être dirigé dans n’importe quels endroits de la périphérie du disque, afin d’assurer l’inclinaison et l’orientation de l’appareil. Le système de pilotage de l’engin se faisant en contrôlant ces flux et leur puissance, qui pouvaient aussi contribuer à la propulsion verticale ou horizontal de l’appareil (que l’on appelle « l’effet Coanda »). Exemple avec le plan ci-dessous :

Ce qui pouvait passer pour un avantage, la propulsion et le système de contrôle ne faisant en fait qu’un, deviendra en fait la plus grande difficulté à surmonter. Pour arriver à un engin maneuvrable et capable des performances attendues. Et ce prototype n’aboutira finalement pas.

Les estimations des performances attendues selon le constructeur devaient être:

Plafond maximum à pleine vitesse: 80600 pieds;
Vitesse maximale: 2300 miles;
Vitesse de montée: 1,76 minutes par 36090 pieds.

Le Projet Silver Bug dans les médias.

Effectivement, plusieurs journaux et magazines, aussi bien Américain que Canadien, parleront de ce programme dès le début et ce tout au long des années cinquante. Donnant indifféremment sans même le savoir, des informations sur les différents prototypes du projet Silver Bug.

Le magazine « Look », avait publié un article en juin 1955, disant que AV Roe, Canada, Ltd, le constructeur Canadien, avait en cours un programme de conception de soucoupe qui était en développement depuis 1953. Et qu’il avait été abandonné à cause du coût qui était jugé trop élevé pour obtenir un démonstrateur de vol (il s’agit en fait du projet MX 1794, qui sera bien abandonné). L’article évoquait également une réunion d’ingénieurs, où il avait été annoncé que de nouvelles contraintes de l’Air Force avaient été mise en place, concernant les exigences en matière de performances, qui serait plus satisfaits par un aéronef en forme de soucoupe (ce que confirme le rapport déclassifié).

Le journal Canadien « Toronto Star », avait de son côté écrit dans son édition du 11 février 1953 que Avro-Canada, avait démarré un programme en 1953, pour élaborer une soucoupe volante. Et que leurs équipes travaillaient à l’usine de Malton, en Ontario. Le 16 février 1953, le ministre de la Production de défense a informé la Chambre des communes que Avro avait travaillé sur un « modèle à décollage vertical » d’une soucoupe volante qui serait capable de voler à 1500 miles à l’heure et de voler à la verticale.

Dans le journal de la société, « Avro News », le président de Avro-Canada avait déclaré que le prototype en cours de construction était « …si révolutionnaire que cela rendrait toutes les autres formes d’avions supersoniques obsolètes ».

Et dans un article dans un supplément du mois de décembre de la publication « Air Intelligence Digest », titré « le disque volant », des travaux de AVRO où figurait une illustration inexacte du prototype du projet.

A la suite de toutes ces « fuites » dans la presse le Pentagone fera une conférence de presse dans laquelle l’armée reconnaitra l’existence du projet Silver Bug et qu’ils travaillaient bien sur un engin en forme de soucoupe, et présenteront d’ailleur une illustration officielle du projet MX-1794.

Il faut bien le dire, ces divulgations dans les journaux à l’époque, même si elles ne donnaient pas toutes les informations, avaient entretenu une certaine confusion. Et en voyant l’Avrocar présenté au public, qui n’était pas le modèle présenté officiellement, il y aura une certaine suspicion, sur ce que pourrait cacher l’Air Force (et par certains côtés, on peut dire qu’elle perdure encore aujourd’hui).

Les différents d’aéronefs de la société AVRO.

Avec un même projet, partagé en deux programmes (un aux Etats-Unis et l’autre au Canada), plusieurs prototypes (certains abandonnés, d’autres retenu), le tout se déroulant sur plusieurs années, cela a certainement contribué à tout rendre assez confus, pour qui veut reconstituer les évènements. Et en voyant le résultat final avec l’Avrocar, qui de plus ne ressemblait pas à l’engin présenté dans les articles de presse et par le Pentagone; à l’époque, certains ont pensé qu’il n’aurait pût être en fait qu’un programme secondaire, « de façade ». Et que la recherche sur le prototype de 1955, le MX-1794, aurait peut-être ét poursuivie en secret. Plusieurs personnes à l’époque en avait eu alors la conviction (3).

Il y avait bien plusieurs engins différents à l’étude pour Silver Bug, sur lesquels travaillera la société AVRO. Il y aura:

- Un appareil se type « tail sitter » en forme d’aile volante (projet Y) des études préliminaires qui avait été rejeté et s’appelait l’Oméga;

- Deux appareils de type « flat riser » ou « Radial-Flow Engine Aircraft » en forme de soucoupe (projet Y2), dont un seul sera retenu (le MX 1794/PV 704) mais dont la recherche n’aboutira pas;

- Le « Weapon System 606″, qui était un fuselage classique sur une palte-forme de vol circulaire. Etudié pendant un temps après l’échec (et peut-être au même moment) du MX-1794/PV-704. Mais abandonné également;

- Et un dernier appareil, aussi de type « flat riser » (le VZ-9-AV), mais avec un concept légèrement différent de ce que voulait l’Air Force au dépard et qui donnera naissance à l’Avrocar.

Les documents déclassifiés du projet Silver Bug.

On peut se demander ce que pourrait nous apprendre les documents déclassifiés.
Actuellement, à part quelques documents déclassifiés de la CIA (concernant surtout les possibles recherches Soviétiques dans le même domaine), peu de documents officiels sont disponibles du côté Américain. Il y a un rapport technique sur le projet Silver Bug, publié le 15 février 1955 et qui a été déclassifié le 29 Mars 1995, obtenu suite à une demande du 15 février 1998, par le biais de la loi FOIA, par le CUFON, « The Computer UFO Network » (4).

Questionné à ce sujet, l’Air Force a fait répondre par le service des relations publiques de Wright-Patterson Air Force Base, à Dayton, qu’aucun autre rapport sur ce projet n’était disponible et à ce jour déclassifié (mais il existe un autre rapport, qui doit en fait être le même, mais à la mise en page et à la présentation des informations différentes. Mais le contenu doit être identique).

