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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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bourse
25 novembre 2014

Les gouvernements, les multinationales et les organisations criminelles ont un point commun : l'argent.

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Les hommes et les partis politiques, dont l'objectif premier est la conquête du pouvoir, se doivent d'avoir un soutien financier qui leur permette d'y accéder. Ce soutien, provenant soit de grandes entreprises soit de personnes possédants les dîtes entreprises, leur permettra de faire campagne. Ce sera aussi une garantie pour le donateur d'une fidélité du bénéficiaire aux engagements qu'il aura pris. L'homme politique qui sait que la victoire passe par une communication efficace, et donc onéreuse, dépend entièrement des milieux financiers qui peuvent faire ou défaire sa carrière à volonté.

 

La présidentielle à la corbeille

On peut encore en faire le constat cette année aux États-Unis, où John Mc Cain et Bill Bradley, pour des raisons qui doivent autant à la tactique qu'à leurs convictions, se sont engagés à réformer le système de financement des campagnes électorales, présidentielles et législatives. Mal leur en a pris dans un pays où même les parlementaires du congrès profitent de financements intéressés. Il nous est tout de même permis de douter de la sincérité des candidats susnommés quand on sait que le démocrate Bill Bradley a bénéficié de la manne de compagnies telle que Citigroup, Merrill Lynch, Goldman Sachs, et Morgan Stanley, et que le républicain JohnMc Cain, président du Senate Commerce Committee, a été commandité par US West, AT&T, Viacom, Boeing et Bank of America, des groupes en lien étroit avec le comité qu'il préside.
Al GoreGeorge W BushLes deux candidats restant en lice pour les présidentielles 2000 américaines étaient le vice-président Al Gore et le gouverneur du Texas, George W. Bush.

En 1999, George W Bush a soulevé 37 millions de dollars en quatre mois - avant une primaire simple - plus que l'ensemble de ce que Bill Clinton et Bob Dole ont levé pour leurs campagnes respectives de 1995 et de 1996.
Le démocrate Al Gore bénéficie principalement des largesses de la National Education Association, de la Walt Disney Company et de Loral Space and Communications. Cette dernière compagnie a tiré bénéfice du desserrement de l'administration de Clinton vis-à-vis des restrictions qui concernaient la vente d'équipement de haute technologie en Chine. On peut noter à ce sujet que dès 1996, Henry Kissingera été engagé auprès de la société Walt Disney comme consultant sur les activités liées à la Chine. Al Gore obtient également l'argent de Goldman Sachs et Citigroup, aussi bien que d'Ernst and Young et Bell South.
Le républicain Bush est soutenu par Philip Morris, AT&T, Atlantic Richfield, et Archer Daniels Midland pour ne citer que celle-là. Il n'est pas surprenant que les plus grands donateurs professionnels de G. W. Bush soient des compagnies de l'état du Texas, comprenant Enron Corporation et la famille Bass.

 

Finance, sociétés secrètes et terrorisme

On a la surprise de constater que des entreprises qui, à priori, ont des objectifs différents, puisqu'elles soutiennent des candidats de partis opposés, se retrouvent main dans la main à d'autres niveaux.

En 1996, les membres de l'organisation Bilderberg se réunissaient à Toronto. Andreas Dwayne (USA), président de Archer Daniels Midland, soutien des républicain, côtoiera Peter D.Sutherland, président de Goldman Sachs International, soutien desdémocrates. Henry Wendt, quand à lui, est un des directeurs de Atlantic Richfield, et il est membre du groupe frère des Bilderberg, la Commission trilatérale.
Le vice-président Al Gore est la marionnette obligeante de son patron, le Président Clinton. Ce dernier est un Trilateraliste à long terme quia été promu au groupe Bilderberg en 1991, à Baden Baden, en Allemagne.
George W. Bush a pour conseillers en politique étrangère Richard Pearle et Richard Armitage, tous deux membres de longue date des Bilderberg. Son père, l'ancien Président George Bush, avait une place de choix auprès de ces organismes plus ou moins secrets, secret garanti par la complicité des médias. Cette complicité n'est pas une faveur mais bien une mesure de précaution. Le journaliste américain Allan Francovich n'est plus là pour en témoigner. Il enquêtait sur l'assassinat du premier ministre suédois Olof Palme. Il est officiellement décédé le18 avril 1997 alors qu'il passait la douane de l'aéroport de Houston, en vue de rencontrer l'assassin du premier ministre qu'il avait réussi à retrouver. Olof Palme avait pour intention de poursuivre la démilitarisation de la Finlande et, entre autres choses, de fermer deux stations d'écoute électronique stratégiques pour l'OTAN. Le 25 février 1986, trois jours avant l'assassinat de Palme, le Grand maître de la Loge P2 Licio Gelli adresse un télégramme au Republican National Committee et au membre de la P2 Philip Guarino, indiquant : "L'arbre suédois va tomber. Dites-le à notre bon ami Bush. "
Mais le fils Bush a aussi ses amis. Le banquier saoudien Khaled Bin Mahfouz a effectué des versements au profit d'associations caritatives proches du "terroriste" Ussama Bin Laden. Il est aussi centre du scandale de la BCCI (Bank of Credit and Commerce International) qui a été mise en liquidation en 1991. Cette banque est accusée de corruption, de financements occultes et de blanchiment d'argent. Khaled BinMahfouz a détenu 20% des parts de cette banque où il occupait un rôle central entre 1986 et 1990. Son représentant aux Etats-Unis, Abdullah Taha Bakhsh, possédait 11,5% de la société dont George W Bush était directeur et conseiller : Harken Energy. Cette entreprise a bénéficié d'investissement provenant de la BCCI avec la bénédiction, et surtout la signature de Abdullah Taha Bakhsh.
George W Bush (le fils) a détenu, entre1990 et 1994, des parts de la société Caterair, une filiale du groupe Carlyle où siège George Bush (le père), et qui est l'une des principale sociétés contributrice à la campagne de George W Bush (le fils). Khaled Bin Mahfouz a une influence dans Carlyle puisqu'il y a des intérêts. En effet, il possède la Prime Commercial Bank, un établissement financier pakistanais implanté à Lahore, dont le directeur Sami Baarma figure au conseil de Carlyle.
Est-il besoin de poursuivre la démonstration sur l'interconnexion entre les différents milieux cités plus haut ?

