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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
grippe
14 décembre 2015

Cette année, la plupart des Américains refusent le vaccin contre la grippe

 

Par Jefferey Jaxen, Health Impact News, 2 décembre 2015 (Extraits)

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Selon les rapports de presse locaux qui surgissent à travers le pays, les vaccins contre la grippe des années 2015-2016 montrent une efficacité de 18% chez les adultes et une efficacité de 15% chez les enfants. Les médias locaux du Michigan, de la Géorgie, de la Californie, ainsi que d’autres états ont décidé de faire passer cette information dans les titres de leurs journaux, alors qu’au moment d’écrire ces lignes, les médias nationaux ne semblent pas avoir fait allusion à ces chiffres.

 

Bien que sans cesse vanté par les principaux médias comme étant «  la seule et meilleure manière de se prémunir contre la grippe », c’est en fait maintenant la deuxième année consécutive que l’efficacité de la vaccination contre la grippe n’a pas dépassé 25 %. En janvier dernier, USA Today titrait : « Cette saison, le vaccin contre la grippe efficace à 23% ». Ces chiffres lugubres concernant les Etats-Unis, auraient été bien accueillis par les « Officiels » du Centre Canadien de Contrôle des Maladies qui a déclaré lors de la dernière saison de grippe que leurs vaccins contre la grippe offraient une protection pratiquement égale à zéro. […]

 

L’immunité de groupe

 

La définition officielle du gouvernement est celle-ci : Quand la partie critique d’une communauté est immunisée contre une maladie contagieuse, la plupart des membres de cette communauté sont protégés contre cette maladie parce qu’il y a peu de chances qu’une épidémie puisse se produire ». Que l’immunité de groupe soit justifiée ou non, qu’elle soit efficace ou non, elle n’en reste pas moins l’idéologie dominante qui oriente le gouvernement fédéral américain, ainsi que la communauté médicale dominante. L’initiative « Healthy People 2020 » demande que l’on atteigne de 80 à 90 % de couverture vaccinale par rapport à toutes les catégories de vaccinations recommandées. Comment cette immunité de groupe pourrait-elle être atteinte avec une efficacité de 18 et 15% ? […]

 

Vaccin contre la grippe : à vos propres risques

 

Prenons maintenant un moment pour jeter un coup d’œil au mythe du vaccin « sûr et efficace ».

 

Les notices des vaccins contre la grippe recommandés par le CDC et fabriqués par plusieurs compagnies pharmaceutiques dont le Flucelvax, le Flulaval, le Flublok, le Fluarix, l’Afluria, le fluzone et le Fluvirin, toutes ces notices portent l’une ou l’autre des mentions suivantes :

 

« La sécurité et l’efficacité n’ont pas été établies chez les femmes enceintes ou qui allaitent »

 

« … n’a pas été évalué pour son potentiel carcinogène ou mutagène. »

 

Avec respectivement 18 et 15% d’efficacité cette année, nombreux sont ceux qui s’interrogent à juste titre sur le rapport bénéfices/risques. Un sondage effectué en octobre par le NPR sur 3.008 adultes a révélé que 64% de ces adultes refusaient le vaccin de cette année contre la grippe  et donnaient les réponses suivantes :

 

SONDAGE : pourquoi n’avez-vous pas l’intention de vous faire vacciner cette année contre la grippe ?

 

- N’en éprouve pas le besoin

- Risques et effets secondaires

- Le vaccin lui-même peut donner la grippe

- Inefficacité du vaccin

- Inopportun

- Aucune garantie

- Prix du vaccin

- Réactions allergiques

- Autres

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En outre, les enfants semblent assumer un fardeau plus lourd selon les différentes notices :

 

Flubok : «  La sécurité et l’efficacité chez les enfants de 3 ans à moins de 18 ans n’ont pas été établies »

 

Flucelvax : « La sécurité et l’efficacité n’ont pas été établies chez les enfants de moins de 18 ans. »

 

Fluzone : « La sécurité et l’efficacité n’ont pas été établies chez les enfants en-dessous de 6 mois »

 

Fluvirin : « La sécurité et l’immunogénicité n’ont pas été établies chez les enfants en-dessous de 4 ans d’âge. »

 

Flulaval : » La sécurité et l’efficacité n’ont pas été établies chez les enfants de moins de 3 ans. »

 

Afluria : « … non approuvé pour utilisation chez les enfants de moins de 5 ans. »

 

Fluarix : « … Non approuvé pour utilisation chez les enfants de moins de 3 ans. »

 

Fluvirin : «  La sécurité et l’immunogénicité n’ont pas été établies chez les enfants de moins de 4 ans. »

 

En dépit de tout ce que votre médecin pourra vous dire pour vous convaincre de vous faire vacciner contre la grippe, il est un fait que le vaccin n’a pas été évalué pour les risques de cancer, pour la sécurité des femmes enceintes ou celle de différentes tranches d’âges d’enfants. En outre tous ceux qui reçoivent chaque année le vaccin contre la grippe sont en fait les sujets de tests pour un vaccin expérimental aux conséquences sanitaires inconnues. Comme l’a expliqué le Dr Geier, le CDC ne se conforme pas à la loi sur les vaccins  qui exige pour les autres vaccins des études de sécurité à long terme. Mais la chose n’est guère possible pour le vaccin contre la grippe qui change chaque année.

 

Ensuite, comme l’indiquent les derniers chiffres trimestriels rapportés par le Ministère de la Justice sur les dommages vaccinaux, le vaccin contre la grippe s’avère être le vaccin le plus dangereux quant aux dommages et décès qu’il peut engendrer et qui ont été indemnisés par le gouvernement des Etats-Unis. Selon ce rapport, le Syndrome de Guillain Barré  serait la complication la plus fréquente du vaccin contre la grippe.  D’autres complications comprennent la fibromyalgie, la myélite transverse, la polyneuropathie démyélinisante inflammatoire chronique, l’encéphalomyélite aiguë disséminée, et la mort. […]

 

Source : Health impact news http://initiativecitoyenne.be/

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11 janvier 2014

Une infirmière dénonce l’obligation de la vaccination contre la grippe

Infirmieres-et-vaccinations

 

J’ai été infirmière pendant 22 ans. Chaque année quand on me demandait si je voulais me faire vacciner contre la grippe, je refusais. Mais aujourd’hui, l’atmosphère a changé et est devenue très bizarre. Si on refuse, on est traité de façon telle que l’on ne se sent plus respectée.

 

Après avoir aussi travaillé pendant 10 ans pour l’industrie pharmaceutique, je me dois de dire que je ne puis plus le moins du monde faire confiance à Big Pharma.

 

Je suis la fille qui est prête et décidée à se lever pour défendre une collègue que l’on voudrait intimider. Dans le domaine de la vaccination, les pressions sont plus courantes que ce que l’on peut imaginer. Dans certains états, les infirmières qui refusent vont jusqu’à perdre leur emploi. Dans certains hôpitaux, celles qui refusent sont obligées de porter un masque : une manière comme une autre de stigmatiser ces personnes, de les culpabiliser parce qu’elles ne font pas ce qu’il faudrait faire vis-à-vis de leurs patients.

 

Il y a surtout une raison pour laquelle j’ai voulu faire ce témoignage. Il s’agit notamment du cas de ma grand-mère qui a contracté la polio après avoir reçu le vaccin. Elle a été très mal pendant tout le temps que je l’ai connue. C’est moi qui ai dû m’en occuper et la soigner. Avant de recevoir ce vaccin, elle avait toujours été en parfaite santé, débordant d’énergie. C’est finalement ce qui est arrivé à ma grand-mère qui m’a décidé à faire des études d’infirmière. Je n’ai pas tout de suite compris pourquoi sa santé s’était subitement dégradée. Mais aujourd’hui, j’ai d’excellentes raisons de refuser les vaccins et je n’accepte plus qu'on me ridiculise pour la position que j’ai prise. Si quelqu’un veut se faire vacciner, je respecte évidemment son choix. Si la personne y croit, c’est OK, c’est très bien pour elle.

 

Mais si on me demande mon opinion, si on me demande : « dois-je me faire vacciner ? », Je réponds clairement que je ne crois pas que vous devriez le faire et j’explique pourquoi. On vous prend vraiment pour une conspirationniste quand vous osez poser  des questions sur la vaccination !