(1) On présente souvent l’inverse, en disant que c’est le projet Y2 qui avait été abandonné, au profit du Projet Y, mais c’est une erreur. Cela est bien mentionné à la page 1 (Section 1 Caracteristics) dans le dernier paragraphe (B. Description of the proposed Aircraft)  du rapport technique cité dans les sources.  Pour plus d’informations, voir la partie 2.

(2) C’était plusieurs projets de l’US Navy avec les firmes Loockeed et Convair, et un de l’US Air Force avec la firme Ryan Aeronautical Corporation pour les appareil à décollage en ayant une position vertical. Il y avait déjà eu aussi des engin avec une forme plate, par les firmes Roll Royce et Bell.

(3) Encore aujourd’hui, beaucoup le pense.

(4) Pour télécharger le rapport, cliquez sur le lien, link

Sources:
« Technical Report n° TR-AC-47, Joint ATIC-WADC Report on Project Silver Bug », publié le 15 février 1955 par l’Air Technical Intelligence Center de Wright-Patterson Air Force Base, Ohio. Declassifié le 29 mars 1995;
Magazine Top Secret n°12;
http://www.cufon.org;
http://www.avroarrow.org.

article source: http://actualitedelhistoire.over-blog.com/article-les-black-program-le-projet-silver-bug-partie-1-68928331.html

LES « BLACK PROGRAM »: LE PROJET SILVER BUG (Partie 2)

Le projet Y2.

Ce projet était une collaboration entre l’US Air Force et la société AVRO, pour la construction d’un engin à décollage et atterrissage vertical. Ce projet faisait partie du « Projet Silver Bug », mais au Canada il prendra le nom de « Projet Y2″, d’après le nom du projet qui avait été retenu suite aux d’études préliminaires (1). Et au Canada, on le surnomme aussi parfois « Projet Ladybird ».

La recherche Canadienne avait démarrée en 1952 (l’association avec le programme Américain commença en février 1953) et se terminera en 1962. Il était donc aussi constitué de la poursuite des recherches, qui avait été réalisées précédemment par les Canadiens. Le responsable des équipes était l’ingénieur Britannique John Frost qui était aussi conseillé par les anciens ingénieurs en aéronautiques Allemands Miethe et Shiever.

Le projet Y, rejeté par l’Air Force.

Parallèlement au projet Y2, il a existé pendant une courte période un autre projet visant lui aussi le même objectif, c’était le projet Y. Ce dernier proposait un prototype complètement différent. Il s’agissait d’une aile volante arrondie en pointe vers l’avant, propulsée par plusieurs réacteurs. Son mode de décollage devait se faire complètement à la vertical, à l’aide d’un procédé de trains retractables, pour servir de « pieds » à l’engin. Ce système de décollage à la vertical est désigné par le terme « tail-sitter ».

Une forme d’aile allongée devait être utilisé en raison du mode de propulsion par « radiaux de flux » conçus pour l’alimenter. Les moteurs avaient été conçus pour émettre des gaz d’échappement provenant de plusieurs petites turbines, ce qui augmentait la poussée. Il devait voler à 2500 miles à l’heure.

Mais à la suite des études préliminaires, ce prototype ne sera pas retenu par l’Air Force, qui préféra choisir le projet Y2, qui était un prototype de forme circulaire, comme une soucoupe. L’Air Force, tout comme la Navy, expérimentait déjà d’autres modèles d’appareils supersoniques, aux forme plus ou moins classique, pouvant décoller à la vertical. Mais ces projets n’auront pas convaincu, les appareils connaissant régulièrement des problèmes aérodynamique, qui les rendaient insuffisamment maniable (2).

Le prototype, qui avait reçu le nom de code de « Oméga », n’aura existé que sur plan et sa seul réalisation concrète sera une maquette en bois. Dont il existe quelques photographies prises dans un hangar de Malton, près de Toronto, où travaillait la société AVRO. C’est accidentellement qu’elles seront découvertes dans les archives nationales Britanniques au « Public Record Office » de Kew (photos ci-dessous).

   

Même s’il ne sera pas choisit par les Américains, les Canadiens tentèrent tout-de-même de le poursuivre pour leur propre compte, avec des fonds Britanniques. Finalement, l’Oméga sera totalement abandonné. Mais le brevet pour cet appareil a bien été déposé aux Etats-Unis le 6 novembre 1962. C’est le brevet N° 3062482 pour un « aéronef à turbine à gaz » (documents ci-dessous).

L’étude d’un nouveau principe de réacteur.

Cette étude avait été réalisé pour le projet Y, et devait équiper l’aile volante Oméga. Au contraire des réacteurs classiques, dont les rotors sont coaxiaux, et sont placés à l’intérieur du réacteur, le procédé d’AVRO était de placer le rotor du compresseur horizontalement (donc avec un axe de rotation vertical) qui comprime l’air de manière radial, en l’éjectant sur son pourtour. Une partie de l’air comprimé par le compresseur pouvait être dirigé dans n’importe quels endroits de la périphérie du disque, afin d’assurer l’inclinaison et l’orientation de l’appareil. Le système de pilotage de l’engin se faisant en contrôlant ces flux d’air froid et leur puissance, qui pouvaient aussi contribuer à la propulsion verticale ou horizontal de l’appareil. Indépendamment, ou en association avec les flux chauds venant de la chambre de combustion.
Mais suite aux essais en soufflerie réalisé de 1954 à 1960 qui ne seront pas concluant, durant toute la conception de ce nouveau type de moteur, ils décideront d’utiliser un réacteur classique.

Les différents design envisagés par AVRO.

Depuis 1952, la recherche Canadienne avait étudié plusieurs pistes pour ses prototypes, comme vous pouvez le voir sur les document ci-dessous, récapitulant les différents projets:

Le premier qui aura la préférence, sera le Projet dénommé « PV-704″ au Canada et « MX-1794″ aux Etats-Unis (à droite). C’était celui qu’avait retenu l’Air Force au début et lorsque ce dernier sera abandonné en 1955, ils se rabanteront un temps sur le « Weapon System 606A », avant de choisir définitivement le projet « VZ-9-AV », qui deviendra l’Avrocar (à gauche). Il n’y aura que ces deux engins qui deviendront des prototypes et subiront des essais en soufflerie (maquettes d’origine de la société AVRO ci-dessous):

Le projet PV-704.

