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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
archeologie
20 juillet 2013

La preuve du paradis, Dans le comas le Voyage d'un neurochirurgien dans l'après-vie

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Eben Alexander, neurochirurgien à l'esprit rationnel, nous en donne la preuve, après avoir vécu une NDE (expérience de mort imminente). Cet homme de 52 ans atteste de l'existence du Paradis dans ce livre témoignage, aussi extraordinaire que bouleversant. L'auteur nous invite à partager son voyage dans une autre dimension, là où il a rencontré des êtres de lumière, très différents de tout ce que l'on peut connaître sur notre planète...

"La preuve du paradis, Voyage d'un neurochirurgien dans l'après-vie"... est un récit dont l'authenticité a été reconnue par le Dr Raymond Moody, spécialiste renommé de l'au-delà.

 Odyssée dans l'au-delà

Du trajet entre sa maison, où il a perdu connaissance, jusqu’à l’hôpital, le Dr Alexander a tout oublié. Son premier souvenir, alors qu’il est dans le coma, se rapporte à des sensations visuelles et auditives : « L’obscurité, mais une obscurité visible, comme être pris dans la boue tout en étant capable de voir à travers ;[...] entourés d’objets comme des racines, ou des vaisseaux sanguins [...]. Entendant seulement un son, irritant, mécanique, répétitif. » A ce moment-là, il se sent à la fois immergé dans ce monde flou et vaguement conscient :

« Je suis conscient, mais sans mémoire ni identité. Cette conscience est très limitée, elle n’est pas humaine, pas même animale. Simplement un point de conscience. »

Avec le recul, le Dr Alexander se souvient que cet état avait l’air d’être hors du temps, qui lui a semblé durer « des éons » : « Je n’avais pas du tout la mémoire d’avoir été Eben Alexander, ni d’avoir eu des attributs humains. J’étais juste une tâche de conscience. Et même si je n’avais pas de mots, j’ai quand même commencé à expérimenter une sorte de questionnement : qui ? quoi ? où ? » C’est alors qu’apparaît une chose qui, en tournant lentement, irradie

« de fins filaments de lumière blanche et dorée ».

La vision se conjugue avec « une mélodie absolument parfaite, un son vivant, comparable au morceau de musique le plus beau, le plus riche, et le plus complexe que j’aie jamais entendu ». Sur certains mots qui illustrent une importante qualité de l’expérience, la voix d’Eben Alexander se fait plus intense. « Et comme cette lumière magnifique s’approchait de moi, poursuit-il, elle a ouvert une déchirure dans l’environnement boueux juste devant moi. Très vite, j’ai été tiré au travers de cette ouverture lumineuse, vers le haut dans un monde complètement différent, où je volais au-dessus d’une vallée verdoyante et absolument magnifique. A côté de moi se trouvait une belle jeune fille aux yeux bleus pétillants et au sourire le plus aimable qu’on puisse imaginer. Elle m’a lancé un regard d’un amour indicible, et m’a dit : « Tu es aimé et chéri pour toujours. Il n’y a rien que tu doives craindre. Il n’y a rien que tu puisses faire mal ici. » Tout cela sans mots, l’essentiel de son message pénétrant directement mon être. »

Puis vient une autre phase de l’expérience « Il y a eu comme une chaude brise divine. Cela a tout changé, élevant le monde autour de moi encore une octave au-dessus, à une plus haute vibration. Même si je n’avais pas pleinement la fonction du langage, j’ai commencé à poser des questions à cette brise, et aussi à la présence divine que je sentais derrière (ou dedans).

Où est cet endroit ? Qui suis-je ? Pourquoi suis-je ici ?

A chaque fois que je posais une question, la réponse venait instantanément, dans une explosion de lumière, de couleurs, d’amour et de beauté qui me balayait comme une vague. Les pensées pénétraient en moi directement, pas comme nous l’expérimentons sur terre. Et comme je les recevais, j’étais capable de comprendre instantanément et sans effort des concepts que dans ma vie terrestre, j’aurais mis des années à comprendre. » Présence centrale de l’amour, existence du mal comme conséquence du libre-arbitre, multiplicité des univers et des dimensions… Les connaissances transmises sont multiples. « Il me faudra le reste de ma vie, et plus encore, pour redécouvrir ce que j’ai appris là-haut », écrit-il dans son livre.

Source :  inrees

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19 juillet 2013

La mystérieuse cité d'Arkaïm

 

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Arkaïm (en russe : Аркаим) est un site archéologique situé dans la steppe au sud de l'Oural, 8,2 km au nord-nord-ouest d'Amourski, et à 2,3 km au sud-sud-est d'Alexandronvski, deux villages de l'oblast de Tcheliabinsk, Russie, juste au nord de la frontière du Kazakhstan.

La mystérieuse cité d'Arkaïm

Le site est généralement daté du XVIIe siècle av. J.-C.. D'autres datations, remontant jusqu'au XXe siècle av. J.-C., ont été proposées. Il s'agissait d'une implantation de la culture Sintachta.

Découverte et fouilles 

Le site est découvert en 1987 par une équipe de scientifiques de Tcheliabinsk menée par Guennadi Zdanovitch qui préparaient la zone qui devait être inondée pour créer un plan d'eau derrière un barrage. Au début, leurs découvertes ont été ignorées par les autorités soviétiques, qui avaient planifié d'inonder le site comme Sarkel (en) auparavant, mais l'attention soulevée par les rumeurs au sujet de la découverte a obligé le gouvernement soviétique à revoir ses plans en ce qui concernait l'inondation de la région. L'endroit a été désigné réserve culturelle en 1991, et en mai 2005, le site a été visité par l'ex-Président Vladimir Poutine.

Implantation

Bien que le site ait été incendié et abandonné, beaucoup de détails sont visibles et bien conservés. Arkaïm est similaire dans la forme mais bien mieux préservé que sa voisine Sintachta (en), où le premier char a été déterré. Le site était protégé par deux parois circulaires. Il y avait une place centrale, entourée de deux cercles de logements séparés par une rue. Le site couvre environ 20 000 m2. Le diamètre du mur d'enceinte était de 160 m. Il a été construit à partir de la terre tassée dans des cadres en bois, et renforcé par des briques d'argile non brûlées, avec une épaisseur de 4-5 m. et une hauteur de 5,5 m. L'ensemble des lieux est entouré d'un fossé de 2 m de profondeur.

Il y a quatre entrées différentes perçant la paroi extérieure et intérieure avec une entrée principale à l'ouest. Les habitations disposaient d'une surface de 110-180 m². L'anneau extérieur comprend 39 ou 40 logements, avec des ouvertures donnant sur une rue circulaire qui fait le tour des lieux. L'anneau intérieur comprend 27 logements, disposés le long de la paroi interne, avec des portes ouvrant sur la place centrale carrée de 25 par 27 m. La rue centrale est drainée par un canal couvert. Zdanovitch estime qu'environ 1 500 à 2 500 personnes pourraient avoir vécu dans la colonie.

À proximité des murs d'Arkaïm, étaient des terres arables, 130-140 m par 45 m (430 à 460 m par 150 m), irriguées par un réseau de canaux et de fossés. Des vestiges de graines de millet et d'orge ont été trouvés.

La date du XVIIe siècle av. J.-C. suggère que l'établissement de cette colonie était contemporain, ou bien a suivi de peu, la migration indo-aryenne en Asie du Sud et en Mésopotamie (la culture Gandhara figurant dans le nord du Pakistan à partir de 1600 av. J.-C., les dirigeants Indo-Européens Mitanni atteignant l'Anatolie 1500 ans av. J.-C., les deux étant à peu près distantes de 3 000 km de la zone du Sintachta-Petrovka), et que c'était soit les débuts d'une culture iranienne, ou bien encore une branche indo-iranienne inconnue qui n'a pas survécu à son histoire.

 

Depuis sa découverte, Arkaïm a éveillé l'attention d'une large portion du public et des médias en Russie, y compris des organisations esotériques, New Age et pseudoscientifiques. On a pu dire qu'il s'agissait du plus énigmatique des sites archéologiques sur tout le territoire russe, et, comme pour de nombreuses découvertes archéologiques, un certain nombre d'interprétations contradictoires ont été avancées.

Swastika City

Afin de faire un peu de publicité au site archéologique, les premiers investigateurs ont surnommé Arkaïm « Swastika City », « Mandala City », et « l'ancienne capitale de la civilisation aryenne des origines, comme décrite dans l'Avesta et les Védas ». La description se réfère à la forme en svastika, qui (avec un peu d'imagination) peuvent sembler similaires à la croix gammée, mais avec des bras arrondis (similaire à la lauburu) attaché à un anneau central au lieu d'une croix.

Observatoire

La similitude de la latitude, la date et la taille conduit certains archéoastronomes (Bystrushkin 2003) à comparer Arkaïm avec Stonehenge en Angleterre. Selon leurs déclarations, l'observatoire néolithique de Stonehenge permet l'observation de 15 phénomènes astronomiques à partir de 22 éléments, alors que l'observatoire d'Arkaïm permet l'observation de 18 phénomènes astronomiques à partir de 30 éléments. La précision des mesures de Stonehenge est estimée à 10 arc-minute à un degré, alors qu'à Arkaïm il descend à 1 arc-minute. Une telle précision des observations astronomiques n'a pas été répétée avant la compilation de l'Almageste environ 2 millénaires plus tard. L'interprétation selon laquelle Stonehenge ou Arkaïm auraient servi en tant qu'observatoires n'est pas universellement acceptée.

http://messagesdelanature.ek.la/la-mysterieuse-cite-d-arkaim-p94682

 

(source : wikipedia

17 juillet 2013

Discrédit scientifique sans appel contre l’homoparentalité .

