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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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2 octobre 2013

les-basques-descendants-des-atlantes

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Les Atlantes est l'équipe de Football Américain de la Côte Basque.

 

Tout d'abord, l'origine de la culture basque nous est encore aujourd'hui méconnue.

Voici ce que dit par exemple Assimil, éditeur de méthodes de langues : "Difficile de parler du peuple basque sans évoquer, fût-ce brièvement, le mystère de son origine. Les Basques parlent une langue non indo-européenne, plus ancienne que la vaste majorité des langues parlées sur le continent européen. De là à leur prêter les origines les plus fantastiques, il n'y a qu'un pas. En réalité, nous ignorons tout de ces origines et les débats se perdent en spéculations diverses : descendraient-ils directement de l'homme de Cro-magno et seraient-ils cousins de ces artistes préhistoriques qui nous ont laissé tant d'oeuvre dans les nombreuses grottes et cavernes qui émaillent la région ? Seraient-ils liés d'une manière ou d'une autre aux mystérieux Ibères ? aux Celtes ? aux Berbères d'Afriques du Nord ? Et pourquoi pas, si on a l'imagination fertile, aux mythiques Atlantes, et par extension aux Mayas et aux Aztèques ?"

Une langue non indo-européenne. Donc ce n'est pas une langue latine et elle plus vielle que le Latin ! Quant à la question si les Basques sont liés aux Ibères, Celtes et Berbères il semblerait donc évident que ce-sont ces derniers qui descendraient des Basques, puisque les Basques auraient débarqués de l'ile d'Atlantide côté est et leurs cousins Aztèques du coté ouest.

 

L'Euskara est la langue basque, prononcé "éouchekara". Un Basque c'est un Euskaldun, celui qui parle le basque. En rajoutant la particule "ak" nous obtenons le pluriel Euskaldunak, ceux qui parlent le basque. Et le Pays Basque se dit Euskal Herria.

L'Euskara ne se rattache pas davantage aux langues africaines et asiatiques. Elle semble cependant vaguement apparentée à la langue des Guanches, à l'Etrusque, à l'Egyptien primitif, au Tibétain primiti et certains idiomes américains ressemblent à tel point à la langue basque que des naturels Peaux-Rouges du Canada pourraient comprendre sans difficulté un Basque. Cela ne peut être dû au hasard.

Nous venons de dire que le Basque ne semblait dans l'ancien continent n'être que vaguement apparenté à l'Egyptien primitif, au Tibétain primitif, à l'Etrusque. Cela est vrai, car il est permis de supposer que les Basques, se rattachant à cette race rouge dont les Etrusques, les Egyptiens, et les Tibétains primitifs se disaient issus, avaient dû forcément avoir les mêmes progéniteurs linguistiques.
Seulement, tandis qu'au Pays Basque la langue restait fixe et immuable comme elle l'est restée en Amérique dans certaines tribus, elle évoluait au Tibet et surtout en Egypte, se défigurant peu à peu au contact des idiomes noirs et boréens. Seul l'Etrusque qui, à l'heure actuelle, reste encore mystérieux, semble être une forme plus évoluée que le Basque, mais moins évoluée que l'Egyptien. L'avenir démontrera peut- être que cette langue est l'intermédiaire entre le Basque et l'Egyptien.

Mais ce qui est caractéristique au point de vue de l'Atlantide, c'est cette conformité de langage de deux peuples ayant les mêmes caractères physiques et étant séparés par un Océan immense. De plus, ces deux peuples n'ont jamais été navigateurs. Il y a donc eu, à un moment donné, un pont naturel. Ce pont étant l'Atlantide. Puis, comment expliquer l'apparition du bronze en Europe sans qu'il y ait eu auparavant un âge du cuivre et un âge de l'étain ? Or un âge du cuivre a existé en Amérique vers les Grands Lacs, et c'est le seul lieu de la terre où il a existé ! Là seulement, on retrouve des instruments en cuivre pur. Partout ailleurs on ne retrouve que du bronze. Or le bronze n'a pu être trouvé avant un long usage du cuivre et de l'étain. Le bronze a donc été apporté en Europe, en Asie, en Afrique par un peuple commerçant et hardi.

Comment expliquer aussi la découverte en Amérique de pointes de flèches, de haches, et de statuettes en néphrite et en jadéites, alors que nul gisement de ces pierres n'existe en ce pays ? Et d'où viennent ces marteaux de pierre portant le signe sacré et mystérieux du Swastika indou, égyptien et basque ?

 

    

 

   

 

Enfin, pourquoi ce parti pris des naturels américains de se servir, comme motif d'ornementation, de l'éléphant, qui a disparu de l'Amérique à la fin du Tertiaire et qui d'ailleurs n'y a existé que comme mammouth, lequel diffère sensiblement de l'éléphant ? Car les décorations péruviennes emploient l'éléphant qu'ils ne pouvaient pas connaître et non le mammouth. On trouve en effet au Pérou dés pipes en forme de tête d'éléphant, des vases, des sculptures représentant cet animal et une ornementation basée sur des trompes d'éléphants entrelacées. Notez aussi qu'en Irlande il a été retrouvé des pipes à tête d'éléphant et d'autres ornées qui ressemblent singulièrement aux pipes péruviennes ! Puis pourquoi des pipes en Irlande remontant à une époque très reculée, alors que l'introduction du tabac en Europe est récente ?

Mais où la parenté existant entre les rouges d'Amérique et les rouges d'Europe éclate merveilleusement, c'est dans la comparaison des Egyptiens et des peuples qui s'y rattachent (Phéniciens, Rumero, Accadiens, Etrusques) avec les Péruviens, les Mayas du Yucatan et les Mexicains, peuples représentant en Amérique la race rouge dans toute sa pureté. Même forme crânienne, mêmes usages, mêmes architectures, mêmes conceptions métaphysiques. On a la sensation très nette d'un progéniteur commun et ce progéniteur, que reconnaissent les traditions de ces peuples est, disent-elles, le pays d'Atlan, d'Atzlan, 'île mystérieuse enfouie au fond de la mer. Nous ne pouvons ignorer la similitude avec le nom d'Atlantide cette Île mystérieuse qui elle aussi aurait été enfouie sous les eaux !

Au point de vue linguistique, il est curieux de constater la ressemblance existant entre l'alphabet phénicien et l'alphabet maya du Yucatan, entre le grec et le maya, le chiapanec et l'hébreu. Cette ressemblance entre le grec et le maya est, paraît-il, si grande qu'un des explorateurs des contrées américaines connaissant l'ancien grec, comprit la plupart des Mayas sans difficulté. « Le grec d'Homère en Amérique ! s'écria-t-il, mais c'est une invention du diable ! »

Qu'est-ce que le maya ? L'idiome d'un peuple rouge qui prétend descendre des Atlantes.
Qu'est-ce que le grec ? Un dérivé de l'hébreu, venant de l'Egypte, qui a beaucoup changé par rapport à ce qu'il était à l'origine évoluant au contact des langues indo-européennes. Or cette Egypte prétend être fille de la race rouge et descendre des Atlantes. Sa langue est l'hébreu primitif: non point le dialecte syro-araméen que nous connaissons, mais l'idiome de Moïse, la langue de Sepher, la langue sacrée des peuples rouges échappés au déluge !
Donc le grec et le maya ont une origine commune, tous deux sont les dérivés d'une langue mère qui est la langue atlante, et l'Atlantide seule permet d'expliquer leur parenté.

On enregistre les plus fortes concentrations de groupe sanguin de type O chez les Basques. Du point de vue ethnique, les Basques sont de type cro-magnoïde. La plupart des ossements retrouvés lors des fouilles dans cette région le confirme. Selon José Miguel de Barandiaran, préhistorien d'origine basque : "un crâne que nous avons découvert au niveau magdalénien à Urtiaga, encore qu'il puisse ne pas être contemporain de ce niveau, mais postérieur, offre des caractères cro-magnoïdes." De même Paulette Marquer confirme de son côté :"l'étude du crâne d'Urtiaga nous permet d'affirmer que le premier habitant connu du pays basque espagnol paléolithique ou mésolithique appartenait de façon indiscutable au type de Cro-Magnon."

On peut noter que dans les légendes basques, il est toujours question d'un grand peuple de l'Ouest qui envahit l'Europe. Et ces envahisseurs, finalement, furent détruits dans un déluge dans lequel leur pays disparut pour toujours.

Le roi du Mexique Montézuma II aurait dit au conquistador espagnol Fernand Cortez :
" Nos pères ne sont pas nés ici. Ils sont venus d'une terre lointaine nommée Aztlan, où s'élevait une haute montagne avec un jardin habité par les dieux."
 

D'autres éléments troublants sont les similitudes entre les Basques et les Indiens d'Amérique. Leurs méthodes agricoles s'inspirent des mêmes principes. En effet, les Basques ne labourent pas ; au lieu d'utiliser la charrue, ils retournent la terre à l'aide de fourches à deux dents, nommées "layas", tout comme les Indiens d'Amérique centrale ou les anciens Mayas. En effet le monde aztèque connaît le disque, comme le prouve le grand calendrier solaire de Tenochtitlan. Mais il en ignore l'application pratique : l'usage de la roue, même si curieusement, sur le plateau mexicain, de fragiles roues d'argile sont montés sur des jouets, modèles réduits de charrettes.

Egalement, les Basques ainsi que les Indiens du Yucatan, du Brésil et de Colombie ont en commun une étrange coutume appelée la "couvade" : lorsqu'une mère accouche, c'est le père qui se met au lit et reçoit les félicitations !

Dans l'antiquité déjà, le géographe romain Strabon, il y 2000 ans, faisait une description du costume des Basques en tous points semblables à celle qu'on laissée au XVI ème siècle les conquistadores espagnols de certaines tribus d'Amérique centrale, en particulier les Uyacali.

Enfin, la fameuse pelote basque, jeu dans lequel on renvoie une balle au moyen d'une chistera, sorte de panier allongé et recourbé que l'on attache au poignet, ressemble trait pour trait à un jeu pratiqué par l'ancienne noblesse du Mexique précolombien et les Indiens du Yucatan.

     

Et l'habitude basque de compter par vingtaines, ce qui a donné en français le mot "quatre vingt" se retrouve également en Amérique centrale. En effet les Mayas utilisaient un système à base 20 avec trois signes seulement, dont le zéro. Par un véritable génie dans le maniement des chiffres, ils avaient atteint une précision plus grande que celle de notre Occident dans les calculs astronomiques. Ils utilisaient des chiffres entiers pouvant dépasser le milliard. D'ailleurs le calendrier maya est plus précis que le nôtre : il comprend un calendrier religieux de 260 jours, divisés en 13 groupes de 20 jours, employé avec un calendrier civil, établi sur le soleil, de 365 jours. Celui ci comportait 18 groupes de 20 jours, soit 360 jours. Les Aztèques adopteront ce calendrier et diviseront le temps en cycle de 52 ans, le siècle aztèque.

