Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

rusty james news

rusty james news
  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog

 

90243223_3015402811831487_8561877086778687488_o (1)

3323033

coronavirus-patentes

images (19)

219-2199429_love-heart-beautiful-wallpapers-happy-valentines-day-nature

1025600_652515874786871_1894874949_o


nVskOPKB

téléchargement (100)

universal-biometric-identity-1024x576

91848411

téléchargement (11)

tree_horizon_sunset_128367_5000x2830

f04543b60ef77267e2b31c5f3920fbb0

photo-1542805700-2fadb851b97a

qxJUj0O

 

pIHMc8u

7kKizZj

ZcuYl3V


sea-beach-sunset-boats-red-sky-1080P-wallpaper-middle-size

night-sky-background-7047

sky-wallpaper-38

18557077_1435376306500820_5842715664996553589_n

 

 

798041343248-national-geographic-wallpaper-zealand-photo-waikawau-desktop-bigest-images

Firefox_Screenshot_2017-02-18T13-56-14

16195622_1077703329024709_5740688279216232976_n

sf

 

Pyramides-Gizeh

atlantide-compressor

Ancien-arbre-1

Ancien-arbre-2 - Copie

Ancien-arbre-3 - Copie

h21

h25

h25

h26

h27

SDSDS

SZSDFZFS

ZDZD

931270ecd7_50010171_bohr-heisenberg-aip-niels-bohr-library

don

 

1a686c3b37ddba12f5e282679288047b

62e74d09a526f5250c3c16f5bbb7d342

3a2057e1930aac61c9451db179973253

5aa85f74b15975d75e8a6d4e547b40b0

5c3e0b7842f37a0d63504d0a032ca422

5f6fce1a34d9027bdedb78ef0658a5af

9dbf5fc4a80275b619f44e3e7a8314d2

a37cf9c85664975cf3660c8f21f70899

a96a954487d536bd6f75942a6d02f5b9

a977356a4e04ae0cdaf4c67ca90d1939

ad9ee9f2e4a1d0e83945b78313c60f27

b7e27913185d0679a669ce0f634d95f0

Archives
19 mars 2014

Des vagues d'hydrocarbures sur Titan

titan_multi_spectral_overlay-e1326050812883

 

Il y aurait des vagues sur Titan, une des lunes de la planète Saturne, mais d'un type tout à fait particulier : elles ne sont pas composées d'eau, mais d'hydrocarbures, selon des scientifiques américains, rapporte la revue Nature.

Si leur découverte est confirmée, ce serait la première fois que des vagues océaniques auront été découvertes, en dehors de la Terre. 

La sonde spatiale Cassini de la NASA avait repéré des reflets à la surface d'un des océans de Titan en 2012 et en 2013. Ces reflets pourraient provenir de légères ondulations, d'une hauteur de deux centimètres, qui se produiraient sur cet océan de Titan, selon Jason Barnes, un spécialiste des planètes à l'Université de l'Idaho, rapporte la revue Nature sur son site Internet.

Mais si Titan possède bel et bien des mers et des lacs, leur composition est bien différente de ceux qui sont présents sur la Terre. Ce n'est pas de l'eau qui y coule, mais du méthane, de l'éthanol et d'autres hydrocarbures, qui forment ensemble l'atmosphère de Titan. La planète contiendrait 40 fois plus d'hydrocarbures que les réserves estimées de la Terre, explique la BBC.

Ces liquides s'évaporent et créent un système météorologique qui inclurait des vents. La météo sur Titan contraste toutefois avec celle sur Terre. Les températures peuvent atteindre -180C. 

« L'océanographie n'est plus seulement une science de la Terre »

Des images de la sonde Cassini de la NASA permettent de voir la surface de la lune de Saturne, nommée Titan. Des images de la sonde Cassini de la NASA permettent de voir la surface de la lune de Saturne, nommée Titan.  Photo :  ? Handout . / Reuters

M. Barnes a exposé ses découvertes mardi, lors d'une conférence consacrée aux planètes et à leurs lunes, qui se déroule cette semaine à Woodlands, au Texas.

Les chercheurs de l'équipe de M. Barnes estiment qu'il y aura plus de vagues dans les années à venir, car les vents devraient se lever dans l'hémisphère nord de Titan, où se trouvent la plupart des mers de cette lune. « Titan commence à être en émoi », a expliqué Ralph Lorenz, un scientifique de l'Université John Hopkins, au Maryland. « L'océanographie n'est plus seulement une science de la Terre », conclut M. Lorenz.

Cependant, la sonde Cassini n'a pas réussi à capturer des images de vents qui balayeraient la surface des mers de Titan, rapporte la revue Nature. Les scientifiques de l'équipe de M. Barnes ont analysé des images prises avec la sonde Cassini et se sont aperçus qu'une lumière particulière se reflétait à la surface d'un des océans de la planète, ressemblant étrangement aux reflets émis par les vagues sur Terre.

Quatre pixels qui composaient ces images sont plus brillants que la lumière normalement émise par celle de la surface d'un océan. Après des analyses supplémentaires, M. Barnes et son équipe ont conclu qu'il pouvait s'agir de vagues. La découverte reste à confirmer toutefois, car les reflets observés par les scientifiques pourraient être ceux d'une mare de liquide boueux.

Enfin depuis le temps qu'ils nous disent qu'ils cherchent de l'eau dans l'espace .

http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/science/2014/03/18/003-hydrocarbures-titan-saturne-nature.shtml

Publicité
Publicité
19 mars 2014

Hausse des incidents liés à la présence de faibles quantités d’OGM dans les importations de produits alimentaires

603258-compagnie-monsanto-vendu-semences-transgeniques

25 pays ont bloqué des cargaisons après la découverte de traces d’OGM

Photo: U.S.D.A. Federal Grain Inspection Service (FGIS) - http://www.gipsa.usda.gov/fgis/educout/commgallery/o_flaxbrn.html
Le lin (L. usitatissimum), cultivé pour ses graines riches en huile

12 mars 2014, Rome - L'intensification des cultures génétiquement modifiées de par le monde a donné lieu à une augmentation d'incidents liés à la présence d'OGM en faible quantité dans les denrées alimentaires et aliments pour animaux faisant l'objet d'échanges internationaux, a indiqué la FAO aujourd'hui.

Les incidents concernant des cargaisons de grains, céréales et autres espèces cultivées ont entraîné des interruptions des échanges, et les pays importateurs ont détruit ou retourné les cargaisons à l'expéditeur.

Les traces de cultures génétiquement modifiées se mélangent accidentellement avec des cultures alimentaires ou fourragères non OGM durant les phases de production (par exemple, l'essai en plein champ d'une culture OGM à proximité d'un champ sans OGM), de transformation, de conditionnement, de stockage et de transport.

La notion de "faible quantité" n'est définie ni quantifiée par aucune réglementation internationale, et son interprétation est donc laissée à la discrétion des pays. Pour un grand nombre de pays, cela correspond à une quantité décelable, c'est-à-dire des concentrations infimes, tandis que d'autres états s'en remettent au cas par cas.

L'organisme génétiquement modifié peut être autorisé à des fins commerciales ou pour la vente dans un ou plusieurs pays, mais ne pas être autorisé dans un pays importateur. Par conséquent, si le pays d'importation détecte la plante non autorisée, il peut être juridiquement contraint de refuser la cargaison. 

Dans la première enquête du genre, 75 Etats membres de la FAO sur 193 ont répondu à un questionnaire sur la présence de faibles quantités d'OGM dans le commerce international de produits destinés à l'alimentation humaine et animale.

Les résultats seront examinés à Rome les 20 et 21 mars, lors d'une consultation technique organisée par la FAO qui a pour but d'analyser l'ampleur et la nature des problèmes occasionnés par les cargaisons contaminées. La réunion se penchera sur les questions commerciales liées à la présence de faibles quantités d'OGM, mais elle n'a pas pour objet de se prononcer sur les avantages et inconvénients des cultures génétiquement modifiées.

L'enquête révèle les faits suivants:

  • signalement de198 incidents de faibles quantités d'OGM décelées dans des cultures non OGM entre 2002 et 2012;
  • entre 2009 et 2012, bond du nombre de cas, avec le signalement de 138 des 198 épisodes;
  • cargaisons comportant defaibles quantités d'OGM en provenance principalement des Etats-Unis, du Canada et de la Chine, mais aussi d'autres pays qui ont accidentellement disséminé ces produits;
  • une fois l'incident détecté, la plupart des cargaisons ont été détruites ou renvoyées à l'expéditeur;
  • la majorité des incidents concernaient les graines de lin, le riz, le maïs et la papaye.