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« Le lobby homoparental s’appuie sur des études qui, dans leur quasi-totalité, ne sont que pseudo-scientifiques. L’intoxication est suffisamment bien faite pour que tout le monde soit convaincu que ces études prouvent que les enfants élevés par les parents homosexuels vont bien. Pourtant, il suffit de se donner la peine de vérifier la nature des travaux cités pour comprendre leurs faiblesses méthodologiques et leurs biais de recrutement des groupes étudiés [1]». L’auteur de cette charge sans concessions ne saurait laisser nos responsables politiques indifférents au moment où ils s’apprêtent à ouvrir l’adoption, voire l’assistance médicale à la procréation, aux personnes homosexuelles. Maurice Berger est en effet professeur de psychopathologie de l’enfant, chef de service de psychiatrie de l’enfant au CHU de Saint-Etienne et membre de plusieurs commissions interministérielles concernant la protection de l’enfance.

Pour le professeur Berger, « le lobby homoparental utilise une méthode simple, le bluff », tant il « est difficile d’imaginer moins d’objectivité » dans les publications existantes. « No difference ». Telle est la sempiternelle conclusion de l’ensemble des travaux comparant l’épanouissement psychique des enfants issus de couples homosexuels et hétérosexuels. Or, la quasi-totalité ne relève pas de méthodes scientifiques rigoureuses. Aspect clairement militant se fondant sur la parole des « parents » – la plupart du temps volontaires et non tirés au sort, recrutés par les lobbies homosexuels –, absence de groupe de comparaison, défaut d’appareillage entre le groupe étudié et le groupe témoin quand il existe, comparaison avec des enfants issus de couples hétérosexuels mais élevés dans des familles recomposées ou monoparentales, effectifs insuffisants,… Bref, des travaux qui collectionnent des défauts méthodologiques si grossiers qu’ils auraient dû être recalés par n’importe quel comité de lecture digne de ce nom.

Mais il n’y a pas que le caractère erroné des travaux brandis par les lobbies à verser dans le dossier à charge contre l’homoparentalité. Une étude parue au début de l’été remet radicalement en cause la ligne officielle qui prévaut jusqu’ici accréditant la thèse selon laquelle il n’y aurait aucune différence en terme de santé mentale entre les enfants élevés par des couples homosexuels et ceux qui le sont par des parents hétérosexuels[2].

Les recherches du professeur Mark Regnerus de l’Université du Texas tordent le cou à ce discours convenu en s’appuyant sur l’examen de 3000 enfants devenus adultes éduqués au sein de 8 structures familiales différentes à partir de 40 critères sociaux et émotionnels[3]. Les résultats les plus positifs concernent les adultes provenant de familles « traditionnelles » qui se disent plus heureux, sont en meilleure santé mentale et physique et consomment moins de drogues que les autres.

A l’inverse, les enfants élevés par des lesbiennes sont les plus mal lotis avec une augmentation statistique inquiétante des dépressions dans leur groupe. Les adultes  interrogés disent également avoir été plus souvent victimes d’abus sexuels (23% contre 2% chez les enfants issus de couples hétérosexuels mariés) et souffrent plus de précarité économique (69% dépendent de prestations sociales pour 17% de ceux élevés par leurs père et mère)[4].

Pourquoi une telle divergence dans les résultats de ces études de psychologie comportementale ? L’explication tient à la qualité de la démarche de Regnerus qui jette indirectement une lumière crue sur les erreurs méthodologiques des précédentes études. Le professeur texan a pris soin d’effectuer son enquête sur une large cohorte d’adultes contrairement aux anciennes études portant sur des échantillons ridiculement faibles[5]. Par ailleurs, Regnerus s’appuie sur les réponses des enfants eux-mêmes devenus adultes et non sur celles données par les « parents ».

Après analyse de l’ensemble des réponses, la conclusion du professeur Mark Regnerus est imparable : le modèle familial reposant sur l’ « union conjugale stable du père et de la mère biologique » – lequel ressemble de plus en plus à une « espèce menacée » (« like an endangered species ») ajoute-t-il avec un brin de malice –, demeure « l’environnement le plus sécurisé pour le développement de l’enfant »[6]. Toute autre combinaison, selon l’universitaire américain, porte préjudice à moyen et long terme à l’équilibre émotionnel de l’enfant, quelles que soient par ailleurs les qualités humaines et éducatives des homosexuels que personne ne conteste. S’engager dans cette voie reviendrait en effet à heurter de front le principe reconnu par la Convention internationale de l’ONU sur les droits de l’enfant selon lequel l’intérêt supérieur de celui-ci, partie la plus faible et sans défense, doit toujours passer avant toute autre considération.

Cette publication – qui confirme le bien-fondé de la structure éthique et anthropologique de l’alliance conjugale entre un homme et une femme pour assurer le plein développement du petit d’homme –  ne saurait être plus longtemps passée sous silence alors que le gouvernement s’obstine à vouloir ouvrir le mariage et l’adoption aux couples homosexuels. Quant aux autres travaux jusqu’ici mis en avant, le professeur Berger enfonce le clou : « La vraie audace de la part du gouvernement n’est pas de soutenir un tel projet de loi, non, ce serait de ne pas avoir peur d’aller vérifier ce qu’il en est réellement, de donner une place au savoir face à l’intimidation et aux études biaisées, et de décider dans un climat plus apaisé. Pourquoi le lobby homoparental ne demande-t-il pas que cette démarche soit entreprise, s’il n’y a rien à cacher ? ». La tenue d’un débat digne de ce nom ne permettrait-elle pas de faire la lumière sur un projet de loi où l’improvisation le dispute à la précipitation ? Dans cette affaire, qui se préoccupe du bien des enfants ? » (source : libertepolitique.com)

[1] Maurice Berger, « Homoparentalité : intimidation et études douteuses », Débats et opinions, Le Figaro, 3 octobre 2012.

[2] Pierre-Olivier Arduin, « L’homoparentalité discréditée », La Nef, septembre 2012.

[3] Mark Regnerus, “How different are the adult children of parents who have same-sex relationships? Findings from the New Family Structures Study”, Social Science Research 41 (2012), 752-770.

[4] Wendy Wright et Lisa Correnti, « L’homoparentalité n’est pas l’égale de la parenté fondée sur le mariage hétérosexuel », www.c-fam.org, 15 juin 2012.

[5] Xavier Lacroix, « Homoparentalité », Lexique des termes ambigus et controversés sur la famille, la vie et les questions éthiques, Conseil pontifical pour la famille, Téqui, p. 595-609.

[6] « The biologically-intact, stable nuclear family (biological mother and father and their marital stability) remains the most secure environment for child development » in Mark Regnerus, “Response to Paul Amato, David Eggebeen and Cynthia Osborne”, Social Science Research 41 (2012) 786-787.

http://enfantsjustice.wordpress.com/2012/10/14/discredit-scientifique-sans-appel-contre-lhomoparentalite-1-quart-23-des-enfants-abuses-sexuellement/

 

Personnellement que des homos lesbiennes veulent se marier pour avoir les mêmes droits que les autres cela me parait normal on est tous égaux en droit ,mais toutefois à mes yeux les droits de l'enfant sont supérieurs, et comme personne ne lui demande son avis son intérêt supérieur n'est plus défendu, et là sa pause un grave problème l'enfant doit être défendu ainsi que son intérêt supérieur.

17 juillet 2013

Les OGM peuvent activer des gènes provoquant le cancer, ou affaiblir notre système immunitaire.

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De nouvelles études en recherche cellulaire soulèvent de nouvelles questions alarmantes concernant les OGM, et l’une d’elles en particulier fait ressembler l'insuffisance hépatique ou le cancer à un jeu d’enfant comparée aux choquantes possibilités soulevées si nous commençons à analyser la manière dont les aliments génétiquement modifiés peuvent altérer notre ADN.

 

D’abord, mettons les choses au clair. Toutes sortes de choses peuvent altérer notre ADN, pour le meilleur ou pour le pire. Bruce Lipton, un scientifique pionnier en biologie, a prouvé que les émotions peuvent altérer l’ADN; la recherche a montré que même l’exercice ou la chimiothérapie peuvent altérer notre ADN. ; les anciennes cultures savaient que le son peut affecter notre ADN, et les recherches les plus récentes déclarent que nous ne sommes pas condamnés à un destin spécifique par nos gènes, mais il semble que nos cerveaux soient reprogrammés via l’ADN pour devenir des humains nouveaux.

 

Notre ADN contient deux brins de nucléotides qui lui donnent sa structure en escalier. Chaque nucléotide contient une des quatre bases (adénine, thymine, guanine, cytosine), une molécule formée par un groupe phosphate et un sucre. Les bases contiennent de l'azote, reliée de manière très spécifique. La façon dont les quatre bases vont se connecter pour une espèce donnée sera très différente de celle qui s'organise dans une autre espèce.

 

En fait, un OGM à double hélice d'ARN (ARNd) créé par Monsanto peut censément désactiver certains signaux génétiques et en activer d’autres. Habituellement, en insérant un gène de Roundup Ready dans une plante, il faut une protéine qui peut fabriquer une plante Roundup Ready pouvant résister au Roundup et continuer à grandir. Le nouveau ARNd peut survivre sans synthèse de protéine. Ce qui permet au dARN de modifier les gènes.

 

Chez des souris nourries avec cet ARNd, le foie a complètement changé son organisation cellulaire, et les souris se sont développées bizarrement. On a trouvé cette même désorganisation quand ces ARNd ont été ajoutés à des cellules humaines. On suppose que cette alimentation avec OGM peut activer des gènes provoquant le cancer, ou affaiblir notre système immunitaire. Dans un contexte différent, le blé que nous consommons est tellement différent d'un blé biologique qu'il nous rend "accro". Certains nomment cela du bioterrorisme pour cette raison.

 

Les plantes alimentaires OGM fabriquent ces nouveaux ARNd pour faire taire ou amplifier la structure génétique de manière très spécifique. La FDA (Food and Drug Administration = organisme américain de contrôle des produits alimentaires et pharmaceutiques) n'a pas fait d’évaluation sur ces ARNd et la manière dont ils vont affecter nos gènes, et Monsanto travaille sur la technologie ARNd, en rachetant des compagnies qui l'utilisent pour l'introduire en tant que prochaine série d’aliments OGM à nous balancer contre notre gré.

