L'ensemble des capacités de stockage informatique actuelles représente moins d'1 % de la quantité d'informations mémorisées dans les molécules d'ADN d'un seul être humain.
L'ordinateur loin de rivaliser avec notre ADN
La complexité de la molécule d’ADN:
les probabilités montrent clairement qu’il est impossible que des molécules complexes telles que des protéines ou bien des acides nucléiques tels que l’ADN ou l’ARN puissent émerger par simple hasard. Pour compléter ce que disait le professeur Stephen C.Meyer à propos de la probabilité qui était de 1 sur 10 puissance 164, voici ce que déclare le docteur Leslie Orgel, collègue de Francis Crick et de Stanley Miller à l’université de San Diego en Californie :
“Il est extrêmement improbable que des protéines et des acides nucléiques, qui sont structurellement complexes, aient surgi d’elles-mêmes au même endroit au même moment. Pourtant, il semble également impossible d’obtenir l’un sans l’autre. Et donc, à première vue, on doit conclure que la vie ne peut en aucun cas avoir été initiée par des moyens chimiques.”
(The Origin of Life on Earth”, Scientific American, vol. 271, Octobre 1994, p. 78)
Ce qui rend ceci encore plus improbable est le fait que l’ADN et les protéines doivent émerger en même temps car l’ADN ne peut pas fonctionner sans les protéines tout comme nous le confirme le scientifique John Horgan dans le magazine “scientific american”:
“L’ADN ne peut pas fonctionner et ne peut pas former d’autres molécules d’ ADN sans l’aide de protéines catalytiques ou enzymes. En résumé, l’ADN ne peut pas se former sans protéines et vice versa”
(“In the Beginning”, Scientific American, vol. 264, Février 1991, p. 119)
Raison pour laquelle deux ans après la découverte de l’ADN, Homer Jacobson, professeur de chimie, fait ce commentaire :
“Les instructions pour la reproduction de plans, pour l’énergie et l’extraction des parties de l’environnement actuel, pour la séquence de croissance et pour le mécanisme réalisateur qui traduit les instructions en croissance, tout devait être simultanément présent à ce moment [lorsque la vie a commencé]. Cette combinaison d’événements semble être un hasard incroyablement improbable.”
(“Information, Reproduction and the Origin of Life”, American Scientist, janvier 1955, p. 121)
Malgré tout cela, les évolutionnistes veulent nous faire croire à ce qu’ils appellent la thèse de l’ARN, c’est à dire qu’un ARN (acide ribonucléique, qui est une copie d’une région de l’un des brins de l’ADN) est apparu par chance et s’est ensuite mis à fabriquer des protéines puis, est venu l’ADN etc… Le paradoxe dans tout cela est qu’un ARN ne peut pas produire de protéines sans que celles-ci existent au préalable.
Tandis que les évolutionnistes veulent à tout prix donner une réponse, certains scientifiques, quant à eux, sont plus raisonnables et ne préfèrent pas en donner, à l’exemple du biochimiste Douglas R. Hofstadter qui a dit :
“”De quelle manière le Code Génétique, ainsi que les mécanismes pour sa traduction (ribosomes et molécules d’ARN) ont-ils émergé ?” Pour le moment, nous devrons nous contenter d’émerveillement et d’admiration, plutôt que d’une réponse.”
(Godel, Escher, Bach: An Eternal Golden Braid, Vintage Books, New York, 1980, p. 548
Pour finir, Francis Crick (l’un des biologistes qui a découvert la structure de l’ADN) avait admis, suite à la découverte de la molécule d’ADN, que celle-ci ne pouvait pas être le fruit du hasard. Et bien voici exactement ce qu’il a dit :
“Un homme honnête, muni de toute la connaissance qui est mise à notre disposition maintenant, ne pourrait qu’affirmer que, dans un certain sens, l’origine de la vie semble, pour le moment, être presque un miracle”
Life Itself: It’s Origin and Nature, New York, Simon & Schuster, 1981, p. 88
On comprend donc mieux pourquoi le célèbre peintre Salvador Dali disait :
“L’annonce de la découverte de la molécule d’ADN par Watson & Francis Crick représente pour moi la vraie preuve de l’existence de Dieu”
-Salvador Dali (University of Washington Press, Seattle 1966)