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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
nucleaire
11 septembre 2018

Mohenjo-Daro et la guerre nucléaire finale contre les Atlantes

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"Le Mohenjo-Daro se situe au Pakistan et c’est un site de la civilisation de la vallée de l’Indus qui était une civilisation de l’antiquité. Cette métropole était autrefois bâtie sur deux îles artificielles séparées par un bras inondé selon la saison, il y avait la ville haute et la ville basse . Quand le fleuve est en cru en été, on ne peut accéder à la ville que par l’eau, c’est par ce seul moyen qu’elle est encore accessible, le bateau est dès lors tout indiqué. Trente années de fouilles n’ont pas suffi aux chercheurs pour mettre à jour l’ensemble de ces vestiges de pierres.


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Remarquer les "petites briques" dont on parles precedement
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Squellettes radioactif
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" strates de glaise et de verre vert" ?Image

Mohenjo-Daro

Selon un article du New York Herald Tribune du 16 février 1947 , le rapport de l’explosion d’une bombe atomique dans le désert du nouveau Mexique , a décrit que l’explosion a fait fondre le sable qui s’est transformé en verre de couleur verte

Cela aurait troublé des archéologues qui avaient fouillés des sites datant de plusieurs millénaires dans la vallée de l’Euphrate

Ces sites comportaient des traces de destructions avec du sable fondu transformé en verre de couleur verte

Cela démontre que Yi a poursuivi les atlantes jusqu’à Sumer avec ses armes nucléaires …

Selon un article de la Pravda du 17 janvier 1994 , les archéologues Davenport et Vincenti , auraient découvert à Mohenjo-Daro , des strates comportant de l’argile et du sable fondu à haute température , transformés en verre de couleur verte , similaires aux traces d’explosion nucléaires du désert du Nevada

Ce qui est le plus troublant dans ce dernier article , c’est qu’ils nous précisent que les squelettes trouvés à Mohenjo-Daro , avaient un taux de radioactivité 50 fois supérieur à la normale …

Exactement , la dose de radiations du Gobi …

Davenport et Vincenti sont des archéologues et pas des physiciens …Ils n’avaient aucune raison de rapprocher ce taux de celui du Gobi , probablement pas inconnu à l’époque , mais certainement tenu secret …Il n’y a que quelques petites années , même pas 10 ans , qu’internet est totalement ouvert et permet de tout connaître , ou presque …

Et ce ne peut être un chiffe donné au hasard , car même si ce sont des archéologues et pas des physiciens , ils restent tout de même des scientifiques …Et ils n’auraient jamais inventé un taux représentant une explosion unique aussi puissante que 20 fois toute la radioactivité émise par la terre entière pendant 1 an :

Radioactivité naturelle + médicale + militaire + accidentelle ( fuites de centrales , etc … )

 

Le Mahabharata

Le Mahabharata nous raconte les effets de l’arme suprême :

C’est une coquille , qui étincelait comme le feu , mais sans dégager de fumée

Quand la coquille a touché le sol , le ciel est devenu obscur , les tornades et les tempêtes ont ravagé les villesUne horrible explosion a brûlé des milliers de gens et d’animaux , les réduisant en cendresUn autre extrait du Mahabharata raconte :

Ghurka surgit dans son puissant vimana et détruisit les trois cités des Vrishis et des Andhakas  avec un projectile unique chargé de toute la puissance de l’UniversUne colonne incandescente de fumée et de flammes aussi lumineuse que dix mille soleils s’éleva dans toute sa splendeur

C’était une arme inconnue , une foudre de fer , un gigantesque messager de mort qui réduisit en cendres la race entière des Vrishis et des Andhakas …

… Les cadavres étaient tellement brûlés qu’ils étaient méconnaissablesLeurs cheveux et leurs ongles tombaient

La poterie se cassait sans raison apparente et les oiseaux devenaient blancs

Au bout de quelques heures , toute nourriture était infectée …

…Pour échapper à ce feu les soldats se jetaient dans les rivières pour laver leur corps et leur équipement …

Mais dans les védas , le Ramayana , comme dans le Mahabharata , il y a bien d’autres passages qui citent des batailles aériennes et l’utilisation de l’arme nucléaire , avec la description de ses effets et de ses conséquences

 

Les guerres nucléaires

Tous les textes que nous avons déjà étudiés , et les réalités retrouvées sur le terrain , démontrent une conclusion sans appel :

Les guerres du Ramayana aux environs de -4300 , du Mahabharata aux environs de -3100 , 1ère et 2ème guerre du Gobi aux environs de -2650 et -2350 , sont des guerres nucléaires

Voir dans ce livre la 3ème partie : Les tokhariens , chapitres 4 et 5

La deuxième guerre du Gobi , racontée par les légendes chinoises , nous dit bien que Yi poursuivit ses agresseurs mais ne put détruire le 10ème vaisseau aérien des atlantes lors de la grande bataille , celle du Gobi

La vallée du Thar , domaine des indo-européens , alliés des tokhariens , aurait très bien pu abriter ce 10ème vaisseau …

Il fallait donc détruire cette région aussi …

Et l’on n’a plus jamais entendu parler de ce 10ème vaisseau …

Ni de la Sarasvatî non plus …

C’est pour cela qu’il ne reste aujourd’hui que la vallée de L’Indus et le désert du Thar …

On note d’ailleurs dans ce désert du Thar une radioactivité équivalente à celle du Gobi : un

taux 50 fois supérieur à la normale , soit 82 ms/an …

La légende chinoise précise que l’empereur céleste Huangdi était furieux contre Yi d’avoir fait tant de dégâts et de destructions sur la terre , la rendant inhabitable

En effet il a poursuivi les atlantes avec ses armes nucléaires jusqu’à Sumer , dévastant ainsi une grande partie de terres auparavant fertiles …

Cela a du peser lourd dans la décision des édenistes de repartir vers l’espace et d’abandonner la colonisation de la terre

Et Yi a été puni pour cela : il restera sur terre  …

 

Le désert du Thar

Le désert du Thar , d’une superficie de 200 000 km² , est appelé Mârusthali , le pays de la mort , en Inde

Au Pakistan , il porte le nom de désert du Cholistan

Cette zone est devenue désertique entre 2000 av. J.-C. et 1500 av. J.-C.

À cette époque le fleuve Sarasvatî s’enfonce dans le désert et ne laisse qu’un lit asséché , qui réapparait au  Pakistan

 

Le pétrole du désert du Thar

La compagnie pétrolière indienne Cairn India Ltd , estime les réserves de pétrole dans sa concession du désert du Thar , à 6.5 milliards de barils 

Cela représente un peu plus de 0,5% des réserves mondiales et environ un tiers des ressources chinoises

Le total des ressources découvertes va permettre de mettre en œuvre rapidement un pipe line pour acheminer le pétrole extrait

Actuellement l’Inde importe 70 % de son pétrole

 

Le charbon du désert du Cholistan

Le désert de Thar pakistanais dans la province du Sindh , possède la 5ème plus grande réserve mondiale de charbon , soit 184 milliards de tonnes

Actuellement seulement 4,5 à 5 millions de tonnes en sont extraits annuellement

C’est de la lignite de toute première qualité et qui peut être , sous réserve d’industrialisation adaptée , transformée en tous produits pétroliers …

Bien utilisée , cette ressource pourrait subvenir aux besoins énergétiques du Pakistan pour les 100 prochaines années

Le charbon devrait permettre de construire et alimenter une centrale électrique de capacité suffisante afin d’alimenter la région en énergie et même d’exporter de l’électricité vers l’Inde voisine

Une centrale de 6.000 MW devait être construite par les chinois , mais le projet a été abandonné , probablement à cause du risque terroriste

Malgré la viabilité économique du projet , les étrangers n’investiront que le jour où le Pakistan sera un pays libéral , exempt de risque de terrorisme

La taille de l’investissement est telle que ce n’est qu’avec un financement multinational qu’un tel projet peut être mené à son terme

L’abondance et le faible coût actuel du charbon , le place en tête des candidats pour le remplacement du pétrole 

D’ici là , il faudra maîtriser cette nouvelle utilisation en conformité avec les normes de pollutions actuelles , notamment pour limiter l’émission de CO2 dans l’atmosphère

Les estimations actuelles des réserves mondiales de charbon dépassent deux siècles contre une quarantaine d’années seulement pour le pétrole

 

L’eau du désert du Thar

Sous le désert du Thar , il n’y a pas que du pétrole et du charbon , il y a aussi la 5ème plus grande nappe phréatique d’eau douce du monde …

En fait , selon les endroits , l’eau est potable , saline ou saumâtre

Mais ce n’est pas de l’eau de mer , et moyennant des traitements appropriés et peu couteux , il y a suffisamment d’eau  souterraine pour créer un paradis fertile et verdoyant dans ces 200 000 km² …

Lecentral arid zone research institute de Jodhpur affirme , preuves à l’appui , que l’eau souterraine provient principalement des précipitations des glaciers himalayens qui coulent dans l’ancien cours de la Sarasvati

La central ground water commission a creusé le long du lit asséché de la Sarasvati , et sur 24 puits creusés , 23 ont fourni de l’eau potable

L’oil and natural gas corporation , lors des forages de recherches de pétrole dans le désert du Thar , a trouvé des puits d’eau trouvée très peu saline

La compagnie a creusé un puits à 554 mètres de profondeur sur le site Saraswati-1  , situé à environ sept kilomètres de Jaisalmer

Il en est extrait 76.000 litres d’eau à l’heure …

À Myzlar , au sud de Jaisalmer , dans les années 1970 , de l’eau douce potable a été trouvée dans un puits foré par la ONGC,  à une profondeur de 1.500 mètres

A Jumman Samoo , village du Pakistan , à 406 mètres de profondeur , le forage a révélé une nappe souterraine d’eau potable d’une hauteur de 400 mètres

Dans toute la zone charbonnière du Cholistan , soit environ 9000 km² , il y a 3 hauteurs de filon de lignite , chacun séparé par une nappe phréatique

La première nappe est à environ 50 mètres de profondeur pour une hauteur de 52 à 94 mètres

La seconde nappe est à environ 120 mètres de profondeur pour une hauteur moyenne de 68 mètres

La troisième nappe est à environ 200 mètres de profondeur pour une hauteur moyenne de 47 mètres

Les recherches ayant été faites pour le charbon , il n’a pas été creusé plus loin , mais tout semble indiquer qu’il existe encore une très grosse nappe sous l’ensemble charbonnier

 

Les radiations du Thar

Un article du World Island Review de janvier 1992 parle d’une épaisse couche de cendres radioactives qui recouvre , à 16 km à l’est de Jodhpur , une zone de 5 km²

Les archéologues ont découvert dans cette zone les restes d’une ville de la civilisation de la vallée du Thar comportant des traces d’explosion nucléaire survenue il y a plusieurs millénaires

On aurait remarqué dans cette zone une augmentation du nombre d’enfants nés avec des malformations et des cas de cancer

Les niveaux des radiations y serait tellement élevés que les autorités indiennes ont décidé d’interdire la zone

La raison officielle est qu’il s’agit de tenir à l’écart les populations d’une zone militaire

Le désert du Thar a aussi été utilisé par l’armée indienne pour leurs essais nucléaires …

Les essais souterrains ont eu lieu à Pokharan , en 1974 et 1998

En 1998 , le Bhabha atomic research center a mené une série de tests pour juger de l’impact de l’explosion sur la qualité de l’eau dans la région

Les tests et analyses ont confirmé que l’eau était potable et non contaminée

Le rapport public ne comportait pas de données chiffrées …

Au Pakistan , tous les relevés officiels de radioactivité du Thar , indiquent des radiations naturelles de 0.5 mSv

Soit un peu moins que le tiers de la radioactivité normale qui est de 1.64 mSv …

C’est pour eux la preuve que la zone est sans danger

Il n’y a pas eu de contre expertise d’un laboratoire étranger neutre

Mais , vous l’avez bien compris , il y a des raisons économiques majeures à cela …

 

La fin des indo-européens

Aussi soudainement que la civilisation indo-européenne était apparue , elle déclina et disparut …

Vers 1900 av. J.-C. , les habitants des cités états commencent à quitter les villes

Autour de 1800 av. J.-C. , la plupart des cités de la vallée du Thar ont été abandonnées

Même les grandes villes de Turkménie comme Altyn-depe et Namazga-depe sont abandonnées

Les grandes métropoles de la vallée du Thar disparaissent

Certains scientifiques on voulu expliquer cet effondrement par un changement climatique majeur

Ce fut bien le cas puisque la vallée du Thar était verdoyante et fertile, et qu’elle est devenue un désert aux environs de 1800 av. J.-C.

Mais cela ne suffit pas pour expliquer l’effondrement de la civilisation indo-européenne

Les indo-européens n’ont pas disparu

Obligés d’abandonner des terres stérilisées par les guerres nucléaires , ils se sont dispersé au nord ouest et à l’ouest , le nord et le sud étant déjà occupés par d’autres peuples atlantes

Et après leur lourde défaite , ils n’ont plus de moyens militaires suffisants pour entamer une nouvelle guerre

source http://destinationterre2.wordpress.com/2010/05/13

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29 mars 2017

Remèdes efficaces contre les radiations nucléaires

A DIFFUSER LARGEMENT AUTOUR DE VOUS ! MERCI !

 
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Remèdes efficaces contre les radiations nucléaire..
 
Une explosion nucléaire ne constitue pas la plus grande menace

Contrairement à la croyance populaire, la plus grande menace d'exposition aux radiations n'est pas le souffle de radiations ionisantes provoqué par une explosion
nucléaire. Les radiations de faible intensité, émises pendant de longues périodes,provoquent les plus grands dommages au niveau des structures cellulaires. Ces radiations de faible intensité proviennent de l'exposition répétitive aux radiations qui émanent de l'absorption de particules aériennes radioactives se déposant sur
les aliments, ou de radiations en provenance de l'eau ou des sols incorporées à la structure cellulaire de l'aliment. Au final, ces radiations de faible intensité, émises pendant de longues périodes, produisent de grandes quantités de radicaux libres. Cette production de radicaux libres provoquent des maladies dues aux radiations
mortelles et contribue à l'augmentation du taux de cancers Quand tout le monde s'apprête à consommer des pastilles d'iode, voici un protocole suivi par un médecin qui se trouvait en zone rouge lors de l'explosion nucléaire d'Hiroshima.
Refusant de quitter son hôpital et ses malades, il a réalisé un protocole simple contre les radiations. Alors que tous les êtres humains alentour ont été irradiés, totalement brûlés ou morts de leucémie, les malades ont tous survécu.
Le nuage de radio-activité est attendu en France par les scientifiques vers le 21 Mars. Sa concentration sera moins élevée qu'au Japon mais...

L' iode radio-actif représente un risque pour toutes les personnes atteintes d'hyperthyroïdie. Alors ne prenons, autant que possible, aucun risque.

Ce protocole est à suivre dès maintenant en préparation puis sur une période de 15 jours.

La seule mise en garde à prendre en compte est la prise de charbon actif qui annule tous les traitements chimiques pendant 4 heures après la prise.
Tous les ingrédients ci-dessous proposés ont soit la capacité de contenir les cellules irradiées pour les éliminer avec les selles, soit la capacité d'annuler l'effet négatif des radiations.
Essayez de manger des céréales complètes et des fibres, évitez les légumes frits, les viandes rouges, les laitages de vache, les farines blanches et les sucres raffinés.

Ce protocole est valable pour tous: adultes, enfants et animaux.
Il suffit de diminuer les doses en fonction du poids de chacun. Pour les animaux, mélanger le miso à la nourriture, mettre un peu d'eau argileuse dans leur eau et de chlorure de magnesium sur le pelage.
Ingrédients:

- Miso en poudre - soja fermenté (magasin bio ou sur Internet), 10 sachets.

- Charbon suractivé en granulés  200 grammes (10 jours).

- Chlorella bio 500 mg algues

- Vitamines C 1000 mg 2g/jours

- Calcium

- lecithine de soja 1200 mg qui protège les nerfs, le cerveau et les gonades des radiations.


- Chlorure de Magnésium en sachet ou Nigari (pharmacie, magasin bio ou sur Internet).

- Une bouteille en verre pour le chlorure de magnésium (surtout pas de plastique).

- De l'eau filtrée, ou en bouteille, Mont Roucous, Rosée de la Reine, ou osmosée et régénérée avec un appareil du genre Aqua Avanti, etc...



 lécithine qui protège les nerfs, le
cerveau et les gonades des radiations.
Aliments contenant de la chlorophylle réduisent de 50% les effets secondaires des radiations
Betteraves protègent à 97-100% du césium-137
Ail, ginseng et oignon protègent à 97-100% des mutagénèses, riche en
sélénium, effet antioxydant
Algue bleu-vert protège du krypton-85, césium-137
augmente l'immutabilité cellulaire
riche en chlorophylle
Cystéine évacue les radicaux libres, protège contre les rayons X, le cobalt-
60 et le soufre-35
Vitamine C et rutine réduit les effets secondaires des radiations de 50%, stimule les
vaisseaux sanguins
Vitamine A/D évacue le strontium-90 des os
Vitamine E protège le foetus du césium-137, stimule le système immunitaire,
anticancéreux, protège des radicaux libres


Laver et peler les produits à l'eau oxygénée élimine 100% des retombées radioactives
Préparation :

- 1 cuillère à soupe dans un verre d'eau. Mélanger avec une cuillère en bois puis éloignez le verre des sources électriques, téléphones portables, fours à micro ondes, etc...

- Préparation du chlorure de magnesium: Versez un sachet de chlorure de magnésium dans une bouteille en verre. Puis versez-le dans un verre comme du sirop et ajouter de l'eau. Très amer, l'on peut ajouter du sirop mais pas de jus de fruits acides. Il se conserve au réfrigérateur (ce qui enlève un peu d'amertume) et se conserve plus de 3 mois.

- Préparation du Miso: Dans un mug ou un bol verser une cuillerée à café, puis verser de l'eau chaude sans la faire bouillir.

- Préparation du charbon: Dans un verre verser deux cuillères à soupe de charbon, bien mélanger puis boire le mélange et rallonger jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de charbon dans le verre...

Posologie pour un adulte de 65 kg:

 
Charbon activé: 2 à 3 cuillerées à soupe mélangées dans un verre. Boire beaucoup d'eau si vous avez tendance à la constipation. Le chlorure de magnésium étant un laxatif, tout doit s'équillibrer.

Chlorure de magnésium: 30 ml, toutes les 3 heures.

Miso: 4 mugs par jour.

Gingko Biloba: En comprimés, en cas de sévères séquelles d'irradiations, troubles de la parole, vertiges, etc...

Exemple de protocole:

Au lever: 1 verre d'argile. Les 2 à 3 premiers jours ne pas mélanger le fond et boire l'eau à la surface.

10H00 : Boire 30 ml de chlorure de magnésium.

11H00 : Boire 1 bol de soupe miso.

13H00 : Boire 30 ml de chlorure de magnésium.

16H00 : Boire 30 ml de chlorure de magnésium.

17H00 : Boire un bol de soupe miso.

19H00 : Boire 30 ml de chlorure de magnésium.

20H00 : Boire un bol de soupe miso.

21H00 : Boire un verre de charbon suractivé.

Bain détoxicant 500 g de sel marin, 500 g de bicarbonate de soude


Après c'est à chacun de trouver son protocole en fonction de son ressenti et de son agenda quotidien.

Alors restez à l'écoute!  N'hésitez pas à augmenter un peu les doses.

Merci à tous de diffuser ce message à vos proches ainsi qu'à vos contacts au Japon..

source ici http://www.greenlightcenter.fr

2 janvier 2017

Doc HD Operation Fishbowl les essais nucleaires sur le dome de la terre

THE FIRMAMENT

Starfish Prime est le nom donné à une explosion nucléaire survenue à haute altitude le 9 juillet 1962. Cet "Essai nucléaire">essai nucléaire a été préparé par la "Commission de l'énergie atomique des États-Unis">Commission de l'énergie atomique des États-Unis et de la Defense Atomic Support Agency (qui deviendra la . Emportée par un missile PGM-17 Thor dans un véhicule de rentrée Mk 4, l'ogive thermonucléaire Laboratoire national de Los Alamos) a explosé à 400 kilomètres au-dessus d'un point situé à 31 kilomètres au sud-ouest de l'atoll Johnston dans l'océan Pacifique. La puissance explosive était de 1,4 mégatonne. C'était l'un des cinq tests menés par les États-Unis en dehors de l'atmosphère (exoatmosphère telle que définie par la Fédération aéronautique internationale) dans le cadre de l'opération Fishbowl le but etait de briser le dome et de tester sa resistance  nom de la mission dominic

Ces essais furent rapidement planifiés suite au rejet par l'Union soviétique du moratoire sur les essais nucléaires en 1958 et en 1961.

L'opération Dominic survient à un moment de fortes tensions pendant la Guerre froide entre les États-Unis et l'Union soviétique, puisque le débarquement de la baie des Cochons est survenu le 17 avril 1961. Nikita Khrouchtchev annonce la fin du moratoire de trois ans sur les essais nucléaires le 30 août 1961, et l'Union soviétique reprend ses essais le 1er septembre, dont celui de la Tsar Bomba.

