la première guerre mondiale déclenché par les jésuites pour détruire l'Eglise orthodoxe
Parmi les causes profondes qui déterminèrent le Vatican à faire éclater la première guerre mondiale, en excitant l'empereur d'Autriche François-Joseph à « châtier les Serbes », on a vu que la principale fut de porter un coup décisif à l'Eglise orthodoxe, cette rivale séculairement détestée.A travers la petite nation serbe, c'était la Russie qu'on visait, la traditionnelle protectrice des orthodoxes balkaniques et orientaux.
Ainsi que l'écrit M. Pierre Dominique
« Pour Rome, l'affaire prenait une importance presque religieuse ; un succès de la monarchie apostolique sur le tsarisme pouvait être considéré comme« une victoire de Rome sur le schisme d'Orient. » (135) Dès lors, on se souciait fort peu, à la Curie romaine, qu'une telle victoire ne pût être acquise qu'au prix d'un holocauste gigantesque. On en acceptait alertement le risque, ou, pour mieux dire, la certitude, étant donné l'inévitable jeu des alliances. Poussé par son Secrétaire d'Etat, le Jésuite Merry del Val, Pie X s'en cachait si peu, pour son compte, que le chargé d'affaires de Bavière pouvait écrire à son gouvernement, à la veille du conflit : « Il (le pape) n'a pas grande estime des armées de la Russie et de la France en cas de guerre contre l'Allemagne ». (136)
Cet affreux calcul se révéla faux à l'usage. La première guerre mondiale, qui ravagea le nord de la France et fit quelques millions de morts, loin de combler les ambitions de Rome, aboutit au démembrement de l'Autriche-Hongrie, privant ainsi le Vatican de son principal fief en Europe et libérant les Slaves, incorporés à la double monarchie, du joug apostolique de Vienne.
La révolution russe, par surcroît, soustrayait à l'influence du Saint-Siège les catholiques romains, pour la plupart d'origine polonaise, qui vivent dans l'ancien empire des tsars.
L'échec était complet. Mais l'Eglise romaine « patiens quia aeterna » allait reprendre sur nouveaux frais sa politique du « Drang nach Osten », la poussée vers l'Orient, qui s'allia toujours si bien avec les ambitions pangermanistes.
De là, comme nous l'avons rappelé, la promotion des dictateurs et la deuxième guerre mondiale, avec son cortège d'horreurs, dont le « nettoyage » du Wartheland, en Pologne, et la « catholicisation forcée » de la Croatie ont fourni des exemples particulièrement atroces.
Mais qu'importaient les 25 millions de victimes des camps de concentration, les 32 millions de soldats tués sur les champs de bataille, les 29 millions de blessés et de mutilés, chiffres retentis par l'O.N.U. (137) et qui constituent le bilan de l'immense carnage ! Cette fois, la Curie romaine se crut bien parvenue à ses fins. On pouvait lire alors dans le « Basler Nachrichten », de Bâle :
« Une des questions que pose l'action allemande en Russie et qui intéresse au plus haut degré le Vatican, c'est celle de l'évangélisation de la Russie. » (138)
Et encore, dans un ouvrage consacré à la glorification de Pie XII :
« Le Vatican conclut avec Berlin un accord autorisant les missionnaires catholiques du Russicum à se rendre dans les territoires occupés, et mettant les territoires baltes dans la compétence de la nonciature de Berlin. » (139)
La « catholicisation » allait donc enfin se donner libre cours en Russie sous l'égide de la Wehrmacht et des SS, comme elle se poursuivait en Croatie grâce aux bandes de Paveliteh, mais sur une échelle infiniment plus vaste. C'était bien le triomphe pour Rome !
Aussi, qu'elle déconvenue quand l'avance hitlérienne se fut brisée devant Moscou et quand von Paulus et son armée se trouvèrent encerclés dans Stalingrad ! C'était alors Noël, le Noël de 1942, et il faut relire le Message - ou, pour mieux dire, le vibrant appel aux armes - que le Saint-Père adressait aux nations « chrétiennes » :
« L'heure n'est pas aux lamentations, mais aux actes. Saisis de l'enthousiasme des Croisades, que les meilleurs de la Chrétienté s'unissent au cri de : Dieu le veut ! prêts à servir et à se sacrifier comme les Croisés d'autrefois... »
« Nous vous exhortons et conjurons de comprendre intimement la gravité terrible des circonstances présentes... Quant à vous, volontaires qui participez à cette sainte Croisade des temps nouveaux, levez l'étendard, déclarez la guerre aux ténèbres d'un monde séparé de Dieu. » (140)
Ah, il ne s'agissait guère de « Pax Christi », en ce jour de la Nativité !
Comment reconnaître, dans cette apostrophe guerrière, la « stricte neutralité » que le Vatican se flatte d'observer en matière internationale ? Apostrophe d'autant plus choquante que les Russes étaient bel et bien les alliés de l'Angleterre, de l'Amérique et de la France Libre. Comment ne pas sourire, quand les thuriféraires de Pie XII contestent véhémentement que la guerre d'Hitler fût une vraie « croisade », alors que le mot lui-même figure dans le Message du Saint-Père ?Les « volontaires » que le pape appelait à se lever en masse, c'étaient ceux de la Division Azul, ceux de la L.V.F., dont le cardinal Baudrillart, à Paris, s'instituait le recruteur.« La guerre d'Hitler est une noble entreprise polir « la défense de la culture européenne », s'écriait-il, le .30 juillet 1941. Remarquons qu'en revanche la défense de cette culture n'intéresse plus du tout le Vatican, lorsqu'il travaille à soulever contre la France les peuples africains. On entend alors Pie XII préciser : « L'Eglise catholique ne s'identifie aucunement avec la culture occidentale » (141et141 bis).
Mais on n'en finirait pas de relever les impostures, les grossières contradictions chez ceux qui accusent Satan d'être « le père du mensonge ».La défaite essuyée en Russie par les hitlériens, « ces nobles défenseurs de la culture européenne », entraînait, du même coup, celle des Jésuites convertisseurs. Devant pareil désastre on peut se demander ce que faisait alors sainte Thérèse. Pie XI l'avait cependant proclamée « patronne de la malheureuse Russie », et le chanoine Coubé la représentait se dressant « souriante mais terrible comme une armée rangée en bataille, contre le colosse bolcheviste. » (142)
La pauvre sacrifiée du Carmel de Lisieux - que l'Eglise met, si nous osons dire, à toutes les sauces - avait-elle succombé à la nouvelle et gigantesque tâche que lui assignait le Saint-Père ? Ce ne serait pas surprenant.Mais, à défaut de la petite sainte, il y avait la Reine des Cieux en personne, laquelle s'était engagée sous , conditions, dès 1917, à ramener la Moscovie schismatique au bercail de l'Eglise romaine. Lisons à ce sujet « La Croix »
« On peut justement rappeler ici que la Vierge de Fatima avait elle-même promis cette conversion des Russes, si tous les chrétiens pratiquaient sincèrement et avec joie tous les commandements de la loi évangélique. » (143)
Précisons que, selon les Pères jésuites, grands spécialistes en matière miraculeuse, la céleste Médiatrice recommandait comme particulièrement efficace la récitation quotidienne du chapelet.
Cette promesse de la Vierge avait même été scellée par certaine « danse du Soleil », prodige renouvelé d'ailleurs en 1951, dans les jardins du Vatican à la seule intention de Sa Sainteté Pie XII.
Cependant, les Russes entrèrent à Berlin, malgré la croisade prêchée par le pape - et, jusqu'ici, les compatriotes de M. Krouchtchev n'ont montré aucun empressement, que l'on sache, à se présenter en chemise et la corde au cou devant les portes de Saint-Pierre.
Qu'est-ce à dire ? Les chrétiens n'auraient-ils pas égrené assez de chapelets ? Le Ciel n'aurait-il pas son compte de dizaines ?On serait tenté de croire à cette insuffisance s'il n'y avait certain détail, assez scabreux, dans la merveilleuse histoire de Fatima. En effet, la promesse de la conversion de la Russie, sensément faite en 1917 à la voyante Lucia, ne fut « révélée » par celle-ci, devenue nonne, qu'en 1941, et rendue publique en octobre 1942 par le cardinal Schuster, furieux partisan de l'Axe Rome-Berlin, sur la demande, disons l'ordre, de Pie XII - de ce même Pie XII qui allait lancer, trois mois plus tard, l'appel à la Croisade que l'on sait.
Voilà qui est fort « éclairant ». Un des apologistes de Fatima reconnaît que, de ce fait, la chose « perd évidemment un peu de sa valeur prophétique... (144). C'est le moins que l'on puisse dire. Et certain chanoine, grand spécialiste du « miracle portugais », nous confie : «Je dois avouer que moi-même, alors, j'éprouvai une réelle répugnance à ajouter à mes premières éditions le texte révélé au public par S. Em. le cardinal Schuster... » (145)
Comme on comprend le bon chanoine 1Ainsi, la Sainte Vierge aurait confié, en 1917, à la bergerette Lucia : » Si l'on écoute mes demandes, la Russie se convertira... », tout en lui recommandant de garder pour elle ce « secret ». Comment, dans ces conditions, les chrétiens auraient-ils pu connaître ces « demandes », et y satisfaire ?
Passons... « Credibile quia ineptum ».En somme, il semble que, de 1917 à 1942, la « malheureuse Russie » n'avait pas besoin de prières, et que ce besoin ne se révéla, fort pressant, qu'après l'échec nazi devant Moscou et l'encerclement de von Paulus dans Stalingrad.
Du moins, c'est la conclusion qui s'impose devant cette révélation à retardement. Le merveilleux - nous l'avons déjà dit ailleurs - est un puissant ressort. Encore faut-il le manier avec quelque prudence.
Au lendemain de Montoire, le général des Jésuites Halke von Ledochowski parlait déjà orgueilleusement du chapitre général que la Compagnie devait tenir à Rome après la capitulation de l'Angleterre, et qui revêtirait une importance et un éclat sans égal dans toute son histoire.
Mais le Ciel, nonobstant sainte Thérèse et la Dame de Fatima, en avait décidé autrement. Il y eut le raidissement de la Grande-Bretagne, l'entrée en guerre des Etats-Unis (malgré les efforts du Père jésuite Coughlin). enfin le débarquement des Alliés en Afrique du Nord et les défaites hitlériennes dans la campagne de Russie. Pour Ledochowski, c'était l'effondrement de son grand rêve. Wehrmacht, SS « nettoyeurs » et Jésuites convertisseurs battaient en retraite d'un même pas. La santé du général ne résista pas à ce désastre. Il en mourut.
Voyons cependant ce qu'est ce « Russicum », que Pie XI et von Ledochowski ajoutèrent, en 1929, à l'ensemble organique romain, déjà si riche et si varié.« Par la Constitution apostolique « Quam Curam ». Pie XI donnait naissance à ce séminaire russe de Rome où seraient formés de jeunes apôtres de toutes nationalités « à condition qu'ils adoptent avant tout le rite bysantin-slave et qu'ils soient fortement décidés à se donner entièrement à l'oeuvre du retour de la Russie au bercail du Christ. » (146)
C'est vers ce même but que convergent les efforts du Collège pontifical russe, alias « Russicum », de l'Institut pontifical oriental et du Collège romain - tous trois -, d'ailleurs, administrés par la Compagnie de Jésus.Au « collège romain » - 45, Piazza del Gesù - est le noviciat des Jésuites, et, parmi les novices, certains portent le nom de « Russipètes », étant destinés à « petere Russiam », c'est-à-dire à aller en Russie.L'orthodoxisme, on le voit, n'a qu'à se bien tenir devant tant de vaillants champions acharnés à sa perte. Il est vrai que l'« Homme nouveau », précité, affirme :
« Certes, tous ces prêtres sont destinés à se rendre en U.R.S.S. Mais il n'est pas question, pour l'instant, de réaliser ce projet. » (147)
Voire ! La presse soviétique appelle ces apôtres - selon ce même journal - « les parachutistes du Vatican ». Et ce nom ne leur conviendrait pas trop mal, à en croire le témoignage de certaine personne professionnellement bien informée à ce sujet.Il s'agit en effet ni plus ni moins du Père jésuite Alighiero Tondi, professeur à l'Université pontificale grégorienne, lequel a répudié Ignace de Loyola et les « Exercices spirituels », et renoncé, non sans quelque fracas, à la célèbre Compagnie, à ses pompes et à ses oeuvres.
On Peut lire, entre autres déclarations, dans une interview qu'il a accordée à un journal italien« L'activité du Collegium Russicum et des organisations qui y sont liées est multiple. Par exemple, en liaison avec des fascistes italiens et les résidus allemands du nazisme, les Jésuites s'y occupent, sur l'ordre de l'autorité ecclésiastique, d'organiser et de coordonner les différents groupes anti-russes. Le but final est de se préparer à renverser un jour les gouvernements de l'Est. Le financement provient des organisations ecclésiastiques dirigeantes.« Voilà les besognes auxquelles se consacrent les dirigeants du clergé. Ce sont les mêmes qui pour un peu déchireraient de désespoir leur soutane quand on les accuse de faire de la politique et de pousser les évêques et les prêtres de l'Est à conspirer contre leurs gouvernements.
