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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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6 septembre 2017

El Hiri Rujm - 42 000 pierres organisées en anneaux concentriques par une race de géants

Rujm_el-HiriPlateau du Golan - Syrie. Enorme monument mégalithique consistant 
en plusieurs cercles de pierre concentriques constitué de plus de 42 000 roches de basalte.


- Au centre , se trouve une sortes de tumulus de 20 Mètres (tas de pierre ayant recouvert une inhumation). Le Tumulus a été largement "fouillé" par des voleurs de tombe malheureusement.
Certains chercheurs pensent toutefois que ce tumulus etait d'origine et que les cercles ont été fait autour de lui.

- Il ya au total 5 cercles , connectés par de ptits murets de pierre . Certaines parties des cercles atteignent 2 mètres de haut .

- La roche brute / et parfoirs retravaillée utilisées pour cette construction ets du basalte. une roche locale et commune donc , dans cette region volcanqiue du Levant.

- Il ya 2 entrée à ces cercles concentriques situées au Nord Est et Sud Est de ce monument. Le couloir qui mène au centre sembel aligné avec le solciste de Juin , et le site semble connecé
et aligné avec le Mont Hermon et le Mont tabor.

- Le nom arabe de ce site Rujm  confirme que le site est connu pour avoir été un tumulus

- Le nom hebreux gilgal Refaim ramène à la notion d 'esprits , de fantomes, et du terme " Raphaite "  une race de "géants" censée avoir habité Le Golan ( Basham)

-Selon ls archéologues le site est estimé avoir été erigé entre 3000 et 2700 ans av JC

 

Rami Arav, un archéologue de l'Université de Nebraska, vient de proposer, en fin de semaine dernière, une nouvelle théorie visant "à percer l'énigme" du site de " la roue spectrale ".
Selon lui, il s'agirait d'un "temple astrologique qui comprendrait également un vaste " complexe funéraire ".

Le site révèle quatre cercles composés de quarante deux mille tonnes de pierres.
Arav a souligné qu'il s'agit là " d'un énorme exploit de construction, pour des gens qui vivaient il y a 6000 ans ".

Rappelons que d'autres archéologues considèrent que le site fut en activité à une date plus récente : entre 4500 et 3500 avant l'ère chrétienne.
Selon plusieurs légendes locales, transmises de génération en génération, le site serait l'emplacement de " la tombe du roi de Bashan, Og", personnage que d'anciens textes présentent comme un " géant " quasi surnaturel.

Des adeptes de divers courants du "New Age" y ont aussi effectué des " séances de méditation", en raison de la "très vive énergie" qui, selon eux, se dégage de ce lieu.

Un expert (qualifié "d'expert autoproclamé" par les chercheurs israéliens et étrangers) – a même été jusqu'à "dévoiler le nom" de l'antique prêtresse, une certaine Nogia, qui " conduisait les sessions rituelles auxquelles les gens venaient prendre part ".

Le site Rogem Hiri est constitué d'une installation monumentale de blocs de basalte locaux de tailles diverses. Il se compose de deux unités architecturales : quatre cercles concentriques entourant un tumulus central rond. Le cercle extérieur, le plus large, d'un diamètre de 156 mètres, est long de quelque 500 mètres. Les murs, d'une épaisseur variable - 3,5 m au maximum - ont été préservés jusqu'à une hauteur de 2,5 m, même s'ils sont à certains endroits détruits par des chute de pierres. Plusieurs parois radiales relient les murs circulaires, créant une structure labyrinthique qui comporte deux entrées seulement, l'une faisant face au nord-est et l'autre au sud-est.

Au centre de ces cercles se trouve le cairn, un amas irrégulier de pierres. De 20 à 25 mètres de diamètre, il est conservé jusqu'à une hauteur de 6 mètres. Le tumulus est constitué par un amas central de pierres entouré d'un encadrement plus bas, lui donnant la forme d'un cône tronqué. Une recherche géophysique au radar a révélé que la pile de pierres était creuse. Une chambre mortuaire, à laquelle menait un étroit corridor, fut ainsi découverte. Cette chambre ronde, d'un diamètre de 2 m, était construite en larges plaques de pierre superposées, mais obliquant légèrement vers l'intérieur. Elle était recouverte de deux dalles massives de basalte, pesant chacune 5,5 tonnes, et formant un demi-dôme en encorbellement au-dessus de la chambre funéraire.

Rogem Hiri est l'un des sites archéologiques les plus étonnants d'Israël. Toute une gamme de théories quant à la fonction de cette structure, sans exemple au Proche-Orient, avait été proposée jusqu'ici. Rogem Hiri fut même identifié à la tombe d'Og, roi de Bashan et dernier des géants. (Deutéronome III, 11)

Og, roi de Bashan, battu par Moïse et les Israélites lors de leur entrée dans la terre promise.
Il était un de ces géants.

« Og, roi de Basan, était resté seul de la race des Rephaïm. Voici, son lit, un lit de fer, n’est-il pas à Rabbath, ville des enfants d’Ammon? Sa longueur est de neuf coudées, et sa largeur de quatre coudées, en coudées d’homme. »
Deutéronome 3:11

[ c.-à-d., La coudée pour un homme, (pas un ange), mesure 18 pouces ]. la terre d’Og, était appelée « la terre des géants »

« Je donnai à la moitié de la tribu de Manassé le reste de Galaad et tout le royaume d’Og en Basan: toute la contrée d’Argob, avec tout Basan, c’est ce qu’on appelait le pays des Rephaïm
. »Deutéronome 3 :13

6) On parle aussi de géant.
« Og, roi de Basan, seul reste des Rephaïm, qui habitait à Aschtaroth et à Edréï. Tout le royaume d’Og en Basan, qui régnait à Aschtaroth et à Edréï, et qui était le seul reste des Rephaïm. Moïse battit ces rois, et les chassa.
Josué.12:4, 13:12

Selon nos imaginatifs démonologues, Astaroth est un "Grand Duc et le Grand Trésorier de l'Enfer". Il procure l'amitié des grands seigneurs, chose pour laquelle il semble impératif de l'invoquer le mercredi, jour de Mercure (si vous voulez vous lancez en politique, vous savez à présent ce qu'il vous reste à faire !). Les théologiens chrétiens, qui opposent neuf ordres d'anges à neuf ordres de démons, font d'Astaroth le chef de l'Ordre des Calomniateurs. On dit aussi de lui qu'il a le visage d'un ange particulièrement laid et qu'il chevauche un dragon. Dans sa main gauche, il tient une vipère et on le reconnaît à son odeur fétide, même lorsqu'il prend la forme du serpent.

Ashtaroth est également le nom d'une cité située à l'est du lac de Gennéraseth, dans le pays de Moab, où réside le roi Og de Bashân (Deutéronome 1 : 4) :
"(.) après qu'il eut battu Séhon, roi des Amorrhéens, qui habitait à Hésebon, et Og, roi de Basan, qui habitait à Astaroth et Edraï."

      (Crampon)



"Il avait battu Sihôn, roi des Amorites qui résidait à Heshbôn, et Og, roi de Bashân qui résidait à Ashtarot et à Edreï."

    (Jérusalem)

Le Roi Og, cité dans le Deutéronome 3:11 dont le lit en fer mesurait approximativement 4 mètres 30 de long et 1mètre 80 de large. Le Roi Og devait mesurer au moins 3 mètres 60.

Un squelette humain de 5 mètres 94 a été trouvé en 1577, Après J-C, sous un chêne déraciné dans le canton de Lucerne.Ce squelette fut minutieusement étudié par un moine médecin Danois Mr "SAXO"

Un squelette de 7 mètres a été trouvé en 1456, Après J-C, près d'un fleuve vers valence, en France.

Un squelette de 7 mètres 90 environ, a été trouvé en 1613, Après J-C, près du château de Chaumont en France. Ce squelette, est décrit comme étant presque complet.

Incroyable et presque au-delà de la compréhension, fut la trouvaille de deux restes humains (distincts) de 11 mètres environ chacun, découvert par des Carthaginois quelque part entre 200-600 Av J-C.

1. Un squelette humain de 3 mètres 50 a été trouvé dans une mine de houille italienne. Source le : « Dinosaure , par Dr. Carl Baugh » (254) 897-3200.

2. Un squelette humain de 2 mètres 64 a été récupéré sous un monticule en pierre, dans un tombeau, à Brewersville, en Indiana, en 1879. Source: Nouvelles D'Indianapolis, le 10 novembre 1975. Cité dans « reader digest, mystères de l'expliqué », essayez également vers Renee et Peter Schissel @ rue de 9985 W. 208th Lakeville, Manganèse 55044. Leur numéro de téléphone est 612-469-4060.

3. Un squelette humain de 3 mètres 50 a été trouvé dans le lit du lac Humbolt (nanovolt) en juin 1931. Source: Revue De Lovelock - Mineur 19 Juin 1931.

4. Un squelette humain de 3 mètres 66 a été trouvé par des soldats dans le ranch de Lompoc, Califorina en 1883. Source: Le non expliqué par Dr. Karl Shuker p. 1515. Certains insectes géants, comme les sauterelles, mesuraient dans le passé 61 cm .

5. Ce sont quelques unes des nombreuses empreintes de pas d'humain et de dinosaures géants trouvées côte à côte dans tout le Paluxy Riverbed à Glenn Rose, dans le Texas. Voir le www.creationevidence.org et www.omniology.com. Homme et dino.

6 Une humanoïde de 2 mètres 14 et plusieurs autres de ces mamans ont été trouvées en Chine dans les années '96'. Du livre de Joe (mont blanco) « Faits et Imaginations Fossiles » www.mtblanco.com .

7. Des chameaux grands de 6 mètres 10 et des humains géants ont été trouvés. Ils ont été trouvés dans le Texas, en Arizona, en Ohio, en Europe, et particulièrement au Moyen-Orient.

Tous ce qui contredit la « religion » d'état disparaît systématiquement. Lorsqu'un géant est trouvé le musée ou tout autre organisme l'ayant trouvé reçoit bourse, argent pour une étude avec le système gouvernemental.

Tout est soigneusement catalogué, photographié, empaqueté, mis en caisse et puis tout à disparus plus de preuves. Sauf si vous êtes encore indépendant. Mais les pressions sont énormes, dans ces cas là. Et lorsque vous écrivez pour vérifier certaines découvertes ou pour les étudier, elles sont ignorées, perdues, jetées, introuvables.

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Traces de pieds humains et de dinosaures, « fossilisées » ensembles. Pourtant, 65 millions d'années devraient les séparer, d'après certaines théories!

Ce site a également été considéré comme un observatoire astronomique, une espèce de Stonehenge proche-oriental. Cette théorie est confortée par le fait que le côté oriental, qui fait face au soleil levant, a été édifié avec le plus grand soin. Les deux seules entrées sont situées précisément de ce côté-là, et celle du nord-est est grossièrement orientée dans la direction du lever du soleil au solstice d'été, le 21 juin.

Les archéologues qui ont fouillé le site proposent deux autres explications possibles. Selon la première, ces cercles concentriques auraient été édifiés au début de l'âge du bronze, au milieu du troisième millénaire av.. Le site aurait alors servi de centre de culte et de cérémonie, où se rassemblaient chaque année les nomades déjà entrés dans un processus de sédentarisation. Plus tard, à la fin de l'âge du bronze (1400-1300 av.), le tumulus contenant une chambre funéraire aurait été ajouté (il fut pillé dans l'antiquité et seuls quelques objets y ont été découverts, dont des boucles d'oreille en or et des pointes de flèche en bronze). Les relevés confirment que le tumulus n'est pas situé au centre des cercles concentriques, ce qui conforte la théorie selon laquelle ce cairn constitue un ajout ultérieur.

Selon une autre théorie, l'architecture de Rogem Hiri attesterait que les cercles concentriques et le tumulus participeraient d'une structure unique. Rogem Hiri serait par conséquent une monumentale tombe commémorative - le mausolée sur le Golan d'un leader du début de l'âge du bronze. La tombe aurait été vidée de ses vestiges funéraires à la fin de l'âge du bronze, puis réutilisée comme lieu de sépulture. L'envergure de ce site atteste d'une organisation centralisée et de l'existence d'une direction capable de réaliser un projet architectural d'une telle ampleur (on estime que près de 42 000 tonnes de pierres ont été transportées).

Le mystère de Rogem Hiri reste inexpliqué. Ceux qui l'ont édifié voilà quelque cinq millénaires ont quitté la scène de l'Histoire, emportant avec eux les secrets de ce site extraordinaire.


Les fouilles ont été menées par Y. Mizrahi et M. Zohar, dans le cadre du projet régional de la terre de Geshour, dirigé par M. Kochavi, de l'Institut d'archéologie de l'université de Tel-Aviv.Un mini partage d'images de ce cercle en Israël que l'on surnomme plus précisément "Gilgal Refaim" ou en son langage hébraïque original גלגל רפאים .

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 http://www.mfa.gov.il/MFAFR/MFAArchive/1990_1999/1999/11/Sites%20Archeologi…

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29 janvier 2017

L'homme qui voulut devenir l'égal de Dieu , et construisit son paradis .