 

L'éthique au panier

Mais la prise de pouvoir n'est pas le seul objectif du politicien. Le bon déroulement de sa carrière est une préoccupation bien plus essentielle. Dans ce métier, les hommes passent, mais doivent assurer leurs arrières quand ils ne sont plus sur le devant de la scène. Cela n'est possible que si leur action politique ne va pas à l'encontre de ceux qui sont à même de les embaucher par la suite. Mais comment peut-on rendre compatible l'action d'un mouvement politique sensé agir pour le bien du peuple qui élit ses représentants, et être en accord avec la logique libérale qui est loin d'être satisfaisante en ce qui concerne le bien-être de l'ensemble des habitants de la planète ? Comment un technocrate, employé dans le service publique le temps d'une majorité politique, peut avoir une action visant à améliorer ce dit service, ce qui, de toute évidence, est contraire à l'intérêt des compagnies privés ?
C'est la pirouette audacieuse que l'ancienne secrétaire générale adjointe de l'Elysée, Anne Lauvergeon , réussie en devenant associée gérante de Lazard Frères, membre du conseil de Pechiney, pour finir directrice générale adjointe d'Alcatel Télécom. Jean-Charles Naouri, ancien directeur de cabinet de Pierre Bérégovoy, ministre des finances, devient, quant à lui, associé gérant de la banque Rothschild, un poste qu'occupe également  Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d'Edouard Balladur.
ASPEN INSTITUTEEn ce qui concerne Françoise de Panafieu, Ambassadeur Délégué Permanent de la France auprès de l'UNESCO, Adjointe au Maire de Paris), ancienne candidate àl'élection pour la mairie de Paris, ces appuis pour la campagne autant que ses arrières en cas d'échec étaient assurés.
En effet, elle a le privilège de côtoyer de nombreuses personnalités du milieu économique français en tant que membre de l'ASPEN France.
Cette organisation est présidée par le membre créateur d'ASPEN France également membre d'ASPEN Institute aux États-Unis Olivier MELLERIO, et le poste de Vice-Président est occupé par Patrice VIAL, le Président Directeur Général de la banque Morgan Stanley SA dépendant de la famille Rothschild. D'autre part, existe au sein de l'ASPEN France, un conseil d'orientation rassemblant des Bilderbergers dont le bien connu moteur de l'Union Européenne Jacques Delors et le Président de Lafarge, Bertrand Collomb.
Les compagnies privées ne sont ni bienfaitrice, ni masochistes. Celui qui a perdu dans cette histoire ne peut être que le service public,et par delà la cohésion de la nation, la cohésion des peuples qui composent toutes les nations.
Mais tout cela serait compréhensible si les grandes associations criminelles n'assuraient pas le recyclage des fabuleux profits tirés de leurs activités avec la complicité des milieux d'affaires et l'opposition apparente de politiciens fantoches qui profitent de façon induite ou directe du système.
Les profits engendrés par les affaires du crime organisé, hors frais de blanchiment, sont estimés à 350 milliards de dollars par an. Cet argent est investit en bourse, là où les bénéfices seront rapides et élevés, contribuant à grossir une bulle financière déséquilibrant les unes après les autres les places financières de la planète.
Les activités de ces organisations sont hors la loi et leur action sur les milieux financiers est dangereuse pour la stabilité économique du monde. Mais on se doit de rajouter que l'action qu'elles ont sur l'argent qu'elles manipulent n'est même pas profitable au développement économique puisque les investissements qu'elles effectuent n'ont qu'un but : le profit maximum en un minimum de temps.

 

Offshore, of course !

La classe politique coupable de faire semblant d'agir contre ces pratiques nuisibles, a tout intérêt à laisser le système en l'état. Les pots-de-vin sont monnaie courante dans le milieu des grandes compagnies, comme nous l'a encore montré récemment l'affaire ELF, mais qu'en est-il des commissions occultes dans le milieu criminel ? Ces deux milieux sous les dorures des établissements qu'hébergent les paradis fiscaux. Les déclarations de principe pullulent sur la conduite à adopter devant les receleurs de l'argent du crime, de l'argent noir du sport, de l'industrie du spectacle ou de la mode, les complices de la fraude fiscale des particuliers ou des multinationales. Mais comme ce sont ces mêmes paradis qui servent d'intermédiaires au financement de certains partis politiques, ou qui profitent à des sociétés qui font travailler le peuple, garantissant ainsi la paix sociale, le statu quo est de rigueur.
Le FMI n'a de cesse d'intervenir pour contraindre certains pays à adopter les "bonnes" règles de conduites économiques,encourageant untel par un prêt conséquent, punissant tel autre par un embargo, et ce au mépris des populations. L'OMC ne se gêne pas pour contraindre l'Union Européenne à calquer sa réglementation sur la libérale Amérique. Les États-Unis, entre autres, ne se privent pas d'en référer au droit d'ingérence quand le comportement d'un pays n'est pas en accord avec l'idée qu'ils se font du nouvel ordre mondial.  
Il m'est difficile de croire que la mise au pas des paradis fiscaux dont 95 %sont d'anciens comptoirs ou colonies qui sont restés sous la protection des britanniques,des français, des espagnols, des néerlandais ou des américains est impossible. Tout comme il m'est difficile de croire que l'instauration de la taxe Tobin sur les échanges boursiers purement spéculatifs qui aurait pour effet de limiter ces derniers soit inefficace ou inapplicable. 