 

Je voudrais suggérer que tout un chacun puisse faire ses propres recherches. Il existe une telle quantité d’informations sur le sujet.

 

Il y aurait aussi quantité de questions à se poser par rapport aux ingrédients que contiennent les vaccins…

 

J’ai toujours souhaité que les infirmières aient la force de défendre leurs opinions, leurs droits.

 

Je voudrais demander à tout un chacun de garder l’esprit ouvert, de faire personnellement ses recherches, de ne plus accepter de se laisser mener par le bout du nez dans une atmosphère de troupeau. Je voudrais que chacun puisse prendre conscience qu’il est le premier responsable de sa santé, qu’il a aussi son mot à dire par rapport à tout ce que d’autres veulent lui fourguer. Les pressions sont actuellement si fortes que l’on pourrait se demander si tout cela ne cache pas quelque chose d'autre.

 

Ce que je veux, c’est que les infirmières puissent s’exprimer, que l’on cesse de les intimider, de les tyranniser.

 

Tout comme moi, d’autres infirmières n’aiment pas les vaccins et ne veulent donc pas se faire vacciner. Je dois ajouter que ce n’est pas une raison pour nous traiter de folles, d’inconscientes, de méchantes. Je suis vraiment en colère par rapport à la situation que doivent vivre actuellement les infirmières.

 

 

http://www.activistpost.com/2014/01/nurse-talks-mandatory-flu-shot-vaccines.html?showComment=13892978696770

 

Aux Etats-Unis, les infirmières se mobilisent contre l’obligation vaccinale

 

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 Et vous, comment vous mobilisez-vous??

Aux Etats-Unis, les infirmières se mobilisent contre l’obligation vaccinale

 

 

                       

 Et vous, comment vous mobilisez-vous??

27 octobre 2013

Une étude découvre le lien entre le virus de la grippe et le déclenchement du diabète

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Des chercheurs en Italie ont découvert que le virus de la grippe contribuerait au déclenchement du diabète. La découverte permettrait aux scientifiques de découvrir le moyen d'éviter certaines formes de la condition. L'étude a été financée partiellement par le projet FLUTRAIN («Training and technology transfer of avian influenza diagnostics and disease management skills»), qui a reçu 1,8 million d'euros au titre du domaine thématique Politiques du sixième programme-cadre (6e PC) de l'UE.

Le diabète est une maladie qui se déclare quand les cellules n'arrivent plus à absorber le sucre dans le sang. Ce phénomène se déclenche quand les cellules sont insensibles à l'insuline, entraînant le diabète de type 2. Les études ont identifié un lien entre l'alimentation, le style de vie et le diabète de type 2. D'autres études ont également démontré que le diabète de type 1 se déclare lorsque le système immunitaire perturbe les cellules pancréatiques productrices de l'insuline. Les individus touchés par le diabète de type 1 ont une prédisposition génétique à ce trouble.

Pendant près de 40 ans, les scientifiques ont postulé que les virus seraient responsables du diabète. Le diabète de type 1, par exemple, se déclare généralement après une infection. Pourtant, les preuves confirmant ce fait étaient insuffisantes, jusqu'à présent.

La revue New Scientist avait rapporté qu'une équipe de chercheurs sous la direction d'Ilaria Capua du bureau italien de l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) a étudié le virus de la grippe chez les dindes car les oiseaux malades souffrent généralement d'une inflammation du pancréas. Sans faire attention si les dindes étaient touchées par des souches du virus qui ne se répandent généralement pas en dehors des poumons, les chercheurs ont découvert que de nombreuses dindes ont développé des lésions pancréatiques graves et le diabète. Ils ont ensuite infecté des tissus pancréatiques avec deux virus de la grippe communs, et tous deux «se sont bien développés» dans les tissus, selon le Dr Capua.

Selon les chercheurs, la production d'un ensemble de substances chimiques de l'inflammation a été générée par la présence du virus dans les cellules pancréatiques. Les substances chimiques jouent un rôle dans les réactions auto-immunes qui entraînent le diabète de type 1. Certains chercheurs pensent que les cellules immunitaires présentent des indications de tissus infectés aux lymphocytes T destructrices, pour les aider à reconnaître le virus. Pourtant, les cellules T apprennent également à reconnaître les cellules productrices de l'insuline, et à les détruire.

En ce qui concerne la présence de grippe dans le pancréas, le Dr Capua explique que l'organe offre un environnement qui permet au virus de se répliquer.

Les chercheurs italiens étudient les effets de la grippe sur des modèles murins de diabète de type 1 et examinent l'infection grippale récente chez des patients chez qui la maladie vient d'être diagnostiquée. «Même si la grippe n'est responsable que d'un petit pourcentage des cas de diabète de type 1», commente le Dr Capua, «nous pouvons vacciner et éviter le déclenchement de la maladie chez les personnes génétiquement prédisposées, ce qui aurait réellement un grand impact».

Pour plus d'informations, consulter:

Organisation mondiale de la santé animale:
http://www.oie.int/fr/

New Scientist:
http://www.newscientist.com/

Catégorie: Résultats des projets
Source des informations: New Scientist
Référence du Document: D'après des informations communiquées par New Scientist
Codes de Classification de l'Index des Sujets: Coordination, coopération; Education, formation; Innovation, Transfert de technologies; Sciences du vivant; Stratégies; Recherche scientifique

26 septembre 2013

Dossier : les vertus du jeûne dans la lutte contre toutes sortes de maladies, cancer compris !

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Après le succès considérable de son documentaire sur les vertus du jeûne dans la lutte contre toutes sortes de maladies, cancer compris, Thierry de Lestrade consacre cette semaine un livre au même sujet: son enquête, qui sort aux Editions de La Découverte, s’intitule tout simplement «le Jeûne, une nouvelle thérapie ?». Entretien 

BibliObs Vous faites connaître en France les travaux de Valter Longo, professeur de gérontologie et de biologie à l’Université de Californie, convaincu que le jeûne accroit l’effet bénéfique de la chimiothérapie sur les cellules cancéreuses et limite les effets secondaires. Quel est son raisonnement?

Thierry de Lestrade Valter Longo est un chercheur spécialisé dans la recherche des mécanismes du vieillissement. Son but est de repousser les maladies qui nous font peur: cancer, Alzheimer, maladies chroniques invalidantes ou dégénératives. Il cherche à augmenter, non pas seulement l'espérance de vie, mais surtout l'espérance de vie... en bonne santé. C'est très important, c'est une nouvelle frontière en biologie. Comment vivre vieux et en bonne forme. A la suite d'un raisonnement scientifique original, Longo émet l'hypothèse que le jeûne protégerait les cellules du corps humain. Reste à valider cette hypothèse.

En 2007, il a l'idée de confronter l'organisme à un poison et d'observer si le jeûne a un réel effet protecteur. Mais quel poison choisir? Il choisit un poison largement utilisé en médecine: la chimiothérapie. En choisissant la chimio, son but est d'être utile: si le jeûne pouvait protéger les cellules saines de la chimiothérapie, cela serait révolutionnaire !

On le traite de fou. Dans les labos de Californie où l'on joue avec les gènes, faire jeûner paraît une idée absurde. L'équipe de Longo prend deux groupes de souris, atteintes de cancer. Le premier groupe mange sans restriction, le second est soumis à un jeûne de 48 heures. On donne des fortes doses de chimiothérapie à toutes les souris et... surprise: les 2/3 des souris nourries normalement meurent alors que les survivantes ont des atteintes neurologiques et musculaires, tandis que les souris qui avaient jeûné sont en pleine forme. Nous montrons les images de ces souris dans le documentaire diffusé par Arte, elles sont impressionnantes.

Comment expliquer ces résultats spectaculaires? Longo y répond en faisant appel à la biologie moléculaire – et c'est sa grande force: utiliser les techniques scientifiques les plus modernes. Grâce à ces techniques, il observe la modification de l'expression des gènes après 48 heures de jeûne environ. Il peut expliquer que les cellules saines se mettent en mode «protection», en économisant leur énergie, alors que les cellules cancéreuses sont incapables de se protéger. Elles détestent le jeûne, cherchent toujours du «carburant» qu'elles ne trouvent plus. Quand la chimio arrive dans l'organisme, les cellules saines s'en protègent et les cellules cancéreuses l'absorbent avec avidité.

