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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
projet secret
20 octobre 2016

Le DCA une molécule qui permet de traiter 3 des cancers des plus meurtriers

 

Les chercheurs médicaux de l'Université de l'Alberta ont prouvé en 2010 que le dichloroacétate de sodium ((DCA) une molécule non brevetable) permet de traiter un des cancers des plus meurtriers de tous les cancers chez l'homme: une forme de cancer du cerveau appelée glioblastome.  L’article a été publié à la revue Science translational medicine, une revue de l'Association américaine de l'avancement de la science (1).

 

En 2007, une équipe de l’Université d’Alberta, dirigée par le Dr ED Michelakis, publie des données qui démontrent que le DCA renverse la croissance des cellules cancéreuses aussi bien chez les animaux de laboratoire que in vitro dans des tubes à essais (2).  L'équipe montre ensuite que les effets anti-cancer du DCA s’exercent en modifiant le métabolisme d’oxydation des sucres des cellules cancéreuses, ce qui active les mécanismes de suicide de celles-ci.  En effet, les tumeurs solides développent une résistance à la mort cellulaire, à cause d’un arrêt de la phosphorylation oxydative mitochondriale pour la glycolyse cytoplasmique.  Ce changement métabolique est accompagné d’une hyperpolarisation de la membrane interne des mitochondries.  Or le DCA rétablit la phosphorylation oxydative dans ces cellules tumorales, augmentant ainsi la concentration des radicaux libres, et induit leur apoptose (c’est à dire leur suicide cellulaire).  Cela est d’autant plus intéressant que le DCA est inoffensif pour les cellules saines.  Depuis lors, plusieurs groupes indépendants à travers le monde ont confirmé les conclusions de l'équipe de l'Alberta.

 

Ensuite l’équipe du Dr Michelakis se propose de montrer que le DCA fonctionne chez de réels patients de la même façon que sur des modèles animaux ou dans des éprouvettes.  De plus, les chercheurs voulaient être certains que l’usage du DCA était sécuritaire et efficace chez des patients très malades atteints d'un cancer du cerveau.

 

En extrayant les glioblastomes de 49 patients sur une période de 2 ans et en les étudiant dans les minutes suivant leur exérèse, l'équipe a montré que les tumeurs modifient bien leur métabolisme d’oxydation du glucose en présence du DCA.  Puis, l'équipe a traité 5 patients atteints d'un glioblastome en phase terminale et examiné le comportement de ce cancer avant et après la thérapie de DCA. En comparant les deux, l'équipe a montré que le DCA travaille sur ces tumeurs exactement comme cela avait été observé lors des expériences en tubes à essais. Ceci est très important parce que souvent les résultats sur des modèles animaux testés en laboratoire ne sont pas en accord avec les résultats obtenus chez les patients.  En outre, l'équipe a montré que le DCA a des effets anticancéreux même sur les cellules souches du cancer du glioblastome, des cellules considérées comme responsables des récidives de cancer.

 

Chez ces 5 patients testés, le DCA a pris 3 mois pour atteindre des niveaux sanguins suffisamment élevés pour modifier le métabolisme de la tumeur. Au départ du traitement, les patients recevaient, durant un mois, 12,5 mg de DCA par kg de poids corporel à raison de deux prises par jour (matin et soir); ensuite cette dose a été doublée à 25 mg de DCA par kg de poids corporel, deux fois par jour.  À ces niveaux, il n'y avait pas d'effets négatifs significatifs; aucune toxicité hématologique, hépatique, rénale ou cardiaque durant les 15 mois de traitement.  Cependant, lorsque les doses étaient plus élevées, le DCA pouvait provoquer un dysfonctionnement du nerf périphérique, c'est-à-dire des engourdissements des orteils et des doigts, en de telles circonstances les doses étaient progressivement diminuées à 12,5 mg puis à 6,25 mg/kg.  La neuropathie périphérique du DCA est dépendante de sa dose et est réversible. Le plus important chez certains patients, c’est qu’il y avait également des preuves de bénéfices cliniques; soit il y avait une régression de la taille des tumeurs (3 des 5 patients) soit au moins un arrêt de toute croissance supplémentaire durant l'étude de 18 mois.  Cette thérapie au DCA active également l’anti-oncogène p53 et inhibe l’angiogenèse, aussi bien in-vitro qu’in-vivo.

 

À ce stade ci, aucune conclusion ne peut être faite quand à savoir si le DCA est sûr et efficace chez les patients atteints de cette forme de cancer du cerveau, en raison du nombre très limité de patients testés. Les chercheurs soulignent que l'utilisation du DCA par les patients ou les médecins sans surveillance clinique étroite par des équipes médicales expérimentées dans un cadre d'essais de recherche, est non seulement inapproprié, mais peut aussi être dangereux. Les résultats sont encourageants et confirment la nécessité pour de plus grands essais cliniques avec DCA.  Cette recherche est également originale puisqu’elle soutient l'idée émergente que la modification du métabolisme des tumeurs peut provoquer leur mort.  C’est une nouvelle direction dans le traitement du cancer.

 

L'équipe de recherche espère obtenir des fonds supplémentaires pour poursuivre les essais en cours avec DCA à l'Université de l'Alberta. D'autres études sont prévues qui prévoient des recherches sur un plus grand nombre de patients atteints d'un cancer, et l’examen de la combinaison du DCA avec les chimiothérapies standard.

 

Une remarque importante à faire concernant cette recherche, c’est qu’elle a été financée en grande partie par des dons publics, y compris les fondations philanthropiques et des particuliers.

 

  • Dr. Christian Linard, PhD, Biochimiste clinique
  • Dr. Christian Linard, PhD, DEPD, CSPQ.
Biochimiste clinique,
Biologiste moléculaire,
Professeur à l'Université du Québec à Trois-Rivières (Qc) Canada;
Directeur du Laboratoire LSIA
  • Dr. Christian Linard, PhD, DEPD, CSPQ. Biochimiste clinique, Biologiste moléculaire, Professeur à l'Université du Québec à Trois-Rivières (Qc) Canada; Directeur du Laboratoire LSIA

 

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23 janvier 2015

Le projet Stargate et le projet remote viewing

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Le récit du consultant gouvernemental, Ingo Swann, relatif à des
activités extraterrestres clandestines tenues sur la lune, prend une
toute nouvelle tournure, maintenant que les documents, rendus publics, de la CIA sur le STAR GATE, avalisent un grand nombre des affirmations de Swann.

Ceci est l’étrange et véridique récit de l’étude psychique effectuée par Ingo Swann pour le compte du gouvernement américain, dans
différentes agences incluant la CIA et la DIA, et de ses allégations personnelles sur l’existence d’une mystérieuse opération clandestine
avec qui il est entré en contact, pendant l’apogée des expériences financées par la CIA au Stanford Research Institute (allégations
maintenant soutenues par la publication par la CIA des deux tiers environs des documents existants sur STAR GATE).

A en croire Ingo Swann, ceci provient d’un homme qui, bénéficiant d’un accès top-secret, au cours de ses journées de travail,
informait et entraînait des officiers de l’Armée de l’Air Américaine, de la “Defense Intelligence Agency”, de l’INSCOM, et de plusieurs
autres agences trop nombreuses pour être toutes mentionnées ici; il y a bien une part de vérité dans les rumeurs voulant qu’une vie
intelligente d’un autre monde travaillerait derrière les rideaux, ici-bas, sur Terre. D’après le témoignage de Swann tiré d’un livre
rare et auto-publié en 1998, non seulement ils sont déjà présents ici, mais ils construisent également quelque chose sur la face cachée de la
lune. Et, par-dessus le marché, ils ne sont pas amicaux.

La vérité est plus étrange que la fiction, et cette histoire projette assurément les limites de l’imagination jusque dans la réalité. Pour
Ingo Swann, le moment décisif menant au monde de tromperies et de mensonges des grandes opérations clandestines et à leurs étranges
requêtes, pour la surveillance psychique de la Lune et au-delà, a eu lieu au début de 1975. Lorsque Swann a publié son récit en 1998, la
plupart des documents classés de la CIA et de la DIA concernant le programme secret STAR GATE étaient toujours inaccessibles au public.
Alors que ce texte était sous presse, en été 2006, plus de 80 000pages de documents étaient à portée de main à Starstream Research.
Cela incluait les résultats des tests médicaux et psychologiques effectués sur M. Swann, tests reliés à son implication dans les
expériences financées par la CIA durant ses activités au Stanford Research Institute, dans les années 1970.

Le Programme STAR GATE de la CIA.

Au début des années 70, des inquiétudes ont commencé à faire surface dans les différentes agences de renseignement, sur un possible retard sur l’Union Soviétique dans le domaine de la guerre psychique. A l’insu de la population générale, les Soviets étaient occupés à
explorer les frontières de la science : l’utilisation de l’ombre noire du monde du paranormal à des fins d’espionnage.

Les aptitudes de Swann étaient suivies depuis un moment, mais elles avaient véritablement attiré l’attention du pouvoir en place à
Langley, avec l’enregistrement, par des équipements de tests très sensibles, d’une apparente perturbation, créée par la projection
mentale de Swann. En plus d’influer sur les données sortantes de cet instrument sensible, Swann a été en mesure de fournir une description
de base de l’appareil, qu’il n’avait jamais vu auparavant.

Dans une lettre datée de 27 juin 1972, le Dr. Hal Puthoff du SRI écrit : “Sur suggestion de Russell Targ, je vous écris au sujet d’une
observation faite en laboratoire impliquant un certain Ingo Swann, un artiste de New York … Une intéressante facette du succès de
l’expérience est que Ingo a été en mesure de décrire assez bien ce à quoi ressemblait l’intérieur de l’appareil, apparemment à une
certaine forme d’observation directe.” Même si le nom a été retiré du document, il semble fort probable que le destinataire de cette lettre
ait été la CIA. Apparemment, une confirmation de l’intérêt du Dr. Puthoff pour les interactions mentales de Swann avec l’équipement du
test, s’ensuivit peu de temps après.

Parmi les documents du STAR GATE se trouve un mémorandum technique du Stanford Research Institute (SRI), datant du 22 février 1973, préparé par le Dr. Hal Puthoff et Russell Tag, portant le Numéro de Contrat 1471(S)73, et étiqueté de CIA/ORD #1416-73.

“Un programme d’analyse de champs bio-magnétiques a été lancé en
juillet 1972 par une expérience préliminaire avec M. Swann. Dans cette étude, en utilisant un magnétomètre isolé, M. Swann a apparemment démontré la capacité d’augmenter et réduire à volonté le champ magnétique situé à l’intérieur d’un autre champ magnétique
superconducteur. Cette expérience faisait usage d’une installation existante et nous avons tout lieu de penser  que M. Swann n’avait ni
connaissance préalable que ce soit de l’appareillage ni connaissancede notre intention dans cette expérience.”

Un mémo d’août 1972 destiné au Directeur du TSD/BAB à la CIA note que ” … [nom retiré] et quelqu’un nommé [nom retiré] du Département des Sciences Naturelles [de la CIA] prévoient un voyage sur la côte ouest le 11 août, où ils rencontreront Ingo Swann et auront l’occasion de l’observer … les Sciences Naturelles planifient la formation d’un comité de coordination pour travailler sur les ESP et les données qui nous parviennent…”

Lorsque nous avons contacté l’ancien officier des Sciences Naturelles de la CIA dont le nom avait été retiré, il a confirmé l’authenticité
du document, mais a nié avoir une quelconque connaissance des allégations de Swann.

Un brouillon de mémo non daté provenant du Vice-Directeur des Opérations, William Colby, et adressé au “Directeur de la Centrale des
Renseignements”, révèle la nature clandestine de l’implication de la CIA dans la recherche sur les sujets humains :

“Récemment, deux individus, M. Uri Geller et M. Ingo Swann, semblent avoir démontré certaines de ces capacités, dans des conditions de laboratoire contrôlées. Les capacités de ces individus (qui ne sont pas au courant de l’implication de l’Agence) sont soumises à une sérieuse enquête scientifique, qui est, en partie, soutenue par le
projet mentionné plus haut.”

Une source anonyme, travaillant dans l’industrie de l’énergie alternative et des transports, a récemment déclaré que “en fait, ils
ont commencé à s’intéresser à Swann, lorsqu’il a vu par RV [Remote Viewing- Faculté de voir à distance grâce aux aptitudes psychiques]
certaines de leurs voûtes souterraines secrètes, et ce qu’elles contenaient. C’est à ce moment-là qu’ils se sont approchés du SRI,
parce qu’ils étaient véritablement effrayés par la réalité que représentait le Remote Viewing, en tant qu’arme aux mains des
Soviets.”

En se basant sur les archives disponibles sur STAR GATE, personne ne semble avoir considéré que toutes ces manifestations de l’impossible étaient de fortes indications d’interférence, dans les affaires humaines, par une intelligence supérieure, avec des technologies plus puissantes à sa disposition. Mais avaient-ils véritablement oublié de considérer cette éventualité? Le récit du livre de Swann suggère que quelqu’un se tenant dans l’ombre portait une attention particulière à tout ceci; quelqu’un dont le pouvoir et l’accès aux informations comprenait le travail souvent super-secret effectué au SRI.

Starstream Research a été en mesure de retracer les résultats des tests médicaux et psychologiques de Swann à partir de documents du
SRI, même si les sujets des tests n’étaient identifiés que par S1 à S6. Un des mémos de la CIA n’avait pas été édité au niveau des noms
des participants, et il a été relativement facile d’utiliser un processus d’élimination de sexe et d’âge, pour déterminer l’identité
d’Ingo Swann et de Pat Price, deux des principales stars des débuts du SRI.

D’après les documents officiels, Swann était, presque en tout point, parfaitement normal. Il n’était certainement pas du genre à se
raconter des histoires, comme le confirment les tests.

Au cours des premières années de financement par la CIA des études au SRI, l’équipe de recherche a démontré l’existence d’appréhension que le KGB Soviétique soit intéressé au travail qu’ils effectuaient, et ils gardaient toujours à l’esprit qu’ils pouvaient être un jour
kidnappés, ou pire encore. La paranoïa de la Guerre Froide était à son paroxysme pendant les premiers pas de la recherche sur l’espionnage
psychique. M. AXELROD .

Le départ de Swann des expériences psychiques financées par la CIA,
vers le mystérieux et sombre inconnu, a débuté par son recrutement par un homme qui se faisait appeler “M. Axelrod” .

Un mémorandum archivé de la CIA daté du 21 janvier 1975 documente l’évolution du programme du SRI juste avant l’apparition d’Axelrod :

“En 1972, des rapports d’activités paranormales au SRI documentées par le Dr. H. Puthoff et M. Targ sont parvenues à l’Agence. Les contrats originaux étaient [édité] OTS/APB et [édité] ORD/TC. Un petit contrat de type bon de travail a été initié avec la permission du Dr. S. Gottlieb, D/OTS. Ce contrat prévoyait l’administration par le SRI des tests de laboratoires effectués sur M. Ingo Swann, un artiste de la ville de New York, possédant ce qui est, affirme-t-on, des capacités paranormales. M. Swann a été testé et a fourni des résultats
significatifs, dans des conditions bien contrôlées.”

Nous mentionnerons seulement que le Dr. Sidney Gottlib, D/OTS, était fortement impliqué dans les expérimentations au LSD de la CIA sur des sujets humains non-consentants, à l’intérieur d’un projet appelé MK-ULTRA.

Vers la fin de février 1975, les relations de Swann avec la
mystérieuse opération intéressée par l’activité extra-terrestre ont
commencé par un appel téléphonique d’une connaissance haut placée, qui l’a alerté d’un contact à venir avec un véritable homme de l’ombre.

Quelques semaines plus tard, l’appel est entré à 3 heures du matin, exigeant la présence de Swann à Washington, D.C..

Le mystérieux contact de M. Axelrod a dirigé Swann à travers une série de rendez-vous secrets tenus en différents endroits. Lors de la
première rencontre, Swann a reçu l’instruction d’attendre au Musée d’Histoire Naturelle Smithsonien, jusqu’à ce qu’il soit contacté de
nouveau par les exécutants d’Axelrod. Dans une scène digne d’un film hollywoodien, Swann a été soumis à une fouille corporelle complète,
pendant qu’il roulait en voiture vers un point de rencontre secret.
Pour empêcher Swann de connaître l’emplacement du repère souterrain secret d’Axelrod, un capuchon noir a été placé sur sa tête.

Inutile de préciser qu’à cet instant, l’esprit de Swann tourbillonnait et se demandait dans quoi il pouvait bien avoir mis les pieds.

Les étranges tenants et aboutissants du recrutement de Swann dans les opérations clandestines de l’espionnage psychique culmineront
éventuellement en un contact physique rapproché avec ce qui semble être une machine d’origine extra-terrestre.

Qui était ce M. Axelrod? Un groupe légendaire d’initiés
gouvernementaux profondément obscurs, mis en lumière par la “fuite” d’une série de documents (contrairement aux documents du STAR GATE, qui ont été officiellement rendus publics par la CIA), est connu sous le nom de MAJESTIC. Notre source anonyme s’est interrogée sur la possibilité que le mystérieux M. Axelrod de Swann ait été impliqué dans ce soit-disant groupe MJ-12 MAJESTIC, que le FBI affirme tout simplement provenir de faux documents qui traitent d’OVNIS.

Même si le FBI affirme que les différents documents du MAJESTIC sont des faux, une autre de nos sources du monde du renseignement a
récemment suggéré que les documents fabriqués pourraient avoir été utilisés pour transmettre de véritables informations aux Russes.

