Energie & Information
Les ondes c'est donc formidable, car elles sont porteuses d'énergie. Mais que faire avec cette énergie? Ce sont les fréquences qui vont permettre de le déterminer.
Les ondes apportent l'énergie; les fréquences apportent l'information. Energie et information, une indissociable paire. Mais elles ne doivent pas être confondues.
C'est la même chose pour l'intuition et la pensée. L'intuition (ressenti) apporte la Force, tandis que la pensée lui donne une direction. C'est comme, sur un voilier, la voile qui capte le vent et agit donc de façon motrice, tandis que le gouvernail lui donne au bateau la direction à suivre. Les deux sont indispensables, car un voilier sans gouvernail serait indirigeable, tandis qu'un bateau avec un gouvernail mais sans voile ni autre force motrice n'avancerait pas.
L’énergie, c’est la puissance de guérison disponible pour un être humain, l’information c’est la direction à prendre pour y parvenir. L'on n'arrive à rien, si l'on part dans la bonne direction sans "carburant", ou bien si, même avec une grande puissance disponible, l'on prend la mauvaise direction. Et l'essentiel de la Force disponible pour l'entretien et la santé ne vient pas de la nourriture ingérée ou de même l’air inspiré, mais bien de la Lumière et des ondes invisibles qui environnent les êtres humains. Il faut donc être à même de les capter, puis - telle une loupe focalisant les rayons du Soleil - les concentrer au mieux à chaque fois qu'elles peuvent être utiles à l'obtention du résultat recherché.
Comment, en fonction de chaque besoin, pouvoir disposer d'ondes scalaires? Pour cela il faut, tout simplement, un générateur d'ondes scalaires. Mais un tel appareil existe-t-il? La réponse est oui. C'est une invention du professeur allemand Konstantin Mehl, lequel se présente lui-même comme le digne continuateur de Nikola Tesla.
Utilisation du générateur d'ondes scalaires
Un appareil capable de générer des ondes scalaires crée un champ. Par des fréquences l'on module le champ en lui donnant des propriétés spécifiques, en fonction des besoins tout aussi spécifiques de l'objectif à atteindre, et donc de la personne à soigner.
Avec le générateur d'ondes scalaires SWD du Professeur Konstantin Mehl un champ est créé entre les 2 antennes de l'appareil, l'antenne émettrice et l'antenne réceptrice. Une première utilisation consiste à y placer, là où se concentre l'énergie générée par l'appareil - laquelle, en fonction de la loi universelle de l'attraction du genre semblable, attire aussi l'énergie libre de même genre en provenance de l'environnement - des huiles essentielles, des oligo-éléments, des vitamines, ou bien des extraits de tissus de cellules jeunes (végétales ou animales); tous ces produits, et bien d'autres, d'un point de vue quantique, ne sont rien d'autre que des informations.
Le son est lui-même une information. Et cette information peut, par exemple, être contrée par une contre-information. C'est ainsi que pour, par exemple, rendre le bruit d'un hélicoptère complètement inaudible l'on procède de la manière suivante: L'on enregistre, tout d'abord, le son normalement émis par l'hélicoptère grâce à des microphones placés à l'extérieur de l'appareil, puis l'on décale exactement le signal obtenu de 180 degrés, afin de pouvoir ensuite le renvoyer à l'extérieur, à l'aide de haut-parleurs générant en principe un son tout aussi puissant que celui normalement produit par l'appareil. Le résultat? Ces deux ondes sonores, chacune en elle-même très forte à l'oreille, annulent mutuellement leurs effets, générant alors un "bruit silencieux"!
Le bruit est certes devenu inaudible, mais cela ne veut pas dire pour autant que les ondes sonores émises soient devenues sans aucun effet. Pour bien comprendre les effets des ondes scalaires sur l'être humain il faut se rendre conscient le fait que, même si dans ce double tintamarre ainsi provoqué, nous ne sommes pas capables d'entendre de bruits, les puissantes ondes sonores nous atteignent tout pareillement. Notre conscience ne perçoit pas de son, mais notre cerveau, lui, perçoit quand même qu'il existe autour de lui de puissantes vibrations qui frappent notre corps terrestre, sans pour autant être perceptibles par nos oreilles physiques. C'est ainsi que l'on peut énerver ou calmer des gens avec des sons imperceptibles.