 
Thierry de Lestrade, réalisateur de documentaires, est l’auteur d’une vingtaine de films dont, avec Sylvie Gilman, «Le Jeûne, une nouvelle thérapie ?» videos en bas de page dispo . (Arte, 2012, 2013). Plusieurs fois primé, il a reçu le prix Albert-Londres pour «La Justice des hommes» (2002) et le prix Europa pour «Mâles en péril» (2008). (©DR)

Dans la publication de ses premiers résultats en février 2012 dans la revue «Science Translational medecine», Valter Longo établit que la chimiothérapie marche beaucoup mieux sur les souris qui jeûnent que sur celles qui mangent. Mais comment peut-il ainsi extrapoler ces résultats à l’homme alors que la mise en route d’essais au Norris Hospital de Los Angeles, et à la Mayo Clinique de Rochester viennent de démarrer?

C'est évident, il faut rester prudent. Les essais cliniques sur le jeûne et la chimiothérapie n'en sont encore qu'à leurs débuts. Mais Longo a pu d'ores et déjà mettre en évidence les effets du jeûne sur des cellules humaines. Certes, c'est seulement dans son laboratoire, in vitro. Reste que les mécanismes de base du jeûne fonctionnent de la même manière chez l'homme et chez l'animal. On peut penser que la «protection» s'opère également. Sera-t-elle aussi forte que chez la souris, combien de temps faudrait-il jeûner pour qu'elle soit efficace? De nombreuses questions restent en suspens.

Les études sur le jeûne menées derrière le rideau de fer depuis les années 60 vont dans le même sens. Pouvez-vous nous raconter cette épopée scientifique?

Les Soviétiques ont beaucoup travaillé sur le jeûne pendant une quarantaine d'années: ils ont publié des centaines d'études sur le sujet, mais ces études sont restées inconnues parce qu'elles n'ont jamais été traduites. C'est en faisant l'enquête pour le film et le livre que Sylvie Gilman et moi même sommes tombés sur ces milliers de page, qui reposent dans une bibliothèque de l'Académie des Sciences de Russie, à Moscou. Nous avons rencontré des témoins de l'époque, des médecins encore vivants qui avaient dirigé une partie de ces études. Ce sont des médecins assez exceptionnels, ils nous ont raconté comment le régime soviétique s'était peu à peu lancé dans un vaste programme de recherche sur le jeûne thérapeutique.

De grands scientifiques russes comme Pavlov ou Pashutin avaient étudié les mécanismes du jeûne chez l'animal à la fin du XIXème siècle. La chose n'était donc pas inconnue en Russie. Mais celui qui va lancer les recherches modernes s'appelle Youri Nicolaev. C'est un psychiatre, un médecin original et un humaniste. Tout a commencé dans les années 50. Opposé au gavage forcé de certains patients en psychiatrie, Nicolaev va laisser quelques-uns de ses malades ne pas s'alimenter... le temps qu'ils le désirent. Et le médecin observe des rétablissements spectaculaires. Avec l'assentiment prudent des autorités, il multiplie les cas, toujours avec l'accord éclairé du patient. Et non seulement il note des améliorations de l'état psychique, mais aussi de l'état physique. Les maladies somatiques tendent à disparaître.

Avec toute une équipe de biologistes, Nicolaev mène alors des recherches sur les deux fronts: psychiques et physiques. Les résultats sont spectaculaires. Un reporter du «Los Angeles Times» écrit même un article en 1973 sur Nicolaev et sa méthode de cure originale. Le régime soviétique lance alors un programme de recherche sans précédent: c'est dans toute l'Union soviétique que l'on va étudier les effets du jeûne, à Moscou, Leningrad, Kiev, Minsk, Rostov... À chaque hôpital sa spécialité: maladies de peau, cardio-vasculaires, gastro-intestinales, bronchiques, rhumatismales.... Ces études se poursuivent intensément jusqu'en 1988, année où l'Académie des Sciences intègre le jeûne dans la panoplie thérapeutique. Une spécialité est créé, un manuel est publié, avec indications et contre-indications.

Quelles sont les indications ?

Les indications sont nombreuses, elles concernent surtout des maladies chroniques: maladies des bronches, cardio-vasculaires, estomac, intestin, endocriniennes, digestives, articulaires ou osseuses, peau. On remarquera que ce sont des maladies que la médecine soigne très mal. C'est tout l'apport original et précieux du jeûne: s'attaquer à ce genre d'affections chroniques. A noter que parmi les contre-indications, outre les troubles alimentaires, se trouve le cancer. Les chercheurs soviétiques pensaient que le jeûne pouvait avoir un effet sur le cancer, mais ils n'avaient pas voulu, par prudence, entreprendre d'études cliniques avec les malades cancéreux. Ce qui explique le classement du cancer dans les contre-indications.

Valter Longo connaissait-il l’existence des recherches menées en URSS avant de commencer les siennes?

Valter Longo n'avait jamais entendu parler des études russes. Aucun chercheur en Occident ne les connaît. C'est pour cela que nous lui avons donné deux gros tomes d'études en cyrillique, et qu'il est en train de chercher des fonds pour en faire la traduction. Longo vient d'un monde très éloigné de celui des médecins soviétiques. Fasciné par le mystère de la mort et de la dégénérescence, il cherche à en décrypter les mécanismes. C'est ainsi qu'il a étudié la restriction calorique, dont on sait depuis les années 30 qu'elle peut augmenter la durée de vie (du moins chez les souris), et qu'il est passé à la restriction calorique extrême: le jeûne.

Là où Longo rejoint les chercheurs russes, c'est dans sa préoccupation à trouver des solutions rapidement applicables. «Ça ne sert à rien de promettre aux malades d'aujourd'hui un traitement pour dans 20 ans», aime-t-il à répéter. Et le jeûne apparaît comme une solution complémentaire facile à mettre en œuvre... et pas chère.

Le jeûne remboursé par la Sécu en Allemagne

En Allemagne, la pratique est courante semble-t-il.

En Allemagne, la pratique du jeûne est effectivement mieux acceptée et mieux comprise. Le jeûne thérapeutique y a été expérimenté dès le début du XXème siècle. À cette époque, le mouvement de «Réforme» («die Reform Bewegung») était très populaire et de grands établissements avec des centaines de lits ne désemplissaient pas. C'est dans ce contexte qu'Otto Buchinger, en créant la clinique qui porte son nom, a donné un ancrage fort au jeûne thérapeutique en Allemagne.

Aujourd'hui, une dizaine d'hôpitaux publics proposent des cures de jeûne, notamment l'hôpital de la Charité à Berlin, et ces cures sont remboursées par le système de sécurité sociale allemand.Ils traitent principalement les syndromes métaboliques (poids, diabète de type 2 et hypertension), les allergies, les maladies rhumatismales.J'aimerais rapprocher deux données: 15 à 20% des Allemands déclarent avoir jeûné au moins une fois dans leur vie, et la consommation de médicament dans ce pays est inférieure de 40% environ à ce qu'elle est en France, chiffre obtenu à partir de la liste des médicaments les plus prescrits.

Vous-même dans le cadre de votre enquête êtes allé jeûner en Allemagne sur les bords du lac de Constance à la clinique Buchinger. Pouvez-vous nous raconter cette expérience?

Je raconte en détail dans le livre cette expérience unique, qui reste une des plus intéressantes de ma vie. J'ai jeûné neuf jours, en plein mois de février. Les températures étaient négatives dans ce coin d'Allemagne et j'avais peur d'avoir froid, car pendant le jeûne le métabolisme du corps ralentit. J'avais un peu peur de pas mal de choses en fait.

C'est toujours difficile de passer la frontière d'un pays inconnu. En l'occurrence le pays du manque. Ou du vide. Ne rien manger. Ne pas rythmer sa journée par ce réconfort de la nourriture. Qui n'a pas un peu peur de ce vide? Or ce vide-là n'est jamais vide.