Mais revenons-en aux Basques. La langue basque, l'Euskara, ne ressemble à aucun autre idiome européen et se distingue nettement des langues indo-européennes. Il s'agit d'une langue synthétique et "agglutinante", ce qui signifie qu'elle agglutine au sujet de la phrase toutes les qualités qui s'y rapportent, réduisant ainsi toute une phrase à un seul mot. Il n'existe pas de termes abstraits, les idées naissant de comparaisons avec des choses concrètes. Selon José-Miguel de Barandiaran, "la langue basque a conservé des éléments vocabulaires de l'âge de pierre". Ainsi, "pierre", se dit "aitz", qui a donné "aitzkora", la hache, "aitzbur", la bêche ou la houe, "aitzkurbegi", le trou du fer de la houe dans lequel est enfoncé le manche, ou encore "aitzto", le couteau. Les outils et instruments courants, faits de métal, ont conservé le nom qu'ils avaient voilà des millénaires, lorsqu'ils étaient encore en pierre... José Miguel de Barandiaran poursuit :"le fait que "urraida (de "orre", or, et "aide", semblable) et "zirraida" (de "zilhar", argent, et "aide", semblable) sont les noms basques du cuivre et de l'étain, et que leur formation réponde justement à l'ordre de l'apparition historique de ces métaux, est également l'indice que le vocabulaire basque conserve des mots ("urre" et "zilhar") antérieurs à la diffusion du cuivre (énéolithique) et de l'étain (âge du bronze). Il ne saurait être question d'affirmer que le basque actuel était déjà parlé il y a plus de dix mille ans, aux temps magdaléniens, mais il est certain que des vocables employés par les magdaléniens de la région pyrénéenne ont été conservés sans discontinuité dans la langue basque depuis ces temps jusqu'à nos jours."

D'étranges similitudes ont été constatées entre la langue basque et certains dialectes esquimaux ou indiens. Par exemple, l'historien Charancey publia une étude dans laquelle il notait que l'Euskara ressemblait aux dialectes parlés par les indiens Delaware et Chippeways. D'autres affinités troublantes ont été relevées entre des noms de lieux situés au Pays Basque et au Yucatan, comme "Tabasco" et "Ta-Basco" (le Pays des Basques)... De plus il n'existe que trois endroits au monde où les langues utilisent des sons "sifflés" ; il s'agit du Pays Basque, de l'Amérique centrale et des Canaries.

 Les îles Canaries

 Situées au large du Maroc, les îles Canaries connaissent un printemps éternel au point qu'elles furent longtemps baptisées les "îles Fortunées". Ces îles étaient alors peuplées d'aborigènes qui se donnaient eux mêmes le nom de "Guanches", terme qui signifiait "hommes", dans leur langue. Ces hommes vivaient encore à l'âge de pierre, et furent très étonnés d'apprendre que d'autres hommes avaient échappé au déluge qui jadis ravagea le monde. Ils se croyaient les derniers représentants de l'ancienne civilisation qu'ils avaient dû fuir, plusieurs milliers d'années en arrière, pour échapper au cataclysme.

Ces Guanches étaient les gardiens d'étranges vestiges dont ils avaient oubliés le sens et l'histoire. Leurs anciennes maisons tombaient en ruine, sans qu'ils cherchent à les restaurer. Leurs pierres étaient gravées d'inscriptions mystérieuses qu'ils n'étaient plus capables de déchiffrer. Ils ne possédaient pas de bateaux et ne savaient pas naviguer, ce qui est plutôt surprenant chez des insulaires. Enfin ils perpétuaient des rites dont ils ne connaissaient plus l'origine : par exemple la coutume funéraire consistant à utiliser la sève rouge du dragonnier pour momifier les morts. Cette sève sacrée, dont l'apparence rappelle le sang humain, avait sans doute un caractère symbolique comparable aux rites des Cro-Magnons qui peignaient les squelettes de leurs défunts en rouge.

En comparant en 1874 un crâne ancien en provenance de Barranco Hondo, dans l'île de Tenerife, et celui de l'homme de Cro-Magnon, l'anthropologue et ethnologue français Hamy parvint à la conclusion que les Guanches et les Cro-Magnons appartenaient à la même lignée.

Les Guanches ne survécurent pas longtemps à leurs nouveaux occupants, les Espagnols qui conquirent les îles au XV ème siècle. Eux qui vivaient là depuis au moins dix ou quinze mille ans furent entièrement décimés. Il ne nous reste à leur sujet que les descriptions faites par les voyageurs de l'époque et les travaux des anthropologues.

C'est ainsi que le Dr Verneau entreprit de rassembler dans les différents musées des îles Canaries, notamment au musée de Las Palmas, le résultat de ses fouilles anthropologiques, soit près de deux mille têtes et squelettes datant d'avant la conquête espagnole. Il publia le résultat de ses recherches en 1881 et en 1887., mettant ainsi en relief les trois types ethniques dominants auxquels se rattachaient les Canariens :

- un type "Guanche" prédominant, issu d'une famille cro-magnonocroïde, possédant tous les caractères de l'Homo Sapiens : haute stature, bras proportionnés par rapport aux jambes, large cavité cérébrale.

- un type que le Dr Verneau classa sous le nom de "méditerranéen", influencé sans doute par le passage des navigateurs du Proche Orient vers la fin du II ème millénaire av. J.C.

- un type brachycéphale, s'apparentant aux celtes.

Hoton, en travaillant en 1925 sur le même matériel, classa ces trois ethnies en Guanches, Méditerranéens et Nordiques. Pour Ilse Schwidetzky, ces types se réduisaient en fait à deux : l'un cro-magnonoïde, l'autre méditerranéen, les autres étant le résultat de métissages. Les archéologues estiment d'une façon générale que les Guanches existaient déjà aux temps mégalithiques, c'est à dire au moins depuis le III ème millénaire avant notre ère.

 Les rituels de momification des Guanches étaient déjà pratiqués, dans l'antiquité, par les Egyptiens et les indiens de l'Amérique précolombienne. Les Guanches éviscéraient leurs cadavres à l'aide de couteaux d'obsidienne avant de les bourrer d'herbes aromatiques. Ils étaient ensuite séchés au soleil puis enveloppés dans des peaux de chèvres finement cousues à l'aide de boyaux effilés. Pour momifier leurs morts, les Guanches utilisaient également la sève du dragonnier, sorte de résine d'un rouge intense qui évoque naturellement la couleur du sang. Un grand nombre de ces momies présentent une ressemblance étroite avec celles d'Egypte et d'Amérique. Très souvent elles portent une abondante chevelure rouge et sont ensevelies, couchées sur le flanc gauche. Le corps est fréquemment enveloppé dans une peau de chèvre, les mains jointes sur la poitrine, à la manière des momies péruviennes. Le plus souvent elles furent découvertes dans des cavernes, face au rocher, accroupies ou assises, position qui est aussi celle des momies du Mexique ou du Pérou et des premières momies égyptiennes, plutôt qu'allongées, à la manière des momies égyptiennes plus récentes. Les Guanches inhumaient également des chiens avec leurs maîtres, ce qui a sans doute valu à leurs îles l'appellation d'îles Canaries, à savoir les "îles du chien".

Un examen de sang et de restes de viscères prélevés sur les momies guanches a permis de mettre en valeur une caractéristique sanguine extrêmement rare : la prédominance du groupe O Rhésus négatif.

Le Dr Ilse Schwidetzsky note à ce sujet : "la caractéristique la plus remarquable des aborigènes canariens est la proportion extraordinairement élevée du groupe sanguin O. Proportion si grande qu'elle n'est connue dans aucune population européenne vivante. Elle se rapproche beaucoup de celle des tribus berbères du Haut-Atlas dans lesquelles la proportion atteint 80%. " A Tenerife, cette proportion atteignait 84% des momies et dans la grande Canarie 95%.

Or une étude de la répartition des groupes sanguins en Europe indique une prédominance du groupe O en Islande, en Ecosse, dans le nord du pays de Galle, dans le Cotentin français, en Sicile, en Crète, dans les montagnes de l'Atlas Marocain, en Tunisie, aux Canaries et dans le Pays Basque. La même constatation a pu être faite en ce qui concerne la présence du rhésus négatif, dont le pourcentage le plus élevé a été enregistré chez les Guanches, les Berbères et les Basques.

 La route des mégalithes

 Les pierres levées les plues connues se trouvent en Angleterre (avec notamment le site de Stonehenge), en Irlande, en Ecosse et en Bretagne, mais on en trouve également en Suède, au Danemark, dans la région parisienne, dans le midi de la France, en Corse, en Sardaigne, au Pays Basque, en Espagne, au Portugal et en Afrique du Nord. La densité toutefois n'est pas la même selon les régions. Si l'on dresse la carte des principaux mégalithiques d'Europe et d'Afrique du Nord, on voit se dessiner une route, comme si ces pierres levées avaient été édifiées au fur et à mesure par des colonies d'émigrants, selon un itinéraire précis. La continuité de cette route est renforcée par le fait que l'on sait aujourd'hui que, voici trois mille ans d'ici, la Grande et la Petite Bretagne étaient reliées l'une à l'autre, ne formant qu'un seul continent, avant qu'une partie ne fut submergée sous la Manche.

A observer cette route, une première chose saute aux yeux : la plus grande densité de mégalithes se trouve à l'extrême ouest du continent européen, du côté atlantique. Du nord de l'Ecosse au sud de l'Espagne, puis du Maroc à la Tunisie, pour remonter vers la Sardaigne et la Corse, on suit très nettement le chemin qu'ont du emprunter ces bâtisseurs du Néolithique.

On peut remarquer également que les vestiges de mégalithes se trouvent très souvent associés à des lieux à forte imprégnation cro-magnonoïde. Ils sont aussi très nombreux dans les régions où l'on enregistre les plus fortes concentrations de groupe sanguin de type O.

De fait, le Midi de la France et la Corse regorgent presque autant de vestiges d'origine celte que la Bretagne. C'est la cas également en Afrique du Nord.

De nombreuses légendes originaires de Bretagne, d'Irlande ou du Pays de Galles font mention d'une île mystérieuse, submergée à la suite d'un cataclysme. Par exemple, le livre de Caradoc de Nantgarvan, datant du XII ème siècle, et celui de Jevan Brechva, en 1601, citent les vers connus sous le nom de Triades de l'Ile d'Angleterre, énonçant les trois grandes calamités qu'eurent à souffrir ce pays. Or, la première consista en "un éclatement des eaux du lac et une submersion de toutes les terres, de telle sorte que toute l'humanité fut noyée, à l'exception de Dwyvan et Dwyvach, qui prirent la fuite dans un vaisseau sans voiles. C'est grâce à eux que l'île d'Angleterre fut repeuplée."

Une autre légende du pays de Galles, remontant à l'an 1200, raconte comment la plaine de Gwyddneu fut entièrement noyée sous les eaux, car ses habitants étaient faibles, orgueilleux et ne songeaient qu'à boire et manger. Dans une autre version de la légende c'est Seitthinin, roi de Dyved, qui mêla la mer à son breuvage au dessus de Cantre'e Gwaelod, de telle sorte que tout fut détruit et submergé, là où auparavant on dénombrait seize villes. Les hommes qui survécurent à l'inondation rejoignirent la terre à Ardudwt, dans la région d'Arvon, dans les montagnes de Snowdon et dans d'autres lieux qui jusque là étaient demeurés inhabités.

