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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
mesopotamie
31 juillet 2013

La « Fleur de Vie » La matrice secrète Divine

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Elle contient les modèles de la création tels qu’ils émergèrent du « Grand Vide ». Tout est créé selon les pensées du Créateur. Après la création de la Graine de Vie le même mouvement en vortex était continué, créant la structure suivante connue en tant qu’œuf de Vie. Cette structure forme la base de la musique, alors que les distances entre sphères sont identiques aux distances entre tons et les demi tons en musique. Elle est aussi identique à la structure cellulaire de la troisième division embryonnaire (La première cellule se divise en deux cellules, et la quatrième en huit). Ainsi la même structure alors qu’elle se développe un peu plus, crée le corps humain et tous les systèmes d’énergie y comprit ceux utilisés pour créer la Merkabah. Si nous continuons à créer de plus en plus de sphères nous terminons avec la structure appelée Fleur de Vie. 

 

La Fleur de Vie (à gauche) et la Graine de Vie (à droite)

 

 

La Fleur de Vie contient un symbole secret créé en traçant 13 cercles à partir d’elle.

 

 

 

En faisant cela, n’importe qui peut découvrir le modèle le plus important et sacré de l’univers. C’est la source de tout ce qui existe ; c’est appelé le Fruit de Vie. Il contient 13 systèmes d’information. Chacun explique un autre aspect de la réalité. Ainsi ces systèmes sont capables de nous donner accès à tout, que ce soit en relation avec le corps humain, jusqu’aux galaxies. Dans le premier système, par exemple, il est possible de créer n’importe quelle structure moléculaire et n’importe quelle structure cellulaire qui existe dans l’univers. En d’autres termes, n’importe quelle créature vivante.

 

 

 

La forme la plus commune de la « Fleur de Vie » est un modèle hexagonal (où le centre de chaque cercle est sur la circonférence de six cercles environnant de même diamètre), fait de 19 cercles complets et de 36 arcs circulaires partiels, le tout entouré d’un large cercle.

 

 

 

La « Graine de Vie » est formée à partir de sept cercles placés en symétrie sextuplé, formant un modèle de cercles et lentilles, qui agissent en tant que composant basique du design de la Fleur de Vie.

 

Le Temple d’Osiris à Abydos en Égypte contient l’exemple le plus vieux jusqu’à ce jour. Il a été sculpté dans du granit et peut éventuellement représenter l’oeil de Ra, un symbole de l’autorité du pharaon.

D’autres exemples peuvent être trouvés dans l’art Phénicien, Assyrien, Indien, du Moyen Orient et Médiéval.

 

Fleur de Vie en Turquie

 

Fleur de Vie – Amistar – Inde

 

Fleur de Vie – Amistar – Autres points de vues

 

 

Léonard de Vinci a étudié la forme de la Fleur de Vie et ses propriétés mathématiques. Il a dessiné la Fleur de Vie lui-même, ainsi que des composants tels que la Graine de Vie. Il a dessiné des figures géométriques représentant des formes telles que les 5 Solides de Platon, une sphère, un tore, etc. et a aussi utilisé la règle d’or de phi dans son art ; tout cela peut être dérivé de la Fleur de Vie.

 

Fleur de Vie faite à base de sphères plutôt que des cercles

 

Variation de la Fleur de Vie dans un Crop Circle

 

Où les mathématiques, la Géométrie et la Spiritualité se rencontrent :

 

La forme de la Fleur de Vie contient une forme secrète connue en tant que Fruit de Vie qui est constitué de 13 sphères qui contiennent plusieurs lois mathématiques et géométriques. Ces lois représentent tout l’univers. Offrir la Fleur de Vie à quelqu’un est comme donner l’univers tout entier dans un seul bijou.

 

La Fleur de Vie peut être trouvée dans toutes les religions importantes du monde. En Egypte, la source de toutes les religions monothéistes, la « Fleur de Vie », peut être trouvée dans l’ancien Temple d’Abydos. En Israël, elle peut être trouvée dans les anciennes synagogues de la Galilée et dans Massada.

 

Les gens rapportèrent des changements physiques et psychologiques après avoir porté ce pendentif – des battements cardiaques plus rapide, des rêves prophétiques, la fin des illusions, voir la réalité telle qu’elle est et se libérer de vieilles peurs.

 

La Fleur de Vie est une des formes géométriques les plus sacrées !

 

 

 

Géométrie Sacrée dans la Fleur de Vie – Par Andrew Monkman :

 

Je crois que l’ancienne Fleurs de Vie complète est un outil inter-dimensionnel, un portail, une porte des étoiles, une fenêtre sur ce que certains appelle les plans inter spatiaux. La Fleur de Vie originale (peut être retrouvée sur plusieurs piliers au sein de « l’Osireion » à Abydos en Egypte) est incomplète, car ce n’est que la première couche de trois (image1+2).

 

1. Fleur de Vie gravée sur un mur du temple

 

Le Temple d’Osiris à Abydos

 

2. La Fleur de Vie gravée dans la pierre au Temple d’Osiris à Abydos, Égypte.

 

La fleur de vie complète a les deux autres couches ajoutées, la rendant tridimensionnelle (image 3). Si vous vous relaxez (asseyez-vous à 1 mètre de votre écran) et laissez la fleur de vie vous faire doucement regarder dans le vide, la fleur s’ouvrira. Essayez de ne pas vous focalisez à n’importe quel endroit, regardez dans le vide, prenez la fleur comme un tout. Vous pouvez avoir mal à la tête et les yeux qui piquent, ça va rapidement disparaitre. Nous ne voyons pas avec nos yeux, nous voyons à travers nos yeux. Laissez votre esprit se focaliser, ne le combattez pas.

 

3. Fleur de Vie avec deux couches en plus

 

Ce que vous voyez est une entité reptilienne. Cette créature est très effrayante et farouche dans son regard, mais je peux vous assurer qu’il ne vous fera aucun mal. Je sais que cela paraît fou, mais il est vrai et très réel. Après vous être habituez à interagir avec les reptiles, vous pouvez passer à la prochaine entité. Pour interagir avec la seconde vous devez faire pivoter la fleur de 30 degrés et répétez les étapes.

 

Fleur de Vie – Beijing, Chine

 

La seconde étant un dragon Chinois (le chien fu). Cette créature est même plus effrayante que la première, donc soyez préparé. Encore, cette créature ne peut pas vous faire du mal d’une quelconque manière. D’une certaine manière ces entités sont des animations suspendues. Elles sont réelles mais ne veulent et ne peuvent pas bouger. Je sais que dans la franc-maçonnerie, ils appellent la première entité « l’homme khaibit ». Vous devez avoir été initié jusqu’au 10è degré pour être conscient de l’homme khaibit. Dans le cadre de l’initiation au 10è degré, l’homme khaibit est conjuré en face de vous.

 

Je ne suis pas franc-maçon, mais mon père a été franc-maçon pendant plus de 40 ans.

 

Il a passé le 10è degré. Quand j’ai fait cette découverte et que j’ai dessiné la fleur complète, je vivais à Édimbourg. J’ai téléphoné mon père chez lui à Kirkwall sur les îles Orkney. Quand j’ai raconté à mon père ce que j’ai vu, il ne pouvait pas croire ce que je disais. Il m’a dit que la seule manière où je pouvais savoir ce que je disais était si j’avais passé le 10è degré.

 

Évidemment je ne suis pas un franc-maçon et je n’ai pas passé le 10è, donc depuis ce jour mon père m’a raconté tout ce qu’il savait à propos de la franc-maçonnerie. Il m’a aussi raconté que sa grand-mère (mon arrière grand mère Fox) lui raconta quand il avait 16 ans, qu’un de ses fils découvriraient quelque chose qui affecterait le monde entier. Il est désormais convaincu que la fleur complète est cette découverte.

 

Vous devez surement savoir que la fleur complète contient l’arbre de vie de la kabbale, le fruit, l’œuf et la graine de vie (image 4 & 5).

 

4. L’Arbre de Vie de la Kabbale est dérivé de la Fleur de Vie

 

5. L’Arbre de Vie de la Kabbale est dérivé de la Fleur de Vie.

 

La fleur de vie complète contient le cube metatron tridimensionnel (image 6), qui contient les Solides de Platon (image 7). Pas simplement les briques de la vie, mais les briques de la création elle-même.

6. Cube Metatron

 

7. Les Solides de Platon

 

J’ai trouvé ce symbole sur une tombe d’un chevalier du temple (image 9), trouvée à l’intérieur de la cathédrale Saint Magnus à Kirkwall, Orkney (image 8).

 

8. La Cathédrale Saint Magnus

 

9. Tombe d’un Chevalier du Temple à la cathédrale St Magnus à Kirkwall

 

Je crois que ce symbole est la représentation de l’œuf de Vie (image 10), qui est la seconde rotation de la première couche de la fleur de vie complète (image 11).

 

Intérieur de Saint Trophime Arles 13200

 

” Image en Gros Plan “

 

10. L’oeuf de vie (gauche)
11. La seconde rotation de la première couche de la fleur de vie complète (droite)

 

Je suis né et été élevé et maintenant je vis à nouveau à Kirkwall. A n’importe quel moment on m’a enseigné à l’école, qu’il y a eu des chevaliers du temple qui sont venus à ou de Orkney. Pour une quelconque raison, la fleur de vie générée par l’ordinateur (image 13) ne fonctionne pas pour la contemplation. Elle contient tous les symboles sacrés de la Franc-Maçonnerie.

 

12. L’origine du G en Franc-Maçonnerie

 

13. Une fleur de vie complète générée par ordinateur

 

Je crois que les plus anciens alphabets ont leurs origines dans la fleur de vie complète.

 

 

Les 2 images ci-dessus : l’alphabet des runes du « Vieux Futhark » superposé sur la fleur de vie par ordinateur

 

 

Les 2 images ci-dessus : l’ancien alphabet Phénicien superposé sur la fleur de vie par ordinateur

 

 

Plusieurs symboles magiques et alchimiques peuvent être trouvés dans la Fleur.

Je me suis dis je vais ajouter cette image car vous allez reconnaitre le modèle (image 14).

 

14. Modèle de la peau de serpent

 

La fleur de vie complète possède une autre utilisation. Si vous superposé une carte (après avoir calculé l’échelle correcte) sur la fleur de vie complète, tous les sites sacrés, les menhirs, se tiendront au centre de six points. Cette image vous donne une idée à quoi ressemble le quadrillage (image 15).

 

15 – Fleur de vie Terre

 

 

La Danse des planètes :

 

Les orbites de Vénus et de la Terre sont encore un autre exemple de géométrie sacrée.

 

 

Cette image montre les proportions des orbites de la Terre et Vénus (si le diamètre de l’orbite de la Terre est égale à la diagonale d’un carré, l’orbite de Vénus rentrerait à l’intérieur d’un tel carré tel qu’il est montré dans le dessin.)

