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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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26 septembre 2013

Dossier : les vertus du jeûne dans la lutte contre toutes sortes de maladies, cancer compris !

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Après le succès considérable de son documentaire sur les vertus du jeûne dans la lutte contre toutes sortes de maladies, cancer compris, Thierry de Lestrade consacre cette semaine un livre au même sujet: son enquête, qui sort aux Editions de La Découverte, s’intitule tout simplement «le Jeûne, une nouvelle thérapie ?». Entretien 

BibliObs Vous faites connaître en France les travaux de Valter Longo, professeur de gérontologie et de biologie à l’Université de Californie, convaincu que le jeûne accroit l’effet bénéfique de la chimiothérapie sur les cellules cancéreuses et limite les effets secondaires. Quel est son raisonnement?

Thierry de Lestrade Valter Longo est un chercheur spécialisé dans la recherche des mécanismes du vieillissement. Son but est de repousser les maladies qui nous font peur: cancer, Alzheimer, maladies chroniques invalidantes ou dégénératives. Il cherche à augmenter, non pas seulement l'espérance de vie, mais surtout l'espérance de vie... en bonne santé. C'est très important, c'est une nouvelle frontière en biologie. Comment vivre vieux et en bonne forme. A la suite d'un raisonnement scientifique original, Longo émet l'hypothèse que le jeûne protégerait les cellules du corps humain. Reste à valider cette hypothèse.

En 2007, il a l'idée de confronter l'organisme à un poison et d'observer si le jeûne a un réel effet protecteur. Mais quel poison choisir? Il choisit un poison largement utilisé en médecine: la chimiothérapie. En choisissant la chimio, son but est d'être utile: si le jeûne pouvait protéger les cellules saines de la chimiothérapie, cela serait révolutionnaire !

On le traite de fou. Dans les labos de Californie où l'on joue avec les gènes, faire jeûner paraît une idée absurde. L'équipe de Longo prend deux groupes de souris, atteintes de cancer. Le premier groupe mange sans restriction, le second est soumis à un jeûne de 48 heures. On donne des fortes doses de chimiothérapie à toutes les souris et... surprise: les 2/3 des souris nourries normalement meurent alors que les survivantes ont des atteintes neurologiques et musculaires, tandis que les souris qui avaient jeûné sont en pleine forme. Nous montrons les images de ces souris dans le documentaire diffusé par Arte, elles sont impressionnantes.

Comment expliquer ces résultats spectaculaires? Longo y répond en faisant appel à la biologie moléculaire – et c'est sa grande force: utiliser les techniques scientifiques les plus modernes. Grâce à ces techniques, il observe la modification de l'expression des gènes après 48 heures de jeûne environ. Il peut expliquer que les cellules saines se mettent en mode «protection», en économisant leur énergie, alors que les cellules cancéreuses sont incapables de se protéger. Elles détestent le jeûne, cherchent toujours du «carburant» qu'elles ne trouvent plus. Quand la chimio arrive dans l'organisme, les cellules saines s'en protègent et les cellules cancéreuses l'absorbent avec avidité.

 
Thierry de Lestrade, réalisateur de documentaires, est l’auteur d’une vingtaine de films dont, avec Sylvie Gilman, «Le Jeûne, une nouvelle thérapie ?» videos en bas de page dispo . (Arte, 2012, 2013). Plusieurs fois primé, il a reçu le prix Albert-Londres pour «La Justice des hommes» (2002) et le prix Europa pour «Mâles en péril» (2008). (©DR)

Dans la publication de ses premiers résultats en février 2012 dans la revue «Science Translational medecine», Valter Longo établit que la chimiothérapie marche beaucoup mieux sur les souris qui jeûnent que sur celles qui mangent. Mais comment peut-il ainsi extrapoler ces résultats à l’homme alors que la mise en route d’essais au Norris Hospital de Los Angeles, et à la Mayo Clinique de Rochester viennent de démarrer?

C'est évident, il faut rester prudent. Les essais cliniques sur le jeûne et la chimiothérapie n'en sont encore qu'à leurs débuts. Mais Longo a pu d'ores et déjà mettre en évidence les effets du jeûne sur des cellules humaines. Certes, c'est seulement dans son laboratoire, in vitro. Reste que les mécanismes de base du jeûne fonctionnent de la même manière chez l'homme et chez l'animal. On peut penser que la «protection» s'opère également. Sera-t-elle aussi forte que chez la souris, combien de temps faudrait-il jeûner pour qu'elle soit efficace? De nombreuses questions restent en suspens.

Les études sur le jeûne menées derrière le rideau de fer depuis les années 60 vont dans le même sens. Pouvez-vous nous raconter cette épopée scientifique?

Les Soviétiques ont beaucoup travaillé sur le jeûne pendant une quarantaine d'années: ils ont publié des centaines d'études sur le sujet, mais ces études sont restées inconnues parce qu'elles n'ont jamais été traduites. C'est en faisant l'enquête pour le film et le livre que Sylvie Gilman et moi même sommes tombés sur ces milliers de page, qui reposent dans une bibliothèque de l'Académie des Sciences de Russie, à Moscou. Nous avons rencontré des témoins de l'époque, des médecins encore vivants qui avaient dirigé une partie de ces études. Ce sont des médecins assez exceptionnels, ils nous ont raconté comment le régime soviétique s'était peu à peu lancé dans un vaste programme de recherche sur le jeûne thérapeutique.

De grands scientifiques russes comme Pavlov ou Pashutin avaient étudié les mécanismes du jeûne chez l'animal à la fin du XIXème siècle. La chose n'était donc pas inconnue en Russie. Mais celui qui va lancer les recherches modernes s'appelle Youri Nicolaev. C'est un psychiatre, un médecin original et un humaniste. Tout a commencé dans les années 50. Opposé au gavage forcé de certains patients en psychiatrie, Nicolaev va laisser quelques-uns de ses malades ne pas s'alimenter... le temps qu'ils le désirent. Et le médecin observe des rétablissements spectaculaires. Avec l'assentiment prudent des autorités, il multiplie les cas, toujours avec l'accord éclairé du patient. Et non seulement il note des améliorations de l'état psychique, mais aussi de l'état physique. Les maladies somatiques tendent à disparaître.

Avec toute une équipe de biologistes, Nicolaev mène alors des recherches sur les deux fronts: psychiques et physiques. Les résultats sont spectaculaires. Un reporter du «Los Angeles Times» écrit même un article en 1973 sur Nicolaev et sa méthode de cure originale. Le régime soviétique lance alors un programme de recherche sans précédent: c'est dans toute l'Union soviétique que l'on va étudier les effets du jeûne, à Moscou, Leningrad, Kiev, Minsk, Rostov... À chaque hôpital sa spécialité: maladies de peau, cardio-vasculaires, gastro-intestinales, bronchiques, rhumatismales.... Ces études se poursuivent intensément jusqu'en 1988, année où l'Académie des Sciences intègre le jeûne dans la panoplie thérapeutique. Une spécialité est créé, un manuel est publié, avec indications et contre-indications.

Quelles sont les indications ?

Les indications sont nombreuses, elles concernent surtout des maladies chroniques: maladies des bronches, cardio-vasculaires, estomac, intestin, endocriniennes, digestives, articulaires ou osseuses, peau. On remarquera que ce sont des maladies que la médecine soigne très mal. C'est tout l'apport original et précieux du jeûne: s'attaquer à ce genre d'affections chroniques. A noter que parmi les contre-indications, outre les troubles alimentaires, se trouve le cancer. Les chercheurs soviétiques pensaient que le jeûne pouvait avoir un effet sur le cancer, mais ils n'avaient pas voulu, par prudence, entreprendre d'études cliniques avec les malades cancéreux. Ce qui explique le classement du cancer dans les contre-indications.

Valter Longo connaissait-il l’existence des recherches menées en URSS avant de commencer les siennes?

Valter Longo n'avait jamais entendu parler des études russes. Aucun chercheur en Occident ne les connaît. C'est pour cela que nous lui avons donné deux gros tomes d'études en cyrillique, et qu'il est en train de chercher des fonds pour en faire la traduction. Longo vient d'un monde très éloigné de celui des médecins soviétiques. Fasciné par le mystère de la mort et de la dégénérescence, il cherche à en décrypter les mécanismes. C'est ainsi qu'il a étudié la restriction calorique, dont on sait depuis les années 30 qu'elle peut augmenter la durée de vie (du moins chez les souris), et qu'il est passé à la restriction calorique extrême: le jeûne.

Là où Longo rejoint les chercheurs russes, c'est dans sa préoccupation à trouver des solutions rapidement applicables. «Ça ne sert à rien de promettre aux malades d'aujourd'hui un traitement pour dans 20 ans», aime-t-il à répéter. Et le jeûne apparaît comme une solution complémentaire facile à mettre en œuvre... et pas chère.

Le jeûne remboursé par la Sécu en Allemagne

En Allemagne, la pratique est courante semble-t-il.

En Allemagne, la pratique du jeûne est effectivement mieux acceptée et mieux comprise. Le jeûne thérapeutique y a été expérimenté dès le début du XXème siècle. À cette époque, le mouvement de «Réforme» («die Reform Bewegung») était très populaire et de grands établissements avec des centaines de lits ne désemplissaient pas. C'est dans ce contexte qu'Otto Buchinger, en créant la clinique qui porte son nom, a donné un ancrage fort au jeûne thérapeutique en Allemagne.

