Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
rusty james news
rusty james news
  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog

 

90243223_3015402811831487_8561877086778687488_o (1)

3323033

coronavirus-patentes

images (19)

219-2199429_love-heart-beautiful-wallpapers-happy-valentines-day-nature

1025600_652515874786871_1894874949_o


nVskOPKB

téléchargement (100)

universal-biometric-identity-1024x576

91848411

téléchargement (11)

tree_horizon_sunset_128367_5000x2830

f04543b60ef77267e2b31c5f3920fbb0

photo-1542805700-2fadb851b97a

qxJUj0O

 

pIHMc8u

7kKizZj

ZcuYl3V


sea-beach-sunset-boats-red-sky-1080P-wallpaper-middle-size

night-sky-background-7047

sky-wallpaper-38

18557077_1435376306500820_5842715664996553589_n

 

 

798041343248-national-geographic-wallpaper-zealand-photo-waikawau-desktop-bigest-images

Firefox_Screenshot_2017-02-18T13-56-14

16195622_1077703329024709_5740688279216232976_n

sf

 

Pyramides-Gizeh

atlantide-compressor

Ancien-arbre-1

Ancien-arbre-2 - Copie

Ancien-arbre-3 - Copie

h21

h25

h25

h26

h27

SDSDS

SZSDFZFS

ZDZD

931270ecd7_50010171_bohr-heisenberg-aip-niels-bohr-library

don

 

1a686c3b37ddba12f5e282679288047b

62e74d09a526f5250c3c16f5bbb7d342

3a2057e1930aac61c9451db179973253

5aa85f74b15975d75e8a6d4e547b40b0

5c3e0b7842f37a0d63504d0a032ca422

5f6fce1a34d9027bdedb78ef0658a5af

9dbf5fc4a80275b619f44e3e7a8314d2

a37cf9c85664975cf3660c8f21f70899

a96a954487d536bd6f75942a6d02f5b9

a977356a4e04ae0cdaf4c67ca90d1939

ad9ee9f2e4a1d0e83945b78313c60f27

b7e27913185d0679a669ce0f634d95f0

Archives
evolution
21 septembre 2015

Notre corps est une sorte de cristal liquide, un transmetteur idéal pour la communication, la résonance et la cohérence.

notre-adn-change

Il se pourrait bien que l’espèce globale que nous sommes soit au beau milieu d’une transition vers un état de conscience différent. Ce dernier se caractériserait par des propriétés quantiques telles que la cohérence et le champ d’information non-local. Un tel « champ de conscience » transformerait notre relation à autrui, à notre environnement, et élargirait notre réalité de perception. Cette évolution témoignerait de l’intégration d’un autre niveau : depuis des formes d’évolution biologique et socioculturelle vers une évolution neurogénétique. Dans cet article, j’examine comment les dernières découvertes en neurosciences, en biologie et physique quantiques ont démontré qu’une forme de conscience connectée et non-locale est fondée scientifiquement et physiquement. Cela prouve que certains états spirituels et transcendantaux reposent sur des principes valables au sein du nouveau paradigme scientifique.

 

Il est vain de toujours regarder vers l’avenir sans ne jamais agir pour l’avenir. John Frederick Boyes, essayiste anglais (1811-1879)

L’être humain doit devenir ce qu’il se pense être. Rudolf Steiner

La pensée humaine a besoin d’un nouveau modèle incluant l’être humain et sa conscience au sein d’un univers énergétique et qui soit également compatible avec la science moderne et les enseignements spirituels. Toutefois, ce besoin n’exige pas de notre part que nous rejetions le savoir accumulé jusqu’ici. Au contraire, il est question de travailler non seulement à partir de nos connaissances actuelles mais également de les élargir pour faciliter notre passage vers d’autres paradigmes de pensée en termes de conscience et de processus internes à l’être humain. En cette ère d’avancées scientifiques et technologiques, nous pouvons compter sur des découvertes et des études toujours plus exhaustives pour changer notre mode de pensée. Il est possible que les sciences humaines s’intéressent prochainement à notre compréhension de la conscience et à l’intime connexion qui nous unit les uns aux autres et, plus généralement, à notre environnement énergétique.

Récemment, la science a découvert que chacun d’entre nous « se promène » avec un ordinateur bioélectrique de 100 milliards de cellules, responsable du filtrage et de l’interprétation de ce que nous percevons et considérons comme notre « réalité ». La presque totalité de ces 100 milliards de neurones était déjà présente le jour de notre naissance ; avec environ 250 000 neurones créés chaque minute tandis que notre corps prend forme dans l’utérus. Pourtant, ce « décodeur » extraordinaire a subi d’importantes modifications perceptives au cours de notre évolution. Si l’on compare les squelettes des hommes préhistoriques, on ne note aucun changement dans l’anatomie pendant au moins 100 000 ans. En revanche, l’esprit humain, lui, a fait des bonds depuis les premières fresques rupestres. Cela montre que nous sommes passés d’une évolution biologique à culturelle puis neuroscientifique ; mais aussi que la suite requiert le développement de notre système nerveux et de notre conscience. Ce tournant significatif exige à nouveau de stimuler un changement de conscience. La prochaine étape consistera vraisemblablement à basculer vers une évolution neurogénétique. Cela sera nécessaire au dépassement de l’obstacle que nous rencontrons actuellement face au développement. Les civilisations précédentes (connues et peut-être même bien inconnues) se sont effondrées une fois atteintes leurs limites en termes de ressources matérielles, sans avoir cultivé en parallèle la conscience humaine. En temps de transition, il est fondamental qu’une « force d’énergie » consciente soit introduite dans le flot de la vie afin d’activer le prochain pic d’évolution. Sans une telle énergie, les systèmes matériels risquent de devenir incontrôlables (comme c’est le cas actuellement) et/ou de tomber en panne – ce qui pourrait bien arriver prochainement. Cette « force d’énergie » doit servir de tremplin pour aider la civilisation humaine à activer de nouveaux modes de compréhension et de connaissance de soi, souvent évoqués par Maslow comme l’actualisation de soi. Un activateur de ce type pourrait voir le jour, comme tend à démontrer cet article, des découvertes en neurosciences, en biologie et physique quantiques.

Je soutiens que les nouvelles recherches en physique quantique font la lumière sur les travaux relatifs à la conscience, l’esprit et le cerveau humains ainsi que notre système nerveux et matériel génétique (ADN). Ces recherches, sujets de cet article, donnent une vue d’ensemble sur la cohérence existant entre notre biologie, notre physiologie et un champ énergétique de conscience. Nous pouvons en déduire que nous sommes au bord d’une possible évolution quantique de l’espèce humaine. Il est également raisonnable de penser qu’il y a d’ores et déjà de nouvelles générations qui, en tant qu’agents de changement de l’évolution, présentent les symptômes desdites transformations. Comme pour tout passage évolutif, les prémisses d’une telle métamorphose sont déjà présentes au sein de l’espèce avant que le changement ne se généralise. Nous reviendrons plus tard sur ces spéculations.

Il est légitime de déclarer que notre civilisation globale se trouve désormais à un carrefour de développement en termes de ressources physiques et modes de pensée. Il est par conséquent impératif que nous orientions nos facultés de perception vers une potentielle transformation de l’évolution de la conscience. Ces dernières années, au moins chez les sociétés occidentales, la croissance s’est réalisée au détriment d’une évolution consciente. C’est l’une des principales raisons des échecs culturels de ces temps fondamentaux ; il y a eu peu de préparation, de discussion et de recherche sur la façon dont l’humanité pourrait gérer, physiquement et mentalement, un changement important qui bouleverserait les systèmes de croyance religieuse et scientifique. Cette ère matérialiste a tendance à reléguer les préoccupations spirituelles au rang de fantaisies. De la même manière, les personnes spirituelles considèrent souvent que la science n’est pas à même de nous guider vers le futur. Par conséquent, une grande quantité d’énergie a été investie dans la création d’un monde instable et radicalement divisé. Cependant, une réconciliation entre scientifiques et humanistes (Les deux cultures de C.P. Snow) ; et une fusion des recherches et des énergies s’avèrent nécessaires pour encourager une compréhension progressive de la trajectoire évolutive de notre espèce. Dans le pire des cas, nous pourrions faire face à un processus de dévolution. Quoi qu’il en soit, j’affirme que ce ne sera pas le cas. Cependant, une partie de notre dilemme réside dans notre aveuglement quant au fonctionnement de nos facultés mentales et perceptives.

Le cerveau humain, en tant que regroupement de cellules nerveuses, se comporte comme un récepteur de fréquence à plusieurs couches. Dû à un conditionnement initial en début de vie, chaque récepteur est configuré pour capter une certaine fréquence d’onde. Lorsque ces récepteurs s’accordent sur une forme d’ondes de fréquences spécifique, une réponse de « reconnaissance des formes » est envoyée au cerveau et interprétée en fonction des perceptions correspondant à cette fréquence. En d’autres termes, le fait de « s’accorder » implique l’interception de formes de fréquence familières dans l’océan de fréquences qui nous entourent constamment. En s’accordant sur ces mêmes formes, encore et encore, nous renforçons une certaine image de la réalité. Nous nous accordons sans le savoir sur une forme de réalité consensuelle à partir de laquelle nous construisons constamment  notre perception. Les formes de fréquences « étrangères » sont souvent ignorées car elles ne tombent pas dans notre plage de réception. La perception se crée donc de façon dynamique et continue, le cerveau balayant constamment les bandes de fréquences autour de nous. Cependant, si ce comportement de reconnaissance des formes n’évolue pas au fil du temps notre développement perceptif risque de stagner. Résultat : nous nous retrouvons piégés dans une certaine réalité. C’est pourquoi le développement humain demande que nous changions plusieurs fois de paradigmes afin de faire évoluer nos schémas collectifs de perception et de pensée. Autrement dit, notre développement repose sur des processus à la fois biologiques et psychiques. Selon Gopi Krishna, chercheur renommé dans le domaine de la conscience, la « maturation du système nerveux et du cerveau est un processus biologique, dépendant d’une foule de facteurs matériels et psychiques » (1999, 56).