 

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Sache que cet homme fut Schaddâd, fils d''Âd. Qui possédait tout l'univers. de l'orient à l'occident. Tous les rois lui étaient soumis. Or. il voulut devenir l'égal de Dieu. et il construisit un paradis à l'instar du paradis véritable. Voici la réponse que fit à cette question le Prophète: Le nom de ce roi était Schaddâd. fils d''Àd. fils d'Amalec, comme il est dit dans le Coran: "N'as-tu pas vu comment ton Seigneur a agi envers les `Âdites, habitants d'Iram, orné (le colonnes telles qu'on n'en avait point fait de semblables sur la terre?" (Sur. LXXXIX. vers. 6-8). Ce Schaddâd faisait partie du peuple d''Âd: mais  aucun des -Adites ne légalait en force et en stature. Personne n'aurait pu élever des édifices sâmblables à ceux qu'ils construisaient. Or. ce Schaddâd devint infidèle et introduisit l'impiété parmi les hommes et il dit: Je ne connais point Dieu.

Dieu envoya vers Schaddâd le prophète Houd. Houd l'appela à Dieu et lui dit: Crois en Dieu. afin qu'il te place dans le paradis.

Schaddâd lui demanda: Qu'est-ce que le paradis? Houd lui en fit la description. Alors Schaddâd dit à Houd: Si ton Dieu se glorifie d'un tel paradis. moi,

j'en ferai un sur la terre qui sera beaucoup plus beau et plus excellent. Il ajouta: J'ai un lieutenant et je le ferai venir pour qu'il fasse la guerre à ton Dieu. Ce Schaddâd. fils d-'Ad. fils d'Amalec. avait près de lui un géant de la plus haute stature. Dieu n'en avait point créé de plus grand que lui sur la terre. Il s'appelait 0g. Cet Og n'était point du nombre des enfants d''.Ad qu'il surpassait de beaucoup par sa taille.

Il était du nombre des enfants d'Adam. Cependant. Dieu l'avait créé tel que sa tête touchait les nuages. et il était si long qu'il baissait la main. tirait un poisson de la mer et l'élevait vers le disque du soleil jusqu'à ce qu'il fût rôti et le mangeait ensuite. On rapporte dans l'Histoire des expéditions du prophète qu'à l'époque du déluge de Noé. lorsque l'eau couvrit tout l'univers et qu'elle s'éleva de quarante coudées au-dessus des montagnes les plus grandes et les plus hautes du monde. elle n'allait qu'au genou d'Og. Or, sache que la vie de ce géant fut de trois mille six cents ans. On dit aussi que cet Og sortit du sein de sa mère tandis que notre père Adam vivait encore. et que sa vie se prolongea jusqu'au temps de Moïse. Lorsque Moïse sortit d'Egvpte« il alla combattre Og avec tous les enfants d'Israël. au nombre de trois cent cinquante mille hommes.

Lorsque Og entendit Moïse et les enfants d'Israël. il s'avança: et par un effet de sa force extraordinaire. il arracha une montagne qui pût couvrir le même espace de terrain que l'armée de Moïse. la plaça sur sa tête. et voulut la jeter sur Moïse et son armée pour les écraser. Lorsque Og. surnommé Ibrn-'Onk. plaça cette montagne sur sa tête et qu'il l'apporta. Moïse. apprenant cette nouvelle. adressa ses prières à Dieu. Dieu les exauça et il donna ordre à un oiseau de se placer sur le sommet de cette montagne. et d'y faire un trou avec son bec. afin qu'elle tombât comme un collier sur le cou du géant. Og demeura stupéfait de cela et ce fut parce que cette montagne tomba sur son cou qu'on le nomma Og-Ibn-'Onk. c'est-à-dire Og au cou. Gabriel vint ensuite vers Moïse. lui apprit cet évènement et lui dit: Va combattre Og Ibn 'Onk. va. car tu remporteras la victoire sur lui et tu le tueras. Moïse prit son bâton et partit. Arrivé près d'Og. il le trouva dans l'état que nous avons décrit. et doué de sa haute stature et de sa force extraordinaire. On rapporte que le bâton de Moïse avait dix coudées de hauteur. La taille de Moïse était de dix coudées; il sauta à vingt coudées de terre. et lança son bâton qui atteignit le talon d'Og-Ibn-'Onk. Or. le bâton de Moïse était extrêmement lourd, et les prophètes étaient forts. Lorsque Moïse lança son bâton, Og Ibn-Onk tomba par suite la fatigue que lui causait la montagne et mourut.

De longues années s'étaient écoulées après la mort d'Og-Ibn-'Onk lorsque, sous les Cosroès qui étaient des rois de Perse, on voulut construire un pont sur l'Euphrate. On ne trouva point de bois convenable à cet usage. On fabriqua alors cinquante chariots et on transporta, au moyen de taureaux forts et robustes, des crocs que l'on attacha aux côtés d'Og-Ibn-'Onk: on transporta ces côtes à Baghdâd. et on en fit un pont. Lorsque les hommes eurent passé sur ce point pendant un espace de cinq cents ans, sans que l'on eût éprouvé le besoin d'un autre pont ou d'un bateau. tant que la côte d'Og servit à cet usage et resta à la même place, tout le monde se plaignit aux rois de Perse de ce qu'un os humain servait de pont: on l'enleva alors et l'on construisit le pont de briques qui existe maintenant.

Or, on rapporte qu'avant la guerre dont nous avons parlé. Schaddâd, fils d"Âd. avait établi Og-Ibn-'Onk son lieutenant sur tout le peuple d''Âd. Lorsqu'ils se révoltèrent tous ensemble contre Dieu. Schaddâd fit venir en sa présence Og-Ibn-'Onk et il dit au prophète Houd: Voici mon lieutenant, c'est lui qui fera la guerre à toi et à ton Dieu. Houd lui répondit: Infortuné! ne crains-tu donc pas les peines de l'enfer, et n'espères-tu pas le paradis? Schaddâd répondit: Je ferai moi-même un paradis; et il établit des personnes pour lui amener des hommes. des maîtres. des ouvriers. Il plaça mille ouvriers sous l'obéissance de chaque maître. Les maîtres étaient au nombre de mille. Il n'en existait pas davantage dans l'univers. Schaddâd leur ordonna de chercher un endroit dont le terrain fût des plus unis et dont l'eau et l'air fussent des plus agréables. Ces mille maîtres trouvèrent un endroit qu'ils nommèrent Iran,. et qui leur plut. Schaddâd leur ordonna de commencer à bâtir ce paradis auquel ils donnèrent douze milles de longueur sur douze milles de largeur.

Schaddâd écrivit ensuite une lettre aux lieutenants qu'il avait dans le monde. partout où se trouvait un roi, des princes, des lieutenants, des ministres, des gouverneurs, des gens qui fussent dévoués et autres personnes semblables, telles que Dha'h'hâk, fils d"Olwân. Walîd. fils d'ar-Riyân, Chânem, fils d"Olwân, et d'autres encore, afin qu'ils enlevassent l'or, l'argent, les pierres précieuses. les perles, les rubis, les topazes, le bois d'aloès, le musc. l'ambre, le safran et toutes les choses de ce genre qui se trouvaient dans le monde, à tous ceux qui les possédaient, depuis l'orient jusqu'à l'occident, et qu'ils lui envoyassent toutes ces matières. Les choses en vinrent, dit-on. au point qu'on mit à l'encan dans ce royaume un chameau avec sa litière pour un dirhem d'argent. Personne n'avait ce dirhem et ne put le donner pour le prix de ce chameau et de cette litière, afin de les acheter.

Or, vers ce même temps-là, on sut qu'un dirhem avait été mis dans la bouche d'un mort; on alla pour voir si ce dirhem était à sa place et on ouvrit le tombeau de ce mort: on prit ce dirhem, et on le donna afin que Schaddâd l'employât à la construction de ce paradis, dont les murailles étaient de briques d'or alternant avec des briques d'argent, et tous les créneaux de rubis. Des ruisseaux de vin. de lait. d'eau et de miel coulaient dans ce paradis. Au lieu de cailloux. Schaddâd mit au milieu de ces ruisseaux des perles et des rubis. et au lieu de sable, du musc et du safran; il rangea sur leurs bords des arbres qui étaient tout d'or et d'argent. et dont les feuilles étaient d'or, et les fleurs d'argent incrustées de pierres précieuses. Il construisit dans ce paradis des palais dans lesquels il plaça des jeunes filles et des jeunes garçons.

Sept cents ans s'écoulèrent avant que ce paradis fût achevé. Or. Schaddâd ne l'avait jamais vu, et il dit au prophète Houd: J'irai, je vous le promets. voir mon paradis, lorsqu'il sera achevé. Houd répondit: O infortuné! Ne crains-tu pas Dieu, et te laisses-tu tromper par de semblables paroles? Schaddâd ne s'inquiéta point de Houd ni de ses discours, et il partit avec cent mille hommes pour aller voir son paradis. Lorsqu'ils furent arrivés près de l'endroit où ce paradis est situé, le châtiment terrible que ces Adites s'étaient attiré de la part de Dieu les atteignit. Ce fut un ouragan qui les extermina tous. Cet ouragan sortit d'un nuage arrêté sur une montagne, et de couleur noire, parce qu'il renfermait la punition divine. Il est dit dans le Coran: "Les 'Âdites ont été détruits par un ouragan bruyant et terrible que Dieu envoya contre eux pendant sept nuits et huit jours consécutifs: tu aurais vu alors les hommes étendus à terre comme des troncs de palmiers creux dans l'intérieur; mais en aurais-tu vu un seul de sauvé?" (Sur. LXIX, vers. 6-8). Le mot çarçar [qui se trouve dans le texte du Coran] signifie un vent qui a toujours une violence terrible. Ce fut le vent que Dieu fit souffler contre les 'Âdites. Il atteignit les cent mille hommes qui étaient venus avec Schaddâd pour voir son paradis et cent autres mille qui étaient les maîtres, les ouvriers et les inspecteurs et il les fit tous périr. Schaddâd et les personnes qui l'accompagnaient ne virent point ce paradis; et depuis Schaddâd, aucune créature n'a pu le voir. Les Juifs dirent alors:

Tu as parlé conformément à la vérité, ô Mohammad, nous avons vu ces mêmes choses dans le Pentateuque. On rapporte que du temps de Mo'âwiya. fils d'Abou-Soufyân, fils de 'Harb, il y eut un homme dont le nom était 'Abdallâh, fils de Qilâba; cet homme avait perdu un chameau et il partit pour le chercher. Tout à coup. il arriva au paradis de Schaddâd, sans savoir ce que c'était que ce paradis; il pensa être devenu fou. Il prit ensuite quelques pierres précieuses, du musc, de l'ambre, et les enleva sans opposition. Son adresse le fit sortir de cet endroit; il arriva à la ville, se présenta à Mo'âwiya et plaça devant lui ce qu'il avait rapporté du paradis de Schaddâd. Toutes ces substances avaient perdu leur première forme et on ne savait pas ce qu'elles étaient. On tira quelque chose de ce qui était or ou argent. Les pierres précieuses et toutes les autres matières avaient été altérées.

Lorsqu'on les mit sur le feu, il en sortit une odeur de musc; on sut alors que ces choses avaient été du musc. On donna alors une armée à ce même homme-là afin qu'il allât et qu'il rapportât de ce paradis tout ce qu'il y trouverait. Ils partirent. et, quelque recherche qu'ils fissent, il ne le retrouvèrent point. On raconte ce qui suit de Daghfal, fils de Handzala. Schaïbânî, qui a été cadi de 'Hadhramawt. Or 'Hadhramawt est une grande ville, située dans l'Arabie. Lorsque l'armée dont nous avons parlé chercha le paradis de Schaddâd et n'en trouva point de trace, ce Daghfal, qui était cadi de 'Hadhramawwt, dit: J'étais encore enfant lorsque j'appris de mon père que près de 'Hadhramawt, sur le bord de la mer. il v a une caverne qui a pour porte la côte d'un grand poisson. Le corps de Schaddâd est en ce lieu.Les hommes qui étaient à la recherche du paradis de Schaddâd.

prirent de la lumière et marchèrent vers cette caverne. Leur lumière s'éteignit. ils demeurèrent stupéfaits: cependant. ils avancèrent toujours jusqu'à ce qu'il parut une clarté qui venait du côté de la grande nier. Ils arrivèrent ensuite à une maison creusée dans le roc. et qui avait cent coudées de largeur et cent coudées de longueur. Ils virent dans cette maison une espèce de trône en pierre et un homme d'une grandeur telle qu'il remplissait toute la maison. On avait couché cet homme sur le dos. Tout autour du trône se trouvait une grande quantité de pierres précieuses, d'or et d'argent. et on avait revêtu cet homme de soixante et dix robes brochées d'or. Lorsque les gens qui cherchaient le paradis de Schaddâd portèrent la main sur ces étoffes. Elles devinrent poussière et les pierres précieuses et l'argent qu'elles contenaient tombèrent à terre.