 

L’image ci-dessous a été faites à la main avec l’aide d’un logiciel de dessin informatique. Premièrement, traçons un carré et deux cercles comme cela l’un rentre à l’intérieur du carré et l’autre englobe le carré. Étrangement, cela représente les proportions correctes des orbites de Vénus et la Terre.

 

Deuxièmement, traçons des points également espacés sur chaque cercles représentant le nombre de jours par orbite (365 points pour l’orbite de la Terre et 225 pour l’orbite de Vénus). Ensuite, relions les lignes entre positions orbitales de chaque planète pour chaque jour – en prenant comme point de départ une journée lorsque les deux planètes sont proches l’une de l’autre. Après avoir répété ce processus pour 8 orbites de la Terre les lignes forment cette image étonnante :

 

Cette image (à l’échelle) représente la danse de Vénus et de la Terre

 

 

L’arbre de Vie :

 

L’arbre de Vie

 

L’arbre de Vie est l’un des symboles les plus familiers de la Géométrie Sacrée. La structure de l’Arbre de Vie est connectée aux enseignements sacrés de la Kabbale Juive mais elle peut être retrouvée dans d’autres traditions comme celles des anciens Égyptiens.

L’Abre de Vie est expliqué dans le Sefer Yetzira (« Le livre de la Création »). Le livre explique la création comme processus impliquant les 10 nombres divins (Sephiroths) de Dieu le Créateur et les 22 lettres de l’alphabet Hébreu. Les 10 séphiroths ensemble avec les 22 lettres constituent les « 32 chemins de la sagesse secrète ».

L’arbre de Vie est utilisé en tant que signe d’unité et d’amour.

 

 

 

Sources : Drunvalo Melchizédek

 

http://www.scribd.com Drunvalo Melchizédek

 

 

http://www.lespacearcenciel.com

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31 juillet 2013

La civilisation de Chavin au Pérou

 

 

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Le village perdu de Chavín de Huantar, niché dans une haute vallée des Andes du Nord Pérou, à 3500 m d'altitude, fut un grand centre religieux qui a donné son nom à une importante civilisation précolombienne : la culture de Chavín, qui associe au culte du jaguar les représentations du serpent et de l'oiseau de proie, se situe approximativement entre 1300 et 300 avant J.-C. Le village de Chavín de Huántar fut un grand centre religieux. Son influence s'étendit sur un vaste territoire, des Andes du Nord jusqu'à la côte centrale du Pacifique. Vers 400 à 300 av. J.-C., le temple Chavín est détruit. On ne connaît pas les raisons ni les circonstances de cette destruction.



Chavín est un site pré incaïque. Les archéologues pensent que la civilisation de Chavín est à la base de toutes les sociétés qui ont suivi. Les édifices religieux prennent la forme d'un U.

Les ruines de Chavín sont situées sur la rive gauche du Rio Mosna, un affluent du Marañon, et constituées d'un vaste ensemble de terrasses, de places, de temples comprenant plusieurs grandes pyramides en pierre percées de chambre et de passages intérieurs et sont décorées de bas reliefs représentant des figures humaines et animales grotesques et fantastiques. L’une d’elles est appelée Lanzón ou « Dieu souriant ».

Le temple le plus ancien (850 av. J.-C.), "El Templo Viejo" ou "Templo Lanzón" se compose de 3 pyramides qui depuis le ciel ont la forme d'un U. Il est précédé d'une "Plaza Circular Hundida" (Place Circulaire Enfouie). A l'intérieur de la pyramide ont été construits des passages très étroits, semblables à des souterrains, que l'on a appelé alors Galerías (les Galeries).



Ces galeries rappellent les couloirs égyptiens avec des canaux de ventilation qui servaient en même temps à amplifier des sons et voix. C’est là que les prêtres dirigeants pouvaient élaborer leurs rites. Dans certaines galeries les archéologues ont découvert des céramiques, des objets en pierre, des restes de sacrifices humains et d'animaux et des fragments de coquillages marins.

La plus importante est "la Galería del Lanzón", celle où se trouve l'idole appelé "Lanzón Monolítico" (Lance Monolithique) un des principaux icônes Chavín. Dans ce monolithe de 4,60 m de hauteur est taillée l'image du dieu du monde souterrain, également appelé "El Dios Sonriente" (le Dieu Souriant), responsable de la fécondité de la terre et des saisons.

Ce personnage est effrayant, combinant des traits anthropomorphes et des éléments anatomiques zoomorphes empruntés aux félins et aux reptiles: les bras collés au corps, une main retournée dans le dos, avec une tête de félin, où deux crocs recourbés jaillissent de la bouche. Au dessus de la tête, au centre de la haute partie frontale, est creusée une gouttière, laissant supposer qu'une chambre de sacrifices était situé au dessus du monolithe, communiquant avec celui-ci, et que le sang des sacrifices, empruntant cette gouttière, devait arroser la tête de l'idole jusqu'aux rainures de la bouche.



Le temple le plus important est connu sous le nom de El Castillo, également appelé Templo Tardío ("Temple Tardif", en opposition au Temple du Lanzón, bien plus ancien). Le temple à la forme d'un cube impressionnant par ses dimensions: 70 m de côté et 10 m de haut. Sa structure pyramidale rectiligne se compose de trois plates-formes superposées. Plusieurs galeries souterraines ont été creusées à l'intérieur de l'édifice comme dans l'ancien temple.
Le site a subi les outrages d'une crue du Rio Mosna en 1945.

La façade, orientée à l'est, possède un portique monumental au centre, la Portada, dont les colonnes et les linteaux étaient décorés de félins, qui débouche sur des escaliers latéraux au nord et au sud. Ces deux volées de marches mènent à deux petites plates-formes qui permettent d'accéder, au nord et au sud, à des escaliers conduisant à la plate-forme supérieure.

Au sommet on voit encore les vestiges de deux petits édifices jumeaux. Les murs de la dernière étape de construction du temple étaient ornées de têtes-clous (Cabezas Clavas) dont un seul exemplaire est encore en place sur le mur arrière, à l'angle sud-ouest de l'édifice. Elles sont aujourd'hui exposées dans les galeries du Temple du Lanzón. Ces têtes-clous, en pierre sculptée, représentent des visages d'apparence humaine combinée avec des traits de félin, de serpent ou de rapace.

En face de la pyramide principale s'étend la Plaza Cuadrangular Hundida (la Place Enfouie) qui mesure 48 m de côté. En son centre se dressait l'Obélisque Tello, principale oeuvre d'art taillée dans la pierre et représentant une métaphore de l'univers comme le concevaient les Chavín. Sur les 4 faces de l'obélisque sont gravés les dessins de deux lézards (ou deux caïmans, ou encore deux félins) un mâle et une femelle, qui habitait chacun une moitié de l'univers. Ils exprimaient leur pouvoir sur la terre à travers des messagers comme le jaguar et l'aigle.

Au Nord et au Sud de la place, deux bâtiments similaires se font face. Ils devaient servir de tribunes et recevoir le public assistant aux cérémonies de la Plaza Hundida.

Dans l'angle Sud-Ouest de la place, se trouve un curieux rocher, dit Choque Chinchay, où sept cupules creusées dans la pierre délimitent vaguement la silhouette du Dieu-jaguar de Chavín et semblent représenter les sept étoiles de la constellation d'Orion (laquelle domine le ciel équatorial pendant la saison des pluies).



La stèle Raimondi

Une autre sculpture, appelée stèle Raimondi, occupe une place fondamentale dans l'iconographie de Chavín et des civilisations de l'ancien Pérou. La pièce est une dalle de pierre de 1,95 mètres de haut et de 0,74 mètre de large.

Cette pièce fut découverte au milieu du XIXe siècle par un paysan qui l'emmena chez lui pour l'utiliser comme table. La face gravée de la dalle représente un personnage mythique, debout, tenant dans chaque main un sceptre ou un bâton ("báculo"). Cette figure et toutes celles qui lui ressembleront par la suite seront désignées sous l'appellation de « dieu aux bâtons ». La figure, à la posture anthropomorphe, combine les traits anatomiques empruntés au félin, au reptile et au rapace. Cette pièce peut être considérée comme la dernière écriture iconographique du divin réalisée par les prêtres du centre cérémoniel de Chavín de Huántar.

La société Chavín

La société Chavín était dominée par les prêtres et divisée en 3 classes sociales : les prêtres, les pèlerins et les artisans et agriculteurs. Les religieux vivaient sur le site (sûrement dans les pyramides), les artisans avaient des habitations autour du centre cérémoniel, les agriculteurs vivaient quant à eux sur leurs terres.

La culture Chavín est dite duale. De nombreux éléments symbolisent la dualité homme/femme, bien/mal, jour/nuit... Par exemple, il perdure encore des sculptures d’animaux à forme anthropomorphique, qui sont représentés sous leur forme masculine et féminine ou encore l’utilisation en alternance de pierres blanches et de pierres noires qui évoquent aussi des éléments opposés et complémentaires.

L'expansion de la culture Chavín entraînera aussi des progrès techniques dans les domaines du textile et de la métallurgie.

L'art Chavín



La technique du tissage est bien acquise, l’étoffe est douce et raffinée. Parallèlement, l’artisanat du bronze se développe. Ce qui a pour conséquence l’invention de la soudure, et la maîtrise de la technique de l'alliage or-argent. Les Chavín apprirent par la même occasion le commerce de la laine des camélidés, des plumes d'oiseaux tropicaux, etc. Mais la culture Chavín se démarque surtout par leur céramique qui est l'une des plus belles du Pérou précolombien. Son style est caractérisé par le motif du jaguar, abondamment représenté sur les poteries, les tissus et les objets métalliques.
A noter que l'art Chavín ressemble beaucoup à celui des Olmèques (Amérique centrale).

26 juillet 2013

OMEN ou le code OMEGA l'enfant du prince William cet enfant attendu depuis 2000 ans par les Kabbalistes

 

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Il est là! Il est né enfin le bébé que tout le monde, littéralement, attendait. Le bébé de l’amour, de la joie, du bonheur, le bébé royal quoi. Le bébé que les bons peuples du monde vont apprendre à aimer à adorer même puisque les médias vont vous alimenter quotidiennement sur ses faits et gestes. Un bébé projeté dans la lumière du monde pour sceller l’alliance entre l’aristocratie royale européenne et les juifs sionistes mondialistes. Un bébé destiné à être notre monarque à tous…

Tout mariage doit se conclure par la naissance sinon il ne peut être « consommé ». C’est ainsi dans l’imaginaire des gens. Il était donc évident que le mariage de la juive Kate Middleton et du prince William, futur roi d’Angleterre et donc grand monarque européen, soit scellé par la naissance. Une naissance qui ne sera pas anodine pour les peuples du monde car cette naissance sera celle de l’antichrist, c’est-à-dire du retour du pouvoir royal en son lieu d’accomplissement en terre sainte.