C'est un possible redoutable effet des ondes scalaires: Agir à distance sur des êtres humains de façon négative terriblement efficace sans que ceux-ci ne puissent se douter de rien!
Si ce n'est que des façon bénéfique cela n'est pas grave, mais le problème est que les deux usages sont tout à fait possibles. Tout dépend de l'intention de l'émetteur.
Parmi les applications bénéfiques des ondes scalaires:
L'on peut aussi faire une acupuncture d'avant-garde lorsqu’on dispose d’énergie – sous forme d’ondes spirales - générée en plus. L'on peut aussi remplacer les aiguilles d'acuponture par des aimants, qui jouent alors le rôle d’inducteurs locaux de champs; l’association d’aimants fixes placés sur le corps et d’un champ scalaire variable est très puissante.
Mais - ce qui nous occupe aujourd'hui et semble d'une importance déterminante - il est désormais aussi possible d'utiliser les fréquences de Royal Rife comme modulation de l’onde porteuse de l’appareil de Konstantin Meyl.
L'on peut ainsi inhiber toutes sortes de micro-organismes pathogènes dans le corps, par l'action des ondes scalaires modulées par les fréquences de Rife associées à des huiles essentielles sélectionnées avec soin: Lyme, herpès, Ebv, HpV, etc … Bien sûr, il convient de répéter les séances jusqu'à l'obtention du résultat; l’utilisation du test de salive avec le Synchromètre (Méthode Clark) ou des nosodes permet de cibler encore plus précisément le virus ou la bactérie à éliminer.
L'environnement de tout un chacun est donc rempli d'énergie scalaire (neutrinos: 60 milliards par seconde et par centimètre carré). C'est le fameux "bruit de fond".
Afin de renforcer cette captation de l’énergie de l’environnement, le Professeur Konstantin Meyl a donc inventé un appareil électronique capable de produire un vecteur scalaire avec une tension très faible, ainsi qu’une onde porteuse fixe d'environ 7 MHz (exactement 6,78 MHz), le SWD. Celle-ci peut être modulée sur l'antenne réceptrice par un signal perceptible pour un patient. Cela peut être une musique harmonieuse (Wolfgang Amadeus Mozart), un cocktail de molécules issues d’une plante (huiles essentielles), un extrait de tissu ou d'organe, out toutes sortes d'autres produits.
Le sujet traité reçoit alors des fréquences harmoniques de cette modulation, uniquement portées par les ondes scalaires.
Ce générateur d’ondes scalaires agit comme un véritable "magnétiseur", disponible à tout moment, et constitue un oscillateur à longueurs d’ondes multiples travaillant sous un champ électrique très faible (2 Volts) capable d’une grande richesse informationnelle.
Il est aussi possible grâce à ce type de générateur d’imprimer dans l’eau des informations biologiques (par exemple, des informations inhibant la réplication des cellules cancéreuses). C'est donc d'un très grand intérêt. Bien évidemment, les résultats à attendre dépendent tout autant de la qualité et de la pertinence des informations transmises à un sujet donné que de leur innovant mode de transport!
De nombreux cas, tant chez l’être humain que chez l’animal ou bien chez la plante, montrent que le champ scalaire renforcé en lieu précis, permet de recharger un être vivant, être humain ou animal, avec une énergie qu’il ou elle avait perdue. Et ensuite de ré-informer ce même être vivant de façon répétée par ce médium universel qu’est l’eau, laquelle - n’en déplaise aux détracteurs - est bien capable de mémoriser puis de restituer les informations qu'on lui transmet.