« Parlant avec le jésuite Andréi Ouroussof, je lui disais que c'était une honte de soutenir dans « l'Osservatore Romano », organe officiel du Vatican, et dans des publications ecclésiastiques que les espions découverts étaient des « martyrs de la foi ». Ouroussof éclata de rire.
« - Que voudriez vous écrire, vous, mon Père ? me demanda-t-il. Voudriez-vous déclarer que ce sont des espions ou quelque chose de pire ? Aujourd'hui la politique du Vatican a besoin de martyrs. Mais maintenant c'est difficile de trouver des martyrs. Alors, on les fabrique.
- Mais, observai-je, c'est un jeu malhonnêteIl secoua la tête ironiquement.- Vous êtes ingénu, mon Père. Avec le travail que vous faites, vous devriez savoir mieux que personne que les dirigeants de l'Eglise se sont toujours inspirés des mêmes règles.- Et Jésus-Christ demandai-je ?
Il rit : « Il ne faut pas penser à Jésus Christ, dit-il. Si nous pensions à lui, il faudrait finir sur la croix. Et aujourd'hui le temps est venu de mettre les autres sur la croix et non pas d'y monter nous-mêmes. » (148)Ainsi que le dit si bien le Jésuite Ouroussof, la politique du Vatican a besoin de martyrs, volontaires ou non. Elle en a » fabriqué » par millions au cours de deux guerres mondiales.
La seconde guerre mondiale sera pour detruire le peuple juif
et la dernière en cours destruction de la dernière religion l'islam une guerre totale .
Marilyn Monroe, la première esclave d'Hollywood sous mind control
Pendant que de nombreux biographes expliquent les malheurs de Marilyn comme étant des "problèmes psychologiques", l'assemblage des faits de sa vie combiné avec la connaissance du côté obscur d'Hollywood révèle quelque chose d'encore plus sombre : Marilyn Monroe fut l'une des premières célébrités soumise au contrôle Monarque de l'esprit, une branche du programme MK ULTRA de la CIA (pour plus d'informations sur le sujet, lisez mon article intitulé "Origines et techniques du contrôle de l'esprit Monarque", traduit aussi par le BBB, voir ICI et ICI.) Par des traumas et un programme psychologique, Marilyn devint une marionnette de haut niveau pour l'élite de l'ombre, elle devint même le mannequin présidentiel de JFK.
Quand la programmation de Monroe perdit son pouvoir et qu'elle commença à sombrer, certains affirment qu'on l'a "jetée du train de la liberté", un terme MK ULTRA désignant des esclaves qui sont tuées quand elles ne sont plus utiles (et potentiellement dangereuses) à leurs maîtres.
La première partie de cette série d'articles va fouiller la vie et la carrière véritables de Monroe, une fillette solitaire dont la grande beauté devint une vraie malédiction.
Ses premières années
Norma Jeane adolescente |
Norma Jeane Mortenson eut une jeunesse difficile et instable. Elle ne connut jamais son père et sa mère était mentalement instable et incapable de prendre soin d'elle. Dans Mon Histoire, Monroe a écrit qu'elle se rappelle avoir vu sa mère "hurler et rire" pendant qu'on l'emmenait de force à l'hôpital.
À l'âge de 11 ans, Norma Jeane fut déclarée pupille de l'état. Elle passa sa jeunesse dans 11 familles d'accueil au total; quand il n'y avait pas de foyer d'accueil disponible, elle atterrissait parfois dans un orphelinat de Los Angeles. Comme si le fait de passer d'une famille d'accueil à une autre n'était pas assez difficile, Norma Jeane se rappelle avoir été durement traitée dans plusieurs d'entre elles. Pire encore, elle fut violée dans au moins trois d'entre elles.
Par exemple, à l'âge de 11 ans, Norma Jeane fut adoptée par la meilleure amie de sa mère, Grace McKee et son nouveau mari, Ervin Silliman "Doc" Goddard. C'est là que "Doc" lui fit subir des agressions sexuelles à répétition, qui obligèrent Norma Jeane à partir. Dans un autre cas, quand elle était au collège, Norma Jeane fut envoyée dans la maison de sa grand-tante à Compton en Californie. C'est là que l'un des fils de sa grand-tante la viola, l'obligeant une nouvelle fois à partir. Voici un autre récit de maltraitance :
"Elle a dit avoir été fouettée par la mère d'une famille d'accueil pour avoir touché "une partie sale" de son corps. Un autre accident plus sérieux arriva quand elle eut huit ans. Un soir un pensionnaire qu'elle nomme M. Kimmel (Marilyn révéla plus tard que ce n'était pas son vrai nom) lui demanda de venir dans sa chambre et il verrouilla la porte derrière elle. Il l'entoura de ses bras. Elle lui donna des coups de pied et se débattit. Il fit ce qu'il voulait, lui disant d'être une gentille fille. (dans une interview ultérieure, Marilyn déclara que la maltraitance consistait en attouchements.)
Quand il la laissa partir, il lui tendit une pièce de monnaie et lui dit de s'acheter une glace. Elle lui jeta la pièce à la figure et courut raconter à sa mère adoptive ce qui s'était passé, mais la femme ne voulut pas l'écouter.
"Tu n'as pas honte", lui dit sa mère adoptive, "M. Kimmel est mon meilleur pensionnaire.
Norma Jeane alla dans sa chambre et pleura toute la nuit.
Marilyn disait qu'elle se sentait sale et qu'elle avait dû prendre des bains pendant plusieurs jours pour se sentir propre. Des tentatives répétées de ce genre, vouloir se sentir propre avec des douches ou des bains sont des comportements typiques des victimes d'agression sexuelle.
Marilyn disait qu'elle commença à bégayer après l'incident et que cela la reprenait pendant les périodes de stress. Quand elle raconta à un journaliste sa maltraitance, elle commença à bégayer.
Il est évident qu'elle fut une enfant maltraitée dont la précoce sexualisation entraîna un comportement inadéquat en tant qu'adulte.
- Daily Mail, "Le pull rouge magique qui transforma 'Norma Jeane, le haricot vert' en Marilyn Monroe"
La jeunesse instable et parfois traumatisante de Norma Jeane en fit une candidate parfaite pour le contrôle Monarque de l'esprit. Étant pupille de l'état, elle n'avait pas de famille stable.
"Certains enfants vivent dans des familles d'accueil, ou avec des parents adoptifs ou dans des orphelinats, ou avec des nourrices et des tuteurs. Comme ils sont à la merci d'adultes non identifiables, des enfants de ce genre sont fréquemment vendus à des agences de renseignement pour devenir des esclaves contrôlés psychiquement."
- Fritz Springmeier, The Illuminati Formula to Create a Mind Control Slave (La recette des Illuminati pour créer un esclave sous contrôle psychique)
Le contexte de vie de Norma Jeane en fit une cible de choix pour la Programmation Beta (connue aussi comme programmation "chaton", Kitten Programming en anglais) Femme attirante et charismatique cherchant à faire partie du show business, elle en avait aussi le profil parfait."Beta est la deuxième lettre de l'alphabet grec et elle représente les modèles sexuels et les alters créés par les programmeurs. La partie primitive du cerveau est impliquée dans ce type de programmation. Une maltraitance précoce servira d'ancre à cette programmation".
- Ibid.
Contact avec le Hollywood occulte
Avant de devenir célèbre, Norma Jeane prit le nom de Mona et travailla comme strip-teaseuse dans un cabaret de Los Angeles. Elle y fut mise en contact avec Anton LaVey, l'homme qui fondera plus tard l'Église de Satan, à l'influence énorme. Selon Springmeier, LaVey était un programmeur MK et Monroe devint l'une de ses esclaves "chaton".
"Marilyn Monroe était orpheline et elle fut programmée pendant sa petite enfance par les Illuminati/CIA pour devenir une esclave Monarque. Avant de devenir actrice, alors qu'elle était toujours strip-teaseuse, elle passa du temps avec le fondateur de l'Église de Satan, Anton LaVey. Des victimes de LaVey l'ont dénoncé comme étant un programmeur du contrôle de l'esprit".
- Ibid.
La biographie de LaVey mentionne aussi une "aventure" avec Monroe, qui fut probablement bien plus que cela.
"Quand la saison du carnaval se terminait, LaVey gagnait de l'argent en jouant de l'orgue dans les cabarets de la région de Los Angeles et il raconte que c'est à cette époque qu'il eut une brève aventure avec une certaine Marilyn Monroe encore inconnue".
- Magus Peter H. Gilmore, Anton Szandor LaVey: A Biographical Sketch
Anton LaVey rendant visite à la tombe de Marilyn |
À cette même époque, LaVey fréquentait une autre actrice, celle qui fut connue comme la "Marilyn Monroe fruit du travail d'un homme" : Jayne Mansfield. Leur relation fut aussi qualifiée "d'aventure", mais la réalité était un peu plus sombre.
"Anton LaVey fut le dresseur/programmeur de bon nombre d'acteurs et d'actrices d'Hollywood, dont Jayne Mansfield et Marilyn Monroe, qui lui servirent toutes deux d'esclaves sexuels".
- Anton Szandor LaVey, Whale.to
Photos de Jayne Mansfield avec Anton LaVey |
Marilyn Monroe et Jayne Mansfield avaient beaucoup de choses en commun. Elles étaient toutes deux des "blondes canon" (ni l'une ni l'autre n'étaient des blondes naturelles) et on leur attribue la "sexualisation" d'Hollywood. Toutes deux furent playmates dans Playboy, toutes deux eurent une "aventure" avec Anton LaVey et toutes deux eurent une "aventure" avec Robert F. Kennedy et JFK ("l'aventure" était en réalité de jouer le rôle de mannequins présidentiels). Enfin, toutes deux moururent dans leur trentième année.
Une star avec une vie de prisonnière
Un autre point commun entre Monroe et Mansfield est qu'elles faisaient toutes deux partie de l'agence de mannequins Blue Book. C'est là que Norma Jeane fut métamorphosée en une emblématique Marilyn Monroe.
Marilyn avant chirurgie esthétique (on lui corrigea le nez qu'elle avait un peu fort). [Photo ne provenant pas de l'article de Vigilant Citizen.] |
Comme plusieurs biographies l'ont révélé, Marilyn avait peu ou pas de liberté personnelle. Elle n'avait aucun contact avec sa famille et ses maîtres l'isolèrent pour mieux la contrôler et éviter que des gens "réels" l'aident à prendre conscience qu'elle était manipulée. Les seules personnes avec qui elle était en contact étaient ses "psychologues" et ses maîtres.
"L'existence de Marilyn n'était pas celle d'une "richarde" mais ressemblait plus à celle d'une prisonnière. Marilyn n'avait droit à aucune vie personnelle, en dehors de celle ordonnée par ses programmeurs et ses maîtres. Les programmeurs et ceux qui profitaient d'elle lui firent subir une telle pression qu'ils faillirent plusieurs fois l'amener au bord de la folie".
- Springmeier, Op. Cit.
Marilyn était également sous constante surveillance. Des années après sa mort, on retrouva une quantité incroyable d'équipements de surveillance dans l'une de ses maisons.
"En 1972, l'actrice Véronica Hamel et son mari devinrent les nouveaux propriétaires de la maison de Marilyn à Brentwood. Ils embauchèrent une entreprise pour remplacer le toit et refaire la maison et l'entreprise découvrit un système de micros et de mise sur écoute du téléphone dissimulé dans toutes les pièces de la maison. Ses composants n'étaient pas disponibles sur le marché en 1962, mais selon les mots d'un officiel du département de la justice à la retraite, c'était "un équipement de série du FBI." Cette découverte vient à l'appui des déclarations des théoriciens de la conspiration que Marilyn aurait été surveillée par les Kennedy et la mafia. Les nouveaux propriétaires dépensèrent 100.000 dollars pour faire enlever de la maison les appareils d'écoute".
- Source: IMDB
Ensorcelée par les médecins de l'esprit
"La vie de Marilyn était incroyablement monotone. Ses rendez-vous avec son médecin (j'appris plus tard que ces rendez-vous étaient avec des psychiatres) et ses leçons d'art dramatique étaient virtuellement tout ce qu'elle avait pour se distraire".
- Lena Pepitone, Marilyn Monroe Confidential: An Intimate Account” (confidences de Marilyn Monroe : récit d'une prisonnière)
Lee Strasberg, le "mentor" de Marilyn. Selon Elia Kazan, "Il portait sur lui l'aura d'un prophète, d'un magicien, d'un médecin-sorcier, et d'un psychanalyste". |
"Marilyn démarra une association avec Lee Strasberg et sa femme Paula dès 1955, ils eurent très rapidement une influence colossale dans la vie de Marilyn, prenant en charge presque tous les aspects de son existence.
