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rusty james news

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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
2 mars 2014

Les reptiliens Égyptiens et la magie incubatoire : révélation sur les créateurs des pyramides.

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John Lash, dans son étude, dresse un parallélisme entre les "planeurs " de Castaneda et les Archontes de la tradition gnostique. Selon Castaneda, ces entités parasites qui nous ont infiltrés ont conféré à notre esprit son côté routinier, répétitif, maniaque, peureux, avide, violent, calculateur : "les prédateurs ont remplacé notre esprit par le leur qui est bizarre, incohérent, grincheux et hanté par la peur d’être percé à jour" (Carlos Castaneda, Le Voyage définitif). Les Archontes qui ont aussi certaines de ces caractéristiques selon les textes gnostiques, ont cette obsession de rester cachés et de ne pas être découverts. Nigel Kerner que nous avons longuement interviewée en 2004 évoque, tant dans l’entretien qu’il nous a accordé que dans son livre "The Song of the Greys", l’héritage que nous ont légué les Short Greys, les extraterrestres gris. D’abord, Kerner les compare à des coquilles vides, des robots, mais aussi des clones, des drones explorateurs qui ne sont plus que le pâle reflet complètement déconnecté de leur « Être Premier » (Prime Being), l’entité qui les a créés il y a bien longtemps. Par le biais de plusieurs interceptions génétiques (d’où les innombrables récits d’enlèvements extraterrestres contemporains ou plus anciens quand ils étaient perçus comme des démons et des succubes par exemple), les Gris auraient inséré dans notre patrimoine génétique des caractéristiques qui font de nous des êtres hybrides, mélange d’homme et de Gris.

Le récit Anton parks est très romancé, comme d'habitude dans un but unique et toujours la même que çà en devient tristement prévisible pour le sceptique que je suis,c'est en effet de remplacer Dieu et sa création, en orientant le lecteur vers une piste bien pratique : les extraterrestres, mais son jamais répondre à la question qui a créé les extraterrestres et la réponse est Dieu donc revenons a ces prétendus extraterrestres qui ne sont que des êtres polymorphes qui hantent vos nuits et se joue des satanistes ont leur demandant toujours plus de sacrifice,alors qu'en fait ils ne font qu'accentuer leur perdition, oui les génie les flyers ou archontes sont en fait des Djinns et comme il est précisé dans les livres saints "ils peuplaient la terre avant les hommes et ces djinns ont eu des recours a la manipulation génétique et aux clonages. Ce sont eux les civilisations atlantes ils vivent dans des villes en dessous la terre,  et ont un développement scientifique qui va au delà de l'imagination humaine.

les prophètes ont visité leur monde ,il est bien réel, il existe un homme en irak qui travaille avec eux et fera  l'objet d'un prochain sujet ,....Cet homme est prisé par tous les présidents du monde on lui fait des ponts d'or pour qu'il s'expatrie , mais il a déclaré je veux rester dans mon pays pour aider son peuple à sortir des ténèbres dans lequel il se trouve .......

 

D'ailleurs quand on comprendra que l'échange des connaissances de leur monde aux initiés, leur a permis de régner en maître sur terre de Babylone à nos jours l'alliance de nos ancêtres les rébus de l'humanité descendant de cain se sont allies a Satan et mirent un plan très ingénieux celui de contrôler la destiné de l'humanité pour s'assurer de la rébellion totale des humains contre leur créateur et les moyens sont facilement identifiables tous les scientifiques membres de loges franc maçonnes ont participé à l'illumination des hommes de la gnose luciférienne dans un but bien précis,celui de corrompre les valeurs humaines, destruction des religions,libération des moeurs, et falsification de l'histoire de la création par le darwinisme et la corruption du culte religieux avec l'Église catholique romaine, non-Mr parks les reptiliens ne créent pas les humains.

pyr6Pratique incubatoire ?

un fait resté sans écho par Mr parks , il ya 1400 on nous a révélé l'existence de ces extraterrestres on les appeler les bâtisseurs ce fait est la clef sur les pyramides et tous les artefacts à travers la planète  trois petits versets qui disent tout lisez :

De même que les djinns, bâtisseurs et plongeurs de toutes sortes.du cuivre, etc.. Et d’autres encore, accouplés dans des chaînes. “Voilà notre don ; distribue-le ou retiens-le sans avoir à en rendre compte”.} (38/36-39)

 

Et parmi les djinns il y en a qui travaillaient sous ses ordres, par permission de son Seigneur. Quiconque d’entre eux, cependant, déviait de notre ordre, nous lui faisions goûter le châtiment de la fournaise. Ils exécutaient pour lui ce qu'il voulait : sanctuaires, statues, plateaux comme des bassins et des marmites bien ancrées.} (34/12-13) le plus bel ouvrage réaliait par ces génies est le temple de Salomon avec le sol en cristal pure que lorsque la Reine de Sabah foula le sol du palais elle releva sa robe decouvrant ses jambes croyant marcher dans de l'eau, confuse elle s'excusa de cette impudeur devant Salomon ......( Salomon demanda a dieu de lui permettre de construire un temple d'une beauté jamais égalé sur terre alors les génies batisseurs furent assujetis à sa construction .........)

 

Et parmi les djinns il en était qui plongeaient pour lui et faisaient d’autres travaux encore,et nous les surveillions nous-mêmes.} (21/81) le temple de Salomon fut bâti par les djinns que Dieu avait assujettis à Salomon.

Des Familles (Rothschild, Rockefeleer,etc..) détiennent une connaissance tenue secrète, depuis le début de l’humanité.

Elles ont eu ce privilège, grâce à leur soumission à certains dJinns "savants". (Avec à leur tête Ibliss)

Ce sont ces Jinns qui ont été les maitres bâtisseurs de tous ces édifices !

Voilà pourquoi, toutes les caractéristiques de la pyramide de Gizeh sont encore aujourd’hui un modèle ! (Obélisque Paris, Washington, Plan de la ville, pyramide sur le $ US, etc..). cette secte “Illuminati" à pour religion la divinisation de ces Jinns et en échange ils ont accès à toute une série de connaissances qui leur fournissent un avantage sur tout le reste de l’humanité.Cette religion est un mélange de Kabbale, New Age,

...Ils ne peuvent pas vous dire Dieu existe et le diable aussi et nous le servons vous courriez immédiatement lire les livres et vous convertir en masse,alors ils ont remplacé la vérité par le roman extraterrestre très facile a mettre en scène  par Hollywood........... une diversion. de plus relayée par des reptiliens eux-mêmes comme icke et tant d'autres si vous entendez nous avons été créés par des extraterrestres, vous reconnaîtrez le serviteur du serpent,je regrette de devoir dire çà au risque de blesser certain, entre nous depuis quand on nous dit la vérité sur terre ? Jamais, elle a toujours été combattu et tue, pour contrôler le monde et le maintenir dans l'ignorance, quels ne sont les slogans du 21e siècle ? Divertissez-vous, amusez-vous, la vie est courte, un monde matérialiste qui bloque tout quête spirituelle et ce serait çà la vérité...... foutaise

pour finir avec l'origine des reptiliens

Ils ont juste fait multiplier leurs progénitures aux quatre coins du monde, certains se mélangèrent aux hommes et devinrent les rois et les dirigeants de nos jours... le sang bleu. La preuve est là devant vos yeux sur tous les blasons et les sigiles et logo à travers le monde. regardez le symbole dans la maison de Berlusconi

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2 mars 2014

BI polaire : le machiavélisme de Big Pharma, qui médicalise à outrance nos émotions.

Très grandepsychiatrie chaos controlé

La maladie bipolaire, ou trouble bipolaire, a le vent en poupe.

Curieuse formule pour une pathologie mentale… Evidemment, mais être bipolaire, c’est très tendance, et ça peut vite vous tomber dessus.

En 2014 ce trouble caracole en tête des diagnostics de santé mentale.

Le terme déjà (belle invention marketing) est bien plus élégant, bien plus valorisant que celui de « maniaco-dépression » ou de « psychose maniaco-dépressive » qu’il a remplacé.

Et à travers ce changement de dénomination, la définition médicale a tellement été élargie qu’il suffit parfois de souffrir de simples sautes d’humeur, de légère dysthymie, d’anxiété, d’irritabilité ou de dépression répétée mais légère pour être condamné à vie à de lourds traitements.

A en juger par les courriers que nous recevons, beaucoup d’entre vous sont confrontés à cette maladie, inquiets à la suite d’un diagnostic, affolés à l’idée de prendre à vie des pilules indésirables. Vous nous demandez des conseils, des solutions naturelles que l’on dit inexistantes.

Certains dénoncent le machiavélisme de Big Pharma, qui  médicalise à outrance nos émotions. La psychiatrie est maintenant le 1er marché pharmaceutique aux Etats-Unis.

Mais nombre d’entre vous expriment aussi une vraie souffrance, poignante. Car même si ce déséquilibre thymique est surévalué, surexploité, quand la maladie de l’humeur se déclare vraiment, c’est un calvaire qui commence.

On ne va pas forcément plus mal sans médicament

Alors entre mensonges et réalités, comment s’y retrouver, comment se soigner au mieux quand on est réellement touché ?

Pour cela, il est essentiel de connaître la « vraie » maladie bipolaire, et de savoir la reconnaître.

Pour cela, la vigilance s’impose face aux « stabilisateurs de l’humeur », « psychorégulateurs », « thymorégulateurs »… lithium, carbamazépine, acide valproïque et autres remèdes dérivés des médicaments inventés il y a 60 ans pour la schizophrénie, et que l’on prescrit au tout venant.

Il existe des moyens naturels permettant de juguler la maladie, d’en atténuer les symptômes et sinon de la faire reculer, au moins de la stabiliser. De toute façon les drogues dures (ces fameux stabilisateurs) ne font pas mieux : elles détruisent la santé à petit feu et entretiennent une autre forme de folie.

C’est un peu comme après une lourde chimiothérapie : la maladie est anéantie, et le patient avec…

Si vous êtes confronté à ce diagnostic, vous pouvez parfaitement décider de vous éviter ces ennuis. Si vous êtes déjà sous traitement, vous pouvez décider de les réduire progressivement et de sortir de l’abrutissement.

Vous avez toujours la liberté de décider d’aller mieux sans ces drogues ! Sauf  dans les cas graves, vous n’irez pas plus mal !

La maladie du tout Hollywood

Aux Etats-Unis les « coming out » de stars se succèdent sur les networks : « Je suis bipolaire. J’ai des hauts et des bas et je suis sous traitement ».

Britney Spears, Jim Carrey, Stephen Fry ou Mel Gibson sont bipolaires. Comme l’actrice Catherine Zeta-Jones, l’égérie de cette maladie.

Catherine Zeta-Jones joue son rôle à merveille. En avril 2011, elle décide de se faire hospitaliser pour ce trouble déclenché selon elle par le stress consécutif au cancer de la gorge de son Michael Douglas de mari. Depuis elle répète à l’envi : « Si ma révélation d’être bipolaire peut encourager les gens à demander de l’aide, alors cela vaut la peine »…

Bien avant elle, le chanteur Sting, avait chanté « Lithium sunset », une ode à la gloire du lithium, le premier médoc à s’être attaqué au mal : «… Je vais mieux, je sens votre lumière sur mon visage. Guéris mon âme, ô Lithium coucher du soleil »

Et la mode a pris chez nous. En 2010, le comédien Benoît Poelvoorde s’est confessé publiquement : « Je suis bipolaire comme pas mal de monde ».  D’autres vedettes ont suivi et l’épidémie galope tandis que les forums de « bipotes » font florès sur le Web.

Une aubaine publicitaire pour l’industrie des thymorégulateurs.

5 millions de Français bipolaires, mon œil !

Selon les chiffres officiels, cette maladie toucherait en France près de 2 millions de personnes. Et on estime que 10 millions de personnes, soit 1 Français sur 6, en souffrent directement ou par l’intermédiaire d’un proche (cette maladie perturbe tout l’entourage).

Mais si l’on prend en compte comme certains experts les troubles apparentés, telles la cyclothymie ou la dysthymie, c’est au moins le double de personnes qui sont touchées, soit près de 5 millions… On peut même vous déclarer « bipolaire monopolaire » (sic), ce qui est arrivé à l’un de mes amis qui souffre de dépression chronique.

5 millions, mon œil ! Vu les conséquences du stress de nos vies trépidantes et émotionnellement chargées, le médecin généraliste (formé en la matière par les labos) a vite fait de vous diagnostiquer un petit travers « bipolaire ». Mais rassurez-vous, il y a 80% de chances que ce diagnostic soit faux. Même les psychiatres n’en peuvent plus, qui sont de plus en plus nombreux à s’élever contre ce qu’ils qualifient d’« impérialisme bipolaire ».

Une « épidémie » créée de toute pièce par les labos

La maladie bipolaire est un ensemble de syndromes (catégorie « fourre-tout » par définition) qui a été créée et peu à peu élargie par les labos, via le DSM.

Les sains d’esprit sont des malades qui s’ignorent…C’est le postulat de travail de l’APA, l’Association psychiatrique américaine, l’organisation la plus influente dans le monde de la santé mentale. Son fameux DSM, « Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders » (je vous en ai déjà parlé ici) énumère un demi-millier de troubles et ne cesse d’élargir les critères des maladies mentales de sorte que tout le monde est à peu près concerné.

C’est sous l’influence de l’APA (dont l’indépendance des experts vis-à-vis des labos a maintes fois été mise en cause) que le Prozac a révolutionné la santé mentale, que l’OMS nous parle d’une « crise mondiale » de dépression et recommande toujours sa molécule, la fluoxétine, comme traitement.

C’est par la même supercherie de cette organisation psychiatrique (via le DSM IV de 1994 révisé en 2000) que le chiffre officiel des bipolaires (comme des enfants hyperactifs, des autistes, etc.) a bondi ces dernières années.

Qu’est-ce que la (vraie) maladie bipolaire ?

Nous avons tous des variations de l’humeur, des sautes d’humeur, des hauts et des bas. Des « jours sans » aussi. Et il arrive parfois que sur des périodes plus longues, une semaine voire dix jours, nous soyons en forme ou à l’opposé, las et fatigués. Ce peut être dû à la saison, à une période difficile au niveau professionnel, affectif ou social, mais il arrive que nous ne trouvions pas d’explication à ces modifications. Au fond, nous sommes tous maniaco-dépressifs comme disait Ronald Fieve qui fut l’un des premiers à s’intéresser à cette maladie. L’industrie pharmaceutique l’a pris à la lettre !

La réalité, c’est que chez un vrai bipolaire, ces hauts et ces bas ressemblent à des montagnes russes tant ces changements d’humeur prennent une ampleur démesurée. On perd le contrôle de sa vie, réduite à une courbe sinusoïdale. On est pris en tenaille entre deux pôles extrêmes et opposés, la dépression la plus noire et l’exaltation la plus vive.

Les périodes difficiles, durant lesquelles tristesse et désespoir dominent, peuvent durer des mois. On se sent bon à rien. Puis suivent, à l’opposé, des périodes d’euphorie, d’excitation (manie ou hypomanie) : tout s’accélère, la pensée, les projets, les actions. On se sent si bien et tout puissant.

Quand ces deux extrêmes s’alternent périodiquement, c’est la maladie, une maladie handicapante souvent porteuse de graves conséquences : divorces, licenciements, faillites personnelles, ennuis judiciaires parfois, suicides…

Comment être sûr(e) du diagnostic ?

Dans son expression la plus virulente, quand les hauts et les bas s’enchaînent diaboliquement, le diagnostic du trouble est facile.

Mais en phase débutante ou atténuée (cas le plus fréquent), la maladie bipolaire n’est pas facile à cerner. La limite entre les hauts et les bas d’une vie ordinaire et des hauts et des bas plus accentués est mince.

De l’aveu même des psychiatres spécialisés, il faut du temps pour trancher. Cela ne se fait pas en une ou deux consultations. Il faut des mois et parfois des années pour distinguer une légère hypomanie d’un état de bien-être non pathologique.

Votre généraliste vous déclare bipolaire parce que vous êtes régulièrement déprimé(e) ou excité(e) ? Donnez-vous du temps… Allez voir un psychiatre et revenez consulter ce dernier, surtout quand vous n’en éprouvez pas le besoin parce que « tout va bien »… Ce « tout va bien » peut masquer une phase hypomaniaque et il n’est pas rare de tomber dans le déni (on se sent si bien en phase « haute ») en se croyant simplement dépressif chronique.

Avant de se prononcer, un bon thérapeute vous suivra donc dans le temps. Et il vous demandera de venir accompagné d’un proche à qui il demandera de vous inciter à prendre contact avec lui s’il détectait chez vous cette tendance à la super forme. Car autant l’esprit détecte facilement la dimension pathologique de la dépression, autant il reste comme aveugle face au dérèglement hypomaniaque.

