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Les Atlantes est l'équipe de Football Américain de la Côte Basque.
Tout d'abord, l'origine de la culture basque nous est encore aujourd'hui méconnue.
Voici ce que dit par exemple Assimil, éditeur de méthodes de langues : "Difficile de parler du peuple basque sans évoquer, fût-ce brièvement, le mystère de son origine. Les Basques parlent une langue non indo-européenne, plus ancienne que la vaste majorité des langues parlées sur le continent européen. De là à leur prêter les origines les plus fantastiques, il n'y a qu'un pas. En réalité, nous ignorons tout de ces origines et les débats se perdent en spéculations diverses : descendraient-ils directement de l'homme de Cro-magno et seraient-ils cousins de ces artistes préhistoriques qui nous ont laissé tant d'oeuvre dans les nombreuses grottes et cavernes qui émaillent la région ? Seraient-ils liés d'une manière ou d'une autre aux mystérieux Ibères ? aux Celtes ? aux Berbères d'Afriques du Nord ? Et pourquoi pas, si on a l'imagination fertile, aux mythiques Atlantes, et par extension aux Mayas et aux Aztèques ?"
Une langue non indo-européenne. Donc ce n'est pas une langue latine et elle plus vielle que le Latin ! Quant à la question si les Basques sont liés aux Ibères, Celtes et Berbères il semblerait donc évident que ce-sont ces derniers qui descendraient des Basques, puisque les Basques auraient débarqués de l'ile d'Atlantide côté est et leurs cousins Aztèques du coté ouest.
L'Euskara est la langue basque, prononcé "éouchekara". Un Basque c'est un Euskaldun, celui qui parle le basque. En rajoutant la particule "ak" nous obtenons le pluriel Euskaldunak, ceux qui parlent le basque. Et le Pays Basque se dit Euskal Herria.
L'Euskara ne se rattache pas davantage aux langues africaines et asiatiques. Elle semble cependant vaguement apparentée à la langue des Guanches, à l'Etrusque, à l'Egyptien primitif, au Tibétain primiti et certains idiomes américains ressemblent à tel point à la langue basque que des naturels Peaux-Rouges du Canada pourraient comprendre sans difficulté un Basque. Cela ne peut être dû au hasard.
Nous venons de dire que le Basque ne semblait dans l'ancien continent n'être que vaguement apparenté à l'Egyptien primitif, au Tibétain primitif, à l'Etrusque. Cela est vrai, car il est permis de supposer que les Basques, se rattachant à cette race rouge dont les Etrusques, les Egyptiens, et les Tibétains primitifs se disaient issus, avaient dû forcément avoir les mêmes progéniteurs linguistiques.
Seulement, tandis qu'au Pays Basque la langue restait fixe et immuable comme elle l'est restée en Amérique dans certaines tribus, elle évoluait au Tibet et surtout en Egypte, se défigurant peu à peu au contact des idiomes noirs et boréens. Seul l'Etrusque qui, à l'heure actuelle, reste encore mystérieux, semble être une forme plus évoluée que le Basque, mais moins évoluée que l'Egyptien. L'avenir démontrera peut- être que cette langue est l'intermédiaire entre le Basque et l'Egyptien.
Mais ce qui est caractéristique au point de vue de l'Atlantide, c'est cette conformité de langage de deux peuples ayant les mêmes caractères physiques et étant séparés par un Océan immense. De plus, ces deux peuples n'ont jamais été navigateurs. Il y a donc eu, à un moment donné, un pont naturel. Ce pont étant l'Atlantide. Puis, comment expliquer l'apparition du bronze en Europe sans qu'il y ait eu auparavant un âge du cuivre et un âge de l'étain ? Or un âge du cuivre a existé en Amérique vers les Grands Lacs, et c'est le seul lieu de la terre où il a existé ! Là seulement, on retrouve des instruments en cuivre pur. Partout ailleurs on ne retrouve que du bronze. Or le bronze n'a pu être trouvé avant un long usage du cuivre et de l'étain. Le bronze a donc été apporté en Europe, en Asie, en Afrique par un peuple commerçant et hardi.
Comment expliquer aussi la découverte en Amérique de pointes de flèches, de haches, et de statuettes en néphrite et en jadéites, alors que nul gisement de ces pierres n'existe en ce pays ? Et d'où viennent ces marteaux de pierre portant le signe sacré et mystérieux du Swastika indou, égyptien et basque ?