Applications prometteuses
Un expérience du Professeur Konstantin Mehl a été réalisée par lui à Heidelberg en Allemagne, puis reproduite par des équipes indépendantes dans deux autres pays, l'Espagne et l'Italie. L’expérience est la suivante: une culture de cellules cancéreuses standardisée de type HEla est placée sur l’antenne réceptrice de l’appareil; il convient ensuite d'y ajouter un poison cellulaire, par exemple de l’eau oxygénée, qui va rapidement tuer ces cellules expérimentales par suroxydation. En 10 minutes, leur nombre passe de 3 millions à 0.7 million, puis après 24 h, à zéro. Dans le même temps, au milieu de l’espace créé entre les 2 antennes, sont placées à nouveau 3 millions de cellules cancéreuses Hela, mais cette fois-ci sans ajout d’aucun poison! Que se passe-t-il alors? Il se trouve que les cellules cancéreuses meurent dans les mêmes conditions, car, après 10 minutes, elles ne sont plus que 1 million, puis, comme les premières, disparaissent en 24 heures ... alors que, dans le même intervalle de temps, des cellules témoins, sans poison, mais sans énergie scalaire spécifique, ont bien diminué elles aussi, mais sont encore 2,6 millions après 10 minutes et toujours 1,5 million après 24 heures.
La conclusion est que le message ondulatoire émis par des cellules cancéreuses mourantes peut être transmis par la voie d’un champ scalaire à des cellules cancéreuses en pleine prolifération et ainsi inhiber leur croissance, comme le ferait une action directe utilisant la radiothérapie ou la chimiothérapie. A la différence que, dans le cas des cellules placées sous champ scalaire, l’action est très spécifique de cellules cancéreuses d’un seul type vers leurs homologues de la même lignée, sans aucune préjudiciable interférence avec les cellules saines.
De quoi envisager donc une "thérapie scalaire" très précise et sans aucun effet secondaire négatif, pouvant s’appliquer à n’importe quel type de tumeur: il suffit alors de prélever un fragment d’une tumeur cancéreuse, d’en réaliser une culture et de la mettre encontact avec un produit inhibiteur spécifique (enzyme, extrait de plante anti-tumorale, etc...) de façon à ne pas toucher les cellules saines du corps. Il convient alors de placer la personne à soigner et porteuse de tumeurs, voire de métastases, entre les deux tours du SWD du Pr Konstantin Meyl. Et constater ensuite la régression des tumeurs chez la personne elle-même.
Les maladies de dégénérescence peuvent ainsi, désormais, être soignées, d’une part, par l’apport d’énergie (ondes scalaires) et d’autre part par des informations spécifiques (tissus, vitamines, minéraux, anti-oxydants, oligo-éléments, huiles essentielles, enzymes, etc.) qui vont être transportées par les ondes scalaires. Là est l'avenir.
Il est aussi possible, désormais, de soigner avec succès en utilisant les fréquences de Rife, mises au point par lui-même dans les années trente.
Ondes Scalaires et Fréquences de Rife
Dans les années mille neuf cent trente du XXème siècle le chercheur américain Royal Rife déclara - "rien que cela!" - avoir découvert le moyen de neutraliser toutes les maladies!
Soit dit en passant, guérir toutes les maladies ce fut aussi l'objectif de la chercheuse canadienne Hulda Clark, exposé, en particulier, dans son ouvrage de base "La Cure de toutes les maladies", mais la thérapie Clark repose sur différentes approches complémentaires, incluant aussi, comme Rife, la thérapie par les fréquences (en ce cas, zapping) mais en utilisant ses fréquences propres, découvertes à l'aide de son synchromètre.
En ce qui concerne Rife, il travaillait avec un tube à plama de son invention, lequel, à son insu (ces ondes n'étaient pas encore connues et décrites à son époque), produisait déjà des ondes scalaires. Ceux qui ont repris les travaux de Rife ont conçu de nouvelles machines de Rife, lesquelles utilisent toujours un tube à plasma, mais, généralement ce tube n'est pas assez grand pour pouvoir produire un champ d'énergie scalaire suffisant pour pouvoir complètement y plonger la personne à soigner.