Ces mêmes gens virent sur le lit de ce mort une table en or sur laquelle on avait gravé des caractères comme on a coutume d'en graver sur la pierre. Ils prirent cette table et voulurent l'emporter et sortir de la maison en suivant le passage par lequel ils étaient entrés. Ils ne purent exécuter leur dessein: alors, ils retournèrent sur leurs pas. Se dirigeant vers l'endroit d'où venait la lumière du jour. Et là ils examinèrent cette table, sur laquelle étaient écrits les vers suivants: Ô vous qui placez votre confiance dans la longueur de votre existence. Dans votre courage et dans votre force. et qui vous appuyez sur le nombre de vos possessions. Sachez que je suis Schaddâd. fils d''Âd:je m'appuyais sur ma force et sur nies richesses:je disais: L'empire du monde m'appartient: les rois de l'univers me craignaient. Le prophète Houd vint. il nous trouva en révolte contre Dieu et nous appela à la religion. Nous nous confiâmes en notre force. et nous n'écoutâmes pas ses paroles: nous nous révoltâmes contre lui. Enfin, la colère du ciel descendit sur nous et me fit périr moi et mon armée.

Vouez donc l'état dans lequel je me trouve et profitez de mon exemple. Daghfal ajouta: Je dis aux habitants de'Hadhramawt: Comment se fait-il que nous ayons trouvé dans cette maison le tombeau de Schaddâd? II était le chef du peuple d''Âd que Dieu extermina. Les habitants de 'Hadhramawt répondirent: Oui. Tu as raison, ils périrent tous par le châtiment de Dieu: mais Schaddâd avait un fils nommé Morthed, lequel était lieutenant de son père. et qui avait cru au prophète Houd. Ce Morthed quitta à cette époque le pays d* 'Ad: il y retourna ensuite, prit son père. Embauma tout son corps avec du camphre et de l'aloès, le porta à 'Hadhramawt et lui construisit le monument dont nous avons parlé. Les hommes qui cherchaient le paradis de Schaddâd virent encore sur le rivage de la mer où ils se trouvaient un grand rocher dans lequel on avait creusé un palais. On avait couché dans ce lieu-là, sur un trône, et de la même manière que son père, ce Morthed. fils de Shaddâd, fils d''Âd. Fils d'Amalec. Il y avait aussi sur son lit une table de pierre sur laquelle étaient gravés les distiques suivants: Je suis ce roi qui, pendant longtemps. a exercé la royauté dans le monde.

Tout ce que j'ais entrepris, je suis parvenu à l'exécuter. Après mon père. je fus. pendant un temps. roi de la terre. Et moi aussi. durant quelques années. je me laissai entraîner par nies passions. A la fin, je quittai ce monde avec regret. je mourus. Quoique en apparence je fusse un grand roi. dans la réalité, je n'étais qu'un des plus faibles serviteurs du Dieu très-haut. Mes regrets sont de n'avoir pas rendu à Dieu l'obéissance que je lui devais. Ma crainte est l'enfer qui a été allumé pour les rebelles: niais a-t-il déjà été rempli. ou. en le nommant enfer. l'a-t-on destiné, ô Seigneur. aux rebelles qui pourraient encore se révolter contre toi? Le bonheur est pour ceux qui font partie du peuple de Mo'hammad. et qui conforment leurs actions à la loi du Prophète. Toutes les religions sont une preuve que sa religion est fondée sur la vérité: et tous les hommes superbes. se sentant faibles et sans force. placent leur espoir dans son intercession.

On avait donné l'empire à ce fils de Shaddâd après la mort de Thamoud et celle de Hâsem. qui est le Pharaon d'Abraham. Son tombeau se trouvait dans ces parages. sur le bord de la mer. Le palais dont nous avons parlé se trouvait également sur le bord de la mer. Tous ces édifices qui étaient situés dans le voisinage de la ville de 'Hadhramawt ont disparu avec le temps. Au-dessus de la porte du palais. se trouvait une pierre sur laquelle on avait gravé les cinq distiques suivants:

 

28 avril 2015

Amérindien : Si-Te-Cah des géants de race blanche et à la chevelure rouge

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Les Paiutes, un groupe d'indigènes Natives Américains qui habitaient les régions du Névada, de l'Utah et de l'Arizona, racontèrent aux premiers immigrants blancs que leurs ancêtres avaient du se battre dans le passé contre de féroces géants de race blanche et à la chevelure rouge qui vivaient sur les mêmes territoires.

Les Paiutes nommaient ces géants Si-Te-Cah ce qui signifie les « mangeurs de tule ». La tule est une plante aquatique fibreuse que les géants récoltaient à partir des radeaux qu'ils utilisaient pour se déplacer sur les rivières et principalement sur le lac Lahontan.

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Selon les Paiutes, les géants aux cheveux rouges mesuraient plus de trois mètres de haut et ne pouvaient être approchés. Ils chassaient les Paiutes et mangeaient ceux qu'ils capturaient. Aussi, les différentes tribus Paiutes s'unirent-elles pour les combattre et les chasser à leur tour. La légende raconte que les géants durent se réfugier dans une grotte pour échapper aux Indiens. Le chef des Paiutes ordonna d'obstruer l'entrée de cette caverne avec des branchages et d'y mettre le feu afin d'obliger les géants à sortir de leur refuge. Ceux qui sortirent furent tuer par les flèches des Indiens, les autres moururent asphyxiés à l'intérieur de la grotte. Bien plus tard un tremblement de terre ferma par des éboulis l'entrée de cette caverne.
Plusieurs centaines d'années après, les archéologues viennent d'explorer cette caverne, située près de Lovelock dans le Nevada, là où la légende la situait.

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A l'intérieur de la grotte les fouilleurs ont mis au jour des milliers d'objets etles restes momifiés de deux géants aux cheveux roux, une femme mesurant plus de 2.30m et un homme dépassant 2.80m.

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La légende se trouva également confirmée par la présence de nombreuses pointes de flèches brisées ayant heurté les parois de la caverne et d'une couche noire de végétaux brûlés recouvert d'une épaisse couche de guano.

Parmi les objets découverts à l'intérieur de la grotte, les scientifiques ont identifié ce qui parait être un calendrier, une pierre avec exactement 365 entailles gravées en bordure externe d'un cercle et 53 entailles en bordure interne.

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Crâne géant exposé au musée Humboldt au Nevada

Cette découverte est à rapprocher de celles de 1931deux squelettes de très grande taille avaient été mis au jour dans le lit asséché du lac Humboldt proche de Lovelock.

http://myterieux.centerblog.net/rub-geants--2.html

21 novembre 2014

Quand les geants peuplaient la terre : Découverte de débris d'os d'hommes de stature gigantesque

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A Gargayan, dans la province nord des Philippines, on a trouvé le squelette d'un géant qui ne mesurait pas moins de 5,18 m. Ses incisives avaient 7,5 cm de longueur et 5 cm de largeur."

"Des ossements appartenant à d'autres humains grands de 3 m ont été découverts dans le Sud Est de la Chine. Le Dr Pei Wen Chung, paléontologiste de renommée mondiale, affirme que ces restes datent de 300 000 ans."
{Livre, Histoire inconnue des hommes, Robert Charroux, Ed. J'Ai Lu}



Le Dr C.N. Dougherty a irréfutablement démontré qu'on a trouvé dans la vallée des Géants, au Texas, des centaines de traces de sauriens de différentes espèces et, dans chaque cas, ces empreintes s'accompagnaient de traces géantes de pas humains."
...
"Un archéologue australien, le Dr Rex Gilroy, directeur du Mount York Natural History Museum, a tout récemment découvert à Mount Victoria ( Arkansas) des empreintes fossiles de pieds de géant dont l'authenticité ne saurait être mise en doute."
{Livre, Mes preuves, cinq continents témoignent, Erich Von Däniken}



Découverte de débris d'os d'hommes de stature gigantesque. Un, au Transvaal, un dans la Chine du sud et un à Java.
Des traditions péruviennes font état de manière assez détaillées d'une race de géants, les Huaris, qui auraient bâti un grand nombre de constructions cyclopéennes réparties un peu partout dans la région andine.
{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 67, 12/1985, Les Géants, Serge Hutin}


Des traces de civilisations perdues dans Death Valley au Nevada apparurent dans un rapport du Nevada Hot Citizen, le 5 août 1947.
Des archéologues amateurs déclarent ajourd'hui avoir découvert, dans des cavernes de Californie, une civilisation perdue d'humains de neuf pieds de haut (2 m 74). Des ustensiles d'une culture vieille de 80000 ans (sous certains aspects plus avancées que la nôtre) ont été trouvés. La caverne avait été découvert par un physicien de Beverly Hills, Bruce Russel en 1931.
Ont été découverts côte à côte "les restes bien conservés de dinosaures, de smilodons (félins à grandes canines), d'éléphants impériaux et autres animaux éteints étaient exposés par paire dans des niches." On y découvrit des articles ménagers, des fours qui apparemment fonctionnaient avec des ondes radio.
{Magazine, Nexus, No 12, 01-02/2001}


Un géant fossilisé a été mentionné dans le magazine Strand de 1895. Son corps faisait 3,70 m. Il avait été découvert au cours d'opérations minières dans le comté d'Antrim, en Irlande.
{Magazine, Nexus, No 17, 11-12/2001, Les géants ont bel et bien existé, John Mount}


"Dans certaines cavernes du Tibet, des ossements humains gigantesques ont été retrouvés."
{Livre, J'ai vécu sur deux planètes, Phylos, Ed. Robert Laffont}


Des empreintes d'humains gigantesques ou de squelettes de plus de six mètres de long ont été découverts lors de fouilles archéologiques.
{Livre, Famille de Lumières, Barbara Marciniak, Ed. Ariane}


" Les géants furent les premiers constructeurs de cités cyclopéennes dont les vestiges existent encore sur l'île de Pâques. "
{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 31, 07-08/1982, Michel Coquet}

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L'édification de cités géantes et le transport de monolithes pesant des milliers de tonnes -à Machu Pichu (Pérou), à Ba'albeck (Liban) , à Gizeh (Égypte) , etc...- trouvent une explication, à la fois dans la force titanesque des hommes et dans l'utilisation de leurs connaissances scientifiques.
Dans la province d'Agadir (Maroc) , on aurait mis au jour un atelier d'outils préhistoriques vieux également de 3000 siècles. Parmi d'autres objets, il y avait des bifaces qu'on employait à la main. Or ces bifaces pèsent 8 kg et leur préhension exige un écartement de doigts qui n'est possible qu'à un géant d'au moins 4 mètres.
{Livre, Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, Robert Charroux, Ed. J'Ai Lu}

Un squelette humain de 4mètres 57 a été trouvé dans la vallée de l'Euphrate, au sud-est de la Turquie, dans les années 50. Pendant la construction d'une route. Beaucoup de tombeaux contenant des géants ont été découverts là-bas.

Maximinus Thrax Ceaser de Rome en 235-238 après J-C, avait un squelette de 2mètres 59.

Goliath était grand d'environ 2 mètres 75 + ou - quelques cm. Voir 1 Samuel 17.

Le Roi Og, cité dans le Deutéronome 3:11 dont le lit en fer mesurait approximativement 4 mètres 30 de long et 1mètre 80 de large. Le Roi Og devait mesurer 'au moins 3 mètres 60.

Un squelette humain de 5 mètres 94 a été trouvé en 1577, Après J-C, sous un chêne déraciné dans le canton de Luzerne.

Un squelette de 7 mètres a été trouvé en 1456,, près d'un fleuve vers Valence, en France.

Un squelette de 7 mètres 90 environ, a été trouvé en 1613, près du château de Chaumont en France. Ce squelette, est décrit comme étant presque complet.


Incroyable et presque au-delà de la compréhension, fut la trouvaille de deux restes humains (distincts) de 11 mètres chacun, découvert par des Carthaginois quelque part entre 200-600 Av J-C. (Un pied = égal 30,48 cm. Un pouce = 2,54 cm.)

Un squelette humain de 3 mètres 50 a été trouvé dans une mine de houille italienne.

Un squelette humain de 2 mètres 64 a été récupéré sous un monticule en pierre, un tombeau, à Brewersville, en Indiana, en 1870 Un squelette humain de 3 mètres 50 a été trouvé dans le lit du lac mineur Humbolt (nanovolt) en juin 1931.

Un squelette humain de 3 mètres 66 a été trouvé par des soldats dans le ranch de Lompoc, Californie en 1883.

Certains insectes géants, comme les sauterelles, mesuraient dans le passé 61 cm .


Une humanoïde de 2 mètres 14 et plusieurs autres de ces mamans ont été trouvées en Chine dans les années '96'.

Des chameaux grands de 6 mètres 10 et des humains géants ont été trouvés. Ils ont été trouvés dans le Texas, en Arizona, en Ohio, en Europe, et particulièrement au Moyen-Orient. Tout ce qui contredit la « religion » d'état disparaît systématiquement. Lorsqu'un géant est trouvé le musée ou tout autre organisme l'ayant trouvé reçoit bourse, argent pour une étude avec le système gouvernemental.

