Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
Le sang se compose de plusieurs éléments, on distingue notamment les cellules sanguines (globules rouges et blancs et plaquettes) du plasma, la partie liquide du sang, composé de 90 % d'eau et de 10 % de protéines, de sels, d'hormones et de substances lipoprotéiques.
Parmi les protéines du plasma, l’albumine permet de transporter divers composants du sang et de maintenir la pression dans les vaisseaux grâce à son pouvoir osmotique qui maintient l’eau à l’intérieur. Elle est utilisée en médecine humaine pour le traitement des grands brulés, des malades du foie et des hémorragies et la fabrication de vaccin ou de certains médicaments. Comme pour les globules rouges, la principale source d’albumine reste le don de sang, avec tous les problèmes de collecte et de gestion des stocks que cela entraine.
Dans les Proceedings of the National Academy of Sciences, une équipe Chinoise présente une solution à ce problème d’approvisionnement. Les chercheurs ont en effet conçu une variété de riz transgénique dont les grains contiennent jusqu’à 10% d’albumine humaine.
L'équipe a ensuite développé une méthode pour purifier cette albumine contenue dans les grains, ils ont arrivés à en extraire environ 2,75 grammes par kilo de riz.Les tests biochimiques réalisés suggèrent que cette albumine est physiquement et chimiquement équivalente à l’albumine extraite du sang humain avec une efficacité équivalente, évaluée uniquement pour le moment chez le rat.
Ces résultats, encore préliminaires, montrent que le riz transgénique pourrait devenir une source d’albumine rentable qui permettrait de pallier la pénurie de donneurs de sang et de faire face à la demande croissante en dérivés sanguins.
Un système appelé “Nutri-Smart» est en cours de développement. Il permettra à une puce RFID d’être insérée dans les aliments pour suivre les circuits de distribution alimentaire , en insérant des données de programmation des aliments dans la puce, de sorte que les consommateurs sachent ce qu’ils mangent, officiellement donc, pour des questions de traçabilité…
Après les gadgets et autres accessoires du quotidien, les tags RFID pourraient bien atterrir prochainement dans nos assiettes : c’est en tout cas un projet sur lequel travaille Hannes Harms, un élève ingénieur du Royal College of Art de Londres. Le concept, nommé NutriSmart, a des ambitions principalement diététiques.
Poser un aliment sur une assiette dotée d’un capteur RFID, puis lire des indications sur sa composition sur un ordinateur connecté : tel est le principe de base de NutriSmart, le projet conçu par un étudiant anglais nommé Hannes Harms. L’objectif : fournir au consommateur des informations sur la composition de l’aliment (dont l’apport nutritionnel) et offrir une traçabilité renforcée, en indiquant même le nombre de kilomètres parcourus par le produit avant d’arriver dans l’assiette.
Des ambitions nutritives et diététiques que Hannes Harms complète par un panel de possibilité plus technologique, comme la reconnaissance des aliments par un réfrigérateur équipé de capteurs, permettant par exemple de détecter la nourriture périmée. L’étudiant présente également un prototype de support intelligent capable de signaler au consommateur si l’aliment contient des éléments auxquels il est allergique.
NutriSmart n’est pour le moment qu’un concept : dans la vidéo de présentation de son projet, Hannes Harms ne s’attarde pas, par exemple, sur la façon dont le tag RFID est intégré à la nourriture. Reste que le projet est intéressant et pourrait potentiellement intéresser l’industrie de l’agro-alimentaire, ainsi que les fabriquant d’électroménager… En attendant, il faudra se faire à l’idée de manger de la nourriture traçable.
Le système serait en mesure non seulement de vous donner de données nutritionnelles sur les aliments que vous vous apprêtez à consommer, mais capable de vous dire aussi tout ce que vous avez manger. Bien que cela puisse être de bonnes nouvelles pour les diabétiques, les personnes atteintes de graves allergies alimentaire, il a aussi des applications en dehors de la médecine.
Un réfrigérateur bien équipé doit être en mesure de donner à l’utilisateur un coup d’oeil à tout ce que la boîte contient, et quand il va se trouver mal.
Le système peut également être couplé avec une “plaque Smart”, qui permettrait au lecteur embarqué dans le plat pour vous parler de l’information et de la nutrition calorique sur ce que vous mangez. Les données peuvent ensuite être envoyé à votre téléphone portable, via une connexion Bluetooth.
Aucun mot encore sur ce qui arrive aux balises lorsque vous avez terminé avec eux.
Mais les critiques disent que ceci n’est qu’une étape supplémentaire vers la société décrite par Orwell dans 1984 où les autorités utilisent des moyens de surveillance des aliments, des médicaments ou de l’apport en vitamine pour chaque personne et déterminent ainsi si le consommateur est respectueux du “Codex Alimentarius”, ou des prescriptions du médecin…
c'est ainsi un bon moyen de vous traçer à votre insu ,comme du simple bétail.....
Les nanoparticules de dioxyde de titane, utilisées dans de nombreux produits, des peintures aux crèmes solaires, peuvent altérer la barrière hémato-encéphalique qui protège le cerveau des éléments toxiques, selon une étude conduite in vitro, a indiqué mercredi le CEA.
Les résultats suggèrent que la présence de nanoparticules de dioxyde de titane (Ti02) pourrait être à l'origine d'une inflammation cérébro-vasculaire.
Une exposition chronique à ces nanoparticules pourrait entraîner leur accumulation dans le cerveau avec un risque de perturbation de certaines fonctions cérébrales, précise le CEA dans un communiqué.
Une étude chez le rat avait déjà montré en 2008 qu'après une instillation nasale, des nanoparticules de dioxyde de titane étaient détectées dans leur cerveau, notamment le bulbe olfactif et l'hippocampe, une structure ayant un rôle-clé pour la mémoire.
Les chercheurs ont cherché à savoir comment ces nanoparticules pouvaient se retrouver dans le cerveau qui est protégé des éléments toxiques par une structure particulière : la barrière hémato-encéphalique.
Des équipes du CEA et de l'université Joseph Fourier de Grenoble ont reconstitué un modèle cellulaire de cette barrière protectrice, associant des cellules endothéliales (cellules de la paroi des vaisseaux sanguins), cultivées sur une membrane semi-perméable, et des cellules gliales (pour le système nerveux).