"Le nombre d'incidents est minime par rapport aux millions de tonnes de produits destinés à l'alimentation humaine et animale échangés dans le monde chaque jour", a déclaré Renata Clarke, Spécialiste de la sécurité sanitaire des aliments à la FAO et chargée de l'enquête. "Cependant, les interruptions des échanges commerciaux peuvent s'avérer extrêmement coûteuses, et face à la hausse de la fréquence deces épisodes, la FAO a décidé de conduire cette enquête et de convoquer une consultation technique pour entamer un dialogue entre les pays".

"Nous avons été surpris de constater des incidents en provenance de toutes les régions", a-t-elle précisé. "Il semblerait que plus on renforce les tests et la surveillance, plus on recense d'incidents".

"Même si les techniques d'identification d'organismes génétiquement modifiés sont désormais plussensibles, je tiens à souligner que 37 pays sur 75 ont répondu qu'ils avaient une capacité médiocre, voire nulle, de détection des OGM, c'est-à-dire qu'ils ne disposent pas de laboratoires, de techniciens et de matériels adaptés", a-t-elle ajouté. "Nombreux sont les pays qui ont demandé à la FAO de les aider à améliorer leur capacité de déceler les OGM".

"Dans leurs réponses au questionnaire, les Etats nous ont également demandé de les aider à évaluer dans quelle mesure les aliments génétiquement modifiés peuvent être consommés sans danger, et nous aimerions que les pays partagent leurs conclusions scientifiques à ce sujet", a-t-elle ajouté. "A cet effet, la FAO a créé en ligne une Plateforme sur les aliments génétiquement modifiés servant au partage de l'information entre les pays sur l'évaluation de la sécurité sanitaire". La plateforme est accessible à l'adresse suivante: http://fao.org/gm-platform/.

Parmi les autres résultats de l'enquête, citons les suivants:

  • 30 pays produisent des OGMà des fins de recherche ou de production commerciale, ou les deux à la fois, et de plus en plus d'organismes génétiquement modifiés sont développés;
  • 17 pays ne disposent d'aucune réglementation en matière d'OGM sur la sécurité sanitaire des denrées alimentaires, des aliments pour animaux ou sur l'environnement;
  • 55 pays ont des politiques de tolérance zéro pour les espèces végétales génétiquement modifiées non autorisées;
  • 38 pays considèrent les différentes politiques sur les OGM existant entre les partenaires commerciaux comme un facteur important de risque constitué par la présence de faibles quantités d'OGM dans certains aliments faisant l'objet d'échanges Internationaux.

La plupart des pays n'ont pas encore mis en place de politiques, législations ou règlements généralement applicables à la présence d'OGM en faible quantité. Différentes options ont été envisagées --notamment des politiques tolérance zéro, de seuil minimumet au cas par cas.

19 mars 2014

Sur 100 Poulets et de dindes achetés en grande surface, sur les marchés ou en boucherie 26 % étaient contaminés

h

Puten1

Après analyse d'une centaine d'échantillons de poulet et de dinde achetés en grande surface, sur les marchés ou en boucherie, l'UFC-Que choisir alerte sur la présence de bactéries résistantes à un ou plusieurs antibiotiques. 

Le test de l'association de consommateurs, publié lundi 10 mars, démontre que 26 échantillons sont contaminés et parmi eux, 61 % sont porteurs de bactéries résistantes à une ou plusieurs familles d'antibiotiques.


Pire : quelque 23 % peuvent survivre à des antibiotiques critiques, « c'est-à-dire les plus cruciaux utilisés en médecine humaine en dernier recours pour des pathologies graves ». Des résultats inquiétants qui conduisent l'association à enjoindre à la France de « renforcer » la réglementation sur ce sujet de santé publique.


L'UFC souligne que les volailles d'entrée de gamme « semblent plus impactées par l'antibiorésistance que les volailles biologiques », ce qui est logique puisque l'élevage bio encadre et limite strictement le recours aux antibiotiques. Les traitements allopathiques chimiques (y compris antibiotiques) ne sont possibles qu'en curatif et leur nombre est limité (de 1 à 3 par an selon la durée de vie de l'animal, hors traitements obligatoires et vaccins), selon la Fédération nationale d'agriculture biologique (FNAB).


S'agissant des viandes Label rouge, « la résistance est moindre » mais lorsqu'elle est présente, « cela concerne les antibiotiques critiques, les plus forts ».


Face à ce constat, l'association de consommateurs demande au gouvernement français de « sacraliser » dans la loi l'engagement de réduction de 25 % de l'utilisation des antibiotiques dans les élevages. Et d'imposer un découplage strict entre la prescription et la délivrance, sachant qu'aujourd'hui bon nombre de vétérinaires prescrivent et vendent les traitements aux éleveurs.


Enfin, dans la cadre des négociations sur l'accord de libre-échange entre l'UE et les Etats-Unis (TTIP), l'Europe doit se positionner clairement contre tout allégement des normes européennes en matière de sécurité sanitaire, que ce soit sur l'antibiorésistance, les hormones de croissance ou la décontamination des carcasses à l'eau de Javel, demande encore l'UFC.

Pauvres poulets qui respirent les chemtrails toute la journée et  bourés d'antibiotiques évidemment qu'ils sont infectés les autres doivent etre elevés en batterie à l'abris la preuve Source: Radio-Canada) Le poulet acheté dans les marchés d'alimentation du Canada est fréquemment contaminé par des bactéries résistantes aux antibiotiques. Le poulet acheté dans les marchés d'alimentation du Canada est fréquemment contaminé par des bactéries résistantes aux antibiotiques. C'est ce que révèle une enquête réalisée par les émissions L'Épicerie de Radio-Canadale ,le probleme est mondial à mon avis comme l'air que l'on respire RJ.



Source © Le Monde.fr avec AFP

19 mars 2014

Aux USA c'est une première, 2 tremblements de terre ont été directement liés à la fracturation hydraulique

gaz-schiste-300x300

image_5

En une année, entre janvier 2011 et février 2012, pas moins de 109 séismes ont été détectés dans les environs de Youngstown, une ville de 70 000 âmes à la frontière de l’Ohio et de la Pennsylvanie, au cœur d’une région riche en gaz de schiste. 

Selon la revue scientifique Journal of Geophysical Research, c’est d’ailleurs un puits de forage de gaz de schiste, Northstar 1, qui a provoqué ces 109 séismes dans une zone où aucun tremblement de terre n’avait été enregistré par le passé. L’étude montre le lien entre la fracturation hydraulique, les injections de liquide à haute pression dans les failles souterraines, et l’activité sismique. Celle-ci a commencé deux semaines après les premières opérations de fracturation. Les secousses se sont arrêtées après la fermeture du puits fin 2011.


« Nous avons constaté que l’apparition, puis la disparition des tremblements de terre étaient liés à l’activité du Northstar 1. Les tremblements de terre étaient localisés dans les failles souterraines près du puits d’injection. Ces secousses sont probablement dues aux eaux usées introduites à haute pression dans la roche, provoquant des glissements », précise l’auteur de l’étude, le sismologue Won-Young Kim, professeur à l’Université de Columbia, cité par le site Enerzine. 


« En 2011, les tremblements de terre ont migré d’est en ouest sur toute la longueur de la faille, une indication qui montre que les tremblements de terre sont causés par l’expansion de la ligne de pression. » Située entre 3,5 et 4 km de profondeur, la grande majorité des secousses étaient des microséismes, d’une magnitude inférieure à 1,8. Mais le plus important a atteint une magnitude de 3,9, donc considéré comme mineur ou léger sur l’échelle de Richter.


Le puits en question appartient à la compagnie pétrolière, D&L Energy Group, basée à Youngstown. La compagnie est également mise à l’index par l’Agence états-unienne de protection de l’environnement (EPA) pour avoir rejeté dans la rivière voisine un mélange de pétrole, de boues de forage et de chlorure de sodium.


  Le 13 mars 2014
les autorités de l'Ohio ont ordonné la fermeture d'un puits de gaz de schiste qui utilisait la technique dite de la fracturation hydraulique ( " fracking " ) dans le comté de Mahoning après que deux tremblements de terre aient été ressentis dans la région tout près de la frontière avec la Pennsylvanie ont indiqué les journaux locaux .

Les tremblements de terre enregistrés ont été estimé de magnitudes 3 et 2,6 sur l'echelle de Ritcher selon le NEIC de l' US Geological Survey . Le ministère des Ressources naturelles de l'Ohio ( ODNR ) a immédiatement ordonné l'interruption des opérations de fracturation sur le site de la socièté "Texas Hilcorp Energy".