Enfin, pourquoi ce parti pris des naturels américains de se servir, comme motif d'ornementation, de l'éléphant, qui a disparu de l'Amérique à la fin du Tertiaire et qui d'ailleurs n'y a existé que comme mammouth, lequel diffère sensiblement de l'éléphant ? Car les décorations péruviennes emploient l'éléphant qu'ils ne pouvaient pas connaître et non le mammouth. On trouve en effet au Pérou dés pipes en forme de tête d'éléphant, des vases, des sculptures représentant cet animal et une ornementation basée sur des trompes d'éléphants entrelacées. Notez aussi qu'en Irlande il a été retrouvé des pipes à tête d'éléphant et d'autres ornées qui ressemblent singulièrement aux pipes péruviennes ! Puis pourquoi des pipes en Irlande remontant à une époque très reculée, alors que l'introduction du tabac en Europe est récente ?
Mais où la parenté existant entre les rouges d'Amérique et les rouges d'Europe éclate merveilleusement, c'est dans la comparaison des Egyptiens et des peuples qui s'y rattachent (Phéniciens, Rumero, Accadiens, Etrusques) avec les Péruviens, les Mayas du Yucatan et les Mexicains, peuples représentant en Amérique la race rouge dans toute sa pureté. Même forme crânienne, mêmes usages, mêmes architectures, mêmes conceptions métaphysiques. On a la sensation très nette d'un progéniteur commun et ce progéniteur, que reconnaissent les traditions de ces peuples est, disent-elles, le pays d'Atlan, d'Atzlan, 'île mystérieuse enfouie au fond de la mer. Nous ne pouvons ignorer la similitude avec le nom d'Atlantide cette Île mystérieuse qui elle aussi aurait été enfouie sous les eaux !
Au point de vue linguistique, il est curieux de constater la ressemblance existant entre l'alphabet phénicien et l'alphabet maya du Yucatan, entre le grec et le maya, le chiapanec et l'hébreu. Cette ressemblance entre le grec et le maya est, paraît-il, si grande qu'un des explorateurs des contrées américaines connaissant l'ancien grec, comprit la plupart des Mayas sans difficulté. « Le grec d'Homère en Amérique ! s'écria-t-il, mais c'est une invention du diable ! »
Qu'est-ce que le maya ? L'idiome d'un peuple rouge qui prétend descendre des Atlantes.
Qu'est-ce que le grec ? Un dérivé de l'hébreu, venant de l'Egypte, qui a beaucoup changé par rapport à ce qu'il était à l'origine évoluant au contact des langues indo-européennes. Or cette Egypte prétend être fille de la race rouge et descendre des Atlantes. Sa langue est l'hébreu primitif: non point le dialecte syro-araméen que nous connaissons, mais l'idiome de Moïse, la langue de Sepher, la langue sacrée des peuples rouges échappés au déluge !
Donc le grec et le maya ont une origine commune, tous deux sont les dérivés d'une langue mère qui est la langue atlante, et l'Atlantide seule permet d'expliquer leur parenté.
On enregistre les plus fortes concentrations de groupe sanguin de type O chez les Basques. Du point de vue ethnique, les Basques sont de type cro-magnoïde. La plupart des ossements retrouvés lors des fouilles dans cette région le confirme. Selon José Miguel de Barandiaran, préhistorien d'origine basque : "un crâne que nous avons découvert au niveau magdalénien à Urtiaga, encore qu'il puisse ne pas être contemporain de ce niveau, mais postérieur, offre des caractères cro-magnoïdes." De même Paulette Marquer confirme de son côté :"l'étude du crâne d'Urtiaga nous permet d'affirmer que le premier habitant connu du pays basque espagnol paléolithique ou mésolithique appartenait de façon indiscutable au type de Cro-Magnon."
On peut noter que dans les légendes basques, il est toujours question d'un grand peuple de l'Ouest qui envahit l'Europe. Et ces envahisseurs, finalement, furent détruits dans un déluge dans lequel leur pays disparut pour toujours.
Le roi du Mexique Montézuma II aurait dit au conquistador espagnol Fernand Cortez :
" Nos pères ne sont pas nés ici. Ils sont venus d'une terre lointaine nommée Aztlan, où s'élevait une haute montagne avec un jardin habité par les dieux."