John F. Kennedy réplique en autorisant l'opération Dominic. Il s'agit de la plus vaste série d'essais nucléaires réalisés par les États-Unis et la dernière série d'essais atmosphériques des É.-U., puisque le Traité d'interdiction partielle des essais nucléaires est signé à Moscou l'année d'après.

 

Trente-six essais sont complétés dans l'océan Pacifique près de l'île Christmas et l'atoll Johnston lors de l'opération Dominic I. Même si ces essais ne sont pas menés dans les îles Marshall, ils sont officiellement réalisés sur le Pacific Proving Grounds. Les essais en haute atmosphère font partie de l'opération Fishbowl.

Les essais sur la terre ferme se font au site d'essais du Nevada (opération Dominic II). Deux des essais servent à valider des armes nucléaires en service : une roquette anti-sousmarine ASROC et un missile Polaris.

 

Starfish Prime…

Starfish Prime est le nom donné à une explosion nucléaire survenue à haute altitude le 9 juillet 1962. Cet essai nucléaire a été préparé par la Commission de l'énergie atomique des États-Unis et de la Defense Atomic Support Agency (qui deviendra la Defense Nuclear Agency en 1971).

 

Emportée par un missile PGM-17 Thor dans un véhicule de rentrée Mk 4, l'ogive thermonucléaire W49 (conçue et fabriquée par le Laboratoire national de Los Alamos) a explosé à 400 kilomètres au-dessus d'un point situé à 31 kilomètres au sud-ouest de l'atoll Johnston dans l'océan Pacifique.

 

La puissance explosive était de 1,4 mégatonne. C'était l'un des cinq tests menés par les États-Unis en dehors de l'atmosphère (exoatmosphère telle que définie par la Fédération aéronautique internationale) dans le cadre de l'opération Fishbowl destiné à valider la conception d'un missile antisatellite.La première tentative de lancement de Starfish prime le 20 Juin 1962 a été abandonnée en vol en raison de l'échec du missile Thor véhicule de lancement. Le missile Thor a volé sur une trajectoire normale pendant 59 secondes, puis le moteur de la fusée s’est mis à l'arrêt, et le missile a commencé à se briser. La gamme de sécurité officier a ordonné la destruction du missile et de l'ogive.

 Le missile était entre 9,1 et 10,7 km en altitude quand il a été détruit. Les pièces du missile et une contamination radioactive sont tombées sur l'île Johnston et l'île voisine, sur le sable et sur l'océan environnant.Le 2e essai du missile Thor portant les Starfish Prime ogives a ensuite effectivement atteint une hauteur maximale d'environ 1 100 km, et l'ogive a explosé sur sa trajectoire descendante à l'altitude programmée de 400 km. L'ogive nucléaire a explosé à 13 minutes et 41 secondes après le décollage du missile Thor de l'île Johnston.Starfish Prime a provoqué une impulsion électromagnétique qui était beaucoup plus importante que prévu, de sorte que beaucoup plus puissant il a conduit une grande partie de l'instrumentation inopérante, causant de grandes difficultés à obtenir des mesures précises.

 

L'impulsion électromagnétique Starfish Prime a également fait ces effets connus du public en causant des dommages électriques à Hawaii, à environ 1 445 km du point d’impact, loin du point de détonation, détruisant environ 300 lampadaires, déclenchant de nombreuses alarmes antivol et endommagé une compagnie de téléphone.Un total de 27 petites fusées ont été lancées à partir de l'île Johnston pour obtenir des données expérimentales sur la détonation du Starfish Prime. En outre, un grand nombre d'instruments de roquettes origine ont été lancés à partir d'une zone de tir à Barking Sands , Kauai dans les îles hawaïennes.

 Un très grand nombre de navires et les aéronefs militaires des États-Unis ont opéré à l'appui de Starfish prime dans la région de l'île Johnston et dans la région du Pacifique Nord à proximité.Quelques navires et aéronefs militaires ont également été positionnés dans la région de l'océan Pacifique Sud, près des îles Samoa . Cet endroit était à l'extrémité sud de la ligne du champ magnétique de la Terre, par rapport à la position de l'explosion nucléaire, une zone connue comme la région sud conjugué pour le test.

 En outre, un navire expéditionnaire scientifique sans y être invité de l’Union soviétique était stationné près de l'île Johnston pour le test et un autre navire expéditionnaire scientifique soviétique était situé dans la région sud conjugué près des îles Samoa. Les Russes ne comptaient pas passer à côté de ce test et profiter pour en apprendre le maximum…

Operation_Dominic_Starfish-Prime_nuclear_test_from_plane

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Après la détonation du Starfish Prime, des aurores brillantes ont été observées dans la zone de détonation ainsi que dans la région du sud conjugué de l'autre côté de l'équateur.Selon l'un des premiers rapports techniques, "Les phénomènes visibles en raison de l'explosion étaient très répandus et très intense, une très grande région du Pacifique a été illuminée par les phénomènes auroral, très loin au sud de la zone  conjugué sud magnétique ( Tongatapu ), et très loin de la zone d’explosion au nord de la zone conjugué au nord, ou se trouvait une frégate française.Au crépuscule après l'explosion, la diffusion de résonance de la lumière à partir de lithium et d'autres débris a été observée à Johnston et par la frégate française  pendant plusieurs jours, confirmant le temps long de la présence de débris dans l'atmosphère.

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à ces satanés scientifique de la nasa ,pauvre petit ils ne peuvent pas le franchir regardez ce que jai trouvé dieu les a précédé de plus de mille ans il leur dit

"Celui qui a créé sept cieux superposés sans que tu voies de disproportion en la création du Tout Miséricordieux. Ramène [sur elle] le regard. Y vois-tu une brèche quelconque ? Puis retourne ton regard par deux fois : le regard te reviendra humilié et frustré. (Coran, 67 : 3-4) >

 "Nous avons fait du ciel une voûte protégée, et pourtant ils se détournent de Nos signes. (Coran, 21 : 32

«Nous  avons  conçu le  ciel comme  une  voûte  indestructible.  Et  cependant les hommes  sont  indifférents à
toutes  ces  preuves»
[Coran  21 :  32]

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Declassified U.S. Nuclear Test Film #62

29 novembre 2016

Révélations sur les OVNIS et l'origine des crop circles

heaven2Révélations " de l'intérieur "

sur la dissimulation des ovnis

   
        Richard Boylan, PhD, LLC

Avertissement au lecteur

Cet article de Richard Boylan présente un témoignage extraordinaire, mais aussi très controversé, celui du " Docteur Michael Wolf ". Extraordinaire, car Michael Wolf affirme avoir participé aux recherches les plus secrètes sur les ovnis, et même avoir travaillé avec des extraterrestres, dans les bases souterraines ultra-secrètes de S-4 dans le Nevada, et de Dulce au nord du Nouveau-Mexique. Il n’est pas le premier à faire de telles révélations .Il faut savoir discerner le vrai du faux l'avantage avec ce type de révélation c'est que l'on vous donnent de varies infos contre un ramassis de mensonges

il faut prendre ce qu'il ya d'intéressant et laissé toute la partie ET travail avec les ET contact tout çà c'est du pipeau ils sont en contact avec des démons et pratiquent  la magie d'ailleurs toute leur technologie et d'origine spirit et démoniaque  vous avez besoin d'une demon stration ..
ces phénomènes existent depuis l'antiquité preuve que les pretres faisaient déja appelle a des entités demoniaques en créant des vortex a l'aide  de pyramide Alors, Wolf est-il un imposteur ? Il faut reconnaître que certaines de ses déclarations, comme on va le voir dans cet article, sollicitent énormément le lecteur le mieux disposé. Cependant, je recommende de ne pas prendre ce texte à la lettre ,
Le Dr Michael Wolf est un homme de 56 ans qui est pris dans un dilemme. Ses chefs au Conseil National de Sécurité (National Security Council) lui ont dit qu'ils veulent que, en tant que scientifique gouvernemental habilité au-dessus du niveau " Top Secret ", il opère "une fuite contrôlée" de grandes quantités d'informations secrètes. Ces informations concernent la réalité des ovnis et des contacts extraterrestres avec les humains, ainsi que leurs implications gouvernementales. D'un autre côté, ils lui ont dit de ne pas révéler trop de secrets gouvernementaux, ni trop de détails sur son rôle au sein des projets classifiés ULTRA (il se considère lui-même comme un otage devant rester discret).
Pour compliquer encore plus les choses, ses patrons ont "effacé" presque tout son dossier, les universités qu'il a fréquenté, ses diplômes et ses états de service gouvernementaux sous contrat de la Central Intelligence Agency (CIA), la National Security Agency (NSA) et le National Security Council (Conseil National de Sécurité, NSC).

De telles mesures sont courantes pour les individus travaillant dans les programmes d'accès spéciaux non reconnus, où leurs chefs doivent maintenir "la plausibilité de démentir" un travailleur " sensible " qui déciderait de faire des révélations non autorisées. De plus, le serment de sécurité nationale que Wolf a dû signer lui interdisait de publier des papiers dans des journaux scientifiques sur ses recherches classifiées.
Il en résulte que le Dr Wolf peut à peine prouver qu'il existe. Mais, étant un homme très courageux, Wolf a décidé néanmoins de continuer de révéler des secrets jusqu'à ce que ses supérieurs lui disent d'arrêter. L'Amérique et le monde ont la chance qu'il ait pris cette décision.
Le Dr Wolf a décidé de révéler au monde ce qu'il a appris au sujet des visites des civilisations extraterrestres parce que, dit-il, "nous avons le droit de savoir". Il est également motivé par le besoin de penser qu'il fait une contribution à l'humanité en mémoire de sa femme, de son fils et de l’enfant que sa femme attendait, qui ont été assassinés dans un "attentat" terroriste sur sa voiture, qui visait à le tuer lui aussi. Il admet rétrospectivement que cela l’a conduit à réévaluer l'importance de garder secrètes toutes les choses sur lesquelles il a travaillé.
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Ses efforts pour persuader ses chefs de le laisser publier et parler ont eu un certain succès. Son livre, The catchers of Heaven (1) (mot à mot: " Les attrapeurs du ciel "), fut approuvé pour publication, mais seulement après qu'il eut accepté d’écrire en avant propos que cela était "un travail de fiction". Le livre est plein de révélations "de l'intérieur" et doit être lu par tous ceux qui veulent en savoir plus sur le sujet de la présence extraterrestre. Le Dr Wolf travaille actuellement sur une suite, Bright white Light Quartet (" Quatuor de lumières blanc brillant "), qui donnerait plus d'informations sur son expérience personnelle avec les extraterrestres, leurs communications et leurs missions.
Michael Wolf m'a autorisé à partager publiquement, dans cet article, les révélations qu'il a faites depuis que Catchers a été publié. Ce rapport ne reprendra pas mon premier article sur le Dr Wolf (2). Egalement, ses révélations sont écrites à partir des notes que je gribouillais furieusement quand j'essayais de suivre le discours rapide du Dr Wolf. Comme beaucoup de génies, il change de conversation rapidement, ne laissant pas au journaliste le temps d'obtenir certains détails. Le lecteur doit juste accepter maintenant ce que j'ai pu capter dans mes notes, et pardonner le manque de détails qui se fait sentir parfois dans ce genre de conversation. Toutes erreurs sont miennes.
Je peux très bien comprendre que certaines des révélations partielles laissent le lecteur sur sa faim de plus détails. Tel est l'état actuel de la situation de la stratégie de l'administration américaine, qui est de faire des révélations contrôlées en se gardant la possibilité de les démentir, un jeu complexe d'oppositions. Pourtant, des secrets émergent, sans précédent en volume et en profondeur, des programmes les plus jalousement gardés et dont l’existence même est niée par le gouvernement des Etats-Unis : ses programmes sur les ovnis, présentés ici grâce au Dr Wolf.

Mais qui est cet homme qui révèle de telles informations ? Les ancêtres de Michael Wolf étaient des juifs russes qui émigrèrent aux Etats-Unis et adoptèrent le nom de famille Kruvant. Déjà, étant enfant, Michael n'était pas un étranger au monde du secret ni aux rencontres avec des extraterrestres. Il accompagnait son père à la base de l'Air Force de Andrews lors de ses réunions avec le Conseil de la Recherche et du Développement de l'Air (Air Research and Development Council). En fait, Michael n'était pas le premier dans sa famille à expérimenter le contact avec ce qu'il appelait " mon petit navigateur Gris, un bienfait non déguisé". Le père de Michael avait été visité par les extraterrestres surnommés les Gris, et il avait parlé à Michael plusieurs fois de ces "Attrapeurs du Ciel", comme il les appelait. Et le fils de Michael, Daniel, aurait également des contacts avec des extraterrestres.
A partir de l'âge de douze ans, Michael prenait des initiatives typiques. Il fonda l'association de recherche sur les soucoupes volantes du New Jersey. La nuit, il essayait de communiquer avec ses amis extraterrestres, en utilisant des signaux lumineux. Le 24 décembre 1954, un tel effort était observé par George Hunt Williamson (identifié par le Dr Wolf comme ayant été un agent de la CIA). Williamson, dans son livre Road in the sky, a écrit que le jeune Wolf, l'année d’avant son bar mitzvah, transmettait des messages à des êtres intelligents de l'espace au moyen de faisceaux de lumière modulés. Michael avait demandé par télépathie que les E.Ts confirment la réception de son message en volant au-dessus de sa maison dans une certaine direction. Wolf se rappelle : "cinq minutes plus tard, deux soucoupes volantes survolèrent ma maison ,vers le nord, comme je l'avais demandé".
Le monde du renseignement commença à surveiller Wolf et finit par le recruter. Wolf raconte que le gouvernement a dirigé et payé son impressionnante éducation parce qu'ils ont vu qu'il avait une bonne relation avec les E.Ts et parce qu'il était le meilleur étudiant qu'aient jamais vu ses professeurs.
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Le Dr Michael Wolf a servi pendant la guerre du Vietnam comme colonel de l'armée de l'air, pilote et chirurgien de vol, et comme officier du corps de renseignement pour la CIA et la NSA. Il affirme avoir obtenu les diplômes suivants: (docteur) en neurologie, PhD en physique théorique, ScD en science informatique, JD en droit, MS sur les influences électromagnétique sur les organismes, et BS en biogénétique.

Fondamentalement bouddhiste, Wolf reconnaît également des vérités essentielles dans l'islam, le christianisme, le judaïsme, la spiritualité américaine indienne, et d'autres traditions spirituelles importantes. Son Koan Seminal personnel : " La vérité est un mensonge qui doit être encore révélé ".
De 1972 à 1977 le Dr Wolf a été engagé dans la recherche gouvernementale secrète sur la technologie extraterrestre. "J'ai rencontré des êtres extraterrestres tous les jours dans mon travail, et j'ai partagé mes quartiers avec eux"- pendant que je faisais de la recherche hautement classifiée dans des laboratoires de recherches souterrains. "Les Zetas (NDLT : les ET venus de Zeta Reticulum) travaillent dans des installations souterraines, comme il l’a demandé le gouvernement américain. Ce ne sont pas les ETs qui rompent les traités entre les Zetas et le gouvernement américain, mais c’est au contraire le gouvernement qui n'a pas respecté les traités en maltraitant les ETs et en essayant de tirer sur les ovnis." Il y a en fait quelques ETs qui sont tenus prisonniers. "Les scientifiques du gouvernement ont découvert que les ETs ne peuvent pas se dématérialiser et s'échapper s'il y a un champ électromagnétique extrêmement puissant autour d'eux." (de manière corroborante, j'ai entendu un travailleur du gouvernement décrire des murs d'un mètre d'épaisseur, avec beaucoup de fils encastrés dedans, au laboratoire de l'armée de l'Air à Haystack.)
Le Dr Wolf a fait ce commentaire: " Certains, dans le gouvernement, veulent de meilleures relations diplomatiques (avec les ETs) mais d'autres, parmi les militaires, veulent les abattre. " Ceci est ironique, dit Wolf, "parce que la technologie SDI (Star Wars) a été donnée au gouvernement par les ETs."
Les laboratoires où il a travaillé comprennent S-4 (près de l'angle nord-est de la zone d'essai du Nevada), près de la Zone 51 (où il a habité pendant un certain temps), les laboratoires de la Foreign Technology Division (Division de technologie étrangère) à la base de l'armée de l'air de Wright-Patterson ( Dayton, Ohio) et le laboratoire de Dulce (près de la frontière du Nouveau-Mexique et du Colorado). Wolf dit qu'il est également conscient que les extraterrestres travaillent avec les scientifiques du gouvernement au Laboratoire de l'Air Force à Haystack, situé à une grande profondeur sous Haystack Butte à la base de l'Air Force de Edwards en Californie. Et quand la question a été soulevé du complexe de l'aérodrome auxiliaire d'Indian Spring, proche du site d'essai du Nevada, Wolf a répondu rapidement : " Je ne peux rien dire à ce sujet."

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Depuis 1979, le Dr Wolf a servi comme consultant scientifique auprès des présidents américains et au NSC ( National Security Council, Conseil National de Sécurité) au sujet des ETs. Il est aussi un membre du sous-comité de l'information sur les ovnis du groupe scientifique (MJ-12). "Les noms codés que j'ai utilisés là-bas étaient et . " MJ-12 a nommé le Dr Wolf président de l'équipe Alphacom, qui est son groupe principal sur les questions E.Ts, et qui comprend également un amiral du Renseignement naval.
Wolf fait l'observation que les généraux avec qui il a travaillé se sentent impuissants devant la supériorité de la technologie E.Ts et leurs capacités mentales. A cause de ce sentiment d'impuissance, une malédiction pour les officiers, les généraux ont autorisé une campagne de désinformation vaste et intense (le cover-up des ovnis) pour décourager toute tentative par des civils d'acquérir même la compréhension limitée des E.Ts que les généraux ont réussi à obtenir.
Une révélation encore plus dérangeante du Dr Wolf concerne l'existence d'un groupe renégat dans les agences du renseignement civil et militaire impliquées dans le secret des ovnis. Wolf a appelé ce groupe de conspirateur "la Cabale", composé selon lui d'officier extrémistes, fondamentalistes, xénophobes, racistes et paranoïaques. La cabale craint et déteste les ETs, et, sans aucune autorisation présidentielle ou du Congrès, a réquisitionné des armes du programme de la guerre des étoiles pour abattre des ovnis. Ils ont tenu prisonniers des E.TS et tenté d'extraire des informations par la force. Un officier militaire de haut niveau, qui est considéré comme " ami " par la cabale mais qui la déteste secrètement, donne des informations sur les activités et le planning de la cabale au Dr Wolf.

La cabale contrôle certains ufologues bien connus. Wolf dit que le directeur de l'une des principale organisations ufologiques civiles "est jusqu'au cou dans la cabale". Et il ajoute qu'un autre ufologue au Canada est payé pour attaquer différents ufologues. La grande réputation de cet ufologue pour la recherche ufologique n'est pas méritée car il obtenait un tas de fuites et d'informations d'un officier bien placé dans la communauté du renseignement, donc il savait précisément quelle information ufologique chercher et demander. A présent, cet ufologue est souvent déstabilisé parce que sa source de l'intérieur n'est plus disponible, étant décédée récemment.