Aujourd'hui, une dizaine d'hôpitaux publics proposent des cures de jeûne, notamment l'hôpital de la Charité à Berlin, et ces cures sont remboursées par le système de sécurité sociale allemand.Ils traitent principalement les syndromes métaboliques (poids, diabète de type 2 et hypertension), les allergies, les maladies rhumatismales.J'aimerais rapprocher deux données: 15 à 20% des Allemands déclarent avoir jeûné au moins une fois dans leur vie, et la consommation de médicament dans ce pays est inférieure de 40% environ à ce qu'elle est en France, chiffre obtenu à partir de la liste des médicaments les plus prescrits.

Vous-même dans le cadre de votre enquête êtes allé jeûner en Allemagne sur les bords du lac de Constance à la clinique Buchinger. Pouvez-vous nous raconter cette expérience?

Je raconte en détail dans le livre cette expérience unique, qui reste une des plus intéressantes de ma vie. J'ai jeûné neuf jours, en plein mois de février. Les températures étaient négatives dans ce coin d'Allemagne et j'avais peur d'avoir froid, car pendant le jeûne le métabolisme du corps ralentit. J'avais un peu peur de pas mal de choses en fait.

C'est toujours difficile de passer la frontière d'un pays inconnu. En l'occurrence le pays du manque. Ou du vide. Ne rien manger. Ne pas rythmer sa journée par ce réconfort de la nourriture. Qui n'a pas un peu peur de ce vide? Or ce vide-là n'est jamais vide.

J'étais venu avec du travail, en l'occurrence l'écriture du livre. Après le troisième jour, je me réveillais naturellement peu avant 6h00, frais et dispos, et j'étais au travail à mon ordinateur à 6h30. L’esprit clair. J'ai beaucoup écrit, des dizaines de milliers de signes, travaillant à mon clavier huit heures par jour. Sans jamais éprouver la sensation de faim. En dépit d’horaires spartiates, je n'étais pas confiné dans ma chambre: j’ai utilisé pour la première fois de ma vie une salle de fitness (un peu), j'ai profité du talent de quelques masseurs, et j'ai marché chaque jour.

Chaque randonnée, dans le paysage d’hiver de la campagne autour d'Uberlingen, fut un concentré de sensations visuelles, auditives, olfactives. Je me sentais léger, euphorique: j’avais basculé sur le mode «avion», à l’image de mon téléphone portable à qui j’avais interdit de sonner. J’écoutais mes compagnons d'exercice. Était-ce le jeûne ou la marche? La parole était fluide, chaleureuse, l’écoute attentive.

Quel était le profil des autres jeûneurs et leurs motivations?

Des gens d'horizons divers viennent jeûner. Certains ont économisé pour se payer la cure, d'autres sont chefs d'entreprise, ou encore artistes. Beaucoup ont déjà lu sur le jeûne, leur présence là est le fruit d'un certain parcours. J'ai rencontré par exemple Pauline, une traductrice à qui les médecins prédisaient de lourdes infirmités à cause de ses rhumatismes. Elle est arrivée en s'appuyant sur une canne, incapable de conduire sa voiture; elle est repartie après deux semaines sans canne, au volant de son véhicule. Autre rencontre, Xavier, qui allait fêter ses 37 ans et venait pour arrêter le tabac. Trader dans une banque à Londres, victime d’un burn out, il avait pris dix kilos en six mois. En quinze jours, il a perdu le superflu, et a arrêté la cigarette. Je l’ai vu se transformer, retrouver ses traits de jeunesse.

Une jeûneuse me l’avait dit dans un sanatorium en Russie : «Si tu peux jeûner, tu peux tout faire.» Je me suis rarement senti aussi bien que pendant mon jeûne. J'avais fait faire des analyses sanguines avant mon départ, je les ai renouvelées à mon retour. Comme attendu, mon taux d'IGF-1 avait chuté nettement. Fait plus étonnant, il n'y avait aucune perte de sels minéraux. Après neuf jours sans nourriture, mon calcium était passé à 2,39 (contre 2,30 en arrivant), le potassium était stable à 4,4 et le sodium à 140 ! Qui pourra affirmer que le jeûne affaiblit l'organisme? Cela m'a au contraire apporté beaucoup d'énergie et mieux encore, beaucoup de calme intérieur.

Cette enquête vous a-t-elle inspiré une réflexion plus large ?

Oui. Si le jeûne a été progressivement éliminé au nom de la médecine dite «scientifique» (quitte à ignorer les études faites par ailleurs), c'est au nom de cette même science, avec les travaux de Valter Longo, qu'il réintègre la médecine «officielle».

Ce retour répond en même temps à une demande des patients. Dans un monde occidental où l’on vit de plus en plus longtemps, mais où l’espérance de vie en bonne santé n’est que de 62 ans, qui ne s’interroge pas sur les moyens de rester en forme, d’échapper à ces fléaux qui surviennent avec l’âge? Allergies, rhumatismes, maladies auto-immunes, maladies dermatologiques, hypertension, diabète, cancer… Nous parle-t-on de «guérison» pour ces maladies? Non.

Les Russes et les Allemands démontrent que le jeûne peut apporter une réponse efficace contre ces maladies chroniques, dites aussi de «civilisation». Pourquoi? Parce que l'histoire de l'évolution a dessiné le corps humain pour résister au manque. Notre organisme s'adapte beaucoup mieux à la pénurie qu'à l'abondance. Or en Occident nous vivons avec un frigo plein depuis plus d'un demi-siècle. Jeûner deviendrait donc une nécessité.

 

Mais cette attente n’est pas seulement le fait des malades. Car elle dépasse le cadre médical pour traduire une aspiration plus vaste, une aspiration à penser le monde différemment. Sobriété, frugalité, simplicité: ces mots qui ont retrouvé une nouvelle vigueur ces dernières années sont désormais au cœur de la critique des sociétés industrielles. Ce n'est pas une coïncidence si le retour du jeûne aujourd’hui s’annonce au terme de l’époque ouverte par les fameuses «Trente Glorieuses», qui a vu le rôle du citoyen réduit peu à peu à celui de consommateur, dans une mécanique consumériste poussée jusqu’à l’absurde.

Jeûner, c'est se réapproprier son corps, restructurer son temps, retrouver une liberté nouvelle. C'est réapprendre que le manque ne doit pas être vécu comme une défaite. Et si «moins», pouvait être «plus»?

Propos recueillis par Anne Crignon

http://bibliobs.nouvelobs.com/documents/20130921.OBS7954/thierry-de-lestrade-qui-peut-affirmer-que-le-jeune-affaiblit-l-organisme.html

 Le Jeûne, une nouvelle thérapie ?, par Thierry de Lestrade,
La Découverte/ Arte éditions, 214 pages, 19 euros.

 

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25 septembre 2013

Le plus inutile et le plus dangereux des dépistages est celui du cancer du sein.

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Le « dépistage » a tout va est devenu à la mode. Tout comportement de notre corps doit être soumis à de fréquentes et régulières vérifications : surveillance de la tension, de la prostate, du taux de cholestérol, du diabète et bien d'autres pathologies qui nous menacent sournoisement. Il existe ainsi des campagnes-promotions de dépistage qui font la fortune des laboratoires et les belles heures des médias qui n'éprouvent aucune gêne à nous rappeler plusieurs fois par jour qu'il est urgent de faire vérifier notre corps comme nous le faisons pour nos moteurs de voitures.

Mais le plus inutile et le plus dangereux des dépistages est celui du cancer du sein. À travers les medias, toutes les instances de santé incitent les femmes à faire, chaque année, une mammographie pour éviter ce cancer, mais personne ne signale à toutes celles qui vont se conformer à ces examens qu'ils comportent de nombreux risques.

Le Dr Henri Pradal, pharmaco-toxicologue, avait fort bien résumé la situation, il y a trente ans. Pour lui, les « dictateurs du scalpel et du radium » ont su entretenir pendant des décennies une propagande mensongère sur l'efficacité de leur pratique en s'appuyant sur l'argument non vérifiable qu'un diagnostic précoce donne au cancéreux toutes les chances de guérir. Il affirmait : « Il est facile de démontrer que la radiographie des seins de toute une population féminine particulièrement exposée au cancer provoque davantage de processus cancéreux qu'elle n'en dépiste. » D'autres médecins partagent ce point de vue.

« Le champ du cancer aux États-Unis est délimité par un monopole médical qui assure un flot constant de bénéfices pour les compagnies pharmaceutiques, les firmes de technologie médicale, les instituts de recherches et les Agences gouvernementales telles que la FDA, le National Cancer Institute, et l'American Cancer Society. » Cette déclaration vient de deux cancérologues réputés, le Dr John Diamond, membre du Royal Australian and New Zealand College of Psychiatry et ancien Président de l'Académie Internationale de Médecine Préventive, et le Dr Lee Cowden, de l'Université St Louis du Missouri. Tous deux sont bien placés pour savoir de quoi ils parlent.

Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements.