 

Des chercheurs d'Australie et de Nouvelle Zélande dévoilent ce problème. Une simple inhalation des pulvérisations d'OGM peut changer la manière dont nos corps produisent l’ADN et les protéines associées. Le plus effrayant est le fait que cet ARNd peut se transmettre à la descendance de ceux qui y sont exposés. Au Canada, une nouvelle recherche montre que le sang de femmes enceintes contenait des traces des toxines trouvées dans des produits alimentaires OGM. Qui sait quelles seront les conséquences à long terme du bricolage de notre structure génétique, mais elles ne peuvent pas être prometteuses étant données les performances archivées jusqu'à aujourd'hui de Monsanto.

 

"Découvrir que des toxines génétiquement modifiées et aussi des résidus d’herbicides sont absorbés dans le sang de consommateurs et par des fœtus, montre qu'une alimentation biologique et sans OGM devrait être le premier choix pour les familles et surtout pour les femmes enceintes", a dit Steffan Browning, porte parole de "Terre et Santé – Le Bio".

 

Il y a des projets d'introduction de cet ARNd dans l’alimentation, les médicaments, les vaccins et les épandages de pesticides. A moins de vouloir jouer au jeu de "attendre et voir" avec votre évolution génétique personnelle, il serait temps de passer au tout biologique jusqu’à ce qu’il y ait davantage d’informations données sur le sujet des OGM et de l’altération de l’ADN.

 

Source

 

http://worldtruth.tv/is-gmo-rewiring-our-dna/

 

Traduit par le BBB.

http://bistrobarblog.blogspot.be/2013/07/ogm-et-adn.html


Lepage : "Tout est organisé pour qu'il n'y ait... par LeNouvelObservateur

16 juillet 2013

BIG BROTHER : Barack Obama a annoncé que les USA financeront dès 2014 le projet Brain

 

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A quelles découvertes s'attendre si nous parvenons à craquer un jour le code de notre cerveau ? Barack Obama a annoncé que le gouvernement américain financera dès 2014 le projet Brain, à hauteur de 100 millions de dollars, pour réaliser une cartographie de notre cerveau. Ce projet fait concurrence au programme européen Humain Brain Project. Terra incognita Publié le 28 avril 2013 - Mis à jour le 30 avril 2013 RSS 0 152 14 0 199 Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Crédit Reuters Atlantico : Le récent projet européen Humain Brain Project a l’ambition de comprendre le cerveau humain. Ce programme durera dix ans et regroupe 80 laboratoires dans 16 pays. Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Alain Destexte : Ce projet européen a pour but d’avancer le plus loin possible vers la représentation du cerveau humain.

Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère...

Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité.

Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement.

Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux.

Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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A quelles découvertes s'attendre si nous parvenons à craquer un jour le code de notre cerveau ? Barack Obama a annoncé que le gouvernement américain financera dès 2014 le projet Brain, à hauteur de 100 millions de dollars, pour réaliser une cartographie de notre cerveau. Ce projet fait concurrence au programme européen Humain Brain Project. Terra incognita Publié le 28 avril 2013 - Mis à jour le 30 avril 2013 RSS 0 152 14 0 199 Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Crédit Reuters Atlantico : Le récent projet européen Humain Brain Project a l’ambition de comprendre le cerveau humain. Ce programme durera dix ans et regroupe 80 laboratoires dans 16 pays. Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Alain Destexte : Ce projet européen a pour but d’avancer le plus loin possible vers la représentation du cerveau humain. Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux. Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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A quelles découvertes s'attendre si nous parvenons à craquer un jour le code de notre cerveau ? Barack Obama a annoncé que le gouvernement américain financera dès 2014 le projet Brain, à hauteur de 100 millions de dollars, pour réaliser une cartographie de notre cerveau. Ce projet fait concurrence au programme européen Humain Brain Project. Terra incognita Publié le 28 avril 2013 - Mis à jour le 30 avril 2013 RSS 0 152 14 0 199 Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Crédit Reuters Atlantico : Le récent projet européen Humain Brain Project a l’ambition de comprendre le cerveau humain. Ce programme durera dix ans et regroupe 80 laboratoires dans 16 pays. Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Alain Destexte : Ce projet européen a pour but d’avancer le plus loin possible vers la représentation du cerveau humain. Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux. Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux. Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux. Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux. Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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A quelles découvertes s'attendre si nous parvenons à craquer un jour le code de notre cerveau ? Barack Obama a annoncé que le gouvernement américain financera dès 2014 le projet Brain, à hauteur de 100 millions de dollars, pour réaliser une cartographie de notre cerveau. Ce projet fait concurrence au programme européen Humain Brain Project. Terra incognita Publié le 28 avril 2013 - Mis à jour le 30 avril 2013 RSS 0 152 14 0 198 Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Crédit Reuters Atlantico : Le récent projet européen Humain Brain Project a l’ambition de comprendre le cerveau humain. Ce programme durera dix ans et regroupe 80 laboratoires dans 16 pays. Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Alain Destexte : Ce projet européen a pour but d’avancer le plus loin possible vers la représentation du cerveau humain. Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux. Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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14 juillet 2013

La mystérieuse "Zone du Silence" Mexicaine

 

zonadelsilencio-durango

Il existe de nombreux "sites maudits" à la surface de notre planète. Certains endroits sont le lieu de perturbations gravitationnelles ou atmosphériques qui restent encore inexpliquées par la science du 21ème siècle. Ces zones d'anomalies possèdent des propriétés qui interfèrent sporadiquement avec les humains et leurs équipements. Une région qui mérite mention entoure l'île d'Elbe en méditerranée (célèbre pour le premier lieu d'exil de Napoléon), et elle est très redoutée par l'aviation ; un autre endroit est le Mt Stredohori en Tchécoslovaquie, où une force inconnue fait s'arrêter le moteur des voitures sur un tronçon de 23 mètres de route. 


Pourtant, pas besoin de voyager si loin (l'article est américain, NdT) pour rencontrer une partie du monde encore plus déconcertante, bien que toujours inconnue de la plupart des gens : la mystérieuse et magique zona del silencio – la Zone du Silence, à seulement 250 km de El Paso, Texas. Les déserts sont souvent considérés suffisamment mystérieux sans y ajouter l'étrangeté offerte par ce territoire peu éloigné de El Paso. C'est un endroit qui engloutit les signaux radio et TV et qu'on a récemment associé au phénomène OVNI.

Localisation de la Zone du Silence



Des siècles de mystère


Selon le Dr Santiago Garcia, c'est dès la seconde moitié du 19ème siècle qu'on a pris conscience des propriétés inhabituelles de la zone, lorsque des fermiers qui gagnaient tout juste de quoi vivre dans cet environnement menaçant se rendirent compte que des "cailloux chauds" (= petites météorites) tombaient régulièrement d'un ciel sans nuages. Dans les années 30, Francisco Sarabia, un aviateur de l'état mexicain du nord de Coahuila, a rapporté que sa radio avait mystérieusement cessé de fonctionner, lui valant la distinction d'être la première victime de la Zone du Silence.



Ce ne fut néanmoins qu'en 1970 que la zone fut connue du public quand un missile américain, un Athéna, lancé depuis la base de missiles de White Sands (https://fr.wikipedia.org/wiki/White_Sands) changea inexplicablement de trajectoire, en se dirigeant vers la Zone du Silence, où finalement il s'écrasa. Quelques années plus tard, l'étage supérieur d'une fusée Saturn utilisée dans le projet Apollo se désintégra au-dessus de cette même zone. L'armée américaine envoya une équipe dans la région pour enquêter sur ses étonnantes propriétés naturelles.



L'ingénieur Harry de la Pena fut le premier étranger à découvrir la zone et ses déconcertantes propriétés d'interférence radio. Des humains habitent ce désert de broussailles et de cactus depuis l'époque préhistorique, dès le rassemblement d'une tribu indigène inconnue autour d'un point d'eau qui existe toujours. Les communautés de Ceballos et Durango, à quelques 15 km de là, sont les plus proches de la zone et point de départ de toute aventure vers son atmosphère irréelle. Le visiteur trouvera de vastes étendues de terres plates, ponctuées de buissons épineux et infesté de serpents venimeux. À cet égard, pas de différence avec les autres déserts.



Pena et son groupe prirent conscience du "silence" en découvrant qu'il était impossible de communiquer entre eux à l'aide de leurs talkies-walkies : les ondes radio n'étaient pas transmises à la vitesse et à la fréquence habituelles. Les radios portatives n'émettaient qu'un très faible chuchotement même à plein volume. Encore aujourd'hui, les signaux de télévision ne peuvent être réceptionnés à Ceballos ou dans les ranchs voisins. Une force magnétique, capable de faire obstacle aux ondes radio, semble exister dans la région.


Depuis cette première visite de l'ingénieur, des scientifiques du monde entier ont visité la zone, affluant en masse vers l'installation de recherche érigée par le gouvernement mexicain en plein cœur du site mystérieux. Le nom de la zone quelque peu de mauvais augure a été changé, on la nomme maintenant Mar de Tetys – Mer de Thétis, dû au fait qu'elle était recouverte d'eau il y a des millions d'années – et le laboratoire de recherche a été surnommé la "biosphère".


Assez curieusement, la zone se situe juste au nord du Tropique du Cancer et au sud du 30ème parallèle, ce qui lui fait rejoindre d'autres anomalies planétaires comme le Triangle des Bermudes . Des OVNI et la présence de vie non-humaine ont été attestés dans cette région anormale. Il y a encore quelques années, certaines personnes encore en vie dans les premières décennies du 20ème siècle pouvaient se souvenir de rencontres avec des créatures supposées extra-terrestres.