Grâce à ce modèle présentant les principales caractéristiques de la barrière hémato-encéphalique existant chez l'homme, les chercheurs ont mis en évidence qu'une exposition in vitro aux nano-TiO2 entraîne leur accumulation dans les cellules endothéliales. Il en résulte aussi une rupture de la barrière de protection, associée à une inflammation.
Emilie Brun et ses collègues ont également constaté une diminution de l'activité d'une protéine (P-glycoprotéine) dont le rôle est de bloquer les toxines susceptibles de pénétrer le système nerveux central, selon les résultats publiés en ligne par la revue Biomaterials.
Le mental peut tout guérir En apprenant à on découvre que l'on est entièrement responsable de sa santé. Pensée positive : "Quand naît en moi une pensée, je me demande si elle est dirigée vers la réussite ou vers l'échec. Dans ce dernier cas, je l'élimine directement, car ma vie en dépend". Psychologies: Comment avez-vous appris votre maladie ?
Martin Brofman : Alors que j'étais informaticien à New York, j'ai été progressivement confronté à divers troubles physiques. Mes jambes ne me portaient plus, puis mon bras droit s'est paralysé. J'avais une tumeur cancéreuse et incurable de la moelle épinière. On me donnait, au mieux, quelques semaines à vivre... Qu'avez-vous ressenti à ce moment-là?
J'ai soudain réalisé que je pouvais mettre à profit le peu de temps qui me restait pour vivre du mieux possible. L'acceptation de ma mort très prochaine m'a libéré d'un poids: je n'avais plus peur de la mort. Je me sentais mieux mentalement, j'éprouvais une sensation physique nouvelle, comme si une vague d'énergie remplissait mon corps. Mes sens, alors diminués, avaient recouvrés toute leur acuité. J'ai compris à ce moment-là qu'il existait un obstacle entre la réalité et moi-même. Je l'ai identifié comme étant la peur de la mort. Que s'est-il passé ensuite ?
Une opération a quand même été tentée, pendant laquelle j'ai vécu une expérience similaire aux N.D.E. Après l'opération, mon état physique avait régressé et mon état mental n'était pas au mieux. Petit à petit, j'ai commencé à développer un autre regard sur les choses, tout naturellement en lisant des livres sur les N.D.E. Il m'a fallu environ un an pour me faire à l'idée que j'avais vécu là une expérience unique. Je n'était plus la même personne avant et après l'opération, comme après une seconde naissance. Je pouvais maintenant séparer ma conscience de mon corps. Celui-ci me faisait toujours souffrir, mais j'avais le choix de penser à autre chose. J'ai compris que ma souffrance n'existait que lorsque je lui donnais prise. Cette dichotomie sur le plan émotionnel m'a permis d'évoluer dans une autre manière de penser. Bien évidemment, je n'y suis pas arrivé du jour au lendemain, cela m'a pris huit mois d'efforts constants pour parvenir à "oublier" la douleur ne serait-ce que dix minutes par jour. Je souffrais beaucoup, je m'attendais à mourir et je n'avais rien à perdre. Tout cela renforçait ma motivation et j'en avais besoin, j'étais seul dans mon cheminement! Avez-vous quand même trouvé de l'aide?
Huit mois après mon opération, j'ai rencontré un moine zen qui m'a donné la clé pour agir sur mon état: "le cancer démarre dans ton mental, c'est là que tu dois te rendre pour t'en débarrasser." Comment avez-vous mis cela en pratique?
L'étape suivant a été un stage de la méthode Silva. En descendant à un niveau de conscience plus sain et plus profond, je pouvais utiliser mon esprit comme un outils pour obtenir ce qui était bon pour moi. J'ai décidé de devenir un champion de cette nouvelle technologie: descendre en onde alpha, en profonde relaxation, trois fois par jour, pendant un quart d'heure, et visualiser ce que je désirais obtenir. Après soixante-six jours d'exercices, toute chose imaginée vraie devint une vérité. Moins d'un an auparavant, on m'avait accordé deux mois au maximum d'espoir de survie... et j'étais toujours là! De plus, soudain, j'avais vraiment la possibilité d'agir. Quelle a été la réaction de votre médecin lors de votre guérison ?
Il m'a dit... : "je me suis peut-être trompé". Je lui ai alors parlé de mon travail de visualisation créatrice, mais il ne m'a pas laissé terminer ma phrase, il est sorti de la pièce... La conception de guérison de cet homme ne correspondait pas avec la technologie que j'avais développée. J'utilise exprès le mot "technologie", car cela en est une: utiliser le mental comme un outil. Tout comme un menuisier utilise du bois. Comment se fait-il que vous ayez écrit un livre sur les problèmes de vue ?
Maintenant que j'étais guéri, je n'avais plus besoin de mes lunettes. Ma myopie (de 1,5 à 2 dyoptries) avait totalement disparu. J'ai créé un système logique, qui, tout comme un programme d'ordinateur, guide le patient à travers un changement de conscience dont le résultat est d'améliorer sa vue. Puis, après avoir expérimenté avec succès ma méthode sur la vue pendant cinq ans, j'ai mis au point une technologie similaire pour le corps tout entier: "le système du corps-miroir". Quelle est la base de cette méthode?
Nous sommes les créateurs de tout ce qui arrive dans notre vie. Tout démarre dans la conscience. C'est en changeant l'intérieur que l'on peut modifier l'extérieur. Tout comme l'attitude que l'on peut avoir avec son entourage: si vous râlez, votre interlocuteur risque de vous renvoyer votre propre agressivité. Le principe est le même: le corps n'est que l'expression de l'être intérieur. Pour décrire un symptôme, partant du point de vue qu'on l'a créé, , on ne dira plus: je ne peux pas marcher, mais, plutôt, je ne m'autorise pas à marcher. Cela mène la personne à développer une relation objective et nouvelle avec son problème, et donc à réagir en fonction de celle-ci. Quels rôles jouent les chakras et les auras ?
