Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
rusty james news
rusty james news
  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog

 

90243223_3015402811831487_8561877086778687488_o (1)

3323033

coronavirus-patentes

images (19)

219-2199429_love-heart-beautiful-wallpapers-happy-valentines-day-nature

1025600_652515874786871_1894874949_o


nVskOPKB

téléchargement (100)

universal-biometric-identity-1024x576

91848411

téléchargement (11)

tree_horizon_sunset_128367_5000x2830

f04543b60ef77267e2b31c5f3920fbb0

photo-1542805700-2fadb851b97a

qxJUj0O

 

pIHMc8u

7kKizZj

ZcuYl3V


sea-beach-sunset-boats-red-sky-1080P-wallpaper-middle-size

night-sky-background-7047

sky-wallpaper-38

18557077_1435376306500820_5842715664996553589_n

 

 

798041343248-national-geographic-wallpaper-zealand-photo-waikawau-desktop-bigest-images

Firefox_Screenshot_2017-02-18T13-56-14

16195622_1077703329024709_5740688279216232976_n

sf

 

Pyramides-Gizeh

atlantide-compressor

Ancien-arbre-1

Ancien-arbre-2 - Copie

Ancien-arbre-3 - Copie

h21

h25

h25

h26

h27

SDSDS

SZSDFZFS

ZDZD

931270ecd7_50010171_bohr-heisenberg-aip-niels-bohr-library

don

 

1a686c3b37ddba12f5e282679288047b

62e74d09a526f5250c3c16f5bbb7d342

3a2057e1930aac61c9451db179973253

5aa85f74b15975d75e8a6d4e547b40b0

5c3e0b7842f37a0d63504d0a032ca422

5f6fce1a34d9027bdedb78ef0658a5af

9dbf5fc4a80275b619f44e3e7a8314d2

a37cf9c85664975cf3660c8f21f70899

a96a954487d536bd6f75942a6d02f5b9

a977356a4e04ae0cdaf4c67ca90d1939

ad9ee9f2e4a1d0e83945b78313c60f27

b7e27913185d0679a669ce0f634d95f0

Archives
molecules
5 septembre 2017

Des nano-machines creusent dans des cellules cancéreuses et les tuent en à peine 60 secondes

 

 

nano-machines

 


Ces machines motorisées sont activées par des rayons lumineux et peuvent détruire en creusant dans des cellules en quelques minutes.

Les prix Nobel de chimie 2016 avaient découvert comment créer des nanomachines à partir de molécules, et une autre équipe de scientifiques vient de mettre cette découverte en application. Pour une étude publiée dans la revue Nature, des chimistes de trois universités américaines et britanniques ont créé des nanomachines capables de forer des cellules cancéreuses.

Ces machines sont si petites que cinquante mille d’entre elles collées ensemble seraient environ de la largeur d’un cheveu humain. Chaque nanomachine motorisée est sensible à une protéine particulière (dix spéciments différents ont été crées), et lorsqu’elles sont activées par des rayons lumineux, elle tournent sur elles-mêmes trois millions de fois par seconde, ce qui leur permet de percer une cellule.

Des tests à développer

À Durham University, les chercheurs ont testé leurs machines sur des cellules de cancer de la prostate, et en moins de trois minutes, une de ces nanomachines a pu forer la cellule et la détruire.

«Nous nous rapprochons de notre ambition de pouvoir utiliser des nanomachines activées par la lumière afin de cibler des cellules cancéreuses dans les tumeurs au sein et les mélanomes, y compris celles qui ne peuvent pas être traitées par la chimiothérapie» a expliqué le professeur Robert Pal.

Les chercheurs sont en train d’expérimenter avec ces machines sur des micro-organismes et des petits poissons afin de voir si cela est efficace dans un organisme vivant.

«L’espoir est de passer rapidement aux rongeurs pour tester l’efficacité des nanomachines pour de nombreux traitements médicaux»,précisé le professeur James Tour.

