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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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12 juin 2017

États-Unis – Des agrocarburants OGM dans l’alimentation humaine

«  La contamination de cultures non OGM par des OGM est inévitable », constate Inf’OGM depuis une quinzaine d’années. En voici un nouvel exemple, avec la découverte, dans la chaîne alimentaire humaine, du maïs Enogen de Syngenta, génétiquement modifié pour servir d’agrocarburant. Détails de ce dossier où Syngenta semble vouloir fuir ses responsabilités.

Du maïs génétiquement modifié destiné à la production d’éthanol, baptisé Enogen (voir encadré ci-dessous), s’est retrouvé dans des silos destinés à l’alimentation humaine. L’alerte a été donnée par Derek Rovey, propriétaire d’un silo dans le Nebraska. Il a annoncé récemment que certains de ces clients, maïsiculteurs, dont les cultures avaient été contaminées par des gènes issus du maïs transgénique Enogen, mis au point par Syngenta. Il a aussi retrouvé cet OGM dans des farines de maïs. Même son de cloche chez B.J. Katzberg, un vendeur de semences de maïs, qui raconte qu’un de ses clients a dû abandonner 635 tonnes de maïs blanc. L’origine de la contamination n’est pas connue, mais Derek Rovey précise que certains champs contaminés étaient voisins de champs « Enogen ». Enfin, Lynn Clarkson, président de Clarkson Grain, toujours dans le Nebraska, a lui aussi témoigné de la présence d’Enogen dans des lots de maïs. Interrogé par Inf’OGM, il nous précise que « désormais il n’acceptera plus de maïs alimentaire issu de champs situés à moins d’un mile [1] d’un champ Enogen ».

La perte économique est importante pour les agriculteurs contaminés qui doivent vendre leur maïs moins cher, sur les marchés de l’alimentation animale ou de l’éthanol. Et pour l’agriculteur certifié « bio », la perte est encore plus importante car les OGM sont interdits dans cette filière.

Maïs Enogen : pour produire de l’éthanol dans le monde entier

Le maïs Enogen (ou SYN-E3272-5) contient un transgène issu d’une bactérie (hermococcales spp.) qui produit une enzyme, l’alpha amylase, laquelle permet de dégrader l’amidon du maïs en sucre. La production d’éthanol à partir de maïs conventionnel demande l’ajout d’un liquide qui contient cette enzyme. L’intérêt économique d’un tel maïs (si l’on ne compte pas les surcoûts liés à la semence et aux potentiels effets négatifs environnementaux) est donc évident : simplification du travail et économie sur l’adjuvant. Enogen est une des toutes premières plantes génétiquement modifiées dont le transgène agit après la récolte. Les autres transgènes ont une action dans les champs. Ce transgène a donc un intérêt non pas pour l’agriculteur mais pour l’industriel.
Enogen est autorisé à la culture aux États-Unis (2011), Japon (2010), Brésil (2016) et Canada (2008). Et à l’importation dans de nombreux pays : Australie, Brésil, Canada, Chine, Colombie, Corée du Sud, États-Unis d’Amérique, Indonésie, Japon, Malaisie, Mexique, Nouvelle-Zélande, Philippines, Russie et Taïwan.

Un marché en hausse, malgré la forte opposition des meuneries

En mai 2017, Syngenta annonçait dans un communiqué de presse qu’environ 40 % du maïs cultivé aux États-Unis étaient destinés à la production d’éthanol [2]. Les agriculteurs qui cultivent ce maïs, ainsi que 20 usines de production d’éthanol dans neuf états, sont sous contrat avec Syngenta.

En 2011, un article du New York Times présentait l’opposition des meuniers industriels et de l’agro-alimentaire. Ces derniers craignaient en effet déjà des contaminations des maïs destinés à l’alimentation humaine avec le maïs Enogen. Ces opposants ne sont pas des militants anti-OGM et sont plutôt, en règle générale, favorables aux biotechnologies.

Ainsi, par exemple, l’association des meuniers étasuniens (The North American Millers’ Association, Nama) prévenait que « s’il devait entrer dans la chaîne de production alimentaire, la même fonction qui profite à la production d’éthanol nuira à la qualité des produits alimentaires » [3]. Le Nama est une organisation qui représente 43 entreprises de meunerie, dont des entreprises internationales, (General Mills, ConAgra Mills et ADM Milling). Elle estimait qu’une telle contamination engendrerait des problèmes colossaux pour la filière et notamment des chips de maïs friables et des céréales molles. En effet, calculait-elle, « il suffit d’un grain de maïs Enogen mélangé à 10 000 grains de maïs blanc pour affaiblir l’amidon de maïs et perturber les opérations de transformation alimentaire ».