Cette légende galloise rappelle l'histoire de la ville d'Is, en Bretagne qui fut submergée sous les flots à cause des péchés de ses habitants. Gradlon, roi de Cornouaille, fit construire pour sa fille unique, Dahud, une cité splendide en bord de mer. Cette cité du nom de Is, ou Ys, ou Ker-Ys, était protégée de l'océan par une longue digue percée d'écluses dont les clefs étaient gardées précieusement par le roi. La ville s'enrichit rapidement par son commerce maritime et ses habitants en perdirent le sens de la morale et de la fidélité aux lois divines. Ils menèrent ainsi une vie d'excès et de débauche, à laquelle participait activement la fille du roi. Pour tenter de remédier à ces scandales, le vieux roi fit appel à son cousin Gwennolé, abbé de Landévennec. Ce dernier tenta de faire revenir à la raison les habitants impies d'Is, mais il ne parvint qu'à se faire huer. Gwennolé maudit alors la ville, non sans avoir averti Gradlon du terrible châtiment qui s'abattrait sur elle "dans trois jours, au troisième chant du coq." Trois jours plus tard, la princesse Dahud reçut chez elle un étranger dont elle tomba instantanément amoureuse. A sa demande, et pour lui prouver son amour, elle alla subtiliser les clefs des écluses de la digue. Dès qu'il les eut en sa possession, l'étranger qui n'était autre que le diable, ouvrit toute grande les écluses, laissant la mer envahir les rues de la ville et tout inonder sur son passage. Le roi sauta sur son cheval qui partit au galop afin d'atteindre la terre ferme, mais sa fille, entraînée par les flots, s'accrocha à la monture et supplia son père de la sauver. Pris de compassion, Gradlon hissa sa fille sur son destrier qui se mit aussitôt à s'enfoncer dans les flots. Gwennolé parut alors et commanda au roi de se débarrasser de sa fille. Voyant que le roi hésitait, Gwennolé toucha la jeune fille et elle fut engloutie par l'abîme marin. Gradlon, en revanche, fut sauvé, et l'on prétend que Is, bien que submergée, existe encore au fond des flots.

En Europe, certains types bretons à peau rouge, à nez en forme d'aigle, ressemblent aussi d'une façon étonnante, au point de vue physique, à certains types américains. Ces Bretons constituent de petits ilots, très concentrés, et jamais ne se sont mêlés aux peuples environnants, envers lesquels d'ailleurs ils affectent du mépris..Et il est curieux de constater la parenté physique de ces Bretons avec certaines peuplades descendant des Etrusques, avec certains types égyptiens et indous. Ces quelques Bretons se rattachent donc à la race rouge et sont totalement étrangers aux Sudéens et aux Boréens.

 Le hasard n'a pu faire si bien les choses et il serait ridicule de vouloir s'appuyer uniquement sur lui dans le but de nier les traditions. Les traditions expliquent ces similitudes par l'existence de l'Atlantide ? Pourquoi ne point les admettre ? En effet, seule l'Atlantide permet d'établir le pourquoi de cette parenté. Elle devient le progéniteur nécessaire et tous ces faits affirment son existence.

Ainsi la science vient à l'appui de la tradition pour affirmer qu'il a dû y avoir un continent intermédiaire entre l'Amérique et l'Europe, un pont naturel qui a servi dé passage à la flore, à la faune, et aux races humaines de ces deux continents.

http://clipa.e-monsite.com/pages/atlantide/les-basques-descendants-des-atlantes.html#

Manzi - Livre de l'Atlantide.

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2 octobre 2013

Ecole : quand des profs expérimentent une classe sans note

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L’école peut-elle changer ? Les profs peuvent-ils expérimenter des projets, pour modifier les façons de faire, les pédagogies, les habitudes ? Et quand des projets innovants font leurs preuves, peut-on les développer, les généraliser ? Témoignage dans un collège parisien, sur un projet de classe sans note, qui bouscule les parents, chamboule les habitudes, émancipe les élèves... et rencontre des résistances de l’administration locale de l’Éducation Nationale.

 L’Éducation Nationale se modernise, elle déroule pour de bon le tapis rouge des nouvelles technologies, les « TICE » comme on dit dans le jargon éducatif. Aujourd’hui on accède à « l’ENT » – l’espace numérique de travail – et on échange plus facilement des informations avec les parents, entre collègues, avec la direction et les différents services académiques. Pour dessiner quelle pédagogie ? Pour former quel individu ? Pour esquisser quel type de sociabilité dans la société de demain ? Peu importe ! Le tout, c’est de moderniser l’Éducation nationale. Et si vous parlez de boulevard numérique laissé au marché de la connaissance, potentiel de croissance dont l’État aura bientôt tort de se priver, vous passez pour un paranoïaque...

Les recommandations à l’innovation sont omniprésentes dans la maison École. Il n’existe pas un niveau de l’échelle qui fasse défaut : national, académique, établissement. Organisation verticale, centralisée, huilée. L’encouragement ne circule pas, il tombe et atterrit dans votre casier, sur les murs de la salle des profs, dans les séminaires académiques. Sur le papier tout reste ouvert : innovez, on vous suit. Évidemment, l’innovation ne va pas s’affranchir de la tendance « évaluationniste » du moment. Alors vous remplirez des bilans. Tout est mis en œuvre pour se prémunir de tout gaspillage de l’argent public. Des fois que les personnels enseignants monteraient des projets éducatifs aussi chronophages pour eux qu’irresponsables pour nos élèves... juste pour le plaisir.

Une école sans note ?

Pour autant, lorsqu’on prend un peu trop au sérieux les encouragements de l’institution à innover, on réalise que dès que le projet risque de prendre une tournure légèrement divergente par rapport à la ligne idéologique du moment – dès qu’il sera question de laisser aux élèves la parole, l’initiative de pouvoir exister autrement dans la classe qu’en machine à mémoriser, le temps de rentrer ou non dans les apprentissages, de chercher à créer des cheminements didactiques qui puissent être empruntées singulièrement... – alors la bonne parole institutionnelle et incitative s’enroue. Et peut devenir plus invective.

Nous avons monté lors de l’année scolaire passée un projet de classe innovant (qui porte presque mal son qualificatif) : un projet de classe sans note, au collège. C’est loin d’être le premier. Ce genre de dispositif a fleuri depuis plusieurs années sur le territoire national, cautionné par le livret personnel de compétence (le LPC), obligatoire pour l’obtention du brevet depuis 2005. Le LPC impose à l’échelle nationale, très maladroitement, une autre manière d’évaluer que la notation... en plus de la notation.Cette mesure nous a servi d’alibi pour monter un projet qui ne se limite évidemment pas à remplir des listes d’items parfois fantasques et souvent vagues ou insuffisants. A titre d’exemple, pour ma discipline, l’éducation physique et sportive, il existe dans le LPC deux seuls items, qui se battent en duel. Un peu restrictif pour un enseignement qui pèse en moyenne plus de 3h par semaine pour chaque élève...

Nous avons commencé « petit » pour cette première année, avec une seule classe. Pas vraiment le choix : certains collègues intègrent le projet juste pour nous faire plaisir. Il n’y aura qu’une équipe pédagogique donc qu’une classe. Le niveau 6ème. Ce qui permet la continuité avec l’enseignement primaire, où pas mal de collègues pratiquent ce type d’évaluation. Les objectifs du dispositif tournent autour de trois pôles :

 Permettre à tous les élèves de s’inscrire dans les apprentissages avec sens, plaisir en privilégiant la coopération à la compétition. Pas de note, mais des validations à quatre niveaux de compétences. Pour les élèves, de quoi se comparer aux autres point par point, mais ça s’arrête là ! On ne leur met pas dans les mains à chaque trimestre un ensemble d’indicateurs leur permettant de se classer les uns les autres avec une finesse qui laisse perplexe.

 Faire construire aux élèves des méthodes de travail qui renforcent leur autonomie dans les apprentissages, de différentes natures (capacités, connaissances, attitudes). Faire réfléchir l’élève à son cheminement personnel d’apprentissage. Lui faire se poser des questions. Créer un apprentissage anti-passif. Un élève, ce n’est pas une machine à engranger, restituer, oublier pour faire de la place, engranger à nouveau...

 Renforcer la qualité de l’ambiance de travail entre les élèves à travers des relations scolaires de coopération, terreau d’une éducation citoyenne, outil précieux de prévention des violences, en permettant à chacun des élèves de construire sa place dans la classe et le collège.

Déconstruire les fantasmes des parents

Un œil attentif est tourné du coté des parents. Il faut déconstruire les fantasmes et établir une relation à travers des réunion régulières : « Non, tout ne sera pas permis dans la classe !... Oui, nous suivons les programmes... Oui, vous pourrez observer l’évolution des résultats de votre enfant... Non, ce n’est pas un projet pour élèves fragiles uniquement... ». Nous communiquerons un bulletin trimestriel qualitatif et non un recueil imbuvable de toutes les compétences abordées, et les inviterons à assister à une restitution d’un travail de la classe.Les mises en œuvre seront simples : l’équipe enseignante dispose d’une heure de concertation dans la semaine pour harmoniser ses pratiques d’évaluation, autour de l’approche par compétence. Cette pointe de l’iceberg implique que l’on se mette d’accord sur des attentes pédagogiques communes. Bref, un travail en équipe régulier. Dans l’enseignement secondaire, dans l’Éducation nationale française et son collège unique, structurellement incompatible avec toute organisation locale. On a donc fait avec ce qu’on avait... Une formation du service de formation académique (DAFOR) : six demi-journée étalées sur l’année. Environ une heure de concertation hebdomadaire payée, sur trois réalisées [1]. On a fait aussi avec nos cultures/formations professionnelles différentes d’une matière à l’autre. On a essayé d’inventer un langage commun autour des compétences et de leur apprentissage. Mot fourre-tout qu’il la bien fallu s’approprier.

Concrètement : confection de grille de cheminement d’apprentissage, co-construction avec les élèves de ces grilles, auto et co-évaluation, devoir à retravailler sous le principe de l’effacement d’ardoise (un meilleur résultat permet d’effacer le résultat précédent, obtenu pour le même devoir), projet interdisciplinaire permettant à l’élève d’apprendre à développer les mêmes compétences dans des matières différentes, tutorat des élèves entre eux... Un champ des possibles s’ouvre, qui occupent nos longues soirées d’hiver et nous poussent à rester jusqu’à la fermeture du collège. Du travail pour rentrer dans cette nouvelle démarche d’enseignement et faire rentrer les élèves dans cette autre manière d’apprendre. Un changement d’angle de vue aussi.

Élèves autonomes

Au-côté de tout cela, un travail en « vie de classe » qui s’articule autour de la création d’une institution : le conseil. Technique issue de la pédagogie de Fernand Oury, proche de celle de Freinet [Lire ici]. Objectif : ouvrir un espace-temps de discussion collective et d’initiative autour de sujets proposés par les élèves, dans le respect strict de règles d’écoute, de parole, de posture. Ces règles sont arbitrées par les élèves eux-mêmes, qui s’emparent de rôles pour l’occasion : distributeur de parole, maître du temps, responsable gêneur... L’enseignant est président du conseil. Ouvert sur son environnement, le conseil peut décider d’inviter un membre de la communauté éducative : la CPE, trois collègues, sont venus en invités. Citoyenneté en acte, donc.La classe, débordante d’énergie en début d’année, composée de son lot d’élèves inadaptés, en décrochage, en situation de handicap, d’autres excellents élèves ou plus passifs... La cour des miracles prend petit à petit forme d’une classe à climat de travail, hétérogène mais qui apprend à discuter pour régler ses conflits, qui se met au travail avec plaisir, qui progresse dans sa très grande majorité, « autonomes pour des 6èmes »...

Quel bilan en fin d’année ?