L'histoire a été falsifié pour que vous ne puissiez jamais comprendre votre origine et remettre en cause l'evolution

Si dans l'enquéte sur vos origines on vous laissez recoller les indices décrits dans les livres saints alors il ne vous faudrait pas longtemps pour comprendre le but de la falsification.

 

Avant la première destruction de l'Atlantide, la taille variait beaucoup, car en ce temps là, "il y avait des géants sur la terre, des hommes d'au moins trois ou quatre mètres, et bien proportionnés." (Edgar Cayce, lecture 364)
{Livre, Visions de l'Atlantide, Edgar Cayce, Ed. J'Ai Lu}

Aussi dans la bible

On mentionne effectivement dans la Bible, à plusieurs reprises, la présence de populations de taille largement supérieure aux Hébreux, comme les Rephaïm, les Émites et les Anaqites (Dt 2,10; 3,2; Jos 15,13-14).

Dans le Coran , sourate 5

21.Ô mon peuple! Entrez dans la terre sainte qu'Allah vous prescrite. Et ne revenez point sur vos pas [en refusant de combattre] car vous retourneriez perdants. 


22. Ils dirent: ‹Ô Moïse, il y a là un peuple de géants. Jamais nous n'y entrerons jusqu'à ce qu'ils en sortent. S'ils en sortent, alors nous y entrerons›. 

________________________________________________________________________

Livre de Baruch

3:24 O Israël, comme elle est grande la maison de Dieu, comme il est vaste le domaine qui lui appartient!
3:25 Il est grand et n'a pas de fin, il est élevé et sans mesure!
3:26 C'est là que furent engendrés les fameux géants, ceux du commencement, de haute stature et versés dans l'art de la guerre.
3:27 Ce n'est pas eux que Dieu a choisis, ni à eux qu'il a indiqué le chemin de la science;
3:28 et ils périrent, car ils n'avaient pas de discernement; ils périrent à cause de leur irréflexion.

Dans le livre des Nombres 13:33  (version bible louis second)

et nous y avons vu les géants, enfants d'Anak, de la race des géants : nous étions à nos yeux et aux leurs comme des sauterelles.[...]

 Deutéronome 9:2 (version bible semeur)

Ce sont des peuples puissants, des géants de la race des Anaqim. Tu les connais et tu as entendu dire : “Qui peut résister aux descendants d'Anaq ?”[...]

 

20 octobre 2014

Les secrets d'un crâne sibérien de l'Age du Bronze decouverten sibérie

Les secrets d'un crâne sibérien de l'Age du Bronze

Contrairement à la plupart des sociétés de chasseurs-cueilleurs de l'Age du Bronze, les habitants de la région du lac Baïkal (en Sibérie) utilisaient des tombes pour leurs morts.

Ces sites funéraires sont un véritable trésor pour les archéologues. L'un d'eux était si particulier que la bio-archéologue Angela Lieverse a voyagé à travers le monde pour le ramener au Centre Canadien de Rayonnement Synchrotron afin de l'examiner.

Crâne et biens funéraires in situ dans la tombe 48. Credit: Canadian Light Source


"J'ai mené les recherches dans le cadre du Projet Baikal-Hokkaido Archaeology depuis la fin des années 90, et ce spécimen m'intriguait" explique Lieverse, professeur agrégée à l'Université de Saskatchewan, "je connais ce crâne depuis environ 10 ans et il y a certaines choses à son sujet qui sont fascinantes".

Le premier, c'est que cette personne a les deux dents de devant sur la mâchoire inférieure qui sont manquantes.
Et le deuxième, c'est qu'il y a une pointe de projectile en pierre intégrée à l'endroit exact de la mandibule les deux incisives auraient dû être.

"Nous savions qu'il y avait un projectile, nous avons pu le voir, mais nous ne savions pas si cela s'était passé des années avant son décès ou au moment de sa mort" ajoute-t-elle, "je supposais que cela s'était passé plus tôt et avait quelque chose à voir avec les dents manquantes".

Le spécimen a été trouvé dans un cimetière au nord-ouest du lac Baïkal. Le squelette a été enterré de façon cérémonielle avec un disque de jade et quatre pointes de flèches, dont l'une était cassée et a été retrouvée dans la cavité de l'œil

Après des analyses et une datation au radiocarbone, il a pu être déterminé que l'individu, mâle, avait entre 35 et 40 ans et qu'il vivait dans la période de l'Age du Bronze Ancien, entre 4420 et 3395 Avant le Présent (BP).

Lierverse a donc voyagé en Sibérie puis est retournée au synchrotron de Saskatoon pour examiner ce spécimen.

L'Imagerie Biomédicale et Thérapie (Biomedical and Imaging Therapy - BMIT) du Centre canadien de rayonnement synchrotron (CLS) est une installation unique où les spécimens de ce type peuvent être examinés en utilisant un puissant rayonnement X.

 

Vue antérieure de la mandibule avec une pointe de projectile intégrée dans la symphyse et les incisives centrales manquantes. Les molaires droites ont été enlevées pour analyses chimiques. 


Travaillant aux côtés du Dr. David Cooper, Chaire de recherche du Canada en imagerie synchrotron des ossements, et du Dr. George Belev, membre du personnel scientifique du BMIT, les chercheurs ont pu reconstruire le fragment de la pointe de flèche de la mâchoire en utilisant des techniques d'imagerie avancées.

"Nous avons découvert que le projectile n'avait rien à voir avec la dent manquante" rapporte Lieverse, "Il s'avère que cette personne avait une agénésie rarissime, les deux incisives centrales ne s'étant jamais formées; c'est un trait génétique qui affecte moins de 0.5% de la population". C'est l'un des rares exemples, dans la littérature archéologique, de l'apparition de ce type d'anomalie génétique dentaire.

La pointe de projectile était en fait un morceau cassé de la pointe de flèche qui a été placé dans l'orbite. Lieverse soupçonne que la flèche ait été retirée du visage de l'homme, soit au cours d'une lutte soit lors de l'enterrement.

"Nous savons que les habitants de la région Baïkal n'ont pas une histoire violente. C'est l'un des trois seuls spécimens datant de cette période où il y a une preuve de violence. Un projectile lancé dans le visage de quelqu'un n'est probablement pas un accident..."

Relecture par Marion Juglin


Source:"Siberian Bronze Age skull reveals secrets of ancient society"

http://decouvertes-archeologiques.blogspot.fr/2014/10/les-secrets-dun-crane-siberien-de-lage.html#more

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12 février 2014

GLOZEL controverses archéologiques du XXe siècle car elle remet en cause l'origine de l'ecriture

glozel

Glozel, petit hameau de la montagne Bourbonnaise, est situé sur la commune de Ferrières/Sichon dans l'Allier à une vingtaine de kilomètres au sud-est de Vichy.

Le 1er mars 1924, dans le champ Duranthon rebaptisé plus tard le champ des morts ), un jeune agriculteur de 17 ans, Emile, et son grand-père, Claude Fradin, font une découverte impossible qui déclenche l'une des plus violentes controverses archéologiques du XXe siècle car elle remet en cause ce que l'on savait sur les origines de l'écriture.

En défrichant un morceau de terrain, l'une des vaches tirant la charrue tombe dans un trou, à l'intérieur duquel Emile trouve des ossements humains. Avec la découverte de ce tombeau, ils pensent avoir mis la main sur un trésor, les premières fouilles se font à coups de pelle et de pioche. Ils trouvent divers objets, des urnes, des vases, des haches et des tablettes gravées. Ils brisent les urnes mais elles ne contiennent que de la terre, déception, le trou est rebouché et l'avoine est semée.

Au cours de l'été, la Société d'Emulation du Bourbonnais se déplace, recueille des échantillons et les envoie au Dr Capitan des Beaux-Arts.
A l'époque, le Dr Capitan, l'abbé Breuil et le conservateur du musée des Eyzies, M. Peyroni, composaient le triumvirat incontournable de la préhistoire.

Entre temps, en 1925, Antonin Morlet, médecin à Vichy, passionné d'archéologie, entend parler de la découverte et se rend sur place avec son épouse. Fasciné par ce qu'il trouve, il obtient le droit de publication sur les objets qui restent la propriété de M. Emile Fradin.

13 mois après avoir reçu les premières pièces, le Dr Capitan se rend sur place. "Vous avez là un gisement merveilleux..", il demande au Dr Morlet un rapport détaillé.

Mais au lieu d'envoyer son rapport, le Dr Morlet le publie le 23 septembre 1925 sous le titre "Nouvelle station néolithique". Morlet est convoqué par Capitan, furieux, "...mettez mon nom à la place de celui d'Emile Fradin..", ( fait rapporté et publié par le chanoine Cote, "Glozel, 30 ans après", 1959 ; toutes les personnes "baignant" dans le milieu scientifique savent l'importance d'avoir son nom au sein d'une publication ) ; Morlet refuse.
Puis l'abbé Breuil écrit un article en faveur de Glozel mais sans citer le nom du Dr Morlet, qui à son tour s'insurge et accuse l'abbé de vouloir s'approprier la découverte. L'abbé se retournera alors lui aussi contre Glozel.
On est bien loin des argumentations scientifiques !

Les grands pontes de la préhistoire, tout d'abord très favorables à Glozel, pris de court par cette fabuleuse découverte, se retrouvant "hors jeu", prennent alors position contre Glozel.
D'autant plus qu'à cette même période un éminent épigraphiste, René Dussaud, vient de publier officiellement que l'écriture est née en Phénicie, 1 600 ans av. J.C. ( après la mise à jour du sarcophage du roi Ahiram de Byblos, recouvert d'inscriptions ).
Or le Dr Morlet estime les tablettes gravées à 5 ou 6 000 ans av. J.C..

Les deux découvertes sont contradictoires et cela va déclencher une véritable guerre chez les hommes de science. Les glozeliens et les anti-glozeliens s'affrontent, Glozel devient l'affaire Dreyfus de l'archéologie.

Et dans cette guerre, tous les coups ( bas ) sont permis, lettres anonymes, injures, etc. ; un jour le Dr Morlet surprend même miss Garrod, secrétaire de l'abbé Breuil, en flagrant délit de truquage lors d'une enquête sur place de la Commission des fouilles ( nommée par le Dr. Capitan, impartialité quand tu nous tiens !!! ).
Le Dr Morlet, Emile Fradin sont traînés dans la boue, tout est mis en oeuvre pour les déshonorer, "calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose".

Le Président de la Société Préhistorique de France se rend à Glozel, il paye 4 francs pour entrer dans le musée ( mis en place sommairement par Emile Fradin pour satisfaire le nombre croissant de visiteurs, curieux de voir ces fantastiques objets si controversés ), puis il prétend qu'on lui montre des choses fausses. Il porte plainte contre X pour "entreprise pécuniaire pour montrer les produits d'une mystification".

Le 25 février 1928, la police de Clermond-Ferrand fait une descente pour perquisitionner chez les Fradin ; leur but, trouver l'atelier où Emile fabrique ses objets. Ils brisent les vitrines, certains objets, ils molestent le pauvre Emile et emportent plus de 200 objets, soit disant pour les faire dater mais à l'époque il n'y a aucun moyen pour faire cela.

Le 4 juin 1929, Emile Fradin est inculpé d'escroquerie, le juge d'instruction va le cuisiner pendant les 63 heures de l'interrogatoire.
On veut qu'il avoue avoir fabriqué ces objets, mais ce jeune paysan du Bourbonnais, ignorant tout de la préhistoire, a sa conscience pour lui, il n'a pas fabriqué ces objets surgis de la nuit des temps.

Son courrier est ouvert, il est constamment surveillé par la police qui veut le surprendre en flagrant délit de fabrication et vérifier s'il enterre lui-même les objets.

Finalement, deux ans plus tard, l'inculpation finit par un non-lieu.
Emile Fradin peut enfin profiter de la vie, il se marie et a des enfants.
Le Dr Morlet continue ses fouilles, toujours à ses frais, pendant 16 ans. Il trouvera plus de 3000 objets, jusqu'en 1941 où la loi Carcopino est votée. Il est désormais interdit de fouiller le sol français sans l'autorisation de l'Etat. Ceci met fin au fouilles de Glozel.
Le Dr Morlet meurt en 1966, il ne verra pas la reconnaissance de Glozel.

En 1972, Henri François, ingénieur au Commissariat à l'Energie Atomique, en visite à Glozel, fait des prélèvements et les envoie à 3 laboratoires étrangers pour datation. On utilisera la méthode de datation au carbone 14 pour les os gravés et la thermoluminescence pour les céramiques et la terre cuite.
Pour les trois laboratoires indépendants ,les résultats sont clairs et irréfutables, Glozel est ancien !
Henri François écrira à Emile Fradin :
"...Seuls quelques attardés mal informés pourront encore prétendre que vous êtes un faussaire, les regroupements des mesures faites indépendamment dans chaque laboratoire sont parfaits et indiscutables..."

Les résultats sont les suivants :

  • les ossements ont entre 15 000 et 17 000 ans,
  • les céramiques ont 5 000 ans,
  • les tablettes gravées ont 2 500 ans.