Les chakras sont les différents centres de conscience, liés à certaines parties du corps par une multitude de petites routes d'énergies. En lisant la "carte du corps", on voit très bien d'où vient le malaise. Les diverses énergies qui irradient tous nos corps subtils sont les auras. Si vous êtes dans un état émotionnel particulier, telle la colère, vous allez émettre un certain type d'énergie qui y correspond. Au repos, l'émission est plus subtile, mais elle existe. En fait, nous sommes constamment en train d'envoyer un certain flux. J'en déduis que chacun d'entre nous est un point de conscience émettant un flux d'énergie infini et constant. Les auras sont associés à ce dernier, mais aussi aux chakras. C'est ce que j'enseigne dans mes séminaires. Comment pratiquez-vous vos cours?
Il y a des séances individuelles d'une heure ou deux et des ateliers de groupe, qui durent quatre jours. Les participants découvrent qu'ils peuvent ressentir cette énergie, et commencent à la diriger. Ils apprennent à voir les auras des autres et réalisent qu'ils en ont une eux-mêmes. Nous étudions les chakras et leurs relations avec le corps physique et spirituel. Nous travaillons sur la notion d'amour, puis chacun "vide son sac" de ses propres schémas malsains: c'est le grand nettoyage ! Enfin, il s'agit d'instaurer la cocréation; chacun apprend à guérir l'autre; l'élève deviendra ainsi un professeur. Non pour qu'il devienne enseignant, mais pour qu'il vive l'expérience unique que l'on peut réellement se guérir soi-même. Nous sommes notre propre maître, nous n'avons besoin de personne. Le message, c'est de trouver le Dieu intérieur ! Peut-on réellement guérir de tout?
L'un de mes élèves, séropositif, s'est rendu compte qu'il n'avait jamais reçu d'amour. Il n'avait, par conséquent, aucune raison de vivre. Sa séropositivité n'était qu'une manière de dire: je suis un être vil, incapable de recevoir de l'amour, je n'ai plus qu'à me laisser mourir. Une fois cet état de fait établi, il s'est ouvert, prêt à recevoir l'amour inconditionnel, à établir des relations constructives plutôt que punitives, et à développer l'harmonie dans sa vie. Ses résultats sanguins se sont améliorés. Est-ce que tout le monde peut guérir?
L’évidence montre que l'introduction à grande échelle des antibiotiques est dévastatrice pour la santé de nos enfants. C'est peut-être la raison pour laquelle tant luttent pour respirer et sont incapables d’assimiler correctement la nourriture.
Gaia Health, Heidi Stevenson, 29 août 2011
Il se fait jour une recherche montrant que les effets pervers des antibiotiques vont bien au-delà du développement des maladies résistantes aux médicaments. Pâtissant des antibiotiques avec les bactéries inductrices de maladies, les bactéries bénéfiques ne se rétablissent pas complètement. Pire, la flore perdue par la mère est aussi perdue pour ses bébés. Les bactéries intestinales bénéfiques perdues sont probablement un facteur majeur derrière la plupart des maladies chroniques connues aujourd'hui. L'usage continuel d'antibiotiques fait que chaque génération goûte une santé moins bonne que ses parents.
Martin Blaser, l'auteur d'un rapport dans la revue Nature, écrit :
Les antibiotiques tuent les bactéries que nous voulons détruire, aussi bien que celles que nous ne voulons pas. Dans l’organisme des gens, ces altérations permanentes des bactéries bénéfiques peuvent même accroître la sensibilité aux infections et aux maladies.
L'abus d'antibiotiques peut entretenir la hausse spectaculaire des affections telles que l'obésité, le diabète de type 1, la maladie inflammatoire de l'intestin, les allergies et l'asthme, qui ont plus que doublé chez de nombreuses populations.
Nous avons à présent une documentation claire montrant que, hormis le développement de superbactéries, les effets globaux de longue durée des antibiotiques sont terriblement dangereux pour la santé. S'adressant à ABC News, Blaser a déclaré :
Les antibiotiques sont miraculeux. Ils ont changé la santé et la médecine au cours des 70 dernières années. Mais quand les médecins prescrivent des antibiotiques, cela s’appuie sur la conviction qu'il n'y a aucun effet à long terme. Nous avons vu des preuves suggérant que les antibiotiques peuvent altérer de façon permanente les bactéries bénéfiques que nous hébergeons.
Notez l’expression de façon permanente. Sans parler des risques potentiels de l'usage occasionnel des antibiotiques, il semble à présent que la médecine conventionnelle a créé plusieurs pandémies graves, dont certaines des pires maladies chroniques connues.
Le recours généralisé aux antibiotiques
Dans le monde industrialisé, au moment où le jeune atteint ses 18 ans, il ou elle a des chances d’avoir eu 10 à 20 prescriptions d'antibiotiques. C'est un emploi abusif qui continue à l'âge adulte ; ils sont même nonchalamment prescrits aux femmes enceintes.
Le passage du bébé à travers la filière pelvigénitale, le moment où il est exposé à sa première dose de bactéries bénéfiques, fait partie d’un accouchement normal. (Cela devrait donner à réfléchir à tous ceux qui envisagent un accouchement par césarienne, quand ce n'est pas absolument nécessaire.)
Quand le microbiote de la mère est déficient, son enfant né carencé. Des preuves semblent maintenant montrer que, dès qu’une carence en probiotiques existe, elle n’est jamais récupérée et se transmet à travers les générations. C’est pourquoi, chaque génération est susceptible d’avoir une moins bonne santé que celle dont ses parents ont joui.
Coûts des affections chroniques induites par les antibiotiques
Pour traiter cet état de maladie chronique, le coût des soins de santé ne fait que monter. Considérons l'état de la pandémie de diabète et d'asthme chez les enfants d'aujourd'hui. Très rares il y a 50 ans, ces maladies sont dorénavant littéralement routinières. Pourtant, on continue à se focaliser sur le traitement – qui garnit de plus en plus les poches de la grande industrie pharmaceutique et des médecins.
La recherche des causes est pratiquement ignorée, même face au taux croissant de maladies chroniques. À la place, le soin est la référence. Des méthodes toujours plus toxiques de suppression des symptômes, tout en cachant les effets indésirables, sont recherchées et préconisées aux victimes de la médecine conventionnelle.
Deux des fonctions les plus critiques en matière de santé sont radicalement compromises chez un nombre énorme d'enfants d'aujourd'hui. La capacité à métaboliser les aliments et la capacité à respirer ont été volées de cette génération. Pourtant, le traitement qu'ils reçoivent pour leur mauvaise santé ne fait rien pour l’améliorer. Il ne fait que masquer les symptômes et rendre les enfants encore plus malades !