Le point faible de ce processus réside dans notre habitude à ne percevoir que certaines formes et à ignorer les autres informations ou influences sensorielles. Egalement, l’espèce humaine n’a pas été collectivement informée des moyens à sa disposition pour passer d’une bande ou d’une forme de fréquences à une autre. Ce savoir a été détenu par plusieurs traditions de sagesse (ex : chamanisme, écoles mystérieuses et occultes) mais gardé hors du domaine publique. Au final, nous devenons figés et sectaires dans nos « croyances » sensorielles ; nous nous accrochons à une petite partie de la réalité, la percevant comme la totalité. Cependant, le cerveau humain et le système nerveux sont assez « agiles » pour basculer entre plusieurs formes de fréquences et interpréter des « réalités » au-delà du modèle consensuel. Beaucoup d’écoles ésotériques considéraient que le genre humain était trop immature pour endurer une telle préparation, d’où le recours à des rituels d’initiation et des examens de passage strictes et rigoureux. Cet embargo sur le « savoir-faire » a contribué à la domination de la science matérialiste ; au point d’apprendre à écarter toute expérience, ou pulsion, intuitive et subjective. Cependant, il est aujourd’hui nécessaire pour évoluer que notre grande dépendance en termes de recherche de satisfaction matérielle soit compensée par une augmentation des travaux sur la conscience confirmant le rôle clé d’un « esprit commun ». A mon avis, la prochaine étape du développement humain sera de nature neurogénétique, ce qui d’après la terminologie actuelle correspond à une forme de conscience quantique.

COHERENCE QUANTIQUE, CONSCIENCE QUANTIQUE

Le corps humain n’est autre qu’un flux constant de milliers d’interactions et processus biologiques et chimiques reliant entre eux les molécules, les cellules, les organes et les fluides à travers tout le cerveau, le corps et le système nerveux. Encore récemment, on pensait que ces innombrables interactions se produisaient suivant une séquence linéaire, passant l’information comme un coureur passe le relai à son coéquipier. Cependant, les dernières avancées en biophysique et biologie quantiques suggèrent la présence d’un degré élevé de cohérence entre tous les systèmes vivants. Grâce à des recherches scientifiques approfondies, on a découvert qu’une forme de cohérence quantique agissait au sein des systèmes biologiques vivants à travers ce que l’on appelle les excitations biologiques et l’émission de biophotons. Cela signifie que l’énergie métabolique est stockée sous forme d’excitations électromagnétiques et électromécaniques. Ce sont ces mêmes excitations cohérentes qui sont tenues pour responsables de la génération et de la conservation d’ordre à grande distance via la transformation d’énergie et de signaux électromagnétiques très faibles. Après presque vingt ans de recherches expérimentales, Fritz-Albert Popp a avancé l’hypothèse que les biophotons soient émis à partir d’un champ de cohérence électrodynamique au sein du système vivant (Popp et al. 1988). En fait, cela signifie que chaque cellule vivante émet ou renvoie un champ biophotonique d’énergie cohérente. Si chaque cellule émet ce champ alors le système vivant tout entier émet, par conséquent, un champ de résonance – un champ non-local et omniprésent. Etant donné que c’est par le biais des biophotons que le Vivant communique, alors il y a communication presque instantanée tout le long. Et cela, déclare Popp, est la base d’une organisation biologique cohérente – appelée cohérence quantique. Cette découverte a mené Popp à affirmer que la capacité à évoluer repose non pas sur une lutte agressive et une rivalité mais plutôt sur l’aptitude à communiquer et coopérer. Dans ce sens, la capacité intégrée de l’espèce à évoluer n’est pas fondée sur l’individu mais sur les systèmes vivants qui sont inter-reliés au sein d’un tout cohérent :

Les systèmes vivants ne sont donc ni les sujets seuls, ni des objets isolés, mais à la fois sujets et objets au sein d’un univers de signification en communication réciproque… Tout comme les cellules d’un organisme assument différentes tâches pour l’ensemble, différentes populations détiennent des informations non seulement pour eux-mêmes mais également pour tous les autres organismes, élargissant la conscience de la totalité, tout en s’éveillant de plus en plus à cette conscience collective. (Ho and Popp 1989)

Le biophysicien Mae Wan Ho décrit comment l’organisme vivant, notamment le corps humain, est coordonné tout du long et reste « cohérent au-delà nos rêves les plus fous ». Il s’avère que chaque partie de notre corps est « en communication avec le reste par le biais d’un milieu liquide cristallin, réactif, harmonisable et dynamique qui pénètre tout notre corps, depuis les organes et les tissus jusqu’à l’intérieur de chaque cellule » (Ho 1998, 82).

Cela signifie que ce « milieu » dans notre corps est une sorte de cristal liquide, donc un transmetteur idéal pour la communication, la résonance et la cohérence. Ces développements relativement récents en biophysique ont démontré que tous les organismes biologiques sont constitués d’un milieu à cristaux liquides. De plus, l’ADN est une structure en réseau à cristaux liquides (que certains appellent gel-cristal liquide) où les cellules sont impliquées dans une communication holographique instantanée via l’émission de biophotons (une source de lumière). Cela implique que tous les organismes biologiques vivants émettent continuellement des rayonnements lumineux qui forment un champ de cohérence et de communication. Par ailleurs, les biophysiciens ont découvert que les organismes vivants sont pénétrés par des formes d’ondes quantiques. Ho nous apprend que :

… le corps visible se trouve être juste à l’endroit où la fonction d’onde de l’organisme est la plus dense. Des ondes quantiques invisibles se déploient à partir de chacun d’entre nous et pénètrenttous les autres organismes. Par conséquent, chacun reçoit simultanément les ondes de tous les autres organismes, qui se fondent avec sa propre composition… Nous participons donc au théâtre de la création, en permanente représentation. Nous sommes constamment en co-création et en re-création, nous-mêmes et les autres organismes de l’univers… (Ho 1998, 116)

Cette information incroyable place en réalité chaque être vivant au sein d’un champ quantique non-local composé d’interférences d’ondes (où les corps s’emmêlent). Chez les systèmes vivants, c’est également la structure à cristaux liquides qui génère le champ électromagnétique de courant continu (C.C.) traversant le corps de tous les animaux. Il a également été remarqué que ce champ de courant continu possède un mode de semi-conduction bien plus rapide que le système nerveux (Becker 1988). Si les systèmes biologiques vivants agissent au sein d’un champ d’intrication non-local d’énergie de résonance, alors peut-être est-il possible d’en voir la manifestation dans le comportement physique ?

Mae-Wan Ho décrit en quoi les excitations cohérentes de chaque système vivant fonctionnent de la même manière qu’une régate : les rameurs doivent avancer par étape afin de créer une « phase de transition ». Cela indique qu’il y a une tendance inhérente dans la nature, et dans les systèmes vivants, à résonner ensemble (« en synchronisation ») de façon à maintenir l’ordre et la cohérence. Ce type de comportement sert à appuyer la relation entre l’individu et le collectif qui auparavant été considérée comme aléatoire. Cette découverte est importante car elle confère une certaine crédibilité au paradigme naissant d’un « cerveau planétaire » et d’une hausse de l’empathie planétaire. Ervin Laslo, philosophe à système, définit l’intelligence collective comme étant « le réseau de traitement d’information et d’énergie quasi neuronales créé par les 6 milliards et demi d’humains sur la planète. Ces derniers interagissent de bien des façons, publiques ou privées ; à bien des niveaux, locaux et mondiaux » (Laszlo 2008 : intro). Toujours au niveau physique, un bon nombre d’informations s’échangent déjà de plus en plus rapidement. Les principaux réseaux sociaux (tels que Facebook et MySpace) favorisent également l’empathie à distance entre les utilisateurs dans le monde entier. Dans ce cadre, une transformation des relations entre un nombre important de personnes dans le monde est déjà en cours. La science exacte va encore plus loin et avance que non seulement les relations empathiques mais également l’intrication augmentent entre les individus. Cette vision a récemment été corroborée par les neurosciences et la découverte des « neurones miroirs ».

Un « neurone miroir » est activé lorsqu’un être vivant (humains et animaux comme les primates et les mammifères) observe l’action d’autrui. Autrement dit, si un individu en regarde un autre manger une pomme, alors les mêmes neurones seront activés chez l’observateur ; tout comme s’il exécutait lui-même l’action. Ce comportement neuronal a été observé chez l’Homme dans les cortex pariétal inférieur et prémoteur. Le phénomène des « neurones miroir » a premièrement été découvert par une équipe de chercheurs en Italie dans les années 1990 alors qu’ils étudiaient l’activité neuronale chez les macaques. Cela a conduit beaucoup de neuroscientifiques renommés à déclarer que les neurones miroirs jouent un rôle clé dans le processus d’apprentissage (imitation) comme d’acquisition du langage. Pour vulgariser, nous pourrions dire que cette capacité est ce qui lie une personne de façon sympathique et empathique aux circonstances d’une autre personne. Cela pourrait également expliquer pourquoi les gens deviennent si sensibles en voyant les événements diffusés à la télévision, et se mettent même à pleurer en réponse à une scène de larmes. C’est de cette façon que nous sommes émotionnellement pris par l’effet miroir de l’activation neuronale. Si nous considérons que nos corps sont intriqués dans un champ de biophotons électriques à résonance quantique, on peut expliquer comment nous sommes atteints par les autres – via une interférence ou une perturbation du champ. Cette information est de taille lorsque l’on envisage d’accroître l’empathie entre des personnes à distance (via les communications numériques) ainsi que le potentiel d’activation des futures  aptitudes pour la communication télépathique.