J'étais venu avec du travail, en l'occurrence l'écriture du livre. Après le troisième jour, je me réveillais naturellement peu avant 6h00, frais et dispos, et j'étais au travail à mon ordinateur à 6h30. L’esprit clair. J'ai beaucoup écrit, des dizaines de milliers de signes, travaillant à mon clavier huit heures par jour. Sans jamais éprouver la sensation de faim. En dépit d’horaires spartiates, je n'étais pas confiné dans ma chambre: j’ai utilisé pour la première fois de ma vie une salle de fitness (un peu), j'ai profité du talent de quelques masseurs, et j'ai marché chaque jour.

Chaque randonnée, dans le paysage d’hiver de la campagne autour d'Uberlingen, fut un concentré de sensations visuelles, auditives, olfactives. Je me sentais léger, euphorique: j’avais basculé sur le mode «avion», à l’image de mon téléphone portable à qui j’avais interdit de sonner. J’écoutais mes compagnons d'exercice. Était-ce le jeûne ou la marche? La parole était fluide, chaleureuse, l’écoute attentive.

Quel était le profil des autres jeûneurs et leurs motivations?

Des gens d'horizons divers viennent jeûner. Certains ont économisé pour se payer la cure, d'autres sont chefs d'entreprise, ou encore artistes. Beaucoup ont déjà lu sur le jeûne, leur présence là est le fruit d'un certain parcours. J'ai rencontré par exemple Pauline, une traductrice à qui les médecins prédisaient de lourdes infirmités à cause de ses rhumatismes. Elle est arrivée en s'appuyant sur une canne, incapable de conduire sa voiture; elle est repartie après deux semaines sans canne, au volant de son véhicule. Autre rencontre, Xavier, qui allait fêter ses 37 ans et venait pour arrêter le tabac. Trader dans une banque à Londres, victime d’un burn out, il avait pris dix kilos en six mois. En quinze jours, il a perdu le superflu, et a arrêté la cigarette. Je l’ai vu se transformer, retrouver ses traits de jeunesse.

Une jeûneuse me l’avait dit dans un sanatorium en Russie : «Si tu peux jeûner, tu peux tout faire.» Je me suis rarement senti aussi bien que pendant mon jeûne. J'avais fait faire des analyses sanguines avant mon départ, je les ai renouvelées à mon retour. Comme attendu, mon taux d'IGF-1 avait chuté nettement. Fait plus étonnant, il n'y avait aucune perte de sels minéraux. Après neuf jours sans nourriture, mon calcium était passé à 2,39 (contre 2,30 en arrivant), le potassium était stable à 4,4 et le sodium à 140 ! Qui pourra affirmer que le jeûne affaiblit l'organisme? Cela m'a au contraire apporté beaucoup d'énergie et mieux encore, beaucoup de calme intérieur.

Cette enquête vous a-t-elle inspiré une réflexion plus large ?

Oui. Si le jeûne a été progressivement éliminé au nom de la médecine dite «scientifique» (quitte à ignorer les études faites par ailleurs), c'est au nom de cette même science, avec les travaux de Valter Longo, qu'il réintègre la médecine «officielle».

Ce retour répond en même temps à une demande des patients. Dans un monde occidental où l’on vit de plus en plus longtemps, mais où l’espérance de vie en bonne santé n’est que de 62 ans, qui ne s’interroge pas sur les moyens de rester en forme, d’échapper à ces fléaux qui surviennent avec l’âge? Allergies, rhumatismes, maladies auto-immunes, maladies dermatologiques, hypertension, diabète, cancer… Nous parle-t-on de «guérison» pour ces maladies? Non.

Les Russes et les Allemands démontrent que le jeûne peut apporter une réponse efficace contre ces maladies chroniques, dites aussi de «civilisation». Pourquoi? Parce que l'histoire de l'évolution a dessiné le corps humain pour résister au manque. Notre organisme s'adapte beaucoup mieux à la pénurie qu'à l'abondance. Or en Occident nous vivons avec un frigo plein depuis plus d'un demi-siècle. Jeûner deviendrait donc une nécessité.

 

Mais cette attente n’est pas seulement le fait des malades. Car elle dépasse le cadre médical pour traduire une aspiration plus vaste, une aspiration à penser le monde différemment. Sobriété, frugalité, simplicité: ces mots qui ont retrouvé une nouvelle vigueur ces dernières années sont désormais au cœur de la critique des sociétés industrielles. Ce n'est pas une coïncidence si le retour du jeûne aujourd’hui s’annonce au terme de l’époque ouverte par les fameuses «Trente Glorieuses», qui a vu le rôle du citoyen réduit peu à peu à celui de consommateur, dans une mécanique consumériste poussée jusqu’à l’absurde.

Jeûner, c'est se réapproprier son corps, restructurer son temps, retrouver une liberté nouvelle. C'est réapprendre que le manque ne doit pas être vécu comme une défaite. Et si «moins», pouvait être «plus»?

Propos recueillis par Anne Crignon

http://bibliobs.nouvelobs.com/documents/20130921.OBS7954/thierry-de-lestrade-qui-peut-affirmer-que-le-jeune-affaiblit-l-organisme.html

 Le Jeûne, une nouvelle thérapie ?, par Thierry de Lestrade,
La Découverte/ Arte éditions, 214 pages, 19 euros.

 

30 août 2013

Les vaccins contre la grippe et les risques de cancer

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Les vaccins contre la grippe et les risques de cancer

par le Dr. Sherri J Tenpenny
Rapport de l’ISIS, traduction de Jacques Hallard

Beaucoup d’inquiétudes ont été générées à propos des nouveaux vaccins du virus H1N1 de la grippe ‘porcine’ A, qui ont été mis sur le marché.

Les essais cliniques ont été de faible durée - moins de trois semaines - et il y a aussi la possibilité d’ajouter, à la dernière minute, une toxine supplémentaire avec des adjuvants dits oil-in-water, afin de diluer et d’augmenter l’approvisionnement en vaccins (voir [1]

 Mais ce ne sont pas les seules préoccupations.

Le nouveau procédé de fabrication de vaccins contre la grippe, appelée technologies des cultures cellulaires, est peu connu et il a le potentiel d’avoir des conséquences graves à long terme.

 La fabrication du vaccin antigrippal annuel, saisonnier et « habituel »

Chaque année, entre Janvier et Mars, un panel consultatif de la FDA sélectionne les trois souches de grippe qui sont supposées être en circulation durant la saison à venir.

En admettant que le processus est une « supposition éclairée », le Centre sanitaire CDC transmet le matériel de base du virus sélectionné à la FDA pour approbation, et il est ensuite distribué aux fabricants pour la production de vaccins.

 Le vaccin annuel et saisonnier contient trois souches virales :

Deux virus de type A et un virus d’influenza de type B. La plupart du temps, deux des virus sont les mêmes virus que ceux qui avaient été inclus dans le plan de l’année précédente.

 Le troisième virus est typiquement une nouvelle souche en circulation.

C’est la raison avancée pour remettre cela chaque année. La nouvelle souche est modifiée au laboratoire par un processus appelé réassortiment, afin de s’assurer qu’il peut facilement se développer dans des œufs.

Une fois la modification terminée, tous les trois virus passent par les étapes de fabrication délicate pour ce qui se passe dans le flacon.

La lourdeur du processus de production du vaccin de la grippe, utilise jusqu’à 500.000 œufs de poule fertilisés par jour pendant une durée maximale de huit mois.

Des centaines de millions d’œufs fécondés deviennent des "mini-incubateurs" pour le virus mis en culture.

Lorsque les embryons de poulet sont âgés de 11 jours, la membrane amniotique (le blanc d’œuf) est injectée manuellement avec une goutte contenant la solution virale.

Plusieurs jours plus tard, la suspension virale gluante est centrifugée pour enlever si possible le sang de poulet et beaucoup de tissus.

Des protéines d’oeuf résiduelles restent dans la solution vaccinale finale et c’est la raison pour laquelle il est déconseillé d’administrer le vaccin antigrippal aux personnes qui ont une allergie aux œufs.

 Le processus complet, de la sélection du virus à la récolte virale, peut prendre jusqu’à neuf mois [2].