Et c'est là qu'intervient le SWD du professeur Mehl! En effet, il est maintenant possible d'affirmer que, de nos jours, le SWD du Pr Meyl est le seul appareil de bio-résonance existant dans le monde à pouvoir démontrer la réalité d’une résonance entre ses 2 antennes sphériques, sur la base d’une onde porteuse de nature longitudinale. De même, la résonance entre l’antenne réceptrice et la personne à soigner est, elle aussi, prouvée et prouvable. C’est sur cette antenne réceptrice qu’il est désormais possible d’appliquer les fréquences de Rife, de façon à moduler l’onde porteuse du SWD au niveau de la bobine plate de Tesla, apparente sur cette antenne.
Les fréquences de Rife ont été définies par lui afin de lutter efficacement contre les micro-organismes (virus, bactéries, champignons, levures) présents dans la plupart des maladies aiguës ou chroniques. C'est le point commun fondamental entre Hulda Clark et Royal Rife, à la différence que la thérapie selon Hulda Clark s'efforce aussi de lutter contre les parasites plus gros que les microbes, tels les ténias, ascaris, douves (vers plats), oxyures, etc., également fortement impliqués, selon elle, dans de très nombreuses pathologies, sinon toutes.
Il a été prouvé que, par le phénomène de la résonance (les membranes des parasites entrent en résonance avec les fréquences envoyées dans le corps, de sorte que les parasites et micro-organismes finissent par exploser) certaines séquences très précises de fréquences inhibent, voire détruisent complètement, que ce soit in vitro (dans un laboratoire) et in vivo (dans le corps humain), les virus et les bactéries, mais aussi les levures, les champignons et les autres parasites pathogènes, sans impact négatif sur les tissus sains et la flore (telles les "bonnes bactéries" intestinales) utile au bon fonctionnement du corps.
A son époque Royal Rife avait inventé un microscope spécial, lui permettant de visualiser les micro-organismes sous leur forme vivante; à l’aide de son microscope spécial, il pouvait donc assurément vérifier que les microbes étaient bien morts après avoir subi le traitement infligé à eux par les ondes modulées de son tube à plasma. Dans le cas de la méthode Hulda Clark c'est encore l'utilisation du Synchromètre qui permet de savoir s'il y a encore des pathogènes vivants présents d'une espèce donnée, que ce soit dans un corps humain ou ailleurs.
Il existe, de nos jours, sur Internet, des bases de données très variées permettant un accès direct et gratuit aux fréquences inhibitrices des microbes pathogènes, que ce soit celles de Royal Rife ou bien celles de Hulda Clark (que l'on trouve aussi dans son livre "La Cure de toutes les maladies" ainsi que dans son "Manuel du Synchromètre"). A l’aide d’un simple ordinateur PC de genre courant et d’un générateur de fréquences approprié tel le M5 accessible sur le site spooky2.com), il est maintenant possible de recueillir ces fréquences et de les transmettre à l’antenne réceptrice du SWD en tant que signaux de modulation de l’onde porteuse – garantie comme étant de nature scalaire – de cet appareil. Ainsi, toute personne se trouvant dans le champ émis par le SWD peut bénéficier de ces modulations spécifiques, précisément sélectionnées dans le but de pouvoir inhiber tel ou tel micro-organisme pathogène.
Du côté Dr Clark l'on trouve aussi un générateur de fréquences permettant de générer et d'administrer (pour l'administration des fréquences, une fois celles-ci enregistrées, un simple Zappeur, à condition qu'il soit pourvu d'un lecteur de carte mémoire approprié, peut suffire) toutes les fréquences désirées. Ce générateur est autonome mais n'administre pas d'ondes scalaires. Toutefois, pour qui souhaite administrer les fréquences de la Doctoresse Clark en les associant aux ondes scalaires cela est aussi possible grâce au fait que les fréquences Clark sont aussi disponibles dans le système Spooky 2.
Dans les différents cas de figure chaque élément isolé n'est pas forcément suffisant pour soigner efficacement, mais la judicieuse combinaison de plusieurs permet souvent d'atteindre les résultats escomptés.
