La constellation d'orion est la constante de l'orientation des pyramides du monde: les pyramides Azteques , Mayas , chinoises, boniaques ainsi que celle de Gizèh sont géographiquement situées comme le sont les trois étoiles du baudrier d'Orion par rapport à la Voie Lactée et que deux autres pyramides, au nord et au sud du site, correspondent exactement aux étoiles Bellatrix et Saiph d'Orion. Exactement comme les pyramides du site de Gizèh!...
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pyramides de gizeh
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Chine pyramides à Xian
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Pacifique sud
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Découverte d'une pyramide en Indonésie plus grande que celles de Gizeh !
Le mont Sadahurip à Garut, à l'ouest de Java, appelé "la pyramide de garut", est actuellement en train d'être examiné par des équipes d'archéologues pour voir s'il ne serait pas en fait une structure humaine. Surprise, la science penche dans ce sens:
En utilisant des instruments géoélectriques afin de mesurer la résistance des différentes couches géologiques, ils ont déterminé qu'effectivement cette structure ne pouvait pas être de formation naturelle. Un relevé 3D de la topographie locale supporte également l'hypothése humaine.
Les analyses au Carbone 14 révélent que la terre daterait de 6 000 avant Jc alors qu le sol plus profonfd est quant à lui daté de 7 500 avant JC. Preuve irréfutable !
Nous allons de surpirse en surprise:
Avant que les archéologues ne se mettent au travail, ils ont pénétré différentes excavations et ont trouvé un certain nombre de roches couvertes d'écritures. Exceptionnel ! WikiStrike vous les présentera bientôt...
Les calculs montrent que cette pyramide est plus grande que celles du plateau de Gizeh , la hauteur étant estimée à au moins 200 m et aurait été construite vers 10 000 avant JC, à peu près à la même période que le site de Göbekli Tepe, en Turquie, la plus anciennepreuve de civilisation au monde à ce jour.
La Deutsche Orient-Gesellscaaft (DOG) du professeur Bonatz , actuellement à la tête des recherches, va rencontrer Stephen Oppenheimer de l'université d'Oxford afin d'accéder à des fonds et ainsir accélérer les fouilles et déterminer la validité des récentes trouvailles.
Des surprises restent donc encore à venir...
Une gigantesque pyramide découverte au fond de l'océan Atlantique?
Une découverte archéologique fascinante sur d'anciens vestiges d'une cité fortifiée antérieure à la construction des pyramides d'Égypte au large des côtes de la Géorgie, à proximité de la côte Atlantique, appâte les archéologues et autres scientifiques du monde entier. WikiStrike sera sur les lieux...
Coordonnées environ 30 ° N, 77 ° W
Pyramide ou une résonnance fantôme ?
À GLORIA système de sonar à balayage latéral à longue portée GLORIA (Asdic d'enclin à long terme géologique)
Une analyse plus précise et plus profonde sera évidemment lancée pour confirmer ou infirmer cette incroyable potentielle pyramide !
Derrière les murs du Complexe de Sapelo
Au large des côtes de Géorgie, il y a quelques semaines, de grandes pyramides auraient été découvertes.
Au sud-est d'Atlanta en Géorgie, au large des côtes, surl'île de Sapelo, les archéologues ont mis au jour les vestiges d'une ancienne ville fortifiée qui est antérieure à la construction d'un grand nombre de pyramides d'Égypte.
Connu sous le nom de "complexe de Sapelo", cette ancienne ville a été construite autour de 2300 avant JC et fut composée de trois quartiers, chacun entouré par des murs circulaires de vingt pieds de hauteur construit à partir de tonnes de coquillages. Une partie des plus anciennes poteries d’Amérique du Nord a également été retrouvée enterré dans les ruines de cette cité perdue.
Le site est énigmatique, parce qu'à l'époque de sa construction, les Amérindiens qui vivaient dans la région étaient de simples chasseurs-cueilleurs et n'avaient pas encore inventés l'agriculture. De nombreux chercheurs croient que l'agriculture est une condition sine qua non pour la civilisation. Alors comment est-ce possible ? Comment ont-ils pu bâtir de pareilles enceintes ? Et pourquoi cette poterie sans le bénéfice de l'agriculture ?
Une réponse à ce paradoxe semble d’intérêt: un peuple déjà civilisé serait arrivé sur les côtes de Géorgie. Mais dans ce cas, qu'est-il donc devenu ?
Les pyramides de coquillages de Sapelo Island
Les archéologues ont montré que les premiers habitants du Nouveau-Monde ont construit d'impressionnants complexes architecturaux (cf: Poverty Point: richesse préhistorique des Amérindiens) composés de buttes de terre ou d'argile. Les monticules ou les anneaux de fortifications étaient parfois constitués d'un amas de coquilles (d'huîtres, de conques, de palourdes et de moules).