Devant le potentiel d’une pandémie et l’annonce de la Directrice générale de l’OMS, Margaret Chan, qui demanda jusqu’à 4,9 milliard de doses de vaccins contre la grippe pour vacciner le monde [3], les longs délais de réalisation et le processus de production très exigent en main d’œuvre, font que l’on ne peut pas satisfaire la demande pour des quantités massives de vaccin contre la grippe pandémique.

 L’entrée de la technologie des cultures de lignées cellulaires

Les technologies de cultures cellulaires, qui utilisent des cellules et des tissus animaux que l’on trouve dans les vaccins, ont été élaborées et déployées depuis les années 1950.

Les exemples incluent : la lymphe de veau pour les vaccins contre la variole, les cellules de singes verts africains (cellules AGMK) pour les vaccins contre la polio et les cellules du cerveau de souris pour le vaccin contre l’encéphalite japonaise.

Dans les années 1960, des cellules de tissus de fœtus humains avortés, appelées cellules MRC-5 et WI-38, ont été élaborées et sont encore utilisées pour la fabrication de vaccins contre la varicelle, la rubéole et l’hépatite A.

Depuis le début des années 2000, des dizaines de tissus humains et animaux ont été étudiés pour leur utilisation dans des vaccins viraux, en particulier pour la production de vaccins antigrippaux.

Les lots de vaccins peuvent être produits en moins de six semaines au lieu d’une seule récupération par an avec des œufs, améliorant ainsi énormément la production.

Bien que plusieurs des nouvelles lignées de cellules soient encore considérées comme expérimentales, les techniques de culture de lignées cellulaires ont attiré tous les grands acteurs dans le secteur de la production des vaccins et dans les industries des biotechnologies.

Avant 2007, les lignées cellulaires ont été peu utilisées pour les vaccins contre la grippe, principalement pour des raisons logistiques : Les vaccins contre la grippe fabriqués à partir de cellules, au lieu des œufs, exigeaient une transformation complète des équipements et des installations de production existantes.

Aucun des fabricants n’était prêt à investir des centaines de millions de dollars et d’attendre les cinq à sept années nécessaires pour construire des usines pour fabriquer les nouveaux vaccins.

Mais lorsque la menace de la pandémie de grippe aviaire a été agitée médiatiquement en 2006, le gouvernement a ouvert ses coffres et il a déversé des milliards de dollars dans les poches des entreprises pharmaceutiques, leur donnant ainsi les capitaux pour construire de nouvelles installations de production de vaccins contre la grippe.

 En 2012, la première usine de cultures cellulaires a été achevée en Caroline du Nord, aux États-Unis.

Le géant des produits vaccinants Novartis aura alors la capacité de produire chaque année 150 millions de vaccins contre la grippe, ce qui en fera la plus grosse usine au monde pour la production commerciale de vaccins contre la grippe et de l’adjuvant MF-59.

 Les cultures cellulaires sont la prochaine frontière de la production de vaccins

 Plusieurs lignées cellulaires sont actuellement au stade des recherches scientifiques.

Le vaccin antigrippal Optaflu de Novartis a été approuvé par l’Union Européenne et il a été produit en utilisant une lignée de cellules appelées Madin-Darby (MDCK), des cellules extraites des reins d’un épagneul cocker femelle.

Le Géant néerlandais Solvay Pharmaceuticals, a travaillé avec des cellules MDCK depuis le début des années 1990.

Une autre entreprise indépendante, Protein Sciences Corporation, a travaillé sur un vaccin contre la grippe, breveté et fabriqué à partir d’oeufs d’insectes. T

Cette stratégie vaccinale, connue commercialement sous la dénomination ‘FluBlok’, consiste à isoler une concentration purifiée de l’antigène (H) à la surface d’un virus de la grippe et à insérer l’antigène dans un second virus appelé un baculovirus.

Le baculovirus contenant (H) est alors inséré dans des cellules d’insectes en culture.

Plusieurs essais cliniques, portant sur ce vaccin créé à partir d’insectes, ont montré que les antigènes induisent une forte réponse d’anticorps chez les êtres humains [4].

 Sans doute, le vaccin contenait-il des débris de l’ADN des insectes.

Cette technologie est actuellement testée en Europe et n’a pas encore été autorisée pour son utilisation aux États-Unis.

Un troisième type de lignée cellulaire, appelées cellules PER.C6, est dérivé de cellules de la rétine des tissus de fœtus avortés.

Les cellules fœtales sont transformées en les infectant avec un adénovirus, ce qui les transforme en cellules « immortalisées » et qui présente la propriété et la capacité de se reproduire à l’infini.

 Par leur nature même, ces cellules sont néoplasiques (générant une cancérisation) ; les chercheurs se réfèrent à leur propos à des cellules "oncogènes".

 Si les tumeurs se forment lorsque les cellules sont injectées dans les animaux de laboratoire, les lignées cellulaires sont plus qu’oncogéniques : elles sont tumorigènes.

 Une vive préoccupation quant à l’ensemble du sujet :

« C’est que les cellules vivantes PER.C6 sont capables de causer des tumeurs lorsqu’elles sont transplantées dans la peau de souris. »

La FDA exige une méthode de filtration pouvant être utilisée pendant la production d’un vaccin et qui est conçue pour éliminer toutes les cellules avant que le produit ne soit conditionné.

Plusieurs études ont été menées pour s’assurer, à l’intention des développeurs de vaccins, que les cellules PER.C6 ne causent pas de cancer et qu’elles ne contiennent pas de tumeurs parasites libérant des virus [5], mais le risque demeure que les cellules puissent contaminer finalement les produits vaccinaux.

Il existe un risque réel de présence d’ADN de la rétine à l’état résiduel et de fragments viraux errants, à partir des tissus des animaux, et d’entrée possible dans le vaccin antigrippal.

Les petits fragments d’ADN sont classés comme "infectieux" ou "oncogènes" par les chercheurs qui craignent que de l’ADN parasite ne soit incorporé dans l’ADN de l’organisme receveur.

Les règlements de la FDA insistent sur « l’importance de minimiser le risque de cancérogenèse chez les receveurs de vaccins ».

Mais les fabricants ont reçu pour instruction de veiller à ce que le vaccin final contienne moins d’un million de cellules animales résiduelles et moins de 10 ng d’ADN errants par vaccin [6].

Est-ce que les lots de vaccins sont testés pour vérifier sa pureté, conformément à ces exigences ? Non ! Les lots sélectionnés sur le lieu de production sont envoyés à la FDA, et la FDA enregistre la déclaration des fabricants de vaccins, indiquant que ces normes ont été respectées.

 Les risques des cellules tumorigènes sont connus

Depuis 1998, la FDA et ses subdivisions, les Centers for Biological Evaluation and Research (CBER), ont été amenés à élaborer des règlements pour permettre l’utilisation de lignées cellulaires à la fois oncogéniques et tumorigènes, dans la production de vaccins.

La FDA est pleinement consciente que les nouvelles lignées cellulaires, en particulier les cellules PER.C6, comportent des risques substantiels, y compris le risque d’un danger mortel par des virus ‘adventices’ (parasites) qui peuvent se retrouver dans les vaccins.

Par exemple, la FDA reconnaît, qu’au début, le virus SV 40 (virus simien 40 provenant de cellules de rein de singe) était présent dans les vaccins contre la polio et avec ses risques [7] : « L’expérience du début des années 1960, de la contamination par le SV40 des vaccins contre le poliovirus et l’adénovirus et la question continuellement posée sur le fait de savoir si le SV40 pourrait être responsable de certains néoplasmes humains [cancers], souligne l’importance de veiller à bien garder les vaccins viraux exempts d’agents ‘adventices’.

"Cela est particulièrement important quand il y a un potentiel théorique de contamination d’un vaccin avec les virus qui pourraient être associés à une néoplasie [cancer]. Il est difficile de savoir si les substrats cellulaires présentent un risque plus élevé ou plus faible [de contamination] que pour d’autres types de cellules. Cependant, si leur croissance en culture de tissus n’est pas bien contrôlée, il peut y avoir d’autres occasions de contamination ... "

 Mais il y a pire.