Artistes et décideurs sont les premiers touchés

Il n’existe pas de profil prédisposant à la maladie, à l’exception d’une catégorie de population : les décideurs, les artistes, les grands génies, quels que soient leurs domaines d’activité, sont 10 à 20 fois plus touchés.

On comprend mieux leur manie d’arborer cette affection comme un signe distinctif (au contraire de la dépression « monopolaire », toujours honteuse)…

Berlioz, Rossini… Ray Charles, des écrivains comme Balzac, Baudelaire, Victor Hugo, Hemingway, des peintres comme Gauguin, Munch, Van Gogh ou Marylin Monroe et Francis Ford Coppola dans le cinéma ont souffert de ce trouble. La liste est longue. Et tout le monde connaît « Dr Jekyll et Mr Hyde » mais ignore que l’écrivain Robert Louis Stevenson s’est probablement inspiré de son mal pour ce récit.

Gérard Garouste, l’un de nos peintres contemporains, connu pour avoir décoré l’Elysée, est aussi sévèrement maniaco-dépressif. Dans son autobiographie, « L’intranquille », il raconte avec force et lucidité sa souffrance, ses délires et ses dépressions, ses séjours en hôpital entre deux éclaircies, et comment la maladie l’a poussé vers la peinture. Il écrit aussi : « Etre heureux est dangereux pour moi »

De grands hommes d’Etat étaient maniaco-dépressifs, nous dit-on :  Napoléon, Lincoln, Roosevelt, Churchill. La liste là aussi est longue.


 »On peut se demander si cette maladie ne serait pas une forme de sélection génétique d’une sous-population nécessaire à toute société, puisque c’est celle qui fournit les aventuriers, les bâtisseurs, les créateurs… ». Je l’ai lu dans un ouvrage sérieux.  L’auteur y va fort mais cette prédisposition peut aussi s’expliquer simplement.

Le « tiercé perdant » pour tomber malade

Les artistes, les créateurs, les leaders d’opinion, les dirigeants, vivent de fortes phases d’excitation, expérimentent l’ivresse du pouvoir ou de la création et ont souvent des rythmes de vie saccadés.

Ils sont aussi exposés à des comportements excessifs. Ce sont là typiquement des conditions qui font le lit de la maladie.

Le trouble bipolaire a plusieurs origines. Trois domaines sont déterminants : la biologie (une vulnérabilité génétique disent les psy mais j’ajouterai aussi sûrement un organisme malmené par l’alimentation), la psychologie (une personnalité fragile, hypersensible), et les évènements de la vie (traumatismes psychologiques). Il faut aligner ce « tiercé perdant » pour tomber malade, une faiblesse dans un ou deux de ces domaines ne suffit pas. C’est une maladie très moderne car multifactorielle et liée au culte de la performance. Pas étonnant qu’elle flambe.

Voici quelques facteurs qui favorisent la survenue du trouble bipolaire :

-       Un tempérament passionné,

-       Une nature excessivement énergique,

-       L’ivresse de la création ou du pouvoir : on travaille des heures d’affilée sans dormir et sans ressentir aucune fatigue. On ne s’arrête plus, on dépasse les bornes en tout.

-       Le culte de la performance et l’hyperactivité : si vous travaillez 80 heures par semaine, si vous êtes connectés jour et nuit sur vos ordi, vos boîtes mail, vos téléphones portables, si vous courez après les signes extérieurs de réussite, vous êtes peut-être déjà hypomaniaques. Combien le sont, sans le savoir tant les symptômes collent aux « normes » et aux rythmes modernes ?

De type 1, 2, 3 ou un peu de tout ?

Il n’y a pas si longtemps les maniaco-dépressifs étaient tenus pour « fous ». A l’époque on ne considérait que les formes intenses du trouble bipolaire, celles qui caractérisent ce que l’on appelle aujourd’hui le trouble bipolaire de type 1. Dans cette forme (TB1), la personne alterne des périodes de dépression profondes avec des phases de manie délirante souvent dangereuse (elle prend soudain sa voiture à la nuit tombée pour traverser la France, dépense le double de son salaire en une journée ou « traquée par les forces du mal » se jette d’un pont !).

Mais le trouble de type 2 est bien plus commun. Cette forme (TB2) se traduit par des dépressions toujours aussi intenses mais des périodes hautes moins importantes. On développe de « petites manies » : c’est l’hypomanie. Ce stade est assez proche de la cyclothymie et de ses fluctuations modérées, qui peuvent dégénérer mais pas forcément, et devant lesquelles le généraliste empressé vous collera l’étiquette « bipolaire ».

Depuis peu, on parle d’un nouveau type : le type 3. Les psychiatres ne s’en vantent pas car cet état (TB3) est provoqué par la prescription inadéquate ou excessive d’antidépresseurs, ce qui déclenche des hypomanies. L’usage de drogues (l’alcool par exemple) donne le même résultat.

Enfin il existe aussi des états mixtes (un quart des cas) : c’est la superposition simultanée de symptômes dépressifs et de symptômes maniaques. Cet état mixte, invivable, entraîne un risque important de passage à l’acte, et de suicide réussi.

Après le Prozac, le « miracle » Zyprexa

Le traitement conventionnel du trouble bipolaire passe par des psychotropes de dernière génération, les « antipsychotiques atypiques ». Ces médicaments sont déjà les plus rentables du monde, juste derrière les statines. En tête des meilleures ventes : le Zyprexa, la plus belle invention depuis le Prozac…

Un membre de ma famille, que l’on croyait bipolaire (le diagnostic s’est depuis révélé erroné) a été traité au Zyprexa. Il a pris 12 kg en 6 mois, est devenu hagard et a fini par arrêter d’avaler ces pilules qui l’installaient dans un malaise permanent.

Ce médicament aussi nuisible que coûteux pour la collectivité a été lancé à la fin des années 90. Ses effets indésirables et ses prescriptions hors indications ont valu 1,5 milliard de dollars d’amendes au laboratoire Ely Lilly et les procès continuent. En France, son principe actif, l’olanzapine, est simplement sous surveillance…

Le Dr David Healy, psychopharmacologue de renommée international affirme que pendant les essais cliniques de précommercialisation, le taux de suicides, de tentatives de suicide, de morts et de prise de poids liés au Zyprexa a été « le plus élevé de tous les médicaments psychotropes de l’histoire ».

Conçue pour la schizophrénie, cette pilule est maintenant prescrite sans distinction aux déprimés, aux bipolaires, aux patients âgés atteints de démence et même aux jeunes « à risques », en prévention bien sûr…

Des remèdes déments

En quelques années, une foultitude de « thymorégulateurs » (pour la plupart anti-schizophrénique, antiépileptique ou ciblés sur la démence) ont vu le jour : Risperdal, Neurontin, Epitomax, Séroquel, Dépakine, Depakote, ou dernièrement Xéroquel…

La bipolarité, comme la dépression, est considérée comme la conséquence d’un dérèglement biochimique du cerveau provoqué par des facteurs déclenchant sur fond de prédisposition génétique. C’est sur la base de ce consensus médical triomphant (depuis l’invention du Prozac) que les labos prétendent travailler à la ré-harmonisation, à la régulation de nos humeurs. Ce « dérèglement biochimique » n’a jamais été clairement démontré, mais les médicaments, eux, le provoquent !

Si vous lisez l’anglais, je vous conseille l’excelllent livre du journaliste d’investigation américain Stephen Fried, « Bitter Pills–Inside the hazardous world of legal drugs ». Sorti en 2013, « Amères Pilules–Dans le monde dangereux des drogues légales » dévoile les coulisses du business de la maladie bipolaire, explique pourquoi tant de gens sont étiquetés bipolaires, et pourquoi se passer de ces médocs peut vous sauver la vie

Des effets secondaires jamais vus

Le premier grand remède de cette maladie a été le sel de lithium. Ce régulateur des influx nerveux reste un classique (Téralithe). C’est un métal, quelque chose d’assez naturel donc mais qui, à l’usage, n’est pas dénué de dangerosité (la dose efficace étant très proche de la dose toxique) et d’effets délétères (léthargie, tremblements, risques de diabète insipide, psoriasis… et presque toujours hypothyroïdie). Beaucoup de gens ne le tolèrent pas.

Mais ces inconvénients sont mineurs comparés aux lourds effets secondaires des antipsychotiques atypiques qui ont pris la relève :

-       prise de poids rapide et importante (en dizaine de kilos !),

-       élévation du taux de cholestérol,

-       augmentation du taux de glucose avec risque de diabète,

-       élévation spectaculaire des risques de maladies cardiovasculaires et d’AVC,

-       dyskinésie (mouvements saccadés involontaires, notamment du visage et de la bouche),

-       déclin mental,

-       risques de suicide,

-       réduction des tissus (gris et blanc) du cerveau (effet mesuré par imagerie médicale et rapporté par l’American Journal of Psychiatry) !!!

A part la prise de poids, et ce n’est même pas sûr, le médecin ne vous mettra en garde sur aucun de ces méfaits. Et quand votre ordonnance comprend aussi un antidépresseur, un anxiolytique, des sédatifs et hypnotiques, imaginez le cocktail. Un bipolaire a 15% de risques de mourir par suicide et perd en moyenne 8 à 9 ans d’espérance de vie. Ces statistiques portent forcément sur les bipolaires suivis en psychiatrie !

Des solutions alimentaires d’attaque

Une fois de plus, le meilleur moyen d’éviter ce naufrage médicamenteux (quand il est encore temps), ou de s’en défaire progressivement avec le suivi de thérapeutes est d’ordre alimentaire.

On sait que les changements alimentaires peuvent entraîner des fluctuations de l’humeur et de nombreux patients souffrant de la maladie présentent des carences en vitamines, minéraux, une intoxication aux métaux (aluminium notamment), une dysbiose intestinale (la santé du ventre est de plus en plus impliquée dans les maladies dites « mentales »). D’où l’intérêt d’un apport en :

-       Inositol : selon plusieurs travaux scientifiques récents, notamment ceux de l’équipe britannique du chercheur Robin S.B. Williams, l’inositol (ou vitamine B7) est au cœur de la maladie. L’inositol est indispensable au bon fonctionnement du cerveau et sa carence entraîne troubles nerveux et de l’humeur.

Le foie et le cœur de bœuf en sont d’excellentes sources mais je vous conseille plutôt des noix fraîches, des légumineuses ou de la levure de bière.

L’inositol existe aussi sous forme de complément alimentaire. Dans ce cas il est conseillé de le prendre en association avec du malate de magnésium (chélateur, ce psycho-relaxant chasse les métaux lourds), et du sélénium (que l’anxiété et la dépression n’aiment pas)

-       Oméga 3 : c’est l’une des recommandations majeures du Dr Giachetti, expert de cette maladie, avec qui j’ai commis un livre pratique et facile à lire *. Ce psychiatre n’hésite pas à explorer des pistes en phytothérapie, en aromathérapie et à recourir à la luminothérapie.

Une étude de 1999 de Harvard a montré que les oméga 3 réduisent les symptômes de dépression et augmentent les périodes de rémission. Des chercheurs pensent maintenant qu’ils fonctionnent de la même manière que le lithium et l’acide valproïque des thymorégulateurs. Des deux principes actifs des oméga 3, l’EPA est ici le plus important. Il faut donc choisir des capsules riches en EPA plutôt qu’en DHA.

La complémentation est le moyen le plus pratique mais la consommation de poissons riches en oméga 3 (pas d’élevage) me paraît bien meilleure.

L’huile de lin, et surtout l’huile de périlla, qui bat tous les records en acides gras poly-insaturés précurseurs d’ EPA et de DHA, sont des alternatives intéressantes pour les végétaliens.

-       Lithium : ce sel minéral naturel, on l’a vu, joue lui aussi un rôle-clé.
Les types de lithium médicamenteux tels que le carbonate de lithium et le citrate de lithium, impliquent d’importantes doses et entraînent des troubles métaboliques.
 
Mais sous forme d’orotate, le lithium traverse en petite quantité la barrière sang/cerveau et se montre disponible là où il manque, sans aucun effet secondaire.

-       Vitamine D3 : sa carence, largement sous-estimée (lire ici) favorise aussi le déséquilibre émotionnel et mental.

Par contre, gare aux remèdes naturels recommandés pour la dépression : le millepertuis est exclus en cas de traitement et les autres plantes (griffonia, rhodiola…) aident à sortir de la dépression mais au risque de vous faire « grimper dans les tours » comme les antidépresseurs que les médecins ont bien du mal à doser pour cette pathologie.

L’opportunité de prendre sa vie en main

Ces solutions conviendront parfaitement à une personne souffrant de trouble bipolaire léger (TB1). Elles seront aussi utiles en cas de TB2 pour sortir d’un traitement avilissant, mais à condition que l’on soit acteur de son rétablissement. C’est l’occasion de reprendre en main sa vie. Cette maladie touche corps, âme et esprit. Elle demande un soin holistique. Soit :

-       Une bonne compréhension des troubles et de leurs facteurs déclenchant, sans déni (le piège).

-       La nécessité de faire équipe avec un psychiatre avisé et doté de tact, son psychothérapeute (les TCC sont assez efficaces), son naturopathe, son homéopathe (certains savent traiter cette maladie, les noms circulent sous le manteau), son aromathérapeute (les huiles essentielles agissent fortement sur l’humeur), son praticien de médecine ayurvédique si l’on veut…

-       En phase « up » de remettre au lendemain les projets utopiques, de temporiser ; en phase « down » de se reposer, en service minimum.

-       De faire un travail de « psychoéducation » : c’est une bonne béquille pour la gestion du Soi, du stress, des émotions, du physique. Rien ne remplace le contact direct avec le thérapeute et le soutien de l’entourage mais il existe un excellent guide pratique** pour aider le malade à mieux cerner son trouble grâce à des tests, à suivre son évolution à travers grilles et graphiques, à mieux se connaître par la prise de notes, à le stabiliser en identifiant les signes précurseurs de phases et en anticipant par des trucs méthodiques.

Devant cette maladie, on ne peut faire l’économie d’apprendre à devenir son propre coach.

-       D’avoir une bonne hygiène de vie, rythmée : faire attention à la qualité de son alimentation, ne pas boire d’alcool ou très peu, fuir les toxiques, dormir du mieux possible en se couchant à heure raisonnable, aménager son rythme de travail si possible, s’appuyer sur ses proches pour entretenir une vie sociale, faire de l’exercice sans excès.

-       De savoir se reposer et surtout se relaxer. Toutes les techniques psychocorporelles sont bonnes à prendre : yoga, relaxation, shiatsu, do in, méditation.

-       D’animer sa sensibilité mais sans trop : musique, films, spectacles…

-       En cas de doutes, de découragement, de faire appel à une personne de confiance, capable de vous écouter.

-       D’accepter ses émotions.

-       De se souvenir qu’être bien, ce n’est pas être hypomane ou maniaque !

Cet entraînement quotidien est indispensable pour sortir de l’engrenage. Ce peut être long mais encore une fois c’est possible.

La fée électro

On a tous en tête l’image d’un Jack Nicholson grimaçant de douleurs dans le film « Vol au dessus d’un nid de coucou » sous l’effet d’électrochocs punitifs. Mais l’électro-convulsivo-thérapie (ECT) ou sismothérapie n’a plus rien à voir avec le film de Milos Forman.

L’ECT sauve des vies. C’est une méthode efficace pour les malades résistants aux traitements et pour les cas les plus graves. Quelque 100 000 ECT sont pratiquées chaque année en France. Les appareils de convulsivothérapie délivrent des stimulations électriques par impulsions, faibles mais suffisantes pour provoquer une crise d’épilepsie de quelques secondes, le tout sous anesthésie générale et curarisation (5 minutes).

Les accidents sont très rares, les effets secondaires se résument à une perte de mémoire plus ou moins marquée des événements entourant la séance.

Si l’on met de côté l’anesthésie (dont les effets peuvent être compensés par des moyens naturels), c’est une méthode assez proche de l’électrothérapie des médecines alternatives. Bien plus douce en tout cas que les médocs. On ne sait pas comment ça marche, mais ça marche.

Des solutions non invasives d’avenir

C’est comme la stimulation magnétique transcrânienne (SMT), méthode récente consistant à envoyer de petites impulsions électromagnétiques au cerveau. Un traitement d’avenir qui non seulement atténue les phases dépressives mais améliore les capacités cognitives (Cf. une récente étude australienne publiée par la revue Plos One).