En 1974, une équipe du Centre de Recherche Nucléaire de Grenoble passe le site au magnétomètre, montrant qu'il existerait encore des objets enfouis.

En 1975, après un congrès d'archéométrie tenu à Oxford, la lumière est enfin faite sur l'authenticité du site. L'Etat reconnaît l'authenticité de Glozel, mais la communauté scientifique continue de douter.

De 1983 à 1990, de nouvelles fouilles sont entreprises, bizarrement, à plusieurs kilomètres du champ des morts, ensuite, aucun résultat n'est publié (?).

Alors pourquoi ?
Je cite M. Remy Chauvin, biologiste, "père spirituel des hérétiques en France" :
"...S'ils ne publient pas c'est qu'ils ont probablement trouvé des choses qui les ennuient, alors pourquoi ?
De quoi a-t-on peur ?
On a peur de contrarier quelques vieux professeurs, on a peur de démolir les théories en cours ?
Mais, est-ce que les théories scientifiques sont des monuments religieux ?
Qu'y a-t-il donc à Glozel qui soit responsable d'une telle levée de boucliers ?
Faisons donc des fouilles méthodiques et raisonnées à l'endroit où Emile Fradin les fit ! ...
"

M. Emile Fradin s'est vu proposé des sommes fabuleuses pour ses découvertes mais il n'a cédé aucun objet. Le 16 juin 1990, il reçut les Palmes Académiques.

En 1995, suite à la diffusion d'une émission télévisée,  le résumé provisoire des recherches précédentes est enfin publié mais ne révèle rien, si ce n'est ce que l'on savait déjà, qu'il y a une grande disparité dans l'âge des objets de Glozel.


Plus de 3000 objets ont été retrouvés, des poteries, des tablettes gravées, des pierres polies, des bijoux en os, des têtes de flèches, des aiguilles, et il ne semble pas que les signes écrits aient été superposés à des gravures animalières antérieures.

Tous les ossements, humainsn'appartenant pas à des squelettes d'homme moderne ), et d'animauxayant été transformés en outils, bijoux, certains portant des signes d'écriture ), tous, présentent une fossilisation avancée.

Les haches en pierre polie ont leur tranchant trop peu usé et sont donc certainement votives.

Les galets, gravés notamment de splendides rennes, ont soulevé l'admiration des spécialistes en art préhistorique.

Les objets en céramique, idoles, vases mortuaires aux masques étranges dépourvus de bouche et les fameuses tablettes couvertes d'inscriptions toujours inconnues, ont été fabriqués dans un four ovale qui fut tout d'abord pris pour une tombe. 


Même s'il n'y a plus de doute sur l'authenticité du site, Glozel conserve encore de nombreux mystères.

En effet, sans doute à cause de la très forte radioactivité naturelle de la région, les datations sont extrêmement disparates, et on a du mal à comprendre et à fortiori à expliquer la présence sur le même lieu, d'objets âgés de 17 000 ans, de 5 000 ans, de 2 500 ans, de 1 500 ans, et même du moyen âge !

Reste également l'énigme de l'écriture que l'on retrouve sur des os gravés de 17 000 ans, toujours non déchiffrée...
Elle présente de grandes ressemblances avec :

  • des formes très anciennes de l'écriture phénicienne.
  • Mais aussi avec un certain nombre d'inscriptions alphabétiformes retrouvées dans des sites magdaléniens, au Portugal, en Roumanie et en France.

Glozel serait peut-être un ancien lieu de culte, magique, où auraient été regroupés des objets de diverses provenances ? ...



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Avec la découverte de ce tombeau, ils pensent avoir mis la main sur un trésor, les premières fouilles se font à coups de pelle et de pioche. Ils brisent les urnes mais elles ne contiennent que de la terre, déception, le trou est rebouché et l’avoine est semée. Les voisins en revanches commencent aussi à fouiller aux alentours ou viennent voir les trouvailles, beaucoup ramènent des objets chez eux. Voilà comment briser la chaine de l’histoire en peu de temps, la plupart des objets qui ne seront pas sauvegardé par la famille Fradin seront d’ailleurs perdus, ou détruits.

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Au cours de l’été 1924, la Société d’Emulation du Bourbonnais, avertie de la découverte, se déplace, recueille des échantillons qu’elle expédie au Dr Capitan des Beaux-Arts. A l’époque, le Dr Capitan, l’abbé Breuil, grand découvreur de la grotte de Lascaux et le conservateur du musée des Eyzies, M. Peyroni, composaient le triumvirat incontournable de la préhistoire. Entre temps, en 1925, Antonin Morlet, médecin à Vichy, passionné d’archéologie, entend parler de la découverte et se rend sur place avec son épouse. Fasciné par ce qu’il trouve, il obtient le droit de publication sur les objets qui restent la propriété de M. Emile Fradin. Bien entendu entre temps, le Dr Capitan a eu largement le temps d’examiner les objets et échantillons qu’on lui a fait parvenir et se rend donc sur les lieux pour constater par lui-même l’étendue du champ de fouilles et ses possibilités. Ebahi par ce qu’il a sous les yeux.

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Il déclare au Fradin : - vous avez là un gisement merveilleux. Il commande d’ailleurs au Dr Morlet un rapport complet et détaillé sur les artefacts de Glozel.

Mais le Dr Morlet préfère finalement publier tous seul son rapport, comme un grand, ce qui va déclencher la ire des scientifiques reconnus, à commencé par le Dr Capitan, qui, furieux, demandera à Morlet d’apposer son nom en lieu et place de ceux d’Emile Fradin et de son grand-père fait rapporté et publié par le chanoine Cote, Glozel, 30 ans après, 1959. En effet, chacun sait à l’époque, depuis les découvertes récentes de l’archéologie préhistorique Lascaux, Niaux, les Eyzies, Tautavel, qu’avoir son nom en tête d’un rapport initiant une découverte majeure est un passeport pour la gloire scientifique et ses avantages, forts nombreux.

Le Dr Morlet s’y refusant, le Dr Capitan en prend ombrage et n’aura de cesse dès lors de monter une cabale contre le site de Glozel et la moralité de ses découvreurs. Il entrainera d’ailleurs dans son sillage l’essentiel de la communauté scientifique de l’époque… dont l’Abbé Breuil, qui publie d’abord un article élogieux sur Glozel, avant de se rétracter, car, ayant hormis de citer le Dr Morlet, auteur du premier et seul rapport, celui-ci le lui fera remarquer, ce qui ne sera pas du tout apprécié par le grand découvreur de Lascaux.

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1-Chasseur sculpté sur os/ 2-Représentation animale sur ivoire: Renne blessé, flèche dans la gorge et le cœur




Petit à petit, ce sont toutes les têtes de liste de l’archéologie préhistorique française qui, se retrouvant soudain en dehors de la fabuleuse découverte, évincé par d’obscurs paysans et un docteur malicieux, chercheront à démontrer à tout prix que les découvertes de Glozel ne sont que supercheries et faux.

Cela leur est d’autant plus facile qu’à cette même période un éminent épigraphiste, René Dussaud, vient de publier officiellement dans un rapport que l’écriture est née en Phénicie, 1 600 ans avant J.C. après la mise à jour du sarcophage du roi Ahiram de Byblos, recouvert d’inscriptions. Or le Dr Morlet estime la datation les tablettes gravées découvertes à Glozel entre 5 ou 6 000 ans avant J.C...


LA POLEMIQUE


Cette découverte va déclencher une véritable guerre dans le milieu archéologique, ou les antis glozeliens et glozeliens s’attaqueront à coup d’articles et de rapport, de thèses et de mémoires. Glozel devient, pris dans une tempête médiatique rarement vue pour une découverte scientifique, la controverse de Valladolid de la préhistoire. Une littérature abondante sera d’ailleurs produite sur le sujet, témoignant de l’importance de l’empoignade, la seule bibliographie française représente déjà plus de 85 pages.

Et dans cette guerre, tous les coups sont permis, lettres anonymes, injures, etc. ; un jour le Dr Morlet surprend même miss Garrod, secrétaire de l’abbé Breuil, en flagrant délit de truquage lors d’une enquête sur place de la Commission des fouilles nommée par le Dr. Capitan. Le Dr Morlet, Emile Fradin sont traînés dans la boue, tout est mis en œuvre pour les déshonorer, même les procédés les plus bas. René Dussaud, conservateur du Musée du Louvre et épigraphiste célèbre, accuse Émile Fradin de contrefaçon. Le 10 janvier 1928, Fradin intente un procès pour diffamation à l’encontre de Dussaud.

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artéfacts




Le Président de la Société Préhistorique de France, Félix Regnault, se rend à Glozel, il paye 4 francs pour entrer dans le musée mis en place sommairement par Emile Fradin pour satisfaire le nombre croissant de visiteurs, curieux de voir ces fantastiques objets si controversés, puis il prétend qu’on lui montre des choses fausses. Il porte plainte contre X pour entreprise pécuniaire pour montrer les produits d’une mystification. Avec 4 francs de droit d’entrée, la démonstration du profit pécuniaire n’a pas du être aisée pour les demandeurs.

Le 25 février 1928, la police de Clermont-Ferrand, conformément à l’instruction, se rend chez les Fradin, leur mission étant de trouver l’atelier où Emile fabrique les objets qu’il expose, puisque ceux-ci sont faux . Ils brisent les vitrines, certains objets, ils molestent le pauvre Emile et emportent plus de 200 objets, soit disant pour les faire dater. Le 4 juin 1929, Emile Fradin est inculpé d’escroquerie, le juge d’instruction va le cuisiner pendant les 63 heures de l’interrogatoire. On veut qu’il avoue avoir fabriqué ces objets, mais ce jeune paysan du Bourbonnais, ignorant tout de la préhistoire, à sa conscience pour lui, il n’a pas fabriqué ces objets surgis de la nuit des temps. Son courrier est ouvert, il est constamment surveillé par la police qui veut le surprendre en flagrant délit de fabrication et vérifier s’il enterre lui-même les objets. Finalement, deux ans plus tard, l’inculpation finit par un non-lieu.

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On ne pourra lever le voile du mystère que si l'on étudie sérieusement et systématiquement ce site exceptionnel.http://www.secret-realite.net/index.php?mod=articles&ac=commentaires&id=700


11 février 2014

Preuves des decouvertes de geants a travers le monde dans la presse

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pour les sceptiques qui pensent que les geants sont des fakes il y'en a comme les ovnis ou les reptiliens mais il ya aussi beaucoups de cas avérés indiscutable comme ceux là :

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Giant Research Pt 3

http://news.google.com/newspapers?id=1I1mAAAAIBAJ&sjid=yI0NAAAAIBAJ&pg=3424,4446512&dq=giant+miami+valley+8+feet&hl=en

http://news.google.com/newspapers?id=uydBAAAAIBAJ&sjid=eqgMAAAAIBAJ&pg=3510,3109152&dq=smithsonian+giant+skull&hl=en

http://news.google.com/newspapers?id=9SFFAAAAIBAJ&sjid=N7sMAAAAIBAJ&pg=2243,589051&dq=smithsonian+skeleton+7+feet+tall&hl=en

http://news.google.com/newspapers?id=qGEtAAAAIBAJ&sjid=Y4gFAAAAIBAJ&pg=922,3666038&dq=smithsonian+skeleton+giant&hl=en

http://news.google.com/newspapers?id=dZEcAAAAIBAJ&sjid=tI4EAAAAIBAJ&pg=1578,2062412&dq=massachusetts+burial+mounds&hl=en

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Skeleton of 7 foot Medieval Giantess, Italy 1971.