Déjà, en 1995, le Dr Samuel Epstein, président de la Coalition pour la Prévention du Cancer, Médaille d'Or de l'Académie de Médecine Albert Schweitzer, auteur de plusieurs centaines d'articles scientifiques sur le sujet, profitait d'une journée nationale de mammographie organisée le 18 octobre aux États-Unis, pour dénoncer les dangers de cette pratique qui, pour lui, n'a jamais fait la preuve de son utilité. Il a insisté sur le fait que lorsque le cancer du sein est ainsi détecté, il existe depuis au moins huit ans et a donc déjà touché les ganglions lymphatiques ou d'autres organes, particulièrement chez les femmes jeunes. Dans son important ouvrage The Politics Of Cancer revisited, paru en 1998 mais non traduit en français, il critique très largement le lobby du cancer et soutient que chez les femmes en pré-ménopause, un cancer détecté sur quatre n'est pas un vrai cancer, mais qu'en revanche, un cancer sur quatre n'est pas détecté.

Les années passées depuis cette époque n'ont pas changé son opinion et, douze ans plus tard, il confirmait ces déclarations dans un article intitulé « Les dangers cachés des mammographies chez les femmes en pré-ménopause ». « Quoique l'on vous dise, refusez les mammographies de routine, particulièrement si vous êtes en pré-ménopause. Les rayons augment vos chances d'attraper un cancer. »

En effet, la pratique annuelle de deux mammographies sur chaque sein pendant une période de dix ans provoque une exposition à 5 rads pour chaque sein, ce qui correspond à la très forte radiation subie par les femmes qui se trouvaient à un kilomètre et demi de l'endroit où furent larguées les bombes atomiques sur le Japon.

Pour Epstein, ajoutées à une angoisse inutile, les mammographies répétées augmentent les risques de cancer. « Des études récentes basées sur les dix années précédentes indiquent une augmentation très nette des cancers quelques années après le début de ces examens fréquents, ce qui confirme la grande sensibilité des seins en pré-ménopause et l'effet carcinogène des radiations ».

La dose moyenne de rads reçus en mammographie pour deux images par sein est de 1 à 4 unités, mais d'après le Pr Epstein, la dose peut parfois être dix fois supérieure. Et Rosalie Bertell, l'une des autorités les plus respectées internationalement en ce qui concerne les dangers des radiations, affirme que chaque rad augmente de 1 % les risques de cancer du sein et correspond à une année de vieillissement. Ces deux spécialistes du cancer ont réitéré leur avertissement dans un article très détaillé et édité par le prestigieux International Journal of Services en 2001 (31(3) : 605-615), intitulé « Les dangers et la non-fiabilité des Mammographies », avec le concours de Barbara Seaman, fondatrice et directrice du Women's breast cancer movement. L'article explique que la plupart des cancers ont été détectés par les malades eux-mêmes et que rien ne vaut la palpation mensuelle de leurs seins par les sujets à risque, « une pratique alternative efficace et sans danger ».

Le Pr Epstein est loin d'être le seul à critiquer cette habitude et le NCI (National Cancer Institute) a publié des statistiques qui montrent que chez les femmes de moins de 35 ans, les mammographies peuvent provoquer 75 cancers pour 15 cancers correctement diagnostiqués.

Après avoir passé en revue toute la littérature mondiale disponible sur le sujet, les docteurs Wright et Muller, de l'Université de Colombie Britannique, ont recommandé l'annulation du financement public des mammographies parce que le « bénéfice obtenu est minime et le mal causé est important. » D'après le Lancet du 1er juillet 1995, les études les plus complètes ne montrent pas de taux de survie accru grâce aux mammographies de routine.

Le NIH (National Institute of Health) estime que ces examens occultent 10 % des tumeurs malignes chez les femmes de plus de 50 ans. À son tour, une étude suédoise menée sur 60 000 femmes a démontré que 70 % des tumeurs détectées par mammographie n'étaient pas des tumeurs. Or, outre le stress émotionnel causé par ces diagnostics erronés, ces femmes ont aussi subi des biopsies toujours dangereuses.

Quant au Dr James Howenstine, médecin américain qui a 34 ans de pratique privée et hospitalière, il signale que « des campagnes massives encouragent les femmes à avoir une mammographie chaque année. Ce rituel annuel génère des résultats faux positifs et faux négatifs qui mènent à des opérations inutiles et une considérable anxiété chez les femmes incorrectement diagnostiquées. »

Enfin, le 8 janvier 2000, The Lancet publiait une étude danoise qui réduisait à néant l'espoir des cancérologues qui croyaient alors qu'en dépistant plus précocement les cancers du sein par mammographie, on réussirait à faire baisser leur incidence et leur mortalité. Le journal concluait qu'en termes de mortalité, une politique de dépistage du cancer du sein « ne serait pas justifiée ».

Une étude publiée en 2005 par le New England Journal of Medicine, confirme que 30 % des cancers chez les femmes de 40 ans ne sont pas détectés par les mammographies.

Et en mars 2006, le mensuel La Recherche signalait à son tour, dans son numéro 395, que « la mortalité par cancer du sein a très peu diminué depuis 20 ans », alors que « les cas diagnostiqués, eux, explosent ». Le journal ajoutait que certains experts dénonçaient les effets pervers du dépistage qui « conduirait à détecter et à traiter des tumeurs mammaires qui n'auraient pas mis la vie de la patiente en danger ».

Le Dr Ken Walker, gynécologue à Toronto, mais aussi le plus célèbre des journalistes médicaux canadiens sous le pseudonyme de « Dr Gifford-Jones », partage son avis : « Les femmes de 40 à 49 ans qui subissent régulièrement des mammographies, sont deux fois plus susceptibles de mourir d'un cancer trois ans plus tard que celles qui gardent leurs seins sous leurs chemisiers ». Ce médecin diplômé d'Harvard estime lui aussi que les diagnostics précoces constituent un mensonge car « il faut huit ans pour qu'une tumeur soit assez importante pour être décelée, ce qui laisse le temps aux cellules cancéreuses de se propager dans l'organisme. Cela n'est pas vraiment un diagnostic précoce ».

À ses yeux, des milliers de femmes servent de cobayes depuis de nombreuses années, pendant que la Médecine cherche de tous côtés les causes du cancer, des bactéries aux gènes, sans penser une seule seconde que l'un des principaux responsables est l'industrie du cancer elle-même.

Ces mammographies exposent les tissus sensibles du sein à des radiations dangereuses, alors que les spécialistes estiment qu'il n'existe pas de « dose acceptable » de radiation. Pour le Pr Anthony Miller, de l'Institut National du Cancer de Toronto, l'ADN du sein est plus vulnérable aux doses réduites de radiation que les tissus thyroïdiens ou la moelle des os.

D'après Diana Hunt, diplômé du centre médical d'UCLA, spécialiste des rayons X, « les radiations reçues par le sein au cours d'une seule mammographie correspondent à 11,9 fois la dose absorbée annuellement par le corps entier ».

La pratique annuelle de deux mammographies sur chaque sein pendant une période de dix ans provoque une exposition à 5 rads pour chaque sein, En conséquence, si une femme commence à subir des mammographies annuelles dès l'âge de 55 ans, à 75 ans elle aura reçu 20 rads. Évidemment, ce pourcentage est proportionnel à l'âge du début des mammographies, ce qui est effarant à l'heure actuelle où elles sont pratiquées de plus en plus tôt. En comparaison, les femmes qui ont survécu aux bombardements de Hiroshima ou Nagasaki ont absorbé 35 rads.

Et plus les cellules du sein sont jeunes, plus leur ADN est endommagé par les radiations. En outre, ce risque est multiplié par 4 chez les femmes porteuses du gène A-T, soit environ 1,5 à 2 % des sujets. Le pourcentage peut sembler minime, mais on estime qu'aux États-Unis environ 10 000 cancers par an sont dus aux mammographies chez les femmes porteuses de ce gène. Une seule mammographie augmente de 4 à 6 fois leur risque de cancer.

Ces recommandations ont été confirmées par la

Task Force (groupe de travail) du ministère de la santé des États-Unis qui recommande de retarder les mammographies jusqu'à l'âge de 50 ans, lorsque la poitrine est moins sensible aux radiations. La coalition nationale du Cancer du sein s'est jointe à ces conseils qui s'appuient sur l'augmentation de ce cancer de 20 % depuis 1975 malgré la multitude de mammographies et les milliards dépensés par les assurances.

Pour les jeunes femmes, les chiffres sont encore plus inquiétants, car une étude du Canadian National Breast Cancer, qui date de 1992, a démontré une augmentation de 52 % de la mortalité par cancer du sein chez les jeunes femmes qui subissent des mammographies. En outre, les femmes enceintes exposées aux radiations mettent leur fœtus en danger avec des risques de leucémies ou de malformations, et les enfants exposés aux radiations peuvent à leur tour développer un cancer du sein à l'âge adulte. Ajoutons à ce terrifiant constat que depuis l'introduction des mammographies, l'incidence d'un certain carcinome du sein aurait augmenté de 328 %.