D'autres éléments troublants sont les similitudes entre les Basques et les Indiens d'Amérique. Leurs méthodes agricoles s'inspirent des mêmes principes. En effet, les Basques ne labourent pas ; au lieu d'utiliser la charrue, ils retournent la terre à l'aide de fourches à deux dents, nommées "layas", tout comme les Indiens d'Amérique centrale ou les anciens Mayas. En effet le monde aztèque connaît le disque, comme le prouve le grand calendrier solaire de Tenochtitlan. Mais il en ignore l'application pratique : l'usage de la roue, même si curieusement, sur le plateau mexicain, de fragiles roues d'argile sont montés sur des jouets, modèles réduits de charrettes.
Egalement, les Basques ainsi que les Indiens du Yucatan, du Brésil et de Colombie ont en commun une étrange coutume appelée la "couvade" : lorsqu'une mère accouche, c'est le père qui se met au lit et reçoit les félicitations !
Dans l'antiquité déjà, le géographe romain Strabon, il y 2000 ans, faisait une description du costume des Basques en tous points semblables à celle qu'on laissée au XVI ème siècle les conquistadores espagnols de certaines tribus d'Amérique centrale, en particulier les Uyacali.
Enfin, la fameuse pelote basque, jeu dans lequel on renvoie une balle au moyen d'une chistera, sorte de panier allongé et recourbé que l'on attache au poignet, ressemble trait pour trait à un jeu pratiqué par l'ancienne noblesse du Mexique précolombien et les Indiens du Yucatan.
Et l'habitude basque de compter par vingtaines, ce qui a donné en français le mot "quatre vingt" se retrouve également en Amérique centrale. En effet les Mayas utilisaient un système à base 20 avec trois signes seulement, dont le zéro. Par un véritable génie dans le maniement des chiffres, ils avaient atteint une précision plus grande que celle de notre Occident dans les calculs astronomiques. Ils utilisaient des chiffres entiers pouvant dépasser le milliard. D'ailleurs le calendrier maya est plus précis que le nôtre : il comprend un calendrier religieux de 260 jours, divisés en 13 groupes de 20 jours, employé avec un calendrier civil, établi sur le soleil, de 365 jours. Celui ci comportait 18 groupes de 20 jours, soit 360 jours. Les Aztèques adopteront ce calendrier et diviseront le temps en cycle de 52 ans, le siècle aztèque.
Mais revenons-en aux Basques. La langue basque, l'Euskara, ne ressemble à aucun autre idiome européen et se distingue nettement des langues indo-européennes. Il s'agit d'une langue synthétique et "agglutinante", ce qui signifie qu'elle agglutine au sujet de la phrase toutes les qualités qui s'y rapportent, réduisant ainsi toute une phrase à un seul mot. Il n'existe pas de termes abstraits, les idées naissant de comparaisons avec des choses concrètes. Selon José-Miguel de Barandiaran, "la langue basque a conservé des éléments vocabulaires de l'âge de pierre". Ainsi, "pierre", se dit "aitz", qui a donné "aitzkora", la hache, "aitzbur", la bêche ou la houe, "aitzkurbegi", le trou du fer de la houe dans lequel est enfoncé le manche, ou encore "aitzto", le couteau. Les outils et instruments courants, faits de métal, ont conservé le nom qu'ils avaient voilà des millénaires, lorsqu'ils étaient encore en pierre... José Miguel de Barandiaran poursuit :"le fait que "urraida (de "orre", or, et "aide", semblable) et "zirraida" (de "zilhar", argent, et "aide", semblable) sont les noms basques du cuivre et de l'étain, et que leur formation réponde justement à l'ordre de l'apparition historique de ces métaux, est également l'indice que le vocabulaire basque conserve des mots ("urre" et "zilhar") antérieurs à la diffusion du cuivre (énéolithique) et de l'étain (âge du bronze). Il ne saurait être question d'affirmer que le basque actuel était déjà parlé il y a plus de dix mille ans, aux temps magdaléniens, mais il est certain que des vocables employés par les magdaléniens de la région pyrénéenne ont été conservés sans discontinuité dans la langue basque depuis ces temps jusqu'à nos jours."