“GIANT” HEADLINES.
WASHINGTON  POST HEADLINES:

AN INDIAN GIANT’S TOMB [Nov 18, 1883]
A RACE OF GIANTS [Mar 16, 1884]
THE BONES OF A GIANT [Dec 9, 1887]
INDIANS SEVEN FEET TALL [Feb 10. 1890]
WARRIOR SKELETONS UNEARTHED [Dec 21, 1896]
Dug Up a Skeleton Eight Feet Long [Dec 4, 1898]
GIANTS IN THOSE DAYS; Monster Skeleton Discovered in the Miami Valley [Dec 25, 1898]
GIANTS’ SKELETONS IN A CAVE [Jun 17, 1899]
SKELETONS OF DWARFS; Curious Specimens Brought from the Philippines [Dec 31, 1899]
WILD SERI CANNIBALS [Jul 18, 1900]
ISLAND OF MYSTERY [Oct 13, 1901]
BONES OF GIANT ANCIENTS [Jul 3, 1903]
Giants’ Graves [Sep 20, 1903]
Find Horns on Human Skull [Dec 24, 1905]
OLD TIME GIANTS [Oct 25, 1906]
GIANT IN ANCIENT MOUND [Jun 23, 1908]
SOME HISTORIC GIANTS [Aug 17, 1908]
FIND PREHISTORIC GIANT [Feb 3. 1909]
SKULL GIVEN MUSEUM [Jan 16, 1910]
BONES OF STRANGE MEN [May 4, 1912]
Why Scientists Believe Mythical Monsters Existed [Nov 7, 1915]
FIND TWO SKELETONS OF PRIMITIVE MEN [Oct 25, 1923]
Giant Human Skeletons, 12 feet Long, are Found [Jun 22, 1925]
TRACES OF EARLIEST HUMAN RACE FOUND [Aug 20, 1925]
PREHISTORIC BONES REVEAL TRAGEDY OF GIANTS’ LOST RACE [Nov 20, 1927]
Town Very Proud Of Skeleton Found [Dec 16, 1928]
Evidence of Giants Bared by Mounds [Jun 15, 1930]
3 Huge Skeletons Of Humans Found [Apr 24, 1932]
WEIRD GIANTS of a DEAD PAST [May 29, 1932]
Oklahoma Indian Relics Unearthed; Thigh Bone of 9-Foot Man Found in Mound [Aug 26, 1934]
Largest Skull Ever Recorded is Discovered By Archeologist in Stafford County, Virginia [Jun 24, 1937]
Major Finds Grave of Giant Aleutian [Sep 16, 1944]
Giant’s Skeleton Found by Soviets [Oct 30, 1945]
Jaw and Skull of Oldest Man Safe in N.Y. [Sep 21, 1946]
Strange Bones Dug Up [Apr 7, 1949]
Giant Skeleton [Feb 9, 1972]

THE NEW YORK TIMES HEADLINES:

SKELETON OF GIANT FOUND [Nov 21, 1856]
Reported Discovery of a Huge Skeleton [Dec 25, 1868]
THE EARLY AMERICAN GIANT [Feb 8, 1876]
THE BEST ITEMS BY MAIL; UTAH MOUNDS REPORTED DISCOVERIES MADE BY RECENT EXCAVATIONS TWO SKELETONS FOUND AND ANCIENT RELICS NEAR THEM [Apr 15 1877]
BONES OF ALLEGED BROOKLYN GIANTS [Feb 6, 1880]
TWO VERY TALL SKELETONS [Aug 10, 1880]
THE BONES OF A GIANT FOUND [May 25, 1882]
THE GRAVEYARD OF THE GIANTS [Jul 10, 1883]
THE CARSON FOOTPRINTS [Aug 15, 1883]
SKELETONS SEVEN FEET LONG [Mar 5, 1885]
MONSTER SKULLS AND BONES [Apr 5, 1888]
SKELETONS OF A FORMER RACE [Jun 30, 1888]
SKELETON OF A BIG INDIAN [Aug 17, 1889]
A RACE OF INDIAN GIANTS [Feb 9, 1890]
MOUND BUILDERS’ SKELETONS FOUND [Apr 19, 1891]
MR. JEFFERSON’S CYCLOPS. ; A GIANT SKELETON UNEARTHED AT BUZZARD’S BAY [Jul 5, 1891]
THE WISCONSIN MOUNDS [Aug 10, 1891]
IN THE WISCONSIN MOUNDS [Sep 27, 1891]
A Race of Giants in Old Gaul [Oct 3, 1892]
GIANTS OF OTHER DAYS [Mar 3, 1894]
RELICS OF THE ABORIGINES [Aug 12, 1894]
A TALL SKELETON FOUND NEAR PHOENIX [Mar 22, 1896]
WISCONSIN MOUND OPENED [Dec 20, 1897]
GIANT SKELETONS FOUND [Feb 11, 1902]
UNEARTHING REVOLUTIONARY BONES AT 181st STREET [Jun 22, 1902]
FIND GIANT INDIANS’ BONES [Sep 7, 1904]
GIANT RACE IN GREENLAND [Dec 19, 1904]
A NEW RACE OF GIANTS [Dec 25, 1904]
GIANTS’ SKELETONS FOUND [May 4, 1908]
STRANGE SKELETONS FOUND [May 4, 1912]
FOUND GIANTS IN CHINA [Jan 27, 1914]
GIANTS’ BONES IN MOUND [Jul 14, 1916]
Not Human Skulls with Horns [Jul 16, 1916]
Unearths Skeleton of Indian Giant [Jun 14, 1923]
OLDEST SKULLS YET FOUND [Oct 28, 1923]
FIND SKELETON OF GIANT [Mar 17, 1924]
MUMMIES FOUND IN CAVES [Feb 7, 1925]
FIND FLORIDA GIANTS’ BONES [Feb 15, 1925]
PUT MAN’S AGE BACK TEN MILLION YEARS [Apr 20, 1925]
GIANTS’ BONES IN MEXICO [Jun 21, 1925]
GIANTS SURVIVE THE AGE OF FABLE [Jul 12, 1925]
HEADLESS GIANT BODIES FOUND IN PARIS GRAVES [Aug 7, 1925]
OLD ROYAL TOMB UNEARTHED IN OHIO [Sep 12, 1925]
UNEARTH THE BONES OF TEN-FOOT GIANTS [May 14, 1926]
FIND BONES IN MOUNDS [Feb 21, 1927]
THE GOBI GIVES US A MONSTER [Sep 2, 1928]
TAKING THOUGHT ABOUT STATURE [Apr 20, 1929]
‘Oldest Human Footprint’ Points to Primitive Giants in Africa [Oct 2, 1929]
Skeleton of Giant Early Man Reported Unearthed in Mexico [Jun 9, 1930]
REPORTS FIND OF BONES OF MEN 8 FEET TALL [Dec 2, 1930]
EIGHT MT. CARMEL SKELETONS REACH LONDON [Jan 11, 1933]
INDIAN BURIAL MOUND YIELDS MANY RELICS [Aug 26, 1934]
Bones of Huge Man Reported [Feb 14, 1936]
CHILEAN FOSSIL MAN SEEN [Nov 16, 1941]
HINTS ‘GIANT’ ANCESTORS [Jul 15, 1946]
GIANT BONES IN RUSSIA [Jan 29, 1947]
MUSEUM TO SHOW GIANT BIRD’S BONES [Apr 14, 1948]
Soviet Finds Giant Camel Fossils [Oct 31, 1976]
IN SEARCH OF EARLY AMERICANS [Mar 26, 1995]


Here’s a quick glimpse at just a few of the many prolific news reports.
















Long article from Wisconsin mound – click here
Article “The early american giant” – click here



Read my article – click here




San Diego Union 1947
Athens, Pensylvania

6 février 2014

les iles canaries étaient peuplées de géants blonds (l'un d'entre eux mesurait 2m 70), ils s'appelaient les guanches

 

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En 1402, les
conquérants des îles Canaries furent surpris d'y découvrir
des hommes à la peau blanche, à cheveux blonds ou roux et aux yeux
bleus. Le livre de Jacques Charpentier sur le "Mystère Basque"
paru en 1975 consacre un chapitre au peuple Guanches. L'auteur y signale que:
"les Pères Bontier et Le Verrier, de l'expédition Béthencourt,
les considéraient comme les gens les plus beaux et les plus gaillards
(grands) qu'ils aient jamais vus, tant les hommes que les femmes."
D'où venaient les Guanches ? Pourquoi construisaient-ils des
pyramides ? Lors d'un voyage effectué chez Mgr Eduardo Molowny Martinez (Evêque de l'Eglise Gallicane aux Canaries), sur l'île de Ténérife,
en 1994, nous avions pu contempler ces étranges constructions qui  tenaient plus du style de l'Amérique centrale que de l'Egypte.

Les chapelains de l'expédition Béthencourt "assurent que se trouvait à Fuerteventura un homme d'une taille gigantesque qui se
trouvait en défense d'un village que les hommes de l'expédition attaquaient. Sa taille aurait été de neuf pieds, ce qui donne
approximativement 2,70 mètres.
"
Le livre de Jacques Charpentier signale aussi que les Guanches pratiquaient la momification de leurs défunts, "si bien que, sur ces momies, il a été possible de recueillir des restes de viscères, voire de tissus conjonctifs."
L'analyse des viscères de 370 individus a démontré une proportion extraordinairement élevée de sang O negatif .

Les archipels des Canaries et des Açores constitueraient les ultimes vestiges d'un continent englouti.Les archipels des Canaries et des Açores constitueraient les ultimes vestiges du continent englouti. Qu'on soit d'accord ou pas avec cette hypothèse, il faut reconnaître que l'origine des premiers Canariens pose un réel problème ethnologique. Quand les navigateurs français débarquèrent en 1406 pour la première fois aux îles Canaries, ils se trouvèrent en présence d'indigènes au teint clair et de taille haute, qui se désignaient eux-mêmes sous le terme de Guanches, mot qui veut dire " homme ". Chacune des sept îles de l’archipel des Canaries, abrita une culture propre mais apparentée, jusqu’à leur extermination par la conquête espagnole (1402-1500) : les Guanches ont cependant laissé des momies et des pyramides...     

secretebase.free.fr

 

Les archipels des Canaries et des Açores constitueraient les ultimes vestiges du continent englouti. Qu'on soit d'accord ou pas avec cette hypothèse, il faut reconnaître que l'origine des premiers Canariens pose un réel problème ethnologique. Quand les navigateurs français débarquèrent en 1406 pour la première fois aux îles Canaries, ils se trouvèrent en présence d'indigènes au teint clair et de taille haute, qui se désignaient eux-mêmes sous le terme de Guanches, mot qui veut dire " homme ".

Lorsqu'il fut possible de comprendre leur langue, les Français furent étonnés de voir que les Guanches se croyaient seuls au monde, persuadés d'être les derniers survivants d'une terrible catastrophe qui, plusieurs millénaires auparavant, avait anéanti l'humanité toute entière. Pendant près de 60 ans, les Français vécurent en harmonie avec les populations locales.

 

Au début, cependant, le peuple guanche s'opposa à cette incursion étrangère. Avant que Jean de Bethencourt chambellan de Charles VI, puisse étendre son hégémonie sur les Canaries, ses troupes eurent à faire face à la résistance désespérée des Guanches qui préféraient la mort à la servitude.

Dans ces combats, les Français reconnurent le courage et la bonne foi de ces indigènes. Jean de Béthencourt racontera d'ailleurs lui-même que ses soldats s'étant emparés d'un groupe de femmes réfugiées dans une grotte de Fuerteventura, ils virent l'une d'elles étrangler son enfant pour qu'il ne tombât pas entre les mains des envahisseurs.

La conquête de l'archipel des Canaries par les Espagnols, en 1478, acheva de réduire ce peuple à l'impuissance. Dans ce même temps, une épouvantable épidémie, appelée par les Espagnols " modorra ", décima les Guanches qui n'avaient pas accepté la défaite. Dès lors, les survivants se virent offrir le baptême et leurs noms désormais hispanisés se confondirent bientôt avec ceux des conquérants.

Les ethnologues anciens et modernes qui ont étudié la nature de cette race guanche ont distingué deux types bien distincts. L'un, le plus répandu, de taille haute supérieure à 1,80 m, imberbe, aux yeux et à la peau clairs, et au front de penseur. L'autre, de taille plus réduite, avec une peau sensiblement plus brune, des yeux de jais et un profil convexe qui révélerait un origine sémite. Il y a encore, mais de façon très localisée, à Gomera, des individus de courte taille et à tête large. Les Français d'abord, puis les Espagnols, furent très étonnés d'observer ce peuple guanche aux mœurs si archaïques, mais héritiers d'une civilisation évoluée et originale. Tout en ignorant l'usage des métaux et des tissus et n'utilisant que des outils en pierre, ils connaissaient en revanche l'écriture, l'astronomie et appréciaient la poésie. Leur législation, encore, était très élaborée et leur religion avait des rites compliqués. L'alphabet des Guanches, fort heureusement recueilli par les premiers missionnaires envoyés aux Canaries, ressemble aux alphabets des langues sémitiques (Phénicien, Carthaginois, Hébreu). Mais on a découvert à plusieurs reprises dans les îles de l'archipel, des inscriptions en caractères inconnus. Lors d'un voyage effectué sur place, Robert Charroux a pu photographier une des ces inscriptions alphabétiformes à La Caleta (île Hierro).

Les linguistes ont pu établir certaines connexions entre le Guanche et les dialectes parlés par les Touaregs et par les Berbères, et plus spécialement par les Senhadja qui habitent le Hoggar. Des traces d'influence arabe semblent certaines. Il ne fait aucun doute, pour le moins, que le monde antique connut l'existence des Guanches. Ainsi, le roi de Mauritanie, Juba II, qui vivait au Ier siècle de notre ère, nous parle des îles habitées par cette ethnie. II vante leur nombreuse population et leur prospérité. L'île actuelle de Ténériffe, aux riches plantations de palmiers dattiers, était appelée jadis " Junonia ". Plus loin encore dans les siècles, Platon lui-même décrit les Guanches comme de grands hommes blonds, mais il leur prête aussi une maîtrise incomparable dans l'art de traiter les métaux et d'édifier les cités. Ce qui est incontestablement à l'opposé des possibilités guanches du XVème siècle, qui n'utilisaient plus qu'un outillage d'os, de pierre ou de bois, et aménageaient des grottes pour y habiter. En rapport encore avec d'anciennes relations entre les Guanches et des peuplades du Sahara, le colonel Braghine cite une trouvaille près de San Miguel, dans l'île de Ténériffe, d'une soixantaine de momies, environnées d'un grand nombre de poteries et de peaux de lion. Or, souligne cet auteur, " ce qui a plongé les savants dans une grande perplexité, c'est que le lion n'a jamais existé sur ces îles ! "( L'énigme de l'Atlantide, 1952).