Au top de ces dégradations, les enfants souffrent d'allergies, d'une incapacité organique à faire la différence entre les agents inducteurs de maladies et les substances inoffensives. Ils souffrent de maladies auto-immunes, de l’incapacité de leur organisme à faire la distinction entre les substances étrangères et des parties de leur propre corps.
Y a-t-il déjà eu une génération d'enfants dont la propre santé a été autant dévastée par le même système médical qui est soi-disant responsable de sa santé ?
Les maladies iatrogènes
Les affections iatrogènes sont des problèmes de santé dus à des erreurs médicales. Elles représentent désormais officiellement la troisième cause principale de décès en Zunie. Mais ces chiffres ne comptent pas les cas de mort prématurée dus au diabète, à l'asthme, aux allergies, aux troubles intestinaux chroniques ou au cancer, qui ont tous été documentés comme des conséquences de l’usage des antibiotiques – ni les misères endurées par les gens accablés par eux, comptés comme victimes des iatrogènes.
Si nous devions ajouter toutes ces morts prématurées au compte de l’iatrogénèse, comme cela devrait être fait, il serait évident que la médecine conventionnelle est le plus grand tueur et voleur de santé que le monde n’ait jamais connu. Et apparemment l'une des plus importantes causes de maladies iatrogènes sont les antibiotiques, le plus commun des traitements distribués comme des bonbons.
Original : www.gaia-health.com/articles501/000520-gut-bacteria-antibiotic.shtml Traduction copyleft de Pétrus Lombard
Toute science est un moyen orienté vers une fin et la fin c'est le contrôle.!
La science au service du mal pas besoin de Démon stration Rusty James.
Le monde de la « science » nous a donné l'arme atomique, les OGM, les vaccins, les produits chimiques toxiques, les pesticides de synthèse et les drogues de psychiatrie. Il s’est servi de gens innocents dans des expériences médicales mortelles et a déchaîné une pollution génétique généralisée sur notre monde par suite à la prolifération négligente des organismes génétiquement monstrueux. Mais les scientifiques affirmaient qu'ils créaient un monde meilleur. « Mieux vivre grâce à la chimie, » disaient-ils il y a vingt ans. Et aujourd’hui, une génération plus tard, nous sommes face à un délabrement de la vie si grand et si désastreux, qu'il est qualifié de sixième grande extinction de la vie sur notre planète.
Comment la science a-t-elle pu paver la voie à une destruction planétaire pareille ?
Regardez le petit documentaire, Le Dieu Intérieur, pour le savoir.
Nous dénonçons les illusions des bases philosophiques de la science
Ce nouveau documentaire, Le Dieu Intérieur, cherche à établir pourquoi la science est si destructrice et dangereuse. Il commence par dénoncer la fausse philosophie présentée par un physicien célèbre, Stephen Hawking, qui soutient que les êtres humains sont des robots biologiques, sans conscience, sans volonté, sans esprit et sans âme.
Selon ses propres écrits, dans son livre, The Grand Design (Le grand dessein) :
Il est difficile d'imaginer comment peut fonctionner le libre arbitre si notre comportement est déterminé par les lois physiques, il semble donc que nous ne soyons guère plus que des machines biologiques et que le libre arbitre n'est qu'une illusion.
Comme la plupart des scientifiques classiques, Hawking pense que les êtres humains ne sont pas des êtres conscients. Ainsi, nous serions incapables d'empathie, d'amour, de peine, de souffrance ou de prendre nos propres décisions fondées sur le libre arbitre.
Cette absence totale de reconnaissance de la valeur de la conscience chez les êtres vivants est le principe diabolique fondamental sur lequel est édifiée la plus grande partie de la science moderne. C’est le manque d'empathie lui-même qui donne naissance aux grands maux.
Chose intéressante, c'est précisément la conclusion d'un membre de la communauté scientifique. Simon Baron-Cohen, professeur de psychologie à l’université de Cambridge, a écrit un nouveau livre dans lequel il conclut que le mal provient d'un manque d'empathie. Il explique que les psychopathes sont « au degré zéro d'empathie, » ce qui veut dire qu'ils ne reconnaissent pas la valeur des pensées et des sentiments d’autrui.
Il se trouve justement que c’est le principe fondamental de la science classique, qui estime que les sentiments et les pensées sont de simples « ricochets biologiques » de la chimie du cerveau, dépourvus de toute âme, intention ou conscience. Ainsi, le principe fondamental de la science classique, telle qu’elle est pratiquée aujourd'hui, est psychopathe et délirant.
C'est pourquoi tant de nombreuses branches dites de la pensée « scientifique » : Quête des OGM, vaccination de masse faisant du tort aux enfants innocents, empoisonnement chimique généralisé du monde naturel, sont d’une nature psychopathe si manifeste. Déchaîner sur le monde la contamination génétique, avec des semences incluant la technologie Terminator, est un acte dangereux d'une industrie psychopathe opérant sans aucune empathie à l'égard des créatures vivantes.
Du fait de ses applications, la science moderne est psychopathe
Le psychopathe est défini comme « Une personne affectée d’un trouble antisocial de la personnalité, qui se manifeste par un comportement pervers, criminel, amoral ou agressif, sans empathie ni remords. »
Cela décrit aussi parfaitement les agissements de nombreuses entreprises opérant sous couvert de « science. » Les compagnies de semences OGM, de pesticides, les fabricants de fluorure chimique, de drogues psychiatriques, de chimiothérapie et de vaccins, sont effectivement « psychopathes » par leur comportement. Tous affirment pourtant opérer comme des entités « scientifiques, » et traitent agressivement de « non scientifiques » ceux qui sont en désaccord avec eux. C’est là le comportement déviant, criminel et immoral, manquant totalement d'empathie envers les êtres vivants, qui qualifie bien comme inéluctablement psychopathes certains agissements « scientifiques » de compagnies modernes.