Il avait une forme de soucoupe, avec un cockpit central, équipé de plusieurs réacteurs, alimentant plusieurs turbines. Une partie de l’air pouvant être dirigé dans n’importe quels endroits de la périphérie du disque, afin d’assurer l’inclinaison et l’orientation de l’appareil. Le système de pilotage de l’engin se faisant en contrôlant ces flux et leur puissance, qui pouvaient aussi contribuer à la propulsion verticale ou horizontal de l’appareil.

Mais après plusieurs tests de différentes versions en soufflerie (selon le nombre et la position des réacteurs), ce projet sera abandonné, officiellement faute de crédit. Mais le brevet pour cet appareil a bien été déposé aux Etats-Unis le 27 février 1962. C’est le brevet N° 3022963 pour un « aéronef de type disque à jets de contrôle périphérique » (document ci-dessous).

Le Projet WS-606A.

Suite à l’échec du PV-704, AVRO se tournera pendant une durée assez courte vers une autre piste avec le « Weapon System 606A » (dont il y aurait eu plusieurs versions). Qui était une engin de forme circulaire, avec un fuselage central et un cockpit de forme classique (illustration ci-dessous). Il se pourrait aussi qu’AVRO l’ait étudié paraléllement, pendant le projet « V7-9-AV », mais on n’en est pas certain. Lui ne dépassera le stade des plans et sera assez rapidement délaissé.

Le Projet VZ-9-AV.

AVRO poursuivra ses recherches en s’orientant vers le projet « VZ-9-AV ». Cet appareil de forme circulaire avec un moteur à réaction, serait maintenu au-dessus du sol par un « coussin d’air » et tiré vers le haut par « l’effet Coanda » (l’effet Coanda, est un effet aérodynamique mal maîtrisé, née d’un inventeur français, Henri-Marie Coanda, qui avait expérimenté avec un moteur à réaction rudimentaire dans les années trente. Il avait constaté qu’un réacteur horizontal pouvait fournir une poussée des deux côtés simultanément), la propulsion et la sustentation étant obtenu par l’aspiration de l’air par le haut et l’orienter ensuite vers le bas et le pourtour de l’engin (shémas ci-dessous).

D’après l’histoire communément admise, la majorité des participants étaient maintenu au secret le plus total, et seulement quelques-uns savaient exactement, ce sur quoi ils travaillaient (3). Mais cela n’empêcha pas les rumeurs à l’époque, comme se souvient le photographe Verne Morse: « Il y avait une rumeur stupide autour de l’usine disant que nous faisions la construction d’une soucoupe volante, et tout le monde riait à ce sujet ».

La première année de recherche s’avéra difficile. Le réacteur atteignait une température trop élevée, qui faisait fondre la structure d’acier du prototype, et les secousses violentes faisaient sauter les rivets du fuselage. Ce fût à ce moment que le gouvernement Canadien, après avoir dépensé quatre cent mille dollars Canadien sur le projet, décida d’arrêter les frais. L’Air Force reprit alors le financement du programme. Grâce à des nouveaux fonds, l’ingénieur John Frost a repensé le concept original, plaçant trois réacteurs Continental J69-T9 avec chacun 417 kilos de poussée unitaire, autour d’une turbine centrale qui était alimentée en air grâce à un apport circulaire que représentait la turbine au centre de l’engin (plan ci-dessous).

Le pilote serait assis dans un cockpit légèrement ovale, dans une bulle en plexiglas (l’engin n’était encore prévu que pour un seul pilote).

Mais les tests en soufflerie, réalisés sur un premier prototype (immatriculé « S/N 58-7055″), au Canada comme aux Etats-Unis (4), avaient démontrés qu’il y connaissait de graves problèmes de stabilité et qu’il y avait un risque de retournement de l’engin, à chaque accélération des réacteurs (ses problèmes ne seront jamais maîtrisé). L’USAF avait voulu l’équiper d’un empennage pour voir si cela permettrait de corriger le problème, mais Frost, refusera fermement d’approuver l’idée. Ce qui n’empêcha pas l’Air Force de faire une tentative en installant un aileron arrière, pour faire d’autres essais en soufflerie (photo ci-dessous).

 

Un second prototype (immatriculé « S/N 59-4975″), qui deviendra le démonstrateur de vol, fera ses premiers vols d’essais le 12 novembre 1959. Il y en aura d’autre en janvier 1960 et à partir de juillet 1960 jusqu’à la fin de l’année au Canada, pour les poursuivre aux Etats-Unis, jusqu’en juin 1961. Le projet s’arrêa le 30 avril 1962. Il y aura eu 75 heures de vol d’essai en tout. Au Canada, le pilote d’essai était celui de la société, Spud Potoki, un pilote d’origine Polonaise. Aux Etats-Unis il y aura deux pilotes d’essai: le major Walter J. Hodgson, de l’US Air Force et Fred J. Drinkwatter III, de la NASA.

La réalisation finale aura des cocardes Américaines peintes sur le fuselage. Et c’est à ce moment qu’il a été dénommé de ce qui devait être son nom définitif pour l’exploitation commerciale, par le terme « Avrocar ». (photo ci-dessous) aboutira à un engin de forme circulaire bi-place d’un diamètre de 5,50 mètres sur 1,47 de hauteur. Il pesait 2095 kilos à vide et la charge maximum au décollage était de 2563 kilos. La propulsion et la sustentation étaient obtenu par l’aspiration de l’air par le haut et l’orienter ensuite vers le bas et le pourtour de l’engin. Et c’est à ce moment qu’il aura son nom définitif pour l’exploitation commerciale, par le terme « Avrocar ».

La société AVRO y croyait vraiment.

Les responsables de la société était très enthousiaste. Le Département de publicité de la société avait même commencé à concevoir des brochures promotionnelles pour exploiter le potentiel de ce type d’engin volant, pour le jour où il serait dévoilé au public. Il devait d’être appelé le « Avrocar » (la « voiture Avro »), et ils espéraient qu’il y aurait de grandes retombées, pour des utilisations tant civiles que militaires. Il y aurait eu un « Avrowagon » pour les transport en commun, et une « Avroangel » (qui aurait été une ambulance aérienne) et un « Avropelican » air-mer, qui devait être capable de se poser sur l’eau, pour des sauvetages et la guerre anti-sous marine.