Le rapprochement linguistique du guanche et de l'arabe constituerait pour plusieurs auteurs une preuve de l'origine atlante de la population des Canaries. Les Touaregs avec qui ils auraient été en rapport, ancêtres eux-mêmes des Garamantes, seraient les descendants de ce " peuple de la mer " refoulé de la Vallée du Nil par les soldats du Pharaon Ramsès Il au XIIIe siècle avant notre ère.

Récemment enfin, des anthropologues ont fait observer une prédominance du groupe sanguin O parmi les Canariens de souche. Or, avec eux se signalent les Basques et les Corses. Si il est à peine besoin de souligner combien le " mystère " basque n'a toujours pas été élucidé, on se souviendra que les Corses furent entraînés dans l'immense déferlement des envahisseurs venus du Nord.

 

LA RELIGION

 

Les Guanches semblent avoir été monothéistes : explorateurs espagnols et chercheurs actuels s’accordent à dire qu’ils vénéraient le soleil et l’eau, synonymes semble-t-il de vie ou survie dans une société basée sur l’agriculture et l’élevage. On relève également l’existence d’un jurement ( Mageb ) sur le soleil et le Telde, le majestueux volcan qui surplombe l’île de Ténériffe.
Comme dans l’Europe néolithique, les Guanches vouaient une importance particulière à l’élément féminin, en tant que symboles de fertilité et de fécondité que personnifiait la femme. Celle-ci jouissait donc d’une place privilégiée au sein de cette communauté fortement hiérarchisée, dont témoignent les rituels de momification et la richesse des matériaux ( peaux essentiellement ) dans les sépultures.

 

RITES FUNERAIRES ET MOMIFICATION

 

La religion monothéiste des Guanches semble avoir associé leurs momies à des motifs peints, et gravés tant sur le mobilier funéraire que sur les parois des cavernes où les rites étaient pratiqués. En effet, les Canariens y déposaient leurs morts, le plus souvent en décubitus dorsal. Les sépultures collectives étaient courantes et aménagées de murets pour compartimenter les corps en diverses niches. Nobles et notables bénéficiaient, quant à eux, de tumuli ou de grottes artificielles selon le cas, très fréquents sur l’autre île de Gran Canaria. Les tumuli sont inexistants sur Ténériffe, et les grottes artificielles de Gran Canaria étaient généralement regroupées en nécropoles.

 

La momification semble avoir été réservée aux seuls nobles et notables ( menceys ), quoique la variété des procédés donne à penser que le reste de la population ait pu aussi en bénéficier. La technique consistait en une éviscération préalable pratiquée pour les seuls menceys, mais le cerveau n’était jamais extrait comme en Egypte ancienne. Le corps était ensuite recousu et exposé au soleil pour dessèchement, avant d’être ceint de bandelettes végétales et enveloppé d’un linceul en peaux travaillées.
Les momies exhumées depuis les grottes ont été retrouvées souvent enveloppées de jonc, avec leurs viscères placées dans des récipients déposés près du corps, ce qui rappelle là la pratique des vases canopes en Egypte.

 

On a également observé divers cas de trépanation, sans doute à des fins thérapeutiques ou chamaniques. Enfin, s’il nous reste peu d’éléments sur leur culte des morts, on connaît néanmoins quelques pratiques qu’avaient les menceys nouvellement élus sur le corps de leurs prédécesseurs.

 

LES PYRAMIDES DE GUIMAR

 

Sur le plan architectural, l’île de Ténériffe recèle le lieu archéologique le plus spectaculaire de tout l’archipel : le site de Güímar compte plusieurs pyramides à étages, avec une orientation nord-sud sur l’axe du solstice d’été. La perfection de la taille de diverses pierres d’angle comme les structures pyramidales leur confère un caractère cérémoniel, voire astronomique : puisque l’Institut d’Astrophysique des Canaries en considère le sommet comme propice à l’observation du ciel.

 




Entre les pyramides, diverses places ou aires délimitées auraient pu servir de lieu de culte ou d’expériences sur les cultures. En effet, l’observation des mouvements de la lune et du soleil peut avoir servi à l’identification de cycles agricoles, comme semble l’étayer leur localisation près des points d’eau d’une part, et l’abondance de gravures rupestres attenant aux astres comme au cosmos d’autre part. près un siècle de conquête, les quelques 70 000 Guanches estimés pour 1402 ( dont ~30 000 sur Ténériffe et autant à Gran Canaria ) avaient déjà étaient réduits au tiers au début du XVIe siècle. Cette baisse drastique de leurs effectifs est due moins aux guerres contre l’envahisseur qu’à leur asservissement en esclavage vers l’Espagne. Si la langue et le système sociopolitique des Guanches ont aujourd’hui disparu après leur destruction systématique par les conquistadors, pratique qu’ils poursuivirent ensuite en Mésoamérique, les abondants témoignages d’époque et la recherche contemporaine apportent quelques lumières, telle leur parenté linguistique avec la langue des peuplades berbères des XIXe et XXe siècles… On ne peut donc qu’imaginer ce qu’étaient ces hommes perdus au large des côtes africaines, ces bâtisseurs de pyramides soigneusement taillées et construites, qui alimentèrent des siècles plus tard les théories diffusionistes de Thor Heyerdahl.

27 décembre 2013

Découvertes au Rwanda de sépulture de créatures gigantesques qui ressemblent peu aux humains.

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Une équipe d'anthropologues a trouvé une sépulture mystérieuse dans la jungle près de la ville de Kigali au Rwanda (Afrique centrale). Le reste appartient à des créatures gigantesques qui ressemblent peu aux humains. Chef du groupe de recherche estime qu'elles pourraient être les visiteurs d'une autre planète qui est décédé à la suite d'une catastrophe.

Selon les scientifiques, ils ont été enterrés à au moins 500 ans. Dans un premier temps, les chercheurs pensaient qu'ils ont découvert les restes d'anciennes colonies, mais aucun signe de vie humaine ont été trouvés à proximité.

Le 40 fosses communes avait environ 200 cadavres en eux, tous parfaitement conservés. Les créatures étaient grands - environ 7 pieds. Leurs têtes étaient disproportionnées et ils n'avaient pas la bouche, le nez ou les yeux.

Les anthropologues croient que les créatures ont été membres d'un atterrissage extraterrestre, probablement détruit par un virus terrestres pour lesquels ils n'avaient aucune immunité. Toutefois, aucune trace de l'atterrissage du vaisseau spatial ou de ses fragments ont été découverts.


Ce n'est pas la première constatation de telles découvertes . À l'été 1937, un groupe de scientifiques chinois menés par le professeur Chi Putei interrogés les grottes du mont Bayan-Kara-Ula. A l'intérieur ils ont trouvé des squelettes avec des têtes trop grandes et les organes chétifs. A proximité il ya eu 176 plaques de pierre. Dans le centre de chaque assiette il y avait un trou à partir de laquelle une rainure en spirale répartis sur le périmètre avec des personnages sur elle.

En outre, les parois des grottes ont été couverts avec des images du soleil levant, la lune et les étoiles, avec de nombreux points peints ou de petits objets, s'approche lentement de la montagne et la surface du globe.

Les experts dans le déchiffrage des caractères anciens écrits ont été intrigués au cours de la divulgation de secrets les spirales de la grotte de Bayan-Kara-Ula depuis deux décennies. Enfin, le professeur de l'Université de Pékin Zum Umniu déchiffré plusieurs inscriptions.

Les lettres rainuré rapporté que quelque 12 mille ans des objets volants se  sont  écrasé dans ces montagnes. Archéologues chinois ont découvert une mention des peuples qui vivaient dans les grottes montagneuses de Bayan-Kara-Ula.

Un cadavre d'un autre "étranger" a été trouvé par des spéléologues turc. Une momie de l'ère glaciaire se reposait dans un sarcophage en matériau cristallin. La hauteur de la créature humanoïde mâles ne dépassent pas 1 mètre 20 centimètres, sa peau était vert clair, et il avait de grandes ailes transparentes sur ses côtés.

Selon les chercheurs, en dépit de l'aspect inhabituel de la créature ressemblait davantage à une personne plutôt que d'un animal. Son nez, lèvres, oreilles, mains, pieds, les ongles, sont très semblables à l'homme. Seuls ses yeux étaient très différentes, trois fois plus grandes que celles d'un humain, et incolore, comme des yeux de reptile.

Il n'ya pas longtemps dans l'un des tombeaux anciens égyptiens une momie d'un homme de 2,5 mètres de haut a été trouvé. Il n'avait pas de nez ou les oreilles, et sa bouche était très large et n'avait pas la langue.

Selon l'archéologue Gaston de Villars, l'âge de la momie est d'environ 4 mille ans. Il a été enterré comme un noble égyptien - soigneusement momifiés et entouré d'objets domestiques, alimentaires et de l'art conçu pour l'au-delà. Cependant, comme il a été découvert, et non pas tous les objets autour de la recherche appartiennent à la culture égyptienne ou même de la Terre. Par exemple, parmi les découvertes était un disque rond en métal poli recouverte d'étranges personnages, un costume fait de métal avec les restes de quelque chose ressemblant à des chaussures en plastique, et de nombreuses tablettes de pierre rempli d'images d'étoiles, de planètes et de machines étranges. Le Sanctuaire, où une momie étrange a été trouvée examine aussi inhabituel. L'inhumation a été faite de la matière inconnue dans l'antiquité. La pierre a été littéralement sculptés dans la roche afin que les murs étaient lisses, comme le marbre poli. Il a regardé comme si il était coupé par un laser. Incidemment, la surface de la pierre a été fusionné. Le tombeau a été décorée avec une avance de substance ressemblant.

Cependant, les «étranges» théorie ne sont pas  les seules. Selon certains chercheurs, les «géants» et «nains» pourrait être une branche latérale simple de l'humanité qui ont vécu sur Terre, mais pour quelque raison que se sont éteints. ces récits sont clairement expliqués dans les livres anciens ces races venus du ciel certes ou plutôt tombés du ciel car exclut  pour une rébellion contre la création ils vinrent en légion et s'installèrent aux quatre coins du monde en jurant qu'ils installeraient la corruption a travers le monde ,ils y sont plutôt bien arrivés quand on voit l'état de notre planète ce sont ces génies qui enseignèrent aux hommes les plus grands secrets de l'univers ,les mathématiques ,l'astrologie,la magie, et la musique de leur chef PAN. il est amusant que la compagnie PAN américaine rende un si bel hommage a cette histoire dans l'ignorance totale  du plus grand nombre ......

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10 septembre 2012

7000 cranes Diocephales à Malte retiré de la vue du grand public.

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Les livres d'histoires evitent de répondre à cette question : Que s'ets il passé en egypte avant la dynastire des pharaons. Pour l'histoire officielle l' histoire de l'egypte commence avec le premier pharaon Ménès-Narmer. C'est biensur un gros mensonge par omission...
L'histoire de l'egypte a commencé bien plus tôt que les pharaons...

Comme le dit si bien l’égyptologue anglais: Toby Wilkinson « On dirait qu’ils n’ont ni ancêtres ni périodes de développement, ils semblent être apparu en une nuit ». Notre grand Maspero( 1846-1916) nous indique de plus à propos des Textes égyptiens « La religion et les textes qui nous la font connaître étaient déjà constitués avant la première dynastie. C’est à nous de nous mettre, pour les comprendre, dans l’état d’esprit où était, il y a plus de sept mille ans, le peuple qui les a échafaudés » (Revue de l(Histoire des Religions,t.XIX,p12), vous avez bien lu « …avant la première dynastie . » !
Les Anciens Egyptiens voyaient leurs civilisations comme un héritage venant directement d’êtres Divins qui existèrent en Egypte des milliers d’années avant les dynasties pharaoniques que nous connaissons. Le papyrus de Turin ou plus exactement le canon royal exposé dans le musée égyptologique de Turin, écrit en hiéroglyphes, datant de Ramsès II, présente la liste de tous les pharaons ayant régné sur la terre d’Egypte. Cette liste comprend non seulement les pharaons historiques, mais aussi des « pharaons-Divins venant d’ailleurs » et ayant régné avant la première dynastie de Ménès. On nous dit également que cette lignée précédente aurait régné 13.420 ans!

Evidement c'est l' Omerta chez les historiens qui préfèrent qualifier ces pharons divins venant d'ailleurs de "mythiques". Bizarrement les fragments de debuts de la liste ont... disparus. Heureusement la stèle dite de Palerme cite également ces rois dits « mythiques », prédynastiques remontant à des milliers d’années, mentionnant jusqu’à Horus lui-même qui aurait régné véritablement sur la terre d’Egypte.

Thot aurait régné environ de 8670 à 7100 Avant JC « après la nuit de la bataille » nous précise Manéthon. En écrivant sa « Théogamie », une généalogie des dynasties dites célestes qui auraient régné sur Terre, le grand historien Grec Hésiode (8ème siècle Av-JC), historien très sérieux, moralisateur, vivant au temps d’Homère, avait les Grands Prêtres égyptiens pour principale source d’information.