En tant que consultant présidentiel, le Dr Wolf a rencontré M. Clinton dans ses appartements privés de la Maison Blanche, et il fait même remarquer que "M. et Mme Clinton dorment dans le même lit", effaçant ainsi des rumeurs disant le contraire. Quand M. Clinton visitait Hartford, dans le Connecticut, pour un débat présidentiel, le candidat présidentiel a rendu visite au Dr Wolf pour le consulter. Et jusqu'à ce jour Wolf continue à fournir des conseils au Président par un téléphone crypté et par le courrier du National Security Council. Etant habilité aux plus hauts niveaux de secret, cet homme est dans une excellente position pour savoir ce que sait le gouvernement sur les ovnis et les ETs. Il dit qu'il veut tout révéler au Président Clinton -"mais je ne peux pas, mes chefs au NSC ne me le permettent pas".
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Wolf dit que " Président Clinton ne connaît pas grand chose au sujet de la Zone 51; et qu’il ne connaît pas S-4 - "l'installation souterraine super-secrète à 13 miles au sud de la Zone 51 à Papoose Lake où le Dr Wolf a fait une partie de ses recherches. "Le Président est habilité au-dessus du top secret et au " besoin de savoir " (need to know), mais n'a pas le niveau top secret Umbra ultra qui donne accès aux documents du niveau le plus élevé : Majic (MJ-12) et Keystone ( recherche ET)", ajoute Wolf.
Comme beaucoup de bureaucraties fédérales, MJ-12 a triplé en volume, dit Wolf. "Maintenant il y a 36 membres, comprenant Henry Kissinger (le précédent secrétaire d'Etat) et Edward Teller (le père de la bombe à hydrogène). Les membres de MJ-12 se rencontrent à dans divers lieux confidentiels, comme le Battelle Memorial Institute (à Colombus, Ohio)." Incidemment, Le Dr Wolf confirme que c'était bien Edward Teller qui avait recommandé le physicien Robert Lazar pour sa position à la base gouvernementale secrète S-4 au sud de la zone 51, où Lazar a aidé au back engineering ("rétro-ingéniérie") des systèmes de propulsions des engins E.Ts.
Quand j'ai demandé qui était MJ-1, le chef de la sous-commission MJ-12, le Dr Wolf n'a pas voulu identifier cette personne. Il a dit tout de même : "MJ-1 ne répond à personne, même pas au Président." Quand j'ai suggéré que Michael Wolf lui-même était membre du MJ-12 , il s'est dépêché de dire "qu'il ne pouvait pas révéler une telle chose". Et quand j'ai suggéré qu'un scientifique éminent avec un passé au gouvernement, résidant en Arizona, était encore un autre membre du MJ-12, Wolf a répondu par un silence caractéristique, et j'en ai déduit qu'il n'avait pas contredit cette identification.
Michael Wolf a noué des relations avec des scientifiques renommés travaillant sur une science d'avant-garde. L'un d'eux est le Dr Hal Puthof, dont la recherche porte notamment sur l'énergie " du point zéro ", qui pourrait remplacer le pétrole et devenir une source d'énergie propre pour le monde. Wolf a travaillé sur la vision à distance (remote viewing) pour le gouvernement en même temps que Purthof le faisait au Stanford Research Institute. Darell McMillan, de l'Union des Scientifiques Responsables (Union of Concerned Scientists), est un autre scientifique que Wolf dit connaître, ainsi que le Dr Stephen Hawking, l'astrophysicien théorique Britannique.
Le Dr Wolf m'a demandé si j'avais vu le film récent, Peacemaker. Quand j'ai répondu l'avoir vu, il me dit : "Le rôle de la femme dans ce film était basé sur une vraie personne avec qui j'ai travaillé, le Dr Jessica Stern, du Conseil National de Sécurité."
Et, bien sûr, il a rencontré le Dr Edward Teller. Wolf décrit Teller comme "un farceur du nucléaire", en se référant à la présentation trompeuse de Teller au Président Reagan sur un systèmes d'arme laser à rayons x de la guerre des étoiles qui était selon lui presque opérationnel quand en fait le système n'avait jamais été testé. En réalité, le système fut abandonné par la suite, étant jugé irréalisable, par les autres scientifiques du Lawrence Livermore Laboratory.
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Un autre personnage notable avec qui Wolf est familier est l'amiral Bobby Ray Inman, le précédent chef de la NSA et actuellement président de la Science Application International Corporation (SAIC). SAIC était identifié par le colonel Steve Wilson comme la compagnie qui fabrique les moteurs d'anti-gravité, "répliques des ovnis" pour les Etats-Unis. Quand j'ai fait remarquer au Dr Wolf que le colonel Wilson de l'USAF avait identifié Inman comme étant également responsable de Decision Science Application, Inc. (DSAI) - qui est composée de sociétés impliquées dans le développement des armes militaires classifiées, fondées sur la technologie E.T - Wolf a dit : "Inman n'en sait pas autant que la communauté ufologique croit qu'il sait. Il ne connaît pas tout ce que fait le DSAI."
Wolf confirme également que le chef précédent du projet Pounce des forces spéciales de l’Air Force (unité de récupération des ovnis), le colonel Steve Wilson, et Dan Sherman qui est un sergent technicien de l' Air Force et un analyste pour la NSA, assignés à l'unité de la NSA conduisant des communications télépathiques avec les E.Ts, sont effectivement ce qu’ils disent être.
Le Dr Wolf a donné une autre version de l'histoire du début de l'ère moderne ufologique. "Le premier accident d’ovni se produisit en 1941, dans l'océan à l'ouest de San Diego, et il fut récupéré par la marine." La marine des Etats-Unis, depuis lors, a occupé une position de leader sur la question ovni.

Un crash d’ovni plus célèbre a eu lieu en 1947, au nord-ouest de Roswell, Nouveau-Mexique, et l’appareil fut récupéré par l'Army Air Corps, comme cela a été rapporté par le colonel Corso dans son livre, The Day After Roswell (" Le jour après Roswell ").
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Le Dr Wolf confirme la réalité des révélations du colonel Corso, et remarque que les LEDs (diodes émettrices de lumière) et la super-conductivité figurent parmi les technologies qui ont pour origine Roswell. Les Etats-Unis ont été en possession d'un alien Gris , surnommé "EBE" (Entité Biologique Extraterrestre), depuis 1948 jusqu'à sa mort en 1953. Les scientifiques du gouvernement ont communiqué au début avec lui en utilisant des pictogrammes. A propos de la présence d'une menace alien qui plane dans le livre de Corso, Wolf dit que c'est le coauteur William Birnes qui a plaqué cette attitude anti-alien sur le manuscrit de Corso", et que le colonel Corso lui-même ne voyait pas les extraterrestres comme des envahisseurs.

En l'espace de quelques mois après le crash de Roswell, l'US Army Air Corps est devenu l'Air Force; l'on promulguait l'Acte de Sécurité Nationale, partiellement à cause du secret extraordinaire que l'administration ressentait qu'il fallait appliquer à cette question ovni, et la CIA était crée.
Le Dr Wolf fut personnellement le pionnier d'un processus d'expansion mentale qu'il appelle "the Gateway Treatment", lequel " permet l'utilisation d'un pourcentage du cerveau énormément augmenté afin de permettre aux humains d'engager mentalement un échange complet télépathique avec les extraterrestres". Le traitement implique " une manière d'ouvrir le cerveau, de stimuler les neurones; il permet la formation de millions de synapses".

Un autre domaine dans lequel le Dr Wolf a été impliqué étant la physique des particules subatomiques. Il dit que ses découvertes furent "utilisés" par son professeur conseil, de sa thèse en doctorat "pour développer l'arme à faisceau de particules neutres du programme Guerre des Etoiles".
En utilisant l'information issue de son travail dans la recherche génétique, le Dr Wolf révèle que le génome humain tout entier a été cartographié secrètement par des scientifiques du gouvernement (ceci contredit les communiqués de presses actuels du gouvernement qui donnent la date du prochain siècle pour cet accomplissement). Il dit qu'il a trouvé un gène marqueur extraterrestre dans un certain échantillon génétique humain, mais que d'autres humains n'ont pas ces gènes marqueurs ETs. En outre, il dit :" j'ai trouvé des gènes de séquences génétiques(ETs) sans code dans mon propre matériel génétique, plus qu' en ont les in-betweens." (in-betweens, ou " intermédiaires " est le terme qu'utilise Wolf pour les humains ayant un génome hybride ET-Humain, la conséquence de l'intervention ET sur le matériel reproductif de leurs parents avant leur naissance). Wolf a également révélé qu'il a été impliqué dans un projet de recherche où les scientifiques du gouvernement ont créé des hybrides humain-ET, et avec des tentatives de copier le génie génétique ET.

Il explique que la récupération de tissus de mutilations de bétails "est faite pour préparer des organelles pouvant s’adapter au corps humain et servant à filtrer des particules qui nous tuent au fur et à mesure que nous polluons notre planète". Il dit : "Les betweens (humain-E.Ts) nous aiderons et apporteront les organelles."
Les ETs ont également d'autres préoccupations. Ils ont discuté de Dieu et de la mort avec Wolf. Et ils ont signalé que tous les mondes sont connectés : "une bombe atomique Hiroshima peut affecter des millions de cultures dans la galaxie." Ils lui ont aussi dit : " la pensée est de l'énergie, elle ne s'arrête pas à une "barrière" galactique- elle est reçue sur d'autres mondes."
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A cause de ce qu'il a appris, Wolf dit maintenant : " nous sommes à un croisement. La question est de donner un futur viable à nos enfants." Il note aussi : "Les humains commencent à changer, à évoluer, et cherchent des racines spirituelles. Dieu signifie plus que ce que les gens peuvent obtenir à l'église."
Un quatrième projet ultra-secret mentionné dans le livre de Wolf était un projet du ministère de la Défense ayant trait au clonage humain. Il visait à créer le soldat parfait qui obéirait sans poser de questions. Le général Bunting était en charge du projet. Le clone s'est avéré être né avec un sens moral et la connaissance intuitive que la vie est sacrée. Wolf dit que quand le clone a désobéi à l'ordre de tuer un chien innocent, "l'officier du projet a ordonné que le clone soit 'éliminé'. Wolf jugea que "le clone avait une âme"; donc, au lieu de cela, il "fit exploser le bâtiment" où se trouvait le clone et l'aida à s'enfuir.

Naturellement, Wolf se tient au courant des personnes intéressantes et des développements dans la communauté ufologique civile. Un tel personnage est le sergent-major Robert Dean qui fit partie de la Direction Militaire (Army Command) et fut assigné au quartier général de l'OTAN en 1960. Là-bas, Dean put lire l'Evaluation secrète (Assessment) de l'OTAN sur les ETs. Wolf dit qu'il a "vu la même Evaluation".
Le Dr Wolf révèle que "la NSA et la CIA fournissent régulièrement au membres du MJ-12 des enregistrements des réunions des principaux groupes ufologiques civils"- par exemple, les conférences du MUFON.

Il mentionne également que certains ufologues notables ont parlé avec lui, comme Robert Bletchman, James Courant, Linda Moulton Howe, William Hamilton, Michael Hesemann et le Dr Steven Greer.

Il y a quelques années, il y a eu des fuites de documents qui étaient censés être un briefing pour le Président Jimmy Carter sur les questions extraterrestres. Le Dr Wolf affirme que l'information contenue dedans "…est substantiellement vraie, mais une page manque dans cet ensemble. Cette page décrit un personnage d'ascendance à la fois humaine et extraterrestre qui apparut il y a 2 000 ans pour essayer de mettre fin à la violence humaine." Quand j'ai suggéré que cette page faisait référence à Jésus, Wolf confirma cette identification.
Le Dr Wolf décrit diverses races extraterrestres. "L'une d'elles a la peau orange, une très grosse tête, et de très grands yeux noirs sans iris ni blanc et six doigts aux mains. Une dissection a révélé que leur cerveau possède quatre lobes, qu’ils ont des nerfs et des globes oculaires différents, et un système digestif d’aspect spongieux. Le cerveau de ces ET est plus développé et connecté, et n’a pas de corps calleux ". Il décrit également une race qu'on surnomme 'les Sémitiques', d'une taille moyenne et d’une apparence généralement humaine sauf pour leur très grand nez crochu. "C'est la race qui avait atterri sur la base aérienne de Holloman (Nouveau-Mexique, dans les années 60), et s’y était entretenue avec certains généraux". Wolf a également décrit une race d'apparence très humaine appelée "les Nordiques (the Nordics)". " Les Sémitiques et les Nordiques viennent d'Altaïr 4 et 5, et des Pléïades."

Le Dr Wolf remarque également :"Les extraterrestres mangent des végétaux et des champignons et ont certains besoins spécifiques. Ils absorbent de l'énergie venant de l'air, et certaines particules. Ils n'absorbent pas assez d'eau pour avoir besoin de l'évacuer; ils la digèrent entièrement." Il dit que le prélèvement de tissus lors des "mutilations de bétails" n'est pas liée au clonage, mais sert plutôt à acquérir des éléments nutritifs pour les fœtus hybrides créés par les ET, et il remarque que le fluide embryonnaire contient un facteur anti-rejet. Il est conscient également que tous les prélèvements de tissus sur le bétail ne sont pas fait par les ET; certains sont réalisés par des équipes des Forces Spéciales.
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Wolf dit que les cercles dans les blés (Crop Circles) "sont d'origine ET et ont été copiés (mal) par lesmilitaires en utilisant des armes du SDI (Strategic Defense Initiative) qui émettent un faisceau laser pulsé". Il déclare également : " …avec les Crop Circles faits par les ET, les plantes étaient encore vivantes et ont continué à pousser (après avoir été pliées dans des formes pictographiques). Dans les Crop Circles faits avec les armes du SDI, les plantes meurent. Ces armes SDI sont manœuvrées depuis une base secrète dans l'Himalaya.

Au sujet des contacts extraterrestres, le Dr Wolf déclare que la race ET connue couramment comme les "Zeta Reticulans", ou "Gris", s'est engagée dans des négociations diplomatiques avec le gouvernement américain.

Quand je lui ai demandé avec quelles races ET il a travaillé dans les laboratoires du gouvernement, il a révélé que les deux illustrations sur les couvertures recto et verso de son livre, The Catchers of Heaven, sont en fait des photos des ET prises par un ami amiral. L'ET sur la couverture recto est appelé "K*L*T", que Wolf dit phonétiquement "Kolta" pour la facilité, et c'est l'ET "Zeta Grey" que Wolf a rencontré fréquemment. L'ET sur la couverture au verso est un Pléïadien d'apparence humaine nommé "Anon (Prince) Sa Ra".
Pendant sa fréquentation étroite avec les ET dans les laboratoires scientifiques, Le Dr Wolf a reçu un morceau de métal extraterrestre. Ce métal a l'apparence de silicium fondu et a des propriétés énergétique particulières. Il est constitué de 99,99% de silicium, avec 0,01 % d'isotopes non terrestres. Il dit que quand il a placé le métal dans l'eau et bu cette eau, cela a donné des résultats bénéfiques sur sa santé.
Wolf est convaincu que ce sont des dispositifs psychotroniques d'énergie dirigée qui ont été utilisés par des éléments criminels dans l'organisation de dissimulation ovni contre certains ufologues qui étaient trop efficaces dans leur lutte pour mettre fin au cover-up. Ces chercheurs sont notamment : Le Directeur du Committee for Study of Extraterrestrial Intelligence (Comité pour l'étude de l'intelligence extraterrestre, CSETI), Steven Greer, MD, et son principal assistant, Shari Adiamiak; le membre du congrès Steve Schiff qui a réclamé les documents de l’armée de l’air, et le colonel de l’USAF Steve Wilson qui a révélé son projet principal Pounce, l'unité de récupération des ovnis. Déjà, le colonel Wilson et Shari Adamiak sont décédés de cancer, et le député Schiff a dû mettre fin à sa carrière politique (NdT: Il est mort récemment d'un cancer de la peau). A présent, le Dr Wolf a reçu un rapport médical selon lequel il pourrait être atteint lui aussi de cancer. Il n’est pas encore sûr d’avoir accès, pour se soigner, à une substance extraterrestre ressemblant à du miel, qu'il a pris il y a plusieurs années pour son cancer du colon métastasé , opérant ainsi une rémission.
Concernant le fameux crash ovni en 1947 à Roswell, Wolf déclare que "c'étaient en fait deux ovnis qui étaient entrés en collision aérienne" durant un intense orage électrique. "L'un contenait des ET Orange, et l'autre, des Gris." Un vaisseau s'était écrasé près de Corona, au nord-ouest de Roswell, et l'autre dans la plaine de San Agustin, plus de cent miles à l'ouest. Des unités de renseignement de l'armée ont rapidement bouclé les sites et ont retiré leurs vaisseaux et leurs équipages E.Ts, presque tous morts.
Quelques temps plus tard, une autre confrontation entre ET et militaires, racontée par le Dr Wolf, a eu également une fin malheureuse". Un extraterrestre avait voyagé de Fort Dix, New Jersey, jusqu’à la base aérienne de McGuire toute proche, où il mourut sur le tarmac."
Michael Wolf a travaillé pour plusieurs projets au sein desquels il a fait des découvertes, mais auxquels il regrette maintenant d’y avoir participé. Il était particulièrement inquiet après avoir vu les applications de ses découvertes. Il dit maintenant "qu'il a d’énormes scrupules sur toutes ces mauvaises applications" ; il les rejette et s’en repentit.
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Quand le Dr Wolf fut engagé dans des études patronnées par le gouvernement, pour son diplôme de médecin à l'université McGill, il effectua des recherches sur les neurotransmetteurs et leur rôle dans les fonctions mentales et leur contrôle. Parmi les projets secrets sur lesquels le Dr Wolf a travaillé figure la " vision à distance " ("remote viewing") - un terme du renseignement militaire désignant la "clairvoyance appliquée". Il dit : "99 % de la recherche télépathique et du remote-viewing sont classifiés."
Wolf dit qu'il est allé bien plus loin que les expérimentations psi rudimentaires de l'Army Intelligence faites par le général Stubblebine Bert, le Lt Colonel John Alexander et le Major Ed Dames: il a développé des techniques d'extraction de mémoire et de suppression de mémoire. Certaines de ses découvertes "ont été plus tard incorporés dans les projets négatifs de la CIA MK-Ultra sur le contrôle de l'esprit, et utilisés sur les agents du KGB capturés" pour extraire des informations. Il a également travaillé dans la recherche sur des dauphins - "une forme de vie étrangère hautement intelligente sur cette planète".

Pendant que le Dr Wolf étudiait au MIT pour son PhD en physique, il "a découvert une nouvelle théorie de la dualité onde-particule qui a conduit au développement de l’arme à rayon de particules neutres de la guerre des étoiles".
A cause des ces projets classés secrets, les supérieurs de Wolf au NSC lui ont interdit de révéler l’identité de son professeur conseil pour sa thèse , et le MIT et McGill ont interdiction de confirmer qu'il a étudié chez eux.
Ayant accès à l'information de la CIA et de la NSA, le Dr Wolf révèle également quelques secrets dans lesquels il n'était pas impliqué. L'un d'eux, ayant trait à l'un des aspects les plus laids de la guerre du Vietnam, était le projet US - Arc Light - "Le bombardement des B-52 déjà abattus, avec des bombes incendiaires 'hellfire' (feu d'enfer), incinérant totalement les membres survivants des équipages, afin de détruire les documents secrets se trouvant à bord des B-52". Le président Bill Clinton a dit à Michael Wolf qu'il avait appris l’existence du projet Arc Light pendant qu'il était étudiant en Angleterre et que cela avait renforcé son opposition à la guerre du Vietnam.

Wolf a aussi appris que l'assassinat du Président Kennedy avait impliqué de multiples groupes et intérêts. "Beaucoup d'expatriés cubains détestaient Kennedy pour l'échec de l'invasion de la baie des Cochons. La mafia détestait Kennedy parce que son frère, le ministre de la Justice Robert Kennedy, poursuivait implacablement des gangsters de haut niveau. Des durs dans la CIA détestaient Kennedy parce qu'il voulait retirer les Etats-Unis de l'escalade dans la guerre du Vietnam, et voulait que la CIA révèle des informations sur les ovnis."

Wolf révèle que le célèbre scientifique "Albert Einstein avait eu des contacts avec des êtres extraterrestres", et qu'une compréhension récente de l'énergie du point zéro "était en rapport avec le scénario trou blanc / trou noir" (NdT: scénario d'un possible raccourci dans l'espace-temps). Selon Wolf, les E.Ts lui ont dit que le vide est rempli d'énergie exploitable. En outre, il déclare que des expériences du gouvernement US utilisant une technologie exotique "ont créé des trous dans le temps".
Wolf a été affecté brièvement à un travail avec le Mossad, l'organisation de renseignement d'Israël. " Le Mossad a de très bonnes relation avec les extraterrestres", déclare t-il.
Le rapport de recherche publié par le Dr Strecker, considérant le Sida comme causé par virus fabriqué par l'homme, est correct selon le Dr Wolf. En outre, le gouvernement a appris que les virus ont une structure cristalline et qu'une fréquence correcte peut les détruire.
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Wolf signale que "le Président Clinton a eu un briefing sur l'avion spatial Aurora (SR-33A)" qui opère depuis la Zone 51. L'Aurora "fonctionne au méthane liquide et a un dispositif anti-gravité à bord"- une information identique à ce que le colonel en retraite de l’armée de l’air Donald Ware a indiqué à cet auteur, information en provenance d'un général trois étoiles. Wolf a dit que Aurora est encore mieux que les avions furtifs. "Il est doté d'un système d'arme à pulsion électromagnétique qui peut détruire un radar de repérage." Il révèle également: " il peut aller sur la Lune!" Et il ajoute, dans une allusion provocante, que les "Etats-Unis ont quelque chose sur Mars" en plus du Rover.

Wolf révèle que le gouvernement US travaille sur des prototypes de disques à anti-gravité extraterrestres. Il dit que les extraterrestres traversent la galaxie par manipulation de l'espace-temps pour tirer leur destination vers eux. "Le temps est réduit à zéro, et l'accélération est augmentée à l'infini." Il dit aussi que les militaires font des expériences dans lesquelles le pilote guide un avion d'avant-garde par un processus mental. Des scientifiques du gouvernement ont découvert que "certains ovnis sont des véhicules vivants qui peuvent se diviser et se reformer". Ces "véhicules vivants" répondent aussi apparemment aux ordres de la pensée.

Wolf révèle un accident qui eut lieu sur l’île de Porto Rico dans les caraïbes durant l'administration Bush.  "Un ovni piloté par des extraterrestres, survolé par une escorte de chasseurs F-16 le survolant, atterrit dans une ville portoricaine en 1990. Le but de cet exercice était de tester la réaction publique d'une partie sélectionnée du peuple américain". (Porto Rico est un territoire des Etats Unis). Le maire de la ville contacta le président Bush, et lui dit avec excitation que "Les extraterrestres étaient sortis du vaisseau et s’étaient promenés autour", et il demanda à Bush ce qu'il devait dire à ses concitoyens. Bush transmit cette question questions au Dr Wolf et au MJ-12 afin de formuler une réponse au maire.