Le prince William n’est pas une personne lambda que l’on peut confondre avec une autre, le prince William cumule trop de signes occultes pour que l’on puisse dire qu’il est en haut de la pyramide par hasard. Sa naissance le jour du solstice solaire après une éclipse, sa micropuce implantée dans sa main droite depuis 1996, sa blessure reçue à la tête devait être mortelle mais il en guérit, …tous ces signes conformes aux signes célestes annoncés dans l’apocalypse.

Le bébé s’appellera Georges Alexander Louis et sera connu sous le titre du prince George de Cambridge. Un prénom qui reprend certes ceux de ses ascendants royaux d’Angleterre et maternelle, mais qui a aussi la particularité d’englober la totalité des lignes royales d’Europe. Le prénom Louis pouvant être identifié aux rois de France et signifier ainsi la fusion de toutes les lignées royales en une. David Beckham ne voulait-il pas que le bébé porte son prénom ? Cela aurait été alors beaucoup plus visible pour tout le monde si le bébé s’appelait David non? Le retour du roi David, ancêtre de toutes les lignées royales d’Europe.

Il est à noter qu’au même moment l’on découvrait enfin son palais en Israël ! La palais du roi David enfin découvert va pouvoir être reconstruit le temps de l’enfance du prince Georges qui pourrait prendre officiellement ses fonctions de roi David à sa majorité. Cela est bien sûr spéculations de ma part mais n’est-ce pas symbolique que dans le même temps de l’annonce de la naissance royal l’on découvre enfin les vestiges du palais du roi David? Cela veut dire qu’il est destiné à retourner en Israël pour y gouverner les hommes.

C’est peut-être un simple hasard mais l’on sent que l’on va rentrer dans un cycle de catastrophes toujours plus effrayantes à l’instar des catastrophes ferroviaires qui n’en finissent plus de se produire sur un continent dont on se vantait de maîtriser ce transport. Que la plus grande catastrophe soit située près de St Jacques de Compostelle est-elle anodine?

Il faut dorénavant s’attendre au pire. La naissance du bébé royal n’est pas annonciateur de réjouissance pour les peuples du monde mais bien au contraire de grandes catastrophes. Ne croyez pas que tout va aller mieux dans le futur en ce qui concerne l’économie, les tensions ethniques, les tensions religieuses,…non tout va aller en s’aggravant jusqu’au retour en grande pompe du descendant officiel du roi David, l’antichrist, en son palais de son royaume sacré. Ce retour signifiera pour l’ensemble des peuples de la planète la fin du monde littéralement, puisqu’il déclenchera la guerre finale entre l’adoration et la haine deux excès d’amour menant à notre destruction

http://lecitoyenengage.fr/lantechrist-sera-juif-2947

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Lors de la cérémonie de clôture des JO  comme le montre la photo ci-dessous montrant un balai d’infirmière entourant la naissance d’un bébé blessé à la tête comme devrait l’être l’antéchrist:

Les chutes Niagara bleues en l'honneur du bébé royal de sang bleu  (Agence QMI) ainsi que la tour de londres

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.De même que dans le film « Omen » qui raconte l’enfance de l’antéchrist il y a la fameuse scène du suicide de l’infirmière conditionnée à distance par le pouvoir psychique de cet enfant

the_omen_2006_nanny_amy_huckil y a quelques mois , on nous annonçait que Kate Middleton était enceinte "de moins de 12 semaines en tout cas " .
 donc  environ 11, j'ai pris mon calendrier, et cela porte la conception de ce bébé. rite incubatoire ... à la date du fameux jour "all jews are one", le 23 septembre , où tous les juifs ont prié ensemble pour la venue du Messie c'est pas jesus ils ne l'ont pas accepté ils attendent son antithèse sous l'instigation de la Kabbale. La 11e semaine  donc le . du 09 11/09 cette date serait un sacrifice en l'honneur de l'antechrist sachant que le vrai christ serait né au mois de septembre suivant l'alignement des étoiles le jour de sa naissance ,alors il est logique que son antithèse soit conçu a la meme période les symboles ne font qu' étayer la probabilité de voir cet enfant accomplir la prophétie de la fin des temps .

 

26 juillet 2013

Les tampons TAMPAX : Mortellement toxiques

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La liste des atteintes létales à notre santé est longue, mais il en est une qui est le plus souvent ignorée du grand public, spécialement le public féminin, que j'ai découvert il y a 5 ou 6 ans et pour laquelle je n'ai pas trouvé d'études documentées en français: nos petites souris blanches pour les semaines d'amour fériés, comme disait poétiquement le chanteur RENAUD dans sa chanson "Dans ton sac".  

Elles représentent un marché colossal et leur secret de fabrication est farouchement conservé par Procter & Gamble, le fabriquant de la marque TAMPAX, leader mondial du marché des tampons. Peu d'entre nous savent que ces cartouches de "on ne sait trop quelle matière si absorbantes et si pratiques" sont imbibées de dioxines. A raison d'une moyenne de 5 jours par mois, je vous laisse faire le compte du nombre d'années sur une vie de fertilité, où nous portons sans le savoir en notre ventre, cette substance hautement cancérogène !   Le cancer du col de l'utérus est le second cancer féminin et une femme meurt du cancer de l'utérus toutes les deux minutes dans le monde.

J'ai cru bon de traduire une étude en anglais sur le sujet.  Que celles et ceux qui en auront la curiosité et le courage la lisent jusqu'au bout et prennent les dispositions qui s'imposent.
Quiz : A quand une étude statistiques sur l'utilisation de tampons par les patientes atteintes de cancer au col de l'utérus et de l'utérus? Mais une chose est certaine, pour les auteurs des pierres d'Elberton (The Georgia Guidestones) qui souhaitent maintenir la population à 500 millions d'individus, le tampon périodique est une munition non négligeable dans leur arsenal de dépopulation.



Les tampons TAMPAX : Mortellement toxiques 
(Source : Tampax Tampons: Toxic Death Sticks by Meghan Telpner)

Partie I
Beauté chimique


Rentrée récemment de Californie après trois mois d'acupuncture intensive afin de traiter une inflammation des intestins fraîchement diagnostiquée, je m'étais convertie à l'alimentation intégralement biologique et non manufacturée. J'étais confiante en mes conserves en bocaux, mes produits nettoyants naturels et mes casseroles et poëlles sans Teflon, je vivais dans un environnement virtuellement sain et non toxique. Toutefois, il y avait un secteur de ma vie où je n'avais pas fait un nettoyage complet et cela concernait mes produits d'hygiène intime. J'ai pensé  à l'armoire de ma salle de bain et aux nombreux produits joliment emballés qui garnissaient les étagères. Je pense maintenant que cette armoire devrait être scellée de façon permanente avec une étiquette: danger! 

Mon choc initial n'est pas venu de ce que j'avais lu sur les étiquettes des composants. Cette horreur est venue plus tard. Ma surprise fut qu'elles étaient là et que je n'avais jamais songé à les lire.  Ayant souffert de maladies digestives depuis plus de trois ans avant d'être diagnostiquée, j'avais pris l'habitude de lire les étiquettes de tout ce que je mangeais.  Je ne sais pas pourquoi il ne m'était jamais arrivé de lire les étiquettes des produits que je diffusais, inhalais, appliquais, absorbais. Je fus choquée d'apprendre que mon dentifrice contenait les mêmes édulcorants que l'ont trouvait dans les produit light et que l'alcool cétylique, l'ingrédient principal de mon shampoing, est un produit dérivé de l'industrie pétrolière. Mon après-shampooing et mon produit coiffant contiennent tous deux du méthylchloroisothiazolinone, un produit irritant bien connu et qui, dans des proportions élevées, peuvent provoquer des brûlures chimiques. Il a été retiré de la composition de la plupart des produits cosmétiques, sauf pour ceux au contact limité avec la peau. 
Mon coûteux tonique pour le visage de chez Kheils contient de l'imidazolidinylurée plus connu sous le nom de formaldehyde. On en trouvait aussi dans mon démaquillant. Aucune mention sur les réactions chimiques qui se produisent lorsque je mets le formaldehide de mon démaquillant pour les yeux sur un coton blanchi au chlore 
pour retirer le mascara au triethanolamine (précurseur d'un cancérigène connu, le nitrosamine, que l'on trouve également dans le gel de rasage) et qui se mixent en une auréole noire autour de mes yeux. 

 Aussi inquiétants que soient les produits chimiques contenus dans ces produits, j'étais relativement rassurée par le fait qu'ils changeaient au fil des années. Lorsque je me retrouve à cours d'un produit, j'en achète un nouveau, j'essaie une nouvelle marque. Ainsi, au cours des derniers mois, j'ai remplacé les produits que j'utilise quotidiennement par des produits bio aux risques moindres. Néanmoins, le seul produit auquel je sois restée fidèle au cours des quinze dernières années est celui qui me préoccupe le plus. Aucun des composants n'est indiqué sur l'emballage de ce produit. C'est le produit auquel je pensais le moins, un produit que j'achetais par habitude, toujours dans l'urgence quand je venais à en manquer et qui s'utilise dans notre partie la plus intime. CE PRODUIT EST LE TAMPON TAMPAX. 

Au cours de recherches méticuleuses, j'ai découvert que les produits chimiques les plus dangereux étaient utilisés pour leur fabrication et j'ai découvert les effets horribles et mortels que ces produits ont sur la santé des femmes qui les utilisent.  J'ai été horrifiée en découvrant les dangers que ces produits chimiques transmis par la mère au cours de la grossesse représentaient pour son bébé. 
Enfin, j'ai cherché des alternatives aux tampons conventionnels et j'en ai trouvé de disponibles et plus sûrs pour notre propre santé et pour l'environnement.

PARTIE II
Les composants du tampax. Moins on les voit, moins on y pense.

La moyenne des femmes ayant cinq jours de menstruation par mois durant 38 ans, utilisera en moyenne 11.400 tampons au cours de sa vie. Avec en moyenne 73 millions de femmes amércaines en âge de procréer, le niveau de toxicité des tampons de marque n'est pas juste une préoccupation d'ordre personnel mais bien un problème qui affecte toutes les femmes en âge d'avoir leurs règles.