Derek Rovey précisait à Non-GMO Report qu’en 2015 il avait vendu à un client californien de la farine de maïs destinée à la fabrication de « Tamales », un plat traditionnel mexicain. Or la farine avait du mal à s’agglomérer. Une analyse, demandée par Rovey, révélait la présence de maïs Enogen.

Syngenta plaide non coupable

En 2016, à nouveau, un phénomène comparable a été constaté en Californie avec de la farine de maïs vendue par l’entreprise Amapola Market, à Los Angeles [4]. D’après Juan Galván, vice-président d’Amapola, cette mauvaise farine provient d’un lot de 54,4 tonnes [5] de maïs blanc.

Contacté par Inf’OGM, Ken Roseboro, de Non-GMO Report nous précise qu’à l’heure actuelle, la présence d’Enogen n’a pas été détectée formellement dans ce lot. Il nous précise que « un des responsables d’Amapola Market lui a affirmé qu’ils allaient tester la présence d’Enogen dans les lots incriminés, mais il n’a jamais reçu les résultats ». Ken Roseboro nous précise encore que ce représentant a finalement cessé de communiquer avec lui sans donner d’explication. Deux possibilités, spécule-t-il : « Leur avocat lui a demandé de rester discret parce qu’ils avaient engagés un procès contre leur fournisseur de maïs… ou Syngenta les a contactés et conclu un accord pour régler le problème en toute discrétion ». Contacté par Inf’OGM, ni Amapola Market, ni Syngenta n’ont répondu à nos questions.

Interrogé par Non-GMO-Report après la contamination, Syngenta a déclaré « qu’il n’y a jamais eu d’incidents vérifiés ». L’entreprise a répété qu’elle faisait tout pour « respecter les autres usages du maïs », qu’Enogen est cultivé dans un système en vase clos avec des producteurs sous contrat (qui touchent d’ailleurs une prime pour la culture de ce maïs) et que ces derniers suivent une méthode précise qui permet d’éviter les mélanges. Syngenta rappelle qu’elle a établi un guide de bonnes pratiques pour éviter ce genre d’incident. Les agriculteurs sous contrat doivent cultiver du maïs non Enogen autour de leur champ, stocker le maïs Enogen dans des silos séparés, et nettoyer les machines utilisées pour semer ou récolter ce maïs. Syngenta précise qu’elle a développé pour les producteurs un « traceur violet » qui permet de s’assurer visuellement que le grain est correctement séparé de la culture à la livraison et qu’elle a mis en place le « Enogen Field Finder », un outil public sur Internet qui permet à chacun d’identifier la présence d’un champ « Enogen » [6]. Syngenta précise que cet outil « a été développé en utilisant des formules qui devraient aboutir à une approximation raisonnable des emplacements », et « uniquement à titre d’information ». Ainsi, l’entreprise « décline toute responsabilité ».

Syngenta est actuellement visée par plusieurs actions en justice aux États-Unis initiées par des agriculteurs qui reprochent à l’entreprise d’être responsable des pertes subies en raison de l’embargo chinois sur le maïs étasunien. À l’origine du litige, le maïs MIR162 Agrisure Viptera [7], qui s’est retrouvé dans les exportations à destination de la Chine en 2013 et 2014 alors qu’il n’était pas autorisé dans ce pays. En réaction, la Chine a décidé de suspendre les importations de maïs américain. Pour les agriculteurs qui ne cultivaient pas ce maïs et exportaient vers la Chine, les pertes économiques sont considérables. De telles pertes ne sont jamais prises en compte dans la balance économique des OGM.

https://www.infogm.org/6237-etats-unis-contamination-ogm-enogen-alimentation-humaine

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3 juin 2017

Le Gardasil : Ne laissez plus votre médecin injecter de la MORT aux RATS à vos filles !

 

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Gardasil, vaccin prétendument contre le cancer de l’utérus à propos duquel une plainte vient d’être ENFIN déposée contre Sanofi Pasteur MSD et l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) pour effets secondaires gravissimes.