 

Concernant la lenteur du gouvernement US pour révéler la réalité ovni, Wolf commente: "Le gouvernement se livre à un exercice d’équilibre car, si l'énergie libre [point-zéro] et toute la technologie ET étaient révélées d'un seul coup, cela ferait souffrir les actionnaires (des industries vieillissantes). Les compagnies multinationales ne veulent pas perdre leur pouvoir." La dernière fois que le Dr Wolf a eu connaissance du calendrier prévu pour des révélations franches sur la réalité des ovnis, celui-ci se situait autour de 2001 à 2005.

Malgré toute son éducation et sa carrière exceptionnelle, le Dr Michael Wolf est un homme généralement modeste. Il vit seul dans un simple appartement en ville et souffre toujours de la mort tragique de sa femme et de son fils Daniel, perdus il y a des années. Aux prises avec deux maladies mortelles, la dégénérescence de de la moelle épinière, et une maladie de dépérissement, il se consacre maintenant à essayer de contribuer à créer un monde meilleur pour les enfants. "Les enfants sont l’avenir," dit-il, et dans ce but il a ordonné que tous les droits venant de son livre soient versés à la Daniel Wolf Memorial Foundation For Children,Inc, une association sans but lucratif.
Le Dr Wolf attend avec impatience le jour où sera levé le secret sur les contacts extraterrestres avec la Terre, afin que nous, nos enfants et nos petits enfants puissent avancer vers la prochaine étape de notre histoire, maintenant à l'échelle cosmique.

(décédé septembre 2000)


LE DIABOLIQUE SECRET DES OVNIS par justicier2010

11 juillet 2016

L’énergie nucléaire sans radioactivité n’est pas un rêve

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De l'uranium au combustible nucléaire lithium: présentation de la brochure de H. W. Gabriel

bha. Il y a une année, le Japon a été frappé par une catastrophe nucléaire d’une ampleur considérable. L’incertitude de la population concernant les rejets radioactifs perdure. Dans notre pays, le débat politique sur l’abandon du nucléaire nous empêche de voir le problème central auquel est confrontée l’humanité à l’ère nucléaire:
Depuis que l’on désintègre l’uranium, la production et le rejet de grandes quantités de radioactivité représentent une source de graves dommages pour les hommes, les animaux et l’environnement.
La tragédie de Fukushima dont on ne peut aucunement minimiser la gravité, la tragédie de l’explosion du réacteur de Tchernobyl en Ukraine et d’autres catastrophes nucléaires dont on minimise depuis longtemps les conséquences sont dues essentiellement à la quantité de radioactivité rejetée. Les dommages économiques pour l’Etat et la société compromettent également l’existence même de la population en réduisant les superficies cultivables.
Alors que l’OMS et l’AIEA s’obstinent à dissimuler les véritables statistiques sur les conséquences sanitaires de la catastrophe de Tchernobyl, des données médicales variées prouvent de manière irréfutable qu’une fois le rayonnement ionisant libéré, il a un effet somatique et génétique sur les cellules humaines. Le débat concernant les énergies renouvelables fait des vagues, ce qui est normal, car l’être humain doit apprendre à ménager ses ressources naturelles.
Avec sa brochure «L’énergie nucléaire sans radioactivité n’est pas un rêve», l’ingénieur Heinz Werner Gabriel apporte une réelle contribution de politique sanitaire et énergétique au débat sur l’arrêt des centrales nucléaires obsolètes. Son message principal est qu’un pays peut produire suffisamment d’énergie si l’on change le paradigme à la base de la technique nucléaire selon lequel la fission nucléaire et la production d’énergie n’est possible que grâce à l’uranium. En prenant connaissance de cette brochure, le lecteur découvrira un monde nouveau – et le débat sur l’abandon de l’énergie nucléaire acquerra une importante dimension constructive.
Voici un aperçu de la brochure.

Avant-propos

Ce qui m’a incité à reprendre la question de «l’énergie nucléaire sans radioactivité» remonte à 2001. A proximité de plusieurs installations nucléaires, on a constaté la présence de radioactivité liée aux particules et, d’après des documents de 1986/87 celle de béryllium 7. Ce type de radioactivité laisse clairement supposer l’utilisation de lithium.
La connaissance de la fission du lithium et du dégagement d’énergie qu’elle permet a progressé au cours des dernières décennies, de même que l’idée qu’on pouvait éventuellement produire de l’énergie nucléaire sans radioactivité.
Dans l’espoir d’avoir pu, avec cette étude, contribuer à rendre l’avenir moins menaçant, je dédie cette brochure à mes enfants et petits-enfants Ines et Andreas, Anna-Lina et Aurelia.
H.W. Gabriel, 20/1/12

Résumé

Quand on demande aux citoyens pourquoi ils sont contre l’utilisation de l’énergie nucléaire, on obtient généralement la réponse suivante: les risques dus à la radioactivité et aux déchets radioactifs ne sont pas tolérables.
Quand on demande aux scientifiques si l’on peut construire des centrales nucléaires qui ne produisent pas de radioactivité, on obtient quasiment toujours la réponse «non».
Or cette réponse ne correspond pas à l’état actuel de la science. Si, à la place du combustible nucléaire utilisé jusqu’ici, c’est-à-dire l’uranium, on recourt au lithium, qui est inactif, sa fission produit de l’énergie sans radioactivité. On comprend le processus quand on considère la désintégration du lithium-6 par le deutérium. Il en résulte tout d’abord un atome constitué de 4 protons et de 4 neutrons qui se décompose en deux atomes d’hélium inactifs semblables.
En revanche, la fission de l’uranium, composé de 92 protons et de 143 neutrons, produit plusieurs centaines de fragments radioactifs.
L’absence de radioactivité élimine le risque d’accident et la nécessité du stockage définitif des déchets hautement radioactifs. Cela rend l’énergie nucléaire acceptable socialement et économiquement exploitable.
On connaît la fission du lithium depuis 1932 et celle de l’uranium depuis 1938. Des documents et des brevets sur l’utilisation du lithium dans les réacteurs existent depuis respectivement 1955 et 1975.
On dispose de peu d’informations sur les projets de construction de petits réacteurs au lithium. Jusqu’ici, on a utilisé des réacteurs hybrides comme source de neutrons pour fabriquer des matières fissiles.
Deux projets de centrale produisant de l’électricité à 5 centimes le kWh ont été annoncés pour 2008. On peut estimer à 5 ans la durée de la construction car nous disposons d’une expérience pratique approfondie des réacteurs hybrides.
Il est facile de savoir pourquoi on a préféré l’uranium comme matière fissile: Contrairement au lithium, qui n’a pas de réaction en chaîne, l’uranium permet de fabriquer des armes.
Si l’on considère les réserves de lithium disponibles dans le monde, on pourrait couvrir les besoins en énergie primaire du monde pendant 800 ans sans produire de radioactivité.
Si l’on accepte une radioactivité de courte durée (demi-vie inférieure à 12 ans), on peut couvrir les besoins au moins pendant 2400 ans.
La fission du lithium représente maintenant déjà une alternative à la fusion nucléaire civile non encore disponible.
Aux dernières nouvelles (avant les accidents de Fukushima), on devrait, dans
les réacteurs compacts annoncés pour 2008, utiliser de nouveau de l’uranium ou du
plutonium plutôt que du deutéride de lithium.
Or qui pourrait trouver à redire à l’utilisation du lithium comme source d’énergie non radioactive à long terme?
Fukushima a montré avec évidence la nécessité de recourir à des systèmes énergétiques non radioactifs ou à radioactivité fortement réduite: les propriétaires et les exploitants des centrales nucléaires ne peuvent pas assumer le coût des dégâts matériels et l’Etat doit intervenir.
Conclusion: Il est impossible, aujourd’hui, d’exploiter dans le cadre de l’économie privée l’énergie nucléaire avec le volume de radioactivité qu’elle produit.

Chapitre 1: La sortie du nucléaire, une comédie politique

Les dernières explosions et fusions du cœur d’un réacteur nucléaire ont eu lieu à Fukushima en mars 2011. Certains pays veulent sortir du nucléaire tandis que d’autres tiennent à conserver leurs réacteurs.
Ces deux attitudes sont sans doute caractérisées par l’opportunisme politique, l’incompétence et l’absence de responsabilité.
En raison du conflit non résolu entre la sécurité et l’économie, on se livre maintenant à des galipettes au détriment des citoyens.
On peut qualifier d’incompétents ceux qui réduisent l’utilisation de l’énergie nucléaire à l’activité des types de centrales de 1955 dont la conception est dépassée.
Fallait-il interdire toute conduite automobile parce que les voitures du type «Coccinelle» provoquaient fréquemment des accidents à la suite de l’explosion du réservoir situé à l’avant du véhicule?
Présenter hier une centrale nucléaire de 40 milliards comme sûre et reconnaître aujourd’hui qu’elle n’est pas sûre relève de l’incompétence.
Sont irresponsables ceux qui, après plus de 7 fusions du cœur d’un réacteur depuis 1960 (dans des réacteurs analogues au point de vue physique), n’ont pas cherché un produit fondamentalement nouveau. Au lieu de cela, on a déguisé en agneaux des loups (capables, en cas d’accident, de détruire toute une métropole) et, après des tests de résistance, on a déclaré que les agneaux étaient «robustes».
La législation sur la «sortie-rentrée-sortie» du nucléaire en Allemagne n’a pas été un exploit dû à la compétence en matière de politique énergétique.
Dans ce qui suit, nous abordons la question des moments décisifs de l’évolution de l’énergie nucléaire qui ont finalement conduit à la technologie actuelle et à ses problèmes.
Il faut lutter contre la perte de crédibilité des acteurs politiques, économiques et scientifiques afin d’évaluer objectivement les chances d’une utilisation de l’énergie nucléaire sans radioactivité et permettre sa réalisation.
Ces chances ne relèvent pas du rêve mais de faits scientifiquement prouvés.
Les accidents dus à la radioactivité et la nécessité de stockage des déchets radioactifs pendant des millénaires n’existeraient plus.
Dans certains pays, par exemple en Suisse, on a fait un pas vers l’objectivité et on a mis en discussion des critères de sécurité pour la construction de nouvelles centrales, critères sévères et apparemment irréalisables:
a)    Une fuite de radioactivité dans l’environnement doit être exclue;
b)    On ne doit pas exclure d’importants dégagements de radioactivité selon les principes de probabilité des jeux de hasard;
c)    La durée de radiation des déchets radioactifs devrait être de l’ordre d’une génération.
Or l’utilisation de combustibles au lithium et au deutérium répond à ces critères.
Le fait de négliger des perspectives aussi décisives provient d’une formation étroite en physique nucléaire qui fait que les scientifiques fondent leur enseignement sur des produits industriels existants.
Les moyens les plus sûrs d’utiliser l’énergie nucléaire civile ne devaient être ni évoqués ni appliqués.
On ne souhaitait pas rendre objective la notion de «sécurité» au moyen de critères.
Pendant des décennies, on n’a pas voulu qu’un «nouvel état de la science et de la technologie» puisse nuire à la commercialisation d’installations standards.
Le contrôle de la prolifération des armes nucléaires est instrumentalisé par des pays dominants afin d’empêcher que la concurrence économique ne développe l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire.    •

(Traduction Horizons et débats)

A propos de l’auteur
Heinz Werner Gabriel est ingénieur en physique technique. Il a travaillé à la planification, à la construction et à l’exploitation de 5 centrales nucléaires et a dirigé des projets sur l’amélioration de la sécurité des réacteurs et des installations de retraitement du combustible nucléaire. Au sein de l’état-major scientifique du Bundestag, il a participé à la conception de la politique de l’énergie nucléaire. Pendant des années, il a apporté son soutien à la justice en tant qu’expert en matière de violation de la Loi sur l’énergie nucléaire et de la Loi sur le contrôle des armes de guerre. A l’aide de méthodes d’analyse spéciales, il a découvert l’origine de matières fissiles de contrebande de même que le moment et les causes d’accidents dans plusieurs installations nucléaires qui avaient été dissimulés.
Courriel: li-energy.info@arcor.de

Contenu de la brochure

Préface
Résumé (en allemand, anglais et français)
1.    La sortie du nucléaire: une comédie politique
2.    Objections à l’énergie nucléaire
3.    Fréquence des accidents dus à la fusion du cœur d’un réacteur et quantité de radioactivité libérée
4.    La fission de l’uranium est préférée car elle se prête très bien à la fabrication d’armes
5.    Les réacteurs de sous-marins, fondement des centrales nucléaires actuelles
6.    Manque d’intérêt pour les centrales nucléaires produisant peu de radioactivité
7.    L’énergie nucléaire sous forme de fusion nucléaire
8.    Passage au combustible nucléaire lithium
9.    Contribution du lithium à l’approvisionnement en énergie à long terme
10.    Coûts du lithium et du deutérium
11.    Installations destinées à la fission du lithium
12.    Maturité de la technologie de la fission du lithium
13.    Les centrales nucléaires encouragent-elles la prolifération des armes nucléaires?
14.    Bibliographie
A propos de l’auteur
(Traduction Horizons et débats)

+    L’existence d’une source d’énergie présente dans de vastes régions du globe et disponible pendant longtemps ne favorise-t-elle pas la paix mondiale?
+    Une énergie produite sans émissions de CO2 ne protège-t-elle pas le climat?
+    Une source d’énergie abondante pouvant être utilisée de manière centralisée et décentralisée n’augmente-t-elle pas la liberté d’action des citoyens?
+    N’évite-t-on pas les risques liés à la radioactivité – pertes en vies humaines et en terres exploitables – quand on dispose de suffisamment d’énergie dégageant peu de radio-activité?
+    Ne peut-on pas renoncer à des stockages de déchets radioactifs millénaires en ayant recours au lithium plutôt qu’à l’uranium comme combustible?

On peut se procurer la brochure,
uniquement en allemand, auprès de:
Genossenschaft Zeit-Fragen,
Case postale, CH-8044 Zürich
ou de:
Sarkis/A. Gabriel,
D-69434 Hirschhorn/Neckar
Courriel: li-energy.info@arcor.de
Prix: 15 francs / 12 euros (+ frais de port)

Citations
Serment d’un professeur
devant un tribunal administratif:
Je jure qu’une cuve de réacteur à pression ne peut pas exploser.
Un professeur intègre de l’EPFZ:
On n’échappe pas à une évaluation probabiliste des risques.
Reproche d’un collègue:
«Quelques années de travail en politique énergétique ont sans doute endommagé ta rationalité. En matière de sécurité nucléaire, un plus un continue de faire deux.»
Réponse et question: «Tu es marié et tu as un enfant que tu aimes. Est-ce que tu ne pratiques pas une rationalité dans laquelle un plus un peut également faire trois?
Regrets d’un physicien nucléaire
Il était fier de savoir apprivoiser le feu nucléaire,
Il tirait vanité du prestige de sa profession,
Il s’agaçait des doutes de simples citoyens,
Il se défendait par des mensonges qu’on lui avait dictés,
Il était inquiet pour l’avenir des enfants,
Il dissimulait honteusement ses actes passés,
Mais il espère maintenant rattraper le temps perdu.
Extraits de la brochure
«Kernenergie ohne Radioaktivität. Kein Traum.»
(Traduction Horizons et débats)

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23 septembre 2014

Mises en garde et dangers : les effets de l'oranur* et du dor des accumulateurs d'orgone

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Un des problèmes courants rencontrés lors de l'utilisation de l'accumulateur est la difficulté de trouver un environnement énergiquement propre où s'en servir. L'énergie orgonale de l'atmosphère est très sensible à certaines formes de perturbation ou d'agitation. De manière assez semblable au protoplasme vivant, l'énergie orgonale peut être excitée ou irritée, et certaines influences environnementales peuvent l'amener à un état toxique. Si l'atmosphère énergétique de votre maison ou de votre voisinage a été ainsi rendue toxique, l'usage d'un accumulateur est déconseillé ou conseillé seulement avec de grandes précautions, car il sera très difficile d'accumuler autre chose qu'une charge toxique.

Par exemple, des accumulateurs d'orgone, particulièrement ceux destinés à des expériences biologiques ou à un usage sur l'être humain, ne doivent jamais être utilisés dans des pièces contenant des appareils irritants pour l'orgone tels que :

  • lampe fluorescente
  • poste de télévision
  • ordinateur ou micro-ordinateur
  • autres appareils à tubes cathodiques
  • four à micro-ondes ou cuisinière à courant à induction
  • couverture électrique (même si elle est seulement branchée mais éteinte);
  • machine diathermique, à rayons X
  • moteur électrique à balais
  • appareil à induction ou bobinage
  • autres appareils électromagnétiques
  • détecteur de fumée radioactive de type ionisant
  • horloge, montre ou autre appareil contenant des matières radioactives, lisibles dans le noir (les matériaux phosphorescents qui fonctionnent selon le principe de l'absorption de lumière sont acceptables)
  • autres matières radioactives ou fortes vapeurs chimiques.

L'accumulateur d'orgone ne doit pas même pas être utilisé dans un bâtiment où les appareils les plus puissants de la liste ci-dessus (comme les machines à rayons X) sont utilisés ou bien ont été récemment utilisés. Les expériences réalisées par Reich et, plus récemment, par d'autres dans de grands hôpitaux d'Allemagne, ont démontré que les équipements à rayons X annihilent les effets revitalisants de la radiation orgonale. De plus, on note un effet de persistance de la toxicité énergétique pendant un certain temps après que les appareils irritants ont été éteints et sortis de la pièce ou du bâtiment. Les accumulateurs d'orgone doivent de même ne pas être utilisés dans le voisinage immédiat ou à proximité des installations suivantes

  • système radar des aéroports
  • relais de transmission à micro-onde ou pour téléphone cellulaire
  • lignes à très haute-tension
  • tours d'émission AM, FM ou TV
  • centrales, installations de stockage de combustible ou de déchets nucléaires 
  • installations militaires avec stockage de bombes nucléaires
  • zones d'essais nucléaires passés ou actuels

Reich et d'autres chercheurs associés à ses travaux émirent des mises en garde à propos de la nocivité de ces équipements dès les années 1940 et 1950 mais ce n'est qu'aujourd'hui que des études épidémiologiques viennent corroborer leurs observations à propos de effets négatifs sur les êtres vivants. Une partie du problème provient de ce qu'en montrant la corrélation entre deux événements, on ne prouve pas qu'il existe entre eux une relation de cause à effet. On doit seulement montrer ou démontrer en quoi consiste le mécanisme et démontrer objectivement chaque étape séparant les deux éléments corrélés, pour prouver qu'il existe bien un lien de cause à l'effet. Dans la plupart des cas, c'est une méthode très sage mais qui est très inégalement appliquée dans le domaine scientifique. Les théorèmes orthodoxes sont rarement soumis à un examen critique relatif à la question de savoir s'ils répondent ou non à ce critère strict (ex. : " mauvais gènes ", " virus ", etc.) tandis qu'on refuse de financer ou qu'on rejette ou qu'on réprime purement et simplement les théories hétérodoxes pour la moindre de leurs faiblesses. Il arrivera de même que les pollueurs industriels utilisent cet argument pour ne pas assumer la responsabilité des dommages qu'ils ont causé à l'environnement.

En ce qui concerne les questions énergétiques, selon les meilleurs calculs des physiciens, un faible rayonnement ne devrait pas avoir d'effet délétère sur un organisme vivant. L'énergie présente dans un rayonnement de faible intensité, tel qu'elle est détectée avec les instruments conventionnels de détection du rayonnement atomique, n'est tout simplement pas suffisante pour causer des dommages significatifs. Or ces dommages ont lieu. J'insiste sur le problème que posent les " instruments conventionnels de détection du rayonnement atomique " parce qu'une des grandes erreurs de la physique provient de ce que si un instrument ne mesure pas un désordre environnemental, ce désordre ne s'est pas produit. L'erreur réside dans la fausse hypothèse selon laquelle leurs instruments de détection d'énergie doivent mesurer 100 % de n'importe quelle perturbation. Cette hypothèse invérifiable est bien sûr remise en cause par les manifestations biologiques et épidémiologiques qui montrent qu'il y a bel et bien un effet. Qui plus est, il y a une grande méfiance du corps dans les sciences modernes, comme en témoigne le fait que lorsque le commun des mortels est rendu malade par les appareils irradiants modernes il n'est pas cru, ou est considéré avec suspicion.

C'est précisément ici que les découvertes de Reich sur l'énergie orgonale apportent une clarification, puisque l'énergie vitale (et les perturbations qu'elle subit) ne peut pas être détectée avec les appareils de détection nucléaire ou électromagnétique ordinaires. On doit modifier les instruments pour la capter ou utiliser des méthodes entièrement différentes. L'orgone est aussi un continuum d'énergie qui établit une connexion entre les installations ou appareils perturbateurs (centrale nucléaire, émetteur radio et micro-ondes, lampe fluorescente, poste de télévision) et la créature vivante qui est affectée. Comme le champ orgonal local de la terre, ou le champ énergétique d'une maison, est gravement perturbé par ces équipements, le champ énergétique de la personne située dans cet environnement est perturbé lui aussi.