 

Conclusion

Notre société moderne court après cet argent qui nous donne l'illusion du pouvoir et de la liberté. Mais la vérité est que la majorité des gens, des nations, des compagnies sont prisonnières de leurs dettes et que nombre de médias, de politiciens ou de chercheurs sont redevables ou dépendant de ceux qui les soutiennent financièrement. C'est pour ces raisons qu'il me paraît évident que l'argent n'est en fait qu'un instrument de contrôle.
Le 21 novembre 1933, le président américain Franklin D. Roosevelt écrivit à un confident : « La vérité en ce domaine est, comme vous et moi le savons, que dans les grands centres un élément financier possède le gouvernement, et ce depuis le temps d'Andrew Jackson.»




Sources :

The Spotlight (Désormais disparu - remplacé par American Free Press - http://www.americanfreepress.net )
Le Monde Diplomatique,
février 2000 et avril 2000
Le Monde, 12-13/10/1997
The Buying of the President 2000, Charles Lewis
http://frenzy.chez.com/argent.htm#.VHPZVGe1bQI

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11 septembre 2014

La Banque du Canada est au bord de la faillite !

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Il y a quelques jours, à l’occasion d’une de mes visites quotidiennes sur le site réputé ZeroHedge spécialisé dans les informations économiques et financières, je suis tombé sur un article qui m’a tellement renversé que j’ai décidé de le traduire pour le partager avec vous. Vous le trouverez donc plus bas.

J’avais beau savoir que la situation financière du Canada est très précaire depuis 2008, je ne me doutais pas qu’elle s’était dégradée à ce point, d’autant plus que, comme l’auteur le mentionne, la perception générale, même dans les cercles spécialisés, est qu’elle est plutôt bonne.

Il s’agit donc d’une information capitale pour tous les Canadiens, mais surtout pour les Québécois qui s’imaginent que leur appartenance au Canada est essentielle à leur bien-être économique.

Dans son texte, l’auteur fait allusion à l’adoption camouflée par le parlement fédéral de mesures qui permettent aux banques canadiennes de se recapitaliser – appréciez l’euphémisme ! – en pigeant dans les comptes de leurs déposants (vous et moi).

J’avais justement signalé ici-même sur Vigile en avril 2013 l’imminence de l’adoption de cette mesure dans un article intitulé
Les banques veulent votre bien
Le gouvernement fédéral s’apprête à le leur donner
Elles vont pouvoir piger dans votre compte de banque sans votre permission

Voici un extrait pertinent de cet article :

Lors du dépôt du budget fédéral il y a une dizaine de jours, le ministre des Finances Flaherty a déposé simultanément un document intitulé « Plan d’action économique 2013 ». Vous en trouverez les morceaux éparpillés à cette adresse

Bien cachée complètement au bas du Chapitre 3.2 dont le titre « Aider les fabricants et les entreprises à prospérer dans l’économie mondiale » est sans rapport avec le sujet traité, se trouve une section intitulée :

Instaurer un cadre de gestion des risques pour les banques nationales d’importance systémique

Le Plan d’action économique de 2013 instaurera un cadre exhaustif de gestion des risques pour les banques canadiennes d’importance systémique.

Les grandes banques canadiennes sont une source de vigueur pour l’économie du pays. Elles connaissent de plus en plus de succès sur les marchés internationaux et créent des emplois au pays.

Le gouvernement reconnaît aussi qu’il faut gérer les risques associés aux banques d’importance systémique – celles dont les difficultés ou la faillite pourraient perturber le système financier et, partant, nuire à l’économie. Cela exige une supervision prudentielle solide, de même qu’un ensemble robuste d’options permettant la résolution de ces institutions sans faire appel à l’argent des contribuables dans le cas peu probable où l’une d’elles ne serait plus viable. [Mes caractères gras]

Le gouvernement compte mettre en place un cadre exhaustif de gestion des risques pour les banques canadiennes d’importance systémique. Ce cadre s’harmonisera avec les réformes instaurées par d’autres pays et les principales normes internationales, comme les Caractéristiques essentielles de systèmes performants de résolution pour les établissements financiers (Key Attributes of Effective Resolution Regimes for Financial Institutions) du Conseil de stabilité financière, et fonctionnera en parallèle avec le régime canadien des fonds propres réglementaires déjà en place. Le cadre de gestion des risques comprendra les éléments suivants :

• Les banques d’importance systémique seront assujetties aux normes de fonds propres plus élevées que déterminera le surintendant des institutions financières.

• Le gouvernement propose d’établir un régime de recapitalisation interne pour les banques d’importance systémique. Ce régime sera conçu de manière que, dans le cas peu probable où une banque d’importance systémique épuiserait ses fonds propres, elle pourra être recapitalisée et redevenir viable grâce à la conversion très rapide de certains de ses passifs en fonds propres réglementaires. Cette mesure réduira les risques pour les contribuables. Le gouvernement consultera les intervenants sur la meilleure façon d’instaurer un régime de recapitalisation interne au Canada. Le calendrier de mise en œuvre assurera une transition en douceur pour les institutions touchées, les investisseurs et les autres participants au marché. [Mes caractères gras]

• Les banques d’importance systémique demeureront assujetties aux exigences existantes sur la gestion des risques, y compris une surveillance plus étroite et l’obligation de préparer des plans de reprise des activités et de résolution. Ce cadre de gestion des risques limitera l’avantage injuste dont profiteraient les banques canadiennes d’importance systémique du fait que les investisseurs et les autres participants au marché croiraient, à tort, que ces institutions sont trop grandes pour faire faillite.