Photo trouvée sur le forum ATS


Rencontres rapprochées


Le 13 octobre 1975, Ernesto et Josefina Diaz, un couple entreprenant, étaient venus dans la zone dans un pickup Ford neuf pour ramasser des roches et des fossiles originaux qu'on y trouve en abondance. Pendant qu'ils s'affairaient, ils remarquèrent qu'un gros orage de désert se dirigeait vers eux. Espérant éviter de se retrouver pris dans une inondation subite, ils chargèrent avec sagesse leur véhicule et se dépêchèrent de partir, mais pas assez vite pour éviter l'implacable pluie : la piste devant eux se transforma en marécage : le pickup fut rapidement bloqué et commença à s'enliser dans la terre ramollie.
Pendant que le couple bagarrait pour empêcher le véhicule d'être submergé par la boue, deux personnages s'approchèrent d'eux, leur faisant un signe de la main pendant que la pluie tombait à torrent. Deux hommes extrêmement grands avec des vêtements de pluie et un chapeau jaunes, aux traits inhabituels sans être alarmants, offrirent leur aide pour les remettre sur la route. Les hommes donnèrent comme instructions au couple complètement trempé de retourner dans le pickup pendant qu'ils pousseraient. Avant que le couple ne le réalise, leur véhicule était sorti de l'ornière et se retrouvait sur le sol ferme.


Quand le mari sortit de nouveau du pickup pour remercier les deux hommes, il réalisa qu'ils étaient partis. Il n'y avait ni traces de pas visibles ni endroit particulier qui auraient pu les dissimuler pendant leur départ.


Des voyageurs traversant la zone régulièrement rapportent avoir vu la nuit d'étranges lumières ou des boules de feu, qui changeaient de couleur, suspendues immobiles et ensuite disparaissant à grande vitesse. Deux éleveurs revenant d'une fête furent témoins d'une lumière scintillante qui descendrait en flottant du ciel sombre d'où sortirent des occupants humanoïdes, qui brillaient de la même étrange lumière et marchaient dans leur direction. Les éleveurs prirent leurs jambes à leur cou.


Des traces physiques de ces visites nocturnes sont visibles. Un témoin retourna un matin sur le site où il avait vu les mystérieuses lumières caracoler la nuit précédente et découvrit que la végétation de broussailles "avaient été comme incendiée". Des douzaines de compte-rendus semblables proviennent de la zone, racontés par des témoins fiables.


Le Dr Santiago Garcia, qui a consacré une bonne partie de sa vie à enquêter sur cette région anormale, a supposé que certaines lumières vues par des habitants pouvaient bien provenir d'un véhicule maraudeur laissé par l'armée US, dont les cellules solaires se rechargeaient la journée et qui menait des missions furtives à la faveur de l'obscurité. Garcia souligne que lorsque l'Air Force est venu récupérer les débris du missile Athéna, ils ont emporté avec eux plusieurs camions de sable du désert pour analyse. Il existe une croyance répandue que d'immenses dépôts de magnétite existent dans la zone, et que ce minerai de fer est responsable de l'affaiblissement des ondes électromagnétiques. Il a également été prouvé que des dépôts considérables d'uranium existent dans la chaîne montagneuse en bordure de la Zone du Silence. En 1976, un visiteur a pris la première photo d'un OVNI ayant atterri près d'un emplacement topographique connu sous le nom de "Colline Magnétique" par les habitants du lieu. Les photos montrent clairement un objet argenté brillant ressemblant à une marmite. Le photographe chanceux put prendre d'autres photos de l'OVNI pendant qu'il s'élevait en grondant, disparaissant vers l'ouest. 


Pourtant tous les visiteurs "extraterrestres" n'ont pas été aussi insaisissables. Le personnel d'un petit ranch a été visité régulièrement par trois visiteurs de grande taille, aux longs cheveux blonds – deux hommes et une femme – qu'on a décrit comme étant polis à l'excès, extrêmement beaux et habillés "d'une drôle de façon". Ils s'exprimaient dans un espagnol sans défaut et musical.


Le but de ces visites était d'obtenir de l'eau d'un des puits du ranch : les "amusants" visiteurs demandaient à leurs hôtes de bien vouloir remplir leur bidons d'eau, ne demandant jamais de nourriture ou quoi que ce soit d'autre. Quand on leur demandait d'où ils venaient, les visiteurs se contentaient de sourire et de dire "d'au-dessus". Ces visiteurs pourraient-ils être les types "nordiques" dont parlent les ufologues ? Un chercheur espagnol, Antonio Ribera, a décrit des "Blonds" semblables opérer dans le voisinage de Rosellon, en Catalogne, qui ne faisaient que demander du pain et du lait, payant leurs hôtes humains avec des pépites d'or. Des "Nordiques" aux cheveux presque blancs ont été rapportés dans la Sierra Nevada, en Californie, où ils descendaient de temps à autre faire du troc avec les citadins. Il existe une connexion de ce genre entre certains déserts énigmatiques et ces créatures à l'apparence angélique.


Une expériences vécue dans la Zone du Silence n'est pas près d'être oubliée et le journaliste Luis Ramirez Reyes n'oubliera sûrement pas la sienne. Pendant le mois de novembre 1978, Ramirez se rendit dans la zone avec une équipe d'information assignée à "couvrir" l'histoire du bizarre site. 


Ayant choisi de partir avant le gros de l'équipe, Ramirez et son photographe partirent dans le désert, naviguant par intuition plus que par une connaissance solide de leur destination finale : la "biosphère" construite par le gouvernement mexicain, laboratoire destiné à enquêter sur les formes biologiques inhabituelles de vie découvertes dans la région et à mener des recherches psychiques.

Photo d'ATS : la biosphère ?


Encore éloignés de leur but en raison de leur impulsion imprudente à se diriger dans le désert, Ramirez devint douloureusement conscient qu'ils manquaient d'eau ou des provisions nécessaires pour survivre dans cet environnement hostile si malheureusement ils se perdaient. En arrivant à une intersection en "Y" de routes en terre, ils avaient choisi la mauvaise direction.


Il remarqua soudain qu'il y avait trois personnages marchant devant eux, venant dans leur direction. Espérant que ces habitants locaux pourraient leur indiquer la direction de la biosphère, le journaliste dit à son compagnon, qui faisait le chauffeur, de ralentir pour leur parler. Il fut abasourdi quand le conducteur les dépassa, comme s'il ne les voyait pas.


Ramirez commença à se demander si le désert ne lui jouait pas des tours. Le trio se composait de gens ordinaires, vêtus du costume habituellement porté par les habitants de cette partie du pays. En continuant leur voyage, il eut de nouveau un choc en se retrouvant face à eux – dans une autre partie du désert ! En ordonnant avec rudesse au photographe (qui ne voyait personne) d'arrêter le véhicule, Ramirez tenta sa chance de parler avec les trois locaux. Il leur demanda s'ils avaient vu un autre véhicule comme le leur dans le secteur. Ils répondirent que non, mais que s'ils continuaient leur route en traversant le terrain rocheux désertique de la "Mer de Thétys", ils atteindraient la biosphère. Les trois locaux prétendaient être sortis chercher des animaux perdus leur appartenant, mais ils n'avaient ni bouteilles d'eau ou autre matériel indiquant qu'ils pouvaient survivre dans un territoire hostile. 


Après avoir accompli leur périple, les deux hommes furent soulagés de découvrir dans le lointain le bâtiment de la biosphère. À leur arrivée et après avoir fait connaissance avec l'équipe, ils discutèrent avec Harry de la Pena de leur rencontre bizarre dans le désert. D'un ton très sérieux, Pena leur dit qu'il n'y avait personne d'autre dans le désert que l'équipe de la biosphère et certainement aucun groupe de paysans. Un survol aérien les jours suivants convainquit l'enquêteur de la profonde désolation de la région s'étendant sur des centaines de km². Mais si ce n'était pas des personnes, qu'étaient-ils ? 


Les visiteurs "nordiques" et autres humanoïdes ne sont pas le seul genre rapporté dans la région. On a observé des êtres bizarrement vêtus de quelques dizaines de centimètres de haut. Ruben Lopez, traversant la zone en camion de nuit pour aller voir un parent à Ceballos, remarqua que le moteur de son véhicule commençait à cafouiller. Cela finit par le tracasser car il avait fait réviser récemment le camion. Il devint tout à coup conscient de trois petits personnages qui se tenaient au bord de la route à quelques dizaines de mètres devant. Lopez pensa d'abord que c'étaient des enfants qui s'étaient perdus, jusqu'à ce qu'il remarque qu'ils portaient des tenues argentées inhabituelles d'une seule pièce.


La tête des petits êtres était recouverte d'un casque ressemblant à ceux utilisés par les joueurs de football (football américain, bien sûr). À travers l'ouverture frontale du casque, Lopez pouvait dire qu'ils avaient des visages d'adultes. Ils s'approchèrent avec curiosité de la cabine du camion, emplissant le chauffeur d'une réelle crainte : Lopez mit en route le moteur au point mort, ce qui entraîna l'éparpillement des nains dans l'obscurité du désert. Le camion continua à fonctionner normalement après la disparition des créatures.

Une énigme archéologique

Les ruines extrêmement anciennes de la Zone du Silence posent une autre inquiétante énigme. Les archéologues ont été incapables de déterminer leur âge, mais elles représentent sans aucun doute un observatoire astronomique vieux de milliers d'années. Il n'y a pas de lien entre ce Stonehenge mexicain et les tribus primitives qui se sont regroupées autour du point d'eau qui constitue l'oasis de cette région aride. À un certain moment de l'antiquité, des gens étaient très actifs dans la Zone.



Peut-être étaient-ils intéressés, comme le sont les astronomes et géologues modernes par le grand nombre de petites météorites attirées par les propriétés magnétiques de la Zone.


Une météorite qui s'écrasa à Chihuahua à la fin des années 50 contenait des structures cristallines qui dépassait de loin l'âge du système solaire. Le chercheur Luis Maeda Villalobos conclut que la météorite contenait du "matériel aussi vieux que l'univers" : notre système solaire est vieux de 6 milliards d'années, alors que l'âge de la météorite a été estimé à 13 milliards d'années.