En plus du générateur d'ondes scalaires SWD, unique au monde, il faut donc, pour des résultats optimaux, pouvoir aussi utiliser des fréquences de Rife appropriées, et si possible de manière simple et accessible. Ceci est maintenant possible avec le système de générations de fréquences de Rife Spooky 2, dispositif expérimental, mis au point par John White et dont il existe maintenant (depuis le 1er avril 2015) aussi un mode d'emploi téléchargeable en français.L'association du SWD et de Spooky 2 ouvre de nouvelles perspectives, des plus exaltantes! Le but est de fournir une source d'énergie assimilable par le corps, à la fois douce et pénétrante, associée à des fréquences - quel que soit le type utilisé, Rife, Clark ou autre - fatales aux pathogènes et donc, à ce titre, guérisseuses.
La médecine électromagnétique a connu son apogée en occident, de 1880 à 1920, raconte Jean-Pierre Lentin. Son déclin a selon lui commencé vers 1910 quand l’American Medical Association, sous l’influence du baron du pétrole et de la pharmaceutique John D. Rockefeller, a interdit aux médecins de pratiquer les médecines énergétiques. C’est une sommité canadienne des méfaits de l’électrosmog, le professeur Magda Havas, qui enseigne et fait des recherches sur le sujet à l’Université Trent à Peterborough, en Ontario, qui m’a parlé de Victor Spektor et des bienfaits de sa thérapie par les CEM très ciblés : « Toutes les personnes que je connais qui l’ont consulté ont bénéficié de son approche thérapeutique, dit-elle. Dans le cas d’un enfant dans ma famille qui souffrait d’une phobie grave, l’amélioration fut rapide et miraculeuse après seulement trois traitements. »
Biorésonance 101
Selon Victor Spektor, la thérapie par biorésonance stimule nos cellules pour combattre notamment la fatigue, l’asthme, l’arthrite, la fibromyalgie, la colite et autres problèmes gastriques, les problèmes neurologiques, circulatoires, métaboliques, et hormonaux. Elle serait particulièrement efficace contre les problèmes cutanés qui affectent souvent les enfants souffrant d’allergies alimentaires. « Après quelques semaines de thérapie par biorésonance, la plupart de ces enfants verront leur peau guérir sans crème à la cortisone et ils pourront à nouveau manger tout ce qu’ils aiment », dit-il.
L’appareil de biorésonance BICOM 2000.
La biorésonance diffère de la « thérapie millimétrique » utilisée par les médecins russes, qui font appel aux très hautes fréquences (micro-ondes de 30 à 300 gigahertz). Victor Spektor utilise l’appareil BICOM 2000 fabriqué depuis 1987 en Allemagne par Regumed. Cet appareil émet des ondes de basses fréquences variant entre 10 hertz à 150 kilohertz. « Nous n’électrifions pas le corps, dit-il. L’onde transporte plutôt une information à la cellule, comme en homéopathie. »
Dans son livre, Jean-Pierre Lentin explique que le mouvement des thérapies par biorésonance « n’a pas vraiment droit de cité au sein de la médecine conventionnelle, mais n’a rien de souterrain non plus. Il bénéficie en Allemagne du statut légal particulier accordé aux médecines alternatives. Les “praticiens de santé” (Heilpraktiker) possèdent leurs propres instances régulatrices et les appareils sont officiellement homologués. »
D’ailleurs, chaque page du site du fabricant allemand regumed.de l’affirme : « Tout comme l’homéopathie, l’acupuncture et d’autres méthodes de thérapie complémentaire, la biorésonance Bicom est une forme de médecine régulative. Dans la médecine complémentaire, la thérapie de biorésonance Bicom est reconnue comme une méthode efficace et éprouvée. Dans la médecine conventionnelle, cependant, elle n’a pas fait l’objet de recherches scientifiques et n’est, par conséquent, pas encore approuvée. » S’il en est très peu question dans des revues scientifiques révisées par des pairs, comme dans cet article signé par des médecins polonais et publié en avril 2004 dans le Journal of Complementary Medicine, le BICOM 2000 a fait l’objet de diverses communications scientifiques. Par exemple, un article fait état d’un taux de succès de 93 % dans le traitement de l’asthme par l’hôpital chinois Jinan pour enfants, et un second du même auteur concerne les allergies cutanées (taux de succès : 89,9 %). Par contre, les études sur la biorésonance citées par Wikipédia « n’ont pas démontré d’effet supérieur à l’effet placébo ».