L’entente et les motivations de M. Axelrod pour le recrutement de Swann étaient purement verbales : il n’y avait aucune trace sur
papier; pas d’ententes de non-divulgation, fournissant d’autres arguments confirmant que le personnel d’Axelrod pourrait avoir été
sous une couverture non-officielle (Non-Official Cover – NOC) – leur existence serait démentie par les gens au pouvoir, si la nature de
leurs activités devait être révélée.

Swann a découvert rapidement que les intérêts principaux d’Axelrod étaient loin d’être terrestres. En plus du potentiel offert par la
Visualisation à Distance [Remote Viewing] de la surface lunaire, Axelrod avait aussi une fascination pour le concept de télépathie, le
partage de pensées dans une interface consciente.

La présomption que la race humaine soit tombée sous le contrôle d’une intelligence supérieure avec des technologies avancées était aussi fortement confirmée par l’exactitude de l’argumentation autour de la simulation : toute interaction entre une entité “naturelle” et une
intelligence beaucoup plus développée impliquait automatiquement que la simulation faisait maintenant partie du portrait. L’interface entre un esprit-humain et un esprit extra-terrestre, en tant que scénario complexe de simulation, n’avait pas encore été complètement évaluée dans la littérature financée par la CIA disponible à l’époque.

Le développement mental personnel est, en grande partie, un ensemble d’expériences et de simulations basé sur des millions d’années de développement collectif. Le concept de “télépathie” ou d’interface esprit à esprit est un artifice, introduit pour regrouper plusieurs simulations individuelles, chacune avec leur point de vue unique sur le même environnement naturel : dans un réseau télépathique, le monde “extérieur” intègre l’individu à l’intérieur d’un tout indivisible.

Peut-être y avait-il un inconfort inconscient général et une peur
induite par l’évidence qu’une intelligence supérieure semblait avoir
développé un moyen d’interagir directement avec le cerveau humain et les fonctions supérieures de l’esprit et de la conscience, en tant que
forme de communication, ou pire encore, en tant que méthode de
contrôle de l’esprit. Une fois qu’une forme de communication directe
cerveau à cerveau était devenue une réalité acceptée, la prochaine
assomption logique était la possibilité d’un réseau d’esprits reliés
entre eux dans une genre “d’Internet cosmique”.

Des recherches récentes utilisant la technologie d’Imagerie par
Résonance Magnétique (MRI) fonctionnant actuellement dans le domaine médical pour observer l’état d’un cerveau humain et faire
correspondre cet état à des comportements bien précis, est un exemple de méthode primitive d’interfaçage entre l’esprit et la machine.
L’idée qui circule dans les cercles gouvernementaux ces jours-ci est
d’utiliser le MRI pour identifier les terroristes qui ont l’intention
de semer le chaos et la destruction, en détectant leurs pensées. Dans
une affaire du même genre, la Americain Civil Liberties Union a
soulevé des inquiétudes concernant le fait que de tels appareils sont
une invasion de la vie privée, et qu’ils pourraient même déjà avoir
été utilisés, pour interroger des présumés terroristes.

Avec quelques millions ou plus d’années supplémentaires pour
perfectionner leur technologie, on ne peut que se demander quel genre d’appareil a pu se développer dans le cerveau/esprit d’une
civilisation extra-terrestre.

Axelrod a questionné Swann sur son travail au SRI, en particulier sur
la méthode psychique qui a plus tard été nommée Visualisation à
Distance Coordonnée [Coordinate Remote Viewing]. De quelle façon cela fonctionnait-il? Au départ, Axelrod limitait les discussions aux
pouvoirs de l’esprit collectif, et discutait d’adressage “mémoire”.
Est-ce que des Remote Viewers accédaient déjà à l’ordinateur universel de l’esprit? Trente ans avant de récentes et très sérieuses
discussions scientifiques sur la possibilité que l’humanité puisse
exister dans une simulation de la réalité, Axelrod interrogeait déjà
Swann sur un souvenir stocké de tous les mondes possibles et de leur
différents déroulements, et bien sûr, un moyen d’accéder à cette
potentielle base de données de la réalité invisible. Des conversations
de table ont aussi porté sur la télépathie : la communication d’esprit
à esprit, quelque chose auquel la DIA s’est beaucoup intéressée un peu
plus tard, tel que le démontre les documents sur le STAR GATE.

Rapidement les discussions se sont orientées vers le Remote Viewing
expérimental de la planète Jupiter effectué par Swann, qui avait
récolté des donnés concrètes, comme l’existence d’anneaux autour de la planète. Axelrod était intéressé au “voyage” de Swann sur Jupiter, une tentative de vérifier s’il pouvait physiquement découvrir des détails inconnus sur la géante gazeuse qui pourraient ensuite être confirmés par le vaisseau spatial Pioneer de la NASA.

Il a ensuite demandé, “Ingo, que sais-tu de la lune?”

Base Lunaire : Luna Occulte

Swann a rapidement accepté de recevoir 1000 $ par jour de
compensation, pour visualiser à distance la lune.

Axelrod a remis à Ingo une série de coordonnées lunaires. Inconnues de Swann, les coordonnées lunaires ciblées, environ une dizaine
d’emplacements différents, allaient l’amener face-à-face, ou plutôt
esprit à esprit avec ce qu’il a rapidement compris être une présence
extra-terrestre inconnue.

Swann a “vu” avec les yeux de son esprit des cratères dans la
noirceur, et en a conclu qu’il devait visualiser la face cachée de la
lune, celle qui est toujours à l’opposée de la Terre. En établissant
le “contact” psychique avec la surface lunaire, Swann est d’abord
tombé sur ce qui semblait être des traces de roues de machinerie. La
confusion l’a envahi, jusqu’à ce que Swann réalise qu’il “voyait” de
l’activité intelligente et des structures sur la lune.

Dans les profondeurs d’un cratère, il a observé un brouillard vert
éclairé par des bandes de lumières artificielles montées sur de très
grosses et hautes tours. Swann a été troublé de réaliser que
“quelqu’un ou quelque chose” semblait, selon les propres observations de son esprit, construire une base sur la lune.

Swann avait été impliqué dans une opération interplanétaire, et avait
été amené aux installations souterraines de M. Axelrod, afin qu’il
puisse rendre compte des activités extra-terrestres de façon
non-conventionnelle. Swann en a déduit que Axelrod et compagnie
avaient reçu le mandat d’espionner psychiquement la base
extra-terrestre lunaire, parce que les extra-terrestres avaient été
plus ou moins amicaux, vis-àvis de la curiosité humaine de type
conventionnelle.

Lorsque Ingo a ressenti qu’il avait été psychiquement “reconnu” par
deux des habitants d’allure humanoïde de la base lunaire, il s’est
demandé s’il pouvait être en danger.

Axelrod a été très évasif sur le sujet.

“J’ai passé les quelques mois qui ont suivi à me demander si les
Extra-terrestres allaient me retrouver et me faire frire le cerveau.”

Après avoir été relevé de son travail aux installations souterraines,
Swann est rentré chez lui et a fait des croquis de ce dont il pouvait
se souvenir des sessions d’Axelrod, et les a mis en sécurité, jusque
vers la fin des années 1990. Ils sont reproduits dans son livre. Le
croquis date du 14 mars 1975.

Un documentaire télé récent, “Appolo 11 : The Untold Story” [Appolo 11: l’histoire non-racontée] pourrait ajouter un appui supplémentaire au récit de base lunaire de Swann. L’astronaute d’Apollo 11, Buzz Aldrin, a rapporté que l’équipage avait vu un OVNI pendant leur mission historique, pour amener un homme sur la lune. “Il y avait quelque chose au loin, mais assez près pour être observé, et qu’est-ce que cela pouvait être d’autre? Bien sûr, nous n’étions pas, tous les
trois, censés nous laisser aller. Hey, Houston, nous avons cette chose
qui avance à nos côtés et nous ne savons pas ce que c’est. Et vous?”

M Axelrod bénéficiait d’un accès jusqu’à l’intérieur du SRI. A
l’époque du premier contact, les archives du STAR GATE prouvent que Swann était toujours officiellement non-informé que les expériences et essais effectués au SRI étaient sous la direction de la CIA. Pris à sa plus simple expression, le récit de Swann pourrait être interprété comme le transfert d’informations concernant des recherches financées par la CIA vers une organisation d’origine inconnue, pour une période durant au moins quelques années.

A un certain point, Swann s’est vu demander de relayer à Axelrod les
développements des résultats des études psychiques tenues au SRI. Dans un exemple classique de grand espionnage, Swann a reçu l’ordre
d’écrire le numéro 65 sur un morceau de papier, lorsqu’ils auraient
atteint un pourcentage de réussite de 65% en Visualisation à Distance,
de façon à en avertir Axelrod. On ne peut que se demander si cela
représentait la preuve d’une brèche de sécurité au SRI, ou s’il
s’agissait simplement d’une méthode, pour vérifier la loyauté de
Swann.

De La Lune, “Avec mes amitiés” .

A un certain moment, vers la fin de l’été 1976, Swann a effectué plusieurs voyages entre le SRI et Los Angeles, pour passer quelques
jours avec des amis. Il ne le savait pas encore, mais il était sur le point de rencontrer les agents d’Axelrod encore une fois. Lors d’une
sortie tout à fait ordinaire dans un supermarché d’Hollywood, il a été attiré par une femme ultra-sexy. Alors qu’il se tenait près de la
beauté fatale, il a ressenti un “choc électrique” dans tout son corps qui lui a donné la chair de poule, et lui a fait dresser les cheveux.
Swarnn a interprété cette alarme psychique, comme un signal que quelque chose n’était pas normal chez cette femme.

En fait, il en a déduit qu’elle devait être une extra-terrestre.

L’expérience “électrique” de Swann est loin d’être inhabituelle. De telle choses ont été rapportées dans plusieurs cas d’activités
paranormales. Starstream Research a récemment été contacté, au sujet d’une mutilation animale qui produisait un effet similaire “de choc”, lors d’un contact physique avec la carcasse. Nous avons eu connaissance d’autres cas impliquant des appels téléphoniques
provenant des voix étranges aux timbres mécaniques, et lors de contacts personnels avec d’autres humains qui auraient eu des
expériences paraphysiques.

Toutefois, Swann a eu peu de temps pour réagir, alors que sa stupeur s’est transformée en panique.

En regardant au bout de l’allée où il se tenait, il a aperçu deux des agents d’Axelrod, de véritables Hommes en Noir; habillés non pas en
veston-cravate comme le personnage joué par Will Smith, mais plutôt comme Arnold Schwarzenegger dans “Le Terminator”, vêtus de jeans
noirs, de bottes, et de vestes de cuir. Ils observaient l’étrange femme d’un autre monde. Swann a quitté rapidement l’endroit, sachant qu’Axelrod l’appellerait sous peu.

La reprise du contact téléphonique avec Axelrod a été loin d’être ordinaire. Premièrement, Swann a reçu un mystérieux appel d’une
femme-agent le dirigeant vers un autre téléphone. L’appel s’est terminé par un silence sec, suggérant que la ligne téléphonique avait
été sous écoute et ensuite coupée.

Une fois qu’il eut atteint le téléphone désigné, Swann s’est engagé
dans une conversation décousue avec Axelrod, lui posant des questions sur l’étrange femme sexy du supermarché.

Axelrod l’a averti : “Je me sens obligé de vous dire qu’elle est véritablement dangereuse.”

Apparemment Swarnn croyait que l’avertissement d’Axelrod avait confirmé sa pire crainte. Non seulement il y avait des
extra-terrestres sur la lune, mais ils avaient des agents ici sur Terre, parmi les gens ordinaires. Si l’on devait croire Axelrod, ils
devraient être évités à tout prix. “Attendez-vous à un contact”.

Axelrod s’est renseigné sur les progrès du travail effectué en Remote Viewing au SRI.

Axelrod a dit à Ingo, “nous avons une tâche spéciale”. Il avait besoin de savoir à quel moment Swann atteindrait un taux d’exactitude de 65
pour cent.

Axelrod a ordonné à Ingo de placer une feuille de papier portant le
numéro 65 sous son couvre-bureau, dans une pièce sécurisée au SRI, une fois que le but aurait été atteint.

Dans son livre, Swann spéculait sur les possibilités. “Mais qui était
donc cet Axelrod et ses agents/hommes de bras ? La CIA, le KGB, le
Mossad, le M-5, des agents militaires ultra-secrets?”

“Et un matin, lorsque j’ai soulevé mon couvre-bureau, mes poils du
bras se sont dressés, une nouvelle fois. Le signal (la pièce de papier
où était inscrit “65”) avait disparu. A sa place, se trouvait une
poudre fine et poussiéreuse, dans laquelle un doigt avait tracé les
mots :

Attendez-vous à un contact.”

Swann poursuit : < Le résultat du “contact” promis a été que si
j’avais encore un quelconque doute sur leur véritable existence, un
tel doute allait rapidement se dissiper. J’ai failli me faire tuer
pendant le processus.”

“Le contact attendu est venu en juillet 1977, quelques jours après ma
découverte du message dans la poussière.”

Swann a été surpris de voir M. Axelrod se tenir au milieu de la salle
à manger du SRI. Après un bref entretien avec Axelrod dans les
toilettes, Swann a été conduit vers le Jeep de Axelrod, qui se
trouvait dans le parking.

Axelrod a conduit Swann à un Lear Jet qui attendait à l’aéroport de
San José, et l’a informé de l’éventualité de voir un OVNI de
“passablement proche”.

Après plusieurs heures de vol, l’avion a effectué un atterrissage sans
lumière, sur une piste non éclairée. S’ensuivit un trajet en voiture
de deux heures, en plein milieu de montagnes froides et sombres. Swann a remarqué que le camion s’est déplacé, même après l’extinction du moteur du véhicule.

Une fois arrivés à destination, Axelrod, Swann et les deux agents
d’Axelrod se sont dirigés à pied vers l’endroit convenu.

Axelrod a donné des instructions à Swann : “Contente-toi d’observer,
on parlera plus tard… Ne bouge pas, sauf instruction de ma part. Ils
détectent très facilement la chaleur, le bruit et les mouvements.”

Swann, Axelrod, et les deux agents ont observé et attendu. Un
brouillard gris a commencé à se lever au-dessus d’un petit lac. Swann
était abasourdi à la vue du brouillard soudainement baigné de couleurs lumineuses. Des rayons lumineux mauves, rouges et jaunes étaient silencieusement projetés dans toutes les directions.

Puis, tout d’un coup, est apparu un objet devenant de plus en plus
visible, au-dessus des eaux du lac. Swan a décrit l’objet comme
triangulaire, presque de la forme d’un diamant.

“Du plus loin qu’il m’en souvienne, la chose ne s’est pas “déplacée”,
elle a GRANDI à l’endroit exact où elle est apparue” .

Avec l’arrivée de l’objet, un vent puissant s’est mis à tournoyer dans
les airs, causant la chute de plusieurs branches … Swann ajoute que
des “rayons lasers rouge-rubis” se sont vus tirés par l’engin, qui
semblait toujours croître en dimension, même s’il demeurait
stationnaire au-dessus du même endroit sur le lac. Swann a estimé la
largeur de l’objet une fois complètement visible, à environ 90 pieds
de largeur.

Des rayons lasers ont touché les arbres, et dans la commotion des
chutes de pins et des pulsations de basses fréquences, Swann a été mis
hors de danger par les agents d’Axelrod. Un rayon a fendu les branches de l’endroit qu’ils avaient quitté en toute urgence, une seconde auparavant. En regardant derrière lui, en quittant les lieux, Swann y jeta un dernier coup d’oeil et nota que l’eau du lac était aspirée par l’étrange objet .

Swann déclara: “J’étais véritablement pétrifié par une terreur que peu
de mots peuvent décrire”.

A son retour à la piste de décollage, Swann a aperçu un avion de
courrier USA-Alaska. Il en a donc déduit qu’ils devaient se trouver au
nord de l’Alaska.

Axelrod expliqua : “Notre mission va bientôt se terminer, et le
travail sera poursuivi par d’autres, pour des raisons stratégiques de
sécurité…”

“La semaine prochaine vous serez convoqué pour un examen de santé
complet, probablement officiellement en relation avec le statut
médical des membres de votre équipe de travail. Nous voulons
simplement nous assurer que vous n’avez subi aucun dommage. Les
physiciens qui effectueront les examens seront de simples docteurs qui ignorent tout de notre existence.”

Swann mentionna qu’il avait subi une blessure à la jambe, alors qu’il
regardait l’OVNI. Il nous reste toujours à trouver une quelconque
mention de cette information des documents du STAR GATE.

D’après Swann, “la dernière fois que j’ai vu M. Axelrod c’était à
l’aéroport de San José, et c’est ainsi que se termine mon récit des
rencontres avec lui et ses missions extra-souterraines secrètes.”

Sur le Grill et au-delà.

Un mémo de la CIA rendu public, relatif à la situation au SRI, en date
du 2 novembre 1978 et en provenance de Hal Puthoff affirme : “Juste
une petite note… Swann a maintenant un niveau d’accès Top Secret
auprès du DoD [Département de la Défense]”.

En effet, Swann s’était vu “plongé” dans plusieurs programmes
militaires secrets et à accès limité, conséquence des succès de la
recherche psychique au SRI. Le moment décisif a été le passage du
travail expérimental vers les programmes opérationnels, et les
connaissances et aptitudes de Swann allaient devenir la référence pour plusieurs. Dès 1984, il entraîna le personnel militaire pour en faire des espions psychiques de métier.

Le rôle de la CIA se transforma de commanditaire majeur et bien
informé à celui de “client de services”, alors que les différents
éléments des services militaires du Département de la Défense avaient
pris la direction des opérations.