Ken Palfrey, un des dessinateur sur le projet, a déclaré que Frost avait de profonds espoirs: « Il avait l’intention d’un faire un, quatre fois plus grand, pour déplacer des troupes dans et hors les zones de combat, comme les hélicoptères font maintenant » (5).

Le bilan du Projet Silver Bug / Y2.

Les résultats ne seront pas à la hauteur de ce qui avait été attendu. Tant au niveau de ce que voulait l’Air Force au début, quand on voit le design des soucoupes étudiées au départ et ce que sera le résultat final avec l’Avrocar. Il planait à tout juste 90 centimètres du sol et devenait totalement et surtout dangereusement incontrôlable, dès que l’on tentait de dépasser un mètre d’altitude. Et sa vitesse maximum ne dépassa jamais 56,3 Km/heure. Mais au cours des années qui suivront et aussi bien des années plus tard, il y aura des retombées plus intéressantes de ce programme bien plus tard, quand d’autres constructeurs aéronautiques chercheront à faire des appareils à décollage vertical. Les résultats de la recherche du projet Y2, apporteront des données exploitables, pour la maîtrise des flux d’air provenant des réacteurs, pour d’autres programmes d’appareils à décollage vertical, qui eux aboutiront (comme par exemple avec le « Sea-Harrier » Britannique).

Le premier prototype pour les essais en soufflerie finira dans un entrepôt du Maryland, qui sert de centre de stockage pour le National Air and Space Museum en 1966 (photo ci-dessous).

Tandis que la version définitive du démonstrateur de vol, qui avait été présenté à la presse, sera restauré (il avait été présenté pendant quelques années à l’extérieur) et puis exposé au Musée de Fort Eustis en Virginie en 1979, où on peut toujours le voir aujourd’hui (photo ci-dessous).

(1) Pour plus d’informations, voir la Partie 1.

(2) Il y avait le XFV-1 (« Pogo ») de Lockheed et le XFY-1 (« Salmon ») de Convair pour la Navy, qui était des avions à double hélice, qui seront abandonné en 1955. Et le X13 de Ryan Aéronauticcal Compagny de l’Air Force qui était à réaction, et sera abandonné en 1957.

(3) En fait, le secret et la sécurité n’était pas si sévère que ça. Jean Pierre Petit, l’astrophysicien Français, s’était rendu aux Etats-Unis en 1961 et avait été au laboratoire de Stanford. Dans son livre « Ovnis et armes secrètes Américaines », il raconte que lorsqu’il s’est présenté à la porte d’entrée, il n’y avait pas de gardes et il était entré dans les bureaux sans le moindre problème, et comme il n’y avait personne, en ouvrant les portes des bureaux, qui n’étaient pas fermées, pour chercher quelqu’un, il se rendra compte qu’il n’y avait personne. Et il verra même l’Avrocar dans un hangar. Quand le personnel revint (il était parti déjeuné), le responsable piquera une colère, parce que Petit, n’aurait jamais dû voir un appareil aussi secret.

(4) En 1959 la Marine américaine viendra prendre le prototype pour des tests en soufflerie au Ames Researh Center de la Nasa à Moffet Field en Californie. Il a été mis dans un camion à plateau en pleine nuit. La police avait arrêté tout le trafic jusque dans le port de Toronto, et arrivé là, le prototype fût alors chargé sur un remorqueur américain. Le remorqueur descendit ensuite le long du canal Érié, le long de la voie pour New York, et ensuite à travers le canal de Panama, jusqu’en Californie.

(5) Frost quittera la société AVRO lorsque celle-ci fermera ses portes pour raisons financières 1962. Frost partira vivre en Nouvelle-Zélande où il mourru en 1979.

http://ufoetscience.wordpress.com/

Sources:
« Technical Report n° TR-AC-47, Joint ATIC-WADC Report on Project Silver Bug », publié le 15 février 1955 par l’Air Technical Intelligence Center de Wright-Patterson Air Force Base, Ohio. Declassifié le 29 mars 1995;
Magazine Top Secret n°12;
http://www.cufon.org;
http://www.lasieworks.com;
www.avroarrow.org.

http://ufoetscience.wordpress.com/

images et article à la source 

Liens externe:

http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php?topic=7793.0

http://ovnis-usa.com/2009/04/01/mercredi-1er-avril/

http://ovnis-usa.com/le-projet-avalon/

http://area51blog.wordpress.com/2010/04/12/que-sest-il-reellement-passe-dans-la-

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24 octobre 2014

Croire en Dieu au XXIe siècle - La conviction des scientifiques

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« La probabilité que notre univers soit issu du hasard est comparable à celle d'un archer réussissant à planter sa flèche au milieu d'une cible carrée de 1 cm de côté et située à l'autre bout de l'univers. » Trinh Xuan Thuan (Astrophysicien)

 Le titre assez provocateur est là pour attirer l'attention sur le débat sur l'existence de Dieu dans ce XXIe siècle où la science réalise des prouesses et où l'homme est de plus en plus barbare. « Si Dieu n'existe pas, alors tout est permis. » écrivait Dostoyevski dans les « Frères Karamazov » Pourtant, des scientifiques et non des moindres ne confondant pas leur travail scientifique avec leur conviction personnelle sont dans le doute. Beaucoup d'entre eux ont fait le saut. Ils revendiquent leur croyance en un « principe créateur » qui règle d'une façon parfaite le mouvement de l'Univers.

 Il est vrai que plus on plonge dans l'infiniment petit, plus on trouve que les limites nous échappent, Plus on plonge dans l'infiniment grand, on s'aperçoit que la Terre est une poussière dans le tohu-bohu, une sorte de chaos initial universel que Dieu a mis en ordre. De l'infiniment petit à l'infiniment grand, l'homme se donne un sentiment de puissance bâti sur du vent et chaque événement survenu le remet à sa place. Le mythe de Prométhée a toujours accompagné l'homme ce tard venu dans la création, dans sa folie des grandeurs insultant de ce fait, l'ordre harmonieux du monde qui fait que chaque astre tourne sur une orbite et il suffirait d'une petite erreur dans « les calculs », dans la précision des vingt constantes universelles pour que le système de l'univers tel que nous le voyons n'ai jamais paru. Et pourtant, il est là disent les physiciens, depuis le big bang il y a 15 milliards d'années.