Qu’en disent les élèves ? La discussion est équilibrée. Mode d’évaluation plus précis ou moins précis ? C’est quoi, une moyenne ? Certains aimeraient être évalués comme le sont les trois autres classes de 6ème du collège. Soif de normativité compréhensible pour ces pré-ados. Qu’en serait-il si toutes les classes de 6èmes étaient sans note ? Beaucoup disent apprécier avoir plus de temps pour apprendre, pouvoir refaire les devoirs avec le principe de l’effacement d’ardoise, réfléchir à comment ils pourraient faire pour progresser. Ils ont tous apprécié les conseils de vie de classe, l’ambiance de classe est bonne, tout le monde se sent à sa place. Lorsqu’il y a un problème (et il y en a eu ! ), on arrive à le résoudre ensemble.Qu’en disent les parents ? Ils sont plutôt satisfaits. Approche pour certains déroutante. Pour ces trois parents-là, c’est quand même plus clair avec les notes ! Et ces bonnes vieilles moyennes qui nivellent toute la complexité de l’apprentissage... Mais peut-être aussi son intérêt ? Difficulté, bien compréhensible, de changer les repères que nous avons construits... lorsque nous étions nous-même élèves.

La plate-forme numérique qui sert à communiquer les résultats des élèves manque de lisibilité. Nous sommes d’accord avec eux. Il y a trop de compétences à décrypter, on s’y noie. Effet d’entraînement, aussi : comme les parents sont inquiets de la validité du projet, nous les abreuvons de résultats : un bon prof c’est un prof qui évalue beaucoup. Avec des notes ou pas ! Mais les bulletins sous leur forme qualitative et étoffée ont été appréciés. Le suivi des élèves aussi. Ils ont progressé en autonomie dans leur travail.

Bousculer des habitudes

L’équipe de profs a l’impression d’avoir essuyé les plâtres coté parents... avec une certaine réussite. Et qu’en disons-nous, équipe pédagogique initiatrice du projet ? Neuf souhaitent continuer, deux non. Heure de concertation, échanges autour de la classe, construction d’évaluations en commun, semaine interdisciplinaire... Tout ça nous a pris beaucoup de temps, nous a demandé de bousculer des habitudes, d’inventer d’autres pratiques pédagogiques. Mais dans l’ensemble, l’équipe y voit un résultat éducatif concluant.Mais alors, élèves, parents, profs sont dans l’ensemble satisfaits ? Projet validé, arrêt des notes dans notre bon collège ? Non, pas tout le monde ! La direction du collège traîne des pieds à l’idée de continuer le dispositif avec la classe, passée en 5ème, en plus de l’appliquer à une nouvelle classe en 6ème. C’est pourtant pas brutal comme continuité du projet ! Mais c’est notre méthode : doucement, à la vitesse du rouleau compresseur. Pour la nouvelle 6ème d’accord. Mais la montée de niveau... trop compliqué pour madame la principale. Une heure de concertation sur deux équipes pédagogiques, c’est contraignant pour la constitution des emplois du temps.

Éloge de la compétition

Et puis, ce n’est pas l’engouement exalté et euphorique du coté des autres collègues, à l’idée de passer un certain temps à changer leurs pratiques pédagogiques en équipe. Certains sont « moyennement convaincu mais s’il faut je ne refuserai pas ». Comme au début du projet pour notre équipe de départ. Et pourtant : 9 pour et 2 contre au résultat des courses. Une opportunité à saisir ? Pas suffisant pour les deux personnels de direction.Pourtant, les élèves ont, malgré « la pire des classes de 6ème du début d’année », progressé dans leur très grande majorité (un cas de décrochage sur 30 élèves). Pourtant, il y a eu des effets riches d’un point de vue éducatif, l’instauration de relations coopératives entre les élèves. Pourtant, les parents sont dans l’ensemble satisfaits du projet. Les membres parents élus au conseil d’administration l’ont défendu et ne comprennent pas la position de la chef d’établissement.

La situation aura au moins permis d’abattre ses cartes : la chef d’établissement ne peut s’empêcher à la fin d’une réunion pédagogique portant sur l’avenir du projet, de faire l’éloge de la compétition à l’école. « Ce n’est pas dans ce collège que vous ferez de l’innovation », « ici ce n’est pas l’autogestion »... Ou comment la bureaucratie de l’École produit en son sein des professionnels qui s’empêchent de penser et d’agir. Le plus étonnant ? Madame la principale décrit dans un séminaire académique ce qui se passe d’innovant dans son collège. Sans rire. Elle le défend plutôt bien devant les autorités !

Une institution où personne n’est libreL’institution de l’Education nationale, centralisée, verticale, a bien du mal à valoriser les initiatives locales même formalisées et validées, même évaluées. Des initiatives portées par les premiers responsables de toute innovation : les praticiens de l’éducation. Se sent-elle menacée par sa base ? Des élèves qui prennent la parole, qui discutent et s’écoutent, qui soulèvent des problèmes du quotidien au collège et proposent des résolutions comme la transformation d’un plan de classe, une rectification au règlement intérieur... Ces pratiques constituent-elles une menace pour la légitimité d’une administration ? Quel inconscient collectif avons-nous construit autour de la sécurité pour refuser la mise en place d’une telle éducation à la démocratie à l’École ?

« Seule la liberté d’action permet une prise de responsabilité. Est-il possible de concilier de telles propositions avec les règles d’une institution bureaucratique où tout acte est télécommandé, toute initiative est « couverte », où personne, à quelque niveau que ce soit, n’est libre ? Où personne n’est responsable. C’est le but recherché ? Alors il faut le dire. », ont écrit Fernand Oury et Jacques Pain (Chronique de l’école-caserne, 1972)

.http://www.bastamag.net/article3223.htmlpagerank

1 octobre 2013

L'homme qui ne descendait pas d'Adam

peche-originelIl s'appelait Albert Perry. Décédé il y a quelques années, c'était un Afro-Américain vivant en Caroline du Sud, lointain descendant d'esclaves que la traite négrière avait amenés d'Afrique de l'ouest dans le Nouveau Monde. On n'en saura guère plus sur lui, si ce n'est, comme le rapporte le New Scientist, qu'un jour, une de ses parentes envoya un échantillon contenant son ADN à une entreprise proposant d'en extraire des informations sur ses origines. Ces tests de généalogie génétique sont réalisés à partir d'ADN mitochondrial, qui est transmis par la mère à ses enfants et retrace la lignée maternelle (la mère, la grand-mère maternelle, la mère de celle-ci, etc.), ou bien – et seulement pour les mâles – à partir du chromosome Y. Celui-ci donnera des informations sur la lignée paternelle (le père, le grand-père paternel, son père, etc.).


Lorsque l'échantillon d'Albert Perry atterrit dans le laboratoire chargé d'effectuer cette analyse, un problème inédit apparut : la séquence génétique portée par son chromosome Y ne ressemblait à rien de connu. Pour le dire autrement, on peut faire remonter tous les chromosomes Y des hommes de la Terre au plus récent ancêtre masculin commun, un homme qui vivait en Afrique il y a environ 140 000 ans. Ce dernier est surnommé l'« Adam génétique » en référence au premier homme de l'Ancien Testament (il y a aussi une Eve mitochondriale). Mais le chromosome Y d'Albert Perry ne descendait pas de cet Adam-là.

Cette surprenante exception a poussé une équipe internationale à approfondir les recherches sur ce chromosome Y si particulier et les résultats de ce travail viennent d'être publiés dans l'American Journal of Human Genetics (AJHG). Puisque, de toute évidence, l'Adam génétique d'il y a 140 000 ans n'était plus le bon, tout l'arbre phylogénétique du chromosome Y humain, qui retrace sa généalogie dans le monde entier, était à reconstruire. En comparant entre elles les variations génétiques de différents groupes ethniques, en les comparant aussi avec celles de notre proche cousin le chimpanzé et en estimant la vitesse à laquelle ces mutations apparaissent, ces chercheurs ont pu remonter dans le temps et greffer l'arbre généalogique précédemment en vigueur sur un tronc plus ancien d'où partait la branche qui a porté le chromosome Y d'Albert Perry.

Et l'arbre a pris un bon coup de vieux. Selon leurs calculs, le nouvel Adam génétique, l'ancêtre dont sont issus le chromosome Y de tous les hommes actuels et le chromosome Y d'Albert Perry, vivait toujours en Afrique, mais il y a près de 340 000 ans. Comme l'a déclaré au New Scientist Jon Wilkins, du Ronin Institute dans le New Jersey, qui n'a pas pris part à cette étude, depuis que l'on fait de la génétique on a « regardé les chromosomes Y. Déplacer à ce point la racine de l'arbre du chromosome Y est extrêmement surprenant. »

Mais en plus de constituer une surprise, ce bouleversement pose un gros problème de date, tout simplement parce que, il y a 340 000 ans, l'homme moderne n'était pas encore né ! D'après les données fossiles, son apparition date d'il y a environ 200 000 ans. Comment Albert Perry, qui était sans nul doute un Homo sapiens, a-t-il pu se retrouver porteur d'un chromosome Y datant d'un Homo "archaïque" alors que tous ses congénères disposaient d'une version plus récente ? Casse-tête ? Pas vraiment si l'on considère que le scénario de l'évolution de l'homme est non pas linéaire mais semblable à un buisson dont les branches se séparent... puis se recroisent. Une hypothèse probable est que, il y a plusieurs milliers d'années, le groupe ethnique d'Homo sapiens dont Albert Perry est descendu s'est mélangé avec un groupe d'humains "archaïques". Ces derniers ont aujourd'hui disparu mais ils ont, lors de cet échange de gamètes, réinjecté dans la population d'hommes modernes un chromosome Y qui n'y était plus présent sous cette forme. Un chromosome qui s'est ensuite transmis de père en fils pendant des générations et des générations, jusqu'à Albert Perry... et à quelques autres.

En explorant des bases de données génétiques, les auteurs de l'étude ont fini par mettre la main sur les Mbo, un peuple africain vivant dans le sud-ouest du Cameroun, dans la région du Littoral. Dans cette base de données se trouvaient 11 hommes Mbo (sur 174 enregistrés) dont le chromosome Y présentait des caractéristiques analogues à celles du chromosome Y d'Albert Perry – lequel était probablement leur lointain cousin. Les chercheurs notent que les Mbo vivent à moins de 800 kilomètres du site préhistorique nigérian d'Iwo Eleru, où des paléoanthropologues ont établi qu'Homo sapiens a cohabité et s'est reproduit avec les descendants d'une lignée plus ancienne. Pour ces généticiens, une découverte comme celle du chromosome Y d'Albert Perry souligne à quel point les bases de données sont lacunaires : « Il est probable, écrivent-ils, qu'une bien meilleure compréhension de la phylogénie du chromosome Y, et des variations génétiques en général, serait obtenue si des relevés plus denses et plus réguliers étaient effectués dans toute l'Afrique subsaharienne, étant donné son haut niveau de diversité génétique. »
c'est bien gentil tout çà et à aucun moment on vous parle de l'hybridation homme et reptilen pour un but  évident ,  que cette version atomise la création et redonne des arguments évolutionistes ,nous sommes devant une tentative de falsification de l'histoire il faut etre prudent avec ce genre de texte qui circule sur le web .....En effet selon la théorie de certains scientifiques le chromosome Y est en dégénérescence et appelé à disparaître. Des travaux effectués par une équipe américano-néerlandaise, révèlent que le chromosome Y comporte de larges régions palindromiques, suspectées de permettre l'autoréparation d'un ADN endommagé. Depuis on pense que, pour se réparer, le chromosome Y, aurait recours à des recombinaisons intrapalindromiques, par échange et recombinaison de l'information située entre les régions palindromiques. Le mécanisme lui-même est inconnu, tout comme ses conséquences néfastes possibles. Les chercheurs sont en effet partis d'un groupe de 2400 patients ayant tous des anomalies sexuelles diverses(pour ce qui est des problèmes sexuelles la descendance reptilienne provient d'un etre hybride hermaphrodite ) et on a découvert de nombreux chromosomes Y "autorecombinés" anormaux, en particulier les chromosomes à deux centromères. Cette anomalie est défavorable car elle complique et provoque des erreurs dans le processus de mitose, ce qui pourrait être à l'origine des défauts observés. Les chercheurs pensent que la présence de deux centromères provient de recombinaisons aberrantes des régions palindromiques qui pourraient tout aussi bien créer des chromosomes sans centromères. En conclusion le chromosome Y s'autorépare probablement bien par commutation de régions palindromiques mais au risque de générer des anomalies graves.  une des raison pour laquelle les élites les stars reptilienne adoptent des enfants ou font appel au clonage .de plus ce sont les lézards bizarrement qui ont la capacité de s'auto-réparer exemple vous couper la queue d'un lézard et elle repousse je pense que cela est une des piste à poursuivre ,ainsi que la vaccination L'autisme touche plus fréquemment les garçons que les filles (3 ou 4 pour une, selon le Ministère de la santé). C'est pourquoi on suspecte un facteur génétique ou hormonal. Une hypothèse est d'ailleurs avancée : une "masculinisation" du cerveau, liée à une action de la testostérone et du chromosome Y.alors si en vaccinant  vous remettez une dose de y cela créera une perturbation grave comme autisme et maladie auto immune en tous  genres ........le but : la réponse est dans ce sujet pour vous dire vous voyez cet homme ne descend pas d'adam mais certainement d'un singe détruisant toute création au profit de l'évolution .....................R james.