Un résumé des activités produit à la demande du Comité des
Appropriations du Sénat via une Action Dirigée Congressionellement,
affirme :

“Pendant la période entre 1975 et 1979, les éléments des services du
DoD suivants soutenaient la recherche psychique :

[Note : Les différents programmes ont plus tard été regroupés sous un
projet appelé FLAMME DU GRILL – GRILL FLAME]

Le programme de la Marine Américaine avait pour but d’évaluer les
capacités d’un individu à percevoir des stimulations lors de
Visualisation à Distance…

Le Centre de Renseignement National de L’Aviation de l’Armée de l’Air, anciennement la Division de Technologies Étrangères (Foreign
Technology Division – FTD), a initié son programme par la question de l’existence réelle du phénomène et par son éventuelle utilisation, en vue d’amasser des renseignements stratégiques… L’effort de recherche de [nom de l’agence édité] portait sur l’utilisation du Remote Viewing pour recueillir des informations…”

D’un intérêt potentiel au récit d’Ingo Swarnn, le rapport continue :

“Le Centre de Commandement de Recherche et Développement des Missiles de l’Armée Américaine (MIRADCOM) a mis sous contrat le Stanford Research Institute (SRI) d’août 1977 à 1978. Le travail a été effectué sous le financement de la Missile Intelligence Agency (MIA). Le but du programme du MIA était de déterminer si certains individus
sélectionnés pouvaient interagir avec l’équipement électronique
sensible, et avoir quelque influence par des moyens mentaux
seulement…”

Curieusement, le programme du MIRADCOM a débuté en août 1977, un mois
après la rencontre présumée de Swann avec la machine extra-terrestre en Alaska. Le principal objet de recherche était les perturbations à distance, communément appelées Psychokinésie, ou l’effet de l’esprit sur la matière, qui pourrait être utilisé,d’une certaine manière, pour saboter les systèmes de contrôle des missiles nucléaires. De tous les candidats potentiels testés au SRI, c’est Swann qui a, en toute vraisemblance, réussi à perturber les équipements d’expérimentation sensibles et à visualiser à distance l’intérieur de l’appareil.

Le rapport poursuit : “De mai à septembre 1979, le SRI a assisté le
MIRADCOM dans le développement d’équipements ultra-sensibles … pour leurs expériences … les Systèmes d’Activité Analytique du Matériel de l’Armée (AMSAA) ont étendu les grandes lignes de recherches … qui avaient déjà été mises en marche par d’autres organisations… Pendant cette même période, le Centre de Commandement de Renseignement et de Sécurité de l’Armée Américaine (USA INSCOM) se demandait si le Remote Viewing pouvait être utilisé pour l’acquisition de données.”

Le rapport note également que “A l’époque où étaient impliquées les
agences du Service du DoD , la DIA a aussi fait progresser certains
aspects de la psycho-énérgétique [Visualisation et perturbations de
l’esprit à distance]. Ses activités s’étaient toutefois cantonnées à
des aspects clairement reliés à l’évaluation de menaces et à la
collecte de données. La DIA a mis sous contrat le SRI, pour former des individus à la pratique du Remote Viewing et a financé des essais avec des experts du Remote Viewing pour acquérir des renseignements sur d’anciens sites soviétiques d’intérêt opérationnel.”

Que peut-on déduire en observant de près les différentes agences
mentionnées dans les documents officiels, afin de pouvoir identifier
M. Axelrod et ses opérations clandestines? Une des possibilités
implique les nombreux rapports sur le malfonctionnement des missiles nucléaires, lorsque des UFO se seraient approchés des zones de lancement. Cela, sans aucun doute, équivaut à une brèche importante pour la sécurité nationale. Peut-être y avait-il quelques craintes que la visite des OVNIS dans différentes bases aériennes soit reliée aux observations effectuées lors des différentes missions spatiales, comme les récentes révélations alléguant que la présence d’un OVNI aurait marqué le déroulement de la mission Apollo 11?

Il est possible que les endroits ciblés sur la lune aient été choisis,
en fonction d’observations d’OVNIS faites par les astronautes. Il est
alors facilement concevable que quelqu’un ait pu décider qu’il valait
la peine de tenter de recruter Swann, déjà reconnu pour ses capacités
de Visualisation à Distance, utilisées sur des installations
terrestres super-secrètes, pour qu’il oriente son esprit vers le
paysage lunaire et y observer ce qui peut bien se produire dans
l’obscurité.

Les fans de la série télévisée “The X-Files” vous diront que “La
vérité se trouve ailleurs”.

Pour l’agent psychique bien réel, Ingo Swann, la vérité est toujours
bien présente dans sa tête, et il n’en parle plus maintenant.

Note : des informations additionnelles et de la documentation sont
disponibles sur le site web de Starstream Research,
www.starstreamresearch.com

To the Moon and Back, With Love
Gary S. Bekkum, StarStream Research, 2006
Source : The Ahriman Gate www.ahrimangate.com ( lien désormais inopérable)

3 novembre 2014

LES « BLACK PROGRAM »: LE PROJET SILVER BUG

UsaUFO


Un programme pour étudier la conception d’un nouveau type d’aéronef à décollage et attérrissage vertical.

Le projet « Silver Bug », « cafard d’argent » (projet n° 9961) avait été développé conjointement par l’ATIC, le « Air Technical Center », le « Centre de Renseignement Technique de l’Air » et le WADC, « Wright Air Developpement Center », le « Centre de recherche et de développement de Wright », en février 1953. En fait, il s’inspirait à l’origine d’un programme Canadien démarré en 1952. C’est le général D.C. Putt de « l’USAF Air Research and Développement », la branche « Recherche et Développement de l’Air Force », qui en prendra la direction.
Ce programme avait pour but d’étudier la possibilité d’une une toute nouvelle conception d’aéronefs tout-à-fait radicale. Pour envisager la réalisation d’un disque volant, qui serait capable à la fois de décollages et d’atterrissages verticaux, et ayant une vitesse de vol supersonique. Au départ, le projet avait mis en concurrence deux types d’engins différents.

Le projet « Silver Bug » avait été lancé, lorsque le renseignement de l’Air Force avait rapporté des informations indiquant un grand intérêt de la part de l’Union Soviétique dans ce domaine d’activité.

Une autre motivation de l’Air Force était de trouver un moyen de limiter au maximum la vulnérabilité des bases aériennes, qui sont toutes tributaires de leurs pistes d’atterrissage. Non seulement les pistes prennent énormément de place de par leur longueur, mais elles seraient tout-à-fait identifiables par des photos aériennes et aussi par des satellites espions (même si l’on en était qu’au début de l’ère spatiale, il y avait bien, pour l’Air Force, un risque pour la sécurité nationale, quand des satellites espions pourraient être mis en orbite par l’URSS). De plus, l’armée de l’air y voyait-là un moyen de ne plus dépendre des pistes d’atterrissage de ses bases (qui bien-sûr deviennent inutilisables, dès qu’elles sont bombardées).

En cas de succès, les nouveaux engins devaient être entreposés en sous-sol, évitant ainsi la nécessité d’avoir des longues pistes.

Un programme conjoint Américano-Canadien.

Le projet Silver Bug, s’appuyait pour ses recherches sur les travaux du contractant de la défense A. V. Roe Limited, une société Canadienne (que l’on appelle plus communément « AVRO ») et qui était une filiale de l’entreprise Américaine « Hawker-Siddley Group ». Le principal objectif était de résoudre les contraintes de ces nouveaux engins et de leur forme, identiques aux « soucoupes volantes ». Pour offrir à la force aérienne Américaine, des systèmes d’armement avancés, capable de décoller et d’atterrir verticalement, avec des capacités et des performances supérieurs aux jets militaires de l’époque. Et pouvoir proposer une utilisation possible dans la majorité des bases déjà existantes.

De plus, les supérieurs de l’Air Force avaient bien définis que:

- « Il ne semble y avoir aucune raison fondamentale, pour laquelle cette étude ne devrait pas donner lieu à un système d’armement. Cependant il existe plusieurs domaines techniques qui doivent être étudiés avant qu’un développement du programme à grande échelle ne soit lancé »;

- « La simplicité de la construction de l’engin devrait atténuer un grand nombre des problèmes logistiques liés à la construction, qui sont normalement associés avec le développement de nouveaux aéronefs »;

- « Se basant sur ces éléments, le double programme de recherche-développement est justifiable »;

- « Les échanges d’informations techniques sur ce projet se feraient en liaison directe, entre le WADC et l’ATIC »;

- « Un effort doit être entrepris, pour déterminer si l’Union Soviétique travaille encore ou a déjà travaillée pour conduire un projet similaire, quand les travaux ont commencés et l’état actuel de l’avancée Soviétique ».

Deux types d’engins seront envisagés, mais un seul sera retenu.

Durant les deux premières années, des études préliminaires pour un modèle d’aéronef à décollage vertical seront lancées. Et parmi eux, deux types de projets (regroupant chacun différents prototypes) se démarqueront:

- L’un appelé « Projet Y », qui visait un engin en forme d’aile volante à pointe fuselée, avec un décollage vertical par l’arrière de l’appareil (procédé de décollage type « tail-sitter »);

- Et un autre, appelé « Projet Y2″, qui visait une plate-forme volante circulaire, qui reste à l’horizontal au moment du décollage (de type dénommé « flat-riser »).

Ils étaient tous les deux classé « secret ». Après étude par les contractants, pour servir de base de travail, le projet Y sera finalement abandonné au profit du projet Y2 (1). L’Air Force désirant un appareil plus maniable, préférait une forme de soucoupe. Les forces Américaines avaient déjà fait l’expérience d’avions supersoniques à décollage vertical dans différents autres programmes, qui avaient posés des problèmes d’aérodynamisme et ils préféreront choisir un engin de forme circulaire (2).

A partir de ce moment, la direction prise par la recherche sera de s’orienter définitivement vers une forme de soucoupe circulaire, pour concevoir un prototype d’engin à décollage vertical. Les prototypes seront au départ appelés « VTO Aircraft », pour « Vertical Take Off Aircraft », « aéronef à décollage vertical ».

Le principe de l’aéronef qu’avait retenu l’Air Force au départ.

La forme générale était celle d’une plate-forme circulaire ayant l’apparence d’un « disque ». Le tout surmonté d’un cockpit central pour le pilote. La première étude du prototype, prévoyait 6 réacteurs Armonstrong-Sidney « Viper 8″ placés en étoile, dans l’épaisseur du fuselage, autour de la partie centrale, avec un système de volet, pour orienter les flux de gaz des réacteurs.   Voilà les plans ci-dessous:

Il y aura une seconde étude de prototype, permettant aussi un large flux radial d’energie sur sa circonférence mais avec un système de motorisation différent. C’est celui-là qui avait été retenu. Il sera appelé le « MX-1794″ aux Etats-Unis et le « PV-704″ au Canada, voilà les plans ci-dessous :

Les caractéristiques de cet engin « Radial-Flow Engine Aircraft »:

Diamètre: 29,20 pieds;
Hauteur: 3,79 pieds;
Poids total du fuselage et du cockpit : 9532 livres;
Poids total du système de propulsion : 10450 livres;
Equipement de vol, radio-électrique, air conditionné et oxygène: 1068 livres;
Capacité du réservoir de fuel: 1140 gallons;
Poids à vide: 21050 livres;
Charges de fuel: 7750 livres;
Equipage (un pilote): 200 livres;
Poids total en chage: 29000 livres.

Un système de propulsion et de contrôle indissociable.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser généralement en voyant les plans de cet aéronef, il ne s’agissait pas d’un engin à « antigravité ».

Il utilisait un mode de propulsion disons plus conventionnel, avec des rotors, des réacteurs et des turbines, et une chambre de compression qui étaient alimentées au fuel. Il y aura plusieurs versions étudiées, avec le principe de réacteurs et de turbines, qui comprimait l’air, en l’éjectant sur son pourtour. Une partie de l’air pouvant être dirigé dans n’importe quels endroits de la périphérie du disque, afin d’assurer l’inclinaison et l’orientation de l’appareil. Le système de pilotage de l’engin se faisant en contrôlant ces flux et leur puissance, qui pouvaient aussi contribuer à la propulsion verticale ou horizontal de l’appareil (que l’on appelle « l’effet Coanda »). Exemple avec le plan ci-dessous :

Ce qui pouvait passer pour un avantage, la propulsion et le système de contrôle ne faisant en fait qu’un, deviendra en fait la plus grande difficulté à surmonter. Pour arriver à un engin maneuvrable et capable des performances attendues. Et ce prototype n’aboutira finalement pas.

Les estimations des performances attendues selon le constructeur devaient être:

Plafond maximum à pleine vitesse: 80600 pieds;
Vitesse maximale: 2300 miles;
Vitesse de montée: 1,76 minutes par 36090 pieds.

Le Projet Silver Bug dans les médias.

Effectivement, plusieurs journaux et magazines, aussi bien Américain que Canadien, parleront de ce programme dès le début et ce tout au long des années cinquante. Donnant indifféremment sans même le savoir, des informations sur les différents prototypes du projet Silver Bug.

Le magazine « Look », avait publié un article en juin 1955, disant que AV Roe, Canada, Ltd, le constructeur Canadien, avait en cours un programme de conception de soucoupe qui était en développement depuis 1953. Et qu’il avait été abandonné à cause du coût qui était jugé trop élevé pour obtenir un démonstrateur de vol (il s’agit en fait du projet MX 1794, qui sera bien abandonné). L’article évoquait également une réunion d’ingénieurs, où il avait été annoncé que de nouvelles contraintes de l’Air Force avaient été mise en place, concernant les exigences en matière de performances, qui serait plus satisfaits par un aéronef en forme de soucoupe (ce que confirme le rapport déclassifié).

Le journal Canadien « Toronto Star », avait de son côté écrit dans son édition du 11 février 1953 que Avro-Canada, avait démarré un programme en 1953, pour élaborer une soucoupe volante. Et que leurs équipes travaillaient à l’usine de Malton, en Ontario. Le 16 février 1953, le ministre de la Production de défense a informé la Chambre des communes que Avro avait travaillé sur un « modèle à décollage vertical » d’une soucoupe volante qui serait capable de voler à 1500 miles à l’heure et de voler à la verticale.

Dans le journal de la société, « Avro News », le président de Avro-Canada avait déclaré que le prototype en cours de construction était « …si révolutionnaire que cela rendrait toutes les autres formes d’avions supersoniques obsolètes ».

Et dans un article dans un supplément du mois de décembre de la publication « Air Intelligence Digest », titré « le disque volant », des travaux de AVRO où figurait une illustration inexacte du prototype du projet.

A la suite de toutes ces « fuites » dans la presse le Pentagone fera une conférence de presse dans laquelle l’armée reconnaitra l’existence du projet Silver Bug et qu’ils travaillaient bien sur un engin en forme de soucoupe, et présenteront d’ailleur une illustration officielle du projet MX-1794.

Il faut bien le dire, ces divulgations dans les journaux à l’époque, même si elles ne donnaient pas toutes les informations, avaient entretenu une certaine confusion. Et en voyant l’Avrocar présenté au public, qui n’était pas le modèle présenté officiellement, il y aura une certaine suspicion, sur ce que pourrait cacher l’Air Force (et par certains côtés, on peut dire qu’elle perdure encore aujourd’hui).

Les différents d’aéronefs de la société AVRO.

Avec un même projet, partagé en deux programmes (un aux Etats-Unis et l’autre au Canada), plusieurs prototypes (certains abandonnés, d’autres retenu), le tout se déroulant sur plusieurs années, cela a certainement contribué à tout rendre assez confus, pour qui veut reconstituer les évènements. Et en voyant le résultat final avec l’Avrocar, qui de plus ne ressemblait pas à l’engin présenté dans les articles de presse et par le Pentagone; à l’époque, certains ont pensé qu’il n’aurait pût être en fait qu’un programme secondaire, « de façade ». Et que la recherche sur le prototype de 1955, le MX-1794, aurait peut-être ét poursuivie en secret. Plusieurs personnes à l’époque en avait eu alors la conviction (3).

Il y avait bien plusieurs engins différents à l’étude pour Silver Bug, sur lesquels travaillera la société AVRO. Il y aura:

- Un appareil se type « tail sitter » en forme d’aile volante (projet Y) des études préliminaires qui avait été rejeté et s’appelait l’Oméga;

- Deux appareils de type « flat riser » ou « Radial-Flow Engine Aircraft » en forme de soucoupe (projet Y2), dont un seul sera retenu (le MX 1794/PV 704) mais dont la recherche n’aboutira pas;

- Le « Weapon System 606″, qui était un fuselage classique sur une palte-forme de vol circulaire. Etudié pendant un temps après l’échec (et peut-être au même moment) du MX-1794/PV-704. Mais abandonné également;

- Et un dernier appareil, aussi de type « flat riser » (le VZ-9-AV), mais avec un concept légèrement différent de ce que voulait l’Air Force au dépard et qui donnera naissance à l’Avrocar.

Les documents déclassifiés du projet Silver Bug.

On peut se demander ce que pourrait nous apprendre les documents déclassifiés.
Actuellement, à part quelques documents déclassifiés de la CIA (concernant surtout les possibles recherches Soviétiques dans le même domaine), peu de documents officiels sont disponibles du côté Américain. Il y a un rapport technique sur le projet Silver Bug, publié le 15 février 1955 et qui a été déclassifié le 29 Mars 1995, obtenu suite à une demande du 15 février 1998, par le biais de la loi FOIA, par le CUFON, « The Computer UFO Network » (4).

Questionné à ce sujet, l’Air Force a fait répondre par le service des relations publiques de Wright-Patterson Air Force Base, à Dayton, qu’aucun autre rapport sur ce projet n’était disponible et à ce jour déclassifié (mais il existe un autre rapport, qui doit en fait être le même, mais à la mise en page et à la présentation des informations différentes. Mais le contenu doit être identique).