Une des limitations actuelles est que l’activation par rayon ultraviolet ne permet de traiter que des cellules en surface des tissus, là où la lumière peut être dirigée via fibre optique.

Sources: Telegraph /http://laminedinfos.fr/2017/09/05/incroyable-des-nano-machines-creusent-dans-des-cellules-cancereuses-et-les-tuent-en-a-peine-60-secondes/ Disclose.tv

Publicité
Publicité
17 juillet 2016

Et si les dents pouvaient se régénérer?

3171407-jpg_2825940_660x281

Des chercheurs de l’Inserm et de l’université Paris-Descartes ont réussi à comprendre le mécanisme de régénération des dents. Ils sont parvenus à isoler des cellules souches dentaires et à décrire le mécanisme par lequel elles parviennent à réparer des lésions de la dent. De nouveaux traitements dentaires pourraient en découler.

La dent est formée de 3 couches de matériau :

— l’émail, qui recouvre la couronne (la surface visible).

— la dentine, ou ivoire, qui comprend une cavité

— la pulpe dentaire, au centre de la dent, constituée de tissus vivants : nerfs, vaisseaux sanguins et lymphatiques.

Lorsqu’une lésion dentaire apparaît, les cellules souches de la pulpe se réveillent pour tenter de réparer la dent. Mais jusqu’à ce jour, on n’en connaissait pas le processus. Les chercheurs sont récemment parvenus à extraire et isoler des cellules souches de dent de souris qu’ils ont pu analyser.

Ils ont réussi à identifier à la surface de ces cellules 5 récepteurs spécifiques à la dopamine et à la sérotonine, deux neurotransmetteurs essentiels à l’organisme. Ces molécules agissent comme des signaux d’alarme, en déclenchant le processus de réparation. Les chercheurs se sont donc demandé quelle était la source de production de ces neurotransmetteurs.

Il s’est finalement avéré que la production de ces molécules était issue des plaquettes sanguines activées lors de la lésion dentaire. Les neurotransmetteurs ainsi libérés vont activer les cellules souches qui vont réparer la dent.

 

« Dans la recherche sur les cellules souches, il est rare de pouvoir à la fois isoler des lignées de cellules, d’identifier les marqueurs permettant de les reconnaître – ici les 5 récepteurs —, de découvrir le signal qui les recrute – la sérotonine et la dopamine —, et la source de ce signal – les plaquettes sanguines. Dans ce travail, nous avons pu, de manière inattendue, explorer l’ensemble du mécanisme », explique Odile Kellermann, responsable de l’équipe de l’Inserm et de l’Université Paris Descartes, principale auteure de ces travaux.

Vers de nouvelles stratégies thérapeutiques

« Actuellement, les dentistes utilisent des matériaux de coiffage (hydroxyde de calcium) et des biomatériaux à base de phosphate tricalciques pour réparer la dent et combler les lésions. Nos résultats permettent d’envisager des stratégies thérapeutiques inédites qui viseraient à mobiliser les cellules souches résidentes de la pulpe afin d’amplifier le pouvoir naturel de réparation des dents sans avoir recours à des matériaux de substitution », conclut Odile Kellermann.

Les bases sont posées pour étendre ces recherches obtenues chez le rongeur aux cellules souches de la dent chez l’homme afin d’initier de nouvelles stratégies de réparation des dents.

Sources : Futura-sciences

6 juillet 2016

Les cellules atteintes de virus émettent des signaux lumineux d'alertes avant de mourir

Biophotons-1Grande

Indications sur l'état sanitaire d'une cellule

Dans les années 1950 - 60, les chercheurs russes remarquent que lorsqu'un système biologique est soumis à une destruction (chauffage, congélation, empoisonnement), son émission photonique augmente, comme s'il envoyait un avertissement. Cette émission cesse à la mort du système.

Les chercheurs russes des années 70 (S. Stschurin, V.P. Kaznacheev et L. Michailova que nous avons présentés plus haut) ont constaté que l'intensité du rayonnement cellulaire change quand la cellule est agressée, endommagée ou qu'elle meurt.