Que nous ayons affaire à des OVNI, des visiteurs d'autres dimensions qui pensent que les aberrations magnétiques facilitent leurs voyages, ou simplement à une partie mal comprise de notre monde aux propriétés non soupçonnées, aucune réponse aisée ne s'applique à l'énigme posée par la Zone du Silence. Les bâtisseurs des mystérieuses ruines de l'observatoire auraient probablement été d'accord.


Source
Traduit par le BBB.BistroBarBlog

 

14 juillet 2013

Les anciens Romains connaissaient l’Amérique: de nouvelles preuves mises à jour

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Un examen d’ADN démontre qu’il y avait des semences de tournesol dans les vestiges retrouvés dans l’épave d’un bateau coulé dans le Mer Tyrrhénéenne au II° siècle avant Jésus-Christ. Pourtant on croyait que cette fleur, vénérée par les Incas, avait été importée en Europe par les conquistadores...

 

En somme, on peut croire désormais que bien avant les Vikings, les Romains fréquentaient le continent américain. De nouveaux indices archéologiques convaincants semblent confirmer désormais que les navires romains entretenaient des relations commerciales avec l’Amérique. Elio Cadelo, vulgarisateur scientifique, l’a annoncé lors d’une conférence tenue en marge d’une conférence de presse à Bologne portant sur la série cinématographique archéologique “Storie del Passato”. Le documentaire “Quand les Romains allaient en Amérique” dévoile des choses surprenantes sur les anciennes routes de navigation.

 

Un indice fort probant nous est fourni par une analyse ADN de résidus d’origine végétale (appartenant à une pharmacie du bord) retrouvés dans les restes d’une épave romaine, récupérés le long de la côte toscane. Le naufrage du navire a dû avoir lieu entre 140 et 120 avant JC quand Rome, après avoir détruit Carthage, était devenue la seule superpuissance de la Méditerranée. Sur ce malheureux bateau devait se trouver un médecin, dont le matériel professionnel a pu être retrouvé quasi intact dans l’épave: il y avait là des fioles, des bendelettes, des outils chirurgicaux et des petites boîtes, encore fermées, qui contenaient des pastilles magnifiquement bien conservées et qui constituent aujourd’hui des éléments très précieux pour connaître la pharmacopée de l’antiquité classique.

 

Les nouvelles analyses des fragments d’ADN provenant des végétaux contenus dans les pastilles “ont confirmé l’utilisation, déjà observée, de plusieurs plantes pharmaceutiques, mais deux d’entre elles ont plongé les archéologues dans la perplexité”, a expliqué Cadelo lors de sa communication de Bologne, organisée par “Ancient World Society”. En effet, “on y trouvait de l’ibiscus, qui ne pouvait provenir que de l’Inde ou de l’Ethiopie, et, surtout, des graines de tournesol”.

 

D’après les connaissances communément admises jusqu’ici, le tournesol n’est arrivé en Europe qu’après la conquête espagnole des Amériques. Le premier à avoir décrit la fleur de tournesol fut le conquistador du Pérou, Francisco Pizzaro, qui racontait aussi que les Incas la vénéraient comme l’image de leur divinité solaire. On sait aussi que cette fleur, de dimensions imposantes et fascinante, était cultivée dans les Amériques depuis le début du premier millénaire avant notre ère. Mais on n’en avait trouvé aucune trace dans le Vieux Monde, avant son introduction par les marchands qui furent les premiers à fréquenter les “terres à peine violées” par les conquistadores ibériques.

 

Une autre curiosité s’ajoute à de nombreuses autres, que nous explique le livre de Cadelo qui dresse l’inventaire des trafics commerciaux antiques, inconnus jusqu’ici. Ainsi, cette surprenante découverte d’un bijou raffiné en verre recouvert de feuilles d’or provenant d’ateliers romains de l’ère impériale que l’on a retrouvé dans une tombe princière japonaise, non loin de Kyoto. Il s’agit d’une pièce de verroterie rehaussée d’or que des marchands marins romains emportaient avec eux pour en faire des objets d’échange. Mais on ne doit pas nécessairement penser que ce furent des marchands romains qui l’apportèrent au Japon; ce bijou a très bien pu être échangé en d’autres lieux avant d’arriver en Extrême-Orient. Par ailleurs, on a retrouvé des monnaies romaines lors de fouilles en Corée et même en Nouvelle Zélande. D’autres preuves de la présence en Amérique de navires phéniciens ou romains avaient été décrites dans la première édition du livre de Cadelo, où, entre autres choses, l’auteur dénonce notre ignorance absolue des connaissances astronomiques de nos ancêtres: par exemple, il y a, dans la “Naturalis Historia” de Pline l’Ancien une page peu lue où le naturaliste antique explique que le mouvement de rotation de la Terre autour de son propre axe peut se démontrer par le lever et le coucher du soleil toutes les vingt-quatre heures (près d’un millénaire et demi avant Copernic...). Et Aristote disait être certain que l’on pouvait atteindre l’Inde en naviguant vers l’Ouest: si Christophe Colomb avait pu monter cette page d’Aristote aux Rois catholiques d’Espagne, il se serait épargné bien du mal à les convaincre de lui confier trois caravelles.

 

(article trouvé sur le site du quotidien italien “Il Giornale”; http://www.ilgiornale.it/ ).

Un examen d’ADN démontre qu’il y avait des semences de tournesol dans les vestiges retrouvés dans l’épave d’un bateau coulé dans le Mer Tyrrhénéenne au II° siècle avant Jésus-Christ. Pourtant on croyait que cette fleur, vénérée par les Incas, avait été importée en Europe par les conquistadores...

 

En somme, on peut croire désormais que bien avant les Vikings, les Romains fréquentaient le continent américain. De nouveaux indices archéologiques convaincants semblent confirmer désormais que les navires romains entretenaient des relations commerciales avec l’Amérique. Elio Cadelo, vulgarisateur scientifique, l’a annoncé lors d’une conférence tenue en marge d’une conférence de presse à Bologne portant sur la série cinématographique archéologique “Storie del Passato”. Le documentaire “Quand les Romains allaient en Amérique” dévoile des choses surprenantes sur les anciennes routes de navigation.

 

Un indice fort probant nous est fourni par une analyse ADN de résidus d’origine végétale (appartenant à une pharmacie du bord) retrouvés dans les restes d’une épave romaine, récupérés le long de la côte toscane. Le naufrage du navire a dû avoir lieu entre 140 et 120 avant JC quand Rome, après avoir détruit Carthage, était devenue la seule superpuissance de la Méditerranée. Sur ce malheureux bateau devait se trouver un médecin, dont le matériel professionnel a pu être retrouvé quasi intact dans l’épave: il y avait là des fioles, des bendelettes, des outils chirurgicaux et des petites boîtes, encore fermées, qui contenaient des pastilles magnifiquement bien conservées et qui constituent aujourd’hui des éléments très précieux pour connaître la pharmacopée de l’antiquité classique.

 

Les nouvelles analyses des fragments d’ADN provenant des végétaux contenus dans les pastilles “ont confirmé l’utilisation, déjà observée, de plusieurs plantes pharmaceutiques, mais deux d’entre elles ont plongé les archéologues dans la perplexité”, a expliqué Cadelo lors de sa communication de Bologne, organisée par “Ancient World Society”. En effet, “on y trouvait de l’ibiscus, qui ne pouvait provenir que de l’Inde ou de l’Ethiopie, et, surtout, des graines de tournesol”.

 

D’après les connaissances communément admises jusqu’ici, le tournesol n’est arrivé en Europe qu’après la conquête espagnole des Amériques. Le premier à avoir décrit la fleur de tournesol fut le conquistador du Pérou, Francisco Pizzaro, qui racontait aussi que les Incas la vénéraient comme l’image de leur divinité solaire. On sait aussi que cette fleur, de dimensions imposantes et fascinante, était cultivée dans les Amériques depuis le début du premier millénaire avant notre ère. Mais on n’en avait trouvé aucune trace dans le Vieux Monde, avant son introduction par les marchands qui furent les premiers à fréquenter les “terres à peine violées” par les conquistadores ibériques.

 

Une autre curiosité s’ajoute à de nombreuses autres, que nous explique le livre de Cadelo qui dresse l’inventaire des trafics commerciaux antiques, inconnus jusqu’ici. Ainsi, cette surprenante découverte d’un bijou raffiné en verre recouvert de feuilles d’or provenant d’ateliers romains de l’ère impériale que l’on a retrouvé dans une tombe princière japonaise, non loin de Kyoto. Il s’agit d’une pièce de verroterie rehaussée d’or que des marchands marins romains emportaient avec eux pour en faire des objets d’échange. Mais on ne doit pas nécessairement penser que ce furent des marchands romains qui l’apportèrent au Japon; ce bijou a très bien pu être échangé en d’autres lieux avant d’arriver en Extrême-Orient. Par ailleurs, on a retrouvé des monnaies romaines lors de fouilles en Corée et même en Nouvelle Zélande. D’autres preuves de la présence en Amérique de navires phéniciens ou romains avaient été décrites dans la première édition du livre de Cadelo, où, entre autres choses, l’auteur dénonce notre ignorance absolue des connaissances astronomiques de nos ancêtres: par exemple, il y a, dans la “Naturalis Historia” de Pline l’Ancien une page peu lue où le naturaliste antique explique que le mouvement de rotation de la Terre autour de son propre axe peut se démontrer par le lever et le coucher du soleil toutes les vingt-quatre heures (près d’un millénaire et demi avant Copernic...). Et Aristote disait être certain que l’on pouvait atteindre l’Inde en naviguant vers l’Ouest: si Christophe Colomb avait pu monter cette page d’Aristote aux Rois catholiques d’Espagne, il se serait épargné bien du mal à les convaincre de lui confier trois caravelles.

 

(article trouvé sur le site du quotidien italien “Il Giornale”; http://www.ilgiornale.it/ ).

Un examen d’ADN démontre qu’il y avait des semences de tournesol dans les vestiges retrouvés dans l’épave d’un bateau coulé dans le Mer Tyrrhénéenne au II° siècle avant Jésus-Christ. Pourtant on croyait que cette fleur, vénérée par les Incas, avait été importée en Europe par les conquistadores...

