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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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argent
28 février 2017

Vaccins sans danger? Prouvez-le pour 100 000 $, dit De Niro

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L'acteur Robert de Niro s'est lancé dans une campagne anti-vaccin accompagné de l'avocat et militant Robert F. Kennedy Jr. Les deux hommes sont prêts à offrir 100 000 dollars à celui qui prouve que le vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons est sans danger pour la santé.

«Nous allons offrir une récompense de 100 000 $, cela s'appelle le 100K Challenge, à tout journaliste ou n'importe qui d'autre qui prouverait qu'il est sûr d'injecter du mercure dans les bébés et les femmes enceintes, au niveau où ils sont actuellement injectés avec le vaccin contre la grippe», a déclaré Kennedy dans une conférence de presse à Washington D.C. le 15 février 2017.

Kennedy et De Niro souhaitent qu'une enquête indépendante soit menée pour comprendre quel impact a le thimérosal sur le corps humain. Le thimérosal est un composé chimique contenant du mercure qui se trouve dans de nombreux vaccins pour éviter une prolifération bactérienne.

Robert De Niro a un fils atteint d'autisme. Il affirme que son comportement aurait changé du jour au lendemain après avoir été vacciné.

http://fr.canoe.ca/sante/nouvelles/archives/2017/02/20170224-150754.html

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25 novembre 2014

Les gouvernements, les multinationales et les organisations criminelles ont un point commun : l'argent.

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Les hommes et les partis politiques, dont l'objectif premier est la conquête du pouvoir, se doivent d'avoir un soutien financier qui leur permette d'y accéder. Ce soutien, provenant soit de grandes entreprises soit de personnes possédants les dîtes entreprises, leur permettra de faire campagne. Ce sera aussi une garantie pour le donateur d'une fidélité du bénéficiaire aux engagements qu'il aura pris. L'homme politique qui sait que la victoire passe par une communication efficace, et donc onéreuse, dépend entièrement des milieux financiers qui peuvent faire ou défaire sa carrière à volonté.

 

La présidentielle à la corbeille

On peut encore en faire le constat cette année aux États-Unis, où John Mc Cain et Bill Bradley, pour des raisons qui doivent autant à la tactique qu'à leurs convictions, se sont engagés à réformer le système de financement des campagnes électorales, présidentielles et législatives. Mal leur en a pris dans un pays où même les parlementaires du congrès profitent de financements intéressés. Il nous est tout de même permis de douter de la sincérité des candidats susnommés quand on sait que le démocrate Bill Bradley a bénéficié de la manne de compagnies telle que Citigroup, Merrill Lynch, Goldman Sachs, et Morgan Stanley, et que le républicain JohnMc Cain, président du Senate Commerce Committee, a été commandité par US West, AT&T, Viacom, Boeing et Bank of America, des groupes en lien étroit avec le comité qu'il préside.
Al GoreGeorge W BushLes deux candidats restant en lice pour les présidentielles 2000 américaines étaient le vice-président Al Gore et le gouverneur du Texas, George W. Bush.

En 1999, George W Bush a soulevé 37 millions de dollars en quatre mois - avant une primaire simple - plus que l'ensemble de ce que Bill Clinton et Bob Dole ont levé pour leurs campagnes respectives de 1995 et de 1996.
Le démocrate Al Gore bénéficie principalement des largesses de la National Education Association, de la Walt Disney Company et de Loral Space and Communications. Cette dernière compagnie a tiré bénéfice du desserrement de l'administration de Clinton vis-à-vis des restrictions qui concernaient la vente d'équipement de haute technologie en Chine. On peut noter à ce sujet que dès 1996, Henry Kissingera été engagé auprès de la société Walt Disney comme consultant sur les activités liées à la Chine. Al Gore obtient également l'argent de Goldman Sachs et Citigroup, aussi bien que d'Ernst and Young et Bell South.
Le républicain Bush est soutenu par Philip Morris, AT&T, Atlantic Richfield, et Archer Daniels Midland pour ne citer que celle-là. Il n'est pas surprenant que les plus grands donateurs professionnels de G. W. Bush soient des compagnies de l'état du Texas, comprenant Enron Corporation et la famille Bass.