Les cellules vivant normalement émettent un courant lumineux constant. Lorsqu'un virus pénètre dans les cellules, le rayonnement se modifie: augmentation du rayonnement, puis silence, puis nouvelle augmentation, puis extinction progressive du rayonnement en ondes multiples jusqu'à la mort des cellules. [Cité par F.A. Popp, Biologie de la lumière]

En 1974, Stschurin énonce: Les cellules touchées par différentes maladies ont des caractéristiques de rayonnement différentes. Nous sommes persuadés que les photons sont capables de nous informer très tôt avant le début d'une dégénérescence pernicieuse et de révéler la présence d'un virus.

Dans les années 1980, Nagl (biologiste), Popp et Li ont établi des théories fondamentales sur la relation entre les biophotons et la croissance des cellules, sur les différences d'émission entre des cellules saines et des cellules cancéreuses. Ils ont fait l'hypothèse que la figure de diffusion des photons des cellules contient l'information sur la présence d'une infection virale ou bactérienne. Ceci a été confirmé par des scientifiques du laboratoire national de Los Alamos (USA). Le virologue Lipkind a trouvé les premiers éléments indiquant la présence d'une infection virale par les biophotons (Institut International de Biophysique, Research and History, traduction A.B)

Le rayonnement est fonction de l'état de la cellule. Les informations incluses dans les biophotons rendent compte de l'état énergétique de la ou des cellules émettrices. L'émission d'une cellule saine est calme, comme une rivière tranquille. Selon les recherches de F.A. Popp, si on blesse une plante, d'autres plantes semblables placées autour en sont averties, même si elles sont éloignées. Tout dérangement augmente la production de rayonnement, comme si une activité de réparation se met en branle.

Il est probablement possible de déterminer l'état de santé d'un tissu biologique et aussi d'un organisme entier par les caractéristiques de ses émissions photoniques. La santé semble se manifester par une communication d'information aisée et abondante à l'intérieur du corps, tandis que la maladie consisterait en un appauvrissement de ce flux d'information.

Analyse de la qualité des tissus biologiques

La mesure du flux de biophotons émis par un organisme permet d'en tirer des informations sur l'état de santé ou de déséquilibre énergétique de cet organisme. Cette méthode est un complément prometteur des autres méthodes d'analyse biologique, car elle a l'avantage de ne pas introduire de produits dans l'organisme, ni de faire des prélèvements, de sorte qu'elle ne le perturbe pas.

Sur cette base, plusieurs types d'appareils ont été conçus, d'abord à l'Institut International de Biophysique de Neuss en Allemagne, ou mis au point dans divers secteurs de l'industrie en Europe et au Japon, pour évaluer l'état sanitaire de végétaux, d'animaux, ou du corps humain.

Maladies et vieillissement cellulaire

Selon de nombreuses études, incluant celles de Popp et d'autres en Australie, en Pologne et au Japon, on peut détecter l'état cancéreux d'un groupe de cellules en mesurant ses émissions de biophotons. Sur une biopsie (tissus prélevés dans l'organisme), on peut distinguer les cellules tumorales (cancéreuses) des cellules saines, déterminer leur degré de malignité et évaluer leur réponse énergétique à des substances médicamenteuses.

Popp, VanWikj et d'autres ont mesuré qu'un groupe de cellules cancéreuses n'émet pas les mêmes rayonnements que les groupes de cellules saines. Lorsqu'on stimule des cellules par la lumière, la bioluminescence augmente puis décroit. La vitesse de décroissance est beaucoup plus grande dans les cellules malignes, ce qui indique que leur capacité de stockage en biophotons est réduite. De plus les biophotons ont perdu une bonne partie de leur cohérence. Si on compare l'émission par des tissus d'épaisseur croissante, elle augmente dans le cas de cellules normales et diminue dans le cas de cellules tumorales.

Par la même technique, il est possible d'évaluer le vieillissement cellulaire et l'état du sang.