Définir la composition exacte et les composants chimiques des tampons TAMPAX est virtuellement impossible. Bien que les tampons soient utilisés de manière nécessitant un contact prolongé avec l'une des parties les plus poreuses et les membranes muqueuses les plus absorbantes de notre anatomie, ces produits d'hygiène intime féminin sont classés par la FDA (Food and Drug Administration) comme un instrument médical. Aussi, les fabricants ne sont pas tenus de se conformer aux mêmes règles d'étiquetage que celles en vigueur pour les aliments, médicaments ou cosmétiques. Tout comme pour les tests de toxicité dans la distribution alimentaire, les tests d'ordre chimique sur les tampons sont réalisés par les fabricants ou des chercheurs privés dont les conclusions sont présentées aux organismes de contrôle de régulation. Les chercheurs scientifiques sont payés par ceux qui fabriquent et vendent les tampons, que ces derniers soient sûrs ou non. Dès lors, il appartient aux consommateurs de faire leurs propres recherches. 

Procter & Gamble, le fabriquant des tampons Tampax tient à garder secrète la recette de cette soupe chimique. Vu que les femmes américaines dépensent une moyenne de deux milliards de dollars par an pour leurs serviettes hygiéniques et leurs tampons chimiques, la vérité sur ces produits toxiques n'est pas prête d'être révélée.

LES TAMPONS TAMPAX, DES CARTOUCHES MORTELLEMENT TOXIQUES.
A l'origine, les tampons étaient composés à 100% de coton. Lorsque les femmes se sont plaintes de fuites, les fabricants ont augmenté leur pouvoir absorbant en mélangeant le coton à des fibres synthétiques hautement absorbantes comme du polyester, du polyacrylate, de la viscose et de la cellulose de carboxymehtyl. Au début des années 80, des rumeurs ont couru concernant les tampons lorsque 38 femmes sont mortes de syndromes de chocs toxiques (TTS), d'une infection bactériologique liée à l'usage de tampons super absorbants. Suite à ces événements, bien qu'ils déniaient tout lien avec ces morts, les fabricants de tampons changèrent la composition de leurs produits. Au cours des tests privés, il fut établi que ces matériaux synthétiques attiraient les bactéries qui conduisaient à des TTS. Le moins nocif de ces fléaux était un mélange de viscose, et c'est précisément ce qui reste dans les tampons classiques d'aujourd'hui.

La plupart des tampons sont traités avec des produits chimiques qui n'ont pas leur place dans un produit à usage si intime pour les femmes.

Tampax fabrique ses tampons à partir d'un mélange de viscose et de coton cultivé de manière conventionnelle. Environ 38,1 tonnes de pesticides sont pulvérisés sur 14,4 millions d'hectares de coton conventionnel cultivés chaque année aux Etats-Unis ... Ces produits chimiques comptent parmi les plus toxiques utilisés en agriculture et l'Agence pour la Protection de l'Environnement a déclaré sept de ces produits chimiques parmi les 15 principaux utilisés pour la production de ce coton comme cancérigènes probables pour l'être humain. Le coton toxique est un problème, mais certainement pas le seul.
Le viscose utilisé dans les Tampax est fabriqué à partir de pulpe de bois et des centaines de produits chimiques sont utilisés pendant le processus de conversion du bois. C'est dans le chlore utilisé pour blanchir la pulpe de bois que réside le plus grand danger. Le procédé crée des hydrocarbones chlorés, un groupe de produits chimiques dangereux, dont l'un des produits dérivés les plus problématique est la dioxines, l'une des substances les plus toxiques connues. 

En réponse aux réclamations des consommateurs et du gouvernement américains dans le cadre de leur loi sur la santé des femmes et la dioxine, suivie par la loi sur la recherche et la sécurité des tampons (protection des femmes contre la dioxine et le syndrome de choc toxique) l'industrie du tampon a récemment changé sa méthode de blanchiment par une méthode sans chlore. 
Cette méthode remplace le chlore gazeux par du dioxyde de chlore, un produit chimique consistant en deux atomes d'oxygène liés à un atome de chlore.

Le dioxyde de chlore est reconnu pour ses propriétés désinfectantes, ...et est utilisé pour contrôler les micro-organismes nocifs, y compris les bactéries, les virus ou les champignons sur des objets inanimés et les surfaces. En 1967, l'EPA (Agence pour la Protection Environementale)  a enregistré pour la première fois la forme liquide de dioxyde de chlore utilisée comme désinfectant. En 1988, l'EPA a inscrit gaz de dioxyde de chlore comme agent de stérilisation. Le dioxyde de chlore tue les micro-organismes en perturbant le transport des nutriments à travers la paroi cellulaire. Le dioxyde de chlore est beaucoup moins réactif avec les substances organiques que l'agent de blanchiment utilisé précédemment. En l'absence de chlore pur impliqué, l'agent de blanchiment CEF devait théoriquement aboutir à un produit exempt de dioxine.

Ce n'est cependant pas le cas. Des études ont démontré que la fabrication de dioxyde de chlore ne génère pas un produit aussi pur que ne le prétendent les fabricants de tampons. La plupart sont contaminés par une certaine quantité de chlore gazeux. En outre, lors de la production commerciale de ces produits, des réactions chimiques qui ont lieu pendant le processus de blanchiment libère des atomes de chlore gazeux à partir de certaines des molécules de dioxyde de chlore. Cela augmente la charge de chlore gazeux dans le processus de blanchiment, libérant ainsi la dioxine. Fondamentalement, la nouvelle méthode de blanchiment diminue la quantité de dioxines créé, mais ne les élimine pas complètement.

Selon l'Agence pour la Protection de l'Environnement, il n'existe aucune protection réelle à l'exposition à la dioxine. La FDA a reconnu que le dioxyde de chlore, bien que sans chlore gazeux, peut toujours générer des dioxines à des niveaux extrêmement bas. Une formulation très habile sur le site de la FDA indique que «certains procédés de blanchiment sans chlore gazeux peuvent théoriquement générer des dioxines à des niveaux extrêmement bas et que des "traces" de dioxines peuvent être détectées dans la pulpe servant à la fabrication des tampons.

Étant donné que la dioxine est cumulative et lente à se désintégrer, le vrai danger vient du contact répété. Je pense qu'il est prudent de considérer comme contacts répétés une exposition de 5 jours par mois, 12 mois par an, pendant près de 40 ans!

QU'EST-CE QUE LA DIOXINE?
La dioxine est un terme utilisé pour décrire un groupe de centaines de produits chimiques très persistants et très toxiques qui s'accumulent dans l'environnement et dans nos corps. Cette toxine est un sous-produit très dangereux de nombreux procédés industriels différents impliquant le chlore, y compris l'incinération des déchets, la fabrication de pesticides chimiques et le blanchiment du papier et des pâtes à papier (ce qui comprend les matières premières utilisées dans les tampons classiques).

La dioxine est un composé organochloré et est produite par une combinaison de chlore et de composés organiques. En tant que composant toxique primaire de l'agent orange, elle est considérée comme "la substance la plus mortelle connue pour l'humanité" où "littéralement, une cuillère à soupe [de dioxine] tuerait tout le monde sur la planète"

La dioxine est un polluant organique persistant (POP) qui s'accumule dans le corps. Notre exposition s'étend bien au-delà du contact mensuel du tampon. On trouve cette substance chimique dans les aliments que nous consommons. Les niveaux d'accumulation augmentent à mesure que l'on remonte la chaîne alimentaire jusque dans nos propres corps. 

En plus des niveaux de dioxine présents dans l'environnement et l'approvisionnement alimentaire, les tampons ne sont pas les seuls produits d'hygiène contribuant à l'apport corporel en dioxines.
Des processus de production similaires sont utilisés sur les langes, serviettes et papiers hygiéniques,  cotons-tiges, cotons démaquillants, mouchoirs en papier...  Nous utilisons ces produits autour de nos yeux, de nos oreilles, pour nettoyer nos bouches, nos nez et nos parties les plus délicates. 

Et comme si le coton imbibé de dioxine et de pesticides ne suffisait pas, les tampons contiennent également de nombreux produits chimiques supplémentaires qui comprennent des amplificateurs d'absorption, des désodorisants et des parfums synthétiques. La présence de la dioxine est cependant la plus préoccupante car elle est celle qui affecte le plus le corps humain.

LES EFFETS DES TAMPONS TAMPAX SUR LA SANTE.
Le risque en ce qui concerne la dioxine ne dépend pas seulement de sa quantité, mais du simple fait de sa présence. Les «effets subtils sur la reproduction et la santé surviennent à des doses suffisamment faibles pour que les effets ne soient pas visibles de façon flagrante et qu'ils s'installent lentement de façon insidieuse à travers les populations. La dioxine s'accumule chez les humains, en particulier dans les tissus adipeux féminins et le lait maternel. Le principal moyen d'élimination est donc par le lait maternel ou le placenta. Ainsi elle commence à s'accumuler dans l'organisme du foetus et, plus tard, dans celui de l'enfant en bas-âge. Les enfants et les foetus sont donc les plus exposés aux risques alors que leur système nerveux et immunitaires sont en plein développement. Cette toxine persistante se propage non seulement à travers les différentes populations, mais aussi de manière générationnelle.

Des douzaines de maladies et affections sont liées à l'accumulation de dioxine dans l'organisme. On peut les regrouper en trois catégories: celles faisant intervenir les enzymes, les facteurs de croissance et les hormones. 

Un récent rapport de l'Agence pour la Protection de l'Environnement  confirme que la dioxine est un "cancérogène pour l'homme" et ce produit chimique cancérogène connu est en contact direct avec nos organes internes et nos zones très sensibles. Des études Suèdoises ont établi un lien entre les tampons contenant de la dioxine et une augmentation des cancers de l'appareil génital féminin.
Grâce à l'activation du récepteur Ah, la dioxine entraîne un large éventail de réponses biologiques considérées comme importantes pour le processus de cancérogenèse, y compris les changements dans l'expression génique, la modification du métabolisme, altération de la croissance et de la différenciation cellulaire, ainsi que la perturbation des hormones stéroïdes et facteurs de croissance. 

Ces changements sont à l'origine de réponses immunotoxiques, tératogènes et cancérogènes.

Les tampons sont placés contre les tissus adipeux humides pendant des périodes prolongées créant un environnement idéal pour l'absorption de produits chimiques. La dioxine agit comme un perturbateur endocrinien ... Les variations de niveaux d'hormones et de récepteurs conduisent à une altération de l'homéostasie qui devrait être le réseau de mécanismes de contre-réaction de l'organisme à maintenir un équilibre de ces hormones. Une des maladies les plus directement liés à l'effet de perturbation endocrinienne de la dioxine libérée par les tampons est l'endométriose, une maladie où les cellules endométriales de la muqueuse de l'utérus se développent de manière inappropriée à l'extérieur de l'utérus. Ils poussent sur les ovaires, à l'extérieur de l'utérus ou des trompes de Fallope ou ailleurs dans la cavité abdominale. La dioxine agit sur une enzyme qui augmente les niveaux d'oestrogène ainsi que ses effets sur l'endomètre. La croissance incontrôlée de l'endométriose peut causer des problèmes intestinaux car il étrangle les mouvements naturels l'intestin. Elle a également été liée à des problèmes de reproduction et d'infertilité en rendant l'imprégnation pratiquement impossible.