Le Dr William

John Gofman, professeur émérite de biologie moléculaire et cellulaire à Berkeley et chargé de cours à l'école de médecine de l'université de Californie à San Francisco, spécialiste des effets biologiques des rayons X et des dangers nucléaires, lauréat du prix Nobel, estimait que 75 % des nouveaux cas de cancer étaient provoqués par les irradiations médicales comme les rayons X, scanners, mammographies, tomographies et fluoroscopies. Il leur imputait également la responsabilité de nombreux cas de maladies coronariennes.

Alarm und Fehlalarm

» (Alertes et fausses alertes), Markus Grill signale que « les cabinets de radiologie reçoivent les citadines, alors que des "Mammobil" se rendent à domicile dans les campagnes. 54 unités mobiles sillonnent actuellement l'Allemagne, l'une d'elles appartient à un groupement de radiologues. Coût de l'investissement : 400 000 euros, dont 200 000 pour l'appareil de radiographie. Si chaque jour ouvrable, soit 250 jours par an) 80 femmes se font examiner au tarif de 57 euros remboursés par les caisses, l'équipement spécialisé génère un chiffre d'affaires de plus d'un million d'euros par an. L'intérêt économique est évident pour les radiologues. »

Et il pose la question qui dérange : « Mais l'intérêt pour la santé publique est-il équivalent ? »

Le Spiegel conclut : « On estime que chaque médecin devra examiner en moyenne par trimestre 225 individus en bonne santé et gagnera 21 euros pour les 20 minutes passés (75 minutes par jour). Pour le suivi classique d'un patient, le médecin reçoit 13 euros par mois, pour un examen approfondi 30 euros. Les dépistages sont par conséquent motivés surtout par l'intérêt financier. »

Telle est également la conclusion de Peter Sawicki, Directeur de l'IQWiG (Institut allemand de la qualité et l'efficacité du système de santé), qui pense que les études « sérieuses » répondent aux critères d'une médecine qui prend en compte les éléments scientifiques probants et non les simples « avis d'experts ».

« Pour l'individu lambda, la probabilité d'échapper au cancer grâce aux dépistages se situe entre 0,05 % et 0,1 %. Autrement dit, si 1 000 à 2 000 personnes participent sur plusieurs années aux programmes de dépistage, seule l'une d'entre elles sera sauvée. » Ce comportement, rare actuellement chez la plupart des médecins, lui a coûté sa démission forcée de l'Institut. Cela n'a rien de surprenant car l'industrie pharmaceutique allemande s'est plainte à maintes reprises du comportement de l'Institut et particulièrement de celui de son directeur qui les a souvent empêchés de mettre certains médicaments sur le marché. En outre, Peter Sawicki s'évertuait à réclamer aux laboratoires les études non publiées, ce qui n'est pas « médicalement correct ».

En Allemagne, on pratique en moyenne cinq fois plus de frottis que dans le reste de l'Europe, alors que les femmes allemandes meurent de ce cancer beaucoup plus souvent que dans d'autres pays.

Quant à la ministre de la santé, Ulla Schmidt, elle est une fervente du dépistage au point que, malgré de nombreuses protestations, elle a inclus dans la loi de santé publique le paragraphe 62 pénalisant financièrement tous les malades d'un cancer qui ne se sont pas soumis aux dépistages recommandés.

Tout ceci nous prouve bien que la réalité médicale n'a rien à voir avec la propagande organisée par les laboratoires et si bien relayée par les médias.

En France, les « contrats d'amélioration des pratiques individuelles » (Capi) sont souscrits de manière volontaire et individuelle par les praticiens, pour une durée de trois ans. Les médecins signataires s'engagent à atteindre 16 objectifs de santé publique dans trois domaines : la prévention (par exemple améliorer les taux de patients âgés vaccinés contre la grippe et de dépistages du cancer du sein), un meilleur suivi des pathologies chroniques comme le diabète ou l'hypertension, et l'optimisation des prescriptions de médicaments. Dix mille praticiens, soit plus d'un sur six, ont ainsi signé un contrat avec l'Assurance-maladie.

Sous la plume d'Olivier Auguste, Le Figaro du 25 septembre 2009 nous prévenait : « Les volontaires recevront jusqu'à 7 euros par an et par patient s'ils atteignent certains objectifs, comme le nombre de patients âgés vaccinés ou de patientes ayant effectué une mammographie. »

Les syndicats médicaux sont hostiles à cette relation directe entre médecin et Sécurité Sociale, mais notre remarquable ministre Roselyne Bachelot s'est réjouie du succès des Capi.

On savait déjà que la recherche de rentabilité se retrouve partout, toute profession confondue. On le savait pour la Police, la Gendarmerie, les impôts et autres administrations, mais il est invraisemblable qu'un médecin touche, en dehors de ses honoraires, une prime au rendement des dépenses de santé. Et cela pour des examens qui, non seulement n'ont pas fait la preuve de leur utilité, mais ont bel et bien fait la preuve de leur nocivité.

Sylvie SIMON

"Tout le monde devrait savoir que l'essentiel de la recherche sur le cancer relève, dans une large mesure, de l'escroquerie et que les grandes organisations de recherche sur le cancer négligent leur devoir envers ceux qui les soutiennent".

Linus Pauling Prix Nobel de chimie 1954 et de Paix 1962

 

21 septembre 2013

Exit the matrix : la réalité invisible !

sunlight_breeze_iphone_wallpaperCertains affirment de façon catégorique que tout s'arrête avec la mort. D'autres pensent que l'on ne peut rien connaître sur l'après-vie. Il y a ceux, enfin, qui estiment que la pratique d'un culte religieux est une garantie suffisante.

Notre univers visible n'est que la petite partie émergée d'une réalité invisible beaucoup plus vaste.

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19 septembre 2013

Les saucisses de porc sont contaminées par le virus de l’hépatite E.

porc

 

Les cas d’hépatites mortelles, généralement rares, ont augmenté de 40% en Grande-Bretagne en 1 an. En cause, les saucisses, le produit le plus dangereux issu du porc.

Petites saucisses barbecue

De manière générale, on considère les saucisses particulièrement dangereuses car elles contiennent de la chair de foie et des traces de sang de cochon, ainsi que de l’enveloppe de son intestin. Dans un rapport publié par le Department for Environment, Food and Rural Affairs de Grande-Bretagne, des scientifiques montrent que 10% des saucisses analysées contenaient le virus  de l’hépatite E. Plus inquiétant encore, les cas mortels de la maladie suite à l’ingestion de porc contaminé, qui sont normalement assez rares, ont augmenté de 40% en 1 an dans le pays. La maladie tue une personne sur cinquante infectées. Pour les femmes enceintes, c’est une sur cinq, sans compter le risque de transmettre l’infection au foetus.

« C’est un sérieux problème qui émerge », déclare le Dr Harry Dalton, consultant au Royal Cornwall Hospital de Truro (Angleterre). La maladie est relativement courante dans les pays développés et habituellement transmise par de l’eau contaminée ; on sait maintenant qu’elle a une origine nutritionnelle.

Les conseils des experts pour éviter les risques de contamination : cuisiner les saucisses à 70°C pendant au moins 20 minutes, pour tuer le virus. Une durée que généralement les consommateurs ne respectent pas…

En janvier 2013, une étude portant sur des échantillons français de saucisse de foie de porc avait déjà montré qu’un sur 4 était contaminé par le virus de l’hépatite E.

 

Source : Medisite.fr

- See more at: http://actuwiki.fr/2/35027/#sthash.pEfxzxpd.dpuf

13 septembre 2013

Aux Etats-Unis, la vérité sur les liens entre vaccins et autisme est systématiquement supprimée.

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Aux Etats-Unis, la vérité sur les liens entre vaccins et autisme est systématiquement supprimée. Les compagnies pharmaceutiques, ainsi que le gouvernement fédéral ont conspiré pour refuser aux parents d’enfants dont la santé avait été endommagée par les vaccins l’accès habituel aux tribunaux par la création d’un « tribunal fantoche » qui n’offre aux parents aucune procédure régulière (et viole par conséquent les libertés civiles des Américains).

Ce « tribunal pour dommages dus aux vaccins » » a cependant, à plusieurs reprises admis que les vaccins ont irréfutablement endommagé la santé d’enfants et provoqué l’autisme. Le silence de ces parents a été acheté. On leur a fait signer un accord où ils devaient s’engager de ne jamais parler à la presse de leur épreuve. Cette suppression systématique de la vérité au sujet des dommages de santé ayant fait suite aux vaccinations est clairement expliquée dans une nouvelle vidéo réalisée par le Canary Party (www.CanaryParty.org) avec Rob Schneider comme narrateur, un  ardent défenseur des droits des parents quand  il s’agit de médecine.

 

La Vidéo complète sur YouTube : (Copier/coller le lien dans Google si le lien ne s’ouvre pas)

 

http://www.youtube.com/watch?v=xv_IaLHwgAQ


Autre lien pour la video:

Nous vous invitons à partager cette vidéo avec toutes les personnes que vous connaissez ! Elle explique en langage clair et rationnel, une partie importante de la manière dont s’y est prise l’industrie du vaccin  pour camoufler la vérité en ce qui concerne les dommages de santé provoqués chez les enfants par les vaccinations. Le « Canary Party » est un mouvement en pleine expansion ; il réunit des parents, des médecins, des scientifiques, des citoyens qui veulent mettre un terme à l’empoisonnement systématique de la population par les compagnies pharmaceutiques, par les fabricants de vaccins et autres substances toxiques qui endommagent la santé et la planète. Le « Canary Party » est basé sur le « Principe de précaution », ainsi que sur les droits fondamentaux des parents et de leurs responsabilités individuelles.