Des chercheurs japonais (Kobayashi et coll.) ont construit une chambre noire munie d'un système de comptage pour le corps entier. Ils ont mis en évidence que l'émission de biophotons du corps suit en tous points le rythme naturel biologique. Lorsqu'il y a des déviations, elles indiquent une maladie.

Qualité des aliments et cosmétiques

Une des applications les plus immédiates est l'évaluation de la qualité de la nourriture. Popp et ses collaborateurs ont fait de nombreuses mesures pour comparer les émissions de substances en fonction de leur mode de culture ou d'élevage, leur durée de stockage, leur contamination par des produits toxiques tels que les métaux (voir émission Archimède d'ARTE-TV). La qualité des aliments s'évalue en termes de faculté d'emmagasinage de lumière.

Par exemple, on a comparé l'émission photonique d'œufs de poules vivant en liberté à celle d'œufs de poules vivant en cage. Dans le premier cas, les photons étaient beaucoup plus cohérents.

La technique est également très utile pour évaluer la qualité des produits cosmétiques. On peut aussi évaluer leur innocuité avant de faire des tests biologiques sur les organismes, en particulier sur les animaux.

L'aspect de l'émission photonique d'un organisme végétal, animal ou humain donne des indications sur une éventuelle contamination par des bactéries ou des virus. Une application industrielle a été réalisée avec un fabricant de bière sur les mélanges de houblon fermenté.

Extraits d'un article de F.A. Popp et l'Institut International de Biophysique. Traduction A. Boudet

12 mars 2016

La découverte des métaux dans la molécule d’ADN

human-dna1adn

Il y a quelques années, le professeur Etienne Guillé, spécialiste de la biologie moléculaire végétale (université de Paris-Sud Orsay) a découvert que notre ADN n’entrait en activité que lorsqu’il était porteur de métaux. Ensuite, et ce fut un vrai choc pour ce savant peu familier de rêveries ésotériques, il s’aperçut que ces métaux correspondaient aux définitions alchimiques et étaient en relations concrètes avec la Tradition qui a attribué à chacune de nos planètes un métal. De plus, ce sont ces métaux qui provoquent les variations les plus caractéristiques et les plus fortes de la molécule d’ADN. Entrons avec lui dans le monde féerique de nos molécules les plus intelligentes, ce monde des ADN, véritables signatures de notre personnalité, de notre moi unique. Transformons-nous en alchimistes, en radiesthésistes, en astrologues, allons-y sans crainte, Etienne Guillé nous gardera de toute extravagance et nous resterons, grâce à lui, dans le cadre de la science vraie.

 

L’ALCHIMIE revient à l’honneur toute une littérature en est imprégnée. Et pourtant que de querelles n’a-t-elle pas soulevées au cours des siècles écoulés !

 Considérés parfois comme des précurseurs des chimistes, les alchimistes sont souvent pris pour des charlatans et dans le meilleur des cas pour de doux rêveurs. Et pourtant nous avons en nous des images qui de l’œuvre au noir à l’œuvre au rouge imprègnent notre inconscient collectif. Nous n’avons aucune preuve matérielle que les « souffleurs » aient réussi à transformer le plomb en or, mais nous restons attachés au concept de pierre philosophale comme si elle avait toutes les vertus pour expliquer des processus que nous ne comprenons pas clairement.

 L’intuition des alchimistes n’était-elle pas juste ? La radioactivité est due à une rupture violente de certains atomes dont les fragments sont eux-mêmes des atomes d’autres corps. La radioactivité est donc une transmutation naturelle. En 1919, Rutherford réalisa la première transmutation artificielle provoquée en laboratoire. Ainsi en frappant le béryllium par les particules émises par le polonium, nous obtenons des neutrons qui ont toutes les propriétés matérielles attribuées à la pierre philosophale. Donc les alchimistes ont imaginé des théories mais ils n’avaient pas, semble-t-il, les moyens matériels pour les vérifier.