 

Finance, sociétés secrètes et terrorisme

On a la surprise de constater que des entreprises qui, à priori, ont des objectifs différents, puisqu'elles soutiennent des candidats de partis opposés, se retrouvent main dans la main à d'autres niveaux.

En 1996, les membres de l'organisation Bilderberg se réunissaient à Toronto. Andreas Dwayne (USA), président de Archer Daniels Midland, soutien des républicain, côtoiera Peter D.Sutherland, président de Goldman Sachs International, soutien desdémocrates. Henry Wendt, quand à lui, est un des directeurs de Atlantic Richfield, et il est membre du groupe frère des Bilderberg, la Commission trilatérale.
Le vice-président Al Gore est la marionnette obligeante de son patron, le Président Clinton. Ce dernier est un Trilateraliste à long terme quia été promu au groupe Bilderberg en 1991, à Baden Baden, en Allemagne.
George W. Bush a pour conseillers en politique étrangère Richard Pearle et Richard Armitage, tous deux membres de longue date des Bilderberg. Son père, l'ancien Président George Bush, avait une place de choix auprès de ces organismes plus ou moins secrets, secret garanti par la complicité des médias. Cette complicité n'est pas une faveur mais bien une mesure de précaution. Le journaliste américain Allan Francovich n'est plus là pour en témoigner. Il enquêtait sur l'assassinat du premier ministre suédois Olof Palme. Il est officiellement décédé le18 avril 1997 alors qu'il passait la douane de l'aéroport de Houston, en vue de rencontrer l'assassin du premier ministre qu'il avait réussi à retrouver. Olof Palme avait pour intention de poursuivre la démilitarisation de la Finlande et, entre autres choses, de fermer deux stations d'écoute électronique stratégiques pour l'OTAN. Le 25 février 1986, trois jours avant l'assassinat de Palme, le Grand maître de la Loge P2 Licio Gelli adresse un télégramme au Republican National Committee et au membre de la P2 Philip Guarino, indiquant : "L'arbre suédois va tomber. Dites-le à notre bon ami Bush. "
Mais le fils Bush a aussi ses amis. Le banquier saoudien Khaled Bin Mahfouz a effectué des versements au profit d'associations caritatives proches du "terroriste" Ussama Bin Laden. Il est aussi centre du scandale de la BCCI (Bank of Credit and Commerce International) qui a été mise en liquidation en 1991. Cette banque est accusée de corruption, de financements occultes et de blanchiment d'argent. Khaled BinMahfouz a détenu 20% des parts de cette banque où il occupait un rôle central entre 1986 et 1990. Son représentant aux Etats-Unis, Abdullah Taha Bakhsh, possédait 11,5% de la société dont George W Bush était directeur et conseiller : Harken Energy. Cette entreprise a bénéficié d'investissement provenant de la BCCI avec la bénédiction, et surtout la signature de Abdullah Taha Bakhsh.
George W Bush (le fils) a détenu, entre1990 et 1994, des parts de la société Caterair, une filiale du groupe Carlyle où siège George Bush (le père), et qui est l'une des principale sociétés contributrice à la campagne de George W Bush (le fils). Khaled Bin Mahfouz a une influence dans Carlyle puisqu'il y a des intérêts. En effet, il possède la Prime Commercial Bank, un établissement financier pakistanais implanté à Lahore, dont le directeur Sami Baarma figure au conseil de Carlyle.
Est-il besoin de poursuivre la démonstration sur l'interconnexion entre les différents milieux cités plus haut ?

 