Et le Grand Prêtre égyptien Manéthon (Ma-n-Thot) de Sebennnytos dans le delta, Maître des Secrets (3ème siècle avant JC) qui avait accès à la bibliothèque d’Alexandrie et qui écrivit pour pharaon une histoire de l’Egypte en grec et en 30 volumes « Aegiptiaca », cita aussi ces dynasties d’origine divine prédynastique. Ce qui est d’ailleurs curieux mais significatif c’est que les égyptologues utilisent toujours aujourd’hui les datations de Manéthon reconnues parfaitement fiables, pour tout ce qui touche aux dynasties reconnues « officiellement », mais ils évitent soigneusement tout ce qui a trait aux dynasties préhistoriques chez lui ,alors qu’ils le considèrent comme le « Père » de l’égyptologie! Une acrobatie intellectuelle bien curieuse pour rester dans le « politiquement correct»! L’Egyptologie évite ainsi de parler trop de Manéthon, malgré sa grande utilité et fiabilité, car pour eux certains des détails qu’il donne sont extrêmement dérangeants.

l écrivit ainsi par exemple que selon les stèles provenant des Dieux de la première (véritable) dynastie, plus de 20000 œuvres étaient attribuées à Thot (Tehuti, Hermès). Il rapporta également que ces mêmes Dieux avaient régné de 33894 ans à 23642 Avt JC.

Manéthon nous donne des détails fort intéressants sur les Dynasties dites « Divines » qu’il divise en trois sortes nommées « Les Dieux », « Les Héros », et les « Manès ». Ce qui est passionnant c’est qu’il avance que la catégorie des « Dieux » serait subdivisée en 7 sections avec à la tête de chacune un « Dieu » entre autres : Horus, Anubis, Thot, Ptah, Osiris, Ra…et que « ces Dieux seraient originaires de la Terre puis seraient devenus ensuite « célestes, astronomiques en gagnant les cieux ». (Vous avez bien lu : « originaires de la Terre »
Ensuite viennent les « Héros », des êtres aux pouvoirs terrestres surnaturels, et enfin « Les Manès », des êtres glorieux (appelés aussi « Khus ») correspondant à des esprits d’ancêtres gouvernants ailleurs.


Et selon Plutarque qui a écrit un ouvragesur le culte rendu à Isis et Osiris « Ra partit dans les cieux et Osiris devint pharaon d’Egypte avec Isis et ils construisirent Thèbes (La Luxor actuelle) »

Des durées de règne inimaginables et pourtant...
Tous nous parlent donc d’une lignée de « dieux » ayant régné chacun plusieurs centaine d’années pour un total de 23,200 ans, puis ensuite une liste de « Shemsu-Hor », des dits « suivants d’Horus » ayant régné au total pendant 13,400 ans puis viennent les noms des pharaons « normaux » que nous connaissons.

Des durées qui ne sont pas sans rappeller la liste des rois "sumeriens" ou les centaines d'années de vie des personnages de la bible...

C’est pendant la période (à partir de 4000 avt JC) des étranges « Shemsou-Hor » ces dits « compagons d’Horus » décrits portant des masques de faucon ou de loup, que l’on pense initiateurs des dynasties pharaoniques (mais ce n’est pas tout à fait ainsi comme nous allons le voir) qu’apparaît brutalement un degré de sophistication inégalé, une civilisation remarquable. dans toute sa splendeur. C’est le chercheur et philosophe Schwaller de Lubicz (1887 – 1961) qui a ma connaissance à « imposé » généralement la traduction « Shemsu-Hor » par « Suivants d’Horus » reprise par des milliers d’autres depuis. Il entendait donc par là un peuple très avancé arrivé en Egypte à la Préhistoire apportant soudain tout le savoir. C’est d’ailleurs suite à cette croyance fortement répandue que bien des auteurs ont immédiatement pensé et écrit, comme le prolixe Sitchin (pensant qu’ils s’agissait du peuple Annunaki ayant atterri à Sumer d’abord), que c’était là l’arrivée brutale d’êtres venus d’ailleurs, des sorte d’ET. Or c’est sans doute faux mais c’est surtout bien davantage extraordinaire.

Des traces matérielles avérées




un ancien égyptologue français, Emile Amelineau (1850-1915) qui se consacra aux premières dynasties et qui excava pour la première fois des tombes de pharaons de la première dynastie (officielle): Amélineau au fur et à mesure de ses excavations dans le sud de l’Egypte découvrit des preuves de l’existence d’un peuple déjà avancé avant les pharaons de la première dynastie officielle. Il découvrit notamment le peuple de race noire « les ANU » (parfois nommés « aunu » rien à voir avec les Annunaki, ce n’est pas parcequ’il existe la même sonorité de mot en plusieurs langues qu’il désigne la même chose) qui faisait de l’élevage et de l’agriculture extensivement tout le long du Nil et qui s’enfermaient à l’intérieur des murailles défensives de citées qu’ils construisaient. Ils avaient fondé les villes d’Esna (« Anutseni »), d’Erment (« Anu Menti »), de Qush, de Gebelein (« Anti ») et même d’Héliopolis (qui se nommait à l’origine « Anu ») car ces villes comportent toutes dans leurs noms écrits les signes caractéristiques désignant le peuple Anu, les trois colonnes. Et selon bien des chercheurs (Chandler etc), les plus grandes figures de l’Egypte Ancienne tel Osiris, Isis, Hermes, Horus viendraient de cette ancienne race Anu. Je vous rappelle que selon les Anciens Textes, Osiris par exemple, est dit « Fils de Geb et de Nut, né à Thèbes en Haute Egypte », lui conférant ainsi une réalité de vie historique (les textes mêmes racontent qu’il enseigna les arts de l’agriculture et installa des lois justes).

les Anu connaissaient l’utilisation des métaux, de l’ivoire, étaient très organisés et savaient écrire. Ceci fut prouvé par nombre d’artefacts provenant d’eux trouvés dans la région d’Abydos par Amélineau dans ses « Fouilles d’Abydos ».

Anu est un terme appliqué à Osiris lui-même et Amélineau cite le passage du chapitre XV du dit « Livre des morts » (véritable traduction du titre « Livre de la sortie à la Lumière ») « Ô Toi Dieu Anu dans la terre montagneuse d’Antem! Ô Grand Dieu de la double montagne solaire! », Or c’était le nom d’Osiris dans son rôle de 4ème pharaon sur Terre que les Grecs ont traduit par Onnuphris, c’est à dire « Le Bon ». Nous avons un document prédynastique Anu extraordinaire trouvé cette fois par le grand égyptologue anglais Flinders Petrie (1853-1942) à Abydos. Il s’agit d’une tuile inscrite déterrée sous le temple dynastique. L’inscription comporte le portrait en faïence vernissée du chef ANU Tera-neter. Il y a même son adresse inscrite au dessus « Palais des ANU à Ermant, Tera–neter ».

Un mystérieux peuple aux crânes volumineux



Si les Anu sont déjà un peuple développé , on est cependant loin de personnes à la connaissance très élevée qui était apparemment beaucoup plus avancé que les autres, en terme de véritable civilisation et qui aurait disparue vers 4000 ans avt JC en Egypte.
Le Professeur Walter B.Emery (1903-1971) l’excellent archéologue qui excava beaucoup à Saqqara et au total plus de 45 ans en Egypte, trouva dans des tombes, des restes de personnes ayant vécu à des époques prédynastiques au nord de la Haute Egypte. Or les caractéristiques de ces corps et squelettes sont incroyables. Les crânes sont d’un volume inusité, ils sont dolichocéphales c’est à dire que la boîte crânienne, vue par sa partie supérieure, est ovale, la plus grande longueur l'emportant environ d'un quart sur la plus grande largeur et parfois les sutures habituelles sont invisibles. Les squelettes sont plus grands que la moyenne de la zone et surtout l’ossature est plus large et plus lourde. Il n’hésita pas à les assimiler aux « Suivants d’Horus » et trouva que de leur vivant ils remplissaient un important rôle sacerdotal. Or en ce qui concerne les dolichocéphales, il semble qu’il s’agit là non pas d’une lignée d’évolution préhistorique mais bien plutôt d’une lignée provenant d’un cycle de civilisation antérieur au déluge. Or on a déjà trouvé ces crânes dolichocéphales dans plusieurs régions du monde ainsi les Dr J Von Tschudi et Mariano E.Rivero au Pérou ont dénombré trois races pré-incas dolichocéphales: les Chinchas, les Aymaraes et les Huancaes. Les chercheurs trouvèrent aussi que si les Chinchas avaient le crâne allongé c’est parcequ’ils bandaient les crânes de leurs enfants dans le but de ressembler aux deux autres groupes qui eux ne pratiquaient pas le bandage de crâne. On réussi à déterminer que le groupe d’origine ayant les caractéristiques les plus fortes et naturelles est celui des Chinchas. Ils auraient précédé le premier Inca Manco Capac et auraient influencé à la fois les Incas et les Mayas plus tard. Et le chercheur A.H.Verrill et Posnansky font remarquer que la plus ancienne ville Pré-Inca du Pérou est Tiahuanaco, du même âge que l’Egypte Pé-dynastique et on trouve au Tihuanaco Museum des crânes dolichocéphales de cette époque. On affirme donc qu’il a éxisté une race pré-diluvienne que l’on trouve un peu partout sur le globe et qui avait le crâne conique allongé de façon naturelle comme l’affirme quelques chercheurs dont le Dr Tschudi qui le démontre car il posséde un fœtus de 7 mois au crâne dolichocéphale encore dans le ventre de sa mère fossilisée de cette époque.

7000 cranes Diocephales à Malte retiré de la vue du grand public...



Tout ceci est loin d’être « politiquement correct » . Pour démonstration, le fait que l’on est retiré de la vue du public les crânes dolichocéphales du Musée de la Valette à Malte pour sans doute ne pas choquer les mentalités religieuses de certains. En effet, à Malte on a retrouvé environ 7000 crânes dolichocéphales dans les hypogées de Hal Saflieni et dans les tombes des temples mégalithiques de Taxien, Ggantja. Là ce sont les Dr Anton Mifsud et le Dr. Charles Savona Ventura qui analysèrent les crânes et arrivèrent à la même conclusion qu’au Pérou en arrivant à discerner trois groupes différents, certains complètement « naturels » d’origine, d’autres ayant subi des bandages. Or il y a là un lien encore plus étroit avec l’Egypte. L’ancien nom de Malta (Malte) est Melita du nom latin pour le miel Melita, or le symbole de Malte est une abeille avec ses cellules-rayons hexagonaux, n’oublions pas que le symbole de pharaon en Egypte est aussi l’abeille (« Bit ») qui lui donne une de ses titulatures, que le miel était reservé à pharaon et aux grands prêtres et que Mel (ou Mer) était un des noms attribué en Egypte aux pyramides. D’autre part le culte solaire prédominait à Malte comme en Egypte. Or la caste dolichocéphale disparut à la même époque à Malte et en Egypte.

cette race qui apparemment était consacrée à la prêtrise et à l’enseignement et qui se mélangeait très peu ou très lentement avait partout comme point commun celle de construire des monuments mégalithiques et de former une caste dominante sacerdotale partout où elle se trouvait. Est-ce que ce peuple serait bien les restes d’une race ante-diluvienne, peut être, mais est ce que ce sont là les fameux Shemsu–Hor, pas sûr.

Nous avons donc à l’origine, ce peuple SHESH constitué de 42 tribus (dont les Anu) de différentes provenances s’étant uni et ayant eu des Ancêtres prestigieux comme Anubis, Osiris, etc...,et une mystérieuse race dolichocéphale dont on ne sait presque rien. Une chose est certaine l’Egypte a été un creuset incroyable de races mêlées et il va falloir continuer à étudier sérieusement la provenance de ces peuples.

Références

* Les nouvelles fouilles d'Abydos, 1895-1896, et 1896-1897 et 1897-1898, compte-rendu in extenso des fouilles..., Amélineau, E. Leroux, Paris, 1901 et 1902 et 1904-1905
* Dr G.Elliot Smith : « The Ancient Egyptians » 1923, Harper
* Posnansky, Arthur. Tiahuanacu. New York: J.J. Augustin, 1946.
* Randy Koppang, « The Dolicohcephaloids Missing race of Our Human Family »
* Dimitri Meeks - Chapter 4 - “Locating Punt” from the book “Mysterious Lands”, by David B. O'Connor and Stephen Quirke.
* The Land of Osiris, Stephen Mehler.- Anton and Simon Mifsud- Dossier Malta - Evidence for the Magdalenian - Proprint Co, 1997
* C. Savona Ventura- Anton Mifsud- Prehistoric Medicine in Malta- Proprint Co, 1999
* Anton Mifsud - C. Savona Ventura- Facets of Maltese Prehistory- Prehistoric society of Malta, 1999
* Graham Hancock- Fingerprints of the Gods- Corbaccio, 1996
* David Rohl- Legend- Piemme, 2000

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