(1) On présente souvent l’inverse, en disant que c’est le projet Y2 qui avait été abandonné, au profit du Projet Y, mais c’est une erreur. Cela est bien mentionné à la page 1 (Section 1 Caracteristics) dans le dernier paragraphe (B. Description of the proposed Aircraft)  du rapport technique cité dans les sources.  Pour plus d’informations, voir la partie 2.

(2) C’était plusieurs projets de l’US Navy avec les firmes Loockeed et Convair, et un de l’US Air Force avec la firme Ryan Aeronautical Corporation pour les appareil à décollage en ayant une position vertical. Il y avait déjà eu aussi des engin avec une forme plate, par les firmes Roll Royce et Bell.

(3) Encore aujourd’hui, beaucoup le pense.

(4) Pour télécharger le rapport, cliquez sur le lien, link

Sources:
« Technical Report n° TR-AC-47, Joint ATIC-WADC Report on Project Silver Bug », publié le 15 février 1955 par l’Air Technical Intelligence Center de Wright-Patterson Air Force Base, Ohio. Declassifié le 29 mars 1995;
Magazine Top Secret n°12;
http://www.cufon.org;
http://www.avroarrow.org.

article source: http://actualitedelhistoire.over-blog.com/article-les-black-program-le-projet-silver-bug-partie-1-68928331.html

LES « BLACK PROGRAM »: LE PROJET SILVER BUG (Partie 2)

Le projet Y2.

Ce projet était une collaboration entre l’US Air Force et la société AVRO, pour la construction d’un engin à décollage et atterrissage vertical. Ce projet faisait partie du « Projet Silver Bug », mais au Canada il prendra le nom de « Projet Y2″, d’après le nom du projet qui avait été retenu suite aux d’études préliminaires (1). Et au Canada, on le surnomme aussi parfois « Projet Ladybird ».

La recherche Canadienne avait démarrée en 1952 (l’association avec le programme Américain commença en février 1953) et se terminera en 1962. Il était donc aussi constitué de la poursuite des recherches, qui avait été réalisées précédemment par les Canadiens. Le responsable des équipes était l’ingénieur Britannique John Frost qui était aussi conseillé par les anciens ingénieurs en aéronautiques Allemands Miethe et Shiever.

Le projet Y, rejeté par l’Air Force.

Parallèlement au projet Y2, il a existé pendant une courte période un autre projet visant lui aussi le même objectif, c’était le projet Y. Ce dernier proposait un prototype complètement différent. Il s’agissait d’une aile volante arrondie en pointe vers l’avant, propulsée par plusieurs réacteurs. Son mode de décollage devait se faire complètement à la vertical, à l’aide d’un procédé de trains retractables, pour servir de « pieds » à l’engin. Ce système de décollage à la vertical est désigné par le terme « tail-sitter ».

Une forme d’aile allongée devait être utilisé en raison du mode de propulsion par « radiaux de flux » conçus pour l’alimenter. Les moteurs avaient été conçus pour émettre des gaz d’échappement provenant de plusieurs petites turbines, ce qui augmentait la poussée. Il devait voler à 2500 miles à l’heure.

Mais à la suite des études préliminaires, ce prototype ne sera pas retenu par l’Air Force, qui préféra choisir le projet Y2, qui était un prototype de forme circulaire, comme une soucoupe. L’Air Force, tout comme la Navy, expérimentait déjà d’autres modèles d’appareils supersoniques, aux forme plus ou moins classique, pouvant décoller à la vertical. Mais ces projets n’auront pas convaincu, les appareils connaissant régulièrement des problèmes aérodynamique, qui les rendaient insuffisamment maniable (2).

Le prototype, qui avait reçu le nom de code de « Oméga », n’aura existé que sur plan et sa seul réalisation concrète sera une maquette en bois. Dont il existe quelques photographies prises dans un hangar de Malton, près de Toronto, où travaillait la société AVRO. C’est accidentellement qu’elles seront découvertes dans les archives nationales Britanniques au « Public Record Office » de Kew (photos ci-dessous).

   

Même s’il ne sera pas choisit par les Américains, les Canadiens tentèrent tout-de-même de le poursuivre pour leur propre compte, avec des fonds Britanniques. Finalement, l’Oméga sera totalement abandonné. Mais le brevet pour cet appareil a bien été déposé aux Etats-Unis le 6 novembre 1962. C’est le brevet N° 3062482 pour un « aéronef à turbine à gaz » (documents ci-dessous).

L’étude d’un nouveau principe de réacteur.

Cette étude avait été réalisé pour le projet Y, et devait équiper l’aile volante Oméga. Au contraire des réacteurs classiques, dont les rotors sont coaxiaux, et sont placés à l’intérieur du réacteur, le procédé d’AVRO était de placer le rotor du compresseur horizontalement (donc avec un axe de rotation vertical) qui comprime l’air de manière radial, en l’éjectant sur son pourtour. Une partie de l’air comprimé par le compresseur pouvait être dirigé dans n’importe quels endroits de la périphérie du disque, afin d’assurer l’inclinaison et l’orientation de l’appareil. Le système de pilotage de l’engin se faisant en contrôlant ces flux d’air froid et leur puissance, qui pouvaient aussi contribuer à la propulsion verticale ou horizontal de l’appareil. Indépendamment, ou en association avec les flux chauds venant de la chambre de combustion.
Mais suite aux essais en soufflerie réalisé de 1954 à 1960 qui ne seront pas concluant, durant toute la conception de ce nouveau type de moteur, ils décideront d’utiliser un réacteur classique.

Les différents design envisagés par AVRO.

Depuis 1952, la recherche Canadienne avait étudié plusieurs pistes pour ses prototypes, comme vous pouvez le voir sur les document ci-dessous, récapitulant les différents projets:

Le premier qui aura la préférence, sera le Projet dénommé « PV-704″ au Canada et « MX-1794″ aux Etats-Unis (à droite). C’était celui qu’avait retenu l’Air Force au début et lorsque ce dernier sera abandonné en 1955, ils se rabanteront un temps sur le « Weapon System 606A », avant de choisir définitivement le projet « VZ-9-AV », qui deviendra l’Avrocar (à gauche). Il n’y aura que ces deux engins qui deviendront des prototypes et subiront des essais en soufflerie (maquettes d’origine de la société AVRO ci-dessous):

Le projet PV-704.

Il avait une forme de soucoupe, avec un cockpit central, équipé de plusieurs réacteurs, alimentant plusieurs turbines. Une partie de l’air pouvant être dirigé dans n’importe quels endroits de la périphérie du disque, afin d’assurer l’inclinaison et l’orientation de l’appareil. Le système de pilotage de l’engin se faisant en contrôlant ces flux et leur puissance, qui pouvaient aussi contribuer à la propulsion verticale ou horizontal de l’appareil.

Mais après plusieurs tests de différentes versions en soufflerie (selon le nombre et la position des réacteurs), ce projet sera abandonné, officiellement faute de crédit. Mais le brevet pour cet appareil a bien été déposé aux Etats-Unis le 27 février 1962. C’est le brevet N° 3022963 pour un « aéronef de type disque à jets de contrôle périphérique » (document ci-dessous).

Le Projet WS-606A.

Suite à l’échec du PV-704, AVRO se tournera pendant une durée assez courte vers une autre piste avec le « Weapon System 606A » (dont il y aurait eu plusieurs versions). Qui était une engin de forme circulaire, avec un fuselage central et un cockpit de forme classique (illustration ci-dessous). Il se pourrait aussi qu’AVRO l’ait étudié paraléllement, pendant le projet « V7-9-AV », mais on n’en est pas certain. Lui ne dépassera le stade des plans et sera assez rapidement délaissé.

Le Projet VZ-9-AV.

AVRO poursuivra ses recherches en s’orientant vers le projet « VZ-9-AV ». Cet appareil de forme circulaire avec un moteur à réaction, serait maintenu au-dessus du sol par un « coussin d’air » et tiré vers le haut par « l’effet Coanda » (l’effet Coanda, est un effet aérodynamique mal maîtrisé, née d’un inventeur français, Henri-Marie Coanda, qui avait expérimenté avec un moteur à réaction rudimentaire dans les années trente. Il avait constaté qu’un réacteur horizontal pouvait fournir une poussée des deux côtés simultanément), la propulsion et la sustentation étant obtenu par l’aspiration de l’air par le haut et l’orienter ensuite vers le bas et le pourtour de l’engin (shémas ci-dessous).

D’après l’histoire communément admise, la majorité des participants étaient maintenu au secret le plus total, et seulement quelques-uns savaient exactement, ce sur quoi ils travaillaient (3). Mais cela n’empêcha pas les rumeurs à l’époque, comme se souvient le photographe Verne Morse: « Il y avait une rumeur stupide autour de l’usine disant que nous faisions la construction d’une soucoupe volante, et tout le monde riait à ce sujet ».

La première année de recherche s’avéra difficile. Le réacteur atteignait une température trop élevée, qui faisait fondre la structure d’acier du prototype, et les secousses violentes faisaient sauter les rivets du fuselage. Ce fût à ce moment que le gouvernement Canadien, après avoir dépensé quatre cent mille dollars Canadien sur le projet, décida d’arrêter les frais. L’Air Force reprit alors le financement du programme. Grâce à des nouveaux fonds, l’ingénieur John Frost a repensé le concept original, plaçant trois réacteurs Continental J69-T9 avec chacun 417 kilos de poussée unitaire, autour d’une turbine centrale qui était alimentée en air grâce à un apport circulaire que représentait la turbine au centre de l’engin (plan ci-dessous).

Le pilote serait assis dans un cockpit légèrement ovale, dans une bulle en plexiglas (l’engin n’était encore prévu que pour un seul pilote).

Mais les tests en soufflerie, réalisés sur un premier prototype (immatriculé « S/N 58-7055″), au Canada comme aux Etats-Unis (4), avaient démontrés qu’il y connaissait de graves problèmes de stabilité et qu’il y avait un risque de retournement de l’engin, à chaque accélération des réacteurs (ses problèmes ne seront jamais maîtrisé). L’USAF avait voulu l’équiper d’un empennage pour voir si cela permettrait de corriger le problème, mais Frost, refusera fermement d’approuver l’idée. Ce qui n’empêcha pas l’Air Force de faire une tentative en installant un aileron arrière, pour faire d’autres essais en soufflerie (photo ci-dessous).

 

Un second prototype (immatriculé « S/N 59-4975″), qui deviendra le démonstrateur de vol, fera ses premiers vols d’essais le 12 novembre 1959. Il y en aura d’autre en janvier 1960 et à partir de juillet 1960 jusqu’à la fin de l’année au Canada, pour les poursuivre aux Etats-Unis, jusqu’en juin 1961. Le projet s’arrêa le 30 avril 1962. Il y aura eu 75 heures de vol d’essai en tout. Au Canada, le pilote d’essai était celui de la société, Spud Potoki, un pilote d’origine Polonaise. Aux Etats-Unis il y aura deux pilotes d’essai: le major Walter J. Hodgson, de l’US Air Force et Fred J. Drinkwatter III, de la NASA.

La réalisation finale aura des cocardes Américaines peintes sur le fuselage. Et c’est à ce moment qu’il a été dénommé de ce qui devait être son nom définitif pour l’exploitation commerciale, par le terme « Avrocar ». (photo ci-dessous) aboutira à un engin de forme circulaire bi-place d’un diamètre de 5,50 mètres sur 1,47 de hauteur. Il pesait 2095 kilos à vide et la charge maximum au décollage était de 2563 kilos. La propulsion et la sustentation étaient obtenu par l’aspiration de l’air par le haut et l’orienter ensuite vers le bas et le pourtour de l’engin. Et c’est à ce moment qu’il aura son nom définitif pour l’exploitation commerciale, par le terme « Avrocar ».

La société AVRO y croyait vraiment.

Les responsables de la société était très enthousiaste. Le Département de publicité de la société avait même commencé à concevoir des brochures promotionnelles pour exploiter le potentiel de ce type d’engin volant, pour le jour où il serait dévoilé au public. Il devait d’être appelé le « Avrocar » (la « voiture Avro »), et ils espéraient qu’il y aurait de grandes retombées, pour des utilisations tant civiles que militaires. Il y aurait eu un « Avrowagon » pour les transport en commun, et une « Avroangel » (qui aurait été une ambulance aérienne) et un « Avropelican » air-mer, qui devait être capable de se poser sur l’eau, pour des sauvetages et la guerre anti-sous marine.

Ken Palfrey, un des dessinateur sur le projet, a déclaré que Frost avait de profonds espoirs: « Il avait l’intention d’un faire un, quatre fois plus grand, pour déplacer des troupes dans et hors les zones de combat, comme les hélicoptères font maintenant » (5).

Le bilan du Projet Silver Bug / Y2.

Les résultats ne seront pas à la hauteur de ce qui avait été attendu. Tant au niveau de ce que voulait l’Air Force au début, quand on voit le design des soucoupes étudiées au départ et ce que sera le résultat final avec l’Avrocar. Il planait à tout juste 90 centimètres du sol et devenait totalement et surtout dangereusement incontrôlable, dès que l’on tentait de dépasser un mètre d’altitude. Et sa vitesse maximum ne dépassa jamais 56,3 Km/heure. Mais au cours des années qui suivront et aussi bien des années plus tard, il y aura des retombées plus intéressantes de ce programme bien plus tard, quand d’autres constructeurs aéronautiques chercheront à faire des appareils à décollage vertical. Les résultats de la recherche du projet Y2, apporteront des données exploitables, pour la maîtrise des flux d’air provenant des réacteurs, pour d’autres programmes d’appareils à décollage vertical, qui eux aboutiront (comme par exemple avec le « Sea-Harrier » Britannique).

Le premier prototype pour les essais en soufflerie finira dans un entrepôt du Maryland, qui sert de centre de stockage pour le National Air and Space Museum en 1966 (photo ci-dessous).

Tandis que la version définitive du démonstrateur de vol, qui avait été présenté à la presse, sera restauré (il avait été présenté pendant quelques années à l’extérieur) et puis exposé au Musée de Fort Eustis en Virginie en 1979, où on peut toujours le voir aujourd’hui (photo ci-dessous).

(1) Pour plus d’informations, voir la Partie 1.

(2) Il y avait le XFV-1 (« Pogo ») de Lockheed et le XFY-1 (« Salmon ») de Convair pour la Navy, qui était des avions à double hélice, qui seront abandonné en 1955. Et le X13 de Ryan Aéronauticcal Compagny de l’Air Force qui était à réaction, et sera abandonné en 1957.

(3) En fait, le secret et la sécurité n’était pas si sévère que ça. Jean Pierre Petit, l’astrophysicien Français, s’était rendu aux Etats-Unis en 1961 et avait été au laboratoire de Stanford. Dans son livre « Ovnis et armes secrètes Américaines », il raconte que lorsqu’il s’est présenté à la porte d’entrée, il n’y avait pas de gardes et il était entré dans les bureaux sans le moindre problème, et comme il n’y avait personne, en ouvrant les portes des bureaux, qui n’étaient pas fermées, pour chercher quelqu’un, il se rendra compte qu’il n’y avait personne. Et il verra même l’Avrocar dans un hangar. Quand le personnel revint (il était parti déjeuné), le responsable piquera une colère, parce que Petit, n’aurait jamais dû voir un appareil aussi secret.

(4) En 1959 la Marine américaine viendra prendre le prototype pour des tests en soufflerie au Ames Researh Center de la Nasa à Moffet Field en Californie. Il a été mis dans un camion à plateau en pleine nuit. La police avait arrêté tout le trafic jusque dans le port de Toronto, et arrivé là, le prototype fût alors chargé sur un remorqueur américain. Le remorqueur descendit ensuite le long du canal Érié, le long de la voie pour New York, et ensuite à travers le canal de Panama, jusqu’en Californie.

(5) Frost quittera la société AVRO lorsque celle-ci fermera ses portes pour raisons financières 1962. Frost partira vivre en Nouvelle-Zélande où il mourru en 1979.

http://ufoetscience.wordpress.com/

Sources:
« Technical Report n° TR-AC-47, Joint ATIC-WADC Report on Project Silver Bug », publié le 15 février 1955 par l’Air Technical Intelligence Center de Wright-Patterson Air Force Base, Ohio. Declassifié le 29 mars 1995;
Magazine Top Secret n°12;
http://www.cufon.org;
http://www.lasieworks.com;
www.avroarrow.org.

http://ufoetscience.wordpress.com/

images et article à la source 

Liens externe:

http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php?topic=7793.0

http://ovnis-usa.com/2009/04/01/mercredi-1er-avril/

http://ovnis-usa.com/le-projet-avalon/

http://area51blog.wordpress.com/2010/04/12/que-sest-il-reellement-passe-dans-la-

10 octobre 2014

Pilotes, scientifiques et docteurs dénoncent les Chemtrails en Californie

Mark Herschlydiouze.

Des superviseurs du comté de Californie ont écouté des experts et des personnes concernées par la géo-ingénierie au dessus de Redding et d'autres villes à travers le monde. La géo-ingénierie a commencé dans les années 1940 selon la NASA.

Beaucoup de gens croient que des produits chimiques sont administrés à travers le système d'échappement des avions et utilisés pour manipuler le climat.

Le conseil de surveillance du comté de Shasta a voté à l'unanimité cet après-midi pour étudier de plus près le sujet des "chemtrails" après près de quatre heures de consultation publique sur la question.

Le superviseur Pam Giacomini a mis la question à l'ordre du jour, et un certain nombre d'experts sur le sujet ont défilé, suivie par des dizaines de citoyens qui accusaient une multitude de risques pour la santé et l'environnement causés par les chemtrails.