Mécanisme d’action
Cette médecine énergétique détecte et utilise l’information véhiculée par les diverses fréquences électromagnétiques produites par le corps. Résonner signifie « vibrer en harmonie ». Le but de la thérapie par biorésonance est de restaurer l’harmonie électrique du corps. Les signaux électriques subtils qui servent à la communication intercellulaire sont en fait de faibles émissions lumineuses ou biophotons. Toutes nos cellules émettent et reçoivent continuellement des biofréquences, des oscillations très précises mesurables dans le corps et autour du corps. Générées par l’ADN (l’acide désoxyribonucléique), elles déclenchent et témoignent des procédés chimiques cellulaires qui assurent notre équilibre biologique.
Les cellules en santé émettent des signaux harmonieux. © Regumed
Selon Regumed, le BICOM 2000 est utilisé par plusieurs professionnels de la santé, dont des médecins et des vétérinaires, dans près de 60 pays. Voici comment le fabricant explique son fonctionnement. Les cellules en bonne santé émettent des signaux harmonieux qui traversent les pores de leurs membranes et résonnent librement avec ceux des autres cellules. En somme, elles émettent des oscillations, ou vibrations harmonieuses, et elles répondent harmonieusement à celles qu’elles reçoivent.
En présence d’éléments pathogènes, une distortion nuit à la qualité de la communication entre les cellules. © Regumed
Or ces signaux peuvent être affectés par des éléments pathogènes comme les polluants chimiques, les bactéries, virus, parasites et champignons, les rayonnements ionisants ou non ionisants, les amalgames au mercure et autres matériaux dentaires nocifs, les allergènes, les émotions traumatisantes, etc. Ces agresseurs déclenchent de l’interférence électromagnétique sous forme de fréquences pathogènes qui créent une foule de déséquilibres non spécifiques. Cette interférence nuit à la performance cellulaire et peut engendrer une fatigue chronique et ultimement des changements organiques et des symptômes connexes. Le signal déformé émis par une cellule endommagée est une combinaison du signal harmonieux d’origine et de la distorsion qui est la trace ou la signature énergétique laissée par un champignon, une bactérie ou un autre élément pathogène. Le BICOM 2000 mesure ce signal combiné à la surface de la peau grâce à une électrode que l’on tient dans la main.
Le BICOM 2000 permet aux cellules de repousser les éléments pathogènes en retrouvant leur harmonie énergétique. © Regumed
Après avoir syntonisé la bonne fréquence comme on le fait sur en captant un poste radio, l’appareil renvoie le signal combiné au corps (effet miroir), ce qui a pour effet de déclencher l’autorégulation du corps et de neutraliser les éléments pathogènes. En somme, l’interférence est reprogrammée afin que la cellule puisse retrouver son harmonie. Le BICOM 2000 peut aussi générer des oscillations spécifiques qui stimulent le système immunitaire afin d’aider le corps à guérir. Il « peut effectuer l’analyse du pouvoir rotatoire du sang, les mesures électriques dentaires, les tests de biocompatibilité des remèdes. Le praticien pourra également établir un réglage personnalisé très fin en jouant sur les fréquences, les amplifications, les amortissements des signaux, l’ajout ou non de champs magnétiques pulsés bien caractéristiques à ce système de traitement. »
Le traitement
Chaque séance de biorésonance BICOM dure de deux à trois heures : l’appareil émet des ondes dans la bande 10 Hz-150 kHz durant des millisecondes suivant des programmes qui durent d’une à trente minutes chacun. Les séances sont typiquement hebdomadaires. Chez Victor Spektor, le coût de la première rencontre est de 120 $, ce qui comprend le diagnostic, et par la suite chaque séance coûte 100 $. Le patient est assis et Victor place sur les cuisses, les intestins ou l’estomac un petit « tapis de modulation » rattaché au BICOM 2000, et parfois une électrode dans la nuque. Habituellement, un ou les deux pieds nus sont posés sur une plaque de cuivre rattachée à l’appareil. Ces électrodes d’entrée et de sortie intègrent le corps dans un circuit biocybernétique.