La physique moderne reconnaît en partie l'existence de ces connections ; on dit en effet que les bombes nucléaires, les réacteurs nucléaires et les installations qui y sont liées émettent en énormes quantités des neutrinos théoriques, indétectables et contre lesquels il n'y a pas de protection. Ces neutrinos s'échappent à grande vitesse de ces installations, pénétrant toute forme de blindage anti-radiations et affectant le corps de tout individu se trouvant à des kilomètres à la ronde. En théorie, ils ne causent aucun dommage mais c'est une simple hypothèse. Le fait majeur observé selon les meilleures théories de la physique classique, c'est que le cÏur du réacteur nucléaire laisse constamment échapper une énergie significative qui traverse le lourd bouclier du réacteur et se répand dans la campagne environnante, et qu'aucun détecteur de radiation classique ne permet de déceler. À partir des découvertes de Reich, il apparaît que cette énergie perdue ne se décharge pas sous forme de " particules " mais est déchargée directement dans le continuum énergétique de l'orgone cosmique, lequel se retrouve grandement agité et surchargé. Étant donné la capacité de l'énergie orgonale de pénétrer les substances matérielles, ces troubles énergétiques sont rapidement propagés vers l'extérieur à travers le bouclier du réacteur, pour affecter les créatures vivantes et le climat dans la zone environnante.

Il en est de même à propos du dilemme concernant les maladies provoquées par un électromagnétisme de faible intensité. Ce rayonnement ne devrait pas rendre les gens malades, mais il les rend bel et bien malades. Ici la difficulté théorique vient de ce que la physique affirme que les ondes électromagnétiques sont transmises à travers la campagne et autour du globe sans aucun médium de transmission. Cette position est identique à celle de quelqu'un qui travaillerait sur les ondes sonores ou les vagues, en niant l'existence de l'air ou de l'eau. Or les " ondes de particules " nucléaires et électromagnétiques ont besoin d'un médium dans lequel se propager. Le grand mythe de la physique moderne est que ce médium n'aurait jamais été découvert ; c'est l'erreur dont nous avons parlé au chapitre précédent.

Les équipements et installations nucléaires et électromagnétiques ont bel et bien des effets délétères sur la santé de gens qui y travaillent et qui habitent aux alentours, qu'on admette ou non le point de vue bioénergétique décrit ici. En général, les risques pour la santé ne sont pas également répartis au sein d'une population donnée. Certaines personnes ayant une énergie très élevée ou très basse, et généralement les sujets très jeunes et très âgés sont plus sensibles à ces énergies toxiques et y réagissent plus vite et plus fortement. On peut citer quelques cas. J'ai rencontré une secrétaire qui fut incapable de passer d'une machine à écrire à un ordinateur à traitement de texte. À chaque fois qu'elle s'asseyait devant l'ordinateur, elle ressentait un goût métallique dans la bouche et devenait nauséeuse. Cet effet durait plusieurs semaines après une seule exposition à l'ordinateur. Son patron et ses amis pensèrent qu'elle était folle, mais elle était simplement plus sensible qu'eux. Dans un autre cas, j'ai rencontré un individu qui vivait à un kilomètre et demi d'une grande station d'émission radio qui répandait sur la région entière une forte dose d'électromagnétisme à des fréquences radio et micro-ondes. Quand il eut compris le danger de sa situation, ses enfants avaient contracté une leucémie et il dut quitter la région. Les praticiens qui sont confrontés à de tels symptômes n'émettent habituellement pas un diagnostic se fondant sur l'écologie énergétique de l'environnement résidentiel ou professionnel du patient. Dans un chapitre à venir, je donne une liste des moyens pratiques à utiliser pour se protéger et protéger son accumulateur de ces risques environnementaux.

Les observations de Reich sur les aspects négatifs pour les êtres vivants de ces équipements et installations ne peuvent pas s'expliquer à l'aide les théories conventionnelles de la physique et de la biologie, mais elles ont été confirmées dans une mesure plus grande ou moins grande. Les divers dispositifs et appareils électromagnétiques et nucléaires de la liste ci-dessus sont connus pour irriter l'énergie orgonale, et la mettre dans un état de violence sauvage, frénétique que Reich appela l'effet oranur. L'oranur fut découvert par inadvertance après qu'une petite quantité d'une matière nucléaire eut été introduite dans un puissant accumulateur d'orgone. Reich entreposait plusieurs grands accumulateurs à 20 couches à l'intérieur un accumulateur encore plus grand, de la taille d'une pièce, dans son laboratoire de la zone rurale du Maine. Lorsqu'il introduisit la matière radioactive dans cet environnement fortement chargé, le champ d'énergie orgonale de l'ensemble de la région montagneuse où se situait son laboratoire fut plongé dans un état d'agitation violente, immédiatement sensible et visible. Les laborantins tombèrent assez gravement malades et les souris de laboratoire élevées dans un autre bâtiment moururent en grand nombre.

Reich observa que l'effet oranur persistait longtemps après que la matière nucléaire eut été ôtée des accumulateurs du laboratoire, rendant les installations inutilisables pendant plusieurs années. Soumise à cette agitation oranurique persistante l'énergie orgonale finissait par être immobilisée et par " mourir ". Reich donna à cet état de mort énergétique le nom de dor, qui est l'abréviation de deadly orgone [orgone mortel]. Une pièce chargée de dor semble insupportablement étouffante, et on a du mal à y respirer. On s'y sent aussi constamment déshydraté, du fait de la nature hygroscopique du dor. Quelques personnes réagissent au dor par des Ïdèmes, et Reich et ses collaborateurs identifièrent une forme particulièrement grave de mal-de-dor : l'organisme réagit par la léthargie, l'immobilité et l'absence de contact émotionnel. Ces effets sont tout à fait tangibles, sensibles et mesurables.

Cet accident expérimental fut riche d'enseignements sur l'énergie vitale de l'atmosphère, et une publication de Reich de 1951, intitulée L'expérience oranur, décrit cet événement crucial. Plus tard, Reich identifia un certain nombre d'autres sources d'oranur plus ou moins intense qui peuvent troubler l'énergie orgonale dans une maison, un bureau, un bâtiment, un quartier ou une région.

Dans la plupart des logements, les sources les plus courantes d'irritation de l'orgone sont le poste de télévision, le four micro-onde et les lampes fluorescentes de tous types (les lampes dites " à spectre solaire " sont moins nocives mais n'éliminent pas ce problème). Les lampes fluorescentes produisent souvent des plantes hyper-actives avec des feuilles très larges, surdimentionnées et incitent faussement à penser que ces lampes sont " bénéfiques ". Quelques études ont montré que les êtres déprimés voient activité ou leur métabolisme stimulé lorsqu'ils sont exposés à des lampes fluorescentes. Nous en voyons des exemples lorsque les victimes de dépression hivernale, de dépression post-partum ainsi que la " dépression " des employés de bureaux, constatent que leur degré d'activité augmente temporairement lorsqu'ils sont soumis à l'oranur des tubes fluorescents. Dans de nombreux cas, l'accroissement de l'activité est liée à la fréquence ou à la couleur de la lumière, qui exercent aussi une influence. Mais les études de ces problèmes ne considèrent généralement pas que l'excitation par l'oranur des tubes fluorescents soit un facteur à prendre en compte. Or l'oranur est produit par tous les types de lampes fluorescentes, de postes de télévision et de fours à micro-ondes. On peut le mesurer objectivement par la perturbation du potentiel électrique d'une plante d'appartement exposée à ces appareils, par l'utilisation d'un compteur Geiger chargé à l'orgone, ou en procédant à des mesures nombreuses des fonctions de l'accumulateur et en observant des perturbations qui apparaissent dans les conditions d'oranur ou de dor.

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Dans n'importe quel quartier d'une grande ville, les émetteurs et réémetteurs radio, les radars d'aéroport et les relais de communication téléphoniques constituent aussi des dangers, étant producteurs d'oranur. Comme les fours à micro-ondes et les postes de télévision, ils laissent échapper des quantités relativement élevées de rayonnement dans leur environnement immédiat. Les détecteurs à infrarouges des portes à ouverture automatique, ou les interrupteurs automatiques, fonctionnent aussi dans la plage des micro-ondes du spectre infrarouge, tout comme les lecteurs de code-barre des bibliothèques ou des magasins installés pour révéler les petits larcins. Ces petits détecteurs sont suffisamment puissants pour déclencher le détecteur de radar policier de votre voiture à plusieurs centaines de mètres, et constituent un danger pour les travailleurs obligés de rester à côté jour après jour ; dans ce cas, le risque réel est tout simplement inconnu. Comme les fours à micro-onde et les postes de télévision, ils sont susceptibles d'exposer la personne " moyenne " à une dose " moyenne " qui est irrationnellement jugée inoffensive. Jusqu'à ce qu'on en sache plus, autant opter pour la prudence. N'installez pas votre accumulateur à proximité d'un de ces appareils.

De même, les centrales nucléaires sont autorisées à ventiler (ou plutôt, à décharger) des quantités significatives d'une radiation mesurable dans l'eau de refroidissement et l'air de ventilation qui traversent ces installations. À part le fait que la population locale respire, et souvent boit, ces rejets, qui s'accumulent dans la chaîne alimentaire, il y a le problème de l'oranur et du dor. L'un et l'autre sont créés par les centrales nucléaires, et l'énergie atmosphérique de ces zones s'en trouvera affectée, un état qualitatif l'emportant sur un autre. Les gens sensibles peuvent littéralement sentir la différence quand un réacteur nucléaire a fonctionné dans une région pendant un certain temps, et des observations minutieuses révèlent parfois des modifications du climat.

Les essais nucléaires souterrains causent peut-être le plus de ravages, parce qu'il frappent et agitent le champ de l'énergie orgonale de toute la planète. Certains éléments donnent à penser que les accès climatiques, tels que la sécheresse ou les fortes tempêtes, auxquelles s'ajoutent les épidémies de " grippe ", pourraient être déclenchés par les essais nucléaires souterrains, du fait de la perturbation générale du champ énergétique terrestre. Quelques éléments de preuve, actuellement à l'étude, inclinent à penser que la Terre entière est perturbée dans sa dynamique de rotation et que la haute atmosphère est surchauffée et troublée par les essais nucléaires. Ces effets n'ont pas de sens du point de vue de la biologie ou de la physique classiques, qui nient l'existence d'un quelconque principe énergétique vital et partent de l'hypothèse que l'espace est " vide ". Du point de vue la biophysique de l'orgone, ces effets ont en revanche un sens.

Sur le plan biophysique, l'effet d'oranur est perçu par les personnes sensibles comme une sensation d'énervement, de surexcitation, voire de chaleur ou de légère fièvre. Telle personne ressentira une agitation continue ; telle autre va se contracturer légèrement lorsqu'il se manifeste ; il arrive aussi qu'il provoque des explosions de colères. Un oranur accentué affecte chaque personne à son point faible et tend à amener des symptômes médicaux latents à la surface. Il arrive aussi que la paume des mains présente une moiteur caractéristique ou qu'il soit presque impossible de trouver le sommeil. On observe aussi une tendance à ne pas pouvoir se concentrer de manière cohérente sur un travail ou sur une autre activité. La manifestation atmosphérique de l'oranur est également celle d'une surcharge. Le ciel garde une couleur bleue intense, mais une vapeur caractéristique finit par apparaître à l'horizon. En cas d'oranur, les nuages ne s'agrègent ni ne grossissent , en partie à cause de la forte charge et de la grande agitation de l'atmosphère qui ne peut pas se contracter, et parce que la charge à l'intérieur des nuages les empêche de croître au delà d'un certain point. Les vents peuvent devenir chaotiques comme s'ils étaient inquiets. Les orages commencent ordinairement à se fragmenter ou se disperser lorsqu'ils approchent une région touchée par l'oranur. L'atmosphère paraît " anxieuse " ou " tendue ", comme si elle reflétait les conditions générales de surcharge. Les pluies diminuent, particulièrement lorsque l'oranur finit par céder la place à un état de dor, immobile, mortel.

Le dor se manifeste aussi dans l'atmosphère, et lorsqu'il est suffisamment étendu, il s'accompagne de phénomènes de sécheresse ou de désertification. Il apparaît dans le paysage sous la forme d'une vapeur gris-métallique qui réduit la visibilité, rend la lumière solaire brûlante, rend les pluies acides ou empêche totalement la pluie de tomber. Il réduit les nuages à l'état de lambeaux, pareils à de la charpie de coton légèrement salie et les empêche de grossir au-delà d'une certaine taille, assez faible. De petits nuages inhabituels de couleur noire ou gris foncé apparaissent parfois ; contrairement aux autres petits nuages de la zone frappée, ces nuages grisâtres conservent leur couleur terne même lorsqu'ils sont directement éclairés par le soleil. Il s'agit de ce que Reich a appelé des nuages de dor. Souvent ils se forment et se reforment continuellement au-dessus de certaines régions comme s'ils étaient liés énergétiquement à cet endroit.

Si l'oranur et le dor coexistent souvent dans une région donnée, l'une de ces formes prédominera généralement sur l'autre. Comme il s'agit de phénomènes énergétiques, l'oranur et le dor ne peuvent pas être " balayés " par le vent, quoique un bon orage réussisse parfois à les capter et les chasser. Dans les cas d'oranur ou de dor exceptionnellement intenses, les orages sont bloqués et déviés, causant une sécheresse prolongée. Les régions désertiques sont généralement chargées de grandes quantités de dor, particulièrement dans les zones déprimées de la topographie. Les régions comportant plusieurs installations de production d'énergie, de retraitement et de stockage de déchets nucléaires auront tendance à être fortement chargées à la fois en dor et en oranur. Ces régions connaissent souvent des périodes de sécheresse répétées, étant donné que l'énergie vitale y est rarement dans son état naturel et est régulièrement surexcitée ou anéantie.

Comparons les descriptions ci-dessus des états d'oranur et de dor avec l'énergie orgonale dans son état scintillant et palpitant normal. Lorsque le continuum orgonal conserve un état de pulsation atmosphérique sain et vigoureux, on observe des cycles réguliers d'alternance entre la pluie et le beau temps. L'atmosphère est propre et transparent, lumineux et croquant, sans brume notable dans l'atmosphère. Il existe un bon contraste entre les nuages et le ciel bleu jusqu'à l'horizon. Le ciel dégagé est d'un bleu profond et la limite des nuages est nette et précise. Les nuages conservent une forme arrondie comme des pousses de choux-fleurs, et se maintiennent verticalement sans pencher sur les côtés ni s'effondrer. Les montagnes lointaines présentent une coloration bleutée ou violette. La végétation est également luxuriante et craquante, pleine de vie. Les oiseaux sont actifs, ainsi que les autres espèces animales. Le soleil chauffe mais ne brûle pas immédiatement. La sensation subjective globale par beau temps est celle d'une grande expansion, d'une abondance d'énergie, d'un contact direct avec la nature et d'une vitalité débordante. Respirer est si facile que l'air semble littéralement envahir les poumons. La plupart des gens se sentent exceptionnellement vivants et alertes, et plus détendus que d'habitude. Tout ce qui vit pousse vers le haut, contre la pesanteur, comme pour exprimer le surgissement et la nature doucement expansive de l'énergie vitale. Par temps de pluie, on se sent peut-être moins rempli d'énergie ou somnolent, mais cela reste agréable. La pluie tombe avec une régularité cyclique.

La plupart des gens âgés se rendent compte que cette qualité de l'atmosphère devient de plus en plus rare. On l'observait plus communément dans le passé qu'à présent. Les états brumeux, stagnants de dor deviennent de plus en plus la " norme ", à tel point que beaucoup de jeunes gens, surtout dans les grandes villes polluées, ne savent pas ce que peut être une véritable journée de grand beau temps. Par exemple, les vieux pilotes de ligne se souviennent de l'époque où la brume de dor n'était présente que sur quelques zones industrielles de nord-est des États-Unis. Aujourd'hui, en revanche, on peut observer la brume de dor sans solution de continuité, de la côte est à la côte ouest, ainsi que très loin au large ! De même, avec la déforestation et la désertification rampantes en cours sur toute la surface du globe, les déserts liés au dor s'étendent à des régions qui étaient autrefois luxuriantes et humides. Dans les régions humides, à mesure que l'atmosphère se dorise, les orages réguliers sont remplacés par un crachin brumeux acide. Des naturalistes ont observé que l'éclat bleu de l'orgone qui surplombait les montagnes disparaissait environ deux ans avant la mort massive de la forêt, phénomène qui est lié lui aussi à la pollution brumeuse et stagnante de l'air. En effet, l'éclat orgonal bleu des océans, des rivières, des forêts et l'atmosphère disparaît à une vitesse inquiétante, annonçant l'effondrement d'écosystèmes entiers. Juste à ce moment où l'on identifie l'énergie vitale, elle est en train de disparaître sous l'effet de la pollution.

Pour décrire les états énergétiques de l'oranur et du dor, Reich utilisa l'exemple d'un animal sauvage placé dans une cage. Au début, l'animal réagit avec fureur pour essayer d'échapper à l'enfermement. Ensuite, il s'épuise et devient inerte et léthargique. Cette réaction, observée par les gardiens de zoo du monde entier, a été également confirmée par John Ott dans son ouvrage Health and Light (Santé et lumière). Ott a démontré que les souris de laboratoire exposée aux radiations perturbantes d'un poste de télévision commençaient par être surexcitées ; ensuite les même souris devenaient inertes et léthargiques, et finissaient par être frappées de maladies dégénératives. Ott donna de nombreux exemples où les conduites agressives des animaux d'élevage, tels que les visons et les poissons d'aquarium, cessaient dès qu'on ôtaient les lampes fluorescentes génératrices d'oranur. Les lampes fluorescentes installées dans les salles de classe produisent des effets similaires sur les écoliers. Certains maîtres d'école ont observé qu'il était souvent facile d'interrompre le chahut dans une salle de classe en éteignant les lampes fluorescentes.

J'ai observé une réaction identique chez des enfants qu'on laissait passer d'énormes quantités de temps à " regarder " la télévision. Dans les premières phases de l'exposition à la télévision, souvent l'enfant ne se concentre guère sur l'émission. Il veut simplement que la télé soit allumée, et il s'occupe souvent à autre chose tout en étant installé devant. On observe souvent cette conduite étrange dans des familles entières où, le soir, ou le week-end, l'activité familiale tourne autour de la grosse télé couleur. Personne ne semble prêter attention à l'émission en cours, du moment que la télévision est allumée. Comme les souris de laboratoire cocaïnomanes, les enfants et les adultes peuvent souffrir d'accoutumance par l'effet d'oranur du poste de télévision. Par la suite, comme les souris d'Ott, ils plongent dans un état d'inertie, de léthargie ou d'immobilité &emdash; ce qu'on appelle familièrement le couch-potato syndrome (syndrome du télé-scotché) qui est parfois annonciateur d'une maladie dégénérative. Certes, il y a là un élément émotionnel à l'Ïuvre, les adultes et les enfants tendus utilisant la télévision pour échapper à une situation sociale ou familiale malheureuse. Mais rappelons-nous la découverte de Reich selon laquelle l'orgone est l'énergie des émotions. L'effet de la télévision n'est pas une simple fuite " cognitive " ; il est aussi bioénergétique.

On observe très nettement cette forme bioénergétique d'accoutumance électromagnétique/oranurique quand quelqu'un essaye d'éteindre le poste de télévision. Les enfants agités ou léthargiques qui baignaient dans le rayonnement de la télévision, mais ne prêtait qu'une attention distraite à l'émission, se mettent soudain à protester vivement parce qu'on essaie de l'éteindre. Même les adultes souffrant de ce syndrome sont troublés à l'idée d'éteindre la télévision, qui les obligerait à sortir de cet état de légère catatonie pour établir un contact émotionnel (bioénergétique) avec d'autres êtres humains. Certes, le contenu de l'émission joue aussi un rôle : plus les sollicitations sont violentes, cruelles et sexuellement excitantes, plus elles touchent les attentes sexuelles refoulées et la colère rentrée qui affectent les gens dans notre société pour nourrir davantage encore leur syndrome. Les télé-scotchés, adultes comme enfants, ne regardent que rarement, voire jamais, les chaînes éducatives.

Autre réaction du même type, celle de l'enfant qui n'a plus de pièces de monnaie ou à qui l'on ordonne de quitter une salle de jeux vidéo. Ce sevrage provoque l'angoisse et même de violents éclats chez l'enfant comme chez l'adulte. Ott a montré que ces appareils, en particulier les postes de télévision et les tubes fluorescents, provoquent souvent l'hyperactivité chez les enfants. D'autres chercheurs actuels ont observé des troubles du comportement similaires, qui renforcent l'isolement social et la rigidité affective chez les jeunes enfants qui sont intoxiqués par leur ordinateur. Certains enfants drogués d'ordinateur souffrent désormais de cataracte du fait de l'exposition constante au CTR (tube à rayon cathodique) des ordinateurs, et la leucémie pourrait aussi être une maladie liée à la technologie. L'oranur dans les salles d'ordinateurs scolaires et dans les salles de jeux vidéo est si intense qu'il en devient immédiatement sensible. Les rayons télévision des grands magasins, qui comptent aussi beaucoup de tubes fluorescentes, frappent également le passant occasionnel d'une grande quantité d'oranur.