De nombreux amis et collègues de Marilyn virent ceci arriver et se sentirent très mal à l'aise mais ils étaient impuissants à agir à ce sujet. Pendant son mariage avec Arthur Miller, ce dernier avait commencé à exprimer ses inquiétudes à Marilyn.
Au cours de la dernière année de sa vie il y eut des signes que sa confiance dans le couple Strasberg faiblissait et qu'elle ne voulait plus qu'ils la contrôlent. Il fut dit qu'elle songeait à se dispenser de leurs services – ce qui a été vu comme un autre indicateur que Marilyn avait l'intention de changer son testament".
- Loving Marilyn, Who Owns Marilyn’s Things?
Après sa mort, le testament de Marilyn fut contesté en raison de sa soumission à une influence indue de ses maîtres."Le 25 octobre 1962, le Los Angeles Times publia que le testament de Marilyn Monroe avait été contesté par son ancienne imprésario Inez Melson. Miss Melson, qui n'était pas couchée sur le testament prétendait que Marilyn était sous l'influence illégitime de Lee Strasberg ou du Dr Marianne Kris à l'époque où avait été rédigé le testament".- Ibid.Une autre preuve du contrôle excessif des "médecins de l'esprit" sur la vie de Marilyn est le fait que c'est son psychiatre, Ralph Greenson, qui la retrouva morte. Pourquoi était-il chez elle si tard le soir ? Comme nous le verrons dans la prochaine partie, les circonstances de sa mort sont incroyablement suspectes.
Finalement, comme c'est le cas pour la plupart des esclaves Monarque, les maîtres de Marilyn avaient pris en charge tous les aspects de sa vie. Les contacts avec les membres de sa famille étaient totalement interdits."Bien que Marilyn Monroe posséda une famille, ses médecins, ses psychologues et ses coachs d'art dramatique l'ont isolée d'elle. (…) Des membres de la famille Hogan, qui vivaient dans la région de Los Angeles, avaient tenté de prendre contact avec elle après qu'elle soit devenue célèbre et leurs efforts de rapprochement furent contrecarrés".- Jennifer Jean Miller, “Was Phenergan Marilyn Monroe’s Silent Killer, and Was She a Victim of Psychological Abuse, Medical Malpractice and Wrongful Death?”Déconnectée de sa famille et quasiment sans amis, Monroe fréquentait des thérapeutes presque tous les jours. Ces visites étaient-elles en réalité des séances de programmation ? Une chose est sûre, l'état de Monroe empirait au fur et à mesure qu'elles augmentaient en fréquence. Un récit particulièrement douloureux s'exprime dans "L'histoire du chirurgien", texte de la plume de Monroe elle-même.
L'Histoire du chirurgien
L'Histoire du chirurgien est un texte de Monroe, rédigé sous forme de poème, dans lequel elle décrit être "ouverte" par Lee Strasberg et Margaret Hohenberg, sa psychiatre. D'aucuns décrivent ce récit comme le souvenir d'un cauchemar rapporté par Marilyn, mais d'autres chercheurs soutiennent qu'il s'agit, en fait, de la description d'une séance de contrôle de l'esprit.Strasberg -- c'est le meilleur et le plus compétent des chirurgienspour m'ouvrir, ce à quoi je n'objecte pas puisque le Dr H.m'y a préparée -- elle m'a administré un anesthésiantet c'est elle aussi qui a diagnostiqué mon cas et quiest d'accord avec ce qui doit être pratiqué --une opération -- pour me ramener à la vie etme guérir de cette terrible mal-adieou quoi que ce soit -- (...)Une fois que le Dr H. m'a administré un anesthésiantpour tenter de me soulager médicalement, Strasberg m'ouvre --et après tout dans la pièce devient BLANC, en fait je ne vois plus personne, juste des objets blancs --- ils m'ouvrent -- Strasberg et la nana Hohenberget il n'y a absolument rien là-dedans --Strasberg estprofondément déçu mais encore plus --étonné sur le plan intellectuelqu'il ait pu commettre une telle erreur. Ilpensait trouver bien plus --qu'il n'avait jamais espéré trouver...et au lieu de ça, il n'y avait absolument rien --dépourvue detoute créature humaine vivante sensible --la seule chosequi est en est sorti était de la sciure de bois très fine -- comme on en trouve à l'intérieur des poupées à l'effigie de Raggedy Ann¹ (poupée de chiffons) -- et la sciurese répandsur le sol et la tablele Dr H estdéconcertéeparce qu'elle comprend soudain qu'elle est confrontée àun nouveau cas de figure où la patiente... existeà partir du vide extrême.Strasberg voit ses rêves et espoirs de salle d'opérationtomber à l'eau.Le Dr H. doit renoncer àses rêves et espoirs de traitementpsychiatrique durable -- Arthur est déçu --Abandonné.
1. Raggedy Ann est le personnage central de la série de livres pour enfants écrits et illustrés par l'américain Johnny Gruelle (1880–1938). Raggedy Ann est une poupée de chiffon (rag doll en anglais) ayant la forme d'une petite fille, aux cheveux faits de brins de laine rouge et souvent représentée, vêtue d'une robe bleue et d'un tablier. Gruelle imagina le personnage de Raggedy Ann pour sa propre fille avant d'en faire un personnage de fiction dans le livre Raggedy Ann Stories paru en 1918. Rapidement, une poupée aux traits de Raggedy Ann fut commercialisée.[Merci à Eyael d'avoir traduit l'histoire du chirurgien]
Dans cet étrange et perturbant récit, Monroe décrit être droguée et "ouverte" par ses psychiatres. Elle écrit que l'opération ne la gênait pas, parce qu'elle y était "préparée". Était-elle en état de dissociation ? Il y a aussi la mention qu'elle ne voit "que du blanc" ce qui pourrait faire allusion à une isolation sensorielle – méthode utilisée dans la programmation MK ULTRA.
Une fois "ouverte", les médecins n'ont trouvé en elle qu'une fine sciure, comme celle sortant d'une poupée de chiffons". Ce sont des mots typiques d'une esclave MK qui a complètement perdu le contact avec sa réelle personnalité intérieure. Marilyn se perçoit comme une poupée "vide".
Selon Jason Kennedy, un membre de la famille de Marilyn, l'histoire du chirurgien décrit des techniques de contrôle de l'esprit, comme l'isolation sensorielle et l'administration de drogues anesthésiantes entraînant une dissociation."Des publications en ligne ont fait référence à "l'histoire du chirurgien" comme à un rêve ou un cauchemar. Elle inspira même à la musicienne Annie Clark une chanson avec les paroles, "le meilleur des chirurgiens/viens m'ouvrir", parce qu'elle pensait que Marilyn écrivait des mots en hommage à Lee Strasberg pendant qu'elle étudiait avec lui.Jason, par ailleurs, reliait ce récit à un moment très réel de la vie de Marilyn Monroe, et à un récit des expériences, après avoir été soumise aux techniques de contrôle de l'esprit et de narcose par Lee Strasberg et le Dr Margaret Hohenberg, subies dans des séances privées avec le duo en 1955 pour aider à libérer les blocages de son jeu de scène.La méthodologie consistait à fouiller dans ses souvenirs d'enfance douloureux, lui disaient-ils, pour en faire une grande actrice.Selon la recherche de Jason, le couple convainquit Marilyn que tout cela pouvait l'aider. Jason ajoutait qu'elle était désorientée dès le départ en rédigeant les détails de "L'histoire du chirurgien", corrigeant ses propres détails du récit, remplaçant "élève" ou "étudiante" par "patiente"."C'était une opération sur son esprit", disait Jason. "Elle n'était pas disséquée physiquement, mais mentalement".Il disait qu'on la démontait en morceaux et qu'on changeait son comportement."Cela n'avait rien à voir avec un jeu de scène", continuait Jason. "C'était une extorsion pure et simple par des techniques de contrôle de l'esprit. Aussi, les 'drogues pour contrôle de l'esprit' n'étaient qu'un aspect du processus de contrôle. L'isolation sensorielle, des drogues anesthésiantes dissociatrices et un entraînement psychique font tous partie du processus de contrôle de l'esprit".Lee Strasberg se qualifiait souvent de médécin, ajoutant dans son livre de 1965, "Strasberg à l'Actor's Studio : séances enregistrées".- Ibid.Que cette histoire soit réelle ou non, elle transmet néanmoins les réflexions d'une esclave du contrôle de l'esprit qui est impuissante face à ses maîtres et à leurs tentatives médicales de programmation et de modification. Malheureusement, d'autres événements traumatisants causés par ses maîtres furent bien tous réels.
Traumatisée par ses maîtresEn 1961, le Dr Kris convainquit Marilyn de faire un bilan à l'institut psychiatrique Payne Whitney. Les événements qui suivent sont choquants sachant que Marilyn était une star de cinéma mondialement célèbre – mais pas surprenant sachant qu'elle était une esclave sous contrôle de l'esprit. Voici ce qui se passa à l'institut psychiatrique :"Kris avait conduit Marilyn dans le grand hôpital en briques blanches de New York – le centre médical Weill Cornell, qui faisait face à l'East River sur la 68ème rue. Enveloppée d'un manteau de fourrure et donnant comme nom celui de Faye Miller, elle signa les papiers d'admission mais elle réalisa rapidement qu'on ne l'escortait pas vers une salle de repos mais vers une chambre capitonnée d'une unité psychiatrique avec des barreaux. Plus elle sanglotait et suppliait qu'on la laisse sortir, en cognant sur les portes d'acier, plus l'équipe de psychiatres pensait qu'elle était vraiment psychotique. On la menaça de la camisole de force et on lui enleva ses vêtements et son sac à main. Elle subit un bain forcé et fut affublée d'une chemise d'hôpital.
Les 1er et 2 mars 1961, Marilyn écrivit une extraordinaire lettre de 6 pages au Dr Greenson décrivant de manière saisissante son supplice : "Il n'existait aucune empathie à Payne Whitney – c'était d'un très mauvais effet – m'informèrent-ils après m'avoir mise dans une "cellule" (je veux dire un bloc de ciment) pour patients déprimés très perturbés (sauf que j'avais l'impression d'être dans une sorte de prison pour un crime que je n'avais pas commis. J'ai tout trouvé d'une inhumanité archaïque...tout était verrouillé et fermé à clé...les portes étaient vitrées et les patients étaient donc visibles en permanence, la violence et les marques laissées par les précédents patients étaient toujours visibles sur les murs.)"(...)Un psychiatre entra et lui fit un examen physique, "comportant l'examen de la poitrine à la recherche de grosseurs". Elle s'opposa, lui disant qu'elle avait eu un examen complet il y avait moins d'un mois, mais cela ne le découragea pas.Quand elle refusa de coopérer avec l'équipe, "deux hommes et deux femmes baraqués la soulevèrent chacun par un bras et une jambe et l'emmenèrent en ascenseur au septième étage de l'hôpital. ("Je dois dire qu'ils ont eu au moins la décence de me porter le visage face au sol...je n'ai fait que pleurer tout le temps du trajet," écrivait-elle.)On lui ordonna de prendre un autre bain – le deuxième depuis son arrivée – et l'administrateur en chef entra ensuite pour lui poser des questions. "Il m'a dit que j'étais une fille très très malade et que j'étais une fille très très malade depuis des années".Le Dr Kris, qui avait promis de la voir le jour suivant son enfermement, ne vint pas et ni Lee Strasberg ni sa femme Paula, à qui elle réussit à envoyer une lettre, ne purent la faire sortir, car ils n'étaient pas de la famille".- Marilyn and Her Monsters, Vanity FairUn autre aspect moins connu de la vie de Monroe, ce sont ses deux grossesses ratées. Alors que la plupart des biographies déclarent qu'elle avait fait des fausse-couches, certains récits font en réalité allusion à des fausse-couches provoquées. Provoquer des fausse-couches est une pratique courante dans le MK ULTRA et, si on lit la propre version de Marilyn, il semble que ses maîtres lui ont pris son bébé. Dans le livre de Pepitone, Marilyn aurait dit au sujet de sa grossesse :
"Ne prenez pas mon bébé. Ils me l'ont pris...et je ne le reverrai jamais".Le livre énonce en substance que Marilyn n'avait pas fait de fausse-couche. "Ils" lui ont pris son bébé.
"Après que Marilyn ait mis au monde un bébé en bonne santé, il lui fut enlevé et elle n'eut jamais l'autorisation de le voir. Il fut très probablement sacrifié. Marilyn était trop effrayée pour demander ce qu'ils allaient en faire."- Springmeier, Op. Cit.Selon ses biographies, Marilyn perdit deux bébés à la polyclinique, endroit où, selon Springmeier, elle avait été programmée.