 Une autre interprétation des données alchimiques a été fournie plus récemment par C.G. Jung. Il proposa que ce que l’alchimiste voit dans la matière ou croit qu’il peut y voir, est en fait l’ensemble de son propre inconscient qu’il projette. Dans cette conception, Jung admet implicitement que l’alchimie forme un tout qui a très peu varié au cours des siècles.

 Entre cette alchimie matérielle imaginée et cette alchimie spirituelle, nous proposons une troisième voie que nous baptiserons l’alchimie énergétique. Elle découle de la découverte de métaux dans les chromosomes des cellules vivantes et surtout à l’intérieur même de la molécule d’ADN. Ces métaux provoquent des variations caractéristiques de la conformation de la molécule en des sites spécifiques entraînant des variations énergétiques permettant l’ouverture ou la fermeture de la double hélice. Les métaux qui provoquent les variations les plus caractéristiques et les plus extrêmes de la conformation de la molécule d’ADN sont ceux qui ont été attribués par les alchimistes aux planètes et luminaires connus à cette époque : l’or au Soleil, le fer à Mars, l’étain à Jupiter et le plomb à Saturne d’une part, l’argent à la Lune, mercure à Mercure et le cuivre à Vénus, d’autre part.

 La découverte des métaux dans la molécule d’ADN :

 Entre 1965 et 1970, de nombreux laboratoires décrivaient dans de nombreux tissus des molécules d’ADN qu’ils qualifiaient d’« anormales ». Étudiant le mécanisme du cancer, notre équipe s’est rendu compte que ces molécules anormales étaient présentes en proportions relatives importantes dans les ADN isolés de divers tissus tumoraux. De manière générale, ces molécules subissaient des variations qualitatives et quantitatives dans différentes circonstances physiologiques et pathologiques qui correspondent aux changements de programme de développement tels que les étapes de l’embryogénèse, de différenciation, de dédifférenciation et de tumorisation. Par rapport à de l’ADN nu, ces molécules se comportent comme si des ligands les déstabilisaient. Nous avons émis l’hypothèse que ces propriétés soient dues à la présence de métaux fixés aux bases de la molécule et contribuant ainsi à modifier sa conformation en solution et probablement in situ.

 Nous avons montré la validité de notre hypothèse en dosant les métaux présents dans les différentes fractions d’ADN par une technique très sensible, dérivée de la polarographie : la voltamétrie avec redissolution anodique. Les métaux qui ont pu ainsi être mis en évidence dans la molécule d’ADN sont le cuivre, le plomb, le fer, le zinc, le cadmium, le manganèse, le mercure, l’argent, l’or, le nickel, le cobalt, l’étain, l’aluminium, le platine, etc…

 Ces métaux sont soit liés aux bases, soit aux bases et aux phosphates sur des séquences spécifiques qui s’appellent des séquences répétées ou itératives. Ces liaisons métal-base vont changer la conformation de la molécule sur toute une longueur de celle-ci. Il en résulte généralement un abaissement de la quantité d’énergie nécessaire pour ouvrir ces séquences d’ADN. Pour donner un exemple, alors qu’un ADN standard n’est pas ouvert à 90° C dans des conditions de force ionique comparables à celles des cellules, avec un atome de cuivre pour 50 paires de bases, il est ouvert à la température moyenne de notre corps : 37° C. Le métal arrive à l’ADN porté par une molécule transporteur spécifique appelé chélatant. En fait, dans les cellules, il existe de véritables chaînes de transporteurs de métaux constitués par des acides aminés, des peptides, des protéines, des polyamines, des facteurs de croissance et des hormones. Remarquons d’ailleurs qu’au cours de ces mêmes phases de changement de programme de développement où nous avons vu que les teneurs en métaux se modifient, des variations de même type se produisent au niveau des transporteurs. Ainsi, dans le cas de cellules cancéreuses, de nouveaux transporteurs apparaissent, d’autant plus chélatants que les cellules sont plus cancéreuses.