La goutte qui a fait déborder le vase, est le cas relaté par « Initiative citoyenne »,  de Marie-Océane Bourguignon, jeune étudiante bayonnaise de 18 ans, qui après avoir reçu la deuxième dose de ce vaccin a subitement perdu la vue et l’usage de ses jambes, en plus de séquelles nerveuses multiples aux douleurs intolérables. Sa mère déclare que la troisième injection eut probablement été mortelle si elle avait été effectuée. Vous pouvez consulter ce témoignage complet dans INITIATIVE CITOYENNE – voir :

http://www.initiativecitoyenne.be/article-gardasil-on-peut-parler-de-carnage-121324534.html

La  plainte de Marie Océane annoncée dimanche 24 novembre 2013 a été suivie le soir même d’un vigoureux démenti par L’ANSM et Sanofi Pasteur niant tout lien entre leur vaccin Gardasil et la maladie de la jeune femme… (bien évidemment !) .Ainsi, le docteur André Dhalab, émissaire de la « Direction médicale » de Sanofi-Pasteur, déclara avec aplomb devant des millions de téléspectateurs : « Il faut le dire tout de suite, il n’y a aucun lien entre Gardasil et ce cas de sclérose en plaques ». (Ben c’est vrai puisqu’il vous le dit !!!). Alors comment se fait-il qu’en juin dernier, la Commission de conciliation et d’indemnisation des accidents médicaux avait conclu au « lien de causalité entre le vaccin et la pathologie » de Marie-Océane ?

En fait, ce vaccin aurait déjà provoqué plus de 30 000 accidents répertoriés, dont 130 décès, ce qui ne l’empêche pas d’être toujours chaudement recommandé par les autorités sanitaires en dépit de plus de 8000 effets graves officiels. Tous les jours, de nouvelles jeunes femmes en France, en Europe, dans le monde entier, se laissent administrer ce vaccin parce qu’on leur cache son extrême dangerosité. A noter que les effets néfastes rapportés de ce vaccin représentent seulement 1% de la réalité, ceci de l’aveu même du CDC et de la FDA – il y a vraiment de quoi s’alarmer !

De fait, si toutes les victimes du Gardasil  établissent la connexion et attaquent les fabricants et les médecins vaccinateurs sur base de données accablantes telles le risque de stérilité définitive qui affecte déjà très probablement des milliers de filles vaccinées sans qu’elles s’en soient encore rendu compte, vu qu’elles sont sous pilule pour beaucoup, il est évident que ces firmes, en dépit de la récente loi scélérate qui leur accorde l’immunité juridique face à leurs responsabilités, risquent de devoir fermer définitivement leurs portes sous le gouffre financier d’indemnisations que cela représente, et que les médecins n’oseront plus piquer comme ils le font actuellement à la manière de vulgaires robots. Justement, d’après divers avocats, ce premier procès est entrain de mettre le feu aux poudres à une série de 20 autres plaintes pour séquelles graves du Gardasil, et celles-ci risquant de faire rapidement boule de neige…….

Bien que depuis plusieurs années j’aie déjà largement alerté le public sur la dangereuse arnaque de ce faux vaccin, je vais utiliser la méthode Coué et reprendre à zéro la logique implacable de mon argumentation, face au matraquage publicitaire ayant pour cible les filles…. à partir de 9 ans !  Ce vaccin censé prémunir contre le cancer du col de l’utérus de la cinquantaine… (40 ans après !!!) n’est en fait qu’un vaccin contre le papillomavirus HPV générateur possible des « crêtes de coq ». On connaît actuellement l’existence de plus de 100 souches de HPV (transmissibles par voie sexuelle… à 9 ans ???), mais qui sont naturellement éliminées dans un délai de 8 à 13 mois sans le moindre désagrément dans 90% des cas. Alors où est le problème ?
Et de quel marc de café  sort que le papillomavirus peut évoluer en cancer du col de l’utérus 40 ans après ? Ce qui me sidère, c’est que des gens même hautement diplômés puissent gober et relayer sans se poser de questions une telle absurdité, dès lors que cela sort du chapeau magique des autorités dites scientifiques. En outre, cela n’inquiète personne non plus lorsque l’on propose un vaccin contre le cancer de l’utérus, alors que tout le monde sait que le principe d’un vaccin contre le cancer a été abandonné depuis longtemps.