Dans un langage tout ce qui a de plus aseptisé, le gouvernement fédéral explique le plus banalement du monde que dans le cas où une banque d’importance systémique comme l’une des cinq grandes banques canadiennes (RBC, TD, CIBC, BMO, ou Scotia et dans certaines circonstances possiblement aussi la BN et certaines autres banques régionales importantes), épuiserait ses fonds propres, elle pourrait être recapitalisée et redevenir viable grâce à la conversion très rapide de certains de ses passifs en fonds propres réglementaires, dans le but de réduire les risques pour les contribuables.

Cela veut tout simplement dire que les dépôts de ses déposants (passifs pour elle) pourraient être convertis (quel euphémisme !) en fonds propres de la banque, sans le consentement des intéressés, pour éviter que le gouvernement ne soit lui-même obligé de la recapitaliser. Il s’agit d’une expropriation, d’une confiscation des dépôts, d’un vol au sens du code criminel (aller au delà de l’intérêt spécifique qu’on a dans la chose), en toute légalité. On croit rêver !

Voilà ce que le gouvernement fédéral concocte dans votre dos, bien à l’abri dans les méandres de ses textes « d’information » sur ses plates-formes Internet.

Il semble que je n’aie pas été le seul à être choqué par cette mesure, Voici ce qu’en pense Simon Black, investisseur international, blogueur de renom, et auteur de l’article que je vous annonçais plus haut :

Et maintenant, la banque centrale la plus lamentablement sous-capitalisée en occident [un indice : ce n’est pas la FED] :

Le 2 septembre 2014

Dans le cadre du « jamboree » annuel des dirigeants de banques centrales, le gouverneur de la Banque du Canada a certainement dû recevoir des commentaires envieux de plusieurs de ces sorciers de la haute finance pour la réputation du Canada comme refuge financier mondial par excellence. .

On ne trouve sans doute pas de meilleure illustration de cette réputation que dans l’entrevue accordée au réseau Bloomberg par le grand patron de RBC Gestion de patrimoine – la plus grande institution du genre au Canada – dans laquelle il déclarait « le Canada est aujourd’hui ce qu’était la Suisse il y a vingt ans, et les banques canadiennes sont à l’image de leurs homologues suisses il y a vingt ans. »

C’est la dernière ritournelle à la mode. Le Canada projette l’image d’un refuge financier de premier ordre et d’un « îlot de sécurité et de stabilité » parce que tout le monde est convaincu que les finances du pays sont bien gérées, qu’il est supérieurement avantagé en richesses naturelles, et que son économie est très performante.

À chaque fois que je vois des banquiers s’échanger des congratulations, mon premier réflexe en est un de grand scepticisme. Mais ici, sur le blogue Sovereign Man, toutes nos conclusions sont fondées sur des faits. Nous avons donc analysé les chiffres en profondeur.

En premier lieu, la mère de toutes les institutions financières, la banque centrale du Canada.

Le premier critère de la bonne santé d’une banque centrale, c’est la solidité de son bilan que reflète le rapport entre son capital net et ses actifs, communément exprimé en pourcentage.

Alors, quelle est la performance de la « Banque du Canada » [Note du traducteur : L’auteur utilise à dessein la version française du nom de la banque, sans doute par dérision] à ce chapitre ? Pas très bonne.

En fait, comme les faits le démontrent, la Banque du Canada est la plus lamentablement sous-capitalisée de toutes les banques centrales en occident. Sa position à cet égard est si mauvaise que celle de la FED semble pétante de santé en comparaison.

Le Monetary Authority Exchange Fund de Hong-Kong constitue un bon exemple d’institution dotée d’un bilan solide. Les derniers chiffres en date du 30 juin faisaient état d’une réserve de capital de 22 % des actifs totaux. Il s’agit d’une marge de sécurité très importante pour une banque centrale.

En comparaison, celle de la Réserve fédérale des États-Unis (la FED) n’est que de 1,27 %. Le Canada ? Un minuscule 0,47 %... comme dans moins d’un demi pourcent. À ce niveau là, plus question de parler de sécurité et de stabilité. Il s’agit tout juste d’une erreur dans l’arrondissement des chiffres.

Qui plus est, le Canada n’impose AUCUNE exigence de réserve à ses banques. Cela veut dire que les banques canadiennes ne sont pas tenues de garder en réserve une partie des dépôts de leurs clients. Elles ont donc la possibilité de prêter 100 % des sommes déposées auprès d’elles.

Il n’y a pourtant pas matière à s’inquiéter, dit-on, la Société d’assurance-dépôts du Canada (la SADC) assure les dépôts bancaires à concurrence de 100 000 ! Mais lorsqu’on y regarde de plus près, les déposants ne sont pas très protégés. Au Canada, les dépôts admissibles à cette protection s’élèvent à environ 646 milliards. Or la SADC ne dispose que de 2,8 milliards $ pour couvrir les pertes, soit seulement 0,43 % du total.

Et ce qui est encore plus troublant, c’est que le Canada a adopté un mécanisme confiscatoire comme celui de Chypre pour permettre aux banques de se servir dans le compte de leurs déposants lorsqu’elles épuisent leurs capitaux propres. Cette disposition a été soigneusement dissimulée dans les méandres du Plan d’action économique 2013 du gouvernement fédéral. Il s’agit d’un plan de « recapitalisation interne » pour les banques qui revêtent « une importance systémique », un procédé qui ne répond pas à l’idée que je me fais de la sécurité.