Les neurosciences, la biologie et la physique quantiques sont toutes en train de converger et de révéler que nos corps ne sont pas uniquement des systèmes biochimiques mais également un système de résonance quantique sophistiqué. Cela nous aide à comprendre comment le corps peut être efficacement cohérent, et explique ce sentiment  « d’attraction » vers les autres, notamment les expressions : « bonnes vibrations », « bonnes énergies » et « être sur la même longueur d’onde ». Nos corps donc, tout comme nos cerveaux, s’avèrent fonctionner comme des récepteurs/décodeurs au sein d’un champ énergétique d’afflux d’informations. Cela justifie comment le corps humain est capable de stocker une vie entière de souvenirs et d’expériences ; étant donné la quantité de données pouvant être emmagasinée dans ce champ informationnel qui inclut le cerveau et le corps tout entier. Cette compréhension nouvelle du champ informationnel quantique chez l’Homme donne également une certaine crédibilité à l’existence des perceptions extra-sensorielles (PES) et des capacités qui en découlent. La conscience humaine ne se résume pas à de l’empathie, à une relation d’interférences avec d’autres champs de l’esprit ; elle émet et reçoit constamment de l’information. Pourtant, la science matérialiste de nos jours s’est principalement concentrée, jusqu’à récemment,  sur les preuves matérielles « solides » et se débat toujours avec les subtilités de la mécanique quantique. Comme Niels Bohr l’a très bien remarqué : « Si la mécanique quantique ne vous a pas profondément choqué, c’est que vous ne l’avez pas encore saisie ». Le « doux » royaume abstrait des visions et du sens de l’imagination sont généralement laissés aux artistes marginaux, aux mystiques, aux créateurs et autres inventeurs fous. La plupart de nos esprits modernes ont été privés du plein fonctionnement de leur cerveau gauche-droite et ont été limités à l’hémisphère gauche (rationnel) qui fonctionne sur un mode mécanique, linéaire, compétitif et restreint. Grosso modo, le cerveau droit (abstrait) et son monde magique de pensées visionnaires et créatrices a été mis à part et laissé pour compte (McGilchrist 2009). La principale activité de l’hémisphère droit était source de sagesse pour les indigènes, dans les pratiques chamaniques ou autres traditions similaires. La pensée occidentale et matérialiste a voulu l’occulter depuis tout ce temps. D’ailleurs, notre propre conditionnement intellectuel nous pousse bien souvent à juger ces « pratiques magiques » de primitives, barbares et d’à peine dignes de rééducation et/ou de colonialisme occidental. Pourtant, ceux d’entre nous résidant dans l’Ouest « civilisé », avec un hémisphère gauche dominant, évoluent quotidiennement dans un monde de biens matériels et d’attractions extérieures. On nous prône une existence en tant que forces séparées, comme des îles dans une mer déchainée, à la merci d’influences naturelles et physiques ; soumises au hasard. Or, nous savons désormais que ce n’est pas le cas.

Pour résumer, la biologie quantique a démontré que le corps jouit d’un niveau incroyable de cohérence et qu’un champ de conscience existe via l’ADN humain, et partant, le système nerveux. Notre structure biochimique est la rencontre d’énergies complètement intriquées qui se comportent comme un champ non-local à l’intérieur et à l’extérieur du corps humain. De plus, l’ADN est une structure en réseau à cristaux liquides qui émet des biophotons, sources de lumière. Cela nous amène vers une nouvelle considération de l’ADN en tant que générateur de champ quantique.

 

HYPER-COMMUNICATION ET CHAMP QUANTIQUE

 A la lumière de ces dernières découvertes, nous pouvons commencer à parler de l’ADN comme l’ADN quantique. Cela suggère que les 97 % de l’ADN humain qui n’interviennent pas dans la construction de protéines sont actifs au niveau quantique. Il est tout à fait possible qu’une manifestation future de la conscience quantique se fasse par l’activation partielle de ces 97 % de l’ADN dont la fonction a jusqu’ici dérouté tous les scientifiques. Cette activation serait liée à l’état de la conscience humaine ; elle serait restée en veille au vu de son manque de préparation pour sa manifestation. Ce champ de « force vitale » peut s’apparenter à « l’énergie pranique » omniprésente qui, selon Gopi Krishna, constitue le tremplin vers la croissance de l’évolution au sein du système nerveux humain :

Une opportunité omniprésente en tout être humain, en raison du processus évolutif toujours en cours, qui cherche à créer une disposition du cerveau et du système nerveux qui permette à chacun de transcender les barrières de l’esprit et d’atteindre un état de conscience bien au-delà de celui normalement hérité par l’humanité aujourd’hui. (1997, 226)

Cette étape de conscience transcendantale qui est décrite ci-dessus comme faisant partie de notre héritage évolutif naturel dépend du cerveau et du système nerveux humains. Nous savons désormais que le champ quantique de l’ADN est actif au sein de notre corps. Certains biophysiciens parlent déjà du processus quantique comme d’un possible dénominateur commun pour tous les processus vivants. En soi, un champ d’information quantique émis par le corps humain déterminerait la cohérence de notre résonance lumineuse (biophotons) en tant que taux vibratoire. Si la conscience humaine amorce une modification de son taux vibratoire, en réaction aux diverses influences extérieures (cosmiques, environnementales, culturelles), alors il est vraisemblable que l’ADN – en tant que champ quantique – subisse également une modification de sa résonance. Cela pourrait se traduire par l’activation de capacités, à ce jour inactives, contenues dans les 97 % dits inactifs de l’ADN. Cela peut être lié (ou pas) à l’intensification des fréquences électromagnétiques influençant notre système solaire dû à la précession des équinoxes. Il s’avère également que cette partie « inactive » de notre ADN pourrait permettre une forme d’hyper-communication.

Le biophysicien et biologiste moléculaire russe Pjotr Garjajev, qui a étudié l’ADN humain avec son équipe de chercheurs à Moscou, a trouvé que les 97 % « inactifs » de l’ADN détiendraient des propriétés complexes. Garjajev a découvert que l’ADN qui n’est pas utilisé pour la synthèse des protéines sert en réalité à la communication ; ou plus exactement à l’hyper-communication. Selon lui, l’hyper-communication désigne l’échange de données au niveau de l’ADN via le code génétique. Garjajev et son équipe ont conclu d’après l’analyse de la réponse vibratoire de l’ADN qu’il fonctionnerait comme une intelligence en réseau ; et qu’il permettrait l’hyper-communication d’informations entre tous les êtres sensibles. Par exemple, le groupe de recherche de Moscou a prouvé que des chromosomes endommagés (par les rayons x) peuvent être réparés. Leur méthode consistait en la capture des schémas informatifs de l’ADN puis en la transmission de ces mêmes schémas, par modulation des fréquences lumineuses, sur un autre génome afin de reprogrammer les cellules. C’est ainsi qu’ils ont réussi à transformer des embryons de grenouille en embryons de salamandre simplement en transmettant les schémas d’information de l’ADN. Les travaux de Garjajev montrent que certaines formes de fréquence peuvent être projetées (comme pour un faisceau laser) afin de transmettre l’information génétique, prouvant ainsi comment l’ADN agit via les fréquences vibratoires et la résonance. Cela signale également que l’ADN humain peut être modifié, ou altéré, par l’impact de fréquences extérieures. Les résultats de ces recherches tendent à prouver l’existence de phénomènes tels que la guérison à distance et autres aptitudes psychiques. Elles suggèrent aussi que l’ADN est un « langage » dynamique, fluide et vivant qui, en tant que champ informationnel quantique, est réceptif aux ondes laser (comme dans l’expérience mentionnée ci-dessus) mais également au son et aux ondes électromagnétiques (EM) – pourvu que les bonnes fréquences sont appliquées.

Le fait que l’ADN humain soit influençable et modifiable par fréquence (son,  lumière, langage et pensée) est probablement connu depuis des siècles par les maîtres, les mystiques et les traditions spirituelles. C’est peut être la raison pour laquelle une quantité d’exercices se fondent sur la concentration de la pensée (prière), les sons (musique, chants), la lumière (exposition à la lumière naturelle ou artificielle comme les verres teintés) et le langage/parole (récitations de mantras ou zikrs). L’ADN s’avère procéder non seulement comme un constructeur de protéines (fonction minoritaire) mais également comme un milieu de stockage, de réception et de communication d’informations. Le fait que Garjajev et ses collègues russes aient également trouvé des exemples où l’ADN pourrait avoir un comportement perturbateur sous vide – résultant en la production de ce qui semble être des trous de vers magnétisés – est quelque peu plus controversé. Ces trous de vers se sont avérés fonctionner comme des connexions en dehors de nos champs spatio-temporels habituels (ce qui sous-entend une communication inter-dimensionnelle). Ce phénomène mérite en effet des analyses et des expérimentations plus poussées. Quoi qu’il en soit, il semble possible que l’ADN soit impliqué dans plusieurs formes d’hyper-communication desquelles nous ne savons que très peu de choses présentement.