La même note de la FDA continue en disant [7] :


« En plus de la possibilité de contamination des substrats cellulaires par des virus ‘adventices’ ... l’utilisation de cellules humaines immortalisées et néoplasiques, pour développer des vaccins, soulève des préoccupations d’ordre théorique en ce qui concerne une contamination possible par les agents d’ EST / ESB ».

L‘EST est l’encéphalopathie spongiforme transmissible, une maladie qui inclut un groupe de maladies dégénératives rares du cerveau, caractérisées par des trous minuscules dans les tissus du cerveau, ce qui donne une apparence "spongieuse" lorsqu’on les examine sous un microscope.

Lorsque cette condition se produit chez la vache, elle est appelée encéphalopathie spongiforme bovine, ou ESB, communément appelée "maladie de la vache folle." Dans une étude publiée en 2004, des chercheurs ont constaté que toute lignée cellulaire pourrait soutenir la propagation des agents de l’EST [8].

De toute évidence, les centres sanitaires CBER sont conscients et inquiets à propos du potentiel cancérigène des cellules animales dans les vaccins, car ils imposent aux fabricants de prendre « toutes les mesures de précaution possibles » pour éliminer les cellules suspectes dans les produits vaccinaux qui en résultent.

La FDA admet également des préoccupations au sujet de la possibilité de provoquer des cancers à partir de tous les types de lignées cellulaires.

 La question qui reste posée est la suivante :

En sachant les risques potentiels de l’utilisation de lignées cellulaires pour créer des vaccins, pourquoi les technologies des lignées cellulaires sont-elles autorisées ?

  • Le Dr Sherri J. Tenpenny est Docteur en Médecine Ostéopathique (DO), formé aux États-Unis.
  • Visitez son site http://drtenpenny.com/default.aspx
  • On peut aussi lire d’autres articles sur les vaccins contre la ‘grippe porcine’ [A H1N1] : Fast-tracked Swine Flu Vaccine under Fire Live Attenuated Swine Influenza Vaccine for Children Safety in Question Swine Flu Pandemic - To Vaccinate or Not to Vaccinate ? Swine Flu Virus Created from Pig Vaccine ? CSL Pandemic Swine Flu Vaccine Safety in Question
  • The Institute of Science in Society, The Old House 39-41 North Road, London N7 9DP
  • Contact the Institute of Science in Society www.i-sis.org.uk/

Traduction, définitions et compléments en français :

Jacques Hallard, Ing. CNAM, consultant indépendant.

Courriel : jacques.hallard921@orange.fr

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8 février 2013

Les enfants les plus sains dans le futur seront ceux qui n’auront pas été vaccinés-

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Les enfants les plus sains dans le futur seront ceux qui n’auront pas été vaccinés- par le Dr Dave Mihalovic.

  The Refusers

 La génération actuelle d’enfants non vaccinés fera partie de celles les plus saines du monde, et ce sera à leurs parents que ces enfants-là le devront. Le refus d’un nombre significatif de parents de vacciner leurs enfants a créé une population considérable, qui se chiffre en millions à travers le monde, et a soulevé un nombre important de questions de santé publique, parmi lesquelles celle de savoir pourquoi nous continuons à vacciner tout court.

 

Les enfants non vaccinés n’auront jamais de produits chimiques dangereux, immunosuppresseurs, cancérigènes, neurotoxiques et toxiques pour la fertilité qui seront injectés dans leur corps. Ces produits chimiques se retrouvent dans quasi chaque vaccin que la FDA a approuvé.

 

Selon le Dr Buchwald, « la raison pour laquelle les vaccinations sont promues avec une telle intensité, est d’empêcher de public de réaliser que les vaccins ne protègent pas et ce, également dans le cas d’une épidémie, puisque les vaccinés sont dans ce cas-là aussi plus à risque d’infection que les non vaccinés. La vérité peut rester cachée tant que le statut vaccinal des gens demeure inconnu et si tout le monde est vacciné, puisqu’alors toute comparaison avec des gens non vaccinés devient impossible. Là est donc la véritable raison à cette fuite en avant implacable, qui consiste à vacciner autant d’enfants que possible. »

 

 

« Avec les vaccinations, nous sommes en train de détruire lentement mais sûrement la santé et l’intelligence de nos générations futures… La vaccination constitue une maltraitance d’enfants et un crime comme l’humanité. » Feu le Dr Gherard Buchwald, Allemagne.

 

“ Je n’ai pas vu d’autisme chez les Amish” a dit le Dr Frank Noonan, un médecin de famille du comté de Lancaster, qui a traité des milliers d’Amish depuis un quart de siècle. «  Vous trouverez toutes les autres pathologies, mais vous ne trouverez pas d’autisme. Nous sommes en plein cœur du pays des Amish et l’on n’en voit aucun, tout simplement parce qu’il n’y en a pas. »

 

Les parents qui ont fait le plus d'études sont ceux qui ont le moins tendance à vacciner, ce qui contredit justement les interprétations erronées de beaucoup de professionnels de santé qui prétendent que les parents ne vaccinent pas parce qu’ils seraient justement sous-éduqués, pauvres ou désinformés.

 

Ce qui est plus encourageant encore pour ceux qui défendent le droit à une information plus juste sur les vaccins, c’est que les parents les plus éduqués réduisent aussi leur adhésion aux autres vaccins infantiles non controversés, un bon signe donc, qui prouve que la plupart des toxines cachées dans les vaccins sont petit à petit en train d’être découvertes par les parents et le public en général.

 

Selon deux siècles de graphiques et des données statistiques officielles, nous savons que les vaccins n’ont jamais prévenu la moindre maladie et qu’ils ne sont en aucune manière responsables de l’augmentation de l’espérance de vie ni de la survie aux maladies dans les pays développés de l’Ouest. En Amérique du Nord, en Europe et dans le Pacifique Sud, la plupart des déclins de maladies infectieuses susceptibles de mettre la vie en jeu, sont survenus historiquement soit sans, soit bien avant les efforts publics de vaccination contre des maladies spécifiques.

 

Dans une choquante étude de virologie fraîchement publiée, des chercheurs de l’Erasmus Medical Center aux Pays-Bas ont démontré qu’un vaccin habituel contre la grippe saisonnière chez les enfants, entravait un élément-clé de leur système immunitaire pour la défense contre la grippe. Cette étude n’avait pas été conduite par des scientifiques hostiles aux vaccins. Au contraire, elle avait été menée par des chercheurs pro-vaccins qui ont passé leur carrière à essayer de développer de meilleurs vaccins. L’auteur principal, Rogier Bodewes, a délivré sobrement comme message au sujet des vaccins antigrippaux « qu’ils ont des inconvénients potentiels qui ont précédemment été sous-évalués et qui sont aussi matière à débat. »

 

Cette étude a impliqué une évaluation scientifique poussée du système immunitaire. Les chercheurs ont collecté le sang de 27 enfants sains non vaccinés d’environ 6 ans d’âge et celui de 14 autres enfants atteints de fibrose cystique qui avaient reçu une vaccination annuelle contre la grippe. Les chercheurs ont trouvé que les enfants non vaccinés avaient une réponse immunitaire supérieure, leur offrant une protection plus large contre ce à quoi ils pouvaient être confrontés lors de la saison antigrippale concernée et même en cas de contact avec des souches pandémiques.

 

Nous avons pris soin d’environ 30 000 ou 35 000 enfants depuis toutes ces années, et je ne pense pas que nous ayons eu le moindre cas d’autisme chez ces enfants accouchés par nous et qui n’ont jamais reçu le moindre vaccin… « Chaque médecin dans ce pays a commis sans en avoir conscience des crimes aussi odieux que ce qu’ont fait les nazis » a déclaré le Dr Mayer Eisenstein.

 

Selon l’enquête de 2011 sur l’état de santé des enfants non vaccinés et leurs maladies, les résultats montrent que les enfants non vaccinés sont largement moins affectés par les maladies habituelles.

 

L’asthme, le rhume des foins et la neurodermatite… une récente étude allemande qui a porté sur 17 461 enfants entre 0 et 17 ans (Etude KIGGS), a montré que 4,7% de ces enfants souffrent d’asthme, 10,7% de ces enfants souffrent de rhume des foins et 13,2% de neurodermatite. Ces chiffres diffèrent dans les pays occidentaux, par exemple la prévalence de l’asthme chez les enfants américains est de 6% alors qu’elle est de 14 à 16% en Australie (Australia’s Health 2004, AIHW). La prévalence de l’asthme chez les enfants non vaccinés dans notre étude est de 0,2%, celle du rhume des foins de 1,5% et celle de la neurodermatite de 2%. 