Des foules de résidents ont exprimé leur préoccupation, suggérant que leurs maladies sont liées aux chemtrails, y compris le cancer, les fibres qui sortent hors de leur peau, un sentiment général de malaise, des troubles neurologiques et un système immunitaire affaibli.

Selon le journal local, beaucoup avaient des préoccupations environnementales, sur les dommages causés à l'environnement, y compris les insectes qui disparaissent d'une propriété, les arbres qui meurent, les insectes aquatiques qui meurent hors de l'eau contaminée par de l'aluminium, la sécheresse, les incendies et les trous dans la couche d'ozone.

Certains suggèrent que des produits chimiques sont libérés dans les traînées d'avions et que cela conduit à l'accumulation de métaux lourds dans le sol et les cours d'eau, une augmentation du rayonnement ultraviolet, les changements dans les conditions météorologiques et à des effets négatifs sur la santé.

Selon un dépliant, la réunion d'aujourd'hui présenté,

Dane Wigington, l'homme qui dirige geoengineeringwatch.org,

Matthew Sutton, un consultant en environnement de AECOM;

Rosalind Peterson, ancienne officier de l'USDA maintenant membre de l'asso Californie Sky Watch;

Alan Buckman, un ancien biologiste du Department of Fish and Game de la Californie;

Francis Mangles, un biologiste à la retraite de l'US Forest Service;

Le neurologue Hamid râblée; l'anciens pilotes Jeff Nelson, Russ Lazuka et Fred Meyer; Mark McCandlisk; et Eärendil M. Spindelilus.

Source: http://www.infowars.com/california-county-unanimously-votes-to-further-investigate-geo-engineering/

TheNowaytogo Fawkes News / ActuChem,

24 avril 2014

l'Age de la grande tromperie .L'abolition de la vérité.

anthony freda HumanitarianBombs

 

« Le Ciel une fois fermé et l'homme pratiquement installé à la place de Dieu, on a perdu, virtuellement ou effectivement, les mesures objectives des choses ; on les a remplacé par des mesures subjectives, des pseudo-mesures tout humaines et conjecturales, et on s'est engagé ainsi dans un mouvement qui ne peut s'arrêter, puisque, les mesures céleste et statiques faisant défaut, il n'y a plus aucune raison qu'il s'arrête, si bien qu'on en vient à remplacer finalement les mesures humaines par des mesures infra-humaine, jusqu'à l'abolition même de la notion de vérité.

F. Schuon.

« Il est convenu qu’on ne peut parler du diable sans provoquer, de la part de tous ceux qui se piquent d’être plus ou moins « modernes », c’est-à-dire de l’immense majorité de nos contemporains, des sourires dédaigneux ou des haussements d’épaules plus méprisants encore; et il est des gens qui, tout en ayant certaines convictions religieuses, ne sont pas les derniers à prendre une semblable attitude, peut-être par simple crainte de passer pour « arriérés », peut-être aussi d’une façon plus sincère. Ceux-là, en effet, sont bien obligés d’admettre en principe l’existence du démon, mais ils seraient fort embarrassés d’avoir à constater son action effective; cela dérangerait par trop le cercle restreint d’idées toutes faites dans lequel ils ont coutume de se mouvoir. » 

René Guénon.

 


Phase 3 - épisode 03 - L'age de grande tromperie par damon90

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28 janvier 2014

Phenomenes ovnis et creation de leurres lumineux par canon à particules

 

 

upyjt

Est-il techniquement possible de produire un point brillant flottant dans le ciel sans qu’il s’agisse pour autant d’une simple projection lumineuse sur fond de nuages ? Pour répondre à cette question, il nous faut introduire ici le concept de plasma, apparu en 1928. Un plasma est un fluide composé de molécules gazeuses électriquement neutres, d’ions positifs et d’électrons négatifs. En bref, il s’agit d’un gaz ionisé émettant des photons du fait de cette ionisation, et donc plus ou moins lumineux.

>Il existe trois mécanismes principaux d’ionisation d’un : medium;">

L'ionisation thermique : l'agitation thermique provoque des collisions telles qu’un atome peut donner naissance à un couple électron-ion positif. Ce couple est instable et a tendance à se recombiner. Mais si la température est assez élevée et la densité suffisamment grande, chaque recombinaison est rapidement suivie par une nouvelle ionisation et le plasma se maintient. La température requise pour cela est au minimum de 10 000°C.

 

En utilisant un laser de puissance et une lentille convergente, il est possible d’ioniser localement l'air au point de focalisation. Si la lentille a une distance focale de 1 m par exemple, une bulle de plasma se forme " miraculeusement " à 1 m de la lentille et semble flotter dans l’air. En utilisant un laser infrarouge dont le rayonnement est normalement invisible à l’œil nu, le résultat est très spectaculaire. Mais pour projeter cet " ovni " à longue distance, il faudrait un laser très puissant et une lentille de focale correspondant à la distance de projection. Il est alors plus efficace d’utiliser une matrice de lasers convergeant vers un point dans le ciel.

 

Les premiers lasers à haute énergie fonctionnaient au dioxyde de carbone (CO2) et travaillaient dans la gamme des infrarouges. Ils apparurent aux Etats-Unis en 1968. Le CO2 était introduit à une extrémité du laser tandis que les gaz résiduels non toxiques étaient rejetés de l’autre côté.

 

La première tentative d’en faire une arme transportable sur un champ de bataille revient à l’US Army. Vers le milieu des années 70, un laser CO2 d’une puissance de 30 kW fut monté sur un véhicule chenillé LVTP-7 pour constituer une " Mobile Test Unit ".

 

A la fin des années 70, la société allemande Diehl conçu un prototype similaire, le HELEX (High Energy Laser Experimental). Il s’agissait d’un véhicule blindé de 28 tonnes qui devait transporter un laser CO2 à haute énergie d’une puissance de plusieurs mégawatts dont la portée aurait atteint 10 km par temps clair (fig. 11-a). La consommation de CO2 requise permettait d’envisager 50 tirs laser à chaque mission.

 


Fig. 11-a : projet HELEX de l’armée de l’air allemande
Dessin d’après une illustration de MBB/Diehl
Notons que dans le cas où ce n’est pas une matrice de lasers qui est mise en œuvre,
le point lumineux ne peut exister qu’au contact de la cible visée.

 http://www.ovnis-armee.org/11_technologie_plasmas.htm

L’armée américaine procéda par la suite à de nouveaux tests avec le " Close-Combat Laser Weapon " ou " Roadrunner ", véhicule conçu pour détruire les senseurs et les équipements de vision de nuit ennemis, puis vint l’" Airborne Laser Laboratory ", un avion Boeing dont le laser de 400 kW réussit en 1983 à détruire en vol plusieurs missiles air-air " Sidewinder ".

 

Concernant l’utilisation d’une telle arme à bord d’un navire, se posait le problème de l’humidité de l’atmosphère ambiante susceptible de perturber fortement la propagation du rayon laser.

 

En France, c’est seulement en 1986 que la DGA (Délégation générale pour l’armement) initia le projet LATEX (Laser Associé à une Tourelle Expérimentale) basé sur un laser de 10 mégawatts.

 

Si tous ces appareils furent ou sont encore aujourd’hui de simples prototypes, ils ont peut-être été néanmoins responsables de l’observation de quelques ovnis.

 

Rappelons que la découverte du laser date seulement de 1958 et que ce n’est qu’à partir de cette date qu’il aurait pu être utilisé volontairement pour produire de faux ovnis. Cette technique de création d’un plasma à distance n’est donc pas suffisamment ancienne pour avoir été utilisée dès 1942 à Los Angeles, lors de la première apparition historiquement attestée d’un phénomène lumineux non identifié simulant une attaque aérienne par temps clair donc sans qu’il puisse s’agir d’une projection sur fond de nuages (voir ci-dessous § 15).

 

L'ionisation électrique : ce phénomène se produit lorsqu'un champ électrique intense est appliqué à un gaz. Les électrons arrachés par les forces électrostatiques sont alors accélérés et acquièrent une grande énergie cinétique qui leur permet, par collision avec d'autres atomes, de propager l'ionisation. Un bon exemple de création d’un plasma de ce type est fourni par l’éclair d’un orage.

 

L'ionisation radiative : elle se produit lorsque les atomes sont soumis à un rayonnement électromagnétique dont les photons ont une énergie supérieure au seuil d'ionisation.

 

Cette situation se rencontre naturellement dans la haute atmosphère où les photons ultraviolets provenant du soleil ionisent les atomes de gaz de la couche appelée ionosphère. On sait depuis 1991 que les chercheurs travaillant sur l’Initiative de Défense Stratégique du président Reagan s’étaient aperçus en 1981 qu’il était possible de stimuler la fluorescence d’une couche de sodium située à 90 km d’altitude à l’aide d’un rayon laser (rayon de photons) pour engendrer un point lumineux. Cette technique de production d’une " étoile artificielle " (mais aussi de création d’" ovni "…) a été redécouverte en 1985 par 2 astronomes français et est depuis employée pour focaliser les télescopes [JPP00 p. 103].

 

Le rayonnement utilisé peut être aussi dans la gamme des hautes fréquences (ondes radio) ou des hyperfréquences (micro-ondes). On obtient la focalisation de ces ondes en un point de l’espace à partir d’une matrice d’antennes émettant en phase. Grâce à la technique de la " synthèse d’ouverture ", cette matrice peut simuler l’effet d’une lentille géante de très longue focale. Lors de son discours de réception du prix Nobel, Piotr Kapitsa décrivit dès 1978 les expériences soviétiques de génération de plasma à distance par des micro-ondes de puissance [FU93 p. 11]. Aux Etats-Unis, cette technique est utilisée par l’US Air Force pour produire des " miroirs ionosphériques artificiels " (Atmospheric Ionospheric Mirror – AIM) qui permettent de faire rebondir des ondes radar afin de pouvoir explorer au-delà de l’horizon ou des ondes radio pour communiquer entre deux positions précises. Ces " miroirs " permettent aussi d’intercepter ou de brouiller les communications ennemies.

 

Chacun peut expérimenter chez lui la création d’un plasma à l’aide d’un rayonnement de micro-ondes émises par un magnétron. Il suffit pour cela de disposer sur une soucoupe à l’intérieur d’un four à micro-ondes un grain de raisin frais coupé en deux dont les deux demi-sphères sont restées reliées entre elles. Très rapidement, le grain de raisin s’enflamme et les flammes successives ainsi créées – qui ne sont rien d’autre que des boules de plasma – s’envolent vers le haut du four où elles survivent quelque temps grâce à la stimulation des micro-ondes dont la fréquence est ici de 2,45 GHz (gigaherz).

 

Des micro-ondes avaient été produites artificiellement par Heinrich Hertz dès 1887 et le magnétron fut inventé en 1921 puis le Klystron en 1938. Quant au premier maser, l’équivalent du laser pour les micro-ondes, il vit le jour en 1953. Cette technologie, probablement encore balbutiante, était donc déjà disponible en 1942.

 

Pour générer un plasma, le rayonnement de photons peut être remplacé par l’émission d’autres particules telles que des protons ou des électrons. Nous reprenons ici la description du mécanisme présenté au § 12 de la première partie de cet ouvrage.
 
Un synchrotron permet de générer un rayon de protons suffisamment énergétiques pour que ceux-ci traversent une certaine distance dans l’atmosphère en n’émettant qu’un très faible rayonnement dû à une légère perte d’énergie. Lorsque cette énergie descend en dessous d’un certain seuil à cause des pertes, les protons ne peuvent plus se propager dans l’atmosphère et l’énergie restante, encore importante, ionise alors l’oxygène et l’azote pour former une boule de plasma brillante : un point lumineux dans le ciel.

 

En modulant l’énergie des protons, on peut diminuer ou augmenter la distance de formation du plasma lumineux. Une modulation rapide d’avant en arrière peut ainsi donner l’illusion d’un trait de lumière dans le ciel. De même, en modulant la quantité de protons émise, on peut diminuer ou augmenter l’intensité lumineuse du plasma. Enfin, on peut jouer sur l’orientation du tir pour produire une forme lumineuse spécifique par balayage. Cette mise en scène est à la portée de l’armée qui peut générer les phénomènes lumineux à partir du sol ou à partir d’une plate-forme aérienne, sans doute un ballon dirigeable puisque les témoins sont nombreux à faire état d’un vol silencieux et très lent des ovnis observés.

 

Une évaluation de Tom Mahood trouvée sur son site Internet nous apprend qu’un synchrotron de taille moyenne capable de générer en continu un rayon de protons d’une énergie de 500 MeV (mégaélectronvolts) pourrait produire un plasma lumineux à 1 200 m de distance. Ce rayon perdrait 3 KeV (kiloélectronvolts) par centimètre parcouru avant de libérer 100 KeV par centimètre à l’arrivée. L’intensité lumineuse / cm du rayon serait donc égale à 3% de celle de la boule de plasma. Celle-ci ferait une douzaine de mètres de diamètre, soit 1% de la distance parcourue dans notre exemple. Ces calculs ont été effectués grâce à la formule de Bethe. Il nous semble cependant qu’il doit exister un phénomène ignoré par cette formule qui permette de réduire l’énergie requise d’un facteur 100 et de limiter ainsi l’encombrement et le poids du synchrotron à mettre en œuvre. Il se trouve en effet que les premières particules émises chauffent l’air à travers lequel elles se propagent, entraînant sa dilatation avant d’être stoppées, ce qui permet aux particules suivantes de progresser plus avant puisqu’elles rencontrent une moindre résistance. Ce faisant, une sorte de tunnel de faible densité est creusé dans l’atmosphère en une fraction de seconde jusqu’à la distance limite de progression où se produit l’ovni, qui peut ainsi être entretenu avec beaucoup moins d’énergie.

 

On pourra objecter que les particules ne peuvent être accélérées que sous un vide poussé ce qui pose alors le problème de leur projection dans l’atmosphère. Ce problème est résolu en utilisant un matériau perméable aux protons à la sortie du rayon. Le nickel, le tantale ou le Kapton par exemple satisfont à cet emploi. Ils doivent cependant être refroidis car le passage des particules provoque un fort échauffement. Tom Mahood nous a dit avoir soumis son hypothèse à plusieurs physiciens travaillant sur la physique des particules qui n’y ont pas vu d’objection. Il est possible que l’utilisation d’électrons en place des protons puisse produire un résultat identique tout en consommant une moindre énergie. Cependant, l’électron ayant une masse environ 2000 fois inférieure à celle du proton, il aura certainement plus de difficultés à pénétrer profondément dans l’atmosphère avant d’être arrêté par une collision. L’armée américaine étudie aujourd’hui activement le concept de " rayon de particules chargées " (Charged Particle Beam – CPB) composé d’ions ou d’électrons pouvant se propager dans l’atmosphère à une vitesse proche de celle de la lumière, et celui de " rayon de particules neutres " (Neutral Particle Beam – NPB) composé d’atomes d’hydrogène ou de deutérium, utilisable dans l’espace pour la lutte contre les missiles balistiques dans le cadre de l’Initiative de Défense Stratégique.

 

Le schéma de principe du canon à particules utilisé pourrait être proche du fonctionnement du canon à électrons de nos téléviseurs (fig. 11-b).

 


Fig. 11-b

 http://www.ovnis-armee.org/11_technologie_plasmas.htm

Un rayon de particules à balayage horizontal et vertical permet de dessiner une forme grossière à distance. La forme peut être globalement déplacée et simuler un vol erratique ou comportant des accélérations fulgurantes si le canon à particules est asservi par un moteur. Ce moteur, piloté par ordinateur, peut être couplé à un système radar qui est verrouillé sur la cible (témoin, voiture, avion) de façon à suivre celle-ci automatiquement. Au-delà de quelques kilomètres (estimé), la forme se limite sans doute à des taches lumineuses du fait de la résolution insuffisante du canon à cette distance. La technologie évoluant au fil des ans, les formes ont pu s’affiner et on a pu passer d’une projection fixe à une projection animée. Notons que si c’est une matrice d’antennes qui est utilisée pour émettre des ondes radio ou des micro-ondes, le plasma ainsi produit peut être globalement déplacé par un contrôle électronique de la phase ou de la fréquence d’émission de chaque antenne.
 
Le premier type d’accélérateur de particules à haute énergie, appelé cyclotron, apparut au début des années 30 aux Etats-Unis. L’énergie qui pouvait être communiquée à des protons était alors intrinsèquement limitée à 25 MeV. Mais l’on pouvait envisager d’envoyer des ions plus lourds que ces protons et donc d’une énergie supérieure, à vitesse d’émission égale, tels que par exemple des isotopes de l’hydrogène (deutérium) ou de l’hélium (3He, 4He) qui sont alourdis par la présence de neutrons dans le noyau. Ainsi cette technologie était-elle aussi disponible en 1942 malgré quelques réserves concernant l’énergie limitée des particules émises et le poids et l’encombrement du cyclotron nécessaire. Quelques années plus tard le synchrocyclotron, une version améliorée de cette machine pouvant communiquer aux particules une énergie de 1 000 MeV, vit le jour en 1945 toujours aux Etats-Unis. Aujourd’hui, les plus gros synchrotrons permettent d’atteindre une énergie de 1 000 GeV (gigaélectronvolts).

 

Voilà pour ce qui est des trois mécanismes de base permettant la génération à distance d’un plasma lumineux. Mais attention, l’effet ainsi obtenu ne doit pas être confondu avec le plasma créé dès la sortie du canon d’une arme à " plasmoïdes " et qui se comporte plutôt comme un obus, même si ce type de projectile très particulier a pu aussi parfois être pris pour un ovni.