En plus du cancer et de l'endométriose, les perturbations de la croissance, des enzymes et des hormones causées par l'exposition à la dioxine ont été associées à des anomalies congénitales, à l'incapacité à porter une grossesse à terme, à la diminution de la fertilité, à la réduction du nombre de spermatozoïdes, au diabète, aux troubles de l'apprentissage, à la suppression du système immunitaire, aux problèmes pulmonaires, aux  maladies de la peau et à la réduction du niveau de testostérone.

LES FIBRES SYNTHETIQUES ET LEURS RESIDUS.
La présence de la dioxine n'est pas le seul danger pour la santé causé par les tampons Tampax. Les tampons produits dans le commerce utilisent les fibres de viscose synthétiques qui ont été associées à la fois aux syndrômes de chocs toxiques et aux maladies sexuellement transmissibles. Les chocs toxiques peuvent débuter par des symptômes grippaux tels que des nausées, des étourdissements, une forte fièvre, des vomissements et peuvent évoluer vers une insuffisance hépatique ou rénale, un choc complet du corps et enfin, la mort. Des études ont montré que les fibres synthétiques créent un environnement idéal pour la croissance des bactéries "Staphylococcus aureus" à l'origine du syndrome de choc toxique. Ces caractéristiques sont attribuées aux tampons au très haut pouvoir absorbant qui, par conséquent, laissent derrière eux, des quantités concentrées de protéines dont ces bactéries nuisibles ont besoin pour produire leur poison. En plus d'augmenter le risque de syndrome de choc toxique, les fibres synthétiques sont abrasives pour la paroi vaginale qui est très sensible. Les tampons Tampax sont insérés profondément dans le vagin avec un applicateur et s'étendent en longueur. Cela pousse le tampon contre la zone cervico-utérine, provoquant des micro-coupures et incrusant des fragments de tampon dans les tissus du col et la paroi vaginale (citrinibaum). En plus des coupures provoquées par le tampon lui-même, le retrait du tampon laisse aussi des fibres qui peuvent être à l'origine de futures ulcérations.

Ces ulcérations sont causées par la combinaison des substances chimiques du tampon et par la friction provoquée par son retrait. Les substances chimiques du tampon "rongent littéralement le tissus vaginal" (citrinibaum). Ces ulcérations augmentent les risques d'une femme de contracter une MST en créant une porte d'entrée vers le flux sanguin.  Pour aggraver les choses, le coton génétiquement modifié qui est utilisé aux USA pour les productions commerciales résiste aux effets des antibiotiques. Par conséquent, les femmes qui utilisent des tampons de coton OGM peuvent ne pas répondre aussi bien aux antibiotiques préscrits pour traiter les MST. 

TAMPAX, Arme de dépopulation massive! DE  MES PROPRES YEUX...
Lors de mes recherches, je suis tombée sur des documents traitant des fibres microscopiques et chimiques laissées dans leur sillage par les tampons et qui sont absorbées directement par les tissus adipeux et le flux sanguin  et sur les mini-expériences qui peuvent être réalisées chez soi pour les observer. J'ai essayé moi-même de placer un tampon dans un verre d'eau pendant 6 heures (la durée moyenne d'usage d'un tampon) pour faire le constat de mes propres yeux.

Lorsque j'ai retiré le tampon de l'eau, j'ai trouvé des centaines de minuscules particules blanches semblables à des fils fluorescents en suspension dans l'eau, certaines s'étaient déposées au fond du verre, d'autres rasaient les bords. 

Compte tenu de la quantité de particules qui étaient clairement visibles à l'œil nu, je peux seulement imaginer le volume de produits chimiques et de fibres microscopiques qui sont présentes dans le vagin et intégréés dans le tissu vaginal à chaque utilisation de tampon.


L'IMPACT ENVIRONEMENTAL 
Ce qui est dangereux pour notre corps est aussi nocif pour l'environnement et il est impossible d'examiner l'un sans l'autre. Les tampons Tampax affectent l'environnement, tant en termes de pollution chimique que dans les décharges de déchets. Par exemple, les problèmes d'épidémies dues à l'exposition aux dioxine sconcernent plus de 13 espèces de poissons dans la région des Grands Lacs. Parmi ces probblèmes, on compte celui de l'infertilité et de malformations à la naissance, les effets s'aggravant au cours des générations suivantes. En outre, parce que les matières premières des Tampax proviennent, en partie, de coton de culture conventionnelles, ils contribuent directement à la dispersion des toxines pulvérisées sur ces cultures et libérées dans l'environnement. Enfin, Les tampons Tampax sont tout simplement un fléau. Selon le bureau de consultance en matière de déchets Franklin & Associés, "6,5 milliards de tampons et 13,5 milliards de serviettes hygiéniques, en plus de leur emballage, ont fini dans des décharges ou des systèmes d'égout en 1998 ... Et selon le Centre pour la Conservation Marine, plus de 170.000 applicateurs de tampon ont été collectés le long des zones côtières américaines entre 1998 et 1999. Maintenant que j'en sais plus, je peux faire mieux.

Partie III
Des alternatives plus sûres.  Beaucoup, beaucoup plus sûres!

POUR L'INDUSTRIE

Même si apporter des changements est difficile pour l'industrie, en matière de tampons, ce n'est pas impossible. La voix des consommateurs a déjà contraint le Sénat Américain à faire passer des lois relatives à la sécurité, par le passé. Bien que la production de masse n'est pas prête de s'arrêter, il existe des méthodes de traitement beaucoup plus sûr. Retourner à des tampons 100% en coton permettrait de réduire les risques associés aux fibres synthétiques et il existe un procédé de blanchiment sans dioxine disponible pour les productions de masse. Intégralement sans agents de blanchiment ni composants chlorés, réduisant ainsi la dispersion de produits chimiques dangereux dans l'environnement et les résidus chimiques dans le produit-même. Leurs produits blanchissants ne produisent pas de dioxine, de chloroforme ou d'acide chlorhydrique, ce qui réduit la pollution biologique  et chimiques des eaux. Leur méthode de blanchissement utilise des substances relativement inoffensives tels que l'oxygène, l'ozone et le peroxyde d'hydrogène, ce qui réduit considérablement les rejets toxiques totale dans l'environnement.

POUR LES UTILISATRICES. 

Il existe plusieurs options très valables pour les femmes. Ces options ne sont pas seulement plus sûr pour notre propre santé, mais aussi pour la prise en compte de la santé de notre planète. Les  solutions alternatives sont disponibles à l'achat sur internet et dans la plupart des magasins d'alimentation naturelle. Elles comprennent le passage des tampons conventionnels aux tampons bio, aux éponges de mer naturelles, aux serviettes réutilisables respectueuses de l'environnement et les coupelles menstruelles. 

LES TAMPONS 100% BIO.
Les tampons 100% bio sont fabriqués à partir de coton certifié sans OGM. Ils ne continennent ni colorants irritants, ni parfum, et ne comportent pas les risques liés aux fibres synthétiques. Choisir le coton bio et sans chlore réduit les quantités de toxines dangereuses dispersées dans l'environnement ainsi que la pollution par les pesticides et produits chlorés tout en les tenant à l'écart de notre corps. 
Ces tampons s'utilisent exactement de la même manière que les tampons conventionnels avec divers degré d'absorbtion, avec ou sans applicateur. Il est recommandé d'utiliser le taux d'absorbtion le plus bas pour éviter les risques de syndrômes de choc toxiques. Les tampons bio ne sont que légèrement plus chers que les tampons conventionnels.


http://lafilleducapitaine.revolublog.com/tampax-arme-de-depopulation-massive-a93962217

 

20 juillet 2013

La preuve du paradis, Dans le comas le Voyage d'un neurochirurgien dans l'après-vie

CANALBLOG

Eben Alexander, neurochirurgien à l'esprit rationnel, nous en donne la preuve, après avoir vécu une NDE (expérience de mort imminente). Cet homme de 52 ans atteste de l'existence du Paradis dans ce livre témoignage, aussi extraordinaire que bouleversant. L'auteur nous invite à partager son voyage dans une autre dimension, là où il a rencontré des êtres de lumière, très différents de tout ce que l'on peut connaître sur notre planète...

"La preuve du paradis, Voyage d'un neurochirurgien dans l'après-vie"... est un récit dont l'authenticité a été reconnue par le Dr Raymond Moody, spécialiste renommé de l'au-delà.

 Odyssée dans l'au-delà

Du trajet entre sa maison, où il a perdu connaissance, jusqu’à l’hôpital, le Dr Alexander a tout oublié. Son premier souvenir, alors qu’il est dans le coma, se rapporte à des sensations visuelles et auditives : « L’obscurité, mais une obscurité visible, comme être pris dans la boue tout en étant capable de voir à travers ;[...] entourés d’objets comme des racines, ou des vaisseaux sanguins [...]. Entendant seulement un son, irritant, mécanique, répétitif. » A ce moment-là, il se sent à la fois immergé dans ce monde flou et vaguement conscient :

« Je suis conscient, mais sans mémoire ni identité. Cette conscience est très limitée, elle n’est pas humaine, pas même animale. Simplement un point de conscience. »

Avec le recul, le Dr Alexander se souvient que cet état avait l’air d’être hors du temps, qui lui a semblé durer « des éons » : « Je n’avais pas du tout la mémoire d’avoir été Eben Alexander, ni d’avoir eu des attributs humains. J’étais juste une tâche de conscience. Et même si je n’avais pas de mots, j’ai quand même commencé à expérimenter une sorte de questionnement : qui ? quoi ? où ? » C’est alors qu’apparaît une chose qui, en tournant lentement, irradie

« de fins filaments de lumière blanche et dorée ».

La vision se conjugue avec « une mélodie absolument parfaite, un son vivant, comparable au morceau de musique le plus beau, le plus riche, et le plus complexe que j’aie jamais entendu ». Sur certains mots qui illustrent une importante qualité de l’expérience, la voix d’Eben Alexander se fait plus intense. « Et comme cette lumière magnifique s’approchait de moi, poursuit-il, elle a ouvert une déchirure dans l’environnement boueux juste devant moi. Très vite, j’ai été tiré au travers de cette ouverture lumineuse, vers le haut dans un monde complètement différent, où je volais au-dessus d’une vallée verdoyante et absolument magnifique. A côté de moi se trouvait une belle jeune fille aux yeux bleus pétillants et au sourire le plus aimable qu’on puisse imaginer. Elle m’a lancé un regard d’un amour indicible, et m’a dit : « Tu es aimé et chéri pour toujours. Il n’y a rien que tu doives craindre. Il n’y a rien que tu puisses faire mal ici. » Tout cela sans mots, l’essentiel de son message pénétrant directement mon être. »

Puis vient une autre phase de l’expérience « Il y a eu comme une chaude brise divine. Cela a tout changé, élevant le monde autour de moi encore une octave au-dessus, à une plus haute vibration. Même si je n’avais pas pleinement la fonction du langage, j’ai commencé à poser des questions à cette brise, et aussi à la présence divine que je sentais derrière (ou dedans).