Source : http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/03/10/homme-qui-ne-descendait-pas-d-adam/

 

29 septembre 2013

La guerre des ondes est une guerre spirituelle

kho_aurora_fsigernes_525pxtoute spirale constituée d'une matière conductrice parcourue par un courant d'électrons génère un champ électromagnétique ,ce qui prouve que l'ADN émet et réceptionne des champs électromagnétiques & a donc bien fonction d'antenne.Plus encore, tel le démontre la chercheuse J Bousquet :la cellule oscillant tel un gyroscope autour de son centriole contenant de la silice couplée à l'ADN (semi-cristal),cela permet par la piézo-électricité du cristal siliceux animant l'humain ,de transformer les vibrations en courant par couplage avec des protéînes .La ddp ( différence de potentiel) membranaire s'active alors ,permettant les échanges.Ceci est très important ,car les champs réellement immatériels s'incarnent dans les cellules cérébrales par la piezo-électricité caractéristique de la silice.De même la molécule nerveuse axone est constituée d'un noyau ,véritable générateur de courants d'électrons d'ou émergent des filaments terminés en spirale ou dendrites ,soit de véritables récepteurs de l'émission de l'antenne ADN.C'est ce champ généré par les cellules nerveuses qui est le siège de la conscience,la pensée devenant un phénomène énergétique par les neuro-hormones .J Bousquet ajoute que c'est ainsi que les cellules récupérent l'énergie galactique au travers de photons créant des liaisons hydrogénes,enfermant en nous les neutrinos qui défient l'espace-temps.A partir de la l'informé devient l'informé et ...le formant en passant la membrane cellulaire .C'est pourquoi la qualité de notre pensée dépend de la qualité de notre sang et donc de l'eau du corps.C'est alors l'ADN qui donne le signal de la protéïne nécessaire en libérant l'ARN -Messager,s'engageant dans le processus vibratoire électrolytique de l'oxydo-réduction,via les photons ou lumière,l'espace-temps n'étant jamais que l'extériorisation de la Conscience universelle dont nous faisons tous parti.


Il existe une onde qui est si puissante et qui ne pourra jamais etre déconnectée de la source c'est l'amour de Dieu qui crée la foi une onde infinie et éternelle ........

27 septembre 2013

DSK à la tête de la banque luxembourgeoise Anatevka

DSK-strauss-kahn-fmi-(2013-09-25)

 L'ancien directeur du FMI ajoute une nouvelle corde à son arc en prenant la tête de la société luxembourgeoise.

En prenant la tête de la société financière luxembourgeoise Anatevka, cotée à la Bourse de Paris, l'ancien patron directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Kahn embrasse la carrière de banquier d'affaires. Cet établissement, fondé en 1994 par le financier Thierry Leyne, va d'ailleurs être rebaptisé Leyne, Strauss-Kahn & Partners ou LSK, selon un communiqué.

la tête du conseil d'administration

La société, qui est calquée sur le modèle des banques d'investissement anglo-saxonnes, est présente dans la gestion d'actifs, le capital risque, l'assurance et l'intermédiation financière. Elle a fait son entrée en mars à la Bourse de Paris et y est valorisée à 50,24 millions d'euros.

L'ancien ministre de l'Economie sera officiellement adoubé le 18 octobre prochain lors d'une assemblée générale, est-il précisé dans un communiqué. Ce jour-là, il deviendra président du conseil d'administration de LSK.

"Grâce à sa vision globale et son expertise unique, nous allons développer un pôle de banque d'affaires, tout en privilégiant notre culture entrepreneuriale internationale", s'est réjoui

Ce pôle regroupera le conseil aux Etats, aux sociétés et aux entrepreneurs pour leur développement stratégique international, leur financement, la restructuration de leur dette et les acquisitions et cessions d'entreprises, précise le groupe, qui compte une centaine de collaborateurs répartis dans six pays (Luxembourg, Belgique, Monaco, Israël, Suisse et Roumanie).

Dominique Strauss-Kahn a démissionné de son poste au FMI en 2011, après avoir été accusé de viol par une femme de chambre à New York. En France, les juges d'instruction ont récemment décidé son renvoi devant la justice pour "proxénétisme aggravé" dans l'affaire dite du Carlton de Lille (nord).

Depuis cette année, l'ancien présidentiable socialiste cumule les responsabilités après avoir fait quelques conférences.

Mi-septembre, il a accepté de conseiller le gouvernement serbe pour l'aider à sortir du marasme une économie moribonde. En juillet, il a été nommé membre du conseil de surveillance de deux institutions financières détenues à majorité par les pouvoirs publics russes: le Fonds russe des investissements directs (RDIF) et la Banque russe de développement des régions (BRDR), contrôlée par le pétrolier Rosneft.

From tempsreel.nouvelobs.com

 

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27 septembre 2013

l'Équateur annonce que les OVNIS existent !

ufo53l'Équateur annonce que les OVNIS existent
Le gouvernement de l'Equateur a annoncé la déclassification des documents relatifs aux relations avec environ 44 rapports d'observations d'ovnis faites par des témoins officiels. Maintenant, le président de l'actuel gouvernement, a publié une dépêche officielle, dans laquelle il a ouvertement dit que les OVNI existent et ne sont pas une menace pour l'instant!Le CEIFO est la Commission Equatorienne pour l’Investigation du Phénomène OVNI, crée par le ministère de la défense le 5 avril 2005. Il est depuis géré sous la coordination nationale de l’ufologue Jaime Rodriguez.

A partir du 13 mars de cette année seront déclassifiés les 44 premiers témoignages officiels du CEIFO. C’est ce qu’annonce Jaime Rodriguez dans une lettre envoyée le 16 mars dernier à l’ufologue mexicaine Ana Luisa Cid.

Pour chacun de ces témoignages de militaires, le CEIFO a crée un mini-reportage vidéo avec interviews et reconstitutions des évènements.

Voici les premières vidéos sur les 44 qui seront publiées :

Vidéo CEIFO 1/44zfhwvkkr

 

Réunion secrète à l'arrivée des aliens sur laterre!
Ces nouvelles viennent du professeur Michael Salla, l'Université américaine à Washington, . Il a affirmé avoir reçu un email de deux collègues de confiance (Clay et Shawn Pickering) Clay & Shawn Pickering ont été interviewés par le Project Camelot pendant 4 heures. Ils communiquent sur le forum Open Minds depuis le printemps 2008, et sont à l’origine de l’information qui a circulé sur les possibles réunions secrètes aux Nations-Unies, en février de l’année dernière.

Ils reviennent sur leurs nombreux échanges avec un informateur de l’US Navy, surnommé la ‘Source A’. Celui-ci leur raconte depuis plusieurs mois que des agences sont en contact avec deux sortes d’aliens : une forme de vie étrange et très avancée,, mais aussi des représentants d’un race reptilienne particulièrement impressionnante.( oui oui en connais le refrain pas tant de blabla pour nous cacher que ce sont des demons )
. Il semble qu'un certain nombre d'États-nations sont préoccupés par l'impact d'observations d'ovnis ont augmenté et que vous souhaitez être informé de ce qui se passe. Leur source d'information, qui travaille actuellement sur le corps diplomatique, a dû Voyage tôt le matin pour assister à la réunion à l'Organisation des Nations Unies.

D'ores et déjà il apparaît que le compte à rebours est en cours à la divulgation officielle autour de 2013, et que les États-nations et l'ensemble des Nations Unies ont été informés. . Le processus d'acclimatation va s'accélérer au cours des cinq prochaines années, observations d'ovnis augmentation partout dans le monde forçant les gouvernements à faire des déclarations politiques publiques sur les OVNIs et sur la vie extraterrestre. En outre, la source affirme que les Russes sont très préoccupés par la question, ainsi que d'autres États nationaux sont concernés. Il est prévu  que le secret sur les ovnis seront  révélés officiellement fin  2013

27 septembre 2013

Le Mystere de la famille berruyer revenant ou voyage temporel ?

 exoplanetes
En juin 1925, Jean Romier, un étudiant en médecine de 24 ans, rencontre dans les jardins du Luxembourg M. Berruyer, un sympathique vieillard qui, à la suite d'une conversation sur Mozart, lui propose de venir assister à l'un des concerts qu'il donne chaque vendredi dans son appartement, rue de Vaugirard, en compagnie de sa famille qui partage sa passion pour la musique classique.

Le vendredi suivant, le jeune Romier se présente chez les Berruyer, rue de Vaugirard, et passe une agréable soirée à écouter du Mozart, à discuter avec un jeune séminariste, ainsi qu'avec les deux petits-fils de M. Berruyer, un étudiant en droit et un aspirant de l'Ecole Navale. A minuit, il prend congé, mais à peine sortie dans la rue, il s'aperçoit qu'il a oublié son briquet. Jean Romier remonte et sonne. Personne ne répond. Trés intrigué, il sonne longuement et finit par réveiller le voisin, qui appelle le concierge en criant au voleur. Un commissaire de police du poste le plus proche arrête l'étudiant.

Une enquête est menée. Le voisin et le concierge affirment que l'appartement est vide depuis des années, à la suite de la mort de M. Berruyer. Jean Romier, issu d'une honorable famille, parvient à convaincre le commissaire de sa bonne foi.

Le lendemain matin, on fait venir l'arrière-petit fils de M. Berruyer, propriétaire de l'appartement. En ouvrant la porte, on découvre un appartement à l'abandon, rempli de toile d'araignées. Jean Romier étonne tous les témoins par sa parfaite connaissance de la disposition des pièces, ainsi que ses précisions sur les membres de la famille Berruyer. Ainsi, le jeune étudiant en droit vu la veille était le grand-père avocat de l'actuel propriétaire, l'élève de l'Ecole Navale son grand-oncle devenu amiral, et le séminariste son grand-oncle devenu missionnaire en Afrique. Quand aux concerts, le jeune Berruyer affirme qu'ils ont bien eu lieu autrefois dans cet appartement. Enfin, sur une table, on découvre le briquet de Jean Romier qu'il avait laissé la veille au soir.