Afin d’appuyer les propos de Garjajev quant à l’hyper-communication, nous pouvons observer comment des principes similaires sont présents dans la nature. Par exemple, l’organisation d’une fourmilière se fait selon une forme de communication répartie. Lorsque la reine est séparée de sa colonie, les ouvrières continuent de construire conformément à un certain type de patron. Mais si la reine meurt, alors tout le travail de la colonie cesse comme si le patron avait soudainement été supprimé. Cela sous-entend que la reine n’a pas besoin d’être physiquement présente pour la poursuite des opérations. En revanche, elle doit être en vie sinon la conscience du groupe disparait du champ informationnel d’hyper-communication. Nous pouvons donc nous référer à ces formes d’hyper-communication comme à un champ de conscience quantique, ou tout simplement,  à la conscience quantique (étant donné que « quantique » implique la notion de champ non-local).

De la même manière, des phénomènes à distance tels que la guérison, la détection ou la télépathie peuvent fonctionner selon le même principe. Pour simplifier, nous pourrions dire que beaucoup d’entre nous l’ont ressenti sous la forme d’intuition et d’éclair d’inspiration. Nous pourrions même recevoir ces formes d’hyper-communication pendant notre sommeil. Il existe une quantité innombrable de personnes, d’artistes ou de concepteurs… qui ont été inspirés en rêve. Nous pouvons citer en exemple le compositeur italien Giuseppe Tartini qui a rêvé qu’un diable s’asseyait à son chevet pour lui jouer un air de violon. Le lendemain matin, Tartini écrivait la pièce de mémoire et l’intitulait La sonate des trilles du diable. Ces expériences ont tendance à se généraliser ; à moins que ce ne soit parce que les personnes se sentent davantage prêtes à en parler. Aussi, certains signes  indiquent que la nouvelle génération manifeste une forme plus élevée de clairvoyance et de dons extra-sensoriels. Cette sensibilité pourrait indiquer qu’une forme plus élevée de conscience collective soit en train d’émerger au sein de l’humanité ; et que ces capacités trouvent désormais plus d’occasions de s’exprimer. A cet égard, nous ferions bien de revenir aux pratiques recommandées depuis des siècles par les maîtres et les traditions spirituels : méditation, réflexion, observation, attention, etc. Einstein était connu pour avoir la tête « dans les nuages » et il a souvent déclaré que sa plus grande source d’inspiration lui venait lors de cet état de conscience. Nous pourrions donc encourager une relation plus authentique avec l’humanité en portant notre attention sur notre état et en nous mettant en quête d’harmonie et d’équilibre dans nos vies.

 

 ETATS QUANTIQUES ET CHAMP AKASHIQUE

Les outils permettant d’améliorer les états dits intérieurs (ou “quantiques”) existent et font partie de beaucoup de traditions, que ce soit au sein des principales religions (christianisme, islam, judaïsme, sikhisme) ; ou des autres courants de sagesse tels que le bouddhisme, le taoïsme et les pratiques méditatives. Sont également disponibles des documents écrits (livres, contes et poèmes) ayant pour but de stimuler l’activité de l’hémisphère droit. On peut citer le cas des histoires soufies (contes du Mulla Nasrudin) mais aussi d’histoires plus populaires telles que les contes des mille et une nuits  et les poèmes de Jalalludin Rumi (classés parmi les meilleures ventes en Occident). Nombre de ces traditions encouragent ainsi la méditation à plusieurs comme moyen d’encourager la conscience de groupe et la relation quantique. Il a été démontré que les méditants expérimentés peuvent atteindre un niveau très élevé de synchronisation interhémisphérique. Pareillement, il a été prouvé que les personnes qui méditent ensemble synchronisent leur activité cérébrale. Grâce à un électroencéphalogramme (SPECT), on a pu observer cette synchronisation de l’activité des ondes cérébrales chez les participants. Nous pouvons désormais avancer que ceci est le résultat de la résonance produite entre les différents champs quantiques, comme l’ont démontré les dernières recherches en biophysique. Dans une certaine mesure, cela a été reproduit par la vaste gamme de matériel audio à technologie hémisphérique qui est désormais en vente sur le marché (à qualité variable). Ces stimulateurs déclenchent un état modifié de conscience (EMC) ; ce que certains médecins appellent une conscience transpersonnelle. En ces états, des personnes ont éprouvé des connexions très profondes avec ce qui est généralement appelé la conscience collective. Le philosophe Ervin Laszlo nomme ce champ d’information collectif : champ akashique (2004).

Il est désormais raisonnable de supposer que ce bien nommé champ akashique non-local est en réalité une partie de notre champ de conscience quantique commun (nos champs se chevauchant). Si tel est le cas, nous pouvons nous demander si l’ADN, qui émet des biophotons et dispose de propriétés inter-dimensionnelles, ne serait pas lui-même le siège de la conscience quantique. La science moderne a bien longtemps considéré le cerveau humain comme étant le centre de la conscience ; mais cela reviendrait à la pensée matérialiste et linéaire que la conscience est le résultat de la matière complexe. Le cerveau est en effet la formation neurologique la plus complexe que nous ayons ; elle consiste en un réseau très intriqué de synapses. Pourtant, il est bien plus probable que le cerveau fonctionne comme le récepteur et transcripteur des signaux électriques émis à partir de l’ADN quantique. De cette façon, les trillions de sections de l’ADN humain agissent comme un champ quantique cohérent pour réguler chacune des parties de notre corps, simultanément et à chaque instant. Le corps humain est donc un champ quantique qui résonne ; il renfermerait des propriétés inter-dimensionnelles et pourrait être le « dépositaire » de la conscience. Notre réalité est donc le produit du travail de notre cerveau, qui transcrit les signaux en perceptions, mais c’est bien l’ADN qui est une intelligence vivante. L’idée que l’ADN soit une intelligence vivante n’est pas nouvelle pour beaucoup de traditions de sagesse indigènes. Par exemple, comme l’anthropologue Jeremy Narby l’a remarqué, les chamanes qui vivent des états de transe semblent souvent entrer en communication avec l’ADN comme moyen d’acquérir des connaissances sur les plantes, la guérison et le monde des esprits (Narby 1999). Par conséquent, Narby a exploré comment la Nature est également imprégnée de cette forme d’intelligence vivante, qui agit comme modèle de survie pour permettre la croissance de l’évolution (Narby 2006). Des chamanes, des personnes intuitives et d’autres personnes capables d’accéder à cette intelligence vivante perçoivent un « modèle » ou un patron derrière toutes les structures physiques, ce qui indique qu’un champ quantique d’intelligence vivante agit comme un tremplin évolutif pour tous les systèmes vivants.

Nous pouvons donc supposer que l’ADN humain, agissant comme champ d’énergie quantique, est aussi vraisemblablement le siège de la conscience humaine. De plus, nous pouvons dire que ce champ de conscience est exactement la même chose que le champ akashique. Aussi, de récentes  recherches suggèrent que l’ADN réagit à certaines influences externes telles que celles suscitées par la prière, la méditation et des sons ou des vibrations spécifiques. Cela offre des possibilités surprenantes quant à notre bien-être et à l’évolution de l’Homme, pourvu que nous nous montrions capables d’une certaine forme de communication avec notre propre intelligence vivante (notre « Moi supérieur » ?). Nous aurions même le potentiel d’interagir avec notre propre structure cellulaire en focalisant son esprit et en définissant clairement ses intentions. Cela aurait de profondes répercussions et suggérerait même que l’humanité ait l’opportunité d’entrer en relation – via la conscience quantique – avec son propre ADN et dessein de vie. Par ailleurs, si la résonance et les vibrations de conscience quantique peuvent se transmettre d’une génération à l’autre, alors il se pourrait que les nouvelles générations présentent des schémas de conscience différents. Cela pourrait constituer les signes avant-coureurs de l’évolution neurogénétique de l’humanité. Ces nouvelles générations seront les « agents de l’évolution » qui ouvriront la voie de la renaissance et du renouveau socioculturel.

LES AGENTS DE L’EVOLUTION – PROCHAIN SAUT QUANTIQUE ?