 

 

Selon l’étude KIGGS, plus de 40% des enfants entre 3 et 17 ans ont été sensibilisés à au moins un allergène testé (20 allergènes communs étaient testés) et 22,9% présentaient une maladie allergique. Bien que nous n’ayons pas réalisé de test sanguin, moins de 10% des parents ont déclaré que leurs enfants présentaient une allergie.

 

Il y a aussi des cas d’autisme chez les enfants non vaccinés. Cependant, plus de 80% des parents ont déclaré qu’il s’agissait seulement  d’une forme atténuée de la maladie ou à tout le moins, d’une forme cependant « hautement fonctionnelle » pour l’enfant atteint de cette forme peu sévère d’autisme. Sur ces 4 enfants, un présentait des taux de métaux franchement très élevés (mercure, aluminium, arsenic), et dans un autre de ces cas, la mère fut testée elle aussi très positive pour le mercure.

 

L’étude KIGGS a montré que 12,8% des enfants allemands avaient de l’herpès et que 11% souffrent d’otite moyenne (une inflammation de l’oreille moyenne). Si vous comparez cette situation à celle des enfants non vaccinés, vous pourrez vous apercevoir que l’herpès est vraiment rare chez ces derniers.(moins de 0,5%)

 

Chez les jeunes enfants de moins de 3 ans, les verrues sont très rares. Après 3 ans d’âge, cependant, la prévalence augmente. Entre 4 et 6 ans, 5 à 10% des enfants ont des verrues et dans le groupe des 16-18 ans, 15 à 20% présentent des verrues (Source : netdoktor.at) Seuls 3% des enfants non vaccinés dans notre étude ont présenté des verrues.

 

« J’ai observé que mes enfants non vaccinés étaient en meilleure santé, plus forts et plus robustes que leurs pairs vaccinés. Les allergies, l’asthme, la pâleur ainsi que les problèmes de comportement et d’attention étaient clairement plus fréquents parmi mes jeunes patients vaccinés. Mes patients non vaccinés, à l’opposé, n’ont pas souffert de maladies infectieuses de façon plus fréquente ou plus sévère que leurs pairs vaccinés : leur système immunitaire gère généralement très bien ces challenges-là. » Dr Incao, dans son témoignage au sujet de la vaccination anti-hépatite B.

 

Les enfants non vaccinés ont 5 fois moins de risque de souffrir d’asthme que les enfants vaccinés, 2,5 fois moins de risque d’avoir des problèmes de peau et 8 fois moins de risque d’êtres hyperactifs.

www.ias.org.nz/prelim_survey_results.htm 

 

Les enfants vaccinés ont 14 fois plus de risque de souffrir d’asthme que les non vaccinés et 9 fois plus de risque d’avoir des problèmes cutanés.

www.impf-report.de/jahrgang/2005/02.htm#06 

 

La question, que les partisans d’une meilleure information vaccinale persistent à poser de longue date, consiste à savoir de quoi aura l’air la santé globale de ces enfants non vaccinés ? Eh bien, de ce que nous pouvons déduire de ces données exposées ci-dessus, il y a une indication assez forte que les enfants non vaccinés d’aujourd’hui feront un jour partie des populations jouissant de la meilleure santé possible au monde. Ils pourront alors un jour dire « Merci maman, merci papa et merci aussi à chaque chercheur et journaliste qui aura donné à voir le vrai visage des vaccins. »

 

Dave Mihalovic est un docteur en naturopathie qui s’est spécialisé dans la recherche sur les vaccins, la prévention des cancers et l’approche naturelle des traitements de santé.

 

http://therefusers.com/refusers-newsroom/the-healthiest-children-in-the-future-will-be-unvaccinated-by-dave-mihalovic-naturopathic-doctor/

26 juillet 2012

Le retour de la grippe aviare mortelle et plan de vaccination mondiale à venir.

Le 11 juillet dernier, le site Huffington Post publiait une dépêche hallucinante de l'agence Reuters, une agence dont l'indépendance est bien sûr très loin d'être garantie... et pour cause, l'affaire semble être parfaitement "entendue", avec discussions des scénarios possibles à l'insu des principaux intéressés, c'est à dire les citoyens.

 

Que dit cette dépêche en substance?

 

Que des grosses quantités de volailles ont dû être récemment abattues dans différents endroits du monde, que le virus aviaire n'est plus qu'à trois mutations d'une forme possiblement léthale d'humain à humain et qu'étant donné le retard de plusieurs mois dans la fourniture des vaccins H1N1 par rapport au début de la (fausse) pandémie, il est nécessaire d'envisager une nouvelle approche en préparation de la prochaine pandémie, à savoir celle d'une vaccination "pré-pandémique" qui pourrait consister à vacciner l'entièreté de la planète sur 3 à 5 ans de temps contre un virus qui ne surviendra peut-être jamais!!

 

Voici en effet quelques passages de ladite dépêche:

 

"En 2009, durant la pandémie du virus porcin H1N1, les vaccins furent disponibles seulement des mois après que le virus se soit propagé à l'ensemble du monde- et même alors, il n'y en avait que pour un cinquième de l'humanité.

 

La prochaine fois, les experts disent que nous aurons besoin d'une autre approche.

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Les discussions portent sur une "

 

vaccination pré-pandémique", consistant à immuniser les gens des années à l'avance contre une pandémie grippale qui ne s'est pas encore produite et qui pourrait ne jamais advenir, plutôt que de devoir créer des vaccins dans l'urgence, une fois que la nouvelle pandémie aura débuté."

 

"Même si vous modifiez la production à la faveur de technologies à haut rendement, vous allez encore en rester à devoir chasser le virus" estime David Salisbury, directeur de la vaccination en Grande-Bretagne dont les conflits d'intérêts accablants ont déjà fait d'ailleurs couler beaucoup d'encre.

 

"En un mot, la production actuelle ne résoudra jamais le problème. Vous aurez toujours au moins une, si pas deux vagues d'infection avant que vous ne puissiez obtenir des quantités suffisantes de vaccin pour pouvoir obtenir un effet significatif... Si vous voulez devancer le virus, vous devez adopter une stratégie différente."
 

"Les scientifiques et les fabricants de vaccins ont déjà produit des vaccins pré-pandémiques H5N1 et certains sont stockés par les pays riches comme les Etats-Unis et plusieurs gouvernements européens, à destination de leurs personnels médicaux de première ligne."
 

"Les sociétés pharmaceutiques ont également beaucoup investi dans la grippe et leur capacité de production de vaccins est montée en puissance, en partie à cause de la pandémie de H1N1 mais aussi en réponse aux appels de l'OMS pour une meilleure préparation aux prochaineS pandémieS."

 

" Des programmes annuels de vaccination anti-grippale ont également pris de l'ampleur ces dernières années, avec comme résultats que les campagnes saisonnières sont à présent bien établies dans de nombreux pays développés et dans certains pays en développement et que les structures existent donc pour vacciner beaucoup de gens."
 

"Alors, pourquoi ne pas mettre tous ces éléments ensemble et exécuter une campagne de vaccination pré-pandémique pour prémunir les victimes potentielles avec une vaccination pré-pandémique?"
 

La dépêche se poursuit alors de façon à la fois dramatisante (rappel des ravages de la grippe espagnole, rappel également d'une récente étude ayant prétendu que les décès dus à la grippe H1N1 pourraient avoir été sous-estimés et se monter à 500 000 dans le monde, rappel du taux de létalité de 60% de la grippe H5N1 jusqu'à présent,..) et  pseudo-rassurante (ouf, il y a notre sacrosainte solution, la vaccination prépandémique qui va tout arranger!). C'est ce qu'on peut appeler le tandem "PEUR-PROTECTION": on fait peur parce que cela va alors créer artificiellement un besoin de protection qui n'existerait pas sinon. C'est une technique marketing bien connue pour pousser à consommer.