Mais ce n’est pas tout :
Vous êtes-vous intéressés à la composition du Gardasil ? Chaque dose de ce vaccin à composants transgéniques (OGM) contient en plus de la quinzaine de souches dites à haut risque de HPV, des substances connues pour leur neurotoxicité et leur cancérogénicité, telles 225µg d’aluminium, du polysorbate 80, mais aussi et peut-être le pire, du BORATE DE SODIUM. Or, savez-vous que le borate de sodium est le produit de base DE LA MORT AUX RATS ? Il est interdit dans toute préparation médicale……mais pas dans ce vaccin !!!

Voici quelques uns des effets graves possibles :
Paralysies type Guillain-Barré pouvant être irréversibles, bronchospasmes, syncopes, faiblesse généralisée, troubles cutanés, arthrite, migraines invalidantes, inflammation du pelvis avec violentes douleurs abdominales, disparition ou amoindrissement du flux menstruel, troubles graves de la vue, épilepsies parfois irréversibles, décès par thrombose ou par arrêt cardiaque, fausses couches, risque de maladies auto-immunes pouvant survenir jusqu’à quatre ans après le vaccin .

Bien sûr, la plupart des gens ne savent pas tout cela, mais se sont-ils seulement intéressés à la question en tapant simplement Gardasil sur Google ? (Attention, le site Doctissimo est édité pour le compte des labos). Non ! Ils se sont contentés de se soumettre à l’autorité d’un « médecin perroquet», lui-même soumis au dictat de l’Ordre.

Je rappelle que le Gardasil est un vaccin CONSEILLÉ MAIS NON OBLIGATOIRE,

en dépit de l’ambigüité établie, ce qui veut dire que vous en portez seul l’entière responsabilité, alors qu’il n’y a aucune garantie d’innocuité. Même si le médecin vous a manipulé, c’est vous qui avez choisi ET décidé et il ne supporte aucune responsabilité. Bref, en cas de problème aussi grave soit-il, il ne vous reste que les yeux pour pleurer….
Il y a aussi ceux qui savent qu’il y a un risque, mais entre la peur du cancer et la peur du vaccin, ils optent pour le risque qui leur fait la moins peur – (comme quand on vote pour le « moins pire »). Et alors ils prient ensuite le ciel pour que cela se passe bien pour eux. Jouer à la roulette russe avec ses propres enfants, je trouve cela vraiment « crade » (je ne trouve pas d’autre terme) – c’est du « n’importe quoi » méprisable !

Restent les nombreux praticiens qui inoculent joyeusement  de telles saloperies au mépris du serment qu’ils ont prêté (Primum non nocere), et qui portent une grave responsabilité dans la poursuite de ce scandale ayant commencé en 2006!  Comme m’a dit un jour un ami médecin : « Le doctorat est en fait un permis de tuer légalement en toute tranquillité ». Alors un conseil : n’écoutez plus jamais les recommandations vaccinales de médecins qui en outre ont eu Zéro heure de formation à la fac, si ce n’est celle du calendrier vaccinal, qui n’ont jamais ouvert un seul des ouvrages de sommités scientifiques indépendantes et médecins de renom concernant les résultats historiques des campagnes vaccinales dans le monde. Écoutez encore moins les éventuels ordres péremptoires de médecins, pouvant être de ce fait suspectés de recevoir des primes associées à leurs actes vaccinaux. Avec ceux-là, pas de quartier, fâchez–vous et partez sans payer pour leur apprendre à respecter les gens (leurs clients, au demeurant) !

En France, le Ministre Xavier Bertrand porte une grave responsabilité, ayant personnellement accéléré le remboursement du Gardasil. Il a d’ailleurs « courageusement » toujours refusé de s’en expliquer face à la caméra. Son successeur, Roselyne Bachelot, ancienne visiteuse médicale, a félicité Sanofi Pasteur pour le Prix Galien décerné au Gardasil (diplôme qu’avait  aussi reçu le Vioxx qui a provoqué plus de 55 000 décès rien qu’aux USA et a fini par être enfin retiré du marché).

Mais il reste un dernier objet de ma consternation, ce sont les pétitions qui réclament des vaccins dépourvus d’adjuvants toxiques (aluminium, mercure, mort aux rats, etc.). Quelle naïveté ! Quand les gens comprendront-ils que les pétitions n’arrivent jamais à destination et que cela ne sert à rien si ce n’est de donner bonne conscience à tous ceux qui ont l’illusion d’avoir participé à un mouvement de masse constructif ? Mais le plus incroyable est que presque personne n’ose remettre en question la valeur intrinsèque des vaccins car çà, c’est tabou ! Car ceux qui ne croient pas aux vaccins et qui remettent en question les données mensongères de leur propagande sont susceptibles d’être catalogués SECTE. Alors j’hésite entre un manque de courage collectif, ou l’indécrottable encodage pasteurien qui fonctionne encore.