La conscience quantique (intelligence du vivant) pourrait bien correspondre au prochain stade de l’évolution de l’humanité ; c’est-à-dire, l’évolution de l’esprit planétaire de l’humanité. Bon nombre de mystiques et de spécialistes de la conscience y ont fait allusion sous plusieurs noms : allant de conscience cosmique ou super conscience, jusqu’à conscience transpersonnelle ou encore conscience intégrale… Toutes ces dénominations ont un point commun, à savoir : une amplification de l’intuition, de l’empathie et une meilleure connexion avec le monde et les autres ; mais également un sentiment de « savoir » ce que chaque situation exige. De plus, une telle forme de conscience quantique pourrait bien insuffler à chacun le sens du Grand Tout cosmique : la compréhension que l’humanité existe et évolue au sein d’un univers intelligent rempli de signification (peut-être même inter-dimensionnel). Cela participerait à donner un élan spirituel plus profond et mieux accepté au sein de l’humanité. Nous pouvons supposer qu’un basculement des forces géomagnétiques de la Terre (comme c’est déjà le cas) ; la variation des rayonnements entre chaque cycle solaire ; les pulsations galactiques émanant du centre de la galaxie ; le passage de notre système solaire par une partie plus « énergisée » de l’espace interstellaire ; pourraient – tous à leur façon – se traduire par des formes d’onde (vibrations) accrues pénétrant le champ quantique de l’ADN et facilitant un changement de la conscience humaine. Le pont menant à un nouveau degré d’intelligence vivante est par essence un passage vibratoire. Si ce dernier a le potentiel d’activer la conscience quantique, cela pourrait accroitre les facultés intuitives et les phénomènes extra-sensoriels devenant alors non seulement une partie importante de nos vies mais ouvrant également les portes d’une plus grande créativité et des capacités inventives servant les futurs de l’Homme. L’émergence de ces attributs chez une masse critique pourrait déterminer le prochain « saut quantique ». Les signes de ces nouvelles formes de conscience commencent à se manifester dans le monde, mais pour l’instant ils ne font pas l’objet de la recherche générale. De tels agents « mutationnels » de l’évolution regroupent des visionnaires, des mystiques, des artistes, des médiums, des personnes intuitives, des maîtres spirituels et ceux qui ont été nommés « enfants indigo » (Atwater 2005). Ces enfants (appelés « indigo » pour la couleur présumée de leur aura) sont décrits comme possédant une empathie, une créativité, une curiosité et une volonté accrues. Ils sont également censés être davantage enclin à la spiritualité dès leur plus jeune âge ; et avoir de fortes capacités intuitives. Du fait de leur résistance naturelle à l’autorité, ils sont considérés par le scolaire conventionnel comme étant perturbés, rebelles ou exclus. Pourtant, ce n’est là rien de nouveau : au cours de l’histoire, les acteurs sociaux ont eux aussi ressenti l’appel – et eu l’intuition – de résister à l’autorité et d’instaurer le changement (Billington 1998). Beaucoup d’individus ayant pris conscience du besoin de semer la graine de l’évolution dans la vie sociale ont été pris par les événements révolutionnaires et/ou impliqués dans les bouleversements socioculturels. Krishna remarque que ces élans évolutionnaires ont germé à partir de cette graine.

Je peux affirmer en toute confiance que les progrès réalisés par l’Homme dans tous les domaines –  depuis le stade sous-humain jusqu’à l’actuel – sont bien moins dus à ses propres faits qu’à l’activité des forces évolutionnaires en lui. Chaque inspiration d’invention, de découverte et d’œuvre d’art ; chaque création d’organisations politiques et sociales provient invariablement de l’intérieur, d’entre les profondeurs de sa conscience et par la grâce … d’une force évolutionnaire super intelligente chez l’être humain (1993, 166).

Ces élans témoignent des efforts, tentatives ou mouvements sociaux participant à fertiliser le “sol mental” afin qu’une nouvelle conscience puisse lentement s’enraciner et croître. En effet, les forces sociales, culturelles et matérielles mettent généralement un certain temps à répondre au besoin d’un paradigme de conscience évolutif.

Nous pouvons dire que pour une croissance continue de l’espèce et de la culture, certaines périodes de l’Histoire s’avèrent plus favorables : lorsque l’humanité est prête, voire aspire, à une activation des facultés et/ou des caractéristiques évolutionnaires. Il se peut que, en cette période culturelle fondamentale, l’humanité s’adapte d’elle-même ou qu’elle soit forcée de développer des aspects de conscience plus créatifs et inspirés. Cette transition – une partie de ce que j’appelle l’évolution neurogénétique – mettra à mal beaucoup des structures sociales désormais obsolètes qui ont largement divisé la pensée humaine. Cependant, comme dans tout changement de paradigme, les vieilles énergies doivent inévitablement faire place aux nouvelles, et ce n’est qu’une question de temps avant que les nouvelles générations passent à une conscience évolutive et à ses manifestations. Il est donc essentiel qu’une compréhension des questions spirituelles commence à transparaitre dans notre quotidien, et ce afin de contrebalancer le matérialisme social. Dans les années à venir, il est important que nous essayions de développer une conscience qui soit réceptive aux influences spirituelles, tout en étant conscients et attentifs aux dernières avancées scientifiques. Il est impératif que nous redonnions vie à notre sens collectif du bien-être et du lien qui nous unit – notre intrication – en tant qu’élément de notre développement à tous. Il est possible qu’un nouvel état de conscience quantique permette à l’humanité d’accéder à un champ d’information énergétique inimaginable. Cela ouvrirait donc de nouvelles perspectives d’intelligence créative et présagerait la suite sur le chemin de notre ascension.

 

CONCLUSION

Pour résumer, l’humanité en tant qu’espèce globale pourrait être au milieu d’une transition vers un état de conscience différent. Ce nouvel état pourrait vraisemblablement être caractérisé par des propriétés quantiques telles que la cohérence et les informations de champ non-local. Pour cette raison, j’ai qualifié ce nouvel état de champ de conscience quantique. Ce champ de conscience transformera notre relation à autrui, au monde, et étendra nos réalités de perception. Il pourrait aussi faire naître d’autres facultés, latentes jusqu’à présent, telles qu’une intuition, une télépathie et une pensée visionnaire accrues. Certaines de ces caractéristiques apparaissent déjà chez les nouvelles générations appelées « enfants indigo ». Ce développement évolutionnaire atteste d’une transition depuis des formes d’évolution biologiques et socioculturelles vers l’intégration d’un nouveau niveau : neurogénétique. Je soutiens que cette phase neurogénétique est essentielle pour permettre à l’humanité de grimper un nouvel échelon sur l’échelle de l’évolution. Comme un penseur l’a récemment remarqué : « nous vivons une période de changement où l’humanité se transforme. Notre conscience, au vaste potentiel de développement, doit vivre un lâcher-prise des vieilles structures limitatives, et marquer une rupture pour une expansion rapide… Nous avons besoin de comprendre les phénomènes en profondeur, et ne pas simplement accepter ce qu’on nous dit, ou ce qui nous est donné par le biais de circuits et d’institutions sociales bien structurés. Nous devons apprendre à accepter que notre pensée est une grande force spirituelle et concrète pour instiguer le changement. (Gulbekian 2004, 251) Si une personne n’était pas suffisamment préparée aux conséquences du changement alors cela pourrait causer déséquilibre et confusion. La responsabilité personnelle veut que chaque personne recherche l’équilibre des énergies intérieures et extérieures ; et de renforcer son sens de connexion, d’empathie et de vision créative. Les nouvelles découvertes en neuroscience, biologie et physique quantiques ont montré qu’une forme de conscience connectée non-locale a une base scientifique. Cela démontre que certaines expériences transcendantales ou spirituelles d’une unicité collective ont une base valide au sein d’un nouveau paradigme scientifique. Nos futurs évolutionnaires n’ont pas à être divisés entre la science et les sciences humaines mais peuvent être – doivent être – une fusion créatrice et un partenariat collaboratif.

 

Traduction réalisée par Jennifer Dureau  (contact : dureau.jennifer@gmail.com)

 

NOTES

 

1. Voir The Structure of Scientific Revolutions de Thomas Kuhn pour plus d’informations sur les changements de paradigme.

2. John von Neumann, mathématicien éminent, a calculé que lors d’une durée de vie moyenne de soixante-dix ans nous accumulons quelque 280 milliards de bits d’informations (Wiener 1961).

3. La précession des équinoxes (ou la Grande Année) se réfère au passage graduel de l’orientation de l’axe de rotation de la Terre, qui forme un cône dans un cycle d’environ 26 000 ans.

4. Pour plus d’informations, voir les travaux de Grazyna Fosar et Franz Bludorf.

5. Voir les nombreux rapports au sujet des “Enfants indigo” ou “nouveaux enfants” (Atwater 2003, 2005, Carroll and Tober 2004).

6. Voir le recueil de contes d’Idries Shah.

 

 REFERENCES

Atwater, P. M. H. 2003. The New Children and Near-Death Experiences. Rochester, VT: Bear & Co.

Atwater, P. M. H. 2005. Beyond the Indigo Children: The New Children and the Coming of the Fifth World. Rochester, VT Bear & Company.

Becker, R. O. 1998. The body electric. New York: William Morrow.

Billington, J. H. 1998. Fire in the minds of men. Piscataway, NJ: Transaction Publishers.

Carroll, L. and Tober, J. 2004. The Indigo Children. London: Hay House.

Fosar, G. and Bludorf, F. 2001. Vernetzte Intelligenz: Die Natur geht online. Omega Verlag Bongart–Meir.

Gulbekian, S. E. 2004. In the belly of the beast: Holding your own in mass culture. Charlottesville, VA: Hampton Roads.

Ho, M.-W. 1998. The rainbow and the worm: The physics of organisms. Singapore: World Scientific.

Ho, M.-W. and F. A. Popp. 1989. Gaia and the evolution of coherence. In 3rd Camelford Conference on the Implications of the Gaia Thesis: Symbiosis, Cooperativity and Coherence. The Wadebridge Ecological Centre, Camelford, Cornwall.

Krishna, G. 1993. Higher consciousness and Kundalini. Ontario, CA: F.I.N.D. Research Trust. ———. 1997. Kundalini: The evolutionary energy in man. Boston, MA: Shambhala. ———. 1999. The dawn of a new science. Markdale, ON: Institute for Consciousness Research.

Kuhn, T. 1996. The Structure of Scientific Revolutions. London: The University of Chicago Press.

Laszlo, E. 2004. Science and the Akashic Field: An integral theory of everything. Rochester, VT: Inner Traditions. ———. 2008. Quantum shift in the global brain. Rochester, VT: Inner Traditions.

McGilchrist, I. 2009. The master and his emissary: The divided brain and the making of the western world. New Haven, CT: Yale University Press.

Narby, J. 1999. Cosmic serpent: DNA and the origins of knowledge. London: Phoenix. ———. 2006. Intelligence in nature. London: Jeremy P. Tarcher.