Ce type de structures s'est développé dès 3500 avant J.C. sur les rives de l'océan Atlantique et sur les côtes du Golfe du Mexique. On en trouve également au Pérou, en Colombie, ainsi que dans les îles Caraïbes et au Japon.
Aux États-Unis, la plus ancienne ceinture de coquillages connue est celle de Tick Island, près de Jacksonville en Floride. Il en existait sans doute d'autres, peut-être plus vieilles, mais elles ont disparu. Les îles de la côte Atlantique Sud sont en effet soumises à une forte érosion, liée aux violentes tempêtes et raz de marée. L'une des plus impressionnantes structures est celle de Sapelo Island en Géorgie. La construction de ce complexe semble avoir débuté vers 2500 avant notre ère. L'île a révélé plus de 200 buttes circulaires en coquillages dont les dimensions varient entre 2 et 100 mètres de diamètres. Les plus larges ont été édifiées vers -1200 mais les Indiens ont continué d'en construire de plus petites jusqu'au 17ème siècle. Les premiers explorateurs français ont notamment rapporté que les Indiens Timucua de Floride vivaient en communauté dans des sortes de forteresses circulaires. Jacques Le Moyne de Morgues (1533 – 1588), membre de la seconde expédition de Jean Ribault dans le Nouveau Monde, en a fait plusieurs dessins.
Deux grandes théories ont été avancées au sujet de ces pyramides de coquillages. D'aucuns pensent qu'elles sont le résultat d'un usage pratique: les structures auraient été édifiées par une accumulation de déchets. Certaines sont consolidées par des arrêtes de poissons ou des os de mammifères comme le cerf ou le raton laveur. Néanmoins, de nombreux archéologues sont persuadés que l'édification des monticules est liée à un rituel cérémoniel. Selon eux, la forme circulaire des édifices ne peut être qu'intentionnelle. Par ailleurs, les chercheurs ont découvert des vestiges de foyers qui tendent à prouver qu'ils étaient situés au sommet des buttes ou au centre des anneaux. On sait également que beaucoup de peuples côtiers ont construits des maisons sur des buttes de terre, ou de coquilles plus petites, afin de les protéger des inondations.
Des analyses récentes, basées sur les résidus alimentaires trouvés sur les sites des îles de St. Simons et de Sapolo, ont permis de déterminer qu'un groupe d'individus occupaient régulièrement les lieux, si ce n'est toute l'année. Il est difficile d'évaluer la population mais les chercheurs ont établis une fourchette d'une vingtaine à plusieurs centaines d'individus. A Sapolo, les archéologues ont exhumé les débris des plus anciennes poteries d'Amérique du Nord et émettent l'hypothèse qu'il pourrait s'agir de la première colonie permanente. Les habitants de Sapolo seraient peut-être les ancêtres des Indiens Timucua qui contrôlaient une vaste zone, depuis le sud de la Géorgie jusqu'au nord de la Floride, lorsque les Européens ont débarqué dans la région. Les études linguistiques ont montré que ce peuple était originaire d'Amérique du sud et qu'il aurait sans doute migré depuis le Venezuela jusqu'aux côtes de Floride et de Géorgie.
La pyramide de Falicon (France) 200 ans après...
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LA DECOUVERTE
En ce début de printemps 1803, Domenico Rossetti, avocat siennois de passage dans la région, apprend l'existence d'un trou très profond vers le sommet de la montagne d'où s'échappent des chauves-souris (Ratapignate en niçois) à la tombée du jour. Arrivée sur les lieux un rayon de soleil lui révèle les profondeurs du gouffre. Rossetti, transporté par cette vision, est frappé d'une "stupeur inexprimable", Il décide aussitôt de descendre et c'est ainsi qu'il découvre la grotte... Lire la suite
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Les incroyables pyramides sous-marines cubaines
En 2001, une équipe de chercheurs canadiens a travaillé sur la côte ouest de Cuba, afin de vérifier les dires de premiers explorateurs partis en 2000 dans la même zone et qui aurait découvert une ville engloutie depuis des milliers d’années. Et l’incroyable s’est produit: La cité existe !
Les ruines d’une ville engloutie ou « l’Atlantide cubaine » ont pu être localisées grâce à des sonars sophistiqués capables de détecter des structures en pierre jusqu'à 650 pieds de profondeur. Les premiers relevés ont suscité un énorme intérêt dans la communauté scientifique, qui a bien vite mis la découverte sous silence.
Les premiers explorateurs ont repéré le complexe il y a déjà 12 ans, quand ces chercheurs ont balayé la zone par hasard. Les radars ont alors mis à jour une unité sophistiquée composée de plusieurs pierres disposées de façon symétrique.