J'ai observé personnellement un cas évident d'intoxication au rayonnement de la télévision chez trois enfants hyperactifs qui passaient des heures chaque jour devant le poste mais n'accordaient qu'une légère attention au contenu des émissions. Dès l'instant où ils rentraient de l'école, le poste devait être allumé. Lorsque la télévision fut finalement éteinte (la mère exaspérée dut couper le fil électrique pour venir à bout de ses gosses ingénieux), on entendit une plainte de protestation douloureuse et une période d'agitation pire encore s'ensuivit. Cependant, au bout d'une semaine environ, les enfants finirent par se calmer et commencèrent à se trouver de nouveaux amis et de nouvelles activités, et leur hyperactivité disparut complètement. La mère se débarrassa du gros téléviseur couleur et se procura un petit poste noir et blanc. Même si les enfants eurent par la suite la permission de regarder le poste noir et blanc autant qu'ils le désiraient, ils ne retombèrent jamais dans le même piège et le syndrome d'hyperactivité ne réapparut pas. Dans tous ces exemples, le système énergétique de l'être humain était devenu intoxiqué à l'agitation électromagnétique/oranurique, qui exigea un effort conscient et déterminé pour la surmonter.

Quand on utilise un accumulateur d'orgone dans un environnement oranurique ou dorique, toutes les considérations ci-dessus sont de la plus haute importance, étant donné que l'accumulateur amplifie les conditions énergétiques présentes dans l'environnement local, quelles qu'elles soient. Si de l'oranur ou du dor est présent, l'accumulateur amplifiera ces tendances et conférera un caractère toxique, nocif à sa charge. Dans certains cas, les effets de l'oranur et du dor sont à la fois persistants et répandus et ne peuvent pas être modifiés par une simple modification de objets dans votre maison. C'est souvent le cas dans les grandes villes polluées et toujours le cas dans les régions proches de centrales nucléaires. En ce qui concerne les centrales nucléaires, une distance d'environ 50 à 80 kilomètres est un minimum pour se protéger des effets biologiques des émissions de radiations faibles ainsi que pour utiliser un accumulateur. De même, si vous vous trouvez à quelques kilomètres de lignes à très haute tension, ou d'un grand émetteur de radio, l'utilisation d'un accumulateur est déconseillée. Pareillement, n'utilisez pas un accumulateur si votre zone a été récemment victime d'un accident nucléaire ou de retombées radioactives.

Dernière série de recommandations. On ne devra jamais utiliser un accumulateur dans un mobile-home ou une maison couverte d'une enveloppe ou de panneaux d'aluminium. L'aluminium donne un caractère nocif à l'énergie orgonale, et il est conseillé de ne pas vivre à l'intérieur de telles structures, même si un accumulateur n'y est pas construit ou entreposé. Les mobile-homes avec des parois de bois sont sans danger. Cependant, on notera que certains mobile-homes et bâtiments sont isolés avec de la fibre de verre qui comporte un renfort en aluminium. Si cette sorte d'isolation est utilisée en grande quantité, elle aura quasiment le même effet que des parois en aluminium et fera de la maison un grand accumulateur en aluminium. De même, les maisons à toiture métallique ou les nouvelles constructions à armature en acier et non en bois agirons un peu à la manière d'un grand accumulateur. J'ai vécu dans de telles structures durant de courtes périodes et, même sans accumulateur, elles ont tendance à accumuler de fortes charges. Elle peuvent troubler le cycle du sommeil et entraîner une amplification de l'effet d'oranur en cas d'utilisation de tubes fluorescents, de fours à micro-ondes ou de postes de télévision. Les maisons modernes conçues pour réaliser des économies d'énergie ont souvent une ventilation insuffisante, ce qui aggrave encore la situation énergétique. Personne n'aurait envie de vivre à l'intérieur d'un accumulateur, et la surcharge qui apparaît spontanément à l'intérieur de telles structures aura tendance à rendre à moitié fou la plupart des gens sensibles.

Apprenez à reconnaître le dor et l'oranur, de sorte que si jamais vous vous sentiez mal à l'intérieur d'un bâtiment ou d'un accumulateur, vous puissiez prendre les dispositions adéquates pour en éliminer les effets. Aérez la pièce et vérifiez qu'il n'y a aucun poste de télévision, tube fluorescent et autre appareil en fonctionnement dans les pièces voisines ou aux étages supérieur ou inférieur. S'il y a déjà un accumulateur dans les lieux, aérez-le aussi et apprenez à le laver à l'eau. Suivez les indications fournies au chapitre suivant pour " Nettoyer votre environnement énergétique ". La sensation subjective éprouvée dans un accumulateur devrait être une sensation de chaleur, de bien-être et de détente. D'où l'extrême importance d'apprendre à connaître son environnement énergétique ainsi que la sensation de son propre corps et de ses organes. Il est clair que les facteurs liés à la vie " civilisée " ont souvent des effets nettement négatifs sur le champ énergétique orgonal de la terre, comme sur votre maison et sur vous-même. Tout ce qui peut troubler ou agiter le champ énergétique orgonal de l'atmosphère terrestre, ou de votre maison affectera gravement aussi votre propre énergie vitale. Le prochain chapitre est centré sur ce qui peut être fait pour diminuer ou éliminer ces effets toxiques.

 

*le DOR (dead orgone) est l'orgone totalement épuisé, mort, et l'ORANUR (orgone/uranium) est l'orgone surexité, frébrile, "énervé".

http://acorgone.chez.com/mise-et.htm

22 septembre 2014

Orgone positive, bénéfique, cette énergie est vivante et dissippe les chemtrails

 

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Orgone est le nom donné par Wilhelm Reich à l’énergie vitale omniprésente de par la création. Certains l’ont appelée «Ch’i», «Prana», «Ether», «cinquième élément», etc.
Il fut le premier scientifique sérieux et intègre à se pencher sur l’existence et les propriétés de cette énergie, pourtant ses travaux furent dénigrés et calomniés, et il mourut en 1957 dans une prison américaine.

Cette énergie vitale, dans laquelle baigne l’ensemble de la réalité dans laquelle nous évoluons, se rencontre sous diverses formes.

Deux d’entre elles nous affectent directement :

  • Orgone positive, Orgone positive, bénéfique, cette énergie est vivante et donne la vie. En anglais, elle est nommée Positive Orgone ou POR.
  • Orgone négative, ou plus précisément morte et stagnante. En anglais, elle est nommée Dead Orgone ou DOR.

La DOR est créée surtout par les pensées et les émotions négatives, le mensonge, la violence, ou l’utilisation de technologies électromagnétiques ou radioactives diverses tels télévision, radio, micro-onde, nucléaire, lignes haute-tension, antennes à téléphonie mobile, etc.

Orgonite ?

L’orgonite est une technologie toute simple, inspirée et dérivée des travaux de M. Reich et améliorée par M. Don Croft, qui permet de transmuter (purifier) la DOR en POR.

Cette technologie est éprouvée, des milliers d’individus ont observé ses effets sur toute la planète.

Certains ont réussi à accomplir ce qu’on aurait pu autrefois qualifier de miracles :

  1. Dépolluer les eaux du lac Ontario
  2. Briser la sécheresse en Afrique du sud
  3. Éliminer les chemtrails de régions entières
  4. Soulager des malades atteints d’affections dégénératives

Et bien d’autres surprenants résultats !

L’orgonite est obtenue en mélangeant trois ingrédients essentiels :

  • des particules de métal
  • de la résine polyester ou époxy (ou encore du sucre)
  • un ou des cristaux de quartz et des minéraux (pierres précieuses ou semi-précieuses)

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Comment cela fonctionne-t-il ?

Disons rapidement que le métal attire et repousse à la fois le DOR, et que cette énergie traverse alors des couches successives de métal et de longues chaînes moléculaires de polymères à base de carbone (la résine). Ce faisant, l’énergie est excitée et son taux vibratoire augmente, la purifiant ainsi en quelque sorte. Les cristaux et les pierres servent ensuite à «colorer» et diriger l’énergie purifiée dans l’environnement.

le "chembuster" élimine les chemtrails comme montré si bas.

 

2 photos prisent à une heure d'intervalle après une journée intensive d'épandage

 

Ont peux observer 2 type d'effet que le Chembuster a sur les épandage en aréosol soit

  • Une élimination quasi instantané ( 0.30 à 2.00 minute) d'un tracé chimique directement au-dessus du chembuster

 

  • Et une dissipation graduelle des nuages chimiquement créés par les avions d'épandage et les tours cellulaires dans un rayon de plusieurs dizaines de kilomètres autour d'un chembuster. C'est le phénomène qui arrive le plus souvent et qui est le plus facile à observer.


  • femme-medecine.ch
    une excellente brochure est disponible gratuitement sur le site de MaRa, orgonaute


l'orgonite , cloudbuster et chembuster ... par franco17320


Chembuster vs Chemtrails par keke_boys

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L’orgone : énergie de la Vie

De 1935 à sa mort en 1957, d’abord en Europe puis aux États-Unis, Wilhelm Reich s’intéresse de plus en plus à l’énergie de la vie, à la forme énergétique de la vie, sous toutes ses manifestations. Il crée une méthode thérapeutique originale, la “végétothérapie” et, lorsqu’il considère avoir mis expérimentalement en évidence l’existence d’une énergie de vie, qu’il baptise orgone (organe-orgasme), il regroupe tous ses travaux sous le nom d’orgonomy (orgonologie en français).

Installé à Oslo, Wilhelm Reich entame des recherches sur la charge bioélectrique de la peau et des muqueuses. Ces recherches, très en avance sur son temps et jugées par certains scandaleuses, sont centrées sur La fonction électrique de la sexualité et de l’angoisse. Elles démontrent par des mesures faites à l’aide d’un oscilloscope enregistrable, que le potentiel électrique des zones érogènes varie notablement en fonction directe d’une sensation, agréable ou désagréable. Wilhelm Reich les poursuivra jusqu’en 1938. Elles le conduiront à présenter le plaisir et l’angoisse comme les deux pôles de la vie végétative, le premier comme l’expression vive de l’énergie vitale allant du centre du corps vers sa périphérie, se tournant vers le monde, la seconde comme étant le vif mouvement centripète de cette énergie allant de la périphérie du corps vers son centre, se protégeant du monde. Elles l’amèneront ainsi à passer de l’analyse du caractère à une méthode agissant directement sur le corps et l’équilibre neurovégétatif de la personne, qu’il nomme végétothérapie.

En Allemagne, les Nazis ferment les Centres de consultation d’hygiène mentale et sexuelle. Un mandat d’arrêt est lancé contre Wilhelm Reich. À Berlin on brûle ses livres et toutes les publications de la Sexpol.

Il publie ensuite une étude sur le Réflexe orgasmique, Attitude musculaire et Expression corporelle, publiée en 1937. Ce réflexe est de l’ordre de l’orgasme car il est une participation globale du corps à la fonction vitale de la respiration, qui est accompagnée de libres mouvements ondulatoires, parfois convulsifs lorsqu’elle est profonde. Avant la décharge orgasmique lors de l’étreinte sexuelle, ce mouvement ondulatoire est amplifié par sa résonance couplée à celui du compagnon ou de la compagne, pour s’étendre à l’ensemble de l’organisme, psyché comprise. La décharge énergétique amoureuse (vitale) commune est complète et englobante lors de l’acmé sous forme de convultions involontaires : c’est ce qu’on nomme orgasme. Suit ensuite une période de détente et de gratification envers la/le partenaire et la vie en générale. Cette période de relachement fait aussi partie de l’orgasme, comme conséquence, bien évidemment.


Bions

La question suivante est : “Ce réflexe de plaisir et d’angoisse, de tension et de détente, d’alternance entre la charge et la décharge relève-t-elle aussi du monde microscopique ?”. Wilhelm Reich se rend à l’Institut de Biologie d’Oslo pour y requérir des culture de protozoaires et d’amibes. On lui répond qu’il lui suffit seulement de faire tremper pendant quelques jours de l’herbe ou de la salade dans de l’eau pour en obtenir une : ces substances retiennent sur leur surface tous les “germes aériens” qui donnent naissance à ces macrophages ! En respectant ce protocole, il poursuit sur l’amibe le phénomène de contraction et de détente (acide/sucré) et leur relation bioélectrique.

Mais parallèlement il observe aussi le processus même de la transformation de l’herbe en protozoaires et en amibes. Ce qu’il remarque est différent de ce qu’on lui a dit : il semblerait que les protozoaires et les amibes proviennent, au travers d’un processus toujours identique, de l’herbe ou de la salade en décomposition même. Le végétal semble se déliter en vésicules (auxquelles il donne le nom de bions) qui ensuite s’amassent les unes aux autres pour s’entourer d’une pellicule, d’une peau dans laquelle elles s’organisent en mouvements pulsatoires. Elles se transforment alors en “proto-protozoaires” qui donneront ensuite soit des protozoaires soit des amibes. Face à ces découvertes auxquelles on oppose le sempiternel “cela provient des germes aériens”, Wilhelm Reich lessive, ébouillante, cuit à l’autoclave ses préparations et, chose étrange, le phénomène de décomposition bioneuse est amplifié. Il pousse ses recherches sur les matières minérales et voit le fer, lui aussi, se décomposer lentement en bions, vésicules visibles à grossissement microscopique faible à moyen, présentant grossièrement la forme d’un hématite gonflée, de couleur jaunâtre, réfractant le bleu et dotée, en lumières indirecte, d’un champ coloré bleu. Qu’en est-il des “germes aériens” ?

Il est un fait que le processus adopté pour la stérilisation des substances soumises à l’observation, ne concoure pas à proprement parlé à l’élimination de la vie, mais, au contraire, au développement de la vie sous une forme précise ; c’est l’exact procédé inverse utilisé pour la stérilisation des confitures : les mélanges (à base de blanc d’eau, de lécithine, de bouillon de soupe) sont des éléments nutritifs, favorable au développement de la vie, même soumise à des contrainte extrêmes telles que la cuisson à l’autoclave (120°) durant vingt minutes.

Après trois ans de recherches, parution en 1938 à Oslo, de Die bione, zur Entstehung des vegetativen Lebens (Les bions), étude sur ce qu’il considère être des vésicules d’énergie vivante, visibles au microscope à fort grossissement (entre 20 et 4000 fois), présentant aussi des stades de transition entre la matière non-vivante (purement minérale) et la matière vivante (déjà animale). Étude qui intéresse quelques scientifiques, mais qui lui vaut d’être traité par beaucoup de “charlatan, fou, psychopathe, délirant…”. Une campagne de presse pour grande part organisée des psychiatres norvégiens fait de lui un “paranoïaque” ayant séjourné en asile psychiatrique ; il s’avera plus tard que le colporteur de cette faramineuse nouvelle avait lui-même dû séjourner en hôpital psychiatrique et avait été un ancien collaborateur de Wilhelm Reich à Berlin.

Il fit une communication de ces découvertes à l’Institut des Sciences de Paris, qui en donna la vérification au français Roger Du Theil. Celui-ci confirma les faits. Mais l’Institut, au moment de sa publication, voulu adjoindre une “introduction” au texte de Wilhelm Reich, qui dénigrait toute découverte originale faite par lui ; il refusa alors la publication de sa communication.

Un laborantin, lors d’une démonstration, se trompa un jour, et porta à incandescence du sable de plage (au lieu de limaille de fer) pour le plonger dans le bouillon de culture à stériliser. À l’observation au microscope, la décomposition a offert à la vue de gros paquets de vésicules, qui reçurent le nom de “bions SAPA”.

Les bions SAPA étaient remarquable en ceci que toutes les personnes qui les ont observés pendant suffisamment longtemps au microscope contractent une conjonctivite. Diminuant la fréquence de ses observations sur les conseils de son médecin, et cependant sans vouloir en cesser l’observation, Wilhelm Reich fabriqua une petite boite en fer dotée d’une ouverture à laquelle on pouvait adapter un petit système de grossissement optique : il s’agissait de savoir si la conjonctivite était provoquée par une “sorte” de rayonnement, et dans ce cas, de pouvoir observer ce rayonnement dans le noir le plus complet. Il y avait, effectivement, dans la boîte contenant une culture de bions SAPA, un rayonnement de particules bleutées de la taille d’une très petite tête d’épingle s’y déplaçant comme aléatoirement de part en part en zigzaguant. Intrigué, il sortit quand même la culture de bions de l’enceinte métallique, la recouvrit d’une tissu de laine pour l’isoler thermiquement et constata que, même sans la culture de bions, le rayonnement y était encore présent.

C’est pour mieux observer ce rayonnement, qu’il se fit construire une boîte de structure semblable (alternance de métal et de laine) de la taille suffisante pour pouvoir y tenir assis. Il donna plus tard, après de nombreuses observations autour de ce qu’il avait nommé orgone, dans un livre “La fonction de l’orgasme : La biopathie du cancer” un résumé de son travail. Et l’enceinte métallique était le prototype de l’accumulateur d’orgone.

Son intérêt pour le cancer se précisa dans l’observation de la décomposition bioneuse : une cellule vivante, lorsqu’elle meurt, se décompose et libère sa charge orgonale sous la forme de bions. Suivant sa vitalité initiale, se libèrent aussi des “bacilles T” (todt) “visibles” à un grossissement de 3000 à 4000 fois. “Visibles” car on sait bien qu’un tel grossissement ne donne à voir que du trouble, le grossissement optique atteignant ses limites vers 2500 fois environ. Mais l’avantage essentiel de l’observation optique est que la matière observée peut l’être encore vivante, tandis qu’une observation électronique met dans l’obligation d’utiliser une matière précédemment tuée.

Le cancer est mit en relation avec une insuffisance d’oxygénation des tissus, un blocage émotionnel, une stase énergétique et une désintégration excessivement rapide des cellules. Et sa guérison, ou le ralentissement de la décomposition bioneuse présentant un excès de bacilles T, est soumise à une régénération des tissus de l’organisme par une recharge en énergie orgonale, et l’élimination conséquentielle de ces bacilles T. L’élimination de ces derniers est essentielle, car en s’agglutinant autour des charges orgonales que sont les bions, ils s’en accaparent l’énergie, d’une part, et d’autre part, leur nombre excédentaire les rend difficiles d’élimination par les voies naturelles. Rétablir la santé, c’est rendre à l’organisme vivant l’amplitude suffisante de sa pulsatilité : un organisme à l’amplitude pulsatile restreinte se voit dans l’impossibilité de retirer de son environnement – par une ample respiration, une nourriture attrayante et saine, la satisfaction que l’on requiert du contentement de vivre et de créer sa vie – l’énergie nécessaire à son entretient et sa régénération.

En 1939, quelques jours avant que la guerre n’éclate, Wilhelm Reich pose le pied sur un embarcadère de New York, aux États-Unis, sur l’invitation officielle de Bronislav Malinovski avec lequel il s’était lié d’amitié. Là, de cette date à 1941, il donnera un cours sur “Les aspects biologiques de la formation du caractère” à la New School for Social Research. Quoi dire encore, sinon que le FBI s’intéresssa à son cas, peu après son arrivée, en le maintenant quelques jours en prison, car il avait été un jour adhérent au Parti communiste ?

Il poursuivra ses recherches dans son laboratoire privé. Il en vient à considérer que ce qu’il nommait “bioénergie” est en fait une énergie-vie qui anime le cosmos dans son ensemble et que, présente dans l’atmosphère (qui fait partie du cosmos !), elle agit sur le vivant comme une énergie biologique spécifique pour des éléments de la vie spécifiques. Il la nomme alors orgone (1940), mot construit sur la racine grecque organ, “bouillonner d’ardeur”, d’où dérivent les mots orgasme, organisme et organe. Pour la densifier, à des fins expérimentales, il fit tapisser une chambre entière de feuilles de métal, obscure à la lumière, afin d’y installer d’autres accumulateurs pour voir la tension de charge orgonale en ce lieu bien supérieure à l’environnement dans le but d’en mieux observer, à l’aide d’instruments de mesure (thermomètre, électroscope, appareils par lui inventés), les modalités de fonctions. Wilhelm Reich expérimente sur des souris saines des injections de bacilles T, qui induisent des cancers à l’endroit précis de l’injection, et sur des souris cancéreuses des injections de bions, ce qui retarde la mort de l’animal. Il entreprend la vingtième expérience (XX experience) : après avoir fait séjourné de l’eau distillée dans un accumulateur d’orgone, il la met à geler à l’air libre, enfouie dans le sol, ou mise dans un accumulateur dehors et constate qu’au coeur de la glace formée s’est agglomérée une substance colloïdale, contenant elle aussi, à l’observation microscopique, des bions libres : la vie est présente partout, s’immisce partout là où la sollicite, il suffit d’ouvrir les yeux pour s’en apercevoir et de cesser de la tuer parce qu’on en craint les manifestations à l’extérieur de soi comme on en craint les manifestations à l’intérieur de soi.

Dans les années 1945, une violente campagne de diffamation se déchaînera contre lui. L’accumulateur d’orgone est devenu, sous la plume d’une journaliste, une boîte à érection et Orgonon (le laboratoire de Wilhelm Reich) un lupanar.