 La quantité des métaux liés à des transporteurs circulant dans les cellules est soumise à un processus de régulation. Lorsque le taux de métaux essentiels est trop grand ou lorsqu’un métal toxique pénètre dans les cellules, il y a induction de la synthèse protéique. Il se forme ainsi des thionéines — protéines très riches en acides aminés soufrés — qui sont des sites de séquestration des métaux en excès. Ces protéines qui constituent de véritables réservoirs à métaux pourront à la demande les libérer en fonction des besoins de la cellule.

 Lorsqu’un métal se lie aux bases de l’ADN, il va généralement contribuer à déstabiliser toute une séquence de la molécule d’ADN considérée. Cette déstabilisation se traduira par une perturbation locale de la conformation de la molécule d’ADN pouvant contribuer au déclenchement de l’activité génétique de la région du génome ainsi mise en jeu, c’est ainsi que la transcription et la réplication de l’ADN sont induites en fonction de l’état du métabolisme du système étudié. Cette perturbation locale qui est donc liée à la réception des signaux de l’environnement pourra avoir des conséquences sur l’ensemble du génome ; si elle peut être transmise à distance par une propriété de la molécule d’ADN qui a été baptisée téléaction. A notre connaissance, il semble que seuls deux types de séquences d’ADN respectivement inclus en Adénine – Thymine et en Quinine et Cytosine soient capables de transmettre un signal le long d’une molécule d’ADN[ Ces séquences dites alternées subissent aussi des modifications corrélées à l’entrée dans l’ADN de tel ou tel métal et à la présence de tel ou tel type de transporteur.

 Confrontation des données moléculaires et des données techniques :

 Il est très significatif de constater que les métaux qui provoquent les variations de conformation les plus spécifiques de la molécule d’ADN, sont ceux qui ont été attribués par les alchimistes aux luminaires et aux planètes connues à cette époque. Depuis cette époque, le zinc, le manganèse et le cobalt ont été attribués aux trois dernières planètes découvertes : Uranus, Neptune et Pluton. Même si nous disposons de peu d’informations scientifiques pour l’étain et le fer alors que ce dernier métal est le plus concentré in vivo dans la molécule d’ADN, nous pensons que cette correspondance ne constitue pas une pure coïncidence. D’autres métaux que ceux attribués aux planètes sont susceptibles de se fixer aux bases de la molécule d’ADN, mais les variations de conformation qu’ils provoquent sont moins typiques que celles des sept métaux de la tradition et peuvent être qualitativement rattachées aux variations induites par l’un des sept précédents.

guille-metaux1

Le tableau 1 montre la correspondance entre les planètes, les organes végétaux, animaux et humains et les métaux. Sur la circonférence, les métaux sont classés en fonction de leur poids atomique et de manière à illustrer la polarité qui les lie, impossible à mettre en évidence dans le tableau de Mendeleïev. Par exemple, le fer et le cuivre sont liés dans la fonction de respiration et dans l’induction du processus de floraison. L’étain et le mercure jouent des rôles très différents dans le potentiel hydrique. La polarité de l’argent et du plomb est difficile à mettre en évidence dans les données physiologiques mais est tout à fait démontrable dans leur action thérapeutique (Pélikan, 1952)[2]. Cette correspondance ne signifie pas que la lune par exemple agisse seulement à des moments précis de ses phases ascendantes ou descendantes sur les ions argent liés à des endroits spécifiques de l’ADN nucléaire à des concentrations généralement extrêmement faibles. En fait, il est possible que les variations du champ électromagnétique de la lune soient plus efficaces sur les ions argent que sur les ions cuivre ou cadmium qui peuvent aussi se fixer sur les mêmes sites de l’ADN que les ions argent mais avec une constante d’affinité plus faible.