"L'opération se passa à la polyclinique où Marilyn avait perdu un bébé l'année précédente... Marilyn disait : "Retourner à cet hôpital est un cauchemar...De la souffrance ? Quelle souffrance ?". La seule souffrance pour elle fut de ne pas avoir son enfant"- Pepitone, Op. Cit."Il faut noter qu'elle retourne toujours à la polyclinique. Les victimes Monarque devaient endurer une somme énorme d'horribles tortures. Elles apprenaient à survivre en se dissociant. Quand Marilyn dit "Quelle souffrance ?" sa réponse reflète exactement sa souffrance. Elle ne pouvait pas souffrir parce qu'elle s'était dissociée. Certains alters sont créés pour accepter la souffrance et les autres alters n'ont pas à la vivre".- Springmeier, Op. Cit.
Dans la première partie de ces articles, nous avons regardé la vie cachée de Marilyn Monroe – qui révèle le côté sombre d'Hollywood. Marilyn n'a pas été seulement totalement manipulée par ses maîtres, mais a été maltraitée et traumatisée pour la garder sous contrôle et renforcer sa programmation. Les faits effrayants mentionnés ci-dessus proviennent de différentes sources, mais mis bout à bout, ils donnent une image triste, pourtant claire comme de l'eau de roche de la vie d'une esclave MK d'Hollywood. Trauma, maltraitance, isolement, contrôle de l'esprit et surveillance constante firent partie de la vie quotidienne de Monroe.
Les victimes paient un lourd tribut pour ce genre de maltraitance et au bout d'un certain temps s'ensuit presque inévitablement un effondrement. À ce moment-là, les esclaves MK sont habituellement "éjectées du train de la liberté". Cela fut-il ce qui arriva finalement à Marilyn ?
La photo de gauche (les dernières avant sa mort) ne plaisait pas à Marilyn, elle l'a barbouillée |
Des "mannequins présidentiels" auraient été utilisés par des artistes et des hommes politiques en tant que jouets sexuels : marionnettes sous contrôle de l'esprit programmées pour accomplir divers actes pervers sur ordre de leur "maître" manipulateur. On suppose que MM fut la première esclave sexuelle Monarque qui accéda au statut de "célébrité". Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le terme de "mannequin présidentiel", je les renvoie à "Candy Jones sous contrôle" par Donald Bain et Long John Nebel. Long John Nebel – une personnalité du monde de la radio à New York dans les années 50 à 70 – découvrit petit à petit que sa femme, Candy Jones, suite à des séances d'hypnose, était une victime de ce genre de projet de contrôle de l'esprit, l'une des nombreuses esclaves mentales MK-ULTRA, programmée par les "spychiatres" de la CIA et qui servaient à assouvir les caprices sexuels pervers de saloperies de dignitaires de haut rang, parmi d'autres diverses missions comme de passer de la drogue et servir de messagères à ce vaste réseau d'hommes d'influence à la moralité plus que douteuse. D'autres informations ont fait surface à ce sujet ces dernières années par le biais d'allégations similaires largement répandues sur internet, ainsi que par des livres hautement controversés comme Transe-formation en Amérique par Mark Phillips et Kathy O'Brien (livre traduit en français et édité par Pierre Mazé aux Éditions Nouvelle Terre, dont je posterai plus tard des passages), dans lequel Mme O'Brien raconte ses propres récits troublants de maltraitance MK-ULTRA et Monarque."
- Adam Gorightly, “An Interpretation of Kubrick’s Eyes Wide Shut” (Une interprétation du film de Kubrick, Eyes Wide Shut, les yeux grand fermés)
Selon des personnes faisant des recherches sur le contrôle de l'esprit, MM fut le premier mannequin présidentiel "à haut profil", situation qui demandait à ses maîtres d'exercer un extrême contrôle sur ce qu'elle disait et faisait en public.
"Ils privaient Marilyn de tout contact avec le monde extérieur pour s'assurer que leur contrôle de son esprit fonctionnerait. Ils avaient peur que quelque chose puisse mal tourner avec la première esclave présidentielle qui était autorisée à apparaître en public"
- Fritz Springmeier, The Illuminati Formula to Create a Mind Control Slave
Les esclaves Monarque "de haut rang" sont souvent repérables par des bijoux et des pierres précieuses identifiant leur statut. Les mannequins présidentiels seraient identifiés par des diamants.
"Comme signaux d'authenticité et de reconnaissance, les esclaves Monarque portent des diamants pour signifier qu'elles sont mannequins présidentiels. (...)
Les émeraudes signifient la drogue, les rubis la prostitution, les diamants (strass) indiquent la fonction de mannequin présidentiel."
- Ibid.
Dans le film "Les hommes préfèrent les blondes", MM chante la célèbre chanson "Les diamants sont les meilleurs amis de la femme". Y avait-il un double sens à cette chanson ? |
"Marilyn ne pouvait se permettre des émotions quand il lui fallait dormir avec des vieux tout ridés pour survivre dans le métier. Elle devait se protéger en se "débranchant" virtuellement de ses émotions pendant ces moments-là – comme si elle jouait un rôle pour s'extirper de l'horreur de la situation. Quand ces riches magnats haut placés possédaient son corps et son âme, elle ne pouvait vivre par elle-même. Ce furent des moments, me disait-elle, où elle rentrait chez elle épuisée par des séances de photos et de vieux schnocks puissants lui téléphonaient et elle en avait la chair de poule. Après certaines horreurs de ces séances de sexe, elle restait sous la douche pendant plus d'une heure. Elle voulait se laver de la terrible expérience qu'elle avait endurée."June DiMaggio, Marilyn, Joe and Me
Dans les derniers mois de sa vie, il devenait très difficile de travailler avec Marilyn et son comportement inquiétait ceux qui suivaient son état. Durant les prises de vue de son dernier film achevé, The Misfits, (en français, les Désaxés, avec Clark Gable et Montgomery Clift), MM était atteinte d'une "maladie sérieuse" qui ne fut jamais révélée mais qui était traitée par un ...psychiatre. En d'autres mots, sous contrôle de l'esprit.
"Monroe était fréquemment malade et incapable de jouer, et loin de l'influence du Dr Greenson, elle avait repris sa consommation de somnifères et d'alcool. En visite sur le plateau de tournage, Susan Strasberg décrivit Monroe comme "mortellement blessée dans un certain sens" et en août, Monroe fut envoyée d'urgence à Los Angeles où elle fut hospitalisée pendant dix jours. Les journaux rapportèrent qu'elle avait frôlé la mort, bien que la nature de sa maladie ne fut pas révélée. Louella Parsons écrivit dans son éditorial que Monroe était "une fille très malade, beaucoup plus qu'on ne le pensait au premier abord", et elle révéla qu'elle était traitée par un psychiatre."Wikipedia, “Marilyn Monroe”
"Très peu de gens vivent dans la terreur. Nous vivons tous de l'anxiété, de la tristesse, des peines de cœur, mais là c'était une terreur purement animale".Anthony Summers, “Goddess”
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19 h – 19 h 15 : Joe DiMaggio Jr., le fils du joueur de base-ball Joe DiMaggio (et donc ex beau-fils de MM) lui téléphone pour lui parler de sa rupture de fiançailles d'avec une jeune femme de San Diego. DiMaggio Jr. a dit pendant son interrogatoire que MM semblait joyeuse et enjouée. Servant dans les Marines en Californie, DiMaggio a pu replacer l'heure de son appel parce qu'il regardait la septième manche d'un match de base-ball qui se jouait à Baltimore. Selon les archives du match, la septième manche s'est déroulée entre 22 h et 22 h 15, heure de l'est ; donc MM reçut l'appel aux environs de 19 h, heure de la Californie.
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19 h 30 – 19 h 45 : Peter Lawford (le beau-frère du président Kennedy) téléphone à MM pour l'inviter à dîner chez lui, invitation qu'elle avait décliné plus tôt dans la journée. Selon Lawford, MM marmonnait et ses paroles étaient de plus en plus incompréhensibles. Après qu'elle lui ait dit au revoir elle raccrocha brusquement. Lawford tente de la rappeler, mais reçut le signal "occupé". Les enregistrements téléphoniques montrent que c'est le dernier appel que MM reçut sur sa ligne principale cette nuit-là.
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20 h : Lawford appelle Eunice Murray, qui passe la nuit dans la dépendance, sur une autre ligne, pour lui demander si elle pouvait vérifier l'état de MM. Après quelques secondes, Murray revient au téléphone en disant qu'elle va bien. Nullement convaincu, Lawford va essayer toute la nuit d'avoir MM au téléphone. Il appelle son ami et avocat Milton A. "Mickey" Rudin, mais il lui est conseillé de se tenir à l'écart de la maison de MM pour éviter qu'elle soit mise dans l'embarras, étant peut-être sous l'emprise d'alcool.
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22 h : La gouvernante Eunice Murray retourne à la porte de la chambre de MM et certifie plus tard qu'elle a vu de la lumière sous la porte, mais qu'elle a décidé de ne pas la déranger.
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3 h : Eunice Murray appelle le psychiatre personnel de Marilyn, le Dr Greenson, sur l'autre ligne téléphonique, pour lui dire qu'elle ne peut réveiller Monroe. Elle est sûre que quelque chose ne va pas du tout après avoir jeté un œil par la fenêtre de sa chambre.
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3 h 40 : Le Dr. Greenson arrive et tente d'ouvrir la porte mais n'y arrive pas. Il regarde par la fenêtre à la française et voit MM allongée sur le lit tenant le téléphone et apparemment morte. Il brise la vitre pour ouvrir la porte verrouillée et l'examine. Il appelle le Dr Hyman Engelberg. Il existe une hypothèse selon laquelle une ambulance aurait été appelée à la maison de MM à ce moment-là et décommandée plus tard.
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4 h 30 : On appelle la police qui arrive peu de temps après. Les deux médecins et Murray sont interrogés et indiquent l'heure de la mort aux environs de minuit trente. La police note que la chambre est extrêmement bien rangée et que le lit semble avoir été refait. La police déclare que Murray lavait des draps quand ils sont arrivés. La police note qu'il y a plusieurs flacons de comprimés sur la table de nuit , mais que la pièce n'offre aucun moyen de les avaler car il n'y a ni verre ni eau. MM était connue pour manquer de s'étouffer quand elle prenait des comprimés même si elle buvait de l'eau pour les faire descendre. On trouvera plus tard un verre sur le sol près du lit, mais la police prétend qu'il n'était pas là quand la pièce avait été fouillée.
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5 h 40 : L'entrepreneur de pompes funèbres, Guy Hockett arrive et note que l'état de rigidité du cadavre met l'heure de la mort entre 21 h 30 et 23 h 30. L'heure est ensuite changée pour correspondre aux déclarations des témoins.
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6 h : Murray change sa version des faits et dit maintenant qu'elle est retournée au lit à minuit et qu'elle n'a appelé le Dr Greenson à son réveil qu'à 3 h après avoir remarqué la lumière toujours allumée. Les deux médecins changent aussi leur version et prétendent maintenant qu'elle serait décédée aux environs de 3 h 50. La police note que Murray semble très évasive et extrêmement vague et qu'elle a finalement changé de récit plusieurs fois. Malgré son rôle de témoin-clé, Murray part pour l'Europe et n'est plus réinterrogée.- Wikipedia, “Death of Marilyn Monroe”
Flacons de comprimés trouvés près du corps de Marilyn |
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Ibid.
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Ibid
Britney recrée la fameuse scène de la robe qui se relève |
Capture d'écran perso : Anna-Nicole avec son fils Wayne bébé |
A-N Smith recréant le personnage de Marilyn dans "Les hommes préfèrent les blondes" |
A-N Smith : une des nombreuses occasions de reprendre le look de MM |
Lindsay Lohan a repris la séance de photos "La dernière séance", avec le même photographe, Bert Stern |
Megan Fox pose avec à la main un livre de MM et montre son tatouage de Marilyn |
Katy Perry sert totalement l'agenda Illuminati - y compris le symbolisme de la Programmation Beta. Ici elle pose comme MM avec en arrière-plan un damier maçonnique |
Nicki Minaj imite souvent le look de MM. |
Dans sa vidéo "Hymne National", Lana Del Rey a recréé le "Bon Anniversaire, Mr Président" de MM. L'imagerie dans nombre de ses vidéos fait allusion à la Programmation Beta. |
Lana Del Rey devant une photo de MM. |
Découverte : Tell Haboua dévoile ses secrets
Une mission archéologique égyptienne opérant à Al-Qantara Charq à l’est du Canal de Suez et dirigée par Mohamad Abdel-Maqsoud vient de faire une découverte spectaculaire. Des bâtiments administratifs des troupes militaires des Hyksos, les vestiges d’une citadelle datant du Nouvel Empire (1550-1068 av. J.-C.), ainsi que de grands silos de céréales ont été révélés. « Chaque édifice administratif se compose de deux étages avec un certain nombre de chambres et des cours en pierres sèches. A l’intérieur de ces salles, la mission a trouvé une collection de cercueils, des crânes et de squelettes d’êtres humains et d’animaux enterrés dans le sable », a déclaré Mohamad Ibrahim, ministre d’Etat pour les Affaires des Antiquités. Les premières études sur ces squelettes révèlent qu’ils portent des cicatrices profondes et des blessures dues à des coups de flèches et de lances. « Cela indique que les combats entre les Hyksos et les troupes dirigées par le roi Ahmosis 1er (1550-1525 av. J.-C.) étaient très violents », a ajouté le ministre.