Les compagnies pharmaceutiques s’adonnent en permanence à des expériences médicales impliquant une souffrance animale généralisée. Les vaccins sont cultivés sur des organes de singes de laboratoire malades, qui sont emprisonnés vivants dans des conditions effroyablement inhumaines. Les fabricants de vaccins font des expériences médicales sur des enfants du tiers monde. Les compagnies d’OGM font des expériences de cultures génétiques qui nuisent à la chaîne de la vie du monde naturel. Tout cela se fait sous l'aile de la « science, » et pourtant tout ça est de nature psychopathe et complètement dénué du principe élémentaire de reconnaissance de la conscience ou de l’âme.
En d'autres termes, la maladie et les remèdes sont enseignés à la faculté de médecine, mais on n'inculque pas aux médecins la valeur de l'expérience de la vie et l’état de conscience de leurs patients. L'idée même que le patient puisse avoir un « esprit » ou une « âme » est si étrangère à la médecine moderne, que le système médical classique entier nie absolument l'existence du traitement [holistique] de l’esprit et du corps... en quelque sorte comme si l'esprit n'existait pas.
Ce déni de l'existence de l'esprit (et de son interaction avec le corps) est une sorte de folie scientifique qui infecte la pensée des médecins et des chercheurs en médecine moderne [*]. Mais ça ne se borne naturellement pas à la médecine : Cette illusion sévit aussi dans la communauté de la science physique.
[* Ndt : Le monde artificiel créé par cette pensée tend à conforter la conviction du croyant. Toutes les expériences du croyant confirmeront son paradigme. Or, le monde peut être très différent. J’avais déjà évoqué ici, dans la note [3], le cas des Tobriandais, une peuplade des Îles Salomon à la vie très harmonieuse, étudiée par l’explorateur Malinowski, un grand ami et inspirateur du Dr Wilhelm Reich. Malinowski avait constaté qu’avant leur mariage, les Tobriandaises adolescentes ne tombaient jamais enceintes malgré une activité sexuelle naturelle, et même encouragée par les parents. Cette peuplade ne s’imaginait tout simplement pas que les rapports sexuels sont l’unique requis à la procréation. N’étant pas polluées par des croyances infernales, ces jeunes filles ne tombaient jamais enceintes. Elles tombaient enceintes après leur mariage, volontairement en quelque sorte, quand elles désiraient avoir un enfant. Comparez cela à l’ambiance désacralisée du monde moderne, où les jeunes filles prennent des précautions pour ne pas se retrouver avec « un polichinelle dans le tiroir, » selon la dérision généralisée, et vous comprendrez jusqu’où peuvent mener les convictions scientifiques.]
Ne nous embringuons pas dans notre propre destruction en suivant aveuglément la science
Le fait que de grands physiciens du genre de Stephen Hawking ont pleinement adopté l’effrayante croyance selon laquelle les êtres humains n'ont ni conscience, ni esprit, ni libre arbitre, représente un signal de danger dantesque : L’espèce humaine ne doit pas s’engager dans sa propre destruction en suivant aveuglément la « science. »
La « science » nous entraîne vers un cataclysme nucléaire, le tarissement des ressources naturelles, la saturation chimique des terres arables et la décimation en cours des pollinisateurs de plantes comestibles, comme les abeilles et les chauves-souris. La « science » nous irradie, drogue nos enfants, pollue l’espace avec les émissions électromagnétiques de la téléphonie cellulaire, contamine nos réserves d'eau et appauvrit le génome futur en contaminant sans cesse avec des produits chimiques qui abîment l'ADN. Promettant le progrès, la « science » pousse l'humanité vers sa propre destruction. La « science » est devenue la raison moderne du progrès diabolique, de la destruction de la vie sur notre planète, dans le seul but de servir un ordre du jour affairiste ou politique (aux dépens de la protection de la vie).
En d'autres termes, la science est devenue le mal. Du fait de son manque d'empathie et de son incapacité à reconnaître l'existence de l'esprit, elle pratique des choses à la limite du démoniaque, bien au-delà du simple « crime contre l'humanité. » La vie est détruite au nom de la « science » sur toute la planète, et pourtant, étonnamment, les dealers de poison qui tirent profit de cela se proclament sauveurs du monde ! Ils s’exclament : « Les gens vont crever de faim si nous ne cultivons pas des plantes génétiquement monstrueuses. » Pourtant, en même temps, ils refusent de laisser un fermier indien garder ses propres semences d'une production à l'autre. Ils lui ont refusé le droit naturel de planter ses propres graines, année après année, sans payer des royalties à la compagnie monopolistique démoniaque qui s’est servi de la science du génie génétique pour rendre les graines stériles après une génération [*].
[* Ndt : Bien qu’on n’en parle pas beaucoup, les semences dites hybrides, issues de la fameuse Révolution Verte, utilisées dans toute l’agriculture moderne, sont aussi voulues Terminator, bien que ça ne marche pas toujours. J’avais évoqué en détail ce fait avec ses conséquences dans la note 2) de Roundup, le désastre absolu.]
Il s'agit d'un paradigme de mal absolu, mis à exécution au nom de la science. Et il est organisé par des êtres humains véritablement diaboliques, qui sont littéralement psychopathes en ce sens qu'ils n'ont pas la capacité de faire grand cas de la vie ou des expériences d’autrui. Ce sont des démons qui rôdent dans notre monde, détruisant tout sur leur passage, attaquant ceux qui osent protéger la vie. Si nous voulons un avenir viable sur notre planète, ces démons doivent être métamorphosés ou détruits.
Il faut dénoncer la marche « scientifique » aveugle, sans âme
Il est temps pour nous, citoyens de la planète, de dénoncer la philosophie aveugle, sans âme, de la communauté scientifique et d’adopter une philosophie plus sage, plus avancée, qui reconnaisse la réalité de la conscience... à propos, pas seulement la conscience humaine, mais aussi la conscience de tous les êtres vivants, animaux [*], arbres et plantes.
[* Ndt : Georges Ivanovitch Gurdjieff, qui parlait souvent de l’horreur de la situation humaine, a évoqué brièvement dans ses écrits les fameux abattoirs de Chicago, un lieu hygiénique et moderne où des trains de troupeaux entre à un bout, tandis que de délicieuses saucisses et de la barbaque hachée à macdo sortent en train à l’autre bout. Il a aussi parlé des usines d’équarrissages, où les animaux sont transformés en précieuse huile à faire du savon pour le bénéfice de la société. (Ces citations sont approximatives, de mémoire). Parler de tout ça n’était pas anodin pour un éveilleur d’âmes comme Gurdjieff. La monstruosité du modernisme sans âme transparaissait déjà à son époque.]