Où est cet endroit ? Qui suis-je ? Pourquoi suis-je ici ?

A chaque fois que je posais une question, la réponse venait instantanément, dans une explosion de lumière, de couleurs, d’amour et de beauté qui me balayait comme une vague. Les pensées pénétraient en moi directement, pas comme nous l’expérimentons sur terre. Et comme je les recevais, j’étais capable de comprendre instantanément et sans effort des concepts que dans ma vie terrestre, j’aurais mis des années à comprendre. » Présence centrale de l’amour, existence du mal comme conséquence du libre-arbitre, multiplicité des univers et des dimensions… Les connaissances transmises sont multiples. « Il me faudra le reste de ma vie, et plus encore, pour redécouvrir ce que j’ai appris là-haut », écrit-il dans son livre.

Source :  inrees

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17 juillet 2013

Discrédit scientifique sans appel contre l’homoparentalité .

homoparentalite_france

« Le lobby homoparental s’appuie sur des études qui, dans leur quasi-totalité, ne sont que pseudo-scientifiques. L’intoxication est suffisamment bien faite pour que tout le monde soit convaincu que ces études prouvent que les enfants élevés par les parents homosexuels vont bien. Pourtant, il suffit de se donner la peine de vérifier la nature des travaux cités pour comprendre leurs faiblesses méthodologiques et leurs biais de recrutement des groupes étudiés [1]». L’auteur de cette charge sans concessions ne saurait laisser nos responsables politiques indifférents au moment où ils s’apprêtent à ouvrir l’adoption, voire l’assistance médicale à la procréation, aux personnes homosexuelles. Maurice Berger est en effet professeur de psychopathologie de l’enfant, chef de service de psychiatrie de l’enfant au CHU de Saint-Etienne et membre de plusieurs commissions interministérielles concernant la protection de l’enfance.

Pour le professeur Berger, « le lobby homoparental utilise une méthode simple, le bluff », tant il « est difficile d’imaginer moins d’objectivité » dans les publications existantes. « No difference ». Telle est la sempiternelle conclusion de l’ensemble des travaux comparant l’épanouissement psychique des enfants issus de couples homosexuels et hétérosexuels. Or, la quasi-totalité ne relève pas de méthodes scientifiques rigoureuses. Aspect clairement militant se fondant sur la parole des « parents » – la plupart du temps volontaires et non tirés au sort, recrutés par les lobbies homosexuels –, absence de groupe de comparaison, défaut d’appareillage entre le groupe étudié et le groupe témoin quand il existe, comparaison avec des enfants issus de couples hétérosexuels mais élevés dans des familles recomposées ou monoparentales, effectifs insuffisants,… Bref, des travaux qui collectionnent des défauts méthodologiques si grossiers qu’ils auraient dû être recalés par n’importe quel comité de lecture digne de ce nom.

Mais il n’y a pas que le caractère erroné des travaux brandis par les lobbies à verser dans le dossier à charge contre l’homoparentalité. Une étude parue au début de l’été remet radicalement en cause la ligne officielle qui prévaut jusqu’ici accréditant la thèse selon laquelle il n’y aurait aucune différence en terme de santé mentale entre les enfants élevés par des couples homosexuels et ceux qui le sont par des parents hétérosexuels[2].

Les recherches du professeur Mark Regnerus de l’Université du Texas tordent le cou à ce discours convenu en s’appuyant sur l’examen de 3000 enfants devenus adultes éduqués au sein de 8 structures familiales différentes à partir de 40 critères sociaux et émotionnels[3]. Les résultats les plus positifs concernent les adultes provenant de familles « traditionnelles » qui se disent plus heureux, sont en meilleure santé mentale et physique et consomment moins de drogues que les autres.

A l’inverse, les enfants élevés par des lesbiennes sont les plus mal lotis avec une augmentation statistique inquiétante des dépressions dans leur groupe. Les adultes  interrogés disent également avoir été plus souvent victimes d’abus sexuels (23% contre 2% chez les enfants issus de couples hétérosexuels mariés) et souffrent plus de précarité économique (69% dépendent de prestations sociales pour 17% de ceux élevés par leurs père et mère)[4].

Pourquoi une telle divergence dans les résultats de ces études de psychologie comportementale ? L’explication tient à la qualité de la démarche de Regnerus qui jette indirectement une lumière crue sur les erreurs méthodologiques des précédentes études. Le professeur texan a pris soin d’effectuer son enquête sur une large cohorte d’adultes contrairement aux anciennes études portant sur des échantillons ridiculement faibles[5]. Par ailleurs, Regnerus s’appuie sur les réponses des enfants eux-mêmes devenus adultes et non sur celles données par les « parents ».

Après analyse de l’ensemble des réponses, la conclusion du professeur Mark Regnerus est imparable : le modèle familial reposant sur l’ « union conjugale stable du père et de la mère biologique » – lequel ressemble de plus en plus à une « espèce menacée » (« like an endangered species ») ajoute-t-il avec un brin de malice –, demeure « l’environnement le plus sécurisé pour le développement de l’enfant »[6]. Toute autre combinaison, selon l’universitaire américain, porte préjudice à moyen et long terme à l’équilibre émotionnel de l’enfant, quelles que soient par ailleurs les qualités humaines et éducatives des homosexuels que personne ne conteste. S’engager dans cette voie reviendrait en effet à heurter de front le principe reconnu par la Convention internationale de l’ONU sur les droits de l’enfant selon lequel l’intérêt supérieur de celui-ci, partie la plus faible et sans défense, doit toujours passer avant toute autre considération.

Cette publication – qui confirme le bien-fondé de la structure éthique et anthropologique de l’alliance conjugale entre un homme et une femme pour assurer le plein développement du petit d’homme –  ne saurait être plus longtemps passée sous silence alors que le gouvernement s’obstine à vouloir ouvrir le mariage et l’adoption aux couples homosexuels. Quant aux autres travaux jusqu’ici mis en avant, le professeur Berger enfonce le clou : « La vraie audace de la part du gouvernement n’est pas de soutenir un tel projet de loi, non, ce serait de ne pas avoir peur d’aller vérifier ce qu’il en est réellement, de donner une place au savoir face à l’intimidation et aux études biaisées, et de décider dans un climat plus apaisé. Pourquoi le lobby homoparental ne demande-t-il pas que cette démarche soit entreprise, s’il n’y a rien à cacher ? ». La tenue d’un débat digne de ce nom ne permettrait-elle pas de faire la lumière sur un projet de loi où l’improvisation le dispute à la précipitation ? Dans cette affaire, qui se préoccupe du bien des enfants ? » (source : libertepolitique.com)

[1] Maurice Berger, « Homoparentalité : intimidation et études douteuses », Débats et opinions, Le Figaro, 3 octobre 2012.

[2] Pierre-Olivier Arduin, « L’homoparentalité discréditée », La Nef, septembre 2012.

[3] Mark Regnerus, “How different are the adult children of parents who have same-sex relationships? Findings from the New Family Structures Study”, Social Science Research 41 (2012), 752-770.

[4] Wendy Wright et Lisa Correnti, « L’homoparentalité n’est pas l’égale de la parenté fondée sur le mariage hétérosexuel », www.c-fam.org, 15 juin 2012.

[5] Xavier Lacroix, « Homoparentalité », Lexique des termes ambigus et controversés sur la famille, la vie et les questions éthiques, Conseil pontifical pour la famille, Téqui, p. 595-609.

[6] « The biologically-intact, stable nuclear family (biological mother and father and their marital stability) remains the most secure environment for child development » in Mark Regnerus, “Response to Paul Amato, David Eggebeen and Cynthia Osborne”, Social Science Research 41 (2012) 786-787.

http://enfantsjustice.wordpress.com/2012/10/14/discredit-scientifique-sans-appel-contre-lhomoparentalite-1-quart-23-des-enfants-abuses-sexuellement/

 

Personnellement que des homos lesbiennes veulent se marier pour avoir les mêmes droits que les autres cela me parait normal on est tous égaux en droit ,mais toutefois à mes yeux les droits de l'enfant sont supérieurs, et comme personne ne lui demande son avis son intérêt supérieur n'est plus défendu, et là sa pause un grave problème l'enfant doit être défendu ainsi que son intérêt supérieur.

17 juillet 2013

Les OGM peuvent activer des gènes provoquant le cancer, ou affaiblir notre système immunitaire.

ogm2b

De nouvelles études en recherche cellulaire soulèvent de nouvelles questions alarmantes concernant les OGM, et l’une d’elles en particulier fait ressembler l'insuffisance hépatique ou le cancer à un jeu d’enfant comparée aux choquantes possibilités soulevées si nous commençons à analyser la manière dont les aliments génétiquement modifiés peuvent altérer notre ADN.

 

D’abord, mettons les choses au clair. Toutes sortes de choses peuvent altérer notre ADN, pour le meilleur ou pour le pire. Bruce Lipton, un scientifique pionnier en biologie, a prouvé que les émotions peuvent altérer l’ADN; la recherche a montré que même l’exercice ou la chimiothérapie peuvent altérer notre ADN. ; les anciennes cultures savaient que le son peut affecter notre ADN, et les recherches les plus récentes déclarent que nous ne sommes pas condamnés à un destin spécifique par nos gènes, mais il semble que nos cerveaux soient reprogrammés via l’ADN pour devenir des humains nouveaux.

 

Notre ADN contient deux brins de nucléotides qui lui donnent sa structure en escalier. Chaque nucléotide contient une des quatre bases (adénine, thymine, guanine, cytosine), une molécule formée par un groupe phosphate et un sucre. Les bases contiennent de l'azote, reliée de manière très spécifique. La façon dont les quatre bases vont se connecter pour une espèce donnée sera très différente de celle qui s'organise dans une autre espèce.

 

En fait, un OGM à double hélice d'ARN (ARNd) créé par Monsanto peut censément désactiver certains signaux génétiques et en activer d’autres. Habituellement, en insérant un gène de Roundup Ready dans une plante, il faut une protéine qui peut fabriquer une plante Roundup Ready pouvant résister au Roundup et continuer à grandir. Le nouveau ARNd peut survivre sans synthèse de protéine. Ce qui permet au dARN de modifier les gènes.