 

Dans chacune de nos cellules, nous avons donc une sorte de mini-zodiaque, à la périphérie du noyau, dans les séquences répétées de l’ADN présent dans l’hétérochromatine constitutive. Les séquences d’ADN par leur nature et leur place jouent le rôle énergétique des signes du zodiaque, c’est-à-dire de milieux actifs qui en fonction du microenvironnement pourront prendre telle ou telle conformation dans l’espace. Les métaux jouent le rôle des planètes qui peuvent être considérées comme des sources indifférenciées de l’énergie. La fixation d’un métal sur une base de l’ADN va modifier la conformation de toute une séquence de l’ADN : il en résultera la spécification d’une forme déterminée d’énergie qui pourra être transmise à distance jusqu’aux gènes en fonction de la nature et de l’organisation des séquences voisines. Nous pouvons dire que le métal et la séquence d’ADN définissent la qualité de l’énergie susceptible d’être transmise à distance. Une des conséquences fondamentales de ce fait est qu’il n’existe qu’un nombre fini de qualités de l’énergie susceptible d’être induite dans une molécule d’ADN. Ces qualités de l’énergie ont été décrites par la tradition à une autre échelle que celle du patrimoine génétique : les descriptions que nous fournissent l’astrologie et la radiesthésie nous paraissent les plus signifiantes.

 Ainsi cette citation de C. Suarès[empruntée à une description des énergies du zodiaque s’applique tout à fait aux énergies élémentaires mises en jeu dans la réception et la transmission des signaux de l’environnement par la molécule d’ADN. « L’astrologie est l’examen des énergies cosmiques balayant continuellement le Zodiaque et les sept planètes sont des agents qui imposent à chaque signe leur teinture. Grands teinturiers de l’espace, les planètes organisent et désorganisent, elles participent activement au battement vie et mort. »

8 décembre 2013

l’ADN, le cauchemar pour les athées

neurone2L'ensemble des capacités de stockage informatique actuelles représente moins d'1 % de la quantité d'informations mémorisées dans les molécules d'ADN d'un seul être humain.
L'ordinateur loin de rivaliser avec notre ADN

La complexité de la molécule d’ADN: 

 

les probabilités montrent clairement qu’il est impossible que des molécules complexes telles que des protéines ou bien des acides nucléiques tels que l’ADN ou l’ARN puissent émerger par simple hasard. Pour compléter ce que disait le professeur Stephen C.Meyer à propos de la probabilité qui était de 1 sur 10 puissance 164, voici ce que déclare le docteur Leslie Orgel, collègue de Francis Crick et de Stanley Miller à l’université de San Diego en Californie : 

 

“Il est extrêmement improbable que des protéines et des acides nucléiques, qui sont structurellement complexes, aient surgi d’elles-mêmes au même endroit au même moment. Pourtant, il semble également impossible d’obtenir l’un sans l’autre. Et donc, à première vue, on doit conclure que la vie ne peut en aucun cas avoir été initiée par des moyens chimiques.” 

(The Origin of Life on Earth”, Scientific American, vol. 271, Octobre 1994, p. 78) 

 

Ce qui rend ceci encore plus improbable est le fait que l’ADN et les protéines doivent émerger en même temps car l’ADN ne peut pas fonctionner sans les protéines tout comme nous le confirme le scientifique John Horgan dans le magazine “scientific american”: 

 

“L’ADN ne peut pas fonctionner et ne peut pas former d’autres molécules d’ ADN sans l’aide de protéines catalytiques ou enzymes. En résumé, l’ADN ne peut pas se former sans protéines et vice versa” 

(“In the Beginning”, Scientific American, vol. 264, Février 1991, p. 119) 

 

Raison pour laquelle deux ans après la découverte de l’ADN, Homer Jacobson, professeur de chimie, fait ce commentaire : 

 

“Les instructions pour la reproduction de plans, pour l’énergie et l’extraction des parties de l’environnement actuel, pour la séquence de croissance et pour le mécanisme réalisateur qui traduit les instructions en croissance, tout devait être simultanément présent à ce moment [lorsque la vie a commencé]. Cette combinaison d’événements semble être un hasard incroyablement improbable.” 