Enfin, le mythe canadien achève de se dégonfler complètement lorsque vous examinez le niveau des réserves d’or du Canada. Au début de ce siècle, le Canada détenait 46,19 tonnes d’or. Aujourd’hui, il ne lui en reste plus que 2,99 tonnes. C’est une baisse spectaculaire de ses réserves de 93,5% en un peu plus de 10 ans !

En d’autres termes, les autorités monétaires canadiennes ont pris en toute conscience la décision de renoncer à des actifs tangibles en échange d’actifs papier que le premier illusionniste venu peut tirer d’un chapeau.

Elles ont conduit la banque centrale du Canada au bord de la faillite.

Il faut s’en tenir aux faits et non aux impressions.

Quiconque examine les faits ne peut tirer d’autre conclusion que le Canada n’est certainement pas le refuge sécuritaire que l’on prétend.

Simon Black

À propos de l’auteur : Simon Black est un investisseur international, entrepreneur, grand voyageur, « homme libre », et le fondateur du site Sovereign Man

http://www.vigile.net/La-Banque-du-Canada-est-au-bord-de-64261

http://www.sovereignman.com/finance/presenting-the-most-pitifully-capitalized-central-bank-in-the-west-hint-its-not-the-fed-14950/

14 octobre 2013

fin du dollar :la chine installe des distributeur de piéces d'or et d'argents pour ses citoyens a Pekin.

Charleston VoiceHua Xia Bank introduces five gold and silver coin ATMs in Beijing-2013-09-21-001

L’un des nouveaux distributeurs installés à Pékin. (Photo/CFP)

Selon le journal We Wei Po, les habitants de Pékin peuvent désormais acheter des pièces d’or et d’argent depuis des distributeurs automatiques, la banque Hua Xia ayant installé cinq de ces machines dans la ville depuis le début du mois.

La banque a installé les cinq machines dans les quartiers de Xidan, Fangshuang, Zhongguancum, Dongdan et Qingnian Road.

Elles ont l’air de distributeurs ordinaires, mais disposent d’un compartiment supplémentaire grâce auquel sont dispensées les pièces. Elles offrent actuellement des Pandas et des pièces d’or et d’argent célébrant l’année du serpent.

La pièce la moins chère proposée par ces distributeurs est un Panda d’argent de 268 yuans (40 dollars), et la plus chère est un Panda d’or de 23.800 yuans (3.800 dollars).

Les achats se font par carte bancaire. Après avoir placé commande grâce à l’écran tactile dont disposent les machines, le paiement de l’acheteur est vérifié grâce à l’organisme de vérification de paiement par carte bancaire UnionPay. Une fois le paiement vérifié, la pièce achetée est disponible dans le compartiment situé en bas de la machine.

 

Si l’acheteur désire dépenser plus de 20.000 yuans (3.200 dollars), il doit d’abord placer une carte d’identité sur la machine avant de pouvoir passer commande.



Source wantchinatimes

13 septembre 2013

Les marchés vont s'effondrer et les milliardaires sont déjà en train de se retirer des palces boursières

wall streetcc/flickr/matthewkolt

 

Une correction de 90 % des cours des actions est désormais envisagée par les plus grands acteurs sur les marchés financiers.

C'est un remarquable papier qui aurait échappé à ma sagacité sans l'aide précieuse de l'un de nos camarades contrariens qui m'a refilé l'information ce matin ! Un grand merci à lui pour ce petit trésor dont je vais vous faire profiter et qui vaut que je passe une bonne partie de ma journée et de ma soirée à traduire pour vous et surtout à vous en faire une synthèse (les vrais anglophones me pardonneront mais en gros, l'idée est là) !


Les marchés vont s'effondrer et les milliardaires sont déjà en train de prendre la poudre d'escampette !

Il y a en gros deux parties dans cet article.

La première est assez descriptive et démontre que certains milliardaires, et non des moindres, sont tout simplement en train de fuir les marchés boursiers américains comme européens. Bref, ils se retirent !
Parmi eux, que des très grands riches très connus, type Warren Buffet, John Paulson, Georges Soros. Il s'agit de garçons très sérieux ! Si eux s'en vont, je vous conseille vivement de vendre vos dernières actions si vous avez encore !

Ils revendent tout, mais alors tout et surtout ce qui est considéré comme de très belles valeurs comme Intel, Johnson & Johnson, Procter & Gamble et Kraft Foods, Sara Lee ! Ils se débarrassent également comme de la peste de tous leurs titres sur des valeurs bancaires comme JP Morgan, Goldman Sachs etc. !

La deuxième partie de cet article est plus économique, même clairement économique et tente d'expliquer comment une correction de 90 % (vous avez bien lu) des cours des actions est désormais envisagée par les plus grands acteurs sur les marchés financiers !

C'est un analyste du nom de Wiedemer qui explique son scénario sur lequel, d'après cet article, repose la fuite de nos grands milliardaires.

Que nous dit Wiedemer ?

Tout commence avec la stratégie imprudente de la Réserve fédérale qui a imprimé une quantité massive d'argent à partir de rien pour tenter de stimuler l'économie. Ce sont les fameux « quantitative easing » dont on vous rebat les oreilles depuis presque 5 ans désormais.

Pour lui, « ces fonds ne sont pas allés dans l'économie mais sur les marchés. Mais il y a une certitude mathématique. Tout cet argent finira par passer tous les barrages et l'inflation fera un bond ».