 

Chez des souris nourries avec cet ARNd, le foie a complètement changé son organisation cellulaire, et les souris se sont développées bizarrement. On a trouvé cette même désorganisation quand ces ARNd ont été ajoutés à des cellules humaines. On suppose que cette alimentation avec OGM peut activer des gènes provoquant le cancer, ou affaiblir notre système immunitaire. Dans un contexte différent, le blé que nous consommons est tellement différent d'un blé biologique qu'il nous rend "accro". Certains nomment cela du bioterrorisme pour cette raison.

 

Les plantes alimentaires OGM fabriquent ces nouveaux ARNd pour faire taire ou amplifier la structure génétique de manière très spécifique. La FDA (Food and Drug Administration = organisme américain de contrôle des produits alimentaires et pharmaceutiques) n'a pas fait d’évaluation sur ces ARNd et la manière dont ils vont affecter nos gènes, et Monsanto travaille sur la technologie ARNd, en rachetant des compagnies qui l'utilisent pour l'introduire en tant que prochaine série d’aliments OGM à nous balancer contre notre gré.

 

Des chercheurs d'Australie et de Nouvelle Zélande dévoilent ce problème. Une simple inhalation des pulvérisations d'OGM peut changer la manière dont nos corps produisent l’ADN et les protéines associées. Le plus effrayant est le fait que cet ARNd peut se transmettre à la descendance de ceux qui y sont exposés. Au Canada, une nouvelle recherche montre que le sang de femmes enceintes contenait des traces des toxines trouvées dans des produits alimentaires OGM. Qui sait quelles seront les conséquences à long terme du bricolage de notre structure génétique, mais elles ne peuvent pas être prometteuses étant données les performances archivées jusqu'à aujourd'hui de Monsanto.

 

"Découvrir que des toxines génétiquement modifiées et aussi des résidus d’herbicides sont absorbés dans le sang de consommateurs et par des fœtus, montre qu'une alimentation biologique et sans OGM devrait être le premier choix pour les familles et surtout pour les femmes enceintes", a dit Steffan Browning, porte parole de "Terre et Santé – Le Bio".

 

Il y a des projets d'introduction de cet ARNd dans l’alimentation, les médicaments, les vaccins et les épandages de pesticides. A moins de vouloir jouer au jeu de "attendre et voir" avec votre évolution génétique personnelle, il serait temps de passer au tout biologique jusqu’à ce qu’il y ait davantage d’informations données sur le sujet des OGM et de l’altération de l’ADN.

 

Source

 

http://worldtruth.tv/is-gmo-rewiring-our-dna/

 

Traduit par le BBB.

http://bistrobarblog.blogspot.be/2013/07/ogm-et-adn.html


Lepage : "Tout est organisé pour qu'il n'y ait... par LeNouvelObservateur

16 juillet 2013

BIG BROTHER : Barack Obama a annoncé que les USA financeront dès 2014 le projet Brain

 

Brain-waves

A quelles découvertes s'attendre si nous parvenons à craquer un jour le code de notre cerveau ? Barack Obama a annoncé que le gouvernement américain financera dès 2014 le projet Brain, à hauteur de 100 millions de dollars, pour réaliser une cartographie de notre cerveau. Ce projet fait concurrence au programme européen Humain Brain Project. Terra incognita Publié le 28 avril 2013 - Mis à jour le 30 avril 2013 RSS 0 152 14 0 199 Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Crédit Reuters Atlantico : Le récent projet européen Humain Brain Project a l’ambition de comprendre le cerveau humain. Ce programme durera dix ans et regroupe 80 laboratoires dans 16 pays. Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Alain Destexte : Ce projet européen a pour but d’avancer le plus loin possible vers la représentation du cerveau humain.

Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère...

Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité.

Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement.

Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux.

Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/quelles-decouvertes-attendre-parvenons-craquer-jour-code-notre-cerveau-alain-destexhe-709930.html#TXa6QYjWsWF7m5w8.99

A quelles découvertes s'attendre si nous parvenons à craquer un jour le code de notre cerveau ? Barack Obama a annoncé que le gouvernement américain financera dès 2014 le projet Brain, à hauteur de 100 millions de dollars, pour réaliser une cartographie de notre cerveau. Ce projet fait concurrence au programme européen Humain Brain Project. Terra incognita Publié le 28 avril 2013 - Mis à jour le 30 avril 2013 RSS 0 152 14 0 199 Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Crédit Reuters Atlantico : Le récent projet européen Humain Brain Project a l’ambition de comprendre le cerveau humain. Ce programme durera dix ans et regroupe 80 laboratoires dans 16 pays. Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Alain Destexte : Ce projet européen a pour but d’avancer le plus loin possible vers la représentation du cerveau humain. Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. 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C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. 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Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux. Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux. Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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A quelles découvertes s'attendre si nous parvenons à craquer un jour le code de notre cerveau ? Barack Obama a annoncé que le gouvernement américain financera dès 2014 le projet Brain, à hauteur de 100 millions de dollars, pour réaliser une cartographie de notre cerveau. Ce projet fait concurrence au programme européen Humain Brain Project. Terra incognita Publié le 28 avril 2013 - Mis à jour le 30 avril 2013 RSS 0 152 14 0 199 Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Crédit Reuters Atlantico : Le récent projet européen Humain Brain Project a l’ambition de comprendre le cerveau humain. Ce programme durera dix ans et regroupe 80 laboratoires dans 16 pays. Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Alain Destexte : Ce projet européen a pour but d’avancer le plus loin possible vers la représentation du cerveau humain. Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux. Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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A quelles découvertes s'attendre si nous parvenons à craquer un jour le code de notre cerveau ? Barack Obama a annoncé que le gouvernement américain financera dès 2014 le projet Brain, à hauteur de 100 millions de dollars, pour réaliser une cartographie de notre cerveau. Ce projet fait concurrence au programme européen Humain Brain Project. Terra incognita Publié le 28 avril 2013 - Mis à jour le 30 avril 2013 RSS 0 152 14 0 198 Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Crédit Reuters Atlantico : Le récent projet européen Humain Brain Project a l’ambition de comprendre le cerveau humain. Ce programme durera dix ans et regroupe 80 laboratoires dans 16 pays. Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Alain Destexte : Ce projet européen a pour but d’avancer le plus loin possible vers la représentation du cerveau humain. Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux. Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/quelles-decouvertes-attendre-parvenons-craquer-jour-code-notre-cerveau-alain-destexhe-709930.html#TXa6QYjWsWF7m5w8.99
14 juillet 2013

La mystérieuse "Zone du Silence" Mexicaine

 

zonadelsilencio-durango

Il existe de nombreux "sites maudits" à la surface de notre planète. Certains endroits sont le lieu de perturbations gravitationnelles ou atmosphériques qui restent encore inexpliquées par la science du 21ème siècle. Ces zones d'anomalies possèdent des propriétés qui interfèrent sporadiquement avec les humains et leurs équipements. Une région qui mérite mention entoure l'île d'Elbe en méditerranée (célèbre pour le premier lieu d'exil de Napoléon), et elle est très redoutée par l'aviation ; un autre endroit est le Mt Stredohori en Tchécoslovaquie, où une force inconnue fait s'arrêter le moteur des voitures sur un tronçon de 23 mètres de route. 


Pourtant, pas besoin de voyager si loin (l'article est américain, NdT) pour rencontrer une partie du monde encore plus déconcertante, bien que toujours inconnue de la plupart des gens : la mystérieuse et magique zona del silencio – la Zone du Silence, à seulement 250 km de El Paso, Texas. Les déserts sont souvent considérés suffisamment mystérieux sans y ajouter l'étrangeté offerte par ce territoire peu éloigné de El Paso. C'est un endroit qui engloutit les signaux radio et TV et qu'on a récemment associé au phénomène OVNI.

Localisation de la Zone du Silence



Des siècles de mystère


Selon le Dr Santiago Garcia, c'est dès la seconde moitié du 19ème siècle qu'on a pris conscience des propriétés inhabituelles de la zone, lorsque des fermiers qui gagnaient tout juste de quoi vivre dans cet environnement menaçant se rendirent compte que des "cailloux chauds" (= petites météorites) tombaient régulièrement d'un ciel sans nuages. Dans les années 30, Francisco Sarabia, un aviateur de l'état mexicain du nord de Coahuila, a rapporté que sa radio avait mystérieusement cessé de fonctionner, lui valant la distinction d'être la première victime de la Zone du Silence.



Ce ne fut néanmoins qu'en 1970 que la zone fut connue du public quand un missile américain, un Athéna, lancé depuis la base de missiles de White Sands (https://fr.wikipedia.org/wiki/White_Sands) changea inexplicablement de trajectoire, en se dirigeant vers la Zone du Silence, où finalement il s'écrasa. Quelques années plus tard, l'étage supérieur d'une fusée Saturn utilisée dans le projet Apollo se désintégra au-dessus de cette même zone. L'armée américaine envoya une équipe dans la région pour enquêter sur ses étonnantes propriétés naturelles.



L'ingénieur Harry de la Pena fut le premier étranger à découvrir la zone et ses déconcertantes propriétés d'interférence radio. Des humains habitent ce désert de broussailles et de cactus depuis l'époque préhistorique, dès le rassemblement d'une tribu indigène inconnue autour d'un point d'eau qui existe toujours. Les communautés de Ceballos et Durango, à quelques 15 km de là, sont les plus proches de la zone et point de départ de toute aventure vers son atmosphère irréelle. Le visiteur trouvera de vastes étendues de terres plates, ponctuées de buissons épineux et infesté de serpents venimeux. À cet égard, pas de différence avec les autres déserts.



Pena et son groupe prirent conscience du "silence" en découvrant qu'il était impossible de communiquer entre eux à l'aide de leurs talkies-walkies : les ondes radio n'étaient pas transmises à la vitesse et à la fréquence habituelles. Les radios portatives n'émettaient qu'un très faible chuchotement même à plein volume. Encore aujourd'hui, les signaux de télévision ne peuvent être réceptionnés à Ceballos ou dans les ranchs voisins. Une force magnétique, capable de faire obstacle aux ondes radio, semble exister dans la région.


Depuis cette première visite de l'ingénieur, des scientifiques du monde entier ont visité la zone, affluant en masse vers l'installation de recherche érigée par le gouvernement mexicain en plein cœur du site mystérieux. Le nom de la zone quelque peu de mauvais augure a été changé, on la nomme maintenant Mar de Tetys – Mer de Thétis, dû au fait qu'elle était recouverte d'eau il y a des millions d'années – et le laboratoire de recherche a été surnommé la "biosphère".


Assez curieusement, la zone se situe juste au nord du Tropique du Cancer et au sud du 30ème parallèle, ce qui lui fait rejoindre d'autres anomalies planétaires comme le Triangle des Bermudes . Des OVNI et la présence de vie non-humaine ont été attestés dans cette région anormale. Il y a encore quelques années, certaines personnes encore en vie dans les premières décennies du 20ème siècle pouvaient se souvenir de rencontres avec des créatures supposées extra-terrestres.