Ce que dit la Physique :

 

On sait justement que le big bang nous a fait découvrir une histoire imprévue et fantastique. Il a eu une naissance, grandiose, il grandit maintenant, et peut-être connaîtra-t-il un jour la vieillesse, et la mort. L'histoire connue commence alors que l'univers avait déjà atteint l'âge de 10-43 secondes. le temps de Planck. Avant, on ne sait rien. Cette période inconnue est d'une brièveté inouïe : A cet « âge » de 10-43 secondes l'Univers était vraiment tout petit : il était alors des millions de milliards de fois plus petit qu'un atome ! Il était chaud, une fièvre gigantesque, cosmique ! Des milliards de milliards de degrés ! Puis, pour une raison inconnue, que les scientifiques ne s'expliquent pas, le vide si vivant s'est mis à enfler. C'est comme si quelqu'un a donné le signal du début. En moins de temps, nous dit Françoise Harrois-Monin, qu'un battement de cil (entre 10-43 et 10-32 seconde), son volume a été multiplié par 1050 ! Et sans que l'on sache pourquoi, sont apparues les premières particules de matière. Après cette barrière fatidique des trois cent mille ans, des nuages de gaz se sont formés. Ils donnèrent naissance aux milliards de galaxies pendant près de 15 milliards d'années. Une minuscule poussière - Notre Terre - en faisait partie. (1)

 Le « visage de Dieu » ? C'est l'expression qu'utilisa l'astrophysicien George Smoot (prix Nobel 2006) lorsque le 23 avril 1992, il réussit, grâce au satellite Cobe, à prendre des photos de la naissance de l'Univers tel qu'il émergeait des ténèbres cosmiques tout juste 380.000 ans après le big bang. Depuis, cette expression a fait le tour du monde. Les frères Bogdanov, auteurs d'un ouvrage : « Le visage de Dieu », résument pour Anne Catherine Renaud leur ouvrage : Oui, Dieu existe. L'image d'un ordre extrêmement précis est associée à la première lumière qui précède le big-bang. Robert W.Wilson tout à fait par hasard, en 1965, a découvert le rayonnement fossile, qui est l'écho de l'immense explosion originelle.(2)

 Cette réflexion élégante du mystère de l'harmonie de l'univers nous est donnée par une série d'entretiens du philosophe Jean Guitton avec les deux astrophysiciens biens connus Igor et Grichka Bogdanov. Ecoutons-les : « Rappelons-nous que la réalité tout entière repose sur un petit nombre de constantes cosmologiques : moins de quinze. Il s'agit de la constante de gravitation, de la vitesse de la lumière, du zéro absolu, de la constante de Planck, etc. Nous connaissons la valeur de chacune de ces constantes avec une remarquable précision. Or, si une seule de ces constantes avait été un tant soit peu modifiée, alors l'univers - du moins tel que nous le connaissons -, n'aurait pas pu apparaître. Un exemple frappant est donné par la densité initiale de l'univers:si cette densité s'était écartée un tant soit peu de la valeur critique qui était la sienne dès 10-35 seconde après le big bang, l'univers n'aurait pas pu se constituer. Aujourd'hui, le rapport entre la densité critique de l'univers et la densité critique originelle est de l'ordre de 0,1 ; or il a été incroyablement près de 1 au départ, jusqu'à laquelle nous remontons. L'écart avec le seuil critique a été extraordinairement faible (de l'ordre de 10-40) un instant après le big bang de sorte que l'univers a donc été « équilibré » juste après sa naissance. Ceci a permis le déclenchement de toutes les phases qui ont suivi. »(3)

 Ceci rejoint la probabilité de l'astrophysicien Trinh Xuan Thuan cité plus haut. De plus, « l'origine de la vie, déclare Francis Crick, prix Nobel de Biologie, paraît actuellement tenir du miracle, tant il y a de conditions à réunir pour la mettre en oeuvre ». Nous sommes donc en présence du mystère de la création de l'Univers, de la vie sous toutes ses formes et de l'avènement de l'homme ce tard venu dans l'échelle du temps. De même, George Ellis, astrophysicien anglais avoue que l'ajustement si précis des lois de l'univers est un miracle : ´´Un ajustement stupéfiant se produit dans les lois de l'univers, rendant la vie possible. En réalisant cela, il est difficile de ne pas utiliser le terme ´´miracle´´ sans prendre position sur le statut ontologique de ce monde´´ (G.Ellis, le principe anthropique) Enfin, Paul Davies, célèbre astrophysicien britannique, s'émerveille lui aussi de l'ajustement de cette horloge : ´´Il y a pour moi des preuves très fortes que quelque chose se passe derrière tout ça...on a l'impression que quelqu'un a ajusté ces nombres des lois de la nature afin de créer l'univers...la sensation d'un dessein intelligent est débordante´´ (P.Davies, l'empreinte cosmique, p.203.)

 

 

Ce que disent les scientifiques de l'existence de Dieu :

 

On dit que beaucoup de scientifiques ont un rapport à Dieu de plus en plus net car basé sur une foi qui n'est pas celle du « charbonnier ». Pour l'écrivain Jim Holt dans son livre ´´La Science a ressuscité Dieu´´, il écrit : « Je me rappelle avoir vu il y a quelques mois un sondage dans le magazine scientifique « Nature » qui indiquait que presque la moitié des physiciens, biologistes et mathématiciens américains croyaient en Dieu, et pas seulement en une abstraction métaphysique mais en une entité qui se soucie des affaires humaines et qui entend nos prières, c'est-à-dire le Dieu d'Abraham, d'Issaac et de Jacob » www.thesigns.fr 25 Août, 2011 (4)

Ainsi, même si « on a longtemps pensé que la science allait chasser la fonction religieuse, c'était une erreur », comme le souligne l'astrophysicien Hubert Reeves. On rapporte l'angoisse d'Einstein qui n'hésitait pas à écrire que « la science s'arrête aux pieds de l'échelle de Jacob ». Si Einstein est respecté et écouté, il n'en est pas moins, à la fin de sa vie en butte aux jeunes physiciens qui proposent une théorie basée sur les incertitudes (Heisenberg, Bohr). Einstein n'adhère pas à cette vision probabiliste de la réalité. Pour lui, Dieu ne joue pas aux dés. Il refuse que le résultat d'une expérience ne puisse être unique et prédit avec certitude.