C'est seulement en adoptant une nouvelle philosophie qui célèbre l'existence de la conscience, de l'esprit, de l'âme et du libre arbitre que nous, en tant qu'espèce, pouvons espérer atteindre la sagesse et la paix.
C’est seulement en valorisant la vie que nous pouvons espérer l’entretenir.
C'est seulement en reconnaissant la souffrance d’autrui que nous pouvons espérer y mettre fin.
C’est seulement en abandonnant le vide insensé des fondements de la science moderne que nous pouvons espérer mettre fin à la destruction qu'elle a déchaîné sur notre monde.
Prochaine étape du progrès humain : changer de philosophie
Les vraies solutions aux problèmes de notre monde, voyez-vous, ne se bornent pas à exiger l'interdiction des OGM ou de quelques pesticides chimiques. Elles exigent un renouveau philosophique intégral, faisant passer la compréhension humaine de l'ère newtonienne dépassée à l'« ère quantique » de la conscience humaine et animale. En d'autres termes, la prochaine étape de notre évolution ne viendra pas du tout du domaine de la science, mais plutôt du domaine de la philosophie.
Sans cette évolution de la compréhension, et les changements au cœur des valeurs humaines qui en découleront, nous n’acquerrons jamais une existence viable en tant qu'espèce. Si nous considérons la « science » comme notre plus grand maître et instructeur, elle nous mènera seulement à nous détruire nous-mêmes. Car la science n'a pas d'âme. Pas d'esprit. Pas de facultés spirituelles. Ce n’est qu’une coquille mathématique vide, dénuée de sens. Elle n'a plus rien à offrir à notre civilisation tant que nous n’aurons pas une mansuétude plus profonde envers l'empathie, la conscience et le libre arbitre. Car c’est à cette condition seulement que nous pourrons espérer bien comprendre et appliquer les sciences en protégeant la vie au lieu de la détruire.
Je fais parvenir ceci à tout le monde parce que >> cela a tellement de sens. S'il-vous-plaît envoyez-le à toutes les >> personnes que vous aimez et même aux autres.
Mesdames... Soyez sur vos gardes! Messieurs... envoyez ceci aux >> dames de votre vie! Veuillez lire ceci... c'est très important... Il y a >> quelque temps j'ai assisté à un séminaire de sensibilisation sur le >> cancer du sein qui était donné par Terry Birk assisté de Dan Sullivan. >> Pendant la période de questions j'ai demandé pourquoi la plupart du temps >> le cancer du sein se développait près de l'aiselle. À ce moment-là, on >> n'a pu répondre à ma question. Ce courriel vient juste de me parvenir et >> je trouve intéressant qu'il apporte une réponse à ma question. Je vous >> enjoins tous de reconsidérer l'usage quotidien d'un produit qui pourrait >> ultimement vous causer une maladie mortelle. À partir d'aujourd'hui je >> vais changer l'usage que j'en fais. >> Une amie m'a fait parvenir ceci. Je l'ai montré à une autre >> amie qui subit présentement de la chimiothérapie; celle-ci m'a dit >> qu'elle avait appris ce fait récemment, dans un groupe de soutien. >> J'aurais aimé le savoir il y a 14 ans. >> " Je viens juste d'apprendre, lors d'un séminaire sur la >> santé, une information que j'aimerais partager. La cause principale du >> cancer du sein est l'utilisation d'anti-sudorifiques. Quoi! >> La concentration de toxines cause la mutation des cellules, >> phénomène aussi connu sous le nom de CANCER. Oui, les ANTI-SUDORIFIQUES. >> >> La plupart des produits sur le marché sont une combinaison >> désodorisant anti-sudorifique; alors allez à la maison et vérifiez. Le >> désodorisant est correct... l'anti-sudorifique ne l'est pas. Voici >> pourquoi : le corps humain compte quelques endroits utilisés pour évacuer >> les toxines; le pli des genoux, derrière les oreilles, le pli de l'aine >> et les aiselles. Les toxines sont évacuées sous forme de transpiration. >> Les anti-sudorifiques, comme leur nom l'indique, vous empêchent de >> transpirer et par voie de conséquence, empêchent le corps de se >> débarrasser de ses toxines par les aiselles. Ces toxines ne disparaissent >> pas par enchantement. Au lieu de cela, le corps les dépose dans les >> ganglions lymphatiques sous les bras, puisqu'il ne peut pas les évacuer >> par sudation (transpiration). Presque toutes les tumeurs des cancers du >> sein se produisent dans le quadrant supérieur exterieur des seins. C'est >> précisément là que se trouvent les ganglions lymphatiques. En outre, les >> hommes sont moins sujets à développer le cancer du sein causé par les >> anti-sudorifiques, bien qu'ils n'en soient pas totalement exempts, parce >> qu'une bonne partie de l'anti-sudorifique est appliqué au poil et ne touche pas la >> peau directement. Les femmes qui se servent d'un anti-sudorifique tout de >> suite après s'être rasé les aiselles, augmentent le risque de cancer car >> le rasage cause de petites lésions imperceptibles de la peau, permettant >> au produits chimiques de s'introduire dans le corps par les aiselles. >> > S'IL-VOUS-PLAîT, faites lire ceci à toute personne pour >> laquelle vous avez de l'affection. Le cancer du sein est devenu une >> maladie trop courante. Cette prise de conscience peut sauver des vies. >> Si vous êtes sceptique au sujet de ces découvertes, je vous prie de faire >> des recherches vous-même. Vous arriverez aux mêmes conclusions; je vous >> l'assure. Merci à
>> Katrina Scott >> Directeur-adjoint, marketing des sports >> Université du Maryland >> C.P. 295 >> Cole Field House/Campus Drive >> College Park, MD 20741 - 0295
« Le cheminement thérapeutique mène à l’esprit et le cheminement spirituel mène au contrôle de la matière » Si vous voulez des preuves concernant cette information, voici une expérience que vous pouvez faire à la maison. Plantez des graines dans deux pots. Arrosez un pot avec de l'eau qui a été passée aux micro-ondes, l'autre avec de l'eau du robinet régulière. Les graines ayant reçu l'eau passée aux micro-ondes ne germeront pas. Si l'eau passée aux micro-ondes peut arrêter les plantes de pousser, pensez à ce que la nourriture chauffée aux micro-ondes peut faire à votre santé!