 

En somme, on peut croire désormais que bien avant les Vikings, les Romains fréquentaient le continent américain. De nouveaux indices archéologiques convaincants semblent confirmer désormais que les navires romains entretenaient des relations commerciales avec l’Amérique. Elio Cadelo, vulgarisateur scientifique, l’a annoncé lors d’une conférence tenue en marge d’une conférence de presse à Bologne portant sur la série cinématographique archéologique “Storie del Passato”. Le documentaire “Quand les Romains allaient en Amérique” dévoile des choses surprenantes sur les anciennes routes de navigation.

 

Un indice fort probant nous est fourni par une analyse ADN de résidus d’origine végétale (appartenant à une pharmacie du bord) retrouvés dans les restes d’une épave romaine, récupérés le long de la côte toscane. Le naufrage du navire a dû avoir lieu entre 140 et 120 avant JC quand Rome, après avoir détruit Carthage, était devenue la seule superpuissance de la Méditerranée. Sur ce malheureux bateau devait se trouver un médecin, dont le matériel professionnel a pu être retrouvé quasi intact dans l’épave: il y avait là des fioles, des bendelettes, des outils chirurgicaux et des petites boîtes, encore fermées, qui contenaient des pastilles magnifiquement bien conservées et qui constituent aujourd’hui des éléments très précieux pour connaître la pharmacopée de l’antiquité classique.

 

Les nouvelles analyses des fragments d’ADN provenant des végétaux contenus dans les pastilles “ont confirmé l’utilisation, déjà observée, de plusieurs plantes pharmaceutiques, mais deux d’entre elles ont plongé les archéologues dans la perplexité”, a expliqué Cadelo lors de sa communication de Bologne, organisée par “Ancient World Society”. En effet, “on y trouvait de l’ibiscus, qui ne pouvait provenir que de l’Inde ou de l’Ethiopie, et, surtout, des graines de tournesol”.

 

D’après les connaissances communément admises jusqu’ici, le tournesol n’est arrivé en Europe qu’après la conquête espagnole des Amériques. Le premier à avoir décrit la fleur de tournesol fut le conquistador du Pérou, Francisco Pizzaro, qui racontait aussi que les Incas la vénéraient comme l’image de leur divinité solaire. On sait aussi que cette fleur, de dimensions imposantes et fascinante, était cultivée dans les Amériques depuis le début du premier millénaire avant notre ère. Mais on n’en avait trouvé aucune trace dans le Vieux Monde, avant son introduction par les marchands qui furent les premiers à fréquenter les “terres à peine violées” par les conquistadores ibériques.

 

Une autre curiosité s’ajoute à de nombreuses autres, que nous explique le livre de Cadelo qui dresse l’inventaire des trafics commerciaux antiques, inconnus jusqu’ici. Ainsi, cette surprenante découverte d’un bijou raffiné en verre recouvert de feuilles d’or provenant d’ateliers romains de l’ère impériale que l’on a retrouvé dans une tombe princière japonaise, non loin de Kyoto. Il s’agit d’une pièce de verroterie rehaussée d’or que des marchands marins romains emportaient avec eux pour en faire des objets d’échange. Mais on ne doit pas nécessairement penser que ce furent des marchands romains qui l’apportèrent au Japon; ce bijou a très bien pu être échangé en d’autres lieux avant d’arriver en Extrême-Orient. Par ailleurs, on a retrouvé des monnaies romaines lors de fouilles en Corée et même en Nouvelle Zélande. D’autres preuves de la présence en Amérique de navires phéniciens ou romains avaient été décrites dans la première édition du livre de Cadelo, où, entre autres choses, l’auteur dénonce notre ignorance absolue des connaissances astronomiques de nos ancêtres: par exemple, il y a, dans la “Naturalis Historia” de Pline l’Ancien une page peu lue où le naturaliste antique explique que le mouvement de rotation de la Terre autour de son propre axe peut se démontrer par le lever et le coucher du soleil toutes les vingt-quatre heures (près d’un millénaire et demi avant Copernic...). Et Aristote disait être certain que l’on pouvait atteindre l’Inde en naviguant vers l’Ouest: si Christophe Colomb avait pu monter cette page d’Aristote aux Rois catholiques d’Espagne, il se serait épargné bien du mal à les convaincre de lui confier trois caravelles.

 

(article trouvé sur le site du quotidien italien “Il Giornale”; http://www.ilgiornale.it/ ).


Publié dans archéologie | Lien permanent |

15 avril 2013

La statue bouddhique trouvée par les nazis venait du ciel

20120910

Message


Un article publié dans Metoritics & Planetary Science raconte l’expédition d’une équipe nazie en 1938 qui s’est terminée par la découverte d’une statue bouddhique faite en roche d’origine extraterrestre. A côté de ça, Indiana Jones et sa citée perdue peuvent aller se rhabiller. La revue Nature rapporte que ce Bouddha, appelé «L’homme de fer», est une statue de 24 cm pesant10 kgs qui semble représenter le dieu Vaisravana, le Roi du Nord. Mais c’est la composition de la statuette qui a étonné les scientifiques.

Une équipe de l'Institut de planétologie de l'université de Stuttgart, dirigée par Elmar Buchner, a analysé la statue et a découvert Mais il portait le svastika, un symbole bouddhiste en forme de croix représentant la chance, repris plus tard par les nazis.

«La statue a été sculptée dans un fragment de la météorite de Chinga qui s'est écrasée à la frontière de la Mongolie et de la Sibérie voici environ 15.000 ans»



NBC News rapporte que l’expédition a eu lieu de 1938 à 1939. Le zoologiste et ethnologue Ernst Schäfer a été envoyé au Tibet par le parti nazi pour trouver les origine de la race aryenne. C’est là qu’avec son équipe il a découvert cette statue, portant une croix gammée. Alors non, Bouddha n’était pas nazi. Mais il portait le svastika, un symbole bouddhiste en forme de croix représentant la chance, repris plus tard par les nazis.

Un propriétaire privé a immédiatement fait l’acquisition de la statue, et c’est seulement en 2009 que l’équipe du Docteur Buchner a mis la main dessus à l'issue d'une vente aux enchères et a pu découvrir l’origine extraterrestre de la roche.

Selon le Docteur Buchner, ces origines seules peuvent faire monter le prix de la statue à 20.000 dollars (15.000 euros). Mais si elle date du XIe siècle, comme le soupçonnent les chercheurs, sa valeur serait décuplée.

Il est étonnant de constater que des hommes ont pris la peine de tailler une sculpture dans une roche aussi dure. Il est donc fort probable que les personnes l’ayant créée aient eu conscience que ce matériel «venait du ciel». Selon l'AFP, ce ne serait pas la première fois que des peuples anciens vouent un culte à une météorite: les Inuits du Groenland et les Aborigènes d'Australie le faisaient déjà. En Egypte, les météorites servaient de couteaux ou d’objets artistiques qui étaient enterrés avec leur propriétaire.

Source : Slate

27 mars 2013

Un réseau de galeries et de cavernes sous l’Equateur et le Pérou renfermerait deux bibliothèques