Popp, F.-A., K. H. Li, W. P. Mei, M. Galle, and R. Neurohr. 1988. Physical aspects of biophotons. Experientia 44: 576–585.

Shah, I. 1985. The Exploits of the Incomparable Mulla Nasrudin. London: Octagon Press.

Snow, C. P. 1964. The Two Cultures and a Second Look: An Expanded Version of the Two Cultures and the Scientific Revolution. Cambridge: Cambridge University Press.

Steiner, R. 2006. Secret Brotherhoods and the Mystery of the Human Double. Forest Row: Rudolf Steiner Press.

Wiener,N. 1961. Cybernetics: or control and communication in the animal and the machine. Cambridge, MA: M.I.T. Press.

QUANTUM CONSCIOUSNESS_fr

Publicité
Publicité
1 novembre 2013

La théorie évolutionniste à la lumière de la science “Darwin, le mensonge de l’évolution”.

medium_evolution-singe

chacun a le droit de croire à ce qu'il veut , par rapport a ce qu'il sait ,mais que savons nous de l'évolution regardez cette  vidéos après vous pourrez argumenter .Dans le "meilleur des mondes", Aldous Huxley écrit : Sous un dictateur scientifique, l'enseignement fonctionnerait vraiment -avec pour résultat que la plupart des hommes et des femmes en viendraient à aimer leur servitude et ne rêveraient jamais de révolution. Il semble qu'il n'y ait aucune raison valable pour qu'une dictature scientifique soit jamais renversée." selon l'évolution de darwin une cellule a permis de créer toutes les espèces qui ont évolués , vous prenez le scorpion il n'a pas bougé depuis des millions d'années , chacun croit a ce qu'il veut dans le meilleure des mondes “La science n’a pas besoin de l’hypothèse Dieu pour avancer ; la foi n’a pas besoin de la science pour entrer dans la réalité dvine ; mais l’homme a besoin des deux… pour se parachever.” (Serge Tarassenko, physicien nucléaire) “D’une connaissance du travail de Dieu viendra la conaissance de Dieu”. (Robert Boyle, père de la chimie moderne) Vaste débat peu médiatisé qu’est celui des origines de l’Homme. D’un côté l’évolutionnisme, de l’autre le créationnisme. Pourtant, ce débat est d’une importance capitale dans un monde en perte de repère, puisque tout le sens et le but de la vie pourrait en dépendre. Mais encore faut-il s’y pencher sérieusement, travailler son esprit critique et outrepasser le cloisonnement de la pensée unique afin d’en saisir la véritable profondeur.

D’un côté la foi, de l’autre la science. Nous avons malheureusement tendance à oublier un peu vite que la foi et la science peuvent être intimement liés et complémentaires. L’un n’exclut pas l’autre. La version officielle, admise, médiatisée et enseignée dès notre plus jeune âge dans nos écoles est celle de l’évolution. Alors, comme à l’accoutumer sur prisedeconscience, nous allons explorer l’autre version des faits, celle que les médias passe sous silence et nous verrons pourquoi ces grandes vérités sont occultés. En faisant passer un examen à la théorie évolutionniste à la lumière de la science, nous constaterons les nombreuses lacunes, faiblesses, mensonges et dissimulations de cette théorie, qui pourrait priver l’homme d’une connaissance salutaire. Avec ces nouvelles données, chacun pourra naturellement en déduire si oui ou non l’idée d’un créateur est viable et continuer librement son propre cheminement en connaissance de cause. Pas question ici de sombrer dans les dangers de l’obscurantisme, le religieux ou le sectaire. Ces vidéos et cet article permettent d’aborder d’un point de vue scientifique la vaste question de nos origines et pourra pourquoi pas ouvrir certains coeurs à une vérité ayant le pouvoir d’impacter positivement leur vie. Comme d’habitude, à vous de peser le pour et le contre, de vous faire votre propre opinion et de travailler votre esprit critique. Il y a la version officielle des origines de l’homme, voici maintenant l’autre version.

En effet, si l’idée de la thèse créationniste est viable, il y aurait donc un créateur que chacun serait en mesure de découvrir ou de rencontrer … Cette supposition dépasse largement le cadre de cet article et même de l’ensemble de ce site et ne sera donc pas aborder tant il soulève de questions, de mystère et de passions. Commençons par une simple question : qui est Darwin ? Charles Robert Darwin qui a établi la théorie de l’évolution ou « l’évolution par la sélection naturelle » était un naturaliste amateur qui n’avait jamais reçu une formation académique en biologie. Il s’intéressait en tant qu’amateur à la nature et aux êtres vivants. Impressionné par diverses espèces d’êtres vivants, particulièrement certains pinsons qu’il avait vus dans les îles Galápagos, il a pensé que la diversité de leurs becs était le résultat d’une adaptation à leur milieu naturel. Avec cette idée en tête, il a supposé que l’origine de la vie et des espèces résidait dans le concept de “l’adaptation à l’environnement”. Selon lui, les divers êtres vivants n’étaient pas créés séparément par Dieu mais descendaient tous d’un ancêtre commun et sont devenus différents les uns des autres à cause des conditions naturelles. L’hypothèse de Darwin ne reposait sur aucune découverte ni expérience scientifique. Il était lui même, parfaitement conscient que sa théorie recouvrait plusieurs grandes lacunes et anomalies. Il en a fait la confession dans le chapitre “Les difficultés de la théorie” de son livre.

Ces difficultés concernaient, en premier chef, les archives fossiles, des organes complexes d’êtres vivants qui ne peuvent pas être expliqués par la coïncidence. Le niveau primitif de la science à l’époque de Darwin (XVIII éme siècle) telles que la génétique, la microbiologie, la biochimie et d’autres n’existaient pas encore. Si celles-ci avaient été découvertes avant que Darwin ne construise sa théorie, ce dernier n’aurait sans doute pas osé avancer ses hypothèses. L’information déterminant les espèces existe déjà dans les gènes et il est impossible à la sélection naturelle de produire de nouvelles espèces à travers l’introduction de changements dans les gènes. S’il avait connu les sciences d’aujourd’hui, Darwin aurait compris que pas la moindre protéine n’aurait pu exister par hasard, encore moins une cellule toute entière. A cette époque la structure et des fonctions de la cellule n’étaient connues que superficiellement, le microscope à électrons n’était pas conçu. Charles Darwin avança sa théorie dans son livre L’origine des espèces, publié en 1859. Il avoua plusieurs points qui l’embarrassaient dans le fameux chapitre « les difficultés de la théorie », et espérait que ces problèmes seraient résolus dans le futur. Ce souhait, cependant, n’a abouti à rien. Les fossiles, de nos jours, ont produit des résultats différents des attentes de Darwin.

Il pensait que ses successeurs finiraient par trouver les formes intermédiaires expliquant les transformations lentes et régulières des espèces (gradualisme). Au contraire, les faits révélèrent que d’innombrables êtres vivants n’avaient subi aucun processus d’évolution, qu’ils étaient restés identiques pendant des millions d’années, conservant leurs nombreuses caractéristiques complexes. Deux exemples parmis des milliers : - Un fossile d’ophiure de 150 millions d’années montrant que les échinodermes n’ont absolument pas changé depuis des millions d’années. - Un fossile de tortue de 120 millions d’années est la preuve que les tortues ne descendent pas d’autres êtres vivants, qu’elles n’ont jamais subi des étapes intermédiaires de transformation et qu’elles présentent la même structure depuis des millions d’années. Les formes intermédiaires sensées porter les caractéristiques de deux espèces différentes n’ont jamais existé à aucun moment. Le manque de formes intermédiaires c’est-à-dire la stagnation n’appuient en rien la conception d’évolution graduelle préconisée. Pour faire face à cette situation infirmant la théorie de l’évolution, les successeurs de Darwin firent d’énormes efforts pour détecter dans les archives fossiles des exemples de l’évolution lente et graduelle qu’il prévoyait.

Leur objectif était de prouver que Darwin avait raison, de démontrer que les fossiles de son époque étaient réellement insuffisants et de dénicher des exemples de formes intermédiaires, preuves de l’évolution des êtres vivants. Cependant, en 1980, les défenseurs de la conception de l’évolution, relevaient que l’histoire de la plupart des espèces fossiles présente deux caractéristiques particulièrement incompatibles avec le gradualisme proposé par Darwin. 1) La stabilité ou « stase » : la plupart des espèces ne présentent aucun changement directionnel pendant toute la durée de leur existence. 2) L’apparition soudaine : dans une zone donnée, une espèce n’apparaît pas progressivement à la suite d’une transformation régulière de ses ancêtres ; elle surgit d’un seul coup, et « complètement formée »…….. Pour de nombreuses personnes (pour ne pas dire la grande majorité de la population lettrée), la théorie de l’évolution est un vérité qui se vérifie au fur et à mesure des découvertes.