" Par prudence , nous avons informé le seul opérateur d'extraction de gaz dans la région, et leur avons ordonné de mettre fin à toutes les opérations de fracturation en cours jusqu'à nouvel ordre". Il y a pour l'instant aucun rapport immédiat de blessures ou de dommages .


Le séisme de magnitude 3 à secoué la région à environ 2 h 26 du matin, il était suffisament puissant pour réveiller certains résidents de la région selon la filiale locale de NBC la WFMJ . l'autre tremblement de terre a été ressenti vers 11h 44


Alison Auciello , organisateur du groupe de l'environnement alimentaire et du Water Watch de l'Ohio , a déclaré à Al Jazeera que l'emplacement et la profondeur des épicentres des derniers tremblements de terre ressentis Lundi sont compatibles avec les lieux des sites de forage ce qui signifie qu'ils peuvent avoir été causé par l'opération de fracturation elle-même.


Les agents de l'État devront évaluer les données complètes avant d'autoriser de nouveau la socièté Hillcorp à continuer ses activités d'extraction dans la région.


" Avant que les entreprises puissent être autorisés à effectuer des opérations de fracturation , les Etats devraient exiger aux entreprises extractices d'évaluer si leurs puits d'extractions sont ou non situés sur une ligne de faille avant de leur accorder un permis , » dit-elle . " Rien dans les règlements actuels de l'État l'exige jusqu'à présent , mais cela pourrait changer avec les tremblements de terre ressentis hier"


Des études récentes ont également mis en évidence les risques environnementaux et de santé publique soupçonnés être associés aux opérations de fracturation .


Une étude menée par l'Associated Press en Janvier a constaté que la pollution de l'eau dans quatre États américains étaient directement liée aux puits d'extractions de pétrole et de gaz , et en a conclu que la pollution était beaucoup plus répandue que l'industrie le reconnaît elle même. 


Une étude de Décembre publié par l'Université du Missouri a démontré que les fluides utlisés lors de la fracturation hydraulique sont des perturbateurs hormonals qui peuvent conduire à la stérilité , à des cancers et à une multitude d'autres problèmes de santé .


L'Environmental Protection Agency (EPA) américaine mène actuellement une étude approfondie sur l'impact potentiel de la fracturation hydraulique sur les ressources en eau , ses résultats devraient être publiés vers la fin de l'année .


© Nature Alerte

16 mars 2014

Lien entre l'Utilisation massive du Roundup de Monsanto et l' intolérance au gluten

1394836880-v6J

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L'intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d'intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d'intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l'intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

 

 

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d'intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l'on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu'il s'agisse d'une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l'étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l'intolérance au gluten. Inhibition d'enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d'effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l'intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l'environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

 

Un article de Manon Laplace, publié par bioalaune.com et relayé par SOS-planete

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpufv

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf

Le nombre de personnes souffrant d'intolérance au gluten augmente constamment. Rien qu'en France, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes. Selon une étude américaine, ces chiffres pourraient être liés à l'utilisation massive du Roundup de Monsanto.

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, toucherait une personne sur vingt en Amérique du Nord et en Europe. Deux scientifiques américains, les professeurs Anthony Samsel et Stephanie Seneff, ont récemment publié les résultats de leurs travaux de recherche sur les cas d’intolérance au gluten, établissant un rapport entre ceux-ci et le Roundup de Monsanto, le pesticide le plus vendu au monde. La forte augmentation du nombre d’intolérants au gluten serait en effet liée au glyphosate, principal composé actif du Roundup, expliquent les chercheurs dans le Journal de la Toxicologie Interdisciplinaire.

La maladie coeliaque se caractérise par l'atrophie des structures de la paroi de l’intestin qui assurent le passage des nutriments dans le sang, les villosités. Elle entraîne alors carences alimentaires, dysfonctionnements du système hormonal, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale ou cancers.

“La maladie coeliaque et, plus généralement, les cas d’intolérance au gluten, sont un problème grandissant à travers le monde, et tout particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, où l’on estime que 5% de la population sont concernés.” rappellent Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Et bien qu’il s’agisse d’une maladie multifactorielle, le glyphosate pourrait en être la cause principale.

À l’étude, des poissons exposés au glyphosate avaient développé des troubles digestifs évoquant l’intolérance au gluten. Inhibition d’enzymes, perturbation de la synthèse des acides aminés aromatiques et carences en fer, cobalt ou cuivre : autant d’effets biologiques connus du glyphosate qui caractérisent l’intolérance au gluten.

Le désherbant avait été classé sur la liste des produits jugés “dangereux pour l’environnement” par les autorités européennes mais reste le pesticide le plus répandu en agriculture traditionnelle.

Source : 
http://sustainablepulse.com/wp-content/uploads/2014/02/Glyphosate_II_Samsel-Seneff.pdf

Rédaction : Manon Laplace

- See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11068/intolerance-au-gluten-monsanto-serait-responsable#sthash.FlxRciGw.dpuf
Publicité
Publicité
16 mars 2014

EUROPE : La mention [nano] figurera-t-elle ou non sur les étiquettes des produits alimentaires fin 2014 ?

nano canalblog chaos controle

Nous avions relayé dans notre lettre VeilleNanos n°8-9 de décembre dernier la volonté de la Commission européenne de restreindre l'obligation d'étiquetage [nano] dans l'alimentation qui était censée entrer en vigueur fin 2014 : le tout récent projet de Règlement délégué de la Commission européenne (publié par erreur dans le Journal officiel de l'Union européenne du 12 décembre 2013) prévoit en effet de retirer l'obligation d'apposer la mention [nano] devant des ingrédients déjà utilisés sous forme nanométrique "depuis des décennies" dans l’alimentation.
Or ce sont surtout les additifs alimentaires que l'on trouve depuis longtemps sous forme nano dans notre alimentation1 - notamment le carbonate de calcium (E170), le dioxyde de titane (E171), les oxydes de fer (E172), l'argent (E174), l'or (E175) ou la silice (E551) - qui suscitent des inquiétudes au vu des incertitudes sur leur innocuité2.
Les exempter d'étiquetage reviendrait donc à vider de sa substance le Règlement INCO et à "violer à la fois la lettre et l'esprit de la loi" et le droit à l'information des consommateurs, selon des députés européens opposés à cette mesure.
Cette tentative de passage en force par la Commission a suscité des réactions et des actions dont nous proposons de retracer ici l'historique et l'évolution (nous mettrons à jour cette page au fur et à mesure de leur progression) :

  • Du côté des Etats membres :
    • le 10 janvier 2014, la délégation française du Conseil de l'Union européenne a demandé la prolongation du délai prévu pour exprimer des objections, afin de permettre au groupe "Denrées alimentaires" de discuter d'éventuelles objections (délai deux mois à compter de la notification, soit avant le 12 février 2014) ; le 17 janvier, le groupe "Denrées alimentaires" a examiné cette question et a décidé d'inviter le Conseil à accorder ce délai supplémentaire3 ; si cette prolongation est approuvée, les gouvernements européens auront jusqu'à avril pour expliquer pourquoi ils considèrent que la modification proposée doit être rejetée.
    • le sénateur français Simon Sutour fait référence à "l'objection formulée en janvier 2014 par la France à l'encontre d'un projet d'acte délégué porte sur l'étiquetage des produits alimentaires, sur des informations que la Commission proposait de ne plus faire figurer sur les emballages" : dans un rapport d'information, il considère que "le fait, pour la Commission, de s'affranchir délibérément des règles fixées par le législateur européen est en lui-même critiquable et doit être fermement dénoncé" 4

 

  • Du côté du Parlement européen :
    • le 5 février 2014, les députés européens de la commission ENVI du Parlement européen (environnement, santé publique et sécurité alimentaire) ont voté une motion de résolution rejetant la proposition de la Commission5 et demandant qu'un ingrédient soit étiqueté [nano] dès lors qu'il comporte au moins 10% de nanoparticules, et non 50% comme prévu par la Commission européenne ; les députés se basent sur l'avis de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA)6 formulé en 2012 et justifié par l’incertitude actuelle sur les risques sanitaires des nanomatériaux. Bilan du vote : 31 voix pour, 23 contre et 2 abstensions ; les verts et les socialistes de la commission ENVI ont fortement soutenu cette motion, alors que des divisions existent au sein des libéraux et du groupe PPE de centre-droit, le plus important du Parlement européen7 ;
    • c'est le 12 mars 20148 (contrairement à ce qui avait été annoncé initialement : entre le 24 au 27 février9) que les eurodéputés voteront la résolution lors d'une session plénière à Strasbourg - où la majorité absolue sera difficile à atteindre .