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Un réseau de galeries et de cavernes sous l’Equateur et le Pérou renfermerait deux bibliothèques
contenant des livres de métal gravés et des tablettes de cristal. Plusieurs expéditions ont tenté de
découvrir ce trésor, en vain. Un fabuleux défi archéologique. « Pour moi, c’est la plus incroyable, la
plus fantastique histoire du siècle » s’écrit en 1972 l’aventurier suisse Eric Von Däniken dans son
ivre The Gold of the Gods
De quoi s’agit-il ? D’une bibliothèque de livres de métal découverte en 1965 sous le sol du Pérou et
de l’Équateur par l’entrepreneur austro argentin Juan Moricz. Selon Däniken, passionné d’énigmes
archéologiques, Moricz l’aurait accompagné en 1972 au coeur des mystérieuses galeries
souterraines qu’il décrit ainsi: « Tous les couloirs forment des angles droits parfaits, parfois étroits,
parfois larges. Les murs sont lisses et semblent polis. Les plafonds sont plats et on dirait parfois
qu’ils ont été enduits d’une, sorte de vernis... Mes doutes quant à l’existence de galeries
souterraines se sont envolés comme par magie et j’ai ressenti une immense joie. Moricz a affirmé
que les couloirs comme ceux dans lesquels nous passions s’étendaient sur des centaines de
kilomètres sous le sol de l’Équateur et du Pérou. » Cependant, pour des raisons floues, Von Däniken
ne verra pas la bibliothèque tant convoitée...
Peu de temps après, Moricz confie à des journalistes de Der Spiegel et du Stern qu’il n’est jamais
allé dans la caverne avec Däniken... La réputation de ce dernier en prend un coup. L’auteur de best
sellers pour qui les dieux sont d’anciens astronautes et qui voit dans cette bibliothèque, comme dans
Les pyramides ou les statues de l’Île de Pâques, la preuve de l’existence de visiteurs extraterrestres,
ne s’en remettra jamais tout à fait. Personne n’a fait remarquer que si Von Däniken avait menti, il
aurait brouillé les pistes pour éviter que l’on puisse remonter à Moricz aussi facilement.
L’hypothèse la plus vraisemblable est que Moricz a montré au moins l’entrée du souterrain à Von
Däniken, mais qu’il l’a ensuite regretté : peut-être s’était-il engagé à ne jamais dévoiler ce secret.
Plus tard, il confiera avoir emmené l’auteur suisse de Guayaquil à Cuenca, pour y rencontrer le Père
Carlos Crespi et admirer sa collection d’artefacts énigmatiques. Ne disposant pas de suffisamment
de temps pour conduire Von Däniken au «véritable endroit », ils auraient décidé de lui montrer une
petite caverne, à une trentaine de minutes de Cuenca, certifiant qu’elle était reliée au réseau. Cette
révélation mettra un terme à la controverse von Däniken-Moricz, mais pas au mystère entourant la
bibliothèque de livres de métal elle-même.
En 1975, Stanley Hall, un Écossais, décide d’organiser une expédition britannico-équatorienne pour
explorer la Cueva de los Tayos ; il s’agit d’une expédition purement scientifique. S’il y a bien une
bibliothèque de livres de métal issue d’une civilisation perdue, la première étape consistera à
dresser la carte du site. C’est le principal et unique but de l’expédition; il n’est pas question de
chasse aux trésors. Prévue pour trois semaines, l’exploration est une entreprise conjointe des armées
britannique et équatorienne, secondée par une équipe de géologues, botanistes et autres spécialistes.
Sans oublier une figure honorifique: Neil Armstrong, l’astronaute, enchanté de se joindre à cette
mission.
Le 3 août 1976, alors que l’expédition touche à sa fin, Armstrong pénètre enfin dans le réseau de
galeries : aucune trace de livres en métal. Néanmoins, l’équipe répertorie au passage quatre cents
nouvelles espèces végétales ainsi qu’une sépulture abritant un corps en position assise. On établira
par la suite que la tombe remonte à l’an 1 500 av. J.- C., et qu’au solstice d’été, le soleil devait
’illuminer.
Après la mort de Moricz en 1991, Hall décide de retrouver le «troisième homme », celui qui a guidé
Moricz sur le site en question et dont l’Austro-Hongrois n’a jamais voulu révéler l’identité. Hall,
lui, le retrouve : Petronio Jaramillo. «J’avais un nom et un annuaire téléphonique, explique-t-il.
Mais il y avait un tas de Jaramillo à Quito. J’ai fini par le trouver — ou, plutôt — sa mère. En
septembre 1991, elle m’a donné le numéro de téléphone de son fils. Je lui ai téléphoné. Il m’a dit
que nos chemins avaient mis seize ans avant de se croiser. Il souhaitait me rencontrer, et a déclaré
qu’il lui fallait trois jours pour me mettre au courant.»
Jaramillo confirme que lorsque Moricz est arrivé à Guayaquil en 1964, il s’est associé à un homme
de loi, Gerardo Pefia Matheus. Moricz aurait parlé à Matheus de sa théorie selon laquelle le peuple
hongrois serait à l’origine de presque toutes les civilisations. Par le biais de connaissances, Moricz
rencontre Jaramillo et s’approprie peu à peu son histoire. Pour Jaramillo et Hall, si Moricz n’avait
pas concentré toute l’attention sur la Cueva de los Tayos (qui n’est pas le véritable emplacement de
la bibliothèque), l’expédition de 1976 aurait pu déboucher sur la découverte du siècle. Nul doute
que Moricz avait décidé dès le départ que la bibliothèque des livres en métal était son héritage.
Lorsque Hall montre à Moricz un manuscrit sur l’expédition de 1976, Moricz refuse tout net de le
Lui rendre ! Cela met un terme à leur amitié, et Hall ne comprendra ce geste qu’en 1991, en
s’apercevant que le manuscrit mentionne le nom de Jaramillo...
Jaramillo et Hall se lient d’amitié et Hall apprend de la bouche même de Jaramillo la véritable
histoire de la bibliothèque de Tayos - qui ne se trouve pas du tout dans la Cueva de los Tayos
Jaramillo raconte avoir pénétré dans la bibliothèque en 1946, à l’âge de 17 ans. Il l’a découverte
grâce à un oncle connu sous le nom de «Blanquito Pelado» à qui la population Shuar locale a confié ce secret. Ce qu’il décrit ferait rêver n’importe quel archéologue: une bibliothèque composée de
milliers de gros livres en métal empilés sur des étagères, chacun pesant en moyenne vingt kilos,chaque page rem plie d’un même côté d’idéogrammes, de dessins géométriques et d’inscriptions
écrites. Il évoque une seconde biblio thèque contenant des petites tablettes dures, lisses, translucides
— ressemblant à du cristal sillonnées de rainures parallèles incrustées, empilées sur des plateaux
inclinés sur des tréteaux couverts de feuille d’or, il décrit des statues humaines et zoomorphiques
certaines sur de lourds socles cylindriques), des barres métalliques de différentes formes, ainsi que
des «portes » scellées — peut- être des tombes — couvertes de mélanges de pierres fines colorées,
l voit un grand sarcophage, sculpté dans un matériau dur translucide, contenant le squelette couvert
de feuille d’or d’un être humain de grande taille.
En résumé, un incroyable trésor, entreposé à l’écart, comme caché en prévision de quelque désastre
imminent. Jaramillo ajoute qu’un jour, il a descendu sept livres des étagères pour les étudier, mais
Ils étaient si lourds qu’il n’a pu les remettre en place. Trop lourds pour être sortis de la bibliothèque
et révélés au monde ? Jaramillo n’a jamais fourni la moindre preuve matérielle de ses affirmations
et souhaite rester dans l’ombre, Quand Hall lui demande pourquoi il n’a jamais pris de photos, il
répond que «cela ne prouverait rien ». D’autres découvertes, telles que la tristement célèbre
Burrows Cave aux États- Unis, démontre qu’il ne suffit pas de voir pour croire. Pourtant, Jaramillo
déclare avoir laissé ses initiales dans les sept livres déplacés pour prouver qu’il a bien pénétré ces
Dieux en personne.
Jaramillo et Hall préparent activement «l’expédition de l’occupation ». Ils ont pris contact avec
divers ambassadeurs et hommes politiques ; puis ils ont informé la communauté scientifique.
Jaramillo a l’intention de conduire l’équipe sur les lieux, où elle passerait trois à quatre mois (durant
la saison sèche) à répertorier le contenu du site et à s’assurer que rien ne disparaisse. Tout resterait
sur place. Seul un rapport de recommandations résulterait de cette expédition, qui impliquerait
l’Unesco. Mais en 1995, des avions à réaction péruviens bombardent une base militaire
équatorienne et le projet connaît son premier revers. En 1997, Hall profite d’une importante
conférence d’anthropologie pour promouvoir le projet. Six anthropologues s’y intéressent, Mais
Cette même année, le régime politique de l’Équateur change et Hall rentre en Écosse avec sa
famille, Néanmoins, les préparatifs de l’expédition se poursuivent.
Mais c’est en 1998 que l’expédition connaît sa plus grosse déconvenue. La mère de Petronio
Jaramillo annonce, par téléphone, à Hall que son fils avait été assassiné, A-t-il été abattu à cause des
projets qu’il nourrissait ? La vie en Amérique du Sud ne vaut pas cher, comme tous ceux qui y ont
séjourné ou vécu le savent. Ce jour-là, Jaramillo portait sur lui une importante somme d’argent. Un
banal vol de rue, à proximité de chez lui a stoppé dans son élan l’une des plus grandes découvertes
du monde.
Moricz et Jaramillo sont morts. Hall a plus de soixante ans, Va-t-il faire cavalier seul et vouloir’approprier la bibliothèque ? Hall n’est pas un chasseur de trésors, Il souligne que la région est un -
si ce n’est le - véritable El Dorado. Il y a de l’or partout ; les routes en sont presque littéralement
pavées. Même si les livres de la bibliothèque sont en or — bien que Jaramillo n’ait jamais parlé d’or
mais de «métal» (en fait, il semble y avoir eu du cuivre, puisque Jaramillo a vu une couleur verte
sur les livres) — il y a plus d’or à l’extérieur de la bibliothèque qu’à l’intérieur, Si Moricz se
trouvait dans la région, c’est parce qu’il possédait de vastes concessions aurifères ; il s’intéressait à
a bibliothèque non pour sa valeur monétaire mais pour son importance historique.
Par le passé, divers chasseurs de trésors ont tenté de conquérir la caverne. Le Comte Pino Turolla
prend contact avec Jaramillo dans les années 60 grâce aux mêmes intermédiaires que ceux
ntervenus entre Moricz et lui. Turolla était obsédé par la Salle des archives de Cayce, et pour lui, la
bibliothèque de livres en métal serait la preuve absolue de la probité des prophéties de Cayce. Mais
entre Turolla et Jamarillo, le courant ne passe pas. Turolla doit donc se passer de l’aide de
l’Équatorien et décide de fouiller seul autour de la Cueva de los Tayos, mais il en revient bredouille.
L’Indiana Jones le plus actif aujourd’hui est Stan Grist, qui a connu Juan Moricz ainsi que son
confident, Zoltan Czellar, lequel était également un grand ami de Hall. En 2005, Grist témoigne :
«Tandis que j’écris ces mots, je suis en négociations avec le groupe indigène des Shuars qui vit près
de la Cueva de los Tayos et dont il faut la permission pour entrer dans la zone des cavernes et
l’explorer. Je projette d’organiser une expédition dans les mois à venir pour rechercher l’entrée
secrète de la caverne donnant accès à la supposée bibliothèque de livres de métal. Beaucoup de gens
ont pénétré dans la caverne par l’entrée verticale connue, située près du sommet de la montagne.
Toutefois, je pense qu’il est quasiment voire totalement impossible de l’atteindre par cette accès- là.
On ne peut accéder à l’entrée secrète qu’en passant sous l’eau »
Hall confirme: « Jaramillo a toujours dit que l’entrée se trouvait sous la rivière
». Mais cette rivière
ne se situe pas à proximité de la Caverne, Il s’agit de la rivière Pastaza. Bien que Hall n’ait jamais
eu connaissance de son emplacement de la bouche même du guide équatorien, il organise un voyage
sur le site avec Mario Petronio, le fils de Jaramillo. Malheureusement, le voyage sera abandonné
avant que le « point zéro
» n’ait pu être atteint. En mai 2000, Hall y retourne: « Pendant que nous
préparions l’expédition, dans les années 90, chaque fois qu’on se disait qu’il fallait impérativement
du matériel de plongée, Petronio répondait que même si elle [ l’entrée de la caverne] était sous la
rivière, nous n’aurions pas à nous mouiller pour autant. » Hall m’a montré des cartes aériennes,
faisant remarquer un virage dans la rivière qui rencontre une ligne de faille, dont on sait qu’elle
s’ouvre dans un réseau de cavernes qui court sur plusieurs kilomètres. Selon lui, cette ligne de faille
 preuve d’un ancien tremblement de terre - a ouvert le réseau souterrain, que quelqu’un a jadis
découvert et utilisé pour y installer la bibliothèque de livres de métal. Hall a visité ce lieu et en
déduit qu’il cadre parfaitement avec la description de Jaramillo.
Hall a 64 ans lorsqu’il se rend dans la région pour la dernière fois ; il en a aujourd’hui 70. Il se dit
qu’il ne connaîtra vraisemblablement jamais le fin mot de l’histoire. Toutefois, il ne la considère pas
comme son histoire et ne veut pas commettre la même erreur que Moricz. C’est pourquoi le
17janvier 2005, Hall a informé le gouvernement équatorien de l’emplacement de la caverne
correspondant à la description de Jaramillo et qui, il l’espère, fera l’objet d’une expédition. Pour
ceux qui sont intéressés, sachez que le site est situé à 77° 47’ 34» de longitude ouest et à 1° 56’ 00»
de latitude sud. GoogleEarth vous en rapproche beaucoup et peut satisfaire une curiosité initiale.
Mais connaître l’emplacement ne signifie pas qu’il sera facile à trouver.
Hall pense qu’il faudra des décennies ou bien un changement de paradigme avant que des gens
puissent coopérer de façon à prendre connaissance fructueusement les lieux, Il affirme que
l’expédition de 1976 n’a réussi que parce qu’un régime militaire était au pouvoir : «une
bureaucratie démocratique submergera l’expédition avant qu’elle ne traverse la moindre rivière
marécageuse ». Ce dont on a besoin, c’est de coopération et de transparence. Trop de gens ont
essayé d’utiliser la bibliothèque pour appuyer leur propre théorie, qu’elle fasse entrer en jeu des
extra-terrestres, des Hongrois à la conquête du globe ou encore Edgar Cayce et sa Salle des
archives. C’est peut- être pour cela que les missions étaient vouées à l’échec. Peut-être devrions-
nous simplement laisser la bibliothèque parler d’elle-même. Les réponses aux questions telles que «
qui l’a bâtie? », «d’où venaient-ils? », « qu’ont-ils accompli?
», etc. se trouveront peut-être à
l’intérieur de la construction elle-même. Après tout, c’est une bibliothèque...
Philip Coppens
Traduction : Jean-Marc Jacot
Source
:
Nexus n°46