Ne soyons pas surpris par l’efficacité mystérieuse de ces méthodes peu invasives. Car n’en déplaise à ceux qui prétendent tout expliquer en faisant commerce de nos émotions (en les nivelant par le bas), notre cerveau reste l’un des plus grands mystères que la science ait à percer.

L’humeur peut être maladive, c’est certain, mais la cupidité sans borne de Big Pharma a ses limites. Au nom de quoi devrions-nous tous être d’humeur égale ?

Dominique Vialard

 

* « La maladie bipolaire expliquée aux souffrants et aux proches », Dr Raphaël Giachetti, Dominique Vialard (Odile Jacob, 2012).

** « Manuel de psychoéducation-Troubles bipolaires », Dr Christian Gay (l’un des grands experts français), Marianne Colombani (architecte bipolaire) (Dunod, 2013).

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2 mars 2014

La gigantesque croisade pour répandre et favoriser l’homosexualité est une caractéristique du satanisme

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Nous éprouvons de la compassion pour les individus homosexuels. Mais nous nous opposons au plan des Illuminati qui est de détruire la société par la promotion active de ce trouble jusqu’à ce qu’il soit devenu la norme sociale.

Charles W. Socarides, MD, (1922-2005) était professeur de psychiatrie clinique à l’Albert Einstein College of Medicine de New York.

Les médias et les grandes sociétés ont profité des jeux olympiques de Sotchi pour malmener la Russie à cause de sa volonté affirmée de protéger les droits des hétérosexuels. Dans cette optique, je reposte un article de 1995 écrit par un psychiatre qui a traité des centaines d’homosexuels au cours de ses 40 ans de carrière, et qui est parvenu à en guérir environ un tiers.

Jusqu’en 1975, l’homosexualité était reconnue pour ce qu’elle est, c’est-à-dire un trouble du comportement. La gigantesque croisade pour répandre et favoriser l’homosexualité est une caractéristique du satanisme qui entreprend de faire passer un comportement de malade pour celui d’un bien portant, et présente l’antinaturel comme naturel. Cela est la preuve irréfutable que la société est diaboliquement possédée. L’humanité a été colonisée par un culte satanique, la Franc-maçonnerie (Illuminati) qui est un outil de procuration pour le cartel juif kabbaliste des banques centrales.

Sous le masque des « droits des gays », les Illuminati conduisent une attaque vicieuse et malhonnête visant à saper les institutions et les valeurs hétérosexuelles. Par exemple, malgré la propagande mensongère des médias, la Russie ne criminalise pas l’homosexualité, elle ne fait qu’interdire la propagande gay destinée aux enfants. En règle générale, les agresseurs se font passer pour les victimes, alors qu’en fait ils sont eux-mêmes à l’origine de la « haine ».

 

Première partie : Comment l’Amérique est devenue gay

Par le Dr Charles Socarides (Édité et abrégé par Henry Makow)

Depuis plus de 20 ans, moi et quelques psychiatres nous sentons comme une minorité assiégée parce que nous avons continué à insister sur le fait que les homosexuels n’étaient pas nés de cette façon.

Pendant la plus grande partie du XXème siècle, nous avons considéré ce comportement comme aberrant… une véritable pathologie. Nous avons eu affaire à des patients qui enchainaient les partenaires sexuels les uns après les autres, y compris au sein d’une même nuit, puis venaient nous voir le lendemain en boitant pour nous avouer à quel point ils souffraient. Comme notre démarche consistait à aider ces gens à cesser de souffrir, beaucoup d’entre nous pensaient que nous étions en train d’accomplir le travail de Dieu.

Aujourd’hui, selon l’opinion de ceux qui compose la soi-disant élite culturelle, notre approche est « dépassée ». L’élite déclare que nous blessons les gens au lieu de les aider, et que notre démarche est bonne à jeter aux oubliettes de l’histoire. Ils sont parvenus à promouvoir cette façon de voir les choses à un grand nombre d’américains, rendant ainsi l’homosexualité à la mode et faisant d’un comportement autrefois aberrant un « mode de vie alternatif »…

LA RÉVOLUTION HOMOSEXUELLE FUT ORCHESTRÉE

altmanComment ce changement s’est-il opéré ? Eh bien, la révolution ne s’est pas produite d’elle-même… Elle émergea d’un plan, comme l’a avoué un magazine gay, afin de « rendre le monde entier gay ». Je n’invente rien. Vous pouvez lire un compte rendu de la campagne de Dennis Altman, intitulé L’homosexualisation de l’Amérique. En 1982, Altman, lui-même gay, a déclaré avec une joie non dissimulé que de plus en plus d’américains pensaient comme les gays et se comportaient comme tels. Ils se trouvaient engagés « dans un certains nombres d’aventures sexuelles de plus ou moins courtes durées, à la place de relations à long terme. » Altman a fait remarquer que les équivalents hétérosexuels de saunas gays et l’émergence de soirées d’échangisme pour les célibataires étaient des preuves que la « promiscuité et le sexe impersonnel sont davantage déterminés par les possibilités sociales que par les différences intrinsèques entre les homosexuels et les hétérosexuels, ou même entre les hommes et les femmes. »

Bille en tête, les gays ont déclaré qu’ils pouvaient « réinventer la nature humaine, se réinventer eux-mêmes ». Pour ce faire, ces réinventeurs devaient d’abord se débarrasser d’un obstacle majeur. Non, ils ne se sont pas attaqués aux membres du clergé. Ils ont pris pour cible les membres d’une prêtrise mondiale, la communauté psychiatrique, en les neutralisant par une redéfinition radicale de l’homosexualité. En 1972 et 1973 ils ont coopté la direction de l’American Psychiatric Association et à travers une série de manœuvres politiques, de mensonges et d’intimidations, ils ont « soigné » l’homosexualité d’un jour à l’autre. Ils ont obtenu de l’APA qu’elle déclare les relations sexuelles de même sexe « non comme un trouble ». Elles devinrent « une condition » aussi neutre que le fait d’être gaucher.

LA HAINE L’INTIMIDATION & L’INTOLÉRANCE

Cela équivalait à une validation complète de l’homosexualité. Ceux d’entre nous qui ont fait montre de réticence à l’égard de cette redéfinition politique furent bientôt réduits au silence lors de nos propres réunions professionnelles. Nos conférences furent annulées au sein du milieu universitaire et nos documents de recherche écartés de la publication des revues spécialisées. Des choses bien pires suivirent au sein de la culture en général. Les producteurs de télévision et de cinéma commencèrent à promouvoir des histoires où l’homosexualité était présentée comme un mode de vie légitime.

gaypride« Depuis de nombreuses années, des homosexuels perturbent nos réunions, vociférant sur les gens qui essaient de produire leurs preuves scientifiques et documentées, menaçant les docteurs individuels comme moi… Les activistes gays font preuve d’une irrationalité féroce. Ils font du moindre accord scientifique une question politique – ce qui est la seule chose qu’ils sont capable de faire, car la seule connaissance dont ils disposent n’est qu’une pseudoscience. »

Une commission d’examen a indiqué à Hollywood comment ils doivent traiter de l’homosexualité. De grands éditeurs ont refusé de publier des ouvrages faisant montre d’objections à l’égard de la révolution gay. Les gays et lesbiennes influencent l’éducation sexuelle au sein des écoles publiques, et leurs représentant ont pris le contrôle des comités de professeur dans les lycées de notre nation. Les organes législatifs étatiques ont abrogé les lois contre la sodomie.

Si la presse écrite intervenait c’était pour accompagner la révolution gay, peut-être parce que beaucoup de journalistes étaient eux-mêmes déjà favorables aux questions gay et se trouvaient être d’ardents défenseurs des homosexuels et de leurs mouvements. Et les journalistes qui n’étaient pas gays semblaient bien trop intimidés par la pensée unique pour s’opposer à ce qui se passait au sein de leurs propres rédactions.

Et maintenant, qu’arrive-t-il à ceux d’entre nous qui se lèvent pour présenter des objections ? Les activistes gays ont déjà anticipé cela. Ils ont créé une sorte de sagesse conventionnelle : déclarant que nous souffrons d’homophobie, une maladie qui a été créée par les gays en projetant leur propre hantise à l’égard de la société. Et nous sommes ainsi dépeint comme des fanatiques bigots parce que selon eux nous ne parvenons pas à traiter les gays avec compassion.

Les gays sont aujourd’hui présentés en des termes similaires aux noirs aux hispaniques ou aux handicapés. Comme les gays sont nés de cette façon et n’ont pas le choix de leur orientation sexuelle, toute personne qui vient à désigner leur état comme une aberration est maintenant un bigot antiaméricain. Étonnamment, de nos jours les étudiants de première année rentre à la maison pour leur premier Thanksgiving en annonçant : « Hé, maman ! Hé, papa ! Nous avons adopté un point de vue moral élevé. Nous avons rejoint la révolution gay. »

LE LAVAGE DE CERVEAU

Ma femme, Claire, qui possède l’aptitude infaillible d’aller au fond des choses, a déclaré un jour récemment en passant : « je pense que tout le monde est en train de subir un lavage de cerveau intensif. » Cela m’a semblé convaincant. Je sais que le terme de « lavage de cerveau » a été galvaudé. Mais la simple observation de ma femme m’a rappelé une brochure promotionnelle astucieuse que j’avais lue il y a quelques années. Elle était intitulée « Après le bal : comment l’Amérique va conquérir sa peur et sa haine des gays au cours des années 1990 », par Marshall Kirk et Madsen Hunter.

ball2Ce prospectus s’est avéré n’être qu’une compilation d’instructions utilisées par les militants gay lors de leurs campagnes pour normaliser l’anormal à travers une variété de techniques de lavage de cerveau qui avaient été condensées par Robert Jay Lifton dans son ouvrage phare « La réforme de la pensée et la psychologie du totalitarisme : une étude du lavage de cerveau en Chine. »

Ces militants ont gagné l’attention des médias et de larges financements pour radicaliser l’Amérique par un processus identifié comme la désensibilisation progressive, la confusion, puis la conversion. Ils désensibilisent l’opinion publique en promouvant l’idée que les gays « sont comme tout le monde ». Cela permet aux barrières des préjugés d’être surmontées, c’est-à-dire permettre aux hétérosexuels d’adopter une attitude neutre ou indifférente.

Ils parviennent ensuite à piéger les gens en les montrant du doigt pour les couvrir de honte et les accabler de culpabilité pour leur propre « bigoterie ». Kirk et Madsen écrivent : « Toutes les personnes normales éprouvent de la honte lorsqu’ils s’aperçoivent ne pas penser, sentir, ou agir comme un membre de la meute… L’astuce est de faire en sorte que le bigot réfractaire éprouve un sentiment contradictoire de honte lorsque son aversion à l’égard de l’homosexualité vient à faire surface. De cette manière, la publicité peut dépeindre les homophobes comme de vulgaires grandes-gueules haineuses… Elle peut les montrer sous le feu des critiques, de la haine, et de l’isolement social. Elle peut faire croire que les gays sont sujets à des souffrances terribles qui sont le résultat direct de l’attitude hostile que même le plus réfractaire des homophobes auraient honte d’être la cause.

Puis enfin vient le processus qu’ils ont appelé la « conversion ». Kirk et Madsen ont prédit un changement de paradigme au sein de l’opinion publique qui surviendrait y compris parmi les bigots « si nous pouvons les présenter comme nous. » Ils ont déclaré : « la conversion vise à tout cela… la conversion émotionnelle, intellectuelle volontaire de l’opinion publique américaine, à travers une série d’attaques psychologiques, prenant la forme d’une propagande relayée à travers tout le pays par les médias. »

Dans le film « Philadelphia » nous voyons la technique de l’humiliation et le processus de conversion à l’œuvre au sein du pouvoir médiatique à son plus haut niveau. Nous voyons le personnage de Tom Hanks souffrir (parce qu’il est gay et a été infecté par le virus du Sida) entre les mains des bigots du cabinet d’avocats de Philadelphie au sein duquel il travaille. Nous seulement nous éprouvons de la honte face au comportement ouvertement homophobe des avocats crapuleux, mais nous venions à éprouver de la sympathie pour le sort de Hanks. (Les membre de l’académie de la Motion Picture Academy ont éprouvé tellement de sympathie à l’égard de Hanks qu’ils lui ont décerné un Oscar.) Nos émotions ont aidé à l’accomplissement de la stratégie de Kirk et Madsen : « de forcer les américains à changer leur regard, qu’ils le veuillent ou non. »

THBien peu ont osé critiquer le film « Philadelphia » comme un parfait exemple du genre de propagande annoncé par Kirk et Madsen. Depuis la publication du plan Kirk-Madsen, le peuple américain avait déjà été reprogrammé. L’homosexualité est désormais simplement devenue « un autre mode de vie ».

Et de surcroit, à cause de la persuasion incorporée dans des milliers de messages au sein des médias, l’acceptation par la société de l’homosexualité semblait un de ces détours historiques inhérent à l’époque ; oui, une sorte de conversion. Personne ne sait comme cela s’est produit, mais la nation a changé. Nous sommes devenus plus sophistiqués, dispensant plus d’amour à l’égard de tous, même envers ceux qui sont « affligés » de la maladie homosexuelle, pardon, de la condition.

En 1992, le président des États-Unis a déclaré qu’il était temps que les personnes ouvertement gay et lesbiennes ne soient pas chassées des forces armées de la nation. En 1993, les médias du pays ont célébré un immense élan de fierté gay à Washington, les téléspectateurs ont scandé avec un demi-million de manifestants : « Deux, quatre, six, huit ! Être gay c’est vraiment super ! » Cela nous a fait nous sentir bien avec nous-mêmes. Nous étions des américains patriotes. Nous venions encore d’abolir une autre forme de discrimination, nous avions anéanti l’une des affections les plus durables de la société : l’homophobie. Et le meilleur dans tout ça, nous savions maintenant qu’en plus d’être super, le fait d’être gay était à présent librement accessible…

Deuxième partie prochainement…

2 mars 2014

Une nouvelle molécule, à base de caféine associée à de l'or, pourrait avoir des propriétés anticancéreuses.

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Modifié, le café pourrait aider à lutter contre le cancer

Par figaro iconMarc Cherki - le 27/02/2014
Une nouvelle molécule, à base de caféine associée à de l'or, pourrait avoir des propriétés anticancéreuses.

Décidément, le café n'est pas seulement un excitant. Il permettrait par exemple d'améliorer la mémoire ou de prévenir le diabète. Une autre caractéristique intéressante vient d'être mise en évidence: la caféine, légèrement modifiée, et associée à de l'or, serait également un anticancéreux prometteur. Tel est le résultat publié par le journal de chimie inorganique de l'American Chemical Society, réalisé par l'Institut de chimie moléculaire de l'Université de Bourgogne et l'Université de Groningen.

Ce travail collégial a été mené par Benoît Bertrand, un étudiant-chercheur qui a commencé ses recherches en 2010 et «passera son doctorat sur ce sujet à l'automne», explique son codirecteur de thèse, Michel Picquet, chercheur à Dijon. Des anti-arthritiques à base d'or ont déjà été utilisés par le passé, avant d'être abandonnés, pour certains à cause de leurs propriétés indésirables. ««Le «cisplatine»», un complexe à base de platine, est toujours utilisé pour plus de 50 % des chimiothérapies. Mais ce métal a des effets indésirables, comme la chute des cheveux, et il peut par ailleurs entraîner des problèmes rénaux», ajoute Michel Picquet. En outre, la caféine peut facilement devenir une famille de molécules «dite «carbène» qui se lient avec des atomes d'or», explique le chercheur. Dans ce but, la caféine est modifiée par le laboratoire de Bourgogne qui l'achète sous forme d'une poudre blanche, comme de la farine, qui coûte seulement 204 euros au kilogramme.

Sept molécules différentes ont donc été testées sur différents types de cellules (saine, cancer de l'ovaire et cancer du poumon) aux Pays-Bas par Benoît Bertrand. De bons résultats ont été obtenus in vitro, c'est-à-dire en laboratoire et dans des boîtes de Pétri. «Il faudrait au moins quinze ans avant que ce travail ne débouche sur un éventuel médicament», tempère Michel Picquet.

Le mode de fonctionnement n'est pas encore connu avec certitude. Les molécules pourraient bloquer directement la réplication de l'ADN des cellules cancéreuses ou venir «étouffer» des cellules malades en détruisant des protéines qui se situent sur leur membrane cellulaire.