L'éthique au panier

Mais la prise de pouvoir n'est pas le seul objectif du politicien. Le bon déroulement de sa carrière est une préoccupation bien plus essentielle. Dans ce métier, les hommes passent, mais doivent assurer leurs arrières quand ils ne sont plus sur le devant de la scène. Cela n'est possible que si leur action politique ne va pas à l'encontre de ceux qui sont à même de les embaucher par la suite. Mais comment peut-on rendre compatible l'action d'un mouvement politique sensé agir pour le bien du peuple qui élit ses représentants, et être en accord avec la logique libérale qui est loin d'être satisfaisante en ce qui concerne le bien-être de l'ensemble des habitants de la planète ? Comment un technocrate, employé dans le service publique le temps d'une majorité politique, peut avoir une action visant à améliorer ce dit service, ce qui, de toute évidence, est contraire à l'intérêt des compagnies privés ?
C'est la pirouette audacieuse que l'ancienne secrétaire générale adjointe de l'Elysée, Anne Lauvergeon , réussie en devenant associée gérante de Lazard Frères, membre du conseil de Pechiney, pour finir directrice générale adjointe d'Alcatel Télécom. Jean-Charles Naouri, ancien directeur de cabinet de Pierre Bérégovoy, ministre des finances, devient, quant à lui, associé gérant de la banque Rothschild, un poste qu'occupe également  Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d'Edouard Balladur.
ASPEN INSTITUTEEn ce qui concerne Françoise de Panafieu, Ambassadeur Délégué Permanent de la France auprès de l'UNESCO, Adjointe au Maire de Paris), ancienne candidate àl'élection pour la mairie de Paris, ces appuis pour la campagne autant que ses arrières en cas d'échec étaient assurés.
En effet, elle a le privilège de côtoyer de nombreuses personnalités du milieu économique français en tant que membre de l'ASPEN France.
Cette organisation est présidée par le membre créateur d'ASPEN France également membre d'ASPEN Institute aux États-Unis Olivier MELLERIO, et le poste de Vice-Président est occupé par Patrice VIAL, le Président Directeur Général de la banque Morgan Stanley SA dépendant de la famille Rothschild. D'autre part, existe au sein de l'ASPEN France, un conseil d'orientation rassemblant des Bilderbergers dont le bien connu moteur de l'Union Européenne Jacques Delors et le Président de Lafarge, Bertrand Collomb.
Les compagnies privées ne sont ni bienfaitrice, ni masochistes. Celui qui a perdu dans cette histoire ne peut être que le service public,et par delà la cohésion de la nation, la cohésion des peuples qui composent toutes les nations.
Mais tout cela serait compréhensible si les grandes associations criminelles n'assuraient pas le recyclage des fabuleux profits tirés de leurs activités avec la complicité des milieux d'affaires et l'opposition apparente de politiciens fantoches qui profitent de façon induite ou directe du système.
Les profits engendrés par les affaires du crime organisé, hors frais de blanchiment, sont estimés à 350 milliards de dollars par an. Cet argent est investit en bourse, là où les bénéfices seront rapides et élevés, contribuant à grossir une bulle financière déséquilibrant les unes après les autres les places financières de la planète.
Les activités de ces organisations sont hors la loi et leur action sur les milieux financiers est dangereuse pour la stabilité économique du monde. Mais on se doit de rajouter que l'action qu'elles ont sur l'argent qu'elles manipulent n'est même pas profitable au développement économique puisque les investissements qu'elles effectuent n'ont qu'un but : le profit maximum en un minimum de temps.

 

Offshore, of course !

La classe politique coupable de faire semblant d'agir contre ces pratiques nuisibles, a tout intérêt à laisser le système en l'état. Les pots-de-vin sont monnaie courante dans le milieu des grandes compagnies, comme nous l'a encore montré récemment l'affaire ELF, mais qu'en est-il des commissions occultes dans le milieu criminel ? Ces deux milieux sous les dorures des établissements qu'hébergent les paradis fiscaux. Les déclarations de principe pullulent sur la conduite à adopter devant les receleurs de l'argent du crime, de l'argent noir du sport, de l'industrie du spectacle ou de la mode, les complices de la fraude fiscale des particuliers ou des multinationales. Mais comme ce sont ces mêmes paradis qui servent d'intermédiaires au financement de certains partis politiques, ou qui profitent à des sociétés qui font travailler le peuple, garantissant ainsi la paix sociale, le statu quo est de rigueur.
Le FMI n'a de cesse d'intervenir pour contraindre certains pays à adopter les "bonnes" règles de conduites économiques,encourageant untel par un prêt conséquent, punissant tel autre par un embargo, et ce au mépris des populations. L'OMC ne se gêne pas pour contraindre l'Union Européenne à calquer sa réglementation sur la libérale Amérique. Les États-Unis, entre autres, ne se privent pas d'en référer au droit d'ingérence quand le comportement d'un pays n'est pas en accord avec l'idée qu'ils se font du nouvel ordre mondial.  
Il m'est difficile de croire que la mise au pas des paradis fiscaux dont 95 %sont d'anciens comptoirs ou colonies qui sont restés sous la protection des britanniques,des français, des espagnols, des néerlandais ou des américains est impossible. Tout comme il m'est difficile de croire que l'instauration de la taxe Tobin sur les échanges boursiers purement spéculatifs qui aurait pour effet de limiter ces derniers soit inefficace ou inapplicable. 