Outre ces révélations, un grand nombre de silos de grains et de galeries de stockage de l’armée sous les règnes des rois Thoutmosis III et Ramsès II ont également été découverts. « Ces silos qui sont immenses peuvent stocker jusqu’à 280 tonnes de céréales et de grains, ce qui prouve que l’armée égyptienne postée à Tell Haboua au cours des différentes époques était composée d’un grand nombre de soldats », indique le ministre.
Selon Abdel-Maqsoud, directeur de la mission, des ruines de bâtiments incendiés ont également été trouvées, confirmant ce qui est inscrit sur des papyrus décrivant les batailles acharnées entre Ahmosis Ier et les Hyksos. « Grâce à ces nouvelles découvertes, on a pu identifier le système de défense au cours des XVIIIe et XIXe dynasties pour protéger la partie est de l’Egypte », a-t-il expliqué.
En effet, l’importance de cette découverte réside dans l’importance de sa localisation. « Bien que cette région ait été au cours des siècles la porte d’entrée de plusieurs occupants, elle a été pendant le règne d’Ahmosis le point de sortie d’ennemis, comme les Hyksos », souligne Ahmad Saleh, égyptologue. Il ajoute que le sud n’a pas connu de troubles pareils, car les nubiens formaient un « seul corps » avec les Egyptiens. « Cela explique pourquoi les pharaons ne se sont jamais intéressés à la construction de fortifications dans cette région, mais au contraire, ils y ont édifié des temples, des tombes et toute une civilisation », explique Saleh.
Tell Haboua, quartier général de l’armée
En fait, les travaux sur le site de Tell Haboua remontent à une dizaine d’années. Dans cette région, la mission égyptienne avait découvert plus de 11 citadelles militaires dont la plus importante est celle qui porte le nom de Tharo. « Après avoir découvert la citadelle de Tharo en 2003, avec ses tours, et la ville fortifiée qui l’entourait et qui était édifiée à l’entrée du sentier militaire, connu sous le nom du chemin d’Horus, reliant l’Egypte à la Palestine à travers le Sinaï, on a pu éclaircir certains points ayant trait à la vie militaire dans l’Egypte Ancienne. Cette armée disposait de moyens de défense très développés à l’époque où elle a été fondée », précise Saleh. Il ajoute : « La citadelle révèle l’importance de cette frontière orientale de l’Egypte. Cette citadelle a subi des extensions. De nouveaux édifices ont été construits par les pharaons successifs ».
L’égyptologue va même plus loin en comparant la citadelle de Tharo au temple de Karnak à Louqsor, car les deux monuments sont composés d’édifices appartenant à des rois d’époques différentes.
Selon Abdel-Maqsoud, Tharo a été depuis le Moyen Empire jusqu’au Nouvel Empire le quartier général de l’armée égyptienne. Elle était aussi la résidence royale des pharaons égyptiens, un lieu de regroupement des armées et un point de départ pour assurer les frontières. « Etant donné son importance, la ville ne cessait de s’agrandir. Tout au long du sentier militaire, des puits et des fortifications fortes sont construits », explique Ahmad Saleh.
« Cette région contient beaucoup de citadelles, dont la plus grande avait des dimensions de 600 x 300 mètres. Elle a de tout temps été gardée par des attachés militaires qui informaient au fur et à mesure le roi du moindre danger », explique Saleh .
Qui sont les Hyksos ?
Venant d’Asie, les Hyksos ont envahi l’Egypte. Arrivant près du Delta du Nil, ils ont assiégé Avaris où ils ont fondé leur capitale. Ahmosis, premier roi de la XVIIIe dynastie, les a attaqués lors de plusieurs campagnes militaires en utilisant leurs nouveaux outils militaires comme les chars à chevaux. Il a réussi à les expulser pendant la 4e année de son règne. Après la chute d’Avaris, les Egyptiens ont poursuivi les Hyksos jusqu’en Palestine.
http://hebdo.ahram.org.eg/NewsContent/967/32/97/2135/D%C3%A9couverte--Tell-Haboua-d%C3%A9voile-ses-secrets.aspx
Jouet poupée et possession l'histoire vraie de donna
Tout commence dans les années soixante dix, une jeune fille, Donna, reçoit de se mère une poupée afin qu’elle lui tienne compagnie. Donna vie en internat avec une autre lycéenne, Angie, pour ses études. Si au départ rien ne se passe de spéciale, rapidement la jeune étudiante s’aperçoit de chose étrange. En effet, elle retrouve la poupée dans des positions différentes de quand elle l’avait laissé.
Quelques semaines plus tard les déplacements sont encore plus importants, la poupée se retrouve à un endroit totalement différent de celui où elle avait été posée.
Un de leurs amis, un certain Lou, avait une haine farouche envers cette poupée, il se sentait mal en sa présence et pensait que la poupée avait quelque chose de maléfique. Les deux filles n’écoutèrent pas le jeune homme et gardèrent la poupée pensant qu’il ne s’agissait que de coïncidence et de superstition.
Un peu plus tard les phénomènes changèrent, dans l’appartement Donna trouva des petits bout de parchemin avec écrit dessus « aidez nous » et aussi « aidez Lou ». Le plus étrange c’est que personne dans la maison dans lequel se trouvait l’appartement ne possédait de parchemin.
Un peu plus tard, Donna, en revenant chez elle, découvrit la poupée sur le lit avec des traces de sang sur ses mains, le sang semblait provenir des mains de la poupée.
Donna décida de demander de l’aide à un medium afin de savoir ce qu’il se passait. Celui-ci prit la poupée et dit qu’autrefois à la place des logements il y avait un ancien terrain et dans celui-ci l’on découvrit le corps d’une petite fille de sept ans, Annabelle Higgins, qui avait été retrouvé morte. D’après le médium l’esprit de la fillette serait resté là.
Les deux jeunes lycéennes décidèrent de garder la poupée dans l’espoir de calmer l’esprit en prenant soit d’elle.
Pendant ce temps leur ami Lou commença a fait des cauchemars, il avait l’impression que la poupée dormait près de lui et rampait sur son corps. Quelques jours plus tard il passa prendre Angie afin de partir sur la route. Mais avant de partir, ils entendirent d’étranges bruit dans la chambre de Donna, un peu comme si quelqu’un faisait un cambriolage. En entrant dans la chambre ils ne virent rien, sauf que la poupée n’était plus sur le lit, mais assise dans un coin de l’appartement. Lou sentie a se moment là une forte sensation de brulure dans le dos et sur la nuque. Quand il enleva son t-shirt il vit des traces de griffure, pour lui il ne pouvait s’agir que d’Annabelle qui l’avait lacérer.
Finalement ils demandèrent à un prêtre qui fit appelle a Ed de Lorraine Warren qui était connu a l’époque pour enquêter sur le paranormal.
Pour les Warren, après une enquête rapide, il s’agirait d’une présence démoniaque qui serait attaché à la poupée. Ils firent venir un prête afin d’exorciser l’appartement. Le couple prit possession de la poupée et l’emportèrent. Sur la route la direction de la voiture ainsi que les freins commencèrent à avoir des dysfonctionnements. Ed sortie la poupée du sac qui la contenait et y versa de l’eau bénite. Finalement ils purent repartir en sécurité…
De retour chez eux, Ed plaça la poupée sur son bureau, et elle commença à léviter. Ce phénomène se produisit à plusieurs reprises. Finalement Annabelle recommença a se déplacer dans différentes pièces. Les Warren redemandèrent à un prêtre de faire un exorcisme. Il alla chez le couple et ne prit pas l’histoire au sérieux affirmant qu’il ne s’agissait que d’une poupée et qu’elle ne pouvait faire de mal a personne. En repartant le prêtre eut un très grave accident de voiture mais il survécu.
Finalement les Warren décidèrent d’enfermer la poupée dans une boite où elle y serait encore. Depuis elle n’a plus jamais fait parler d’elle…
http://dark-ride.org/?p=3999#comment-17238
Citation du jour
Marilyn Monroe, la première esclave d'Hollywood sous mind control
Pendant que de nombreux biographes expliquent les malheurs de Marilyn comme étant des "problèmes psychologiques", l'assemblage des faits de sa vie combiné avec la connaissance du côté obscur d'Hollywood révèle quelque chose d'encore plus sombre : Marilyn Monroe fut l'une des premières célébrités soumise au contrôle Monarque de l'esprit, une branche du programme MK ULTRA de la CIA (pour plus d'informations sur le sujet, lisez mon article intitulé "Origines et techniques du contrôle de l'esprit Monarque", traduit aussi par le BBB, voir ICI et ICI.) Par des traumas et un programme psychologique, Marilyn devint une marionnette de haut niveau pour l'élite de l'ombre, elle devint même le mannequin présidentiel de JFK.
Quand la programmation de Monroe perdit son pouvoir et qu'elle commença à sombrer, certains affirment qu'on l'a "jetée du train de la liberté", un terme MK ULTRA désignant des esclaves qui sont tuées quand elles ne sont plus utiles (et potentiellement dangereuses) à leurs maîtres.
La première partie de cette série d'articles va fouiller la vie et la carrière véritables de Monroe, une fillette solitaire dont la grande beauté devint une vraie malédiction.
Ses premières années
Norma Jeane adolescente |
Norma Jeane Mortenson eut une jeunesse difficile et instable. Elle ne connut jamais son père et sa mère était mentalement instable et incapable de prendre soin d'elle. Dans Mon Histoire, Monroe a écrit qu'elle se rappelle avoir vu sa mère "hurler et rire" pendant qu'on l'emmenait de force à l'hôpital.
À l'âge de 11 ans, Norma Jeane fut déclarée pupille de l'état. Elle passa sa jeunesse dans 11 familles d'accueil au total; quand il n'y avait pas de foyer d'accueil disponible, elle atterrissait parfois dans un orphelinat de Los Angeles. Comme si le fait de passer d'une famille d'accueil à une autre n'était pas assez difficile, Norma Jeane se rappelle avoir été durement traitée dans plusieurs d'entre elles. Pire encore, elle fut violée dans au moins trois d'entre elles.
Par exemple, à l'âge de 11 ans, Norma Jeane fut adoptée par la meilleure amie de sa mère, Grace McKee et son nouveau mari, Ervin Silliman "Doc" Goddard. C'est là que "Doc" lui fit subir des agressions sexuelles à répétition, qui obligèrent Norma Jeane à partir. Dans un autre cas, quand elle était au collège, Norma Jeane fut envoyée dans la maison de sa grand-tante à Compton en Californie. C'est là que l'un des fils de sa grand-tante la viola, l'obligeant une nouvelle fois à partir. Voici un autre récit de maltraitance :
"Elle a dit avoir été fouettée par la mère d'une famille d'accueil pour avoir touché "une partie sale" de son corps. Un autre accident plus sérieux arriva quand elle eut huit ans. Un soir un pensionnaire qu'elle nomme M. Kimmel (Marilyn révéla plus tard que ce n'était pas son vrai nom) lui demanda de venir dans sa chambre et il verrouilla la porte derrière elle. Il l'entoura de ses bras. Elle lui donna des coups de pied et se débattit. Il fit ce qu'il voulait, lui disant d'être une gentille fille. (dans une interview ultérieure, Marilyn déclara que la maltraitance consistait en attouchements.)
Quand il la laissa partir, il lui tendit une pièce de monnaie et lui dit de s'acheter une glace. Elle lui jeta la pièce à la figure et courut raconter à sa mère adoptive ce qui s'était passé, mais la femme ne voulut pas l'écouter.
"Tu n'as pas honte", lui dit sa mère adoptive, "M. Kimmel est mon meilleur pensionnaire.
Norma Jeane alla dans sa chambre et pleura toute la nuit.
Marilyn disait qu'elle se sentait sale et qu'elle avait dû prendre des bains pendant plusieurs jours pour se sentir propre. Des tentatives répétées de ce genre, vouloir se sentir propre avec des douches ou des bains sont des comportements typiques des victimes d'agression sexuelle.
Marilyn disait qu'elle commença à bégayer après l'incident et que cela la reprenait pendant les périodes de stress. Quand elle raconta à un journaliste sa maltraitance, elle commença à bégayer.
Il est évident qu'elle fut une enfant maltraitée dont la précoce sexualisation entraîna un comportement inadéquat en tant qu'adulte.
- Daily Mail, "Le pull rouge magique qui transforma 'Norma Jeane, le haricot vert' en Marilyn Monroe"
La jeunesse instable et parfois traumatisante de Norma Jeane en fit une candidate parfaite pour le contrôle Monarque de l'esprit. Étant pupille de l'état, elle n'avait pas de famille stable.