Ces gens là ont autant de fois en cette conviction que les croyants dotés de la foi du charbonnier et nous verrons plus bas dans cet article pourquoi il s’agit ici de foi. Il existe de nombreuses découvertes et de détails discordants qui, pour plus de facilité, ont été écartés d’une pichenette : ils ne rentraient pas dans le tableau. Il suffit de surveiller la presse scientifique,les magazines hebdomadaires, les brèves par-ci, par-là, qui relatent des découvertes ou des correctifs allant à l’encontre de ce qui est admis. Les seuls fossiles par exemple, sont la preuve que les organismes vivants ne sont pas apparus grâce à une évolution progressive, mais plutôt de manière soudaine et sous une forme complète. Les néo-darwinistes rêvent du jour où les formes transitionnelles perdues seraient découvertes un jour. Malheureusement aucune “forme transitionnelle”, pourtant soutenue par les néo-darwinistes pour démontrer l’évolution progressive des organismes vivants d’un état primitif à celui développé, n’a été découverte en aucun endroit du globe. De plus, l’anatomie comparative a prouvé que les espèces supposées avoir évolué les unes des autres disposent en réalité de caractéristiques anatomiques différentes et qu’elles ne pouvaient en aucun cas être ancêtres ou descendants les unes des autres. Quant aux mutations des espèces, les néo-darwinistes ont alors essayé d’établir un cas pour les “mutations avantageuses” en procédant à des milliers d’expériences de mutation.

Toutes ces tentatives ont été vaines. Par contre les mutations -ou les “accidents”- qui ont eu lieu dans les gènes des organismes vivants ont toujours été nocives. Ils ont également tenté de prouver que les premiers organismes vivants étaient apparus par hasard dans des conditions terrestres primitives que la théorie avait énoncées. Toutefois, ces tentatives s’étaient soldées par un autre échec. Chaque expérience qui cherchait à prouver que la vie aurait pu apparaître par hasard se soldait par un échec. Les calculs de probabilité ont prouvé que même la moindre protéine, la base de la vie, ne pouvait devoir son origine au hasard. Et la cellule qui soi-disant serait apparue par hasard dans des conditions terrestres primitives et incontrôlables, comme le soutiennent les évolutionnistes, ne pouvait pas être synthétisée même dans les plus sophistiqués des laboratoires du 20ème siècle. Les données scientifiques les plus sérieuses prouvent qu’ils est impossible de donner une explication à l’univers en excluant Dieu. Ces savants ne trouvent pas seulement un univers intelligible et très cohérents, mais ils perçoivent en lui un prodige qui donne un sens à la vie parce qu’ils reconnaissent derrière cette création l’esprit et la main d’un architecte. Cette perception d’un créateur se fait ressentir également dans divers domaines tel que la philosophie.

Voltaire n’a-t-il pas dit : “L’univers m’embarrasse et je ne puis songer qu’une telle horloge existe et n’ait pas d’horloger”. Ces érudits défendent donc la pertinence des principes moraux et savent quand il faut cesser de poser la question “pourquoi”. Ils ont eu une vision du monde qui semble plus cohérente que la vision purement évolutionniste des choses. Le physicien des particules John Polkinghorne démontre avec brio que notre univers intelligible et merveilleusement adapté suggère l’existence de Dieu ; les penseurs athées ont bien du mal à expliquer la précision qui règne dans tous les détails de cet univers : “Au début de l’expansion de l’univers, il fallait un équilibre parfait entre la force d’expansion (celle qui éloigne les corps) et la force de gravité (qui attire les objets les uns vers les autres). Si la force centrifuge avait été trop grande, la matière se serait dispersée trop rapidement pour pouvoir se condenser en galaxies et pour que les étoiles se forment. Ils ne se seraient rien produit d’intéressant dans un univers tellement dispersé. D’autre part, si la gravité avait été trop prépondérante, le monde aurait de nouveau été attiré vers son point de naissance avant que la vie n’est pu faire son apparition.

Nous estimons que pour que la vie ait été possible, il fallait qu’au tout début de la formation de l’univers (le temps de Planck), la force centripète et la force centrifuge ne diffèrent pas de plus de 1 :1060. Celui qui est versé dans les mathématiques ne pourra que s’émerveiller par cette précision. Pour le non-spécialiste, je vais emprunter une illustration de Paul Davies pour faire comprendre ce que cela représente. Davies indique que c’est la précision nécessaire pour atteindre une cible de 2,5 cm placée à l’extrémité de l’univers observable, c’est à dire à vingt mille millions d’années lumière ! “ Imaginons alors qu’aujourd’hui il ne soit pas honteux de se poser des questions ou même, imaginons que croire qu’une entité supérieure ait décidé de créer l’homme, ne soit pas contraire à la raison… Dans ce cadre là, le paléontologue Hans-Joachim Zillmer a compilé de nombreuses découvertes qui prouvent tout autant une vue créationniste que les savants défendent l’évolutionnisme. Mr Zilmer en a fait deux livres intitulée “L’erreur de Darwin” et “Darwin, le mensonge de l’évolution”.

Il est possible de vous procurer un audio abordant son livre sur le site Radio Ici et Maintenant. Les temps ont changés et il ne s’agit pas ici de faire de l’esbroufe. De ce fait, peut-être aussi grâce à internet où quiconque peut vérifier ce qui est dit, le sérieux du travail de l’auteur propose d’apprendre des choses passionnantes et surtout offre une base de réflexion solide qui devrait permettre à n’importe qui de se donner la peine de réfléchir. Inutile de vous obliger à être convaincu ou non… car comme tout le monde le sait, la vérité est ailleurs, et surtout elle est de moins en moins académique ! Hans-Joachim Zillmer, à l’instar de Immanuel Velikovsky, s’est fait toutefois l’avocat du catastrophisme en rapport avec la théorie d’une Terre jeune, la toute première modélisation de la théorie d’une catastrophe de notre jeune Terre suggérant que la Terre est relativement vieille, en tant que planète mais qu’elle fût touchée par une catastrophe d’une terrible ampleur ( le déluge) il y a quelques 5000 à 6000 ans. La thèse centrale au niveau géologique, induite par ces bouleversements, est d’affirmer que les continents connurent de formidables inondations du sud et du nord-ouest de l’Amérique du nord, à travers l’Australie ou les montagnes de l’Altaï, à travers la Sibérie vers la mer caspienne, la mer baltique et l’océan artique. Un déplacement de l’axe du globe terrestre eût lieu en association avec ce qui précède et, d’après lui, c’est à cette période que l’ère glaciaire commença par une rapide glaciation des régions arctiques et antarctiques, connue sous le nom de « grand âge de glace » ( le Pleistocène). C’est à cette époque, d’après Zillmer, que la pesanteur de la Terre augmenta aussi et que certaines espèces animales d’une taille démesurée, tel le sloth d’Amérique aussi gros qu’un éléphant, le stag géant et la mammouth d’Eurasie, s’éteignirent. Ainsi, émergea un nouveau monde avec de plus petits animaux sous des conditions atmosphériques différentes, telles une diminution de la pression atmosphérique et une plus grande pesanteur.

Selon Zillmer, compte tenu de ces catastrophes au niveau du globe terrestre, il n’y a eu, par rapport à une micro ou macro évolution, aucune mutation des espèces animales. Ainsi, il est impossible que le singe ait pu engendrer l’homme. Qui plus est, à cette époque, 80% de l’espèce animale fût éradiquée. Un scénario attribué à la fin de la période glaciaire ( = naissance de la période d’enneigement, toujours selon Zillmer). En conséquence de quoi, Zillmer affirme qu’il n’existe aucune théorie vérifiable de l’espèce humaine, raisonnement qu’il explicite dans son ouvrage « Le mensonge de l’évolution ». Dans son livre « l’Erreur de Darwin », Zillmer explique que les crânes paléolithiques et les squelettes n’ont pas plus de quelques milliers d’années, ceci ayant été confirmé par de nouveaux examens des crânes de l’homme de Néanderhal et de Cro-Magnon provenant d’Allemagne en 2004, analyses découlant d’une nouvelle détermination ayant eu lieu en Angleterre. La thèse exposée par Zillmer dans son ouvrage L’erreur de Darwin, est que le Grand Canyon, synonyme de délivrance de la tribu Havasupai, fût le résultat d’un cataclysme gigantesque du temps de leurs ancêtres, théorie qui a été étayée par les nouvelles recherches de la Commission de Géologie américaine. Des flots gigantesques, d’une taille 37 fois supérieurs au fleuve Mississipi sculptèrent le Grand Canyon par des passages successifs, pour la dernière fois il y a plus de 1000 ans. En outre, il présente dans ses ouvrages de nombreuses preuves archéologique venant confirmer les écritures bibliques (découvertes de squelette de géants, cohabitation des dinosaures et de l’homme etc …). De quoi se poser de sérieuses questions… On pourrait aussi citer Jean-François Moreel, Docteur en biochimie et spécialiste en génétique moléculaire et en embryologie.

M. Moreel œuvre pour la démystification du darwinisme afin de libérer les scientifiques de cette idéologie et leur permettre de reconquerrir leur liberté de penser. D’après lui, le Darwinisme est une des plus grosse fumisterie intellectuelle de notre époque. Il a écrit plusieurs ouvrages sur le sujet dont “Le Darwinisme envers d’une théorie”. Son livre démontre de façon implacable, au travers des différentes diciplines scientifiques en jeu, de la paléontologie jusqu’à la génétique & biologie moléculaire, que la réalité des connaissances scientifiques conduit de façon irréfutable à la non validité de ce “mythe officiel” qu’est le darwinisme. Les considérables avancées et découvertes scientifiques dans des domaines tels que L’archéologie, la paléontologie, la biologie ou encore la génétique, semblent rendre la théorie de l’évolution tout simplement invalide et incensée tout en avançant des arguments toujours plus convaincant en faveur de l’idée d’une création. Les tentatives de falsification visant à démontrer que des formes transitionnelles existent n’ont pas aidé la théorie évolutionniste (voir dans la vidéo). Une partie de la science tend visiblement vers le créationnisme tant la complexité et la richesse ordonnée qui nous compose et qui nous entoure rendent naturellement témoignage à un créateur tandis qu’une autre partie toute aussi sérieuse de la science tend de bonne foi vers l’évolutionnisme, excluant Dieu et proclamant que l’univers et tout ce qu’il contient n’est finalement que le fruit du hasard et de la nécessité. Bien entendu, De nombreux articles scientifiques, sérieux et pertinents démontrent le contraire et présentent la théorie de l’évolution comme une vérité qui n’est plus discutable, et sans les connaissances scientifiques adéquate, difficile de ne pas y adhérer. Mais sans même le savoir, tous ces scientifiques pro-évolutionniste ne démontrent-ils pas seulement la preuve d’une micro-évolution ou adaptation programmée qui est totalement compatible avec le créationnisme ?