D'étranges similitudes ont été constatées entre la langue basque et certains dialectes esquimaux ou indiens. Par exemple, l'historien Charancey publia une étude dans laquelle il notait que l'Euskara ressemblait aux dialectes parlés par les indiens Delaware et Chippeways. D'autres affinités troublantes ont été relevées entre des noms de lieux situés au Pays Basque et au Yucatan, comme "Tabasco" et "Ta-Basco" (le Pays des Basques)... De plus il n'existe que trois endroits au monde où les langues utilisent des sons "sifflés" ; il s'agit du Pays Basque, de l'Amérique centrale et des Canaries.
Les îles Canaries
Situées au large du Maroc, les îles Canaries connaissent un printemps éternel au point qu'elles furent longtemps baptisées les "îles Fortunées". Ces îles étaient alors peuplées d'aborigènes qui se donnaient eux mêmes le nom de "Guanches", terme qui signifiait "hommes", dans leur langue. Ces hommes vivaient encore à l'âge de pierre, et furent très étonnés d'apprendre que d'autres hommes avaient échappé au déluge qui jadis ravagea le monde. Ils se croyaient les derniers représentants de l'ancienne civilisation qu'ils avaient dû fuir, plusieurs milliers d'années en arrière, pour échapper au cataclysme.
Ces Guanches étaient les gardiens d'étranges vestiges dont ils avaient oubliés le sens et l'histoire. Leurs anciennes maisons tombaient en ruine, sans qu'ils cherchent à les restaurer. Leurs pierres étaient gravées d'inscriptions mystérieuses qu'ils n'étaient plus capables de déchiffrer. Ils ne possédaient pas de bateaux et ne savaient pas naviguer, ce qui est plutôt surprenant chez des insulaires. Enfin ils perpétuaient des rites dont ils ne connaissaient plus l'origine : par exemple la coutume funéraire consistant à utiliser la sève rouge du dragonnier pour momifier les morts. Cette sève sacrée, dont l'apparence rappelle le sang humain, avait sans doute un caractère symbolique comparable aux rites des Cro-Magnons qui peignaient les squelettes de leurs défunts en rouge.
En comparant en 1874 un crâne ancien en provenance de Barranco Hondo, dans l'île de Tenerife, et celui de l'homme de Cro-Magnon, l'anthropologue et ethnologue français Hamy parvint à la conclusion que les Guanches et les Cro-Magnons appartenaient à la même lignée.
Les Guanches ne survécurent pas longtemps à leurs nouveaux occupants, les Espagnols qui conquirent les îles au XV ème siècle. Eux qui vivaient là depuis au moins dix ou quinze mille ans furent entièrement décimés. Il ne nous reste à leur sujet que les descriptions faites par les voyageurs de l'époque et les travaux des anthropologues.
C'est ainsi que le Dr Verneau entreprit de rassembler dans les différents musées des îles Canaries, notamment au musée de Las Palmas, le résultat de ses fouilles anthropologiques, soit près de deux mille têtes et squelettes datant d'avant la conquête espagnole. Il publia le résultat de ses recherches en 1881 et en 1887., mettant ainsi en relief les trois types ethniques dominants auxquels se rattachaient les Canariens :
- un type "Guanche" prédominant, issu d'une famille cro-magnonocroïde, possédant tous les caractères de l'Homo Sapiens : haute stature, bras proportionnés par rapport aux jambes, large cavité cérébrale.
- un type que le Dr Verneau classa sous le nom de "méditerranéen", influencé sans doute par le passage des navigateurs du Proche Orient vers la fin du II ème millénaire av. J.C.
- un type brachycéphale, s'apparentant aux celtes.
Hoton, en travaillant en 1925 sur le même matériel, classa ces trois ethnies en Guanches, Méditerranéens et Nordiques. Pour Ilse Schwidetzky, ces types se réduisaient en fait à deux : l'un cro-magnonoïde, l'autre méditerranéen, les autres étant le résultat de métissages. Les archéologues estiment d'une façon générale que les Guanches existaient déjà aux temps mégalithiques, c'est à dire au moins depuis le III ème millénaire avant notre ère.