(“Information, Reproduction and the Origin of Life”, American Scientist, janvier 1955, p. 121) 

 

Malgré tout cela, les évolutionnistes veulent nous faire croire à ce qu’ils appellent la thèse de l’ARN, c’est à dire qu’un ARN (acide ribonucléique, qui est une copie d’une région de l’un des brins de l’ADN) est apparu par chance et s’est ensuite mis à fabriquer des protéines puis, est venu l’ADN etc… Le paradoxe dans tout cela est qu’un ARN ne peut pas produire de protéines sans que celles-ci existent au préalable. 

Tandis que les évolutionnistes veulent à tout prix donner une réponse, certains scientifiques, quant à eux, sont plus raisonnables et ne préfèrent pas en donner, à l’exemple du biochimiste Douglas R. Hofstadter qui a dit : 

 

“”De quelle manière le Code Génétique, ainsi que les mécanismes pour sa traduction (ribosomes et molécules d’ARN) ont-ils émergé ?” Pour le moment, nous devrons nous contenter d’émerveillement et d’admiration, plutôt que d’une réponse.” 

(Godel, Escher, Bach: An Eternal Golden Braid, Vintage Books, New York, 1980, p. 548 

 

Pour finir, Francis Crick (l’un des biologistes qui a découvert la structure de l’ADN) avait admis, suite à la découverte de la molécule d’ADN, que celle-ci ne pouvait pas être le fruit du hasard. Et bien voici exactement ce qu’il a dit :
 

 

“Un homme honnête, muni de toute la connaissance qui est mise à notre disposition maintenant, ne pourrait qu’affirmer que, dans un certain sens, l’origine de la vie semble, pour le moment, être presque un miracle” 

Life Itself: It’s Origin and Nature, New York, Simon & Schuster, 1981, p. 88 

 

On comprend donc mieux pourquoi le célèbre peintre Salvador Dali disait : 

 

“L’annonce de la découverte de la molécule d’ADN par Watson & Francis Crick représente pour moi la vraie preuve de l’existence de Dieu” 

-Salvador Dali (University of Washington Press, Seattle 1966) 

Publicité
Publicité
13 juin 2013

Le secret révélé de la foi : DMT la molécule de l'esprit

6a00d8341bf7f753ef00e54f401de58834_800wi"Les recherches faites sur la pinéale et sur la DMT pourraient représenter la connection de Dieu, celle qui interagit avec notre évolution naturelle pour stimuler et accélérer le processus de la rédemption et de l'illumination individuelle et collective. "
Le scientifique qui a mené ces expériences dans les années 90, bien après les balbutiements des psychédéliques, a écrit un bouquin, "DMT, La molécule de l'esprit : Les potentialités insoupçonnées du cerveau humain" :
"De 1990 à 1995, le docteur R. Strassman, l'un des psychiatres américains parmi les plus éminents, a mené la plus grande recherche psychédélique jamais réalisée en expérimentant sur des dizaines de volontaires la mystérieuse "Molécule de l'esprit" : le D.M.T (di. méthyl-triptamine). Avec sincérité et une rigueur scientifique exceptionnelle, le docteur Strassman relate des dizaines de récits dont l'intensité, la profondeur et l'étrangeté sont réellement saisissantes d'autant plus que beaucoup d'entre eux se réfèrent au Bardo (état intermédiaire qui va de la mort à la prochaine naissance). Cet ouvrage est aux antipodes de la scolastique partisane et figée de la nomenklatura médicale. Les hypothèses avancées qu'il présente en irriteront plus d'un, mais personne ne restera insensible aux incroyables ouvertures qui se dégagent de ces recherches sur le cerveau humain et ses potentialités insoupçonnées. Le DMT est-il cette "molécule de l'esprit" en connexion avec la fameuse glande pinéale, considérée par les Hindous comme le lieu du septième Chakra et par Descartes comme le siège de l'esprit ? Une remarquable étude aux frontières de la connaissance. " La preuve de l'existence d'une source spirituelle infinie et bienfaisante.

La mélatonine reste interdite en France et dans de nombreux pays , on comprend mieux .pourquoi ......

Publicité
Publicité
Publicité