Mise à jour le 12 mars 2014 : Le Parlement européen a finalement rejeté le projet de Règlement proposé par la Commission.

  • Du côté des associations de consommateurs :
    • le 4 février 2014, l’association française de consommateurs CLCV a adressé au ministre de l’économie français un courrier rappelant que le gouvernement français s’était engagé à "se positionner au niveau européen en faveur de l’étiquetage des produits mis à la disposition du grand public et contenant des substances à l’état de nanoparticules"10. La CLCV "espère que la France veillera à ce qu’une information complète des consommateurs soit garantie quant à la présence d’ingrédients "nanos" dans les aliments"11 ;
    • le 12 février 2014, le Bureau européen des unions de consommateurs (BEUC) a salué le vote de la commission ENVI12 (cf. plus haut).

 

  • Du côté de l'industrie agro-alimentaire :

Les lobbys industriels comme ELC (Federation of European Specialty Food Ingredients Industries) soutiennent quant à eux la position de la Commission européenne, au nom de la confiance des consommateurs, qui pourrait être altérée par la mention [nano] sur la liste des ingrédients13.

http://veillenanos.fr/wakka.php?wiki=Debut2014MajInfoConsommateursNanoAlimentation

16 mars 2014

Tchernobyl: 60% des habitants évacués de Pripiat en 1986 seraient aujourd’hui décédés

pripiat canalblog tchernobyl

Qui a dit que le Nucléaire était dangereux?  Tant qu’il ne se passe rien et que les déchets enfouis ne menacent que les générations à venir, c’est une technologie formidable. Les Ukrainiens et les Japonais n’en reviennent toujours pas.

Paru dans GN4

Selon Mme Tamara Krasitskaya, présidente de l’ONG “Association des Survivants de Tchernobyl”, seuls 19.000 habitants sur les 44.000 évacués dans la précipitation le 27 avril 1986 après l’explosion du réacteur n. 4 de la centrale de Tchernobyl seraient encore vivants aujourd’hui alors que ces derniers devraient statistiquement être au minimum 50% plus nombreux.

 

Pripiat, 4 km de Tchernobyl, 27 avril 1986

La ville de Pripiat était le centre de vie de la centrale Lénine de Tchernobyl, un site démesuré qui employait environ 10.000 travailleurs ; la ville abritait exactement 49360 habitants au moment de la catastrophe, dont 44.000 environ furent évacués en quelques heures dans la matinée du 27 avril 1986, une trentaine d’heures après l’accident.

Ces habitants furent dirigés vers la ville de Kiev, une agglomération de 3 millions d’habitants située une centaine de kilomètres plus vers le Sud, une évacuation qui ne les mettait d’ailleurs pas complètement à l’abri des irradiations et contaminations ultérieures, attendu que l’eau de boisson alimentant cette ville par l’intermédiaire d’un barrage situé entre les deux villes était elle-même contaminée fin 1986 à hauteur de plusieurs centaines à plusieurs milliers de Becquerel de Cs-137 par litre 1.

2013 04 29 17h39 06 thumb Tchernobyl: 60% des habitants évacués de Pripiat en 1986 seraient aujourd’hui décédés

(1) 1 : ville de Pripiat ; 2 : ville de Kiev ; 3 : réservoir artificiel dit “de Kiev”

Une estimation de dosimétrie très grossière évalue la dose absorbée reçue par chaque habitant au moment de l’évacuation à environ 40 à 50 Rads soit 0.5 Gy ou encore une équivalence de dose efficace de 0.5 Sv de radiation Gamma. La dose équivalente à la thyroïde était probablement à ce moment supérieure à 10 Sv et les pastilles d’iode stable avaient été distribuées bien trop tard 2

19.000 rescapés sur 44.000 personnes évacués

D’après Mme Krasitskaya qui faisait elle-même partie des évacués de Pripiat, seuls 45% de la population évacuée serait encore vivants à ce jour, ce qui représente environ 19.000 rescapés sur un échantillon initial de 44.000 personnes.

Dans des conditions sanitaires et sociales normales, et de manière très grossière, le nombre de rescapés sur un échantillon de population similaire devrait d’établir aux environs de 30.000 3.

2013 04 29 17h15 29 thumb Tchernobyl: 60% des habitants évacués de Pripiat en 1986 seraient aujourd’hui décédés

(2) Mortalité en Russie depuis 1986 : environ 13/1000 par année soit 350/1000 pour 27 années

Les survivants âgés de plus de 40 ans sont rares

Toujours d’après Mme Krasitskaya, les survivants de la ville maudite de Pripiat âgés de plus de 40 ans seraient, selon ses dires, très peu nombreux alors que l’espérance de vie moyenne d’un Ukrainien non exposé aux retombées de Tchernobyl se situe aux environs de 70 ans pour un âge médian d’environ 40 ans.

L’aspect sociologique des déplacements de population sur le Taux de Mortalité Brut

Évidemment, il est possible d’évoquer les phénomènes de mortalité non liés directement à la radioactivité ; nous en tiendrons compte afin d’anticiper les objections qui ne manqueront pas de fleurir : nous savons ainsi qu’à Fukushima, environ 600 personnes (principalement âgées, malades ou dépendantes) seraient décédées prématurément suite à l’évacuation réalisée en mars 2011.

Sur une population déplacée de 160.000 habitants et sur le cours d’une période de deux années, cette prise en compte de l’aspect “sociologique” des évacuations ne dépasse pas 2/1000 par an : le compte n’y est simplement pas !

Rien qu’un témoignage parmi d’autres mais mille témoignages honnêtes ne valent-ils pas une dizaine d’études scientifiques contradictoires ?

Bien sûr, me direz-vous, il ne s’agit que du témoignage de Mme Tamara Krasitskaya, présidente de l’association Zemlyaki (Organisation sociale des réfugiés de Tchernobyl). Bien sûr, il ne s’agit pas d’une étude épidémiologique en règle avec son lot de références indiscutables et sa froideur scientifique, factuelle et cruelle.

Pour autant, ce témoignage doit être repris et diffusé car il correspond probablement à l’intimité du ressenti par ce témoin direct d’une des principales catastrophes de notre monde moderne ; loin des débats techniques, cette approche humaine et sincère ne peut être rejetée simplement au motif qu’elle s’éloigne des “critères objectifs” sur lesquels “on” voudrait (je vous laisse apprécier qui se cache derrière le “on”) aligner la totalité de nos débats.

Le processus de domination des “élites”

Les études épidémiologiques concernant la catastrophe de Tchernobyl ne feront jamais la lumière totale sur les conséquences indirectes du drame Ukrainien car certaines sont spécialement commandées pour s’opposer à d’autres, des puissances financières majeures s’efforçant de court-circuiter un nécessaire débat citoyen sur l’atome ; cette discussion représente pourtant une obligation majeure qui n’a jamais été engagée et n’a aucune chance de l’être tant que de tels schémas de domination ne basculeront pas brutalement sur la tranche, de gré ou de force.

Nous avons un espoir : si ce n’est à l’occasion de l’une de ces catastrophes nucléaires, ce sera à l’occasion de la suivante ; les occasions de relancer le débat nucléaire ne disparaitront donc pas aussi rapidement, au prix élevé de quelques milliers à quelques millions de victimes directes et indirectes.

2013 04 29 18h59 12 thumb Tchernobyl: 60% des habitants évacués de Pripiat en 1986 seraient aujourd’hui décédés


Sources :

27 april 2013 meeting with Tamara Krasitskaya – Nuclear News, 28413

Evacuation de Pripyat – Dissident Media

Retour à Tchernobyl – Dissident Media d’après LNO du 2046

My Good Life in Pripyat, the Disaster Caused by Chernobyl… Tamara Dikaya, 2007

Chernobyl Cleanup Survivor’s Message for Japan: ‘Run Away as Quickly as Possible’ – AOL News, 22311

Tchernobyl n’a pas terminé son ouvrage – Courrier International, 21411

Fukushima zéro mort etc. – fukushima blog, 15312

 

  1. Courrier International, 2011 
  2. Environ 24 heures après la première exposition, l’iode stable ne présentant plus d’efficacité 6 heures après l’exposition 
  3. En tenant compte d’un taux de mortalité moyen sur 27 années de 132/10000 pour la Biélorussie, l’Ukraine et plus généralement la Russie 

Source: Gen4, merci à Jean

16 mars 2014

Le Grand Marché Transatlantique : conséquences dans nos campagnes et nos assiettes

 

jorn1

 

l’Union européenne et les États-Unis ont entamé des négociations en vue de conclure un accord commercial bilatéral, le Partenariat Transatlantique de Commerce et d’Investissement (PTCI/TAFTA). Tous les États-membres ont donné mandat à la Commission européenne pour négocier au nom de l’Union cet accord, avec comme seule exception – à relativiser – les services audiovisuels. Même si François Hollande a affirmé début octobre qu’il fera tout pour que l’agriculture soit préservée dans le cadre de ces négociations, l’agriculture n’est pas prévue comme un secteur d’exception.