Dans ce qui suit nous allons rapporter, et sans être exhaustif les réflexions de scientifiques connus. Le savant anglais Sir William Herschel (1738-1822), fondateur de l'astronomie stellaire écrit :»Plus le domaine de la science s'étend, plus nombreux deviennent les arguments puissants et irréfutables prouvant l'existence d'un Créateur éternel à la puissance illimitée et infinie. Les géologues, les mathématiciens, les astronomes et les naturalistes ont tous collaboré à bâtir l'édifice de la science qui est, en vérité, le socle de la Grandeur suprême de Dieu l'unique » (4)

 Le plus grand nom de la bactériologie, Louis Pasteur affirme : « Un peu de science éloigne de Dieu, mais beaucoup y ramène. » William Thomson (1824,1907) fondateur de la thermodynamique, disait : « La science affirme positivement l'existence d'un pouvoir créateur qu'elle nous pousse à accepter comme un article de foi. » il dit aussi : « Ne soyez pas effrayés d'être des penseurs libres. Si vous pensez suffisamment fort, vous serez contraints par la science à croire en Dieu. » Thomas Edison (1847,1931) celui qui inventa l'ampoule electrique affirme : « J'admire tous les ingénieurs, mais surtout le plus grand d'entre eux : Dieu ! ». (4)

Anthony Flew est un des plus grands philosophes athées de ce siècle, il a choisi l'athéisme à l'âge de 15 ans, et après l'avoir défendu pendant plus de 54 ans, à 81 ans il annonce avec regret : « Comme les gens ont été certainement influencés par moi, je veux essayer de corriger les énormes dommages que j'ai dû occasionner. » Il affirme, expliquant les raisons de son retour : « Les recherches des biologistes sur l'ADN ont montré, par la complexité presque inconcevable des arrangements nécessaires pour produire [la vie], qu'une intelligence devait nécessairement être impliquée. » Max Planck, physicien allemand fondateur de la physique quantique moderne disait : « Toute personne s'intéressant sérieusement à la science, quel que soit le domaine, lira les inscriptions suivantes sur la porte du temple de la connaissance : « Crois. » La foi est une caractéristique dont ne peut se passer un scientifique. » (Max Planck, Where Is Science Going ?, Allen & Unwin, 1933, p. 214 (4)

Ancien directeur à la Nasa, l'homme qui a fait alunir Armstrong, Werner Von Braun a déclaré : « On ne peut être confronté à la loi et à l'ordre de l'univers sans conclure qu'il doit exister une conception et un but derrière tout ça... Plus nous comprenons les complexités de l'univers et ses rouages, plus nous avons des raisons de nous étonner de la conception inhérente qui le sous-tend... Etre forcé de ne croire qu'en une seule conclusion - que tout dans l'univers soit apparu par le fait du hasard - violerait l'objectivité de la science elle-même... Quel processus aléatoire pourrait produire le cerveau d'un homme ou le système de l'oeil humain ?... » (Dennis R. Petersen, Unlocking the Mysteries of Creation, Creation) (4)

Dembski, un des savants mathématiciens renommés de notre époque, souligne que la science est une tentative pour comprendre le monde : « Le monde est la création de Dieu, et les savants dans leur compréhension du monde reconstituent simplement les pensées de Dieu. Les savants ne sont pas des créateurs mais des découvreurs... La chose importante concernant l'acte de création est qu'elle révèle le Créateur. L'acte de création porte toujours la signature du Créateur. » (William Dembski, The Act of Creation)

Enfin, le physicien Mehdi Golshani, de l'Université de Technologie Sharif à Téhéran, dans une interview à Newsweek, a souligné sa croyance en Dieu et que la recherche scientifique complète la religion : « Les phénomènes naturels sont les signes de Dieu dans l'univers et les étudier est pratiquement une obligation religieuse. Le Coran demande aux humains de « parcourir la terre, et de voir comment Il a initié la création ». Les recherches sont un acte d'adoration, puisqu'elles révèlent les merveilles de la création de Dieu. « Science finds god news week 20 July 1998 » (4)



Dieu pour les philosophes :

 

Les philosophes sont en première ligne de par leur vocation à s'interroger sur l'existence ou non de Dieu. Peut-on décider qu'un événement est bon ou mal. Si « Mais alors, que deviendra l'homme, sans Dieu et sans immortalité ? Tout est permis, par conséquent, tout est licite ? » Personne n'a rien à nous dire sur notre manière de vivre. En effet, s'il n'y a pas de Dieu, alors il n'y pas de règles objectives qui dictent ce qui est bon ou mauvais. Par conséquent, dans un monde sans Dieu, qui est en droit de dire ce qui est bien ou mal ? Est-ce par exemple par hasard que l'univers s'est formé ?

 Pour le philosophe Jean Guitton : « (...) Ni les galaxies et leurs milliards d'étoiles, ni les planètes et les formes de vie qu'elles contiennent ne sont un accident ou une simple « fluctuation du hasard. » Nous ne sommes pas apparus « comme ça », un beau jour plutôt qu'un autre, parce qu'une paire de dés cosmiques a roulé du bon côté. Pour les frères Bogdanov : les lois de probabilité indiquent que ces ordinateurs devraient calculer pendant des milliards de milliards d'années, c'est-à-dire pendant une durée quasiment infinie, avant qu'une combinaison de nombres comparable à ceux qui ont permis l'éclosion de l'univers et de la vie puisse apparaître. Autrement dit, la probabilité que l'univers ait été engendré par le hasard est pratiquement nulle.(...) » (3)

 Jean-Paul Sartre (1905-1980) est un philosophe et écrivain français qui reçut le prix Nobel de littérature en 1964. Il est considéré comme étant le fondateur de l'existentialisme athée, un courant de pensée et une forme d'athéisme qui aborde et la question de l'existence de l'Homme sans référence à un être divin et qui prétend que Dieu et la nature humaine sont des concepts inéxistants. Vers la fin de sa vie, Jean-Paul Sartre s'est mis à reconnaître l'existence d'un créateur.