"Certains enfants vivent dans des familles d'accueil, ou avec des parents adoptifs ou dans des orphelinats, ou avec des nourrices et des tuteurs. Comme ils sont à la merci d'adultes non identifiables, des enfants de ce genre sont fréquemment vendus à des agences de renseignement pour devenir des esclaves contrôlés psychiquement."
- Fritz Springmeier, The Illuminati Formula to Create a Mind Control Slave (La recette des Illuminati pour créer un esclave sous contrôle psychique)
Le contexte de vie de Norma Jeane en fit une cible de choix pour la Programmation Beta (connue aussi comme programmation "chaton", Kitten Programming en anglais) Femme attirante et charismatique cherchant à faire partie du show business, elle en avait aussi le profil parfait."Beta est la deuxième lettre de l'alphabet grec et elle représente les modèles sexuels et les alters créés par les programmeurs. La partie primitive du cerveau est impliquée dans ce type de programmation. Une maltraitance précoce servira d'ancre à cette programmation".
- Ibid.
Contact avec le Hollywood occulte
Avant de devenir célèbre, Norma Jeane prit le nom de Mona et travailla comme strip-teaseuse dans un cabaret de Los Angeles. Elle y fut mise en contact avec Anton LaVey, l'homme qui fondera plus tard l'Église de Satan, à l'influence énorme. Selon Springmeier, LaVey était un programmeur MK et Monroe devint l'une de ses esclaves "chaton".
"Marilyn Monroe était orpheline et elle fut programmée pendant sa petite enfance par les Illuminati/CIA pour devenir une esclave Monarque. Avant de devenir actrice, alors qu'elle était toujours strip-teaseuse, elle passa du temps avec le fondateur de l'Église de Satan, Anton LaVey. Des victimes de LaVey l'ont dénoncé comme étant un programmeur du contrôle de l'esprit".
- Ibid.
La biographie de LaVey mentionne aussi une "aventure" avec Monroe, qui fut probablement bien plus que cela.
"Quand la saison du carnaval se terminait, LaVey gagnait de l'argent en jouant de l'orgue dans les cabarets de la région de Los Angeles et il raconte que c'est à cette époque qu'il eut une brève aventure avec une certaine Marilyn Monroe encore inconnue".
- Magus Peter H. Gilmore, Anton Szandor LaVey: A Biographical Sketch
Anton LaVey rendant visite à la tombe de Marilyn |
À cette même époque, LaVey fréquentait une autre actrice, celle qui fut connue comme la "Marilyn Monroe fruit du travail d'un homme" : Jayne Mansfield. Leur relation fut aussi qualifiée "d'aventure", mais la réalité était un peu plus sombre.
"Anton LaVey fut le dresseur/programmeur de bon nombre d'acteurs et d'actrices d'Hollywood, dont Jayne Mansfield et Marilyn Monroe, qui lui servirent toutes deux d'esclaves sexuels".
- Anton Szandor LaVey, Whale.to
Photos de Jayne Mansfield avec Anton LaVey |
Marilyn Monroe et Jayne Mansfield avaient beaucoup de choses en commun. Elles étaient toutes deux des "blondes canon" (ni l'une ni l'autre n'étaient des blondes naturelles) et on leur attribue la "sexualisation" d'Hollywood. Toutes deux furent playmates dans Playboy, toutes deux eurent une "aventure" avec Anton LaVey et toutes deux eurent une "aventure" avec Robert F. Kennedy et JFK ("l'aventure" était en réalité de jouer le rôle de mannequins présidentiels). Enfin, toutes deux moururent dans leur trentième année.
Une star avec une vie de prisonnière
Un autre point commun entre Monroe et Mansfield est qu'elles faisaient toutes deux partie de l'agence de mannequins Blue Book. C'est là que Norma Jeane fut métamorphosée en une emblématique Marilyn Monroe.
Marilyn avant chirurgie esthétique (on lui corrigea le nez qu'elle avait un peu fort). [Photo ne provenant pas de l'article de Vigilant Citizen.] |
Comme plusieurs biographies l'ont révélé, Marilyn avait peu ou pas de liberté personnelle. Elle n'avait aucun contact avec sa famille et ses maîtres l'isolèrent pour mieux la contrôler et éviter que des gens "réels" l'aident à prendre conscience qu'elle était manipulée. Les seules personnes avec qui elle était en contact étaient ses "psychologues" et ses maîtres.
"L'existence de Marilyn n'était pas celle d'une "richarde" mais ressemblait plus à celle d'une prisonnière. Marilyn n'avait droit à aucune vie personnelle, en dehors de celle ordonnée par ses programmeurs et ses maîtres. Les programmeurs et ceux qui profitaient d'elle lui firent subir une telle pression qu'ils faillirent plusieurs fois l'amener au bord de la folie".
- Springmeier, Op. Cit.
Marilyn était également sous constante surveillance. Des années après sa mort, on retrouva une quantité incroyable d'équipements de surveillance dans l'une de ses maisons.
"En 1972, l'actrice Véronica Hamel et son mari devinrent les nouveaux propriétaires de la maison de Marilyn à Brentwood. Ils embauchèrent une entreprise pour remplacer le toit et refaire la maison et l'entreprise découvrit un système de micros et de mise sur écoute du téléphone dissimulé dans toutes les pièces de la maison. Ses composants n'étaient pas disponibles sur le marché en 1962, mais selon les mots d'un officiel du département de la justice à la retraite, c'était "un équipement de série du FBI." Cette découverte vient à l'appui des déclarations des théoriciens de la conspiration que Marilyn aurait été surveillée par les Kennedy et la mafia. Les nouveaux propriétaires dépensèrent 100.000 dollars pour faire enlever de la maison les appareils d'écoute".
- Source: IMDB
Ensorcelée par les médecins de l'esprit
"La vie de Marilyn était incroyablement monotone. Ses rendez-vous avec son médecin (j'appris plus tard que ces rendez-vous étaient avec des psychiatres) et ses leçons d'art dramatique étaient virtuellement tout ce qu'elle avait pour se distraire".
- Lena Pepitone, Marilyn Monroe Confidential: An Intimate Account” (confidences de Marilyn Monroe : récit d'une prisonnière)
Lee Strasberg, le "mentor" de Marilyn. Selon Elia Kazan, "Il portait sur lui l'aura d'un prophète, d'un magicien, d'un médecin-sorcier, et d'un psychanalyste". |
"Marilyn démarra une association avec Lee Strasberg et sa femme Paula dès 1955, ils eurent très rapidement une influence colossale dans la vie de Marilyn, prenant en charge presque tous les aspects de son existence.
De nombreux amis et collègues de Marilyn virent ceci arriver et se sentirent très mal à l'aise mais ils étaient impuissants à agir à ce sujet. Pendant son mariage avec Arthur Miller, ce dernier avait commencé à exprimer ses inquiétudes à Marilyn.
Au cours de la dernière année de sa vie il y eut des signes que sa confiance dans le couple Strasberg faiblissait et qu'elle ne voulait plus qu'ils la contrôlent. Il fut dit qu'elle songeait à se dispenser de leurs services – ce qui a été vu comme un autre indicateur que Marilyn avait l'intention de changer son testament".
- Loving Marilyn, Who Owns Marilyn’s Things?
Après sa mort, le testament de Marilyn fut contesté en raison de sa soumission à une influence indue de ses maîtres."Le 25 octobre 1962, le Los Angeles Times publia que le testament de Marilyn Monroe avait été contesté par son ancienne imprésario Inez Melson. Miss Melson, qui n'était pas couchée sur le testament prétendait que Marilyn était sous l'influence illégitime de Lee Strasberg ou du Dr Marianne Kris à l'époque où avait été rédigé le testament".- Ibid.Une autre preuve du contrôle excessif des "médecins de l'esprit" sur la vie de Marilyn est le fait que c'est son psychiatre, Ralph Greenson, qui la retrouva morte. Pourquoi était-il chez elle si tard le soir ? Comme nous le verrons dans la prochaine partie, les circonstances de sa mort sont incroyablement suspectes.
Finalement, comme c'est le cas pour la plupart des esclaves Monarque, les maîtres de Marilyn avaient pris en charge tous les aspects de sa vie. Les contacts avec les membres de sa famille étaient totalement interdits."Bien que Marilyn Monroe posséda une famille, ses médecins, ses psychologues et ses coachs d'art dramatique l'ont isolée d'elle. (…) Des membres de la famille Hogan, qui vivaient dans la région de Los Angeles, avaient tenté de prendre contact avec elle après qu'elle soit devenue célèbre et leurs efforts de rapprochement furent contrecarrés".- Jennifer Jean Miller, “Was Phenergan Marilyn Monroe’s Silent Killer, and Was She a Victim of Psychological Abuse, Medical Malpractice and Wrongful Death?”Déconnectée de sa famille et quasiment sans amis, Monroe fréquentait des thérapeutes presque tous les jours. Ces visites étaient-elles en réalité des séances de programmation ? Une chose est sûre, l'état de Monroe empirait au fur et à mesure qu'elles augmentaient en fréquence. Un récit particulièrement douloureux s'exprime dans "L'histoire du chirurgien", texte de la plume de Monroe elle-même.
L'Histoire du chirurgien
L'Histoire du chirurgien est un texte de Monroe, rédigé sous forme de poème, dans lequel elle décrit être "ouverte" par Lee Strasberg et Margaret Hohenberg, sa psychiatre. D'aucuns décrivent ce récit comme le souvenir d'un cauchemar rapporté par Marilyn, mais d'autres chercheurs soutiennent qu'il s'agit, en fait, de la description d'une séance de contrôle de l'esprit.Strasberg -- c'est le meilleur et le plus compétent des chirurgienspour m'ouvrir, ce à quoi je n'objecte pas puisque le Dr H.m'y a préparée -- elle m'a administré un anesthésiantet c'est elle aussi qui a diagnostiqué mon cas et quiest d'accord avec ce qui doit être pratiqué --une opération -- pour me ramener à la vie etme guérir de cette terrible mal-adieou quoi que ce soit -- (...)Une fois que le Dr H. m'a administré un anesthésiantpour tenter de me soulager médicalement, Strasberg m'ouvre --et après tout dans la pièce devient BLANC, en fait je ne vois plus personne, juste des objets blancs --- ils m'ouvrent -- Strasberg et la nana Hohenberget il n'y a absolument rien là-dedans --Strasberg estprofondément déçu mais encore plus --étonné sur le plan intellectuelqu'il ait pu commettre une telle erreur. Ilpensait trouver bien plus --qu'il n'avait jamais espéré trouver...et au lieu de ça, il n'y avait absolument rien --dépourvue detoute créature humaine vivante sensible --la seule chosequi est en est sorti était de la sciure de bois très fine -- comme on en trouve à l'intérieur des poupées à l'effigie de Raggedy Ann¹ (poupée de chiffons) -- et la sciurese répandsur le sol et la tablele Dr H estdéconcertéeparce qu'elle comprend soudain qu'elle est confrontée àun nouveau cas de figure où la patiente... existeà partir du vide extrême.Strasberg voit ses rêves et espoirs de salle d'opérationtomber à l'eau.Le Dr H. doit renoncer àses rêves et espoirs de traitementpsychiatrique durable -- Arthur est déçu --Abandonné.
1. Raggedy Ann est le personnage central de la série de livres pour enfants écrits et illustrés par l'américain Johnny Gruelle (1880–1938). Raggedy Ann est une poupée de chiffon (rag doll en anglais) ayant la forme d'une petite fille, aux cheveux faits de brins de laine rouge et souvent représentée, vêtue d'une robe bleue et d'un tablier. Gruelle imagina le personnage de Raggedy Ann pour sa propre fille avant d'en faire un personnage de fiction dans le livre Raggedy Ann Stories paru en 1918. Rapidement, une poupée aux traits de Raggedy Ann fut commercialisée.[Merci à Eyael d'avoir traduit l'histoire du chirurgien]
Dans cet étrange et perturbant récit, Monroe décrit être droguée et "ouverte" par ses psychiatres. Elle écrit que l'opération ne la gênait pas, parce qu'elle y était "préparée". Était-elle en état de dissociation ? Il y a aussi la mention qu'elle ne voit "que du blanc" ce qui pourrait faire allusion à une isolation sensorielle – méthode utilisée dans la programmation MK ULTRA.
Une fois "ouverte", les médecins n'ont trouvé en elle qu'une fine sciure, comme celle sortant d'une poupée de chiffons". Ce sont des mots typiques d'une esclave MK qui a complètement perdu le contact avec sa réelle personnalité intérieure. Marilyn se perçoit comme une poupée "vide".