En résumé, l » Canary Party » cherche à révéler la vérité sur la façon dont nous sommes tous empoisonnés par des sociétés peu éthiques. Il cherche à trouver des moyens constructifs pour arrêter l’empoisonnement et à mettre fin aux souffrances que provoque cet empoisonnement général. […]

Pourquoi les vaccins peuvent-ils nuire aux enfants ? Toute l’industrie du vaccin – y compris tous les médecins payés, achetés, les auteurs, les « scientifiques », les partenaires – ont depuis des décennies sciemment menti au monde entier en prétendant que les vaccins avaient « un risque zéro » et « zéro effets secondaires ».

 En vérité, même le CDC admet que les vaccins contiennent quatre additifs dont chacun s’avère être un neurotoxique puissant. Ces additifs sont :

 - Le mercure (toujours utilisé comme agent conservateur)

- L’aluminium (utilisé comme adjuvant)

- Le Formaldéhyde (utilisé pour « désactiver » les tissus vivants)

- Le MSG : Monosodium Glutamate (utilisé pour causer de l’inflammation dans le système immunitaire)

 Tous ces produits sont toxiques pour la biologie humaine quand ils sont injectés. Il n’y a pas un seul médecin, scientifique rationnel au monde qui puisse croire que l’injection de mercure, de formaldéhyde et de MSG à des nourrissons puisse de quelque manière que ce soit être « sans danger ». Mais, il se trouve que des médecins injectent, chaque jour, ces substances à des enfants sous la forme de vaccins.

 L’industrie du vaccin est bien pire que celle que l’énorme industrie du Tabac. Tout comme l’industrie dentaire a, pendant des décennies, nié et ridiculisé la toxicité du mercure dans les amalgames dentaires, l’industrie du vaccin se trouve encore dans un état délirant de négation totale de la toxicité du mercure. Nous assistons aujourd’hui, en médecine, à un holocauste vaccinal qui tue et handicape de nombreux enfants. La suppression de toutes les preuves scientifiques qui démontrent qu’il en est bien ainsi, fait que Big Pharma parait encore bien pire que Big Tobacco.

 Quand l’autisme touchera-t-il un enfant sur 10 ? Nous n’en somme pas si loin. Si ce niveau de la maladie était été provoqué par d’autres éléments que les vaccins, le CDC aurait depuis longtemps déclaré une épidémie et essayé de trouver un vaccin pour pouvoir l’enrayer. Mais parce que l’autisme est lié aux vaccins et au mercure, le CDC  minimise et prétend d’une manière ridicule que le mercure ne fait pas de mal aux enfants. La FDA joue le même petit jeu ; elle aussi est dans le déni, espérant que personne ne pourra remarquer que ce problème ne cesse de s’aggraver, jusqu’au jour où il pourrait être possible, qu’après avoir reçu des centaines de vaccins qui, dans un proche avenir seraient rendus « obligatoires », qu’1 enfant sur 5 devienne autiste en Amérique !

Il y va ici, chers amis, de l’effondrement d’une nation entière. Si on ne met fin à cet holocauste, l’Amérique ne pourra survivre. Aucun pays ne peut survivre à l’effondrement de la santé de ses citoyens. L’injection de mercure dans la population d’Amérique est tout juste aussi stupide que ce qu’ont fait les Romains en abreuvant leur population avec de l’eau contaminée par du plomb. De nombreux historiens disent que le saturnisme dont étaient atteints les citoyens de Rome n’a fait que précipiter sa chute. Aujourd’hui, les vaccins contribuent fortement à l’effondrement de la civilisation moderne.

 http://www.naturalnews.com/042013_vaccines_autism_Canary_Party_video.html

http://expovaccins.over-blog.com/article-les-vaccins-provoquent-ils-l-autisme-120011773.html

 Le Dr Mendelsohn,MD., éminent pédiatre est aussi très direct :

 « La plus grande menace pour les enfants, ce sont les efforts dangereux et inutiles qui sont faits pour éviter leurs maladies au cours des vaccinations de masse. Beaucoup de choses que l’on vous a fait croire sur les vaccinations ne sont tout simplement pas vraies. S’il m’était permis de suivre mes convictions les plus profondes, je vous presserais de rejeter toutes les vaccinations pour vos enfants. » 

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8 septembre 2013

Exclusivité Natural News : l'acide phosphorique des sodas dissout les dents

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 septembre 2013
(NaturalNews) Une autre découverte capitale avec la nouvelle enquête du laboratoire de NN, où nous avons mis sous le microscope les dents d'un mammifère qui ont trempé dans de l'acide phosphorique – le même acide que celui utilisé dans les sodas et limonades et qu'on trouve dans les produits Coca-Cola et Pepsi.

J'ai terminé cette recherche et la vidéo il y a environ une semaine et ai été stupéfait de découvrir avec quelle facilité l'acide phosphorique détruit les dents. Regardez les surprenantes photos et la vidéo ci-dessous pour d'autres détails.

Je veux que vous sachiez que ces photos n'ont été "trafiquées" en aucune manière. De plus aucun animal n'a été maltraité ou tué pour faire la vidéo. L'acide phosphorique de cet expérience scientifique est pur à 85%, c'est le même genre d'acide que celui utilisé dans les sodas. Aucun autre acide n'a été utilisé pour l'expérimentation. Ces résultats sont reproductibles dans n'importe quel laboratoire scientifique.

Cette preuve des dégâts causés aux dents par l'acide phosphorique sera sauvagement attaquée par l'industrie des sodas, qui a derrière elle une longue histoire de démentis des faits scientifiques. Si donc vous lisez des commentaires négatifs sous cet article ou avec la vidéo, vous saurez que des trolls sont probablement payés dans l'intérêt des sociétés pour embrouiller ces découvertes et attaquer le messager plutôt qu'admettre que leurs produits font un vrai tort à leurs clients.

Une explication complète sur des faits supplémentaires concernant cette expérimentation est publiée à la fin de cet article.

Regardez les choquantes photos

Voici la première photo des dents qui ont servi pour cette expérience. Elles ont été retirées sur la mâchoire inférieure d'un ours sauvage trouvé mort au Texas. Elles étaient totalement intactes et n'avaient pas été exposés aux éléments. (Oui, je collectionne des spécimens de la nature pour les rapporter au laboratoire pour des investigations dans l'intérêt public)
Pour réaliser l'expérience, nous avons ensuite baigné ces dents dans de l'acide phosphorique.

 

 

Ce qui a entraîné une réaction chimique immédiate, donnant un dégagement de gaz visible sur cette photo avec l'acide phosphorique qui a entamé l'émail de la dent :
 

 

 
Voici la même dent après réaction à l'acide phosphorique. Comme on peut le voir, l'intégrité de la dent est fortement compromise :

 

 

Regardez d'autres photos AVANT-APRÈS :

Faits sur l'expérience des dents avec l'acide phosphorique

Voici des éléments sur la manière dont ceci s'est accompli :

 

  • Aussi bien le Coca que le Pepsi contiennent de l'acide phosphorique comme ingrédient-clé, qui figure sur l'étiquette (image).

 

 

  • Les dents qui ont servi pour cette expérience sont des dents de mammifères récupérées sur un ours sauvage du Texas. Ces dents se trouvaient sur l'os de la mâchoire et n'avaient jamais été exposées aux éléments. (Aucun animal n'a été tué pour mener cette recherche. Des ours sauvages vivent et meurent tous les jours dans l'intérieur du Texas et on en trouve facilement déjà morts avec des os récents intacts.)
  • Les dents des ours sauvages sont presque identiques aux dents humaines en terme de structure, physiologie et composition des éléments. Leurs propriétés de dureté et de durabilité sont, en fait, supérieures à la plupart des dents humaines d'aujourd'hui (parce que les ours ont une alimentation beaucoup plus variée que presque tous les humains actuels qui consomment des éléments transformés carencés et bourrés de produits chimiques).
  • Avant d'être mises dans un bain d'acide, les dents étaient relativement lisses et dures. Elles ont été difficiles à extraire de la mâchoire et à arracher à l'aide de pinces. Nous n'avons pas pesé les dents avant le bain d'acide mais prévoyons de le faire dans une version plus complète de cette expérience qui vérifiera la perte de masse causée par l'acide phosphorique.
  • Les dents ont trempé dans une solution d'acide phosphorique à 85 % pendant 12 heures. Cette concentration d'acide est beaucoup plus élevée que celle trouvée habituellement dans les sodas, donc les effets constatés ici sont accélérés en comparaison de ceux qu'on verrait avec une plus faible concentration des acides trouvés dans le soda.
  • Selon un sondage de 2012 (Gallup), presque la moitié des américains boivent un soda par jour, baignant donc chaque jour leurs dents dans de l'acide phosphorique.
  • Selon des informations publiées sur les sodas, l'américain moyen boit 170 litres de boissons sucrées chaque année. Chaque bouteille de soda d'un demi-litre contient 16 cuillères à café de sucre.
  • Coca-Cola aurait prétendu que la réelle quantité d'acide phosphorique de ses sodas est du "domaine privé" et donc non disponible au public.
  • Un médecin cité sur ABC News confirme que l'acide phosphorique du soda peut détruire des os. "Le phosphore participe à la sortie du calcium de l'os, quand il est absorbé dans les sodas que boivent les gens", a dit le Dr Loren Wissner Greene du centre médical de l'université Langone de New-York.
  • Le pH du Coca-Cola est de 2,525, juste un peu plus que celui de l'acide d'une batterie.