Ces négociations sont l’aboutissement de plusieurs années de lobbying des groupes industriels et financiers, européens et états-uniens. Le partenariat transatlantique serait un des accords de libre-échange et de libéralisation de l’investissement les plus importants jamais conclus, représentant la moitié du PIB mondial et le tiers des échanges commerciaux. Pour la Commission européenne, qui négocie au nom de tous les pays de l’Union européenne, il s’agit d’aligner le PTCI/TAFTA sur « le plus haut niveau de libéralisation » qui soit [1]. Elle souhaite même ériger l’accord en modèle, avec des conséquences pour tous les pays du monde.

Les négociations à l’OMC, qui ont été le moteur de la libéralisation du commerce notamment agricole depuis les années 90, sont actuellement bloquées. Face à ce constat, les grandes puissances, en particulier l’Union européenne et les États-Unis, se sont engagés dans une stratégie bilatérale et bi-régionale avec leurs partenaires commerciaux. Elles profitent alors d’un rapport de force très défavorable aux pays les plus pauvres, qui permet d’aller encore beaucoup plus loin que dans le cadre de l’OMC pour libéraliser les marchés [2]. Des centaines d’accord de ce type, dont fait partie le Grand marché transatlantique, sont conclus ou en cours. Ils doivent tous être notifiés auprès de l’OMC et permettre selon elle une « libéralisation substantielle de tout le commerce » entre les régions concernées.

Les multinationales européennes ont déployé un lobbying intense en perspective de l’ouverture des négociations du PTCI et ont eu de multiples contacts avec la Commission européenne. Dans le même temps, le public, leurs organisations, les élus n’ont pas accès aux informations de base. Ainsi, le mandat de la Commission européenne n’a pu être connu que grâce à des fuites. Il est impossible à l’heure actuelle de connaître les positions de part et d’autre au fur et à mesure des négociations et selon les sujets. Sans forte mobilisation citoyenne, l’opacité des négociations restera la règle.

L’attaque des droits de douane agricoles [3]

Le mandat donné à la Commission européenne par le Conseil des ministres européen du commerce du 14 juin 2013 [4] appelle à une « réduction substantielle des tarifs douaniers ». Même s’il faut se méfier des comparaisons en termes de droits de douane moyens [5], elles donnent des premières indications. Si ces droits de douane sont en moyenne assez faibles de part et d’autre de l’Atlantique (2% selon le CEPII [6]), ils restent élevés dans certains secteurs. Dans l’agriculture par exemple, les droits de douane moyens s’avèrent, toujours selon le CEPII, de 7% côté Etats-Unis et de 13% côté Union européenne. Selon les produits, ils peuvent dépasser 200%, protégeant ainsi des secteurs hyper sensibles, notamment dans l’élevage. Les droits de douane sont souvent bien plus élevés du côté de l’Union européenne, en particulier sur les céréales, le sucre et les viandes. Par exemple, sur les carcasses congelées de viande bovine, ils s’avèrent plus de quarante fois supérieurs par rapport à ceux des Etats-Unis. Le même type de constat peut être fait sur beaucoup de produits laitiers et même sur les alcools, alors que la Commission avance l’idée qu’on pourrait davantage exporter dans ces secteurs avec une libéralisation des marchés [7].

Les droits de douane permettent à l’Union européenne de se protéger d’un taux de change plus favorable pour les productions états-uniennes. Ils permettent surtout de se protéger vis-à-vis d’une agriculture étatsunienne plus industrielle et plus « compétitive », du fait de la médiocrité des protections sociales et environnementales outre-Atlantique et d’une « restructuration agricole » beaucoup plus importante : une ferme dans l’Union européenne fait environ 13 hectares, contre 170 aux Etats-Unis. Sur 1000 hectares, on emploie 57 personnes dans l’Union européenne contre 6 aux Etats-Unis [8]. Il est faux de dire que l’Union européenne aurait une compétitivité éprouvée pour les produits agricoles et alimentaires : certes, les échanges agricoles sont excédentaires sur les dernières années, mais ils deviennent largement déficitaires si on enlève les boissons et si on inclue les produits de la pêche et les préparations alimentaires. Même FoodDrinkEurope, la Fédération des industries agroalimentaires européennes, conclut ainsi : « Considérant que le niveau tarifaire de la majeure partie des exportations aux USA de produits alimentaires et boissons est déjà tout à fait bas, nous pensons que l’industrie alimentaire et de boissons de l’UE dans son ensemble a relativement peu à gagner à un démantèlement tarifaire » [9].

Que se passerait-il si ces droits de douane étaient démantelés ? Face à la déferlante de produits agricoles américains, notre propre agriculture n’aurait d’autre possibilité que de s’engouffrer encore davantage dans un modèle agro-exportateur néfaste pour l’environnement et l’emploi. La Commission européenne reconnaît elle-même que les États-Unis souhaitent écouler une plus grande partie de produits alimentaires de base comme le blé et le soja (la plupart OGM). Ceci accentuerait encore les déséquilibres commerciaux et le renforcement en Europe du modèle d’alimentation animale maïs-soja, au détriment des prairies et protéines européennes, pourtant bénéfiques pour nos sols et l’environnement. La concurrence accrue aboutirait à la contraction des coûts de production, qui exigerait d’affaiblir les standards environnementaux, alimentaires, sociaux. Elle mènerait très certainement à une concentration des exploitations et à une spécialisation des régions, ainsi qu’à une réduction drastique des emplois agricoles. Les perspectives de promotion des circuits courts, de la relocalisation des activités agricoles et de l’agriculture paysanne seraient considérablement menacées. Un tel accord rendrait caduques les efforts menés par l’UE pour légitimer sa Politique agricole commune autour de pratiques plus agro-écologiques et de produits agricoles d’appellation géographiques et de qualité.

L’introduction d’un nouveau mécanisme, le règlement des différends investisseurs-Etats

Normalement, les accords internationaux ne peuvent avoir d’effet règlementaire « direct » qu’après avoir été traduits dans la législation européenne, par l’Union elle-même. Ils peuvent faire également l’objet de plaintes entre les parties prenantes de cet accord, à savoir les États ou régions comme l’Union européenne. C’est le cas par exemple des accords de l’OMC, à travers des plaintes déposées auprès de l’Organe de règlement des différends et qui aboutissent parfois à des sanctions commerciales.

Mais, de la même façon que l’accord UE-Canada, qui est en passe d’être ratifié, le volet « investissement » du mandat de négociation du PTCI/TAFTA prévoit un mécanisme particulièrement menaçant : le règlement des différends investisseurs-Etats. Ce mécanisme permettrait à des multinationales de poursuivre directement l’Union européenne, des États ou des collectivités locales sous l’argument du non respect de l’accord établi, et ainsi de contester de nombreuses réglementations protectrices des consommateurs ou des économies locales. L’objectif : étendre le champ possible des investissements et « sécuriser » les bénéfices des investisseurs. Des experts « arbitres » délibèreraient alors indépendamment des juridictions publiques nationales ou communautaires.

On trouve de nombreux exemples de plaintes de multinationales dans le cadre d’accords bilatéraux d’investissement déjà conclus. Certains Etats ont ainsi été condamnés à des amendes très dissuasives, se chiffrant souvent en millions, voire en milliards de dollars. C’est le cas de l’Etat canadien, suite à une plainte de la multinationale Lone Pine, dans le cadre de l’accord de libre-échange Canada/États-Unis/Mexique : Lone Pine a demandé 250 millions de dollars de réparation pour des profits qu’elle n’a pu réaliser à cause du moratoire sur l’extraction des gaz de schiste mis en place par le Québec.