« Dès que vous atteignez une inflation de 10 %, les obligations du Trésor à 10 ans perdent environ la moitié de leur valeur. 20 %, leur valeur aura quasiment disparu. Les taux d'intérêt vont augmenter considérablement, et cela causera l'effondrement des valeurs immobilières. Conséquence de ces problèmes, les marchés actions connaîtront leur chute la plus redoutable. »

Mais ce n'est pas tout...

« Les entreprises devront dépenser beaucoup plus d'argent en raison de coûts d'emprunt très élevés, or en face il n'y a ni croissance forte ni une expansion du chiffre d'affaires ce qui conduira à une baisse très significative des marges, des dividendes beaucoup moins élevés, moins d'embauche et beaucoup plus de licenciements. »

Pour ceux qui parlent l'anglais ou le comprennent à peu près, vous pourrez regarder une vidéo qui mérite le détour si vous ne l'avez déjà vue.

En résumé

Que faut-il retenir de tout cela ? Que nous sommes à l'aube d'un krach boursier colossal, d'un krach obligataire phénoménal et d'une nouvelle étape de la crise qui a commencé en 2007, à savoir la crise obligataire et monétaire.

Soit la FED poursuit ses injections de monnaie sans résultat vraiment probant et de toute façon tôt ou tard cela déclenchera un épisode hyperinflationniste mondial, soit la FED arrête progressivement ses QE comme elle semble vouloir le faire et à ce moment-là les taux d'intérêt s'envoleront vers des sommets qui vont asphyxier purement et simplement tout le système économique.

Le baril de pétrole est à plus de 115 dollars, ce qui va largement diminuer la croissance économique mondiale. Les taux d'intérêt restent bas uniquement parce que les banques centrales rachètent massivement les obligations d'États en créant de la fausse monnaie. Sans cette aide massive, les taux vont bondir. Plus aucun acteur de l'économie ne pourra emprunter ni se financer. Les États surendettés, les ménages pour l'immobilier qui s'effondrera et bien sûr les entreprises.

Si les taux montent, personne n'a d'intérêt ni à acheter de l'or ni à acheter des actions mais uniquement des obligations d'États... Sauf que cette règle est vraie dans un contexte où les États seraient solvables. Or avec l'endettement cumulé, plus aucun économiste sérieux ne croit à la solvabilité des États (en tout cas en privé).


Conséquence logique : les marchés vont s'effondrer, les actions également, l'or pourrait baisser dans un premier temps avant que sa valeur ne se reprenne pour prendre en compte le risque majeur d'insolvabilité généralisée... Dès lors, son cours n'aura plus de limite, tout le monde ne voudra plus que ça... puisqu'au bout du compte, seul l'or passera cette étape finale de la crise. Nous y arrivons.


Par

http://www.economiematin.fr/les-experts/item/6261-crise-politique-monetaire-krash-boursier#Q2mJtEMrlPe8IUvW.99

13 mars 2013

Ce secret politiquement explosif sur le niveau de vie des Allemands .

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En décembre 2006 la Banque centrale européenne a mis en place le réseau EFCM, composé de sondeurs, de statisticiens, d'économistes provenant de l'institution financière, mais aussi de banques centrales nationales de la zone euro, et d'instituts de statistiques. L'acronyme EFCM désigne l'Enquête sur les finances et la consommation des ménages (en anglais, Household Finance and Consumption Survey). Il était supposé collecter de informations au niveau local sur la richesse des foyers. Un projet bureaucratique d'une ampleur importante. Les études ont débuté en 2010, et les résultats sont maintenant prêts. Personne en Europe n'avait jamais mené une étude à cette échelle. Et personne ne le fera plus jamais.

Car dans une période où les renflouements et les transferts de richesse plus que jamais d'actualité, les résultats de l'enquête prêtent tant à controverse que la Bundesbank garde le rapport secret. Et on sait maintenant pourquoi.

En Autriche, la moitié de la richesse du pays aux mains des plus fortunés

Les études ont été menées à l'échelle nationale, chaque banque centrale ayant publié son propre rapport. Ils devaient être mis en commun et publiés sous la forme d'un résumé donnant un aperçu de la richesse et de la pauvreté des gens dans les différentes régions de la zone euro. Certains pays ont déjà publié leur rapport, comme l'Autriche et l'Italie.

Les résultats collectés par la Banque nationale d'Autriche ne sont pas brillants. Dans un rapport de 20 pages, le lecteur n'échappe pas au constat suivant : la richesse remarquable qui caractérise le pays est distribuée de manière très inégale. Les plus riches détiennent près de la moitié de la richesse du pays. Le montant moyen de leur fortune s'élève à 1,7 millions d'euros, une somme répartie entre différents actifs.  

Dans l'autre moitié de la richesse du pays, on peut compter 83% de locataires. La montant médian de leur richesse se situait autour d'un ridicule 11 000 euros, constitué dans la plupart des cas d'une voiture et d'économies sur un compte en banque. Cette situation concerne la moitié des Autrichiens ! Et 10% des gens avaient une richesse nette s'élevant à 1000 euros.

Toute vérité n'est pas bonne à entendre

Cette distribution des riches inégales a créé un fossé énorme entre les richesses médianes de 76 000 euros (la moitié des gens ont plus, l'autre a moins) et les richesses de 265 000 euros en moyenne (détenue en général par un petit nombre de foyer très, très riches). C'est pourquoi certains pays ne publient même pas leurs chiffres sur les fortunes dans leur pays: toute vérité n'est pas bonne à entendre.

Les chiffres de l'Allemagne devraient être similaires (mais la Bundesbank considère son rapport comme un secret qu'il ne faut absolument pas dévoiler). Car  les résultats sont embarrassants pour deux raisons : la répartition des richesses inégale est la première d'entre elles Le gouvernement allemand a déjà traversé des turbulences l'année dernière, mais aussi il y a peu de temps lorsque certaines informations dérangeantes d'un rapport sur la pauvreté ont fuité. Le document a été censuré.