 Voici ci-dessous ce que rapporte le magazine américain « National Review » (Examen National) le 11 juin 1982. L'article a été écrit par Thomas Molnar, professeur de littérature française à l'université de Brooklyn : Au printemps1980 un mois avant sa mort, le Nouvel Observateur publie une série d'interviews que Sartre a eues avec l'un de ses amis, Pierre Victor (Benny Levy) « Je ne pense pas être le résultat d'un pur hasard de simple poussière de l'univers mais plutôt quelqu'un qui était attendu, préparé, en bref, un être que seulement un créateur aurait pu créer et cette idée d'une main créatrice se réfère à Dieu. » Après sa mort, sa compagne Simone de Beauvoir publie la « cérémonie des adieux » dans laquelle elle attaque Sartre « Tous mes amis, tous les sartriens me supportent dans ma consternation » (5).

 Enfin, il faut mentionner à en croire les éditeurs du magazine « Wired », qui rapportent en 1996 qu'en réalité, Jean-Paul Sartre se serait converti au judaïsme probablement influencé par son ami et confident Benny Levy, juif orthodoxe (6).

 Il y aurait de fait un consensus des scientifiques sur l'existence d'un horloger transcendant réglant l'univers et de ce fait observant les actes des humains qui ont le vertige de la puissance, eux qui ne sont qu'une poussière dans l'espace et un battement de cils dans le temps de la civilisation humaine dont l'homme est à tort si imbu. Il reste que le Dieu des scientifiques amène à une foi plus forte et plus assumée d’autant qu’elle ne sert pas de faire valoir ni en science encore moins en politique . L’Abbé Lemaitre, l’un des pères du Big bang,  la théorie de l’Expansion de l’Univers, avait l’habitude de dire : « quand je rentre au Laboratoire je laisse ma soutane au vestiaire ». Tout est dit.

 

La science témoigne de Dieu

Les scientifiques confirment les signes de dieu



Comme nous avons pu le constater à travers les article précédent, la science ne fait que confirmer la foi en dieu et défaire les allégations matérialistes. Un autre point marquant cette réalité :le grand nombre de savants qui ont apporté d'importantes contributions à la science et qui avaient une foi enracinée en l'existance du créateur et son unicité .
Dans la suite de cet article vous pourrez nous allons présenter des savants du passé et du présent et présents, qui ont fondé et développé la science moderne, et qui croyaient que l'univers et toutes les formes de la vie étaient créés par Dieu.

Louis Pasteur

Le plus grand nom de la bactériologie , Louis Pasteur affirme : « Un peu de science éloigne de Dieu, mais beaucoup y ramène. »   il affirme aussi , faisant allusion aux athées :  «Tant pis pour ceux dont les idées philosophiques sont gênées par mes études»




 

Einstein


Albert Einstein disait:
« Je n'arrive pas à concevoir un scientifique dépourvu d'une foi profonde. Ceci pourrait être formulé de la façon suivante: il est impossible de croire à une science sans religion. »

Anthony flew


Anthony flew est un des plus grand philosophes athées de ce siècle , il a choisi l'athéisme à l'age de 15 ans , et après l'avoir défendu pendant plus de 54 ans , aujourd'hui à 81 ans il annonce avec regret :
« "Comme les gens ont été certainement influencés par moi, je veux essayer de corriger les énormes dommages que j’ai dû occasionner." »
Il affirme , expliquant les raisons de son retour :
« "Les recherches des biologistes sur l’ADN ont montré, par la complexité presque inconcevable des arrangements nécessaires pour produire [la vie], qu’une intelligence devait nécessairement être impliquée. »

Max Planck


Max Planck, physicien allemand fondateur de la physique moderne disait:
« Toute personne s'intéressant sérieusement à la science, quel que soit le domaine, lira les inscriptions suivantes sur la porte du temple de la connaissance: "Crois." La foi est une caractéristique dont ne peut se passer un scientifique. »Max Planck, Where Is Science Going?, Allen & Unwin, 1933, p. 214

 

1. Chems Eddine Chitour : Science, foi et désenchantement du monde. Réed. OPU 2007

2. Anne-Catherine Renaud : Les frères Bogdanov : « Le visage de Dieu » Le Matin 05.06.2010

3. Jean Guitton, Igor et Grichka Bogdanov. Dieu et la science, Entretiens Ed Grasset 1991.

Source : www.agoravox.fr

26 septembre 2014

videos : Projet de réduction massive de la population mondiale

 

eugenisme depopulation illuminati

«Dans l’éventualité où je serais réincarné, je voudrais revenir comme un virus mortel, afin de contribuer en quelque chose pour résoudre la surpopulation» – Extrait de la préface de la biographie «Si j’étais un animal» du Prince Philip

Différentes personnes à différents moments ont été attirées par différents aspects de l’eugénisme – et ont aussi souvent rejeté d’autres. Il n’y a pas d’emballage parfait, pas de quartier général ni de maitre guide. L’eugénisme est plutôt une collection d’idées et de projets à propos de l’amélioration de la race humaine par le contrôle social de la reproduction humaine. Le mouvement eugénique s’est répandu à travers le monde et affecte toutes les facettes de la vie sociale. Personne n’a besoin de chercher bien loin pour trouver l’eugénisme. C’est dans les livres d’école, dans les journaux et tous les médias, dans la science-fiction, dans les gouvernements et ainsi de suite. C’est une manière de penser à propos de la vie que des personnes très intelligentes ont fait la promotion depuis un siècle, avec peu ou pas de résistance les cinquante dernières années. (Source)

Il existe encore un grand nombre de personnes parmi le public en général, les universitaires et spécialement ceux qui travaillent pour les médias corporatifs, qui sont toujours en déni face à l’agenda de réduction de la population mondial pourtant bien documenté, ainsi que des conséquences de ce programme que nous voyons déjà prendre forme. Cet article, qui fait suite à Eugénisme & darwinisme social qui lui jetait les bases historiques de cette idéologie, se veut une compilation d’évidences en vue de prouver que l’élite a été obsédée par l’eugénisme et son incarnation moderne, le contrôle de la population, depuis plus d’une centaine d’années, et que ce but de réduction de la population globale est toujours en pleine force jusqu’à ce jour. 

1• Des philanthropes milliardaires qui ont assisté au sommet organisé par l’initiative de Bill Gates, le co-fondateur de Microsoft, ont discuté de joindre leur force pour vaincre les obstacles politiques et religieux qui s’opposent au changement concernant la surpopulation mondiale. Ce club, nommé le «Good Club», discute de dépopulation mondiale.

Sous le titre « Le Club des milliardaires tente de juguler la croissance démographique », le Sunday Times du 24 mai a révélé la tenue d’une réunion secrète qui en dit long sur la volonté politique de l’oligarchie financière.