 

Conclusion

Notre société moderne court après cet argent qui nous donne l'illusion du pouvoir et de la liberté. Mais la vérité est que la majorité des gens, des nations, des compagnies sont prisonnières de leurs dettes et que nombre de médias, de politiciens ou de chercheurs sont redevables ou dépendant de ceux qui les soutiennent financièrement. C'est pour ces raisons qu'il me paraît évident que l'argent n'est en fait qu'un instrument de contrôle.
Le 21 novembre 1933, le président américain Franklin D. Roosevelt écrivit à un confident : « La vérité en ce domaine est, comme vous et moi le savons, que dans les grands centres un élément financier possède le gouvernement, et ce depuis le temps d'Andrew Jackson.»




Sources :

The Spotlight (Désormais disparu - remplacé par American Free Press - http://www.americanfreepress.net )
Le Monde Diplomatique,
février 2000 et avril 2000
Le Monde, 12-13/10/1997
The Buying of the President 2000, Charles Lewis
http://frenzy.chez.com/argent.htm#.VHPZVGe1bQI

27 novembre 2013

Qui a assassiné Kennedy, et pourquoi? I. La convertibilité du dollar en argent

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John F. Kennedy a été assassiné le 22 novembre 1963 d’une exécution classique, d’une forme de sacrifice rituel connue sous le nom d’Assassinat du Roi un de plus de la lignée des capétiens. Cette manière inhabituelle et plutôt horrible d’assassiner publiquement un dirigeant extrêmement populaire a pour but de choquer et d’impressionner la conscience des masses.

‘Il existe un rituel de Sociétés Secrètes surnommé ‘Assassinat du Roi’. Le souverain national d’un peuple n’est rien de plus qu’un homme de paille sans aucun pouvoir. Le pouvoir se trouve bien au-delà de ce que nous pouvons voir, au cœur des secrets les plus sombres. D’autres tirent les ficelles des pantins de la politique. Si un pantin politique arriviste décide de faire des vagues ou de ne pas jouer le jeu… il est éliminé. C’est pourquoi César a été assassiné. Et c’est pourquoi Kennedy a été assassiné. Si vous dérangez la structure du pouvoir, vous êtes pris pour cible et éliminé. Les assassinats de ce type montrent au reste du monde qui détient le pouvoir, qui tient vraiment les rênes. La vérité, c’est que nos vrais souverains nous contrôlent depuis les ténèbres. (Il y a une raison pour laquelle l’As est plus fort que le Roi dans un jeu de cartes. L’As représente les Sociétés Secrètes qui mènent la danse)’.


Tiré de: WAS JFK KILLED BECAUSE OF ROSWELL? par Doug Yurchey

Kennedy était de loin le plus courageux et le plus altruiste des présidents de l’histoire Américaine moderne. Au cours de ses trois années de présidence, il a pris plus de décisions hardies, émis plus d’ordres exécutifs audacieux et mis en place plus de politiques révolutionnaires que tous les autres présidents du XXe siècle mis ensemble. Comment y est-il parvenu ?

Ce qui suit est une liste des dix raisons pour lesquelles Kennedy est devenu l’homme le plus pris pour cible des Etats-Unis en 1963.

Chacune de ces dix raisons suffirait aujourd’hui à mettre en danger la vie de n’importe quel président des Etats-Unis. Et ce ne sont que les dix raisons les plus évidentes. Kennedy a pris bien d’autres initiatives courageuses qui ont fait de lui le grand ennemi des pouvoirs en place.

La vraie question est de savoir comment il est parvenu à survivre si longtemps.