L’Italie est l'autre problème. Mais il se pourrait qu'il soit trop délicat à traiter pour la Bundesbank. Le rapport sur le pays (142 pages) explique que la richesse médiane des ménages italiens a augmenté de 56% depuis 1991. Et de 2008 à 2010, elle a augmenté de 5% par an, malgré la crise.

Celle des ménages allemands a stagné durant cette période, alors qu'ils mettaient largement la main à la poche pour payer des impôts.

Et maintenant, ils sont sur le point d'apprendre que la richesse médiane des foyers Italiens s'élève à 163,875 euros, tandis que les chiffres de la République fédérale sont plus proches que ceux de l'Autriche, soit 76 000 euros. Moins de la moitié! "C'est politiquement explosif" ont chuchoté des sources à la Bundesbank au site d'information allemand FAZ.

Ces rapport montrent que dans certains pays comme l'Italie où les finances publiques ont été critiquées pour leur mauvais état, la richesse moyenne des ménages se porte en réalité mieux que dans certains Etats dont les comptes publics sont supposés être en meilleure santé, et où les gouvernements ont gardé les déficits et les dettes à un niveau bas.

Des Italiens plus doués pour s'agripper à leur fortune

En 2012, l'Allemagne affichait un minuscule déficit. Mais les taxes élevées et l'enthousiasme remarquable des citoyens à l'idée de les payer (bien que la triche soit un sport national )  a transféré la richesse des mains des citoyens à celles de l'Etat ces dernières années. Les Italiens ont été plus doués pour s'agripper à leur fortune. Et ce, au détriment des finances publiques. D'autres études ont montré des tendances similaires, mais jamais à un tel niveau et avec tant de détails. Et surtout,  pas de cette manière "harmonisée" et facile comparer.

Cela pourrait provoquer une tempête en Allemagne. Ce n'est pas seulement de la jalousie. Les contribuables allemands sur les nerfs  devraient être engagés malgré eux dans le renflouement de l'immense dette de l'Italie alors que les Italiens eux-mêmes, dont la richesse médiane est deux fois plus élevée que celle des Allemands, refusent de payer. Cela ne passerait pas. Pas du tout. Et surtout cela pourrait devenir un cauchemar politique pour la chancelière Angela Merkel, qui doit affronter les élections dans quelques mois, et donc éviter tout scandale.

La saga des renflouements doit se poursuivre

Si jamais le rapport devait être publié sous sa forme brute (ce qui n'est pas certain vu le scandale qu'a provoqué le rapport sur la pauvreté) les statisticiens de la Bundesbak tenteront d'expliquer la différence entre les pays comme l'Italie et l'Allemagne : la richesse des foyers est particulièrement élevée dans certains pays qui ont des droits de propriété élevés tenteront-ils de démontrer. Dans les pays où louer son logement est une pratique courante comme l'Allemagne, une part importante logements est sous le contrôle de l'Etat, et subventionnée. Ainsi, la richesse est publique, etc., etc.

Car la saga des renflouements doit continuer. La violente réalité, c'est que les Allemands ne peuvent pas se permettre de renflouer leurs riches voisins. Mais elle ne doit en aucun cas interférer avec la remarquable et glorieuse histoire de l'euro.

La monnaie a été mise en circulation le 1er janvier 2002. Depuis six ans, les euros sont tombés du ciel dans les pays d'Europe du Sud. Mais la bulle a crevé. Depuis, l'union monétaire a été en crise, et ce, presque durant la moitié de son existence ! La confiance en cette dernière est au plus bas. Avec une teinte de résignation en Allemagne.

En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/decryptage/secret-politiquement-explosif-niveau-vie-allemands-que-bundesbank-garde-jalousement-wolf-richter-666468.html#Yp6K8EYWeUWZp02I.99

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22 février 2013

Le film que les banques ne souhaitent pas que vous voyez...

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Voici un petit film bien réalisé, à propos de la rapacité des banques et de leurs traders en denrées alimentaires. Ce film appelle à signer une pétition lancée par Solidar Suissecontre ces pratiques qui aggravent les problèmes d’accès à la nourriture. Bien sûr, on pourrait regretter que ne soient pas mentionné le rôle joué par le FMI, la Banque Mondiale, et les politiques de subvention agricole dans les pays occidentaux. Ceci étant, le message est clair, et le but précis. Est-il atteignable ? Les citoyens peuvent-ils influer pour faire interdire ces pratiques ?

Quoi qu’il en soit, la spéculation sur le cours des céréales et des denrées alimentaires est d’un cynisme sans nom, et le film est tout-à-fait explicite à ce sujet.

13 février 2013

Olivier Delamarche : La fuite en avant de la FED et quelques conseils pour protéger son argent.

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5 octobre 2012

Le Film Anti- Musulmans est-il un prétexte pour cacher une false flag sur le systeme boursier mondiale ?

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Des banques américaines attaquées par des hackers islamistes

A la suite de la mise en ligne du film L'Innocence des musulmans, des hackers islamistes ont commencé à s'en prendre à des institutions financières américaines, réclamant le retrait de la vidéo, dans une forme de jihad « par l'épée » numérique.