Les risques pour les normes européennes sanitaires, environnementales et de bien-être animal Tout porte à croire que les multinationales se saisiront de l’occasion offerte notamment par le règlement des différends investisseurs-États pour faire pression sur les normes sanitaires, environnementales et de bien-être animal. L’ONG américaine IATP et les Amis de la Terre Europe font ainsi état de nombreuses pressions déjà exercées par les multinationales, notamment américaines, auprès des décideurs publics dans le cadre des négociations transatlantiques [10]. Le représentant américain au commerce, Michael Froman, plaide déjà pour que les règlementations européennes s’alignent sur celles qui régissent l’agro-industrie américaine. Les lobbys de l’agro-business américain appellent quant à eux à prendre comme modèle l’accord transpacifique, en cours lui aussi de négociations, car cet accord « contient une partie sur les normes sanitaires et phytosanitaires avec de fortes disciplines allant plus loin que celles de l’OMC » [11]. Ils sont appuyées par certains États-membres européens, comme le Royaume-Uni dont le premier ministre David Cameron a déclaré : « Tout doit être sur la table. Et nous devons nous attaquer au cœur des questions règlementaires, de façon à ce qu’un produit accepté d’un côté de l’Atlantique puisse immédiatement entrer sur le marché de l’autre » [12].

L’Union européenne et les États-Unis présentent en effet de fortes différences de normes sanitaires, environnementales et de bien-être animal. Le risque est grand d’une harmonisation vers le bas. La Commission européenne se positionne d’ores et déjà pour que « les mesures sanitaires et phytosanitaires [SPS] soient revisitées de façon collaborative », de façon à ce que les « SPS de chaque côté soient fondées sur la science et les standards internationaux » et avec l’objectif de « minimiser les effets négatifs des mesures SPS sur le commerce » [13]. Ces formulations font craindre le pire pour le principe de précaution, non reconnu par les États-Unis mais qui figure au contraire dans les traités européens : dans l’Union européenne, ceux qui souhaitent introduire de nouveaux produits ou procédés de fabrication doivent faire la preuve de l’absence de risque. S’il y a controverse scientifique, alors le principe de précaution peut s’appliquer. Au contraire, pour les Etats-Unis, il doit y avoir preuve de la nocivité de ces produits ou procédés, par exemple pour la santé humaine.

Dans l’Union, ce principe de précaution s’applique en particulier aux OGM : ils sont soumis à une procédure d’autorisation, avec une évaluation des risques obligatoire réalisée par la puissance publique. Mais aux Etats-Unis, les produits OGM sont considérés comme « substantiellement équivalents » aux produits nonOGM et ne requièrent pas d’évaluation de ce type. La liste des OGM autorisés à la culture, à l’élevage et à la consommation animale et humaine est ainsi sans commune mesure avec celle de l’Union européenne – laFood and Drug Administration est ainsi sur le point d’accepter la production et la vente de saumon OGM -. Selon l’étude réalisée par le Parlement européen [14], il existe donc des risques importants d’affaiblissement des procédures d’autorisation des OGM importés en Europe, menaçant d’élargir considérablement la liste des variétés autorisées à l’importation – une cinquantaine actuellement, en maïs, coton, soja, colza essentiellement -.

Ces risques pèsent également sur les variétés autorisées à la culture sur le sol européen – pour l’instant, uniquement le maïs MON 810 – et sur les interdictions pures et simples des cultures d’OGM émises par certains États-membres, dont la France. Tous ces risques sont d’autant plus importants que les industries de biotechnologie américaines en ont fait clairement leur objectif numéro un dans les négociations. Enfin, les lobbys industriels comptent affaiblir l’obligation européenne d’étiqueter tout produit non OGM, mais également annihiler les progrès réalisés en la matière d’une trentaine d’Etats américains [15]. L’ensemble des règles visant l’information des consommateurs, par exemple celles relatives à l’origine des produits, sont d’ailleurs visées explicitement par les multinationales, qui espèrent les faire passer pour des entraves au commerce dans l’accord transatlantique.

La volaille désinfectée avec des solutions chlorées fait partie également des quelques sujets majeurs de préoccupation dans cette étude réalisée par le Parlement européen. Les Etats-Unis tentent en effet depuis longtemps d’obtenir la possibilité d’en exporter vers l’Union : tandis que l’Union n’accepte que l’eau pour laver les carcasses de volailles pour des raisons sanitaires, les Etats-Unis autorisent différents produits de traitement contre les pathogènes. Les États-Unis ont déjà contesté cette interdiction d’exportation, qui leur a coûté des centaines de millions de dollars, dans le cadre de l’OMC et d’accords bilatéraux. Les négociateurs américains comptent donc sur l’accord en cours pour faire avancer le sujet.

Des interrogations demeurent également quant à la question du bœuf aux hormones. Rappelons qu’aux Etats-Unis, la plupart du bœuf produit et consommé est traité avec des hormones de croissance. Les ÉtatsUnis et le Canada avaient porté plainte à ce sujet auprès de l’OMC. Celle-ci leur avait donné raison, autorisant des sanctions commerciales. L’accord de 2009 entre Etats-Unis et Union européenne allège ces sanctions en échange d’une augmentation des quotas d’imports de bœuf américain sans hormones par l’Union. Cet accord devrait permettre selon le Parlement européen d’éviter certainement une nouvelle remise en cause dans le cadre de l’accord transatlantique. Mais rien n’est garanti.

D’autres règles publiques d’importance pourraient se retrouver menacées dans cet accord, concernant les résidus de pesticides ou les additifs alimentaires. C’est le cas de l’interdiction dans l’Union européenne de l’usage de la ractopamine, utilisée par contre aux États-Unis dans l’alimentation animale pour stimuler la croissance et en modifier la qualité. La ractopamine apparaît pourtant dangereuse pour le bien-être animal et la santé humaine dans de nombreux articles de recherche, ce qui a amené une très grande majorité de pays dans le monde à en interdire la production et l’importation. Le Codex alimentarius, qui sert de standards internationaux alimentaires, a néanmoins récemment accepté dans ces standards un niveau minium possible de ractopamine, ce qui offre de nouveaux espoirs à l’industrie de la viande dans le cadre des négociations transatlantiques [16]. De même, la California Table Grape Commission vise les niveaux maximums de résidus de pesticides dans les fruits, dont beaucoup sont bien plus faibles en Europe qu’aux Etats-Unis.

En contrepartie, les autorités françaises et européennes soulignent la possibilité d’avancées sur le plan des Indications d’origine protégée, que les autorités états-uniennes pourraient reconnaître et qui permettraient d’empêcher, par exemple, la production de champagne états-unien. Mais rien n’est moins sûr, puisque les acteurs économiques côté États-Unis sont vent debout contre l’introduction de telles règlementations [17].

Des risques pour les normes et l’agriculture paysanne américaines

Edouard Bourcieu, de la direction générale Commerce à Bruxelles, affirmait les intérêts des multinationales européennes en juillet dernier : « N’oublions pas que nous avons aussi des intérêts offensifs à défendre sur le volet agricole, afin de pouvoir exporter plus » [18]. Les ONG américaines soulignent ainsi les pressions exercées par les exportateurs européens, par la voix de BusinessEurope ou des industries agroalimentaires, pour affaiblir le « US Food safety Modernization Act » – lois votées en 2010 visant à prévenir les contaminations alimentaires -, les standards sur la qualité du lait [19] ou encore les lois américaines de protection des mammifères marins, qui induisent des restrictions aux importations. L’Union européenne pourrait également en profiter pour affaiblir certains niveaux de tolérance de présence de pathogènes dans les produits animaux, plus élevés outre-atlantique [20].

Un autre sujet d’importance intéresse les exportateurs européens : les politiques d’encouragement d’achat de produits locaux et plus sains par les écoles ou autres administrations publiques américaines. Ainsi, un programme fédéral encourage les partenariats entre écoles et fermes locales. Le mandat initial de la Commission européenne souligne son souhait de nouvelles règles de marchés publics dans tous les secteurs, menaçant ainsi ce type de politiques publiques et notamment le programme « Buy America », visant la relocalisation des activités.

Une estimation biaisée des conséquences de l’accord

Concernant les conséquences de l’accord, la Commission Européenne s’appuie sur une étude du CEPR(Centre for Economic Policy Research), qui affiche une espérance de 0,21% de PIB d’ici 2027 dans le scénario qui semble le plus réaliste… soit 0,015% de croissance par an. Ces faibles résultats sont très inférieurs à la marge d’erreur du modèle et ne sont pas significatifs. Ils reposent sur des hypothèses éloignées de la réalité des marchés. En outre, les opportunités et les risques pour l’agriculture ne sont pas étudiés : l’agriculture est traitée comme un secteur industriel classique, occultant le fonctionnement spécifique des marchés agricoles [21]. Les impacts sur la sécurité sanitaire et bien d’autres sujets relatifs à l’agriculture et l’alimentation ne figurent pas dans le document final d’évaluation de l’accord de la Commission européenne [22]. Il est donc extrêmement important que d’autres institutions, mais aussi les organisations citoyennes, se saisissent de ces questions, mènent leurs propres investigations et informent le plus largement possible les citoyens sur les effets potentiellement désastreux de cet accord sur le plan social et environnemental.