La bibliothèque aux livres de métal par FINDECAN0
2 septembre 2012

Les pyramides de Bosnie sont les constructions les plus sophistiquées et les plus complexes de cette planete

 

 

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Dans une récente interview sur Coast to Coast AM, L’ARCHEOLOGUE SEMIR OSMANAGIC A DISCUTE DE SON TRAVAIL EN TANT QUE CHERCHEUR PRINCIPAL DE LA “VALLEE DES PYRAMIDES BOSNIAQUES”, UN VASTE COMPLEXE DE PYRAMIDES UNIQUES ET SOPHISTIQUEES QU’IL A DECOUVERT EN AVRIL 2005.

Selon Osmanagic, LES PYRAMIDES DE BOSNIE SONT «LES STRUCTURES LES PLUS SOPHISTIQUEES ET LES PLUS COMPLEXES JAMAIS CONSTRUITES SUR CETTE PLANETE », et elles n’ont été découvertes que très récemment parce qu’elles étaient auparavant cachées sous 2-3 pieds (60 – 90 cm) d’une terre qui date de près de 12.000 ans.

Depuis 2005, Osmanagic et des dizaines d’employés à temps plein, de consultants et de bénévoles venant du monde entier ont passé environ 340.000 heures de fouilles à creuser, à effectuer des tests sur des échantillons, à dater au radiocarbone ce qu’ils peuvent sur ces sites...
Tout au long du processus de fouilles et d’enquête, DE NOMBREUSES DECOUVERTES INTRIGANTES ET QUI BATTENT DES RECORDS ONT ETE FAITES.

LE COMPLEXE DES PYRAMIDES BOSNIAQUES SE COMPOSE DE CINQ STRUCTURES PRINCIPALES, CONNUES INDIVIDUELLEMENT SOUS LE NOM DE PYRAMIDES DU SOLEIL, DE LA LUNE, DE LA TERRE, DU DRAGON, ET DE L’AMOUR. Après avoir enquêté sur l’emplacement de chaque pyramide, les chercheurs ont découvert que les pyramides du Soleil, de la Lune, et du Dragon se situent chacune à environ 1,5 miles l’une de l’autre, formant un triangle équilatéral parfait. Par ailleurs, CES CINQ PYRAMIDES SONT EGALEMENT RELIEES PAR CE QUI EST DESORMAIS CONNU COMME ETANT LE PLUS VASTE RESEAU SOUTERRAIN DU MONDE.

LA PYRAMIDE LA PLUS MASSIVE DE CE COMPLEXE, LA PYRAMIDE DU SOLEIL, ATTEINT ENVIRON 700 PIEDS (213 M.) DE HAUT, CE QUI EST NETTEMENT PLUS GRAND QUE LA GRANDE PYRAMIDE D’EGYPTE, ET EN FAIT LA PLUS GRANDE PYRAMIDE JAMAIS DECOUVERTE SUR TERRE. APRES AVOIR DATE LE SOL QUI RECOUVRE ENCORE UNE GRANDE PARTIE DE LA PYRAMIDE DU SOLEIL, LES EXPERTS ESTIMENT QUE LE BATIMENT LUI-MEME EST VIEUX D’AU MOINS 12.000 ANS, CE QUI EN FAIT LA PLUS VIEILLE STRUCTURE PYRAMIDALE EN EUROPE, ET PROBABLEMENT DU MONDE.

Les enquêteurs ont également été surpris de constater que LES BLOCS DE BETON AVEC LESQUELS LA COUCHE EXTERNE DE LA PYRAMIDE A ETE CONSTRUITE, SONT ENCORE PLUS SOLIDES QUE LE BETON ROMAIN ANTIQUE, DEMONTRANT QUE LES CONSTRUCTEURS DES PYRAMIDES BOSNIAQUES POSSEDAIENT DES TECHNIQUES DE CONSTRUCTION QUI DEPASSAIENT LA TECHNOLOGIE ROMAINE, AVANT MEME QUE ROME AIT EXISTE.

Dans le système de tunnels qui relie les pyramides, les puits d’eau et les autres structures importantes, les chercheurs ont découvert des BLOCS GEANTS MEGALITHIQUES, CERTAINS PESANT JUSQU’A 8 TONNES. Après davantage de tests, on a découvert que ces blocs étaient EN CERAMIQUE, CREEE EN DEUX COUCHES, AVEC DES OBJETS OVALES MYSTERIEUX ET SEMBLABLES A DES ŒUFS INCRUSTES A L’INTERIEUR.

Des plans ont été effectués afin de percer de petits trous dans les blocs pour découvrir ce que sont ces objets ovales. DES SYMBOLES ANTIQUES ONT EGALEMENT ETE DECOUVERTS, GRAVES SUR CES BLOCS DE CERAMIQUE. SELON OSMANAGIC, CES SYMBOLES CORRESPONDENT A DE NOMBREUX ECRITS RUNIQUES, LA PLUS ANCIENNE ECRITURE EUROPEENNE, DATANT DE PLUS DE 5000 ANS.

Lors des tests standards de sécurité par rayonnement dans les galeries souterraines du complexe, Osmanagic et son équipe ont découvert que le niveau de radiation fluctuait mystérieusement en haut et en bas en un cycle continu, INDIQUANT QU’UNE SOURCE D’ENERGIE INFLUENÇAIT CONSTAMMENT LES NIVEAUX DE RADIOACTIVITE.

Étonnamment, il a également été découvert que LE SOMMET DE LA PYRAMIDE DU SOLEIL EMETTAIT UN FAISCEAU CONTINU D’ENERGIE A UNE FREQUENCE DE 28 KILOHERTZ (FREQUENCE ULTRASONIQUE) DANS UN RAYON DE 13 PIEDS (PRESQUE 4 M.). CE QUI EST ENCORE PLUS ETONNANT EST QUE LES TESTS ONT MONTRE QUE L’INTENSITE DE CE FAISCEAU CONCENTRE D’ENERGIE DEVIENT PLUS FORTE EN ALTITUDE, AU-DESSUS DU SOMMET DE LA PYRAMIDE, ET COMME OSMANAGIC L'A SOULIGNE DANS SON INTERVIEW, CELA CONTREDIT APPAREMMENT NOS LOIS PHYSIQUES QUI STIPULENT QUE L’ENERGIE DEVRAIT ETRE PLUS FORTE LORSQU’ELLE EST PLUS PROCHE DE LA SOURCE. Compte tenu de ces données scientifiques, Osmanagic a émis la théorie selon laquelle soit cette énergie a pour origine un phénomène énergétique inconnu et non hertzien (une chose dont il dit que Nikola Tesla aurait parlé), soit la source d’énergie provient de quelque part au-dessus de la pyramide, et non depuis l’intérieur de celle-ci. COMME LES AUTRES PHENOMENES MYSTERIEUX PRESENTS A L’INTERIEUR DE CE COMPLEXE PYRAMIDAL, LA RAISON DE CETTE ACTIVITE ENERGETIQUE ANORMALE DEMEURE ENCORE UN MYSTERE.

Des pyramides ont été trouvées sur chaque continent de la Terre, et avec l’apparente sophistication et l’énorme taille de ces anciens monuments, les chercheurs comme Osmanagic soutiennent que LES PYRAMIDES, AINSI QUE D’AUTRES EDIFICES ANCIENS, MONTRENT DES CONNAISSANCES AVANCEES QUE L’HOMME MODERNE EST JUSTE EN TRAIN DE DECOUVRIR MAINTENANT ET ESSAYE DE REAPPRENDRE EN ETUDIANT LES STRUCTURES LAISSEES PAR CES CIVILISATIONS DU PASSE.

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