Albert Einstein

Albert Einstein

Le 13 janvier 1941, il se rend à Princeton où il a rendez-vous avec Albert Einstein. L’entretien, très cordial, pendant lequel Wilhelm Reich expose ses expériences sur l’orgone à un scientifique bienveillant et intéressé, dura près de cinq heures. Ils conviennent que Wilhelm Reich lui envoie un petit accumulateur d’orgone pour qu’il puisse vérifier par lui-même certains résultats inexplicables par les lois physiques connues. Car le mouvement orgonal va du potenciel orgonal le plus faible au potenciel orgonal le plus fort (plus il y a de tension d’orgone, plus l’orgone attirera l’orgone, jusqu’à un point maximal où il se déchargera de sa tension excédentaire – nuages, attraction planétaire, mouvements galactiques, la tourmente en général précédant ce point de décharge), on constate que son principe est opposé au principe de Carnot qui dit que le mouvement des forces physiques va du potenciel le plus fort (haut) au potenciel plus faible (bas).Einstein l’assure que “si les observations se confirment, il soutiendra sa découverte”. Wilhelm Reich apporta lui-même ce petit accumulateur les premiers jours de février. Celui-ci fut installé sur une table dans la cave d’Einstein et aussitôt ils firent ensemble quelques observations. Einstein demanda à poursuivre ses observations pendant quelques jours encore et promit à Wilhelm Reich de lui écrire, ce qu’il fit dix jours plus tard. Dans sa lettre il confirmait d’abord ce qu’il avait observé lors de l’installation de l’accumulateur et les jours qui suivirent ; puis il indiquait comment l’un de ses assistants avait alors attiré son attention sur les “phénomènes de convection calorifiques existant dans la cave”. Cette réponse fut pour Wilhelm Reich un coup très dur. Moins d’une semaine plus tard, il envoya à Albert Einstein une longue lettre-mémoire d’observations qui balayait l’interprétation (le manque de perception de ce qui peut se passer dans la base qui soutient le rez-de-chaussée devait y être pour quelque chose) de son assistant. Einstein ne répondit rien.

En 1942, il publie La fonction de l’orgasme (version en langue anglaise, différente de Die Funktion des Orgasmus de 1927), ouvrage en grande partie biographique qui présente une synthèse de ses recherches.

Il trouve à acheter tout au nord des États-Unis, dans l’Etat du Maine, en pleine nature, un grand domaine qu’il baptise Orgonon pour s’y installer à résidence. Il y fait construire un ensemble comprenant sa propre maison, un laboratoire, un observatoire astronomique et une salle de cours pour ses étudiants, des annexes. C’est là qu’il développera la dernière partie de son œuvre, celle qui concerne surtout la biophysique de l’orgone. Plusieurs conférences internationales seront organisées dans ces lieux … souventes fois agrémentées des vicissitudes du FBI lors de l’obtention des visas de frontières.

De son union avec Ilse Ollendorff (dont la biographie sur son mari est très intéressante), naît, en 1944, un fils : Peter. Son intérêt pour l’observation des nouveau-nés s’accroît, comme devant lui croît un petit être plein de vie. Il réaffirme avec vigueur l’importance d’une attitude préventive de la névrose chez l’enfant et l’adolescent.

La dernière décade (1947-1957) sera marquée, toute entière, par ses démêlés avec l’administration et la justice états-uniennes, ce qui ne l’empêchera pas de poursuivre ses recherches sur l’énergie de la vie et de s’intéresser à divers phénomènes atmosphériques.

Suite à un article diffamatoire dans le Harper’s Magazine, en 1947, les difficultés recommencent. C’est l’époque de l’utilisation intensive des accumulateurs d’orgone (Acorg) avec la participation de patients. Ces accumulateurs lui vaudront de graves ennuis avec la pointilleuse Food and Drug Administration qui l’accuse de publicité frauduleuse et de charlatanisme, quand bien même il ne faisait pas commerce de ces accumulateurs, se contentant de les louer en contrepartie d’une participation aux frais et charges inhérents à cette location. Wilhelm Reich dénie à cette administration la moindre compétence pour juger de ses techniques thérapeutiques et encore moins de la plus simple des découvertes scientifiques.

En 1950, il crée, à New York, l’Orgone Energy Clinic, destinée au dépistage des maladies énergétiques (biopathies), et l’Orgonomic Infant Research Center, dédié à l’étude de la sauvegarde de l’enfant depuis le stade prénatal jusqu’à l’adolescence. Il écrit Children of future.

Installation définitive à Orgonon où, le 15 décembre 1950, débute l’expérience Oranur (Orgonotic Anti-Nuclear Radiation). Wilhelm Reich enferme une aiguille de 1 gramme de radium (radio-actif) dans un accumulateur à vingt couches situé dans la chambre des accumulateurs. L’objectif est de vérifier si l’orgone concentrée peut contrer les effets mortifères des radiations atomiques : la désintégration de la matière sera-t-elle contrée par la matière qui construit la vie ? Ce fut une catastrophe. Des souris situées jusqu’à une centaine de mètres de là moururent de cancer ou de déshydratation, l’ensemble des bâtiments était entouré d’une masse d’ambiance sombre, lourde, oppressante, les pierres se dégradèrent à vue d’oeil. Les oiseaux se turent. Tous les participants tombèrent gravement malades, le laboratoire était rendu inutilisable durant de mois. L’énergie de vie avait été excitée au plus haut point, comme rendue folle, ce qui l’avait vite épuisée et elle cherchait à retirer de la vie de tout ce qui l’entourait. Wilhelm Reich avait déjà remarqué qu’un tube pointé vers le ciel au dessus de l’eau provoquait un léger souffle d’air visible par des rides sur la surface de l’eau. Il eut l’idée d’enterrer le “DOR” (Deadly Orgone Radiations) en l’obligeant à retourner à la terre en pointant une série de tubes, reliés à un puits, sur le nuage de dor qui chapeautait les environs : le premier cloudbuster avait donné une solution au résultat de l’expérience. Mais il est évident que l’énergie nucléaire est incompatible avec une construction positive de la vie au sens végétal et animal du terme. L’utilisation industrielle de la décomposition de la matière est aberrante, dangereuse, nuisible et induit l’aberrance en raidissant plus encore la structure caractérielle des personnes par la production ici-et-maintenant d’une énergie de vie, de la vie, totalement épuisée sur lesquelles elle se répercute. On ne peut percevoir la vie qu’en fonction de ses propres sensations, et la vie épuisée sans satisfaction ne percevoit plus d’elle-même qu’une sombre souffrance.

En 1952, construction d’un cloudbuster (têteur d’éther ou chasseur de nuages) destiné à agir au travers de l’orgone atmosphérique sur la concentration ou la dissipation de l’énergie orgonale responsable de la formation des nuages ou des ouragans (l’orgone attire l’eau et l’eau attire l’orgone). Expérimentation durant l’été au Texas ; les journaux locaux signalent plusieurs pluies inespérées. La Superposition cosmique en résulte, bientôt suivie de Contact with space. Les déserts sont des endroits de la terre où s’est amassée, pour des raisons topologiques ou géographiques, une grande quantité d’énergie totalement épuisée, avide d’eau ; et on sait que l’eau c’est aussi la vie. En soutirant de ces endroits le dor, en rétablissant la faculté du lieu à attirer et retenir l’humidité, les algues et les mousses repoussent, et retiennent de plus en plus d’eau qui, à son tour, se prête aux gonflement et à la germination des graines de l’herbe ! Et l’herbe attire la pluie. Le monde est un organisme vivant, compréhensible comme un gigantesque ensemble que l’organisme humain est à même d’appréhender dans la mesure où il se considère lui-même comme un sensationnel organisme vivant. Une année ou deux avant que la forêt ne meurt, elle a perdu déjà son champ orgonal, il est déjà visible que son énergie a été épuisée, qu’elle ne retient plus l’eau.

La même année, un représentant des Archives Sigmund Freud, Kurk Eissler, vient l’interviewer sur ses relations passées avec S. Freud. Au cours de deux longues conversations enregistrées au magnétophone, il discute de son œuvre et de leurs relations avec “ce grand homme, ce maître”. Il en résultera un livre très vivant : Wilhelm Reich parle de Freud. Cependant les archives du “maître” relatives aux relations épistolaires de Wilhelm Reich et de Freud, restent hélas hermétiques à la publication.

1954. Devant son refus de répondre à une citation en justice, parce qu’il estime qu’aucune cour juridictionnelle ne peut rendre de jugement sur aucunes découvertes scientifiques (souvenons-nous de Galilée et de son “elle tourne quand même“), le juge prescrit la destruction des accumulateurs et la destruction par le feu ses livres contenant le mot orgone car “l’orgone n’existe pas” (J. D. Clifford, juge états-unien dans son rendu de justice), c’est-à-dire de la majeure partie de ses œuvres, considérées comme “propagande” ou “textes publicitaires” ! Le FBI vient chez lui détruire à la hache ce qui est qualifié de “machines à orgone” bien que les accumulateurs soient des instruments entièrement passifs.

En automne il part quand même pour l’Arizona où il réalise avec un cloudbuster l’opération OrOp-Desert. L’opération est télévisée ; les journaux confirment son succès : “Il pleut dans le désert reverdit !”. L’orgone n’existe toujours pas.

Les dernières années de sa vie sont marquées par les tracas du procès et la recherches d’équations cosmiques. Condamné à deux ans de détention pour outrage à la cour, car un de ses assistant a été arrêté lors du déplacement d’un têteur d’éther (cloudbuster) à plus de 1000 km de là, Wilhelm Reich est incarcéré le 12 mars 1957 au pénitencier fédéral de Danbury, Connecticut. Le 22, on le transfère à celui de Lewisburg en Pennsylvanie où il se porte volontaire pour suivre un protocole d’expérimentation médicamenteuse, afin de voir réduite sa peine. Toute prison détruit, autant que ces protocoles, celle-ci tuera encore : Wilhelm Reich y mourra dans la nuit du 3 novembre. Il comptait se remarier avec une nouvelle compagne et aller vivre en Suisse pour y poursuivre libre ses études du vivant libre en train de vivre libre.

 

Le gouvernement des Etats-Unis n’est pas habilité à traiter de la Loi Naturelle Fondamentale. Or l’orgonomie est une branche de la Science Naturelle Fondamentale… Se présenter au tribunal pour “défendre” la Recherche Naturelle Fondamentale constitue en soi un acte absurde. En effet, tout investigation dans ce domaine se situe en dehors de la compétence juridique d’une administration sociale quelle qu’elle soit. Le droit de l’Homme à la connaissance doit être protégé, si le terme Liberté doit signifier plus qu’un slogan politique vide de sens. Je ne comparaîtrai pas devant le tribunal pour “me défendre” contre un plaignant dont la nature même de la plainte prouve qu’il ignorait tout de la science naturelle…

Réponse écrite de Wilhelm Reich adressée aux juges

16 juin 2014

6 000 milliards d'euros pour vivre avec moins de carbone et plus de radioactivité.

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En ce début de troisième millénaire, notre monde subit les tourments d'une trinité infernale : la maladie, l'injustice, la pauvreté.

Selon des chrétiens hérésiarques :

« La médecine connaît un revirement funeste : certains médicaments "miracles" pourraient avoir perdu leur pouvoir. Des maladies infectieuses telles que la lèpre et la tuberculose, qui par le passé ont fait des millions de victimes, étaient il y a quelque temps encore neutralisées par des antibiotiques, le premier étant entré en usage dans les années 1940. Aujourd'hui toutefois, on assiste, selon le compte rendu de l'OMS Journée mondiale de la santé 2011, à une accélération de l'émergence et de la propagation de germes pathogènes qui résistent aux médicaments. De plus en plus de médicaments essentiels deviennent inefficaces. L'arsenal thérapeutique se réduit. »

« En octobre 2011, poursuivent les hérésiarques, Ban Ki-moon, le secrétaire général des Nations unies, a constaté : "Notre monde est parcouru de terribles contradictions. De la nourriture en abondance, mais un milliard de personnes qui ont faim. Un train de vie luxueux pour un petit nombre, la pauvreté pour beaucoup d'autres. D'énormes progrès en médecine, mais des mères qui chaque jour meurent en couches [...]. Des milliards dépensés dans un armement destiné à tuer plutôt que dans la protection des populations". »

Quant à l'économie mondiale, expliquent les pessimistes sectateurs chrétiens, « elle est au bord d'une crise de l'emploi extrêmement grave qui risque de déclencher des troubles sociaux. La récente décélération de la croissance laisse supposer que les créations d'emplois ne répondront qu'à la moitié de la demande [...]. L'Organisation Internationale du Travail a évalué le degré de mécontentement que génèrent le manque de travail et le sentiment d'une répartition inégale du poids de la crise. Les résultats indiquent qu'une agitation sociale guette quantité de pays, particulièrement ceux de l'Union européenne et de la région arabe. »

Ils ajoutent : « Aux États-Unis (où la secte est bien implantée), la dette moyenne contractée par carte de crédit s'élève actuellement à plus de 11 000 dollars. un montant qui a triplé depuis 1990 ». Dans le livre L'épidémie de narcissisme (angl.), publié en 2009, on lit que beaucoup s'endettent simplement pour projeter une image de richesse. « Quand un Américain voit une personne possédant une voiture et des vêtements luxueux, il en déduit qu'elle est riche. En fait, il y a plus de chances qu'elle soit endettée. »

(Source : Le monde peut-il changer ? Réveillez-vous ! Juillet 2012)


Le projet de Jean-Marc Jancovici

6 000 milliards d'euros pour vivre avec moins de carbone et plus de radioactivité.

Contrairement aux sectateurs chrétiens qui attendent l'intervention de Dieu pour résoudre les problèmes de l'humanité, Jean-Marc Jancovici, un pronucléaire qui a collaboré à l'élaboration du pacte écologique de la fondation Nicolas Hulot, envisage de changer le monde grâce à un nouveau projet de société, tout entier tourné vers une économie « décarbonée ». Il écrit :

« La situation économique des décennies à venir a toutes les chances d'être extrêmement agitée, ce qui se traduira par de nouveaux problèmes bancaires dans les pays qui ont favorisé un fort endettement des ménages et des États. Or, les États-Unis sont montés tellement haut dans la constitution d'une montagne de dettes, contractées par des débiteurs dont la solvabilité deviendra douteuse en période de contraintes énergétiques, que l'on peut craindre que, dans les dix à vingt ans à venir, ils soient beaucoup plus occupés par la débâcle financière qu'ils risquent d'avoir à gérer que par les enjeux de long terme qui pourraient hélas ne jamais apparaître à la bonne place sur leur écran radar. Et, tant qu'ils connaîtront des difficultés intérieures, ils seront probablement tentés par un fort repli isolationniste, comme ils l'ont montré à maintes reprises dans l'histoire. Certes, les États-Unis restent un pays surprenant, et il ne faut jamais préjuger de rien, mais il n'est pas complètement exclu qu'ils restent prisonniers de l'héritage du passé, alors que les pays asiatiques n'ont pas (encore ?) ce problème. Ce sont des pays neufs, mais qui vont avoir comme nous des problèmes d'accès aux ressources. Le retour de la Chine dans la cour des grands, à la place où elle a été pendant quasiment toute l'ère chrétienne, impose de toute façon une politique coordonnée Europe-Asie, dont le carbone pourrait constituer un des fondements.

Revenons chez nous pour finir, et voyons ce que nous aurions en portefeuille en misant « tout sur la décarbonisation ». Un programme de rénovation lourde des bâtiments viables ? Disons 500 milliards ! Un programme d'indemnisation des propriétaires de bâtiments non viables pour leur permettre de déménager ? Si cela concerne un tiers des logements bâtis, qui sont les plus excentrés et les moins chers, et que nous calons cette indemnité sur 500 euros par mètre carré, cela fait 400 milliards d'euros. Ajoutons quelques centaines de milliards pour transformer l'immobilier industriel et tertiaire, pour faire bonne figure. L'élimination de 30 millions de voitures pour les remplacer par de nouvelles 2 CV et quelques voitures électriques ? A 10 000 euros pièce, voici une addition à 300 milliards. Le remplacement de la moitié des procédés industriels en fonction ? Sachant que l'investissement industriel représente quelques dizaines de milliards par an, vingt ans de « verdissement » de 50 % de cet investissement et c'est encore 500 milliards qui s'ajoutent. La transformation de notre agriculture ? Probablement 50 à 100 milliards d'investissements, au bas mot. Le remplacement des frigos, machines à laver, ascenseurs, et j'en oublie ? Encore des milliards par centaines !

Notre affaire, sur les quarante ans qui viennent, va donc demander quelques milliers de milliards d'euros d'investissements, disons entre 3 000 et 6 000 s'il faut donner une fourchette. Dans quel but proposer cet alignement de milliards ? Pour montrer que nous n'y arriverons jamais ? Au contraire ! cela montre par les chiffres que la décarbonisation de l'économie est une affaire d'une telle ampleur qu'elle mérite mille fois le titre de projet de société. Mieux, elle ne peut bien fonctionner que comme telle : nous ne l'obtiendrons pas comme conséquence à la marge d'« autre chose ». À défaut de la vouloir, cette décarbonisation massive, ce qui nous attend est une réédition de craquements comme nous en avons connus avec une intensité croissante depuis 1975, chaque choc étant plus ter-rible que le précédent, jusqu'au moment où la pénurie de ressources fera voler en éclats la civilisation actuelle. Il est encore temps de transformer cette contrainte en opportunité. Qu'est-ce qu'on attend ? »
 
Jean-Marc Jancovici

 


Changer le monde

L’énergie procède de la transformation de la matière. L’économie n’étant rien d’autre qu’une machine à transformer des ressources, nos sociétés industrielles sont de plus en plus gourmandes en énergie, alors même que les stocks susceptibles de leur en fournir, que ce soit du charbon, du pétrole ou de l’uranium, diminuent inexorablement. 

Partant de ce constat, Jean-Marc Jancovici montre que les espoirs placés par nos gouvernants dans la reprise de la croissance sont illusoires et dangereux : dans une économie monde qui dépend des énergies fossiles, plus vite la croissance repartira, plus vite arrivera le prochain choc pétrolier qui la tuera à nouveau.

Il faut sortir de cette spirale infernale. L’éolien, le solaire seraient-ils une solution ? Billevesées, démontre J.-M. Jancovici : leur coût est astronomique et leur contribution actuelle, insignifiante. Le nucléaire, alors ? C’est souvent une excellente formule de transition, qu’il faut perfectionner et développer. 

Mais surtout, il faut un nouveau projet de société, tout entier tourné vers une économie « décarbonée ». Un tel projet touchera à tout : nos métiers, notre habitat, notre système de soins, notre agriculture, notre alimentation, notre mobilité, notre lieu de vacances, notre armée et notre diplomatie, la consolidation de l’Europe, les procédés industriels, la productivité du travail et la gestion des retraites…

Pour éviter l’impasse, chacun de ces compartiments de la société doit être libéré au plus vite de sa dépendance au carbone, et J.-M. Jancovici propose des pistes concrètes pour y parvenir.

Tout un programme, certes, mais prendre la contrainte carbone à bras le corps n’est pas une option, écrit-il. Si nous ne faisons pas le premier pas, c’est elle qui choisira la forme de l’étreinte !



Quand la catastrophe de Fukushima a eu lieu (mars 2011), le livre de Jancovici, Changer le monde, était sous presse. Néanmoins, les convictions de ce polytechnicien pronucléaire cérébralement très irradié n'ont pas été ébranlées. Au contraire, dans une interview Jancovici aurait déclaré : « un accident de centrale est une excellente nouvelle. Cela crée instantanément une réserve naturelle parfaite ! »

12 avril 2014

Les eaux de la Manche plus radioactives qu'à Fukushima

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C'est l'ACRO, "l'Association pour le Contrôle de la Radioactivité de l'Ouest", un laboratoire indépendant d'analyse de la radioactivité, qui a fait cette annonce spectaculaire : Il y a plus de tritium (hydrogène radioactif) dans les eaux de la Manche que dans les eaux du Pacifique à proximité de la centrale de Fukushima. L’ACRO effectue "une surveillance citoyenne" de la radioactivité dans l’environnement depuis de longues années. Elle effectue notamment des contrôles réguliers tout le long des côtes de la Manche afin de suivre l’impact des rejets en mer des installations nucléaires. L'ACRO se base sur un prélèvement d'eau de mer effectué le 17 octobre 2012 dans la Baie d'Ecalgrain. Une concentration record de tritium (isotope radioactif de l'hydrogène, qui est rejeté par les installations nucléaires) a été relevée : 110 Bq/L (becquerels par litre). Une concentration cinq fois supérieure à ce qui est relevé habituellement à cet endroit. A titre de comparaison, à proximité de la centrale de Fukushima, on relève aujourd'hui des concentrations en tritium allant de 3 à 13 Bq/L. Voir le reportage de Pierre-Marie Puaud et Cyril Duponchel (Intervenants : Antoine Bernollin, chargé d'études et Pierre Paris vice-président de l'ACRO) Selon l'Association, on n'avait jamais vu une telle concentration dans la Manche : "En dix ans de surveillance mensuelle à Goury, de 1998 à 2007 (ou 120 mesures), l'IRSN (l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) n'a JAMAIS mesuré de concentration supérieure à 33,3 Bq/L", explique l'association.