Notes

[1] Pour une présentation de cet accord par la Commission européenne, voir le lienhttp://ec.europa.eu/trade/policy/infocus/ttip/index_fr.htm

[2] Attac, 2013, «  Guide de navigation pour affronter le Grand Marché Transatlantique  », brochure.

[3] Cette partie s’appuie fortement sur J. Berthelot, «  La folie d’intégrer l’agriculture dans le projet d’accord transatlantique  », note de travail, Solidarité, http://agriculture.eelv.fr/folie-furieuse-dintegrer-lagriculture-dans-laccord-de-libre-echange-transatlantique/.

[5] Les droits de douane moyens ne prennent pas en compte, en effet, les droits de douane préférentiels (pour certains pays en développement et certains produits), ni les différences importantes qu’il peut exister entre lignes tarifaires – il en existe plus de 2000 côté Union européenne concernant les produits agricoles et alimentaires -. Souvent, la moyenne est réalisée sans pondérer en fonction des quantités de produits importés ou pondérés. Et même avec cette pondération, un problème subsiste avec les produits non importés à cause de droits de douane trop élevés – et qui ne comptent donc pas dans le calcul –.

[6] CEPII, «  Les enjeux économiques du partenariat transatlantique  », La lettre du CEPII,www.cepii.fr/PDF_PUB/lettre/2013/let335.pdf

[7] Données 2010 FAOSTAT.

[8] J. Berthelot, Op. Cit.

[10] Friends of the Earth Europe, IATP, 2013, “EU-US trade deal : A bumper crop for ‘big food’  ?”,http://www.foeeurope.org/sites/default/files/foee_iatp_factsheet_ttip_food_oct13.pdf

[14] Policy Department Economic and scientific Policy, European Parliament, Op. Cit., 2013, “Legal implications of the TTIP for the Acquis Communautaire in the ENVI relevant sectors”,

[16] Friends of the Earth Europe, IATP, Op. Cit.

[22] European Commission, Commission Staff Working Document : Impact Assessment Report on the Future of EU-US Trade Relations. Strasbourg, European Commission,http://trade.ec.europa.eu/doclib/docs/2013/march/tradoc_150759.pdf

Source: France Attac

16 mars 2014

Les baleines de l'Océan Austral sont désormais en sécurité. C'est la fin de la chasse pour 2014

1394975350-v7f

Sea Shepherd est fier d'annoncer que la flotte baleinière japonaise a quitté les eaux de la zone du Traité sur l'Antarctique (ATZ), ce qui signifie la fin du braconnage des baleines dans le Sanctuaire Baleinier de l'Océan Austral pour cette année.

Dans la nuit du 13 au 14 mars, vers 2h15 du matin (heure australienne), le signal AIS (Système d'identification automatique) du Nisshin Maru a été capté juste au moment où le navire-usine de la flotte baleinière japonaise allait passer le 60°S. On peut affirmer que le navire se dirige vers le nord à une vitesse d'environ 10 ou 11 noeuds, et qu'il est en route pour le Japon où il devrait arriver dans trois semaines environ.

Depuis que le Nisshin Maru a été vu pour la dernière fois le 2 mars, alors qu'il était en fuite, le Bob Barker et le Steve Irwin ont patrouillé dans les seuls secteurs où les conditions météo de cette fin de saison restaient suffisamment bonnes pour les braconniers. Pendant ce laps de temps, le Nisshin Maru n'était accompagné que par un seul bateau harponneur, ce qui a encore réduit ses capacités, en plus des problèmes d'une saison déjà désastreuse.

 

 

Mardi, le Yushin Maru N° 2 et le Yushin Maru N° 3 ont cessé de filer les navires écologistes de Sea Shepherd, ce qui indique qu'ils commençaient à manquer de carburant et qu'ils n'étaient plus capables de les suivre. Le Bob Barker et le Steve Irwin ont alors mis cap au nord vers la limite de l'ATZ, pour repousser le Nisshin Maru hors du sanctuaire baleinier.

En dix années de campagnes de Sea Shepherd pour la défense des baleines en Antarctique, c'est la première fois que les baleiniers activent leur AIS alors qu'ils se trouvent encore sur les terrains de chasse qu'ils se sont attribués. Jusqu'à présent leur position était tenue secrète pour éviter l'interception par les navires de Sea Shepherd.

Le capitaine du Steve Irwin, Siddharth Chakravarty, dit: "En faisant connaître leur position et leur intention de rentrer au Japon, les baleiniers manifestent une certaine lassitude. Ils veulent éviter de voir Sea Shepherd se remettre à leur poursuite, ce qui les obligerait à naviguer dans la mer forte attendue dans l'Océan Austral avec des creux de dix mètres, et l'embarras de se voir une fois de plus repérés par nos navires. Par conséquent ils n'ont pas eu d'autre choix que de repartir et de renoncer à chasser. Je suis très fier de notre travail, pendant toute la saison nous avons forcé les baleiniers à fuir, entravant leur chasse illégale."

 

 

Depuis le 5 janvier, date à laquelle la flotte de Sea Shepherd a localisé les braconniers pour la première fois, nos navires ont poursuivi activement les baleiniers japonais, localisant le Nisshin Maru à quatre occasions différentes en trois mois, ce qui est un record. L'activité de la flotte baleinière a été entravée par la poursuite continuelle de Sea Shepherd, qui a pu prendre deux fois les baleiniers en flagrant délit de dépeçage de baleines de Minke, une espèce protégée, tuées illégalement dans les eaux du Sanctuaire Baleinier de l'Océan Austral.

C'est la première fois que la flotte de Sea Shepherd reste dans l'Océan Austral aussi tard dans la saison pour intervenir contre les activités illégales des baleiniers.

Le capitaine du Bob Barker, Peter Hammarstedt, a déclaré: "Le départ tardif de la flotte baleinière témoigne du fait que leur saison a été désastreuse à cause de Sea Shepherd. Malgré la détérioration des conditions météo, ils ont préféré pousser jusqu'à la deuxième semaine de mars plutôt que de nous affronter. Avant le début de cette campagne, nous avions promis à nos clients, les baleines, et à tous nos sympathisants dans le monde, de repousser ces braconniers loin des eaux des baleines. Nous avons tenu cette promesse. Nous sommes implacables."

 

 

Le Sam Simon est arrivé samedi à son port d'attache de Williamstown, à Melbourne, où il a été accueilli en héros. Le Bob Barker est maintenant en route pour Wellington. Le Steve Irwin va rentrer à Hobart pour faire honneur au Président de Sea Shepherd et co-directeur de campagne de l'opération Relentless, Bob Brown. Les deux navires sont attendus autour du 22 mars.

Sea Shepherd reste la seule organisation qui s'engage pour faire respecter l'intégrité du Sanctuaire Baleinier de l'Océan Austral, en intervenant directement contre la chasse illégale de la flotte baleinière japonaise.

 

Un article de seashepherd.fr, relayé par SOS-planete

16 mars 2014

L’extrait de pépins de pamplemousse "Une substance extraordinaire"

Un incroyable antibiotique, d’une simplicité biblique

Comme on peut le lire dans le livre Secrets et Merveilles du Pamplemousse (aux Ed. Médicis), l’un des nombreux ouvrages qui ont été consacrés au sujet depuis le début des années 90, l’’huile de pépin de pamplemousse a un effet équivalent ou supérieur aux antibiotiques et antimycotiques les plus puissants. Cela a été prouvé par des équipes de recherches internationales lors de tests comparatifs.
L’EPP présente de plus une action rapide, sans affaiblir le système immunitaire (au contraire, il le soutient).
Avant de l’utiliser, rappelez-vous qu’il s’utilise toujours dilué et qu’il doit être évité sur les yeux.