En 1989, le biologiste et scientifique alimentaire Suisse Dr Hans Hertel étudia les effets de la nourriture chauffée aux micro-ondes. Huit personnes participèrent à l'étude. Pendant huit semaines, elles vécurent dans un environnement contrôlé et mangèrent par intervalles de la nourriture crue, de la nourriture cuite conventionnellement et de la nourriture chauffée aux micro-ondes. Des échantillons sanguins étaient testés après chaque repas. Ils découvrirent que manger de la nourriture chauffée aux micro-ondes cause à long terme des changements significatifs dans la chimie sanguine :
1- une diminution des valeurs de l'hémoglobine et du cholestérol, dans le HDL (bon cholestérol) versus le LDL (mauvais cholestérol) et dans les globules blancs, affaiblissant le système immunitaire, et une augmentation des niveaux de leucocytes, qui tendent à démontrer un empoisonnement et des dommages aux cellules.
Globalement, l'étude suggère que manger de la nourriture chauffée aux micro-ondes peut causer des maladies dégénératives et/ou des cancers.
2- "Les effets mesurables sur l'homme suite à l'ingestion de nourriture chauffée aux micro-ondes, différemment de la nourriture non traitée, sont les altérations sanguines, qui peuvent aussi être retrouvées au début de situations pathologiques, et sont aussi indicatifs d'un début de processus cancéreux", écrit le Dr Bernard Blanc, assistant à la recherche.
3- Les micro-ondes "cuisent" la nourriture en forçant les atomes, les molécules et les cellules contenues dans la nourriture à inverser leur polarité des milliards de fois par seconde, causant la friction - plus il y a de friction, plus il y a de chaleur. Cette oscillation déchire et déforme la structure moléculaire de la nourriture. De nouveaux composés sont formés, appelés composés radiolytiques, qui ne sont pas trouvés dans la nature. D'une manière intéressante, les micro-ondes sont actuellement utilisées dans les technologies modifiant les gènes pour délibérément briser les cellules et neutraliser leur "force de vie" pour qu'elles puissent être manipulées. Les micro-ondes détruisent la force de vie qui donne à la nourriture sa vitalité et ses qualités nutritives. Quand cette force de vie se dissipe, les microorganismes commencent à détruire la nourriture et elle commence à pourrir.
Les effets sur le lait maternel chauffé aux micro-ondes ont aussi été recherchés. John Kerner, M.D. et Richard Quin, M.D. de l'Université Stanford ont affirmé que "chauffer du lait humain aux micro-ondes, même à un niveau peu élevé, peut détruire certaines de ses capacités à combattre les maladies".
4- Après plus de recherches, Kerner écrivit dans l'édition d'avril 1992 du Pediatrics que "le réchauffement aux micro-ondes lui-même peut en fait causer des dommages au lait pendant et après le chauffage". Et une annonce à la radio à l'Université du Minnesota a dit que "les fours à micro-ondes ne sont pas recommandés pour faire chauffer la bouteille d'un bébé. Chauffer la bouteille aux micro-ondes peut causer de légers changements dans le lait. Dans les formules pour nourrissons il peut y avoir une perte de certaines vitamines. Dans le lait maternel, certaines propriétés immunitaires peuvent être détruites."
5- Une autre étude à Viennes a démontré que chauffer du lait maternel aux micro-ondes "peut mener à des changements structurels, fonctionnels et immunitaires", et que les micro-ondes transforment les aminoacides L-proline en D-proline, une toxine attaquant le système nerveux, le foie et les reins.
6- En Russie, les fours micro-ondes ont été bannis en 1976 à cause de leurs conséquences négatives sur la santé et plusieurs études ont été conduites sur leur usage. Voici quelques-unes de leurs découvertes sur la nourriture chauffée aux micro-ondes :
a) La nourriture chauffée aux micro-ondes perd de 60 à 90% de son champ d'énergie vitale et les micro-ondes accélèrent la désintégration structurelle des aliments.
b) Les micro-ondes créent des agents causant le cancer dans le lait et les céréales.
c) Les micro-ondes altèrent les substances élémentaires des aliments, causant des désordres digestifs.
d) Les micro-ondes altèrent la chimie des aliments, ce qui peut mener à des dysfonctionnements du système lymphatique et des dégénérations des capacités du corps à se protéger lui-même contre des croissances cancéreuses.
e) La nourriture chauffée aux micro-ondes amène un plus grand pourcentage de cellules cancéreuses dans le flot sanguin.
f) Les micro-ondes altèrent la rupture des substances élémentaires quand des légumes crus, cuits ou congelés sont exposés aux ondes, même pour un très court laps de temps, et que les radicaux libres se forment.
g) La nourriture chauffée aux micro-ondes cause des croissances cancéreuses stomacales et intestinales, une dégénération générale du tissu cellulaire périphérique, et une destruction graduelle des systèmes digestif et excrétoire chez un pourcentage statistiquement élévé de personnes.
h) La nourriture chauffée aux micro-ondes diminue la capacité du corps à utiliser les vitamines du complexe B, la vitamine C, la vitamine E, les minéraux essentiels et les lipotropiques.
i) Même le champ de micro-ondes près d'un four a micro-ondes a déja aussi causé une panoplie de problèmes dont certains meurtriers.
Récemment, le Dr Edward Fujimoto, gérant du programme de bien-être au Castle hospital, était à un programme télévisé pour expliquer ce danger pour la santé. Il a parlé des dioxines et affirmé combien elles étaient dangereuses pour nous tous.
Il a dit que nous ne devrions pas réchauffer nos aliments dans le micro-onde en employant des contenants en plastique. Il a dit que la combinaison des graisses, la haute température et le plastique transmettaient des dioxines dans les aliments et en définitive dans les cellules de notre corps.