(1) Kennedy a émis un l’ordre exécutif 11110 qui rendait essentiellement impuissant le système de Réserve Fédérale. Ce syndicat criminel international est un cartel bancaire privé sans aucune réserve qui est tout sauf fédéral, puisque ses propriétaires sont plus étrangers que domestiques. Comme le président Andrew Jackson, il savait que la Fed devait disparaître pour que les Etats-Unis puissent cesser d’être les esclaves de leur dette. Inutile de préciser que les banquiers du nouvel ordre mondial n’ont pas toléré une telle audace, et que Kennedy savait très bien qu’il en paierait le prix fort.

‘Le 4 juin 1963, Kennedy a signé l’ordre exécutif 11110 qui demandait l’émission de 4.292.893.815 (4,3 milliards) de dollars Américains par le Trésor plutôt que par le système traditionnel de la Réserve Fédérale. Le même jour, il a signé une loi proclamant que les billets d’un et de deux dollars devaient être convertibles en l’or et non en l’argent, ce qui a permis de renforcer la devise Américaine affaiblie’ [1].

Kennedy avait parfaitement conscience du degré auquel le système de Réserve Fédérale avait usurpé le droit Constitutionnel de sa nation d’imprimer de la monnaie et sa capacité de réguler sa devise. Il savait également que c’était là le plus gros challenge qui se présentait à son administration.

Comme Abraham Lincoln et Andrew Jackson, il était conscient des conséquences qu’auraient ses tentatives de remettre le contrôle monétaire à sa place de droit, c’est-à-dire entre les mains du Trésor. Bien qu’il dispose de l’autorité statutaire qui lui permettait d’agir, Kennedy comprenait que ses batailles ne seraient pas sans victimes, et qu’il aurait de grandes chances d’en sortir perdant au vu du pouvoir intouchable et de l’influence omniprésente de ses formidables adversaires de la Fed.

‘Lorsque le président John Fitzgerald Kennedy … a signé cet ordre exécutif, ce pouvoir a été retourné au gouvernement fédéral, plus précisément au Département du Trésor, qui a le pouvoir Constitutionnel de créer et d’émettre de la monnaie – sans passer la Banque de réserve Fédérale. L’ordre exécutif 11110 du président Kennedy a donné au Département du Trésor le droit ‘d’émettre des certificats sur l’argent contre des lingots d’argent, de l’argent ou des dollars argent’. Cela veut dire que pour chaque once d’argent qui se trouvait dans les coffres du Trésor des Etats-Unis, le gouvernement pouvait introduire de la nouvelle monnaie dans l’économie. En conséquence, plus de quatre milliards de dollars de billets Américains sont entrés en circulation en dénominations de 2 et 5 dollars. Les billets de 10 et 20 dollars n’ont jamais circulé mais étaient en train d’être imprimés par le Département du Trésor quand Kennedy a été assassiné. Il paraît évident que Kennedy savait que les billets de la Banque Fédérale qui étaient utilisés en tant que change légal étaient contraires à la Constitution des Etats-Unis d’Amérique.

‘Kennedy savait que si les billets soutenus par de l’argent commençaient à circuler en de grandes quantités, ils auraient fini par éliminer la demande en billets de la Réserve Fédérale. C’est une règle simple de l’économie. Les billets du Trésor étaient convertibles en  l’argent physique, et les billets de la Réserve Fédérale n’étaient soutenus par rien qui ait une valeur intrinsèque. L’ordre exécutif 11110 aurait pu empêcher la dette des Etats-Unis d’atteindre son niveau actuel (la quasi-intégralité des neuf trillions de dollars de dette fédérale des Etats-Unis ont été générés depuis 1963) si Lyndon B. Johnson ou les présidents qui lui ont succédé avaient décidé de le faire entrer en vigueur. Il aurait permis au gouvernement des Etats-Unis de rembourser sa dette sans passer par les Banques de Réserve Fédérale privées et avoir à payer des intérêts sur la ‘nouvelle monnaie’. L’ordre exécutif 11110 offrait aux Etats-Unis la capacité de créer une nouvelle fois leur propre monnaie soutenue par l’argent et une devise qui valait réellement quelque chose.