2 mars 2014

Guérison d’un bébé atteint d’une tumeur au cerveau grâce à l’huile de Cannabis

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Avec l’accumulation des études et des résultats qui attestent de l’efficacité médicinale et du pouvoir curatif de l’huile de cannabis, il est de plus en plus difficile pour les gens d’ignorer les effets prodigieux de cette plante sous forme d’huile. Le Docteur Courtney, visible dans la vidéo ci-dessous, fait partie de cette nouvelle caste de médecins honnêtes qui ne peut plus accepter d’ignorer ce qu’il a découvert :

 En mettant deux fois par jour de l’huile de cannabis sur la tétine du bébé et en augmentant graduellement les doses, ils ont pu observer un début de diminution de la taille de la tumeur, de façon spectaculaire, suffisamment pour que le pédiatre les encourage vivement à poursuivre la thérapie dans ce sens.

 

Après huit mois de traitement, la tumeur avait quasiment disparu (photo ci-dessous). Le Docteur Courtney a insisté sur le fait que ce traitement évitera au bébé de subir les effets secondaires désastreux qu’auraient eus sur lui les lourdes chimio-thérapies et autres radiations, des soins prodigués habituellement. Actuellement, le bébé est considéré comme un miraculé et il faut avouer que cette façon de traiter la tumeur devrait être systématique pour ces cas graves, avant qu’on ne soumette les patients à tous les traitements inefficaces connus qui ont des effets terribles sur le long terme.

Article du Natural Cures Not Medecine 
Traduction : Astu Bardamu

Scanner de la tumeur pendant les 8 mois de traitement à l’huile de cannabis. Soin réussi d’une tumeur déclarée habituellement comme mortelle et incurable :

Guérison d’un bébé atteint d’une tumeur au cerveau grâce à l’huile de Cannabis

Source : Natural Cures Not Medecine source http://croah.fr/revue-de-presse/guerison-dun-bebe-atteint-dune-tumeur-au-cerveau-grace-a-lhuile-de-cannabis/comment-page-1/#comment-29727
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1 mars 2014

La construction européenne a été financé par la cia

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Une enquête exclusive du magazine Historia rouvre le dossier mal connu des origines américaines de l’intégration communautaire. De 1949 à 1959, en pleine guerre froide, les Américains, par l’intermédiaire de leurs services secrets et du Comité pour l’Europe unie, versent l’équivalent de 50 millions de dollars actuels à tous les mouvements pro-européens, parmi lesquels ceux du Britannique Winston Churchill ou du Français Henri Frenay. Leur but, contenir la poussée soviétique... Le "Mouvement européen" en particulier, qui il y a soixante ans fût fondé, dirigé et financé par la CIA, est aujourd’hui financé par le contribuable via les subventions de Bruxelles et compte au sein de ses organes dirigeants des "Européens convaincus" tels Daniel Cohn-Bendit, Valéry Giscard d’Estaing ou Jean-Pierre Jouyet. On relira aussi avec intérêt Frédéric Charpier : "La CIA en France, 60 ans d’ingérence dans les affaires françaises" (Editions du Seuil, Paris, 2008)

La CIA finance la construction européenne

A 82 ans, Henri Frenay, le pionnier de la Résistance intérieure, fondateur du mouvement Combat, arbore une forme intellectuelle éblouissante malgré sa surdité de l’oreille droite et sa récente opération de l’estomac. Pourtant, il n’a plus que trois mois à vivre. En ces jours de mai 1988, il me parle de l’Europe dans son appartement de Boulogne-sur-Seine. De cette Europe fédérale dont il a révé en vain entre 1948-1954. De la dette aussi que, en cas de succès, le Vieux Continent aurait contracté envers les Américains, ceux notamment du " Comité ". Et d’insister une fois, deux fois, dix fois, tandis que moi, je m’interroge : pourquoi diable ce mystérieux " Comité " revient-il à une telle fréquence dans nos conversations ? Pourquoi ? Mais parce que Frenay me confie, avec il est vrai d’infinies précautions de langage, son ultime secret : l’aide financière occulte de la CIA via l’American Committee for United Europe - le Comité - à l’Union européenne des fédéralistes dont il a été le président. Pour reconstituer cette filière inédite, il me faudra une quinzaine d’années. Un jeu qui en valait la chandelle puisqu’il me permet d’ouvrir, pour les lecteurs d’ Historia, la porte d’un des compartiments les plus secrets de la guerre froide...

Tout commence à l’automne 1948. Déjà coupée en deux, l’Europe vit sous la menace d’une invasion totale par l’armée rouge. Au " coup de Prague " en février, vient de succéder en juin le blocus de Berlin. Un petit cénacle de personnalités de l’ombre jette alors les bases de l’American Committee for United Europe, l’ACUE - son existence sera officialisée le 5 janvier 1949 à la maison de la Fondation Woodrow-Wilson de New York. Politiques, juristes, banquiers, syndicalistes vont se méler au sein de son conseil de direction. De hautes figures gouvernementales aussi comme Robert Paterson, le secrétaire à la Guerre ; James Webb, le directeur du budget ; Paul Hoffman, le chef de l’administration du plan Marshall ; ou Lucius Clay, le " proconsul " de la zone d’occupation américaine en Allemagne.

Bien tranquilles, ces Américains-là ? Non, car la véritable ossature de l’ACUE est constituée d’hommes des services secrets. Prenez son président, William Donovan. Né en 1883 à Buffalo, cet avocat irlando-américain au physique de bouledogue, surnommé " Wild Bill " par ses amis, connaît bien l’Europe. En 1915, il y remplissait déjà une mission humanitaire pour le compte de la Fondation Rockefeller. Deux ans plus tard, Donovan retrouvait le Vieux Continent pour y faire, cette fois, une Grande Guerre magnifique. Redevenu civil, " Wild Bill " va se muer en missus dominicus du gouvernement américain. Ses pas d’émissaire officieux le portent vers l’Europe pour des rencontres parfois imprévues. En janvier 1923, alors qu’ils goà »tent un repos bien mérité, sa femme Ruth et lui devront ainsi subir une soirée entière les vociférations d’un autre habitué de la pension Moritz de Berchtesgaden. Dix-sept ans plus tard, l’agité, un certain Adolf Hitler, s’est rendu maître de la partie continentale de l’Europe, et c’est " Wild Bill " que Franklin Roosevelt, inquiet, dépéche à Londres s’enquérir auprès de Winston Churchill du potentiel britannique face à l’avancée nazie.

En juin 1942, Donovan, homme de confiance du président démocrate pour les affaires spéciales, crée l’Office of Strategic Services (OSS), le service secret américain du temps de la Seconde Guerre mondiale dont il devient le chef et qu’il quittera à sa dissolution, en septembre 1945, sans perdre le contact avec l’univers du renseignement : " Wild Bill " tisse des liens privilégiés avec la Central Intelligence Agency, la CIA, créée officiellement le 15 septembre 1947 par une loi sur la sécurité nationale signée par le successeur de Roosevelt, Harry Truman.

Prenez le vice-président de l’ACUE Walter Bedell Smith, ancien chef d’état-major d’Eisenhower pendant la Seconde Guerre mondiale puis ambassadeur des Etats-Unis à Moscou. A partir d’octobre 1950, celui que ses amis surnomment le " Scarabée " ( beetle en anglais) va prendre les commandes de la CIA. 1950, c’est justement l’année o๠des universitaires comme Frederick Burkhardt et surtout William Langer, historien à Harvard, lancent la section culturelle de l’ACUE. Ces deux proches de Donovan ont servi autrefois dans les rangs de l’OSS. Langer en a dirigé le service Recherche et Analyse et, excellent connaisseur de la politique française, a méme commis après-guerre un ouvrage savant qui s’efforçait de dédouaner Le Jeu américain à Vichy (Plon, 1948).

Prenez surtout Allen Dulles. A l’été 1948, c’est lui qui a " inventé " le Comité avec Duncan Sandys, le gendre de Churchill, et George Franklin, un diplomate américain. Principal associé du cabinet de juristes Sullivan & Cromwell, Dulles n’impressionne guère de prime abord avec ses fines lunettes, ses éternelles pipes de bruyère et ses vestes en tweed. Sauf qu’avec ce quinquagénaire, un maître espion entre dans la danse. Retour à la case Seconde Guerre mondiale. Chef de l’OSS à Berne, Dulles noue en février 1943 des contacts avec la délégation de Combat en Suisse. Un temps, il assurera méme le financement du mouvement clandestin. " Coup de poignard dans le dos du général de Gaulle ", s’insurge Jean Moulin au nom de la France libre. " Survie de la Résistance intérieure menacée d’étranglement financier ", rétorque Frenay. Pensant d’abord à ses camarades dénués de moyens, aux maquisards en danger, il ne voit pas pourquoi Combat devrait se priver d’un argent allié versé, c’est convenu, sans contrepartie politique. Cette " affaire suisse " va empoisonner un peu plus encore ses rapports avec Moulin.

En 1946, Dulles démissionne des services secrets... pour en devenir aussitôt l’éminence grise, prenant une part prépondérante à la rédaction du texte de loi présidentiel sur la sécurité nationale. Cofondateur à ce titre de la CIA (pour les initiés : l’Agence ou mieux, la Compagnie), Dulles pense qu’en matière d’action clandestine, privé et public doivent conjuguer leurs forces. C’est lui qui a déjà inspiré, par l’intermédiaire de ses amis du Brook Club de New York, le versement des subsides de grosses sociétés américaines à la démocratie chrétienne italienne menacée par un parti communiste surpuissant. En 1950, il va reprendre officiellement du service comme bras droit du Scarabée d’abord, comme son successeur à la téte de la CIA ensuite - de février 1953 à septembre 1961. Record de longévité d’autant plus impressionnant que son frère aîné John Forster Dulles, restera, lui, ministre des Affaires étrangères de 1953 à sa mort de maladie en mai 1959.

Etonnant creuset que l’ACUE, où¹ des personnalités de la haute société et/ou de la CIA côtoient les dirigeants de la puissante centrale syndicale American Federation of Labor, l’AFL, dont ils partagent l’aversion du communisme. Exemples : David Dubinsky, né en 1892 à Brest-Litovsk, en Russie, dirige le Syndicat international de la confection pour dames (ILGWU) : 45 000 adhérents à son arrivée en 1932, 200 000 à la fin des années 1940 ! Ennemi acharné des nazis hier (les syndicalistes proches de l’ACUE sont presque tous juifs), c’est aux commies , les " cocos ", qu’il en veut dorénavant. Jay Lovestone aussi. Conseiller politique de l’AFL, ce Lituanien d’origine sait de quoi il parle : avant sa brutale exclusion puis sa lente rupture avec le marxisme, il fut, entre 1925 et 1929, le secrétaire général du PC américain ! Autre recrue de choix du Comité, Arthur Goldberg, le meilleur juriste de l’AFL. Futur secrétaire au Travail du président Kennedy puis juge à la Cour supréme, Goldberg, né en 1908, a dirigé l’aile syndicale de l’OSS. A ce titre, il fut en son temps le supérieur hiérarchique d’Irving Brown, son cadet de deux ans. Brown, représentant de l’AFL pour l’Europe et grand dispensateur de dollars aux syndicalistes modérés du Vieux Continent. Puisant dans les fonds secrets de la toute jeune CIA, laquelle finance depuis 1946 toutes les opérations anticommunistes de l’AFL, ce dur à cuire ne ménage pas, par exemple, son soutien à Force ouvrière, la centrale syndicale née fin 1947 de la scission de la CGT (lire " Derrière Force ouvrière, Brown, l’ami américain " dans Historia n° 621 de décembre 1997). Pure et dure, la ligne Brown contraste d’ailleurs avec celle, plus nuancée, de la CIA. A la Compagnie, on aurait préféré que les non-communistes restent dans le giron de la CGT, méme contrôlée par le PCF...

C’est qu’au-delà des hommes, il y a la stratégie d’ensemble. Face à l’Union soviétique, Washington développe deux concepts clés : le containment (l’endiguement) et plan Marshall. L’idée du containment , revient à un diplomate russophone, George Kennan, qui la développe dès juillet 1947 dans un article de la revue Foreign Affairs : " L’élément majeur de la politique des Etats-Unis en direction de l’Union soviétique doit étre celui d’un endiguement à long terme, patient mais ferme, des tendances expansionnistes russes. " Le plan Marshall, lui, porte la marque de son inventeur le général George Marshall, chef d’état-major de l’US Army pendant la guerre, et désormais ministre des Affaires étrangères du président Truman. En apportant une aide massive aux pays d’Europe ruinés, les Etats-Unis doivent, selon lui, faire coup double : un, couper l’herbe sous le pied des partis communistes par une hausse rapide du niveau de vie dans les pays concernés ; deux, empécher leur propre industrie de sombrer dans la dépression en lui ouvrant de nouveaux marchés.
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Pour le tandem Marshall-Kennan, pas de meilleur outil que la CIA (lire l’interview d’Alexis Debat, page 51). Et c’est naturellement un autre ancien de l’OSS, Franck Wisner Jr, qu’on charge de mettre sur pied un département autonome spécialisé dans la guerre psychologique, intellectuelle et idéologique, l’Office of Policy Coordination ! Si ce bon vieux " Wiz " ne fait pas partie du Comité, ses hommes vont lui fournir toute la logistique nécessaire. Mais chut ! c’est top secret...

L’ACUE allie sans complexe une certaine forme de messianisme américain avec le souci de la défense bien comprise des intéréts des Etats-Unis. Messianique, cette volonté bien ancrée de mettre le Vieux Continent à l’école du Nouveau Monde. Phare de la liberté menacée, l’Amérique a trouvé, la première, la voie d’une fédération d’Etats, succès si resplendissant que l’Europe n’a plus qu’à l’imiter... Cet européanisme made in Washington comporte sa part de sincérité : " Ils m’appellent le père du renseignement centralisé, mais je préférerais qu’on se souvienne de moi à cause de ma contribution à l’unification de l’Europe ", soupire ainsi Donovan en octobre 1952.

De sa part de calcul aussi. Car en décembre 1956, trois mois avant sa mort, le méme Donovan présentera l’Europe unie comme " un rempart contre les menées agressives du monde communiste ". En d’autres termes, un atout supplémentaire de la stratégie américaine conçue par Marshall, Kennan et leurs successeurs : construire l’Europe, c’est remplir un vide continental qui ne profite qu’à Staline, donc, en dernier ressort, protéger les Etats-Unis.

Ajoutons une troisième dimension. Dans l’esprit des hommes de la Compagnie, rien de plus noble qu’une action clandestine au service de la liberté. Tout officier de la CIA le sait : les Etats-Unis sont nés pour une bonne part du soutien des agents de Louis XVI, Beaumarchais en téte, aux insurgés nord-américains. Ainsi l’opération American Committee, la plus importante, et de loin menée, par l’Agence en Europe pendant la guerre froide, se trouve-t-elle justifiée par l’Histoire.

Pour chaleureuse qu’elle soit, l’amitié franco-américaine ne saurait toutefois distendre le " lien spécial " entre Grande-Bretagne et Etats-Unis. En foi de quoi, Comité et Compagnie tournent d’abord leur regard vers Londres. Hélas ! Churchill, battu aux législatives de 1945, ronge ses griffes dans l’opposition. Le nouveau secrétaire d’Etat britannique aux Affaires étrangères, Ernest Bevin, a bien proclamé le 2 janvier 1948 aux Communes : " Les nations libres d’Europe doivent maintenant se réunir. " N’empéche que ses collègues du cabinet travailliste et lui repoussent avec horreur la perspective d’une véritable intégration continentale. Non pas que Bevin craigne de s’affronter aux communistes : deux jours après son discours de janvier, il créait un organisme clandestin de guerre idéologique, l’Information Research Department. Ce méme IRD qui, jugeant La Ferme des animaux et 1984 plus efficaces que mille brochures de propagande, va contribuer à diffuser partout dans le monde les oeuvres de George Orwell. Mais la carte Europe unie, alors là , non !

Cette carte, Churchill la joue-t-il de son côté par conviction profonde ou par aversion pour ses rivaux politiques de gauche ? Le fait est que le 19 septembre 1946 à Zurich, le Vieux Lion appelle à un axe anglo-franco-allemand, élément majeur selon lui d’une " espèce d’Etats unis d’Europe ". Qu’en mai 1948, Duncan Sandys, taille aux mesures de son homme d’Etat de beau-père le Congrès européaniste de La Haye. Qu’en octobre 1948, Churchill crée l’United European Movement - le Mouvement européen. Qu’il en devient président d’honneur aux côtés de deux démocrates-chrétiens, l’Italien Alcide De Gasperi et l’Allemand Konrad Adenauer, et de deux socialistes, le Français Léon Blum et le Belge Paul-Henri Spaak. Malheureusement pour les " amis américains ", cette tendance " unioniste " ne propose, à l’exception notable de Spaak, que des objectifs européens limités. Reconstruction économique et politique sur une base démocratique, d’accord, mais sans transfert, méme partiel, de souveraineté.