Les rituels de momification des Guanches étaient déjà pratiqués, dans l'antiquité, par les Egyptiens et les indiens de l'Amérique précolombienne. Les Guanches éviscéraient leurs cadavres à l'aide de couteaux d'obsidienne avant de les bourrer d'herbes aromatiques. Ils étaient ensuite séchés au soleil puis enveloppés dans des peaux de chèvres finement cousues à l'aide de boyaux effilés. Pour momifier leurs morts, les Guanches utilisaient également la sève du dragonnier, sorte de résine d'un rouge intense qui évoque naturellement la couleur du sang. Un grand nombre de ces momies présentent une ressemblance étroite avec celles d'Egypte et d'Amérique. Très souvent elles portent une abondante chevelure rouge et sont ensevelies, couchées sur le flanc gauche. Le corps est fréquemment enveloppé dans une peau de chèvre, les mains jointes sur la poitrine, à la manière des momies péruviennes. Le plus souvent elles furent découvertes dans des cavernes, face au rocher, accroupies ou assises, position qui est aussi celle des momies du Mexique ou du Pérou et des premières momies égyptiennes, plutôt qu'allongées, à la manière des momies égyptiennes plus récentes. Les Guanches inhumaient également des chiens avec leurs maîtres, ce qui a sans doute valu à leurs îles l'appellation d'îles Canaries, à savoir les "îles du chien".
Un examen de sang et de restes de viscères prélevés sur les momies guanches a permis de mettre en valeur une caractéristique sanguine extrêmement rare : la prédominance du groupe O Rhésus négatif.
Le Dr Ilse Schwidetzsky note à ce sujet : "la caractéristique la plus remarquable des aborigènes canariens est la proportion extraordinairement élevée du groupe sanguin O. Proportion si grande qu'elle n'est connue dans aucune population européenne vivante. Elle se rapproche beaucoup de celle des tribus berbères du Haut-Atlas dans lesquelles la proportion atteint 80%. " A Tenerife, cette proportion atteignait 84% des momies et dans la grande Canarie 95%.
Or une étude de la répartition des groupes sanguins en Europe indique une prédominance du groupe O en Islande, en Ecosse, dans le nord du pays de Galle, dans le Cotentin français, en Sicile, en Crète, dans les montagnes de l'Atlas Marocain, en Tunisie, aux Canaries et dans le Pays Basque. La même constatation a pu être faite en ce qui concerne la présence du rhésus négatif, dont le pourcentage le plus élevé a été enregistré chez les Guanches, les Berbères et les Basques.
La route des mégalithes
Les pierres levées les plues connues se trouvent en Angleterre (avec notamment le site de Stonehenge), en Irlande, en Ecosse et en Bretagne, mais on en trouve également en Suède, au Danemark, dans la région parisienne, dans le midi de la France, en Corse, en Sardaigne, au Pays Basque, en Espagne, au Portugal et en Afrique du Nord. La densité toutefois n'est pas la même selon les régions. Si l'on dresse la carte des principaux mégalithiques d'Europe et d'Afrique du Nord, on voit se dessiner une route, comme si ces pierres levées avaient été édifiées au fur et à mesure par des colonies d'émigrants, selon un itinéraire précis. La continuité de cette route est renforcée par le fait que l'on sait aujourd'hui que, voici trois mille ans d'ici, la Grande et la Petite Bretagne étaient reliées l'une à l'autre, ne formant qu'un seul continent, avant qu'une partie ne fut submergée sous la Manche.
A observer cette route, une première chose saute aux yeux : la plus grande densité de mégalithes se trouve à l'extrême ouest du continent européen, du côté atlantique. Du nord de l'Ecosse au sud de l'Espagne, puis du Maroc à la Tunisie, pour remonter vers la Sardaigne et la Corse, on suit très nettement le chemin qu'ont du emprunter ces bâtisseurs du Néolithique.
On peut remarquer également que les vestiges de mégalithes se trouvent très souvent associés à des lieux à forte imprégnation cro-magnonoïde. Ils sont aussi très nombreux dans les régions où l'on enregistre les plus fortes concentrations de groupe sanguin de type O.
De fait, le Midi de la France et la Corse regorgent presque autant de vestiges d'origine celte que la Bretagne. C'est la cas également en Afrique du Nord.
De nombreuses légendes originaires de Bretagne, d'Irlande ou du Pays de Galles font mention d'une île mystérieuse, submergée à la suite d'un cataclysme. Par exemple, le livre de Caradoc de Nantgarvan, datant du XII ème siècle, et celui de Jevan Brechva, en 1601, citent les vers connus sous le nom de Triades de l'Ile d'Angleterre, énonçant les trois grandes calamités qu'eurent à souffrir ce pays. Or, la première consista en "un éclatement des eaux du lac et une submersion de toutes les terres, de telle sorte que toute l'humanité fut noyée, à l'exception de Dwyvan et Dwyvach, qui prirent la fuite dans un vaisseau sans voiles. C'est grâce à eux que l'île d'Angleterre fut repeuplée."