En usage interne, il est efficace aussi bien en prévention qu’en traitement d’attaque pour toutes les infections, particulièrement :

- See more at: http://www.alternativesante.fr/extraitpepin-de-pamplemousse/#sthash.ebg07o6n.dpuf

Un incroyable antibiotique, d’une simplicité biblique

Comme on peut le lire dans le livre Secrets et Merveilles du Pamplemousse (aux Ed. Médicis), l’un des nombreux ouvrages qui ont été consacrés au sujet depuis le début des années 90, l’’huile de pépin de pamplemousse a un effet équivalent ou supérieur aux antibiotiques et antimycotiques les plus puissants. Cela a été prouvé par des équipes de recherches internationales lors de tests comparatifs.
L’EPP présente de plus une action rapide, sans affaiblir le système immunitaire (au contraire, il le soutient).
Avant de l’utiliser, rappelez-vous qu’il s’utilise toujours dilué et qu’il doit être évité sur les yeux.

En usage interne, il est efficace aussi bien en prévention qu’en traitement d’attaque pour toutes les infections, particulièrement :

- See more at: http://www.alternativesante.fr/extraitpepin-de-pamplemousse/#sthash.ebg07o6n.dpuf

Un incroyable antibiotique, d’une simplicité biblique

Comme on peut le lire dans le livre Secrets et Merveilles du Pamplemousse (aux Ed. Médicis), l’un des nombreux ouvrages qui ont été consacrés au sujet depuis le début des années 90, l’’huile de pépin de pamplemousse a un effet équivalent ou supérieur aux antibiotiques et antimycotiques les plus puissants. Cela a été prouvé par des équipes de recherches internationales lors de tests comparatifs.
L’EPP présente de plus une action rapide, sans affaiblir le système immunitaire (au contraire, il le soutient).
Avant de l’utiliser, rappelez-vous qu’il s’utilise toujours dilué et qu’il doit être évité sur les yeux.

En usage interne, il est efficace aussi bien en prévention qu’en traitement d’attaque pour toutes les infections, particulièrement :

- See more at: http://www.alternativesante.fr/extraitpepin-de-pamplemousse/#sthash.ebg07o6n.dpuf

Un incroyable antibiotique, d’une simplicité biblique

Comme on peut le lire dans le livre Secrets et Merveilles du Pamplemousse (aux Ed. Médicis), l’un des nombreux ouvrages qui ont été consacrés au sujet depuis le début des années 90, l’’huile de pépin de pamplemousse a un effet équivalent ou supérieur aux antibiotiques et antimycotiques les plus puissants. Cela a été prouvé par des équipes de recherches internationales lors de tests comparatifs.
L’EPP présente de plus une action rapide, sans affaiblir le système immunitaire (au contraire, il le soutient).
Avant de l’utiliser, rappelez-vous qu’il s’utilise toujours dilué et qu’il doit être évité sur les yeux.

En usage interne, il est efficace aussi bien en prévention qu’en traitement d’attaque pour toutes les infections,

- See more at: http://www.alternativesante.fr/extraitpepin-de-pamplemousse/#sthash.ebg07o6n.dpuf

pamplemousse-et-medicament-attention-danger


 

 Les multiples secrets de l’Extrait de pépins de pamplemousse

 

Surprenant :

 Un physicien fait une découverte en jardinant, Jacob Harich vit en floride, il est médecin physicien, immunologiste et Prix Einstein. A ses heures perdues il devient jardinier, et en 1980, il remarque que les pépins de pamplemousse ne pourrissent pas sur son tas de compost.

Immédiatement, il reproduit l’expérience en laboratoire et découvre rapidement que les graines de pamplemousse recèlent une substance non nocive aux propriétés particulièrement intéressantes et puissantes.
Depuis, de nombreux laboratoires étudient les vertus de l’extrait de pépins de pamplemousse et il fut mis en évidence un incroyable spectre d’action sur les champignons, les levures et divers parasites.

L’extrait de pépins de pamplemousse est la solution à beaucoup de désagréments grâce à sa richesse en bioflavonoides (diosmine, hespéridine.), et vitamine C qu’il contient.

 Son efficacité est valable dans bien des domaines :

  • - Augmente la résistance de l’organisme.
  • - Soutient le métabolisme.
  • - Idéal lors de changement de saison pour rester en forme.
  • - Anti-bactérien naturel.

  Usage interne de l’extrait de pépins de pamplemousse :

L’extrait de pépins de pamplemousse est très efficace comme traitement des dysfonctionnements intestinaux et des rhumes. Il peut être pris avec d’autres compléments alimentaires (acerola, digestransit, levure de bière, magnésium) naturels et peut même soutenir les effets d’autres plantes médicinales.

  • Angine,
  • Candida albicans,
  • candidose, Gastrites,
  • Infections gastro-intestinales,
  • infections du système digestif,
  • Inflammations en général,
  • Laryngite,
  • Refroidissements,
  • Rhumes et grippe,
  • tous problèmes dus à des champignons,
  • Toux,
  • ulcères (hélicobacter pylori).

*Usage externe de l’extrait de pépins de pamplemousse :

 - Bouche :

  • maux de bouche,
  • aphtes, lèvres gercées,
  • herpès labial, maux de dents,
  • gingivite,
  • désinfection de la brosse à dents,
  • dissoudre le tartre,
  • hallitose (mauvaise haleine).

 - Nez - Oreilles - Visage :

  • Rhume,
  • rhinite,
  • sinusite,
  • pharyngite,
  • toux,
  • enrouement,
  • laryngite,
  • maux d’oreille,
  • hygiène des oreilles,
  • inflammation de l’oreille moyenne,
  • acné,
  • boutons,
  • impuretés de la peau,
  • rasage
  • etc.

 - Cheveux :

  • Shampooing traitant,
  • pellicules,
  • démangeaisons du cuir chevelu,
  • eczéma et diverses irritations du cuir chevelu,
  • poux de tête
  • etc.

 - Peau :

  • Petites coupures,
  • égratignures,
  • petites brûlures,
  • éruptions cutanées,
  • dermatite,
  • piqûre d’insecte.

**Il participe grandement à la guérison de :

  • psoriasis,
  • zona,
  • eczéma sec,
  • urticaire,
  • ulcère variqueux sur les jambes,
  • verrues,
  • mycose.

 - Pieds :

  • Eczéma des orteils,
  • hyper sudation (transpiration excessive),
  • durillons,
  • cors,
  • cals,
  • verrues plantaires,
  • ampoules
  • etc.

 - Ongles :

  • Onychomycose,
  • panaris.

 - Organes génitaux :

  • vaginite,
  • infections vaginales à germes divers,
  • parasites du vagin,
  • soins des organes génitaux,
  • maladies des organes génitaux masculins.

A TITRE PRÉVENTIF :

En voyage, en camping et lors de randonnée ayez toujours avec vous le flacon d’extrait de pépins de pamplemousse (EPP), il pourra vous être très utile. Dans les pays où l’eau et la nourriture ne sont pas toujours fiables : 10 gouttes diluées dans le verre d’eau tous les jours pour prévenir l’installation de parasites, vers, etc.

 Une efficacité confirmée

"Aujourd’hui, de nombreux médecins ont déjà acquis une expérience reposant sur plusieurs années d’utilisation de cet extrait de pépins de pamplemousse qu’ils prescrivent notamment contre les maladies gastriques ou intestinales, des infections liées à des levures pathogènes, des rhumes, des infections de la gorge, du nez et des oreilles, des dermatomycoses, des gingivites et des vaginites.

 Autre domaine d’application très importante :

l’extrait de pépins de pamplemousse intervient en tant que soutien du système immunitaire et protection contre la prolifération des infections chez les malades présentant les symptômes d’une déficience immunitaire chronique comme le Sida, la fatigue permanente ou les candidoses.

Pour le Docteur Léo Galland : "Une substance extraordinaire"

"Cette substance particulière est extraordinaire. Nous ne savons pas exactement à quoi ses effets sont liés, mais elle s’applique sans le moindre effet secondaire.

Elle a l’immense avantage d’être très sure" Tels sont les propos du Docteur Leo Galland, médecin généraliste new-yorkais, qui prescrit cet extrait depuis sept ans à ses patients et qui a publié divers rapports concernant son action sur la levure Candida.

Le Docteur Louis Parish, chargé de mission du ministère américain de la santé et de la FDA (Food and Drug Administration), a traité quant à lui, un grand nombre de patients présentant des dysfonctionnement intestinaux :

[( "L’extrait de pépins de pamplemousse déclenche une régression plus forte des symptômes que n’importe quel autre traitement" )]

(Tiré du livre : Secrets et merveilles du pamplemousse)

http://www.amessi.org/extrait-de-pepins-de-pamplemousse-et-ses-bienfaits#autre_domaine_d_application_tres_importante

Publicité
Publicité
Publicité