Le Comité et la tendance " fédéraliste ", dont Henri Frenay émerge comme la figure emblématique, veulent, eux, aller beaucoup plus loin. Aux heures les plus noires de la Seconde Guerre mondiale, Frenay, patriote mondialiste, a conçu l’idée d’un Vieux Continent unifié sur une base supranationale. En novembre 1942, révélera quarante ans plus tard Robert Belot dans le remarquable travail sur Frenay qui vient de lui valoir l’habilitation à diriger des recherches à l’Université, le chef de Combat écrivait au général de Gaulle qu’il faudrait dépasser l’idée d’Etat-Nation, se réconcilier avec l’Allemagne après-guerre et construire une Europe fédérale. Logique avec lui-méme, Frenay se jette dès 1946 dans cette croisade européaniste aux côtés d’Alexandre Marc. Né Lipiansky à Odessa en 1904, ce théoricien du fédéralisme a croisé la trajectoire de Frenay à Lyon en 1941, puis après-guerre. A rebours de l’européanisme de droite inspiré des thèses monarchistes maurrassiennes ou du catholicisme social, les deux amis s’efforcent de gauchir le fédéralisme français alors fort de " plusieurs dizaines de milliers d’adhérents ", ainsi que me l’assurera l’ancien chef de Combat en 1988.

Orientée à gauche, l’Union européenne des fédéralistes, l’UEF, est créée fin 1946. Elle va tenir son propre congrès à Rome en septembre 1948. Frenay en devient le président du bureau exécutif, flanqué de l’ex-communiste italien Altiero Spinelli, prisonnier de Mussolini entre 1927 et 1937 puis assigné à résidence, et de l’Autrichien Eugen Kogon, victime, lui, du système concentrationnaire nazi qu’il décortiquera dans L’Etat SS (Le Seuil, rééd. 1993). A ces trois dirigeants d’atténuer le profond malaise né de la participation de nombreux membres de l’UEF au congrès de La Haye, o๠Churchill et son gendre Sandys les ont littéralement roulés dans leur farine " unioniste ".

Faut-il choisir entre le Vieux Lion et le pionnier de la Résistance intérieure française à l’internationalisme si radical ? Perplexité au Comité, donc à la CIA. Pour Churchill, sa stature d’homme d’Etat, d’allié de la guerre, sa préférence affichée pour le " grand large ", les Etats-Unis ; contre, son refus acharné du modèle fédéraliste si cher aux européanistes américains et bientôt, ses violentes querelles avec le très atlantiste Spaak. En mars 1949, Churchill rencontre Donovan à Washington. En juin, il lui écrit pour solliciter le versement de fonds d’urgence (très riche à titre personnel, l’ancien Premier ministre britannique n’entend pas puiser dans sa propre bourse). Quelques jours plus tard, Sandys appuie par courrier la demande de son beau-père : de l’argent, vite, sinon le Mouvement européen de Churchill s’effondre. Comité et CIA, la principale bailleuse de fonds, débloquent alors une première tranche équivalant à un peu moins de 2 millions de nos euros. Elle permettra de " préparer " les premières réunions du Conseil de l’Europe de Strasbourg, qui associe une assemblée consultative sans pouvoir réel à un comité des ministres statuant, lui, à l’unanimité.

Pour soutenir leurs partenaires du Vieux Continent, ACUE et CIA montent dès lors des circuits financiers complexes. Les dollars de l’oncle Sam - l’équivalent de 5 millions d’euros entre 1949 et 1951, le méme montant annuel par la suite - proviennent pour l’essentiel de fonds alloués spécialement à la CIA par le Département d’Etat. Ils seront d’abord répartis sous le manteau par les chefs du Mouvement européen : Churchill, son gendre, le secrétaire général Joseph Retinger, et le trésorier Edward Beddington-Behrens. En octobre 1951, le retour de Churchill à Downing Street, résidence des premiers ministres anglais, ne tarira pas ce flot : entre 1949 et 1953, la CIA va en effet verser aux unionistes l’équivalent de plus de 15 millions d’euros, à charge pour eux d’en redistribuer une partie à leurs rivaux de la Fédération, la tendance de droite du fédéralisme français, laquelle reverse ensuite sa quote-part à l’UEF. Sommes substantielles mais sans commune mesure avec la manne que l’appareil stalinien international, le Kominform, investit au méme moment dans le financement souterrain des PC nationaux et des innombrables " fronts de masse " : Fédération syndicale mondiale de Prague, Mouvement de la paix, mouvements de jeunes, d’étudiants, de femmes...

Pour Frenay, c’est clair : l’Europe fédérale constitue désormais le seul bouclier efficace contre l’expansionnisme communiste. Mais comment aller de l’avant quand le nerf de la guerre manque si cruellement ? L’UEF n’est pas riche. Son président encore moins, dont la probité est reconnue de tous - après son passage au ministère des Prisonniers, Déportés et Réfugiés, Frenay, ancien officier de carrière sans fortune personnelle, a quitté l’armée au titre de la loi Diethelm de dégagement des cadres. Comme au temps de " l’affaire suisse ", le salut financier viendra-t-il de l’allié américain ? Oui, assurent dès l’été 1950 les hommes de l’ACUE à un représentant français de l’UEF en visite à New York. Conforme à la position officielle du gouvernement américain en faveur de l’intégration européenne, leur aide ne sera soumise à aucune contrepartie politique ou autre, condition sine qua non aux yeux d’Henri Frenay. Et de fait, à partir de novembre 1950, l’ACUE va financer secrètement à hauteur de 600 000 euros l’une des initiatives majeures de Frenay et des fédéralistes de gauche : la création à Strasbourg, en parallèle du très officiel Conseil de l’Europe, d’un Congrès des peuples européens, aussi appelé Comité européen de vigilance.

S’associeront à ce projet des socialistes (Edouard Depreux), des religieux (le père Chaillet, fondateur de Témoignage chrétien ), des syndicalistes, des militants du secteur coopératif, des représentants du patronat et méme... des gaullistes tels Michel Debré ou Jacques Chaban-Delmas. Mal conçue médiatiquement, l’affaire échoue de peu. Raison de plus pour accentuer le soutien financier, oeuvre du secrétaire général de l’ACUE, Thomas Braden. Connu pour ses opinions libérales, cet ami du peintre Jackson Pollock, n’a pas hésité quand Donovan, son ancien patron à l’OSS, lui a demandé de quitter la direction du musée d’Art moderne de New York.

En juillet 1951, Frenay effectue à son tour le voyage des Etats-Unis sous les auspices du Congrès pour la liberté de la culture - une organisation que nous retrouverons bientôt. L’occasion de rencontrer les dirigeants du Comité et ceux de la Fondation Ford (mais pas ceux de la CIA avec lesquels il n’entretiendra jamais de rapports directs) pour leur faire part des besoins matériels des fédéralistes. Message reçu " 5 sur 5 " par les Américains...

A cette date, Braden ne figure plus parmi les dirigeants officiels de l’ACUE. En vertu du principe des vases communicants, l’agent secret esthète vient en effet de rejoindre Dulles à la CIA. Les deux hommes partagent cette idée de bon sens : face aux communistes, ce ne sont pas les milieux conservateurs qu’il faut convaincre, mais la gauche antistalinienne européenne, dont Frenay constitue un des meilleurs représentants. Braden va plus loin : " Comme l’adversaire rassemblé au sein du Kominform, structurons-nous au plan mondial par grands secteurs d’activité : intellectuels, jeunes, syndicalistes réformistes, gauche modérée... ", plaide-t-il. D’accord, répond Dulles. Naît ainsi la Division des organisations internationales de la CIA. Dirigée par Braden, cette direction centralise, entre autres, l’aide de la Compagnie via l’ACUE aux fédéralistes européens. En 1952, l’American Committee for United Europe finance ainsi l’éphémère Comité d’initiative pour l’assemblée constituante européenne, dont Spaak sera président et Frenay, le secrétaire général.

Brouillés avec la " Fédération ", leur rivale de droite qui servait jusque-là d’intermédiaire pour le versement des fonds CIA-ACUE par le truchement du mouvement churchillien, les amis de Frenay sont très vite au bord de l’asphyxie. Pour parer à l’urgence, Braden, virtuose du financement souterrain au travers de fondations privées plus ou moins bidon, va, cette fois, mettre en place une procédure de versements directs aux fédéralistes de gauche par des antennes para-gouvernementales américaines. A Paris, plaque tournante des opérations de la CIA en Europe avec Francfort, on opérera par le biais de l’Office of Special Representative, conçu à l’origine pour servir d’interface avec la toute jeune Communauté européenne du charbon et de l’acier (Ceca), ou de l’US Information Service (USIS). Par la suite, un bureau ACUE proprement dit sera ouvert.

Comme Jean Monnet, président de la Ceca, Frenay caresse, en cette année 1952, l’idée d’une armée européenne, pas décisif vers l’Europe politique selon lui. L’ACUE approuve chaudement. Prévue par le traité de Londres de mars 1952, cette Communauté européenne de défense comprendrait - c’est le point le plus épineux -, des contingents allemands. Reste à faire ratifier le traité par les parlements nationaux. Frenay s’engage avec enthousiasme dans ce nouveau combat. Pour se heurter, une fois encore, à de Gaulle, qui refuse la CED au nom de la souveraineté nationale et, déjà , du projet ultrasecret de force atomique française, ainsi qu’aux communistes, hostiles par principe à tout ce qui contrarie Moscou. D’après les éléments recueillis par Robert Belot - dont la biographie du chef de Combat devrait sortir ce printemps au Seuil -, Frenay demandera méme à l’ACUE de financer l’édition d’une brochure réfutant... les thèses gaullistes sur la CED.

Staline meurt en mars 1953. L’année suivante, Cord Meyer Jr, un proche de la famille Kennedy, remplace Braden à la téte de la Division des organisations internationales de la CIA. Mais 1954 verra surtout cet échec cuisant des européanistes : l’enterrement définitif de la CED. Découragé, Frenay abandonne alors la présidence de l’Union européenne des fédéralistes. A partir d’octobre 1955, les " amis américains " reportent donc leurs espoirs sur un nouveau venu, le Comité d’action pour les Etats-Unis d’Europe de Jean Monnet. Lié à Donovan et surtout à l’ambassadeur américain à Paris, David Bruce, un proche de Franck Wisner, Monnet est trop fin connaisseur du monde anglo-saxon pour accepter directement les dollars de la CIA. Compte tenu de sa prudence de Sioux, l’aide américaine à son courant européaniste devra emprunter d’autres voies. En 1956, Monnet se voit ainsi proposer l’équivalent de 150 000 euros par la Fondation Ford. Une offre qu’il décline, préférant que cet argent soit versé au professeur Henri Rieben, un économiste et universitaire suisse pro-européen qui vient d’étre nommé chargé de mission aux Hautes Etudes commerciales de Lausanne. Rieben utilisera ces fonds en toute transparence financière pour créer un Centre de recherches européen.

En 1958, le retour du général de Gaulle, radicalement hostile aux thèses fédéralistes, annihile les derniers espoirs de l’UEF et de ses amis américains. Dissolution de l’ACUE dès mai 1960 puis cessation des financements occultes par la CIA s’ensuivent. En douze ans, la Compagnie aura quand méme versé aux européanistes de toutes tendances l’équivalent de 50 millions d’euros sans étre jamais prise la main dans le sac ! Mais pourra-t-on préserver longtemps le grand secret ? La première alerte éclate dès 1962. Trop précise sur les financements américains, une thèse universitaire sur les mouvements européanistes doit étre " enterrée " d’urgence en Angleterre. Ce remarquable travail est l’oeuvre du fils d’un camarade de résistance de Frenay, Georges Rebattet, créateur en avril 1943 du Service national maquis. Georges Rebattet, le successeur en 1952 de Joseph Retinger comme secrétaire général d’un Mouvement européen dont il a d’ailleurs assaini pour une bonne part le financement. Deuxième secousse au milieu des années 1960. L’étau de la presse américaine (le New York Times et la revue gauchiste Ramparts ) se resserre sur une des filiales du " trust " Braden-Meyer, le Congrès pour la liberté de la culture o๠se côtoyaient des intellectuels antitotalitaires européens de haute volée - Denis de Rougemont, Manhès Sperber, Franz Borkenau, Ignazio Silone, Arthur Koestler ou, par éclipses, Malraux et Raymond Aron. Financé par la CIA au travers de la Fondation Fairfield, le Congrès édite en français l’une de ses revues les plus prestigieuses, Preuves . Jouant la transparence, Braden jette alors son pavé dans la mare. " Je suis fier que la CIA soit immorale ", déclare-t-il en 1967 au journal britannique Saturday Evening Post , auquel il confie des révélations sensationnelles sur le financement occulte par la CIA du Congrès pour la liberté et sur le rôle d’Irving Brown dans les milieux syndicaux. Silence radio, en revanche, sur le soutien aux mouvements européanistes, le secret des secrets...

Ultime rebondissement à partir de juin 1970, quand le conservateur anglais pro-européen Edward Heath arrive à Downing Street. A sa demande, l’Information Research Department lance une vaste campagne pour populariser sous le manteau l’européanisme dans les médias et les milieux politiques britanniques. En 1973, l’Angleterre fait son entrée dans le Marché commun ; le 5 juin 1975, 67,2 % des électeurs britanniques ratifient la décision par référendum. Dans ce renversement de tendance en faveur de l’Europe, un homme s’est jeté à corps perdu : nul autre que le chef de la station de la CIA de Londres, Cord Meyer Jr. Ce bon vieux Cord qui remplaçait vingt ans plus tôt son copain Braden à la téte de la Division des organisations internationales de la Compagnie.

Une enquête exclusive publiée par la Revue Historia, le 1er mars 2003 - n°675

28 février 2014

ALERTE - Ukraine: la Crimée subit une invasion armée, 2.000 soldats russes aérotransportés à Simferopol

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Plus de 2000 soldats russes seraient arrivés à Simferopol

 

Plus de 2000 soldats russes ont été aérotransportés vendredi à Simferopol, capitale de la Crimée, a affirmé Serguiï Kounitsyne, représentant du président ukrainien dans cette république autonome. Il a dénoncé une "invasion armée russe" tandis que Kiev adressait ses protestations à Moscou.

Le président ukrainien par intérim Olexandre Tourtchinov a demandé vendredi soir au président russe Vladimir Poutine de cesser cette "agression non dissimulée".

"Ils (les Russes) travaillent à des scénarios tout à fait identiques à celui d'Abkhazie: avant de se lancer dans un conflit armé, ils ont annexé le territoire", a déclaré à la télévision Oleksander Toutchinov, faisant allusion aux événements qui ont conduit au conflit armé de 2008 avec la Géorgie.

Espace aérien bouclé

A l'aéroport de cette ville de Crimée, les vols prévus vendredi soir et samedi matin ont été annulés, en raison des "derniers événements" sur place, où des militaires non identifiés et des civils pro-russes patrouillent autour de l'aéroport, a annoncé une porte-parole à Kiev.

Des témoins ont également signalé vendredi soir des mouvements de véhicules militaires sur la route entre Sébastopol et Simferopol, à bord de transports blindés non identifiés, ainsi que l'atterrissage de plusieurs avions-cargo militaires dans un aéroport militaire près de Simferopol.

Protestation à la Russie

Suite à cela, le ministère ukrainien des Affaires étrangères a adressé une protestation à la Russie, qu'il accuse d'avoir violé l'espace aérien national et enfreint les termes du bail qui fait de Sébastopol le port d'attache de la flotte russe de la mer Noire.

Ce alors que le président russe Vladimir Poutine s'entendait vendredi avec le Premier ministre britannique David Cameron sur le fait que "tous les pays doivent respecter l'intégrité territoriale et la souveraineté de l'Ukraine", a indiqué Downing Street. William Hague, chef de la diplomatie britannique, se rendra ce week-end en Ukraine, a-t-il annoncé vendredi.



(ats / 28.02.2014 21h40)

28 février 2014

Propagande homosexuelle dans les manuels de biologie pour les lycéens français

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Dans le nouveau programme scolaire, la propagande homosexuelle atteint des cotes inimaginables

 

par Maria Nicola

 

Les manuels de biologie pour la première année des écoles secondaires de France comprennent, entre autres, le chapitre sur la « Reproduction ». A cette occasion, les enseignants doivent faire des leçons spéciales de « planification familiale », en d’autres termes, éducation sexuelle – autrement dit, les élèves du secondaire reçoivent gratuitement des préservatifs et on leur explique certains aspects concernant la protection, les maladies vénériennes, la grossesse, etc. Ces dernières années, les enseignants les plus zélés ont invité aux leçons d’éducation sexuelle quelques associations gays pour promouvoir leurs points de vue. Ces cas ne sont pas du tout singuliers, probablement parce que les enseignants qui n’ont pas une attitude « politiquement correcte » sont classés comme des « réactionnaires » et sanctionnés tant par le système, que par l’opinion « publique » des autres enseignants et des associations de parents. A partir de maintenant, les choses seront encore plus graves car, dans le chapitre « Reproduction », les manuels qui seront utilisés dès cet automne incluent des références directes et « scientifiques » à l’homosexualité.