Selon Jason Kennedy, un membre de la famille de Marilyn, l'histoire du chirurgien décrit des techniques de contrôle de l'esprit, comme l'isolation sensorielle et l'administration de drogues anesthésiantes entraînant une dissociation."Des publications en ligne ont fait référence à "l'histoire du chirurgien" comme à un rêve ou un cauchemar. Elle inspira même à la musicienne Annie Clark une chanson avec les paroles, "le meilleur des chirurgiens/viens m'ouvrir", parce qu'elle pensait que Marilyn écrivait des mots en hommage à Lee Strasberg pendant qu'elle étudiait avec lui.Jason, par ailleurs, reliait ce récit à un moment très réel de la vie de Marilyn Monroe, et à un récit des expériences, après avoir été soumise aux techniques de contrôle de l'esprit et de narcose par Lee Strasberg et le Dr Margaret Hohenberg, subies dans des séances privées avec le duo en 1955 pour aider à libérer les blocages de son jeu de scène.La méthodologie consistait à fouiller dans ses souvenirs d'enfance douloureux, lui disaient-ils, pour en faire une grande actrice.Selon la recherche de Jason, le couple convainquit Marilyn que tout cela pouvait l'aider. Jason ajoutait qu'elle était désorientée dès le départ en rédigeant les détails de "L'histoire du chirurgien", corrigeant ses propres détails du récit, remplaçant "élève" ou "étudiante" par "patiente"."C'était une opération sur son esprit", disait Jason. "Elle n'était pas disséquée physiquement, mais mentalement".Il disait qu'on la démontait en morceaux et qu'on changeait son comportement."Cela n'avait rien à voir avec un jeu de scène", continuait Jason. "C'était une extorsion pure et simple par des techniques de contrôle de l'esprit. Aussi, les 'drogues pour contrôle de l'esprit' n'étaient qu'un aspect du processus de contrôle. L'isolation sensorielle, des drogues anesthésiantes dissociatrices et un entraînement psychique font tous partie du processus de contrôle de l'esprit".Lee Strasberg se qualifiait souvent de médécin, ajoutant dans son livre de 1965, "Strasberg à l'Actor's Studio : séances enregistrées".- Ibid.Que cette histoire soit réelle ou non, elle transmet néanmoins les réflexions d'une esclave du contrôle de l'esprit qui est impuissante face à ses maîtres et à leurs tentatives médicales de programmation et de modification. Malheureusement, d'autres événements traumatisants causés par ses maîtres furent bien tous réels.
Traumatisée par ses maîtresEn 1961, le Dr Kris convainquit Marilyn de faire un bilan à l'institut psychiatrique Payne Whitney. Les événements qui suivent sont choquants sachant que Marilyn était une star de cinéma mondialement célèbre – mais pas surprenant sachant qu'elle était une esclave sous contrôle de l'esprit. Voici ce qui se passa à l'institut psychiatrique :"Kris avait conduit Marilyn dans le grand hôpital en briques blanches de New York – le centre médical Weill Cornell, qui faisait face à l'East River sur la 68ème rue. Enveloppée d'un manteau de fourrure et donnant comme nom celui de Faye Miller, elle signa les papiers d'admission mais elle réalisa rapidement qu'on ne l'escortait pas vers une salle de repos mais vers une chambre capitonnée d'une unité psychiatrique avec des barreaux. Plus elle sanglotait et suppliait qu'on la laisse sortir, en cognant sur les portes d'acier, plus l'équipe de psychiatres pensait qu'elle était vraiment psychotique. On la menaça de la camisole de force et on lui enleva ses vêtements et son sac à main. Elle subit un bain forcé et fut affublée d'une chemise d'hôpital.
Les 1er et 2 mars 1961, Marilyn écrivit une extraordinaire lettre de 6 pages au Dr Greenson décrivant de manière saisissante son supplice : "Il n'existait aucune empathie à Payne Whitney – c'était d'un très mauvais effet – m'informèrent-ils après m'avoir mise dans une "cellule" (je veux dire un bloc de ciment) pour patients déprimés très perturbés (sauf que j'avais l'impression d'être dans une sorte de prison pour un crime que je n'avais pas commis. J'ai tout trouvé d'une inhumanité archaïque...tout était verrouillé et fermé à clé...les portes étaient vitrées et les patients étaient donc visibles en permanence, la violence et les marques laissées par les précédents patients étaient toujours visibles sur les murs.)"(...)Un psychiatre entra et lui fit un examen physique, "comportant l'examen de la poitrine à la recherche de grosseurs". Elle s'opposa, lui disant qu'elle avait eu un examen complet il y avait moins d'un mois, mais cela ne le découragea pas.Quand elle refusa de coopérer avec l'équipe, "deux hommes et deux femmes baraqués la soulevèrent chacun par un bras et une jambe et l'emmenèrent en ascenseur au septième étage de l'hôpital. ("Je dois dire qu'ils ont eu au moins la décence de me porter le visage face au sol...je n'ai fait que pleurer tout le temps du trajet," écrivait-elle.)On lui ordonna de prendre un autre bain – le deuxième depuis son arrivée – et l'administrateur en chef entra ensuite pour lui poser des questions. "Il m'a dit que j'étais une fille très très malade et que j'étais une fille très très malade depuis des années".Le Dr Kris, qui avait promis de la voir le jour suivant son enfermement, ne vint pas et ni Lee Strasberg ni sa femme Paula, à qui elle réussit à envoyer une lettre, ne purent la faire sortir, car ils n'étaient pas de la famille".- Marilyn and Her Monsters, Vanity FairUn autre aspect moins connu de la vie de Monroe, ce sont ses deux grossesses ratées. Alors que la plupart des biographies déclarent qu'elle avait fait des fausse-couches, certains récits font en réalité allusion à des fausse-couches provoquées. Provoquer des fausse-couches est une pratique courante dans le MK ULTRA et, si on lit la propre version de Marilyn, il semble que ses maîtres lui ont pris son bébé. Dans le livre de Pepitone, Marilyn aurait dit au sujet de sa grossesse :
"Ne prenez pas mon bébé. Ils me l'ont pris...et je ne le reverrai jamais".Le livre énonce en substance que Marilyn n'avait pas fait de fausse-couche. "Ils" lui ont pris son bébé.
"Après que Marilyn ait mis au monde un bébé en bonne santé, il lui fut enlevé et elle n'eut jamais l'autorisation de le voir. Il fut très probablement sacrifié. Marilyn était trop effrayée pour demander ce qu'ils allaient en faire."- Springmeier, Op. Cit.Selon ses biographies, Marilyn perdit deux bébés à la polyclinique, endroit où, selon Springmeier, elle avait été programmée.
"L'opération se passa à la polyclinique où Marilyn avait perdu un bébé l'année précédente... Marilyn disait : "Retourner à cet hôpital est un cauchemar...De la souffrance ? Quelle souffrance ?". La seule souffrance pour elle fut de ne pas avoir son enfant"- Pepitone, Op. Cit."Il faut noter qu'elle retourne toujours à la polyclinique. Les victimes Monarque devaient endurer une somme énorme d'horribles tortures. Elles apprenaient à survivre en se dissociant. Quand Marilyn dit "Quelle souffrance ?" sa réponse reflète exactement sa souffrance. Elle ne pouvait pas souffrir parce qu'elle s'était dissociée. Certains alters sont créés pour accepter la souffrance et les autres alters n'ont pas à la vivre".- Springmeier, Op. Cit.
Dans la première partie de ces articles, nous avons regardé la vie cachée de Marilyn Monroe – qui révèle le côté sombre d'Hollywood. Marilyn n'a pas été seulement totalement manipulée par ses maîtres, mais a été maltraitée et traumatisée pour la garder sous contrôle et renforcer sa programmation. Les faits effrayants mentionnés ci-dessus proviennent de différentes sources, mais mis bout à bout, ils donnent une image triste, pourtant claire comme de l'eau de roche de la vie d'une esclave MK d'Hollywood. Trauma, maltraitance, isolement, contrôle de l'esprit et surveillance constante firent partie de la vie quotidienne de Monroe.
Les victimes paient un lourd tribut pour ce genre de maltraitance et au bout d'un certain temps s'ensuit presque inévitablement un effondrement. À ce moment-là, les esclaves MK sont habituellement "éjectées du train de la liberté". Cela fut-il ce qui arriva finalement à Marilyn ?
La photo de gauche (les dernières avant sa mort) ne plaisait pas à Marilyn, elle l'a barbouillée |
Des "mannequins présidentiels" auraient été utilisés par des artistes et des hommes politiques en tant que jouets sexuels : marionnettes sous contrôle de l'esprit programmées pour accomplir divers actes pervers sur ordre de leur "maître" manipulateur. On suppose que MM fut la première esclave sexuelle Monarque qui accéda au statut de "célébrité". Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le terme de "mannequin présidentiel", je les renvoie à "Candy Jones sous contrôle" par Donald Bain et Long John Nebel. Long John Nebel – une personnalité du monde de la radio à New York dans les années 50 à 70 – découvrit petit à petit que sa femme, Candy Jones, suite à des séances d'hypnose, était une victime de ce genre de projet de contrôle de l'esprit, l'une des nombreuses esclaves mentales MK-ULTRA, programmée par les "spychiatres" de la CIA et qui servaient à assouvir les caprices sexuels pervers de saloperies de dignitaires de haut rang, parmi d'autres diverses missions comme de passer de la drogue et servir de messagères à ce vaste réseau d'hommes d'influence à la moralité plus que douteuse. D'autres informations ont fait surface à ce sujet ces dernières années par le biais d'allégations similaires largement répandues sur internet, ainsi que par des livres hautement controversés comme Transe-formation en Amérique par Mark Phillips et Kathy O'Brien (livre traduit en français et édité par Pierre Mazé aux Éditions Nouvelle Terre, dont je posterai plus tard des passages), dans lequel Mme O'Brien raconte ses propres récits troublants de maltraitance MK-ULTRA et Monarque."
- Adam Gorightly, “An Interpretation of Kubrick’s Eyes Wide Shut” (Une interprétation du film de Kubrick, Eyes Wide Shut, les yeux grand fermés)
Selon des personnes faisant des recherches sur le contrôle de l'esprit, MM fut le premier mannequin présidentiel "à haut profil", situation qui demandait à ses maîtres d'exercer un extrême contrôle sur ce qu'elle disait et faisait en public.
"Ils privaient Marilyn de tout contact avec le monde extérieur pour s'assurer que leur contrôle de son esprit fonctionnerait. Ils avaient peur que quelque chose puisse mal tourner avec la première esclave présidentielle qui était autorisée à apparaître en public"
- Fritz Springmeier, The Illuminati Formula to Create a Mind Control Slave
Les esclaves Monarque "de haut rang" sont souvent repérables par des bijoux et des pierres précieuses identifiant leur statut. Les mannequins présidentiels seraient identifiés par des diamants.
"Comme signaux d'authenticité et de reconnaissance, les esclaves Monarque portent des diamants pour signifier qu'elles sont mannequins présidentiels. (...)
Les émeraudes signifient la drogue, les rubis la prostitution, les diamants (strass) indiquent la fonction de mannequin présidentiel."
- Ibid.
Dans le film "Les hommes préfèrent les blondes", MM chante la célèbre chanson "Les diamants sont les meilleurs amis de la femme". Y avait-il un double sens à cette chanson ? |
"Marilyn ne pouvait se permettre des émotions quand il lui fallait dormir avec des vieux tout ridés pour survivre dans le métier. Elle devait se protéger en se "débranchant" virtuellement de ses émotions pendant ces moments-là – comme si elle jouait un rôle pour s'extirper de l'horreur de la situation. Quand ces riches magnats haut placés possédaient son corps et son âme, elle ne pouvait vivre par elle-même. Ce furent des moments, me disait-elle, où elle rentrait chez elle épuisée par des séances de photos et de vieux schnocks puissants lui téléphonaient et elle en avait la chair de poule. Après certaines horreurs de ces séances de sexe, elle restait sous la douche pendant plus d'une heure. Elle voulait se laver de la terrible expérience qu'elle avait endurée."June DiMaggio, Marilyn, Joe and Me
Dans les derniers mois de sa vie, il devenait très difficile de travailler avec Marilyn et son comportement inquiétait ceux qui suivaient son état. Durant les prises de vue de son dernier film achevé, The Misfits, (en français, les Désaxés, avec Clark Gable et Montgomery Clift), MM était atteinte d'une "maladie sérieuse" qui ne fut jamais révélée mais qui était traitée par un ...psychiatre. En d'autres mots, sous contrôle de l'esprit.