 

Le communiqué rapporte alors les propos d'un scientifique de Novartis, Rino Rappuoli, qui avait écrit sur le scénario d'une pandémie de grippe aviaire dans le journal Science du mois dernier -Novartis, Sanofi et GSK étant les fabricants de plusieurs vaccins anti-H5N1 déjà approuvés-:

 

"Etant donné que des vaccins anti-H5N1 disposant d'une autorisation sont déjà disponibles, nous avons l'option de vacciner les individus à haut risque ou de vacciner plus largement, incluant les populations de pays individuels ou même de continents entiers, ou encore de vacciner l'entièreté de la planète." a-t-il écrit.

 

"Il s'agit seulement d'évaluer les coûts, la logistique et le risque d'implémenter une telle campagne de vaccination. Cela n'est pas impossible." a-t-il poursuivi.

 

"Une campagne mondiale pourrait prendre de 3 à 5 ans" a-t-il également estimé.

 

Dans la revue scientifique Expert Rev. Vaccines de févier 2012, les scientifiques italiens de l'Institut de Santé publique concluaient ainsi le compte-rendu de leur publication sur l'Aflunov, le dernier vaccin prépandémique en date de Novartis contre le H5N1: "En 2010, le Comité des Médicaments à Usage Humain de l'Agence européenne du Médiament a émis une opinion positive sur l'Aflunov et en janvier 2011, l'Aflunov recevait son autorisation de mise sur le marché. Ce vaccin pourrait être très utile dans l'éventualité d'une adaptation du virus H5N1 aux humains, ce qui pourrait causer une nouvelle pandémie."

 

Le Dr Albert Garcia, porte-parole du pôle "Préparation Pandémique" de Sanofi Aventis, lui, n'est pas aussi enthousiaste au sujet de ces vaccins prépandémiques auxquels il dit "ne pas croire", bien que Sanofi avait pourtant présenté un vaccin prépandémique contre le H5N1 lors d'une conférence internationale, pour lequel ils n'ont finalement jamais demandé d'autorisation de mise sur le marché (AMM).

 

La dépêche de Reuters, qui ne donne toutefois pas du tout la parole au moindre scientifique circonspect se permet d'écrire que l'approche d'une vaccination pré-pandémique paraît sensée, en se basant sur une précédente étude (probablement pas indépendante!) de l'Université de Leicester selon laquelle les gens déjà préalablement immunisés contre une souche différente de grippe garderaient une "mémoire immunitaire" utile en cas de contact avec un autre virus grippal, des années plus tard. C'est ce qu'ils appellent "l'effet d'amorce" mais que d'autres scientifiques appellent aussi le "péché originel", en expliquant au contraire que l'élaboration de futurs anticorps contre de futurs virus sera de moins en moins efficace au fil du temps, précisément parce que le modèle de fabrication de ces anticorps reste calqué sur "l'empreinte virale initiale", un peu donc comme une clé qui serait de moins en moins adaptée à la serrure à force d'essayer de la forcer. Par ailleurs, rien n'est non plus redit ici sur les autres récentes découvertes de chercheurs qui ont pu démontrer que la production d'anticorps n'était pas du tout essentielle dans la lutte contre différents virus.

 

Selon cette dépêche Reuters, qui prépare déjà habilement le terrain, la vaccination pré-pandémique pourrait limiter le tribut humain à payer en cas de pandémie.

 

L'OMS (comment s'en étonner...) semble bien sûr très enthousiaste au sujet d'une telle vaccination pré-pandémique, le Dr Nikki Shindo de l'Organisation ayant affirmé qu'il s'agissait d'une "excellente idée" en théorie. Pour le Dr Shindo, la vaccination permettrait de rendre la maladie moins sévère chez les gens vaccinés, de réduire les décès et de réduire la transmission virale (remarquez le glissement: on ne parle déjà même plus de leur éviter purement et simplement la maladie!)

 

Mais l'OMS est infiltrée par les fabricants or, comme le mentionne tout de même Reuters, "Cela ferait sûrement plaisir aux compagnies pharmaceutiques de se voir offrir une nouvelle opportunité d'accroître leurs capacités de production de vaccins antigrippaux, ce qui leur permettrait potentiellement de rééditer un bénéfice supplémentaire de 7 milliards de dollars, comme ils en ont connu un à l'hiver 2009-2010."

 

"Appliquer toutefois dans la réalité cette idée théorique de vaccination pré-pandémique est une autre affaire" écrit encore Reuters, précisant que cette idée séduirait peu les cénacles gouvernementaux, sans doute bien conscients de la difficulté à convaincre les gens de se faire vacciner (avec les risques d'effets secondaires que cela comporte)  et de dépenser ainsi dans le contexte actuel d'austérité des sommes folles contre une grippe inexistante.

 

Mark Clark, analyste pharmaceutique à la Deutsche Bank, " ne pense pas que le monde est prêt à payer pour quelque chose comme ça maintenant. Le moment n'est juste pas économiquement propice."

 

Mais pour quelqu'un comme le Pr Salisbury, "toutes ces stratégies méritent qu'on y réfléchisse". Il estime que les gouvernements ont encore un bon bout de chemin à faire avant de prendre ce genre de décisions qu'il estime "chargées de bon sens (sic!) et appuyées par la Science (rien que ça!)". On aura vraiment tout lu et tout entendu.

 

Commentaires et analyse d'Initiative Citoyenne:

 

 

Cette dépêche démontre à quel point une certaine caste veut A TOUT PRIX et à l'exclusion de toute autre méthode de prévention, vacciner l'humanité entière, comme si l'inondation vaccinale de la planète entière chaque année via des milliards de doses de vaccins ne suffisait toujours pas!

 

Cette préparation morbide de la population depuis le début des années 2000 à la grippe aviaire est grotesque mais pour les pharmas qui tirent les ficelles, elle ne l'est évidemment pas.

 

Si vous êtes suffisamment attentifs aux différentes "pièces du puzzle" qui s'enchaînent et s'imbriquent sous vos yeux, vous verrez et vous comprendrez qu'il est assez peu probable que ce déploiement colossal de moyens financiers au sujet de la grippe aviaire ne finisse jamais par se solder par le moindre "retour sur investissements". Cela signifie que tout sera fait pour que la prochaine pandémie survienne. Avec des firmes comme Medicago qui ont déjà commencé à produire, sur ordre du Ministère américain de la Défense, des grandes quantités de vaccins pandémiques H5N1, le Pr Lina en France qui a été officiellement payé pour faire se croiser les virus H5N1 et H1N1, les équipes hollandaise et américaine qui ont évidemment fini par réussir à croiser ces virus pour rendre le nouveau venu à la fois très mortel et très contagieux, sans compter bien sûr tous les stocks de vaccins pré-pandémiques+ déjà constitués par de nombreux états, dont la Belgique, et entreprosés on ne sait où, il serait assez aberrant de penser qu'il n'y aura pas une suite.

 

Car oui, plusieurs magnats trépignent déjà en coulisses et tapent bel et point du poing sur la table: ils VEULENT vacciner la terre entière et dans leur esprit, nul doute à cela, vous y passerez également, que vous le vouliez ou non! (avec la bénédiction plus que probable de la très peu respectable OMS). Mme Testori de la Commission européenne non élue n'avait-elle déjà pas exprimé le même genre de souhaits publiquement le 5 octobre 2010 ?

http://www.initiativecitoyenne.be

5 décembre 2011

DES BONS DE RÉDUCTION SUR LA NOURRITURE À CEUX QUI ACCEPTENT DE SE FAIRE VACCINER CONTRE LA GRIPPE.

DES BONS DE RÉDUCTION SUR LA NOURRITURE À CEUX QUI ACCEPTENT DE SE FAIRE VACCINER CONTRE LA GRIPPE.
LES MARCHANDS DE VACCINS NE SAVENT PLUS QUE FAIRE POUR LIQUIDER LEURS STOCKS. ILS NE SAVENT PLUS COMMENT VENDRE LEURS POISONS CAR LES CONSOMMATEURS SONT DE PLUS EN PLUS AVERTIS ET CONSCIENTS QU’ON LES PREND POUR DES IMBÉCILES. ILS ACHÈTENT AINSI DE MOINS...
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