La propagande gay est, en fait, omniprésente dans les écoles publiques en France. Il n’y a pas de bibliothèque, de salle, de couloir, qui n’affiche pas des matériels de propagande favorisant ouvertement la dégradation morale et la perversion des mœurs. « Homo, hétéro, nous sommes tous égaux », affirme, par exemple, une affiche de propagande. D’autres sont plus créatifs, diffusant le même message dans un esprit ludique qui sera accueilli avec plus de réceptivité, par exemple: « Julie aime les filles, mais n’aime pas les filles qui n’aiment pas les filles qui aiment les filles. »

De façon machiavélique, ce genre de propagande, qui combine parfois les messages pro-gay avec ceux anti-racistes, ce qui entraîne une confusion totale dans l’esprit des adolescents. Ainsi, ils représentent un groupe de garçons de différentes races et le message antiraciste (louable) est combiné avec celui pro-gay (condamnable) pour que le second semble moralement juste ou même acceptable. Un autre mécanisme psychologique d’une telle affiche est d’inhiber la tendance à condamner l’homosexualité, parce que ceci semble être une option raciste.

Les nouveaux manuels de SVT promeuvent (prétendument) l’homosexualité scientifiquement

SVT est le nom pompeux de ce qu’on appelait avant Biologie. Maintenant, dans le programme des écoles secondaires de l’enseignement public en France, la biologie est appelée « science de la vie et de la terre » (abrégé SVT). Les nouveaux manuels scolaires pour la première année qui ont été approuvés à partir de l’année scolaire 2011-2012 et qui sont obligatoires dans l’enseignement public, dans leurs différentes versions, contiennent une théorie bizarre appelée « la théorie du genre ». Il existe plusieurs versions approuvées du manuel, mais tous énoncent et développent « la théorie du genre », à qui sont alloués pas moins de trois chapitres! Cette « théorie du genre », soi-disant scientifique, mais qui, en réalité, est une chaîne de inepties et d’absurdités, part de l’idée absolument crétine que « le genre des êtres humains n’est pas identique à leur sexe ». A partir d’ici, tout un fil d’idées aberrantes démontre que les êtres humains devraient avoir libre option sur leur « genre ».

La « théorie du genre » n’est pas, bien sûr, nouvelle ; en raison du lobby effectué par les associations d’homosexuels, elle s’est insidieusement infiltrée ces dernières années en imposant un langage « prudent » et « politiquement correct » quand on parle de l’homosexualité. Par cette « théorie », les promoteurs de l’homosexualité cherchent à imposer au subconscient collectif des idées comme que l’hétérosexualité (en d’autres termes, l’orientation sexuelle saine et normale) n’est qu’un choix parmi les possibles options sexuelles des êtres humains.

L’usage du terme « théorie » n’est qu’un autre exemple de manipulation et de désinformation, de vouloir donner l’impression qu’il s’agit de quelque chose de vraiment élaboré, étudié, analysé, prouvé ... Mais cette « théorie » n’est pas, en fait, une théorie scientifique, mais un truc habile qui spécule l’utilisation d’un langage spécifique pour couvrir le non-naturel de certaines orientations et perversions sexuelles. Ainsi, on parle du « genre » d’un être humain et non pas de son « sexe » et ainsi il faudrait accepter toute variation et inversion sexuelle?

Voici un extrait de l’un des manuels approuvés de SVT : « Le sexe biologique détermine si nous sommes mâle ou femelle, mais cela ne suffit pas de dire si nous sommes du genre masculin ou féminin. L’identité sexuelle, construite au cours de toute notre vie, à travers une interaction constante entre le biologique et le contexte socioculturel, est néanmoins cruciale pour notre position en rapport avec les autres. Devenir un individu sexué est partie intégrante de la construction de l’identité. »

Si, en effet, « le genre » d’un être humain n’est pas une question de biologie, mais de psychologie et de sociologie, pourquoi cette théorie est abordée dans les manuels de biologie?! Effectivement, la théorie du genre affirme que chaque être humain peut choisir son genre et son orientation sexuelle est considérée comme quelque chose de complètement différent de l’identité sexuelle de l’être! La conséquence immédiate de cette soi-disante « vérité scientifique » est que les transsexuels ne peuvent pas être considérés anormaux et ne doivent pas être marginalisés. De là la conclusion que l’homosexualité ou la bisexualité sont des orientations sexuelles de la même catégorie que l’hétérosexualité, chacun représentant un choix possible, égal en termes de santé et de moralité – ce qui n’est pas vrai du tout.

L’introduction d’une telle « théories », qui n’est rien que de la propagande, dans les manuels scolaires devrait être un avertissement pour tous les parents qui veulent que leurs enfants soient heureux et... normaux. Par ailleurs, les études sociologiques montrent que la grande majorité des adolescents français commencent leur vie sexuelle pendant leurs études secondaires. Les adolescents, à cet âge, sont très influençables et on ne peut pas dire qu’ils ont déjà du discernement pour se rendre compte si quelque chose est fondamentalement faux. Par ailleurs, cette « théorie » n’est pas présentée comme une théorie parmi d’autres théories existantes dans le domaine, mais comme la seule théorie existante, possible et, implicitement, vraie.

Les parents abusent de leur rôle, conditionnant leurs enfants pour « devenir » les filles, respectivement, garçons?!

A partir de la déclaration citée ci-dessus, pour justifier la « normalité » des orientations aberrantes (et pour induire l’idée que l’orientation sexuelle normale n’est pas nécessairement naturelle) sont formulés divers arguments et plaidoiries. Par exemple, le manuel de SVT indique que : « L’identité sexuelle, c’est se sentir totalement homme ou femme. Et ceci n’est pas si simple que ça en a l’air! L’identité sexuelle dépend du conditionnement social. En effet, chacun apprend à devenir homme ou femme selon son environnement, car une fille n’est pas élevée comme un garçon: ils ne sont pas habillés de la même façon, on ne leur donne pas les mêmes jouets... »

Il est montré en outre que les parents obligent leurs enfants à devenir du genre masculin ou féminin par le fait qu’ils les habillent d’une certaine manière ou leurs offrent un certain type de jouets. De cette manière, affirme le manuel, les parents enlèvent à leurs enfants la chance de choisir leur propre orientation sexuelle, en leur imposant un modèle spécifique au « genre » qui correspond directement au sexe auquel ils appartiennent. Les affirmations de ce genre sont des techniques de manipulation et rien d’autre. D’une part, nous savons tous que, en matière d’habillement, ce n’est plus inhabituel pour les filles de porter des pantalons – beaucoup plus pratiques que les robes. Et au contraire, pensez-vous vraiment qu’il y a beaucoup de gars qui demandent comme cadeau une poupée? Ou les filles, il arrive souvent qu’elles veulent des voitures et des fusils, et leurs parents leurs offrent des poupées juste pour les forcer à devenir... des filles?

Pour justifier l’aberration du fait que nous pouvons choisir le « genre » que nous voulons et nous croyons que tout nous va, cette théorie ne fait pas économie d’arguments et des spéculations pseudo-scientifiques. A une analyse minutieuse on peut démonter toutes les parties de ces fausses démonstrations. Par exemple, un argument sur lequel on insiste beaucoup est le fait que, dans les sept premières semaines de vie intra-utérine de l’embryon humain, le sexe de l’enfant ne se développe pas encore (les organes sexuels ne commencent pas à se développer). Cependant on ne mentionne pas du tout le fait que le sexe du fœtus est déjà prédéterminé par la combinaison de chromosomes.

Le troisième genre: etc.!

De façon hilaire, pour justifier l’affirmation selon laquelle le genre des êtres humains se développe à cause des influences socioculturelles, les manuels de SVT affirment, ni plus ni moins qu’il y a quelques cultures dans le monde où les populations connaissent l’existence de... trois genres! Dans ces cultures, dit le manuel, il est connu qu’un être humain peut être, attention, « homme, femme, etc.... » Donc le troisième genre est… « Etc. » ??? Ultérieurement, on revient avec des précisions quant à ce détail, que le troisième genre désignerait les personnes qui ne sont considérées comme étant ni hommes, ni femmes (sic !). Est-il généralisé le genre neutre des substantifs?

Dans ce contexte, deux exemples sont donnés: une tribu d’Amérindiens, le peuple Ojibwe, où on rencontre l’acceptation des homosexuels et le peuple de Samoa (un archipel du Pacifique Sud). Les soi-disant « berdaches », les indiens Ojibwe homosexuels (le terme couramment utilisé pour eux est d’origine française) sont de véritables outils de propagande pro-gay. On fait l’éloge de la liberté dont ils jouissaient, à épouser des personnes de leur sexe, de se déguiser etc., et l’on spécule une connotation supposée « spirituelle » de cette inversion sexuelle. Quant aux Polynésiens gay de Samoa, ils sont appelés « Mahu » ou « fa’afafin », ce sont les hommes qui adoptent des comportements féminins. Il est dit à leur sujet qu’ils auraient un rôle important dans le maintien de la vie sociale et familiale à Samoa.

Mais on ne nous explique pas, toutefois, pourquoi serait-il nécessaire, dans le XXIe siècle, à adopter le modèle des tribus primitives et pourquoi ce modèle serait-il normal, contrairement à toutes les autres sociétés et cultures traditionnelles connues dans l’histoire. Mais surtout, on ne nous expose pas la bonne taille de ces tribus (les amérindiens Ojibwe sont environ 80.000 personnes vivant dans les Etats-Unis et au Canada, la population Samoa compte environ 100.000 personnes au total), et du bizarre « troisième genre » (il est scandaleux d’insister sur le côté présumé spirituel de cette déviance sexuelle) qui occupe un minuscule pourcentage dans la cadre de ces populations de très petite taille. Certainement, nous ne comprenons pas pourquoi ces tribus primitives, avec une culture rudimentaire et avec une population totale à la dimension d’une petite ville de Roumanie, devrait donner le ton du comportement sexuel d’une planète entière, avec une population de plus de 6 milliards de personnes, au début du 3ème millénaire!

Et parce que l’insulte et probablement trop subtile (ou insuffisante), les étudiants français sont informés sur le fait qu’il y a une espèce de singes, les bonobos, dont le comportement sexuel « n’est pas nécessairement lié à la reproduction ». D’ici on devrait probablement conclure que, s’il y a une espèce de singes chez laquelle parfois les mâles s’accouplent entre eux, alors l’homosexualité n’est pas contre nature!

La plus grande mystification: la position de l’Église et la condamnation de l’homosexualité dans la Bible

Les exemples scandaleux pourraient aller avec chaque phrase, idée ou image des trois chapitres consacrés à ce sujet dans les manuels de SVT. Par exemple, est loué le courant féministe dans sa variante extrême, mais est ridiculisé de façon caricaturale le modèle classique de la famille traditionnelle.

Cependant, le pire aspect apparaît dans un paragraphe encadré intitulé « Qu’est-ce la Bible dit à propos de l’homosexualité? ». Parmi d’autres mensonges grossiers, on dit que « l’Eglise ne condamne pas les personnes homosexuelles », passant entièrement sous silence le fait que l’Eglise chrétienne interdit et condamne de manière catégorique l’homosexualité. A propos du célèbre épisode biblique de la destruction de deux villes, Sodome et Gomorrhe, qui ont été rasées par Dieu de la surface de la terre parce que leurs habitants étaient pour la plupart homosexuels, on ne mentionne rien. C’est certainement une mystification énorme! Par conséquent, nous vous proposons ci-dessous ce passage important de l’Ancien Testament et nous vous suggérons de le lire très attentivement.

Ce qu’on dit dans la Bible de l’homosexualité?
Nous vous offrons ci-dessous le passage de la Genèse intitulé « La destruction de Sodome et Gomorrhe » :
1. Et les deux anges vinrent à Sodome sur le soir; et Lot était assis à la porte de Sodome. Et Lot les vit, et il se leva pour aller à leur rencontre, et se prosterna le visage en terre;
2. et il dit : Voici, mes seigneurs, détournez-vous, je vous prie, vers la maison de votre serviteur, et passez-y la nuit, et lavez vos pieds; et vous vous lèverez le matin, et vous irez votre chemin. Et ils dirent : Non, mais nous passerons la nuit sur la place.
3. Et il les pressa beaucoup, et ils se détournèrent pour aller chez lui, et entrèrent dans sa maison; et il leur fit un festin, et cuisit des pains sans levain, et ils mangèrent.
4. Ils n’étaient pas encore couchés que les hommes de la ville, les hommes de Sodome, entourèrent la maison, depuis le jeune homme jusqu’au vieillard, tout le peuple de tous les bouts de la ville.
5. Et ils appelèrent Lot, et lui dirent : Où sont les hommes qui sont entrés chez toi cette nuit ? Fais-les sortir vers nous, afin que nous les connaissions.
6. Lot sortit vers eux à l’entrée, et ferma la porte après lui;
7. et il dit : Je vous prie, mes frères, ne faites pas ce mal.
8. Voici, j’ai deux filles qui n’ont point connu d’homme; laissez-moi les faire sortir vers vous, et faites-leur comme il vous plaira. Seulement, à ces hommes ne faites rien, car c’est pour cela qu’ils sont venus à l’ombre de mon toit.
9. Et ils dirent : Retire-toi ! Et ils dirent : Cet individu est venu pour séjourner ici et il veut faire le juge ! Maintenant nous te ferons pis qu’à eux. Et ils pressaient beaucoup Lot, et s’approchèrent pour briser la porte.
10. Et les hommes étendirent leurs mains et firent entrer Lot vers eux dans la maison, et fermèrent la porte.
11. Et ils frappèrent de cécité les hommes qui étaient à l’entrée de la maison, depuis le plus petit jusqu’au plus grand, de sorte qu’ils se lassèrent à chercher l’entrée.
12. Et les hommes dirent à Lot : Qui as-tu encore ici ? Gendre, et tes fils, et tes filles, et tout ce que tu as dans la ville, fais-les sortir de ce lieu;
13. car nous allons détruire ce lieu, car leur cri est devenu grand devant l’Éternel; et l’Éternel nous a envoyés pour le détruire.
14. Et Lot sortit, et parla à ses gendres qui avaient pris ses filles, et dit : Levez-vous, sortez de ce lieu, car l’Éternel va détruire la ville. Et il sembla aux yeux de ses gendres qu’il se moquait.
15. Et comme l’aube du jour se levait, les anges pressèrent Lot, disant : Lève-toi, prends ta femme et tes deux filles qui se trouvent ici, de peur que tu ne périsses dans l’iniquité de la ville.
16. Et il tardait; et les hommes saisirent sa main, et la main de sa femme, et la main de ses deux filles, l’Éternel ayant pitié de lui; et ils le firent sortir, et le laissèrent hors de la ville.
17. Et il arriva, quand ils les eurent fait sortir dehors, qu’il dit : Sauve-toi, pour ta vie ! Ne regarde pas derrière toi, et ne t’arrête pas dans toute la plaine; sauve-toi sur la montagne, de peur que tu ne périsses.
18. Lot leur dit : Non, Seigneur, je te prie !
19. Voici, ton serviteur a trouvé grâce à tes yeux, et la bonté dont tu as usé à mon égard en conservant mon âme en vie a été grande; et je ne puis me sauver vers la montagne, de peur que le mal ne m’atteigne, et que je ne meure.
20. Voici je te prie, cette ville-là est proche pour y fuir, et elle est petite; que je m’y sauve donc, (n’est-elle pas petite ?), et mon âme vivra.
21. Et il lui dit : Voici, j’ai accueilli ta demande en cette chose aussi, de ne pas détruire la ville dont tu as parlé.
22. Hâte-toi de te sauver là; car je ne peux rien faire jusqu’à ce que tu y sois entré. C’est pourquoi on a appelé le nom de la ville Tsoar.
23. Le soleil se levait sur la terre quand Lot entra dans Tsoar.
24. Et l’Éternel fit pleuvoir des cieux sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu, de la part de l’Éternel;
25. et il détruisit ces villes, et toute la plaine, et tous les habitants des villes, et les plantes de la terre.
26. Et la femme de Lot regarda en arrière, et elle devint une statue de sel.
27. Et Abraham se leva de bon matin, et vint au lieu où il s’était tenu devant l’Éternel.
28. Et il regarda du côté de Sodome et de Gomorrhe, et du côté de tout le pays de la plaine, et il vit, et voici, la fumée de la terre montait comme la fumée d’une fournaise.
29. Et il arriva, lorsque Dieu détruisit les villes de la plaine, que Dieu se souvint d’Abraham et renvoya Lot hors de la destruction, quand il détruisit les villes dans lesquelles Lot habitait
.
Genèse, chapitre 19, 1-29

Exercices et problèmes

Comme si les affirmations de ces leçons n’étaient pas suffisamment aberrantes, les chapitres traitant de ce sujet s’achève, comme tous les autres chapitres des manuels, avec ... exercices et problèmes pour tester la compréhension correcte, la mémorisation et l’assimilation des connaissances enseignées.