Les eaux de la Manche plus radioactives que... par Wakeup-

12 janvier 2014

Un gaz radioactif mortel qui vient du sol le radon La France est touchée comme les autres pays

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Le radon, gaz radioactif qui émane des roches du sous-sol, atteint dans certaines maisons des taux alarmants. La France est touchée comme les autres pays, mais sa population n'est pas avertie. Voici les chiffres, et les moyens de remédier à une menace que le monde entier prend enfin au sérieux.

Invisible et inodore, c'est le radon, responsable pour moitié environ de la dose radioactive moyenne que la nature nous inflige, et qui représente quelque 150 à 200 millirems par an. Car il existe aussi une radioactivité naturelle, dont une partie est due aux rayons cosmiques, et l'autre, plus de 80 %, émane des roches qui contiennent des minerais radioactifs, comme l'uranium.

On savait que le radon pouvait déclencher des cancers du poumon. Les études épidémiologiques sur les travailleurs des mines d'uranium l'ont prouvé. Mais il serait, en fait deux à trois fois plus dangereux qu'on le supposait, Ainsi aux Etats-Unis, Il serait responsable de la mort de 10 000 à 20 000 personnes par an; 1000 à 1500 en Grande Bretagne; 900 en Belgique. La France, toujours prudente, n'avance aucun chiffre, mais nous verrons plus loin que les Français ont tout lieu d'être inquiets, car leur sous-sol, riche en uranium, est aussi bien fourni en radon. Dans certaines régions granitiques, comme la Bretagne ou le limousin, on atteint même des chiffres record!


On avait aussi cru que le radon se dégageait principalement des murs et des Matériaux de construction. En effet, ce sont des taux élevés de radon, mesurés il y a une quinzaine d'années, dans des maisons construites avec des déblais de mines d'uranium, qui avaient initialement alarmé les Américains. Mais depuis, on a fait un peu partout des mesures et on s'est aperçu que les matériau jouaient un rôle mineur. Le vrai danger émane du sol.

D'où vient donc le radon ? Lorsque la Terre s'est formée, il y a quatre à cinq milliards d'années, la matière fortement "chahutée" sous forme de protons, de neutrons et d'électrons, s'est assemblée pour former des combinaisons appelées nucléides, dont certaines étaient stables et d'autres instables. Ces derniers, ne répondant pas à certaines grandes lois naturelles, étaient condamnés à disparaître et se sont désintégrés jusqu'à ce qu'ils aient trouvé une forme stable. Certains d'entre eux, plus lents que les autres, n'ont toutefois pas encore achevé leur transformation. Ces corps qui continuent à se désintégrer sont responsables de la radioactivité naturelle du sous-sol. Il existe ainsi dans l'écorce de notre planète quatre retardataires dont certains hanteront encore la Terre dans des milliards d'années: l'uranium 238, l'uranium 235, le thorium 232 et le potassium 40. En réalité, Ils représentent des grandes familles, hormis le potassium 40 qui a perdu ses parents depuis longtemps. Car, ces éléments en se désintégrant, donnent naissance à d'autres éléments, radioactifs eux ami, que l'on nomme leurs descendants. Cette filiation se poursuit jusqu'au dernier maillon de la chaîne de désintégration qui aboutit à un élément stable.

Le radon est l'un des descendants de ces familles. Il donne naissance lui aussi à des fils et des petits fils aussi ravageurs que lui.

Il en existe trois formes, issues chacune d'une des trois grandes familles radioactives. Ce sont des isotopes, puisque seul leur nombre de neutrons varie. Le radon 219, descendant de l'uranium 235 et appelé également "actinon", est, tout comme son père, très peu répandu dans la nature. Il est également très éphémère puisqu'il suffît de moins de quatre secondes pour que sa radioactivité diminue de moitié, de quatre autres secondes pour qu'il n'en reste plus que le quart, et ainsi de suite.

Le radon 220, appelé également "thoron", est, lui, issu du thorium 232. Sa période de demi-vie radioactive est un peu plus longue que celle du radon 219, puisqu'elle frôle la minute. Ce n'est toutefois pas suffisant pour lui permettre de remonter des profondeurs de la terre jusqu'aux pièces de nos maisons, hormis dans certaines zones où des filons de thorium affleurent à la surface. En revanche, ce délai lui suffit quand il est présent dans les matériaux de construction. Il n'est donc pas totalement négligeable: il est responsable d'environ 10 % de la dose infligée aux poumons, alors que son activité représente environ le tiers de l'activité totale.

Mais, le plus vigoureux des trois frères, c'est le radon 222, celui qu'on évoque en général lorsqu'on parle du radon. Son ancêtre est l'uranium 238 et son père direct le radium 226. Or, l'uranium 238 est relativement abondant dans l'écorce terrestre, qui contient en moyenne 3 g par tonne d'uranium naturel formé à 99,27% d'uranium 238 et à 0,73 % d'uranium 235. C'est beaucoup si l'on songe que les minerais d'or dAfrique du Sud ne recèlent pas plus de 6 g d'or par tonne! On pourrait presque exploiter la croûte terrestre, mais l'uranium n'a pas encore la valeur de l'or et on se contente d'exploiter les gisements qui contiennent plusieurs centaines de grames par tonne. Cette abondance d'uranium 238 explique en partie celle du radon.

Par ailleurs, le radon 222 ne perd la moitié de sa radioactivité qu'au bout de quatre jours ou presque. C'est plus qu'à n'en faut pour que ce gaz inerte et non réactif se faufile à travers les failles, diffuse à travers certains terrains poreux ou se dissolve dans l'eau avant de gagner la surface du sol.

Il est transporté des profondeurs parfois su plusieurs centaines de mètres, par des masses d'air animées de mouvements de convection, commandés par les conditions météorologiques extérieures et les écarts de température entre le sol et les maisons. Dans certains cas, ces mouvements entraînent un véritable drainage des roches.

Un autre phénomène, encore à l'état d'hypothèse, favoriserait la libération du radon par les roches. Au moment où son père direct le radium, se désintègre pour lui donner naissance en émettant une particule alpha (2 protons et 2 neutrons), le nouveau noyau de radon recule comme la bouche d'un canon qui vient de lancer un obus. Ce mouvement de recul serait, semble-t-il, suffisant pour permettre à un certain nombre d'atomes de radon de s'échapper de ces véritables labyrinthes de pores et de grains que représente un réseau cristallin comme celui du granite par exemple.

Les quantités de radon dégagées diffèrent sensiblement suivant la géologie du heu. L'activité des roches est primordiale, mais d'autres facteurs comme la perméabilité ou la porosité du sol ou encore son degré de fissuration entrent en jeu. Ce qui explique que l'on puisse trouver des régions où le taux d'irradiation naturelle, provenant du rayonnement gamma (photon) dégagé par les roches radioactives, soit parfois très élevé sans que le taux de radon soit proportionnellement aussi élevé et vice versa. Il existe également des fluctuations saisonnières. Ainsi, les taux de radon sont plus élevés en été quen hiver. Au cours d'une même journée, ces taux varient et sont maximaux la nuit.

Quelques données chiffrées, en becquerels (Bq), une unité que les français ont appris à connaître après Tchernobyl. Un becquerel équivaut à une désintégration par seconde, et un becquerel de radon 222 représente 476 000 atomes.

Au niveau du sol, on trouve en moyenne dans l'atmosphère 6 Bq/m3 de radon. Ces concentrations décroissent en altitude, au fur et à mesure que le radon se dilue et que sa vie s'achève. En cas d'inversion de température, ce qui a pour effet de piéger le radon dans une masse d'air stagnante, les concentrations peuvent atteindre, la nuit, dans certaines régions de France 200 à 500 Bq/m3 ! Mais si l'on creusait un simple trou dans un jardin, on s'apercevrait que la terre contient quelque 10 000 Bq/m3! Et nos ancêtres qui vivaient dans des cavernes ont dû respirer des milliers de becquerels/m3. Nous nous contentons aujourd'hui d'en respirer une cinquantaine dans le métro parisien.

Mais ce radon hante aussi nos maisons. Une partie y arrive par simple apport d'air extérieur, mais la majeure partie traverse les dalles de béton, les fissures, les joints, passe par les canalisations et aboutit dans les pièces où nous vivons, et où il est piégé et s'accumule.

Nous le respirons donc, mais comme c'est un gaz inerte, il ne se fixe pas dans les poumons et comme il n'y séjourne pas plus de quelques secondes, il y a peu de chances pour qu'il s'y désintègre et qu'il crée ainsi des dégâts. Il n'en est pas de même en revanche des produits de filiation qu'il engendre. Ce ne sont pas des gaz, mais des métaux, bismuth, plomb et surtout polonium, qui se retrouvent en suspension dans l'air et peuvent aussi être inhalés.

Une partie (30 à 50 %) de ces produits de désintégration, radioactifs eux aussi, restent à l'état libre dans l'air. Très mobiles, ils ont tendance à se déposer rapidement sur les murs ou ailleurs. L'autre partie s'attache aux aérosols ambiants et aura davantage de chance de se fixer sur les parois des poumons comme de vulgaires particules. Là, en se désintégrant, ils relâcheront de petites bouffées d'énergie qui peuvent endommager gravement les tissus pulmonaires, allant jusqu'à déclencher parfois un cancer. Plus le taux de radon est important et plus grand est le risque. Avis aux fumeurs: aux 1000 à 5 000 particules/cm3 habituellement présentes dans l'air d'une pièce, ils ajouteront 100 000 à 1 million de matières particulaires contenues dans la fumée de leurs cigarettes, autant de pièges pour les descendants du radon susceptibles ensuite d'être inhalés. Selon des études américaines récentes, les risques du radon sont encore plus élevés pour les fumeurs, car au lieu de simplement s'ajouter, les deux risques sont multipliés. L'Agence pour la protection de l'environnement (EPA) aux Etats-Unis, évalue ainsi les risques de mort par cancer du poumon après une exposition au radon durant 70 ans: 1 à 5 % pour 150 becquerels par mètre cube ; 6 à 21 % pour 740 Bq/m3; 44 à 77 % pour 7 400 Bq/m3.

Ce qui se traduit par des doses respectives de 2, 10 et 100 rems par an. La norme, rappelons-le, à ne pas dépasser pour l'industrie nucléaire est de 0,5 rem par an pour les populations et 5 rems par an pour les travailleurs en milieu ionisant Les mineurs d'uranium en France reçoivent des doses de 0,5 à 2,5 rems/an.

Or, partout dans le monde, on découvre des maisons où le taux de radon est inquiétant Aux Etats-Unis, où la moyenne nationale se situe autour de 60 Bq/m3 il y aurait un million de maisons qui poseraient problème, certaines dépassant 4 000 Bq/m3 (53 rems/an). L'une d'entre elles, située en Pennsylvanie dans une zone particulièrement critique - elle est traversée par une veine d'uranium -, atteint le taux record jamais encore égalé dans le monde, de 100 000 Bq/m3 ! Y respirer durant une journée équivaut à fumer... 135 paquets de cigarettes, selon les estimations des chercheurs américains. Pas facile à vendre, cette maison! Des centaines de sociétés proposent d'ailleurs, pour 500 à 2 500 dollars, un "diagnostic radon".

En Suède, où 40 000 maisons ont été étudiées, 4 600 dépassaient 400 Bq/m3 (5 rems), ce qui leur a valu d'être déclarées insalubres. Pour plusieurs centaines, le taux était supérieur à 2 000 Bq/m3 (25 rems/an).

En Grande-Bretagne, où 3 000 maisons ont fait l'objet de mesures et où 3 000 autres seront passées au crible au cours des deux prochaines années, la moyenne se situe autour de 22 Bq/m3. Mais dans le Devon et surtout en Cornouailles, il n'est pas rare de rencontrer des taux de radon supérieurs à 100 Bq/m3, voire atteignant 1000 Bq/m3.

Et en France ? Le Service central de protection contre les radiations ionisantes (SCPRI) chargé de tous les problèmes de santé qui touchent le domaine nucléaire, ne semble pas s'être intéressé de très près à la question. A moins qu'il ne garde, comme il l'a fait au moment de Tchernobyl, les données au fond d'un tiroir.

Le Commissariat à l'énergie atomique, en revanche, qui ne l'a pas non plus crié sur les toits, connaît le problème depuis une dizaine d'années. Certaines de ses équipes, chargées d'étudier l'exposition professionnelle des quelque 1500 mineurs d'uranium et qui mesuraient également les environs des mines, avaient relevé dans certaines maisons des valeurs égales ou supérieures à celles rencontrées dans les galeries où l'on ne passe que 8 heures par jour. En 1976, on trouva dans une salle d'eau du Iimousin plus de 50 000 Bq/m3 ! Ce qui se traduirait par 100 fois la dose maximale annuelle tolérée, pour les mineurs!... Idem pour les prospecteurs qui, pour repérer les filons, mesuraient le taux de radon sur de vastes régions. En 1981, une centaine de mesures effectuées dans le Limousin indiquaient une moyenne de 81,4 Bq/m3, tandis qu'on relevait jusqu'à 555 Bq/m3 à Saint-Junien, 592 à Uzerches, 740 à La Souterraine, 851 à Guéret...

Où en est-on dix ans plus tard ? " Il y a peut-être 15 000 ou 150 000 personnes du public qui se situent sans le savoir dans la même gamme que les mineurs, soit 0,5 à 2,5 rems ", a écrit récemment M. Zettwoog du Commissariat à l'énergie atomique " et 1 500 ou 15 000 qui reçoivent sans le savoir des doses supérieures à 5 rems par an ". Peut-être aurait-il fallu le leur faire savoir!

Suscité par les Communautés économiques européennes, un programme national a été lancé. Aujourd'hui, 1 552 habitations situées dans 32 des 95 départements ont fait l'objet de 1 800 mesures de la part du CEA (voir carte ci-dessous). Il nous a été impossible d'obtenir la moyenne de ces valeurs, le CEA ayant refusé de nous la communiquer. En revanche, la valeur médiane, entre la plus petite et la plus grande, est de 44 Bq/m3. La moyenne serait plus élevée. Il y a quelques années, alors que 800 maisons seulement avaient été examinées, cette moyenne était de 76 Bq/m3

Les heureux élus, dont la maison a bénéficié en France d'un diagnostic radon, ont généralement été choisis par la Direction de la protection civile. Pompiers, gendarmes, membres du corps enseignant ou médical, ont été les premiers cobayes. Pas tous consentants si l'on en croit le taux de perte des appareils de détection. Dans certains départements peu coopératifs, il y en aurait eu jusqu'à 30 à 50% qui ne sont jamais revenus...

Pour doser le radon, il existe plusieurs méthodes. En France on se sert du dosimètre dit "passif", simple rectangle de film Kodak LR-115 15 de 9 cm sur 2,5 cm, qui enregistre les particules alpha. Au bout d'un ou deux mois d'exposition, dans un coin de salle à manger ou sur le haut d'une armoire, il suffit de faire subir au film un traitement chimique qui transformera les traces des particules en minuscules trous. On compte ensuite ces trous au microscope électronique et on en déduit l'activité volumique en radon. Pour vérifier certaines mesures, on se sert parfois d'un dosimètre "actif", plus complexe et plus coûteux, où l'air est prélevé en continu.

Premières observations: certains départements semblent plus défavorisés que d'autres et leurs habitants subissent parfois des taux supérieurs aux normes. C'est le cas notamment de la Loire, de la Haute-Saône, du Doubs, du Finistère et de la HauteVienne, ce dernier département détenant le record avec 4 687 Bq/m3(voir carte ci-dessous),les valeurs minimales de l'ordre de 2 Bq/m3 étant trouvées dans la région parisienne.

Pourtant voisins, ces deux départements, étudiés de plus près que les autres par le Commissariatà l'énergie atomique, sont inégaux devant l'irradiation naturelle. I1 s'agit ici de radioactivité gamma, rayonnée par les roches du sous-sol, sans qu'il y ait transport de matière radioactive (contrairement à la radioactivité bêta, due à l'émanation de radon). Ces disparités s'expliquent : en Haute-Vienne, le sol est gorgé de granite, naturellement radioactif, alors qu'en Dordogne ce sont les roches sédimentaires qui dominent. C'est aux alentours des mines d'uranium que les taux sont les plus élevés. Nous avons également indiqué sur cette carte les quelques mesures concernant le radon (en becquerels par mètre cube) dont nous disposions.

Nul doute que si la Bretagne était passée au peigne fin, on y trouverait des valeurs extrêmes. Une étude indépendante réalisée en 1984 par Erwan Naour, pour le Comité scientifique et technique des industries du chauffage, de la ventilation et du conditionnement d'air, portait sur 180 maisons de Ploumanac'h (Côtes-du-Nord), près de Perros-Guirec. La moyenne y est de 138,6 Bq/m3; 20 % des habitations accusent 500 Bq/m3 et 10 % dépassent 1000 Bq/m3; certaines atteignent le chiffre faramineux de... 8 000 Bq/m3. Le granit rose de La Clarté, extrait des carrières proches, n'y est pas étranger.

On peut d'ailleurs s'étonner que le Commissariat à l'énergie atomique n'ait pas commencé par la Bretagne. Qu'à cela ne tienne. Bientôt nous aurons les chiffres, car une étude régionale a été lancée. Elle est menée par le laboratoire de physique des aérosols et de radioactivité atmosphérique de la Faculté des sciences de Brest (en collaboration avec le CEA). Dans le Finistère, 219 maisons ont été étudiées aboutissant à 300 mesures (voir carte). Une étude similaire sur le Morbihan devrait être publiée bientôt. Ensuite, ce sera le tour des Côtes-du-Nord.

Y a-t-il un réel danger à vivre dans ces maisons à radon ? Selon une étude épidémiologique faite dans certains départements français, que le CEA nous a également refusée, on n'aurait pas observé de taux de cancer du poumon supérieurs dans les départements où les taux de radons sont les plus forts. Ce qui, pour le moment, ne signifie rien. Comment repérer les cancers dus au radon parmi ceux qui sont dus au tabac ?

Ce qui est certain, c'est que depuis septembre dernier, le Centre international de recherche sur le cancer a classé le radon parmi les agents cancérigènes. Par ailleurs, deux études américaines parmi d'autres, ont montré des taux élevés de morts par cancer du poumon chez des mineurs d'uranium. La première, sur 1 415 mineurs suédois, a révélé 50 décès par cancer du poumon là où les statistiques n'en prévoyaient que 12,8. La seconde a révélé que sur 32 Indiens navajos, qui ont pour règle de vie de ne pas fumer, 23 étaient morts par cancer du poumon: c'étaient d'anciens mineurs d'uranium.

Alors que faire ? La plupart des pays ont proposé d'établir des seuils maximaux, au-delà desquels il faudrait agir, car nous verrons qu'il est possible de réduire les doses. Ces seuils se situeraient au-dessus de 200 à 400 Bq/m3. L'Organisation mondiale de la santé et les pays nordiques, plus sévères, fixent cette limite à 100 Bq/m3. En revanche, tous les pays sont plus stricts en ce qui concerne les terrains à bâtir: la construction devrait être interdite si le niveau dépasse 70 à 100 Bq/m3.

Aux Etats-Unis, L'Agence pour la protection de l'environnement conseille d'entreprendre des travaux dans les années qui viennent si le taux de radon dépasse 150 Bq/m3, dans les mois qui suivent au-dessus de 740 Bq/m3 et dans les semaines à venir au-dessus de 7 400 Bq/m3.

En France, aucune recommandation. C'est dommage, car on peut prendre des mesures, parfois simples, parfois plus onéreuses, mais toujours indispensables. La première consiste à aérer, voire ventiler, les pièces "à risque". Une simple dilution suffit parfois à diviser par 2 ou 5 les concentrations de radon. Mais attention, la création d'une dépression à l'intérieur de la maison peut augmenter l'infiltration de l'air contaminé du sous-sol. A revoir: les programmes; visant à économiser l'énergie par calfeutrage des ouvertures, qui ont quadruplé le risque d'accumulation du radon.

Le deuxième type de mesures consiste à empêcher le radon de pénétrer dans la maison. Pour cela, il faut boucher hermétiquement toutes les fissures, les ouvertures ou les murs en contact avec le sol, voire recouvrir le revêtement existant avec une dalle étanche. Il faut parfois songer à installer des siphons sur les drains ou les puisards d'un sous-sol ou encore ventiler le vide sanitaire qui existe sous la plupart des maisons. Enfin, des installations plus étudiées s'imposent dans les cas très critiques; elles consistent à entourer la maison de conduites perforées par lesquelles l'air vicié est évacué à l'aide d'un ventilateur. En Suède, où elles ont été installées, ces méthodes ont permis de diviser le taux de radon par 8 environ. Aux Etats-Unis, des systèmes de dépressurisation installés dans le sous-sol, ont réduit la concentration de radon de 95 %.

Tout cela n'est possible que si l'on est informé. Pour le moment, on ne l'est pas!

Jacqueline Denis-Lempereur,
Science & Vie n°846, mars 1988

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