Selon mes propres recherches, cinq mois seulement après l’assassinat de Kennedy, plus aucun certificat sur l’argent de 1958 n’était émis, et les autres ont été retirés de la circulation. Peut-être l’assassinat de Kennedy était-il une mise en garde destinée aux présidents futurs qui étaient susceptibles de se trouver tentés d’interférer avec le contrôle privé de la Réserve Fédérale sur la création monétaire. Il semble assez évident que Kennedy a dérangé les pouvoirs qui se cachent derrière les finances des Etats-Unis et du monde’.
–  JFK Vs The Federal Reserve par John P. Curran (4-19-7)

[1] http://www.hermes-press.com/frs1.htm

 http://www.24hgold.com/francais/actualite-or-argent-qui-a-assassine-kennedy-et-pourquoi-i-la-convertibilite-du-dollar-en-argent.aspx?article=4703618506G10020&redirect=false&contributor=R%C3%A9flexion%20du%20jour&mk=2

In Memoriam:
JOHN F. KENNEDY: A True Profile In Courage

Source : State of the Nation 2012

14 octobre 2013

fin du dollar :la chine installe des distributeur de piéces d'or et d'argents pour ses citoyens a Pekin.

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L’un des nouveaux distributeurs installés à Pékin. (Photo/CFP)

Selon le journal We Wei Po, les habitants de Pékin peuvent désormais acheter des pièces d’or et d’argent depuis des distributeurs automatiques, la banque Hua Xia ayant installé cinq de ces machines dans la ville depuis le début du mois.

La banque a installé les cinq machines dans les quartiers de Xidan, Fangshuang, Zhongguancum, Dongdan et Qingnian Road.

Elles ont l’air de distributeurs ordinaires, mais disposent d’un compartiment supplémentaire grâce auquel sont dispensées les pièces. Elles offrent actuellement des Pandas et des pièces d’or et d’argent célébrant l’année du serpent.

La pièce la moins chère proposée par ces distributeurs est un Panda d’argent de 268 yuans (40 dollars), et la plus chère est un Panda d’or de 23.800 yuans (3.800 dollars).

Les achats se font par carte bancaire. Après avoir placé commande grâce à l’écran tactile dont disposent les machines, le paiement de l’acheteur est vérifié grâce à l’organisme de vérification de paiement par carte bancaire UnionPay. Une fois le paiement vérifié, la pièce achetée est disponible dans le compartiment situé en bas de la machine.

 

Si l’acheteur désire dépenser plus de 20.000 yuans (3.200 dollars), il doit d’abord placer une carte d’identité sur la machine avant de pouvoir passer commande.



Source wantchinatimes

18 mars 2013

Interrogations sur une possible manipulation des cours de l’or et de l’argent

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Selon le Wall Street Journal, le régulateur américain des marchés dérivés (CFTC) se penche actuellement sur la façon dont les prix de l’or et de l’argent sont fixés à Londres, se demandant notamment s’ils ne sont pas vulnérables à une manipulation.

Si aucune enquête n’a été officiellement ouverte, la CFTC « étudie différents aspects de la fixation des prix, y compris pour savoir si elle est suffisamment transparente. »

Les prix de l’or sont fixés deux fois par jour au cours d’une téléconférence entre cinq banques – Barclays, Deutsche Bank, HSBC, Bank of Nova Scotia and Société Générale – tandis que l’argent est fixé par les trois derniers. Les prix servent de référence au reste des marchés liés aux métaux précieux.

Cet intérêt accru des autorités intervient suite au scandale de manipulation du Libor, le plus important taux interbancaire du monde, par un certain nombre de grandes banques, dont Barclays et RBS.

La CFTC enquête déjà sur la manipulation du cours de l’argent

En 2008, suite aux allégations de nombreux investisseurs, la Commodity Futures Trading Commission (CFTC) a entamé une enquête sur une possible manipulation de cours sur le marché de l’argent. Mais le régulateur américain n’a jamais publié de rapport officiel et serait même sur le point d’abandonner l’enquête, faute de preuves pour appuyer une procédure judiciaire.

En octobre 2010, Bart Chilton, l’un des cinq commissaires à la CFTC, avait estimé que « des initiatives frauduleuses » avaient été prises pour « contrôler et dévier » l’évolution des prix du métal gris. De gros intervenants sur le marché auraient, selon lui, parié des montants énormes sur la baisse des cours.