On propose aux étudiants des exercices comme: « Expliquez pourquoi l’orientation sexuelle fait partie du domaine de la vie privée. » De façon hilaire, à côté de cet exercice est placée une photo représentant deux hommes à la parade Gay avec une tenue et des gestes totalement ridicules. Sous l’illustration est écrit: « Toute personne à droit à une sexualité élargie ». Alors... quel rapport avec la vie privée?

Il y a des exercices classiques, qui nécessitent de déterminer si certaines affirmations sont vraies ou fausses. Certaines questions, qui sont, en effet, des vérités scientifiques, sont mises sur un pied d’égalité avec des spéculations ou des généralisations. Voici deux affirmations qui, dans un tel exercice, sont mises ensemble comme si les deux étaient vraies:
• Il y a un stade de l’embryon humain où il n’y a pas de différence entre un fœtus mâle et un femelle (ce qui est évidemment vrai, scientifiquement prouvé – les organes génitaux du fœtus se développent à partir de la huitième semaine de grossesse, mais son sexe est cependant déterminé par le chromosome X ou Y qui provient du spermatozoïde à partir du moment effectif de la conception).
• L’identité sexuelle peut être en désaccord avec le phénotype sexuel (ceci est le mensonge de base que la « théorie du genre » veut inoculer dans les esprits des jeunes).

Réactions adverses et propagande pro

Les nouveaux manuels scolaires ont provoqué une vague de réactions d’indignation qui ont été totalement ignorées par les autorités. Avec les écoles catholiques, d’autres associations ont protesté contre les nouveaux manuels. Elles ont initiés une pétition en ligne, diverses personnalités ont écrit quelques articles (des lettres ouvertes adressées aux officiels) très pertinentes, le ministre français de l’Education a été interrogé par plusieurs parlementaires à travers des adresses officielles... Tous ces efforts sont restés sans réponse. En outre, ceux qui ont demandé la révision des manuels scolaires ont été violemment accusés par certains syndicats de l’éducation par des déclarations de propagande comme « Les associations familiales catholiques ont commencé une nouvelle croisade. Cette fois, ils ont ciblé le programme de SVT de la première année de lycée et, comme mentionné dans les manuels scolaires, elles refusent d’accepter les différences ! » La machine à propagande a commencé à créer de l’agitation et à invoquer l’intégrité professionnelle et la nécessité de sécularisation de l’éducation.

Le fait d’être hétérosexuel, c’est-à-dire normal, est-il devenu un handicap? N’a-t-il pas déjà été atteint en ce sens à une situation similaire à la propagande anti-raciste? Dans ce cas, pour être « politiquement correct » ce n’est pas suffisant de promouvoir l’égalité des races, mais il est indiqué de souligner l’infériorité de la race blanche! De la même manière, juste pour donner « l’égalité des chances » à toutes les communautés religieuses, les chrétiens, dans de nombreux pays, ont le moins de droits, par rapport à toute autre religion ou confession?

La question rhétorique que nous pouvons énoncée dans la fin de cette analyse est la suivante: si les promoteurs de l’homosexualité sont tellement convaincus qu’elle est biologiquement, moralement et spirituellement correcte, pourquoi tant de mensonges, de mystifications, de techniques de manipulation et des raisonnements erronés pour la promouvoir? Pourquoi ils ne présentent pas, en égale mesure, le rôle historique de l’hétérosexualité et ses avantages? Pourquoi on n’enseigne pas aussi aux adolescents la biologie et la psychologie normale des deux sexes?

http://www.yogaesoteric.net/content.aspx?lang=FR&item=6816

28 février 2014

Brésil :Il décide de se marier avec une chèvre .

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Âgé de 74 ans, Aparecido Castaldo voulait épouser prochainement Carmella. Problème, Carmella est une chèvre. Un détail qui compte pour l’église catholique qui associe cet animal au symbole du diable. Qu’à cela ne tienne, c’est à un prêtre sataniste que le futur marié a alors décidé de s'adresser pour lui permettre de s’unir à sa chère et tendre biquette! Veuf depuis un petit moment, Aparecido Castaldo, âgé aujourd'hui de 74 ans, n’avait qu’un souhait dans la vie. Celui de partager ses vieux jours avec sa bien-aimée Carmella. Rien de plus naturel pour ce retraité brésilien tailleur de pierres vivant à Jundiai et qui comptait même prochainement épouser celle qui partage sa vie. Souhaitant coûte que coûte épouser Carmella, Aparecido Castaldo s’est alors tourné vers Toninho do Diabo, un prêtre sataniste bien connu au Brésil. Un mariage controversé célébré dans l’église du Diable Outre le fait qu’Aparecido Castaldo se soit vu refuser la célébration de son union par l’église catholique, l’homme de 74 ans a dû aussi faire face à la levée de bouclier de nombreuses associations de défense des animaux qui n’ont pas vu d’un très bon œil son union avec cette chèvre. "Quand quelqu’un me dit que ce que je fais est mal, je réponds que la chèvre ne parle pas, ne me demande pas d’argent et ne tombera jamais enceinte", répond avec humour Castaldo qui préfère préciser que le mariage ne sera pas consommé et que Carmella a déjà été acceptée en tant que "belle-mère" par ses sept enfants nés de son union précédente. Quand à Toninho do Diabo qui célébrera la cérémonie le 13 octobre prochain dans "l’église du Diable" située à Sao Paulo, celui-ci explique à Oddity Central : "seule notre église accepte cette union entre cet homme et son animal parce que nous n’avons pas de préjugés."


Copyright © Gentside
28 février 2014

Une liturgie roumaine inversée utilisée comme invocation satanique dans un film avec Tom Cruise

6162_1par Alina Istrate
Article tiré de la Revue des Mystères n °. 66/

« Eyes Wide Shut » ou, en traduction, « Les yeux grands fermés » (diffusé en Roumanie en DVD) peut être considéré comme le film-testament du célèbre réalisateur américain Stanley Kubrick.

Classés par les critiques comme un thriller érotique ou un drame psychologique, le film a été suivi par une série d’événements néfastes: Kubrick est décédé d’une crise cardiaque avant d’avoir terminé le montage, et le couple d’acteurs Tom Cruise - Nicole Kidman a éclaté après 10 ans de mariage. L’interprétation donnée est que la mort du réalisateur a été une punition reçue en raison de la révélation de certains secrets des organisations occultes sataniques. L’interprétation est allée si loin avec cette hypothèse que la séparation de l’un des des plus célèbres couples de Hollywood a été attribuée à la participation des deux à l’orgie sexuelle satanique présentée dans le film.

Certes, personne ne peut prouver que toutes ces conséquences négatives sont dues au sombre scénario. Mais l’abondance des symboles maléfiques du film, que nous dévoilons en avant-première, démontre hors de tout doute que les pratiques sataniques génèrent des effets terribles, aussi bien pour ceux qui les ont pratiqués en connaissance de cause, que chez ceux qui y assistent inconsciemment.

Le chant du cygne de Stanley Kubrick, Eyes Wide Shut, maudit par certains critiques et élevé au rang d’un chef-d’œuvre par d’autres, est apparu dans une zone située à la frontière entre rêve et réalité. De toute évidence, le film n’a pas été pas fait pour nous donner des moments de détente et de confort, mais il est plutôt un cri terrible, un avertissement visant à nous éveiller du sommeil de l’esprit, de nous faire comprendre la réalité dans laquelle nous vivons. Et comme le sommeil de la raison fait naître des monstres, le film abonde en images hideuses où les femmes sont davantage perçues comme des outils sexuels, que vous pouvez acheter pour un prix, et les hommes en tant que vendeurs et acheteurs de ces « poupées ». Ce ne pas par hasard que le film commence avec l’image d’Alice Harford (Nicole Kidman) en face d’un miroir nue et vêtue d’une robe élégante de cocktail, demandant à son mari: « Je suis bien ? ». Il est donc suggéré l’idée de marchandise qui doit être présentable. En réponse, le personnage de Tom Cruise, le Dr Bill Harford, apparaît pour la première fois à la recherche de son portefeuille, ce qui le définit dans une position d’acheteur.

« Eyes Wide Shut »

La vie du couple Harford prend une tournure inattendue après avoir participé à une fête de Noël donnée par l’un des clients fortunés de Bill, Victor Ziegler. Lors de la soirée, où le couple connaissait peu de gens, Bill et Alice flirtent avec des gens qui leur proposent de façon voilée des relations extraconjugales. Là aussi, dans une somptueuse salle de bains, meublée, avec des peintures sur les murs, Bill est appelé par Ziegler pour ranimer une femme nue (avec qui, selon toute vraisemblance, Ziegler vient juste d’avoir des rapports sexuels), inconsciente après une surdose de drogue. Bien sûr, tout devait rester secret.

De retour chez eux, Bill et Alice sont sur le point de faire l’amour et fument de « l’herbe », mais Alice a un soudain accès de jalousie (en pensant au flirt de Bill avec deux modèles, lors de la soirée) et de la colère - parce et il lui semble être considérée par les hommes comme un objet sexuel. A cette occasion, elle avoue à Bill un de ses fantasmes érotiques, avec un officier de marine qu’elle avait rencontré dans un hôtel. Les images en noir et blanc de la trahison imaginaire de sa femme accompagneront le Dr. Harford tout au long du film. Malade de jalousie, sentiment qu’il n’avait pas vécu jusqu’alors vis à vis d’Alice, il va à la recherche d’aventures sexuelles. Il appelle à une prostituée, Domino, qui s’avère finalement être infectée par le sida, puis par son ami, le pianiste rencontré à la soirée de Ziegler, il réussit à assister à un des rituels sexuels secrets, qui évoquent les cérémonies des organisations occultes : les participants doivent porter des longs manteaux à capuche et des masques, tout est absolument secret, et Bill est averti par une femme qu’il est en grand danger. Ironiquement, le mot de passe pour l’accès à la cérémonie, à laquelle tous s’accouplaient, est "Fidelio" (fidélité). Découvert comme intrus, le médecin s’échappe de cette orgie à l’aide de la femme masquée qui l’avait averti auparavant et qui accepte de « se sacrifier » pour lui.

En arrivant chez lui après cette aventure nocturne, où il n’a pas trompé sa femme, Harford la trouve en plein cauchemar... Alice se réveille et lui dit, terrifiée, qu’elle rêvait d’une réunion à laquelle tous les participants étaient nus, et elle a d’abord eu des rapports sexuels avec l’officier de marinede son fantasme, et puis des centaines d’hommes desquels elle ne se souvient plus. La même histoire, dans des mondes différents, et la ligne entre le plan réel et l’imaginaire devient plus mince. L’enquête de Bill Harford sur ces réunions ne le mènent pas très loin : dans la presse il apprend que Mandy (la prostituée qu’il avait sauvé lors de la soirée de Ziegler et qu’il soupçonne de s’être sacrifiée pour lui à l’orgie occulte) est morte d’une overdose ; de son ami, le pianiste, il apprend qu’il est disparu dans des circonstances mystérieuses, avec deux « gorilles » à sa poursuite et une ecchymose sur le visage. Une tentative de visite au château où a eu lieu l’étrange rituel satanique se termine par une lettre de menace où il est averti que, s’il poursuit son enquête inutile, lui et sa famille vont en souffrir. Enfin, il est appelé par son client Ziegler, qui lui avoue qu’il était présent lors de l’orgie et essaye de lui faire abandonner ses recherches et lui demande de garder le silence sur ce qu’il a vu.

Secrets qui tuent

Une synchronicité qui peut nous donner matière à réflexion: Kubrick, le père du film « 2001 L’odyssée de l’espace» (1968) est mort 666 jours avant le Janvier 1, 2001. Kubrick, à travers ce film, met en garde que toute personne qui révèle les secrets des hommes puissants peut être « terminée », sans pénalité. Était-ce une prédiction (et avertissement) de sa disparition ?

Il n’est cependant pas le seul que l’on soupçonne d’avoir été assassiné à la suite de la divulgation des secrets des organisations occultes. Comme Uri Dowbenko le dit dans son commentaire du film publié par Steamshovel Press, la mort mystérieuse du brillant compositeur Mozart et la soudaine disparition des écrivains Stephen Knight et William Morgan étaient due à la révélation de ce genre de secrets.

Dans le cinéma, le dernier film qui a exposé des activités occultes maléfiques, avant Eyes Wide Shut, avait été « Rosemary’s Baby » de Roman Polanski. Peu de temps après la première, la femme de Polanski, enceinte, a été assassinée par le sataniste Charles Manson.

Le rituel satanique sexuel du film de Kubrick a est inspiré par les cérémonies du Hellfire Club, une loge maçonnique anglaise fondée au XVIIIe siècle par Sir Francis Dashwood. Il ressemble aux rituels orgiaques de magie noire pratiqués par le controversé Aleister Crowley au sein de son organisation satanique, Ordo Templi Orientis (OTO).

Terribles expériences de la CIA

Le message de Kubrick est assez difficile à déchiffrer, car il n’était plus présent lors du montage final du film. Cependant, pour les esprits lucides et attentifs, il y a encore beaucoup d’indices qui montrent le mode d’action perfide des organisations occultes sataniques

En outre, comme l’indique Adam Gorightly dans le magazine The Konformist (mai 2000), dans le film sont introduits de nombreuses allusions voilées aux expériences de contrôle du mental menées par la CIA, le programme MK-ULTRA et la programmation des esclaves sexuels du type Monarch.

Selon le témoignage des victimes du programme Monarch, il semble que leur nombre serait de plusieurs milliers et qu’elles sont été utilisées, sous l’influence des drogues, en tant qu’esclaves sexuels et d’assassins programmés. Selon diverses sources, la programmation Monarch commence immédiatement après la naissance et se déroule au tout au long des vies des victimes, qui sont utilisées par les agences de renseignement et des organisations occultes jusqu’à ce qu’ils remplissent les finalités pour lesquelles elles ont été prévues, après quoi elles sont éliminées (lire tuées) de sorte que tout ressemble à un accident ou à un suicide. Au-delà de la désinformation qui est délibérément cultivée quant au contrôle mental, les témoignages des victimes parlent d’eux-mêmes.

Le journaliste Per SEWEN de Illuminati News rapporte qu’il a vu le film Eyes Wide Shut en compagnie d’une femme qui avait été victime d’un rituel satanique. Elle a dit que le rituel orgiaque du film était très semblable à celui auquel elle avait été soumise. Aucune de ces deux ne savaient rien de ce film, ils ont donc été terrifiés. Les films de ce genre peuvent engendrer des traumatismes psychologiques et des émotions négatives troublantes peuvent être déclenchées chez les victimes de ces abus sexuels rituels leur . La femme en question a subi un choc après avoir vu le film.

« Où se termine l’arc en ciel »

Une première indication sur le programme Monarch est présentée juste au début du film, la scène de la fête de Ziegler où le personnage de Tom Cruise, le Dr Bill Harford, est séduit par deux beaux modèles qui l’ont pris par le bras et le conduisent vers un apparent ménage-à-trois. Lorsque Bill demande aux deux belles de lui dire exactement où elles ntl’emmener, elles lui répondent en plaisantant: "Où se termine l’arc en ciel." Considéré dans le contexte des événements à suivre du film, ce morceau de dialogue est une référence claire à la programmation Monarch, dans laquelle sont utilisés comme outil de programmation du mental, des thèmes et des images de contes pour enfants tel que Le Magicien d’Oz (qui contient la chanson "Au-delà de l’Arc en Ciel ") (selon le livre Trance Formation en Amérique par Mark Phillips et Kathy O’Brien).

On soupçonne que même Judy Garland, l’actrice qui jouait Dorothy dans la version cinématographique du Magicien d’Oz d’avoir été elle-même victime du programme Monarch (elle a été toxicomane durant toute sa vie et est décédée d’une overdose de barbituriques à seulement 47 ans).