Une autre légende du pays de Galles, remontant à l'an 1200, raconte comment la plaine de Gwyddneu fut entièrement noyée sous les eaux, car ses habitants étaient faibles, orgueilleux et ne songeaient qu'à boire et manger. Dans une autre version de la légende c'est Seitthinin, roi de Dyved, qui mêla la mer à son breuvage au dessus de Cantre'e Gwaelod, de telle sorte que tout fut détruit et submergé, là où auparavant on dénombrait seize villes. Les hommes qui survécurent à l'inondation rejoignirent la terre à Ardudwt, dans la région d'Arvon, dans les montagnes de Snowdon et dans d'autres lieux qui jusque là étaient demeurés inhabités.
Cette légende galloise rappelle l'histoire de la ville d'Is, en Bretagne qui fut submergée sous les flots à cause des péchés de ses habitants. Gradlon, roi de Cornouaille, fit construire pour sa fille unique, Dahud, une cité splendide en bord de mer. Cette cité du nom de Is, ou Ys, ou Ker-Ys, était protégée de l'océan par une longue digue percée d'écluses dont les clefs étaient gardées précieusement par le roi. La ville s'enrichit rapidement par son commerce maritime et ses habitants en perdirent le sens de la morale et de la fidélité aux lois divines. Ils menèrent ainsi une vie d'excès et de débauche, à laquelle participait activement la fille du roi. Pour tenter de remédier à ces scandales, le vieux roi fit appel à son cousin Gwennolé, abbé de Landévennec. Ce dernier tenta de faire revenir à la raison les habitants impies d'Is, mais il ne parvint qu'à se faire huer. Gwennolé maudit alors la ville, non sans avoir averti Gradlon du terrible châtiment qui s'abattrait sur elle "dans trois jours, au troisième chant du coq." Trois jours plus tard, la princesse Dahud reçut chez elle un étranger dont elle tomba instantanément amoureuse. A sa demande, et pour lui prouver son amour, elle alla subtiliser les clefs des écluses de la digue. Dès qu'il les eut en sa possession, l'étranger qui n'était autre que le diable, ouvrit toute grande les écluses, laissant la mer envahir les rues de la ville et tout inonder sur son passage. Le roi sauta sur son cheval qui partit au galop afin d'atteindre la terre ferme, mais sa fille, entraînée par les flots, s'accrocha à la monture et supplia son père de la sauver. Pris de compassion, Gradlon hissa sa fille sur son destrier qui se mit aussitôt à s'enfoncer dans les flots. Gwennolé parut alors et commanda au roi de se débarrasser de sa fille. Voyant que le roi hésitait, Gwennolé toucha la jeune fille et elle fut engloutie par l'abîme marin. Gradlon, en revanche, fut sauvé, et l'on prétend que Is, bien que submergée, existe encore au fond des flots.
En Europe, certains types bretons à peau rouge, à nez en forme d'aigle, ressemblent aussi d'une façon étonnante, au point de vue physique, à certains types américains. Ces Bretons constituent de petits ilots, très concentrés, et jamais ne se sont mêlés aux peuples environnants, envers lesquels d'ailleurs ils affectent du mépris..Et il est curieux de constater la parenté physique de ces Bretons avec certaines peuplades descendant des Etrusques, avec certains types égyptiens et indous. Ces quelques Bretons se rattachent donc à la race rouge et sont totalement étrangers aux Sudéens et aux Boréens.
Le hasard n'a pu faire si bien les choses et il serait ridicule de vouloir s'appuyer uniquement sur lui dans le but de nier les traditions. Les traditions expliquent ces similitudes par l'existence de l'Atlantide ? Pourquoi ne point les admettre ? En effet, seule l'Atlantide permet d'établir le pourquoi de cette parenté. Elle devient le progéniteur nécessaire et tous ces faits affirment son existence.
Ainsi la science vient à l'appui de la tradition pour affirmer qu'il a dû y avoir un continent intermédiaire entre l'Amérique et l'Europe, un pont naturel qui a servi dé passage à la flore, à la faune, et aux races humaines de ces deux continents.
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