Le professeur Dutheil explique que ce jeune homme fut victime d'une hallucination étonnante. Toute une famille de fantôme lui est apparue. L'enquête de police à prouvé qu'il ne pouvait s'agir en aucun cas d'une supercherie montée par le jeune Romier. Les détails stupéfiants de précision qu'il fournit à M. Berruyer sur les membres de sa famille et la découverte du briquet constituent d'ailleurs des indices troublants.
L'aventure est si étonnante qu'on la raconte à A. Einstein lui-même, qui la prend très au sérieux et déclare que "ce jeune homme a trébuché dans le temps... comme d'autre ratent une marche d'escalier".

27 septembre 2013

videos in gold they trust et les enfants esclaves

enfant_pleurela ségrégation est également une forme criminelle d'oppression de l'homme par l'homme basée sur la couleur de la peau, le sexe, la langue ou une idéologie qui peut conduire au génocide.

Aux Etats-Unis, la ségrégation raciale régna durant la période d'esclavage jusqu'en 1865 et après la reconstruction qui suivit la Guerre de Sécession en 1876. Plus récemment, en 1963 Marthin Luther King a payé de sa vie son rêve de "réunir maîtres et esclaves autour de la table de la fraternité".

En Afrique du Sud également, sous l'égide du Parti National, l'apartheid régna jusqu'en 1989 : Blancs et Noirs vivaient dans des lieux différents, fréquentaient des instituts différents et utilisaient des transports différents. Seuls les Africaners bénéficaient d'un système éducatif performant et détenaient les clés du Pouvoir. C'est aujourd'hui l'une des rares républiques multiraciales d'Afrique qui accorde des droits égaux à toutes les ethnies. Mais cela reste une exception si on en juge par les guerres ethniques ou de religion qui enflamment toutes les contrées du Monde, y compris l'Europe.

Mais le racisme se cache parfois là où s'y attend le moins. En 2007, la tribu indienne Cherokee qui vit en Oklahoma vota à 77% des suffrages une loi de purification raciale leur permettant d'exclure de leur nation les descendants d'esclaves Noirs qui vivaient encore sur ses terres. Le but était soi-disant noble, protéger leur communauté.

On retrouve la même philosophie dans le nord de la Belgique où le pouvoir flamand en place tente d'interdire dans la région la domiciliation ou l'emploi de tout qui ne parle pas la langue de Vondel.

Enfin, n'oublions pas l'existence toujours vivace dans nos démocraties des partis d'extrême-droite aux relans nationalistes (le Front National en France, le Vlaams Belang en Belgique, le NPD en Allemagne, le BNP en Angleterre, le KKK et le CCC aux Etats-Unis, etc). Tous ces partis extrémistes occupent quelques sièges dans les administrations communales, au niveau provincial ou dans leur parlement respectif. Leurs actions criminelles ont déjà conduit à l'assassinat de civils innocents. Si leurs actions ne met pas encore en péril la démocratie, leur implentation est durable et impose qu'elle soit réglementée. Rappelez-vous que dans un moment d'inattention, une bête sauvage peut toujours vous sauter au coup.

27 septembre 2013

Les pensées et les sentiments sont matériels. Ils sont transmis par les impulsions electromagnetiques subtiles .

hommes10En physique des particules, un lepton est une particule élémentaire de spin 1/2 qui n'est pas sensible à l'interaction forte.

La famille des leptons est constituée des électrons, des muons, des tauons, des neutrinos respectifs et des antiparticules de toutes celles-ci. Le terme « lepton » provient du mot grec signifiant « léger » et se réfère à la faible masse du premier lepton découvert, l'électron, par rapport aux nucléons

l'âme est une substance matérielle. Son existence est indéniable. L'homme, au sens traditionnel de ce terme, n'est qu'un noyau dense autour duquel circulent des flux de leptons. L'ensemble des enveloppes leptoniques représente un bioplasma froid qui renferme toute l'information sur le noyau. On pourrait l'appeler l'"âme leptonique" de l'homme. Il est à noter que cette notion est susceptible d'une interprétation rigoureusement matérialiste.

Selon la conception leptonique, les pensées et les sentiments sont matériels. Ils sont transmis par les impulsions extra-faibles des champs électromagnétiques et microleptoniques. Les images visuelles, auditives et autres, les pensées et les sentiments existent sous forme d'amas de particules élémentaires extrêmement légères. Ici, je tiens à rappeler la thèse de Platon selon laquelle les "eidos", à savoir les idées, les pensées et les sentiments, existent de façon autonome : ils évoluent dans l'air, en ignorant les obstacles.

C'est à cette conclusion que Platon aboutit voici 2000 ans, et même plus. Aujourd'hui, nous pouvons la formuler en termes de mathématiques. Il est possible de déterminer la masse de la pensée humaine. Celle-ci varie de 10-30 à 10-40 grammes, ce qui signifie que la pensée d'un homme est approximativement 100 fois plus légère que son âme.

L'homme génère des pensées et des sentiments qui sont matériels par essence et qui vivent de manière autonome dans l'espace et le temps. Des études théoriques et des expériences, notamment celles d'Anatoli Okhatrine, attestent que les "eidos" sont capables d'échanger mutuellement l'information qu'ils contiennent. Il en découle donc que les idées conçues par une personne peuvent venir à l'esprit d'autres gens. Les eidos sont pareils à de petits êtres vivants qui existent au niveau leptonique de la matière. On dirait qu'ils sont nos enfants et qu'ils communiquent entre eux au moyen de signaux extra-faibles.

Durant sa vie, l'homme produit des millions, voire des milliards d'eidos. Par conséquent, il assume de ses sentiments et pensées une énorme responsabilité vis-à-vis de l'humanité.

En enfantant les eidos du bien, de l'amour, de la charité, nous assainissons la leptonosphère de l'humanité. Mais chaque fois que nous nourrissons des pensées criminelles ou des sentiments d'avidité, de lâcheté, de vanité et d'arrogance, nous polluons l'environnement leptonique. Si les mauvais eidos dépassent la masse critique, l'humanité sera condamnée. Ainsi donc, sa survie dépend dans une large mesure de l'écologie spirituelle.

il est dont très facile de comprendre tout le cirque autour de 2012 ces pensées polluantes se développe,sans parler de l'avilissement de l'humanité,perte de la foi du culte religieux et de la spiritualité seuls capables avec nos bonnes intentions et actions ,la pollution de la planète et de nos âmes aura chakras enfin tout  ce qui peut nous servir à nous élever ,et nous libérer en prenant conscience de l'existence de l'ame et de son créateur...

26 septembre 2013

Le cartel de la réserve fédérale: les franc-maçons et la maison Rothshchild .

 

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par Dean Henderson



 Le cartel de la réserve fédérale: les huit familles


En 1789, Alexandre Hamilton devint le premier secrétaire au trésor (NdT: ministre des finances) des Etats-Unis d’Amérique. Hamilton était un des nombreux pères fondateurs qui étaient franc-maçons. Il avait des relations étroites avec la famille Rothschild, qui était propriétaire de la Banque d’Angleterre et était le leader du mouvement franc-maçon européen. Georges Washington, Benjamin Franklin, John Jay, Ethan Allen, Samuel Adams, Patrick Henry, John Brown, et Roger Sherman étaient tous franc-maçons. Roger Livingston aida Sherman et Franklin a écrire la déclaration d’indépendance des Etats-Unis. Il donna à George Washington ses voeux de prises de fonction alors qu’il était le grand maître de la grande loge maçonnique de New York. Washington lui-même était le grand maître de la loge de Virginie. Des généraux de la révolution américaine, 33 étaient des franc-maçons.

Ceci était très symbolique puisque les maçons du 33ème degré deviennent Illuminés. [1]Les pères fondateurs populistes emenés par John Adams, Thomas Jefferson, James Madison et Thomas Paine, dont aucun d’entr’eux n’était franc-maçon, voulaient couper complètement les ponts avec la couronne britannique, mais furent subjugués par la faction maçonnique emenée par Washington, Hamilton et le grand maître de la loge St Andrews de Boston, le général Joseph Warren, qui voulurent “défier le parlement, mais rester loyal à la couronne.” La loge St Andrews était au cœur de la franc-maçonnerie du nouveau monde et commença à distribuer des degrés de chevaliers du temple en 1769.[2]

Toutes les loges maçonniques américaines sont jusqu’à aujourd’hui garanties par la couronne britannique, qu’elles servent en tant que centre de renseignement global et de réseau de contre-révolution et de subversion. Leur initiative la plus récente est le programme maçonnique d’identification infantile (NdT:CHIP pour Child Identification Program). D’après Wikipedia, les programmes CHIP donnent l’opportunité aux parents de créer gratuitement un kit de matériaux d’identification de leur enfant. Ce kit contient une carte avec les empreintes digitales, une description physique, une vidéo, un DVD de l’enfant, une impression dentaire et un échantillon d’ADN.

Le premier congrès continental se rassembla à Philadelphie en 1774 sous la présidence de Peyton Randolph, qui succéda à Washington comme grand maiitre de la loge de Virginie. Le second congrès eut lieu en 1775 sous la présidence du franc-maçon John Hancock. Le frère de Peyton, William, lui succéda comme grand maître de la loge et devint le chef de file des supporteurs de la centralisation et du fédéralisme à la première convention de 1787. Le fédéralisme qui est au cœur de la constitution américaine est identique au fédéralisme exprimé dans la constitution franc-maçonne anderson de 1723. William Randolph devint le premier ministre de la justice de la nation et secrétaire d’état de Georges Washington.

Sa famille retourna en Angleterre, loyale à la couronne. John Marshall, le premier juge de la cour supême de la nation était aussi un franc-maçon.[3]

Quand Benjamin Franklin voyagea en France pour trouver un financement pour les révolutionnaires américains, tous ses meetings eurent lieu dans les banques Rothschild. Il passa des contrats d’armement avec le franc-maçon allemand le baron Von Steuben. Ses comités de correspondance opéraient au travers des couloirs de communication maçoniques et étaient en parallèle d’un réseau d’espionage britannique.

En 1776, Franklin devint le de facto ambassadeur en France. En 1779, il devînt le grand maître de la loge française des Neuf Sœurs, à laquelle appartenaient John Paul Jones et Voltaire. Franklin était aussi un membre de la plus secrète loge royale des commandeurs du temple ouest de Carcassonne, dont un des membres était Frederick Prince de Galles. Tandis qu’il prêchait la tempérance aux Etats-Unis, il s’encanaillait allègrement avec ses frères de loge en Europe. Franklin servit de 1750 à 1775 comme receveur général, un rôle souvent relégué aux espions britanniques.[4]

Avec le financement de Rothschild, Alexandre Hamilton fonda deux banques à New York, dont la banque de New York.[5] Il mourut dans un duel au pistolet avec Aaron Burr, qui fonda la banque de Manhattan avec l’aide financière de Kuhn Loeb. Hamilton épitomisait le dédain que les huit familles vouaient au commun des gens en disant: “Toutes les communautés se divisent entre le peu et le nombreux. Les premiers sont les riches et les bien-nés, les autres la masse du peuple… Les gens sont turbulents et changent sans cesse; ils ne peuvent bien juger que très rarement. Il faut donc donner à la première classe une part distinctive et permanente du pouvoir. Ils équilibreront le manque de stabilité de la seconde classe.”[6]

Hamilton ne fut que le premier d’une série de huit familles inféodées à devenir secrétaire au trésor (NdT ministre des finances). Plus récemment, le secrétaire au trésor de Kennedy était Douglas Dillon, venant de la famille Dillon Read (maintenant partie de UBS Warburg). Les secrétaires de Nixon David Kennedy et William Simon provenaient respectivement de la banque continentale de l’Illinois (maintenant sous contrôle de la Bank of America) et Salomon Frères (aujourd’hui partie de Citigroup). Le secrétaire au trésor de Carter Michaël Blumenthal venait de Goldman Sachs, celui de Ronald Reagan, Donald Regan, venait de Merill Lynch (maintenant Bank of America), celui de Bush père Nicholas Brady venait de Dillon Read (UBS Warburg), les deux secrétaires au trésor de Clinton et de Bush fils, respectivement Robert Rubin et Henry Paulson venaient de Goldman Sachs; Tim Geithner sous Obama venait de Kissinger Associates et ancien président de la banque fédérale de New York.