Victor Spektor a aussi étudié « l’analyse biophysique » avec une baguette de sourcier (voir comment il l’utilise dans cette vidéo) pendant deux ans en Allemagne, à l’Institut de médecine régulative de Regumed où il a appris la thérapie par résonance BICOM 2000. À chaque séance, ce test rapide lui permet de déterminer le problème principal manifesté par le corps, qui doit être traité ce jour-là, et de vérifier après coup l’efficacité du traitement. Selon la Dre Natalia Lebedeva, la médecine électromagnétique a l’avantage d’être très peu coûteuse et sans danger. Dans le livre de Jean-Pierre Lentin, publié en 2001, elle affirmait : « Nous sommes certains (…), après une expérience de trente ans en Russie, que [le traitement avec] les ondes millimétriques n’ont aucun effet secondaire nocif, et qu’il n’y a pas de contre-indication à leur emploi. C’est une thérapie non invasive, beaucoup mieux tolérée que les médicaments — et parfois elle agit là où aucun médicament n’aide vraiment. »
Test de sang vivant effectué en 2013 : les globules rouges de Linda Nolan étaient déformés et agglutinés, signe d’une mauvaise santé.
Quant à la thérapie par biorésoance, Regumed affirme également qu’elle est sécuritaire et sans effets secondaires. L’entreprise allemande la déconseille seulement durant le premier trimestre d’une grossesse et si une personne est hémophile ou saigne facilement. Elle recommande aussi d’espacer les traitements de 5 à 7 jours chez les malades chroniques mais affirme que les gens qui sont dans une phase aigüe de certaines maladies peuvent être traitées quotidiennement. Toutefois, chaque personne réagit différemment, et certains patients ont des réactions exceptionnelles, comme Linda Nolan dont le système immunitaire a été surstimulé par la biorésonance, ce qui a temporairement aggravé ses hypersensibilités.
« Amoché pendant des années, mon système immunitaire a rebondi de 180 degrés. Il s’est calmé maintenant et je réalise que les réactions temporaires en valaient la peine. » Elle n’hésite pas à recommander Victor Spektor. « Je n’étais pas une malade facile, car j’avais tellement de problèmes de santé à traiter, mais Victor a continué à travailler avec moi et à développer des programmes qui visaient mes problèmes de santé spécifiques, dit-elle. Je suis très reconnaissante envers lui. Victor va bien au-delà du traitement BICOM de base. Il a développé ses propres protocoles de traitement. L’appareil BICOM 2000 contient 200 programmes de base, mais Victor en a développé 1 200 supplémentaires. Il fait également des tests d’énergie avec une baguette pour déterminer quel programme est nécessaire à un moment précis. »
Après six mois de traitement de biorésonance, en novembre 2014, le sang de Mme Nolan avait retrouvé ses caractéristiques normales.
« Certains hypersensibles sont des cas difficiles comme on en voit une fois sur mille, explique Victor Spektor. Souvent, ils ont acquis des faiblesses génétiques qui les rendent plus susceptibles aux infections qui attaquent l’organe le plus faible, et les infections répétées peuvent causer des dommages permanents. Par exemple, des infections fongiques répétées peuvent attaquer le système nerveux. » Magda Havas explique que la plupart des personnes hypersensibles aux produits chimiques et aux champs électromagnétiques subissent pendant des années un stress continu qui épuise leurs glandes surrénales. « Elles ont besoin de vitamine B12 et de magnésium. Les bains de sel d’Epsom semblent aider certaines d’entre elles. »
Le mot de la fin revient à l’homme d’affaires californien Burton Goldberg, expert en traitements alternatifs du cancer et autres maladies chroniques depuis quatre décennies. L’homme de 85 ans, qui a survécu à deux cancers, consulte Victor Spektor depuis deux ans. « Victor n’est pas parfait, mais c’est un formidable guérisseur, dit-il. Ma petite amie est née avec des allergies à tous les fruits et il les a toutes éliminées. C’est assez formidable. »
https://maisonsaine.ca/sante-et-securite/electrosmog/la-bioresonance-guerir-par-les-ondes.html