 

On objectera que les ovnis aperçus de nuit semblent parfois opaques, voire métalliques. Cette impression d’opacité pourrait être obtenue par notre canon effectuant un balayage de plasma tout juste assez lumineux pour simuler la couleur gris métallisé. Albert Budden signale à ce propos que la lumière brillant à travers une atmosphère humide soumise à un champ électromagnétique peut donner l’apparence d’une surface métallique, ceci du fait que l’indice de réfraction d’un matériau, ici les gouttelettes d’eau en suspension, change généralement en présence d’un champ électromagnétique [AB98 p. 59]. Lorsque l’ovni apparaît tout à fait sombre ou " noir " à l’intérieur d’un certain nombre de points lumineux, et qu’il ne peut s’agir d’un objet physique à cause de sa disparition instantanée ou de ses accélérations fulgurantes par exemple, cette impression est peut-être alors à mettre sur le compte de la psychologie de la perception ou d’une idéalisation du souvenir : " […] chaque fois, on se demande si la "masse noire" existe bel et bien ou si c’est seulement cette couronne de petites lumières qui en donne l’illusion " [LDLN N° 310 p. 15, Joël Mesnard au sujet de la vague du 5 novembre 1990].

Quel est pour l’armée l’intérêt d’avoir développé un tel équipement ? On peut en recenser plusieurs emplois possibles : bullet Produire des miroirs ionosphériques artificiels (voir AIM ci-dessus). 

Produire des leurres radar ou des leurres visuels pour tromper l’ennemi (voir en annexe G l’analyse des lumières de Hessdalen). bullet Pouvoir éclairer un site ennemi durablement comme en plein jour. 

Marquer une cible ennemie pour guider un missile, ou détourner un missile ennemi vers une fausse cible et le faire exploser. Supprimer la toxicité d’un gaz de combat propagé par l’ennemi, par réaction avec le plasma produit [PB99 p. 192]. Perturber ou détruire à distance des équipements électroniques, électriques, électromécaniques (moteurs) à l’aide d’un tir de particules (voir CPB et NPB ci-dessus). Provoquer des incendies, sectionner des câbles électriques par fusion… Aveugler, brûler ou tuer un soldat ennemi. Etc. Un certain nombre de questions restent cependant posées en ce qui concerne le tir d’un plasma lumineux. Nous indiquons en italique des éléments de réponse :  Quel sont le volume et le poids du canon nécessaire selon l’intensité du phénomène observé, sa taille et la distance de tir ? Pour illustrer cette question, on peut citer l’exemple des " expériences d’un rayon à bord d’une fusé " (Beam Experiments Aboard a Rocket – BEAR) effectuées avec succès au Nouveau Mexique en juillet 1989 dans le cadre de l’Initiative de Défense Stratégique. L’accélérateur linéaire de particules implanté dans la fusée était logé dans un tube de 4,36 m x 1,12 m de diamètre. Les particules étaient semble-t-il émises avec une énergie de l’ordre de 4 MeV. Le poids d’un accélérateur de particules est généralement de plus de 500 kg par mètre linéaire. bullet Quelle est l’intensité lumineuse du rayon tiré et celle de la forme générée, selon l’énergie mise en œuvre (à rapprocher de la luminosité de la lune ou du soleil et de celle du cône d’ombre) ? Comme éléments de réponse, nous ne disposons que de l’exemple proposé par Tom Mahood présenté ci-dessus. bullet Quel est le type d’énergie consommée, son volume, son poids, son coût ? Quelle que soit la technique employée, un générateur électrique est requis. Il faut y ajouter le combustible consommé par le laser le cas échéant. bullet La mise en œuvre est-elle bruyante ? Les lasers fonctionnent silencieusement mais les équipements périphériques tels que les générateurs électriques, compresseurs, pompes à vide, refroidisseurs, etc, peuvent en revanche être très bruyants. 

La forme générée par balayage peut-elle être précise ? bullet La forme générée peut-elle être de différentes couleurs ? La longueur d’onde des photons émis dépend de l’énergie reçue et des molécules de l’atmosphère qui ont été excitées. On obtient du vert pour l’oxygène et du rouge, bleu ou violet pour l’azote. Un plasma dans l’atmosphère peut parfois aussi être de couleur blanche, jaune ou orange [PB99 p. 97 et 102]. Le potentiel d'ionisation de l'azote est de 15,6 eV et celui de l'oxygène de 12,06 eV. 

La forme produit-elle un champ électromagnétique ? Les concentrations locales de charges électriques positives ou négatives dans le plasma créent des champs électriques ainsi que des champs magnétiques induits [PB99 p. 13]. 

La forme émet-elle des rayons X capables d’irradier les témoins ? Les plasmas chauds peuvent émettre des rayons X dangereux pour les témoins à proximité [PB99 p. 218]. 

La forme émet-elle des rayons UV dangereux ? Le soleil est l’exemple type d’une boule de plasma chaud émettant des rayons UV qui peuvent être cancérigènes. A notre échelle, les lampes à bronzer produisent aussi un rayonnement UV émis par un gaz ionisé (plasma) dans un tube de verre. 

La forme émet-elle des micro-ondes ? C’est plus que probable car le rayonnement lumineux émis déborde vers de plus grandes longueurs d’ondes comprenant l’infrarouge et les micro-ondes. bullet La forme émet-elle un bruit ? Il arrive en effet qu’un plasma émette un sifflement ou un bourdonnement. On parle alors d’ondes plasma [PB99 p. 113]. 

La forme peut-elle émettre un souffle ? L’ionisation de l’air et le choc en cascade des molécules peuvent parfois générer un vent électrique de la force d’une petite brise [PB99 p. 102]. 

La boule de plasma peut-elle produire une odeur, par exemple celle du soufre (qui est l’odeur traditionnellement associée aux apparitions diaboliques) ? Elle est parfois accompagnée d’une forte odeur désagréable, caractéristique de l’ozone ou d’oxydes d’azote [PB99 p. 103]. Les micro-ondes émises par le plasma peuvent en outre provoquer l’oxydation du soufre présent dans l’atmosphère. 

La boule de plasma peut-elle brûler par contact (végétaux, témoins…) ? Le plasma étant un gaz chauffé à plusieurs centaines, milliers ou millions de degrés, il est normal qu’il puisse brûler par contact, voire à distance, selon sa température. 

Est-il cependant possible de toucher avec la main un certain type de plasma sans se brûler ? Un plasma produit par un faisceau d’électrons très énergétiques peu se maintenir à une température " proche de la température ambiante " [POP98 p. 2137]. En effet, bien que sa température électronique puisse atteindre 700°C à cause du mouvement très rapide des électrons, la faible agitation thermique des ions peut conférer globalement au plasma une température inférieure à 30°C. 

De jour, la boule de plasma peut-elle générer une ombre portée ? De nuit, le peut-elle aussi lorsqu’elle s’interpose entre la lune et le témoin ? Selon le type de plasma, une partie de la lumière reçue sera réfléchie, une partie sera absorbée, et une partie sera transmise. Si la lumière est majoritairement réfléchie ou absorbée, on pourra donc observer une ombre portée. 

La boule de plasma peut-elle être éclairée par des phares de voiture ? Oui pour certains types de plasmas très réfléchissants. bullet <>La forme générée est-elle détectable au radar ? Un plasma ionisé réfléchit les grandes longueurs d'onde (radio) mais il peut être traversé aisément par des ondes plus courtes (TV, radar) si sa densité d’électrons est insuffisante. Des plasmas de densité supérieure produits par un faisceau d’électrons permettent de refléter une onde radar d’une fréquence de 10 GHz et peuvent précisément être utilisés comme " miroir " d’orientation ultrarapide pour un radar [POP98 p. 2137].

Dans l’atmosphère, les " miroirs ionosphériques artificiels " pourraient réfléchir les fréquences jusqu’à bullet Le tir peut-il traverser les nuages, et comment se comporterait sous la pluie la forme générée ? La couche nuageuse réduit-elle beaucoup la distance possible du tir ? Un rayon de particules telles que des protons peut traverser les nuages. Les micro-ondes traversent aussi les nuages à l’exception de certaines fréquences. Quant aux rayons laser lumineux ou émis dans le proche infrarouge ou l’ultraviolet, ils ne peuvent bien sûr pas les traverser ou sont fortement perturbés. 

Le tir peut-il traverser une fenêtre, voire un volet, pour créer une forme lumineuse dans une pièce ? Il semble qu’un rayon de particules telles que des protons ne puisse traverser ni une fenêtre ni un volet. Les micro-ondes peuvent traverser une vitre ou un volet pourvu qu’il soit non métallique. Un rayon laser peut bien sûr traverser une vitre mais pas un volet. Enfin, une boule de plasma qui aurait été générée à l’extérieur peut traverser une vitre comme cela semble se produire parfois pour la foudre en boule. 

Y a-t-il des contraintes sur l’atmosphère telles que l’absence de poussières ou de pollution, l’absence d’humidité, l’absence de vent, etc ? La présence de poussières risque sans doute d’empêcher les particules émises d’arriver à destination. L’interaction des poussières et de ces particules risque peut-être aussi de rendre le rayon du tir plus apparent. Les micro-ondes ne sont pas gênées par ces poussières alors qu’un tir laser sera fortement perturbé.Si le plasma est produit par un rayon de particules, on a vu que ce rayon devait être légèrement lumineux. S’il est produit par des micro-ondes ou par un laser infrarouge, il est invisible à l’œil nu sauf peut-être en cas de conditions atmosphériques exceptionnelle

http://www.ovnis-armee.org/11_technologie_plasmas.htm

27 janvier 2014

La cité perdue d'Akakor, et les fantasmes ésotériques d'Adolf Hitler

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On sait aujourd’hui l’importance qu’Hitler accordai t aux sciences occultes en général ainsi qu’à la recherche de certains lieux i nsolites du monde. On sait aussi qu’il était entouré d’astrologues, de magiciens, de mediums, mais également de chercheurs qui parcouraient la planète pour lui rap porter des informations sur d’anciennes traditions, ou bien encore qu’il envoya it des explorateurs dans des contrées inconnues voire perdues. Hitler voulait dev enir le maître du monde et il faillit bien l’être si certaines forces ne s’étaien t pas vigoureusement opposées à son ascension. Pour l’histoire officielle, il est m ort dans son bunker à Berlin, là où ses restes furent retrouvés et plus tard conservés par les Soviétiques. Mais s’est-il bien suicidé ? De nombreux historiens ont traité le sujet, Hitler ét ait membre de la Thule-Gesellschaft fondé par Rudolf von Sebottendorff. Ses maîtres fure nt Guido von List et Dietrich Eckart. Ce dernier l’initia à une forme de magie noi re fondée sur des rituels puissants qui permettaient d’entrer en contact avec des entités particulièrement malfaisantes avec qui ils signaient des pactes. Mais celui qui devait ma rquer plus particulièrement le Führer fut incontestablement Ernst Pretzsche. Libraire d e profession, il avait longtemps vécu au Mexique et connaissait bien ce pays et ses coutumes occultes. Cette approche du continent Sud Américain allait certain ement offrir à Hitler des perspectives futures... UN PLAN OCCULTE POUR L’AMÉRIQUE DU SUD Le chef de l’Allemagne nazie a tenté, tout au long de la guerre, de créer des « ponts occultes » avec différents continents. L’exemple le plu s frappant fut sans doute le contact qu’il prit avec la Loge noire tibétaine par l’ intermédiaire de la Société du Vril ( voir article ) en la personne de Karl Haushofer.

Des Tibétains, émanation directe d'un groupe de mages noirs, utilisant les membres de cet Ordr e pour accomplir leurs propres desseins (source : Frabato le Magicien Ed. A. Moryason) . Certains s’expatrièrent même en Allemagne afin de former des groupes nazis d’élite. On retrouvera plus tard ces Tibétains, nus, assassinés ou suicidés à la fin du conflit, un poignard planté dans l’abdomen. Le but caché de la Société de Thulé était d e regrouper l’ensemble des Loges noires afin de maîtriser la planète et de mett re en place le scénario d’asservissement des peuples, qu’elle convoitait. Ainsi donc, afin de mener le plan orchestré depuis longtemps par les plus hauts dirigeants de l’Ordre noir, Hitler prit des contacts en différents points de la planète. Une région lui tint particulièrement à cœur : l’Amérique du Sud. Il y voyait là un lieu propice à l’implantation d’une « nouvelle race » parmi les peuples primitifs de la forêt amazonienne. Dans les années 30 il avait déjà commencé, avec l’aide des dirigeants brésiliens, à implanter des avant-postes dans ce pays. Les nazis enlevaient des dizaines d’enfants dans les orphelinats brésiliens pour les soumettre à des travaux forcés et torturés, ils devaient travailler sans répit. Les survivants de ces premier s camps de l’horreur réclament aujourd’hui réparation et  excuses à leur gouvernement. C’est aussi dans ces années là que des expéditions nazi es explorèrent la forêt amazonienne avec, en tête, de bien curieux projets. Deu x buts étaient visés. Le premier, en vue de l’implantation de la future race, était de trouver des ressources minières nécessaires à l’immigration des millions de col ons allemands qui devaient investir le territoire. Le deuxième était plus secret car il concernait l’exploration de la jungle afin de trouver un lieu bien précis.

Nous en reparlerons plus loin. C’est Joseph Greiner qui, dans les années 30 fut charg é de cette expédition partie depuis la lisière de la jungle guyanaise jusqu’à la fo rêt profonde à l’est du Brésil. Cette opération fut longtemps méconnue car quelle fut son vé ritable objet ? Des photos subsistent ainsi qu’un film de propagande où l’on voit l’explorateur et son équipe parcourir la jungle dans l’espoir de trouver le « lie u propice ». Greiner mourut de la fièvre jaune et jamais on ne connut véritablement le sens réel de sa mission. Joseph Greiner lors de son expédition Quoi qu’il en soit, même sa sépulture fut oubliée et l’on voit le symbole nazi sur la croix qui définit sa tombe. Longtemps on crut cette histoire « arrangée » jusqu’à ce que l’on retrouve sa trace il y a peu de temps. Dans un livre paru l’an dernier, The Guyana Project : A German Adventure On The Amazon , Jens Glüsing a, grâce à des cartes, des photos et des documents de l’expédition retrouvés dans une hacienda, dans les archives du Département d’Etat au Brésil, au musée de Rio et en Allemagne, reconstitué cette expédition. Nous pouvons ainsi avoir la preuve que le Troisième Reich avait bel et bien l’intention de s’implanter dans la jungle amazonienne de manière très active. Mais outre la recherche des ressources premières, quel était le but initial ? Pourquoi Hitl er était-il déterminé à mettre en place un plan d’une t elle envergure ? La tombe aujourd'hui La tombe dans les années 30 A LA RECHERCHE DE LA CITÉ PERDUE Je l’ai dit plus haut, les nazis recherchaient partou t des objets sacrés : le Graal, la Lance de Longinus, des livres rares, mais aussi le secret de lieux mythiques du monde. La terre de Thulé (ce nom fut très important pour le groupe fondateur puisqu’il se l’appropria), Montségur, les montagnes de l’Himalaya et bien d’autres, firent l’objet de recherches sérieuses.

P ourquoi cette frénésie, pourquoi tant de moyens financiers dépensés à cette seule fin ?

Q u’y avait-il de si important en Amérique du sud pour investir de telles sommes d’argent et mettre en place un plan d’invasion si important ? Pour tenter d’obtenir la ré ponse il nous faut remonter dans le tracé d’une histoire plus lointaine. Depuis des centai nes d’années, les explorateurs parlent d’un fabuleux trésor enfoui par les Incas et q ui serait à jamais caché aux yeux des profanateurs. Légende ou réalité, cela n’a pas e mpêché nombre de personnes avides ou d’explorateurs passionnés de partir à la re cherche de ce butin. Mais est-ce bien cela qu’Hitler voulut découvrir ? C’est peu probab le car la portée de ses plans dépassait de loin la seule recherche d’une richesse matéri elle. N’oublions pas qu’un de ses principaux initiateurs, Ern st Pretzsche, vécut - nous l’avons vu - de longues années au Mexique. Ce pays est très imprégné de culture maya et certains brujos gardent en secret le souvenir de l’histoire non officie lle de leur terre. De nombreuses légendes circulent encore aujourd’h ui au sujet de cités perdues au fin fond de la jungle que nul n’a jamais pu péné trer. Est-ce une de ces villes mystérieuses que cherchait l’explorateur Greiner ? La qu estion qui peut se poser est de savoir s’il est encore possible de trouver, dans la forêt vierge, une ville oubliée. Après tout, l’homme du XXème et du XXIème siècle conn aît suffisamment la planète pour pouvoir répondre à cette question.

Il semblerait que non puisque nous venons d’avoir connaissance l’année dernière de l’existence d’une tribu sauvage au cœur de la jungle amazonienne. Des photos montrent, qu’effrayés, i ls tirent à l’arc sur l’hélicoptère qui les filme. On peut donc aisément pe nser que d’autres peuples existent encore au sein de l’enfer vert. Il faut savoir q ue des vestiges incas et mayas et plus anciens même, restent à découvrir sous la voute é paisse des arbres de ces territoires inconnus, des vestiges qui surprendraient bo n nombre d’archéologues. Mais voilà, ces édifices sont cachés sous l’amas végétal impén étrable alors qu’ils étaient jadis à ciel ouvert. Que sait-on au juste de cet enfer vert, hors ses limit es explorables ? Pas grand-chose pour ainsi dire. Peu d’archives sont disponibles et les seules que nous possédons sont soit de vieilles légendes soit les rapports fournis pa r les conquistadores à l’époque de la colonisation. De nombreuses histoires existent, rapp ortées par la tradition orale ou consignées par des auteurs anciens. Ces archives sont in téressantes car aujourd’hui nul ne peut obtenir ce qui était jadis la culture d’un peuple indien oublié et qui se perd à cause d’une mondialisation dévorante. Toutefois, cert ains péruviens fidèles à la mémoire de leurs ancêtres, m’ont assuré de la perpétuat ion de ce savoir. Au XIXème siècle, l’historien anglais Prescott, dans son ouvrage sur le Pérou, mais surtout le Dr Tschudi, dans son livre Antiguedades perua nas, fait mention d'une légende Indienne, qui rapporte qu'un convoi de 10.00 0 lamas, chargés d'or partit payer la rançon de l’Inca, prisonnier des Espagnols, puis fut arrêté dans les Andes lorsque ses hommes apprirent que leur empereur venait de mour ir.