Photo trouvée sur le forum ATS


Rencontres rapprochées


Le 13 octobre 1975, Ernesto et Josefina Diaz, un couple entreprenant, étaient venus dans la zone dans un pickup Ford neuf pour ramasser des roches et des fossiles originaux qu'on y trouve en abondance. Pendant qu'ils s'affairaient, ils remarquèrent qu'un gros orage de désert se dirigeait vers eux. Espérant éviter de se retrouver pris dans une inondation subite, ils chargèrent avec sagesse leur véhicule et se dépêchèrent de partir, mais pas assez vite pour éviter l'implacable pluie : la piste devant eux se transforma en marécage : le pickup fut rapidement bloqué et commença à s'enliser dans la terre ramollie.
Pendant que le couple bagarrait pour empêcher le véhicule d'être submergé par la boue, deux personnages s'approchèrent d'eux, leur faisant un signe de la main pendant que la pluie tombait à torrent. Deux hommes extrêmement grands avec des vêtements de pluie et un chapeau jaunes, aux traits inhabituels sans être alarmants, offrirent leur aide pour les remettre sur la route. Les hommes donnèrent comme instructions au couple complètement trempé de retourner dans le pickup pendant qu'ils pousseraient. Avant que le couple ne le réalise, leur véhicule était sorti de l'ornière et se retrouvait sur le sol ferme.


Quand le mari sortit de nouveau du pickup pour remercier les deux hommes, il réalisa qu'ils étaient partis. Il n'y avait ni traces de pas visibles ni endroit particulier qui auraient pu les dissimuler pendant leur départ.


Des voyageurs traversant la zone régulièrement rapportent avoir vu la nuit d'étranges lumières ou des boules de feu, qui changeaient de couleur, suspendues immobiles et ensuite disparaissant à grande vitesse. Deux éleveurs revenant d'une fête furent témoins d'une lumière scintillante qui descendrait en flottant du ciel sombre d'où sortirent des occupants humanoïdes, qui brillaient de la même étrange lumière et marchaient dans leur direction. Les éleveurs prirent leurs jambes à leur cou.


Des traces physiques de ces visites nocturnes sont visibles. Un témoin retourna un matin sur le site où il avait vu les mystérieuses lumières caracoler la nuit précédente et découvrit que la végétation de broussailles "avaient été comme incendiée". Des douzaines de compte-rendus semblables proviennent de la zone, racontés par des témoins fiables.


Le Dr Santiago Garcia, qui a consacré une bonne partie de sa vie à enquêter sur cette région anormale, a supposé que certaines lumières vues par des habitants pouvaient bien provenir d'un véhicule maraudeur laissé par l'armée US, dont les cellules solaires se rechargeaient la journée et qui menait des missions furtives à la faveur de l'obscurité. Garcia souligne que lorsque l'Air Force est venu récupérer les débris du missile Athéna, ils ont emporté avec eux plusieurs camions de sable du désert pour analyse. Il existe une croyance répandue que d'immenses dépôts de magnétite existent dans la zone, et que ce minerai de fer est responsable de l'affaiblissement des ondes électromagnétiques. Il a également été prouvé que des dépôts considérables d'uranium existent dans la chaîne montagneuse en bordure de la Zone du Silence. En 1976, un visiteur a pris la première photo d'un OVNI ayant atterri près d'un emplacement topographique connu sous le nom de "Colline Magnétique" par les habitants du lieu. Les photos montrent clairement un objet argenté brillant ressemblant à une marmite. Le photographe chanceux put prendre d'autres photos de l'OVNI pendant qu'il s'élevait en grondant, disparaissant vers l'ouest. 


Pourtant tous les visiteurs "extraterrestres" n'ont pas été aussi insaisissables. Le personnel d'un petit ranch a été visité régulièrement par trois visiteurs de grande taille, aux longs cheveux blonds – deux hommes et une femme – qu'on a décrit comme étant polis à l'excès, extrêmement beaux et habillés "d'une drôle de façon". Ils s'exprimaient dans un espagnol sans défaut et musical.


Le but de ces visites était d'obtenir de l'eau d'un des puits du ranch : les "amusants" visiteurs demandaient à leurs hôtes de bien vouloir remplir leur bidons d'eau, ne demandant jamais de nourriture ou quoi que ce soit d'autre. Quand on leur demandait d'où ils venaient, les visiteurs se contentaient de sourire et de dire "d'au-dessus". Ces visiteurs pourraient-ils être les types "nordiques" dont parlent les ufologues ? Un chercheur espagnol, Antonio Ribera, a décrit des "Blonds" semblables opérer dans le voisinage de Rosellon, en Catalogne, qui ne faisaient que demander du pain et du lait, payant leurs hôtes humains avec des pépites d'or. Des "Nordiques" aux cheveux presque blancs ont été rapportés dans la Sierra Nevada, en Californie, où ils descendaient de temps à autre faire du troc avec les citadins. Il existe une connexion de ce genre entre certains déserts énigmatiques et ces créatures à l'apparence angélique.


Une expériences vécue dans la Zone du Silence n'est pas près d'être oubliée et le journaliste Luis Ramirez Reyes n'oubliera sûrement pas la sienne. Pendant le mois de novembre 1978, Ramirez se rendit dans la zone avec une équipe d'information assignée à "couvrir" l'histoire du bizarre site. 


Ayant choisi de partir avant le gros de l'équipe, Ramirez et son photographe partirent dans le désert, naviguant par intuition plus que par une connaissance solide de leur destination finale : la "biosphère" construite par le gouvernement mexicain, laboratoire destiné à enquêter sur les formes biologiques inhabituelles de vie découvertes dans la région et à mener des recherches psychiques.

Photo d'ATS : la biosphère ?


Encore éloignés de leur but en raison de leur impulsion imprudente à se diriger dans le désert, Ramirez devint douloureusement conscient qu'ils manquaient d'eau ou des provisions nécessaires pour survivre dans cet environnement hostile si malheureusement ils se perdaient. En arrivant à une intersection en "Y" de routes en terre, ils avaient choisi la mauvaise direction.


Il remarqua soudain qu'il y avait trois personnages marchant devant eux, venant dans leur direction. Espérant que ces habitants locaux pourraient leur indiquer la direction de la biosphère, le journaliste dit à son compagnon, qui faisait le chauffeur, de ralentir pour leur parler. Il fut abasourdi quand le conducteur les dépassa, comme s'il ne les voyait pas.


Ramirez commença à se demander si le désert ne lui jouait pas des tours. Le trio se composait de gens ordinaires, vêtus du costume habituellement porté par les habitants de cette partie du pays. En continuant leur voyage, il eut de nouveau un choc en se retrouvant face à eux – dans une autre partie du désert ! En ordonnant avec rudesse au photographe (qui ne voyait personne) d'arrêter le véhicule, Ramirez tenta sa chance de parler avec les trois locaux. Il leur demanda s'ils avaient vu un autre véhicule comme le leur dans le secteur. Ils répondirent que non, mais que s'ils continuaient leur route en traversant le terrain rocheux désertique de la "Mer de Thétys", ils atteindraient la biosphère. Les trois locaux prétendaient être sortis chercher des animaux perdus leur appartenant, mais ils n'avaient ni bouteilles d'eau ou autre matériel indiquant qu'ils pouvaient survivre dans un territoire hostile. 


Après avoir accompli leur périple, les deux hommes furent soulagés de découvrir dans le lointain le bâtiment de la biosphère. À leur arrivée et après avoir fait connaissance avec l'équipe, ils discutèrent avec Harry de la Pena de leur rencontre bizarre dans le désert. D'un ton très sérieux, Pena leur dit qu'il n'y avait personne d'autre dans le désert que l'équipe de la biosphère et certainement aucun groupe de paysans. Un survol aérien les jours suivants convainquit l'enquêteur de la profonde désolation de la région s'étendant sur des centaines de km². Mais si ce n'était pas des personnes, qu'étaient-ils ? 


Les visiteurs "nordiques" et autres humanoïdes ne sont pas le seul genre rapporté dans la région. On a observé des êtres bizarrement vêtus de quelques dizaines de centimètres de haut. Ruben Lopez, traversant la zone en camion de nuit pour aller voir un parent à Ceballos, remarqua que le moteur de son véhicule commençait à cafouiller. Cela finit par le tracasser car il avait fait réviser récemment le camion. Il devint tout à coup conscient de trois petits personnages qui se tenaient au bord de la route à quelques dizaines de mètres devant. Lopez pensa d'abord que c'étaient des enfants qui s'étaient perdus, jusqu'à ce qu'il remarque qu'ils portaient des tenues argentées inhabituelles d'une seule pièce.


La tête des petits êtres était recouverte d'un casque ressemblant à ceux utilisés par les joueurs de football (football américain, bien sûr). À travers l'ouverture frontale du casque, Lopez pouvait dire qu'ils avaient des visages d'adultes. Ils s'approchèrent avec curiosité de la cabine du camion, emplissant le chauffeur d'une réelle crainte : Lopez mit en route le moteur au point mort, ce qui entraîna l'éparpillement des nains dans l'obscurité du désert. Le camion continua à fonctionner normalement après la disparition des créatures.

Une énigme archéologique

Les ruines extrêmement anciennes de la Zone du Silence posent une autre inquiétante énigme. Les archéologues ont été incapables de déterminer leur âge, mais elles représentent sans aucun doute un observatoire astronomique vieux de milliers d'années. Il n'y a pas de lien entre ce Stonehenge mexicain et les tribus primitives qui se sont regroupées autour du point d'eau qui constitue l'oasis de cette région aride. À un certain moment de l'antiquité, des gens étaient très actifs dans la Zone.



Peut-être étaient-ils intéressés, comme le sont les astronomes et géologues modernes par le grand nombre de petites météorites attirées par les propriétés magnétiques de la Zone.


Une météorite qui s'écrasa à Chihuahua à la fin des années 50 contenait des structures cristallines qui dépassait de loin l'âge du système solaire. Le chercheur Luis Maeda Villalobos conclut que la météorite contenait du "matériel aussi vieux que l'univers" : notre système solaire est vieux de 6 milliards d'années, alors que l'âge de la météorite a été estimé à 13 milliards d'années.


Que nous ayons affaire à des OVNI, des visiteurs d'autres dimensions qui pensent que les aberrations magnétiques facilitent leurs voyages, ou simplement à une partie mal comprise de notre monde aux propriétés non soupçonnées, aucune réponse aisée ne s'applique à l'énigme posée par la Zone du Silence. Les bâtisseurs des mystérieuses ruines de l'observatoire auraient probablement été d'accord.


Source
Traduit par le BBB.BistroBarBlog

 

30 mai 2011

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