Selon une étude scientifique publiée par LiveScience.com, "des dents immergées dans du Coca, du Pepsi, du Squirt, du Surge, du 7 Up et du 7 Up light perdent plus de 5 % de leur poids, selon l'article publié dans une école de médecine dentaire." Il y est dit que "Le potentiel érosif des colas est dix fois celui des jus de fruits dans les trois premières minutes d'ingestion, ce qu'une étude de l'année dernière a démontré".

L'acide phosphorique endommage autant les dents que l'utilisation de meth ( = méthamphétamine)

C'est encore plus choquant quand on réalise que l'acide phosphorique du soda peut endommager les dents autant que si on prend de la meth ou autres drogues illégales.

"Boire de grandes quantités de sa boisson gazeuse favorite pourrait être aussi dommageable pour les dents que la méthamphétamine et la cocaïne", dit une publication de l'Académie de Dentisterie générale.

Pour réaliser l'étude, "L'étude de cas de la dentisterie a comparé les dégâts dans la bouche de trois individus – l'un d'eux étant un utilisateur de meth, un autre ancien utilisateur de cocaïne et le dernier un buveur invétéré de sodas diététiques. Les chercheurs ont découvert le même type de sévérité dans les dommages d'érosion des dents de la bouche de chaque participant".

"Chacune des personnes a subi une érosion sévère des dents causée par les forts taux d'acides présent dans la drogue de leur choix – meth, crack ou soda", a dit Mohamed A. Bassiouny, qui a dirigé l'étude.

Bientôt d'autres investigations sur des aliments sur NaturalNews.

Source and bbb

Traduction par le BBB.

5 septembre 2013

Le Japon exige la divulgation des effets secondaires du vaccin anti- HPV

 

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Maman d’une victime japonaise du vaccin contre le HPV

 

Par Norma Erickson 29 août 2013 – Sanevax

L’encéphalomyélite aiguë disséminée et le syndrome de Guillain-Barré constituent-ils des réactions indésirables aux vaccins contre le HPV ? Pour le moment, les autorités sanitaires japonaises ne sont pas sûres, mais elles ont choisi d’appliquer le principe de précaution et d’informer le public au cas où. - De toute évidence, les autorités japonaises croient à un consentement éclairé.

Le 26 mars 2013, le Ministère de la Santé, du Travail et de la Prévoyance a informé GlaxoSmithKline qu’ils avaient 30 jours pour modifier la notice du Cervarix en ajoutant à la rubrique « Précautions/ section effets indésirables » ce qui suit :« Encéphalomyélite aiguë disséminée : il est possible que l’encéphalomyélite aiguë disséminée puisse se produire. Dans pareils cas, de la fièvre, des céphalées, des convulsions, des troubles du mouvement, des perturbations de la conscience se produisent généralement dans les quelques jours et jusqu’à deux semaines après la vaccination. Si l’on suspecte une encéphalomyélite aiguë disséminée, un diagnostic doit être effectué par IRM et des mesures appropriées doivent être prises. » Cette directive n’a pas été adressée à Merck parce que la notice du Gardasil avait déjà fait référence aux risques d’encéphalomyélite aiguë et de Guillain-Barré au moment où la directive a été émise.

Quelle est la raison de cette action ?

Au cours des trois premières années de l’utilisation des vaccins HPV, 3 cas d’encéphalomyélite aiguë et 5 cas de Guillain-Barré avaient déjà été rapportés après des injections pour lesquelles un lien de causalité avec le vaccin ne pouvait pas être exclu. [1]

A titre de référence, il y a eu aux Etats-Unis 31 cas d’encéphalomyélite aiguë disséminée et 121 rapports du syndrome de Guillain-Barré qui ont été communiqués au VAERS (Organisme officiel Américain auquel sont rapportés les cas d’effets secondaires des vaccins) au cours des 7 dernières années. [2] La FDA américaine n’a pas demandé que ces problèmes soient repris dans les notices. Comment pouvoir comprendre pareille chose ?

Dans votre pays, combien de rapports d’encéphalomyélites disséminées et combien de cas de Guillain-Barré ont été rapportés après les vaccinations contre le HPV ? Les responsables de Santé Publique ont-ils exigé que des modifications soient apportées aux notices ?

Pourquoi le Japon a-t-il pris pareille initiative audacieuse ?

A première vue, l’action du Ministère japonais peut donner l’impression qu’il a agi en fonction de son attachement au principe du consentement éclairé.Cependant, Toshie Ikeda, secrétaire général de l’Association Nationale des Victimes du vaccin contre la cancer du col de l’utérus et leurs parents, ainsi que le Dr Sotaro Sato, directeur du service de médecine interne de l’hôpital d’Osaki - (préfecture de Miyagi, croient que l’action du Ministère exige une analyse plus profonde. Il semble que deux motivations puissent expliquer l’action du Ministère. L’une cependant l’emportant sur l’autre.

Ils ont précisé que le premier motif possible était un désir sincère de conscientiser les médecins et autres intellectuels de la nature essentielle des graves effets indésirables des vaccins contre le HPV, Garsasil et Cervarix, afin de prévenir de nouveaux cas de graves dommages à la santé chez des millions d’adolescentes qui, à l’avenir seraient susceptibles de recevoir l’un ou l’autre de ces vaccins.

L’autre possibilité est la crainte de poursuites qui seraient déposées par l’Association des Victimes pour le compte de nombreuses familles désespérées, et dont les chères filles, précédemment en bonne santé, auraient été gravement atteintes, paralysées ou dont la santé aurait été horriblement dévastée par la vaccination contre le HPV.

Les tribunaux japonais auraient alors été susceptibles de mettre en valeur la responsabilité des bureaucrates de la Santé qui n’auraient pas pris les mesures de précaution et qui n’auraient pas laissé des preuves pouvant ensuite être utilisées pour prouver qu’ils ont au moins tenté de faire quelque chose pour arrêter la multiplication des troubles de santé pour les futures générations de jeunes-filles.

Le problème aurait été énorme si le gouvernement avait décidé – sous la pression d’universitaires ayant des liens financiers ou d’autres liens avec les fabricants de vaccins, d’activités de lobbying, d’ « experts » conseils embauchés par les fabricants, de politiciens - de recommander à nouveau l’utilisation de ces vaccins au cours de l’exercice en cours qui se termine le 31 mars 2014.

Il faut savoir que, selon les lois japonaises, les bureaucrates qui ont été jugés coupables d’avoir négligé leur devoir d’informer les consommateurs de soins médicaux de graves risques impliqués dans la prise de médicaments, vaccins et autres produits médicaux peuvent être poursuivis et sévèrement punis.

Un précédent très important a eu lieu en 2008 lorsque la Cour Suprême a confirmé une décision de la Haute Cour de Tokyo qui a imposé une peine d’un an d’emprisonnement à l’ancien bureaucrate principal du Ministère, Akihito Matsumara, avec deux ans de sursis, pour avoir négligé son obligation d’ordonner aux firmes pharmaceutiques de cesser de vendre des coagulants sanguins non chauffés qui étaient contaminés par le virus du sida.

Le juge principal Yuki Furuta de la plus Haute Cour du pays a précisé dans sa décision prise le 3 mars :

« Dans ce cas, des produits sanguins non chauffés ont largement été utilisés à l’époque de cet incident (infection). Un nombre important de ces produits étaient contaminés par le virus du sida. L’accusé aurait pu prévoir que si ces produits étaient utilisés, de nombreuses personnes seraient presqu’inévitablement infectées par le virus et développeraient un sida susceptible de finalement provoquer le décès de nombreuses personnes. »

Madame Ikeda qui a dirigé l’Association des victimes est actuellement assistée par certains des meilleurs médecins et scientifiques du pays, par certains politiciens honnêtes et courageux et qui sont préoccupés par le sort de nombreuses adolescentes qui ont été victimes des vaccins ou qui pourraient le devenir, à moins que la politique vaccinale concernant le vaccin contre le HPV soit interrompue.

Madame Ikeda a déclaré samedi :

« On ne sait toujours pas quelle est la motivation principale qui a constitué la toute première préoccupation des bureaucrates quand ils ont demandé la révision de la notice le 26 mars. Mais les mouvements de l’Association ont été étroitement surveillés par la bureaucratie du Ministère de la Santé. »

Le Dr Sato a déclaré vendredi qu’il était également conscient de deux implications possibles par rapport à la directive du Ministère. Il explique :

« Il est véritablement louable que certains bureaucrates consciencieux du Ministère semblent avoir fait de sérieux efforts pour alerter les personnes concernées par la directive, comme pour demander aux fabricants de produits pharmaceutiques d’ajouter à leur notice des références à des cas possibles d’encéphalomyélites aiguës disséminées et de Guillain-Barré.