"Monroe était fréquemment malade et incapable de jouer, et loin de l'influence du Dr Greenson, elle avait repris sa consommation de somnifères et d'alcool. En visite sur le plateau de tournage, Susan Strasberg décrivit Monroe comme "mortellement blessée dans un certain sens" et en août, Monroe fut envoyée d'urgence à Los Angeles où elle fut hospitalisée pendant dix jours. Les journaux rapportèrent qu'elle avait frôlé la mort, bien que la nature de sa maladie ne fut pas révélée. Louella Parsons écrivit dans son éditorial que Monroe était "une fille très malade, beaucoup plus qu'on ne le pensait au premier abord", et elle révéla qu'elle était traitée par un psychiatre."Wikipedia, “Marilyn Monroe”
"Très peu de gens vivent dans la terreur. Nous vivons tous de l'anxiété, de la tristesse, des peines de cœur, mais là c'était une terreur purement animale".Anthony Summers, “Goddess”
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19 h – 19 h 15 : Joe DiMaggio Jr., le fils du joueur de base-ball Joe DiMaggio (et donc ex beau-fils de MM) lui téléphone pour lui parler de sa rupture de fiançailles d'avec une jeune femme de San Diego. DiMaggio Jr. a dit pendant son interrogatoire que MM semblait joyeuse et enjouée. Servant dans les Marines en Californie, DiMaggio a pu replacer l'heure de son appel parce qu'il regardait la septième manche d'un match de base-ball qui se jouait à Baltimore. Selon les archives du match, la septième manche s'est déroulée entre 22 h et 22 h 15, heure de l'est ; donc MM reçut l'appel aux environs de 19 h, heure de la Californie.
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19 h 30 – 19 h 45 : Peter Lawford (le beau-frère du président Kennedy) téléphone à MM pour l'inviter à dîner chez lui, invitation qu'elle avait décliné plus tôt dans la journée. Selon Lawford, MM marmonnait et ses paroles étaient de plus en plus incompréhensibles. Après qu'elle lui ait dit au revoir elle raccrocha brusquement. Lawford tente de la rappeler, mais reçut le signal "occupé". Les enregistrements téléphoniques montrent que c'est le dernier appel que MM reçut sur sa ligne principale cette nuit-là.
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20 h : Lawford appelle Eunice Murray, qui passe la nuit dans la dépendance, sur une autre ligne, pour lui demander si elle pouvait vérifier l'état de MM. Après quelques secondes, Murray revient au téléphone en disant qu'elle va bien. Nullement convaincu, Lawford va essayer toute la nuit d'avoir MM au téléphone. Il appelle son ami et avocat Milton A. "Mickey" Rudin, mais il lui est conseillé de se tenir à l'écart de la maison de MM pour éviter qu'elle soit mise dans l'embarras, étant peut-être sous l'emprise d'alcool.
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22 h : La gouvernante Eunice Murray retourne à la porte de la chambre de MM et certifie plus tard qu'elle a vu de la lumière sous la porte, mais qu'elle a décidé de ne pas la déranger.
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3 h : Eunice Murray appelle le psychiatre personnel de Marilyn, le Dr Greenson, sur l'autre ligne téléphonique, pour lui dire qu'elle ne peut réveiller Monroe. Elle est sûre que quelque chose ne va pas du tout après avoir jeté un œil par la fenêtre de sa chambre.
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3 h 40 : Le Dr. Greenson arrive et tente d'ouvrir la porte mais n'y arrive pas. Il regarde par la fenêtre à la française et voit MM allongée sur le lit tenant le téléphone et apparemment morte. Il brise la vitre pour ouvrir la porte verrouillée et l'examine. Il appelle le Dr Hyman Engelberg. Il existe une hypothèse selon laquelle une ambulance aurait été appelée à la maison de MM à ce moment-là et décommandée plus tard.
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4 h 30 : On appelle la police qui arrive peu de temps après. Les deux médecins et Murray sont interrogés et indiquent l'heure de la mort aux environs de minuit trente. La police note que la chambre est extrêmement bien rangée et que le lit semble avoir été refait. La police déclare que Murray lavait des draps quand ils sont arrivés. La police note qu'il y a plusieurs flacons de comprimés sur la table de nuit , mais que la pièce n'offre aucun moyen de les avaler car il n'y a ni verre ni eau. MM était connue pour manquer de s'étouffer quand elle prenait des comprimés même si elle buvait de l'eau pour les faire descendre. On trouvera plus tard un verre sur le sol près du lit, mais la police prétend qu'il n'était pas là quand la pièce avait été fouillée.
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5 h 40 : L'entrepreneur de pompes funèbres, Guy Hockett arrive et note que l'état de rigidité du cadavre met l'heure de la mort entre 21 h 30 et 23 h 30. L'heure est ensuite changée pour correspondre aux déclarations des témoins.
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6 h : Murray change sa version des faits et dit maintenant qu'elle est retournée au lit à minuit et qu'elle n'a appelé le Dr Greenson à son réveil qu'à 3 h après avoir remarqué la lumière toujours allumée. Les deux médecins changent aussi leur version et prétendent maintenant qu'elle serait décédée aux environs de 3 h 50. La police note que Murray semble très évasive et extrêmement vague et qu'elle a finalement changé de récit plusieurs fois. Malgré son rôle de témoin-clé, Murray part pour l'Europe et n'est plus réinterrogée.- Wikipedia, “Death of Marilyn Monroe”
Flacons de comprimés trouvés près du corps de Marilyn |
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Ibid.
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Ibid
Britney recrée la fameuse scène de la robe qui se relève |
Capture d'écran perso : Anna-Nicole avec son fils Wayne bébé |
A-N Smith recréant le personnage de Marilyn dans "Les hommes préfèrent les blondes" |
A-N Smith : une des nombreuses occasions de reprendre le look de MM |
Lindsay Lohan a repris la séance de photos "La dernière séance", avec le même photographe, Bert Stern |
Megan Fox pose avec à la main un livre de MM et montre son tatouage de Marilyn |
Katy Perry sert totalement l'agenda Illuminati - y compris le symbolisme de la Programmation Beta. Ici elle pose comme MM avec en arrière-plan un damier maçonnique |
Nicki Minaj imite souvent le look de MM. |
Dans sa vidéo "Hymne National", Lana Del Rey a recréé le "Bon Anniversaire, Mr Président" de MM. L'imagerie dans nombre de ses vidéos fait allusion à la Programmation Beta. |
Lana Del Rey devant une photo de MM. |
Le secret Kabbalistique de Mozart caché dans sa musique
Le comte Franz Von Walsegg,un franc maçon,envoya un messager anonyme,vêtu de noir à Mozart pour composer une messe des morts "le requiem",pour le faire passer pour sa propre oeuvre moyennant une grosse rétribution.
Mozart,ayant des soucis financiers accepta.Selon ses confidences,quand Mozart composait,il avait de plus en plus conscience qu'il écrivait pour sa propre mort..Il mourut en effet avant d'avoir achevé le Reqiuem et ce fut son élève qui compléta l'oeuvre afin de permettre à sa veuve de toucher l'argent.
Le parrain en franc maçonnerie de Mozart fut Ignaz Von Born,un ancien Jésuite,formé ensuite en minéralogie.
Il faisait partie de la secte des "illuminés de Bavière",une société secrète fondée par un certain Adam Weishaupt,un juif converti au catholicisme ,devenu jésuite et professeur de droit canon chez les Jésuites..
Les illuminés de Bavière se réclamaient du siècle dit des "Lumières",c'est à dire des sciences et du rationalisme de Voltaire,Diderot,d'Alembert,des Encyclopédistes et autres savants.
Ils refusaient de reconnaître toute illumination divine.
D'après les travaux de l'abbé Barruel:"mémoires pour servir d'histoire au jacobinisme",ce sont les illuminés de Baviére qui ont noyauté la franc maçonnerie Française pour faire la révolution de 1789.
Weishaupt avait en vue la république universelle et un nouvel ordre mondial,selon les conceptions totalement judaïques d'un paradis sur terre où coulerait le lait et le miel.
Ignaz Von Born,ancien Jésuite fonda en 1786 la grande loge nationale d'Autriche.Ce fut un anti clérical et un anti religieux et a décrit le moine comme un mélange entre le singe et l'homme.
Il a combattu le courant gnostique , mystique et religieux à l'intérieur de la franc-maçonnerie.Pour lui ceci était des insanités mystiques.
Ignaz Von Born meurt le 24 juillet 1791,soit environ 4 mois avant Mozart,mort le 5 Décembre 1791,par absorption de mercure a effets lents,contrairement à l'arsenic couramment employé à l'époque,à effets plus rapides.
Musicien prodige,catholique mystique et poète,Mozart a donc rencontré sur sa route maçonnique les illuminés de Bavière et les Jésuites.
Mais qui sont ces Jésuites?
C'est Ignace de Loyola, un marrane,un juif converti au catholicisme,né au pays Basque Espagnol le 24/12/1491 qui fonda la Compagnie de Jésus ou Jésuites,afin de combattre la Réforme Protestante.
Il orienta ensuite les Jésuites vers des les missions à l'étranger.
Ce fut aussi un Jésuite,un marrane,Alexandre de Rhodes,qui fonda les "missions étrangères" pour l'évangélisation des peuples,spécialement en Asie.Ces missions étrangères sont composées pour l'essentiel de prêtres issus de milieu rural,contrairement aux Jésuites,un ordre d'intellectuels voué à l'enseignement.
Les marranes constituaient dans l'Espagne ,des juifs convertis pour ainsi dire de force par l'Eglise,sous peine de devoir quitter l'Espagne.
Mais les marranes n'abandonnèrent pas leur foi juive.Comme les francs maçons,ils se reconnaissaient à des poignées de mains spéciales et participaient à des rituels juifs secrets.
Ces marranes ont dominé le commerce Espagnol et se sont liés à l'aristocratie Espagnole.
Les Jésuites sont composés de clercs et ont à leur tête un général dit le pape noir
Comme la franc maçonnerie,l'ordre Jésuite comporte des niveaux élevés avec des cérémonies particulières.
Leur symbole est un drapeau noir avec une dague et une croix rouge au dessus d'un crâne avec des tibias croisés.C'est le symbole maçonnique du grade de maître.
Le mot Jésuite est passé dans le langage courant pour signifier un hypocrite.Leur principe est le renseignement et l'infiltration dans toutes les religions en tant qu'armée secrète du Vatican,ce sont d'abord des espions..
On fait jurer à l'impétrant des grades supérieurs.d'extirper toutes les doctrines hérétiques,faire une guerre contre les protestants.,de les extirper,de les éliminer.
Au cas où cela ne pourrait se faire d'utiliser le poison,la corde à étrangler et le poignard.
Si je manque à ma détermination fait-on réciter à l'impétrant,que mes frères me tranchent les pieds et ma gorge.
C'est le même serment que le serment maçonnique.
Le pape Clément XIV supprima la Compagnie de Jésus,suite à des scandales financiers mais fut rétablie en France par le pape Pie VII.
Les jésuites se vouaient à l'enseignement supérieur.Jules Ferry interdit les congrégations religieuses d'enseignement et supprima les Jésuites.
Ils furent rétablis par la suite et par exemple l'Institut supérieur d'enseignement agronomique de Purpan près de Toulouse est tenu par les Jésuites.
Il faut signaler aussi le paléontologue jésuite et auvergnat Teilhard de Chardin qui pour concilier la théorie de l'évolution de Darwin et le christianisme inventa la notion de Christ évoluteur !!
Mozart,catholique préparait la création de la société secrète "la Grotte",s'inspirant des idées protestantes de Rousseau,la Bible comme seule guide mais selon le libre examen et sans être obligé de croire aux dogmes de l'Eglise,.Rousseau enseigna la croyance (fausse ) du bon sauvage et de la bonté innée en l'homme.
Dans ce cadre là et compte tenu des différents financiers de Mozart avec les francs maçons,on a aucune peine à imaginer l'élimination d'un gêneur.
Voici à ce propos quelques phrases à méditer de l'encyclique "Humanum Genus" de Léon XIII sur la secte des francs maçons.:
"Hypocrisie des sectaires et perversité intrinsèque de la franc maçonnerie"
" Leur grand intérêt étant de ne pas paraître ce qu'ils sont,ils jouent le personnage d'amis des lettres ou de philosophes réunis ensemble pour cultiver les sciences.
Ils ne parlent que de leur zèle pour le progrès de la civilisation,de leur amour pour le pauvre peuple.A les en croire,leur seul but est d'améliorer le sort de la multitude et d'étendre à un plus grand nombre d'hommes les avantages de la société civile.
Mozart initié aux secrets kabalistiques composa des mélodies suivant des sons qui définissait parfaitement le message codé des loges esotériques vers qui il addressait toujours une signature dans ses musiques .
regardant cette videos qui prouve que Mozart combinait plus que de simple note de musique il en connaissait le mystere.....Così fan tutte, ossia La scuola degli amanti (K. 588)1 est un dramma giocoso en deux actes de Wolfgang Amadeus Mozart sur un livret en italien de Lorenzo da Ponte, créé le 26 janvier 1790 au Burgtheater de Vienne. Il marque la troisième et dernière collaboration entre Mozart et Da Ponte,
Citation du jour
Servez vous de votre esprit critique avant de nier sans preuves ne soyez pas imbus de vos préjugés accumulés lors de votre éducation (conditionnement)
qui a fait de votre intelligence un serviteur docile et de votre intuition un aveugle hostile.R James.