Il recommande d’employer plutôt le verre, les ustensiles Corning, ou de cérammique pour réchauffer les aliments. Ainsi on obtient le même résultat mais sans les dioxines. Ainsi les TV Dinners, les soupes aux nouilles, etc, doivent être vidés de leur contenant et réchauffés dans quelque chose d’autres. Le papier est bien, mais nous ne savons pas ce que contient le papier. C’est plus sécurisant d’employer le verre et le Corning, etc.
Il nous a rappelé qu’il n’y a pas très longtemps, des restaurants de fast food se sont débarrassés des contenants en plastique pour utiliser des contenants de papier. De plus, il a rappelé que le Saran Wrap est aussi dangereux quand il est placé sur les aliments que nous cuisons au micro-onde. En cuisant les aliments au micro-onde, la haute température produit des toxines empoisonnées qui sortent de l’enveloppe plastique (Saran Wrap) et s’intègrent dans les aliments.
« Couvrez plutôt les aliments avec un papier genre essuie-tout »
Notes : C’est un article, je crois, que vous devriez envoyer à votre famille, vos amis et tous ceux qui sont importants dans votre vie. En marge de ces études, beaucoup de gens estiment que réchauffer leur nourriture aux micro-ondes ne les aide pas à bien se sentir. Stephanie Relfe, kinésiologiste, s'est sentie un jour affable et plutôt faible et a découvert qu'elle avait par inadvertance mangé de la nourriture chauffée aux micro-ondes dans un restaurant. Dans sa pratique, elle a découvert que tous ses patients ont donné des signes de réaction allergique à la nourriture passée aux micro-ondes. Un autre kinésiologiste, David Bridgeman, a dit : "De toutes les personnes que j'ai testé pour des allergies, 99,9% ont montré une sensibilité sévère à n'importe quelle nourriture passée aux micro-ondes".
De plus, un remède homéopathique à proximité d'un four micro-ondes perd son potentiel de guérison…
Donc en conclusion, la façon la plus sûre de chauffer votre nourriture est d'utiliser votre cuisinière et de vous débarrasser de votre four micro-ondes!
Le vaccin Pandemrix contre la grippe A (H1N1) d'un laboratoire britannique est accusé de provoquer l'apparition d'une affection rare du sommeil, la narcolepsie, chez les enfants et adolescents
Les scandales pharmaceutiques ne semblent pas devoir prendre fin. Après les révélations sulfureuses autour du médiator, le "médicament de la mort", puis l'établissement d'une liste de produits pharmaceutiques suspectés d'être inutiles voire dangereux pour la santé, c'est au tour d'un vaccin d'être pointé du doigt. Le Pandemrix (AFP), destiné à protéger les populations contre la pandémie du virus de la grippe A (H1N1), a été distribué par le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK,) et injecté à plus de 90 millions de personnes dans 19 pays lors des campagnes de vaccinations l'an dernier. Aujourd'hui, d'après la plus haute autorité sanitaire finlandaise, ce vaccin a probablement contribué à la multiplication subite des cas de narcolepsie- une affection rare du sommeil pour lequel il n'existe pas de traitement curatif à l'heure actuelle - chez les enfants et les adolescents finlandais en 2009 et 2010.
Neuf fois plus de risque d'être atteint de cette maladie du sommeil Si l'Institut national finlandais pour la santé (THL) ne veut pas encore se montrer catégorique, réservant son rapport final pour août 2011, il estime toutefois que les personnes de 4 à 19 ans ont un risque neuf fois plus élevé de souffrir de narcolepsie s'ils ont été vaccinés avec le Pandemrix. Cette affection neurologique, caractérisée par une fatigue extrême et des accès de sommeil impromptus, également appelée maladie de Gélineau, ne concernerait toutefois pas les adultes de plus de 19 ans vaccinés par le même produit. Parmi la soixantaine de jeunes patients finlandais souffrant de narcolepsie recensés, 52 (soit 90 %) avaient reçu des injections du Pandemrix, alors que la couverture vaccinale au sein de cette tranche d’âge n’atteignait que 70 %. Dans la plupart des cas, ces enfants et adolescents avaient vu les symptômes se déclarer dans les deux à dix semaines suivant l'injection."L'association observée est si évidente qu'il est improbable que d'autres facteurs dits collatéraux puissent expliquer le phénomène", a indiqué le THL.
Une vigilance mondiale amorcée La révélation du THL a aussitôt alerté l'Organisation Mondiale de la santé (OMS), dont le Comité consultatif de la sécurité vaccinale a préconisé l'ouverture officielle d'une enquête qui recenserait au plus vite toutes les données disponibles relatives à l'accroissement observé des cas de narcolepsie. Au niveau de l'Europe, l'Agence européenne du Médicament a lancé une étude de pharmacovigilance tandis que d'autres autorités sanitaires européennes planchent également sur le sujet. Quant à la France, en août 2010, elle avait signalé six cas sans pouvoir établir de lien avec le vaccin, qui bien que commandé à hauteur de 94 millions de doses par le ministère français de la Santé, avait été largement dénigré par le grand public, qui l'estimait trop dangereux. Julie Ketkosol (www.lepetitjournal.com) jeudi 10 février 2011
ANTIBIOTIQUES D'ANIMAUX DÉCOUVERTS DANS LES LÉGUMES DE VOS MARCHÉS Les chercheurs à l'université du Minnesota ont trouvé des résidus d'antibiotiques d'animaux dans les produits alimentaires, déclare une nouvelle étude. La propagation d'engrais à l'état brut dans les champs provenant des excréments d'animaux traités avec des antibiotiques est une pratique courante dans les fermes conventionnelles. Malheureusement les scientifiques ont maintenant découvert que les légumes comme le maïs, le chou et les échalottes absorbent ces antibiotiques, qui sont alors ingérés par les consommateurs. Les 'végétariens peuvent penser que l'abus désordonné des antibiotiques chez le bétail et la volaille ne les affectera pas, mais ce n'est pas vrai, » a énoncé Margaret Mellon, directeur de l'Union des Scientifiques Concernés. Les « consommateurs qui mangent des légumes cultivés sur un sol fertilisé avec l'engrais peuvent, sans le savoir, ingérer des antibiotiques. » La consommation régulière de ces antibiotiques peut alors faire en sorte que des bactéries dans le corps deviennent encore plus résistantes. La suite ci-bas....
Source de l'article: http://www.organicconsumers.org/foodsafety/antibiotics112305.cfm