L'énorme trésor qu’ils transportaient fut si bien caché, que nulle trace ne fut retrouvée. Où fut-il caché ? Compte tenu de la connaissance du terrain et de l’énor me quantité d’or et de bijoux, la cache devait être certainement une ville inaccessible au regard des conquérants, donc bien enfouie dans la jungle. Un autre historien anglais, John L. Stephens, dans son li vre Incidents of travel in Center America 1846 , dit que : les descendants des Caciques et les Aztèques sont supposés avoir survécu, et exister encore dans les solitude s inaccessibles des  Cordillères, déserts dans lesquels aucun homme blanc n' a encore pénétré... et qu'ils y vivent comme vécurent leurs pères, construisant les mêmes édifices, avec les mêmes ornements de sculpture et de moulage; de grandes et vastes cours, des tours élevées avec de hautes séries de marches et gravant encore sur des tables de pierre les mêmes hiéroglyphes mystérieux . Il ajoute : Je me tourne vers cette vaste région inconnue, que pas une route ne traverse, et où l'imag ination nous dépeint cette mystérieuse cité, aperçue du sommet des Cordillères, peup lée d'aborigènes insoumis, et que nul n'a visités ni n'a vus. Où sont allées ces populations qui ont échappé aux massacres perpétrés par les séides de Pizarre et Cortes ? Il doit bien obligatoirement subsister des traces de ces villes ou mieux encore une population entière qui vit peut-être de nos jours et qui serait la descendance de ces derniers incas massacrés. Où serait cette ville ou ces villes secrètes considérées comme perdues ? Seraient-elles le fruit d’une imagination débridée ? Si l’on en croit le récit de quelques voyageurs qui ont vu de très loin ces cités perdues, depuis des promontoires rocheux, on peut imaginer qu'elles sont aujourd’hui encore jalousement préservées sous le sceau du secret et certaines personnes bien informées parmi les autochtones sont muettes à leur sujet. Un péruvien de Cuzco me racontait que seules quelques individus connaiss ent des passages dans la jungle et sont autorisés à aller et venir en de rare s endroits. Des tribus empêchent quiconque de pénétrer hors certains points et même le s autorités ne désirent s’aventurer au-delà de la zone permise, soucieux de ne pas déranger, comme si des accords non écrits avaient été engagés. Les Péruviens, pour la plupart, dans des localités comme Cuzco, sont encore très incas. Mais ce gen re de ville perdue n’existerait pas seulement dans le territoire péruvie n mais aussi plus haut en Amazonie, près du Mexique, du Guatemala et d’autres encore à l’ouest du Brésil dans la forêt d’émeraude.

J’aurai l’occasion d’en reparler d ans de prochains articles. LE MYSTÈRE AKAKOR Au début des années 1970 un journaliste de la télévision allemande, Karl Brugger, fit la connaissance d’un métis du nom de Tatunca Nara, par l’intermédiaire d’un de ses amis responsable d'une compagnie brésilienne de gardes forestiers. Certain que l'histoire de ce chef indien pourrait faire l’objet d’un bon article, il réunit les deux hommes dans un bar de Manaus au Brésil. Brugger, muni de son magnétophone, enregistra les propos de l’étrange personnage à la peau claire et aux cheveux bruns qui se disait être le prince d’une tribu très ancienne dont l’histoire remontait à 15 000 ans ! En raison des persécutions, sa tribu avait du rejoindre ses antiques cités souterraines perdues dans la jungle amazonienne. Il fit mention de la puissance des habitants qui, pourvus de pouvoirs magiques avaient du, à une lointaine époque, quitter la terre après avoi r bâti des édifices colossaux. Il lui fit aussi part des effroyables catastrophes que la Terre dût endurer en des temps très lointains et pourquoi les habitants de son peuple fu rent contraints de construire des villes souterraines. Tatunca Nara parlait un peu l’All emand et confia à Brugger que 2000 soldats allemands rejoignirent cette ville au n om mystérieux d’Akakor, après 1941. Le journaliste doutait de l’indigène et restait très circonspect quant à la réalité de son récit. Toutefois, en 1972, il monta une expédition , accompagné de Tatunca Nara chef de ce peuple qui portait le nom de Ugha Mongulala . Mais les énormes difficultés du voyage lui firent rebrousser chemin. Le chef d’Akakor, vraisemblablement très contrarié continua seul le voyage. Cet épisode et les différentes informations de son gui de, permirent à Brugger d’écrire Hitler et la cité perdue d'Akakor

 un ouvrage : Die Kronik Von Akakor (Chorniques d’Akakor) Ed. Econ. Dü sseldorf - paru en 1976.

Malheureusement aucune traduction ne fut faite en Français. Le journaliste reçut de Tatunca la transmission de certains passages de l’histoire de cette fabuleuse cité. Il avait de nombreux doutes concernant son mystéri eux interlocuteur et ne lui donnait pas toute sa confiance. Il semblait lui échappe r au détour de certaines conversations. Il faut savoir qu’en fait Tatunca Nara ét ait un faussaire dont le nom véritable était Gunther Hauck. Tatunca Nara Son histoire commence en 1968, lorsque dans les journaux on parle d’un chef indien blanc, cité pour avoir sauvé la vie de douze responsables brésiliens afin obtenir leur libération d’un groupe d’indiens q ui les tenait captifs. En raison de l'aide apportée, Tat unca Nara fut récompensé par un permis de travail et des papiers d'identité. Mais en fait ces documents lui auraient été octroyés pour service rendu auprès des autorités brésiliennes comme agent infiltré au sein de la guérilla. Le Gouvernement péruvien demanda même son extradition et par ordre du gouverneur d’Acre, Tatunca Nara fut arrêté en 1972. Mais selon Brugger Peu de temps avant son extradition vers le Pérou, des officiers de ses amis l'ont libéré de prison à Rio Branco et l’ont emmené à Manaus. Un dossier d'accusation affirme qu'il était un informateur de la DOI-CODI (Détachement des opérations d'information pour la défense interne) des opérations. Dans un rapport publié par le magazine Fantasy en 1990, le directeur général de la Romeu Tuma fédéral a indiqué que Gunther Hauck (alias T. Nara) était un assassin qui devait être jugé par le cod e pénal brésilien. Mais il est toujours libre à ce jour. Le livre de Brugger fut un réel succès dans plusieurs pays. Mais voilà que continuant ses investigations sur Akakor (malgré ses doutes certains concernant Tatunca Nara), il fut assassiné par une balle inconnue dans les rues de S ao Paulo. Qui était ce meurtrier ? Pourquoi a-t-on tué le journaliste ? En savait-il trop sur le dossier Akakor ? Il faut savoir que Tatunca Nara fut aussi suspecté pour l a mort de trois autres personnes : l'Américain John Reed, en 1980, le Suisse Her bert Wanner en 1984 et en Allemagne Christine Heuser en 1987. L’ancienne épouse Al lemande de Guther Hauck dit (rapporté en 1989 par le magazine allemand Der Sp iegel) avoir reconnu en Tatunca Nara son ex-mari mais celui-ci a nié ces assertions en montrant ses papiers brésiliens attestant ses origines indiennes ! Il est patent, dans cet imbroglio, que Tatunca Nara es t très difficilement cernable. De plus,

toutes les expéditions qui ont conduit à la reche rche d’Akakor se sont soldées par des échecs mais ont de plus coûté la mort à tous les explorateurs. Si Akakor est un mythe crée de toute pièce par l’ex Allemand devenu Indien, pourquoi tant de mystère et de meurtres autour de cette affaire ? LA PISTE NAZIE Brugger semblait être sur une piste importante en liant les nazis à Akakor. Bien que méfiant au sujet de Tatunca Nara, il croyait en son ré cit. L’ « Indien » a-t-il eu connaissance de certains dossiers ? Aurait-il rencontré un indigène qui lui aurait raconté cette histoire qu’il se serait ensuite appropr ié, ou bien encore était-il vraiment le détenteur de quelque secret ? Pourtant c’est lui qui, peu de temps après, partit en expédition avec un certain Schmid, ancien pilote de son état, en 1979, à la recherche de la cité perdue d’Akahim proche d’Akakor. Il mentionn a l’importance de trois pyramides existant dans cette ville antique que nul n e connaissait. Et curieusement, Hitler et la cité perdue d'Akakor

 c’est cette même année que la revue Veja mentionne la découverte, vue du ciel, de trois pyramides dans la jungle ! Le vrai faux Indien était bien informé. A ce jour nul n’a pu parvenir sur le site. Une fois de plus Tatunca Nara sema le trouble dans une histoire très mouvementée. Selon Brugger, le Troisième Reich avait estimé qu'il était essentiel que le Brésil (pendant la guerre) restât neutre pour donner aux so us-marins allemands la maîtrise de l'Atlantique Sud afin de pouvoir ensuite envahir ce pays. Tactique perfide. Mais les Etats-Unis ruinèrent leur plan en persuadant le gouv ernement brésilien de s’aligner sur la décision des Alliés. Face à cette coalition l’Allem agne décida alors de riposter en coulant 38 navires de la flotte brésilienne. Dans cett e perspective comment est-il possible que les Allemands aient pu mettre pied à ter re et se perdre dans la jungle avec 2000 personnes ? Tatunca Nara avait-il raison en disant que son peuple avait accueilli ces troupes pendant le conflit ? L’expéditio n de Joseph Greiner est une preuve de l’intérêt des Nazis pour cette région du glo be. Mais il y a plus curieux, selon les dires de l’investigatrice espagnole contemporaine D eborah Goldstern auteure d’un article sur ces liaisons allemandes au Brésil : des récits de témoins oculaires de l’époque ont vu débarquer de nombreuses chaloupes sur les côtes de Rio de Janeiro. Mais c’est surtout en mai 1945, à la veille de capitulat ion de l'Allemagne, que deux navires U-530 et U-977, ont quitté le nord de l'Alle magne pour l’Amérique du Sud. Environ trois mois plus tard, ils se rendirent en Argenti ne. En 1984 le Jornal do Brasil mentionna, dans ses colonnes, la mort de Brugger et précisa que des policiers s’étaient laissé allé à la confid ence en disant qu'il avait été assassiné pour des motifs politiques. Le journaliste éta it certainement en possession de dossiers importants concernant les rapports du Troisiè me Reich avec le Brésil et le dossier Akakor n’arrangeait rien à l’affaire. En effet, le malheureux avait certainement mis le doigt sur une histoire assez énigmatique dans laq uelle plusieurs éléments politiques et occultes étaient en jeu, car toute la d imension d’Akakor tant déniée à cause de l’insaisissable Tatunca Nara, pourrait se vérifi er avec la venue des nazis au Brésil à la fin de la guerre. Si l’improbable indien disait faux, alors l’histoire du Troisième Reich dans la jungle amazonienne le serait au ssi. Mais voilà, beaucoup d’éléments, peut-être trop au goût de certains, vienne nt dénouer en partie les fils emmêlés de l’énigme. Et c’est justement sur ce point q ue se basait Brugger et c’est pour cette raison qu’il croyait la version de Tatunca Nara . Le journaliste croyait en Akakor, même s’il prenait Gunther Hauck (alias Tatunca ) pour un aventurier peu recommandable.

Le monde souterrain d’Akakor n’était pe ut-être pas la fable que d’aucuns dénonçaient et dénoncent encore aujourd’hui. D’après Tatunca Nara, la puissante cité n’était plus, en 1963, que l’ombre de ce qu’elle fut par le passé lorsque les « dieux venus des étoiles » la gouvernaient il y a de cela 15 000 ans. Toutefois, existait encore toute la gloire qu’ils y avaient laissée. Seuls les habitants modernes n’étaient que de pâles représenta nts de ces fastes passés. Cette ville existait toujours avec sa structure souterraine et c’est là que les Allemands nazis auraient trouvé refuge. Karl Brugger écrivit : Akakor existe-t-elle réellement ? Peut-être pas exactement comme Tatunca Nara me l'a décrit, mais l a cité est indubitablement une réalité. Les nazis se préoccupaient d’Akakor et de sa ville soute rraine en raison des relations occultes qu’ils liaient avec certains groupes et nota mment le Tibet. Sous des prétextes de recherches ethnologiques, l’expédition faite avant la guerre dans cette région du globe n’avait pour but que de reprendre contact avec des groupes sombres qui auraient échappé à la destruction du continent atlante il y a de cela près de 12000 ans. C’est eux qu’ils allaient chercher au Tibet car ils vivraient, selon la légende, dans un monde souterrain flanqué dans les replis de l’Hima laya. Et c’est toujours dans cette perspective qu’ils voulaient conquérir la cité d’Akakor don t l’ancienneté était identique.

UNE INFORMATION INNATENDUE Malgré les remous de cette histoire et l’apparente i mplication des nazis durant la dernière guerre mondiale, il semble que des pièces man quent au puzzle. Tout porte à croire que le fond est vrai mais la forme semble échapp er à toute logique. Akakor trouve sa réalité grâce à la mouvance nazie dont 2000 r eprésentants y compris femmes et enfants seraient venus au Brésil pour élire domicile à dans cette ville antique. Cela semble invraisemblable, mais à en juge r par les récits des témoins, les affirmations de Tatunca Nara et les étrangetés autou r de la mort de Brugger, nous sommes en droit de nous poser quelques questions. Si le dossier n’était pas si gênant pourquoi tant de morts et pourquoi l’Ambassade d’All emagne a-t-elle été si peu coopéré ? On sait aussi que la traque des nazis, dans les décennie s qui ont suivi la guerre se sont principalement orientées vers l’Amérique du Sud. Mais une autre question se pose. Si le projet Akakor était aussi important pour le Troisième Reich, comment se fait-il qu’Hitler ne se soit pas impliqué directement et pourquoi est-il mort dans son Hitler et la cité perdue d'Akakor  bunker comme l’histoire officielle le mentionne, au lieu de rejoindre ses réfugiés ? Là encore, Brugger suivait des indices assez troublants et c’est probablement pour cette raison qu’il s’accrochait au récit de Tatunca Nara. Il est bien évident qu’à l’époque et jusqu’à récemment, il n’était pas question d’avoir l e moindre doute au sujet de la mort d’Hitler dans son bunker. Bien sûr, depuis longtemps, q uelques historiens émettent des doutes sur sa mort. En effet, les photos et le fi lm montrant son corps sont plus que suspectes. On a réussi aujourd’hui à démontrer qu’il s’agit d’un de ses sosies du nom de Gustav Weler. La photo ci-dessous supprime aujo urd’hui (avec la facilité de consulter images et vidéos donc de voir les supercheries) to ute forme de doute. Mais les Soviétiques ont montré les restes d’Hitler notamment son crâne, certifié par les « analyses dentaires » de l’époque. Jusqu’à aujou rd’hui ce crâne est conservé à Moscou.

Donc par la force de l’histoire nous ne pouvons que conclure à la mort du chef du Troisième Reich dans son bunker. Alors tout s’emb rouille à nouveau, car pourquoi Brugger était-il si déterminé à poursuivre son enquête ? Mais voilà qu’une information de dernière minute vient jeter une lumi ère nouvelle sur l’affaire. Le journal anglais Observer du 27 septembre 2009 déclare que des chercheurs américains viennent de démontrer que le fameux crâne attribué à Hitler, secrètement préservé pendant des décennies par les services secrets so viétiques, appartenait à une femme de moins de 40 ans, dont l'identité est incon nue. Les analyses d'ADN effectuées sur les os, actuellement détenus par les Ar chives d'Etat à Moscou, ont été effectuées au laboratoire de génétique de l'Université du Connecticut. Le scientifique Nick Bellantoni s'était rendu à Moscou il y a peu de temps pour inspecter les restes d’Hitler dans les Archives de l' Etat. Il a pu ainsi faire des prélèvements ADN avec des cotons. J'ai vu - dit-il - les photos de référence des Soviétiques concernant le sofa de 1945 où Führer trouva , doit-disant, la mort et je voyais les mêmes taches exactement sur les fragments d e bois et de tissu en face de moi, donc je savais que je travaillais avec des pièces authe ntiques. Les échantillons ont ensuite été rapatriés dans le Conn ecticut.

Au centre de l'université de génétique appliquée, Linda Strausbaugh a travaill é pendant trois jours sur les traces ADN. Nous avons utilisé les mêmes protocoles qui auraient ét é utilisées dans un laboratoire criminel, dit-elle, et nous nous sommes a perçus que ces échantillons n’étaient pas ceux d’Hitler. Cette découverte, très récente, vient donc poser un g rand problème aux historiens. Depuis 64 ans les manuels scolaires, les films, les essa is etc...nous disent que le chef du Troisième Reich est mort dans son bunker mais quid d es restes du corps ? Pourquoi a-t-on voulu à tout prix cacher la vérité ? O ù est passé Hitler ? Puisque les os sont maintenant identifiés comme étant ceux d’une femm e, les hypothèses de nouvelles pistes peuvent êtres ouvertes. On peut alors supposer qu’à la fin du terrible conflit de 1945 devant la disparition du Führer et pou r ne pas troubler à nouveau le monde entier, les gouvernements occidentaux ont cert ainement caché la vérité et c’est sans doute pour cela que de nombreux services secrets se so nt particulièrement orientés vers l’Amérique du sud. Selon toute vraisembl ance, le personnage le plus odieux du conflit était encore en vie. C’est sans aucun do ute, avec du recul, que l’on peut imaginer à quel point l’information qui va suivr e a du ébranler les instances secrètes des Services spéciaux de l’époque et interpeller Brugger dans son enquête. En effet, le 5 mars 1979, dans le journal allemand Bild Zeitung , une annonce parut, Hitler et la cité perdue d'Akakor  

guillaume-delaage

http://trendboiler.com/read/MTB1cjJuMw~~

http://www.guillaume-delaage.com/articles/05-lhistoire-a-la-lumiere-de-la-tradition/hitler.html

5 janvier 2014

Le projet stargate Sun Streak et Grill Flame vison à distance du passé et du futur.