La macroévolution, donc l’évolution au dessus du niveau de l’espèce est trompeur et non prouvé scientifiquement. En revanche, la microévolution se produit quotidiennement dans la nature et pendant le processus de sélection. L’amalgame entre micro et macroévolution trompent beaucoup de personnes dans la recherches de la vérité. Les règles de l’hérédité sont décrites par les lois de Mendel, qui constituent aujourd’hui l’une des bases de la génétique expérimentale. Si l’on considère en plus les influences climatiques et l’isolement spatial, on obtient des nouvelles variantes d’animaux existants ou aussi d’hommes, qui ne constituent pas une évolution supérieure au sens des théories de Charles Darwin. Car passer de la micro-évolution (modifications que peuvent subir certaines espèces et qui est prouvée par la science) à la macro-évolution (celle qui explique l’origine des espèces), ne relève-t-il pas subitement du domaine de la foi ? Voyons maintenant pourquoi l’évolutionnisme et le créationnisme relève tout deux du domaine de la foi. Le néant peut-il générer de lui même quelque chose ? Même le célèbre bigbang doit bien venir de quelque part ? On sait scientifiquement, que la probabilité qu’une chose ou qu’un être qui procède de rien est nulle. Satistiquement, il est impossible que le néant puisse générer de de la matière.

Alors maintenant, est-ce que les tenants de la théorie de l’évolution peuvent citer un seul cas d’un être répondant à un arrangement et qui tirerait son origine d’un être sans arrangement ? Si la réponse est non, et c’est le cas, on peut légitimement affirmer que l’origine de toute chose viendrait peut-être d’un être avec arrangement et que cet être pourrait être assimilé à Dieu. Finalement, on peut affirmer la chose suivante : Un oeuf que n’aurait pondu aucun oiseau n’est pas plus naturel qu’un oeuf qui existerait de tout éternité. Pour paraphraser cet exemple, on pourrait dire que la théorie de l’évolution tente finalement et malgré tout son sérieux de nous dire qu’un oeuf pourrait exister sans qu’aucun oiseau ne l’ait pondu ce qui est rationnellement aussi absurde qu’un œuf existant de toute éternité et ayant engendré les autres. La foi évolutionniste et créationniste sont simplement résumé dans cette illustration. Alors maintenant, si cela relève finalement du domaine de la foi, posons-nous quelques questions simples mais primordiales pouvant répondre à cette autre question : que croire ? La théorie de l’évolution peut-elle expliquer le mystère insondable des E.M.I (Expérience de Mort Imminente, prochainement abordé sur ce site) ? La théorie de l’évolution peut-elle expliquer les innombrables phénomènes surnaturelles et spirituelles existant à travers le monde (guérison, médium, voyance, télékinésie, exorcisme, spiritisme, intuition, etc..) ? La théorie de l’évolution peut-elle rendre la vue à un aveugle ? La théorie de l’évolution peut-elle résoudre les innombrables problèmes existentiels tel que le sens et le but de la vie ? La théorie de l’évolution peut-elle résoudre cette lutte du bien et du mal à laquelle nous somme tous confrontée ? La théorie de l’évolution peut-elle radicalement bouleverser le coeur d’un homme par sa vérité ? La théorie de l’évolution peut-elle générer des expériences surnaturelles ?

La théorie de l’évolution peut-elle exaucer des prières ? La théorie de l’évolution peut-elle expliquer la magie du rire des enfants ? Peut-elle expliquer l’apparition de la sexualité ? Peut-elle faire des miracles ? On peut constater une chose simple : La théorie en faveur d’un créateur et l’aspect spirituel en découlant peut visiblement expliquer toute ces choses si l’on s’en réfère au seul exemple des innombrables et authentiques témoignages ayant traversés le temps et les mystères visibles en découlant. Une chose sur laquelle tout le monde s’accorde est que la véritable science ne peut démontrer ni l’existence de Dieu ni sa non-existence tout comme elle n’arrive pas encore à admettre la réalité de le télékinésie par exemple. Ajoutons qu’il est une chose que la science ne pourras probablement jamais prouver, c’est bien la relation spirituelle qu’un homme peut avoir avec Dieu. La science et Dieu ne sont pas, et ne seront jamais ennemis. La science oeuvre pour le “quoi je suis” tandis que la foi divine oeuvre pour le “qui je suis”, le “d’où je viens” et le “ou est-ce que je vais”. La science n’a pas pour but de donner un sens à la vie mais d’expliquer les mécanismes prodigieux qui abondent dans cette vie. La métaphysique prend donc le relais tout comme la spiritualité et cela aboutit enfin à un ensemble complet et cohérent. Enfin, pour aller plus loin, posons-nous cette simple question : la science peut-elle prouver l’amour réel que vous avez pour un quelconque proche ? Elle ne le peut pas et pourtant tout le monde s’accorde pour dire que l’amour existe. Le sentiment d’amour est une chose invisible qui n’est admis uniquement par la majorité parce que chacun a pu l’expérimenter une fois dans sa vie. L’amour se rend uniquement visible par nos actes, nos paroles et notre témoignage. De la même façon, Dieu existe de manière certaine pour tous ceux qui l’expérimente. De la même façon, on pourrait dire que le témoignage ainsi que les actes de ceux qui prétendent vivre une relation avec Dieu est une des ses manifestations visibles. Une phrase biblique dit : “la gloire de Dieu est d’agir de façon caché et la gloire de ceux qui croit est de découvrir ce que Dieu à caché“.

Tout comme l’amour n’a de valeur et ne s’expérimente que s’il est sincère, la rencontre avec Dieu n’a de valeur et ne s’expérimente visiblement que s’il provient d’un coeur sincère. la bible ne dit-elle pas que « celui qui me cherche de tout son coeur me trouvera » ? Il est intéressant de noter une chose décrite dans les saintes écritures et concernant le mécanisme des prémices d’une relation Homme-Dieu : l’homme demande à Dieu de lui montrer des preuves concrêtes de son existence afin de croire en lui, tandis que Dieu demande d’abord à l’homme de croire en lui afin de lui donner ces preuves. Cela sous-entend qu’il répond simplement au coeur qui le cherche sincèrement et qu’il se révèle d’un milliard de façon possible aux personnes désireuses de le connaître. Le respect du libre arbitre est donc total. En admettant l’idée de l’existence de Dieu comme correct et satisfaisante, nous rentrerons alors dans l’immense diversité des croyances et des religions ce qui dépasse une fois encore largement le cadre de cet article. Cependant, nous terminerons tout de même cet article par un cours témoignage d’une personne que certains qualifierait de créationniste. Cette personne s’appelle Malcolm Muggeridge et voici ses mots après être entré en relation personnelle avec Dieu : “Je dois sans doute me considérer comme un homme relativement comblé. De temps en temps, les gens me reconnaissent dans la rue ; c’est la célébrité. Je gagne assez d’argent pour prétendre à figurer parmi les gens les plus imposables ; c’est la réussite économique. Comblé d’argent et de d’honneurs, même quelqu’un d’agé peut s’offrir des distractions ; c’est le plaisir. Il se peut qu’une parole dite ou écrite par moi ait suffisamment attiré l’attention pour me faire croire que j’ai laissé un impact sur mon époque ; c’est le sentiment d’épanouissement. Mais je vous le dit, et je vous prie de me croire, multipliez ces petits triomphes par des millions, faites-en la somme : le résultat n’est rien, moins que rien. En fait, c’est même un réel obstacle, comparé à une seule goutte d’eau vive que Christ offre à celui qui est assoiffé spirituellement, quel qu’il soit !“ Vous l’aurez compris le narrateur de cet article à déjà pris sa position. Notez bien : Les opinions exprimées dans cet article n’engagent que l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celle de PriseDeConscience.org Maintenant, à chacun de prendre sa position et d’alimenter le débat dans une optique constructive, enrichissante et respectueuse. La vérité n’est peut-être qu’à un seul pas… Pour les plus curieux, voici un dossier scientifiques sérieux sur darwinisme parut dans le magazine NEXUS en octobre 2009 : http://www.scribd.com/doc/27608524/Dossier-Darwin-Nexusn%C2%B0-64-Sept-oct-2009

15 septembre 2011

33 scientifiques contre la theorie du Big Bang

33 scientifiques contre la theorie du Big Bang
Au delà de la validité scientifique de la théorie du Big Bang et des théories alternatives, il semble une fois de plus que la science, en tout cas le processus scientifique même, a été une fois de plus détourné par des intérêts particuliers. Tout comme...
13 février 2011

700 scientifique ont signés une pétition contre le Darwinisme

700 scientifique ont signés une pétition contre le Darwinisme
On entend souvent dire que les scientifiques réputés sont tous des parfaits adhérents de l’évolutionnisme et que les rares créationnistes qui ont fait des études dans le domaine de la science ne sont que des vulgaires excentriques qui essaient de manipuler...
Publicité
Publicité
Publicité