Depuis la publication en ligne du film amateur et islamophobe L’Innocence des musulmans, des vagues de violence ont déferlé dans les pays à majorité musulmane, notamment contre les Etats-Unis. Depuis une semaine, le combat s’est déporté en ligne, où les grandes institutions et banques américaines essuient des attaques régulières en déni de service distribué, principalement sur leurs sites Web et leurs systèmes informatiques.
Dès le 19 septembre 2012, les services financiers du Centre de partage d’information et d’analyse (FS-ISAC), qui veillent à la sécurité des organismes financiers américains, sonnaient l’alarme, montant le risque d’attaque au niveau « haut ». Depuis, ils maintiennent le niveau d’alerte dans le rouge à « cause de récents renseignements au sujet d’attaques en déni de service distribué et autres cyberattaques contre les institutions financières ».
Il faut dire que la liste des établissements attaqués est importante : Bank of America, JP Morgan Chase, New York Stock Exchange (NYSE), US Bank, PNC et, dernièrement, la Wells Fargo, qui s’est d’ailleurs excusée sur son compte Twitter de la gêne occasionnée.
Il n’en fallait pas beaucoup plus pour que l’ineffable sénateur Joe Lieberman, à l’origine de CISPA et des premières versions très décriées du CyberSecurity Act 2012, monte au créneau dans une émission sur C-Span et pointe du doigt l’Iran

 

La raison de ce film c'est de créer une diversion en accusant les musulmans de s'etre vengés du film contre leur prophète,  en  faisant chuter les bourses   et ainsi cela permettra aux élites  de créer une monnaie unique et le  NWO en faisant porter le chapeau a l'iran ..Ordo Ab Chaos n'aynt pu agir avec les JO tellement l'information sur la toile avait été très rapide merci au défunt Rick clay qui a payé de sa vie sa divulgation, le plan a du changé en cours de route faisant passer les blogger du monde entier pour des paranos ,dans ce monde il vaut mieux l'etre , prevenir c'est guérir et comme par hasard vous verrez pulluler sur le net des menaces de pseudo groupes crées de toute pièce pour servir d'alibi, oui le film stupide etait un prétexte et fait partie d'un plan de cyber attaque d'envergure .......RJ

Encore une fois les musulmans passent pour les méchants comme les indiens dans les westerns qui les dépeignés comme de sauvages sanguinaires qui scalpaient femmes et enfants sans pitiée légétimant le massacre de près de 20 millions d'entre eux , les règles ne changent pas juste les joueurs .RJ

Efficaces et redoutables. L'ancien patron de la CIA ne disait-il pas que l'électron
est la munition du XXIème siècle ? Et quand il parlait d'électron, il pensait aux
électrons des ordinateurs, à l'ère de l'information.
Pour lui, les pirates sont les nouveaux guerriers de l'Amérique.
L'arme numérique est très utile dans le cadre d'une confrontation.

voici les messages qui circulent sur le web ils vont tous dans le même sens : cyber terrorisme islamique en préparation c'est bien on connait à l'avance les coupables au moins ils sont forts .......

Toulon cyber djihadiste terroriste islamiste site internet administrateur Al Qaïda Aqmi

Un cyber-islamiste basé à Toulon arrêté - Libération

L'homme est suspecté d'être le webmaster du site « Shomoukh Al-Islam ... vue de préparer des actes de terrorisme et financement d'une entreprise terroriste ».

Les banques ne parviennent pas à repousser la menace cybernétique - lati

Feds Préparez-vous à cyberterrorisme comme les menaces, anciennes Fade

Furtifs, des infiltrations inopinées constituent la plus grande menace

Par Joshua Philipp
 
 
www.theblaze.com/.../what-did-fbi-director-say-is-americas-no-1-thr...

Le directeur du FBI, Robert Mueller, a réitéré son témoignage devant le Comité sénatorial sur le renseignement en Janvier que les cyber-menaces dépasserait le terrorisme comme principale préoccupation du pays.

Menaces De Cyber Terror à Supplant Dangers Guerre froide...

www.bloomberg.com/.../threats-from-cyber-to-terror-supplant-cold-.

security.blogs.cnn.com/.../coping-with-the-persistent-threat-of-terror/

 

  les cyber attaques terroristes et biologiques... la menace de la diaspora musulmane

La menace iranienne Cyber aux États-Unis - George Washington...

www.gwumc.edu/.../Iran%20Cyber%20Testimony%204.2... - États-Unis

Le terrorisme islamique est la principale menace: la police suédoise - La section locale

www.thelocal.se/35970/20110906/

Portée mondiale: Les terroristes et l'Internet

les terroristes utilisent Internet comme une plate-forme pour lancer des cyber-attaques...(IRA) avait préparé la police pour la nouvelle menace posée par le terrorisme islamiste a déclaré,...

www.globalpolitician.com/161-terror-threats
Langue du texte original : anglais

Le Dark Web Of Terror Cyber - La menace ...Cyber terrorisme représente une facetteinconnues du terrorisme islamique extrême.

et lisez les journaux le ton ne changera guère .............

 


Possible 'False-Flag' Cyber-Attaque Financière par GoldenAwaken

7 novembre 2011

La banque d’Angleterre refuse de divulguer des informations sur ses transactions en or

La banque d’Angleterre refuse de divulguer des informations sur ses transactions en or
Refusant une récente demande de liberté de l’information émise par un citoyen du Royaume-Uni, la banque d’Angleterre insiste pour que l’ensemble de ses transactions en or soient tenues secrètes. Le 24 octobre dernier, dans une réponse à James Bern, supporteur...
6 novembre 2011

Un trader à la BBC alerte :L'argent de millions de gens va s'évaporer

Un trader à la BBC  alerte :L'argent de millions de gens va s'évaporer
Intervention d'un trader à la BBC. Alessio Rastani: Le marché va tomber lourdement et va s'écrouler parce qu'ils sont désormais dirigés par la peur: les investisseurs, tout l'argent des fonds spéculatifs et des grands fonds d'investissements, les institutions...
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