Thomas Jefferson a toujours défendu l’idée que les Etats-Unis devaient avoir une banque centrale publique de telle sorte que les monarques européens et les aristocrates ne puissent pas utiliser l’impression de la monnaie pour contrôler les affaires de la nation. Jefferson visionnairement déclara: “Un pays qui attend de rester ignorant et libre, attend ce qui n’a jamais existé et n’existera jamais. Il n’y a pas un roi sur cent qui, s’il le pouvait, ne suivrait pas l’exemple des pharaons en prenant d’abord tout l’argent du peuple, puis toutes les terres pour faire du peuple et de ses enfants ses serviteurs à tout jamais… Les établissements banquiers sont plus dangereux que les armées ennemies. Ils ont déjà levé une aristocratie de l’argent.” Jefferson observa la prise de contrôle des Etats-Unis par la conspiration euro-bancaire, pesant dans la balance il déclara: “des actes de tyrannie simple peuvent être attribués à la conjoncture du moment, mais une série d’oppressions a débuté à un moment précis et de manière inaltérable au cours des changement de ministères et qui prouve de manière trop évidente le plan systémique de nous réduire tous en esclavage.”[7]

Mais les arguments de Hamilton sponsorisés par Rothschild en faveur d’une banque centrale états-unienne privée l’emportèrent. En 1791, la Banque des Etats-Unis (NdT que nous nommerons dorénavant ici BEU) fut fondée, avec les Rothschilds comment actionnaires principaux. La charte de la banque devait expirer en 1811. L’opinion publique était en faveur de révoquer la carte et de la remplacer par une banque centrale publique de type jeffersonien. Le débat fut repoussé alors que la nation fut plongée par les banquiers européens dans la guerre de 1812. Dans un climat de peur et de détresse économique, la charte de la BEU fut renouvelée jusqu’en 1816.

Old Hickory, Honest Abe & Camelot

En 1828, Andrew Jackson se présenta à la présidence des Etats-Unis. Tout au long de sa campagne électorale, il fustigea les banquiers internationaux qui contrôlaient la BEU. Jackson râlait: “Vous êtes un nid de vipères. J’ai l’intention de vous exposer et par dieu éternel, je vais vous extirper de là. Si le peuple comprenait le niveau d’injustice amené par notre système bancaire, il y aurait une révolution avant demain matin.” Jackson gagna les élections et révoqua la charte de la BEU. “L’acte de la charte semble être basé sur l’idée éronnée que les actionnaires actuels de la banque ont un droit prescriptif sur non seulement les faveurs du gouvernement, mais aussi sur ses récompenses.. Pour leur profit, l’acte exclut le peuple américain de la compétition à l’achat de ce monopole. Les actionnaires actuels et ceux qui héritent de leurs droits en tant que successeurs, établissent un ordre privilégié, habillé de grande puissance politique et jouissent d’immense avangages pécuniers de par leur connexion avec le gouvernement. N’y aurait-il pas péril en la demeure si par les vertus d’un tel acte légal qui concentre l’influence dans les mains d’un directoire auto-élu, dont les intérêts s’identifient à ceux d’actionnaires étrangers; N’y aurait-il pas sujet à trembler pour l’indépendance de notre pays en guerre… pour contrôler notre monnaie, recevoir nos budgets publics et retenir l’indépendance de milliers de nos citoyens; ceci serait plus dangereux et plus formidable que la puissance militaire et navale de l’ennemi. Il est regrettable que les riches et puissants plient trop souvent pour leur seul profit les actes du gouvernement… Pour rendre les riches plus riches et plus puissants. Beaucoup de nos riches citoyens ne sont pas satisfaits de la protection égalitaire et des bénéfices égaux, ils nous ont en revanche induit à les rendre plus riches par actes du congrès. J’ai rempli mon devoir envers mon pays.”[8]

Le populisme prévalut et Jackson fut ré-élu. En 1835, il fut la cible d’une tentative d’assassinat. Le tireur était un certain Richard Lawrence qui confessa qu’il “était en contact avec des puissances en Europe”.[9]

En 1836, Jackson refusa toujours de renouveler la charte de la BEU. Sous son mandat, la dette nationale états-unienne revînt à zéro pour la première et dernière fois de l’histoire de notre nation. Ceci rendît furieux les banquiers internationaux, qui dérivent une grosse partie de leurs revenus du repaiement des intérêts de la dette des nations. Le président de la BEU Nicholas Biddle coupa le robinet des fonds au gouvernement états-uniens en 1842, plongeant le pays dans une dépression économique. Biddle était un agent de la banque de Paris Jacob Rothschild.[10] De plus, la guerre avec le Mexique fut également déclanchée contre Jackson. Quelques années plus tard, la guerre civile fut déclanchée avec les banquiers de Londres finançant le Nord et les banquiers de France finançant le Sud.

La famille Lehman fit une fortune en passant des armes au Sud et du cotton au Nord. En 1861, les Etats-Unis étaient de nouveau endettés de 100 millions de dollars. Le nouveau président Abraham Lincoln se joua lui aussi des banquiers européens en faisant imprimer les fameux “Lincoln Greenbacks” pour payer les factures de l’armée du Nord.

Le journal des Rothschild “Times of London” écrivit: “Si cette politique malicieuse qui a son origine dans la république d’Amérique du nord, devait devenir à la longue une réalité fixe, alors ce gouvernement pourra fournir sa propre monnaie sans coût. Il paiera ses dettes et sera sans dette. Il aura tout l’argent nécessaire pour subvenir à son commerce. Il deviendra prospère au-delà de tout ce qui a été vu jusqu’ici dans l’histoire des gouvernements civilisés du monde. Le savoir-faire et la richesse de tous les pays ira en Amérique du Nord. Ce gouvernement doit être détruit ou il va détruire toutes les monarchies de la planète.”[11]

Le Périodique, pamphlet des euro-banquiers “Hazard Circular” fut dénoncé par les populistes en colère. Le périodique déclarait: “La grande dettre que les capitalistes vont créer est faite de la dette générée par la guerre et doit être utilisée pour contrôler la valeur de la monnaie. Pour ce faire, des bons du trésor doivent être imprimés et utilisés comme base bancaire. Nous attendons maintenant le secrétaire au trésor Salmon chase qui doit faire cette recommandation. Cela ne permettra pas de faire circuler les greenbacks comme monnaie, car nous ne pouvons pas contrôler cela. Nous contrôlons les bons du trésor et à travers eux le système bancaire.” La loi sur la banque nationale de 1863 réinstaura la banque privée centrale américaine et des bons de guerre de Chase furent émis. Lincoln fut ré-élu l’année suivante, jurant de répudier cette loi après avoir pris ses fonctions en 1865. Avant qu’il ne puisse faire quoi que ce soit, Lincoln fut assassiné au théâtre Ford par John Wilkes Booth. Booth avait des connexions importantes avec les banquiers internationaux. Sa petite fille écrivit un livre “Cet acte fou” qui décrit dans le détail les relations de Booth et ses contavts avec “de mystérieux européens” juste avant l’assassinat de Lincoln.

Après avoir tiré sur Lincoln, Booth fut aidé par des membres d’une société secrète connue sous le nom de Chevaliers du Cercle Doré (CCD). Cette société avait d’étroites relations avec la société française des saisons, qui produisit Karl Marx. CCD ont fomenté beaucoup de la tension qui causa la guerre civile et le président Lincoln avait ciblé particulièrement ce groupe. Booth était membre des CCD et était connecté par le truchement du secrétaire d’état de la confédération Judah Benjamin à la maison des Rothschild. Benjamin s’enfuit en Angleterre après la guerre civile. [12]

Près d’un siècle après l’assassinat de Lincoln pour a voir fait imprimer les greenbacks, le président John F. Kennedy se trouva lui aussi sous les feux des huit familles.

Kennedy avait annoncé une “descente” sur les paradis fiscaux et proposa une augmentation des impôts pour les grandes compagnies minières et pétrolières. Il supportait l’élimination des vides juridiques qui permettaient l’évasion fiscale des super-riches. Ses politiques économiques furent publiquement attaquées par le magazine “Fortune”, le Wall Street Journal et à la fois David et Nelson Rockefeller. Même le propre secrétaire au trésor de Kennedy Douglas Dillon, qui venait de la banque d’affaires Dillon Read (UBS Warburg) s’opposa aux propositions de Kennedy. [13]

Le destin de Kennedy fut scellé en Juin 1963 quand il autorisa l’impression par son département du trésor de la somme de 4 milliards de dollars dans une tentative de contre-balancer le taux d’intérête usurier pratiqué par la clique des banquiers internationaux en contrôle de la banque privée de la réserve fédérale. La femme de Lee Harvey Oswald, qui fut abattu par Jack Ruby, lui-mème abattu, dit à l’écrivain A.J. Weberman en 1994: “La réponse à l’assassinat de Kennedy est à chercher avec la banque fédérale. Ne sous-estimez pas ceci. Il est faux de blâmer l’assassinat sur Angleton et la CIA seulement. Ils ne sont qu’un doigt de la même main. Les gens qui fournissent l’argent sont au dessus de la CIA.”[14] Dû au zèle du nouveau président Lyndon Johnson qui de suite hypertrophia la guerre du Vietnam, les Etats-Unis s’enfoncèrent bien plus dans la dette. Ses citoyens furent terrorisés à garder le silence. S’ils peuvent tuer le président; ils peuvent tuer n’importe qui.

La maison Rothschild

La maison hollandaise des Orange fonda la Banque d’Amsterdam en 1609 comme étant la première banque centrale de l’histoire mondiale. Le prince William d’Orange se maria dans la maison anglaise des Windsor, prenant pour épouse Marie, la fille du roi James II. La confrérie de l’ordre d’Orange, qui a fomentée récemment la violence protestante en Irlande du Nord, mit William III sur le trône d’Angleterre d’où il régna sur à la fois l’Angleterre et la Hollande. En 1694, William III fît alliance avec l’aristocratie britannique pour lancer officiellement la Banque d’Angleterre. La vieille dame de la rue du chas d’aiguille, comme est connue la Banque d’Angleterre, est entourée de murs de 9 mètre de haut. Trois étages en dessous est stocké la réserve d’or la plus importante au monde.[15]

Les Rothschilds et leurs partenaires consanguinement dégénérés des huit familles prirent le contrôle graduellement de la banque d’Angleterre. L’établissement quotidien de la valeur de l’or à Londres s’effectua à la banque N.M. Rothschild jusqu’en 2004. Comme l’assistant gouverneur de la banque d’Angleterre Georges Blunden le fit remarqué: “La peur est ce qui rend la puissance de la banque si acceptable. La banque est capable d’exercer son influence quand les gens sont dépendants de nous et ont peur de perdre leurs privilèges, ou quand ils ont peur.”[16]

Mayer Amschel Rothschild vendit les mercenaires allemands hessiens du gouvernement britannique pour combattre contre les révolutionnaires américains, envoyant les dividendes à son frère Nathan à Londres, où la banque Nathan and Meyer Rothschild & fils (NdT: connue sous le vocable N.M Rothschild) était établie. Mayer était un élève sérieux de Cabala et commença sa fortune avec de l’argent sous-tiré d’un administrateur royal de William IX opérant dans la région du Hesse-Kassel et un franc-maçon connu.