Le désir des bureaucrates est d’éviter d’être ultérieurement tenus responsables devant les tribunaux pour avoir négligé leurs devoirs de supervision et de réglementation. Ainsi, l’augmentation du nombre des victimes semble avoir joué un rôle plus important dans la motivation du Ministère à émettre la directive.

La révision de la notice d’accompagnement ferait ainsi une différence significative si une plainte était déposée. Avec la publication de la directive, les fonctionnaires seraient en mesure de dire aux victimes, aux parents et à leurs partisans que le Ministère avait émis un avertissement important sur les effets indésirables possibles et que ce sont les victimes elles-mêmes qui sont responsables étant donné qu’elles n’ont tout simplement pas pris en compte la référence aux risques inclus dans la notice. »

Le Dr Sato a attiré l’attention sur la coïncidence des dates : L’Association des victimes a tenu sa première réunion des victimes et de leurs parents le 25 mars – un jour avant la publication de la directive. Le Ministère doit avoir suivi la série des événements qui ont mené à la création de l’Association pour laquelle des gens de bonne volonté ont uni leurs forces pour soulager l’agonie des victimes et empêcher les fabricants de vaccins, les associations médicales et le gouvernement de faire encore davantage de victimes, que ce soit involontairement, dans une semi-conscience et connaissance des effets secondaires ou par totale indifférence vis-à-vis des graves conséquences possibles des vaccins contre le HPV sur la santé des jeunes-filles.

Le Dr Sato a attiré l’attention sur un autre aspect essentiel de la question au sujet de la vaccination contre le HPV et qui se pose actuellement pour de nombreux médecins au Japon et ailleurs quand il a déclaré :

« Quand un médecin voit une jeune-fille qui a développé certains symptômes de l’encéphalomyélite aiguë disséminée ou d’un Guillain-Barré à la suite d’une vaccination, il ne sera pas nécessairement capable de reconnaître ces symptômes comme étant ceux d’une encéphalomyélite aiguë disséminée ou d’un Guillain-Barré, à moins que ce médecin ait une connaissance approfondie des troubles et maladies neurologiques. Il ’est pas facile pour les médecins d’associer les symptômes qu’il voit à une encéphalomyélite aiguë disséminée ou d’un Guillain-Barré. Au Japon, le pourcentage des médecins qui peuvent reconnaître les symptômes que présentent des jeunes-filles qui viennent les trouver pour les conséquences d’une encéphalomyélite aiguë disséminée doit être inférieur à 0,1%. »

Les autorités gouvernementales doivent établir et publier les critères de diagnostic unifiés pour aider les médecins à reconnaître les symptômes induits par une encéphalomyélite aiguë disséminée ou un Guillain-Barré et attirer l’attention des médecins sur lesdits critères. La plupart des médecins qui verront ce type de jeunes-filles à l’avenir doivent être familiers avec ces symptômes.

Le Dr Sato a averti :

« Se contenter d’obtenir des fabricants de vaccins une modification de notice n’est pas suffisant pour accroître la sensibilisation des médecins et des consommateurs de soins de santé aux risques potentiels de ces deux vaccins. A moins que le gouvernement fasse des efforts très sérieux pour attirer l’attention sur les effets néfastes et horribles de ces vaccins, il est probable que de nombreux médecins vont continuer à administrer des injections de vaccins sans être en mesure d’avoir le niveau d’attention nécessaire pour pouvoir établir un lien causal entre les vaccins et leurs effets secondaires. »

Les politiciens japonais commencent à parler

Le 28 mars 2013, un comité de sélection pour la Santé, les Affaires sociales et le Travail a tenu une séance spéciale pour voir si le sujet des vaccins contre le HPV pouvait être abordé avant un vote parlementaire sur l’opportunité d’ajouter trois maladies, dont le cancer du col de l’utérus à la liste des vaccins dont le coût devait être entièrement couvert par le gouvernement en vertu de la loi existante sur la prévention par la vaccination [3]

Sur les 722 membres du Parlement japonais, deux voix ont, à plusieurs reprises, mis fortement en question le sens que pouvait avoir une vaccination universelle contre le HPV. Ces deux voix se sont fait entendre au Parlement et dans les médias. L’une d’elle était celle de Mdame Tomoko Hata qui était membre du Parlement, mais pas membre du Comité de la Santé, du bien-être et du travail. L’autre personne était Madame Eriko Yamatani, ancienne collaboratrice du Premier Ministre Shinzo Abe. […] Madame Hata a tout fait pour que les personnes présentes à la séance des questions et réponses soient mises au courant des faits suivants concernant le HPV et le cancer du col de l’utérus au Japon :

 

·           La proportion des femmes japonaises porteuses des types HPV 16/18 est beaucoup plus faible que celle des femmes des pays occidentaux (0,5% pour le HPV 16 et 0,2% pour le HPV 18)

·      Plus de 99,1% des personnes porteuses du papillomavirus humain ne développeront pas de cancer ;

·      Chez 90% des personnes qui ont été exposées au HPV, le virus disparaîtra endéans les deux ans.

·      90% des personnes qui présentent les premiers signes de cancer du col utérin (dysplasie cervicale) vont guérir spontanément.

·      Le nombre des effets secondaires graves rapportés a été 52 fois plus élevé après le Cervarix qu’après les vaccinations contre la grippe et 26 fois plus élevé après le Gardasil qu’après les vaccinations contre la grippe.

Le même jour, le Parlement japonais a voté pour inclure le cancer du col de l’utérus dans la liste des maladies figurant dans les lois japonaises sur la vaccination. Madame Hata a voté contre l’inclusion proposée, tandis que Yamatani et quelques autres se sont abstenus. […]

Les victimes du vaccin contre le cancer du col de l’utérus et les parents s’organisent

Pendant ce temps, les victimes d’effets indésirables graves se sont organisées dans tout le Japon sous le nom suivant : Association Nationale des Victimes du Vaccin Contre le Cancer du Col de l’Utérus et leurs Parents.

 

Grâce à la collecte de rapports d’événements indésirables de particuliers [4], le public a commencé à comprendre que les événements indésirables signalés officiellement ne représentaient que la pointe émergée de l’iceberg.

 Conférence de presse des membres de l'Association des Victimes du Vaccin contre le HPV à Tokyo - photo Japan Times du 24 août 2013.

Cette organisation fait actuellement circuler une pétition à l’adresse des responsables de la Santé pour :

 

·             Faire interdire l’utilisation des vaccins contre le HPV dans tout le pays et faire reconnaître les dommages que peuvent causer les vaccins contre le HPV.

·        Mettre au point  des traitements pour les victimes des vaccinations contre le HPV.

·        Fournir une aide financière aux victimes de la vaccination contre le HPV

·        Mener des enquêtes auprès de tous ceux qui ont été vaccinés contre le HPV.

·        Faire participer les meilleurs experts en neuroscience (et qui ont vu des dizaines de victimes) à un Comité ministériel de Santé sur le problème des vaccins.

 Le Japon suspend la recommandation du vaccin contre le HPV

L’Association des Victimes des Vaccins Contre le Cancer du Col et leurs parents a apparemment fait impression sur les responsables de la Santé du gouvernement. Dans un geste sans précédent, et moins de trois mois après avoir recommandé les vaccins contre le HPV, les responsables gouvernementaux du Japon ont suspendu cette recommandation en attendant le résultat des enquêtes sur la sécurité du Gardasil et du Cervarix. [5] [6] Le jour même où la recommandation du vaccin a été suspendue, soit le 14 juin 2013, le Ministère de la Santé a publié une autre directive à l’adresse du président de la Commission sur la sécurité des médicaments (Fédération des fabricants de produits pharmaceutiques du Japon), au nom de M. Tomiko Tawaragi, directeur de la Division Sécurité (Bureau de la Sécurité alimentaire et des produits pharmaceutiques) [7]

Cette lettre exigeait que les fabricants du Gardasil et du Cervarix ajoutent ce qui suit au texte traitant des « Précautions » :

« Bien que les mécanismes de pathogenèse ne soient pas clairs, de fortes douleurs qui ne sont pas nécessairement localisées au site d’injection ( par exemple : douleurs musculaires, arthralgie, douleurs au niveau de la peau, etc.), engourdissement, faiblesse, etc. peuvent se produire après la vaccination et ces symptômes peuvent persister longtemps. Il faudrait conseiller aux personnes vaccinées et à leurs tuteurs de consulter un médecin qui pourrait fournir les soins médicaux appropriés et donner un diagnostic différentiel neurologique et immunologique si des anomalies se présentaient après la vaccination. »

Veuillez noter que le paragraphe ci-dessus indique que les sujets vaccinés et/ou leurs tuteurs doivent consulter un médecin si quelque anomalie que ce soit est observée après la vaccination.

Les consommateurs de soins médicaux de votre pays ont-ils été mis au courant de ces effets indésirables possibles ?

Les actions menées au Japon soulèvent des questions pour les consommateurs de soins médicaux dans le monde entier.

·      Les autorités de Santé de mon pays croient-elles à la valeur du consentement éclairé ?

·      Les risques associés aux vaccins HPV seront-ils aussi bien expliqués que leurs avantages ?