La rencontre, qui s’est tenue à New York le 5 mai dernier, a été organisée à l’initiative de Bill Gates, fondateur du monopole Microsoft, grand promoteur des simulateurs de meurtres sur ordinateur et parrain de Facebook, de Warren Buffet, spéculateur milliardaire et financier de la Fondation Gates, et de David Rockefeller. Au-delà de ces trois là, la petite sauterie a réuni Michael Bloomberg, maire de New York et fondateur de l’agence d’information financière du même nom ; Peter Peterson, fondateur du groupe financier Blackstone et grand avocat de l’austérité budgétaire ; Julian Robertson, patron du fond Tiger Management ; John Morgridge, ancien pdg de Cisco Systems ; Eli Broad, spéculateur immobilier ; David Rockefeller Jr, fils du premier ; Ted Turner, fondateur de CNN ; et Oprah Winfrey, animatrice phare de la télé américaine.

La réunion a débuté par une présentation de chacun des participants sur la cause qu’il défend, mais très vite, nous apprend le Times, la discussion s’est transformée, sous l’impulsion de Bill Gates, en un consensus sur la « surpopulation », comme la cause supérieure qui englobe les autres. Un autre participant a confié qu’ils étaient aussi parvenus à un consensus pour mettre en place une stratégie « dans laquelle la croissance démographique serait attaquée comme menace écologique, sociale et industrielle ». Les participants ont souligné leur « besoin d’être indépendant des agences gouvernementales qui se révèlent incapables d’affronter le désastre que tous nous voyons venir ». De prochaines réunions sont d’ores et déjà prévues pour organiser la mise en œuvre de cette stratégie. (Source)

2• Ted Turner, l’un des participant et riche propriétaire d’un empire médiatique, est fermement imprégné d’eugénisme et de réduction de la population mondiale qu’il voudrait voir baisser de 95% pour être idéale, selon un interview qu’il a accordé à Audubon Magazine en 1996: «Une population totale de 250-300 millions de personnes, un déclin de 95% par rapport aux présents niveaux, serait idéal». Turner a donné un milliard de dollars à une organisation nommée Fondation des Nations Unies. Cette organisation créée par Turner et la Turner Fondation, sont dévouées au contrôle de la population par la distribution de condoms, la promotion de l’avortement et autres méthodes pour promouvoir l’agenda eugénique, tout comme d’autres tels que Bill et Melinda Gates qui ont aussi donné de larges sommes d’argents à des «organisations charitables» qui servent réellement à promouvoir le mouvement eugénique. Turner a même reçu un prix de l’ONU pour son travail en développement durable, qui n’est qu’un autre nom code pour la réduction de la population. (Source)

3• La Fondation Bill & Melinda Gates, le géant américain de l’agrobusiness DuPont/Pioneer Hi-Bred, l’un des plus grands propriétaires de fabriques de semences brevetés et génétiquement modifiés (OGM) et de produits agrochimiques apparentés; Syngenta, une compagnie de semences OGM et de produits agrochimiques basée en Suisse par l’intermédiaire de sa Fondation Syngenta; la Fondation Rockefeller, ce groupe privé qui a créé la «révolution génétique», avec plus de 100 millions de dollars d’argent des semences depuis les années 1970; le CGIAR, réseau mondial créé par la Fondation Rockefeller afin de promouvoir son idéal de pureté génétique à travers un changement de l’agriculture, travaillent ensemble à des projets communs, dont la Réserve mondiale de semence à Svalbard.

Le CGIAR a été façonné lors d’une série de conférences privées tenues au centre de conférence de la Fondation Rockefeller à Bellagio, en Italie. Les principaux participants aux débats de Bellagio étaient George Harrar, de la Fondation Rockefeller ; Forrest Hill, de la Fondation Ford ; Robert McNamara, de la Banque mondiale, et Maurice Strong, l’organisateur international de la famille Rockefeller au niveau de l’environnement et qui, en tant que fiduciaire de la Fondation Rockefeller, organisa Sommet de la Terre (Earth Summit) de l’ONU, à Stockholm, en 1972. Cela faisait partie de l’objectif de la fondation depuis des décennies afin de mettre la science au service de l’eugénisme, une hideuse version de la pureté raciale, et qui a été appelé Le Projet.

Pour assurer un impact maximum, le CGIAR a appelé l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture des Nations Unies, le Programme de développement des Nations Unies et la Banque mondiale. Ainsi, par le biais d’une levée soigneusement planifiée de son premier appel de fonds, la Fondation Rockefeller, à partir du début des années 1970, était en mesure de façonner la politique agricole mondiale. Et elle l’a façonnée, en effet.

Financé par de généreuses bourses d’étude de Rockefeller et de la Fondation Ford, le Groupe consultatif sur la recherche agricole internationale (CGIAR) a veillé à ce que les scientifiques et agronomes principaux de l’agriculture du Tiers-Monde soient amenés aux États-Unis afin de «maitriser» les concepts de production de l’agro-industrie moderne, et afin de les ramener dans leur patrie. Durant ce processus, ils ont créé un réseau d’influence inestimable pour la promotion de l’agro-industrie américaine dans ces pays, et plus particulièrement la promotion de la «Révolution génétique» des OGM dans les pays en voie de développement, et tout cela au nom de la science et d’un marché agricole efficace et libre.

13 mai 2014

Eurovision une fete paienne illuminati flagrante

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l'eurovision est une emission trucquée ou le gagnant est soit un demon soit un dépravé quand l'occasion se presente defaire gagner l'ombre et tout ce qui est antichristique

Ils ont osé planter un Baphomet géant à la vue de millions de téléspectateurs. La France a également gratifié l'auditoire d'un 666 tandis que d'autres pays privilégiaient d'autres types de symboles occultes. Cette cérémonie est réellement une totale infamie.

 

8 août 2011

Le 20h, issu d’une société où la mémoire a été détruite

Le 20h, issu d’une société où la mémoire a été détruite
Fixé à 20h, le journal télévisé est devenu, comme la messe à son époque, le rendez-vous où se retrouve (chacun chez soi) toute la société. C’est un lieu de socialisation essentiel, paradoxalement. Chacun découvre chaque soir le monde dans lequel il vit,...
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