 

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Le projet stargate est l'un des nombreux noms de codes affectés pour couvrir les programmes de recherches autour de la vision distante.

D'autres noms de code sont : Sun Streak, Grill Flame, Center Lane pour la DIA et INSCOM et SCANMATE pour la CIA, depuis les années 1970 jusqu'en 1995. Ces recherches ont notamment été menées par le Stanford Research Institute (SRI).

Ces programmes de recherches ont été lances notamment parce que certains officiers de renseignement US ont été amenés à penser qu'un "pont psychique" venait d'émerger entre les états unis et l'URSS, citant notamment les capacités de Nina Kulagina.

Les expérimentations menées en CRV pour "ressentir" des lieus ou des événements sont normalement appliquées au présent, mais certaines sessions ont aussi eu pour objets de « ressentir » le passé ou le futur.

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Le projet Stargate

Le projet stargate a permis de développer une série de protocoles pour faire des capacités de « clairvoyance » un procédé scientifique, minimiser au possible les phénomènes de « bruit » et d'améliorer l'efficacité de ces procédés par des méthodes de contrôle de l'esprit.

Le terme « remote viewing » (vision distante) a émergé comme un terme générique pour décrire cette approche plus structurée de la clairvoyance.

NDT : Nous préférerons dans cet article le terme original de « remote viewing » à sa traduction francophone de vision distante car cette méthode de voyance appliquée au renseignement est plus particulièrement d'origine anglo-saxonne. }

Ce projet est aujourd'hui officiellement terminé du fait d'un manque apparent d'utilité des données produites par ce programme.

En 1989, de nouveaux administrateurs civils, qui n'était pas familiarisés avec ce que nous appellerons des phénomènes psychiques, ont « jetés au feu » les vieilles sorcières, tireuses de cartes et « channelers », du fait que ces phénomènes soient contestés sur le plan scientifique.

Ces quelques lignes sont des avis du traducteur qui ne figurent pas dans la version originale du présent document.

Cependant, (cet avis n'engage que le traducteur), il serait possible qu'avec l'émergence dans les années deux mille de nouveaux concepts, comme notamment le transhumanisme, ces recherches n'aient été abandonnées qu'officiellement, pour préserver l'image de sérieux de certaines administrations américaines (CIA, DIA, NSA...).

Le traducteur pense en outre que du fait de certaines applications possibles du remote viewing, notamment dans le domaine des communications, il serait envisageable que ces projets de recherches qui hier étaient dévolus à la CIA soient passés sous le contrôle de la NSA, plus à même de travailler sur des concepts propres aux communications.

Ceci est avis du traducteur, qui cependant n'est pas en mesure de fournir des sources relatives à ces considérations purement technique.

Le traducteur attire aussi l'attention du lecteur sur le fait que l'émergence de nouvelles technologies, notamment dans les domaines de la génétique, des sciences cognitives et des nanotechnologies ouvrent des perspectives nouvelles aux recherches autour de l'accroissement des capacités psychiques.

Enfin, le traducteur tient à rappeler que certaines techniques, que nous qualifierons de transversales, dont les aspects scientifiques sont moins contestés que la clairvoyance ou la transmission de pensée, tiennent cependant des capacités du domaine psychique. Nous pensons notamment aux recherches menées dans les années 60/70 pour mieux comprendre les phénomènes dits de « mémoire photographique ».

 

ONDES E.L.F.
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Le terme ELF signifie: Extreme Low Frequency.
Ce sont des ondes électromagnétiques proches de la longueur d'onde émise par le cerveau humain. Des ondes qui peuvent donc affecter l'être humain en brouillant sa concentration de pensée, nuire à ses états d'esprit et aller jusqu'à l'affecter émotionnellement ! (Dépression, suicidaire, euphorie, lui faire entendre des voix, le télécommander . . .) Dans certains milieux, la rumeur avance que lors de la dernière grande panne d'électricité -le 14 août 2003- des E.L.F. on été utilisées pour maintenir les gens de New York dans un calme surprenant.Jeu de mots à la Gilles Surprenant: E.L.F.= Égalité - Liberté - Fraternité... et j'ajoute... pour le contrôle des masses !

ONDES E.L.F. RUSSE SUR LE CANADA
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Le 14 octobre 1976, les communications radio sur toute la planète ont été interrompues par des ondes radio puissantes émanant d’URSS.

De nombreux centres d’écoute officiels répartis dans le monde entier enregistrèrent à cette occasion des détails caractéristiques. Plus tard, ces signaux réapparurent, quelquefois à très basse fréquence ou à très haute fréquence et à des intervalles et durées irréguliers.

Des protestations officielles ont été adressées à la Russie par le Canada, l’Angleterre, les Etats-Unis et les pays Scandinaves. La Russie s’excusa pour l’interférence occasionnée, dit-elle, par les expériences qu’elle menait.

Les personnels des centres de radiocommunications, aussi bien amateurs que professionnels, interceptèrent ces émissions essayant d’identifier leur nature, leur origine et leur but.

Les Services de la Défense et du Renseignement des USA étaient particulièrement concernés et en décembre 1976, ils avaient la conviction que les émissions provenaient de puissants ''signaux radar au-dessus de l’horizon'' russes.

Pendant un certain temps, ceci devint l’explication officielle et c’était très plausible.

Mais, ensuite, la nature des radiations changea de façon spectaculaire. De très grandes ondes EM stationnaires étaient formées sur des centaines de km de long, provenant du sous-sol et montant droit jusqu’à la ionosphère. Ces ondes stationnaires avaient une périodicité variant de 4 pulsations/seconde à 26/s.

Evidemment cela ne pouvait pas être des « signaux radar au dessus de l’horizon », tout le monde devait revoir ses idées.

Pendant environ un an, ces ondes EM apparurent sporadiquement sans davantage d’explication de la part des Russes, seulement un promesse de réduire leurs expériences et éventuellement de tout arrêter.Lors de la Série du Siecle en 1972,le Canada a eu de la difficulté a se concentrer et a perdu ses Premieres Partie,La Technologie Russe E.L.F. a t-elle été utilisée afin d'influencer les Joueurs Canadiens?

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LES ONDES SCALAIRES
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il faut savoir qu'une onde scalaire est composée de deux ondes à 90 degrés l'une de l'autre. Une onde verticale (rouge) et une autre onde horizontale (bleue).ATTENTION: Cette explication n'est pas complète. Il faudrait ajouter la force gravitationnelle qui donne un effet de "spin" qui spire tout l'ensemble décrit ici sommairement.La superposition de ces deux ondes électromagnétiques, orientées à 90 degrés l'une de l'autre, est une onde scalaire aux propriétés étonnantes. En effet, les ondes scalaires permettent d'agir à distance sur la matière visible par une méthode totalement invisible.

EN RÉSUMÉ - Pour produire une onde scalaire il faut:

Deux antennes émettrices d'ondes électromagnétiques; l'une verticale et l'autre horizontale.
Les deux ondes doivent être déphasées de 180 degrés. À ce moment-là on parle plus de champ que d'ondes.
Les deux ondes doivent être entrelacées à la manière d'une spirale. Comme l' hélice de l'ADN ou la colonne d'une tornade. Cet effet de rotation induit l'aspect gravitationnel à l'onde électromagnétique conventionnelle. C'est ainsi qu'une action dirigée sur la matière, à distance, devient possible par la simple utilisation d'une énergie immatérielle, un champ d'ondes, de vibrations subtiles.
Finalement, ajoutons que la qualité de l'action sur la matière à distance dépend surtout de la qualité du contrôle des phases que de la puissance de l'émetteur.

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ÉCOLE DE COPENHAGUE/ entre 1920 et 1930

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Einstein avait coutume de dire : "Dieu ne joue pas aux dés",
Ce à quoi le physicien Niels Bohr aurait répondu : « Einstein, cessez de dire à Dieu ce qu'il doit faire ! ».Bohr se contentait d’un "Qu’importe, ça marche !".


L’école de Copenhague ou interprétation de Copenhague est un courant de pensée qui donne une interprétation cohérente de la mécanique quantique. Elle considère que le caractère probabiliste de la mécanique quantique et que les relations d’incertitude de Heisenberg proviennent de l’interaction entre l’appareil de mesure et ce qui est mesuré, c’est-à-dire du fait que, au niveau atomique, l’effet de l’appareil de mesure sur son objet ne peut pas être négligé. D’autre part, elle considère que parler d’objets indépendamment de toute mesure n’a pas de sens ; en particulier, on ne peut pas connaître l’évolution d’un système entre deux mesures.Cette interprétation proposée par Niels Bohr, Werner Heisenberg, Pascual Jordan, Max Born porte le nom de Copenhague car l’institut de physique que dirigeait Bohr et où Heisenberg et Pauli étaient de fréquents visiteurs était situé à Copenhague. Cette interprétation sert de référence en physique, même si d’autres interprétations ont été proposées.
La devise de Bohr était "Contraria sunt complementa" (les contraires sont complémentaires)

A- PROBABILITÉ
Les particules subatomiques sont influencées par l'observateur. (l'instrument de mesure)
Exemple: - Corpusculaire/ondulatoire - Quelqu'un qui se sait filmé, a de la misère à marcher normalement.
B- LIBRE DE L'ESPACE/TEMPS
La matière peut se modifier sans preuves expérimentales en laboratoire.
Exemple: - Le saut quantique - L'électron saute d'une couche orbitale à une autre sans passer par l'espace qui les sépare.
C- INCERTITUDE
Les particules élémentaires ont la liberté d'être, comme par hasard.
Exemple: Choix instantané d'état par intrication (Enchevêtrement).
(Spin à gauche & à droite au choix imprévisible et concerté entre deux particules enchevêtrées, simultanément.)


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Les fentes de Young (ou interférences de Young) désignent en physique une expérience qui consiste à faire interférer deux faisceaux de lumière issus d'une même source, en les faisant passer par deux petits trous percés dans un plan opaque. Cette expérience fut réalisée pour la première fois par Thomas Young en 1801 et permit de comprendre le comportement et la nature de la lumière. Sur un écran disposé en face des fentes de Young, on observe un motif de diffraction qui est une zone où s'alternent des franges sombres et illuminées.


Cette expérience permet alors de mettre en évidence la nature ondulatoire de la lumière. Elle a été également réalisée avec de la matière, comme les électrons, neutrons, atomes, molécules, avec lesquels on observe aussi des interférences. Cela illustre la dualité onde-particule : les interférences montrent que la matière présente un comportement ondulatoire, mais la façon dont ils sont détectés (impact sur un écran) montre leur comportement particulaire.

EFFET D'OBSERVATION
SOURCE
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La théorie quantique stipule qu’un phénomène a bien lieu que s’il est observé. On appelle ce principe l’effet d’observateur.

Les implications de cet effet invitent à une réflexion profonde. Puisque notre univers physique est une suite de manifestations, il a besoin d’un observateur pour rendre possible son dénouement. Qui a permis l’existence de l’observateur sinon une conscience capable de le produire ? Ce principe implique que notre univers est la conséquence directe d’une conscience.

En fait, les phénomènes du cosmos exigent un observateur pour être appris et compris par tous. L’observateur peut se présenter sous différentes formes :
Ø Un individu regardant une bactérie par le biais d’un microscope
Ø Une personne contemplant un coucher de soleil
Ø Quelqu’un qui se trouve dans une tour de contrôle en train de consulter les écrans d’ordinateur lui révélant la position d’un avion, d’un satellite ou d’une fusée.

L’observateur idéal serait celui qui ne causerait pas la moindre perturbation sur l’objet observé, donc qu’il soit sans idéal et sans aucune attente particulière.

En fait, l’observateur réel entraîne toujours une perturbation à l’expérience, car il est en attente de quelque chose. En physique quantique, l’observateur et l’objet observé sont mystérieusement liés de sorte que les résultats de l’observation semblent en partie déterminés par les choix de l’observateur. Cette situation est représentée par la moindre perturbation sur l’objet observé, donc qu’il soit sans idéal et sans aucune attente particulière.

En fait, l’observateur réel entraîne toujours une perturbation à l’expérience, car il est en attente de quelque chose. En physique quantique, l’observateur et l’objet observé sont mystérieusement liés de sorte que les résultats de l’observation semblent en partie déterminés par les choix de l’observateur. Cette situation est représentée par la fonction d’onde.

http://www.orandia.com/forum/index.php?mode=thread&id=86777

15 décembre 2013

Des OVNIS filmés par La Station spatiale internationale (ISS)

OVNIS

La Station spatiale internationale (ISS) n'est pas au bout de ses surprises après que l'astronaute italien Luca Parmitano ait frôlé la mort en juillet. Chris Cassidy, son confrère américain, a filmé un objet volant non identifié (OVNI) NOUS VOYONS L'entree et la sortie de la terre de bolides polymorphes nul doute de leur existence mais leur nature est autre que extraterrestres .

3 octobre 2013

La DARPA, le pollen dans les chemtrails et l’administration de vaccins par voie orale

 

polene chemtrail canalblog

Le pollen pourrait contribuer à fabriquer des vaccins plus efficaces affirme le DARPA Mark Rockwell, 28.11.2012 Pollen.jpg Selon une Agence militaire Américaine de recherches, les minuscules grains de pollen qui provoquent de grandes souffrances aux personnes allergiques, pourraient présenter une solution pour la fabrication de vaccins efficaces pour différents problèmes de santé. Selon l’Agence DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), l’un de ses chercheurs étudie de nouvelles méthodes de fabrication et de présentation de vaccins destinés à l’administration par voie orale. Son outil de prédilection est le pollen, a déclaré le porte-parole de DARPA le 27 novembre. L’Agence en question a expliqué qu’ Harvinder Gill, professeur adjoint à l’Université Texas Tech cherche à comprendre, à concevoir et à tester une vaccination par voie orale réalisée à partir de pollen pour pouvoir protéger contre de nombreuses maladies infectieuses. En cas de succès, sa recherche pourrait permettre la mise au point de vaccins plus efficaces, plus faciles à administrer et à transporter pour les troupes déployées. Pour la DARPA, le pollen présenterait de nombreux avantages pour la réalisation et l’administration de vaccins. L’extérieur d’un grain de pollen est une coque faite de polymère durable et non allergène. Le contenu de l’enveloppe peut être débarrassé des protéines végétales allergéniques et des graisses qu’il contient pour en faire un produit neutre. Ce qui resterait de l’enveloppe pourrait contenir des vaccins qu’il serait possible d’administrer par voie orale. La résistance naturelle de la coque du pollen permettrait au vaccin de passer, sans être détruit, par les voies digestives. Un vaccin administré par voie orale est efficace, indolore ; il peut à la fois induire des réponses immunitaires muqueuses et systémiques, renforçant ainsi la protection, a déclaré le porte-parole de la DARPA. L’administration de pilules traditionnelles peut être perturbée par les processus naturels du corps humain.

Lorsque les patients avalent des vaccins ou autres médications, les acides de l’estomac et les processus digestifs peuvent dégrader les produits, mais du fait que les coques de pollen sont durables, elles peuvent se maintenir intactes à l’intérieur du corps et préserver le vaccin jusqu’au moment où il pourra être absorbé par le corps. La DARPA possède déjà plusieurs programmes biologiques destinés à protéger la santé des soldats américains par rapport à des menaces connues et inconnues, a déclaré Jay Schnitzer, directeur du Bureau des Sciences de la Défense qui supervise actuellement le programme YFA. « Nous soutenons activement la recherche de base comme celle menée par les bénéficiaires YFA, car elle aide à ouvrir de nouvelles perspectives d’exploration et favorise de précieuses relations durables entre le DoD et la communauté des chercheurs. » On trouvera plus d’informations sur la recherche du Dr Gill au lien suivant : www.gill-lab.che.ttu.edu. Son laboratoire étudie actuellement les grains de pollen, les micro-aiguilles, les nano-particules d’or et les polymères micro-nano-particules pour la vaccination mucosale et l’administration de médicaments contre le cancer … Source: gsnmagazine Ils chercheront TOUS les trucs et TOUTES les astuces possibles pour vacciner absolument un maximum de gens (peu importe leur volonté) : vaccins oraux, vaccins universels à ne soi- disant faire qu’une fois dans la vie, vaccins par micro-aiguilles, par nanopatches, vaccins via des « aliments vaccinants » transgéniques, etc etc. Tout est à l’étude sauf une chose, la plus importante : Par quel moyen démocratique pourrons-nous leur faire comprendre que ces folies doivent cesser et bien sûr, tout le cortège de pressions et obligations inadmissibles qui vont avec ? Prendre conscience de cette réalité, c’est déjà commencer à pouvoir y faire face et à y réagir efficacement car une fois encore, tous les risques de ces méthodes d’apprentis-sorciers, ce sera à VOTRE corps et à celui de VOTRE (vos) enfant(s) de les assumer…Le lien est fait avec  le financement des chemtrails par Bill gates pas pour le réchauffement mais pour nous vacciner .Godblesspagerank

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