·      Les mesures alternatives de prévention du cancer du col sont-elles clairement expliquées ?

·      Les autorités de Santé de mon pays réalisent-elles bien quels sont les effets indésirables possibles des vaccins contre le HPV ?

·      Est-ce que les médecins sont formés à reconnaître ces événements comme des réactions possibles du vaccin ?

·      Que va-il se passer si je fais une réaction négative au vaccin ?

Réfléchissez bien, - si les vaccins contre le HPV sont aussi bons qu’ils devraient l’être, alors répondre à ces questions devrait être chose très facile. Vous avez le droit de savoir. On appelle cela le droit au consentement éclairé.

Qu’est-ce qui vous importe le plus – la sécurité du vaccin ou le nombre de personnes qu’il faut vacciner ?

 

Références

 

[1] Pharmaceuticals and Medical Devices Safety Information, no. 301, May 2013 (pages 7-13); Pharmaceutical and Food Safety Bureau, Ministry of Health, Labor and Welfare, Japan

[2] VAERS search for ADEM; VAERS search for GBS; conducted 25 Aug 20113

[3] Health, Welfare and Labor ~ question HPV vaccine (translation of video kindly provided for SaneVax by Shinji Sato)

[4] Individual Adverse Event Reports from Japan – collected by MS Toshie Ikeda (G=Gardasil; S=Cervarix; each vertical line is one person, with their symptoms indicated by a green circle)

[5] Breaking News: Japan Suspends Recommendation of HPV Vaccines, Erickson, June 2013

[6] HPV Vaccines: Japan Leads the Way; Erickson, June 2013

[7] Letter from Director of Safety, Ministry of Health, Labor and Welfare to Chairman of Federation of Pharmaceutical Manufacturers’ Association of Japan, June 14, 2013

 http://www.initiativecitoyenne.be/

Source: SaneVax

28 août 2013

Coca Cola défend l’aspartame face à la chute de ses ventes de Coca Light

Confronté à une chute de ses ventes de soda «light», Coca-Cola a lancé mercredi une campagne publicitaire aux Etats-Unis mettant en avant l’innocuité de l’édulcorant aspartame mise en doute par des nutritionnistes.

 Les publicités publiées dans plusieurs quotidiens américains dont USA Today montrent des femmes souriant qui tiennent un Coca Light à la main accompagné du slogan: «Des produits de qualité qui vous comblent toujours de bien-être». Une note près de la photo indique que «la sûreté de l’aspartame est confirmée par plus de 200 études depuis ces 40 dernières années.»

 L’industrie des boissons gazeuses subit un recul de ses ventes aux Etats-Unis au moment où des groupes de défense de consommateurs et des élus comme le maire de New York, mènent campagne contre les sodas qu’ils accusent d’alimenter l’épidémie d’obésité en Amérique.

 Les ventes de Coca Light ont reculé de 3% en 2012 par rapport à l’année précédente tandis que celles du Coca normal ont baissé de 1%, selon la revue spécialisée Beverage Digest. Quant à Pepsi, ses ventes de soda ont diminué de 3,4% sur la même période tandis que celles de son Pepsi «light» ont plongé de 6,2%.

 Selon Karen Congro, une nutritionniste au Centre hospitalier de Brooklyn, on ignore si à long terme la consommation d’aspartame est sûre. «Malgré les affirmations de Coca-Cola et des autres sociétés sur la sûreté de l’aspartame, nous ne connaissons pas ses effets à long terme», a-t-elle dit.

 L’Agence américaine des produits alimentaires et des médicaments (FDA) a autorisé sa commercialisation dans les années 80. «On constate un rejet grandissant non seulement des sodas light mais aussi d’autre produits contenant des agents sucrants artificiels et d’autres ingrédients artificiels», selon cette nutritionniste.

 Karen Congro note que des recherches récentes montrent que les personnes qui recourent aux édulcorants dans le cadre d’un régime alimentaire peuvent finir par consommer plus de calories. «Dépendre des succédanés artificiels de sucre accroît l’envie de sucre qui peut contribuer à l’obésité et à de mauvaises habitudes alimentaires», a-t-elle expliqué.

 «Il est possible que le cerveau réagisse aux édulcorants dans les sodas light et d’autres aliments en libérant de l’insuline qui peut donner faim surtout pour du sucre», affirme-t-elle enfin.

 From www.lanouvellegazette.be -

13 juin 2013

Le secret révélé de la foi : DMT la molécule de l'esprit

6a00d8341bf7f753ef00e54f401de58834_800wi"Les recherches faites sur la pinéale et sur la DMT pourraient représenter la connection de Dieu, celle qui interagit avec notre évolution naturelle pour stimuler et accélérer le processus de la rédemption et de l'illumination individuelle et collective. "
Le scientifique qui a mené ces expériences dans les années 90, bien après les balbutiements des psychédéliques, a écrit un bouquin, "DMT, La molécule de l'esprit : Les potentialités insoupçonnées du cerveau humain" :
"De 1990 à 1995, le docteur R. Strassman, l'un des psychiatres américains parmi les plus éminents, a mené la plus grande recherche psychédélique jamais réalisée en expérimentant sur des dizaines de volontaires la mystérieuse "Molécule de l'esprit" : le D.M.T (di. méthyl-triptamine). Avec sincérité et une rigueur scientifique exceptionnelle, le docteur Strassman relate des dizaines de récits dont l'intensité, la profondeur et l'étrangeté sont réellement saisissantes d'autant plus que beaucoup d'entre eux se réfèrent au Bardo (état intermédiaire qui va de la mort à la prochaine naissance). Cet ouvrage est aux antipodes de la scolastique partisane et figée de la nomenklatura médicale. Les hypothèses avancées qu'il présente en irriteront plus d'un, mais personne ne restera insensible aux incroyables ouvertures qui se dégagent de ces recherches sur le cerveau humain et ses potentialités insoupçonnées. Le DMT est-il cette "molécule de l'esprit" en connexion avec la fameuse glande pinéale, considérée par les Hindous comme le lieu du septième Chakra et par Descartes comme le siège de l'esprit ? Une remarquable étude aux frontières de la connaissance. " La preuve de l'existence d'une source spirituelle infinie et bienfaisante.

La mélatonine reste interdite en France et dans de nombreux pays , on comprend mieux .pourquoi ......

6 juin 2013

Les bactéries et l’ADN virale émettent des ondes de basse fréquence

internet_lieu_travail_1Le Dr Luc Montagnier et cinq autres chercheurs ont publié le 23 décembre 2010 un papier intitulé “DNA waves and water” dont je vous propose la traduction suivante de l’abstract : Certaines séquences bactérienne et d’ADN virale induisent des ondes électromagnétiques de basse fréquence dans des hautes dilution aqueuses. Ce phénomène semble être démarré par le bruit de fond électromagnétique ambiant à très basse fréquence. Nous interprétons ce phénomène dans le cadre de la théorie quantique des champs. Le phénomène concerné pourrait permettre de développer des systèmes de détection extrêmement sensibles pour les infections chroniques bactérienne et virales (1).

Du point de vue de l’establishment médico-scientifique, le Dr Montagnier c’est Dr Jekill et Mr Hyde. Il est d’une part une sommité titulaire du prix Nobel de médecine de 2008 pour ses travaux sur le vih , et d’autre part il dit découvrir des phénomènes qui au mieux en font un disciple de Jacques Benveniste (chercheur génial mais trop dangereux pour l’establishment et Big Pharma qui réussirent à le discréditer), au pire un électron libre. Liberté que l’on retrouve notamment dans cette fameuse entrevue de Luc Montagnier à propos de nos capacités de résistance au vih, mais revenons-en à notre sujet.

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En clair, le Dr Montagnier dit que des ondes de très basse fréquence (7 Hz) semblent imprimer à l’eau du récipient B (100% pure) une image de fragments d’ADN contenu dans le récipient A, et que l’amplification par PCR de cette image recrée en vrai ces mêmes fragments d’ADN. Succinctement, la technique PCR (Polymerase Chain reaction) utilise des enzymes qui recopient des millions de fois les traces ADN de départ, d’ou un effet grossissant permettant de voir la structure originelle – une loupe biologique en quelque sorte. Dans l’expérience qui nous concerne ici, il semble que les enzymes perçoivent l’image de l’ADN comme étant une réelle ADN, et en font des – réelles – copies.alors les ondes peuvent provoquer des maladies ciblees une arme très ingénieuse ils restent a faire rentrer les modèles a reproduire et il ne serait pas impossible que les chemtrails servent de contaminant  qui seront activés par basse fréquence .très ingénieux sachant que l'ADN humain émet une fréquence unique alors une fois que votre fréquence est repérée il suffit alors de vous envoyez une maladie sur la fréquence de résonance de votre ADN pour vous générer un cancer ou tout autre maladie ....à suivre .


(1) Texte d’origine : Some bacterial and viral DNA sequences have been found to induce low frequencyelectromagnetic waves in high aqueous dilutions. This phenomenon appears to be triggered bythe ambient electromagnetic background of very low frequency. We discuss this phenomenonin the framework of quantum field theory. A scheme able to account for the observations isproposed. The reported phenomenon could allow to develop highly sensitive detection systemsfor chronic bacterial and viral infections.

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