Barings, contrôlée par Rothschild, domina le commerce de l’opium chinois et des esclaves africains. Il finança l’achat de la Louisianne (NdT: à Napoléon). Quand plusieurs états refusèrent de payer leurs dettes, Barings soudoya Daniel Webster pour faire des discours prônant le repaiement des dettes. Les états tinrent leur ligne de refus, et en 1842, la maison rothschils coupa le robinet d’argent plongeant les états-unis dans une dépression. Il a souvent été dit que la fortune des Rothschilds dépendaient de la banqueroute des nations. Mayer Amschel Rothschild déclara: “Je ne m’intéresse pas de savoir qui contrôle les affaires d’une nation, aussi loin que je puisse contrôler sa monnaie.”

La guerre ne fut pas néfaste à la fortune familiale non plus. La maison des Rothschild finança la guerre de Prusse, la guerre de Crimée et la tentative britannique de saisir le canal de Suez aux Français. Nathan Rothschild fît un gros pari financier sur Napoléon à la bataille de Waterloo, tout en finançant également la campagne péninsulaire du duc de Wellington contre ce même Napoléon. Les deux guerres aux Etats-Unis contre le Mexique et la guerre civile, furents de véritables mines d’or pour la famille.

Une biographie de la famille Rothschild mentionne une réunion à Londres où un “syndicat banquier international” décida de monter le Nord contre le Sud des Etats-Unis comme partie intégrante de la stratégie du “diviser pour mieux régner”. Le chancelier allemand Otto Von Bismark dit une fois: “La division des Etats-Unis en des fédérations de force égale fut décidée bien avant la guerre civile. Les banquiers craignaient que les Etats-Unis décoivent leur domination financière du monde. La voix des Rothschilds prévalut.” Le biographe de la famille Derek Wilson dit que la famille était le banquier officiel européen pour le gouvernement Etats-Unien et un grand supporteur de la BEU.[17]

Un autre biographe Neill Fergusson nota un “vide subatantiel et non expliqué” dans la correspondance des Rothschilds entre 1854 et 1860. Il a dit que toutes les copies des lettres émanant des Rothschilds de Londres pendant la période de la guerre civile américaine “furent détruites sur ordre de partenaires successifs”.[18]

Des troupes françaises et britanniques avaient encerclé les Etats-Unis au faîte de la guerre civile. Les britanniques envoyèrent 11 000 soldats au Canada, contrôlé par la couronne britannique et qui protégeait les agents confédérés. Napoléon III de France installa un membre de la famille autrichienne des Hapsbourg L’archiduc Maximilien comme empereur marionnette de Mexique, où les troupes françaises se massèrent à la frontière du Texas. Seule l’envoi et le déploiement à la 25ème heure de deux navires de guerre russes par le Tsar Alexandre II allié des Etats-Unis en 1863, empêcha une re-colonisation des Etats-Unis.{19]

La même année le Chicago Tribune écrivît: “Belmont (Auguste Belmont était un agent des Rothschilds et avait une course de chevaux de la triple couronne nommée après lui) et les Rothschilds… qui ont acheté les bons de guerre confédérés…”

Salmon Rothschild dit de Lincoln mort: “Il rejette toute forme de compromis. Il a l’apparence d’un paysan et ne peut raconter que des histoires de bars.” Le baron Jacob Rothschild était tout aussi flatteur à l’égard des citoyens américains, il commenta un jour au ministre états-unien envoyé en Belgique Henry Sanford à propos du plus du demi million de citoyens américains qui moururent lors de la guerre civile: “Quand votre patient est désespérément malade, vous essayez des mesures désespérées, y compris les saignées.” Salmon et Jacob ne faisaient que continuer une tradition familale. Quelques générations auparavant Mayer Amschel Rothscild avait dit à propos de sa stratégie d’investissement: “Lorsque les rues de Paris sont inondées de sang… J’achète.”[20]

Les fils de Mayer Rothschild étaient connus sous le nom des cinq de Francfort.

Le plus vieux Amschel, s’occuppa de la banque de Francfort avec son père, tandis que Nathan géra les affaires de Londres. Le plus jeune Jacob fut envoyé à Paris, tandis que Salomon dirigea la branche de Vienne et Karl celle de Naples. L’écrivain Frederick Morton estime que dès 1850, les Rothschilds pesaient 10 milliards de dollars.[21] Quelques chercheurs pensent que leur fortune aujourd’hui s’élèverait à plus de cent mille milliards de dollars.

Les Warburgs, Kuhn Loebs, Goldman Sachs, Schiffs, Rothschilds, se sont mariés entr’eux et forment une heureuse famille bancaire. La famille Warburg qui contrôle la Deutsche Bank et la BNP se lia avec les Rothschilds en 1814 à Hambourg, tandis que la puissante Jacob Schiff des Kuhn Loeb partagea ses quartiers avec les Rothschilds dès 1785. Schiff immigra aux Etats-Unis en 1865. Il joignit ses forces avec Abraham Kuhn et maria la fille de Salomon Loeb. Loeb et Kuhn épousèrent les sœurs de l’un l’autre ainsi fut scellée la dynastie Kuhn-Loeb. Felix Warburg se maria avec la fille de Jacob Schiff. Deux fille Goldman marièrent deux fils de la famille Sachs, créant ainsi Goldman Sachs. En 1806, Nathan Rothschild maria la plus âgée des filles de Levi Barent Cohen, un financier de renom à Londres.[22] Ainsi Abby Joseph Cohen de Merill Lynch et le secrétaire à la défense de Clinton William Cohen, sont des descendants probables des Rothschilds.

Aujourd’hui, les Rothschilds sont à la tête d’une empire financier extensif, qui implique des parts importantes dans la plupart des banques centrales mondiales. Le clan d’Edmond de Rothschild possède la Banque Privée SA à Lugano en Suisse et la banque Rothschild AG de Zürich.

La famille de Jacob Lord Rothschild possède la puissante Rothschild Italia De Milan. Ils sont les membres fondateurs du club très exclusif des Iles à dix mille milliards de dollars, qui contrôle les géants industriels tels la Royal Dutch Shell, les industries chimiques impériales, la banque Lloyds de Londres, Unilever, Barclays, Lonrho, Rio Tinto Zinc, BHP Billiton et la branche DeBeers anglo-américain. Le club domine la distribution mondiale de pétrole, d’or, de diamants et de bien d’autres matières premières vitales.[23]

Le Club des Iles donne le capital du Quantum Fund NV de George Soros, qui fît des gains substantiels en 1988-99 après l’effondrement des monnaies en Thailande, Indonésie et Russie. Soros fut un actionnaire principal de la compagnie pétrolière de Georges W. Bush Harken Engergy. Le Club des Iles est dirigé par les Rothschilds et inclut la reine Elisabeth II d’Angleterre et d’autres aristocrates européens et membres de familles royales.[24]

L’entité dépositrice du plus de richesses pour les Rotshschilds aujourd’hui est peut-être la Rothschilds Continuation Holdings AG, une holding bancaire secrète, basée en Suisse. Vers la fin des années 1990, les tenants de l’empire global Rothschild étaient les barons Guy et Elie de Rothschild en France et Lord Jacob et Sir Evelyn Rothschild en Grande-Bretagne.[25]

Evelyn était le président de la revue “Economist” et un directgeur de DeBeers et IBM GB.

Jacob fut derrière la campagne d’Arnold Schwarzenegger pour les élections de gouverneur de Californie. Il prît contrôle des parts de Khodorkovsky avec Yokos Oil juste avant que le gouvernement russe ne l’arrête. En 2010, Jacob rejoignit Ruppert Murdoch dans un partenariat d’extraction pétrolier en Israël par Genie Energy, une compagnie subsidiaire de IDT Corporation.[26]

Quelques mois plus tard, Sarah Palin s’aloua les services de l’ex-PDG de IDT comme chef de personnel.[27]

Sarah Palin est-elle le choix de Rothschild pour 2012 ?



Article original en anglais : The Federal Reserve Cartel: Freemasons and The House of Rothschild publié le 2 juin 2011.

Traduction par Résistance 71.



Notes

[1] The Temple & the Lodge. Michael Bagent & Richard Leigh. Arcade Publishing. New York. 1989. p.259

[2] Ibid. p.219

[3] Ibid. p.253

[4] Ibid. p.233

[5] The Robot’s Rebellion: The Story of the Spiritual Renaissance. David Icke. Gateway Books. Bath, UK. 1994. p.156

[6] Democracy for the Few. Michael Parenti. St. Martin’s Press. New York. 1977. p.51

[7] Fourth Reich of the Rich. Des Griffin. Emissary Publications. Pasadena, CA. 1978. p.171

[8] Ibid. p.173

[9] Rule by Secrecy: The Hidden History that Connects the Trilateral Commission, the Freemasons and the Great Pyramids. Jim Marrs. HarperCollins Publishers. New York. 2000. p.68 [10] The Secrets of the Federal Reserve. Eustace Mullins. Bankers Research Institute. Staunton, VA. 1983. p.179

[11] Human Race Get Off Your Knees: The Lion Sleeps No More. David Icke. David Icke Books Ltd. Isle of Wight. UK. 2010. p.92

[12] Marrs. p.212

[13] Idid. p.139

[14] Ibid p.141

[15] Icke. The Robot’s Rebellion. p.114

[16] Ibid. p.181

[17] Rothschild: The Wealth and Power of a Dynasty. Derek Wilson. Charles Schribner’s Sons. New York. 1988. p.178

[18] The House of Rothschild. Niall Ferguson. Viking Press New York 1998 p.28

[19] Marrs. p.215

[20] Ibid

[21] “What You Didn’t Know about Taxes and the Crown”. Mark Owen. Paranoia. #41. Spring 2006. p.66

[22] Marrs. p.63

[23] “The Coming Fall of the House of Windsor”. The New Federalist. 1994

[24] “The Secret Financial Network Behind ‘Wizard’ George Soros”. William Engdahl. Executive Intelligence Review. 11-1-96

[25] Marrs. p.86

[26] “Murdoch, Rothschild Invest in Israeli Oil Shale”. Jerusalem Post. November 22, 2010

http://www.globalresearch.ca/PrintArticle.php?articleId=25179 Page 6 of 7

The Federal Reserve Cartel: Freemasons and The House of Rothschild 6/9/11 11:48 AM

[26] “Murdoch, Rothschild Invest in Israeli Oil Shale”. Jerusalem Post. November 22, 2010

[27] “Sarah Palin hires chief of staff for PAC », Huffington Post. February 2011

Articles de Dean Henderson publiés par Mondialisation.ca

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