Zelitsky, ingénieur russe, ancienne espionne de la marine soviétique pendant la guerre froide, et son mari, Paul Weinzweig, un chercheur en "Communications numériques avancées" (photo ci-dessous à gauche), ayant des bureaux au Canada et à Cuba, ont parcouru et exploré avec leur navire de recherche "Ulises " les profondeurs au large du cap Saint-Antoine, au nord-ouest de Cuba, dans le but de récupérer d’éventuelles épaves, quand ils se sont rendus compte que sous leur coque dormait un trésor archéologique à la fois mystérieux et incroyable.
La structure qu’ils découvrent est un complexe urbain.
Pour le vérifier, ils envoient alors un robot bourré de technologie. Ce drone, un Remotely Operated Vehicle (ROV), est capable de prendre des photos et de recueillir des échantillons de roches à de grandes profondeurs.
Pour accompagner l'expédition, des experts locaux les accompagnent, y compris le Dr Manuel Iturralde, géologue, chercheur au Muséum d'Histoire Naturelle de La Havane.
Les sous-marins envoyés confirment la présence d'énormes blocs de granit très lisse !
Selon certains de ces chercheurs, on parle ici de pyramides !
L’on y trouve aussi d’incroyables alignements circulaires.
Après analyse des échantillons et des images fournies par le robot lors des plusieurs expéditions de 2001, Iturralde révèle que ces structures se trouvaient jadis hors de l'eau et que différentes explications géologiques parlent dans leur composition. Néanmoins, si le complexe paraît naturel, leur forme et la disposition peuvent avoir été modifiées par l’homme.
Les structures remonteraient à 6000 ans, une date qui précède les grandes pyramides d'Egypte de 1500 ans, officiellement. « C'est vraiment une découverte merveilleuse que ce centre urbain", a rapporté l'Explorateur Zelitsky à Reuters.
Des corrélations sont probables avec « le déluge » rapporté par la Bible, sur lequel il est dit que notre planète a été dévastée par de fortes inondations il y de cela plusieurs milliers d'années.
À ce jour, cette merveille est inconnue du grand public, presque oubliée par les médias. Le chercheur Cossano Carlo Alberto va plus loin, pour lui, les ruines submergées de Cuba peuvent réécrire l'histoire de la civilisation humaine, et même aider à percer les mystères concernant son origine.
Le silence est de mise autour de cette découverte, et pour cause, les énormes structures pyramidales sont similaires en taille à celles du plateau de Gizeh, en Egypte. Sous l’eau e trouve aussi plusieurs sphinx, des pierres disposées comme Stonehenge ainsi qu’une écriture gravée sur les pierres. Pourquoi tout ceci a été réduit au silence ?
Photos de la grotte de l'île de la jeunesse cubaine : un symbole d'étoile identique à celui observé dans les fonds marins à Cuba © 2001 par Zelitsky
Avant la découverte officielle en 2 000, Le gouvernement américain avait découvert l'endroit présumé pendant la crise des missiles à Cuba dans les années soixante, un sous-marin nucléaire ayant alors sondé la surface, pris des photos, et fait des mesures. Ils ont immédiatement créé une zone Off Limits et mis le site archéologique sous contrôle, pour le protéger de la flotte russe.
Une source de l'armée à Montego Bay, dévoile que les USA travaillent toujours sur le site et a depuis 40 ans récupérer nombre d’objets et d’instruments (certains fonctionnent encore).
Ce bassin de moins de 10.000 ans est très bien conservé. Une autre cité a d’ores et déjà été découverte à 250 km au sud de la côte des Açores, découverte confirmée par le célèbre auteur Charles Berlitz.
Dans le numéro de Septembre-Octobre américain ancient Amerca, on peut lire un court article intitulé «US Navy Atlantis Cover-up?". Il y est dit que le 7 septembre 2001, un escadron Espagnol, à la recherche de pétrole, s’est arrêté à 250 km au sud-ouest des Açores.
L'escadron était équipé de deux submersibles de recherche. Lors de la plongée, ils y ont découverts une sorte de long mur de 90 km avec un temple central soutenu par trois plateformes de neuf piliers d‘environ 3 mètres de diamètre supportant un toit plat en pierre d'environ 20 mètres de large et 30 de long. On peut y voir aussi des restes de cinq canaux circulaires avec des ponts, ainsi que quatre anneaux, et des installations comme un temple au milieu.
Cet endroit se trouve à 2800 pieds de profondeur dans la fosse médio-atlantique. Selon les chercheurs, quand ils ont essayé d'envoyer des images photographiques du site archéologique, leurs signaux ont été bloqués par un navire de l'US Navy qui patrouillait à proximité.
http://orion.creation.free.fr/orion1.html