JPMorgan, le plus gros acteur sur le marché de l’argent avec HSBC, avait en particulier été montré du doigt par plusieurs opérateurs, ainsi que de nombreux investisseurs.

Sources : Wall Street Journal / Goldbroker.com / Le Journal du Siècle


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15 février 2013

Les paiements en liquide de plus de 1 000 euros devraient être interdit « d’ici la fin de l’année »

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Les paiements en liquide de plus de 1 000 euros devraient être interdit « d’ici la fin de l’année » pour lutter contre la fraude selon Matignon.

Lors d’une réunion ce lundi à Matignon, le Comité national de lutte contre la fraude (CNLF) a souhaité renforcer la lutte contre la fraude. Pour cela, il aura fallu d’un regard chez nos voisins espagnols, belges ou italiens pour avoir cette idée.

Le CNLF envisage en effet d’abaisser le montant des paiements en liquide de 3 000 à 1 000 euros seulement pour les résident français et de 15 000 euros à 10 000 pour les non résidents. Selon le Figaro, un décret doit être pris, à l’issue d’une concertation, « d’ici la fin de l’année ».

La CNLF envisage également de constituer un fichier des contrats d’assurance-vie, qui « sera un instrument essentiel en termes de lutte contre le blanchiment notamment ». Autre pistes à l’étude pour lutter contre la fraude : « le déploiement dans toutes les pharmacies de la liste d’opposition des cartes Vitales, quotidiennement actualisée, pour prendre en compte les cartes perdues ou volées ».

Seront également approfondies la lutte contre la fraude fiscale, la fraude à la TVA sur les ventes de véhicule d’occasion, la lutte contre les fraudes patrimoniales les plus graves de type « avoirs non déclarés à l’étranger » ou la lutte contre le travail illégal.

 

L’Italie traque depuis le 1er Janvier 2012 tous les mouvements bancaires des Italiens pour endiguer l’évasion fiscale, qui représente 120 milliards par an pour les caisses de l’État italien. Depuis cette date, le secret bancaire est aboli. Tous les établissements financiers communiquent en temps réel les mouvements sur les comptes de tous leurs clients et les paiements en liquide supérieurs à 1 000 euros sont interdits. Toutes ces informations, 22 000 par seconde, sont analysées par un gigantesque ordinateur appelé, Serpico.

En Espagne, le gouvernement de Mariano Rajoy a mis en place l’année dernière une série de mesures, limitant les paiements en liquide à 2500 euros.

Enfin, De Standaard et Het Nieuwsblad rapportent que pour surveiller les 1,2 milliard d’euros de transactions suspectes dans le secteur de l’or en Belgique, le gouvernement souhaite interdire que de grandes quantités du métal précieux soient encore achetées en cash, en limitant le montant maximal du paiement en cash à 10% de la somme totale et à 5000€.

Sources : De Standaard / Het Nieuwsblad / France 2 / Le Journal du Siècle

14 novembre 2011

Inside Job le film à voir Narré par l'acteur oscarisé Matt Damon

Inside Job le film à voir Narré par l'acteur oscarisé Matt Damon
Synopsis : La dépression mondiale, dont le coût s'élève à plus de 20 000 milliards de dollars, a engendré pour des millions de personnes la perte de leur emploi et leur maison. Au travers d'enquêtes approfondies et d'entretiens avec des acteurs majeurs...
21 février 2011

La chine conseille aux chinois D'épargner en lingot accusant les banquiers d'escrocs

La chine conseille aux chinois D'épargner en lingot accusant les banquiers d'escrocs
la Chine a interdit par décret l'exportation d'argent métal. C'était un scud contre les grosses banques du cartel anglo-américain qui manipulent les cours sur les marchés à terme. En interdisant l'exportation d'argent, ce sont 154 millions d'once (4800...
7 février 2011

La FED rachète 1250MD de dollars de MBS et se retrouve au bord de la faillitte

La FED rachète 1250MD de dollars de MBS  et se retrouve au bord de la faillitte
la Réserve fédérale américaine vient de procéder à une légère « modification comptable » pour transférer ses actifs toxiques sur le compte du Trésor américain ! Depuis mars 2008, la Fed a racheté pour 1 250 milliards de dollars de MBS (ces fameux actifs...
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