Plus tard dans le film, Bill loue une cape et un masque dans une boutique de costumes "Rainbow" ("Arc-en-ciel"). Dans la première scène du magasin, le propriétaire du magasin surprend sa fille mineure presque nue avec deux hommes et fait du scandale, menaçant les deux hommes de prévenir la police. Dans une scène plus tard, le même propriétaire, non seulement vend sa fille aux deux mêmes hommes auprès desquels il a fait du scandale, mais il suggère aussi au Dr Bill qu’il peut avoir accès aux services de l’adolescente, à tout moment, bien sûr, pour un prix « raisonnable »...

Tous ces « détails » sont très importants, parce que, dans la programmation d « Magicien d’Oz », de très jeunes enfants se retrouvent dans une position d’esclaves Monarch, molestés et traumatisés lors de rituels sataniques sexuels, après un arrangement (contrat) fait par leurs parents avec des soi-dits agents Monarch. L’agent est un programmateur et en même temp un intermédiaire entre les parents et les dirigeants de l’organisation Monarch. En tout cas, le changement radical d’attitude du père, de l’image de défenseur de l’honneur de sa fille à celle de « maquereau », ainsi que l’hypostase de prostituée mineure de la fille s’inscrivent dans la symbolique du papillon Monarch, la chenille qui se transforme en papillon. Le terme « Monarch » est trompeur dans ce cas, parce qu’il renvoit à la métamorphose du papillon Monarque en une très belle créature. C’est le mensonge et l’illusion de ce programme : tromper les victimes en leur faisant croire qu’elles se sont transformées en quelque chose de magique, de merveilleux, alors qu’en fait, elles deviennent des esclaves par le contrôle de l’esprit. Dans le film, la chenille qui devient papillon est la fille d’un propriétaire de magasin de costumes.

Mannequins présidentiels, jouets de sexe pour les hommes politiques

Une autre allusion aux programmes MK-ULTRA et Monarch se trouve dans la scène avec les deux modèles qui séduisent le médecin à la soirée de Noël de Ziegler. Les deux peuvent être associées à ce qui, dans les annales de MK-ULTRA, porte le nom de « mannéquins présidentiels » (une dénomination utilisée pour la première fois dans le livre The Control of Candy Jones (Le contrôle de Candy Jones) par Donald Bain et Long John Nebel). Elles sont utilisées par les politiciens comme des « sex toys, poupées programmées pour se prostituer avec toute personne indiquée par les agents du programme. On pense que Marilyn Monroe a été la première esclave sexuelle du programme Monarch qui ait obtenu le statut de célébrité dans le monde entier, ceci étant également une explication du mystère de sa mort, à seulement 36 ans, camouflée en suicide par overdose de médicaments.

Tous les personnages féminins du film sont, de façon plus ou moins évidente, des victimes du programme Monarch d’esclavage sexuel: les deux mannequins, la fille ranimée par le docteur dans la salle de bain de Ziegler, la prostituée Domino que Bill visite, la fille du propriétaire du magasin de costumes, et même Alice, sa femme - qui est traitée par l’aristocrate avec qui elle a dansé à Noël comme une possible prostituée.

Liturgie roumaine blasphémée

Harford apprend, par une négligence de son ami le pianiste, qu’il est appelé à participer, les yeux bandés, à des rencontres étranges qui ont lieu chaque fois dans un autre lieu et où tous les participants portent des manteaux noirs à capuche et des masques. A chaque fois il reçoit un mot de passe absolument nécessaire pour entrer. En outre, il raconte que la dernière fois ses yeux était moins bien cachés et qu’ainsi il a pu voir beaucoup de femmes, toutes avec des corps de mannequins, nues... Le médecin prend le déguisement nécessaire et, utilisant le mot de passe fournit par le pianiste, il entre dans un somptueux château, se retrouvant en plein rituel sexuel satanique, semblable aux orgies du magicien noir Aleister Crowley. Il est averti à deux reprises par une femme mystérieuse que sa présence ici met sa vie en danger. Bientôt, il est découvert comme intrus et le chef du rituel (« Le Grand Prêtre ») l’oblige à ôter son masque et ses vêtements. En ce moment difficile pour le médecin, la même femme masquée, et il est suggéré qu’il s’agit de Mandy, la maîtresse droguée de Ziegler, s’offre à sacrifier à sa place. En confirmation de ce « sacrifice rituel », les journaux du lendemain annoncent la mort d’une femme comme due à une overdose. Par cela, le réalisateur montre que tout esclave Monarch peut être supprimé s’il viole les règles établies par le programme et est considéré comme un risque pour celui ci.

Pourquoi dire que ce rituel est-il satanique ?

Il a été constaté (et je l’ai personnellement vérifié en utilisant un programme informatique, CoolEdit – note de la rédaction) que la musique qui accompagne le rituel est en réalité un fragment inversé (chanté de la fin au début) d’une liturgie roumaine. Bien sûr qu’à côté de la voix en question, il y a une orchestration, mais dans le déroulement inversé du passage musical on distingue très clairement les mots en roumain: « Nous prions également pour la miséricorde, la vie, la paix, la santé, le salut, la recherche, l’abandon et le pardon des péchés des serviteurs de Dieu, de ceux qui prient et des bienfaiteurs de ce lieu saint de culte. Et le Seigneur dit à ses disciples : voici un commandement nouveau que je vous donne... "

Le compositeur britannique, Jocelyn Pookie, a acquis une immense célébrité suite à la musique originale du film de Kubrick. Par crainte de possibles protestations, elle a gardé un silence discret sur l’origine de ce morceau musical. Elle a été nominée pour un Golden Globe et elle-même avoue qu’elle ne sait pas si elle pourrait de nouveau égaler la performance de cette musique de film. Des critiques importants d’Hollywood apprécient encore plus la musique du film que le film lui-même. La chanson est apparue d’abord sur l’album « Flood », déluge, du compositeur, d’où elle a ensuite été reprise dans le film de Kubrick. Le problème avec ce morceau de musique semble plus compliqué qu’il y paraît. Tout d’abord, il faut dire que, malgré l’énorme intérêt suscité par la musique de ce film, presque nulle part on ne mentionne qu’ il s’agit là d’une messe chantée en roumain et jouée à l’envers.

Comme témoignage sur le fait d’avoir gardé intentionnellement un quasi-secret sur cet aspect on trouve les nombreux articles de plusieurs critiques réputés de cinéma qui ont commenté en détail la bande sonore du film, les interprètes, les chansons, mais dès qu’ils arrivent à la scène du bal masqué ils ne savent pas quoi dire. Il est vrai que Jocelyn Pookie a plus tard donné une interview à une station de radio à New York, déclarant que la pièce ne lui appartient pas et qu’il s’agit un traitement d’un enregistrement fait dans une église de Baia Mare, mais cette interview n’a jamais été publiée et presque personne n’en connaît l’existence.

Pourquoi cette manie du secret ? Voici une des raisons: Pendant le tournage du film, Jocelyn Pookie avait placé immédiatement après la scène de la cérémonie du « Bal masqué » un morceau d’un texte sacré hindou accompagné de musique. Immédiatement, la communauté hindoue de Grande-Bretagne a menacé d’un énorme scandale et la maison Warner Bros a décidé qu’il était préférable de ne pas agiter les choses. Donc, il a été choisi un morceau « de la même langue », qui a utilisé un texte « neutre ». Après tout, combien de personnes connaisent la langue hindoue à Venise, où le film a été présenté en premier, se demande avec naïveté la fille de Kubrick, qui raconte l’épisode. (http://www.visual-memory.co.uk/faq/html/ktemp.html)

Le principe de l’inversion des symboles est bien connu en occultisme. Un symbole divin, s’il est inversé, devient un symbole satanique, son énergie bénéfique étant ainsi pervertie et modifiée dans un sens maléfique. Par exemple, la croix inversée est souvent utilisée dans les rituels sataniques comme un symbole des mondes infernaux. De même, la liturgie orthodoxe, qui est un pont vers Dieu, devient un symbole satanique d’autant plus puissant que la foi du peuple auquel il appartient est grande. Et le réalisateur du film savait tous ceci, parce qu’il a expressément demandé de ne pas diffuser ce film en Roumanie. Peut-être s’agit-il de la raison pour laquelle le premier cannal de télévision qui l’a diffusé, HBO, s’est vanté d’avoir durement acquis les droits de diffusion dans notre pays.

Bien que ces problèmes soient connus depuis l’an 2000, l’année du lancement du film, à peine y-at-il eu chez-nous en 2002 un peu de tourmente médiatique à ce sujet. En cette occasion, le journal Evenimentul Zilei a publié un article sur la position du Patriarcat et de la maison de disques Electrecord surtout sur la question des droits d’auteur sur le fragment liturgique utilisé dans la bande sonore du film Eyes Wide Shut.
Perdus dans les méandres des droits d’auteur, il semble qu’ils ont tous « oublié » de remarquer tous les dommages moraux de la modification d’une liturgie, par inversion, en un outil puissant de magie noire. Quel effet pensez-vous que ce passage sonore a eu sur les millions de gens qui ont regardé le film ? Et quelle loi humaine pourrait nous défendre contre un tel blasphème ? La justice a également « les yeux grands fermés ».

Traumatismes physiques et psychiques utilisés dans la manipulation

Pour ceux qui ne sont pas familiers avec les règles des sociétés secrètes, il peut paraître incompréhensible que M. Harford soit en danger de mort uniquement parce qu’il a assisté une orgie sexuelle satanique avec des participants masqués. Mais il est ainsi devenu un témoin de la programmation sexuelle de type Monarch et représente une possible menace pour ceux qui mènent cette action terrible, et qui relève du domaine de l’inimaginable. Ziegler lui suggère d’arrêter ses recherches, en lui disant qu’il n’y a pas de lien entre la mort du mannequin drogué et l’orgie à laquelle avait assisté le médecin ; par ailleurs, il l’avertit que s’il connaissait les noms des participants, il ne pourrait plus dormir tranquile.

À la fin du film Eyes Wide Shut, dans le générique, nous apprenons que le scénario a été inspiré par un roman intitulé « Traumnovelle », de l’écrivain Arthur Schnitzler. Traum en allemand signifie rêve, mais rappelle également le principal outil utilisé dans la programmation MK-ULTRA et Monarch, appelé « programmation fondée sur les traumatismes ». Selon les victimes de ce genre d’abus, différents types de traumatismes - à la fois physiques et mentaux - sont utilisées pour générer des personnalités multiples facilement contrôlables. Cette méthode sépare la victime de l’essence de son être. Dans leur tentative désespérée pour échapper au traumatisme induit, les victimes adoptent une personnalité différente, un alter ego qui est complètement inconscient du traumatisme subi par la personnalité de base. C’est une modalité psychologique utilisée pour cacher sous un masque la dure réalité de ce genre d’abus et, en même temps, le résultat attendu de la « programmation fondée sur les traumatismes ». C’est ce qui explique la signification des masques au cours de la scène d’orgie, car les victimes Monarch ont commuté, avec leur entrée par la porte du château, vers leurs personnalités d’esclaves sexuels, en adoptant l’une de leurs nombreux alter-egos prévus.

Le titre du film, Eyes Wide Shut, cache en lui certaines significations. Premièrement il est suggéré que l’information est traitée de façon subliminale au niveau du subconscient, pendant que le mental conscient est endormi. A partir de ce niveau subconscient « les programmeurs mentaux » peuvent accéder au mental de leurs victimes. C’est ce que les experts appellent « la révélation de la méthode », ce qui signifie le traitement subtil de l’humanité en utilisant d’autres outils tels que les médias, la télévision et le cinéma. C’est pour cette raison – que certains ont dit que Kubrick a dû payer ce film avec sa vie, parce qu’il a révélé, de façon ostentatoire, ce qui se passe dans les coulisses des sociétés et des agences secrètes qui utilisent le contrôle mental pour programmer les masses. En outre, tuer à distance en provoquant une crise cardiaque, est bien connue comme une modalité spécifique aux sectes sataniques.

La prise de conscience de la condition de l’esclavage, l’étincelle de la liberté

Une des scènes mémorables dans le film est celle où Bill et Alice s’embrassent devant le miroir, un prélude à l’amour. Voici ce que nous disent sur le symbolisme du miroir les chercheurs du programme Monarch, Cisco Wheeler et Fritz Springmeier: « ... dans la programmation des esclaves Monarch, les miroirs tiennent un rôle important. Dans l’esprit de ceux-ci, sont créées d’innombrables images en miroir. Comme Marilyn Monroe a été dépourvue de toute identité personnelle, elle a décoré sa maison comme l’intérieur de son esprit - pleine de miroirs. Marilyn est le cas extrême que nous connaissons, parmi les esclaves du programme Monarch, qui a rempli sa maison de miroirs ... »

Dans cette scène du miroir, Alice Harford regarde deux fois dans le miroir et son reflet peut être interprété comme une expression de la culpabilité ou de la confusion. Dans la programmation Monarch, on sait que les miroirs sont utilisés pour commuter entre les différentes personnalités et pour provoquer la dissociation, ce qui fournit la clé de cette scène. L’hypothèse selon laquelle Alice est une victime du programme de contrôle de l’esprit, explique son caractère plein de contradictions et qui passe, tout au long du film, par une série de conditions inexpliquées. A la fête de Ziegler - dansant avec un aristocrate étranger, elle adopte l’image d’une personne aérienne, dans une autre scène elle est intelligente et sophistiquée, puis froide et dure. Elle apparaît également dans une position de mère aimante et d’épouse dévouée. Après la consommation d’« herbes », elle devient subitement jalouse et juge chaque mot de son mari, déclenchant une dispute pour un rien. Son état évolue rapidement après avoir fumé des drogues, ce qui indique qu’ils sont un outil commun dans la programmation Monarch pour basculer entre les différentes personnalités. Le couple a une confrontation finale où Bill trouve le masque qu’il croyait perdu sur l’oreiller à côté de sa femme endormie, comme un message aussi clair que possible : les participants au rituel satanique ont toujours eu accès à sa femme, même si elle dormait, entrant dans les coins les plus cachés de son esprit subconscient.

Le dialogue final, qui a lieu dans un magasin à l’occasion des achats de Noël, montre que les deux n’ont pas compris ce qui se passe et qu’ils vivent encore « avec les yeux grands fermés ». Le seul moyen de s’échapper est d’ouvrir de grands yeux et de comprendre qu’ils sont victimes d’un processus de manipulation.

La prise de conscience de la condition de l’esclavage est le premier aperçu de l’état de liberté.



yogaesoteric

http://archivesmillenairesmondiales.wordpress.com/2013/11/08/stanley-kubrick-les-societes-secretes-et-la-pedocriminalite-decodage-du-film-eyes-wide-shut-2/

Voici les paroles qu’on entend dans le film:

Auov uad auon acnurop ias iicinecu ertac iulunmod asiz. Aiutseca iulusacal iulutnafs ia irotacafenib is irotiulim irotanihcni. Uezenmud iul rolibor roletacap aeratrei is aerasal aeratecrec aer.

En lecture inversée (backmasking) on tombe sur un passage de la Bible, (Jean 13, 34) en Roumain:

Zisa Domnului catre ucenicii sai, porunca noua dau voua. Domnului sa ne rugam pentru mila, viata, pacea, sanatatea, mantuirea, cercetarea, lasarea si iertarea pacatelor robilor lui Dumnezeu. Inchinatori, miluitori si binefacatori ai sfantului lacasului acestuia.

La translation en anglais donne:

And God told to his apprentices…I gave you a command…to pray to the Lord for the mercy, life, peace, health, salvation, the search, the leave and the forgiveness of the sins of God’s children. The ones that pray, they have mercy and they take good care of this holy place.

Traducion Française littéralle:

Et Dieu dit à ses apprentis … Je vous ai donné un ordre … à prier le Seigneur pour la miséricorde, la vie, la paix, la santé, le salut, la recherche, le congé et le pardon des péchés des enfants de Dieu. Ceux qui prient, ils ont pitié et ils prennent bien soin de ce lieu saint.

Extrait de la Bible en Français, Jean 13:33-35:

34 Je vous donne un commandement nouveau: Aimez-vous les uns les autres. Oui, comme je vous ai aimés, aimez-vous les uns les autres.

Curieux et controversé, juste «Le commandement nouveau» a été chanté dans les scènes d’orgie, affirmant que le maximum devrait aimer les uns les autres d’une manière jamais appelé par l’Église, en se concentrant uniquement sur l’amour sexuel ou eros, ignorant l’amour transcendant et pur pour les chrétiens.


Reverse Soundtrack Eyes wide shut par thespacemonkey13

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