Cela fait plus d’un siècle que le principe vaccinal est dénoncé par des grands noms de la science médicale. (plus de 50 ouvrages en français et près de 200 en anglais en témoignent). Mais rien n’y fait – empêtrés chacun dans leurs peurs subjectives, médecins et patients préfèrent s’en tenir au flou artistique pour enfants de cœur distillé par les imposteurs patentés qui les rassurent.

A notre époque, ceux qui ne savent pas sont ceux qui ne cherchent pas à savoir.

Après un siècle de palabres où le dernier mot appartient toujours aux criminels dont la mauvaise foi n’a pas de limite, maintenant, je dis que le temps des discussions avec des autistes malveillants est terminé. Il est facilement démontrable que toutes les allégations officielles sur les vaccins sont fausses et truquées.

Au lieu de s’en tenir aux croyances, il est toujours possible de se documenter.

Personnellement c’est ce que je fais depuis  plus de 40 ans. Et je n’ai pas peur de dire tout net haut et fort que la vaccination est une arme de destruction massive, génératrice de la plupart des maladies infectieuses et dégénératives modernes. Ce qui est sûr, c’est qu’elle a fait des millions de victimes – ce qui est indémontrable, c’est qu’elle ait protégé qui que ce soit, puisque c’est dans les pays les moins vaccinés que les épidémies ont le plus régressé voire complètement disparu.
A ce jour, il est probable que le Gardasil soit le vaccin le plus dévastateur, prenant la relève de celui de la variole qui a fait tant de dégâts.

Mais le temps de toutes les révélations est arrivé, et  la vapeur est en cours de s’inverser. Les artisans de l’ombre, « collabos en tous genres » de l’exploitation de la maladie, de la souffrance et de la misère sont en cours d’être démasqués et neutralisés. Le temps de baisser la tête est révolu. Il est du devoir citoyen de réagir contre la désinformation et de résister par le statisme aux lois iniques et meurtrières. Alors pas de demie mesure :

LIBERTE VACCINALE TOTALE !

20 mai 2017

Chloé Brown, clouée dans un fauteuil roulant après le vaccin HPV

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Une adolescente écossaise qui rêvait de devenir actrice en veut au vaccin contre le cancer du col de l’utérus qu’elle a reçu à l’école et qui l’a clouée dans un fauteuil roulant.

 

Chloé Brown de Glasgow croit que l’injection qu’elle a reçue est responsable de ses douleurs chroniques et de ses problèmes musculaires qui ont fini par la clouer dans un fauteuil roulant.

 

Cette jeune fille n’a plus pu marcher après avoir reçu ce vaccin controversé à l’école. Elle avait 16 ans et avait toujours rêvé de devenir actrice.

 

Chloé explique que le vaccin a brisé ses rêves, la laissant constamment fatiguée et ayant perdu toute force musculaire.

 

La famille de Chloé blâme le vaccin contre le HPV qui l’a clouée dans un fauteuil roulant, la laissant dans un pitoyable état. C’est quelques mois après avoir reçu le vaccin qu’elle n’a plus pu marcher.

La famille de Chloé a vu toute sa vie bouleversée à la suite de cette vaccination qui est proposée aux jeunes filles depuis 2008 pour arrêter la propagation du virus susceptible d’entraîner un cancer du col de l’utérus. Chaque année, environ 900 personnes trouvent la mort à la suite du cancer du col de l’utérus, bien qu’il y ait pas mal d’inquiétudes par rapport aux effets secondaires des vaccins préventifs.

 

Chloé a souffert de vertiges, de maux de tête, de fatigue et de douleurs articulaires juste après le vaccin. Son état a continué de s’aggraver, ses muscles ont commencé à fondre, tout en souffrant pratiquement sans arrêt. Elle a réalisé que sa vie était ruinée et son futur menacé.

Chloé a été examinée à l’hôpital. Les médecins n’ont trouvé aucune explication à son état.

 

Chloé avait reçu son premier vaccin à l’école secondaire de Glasgow en janvier 2015. Et c’est en février de l’année dernière qu’elle a reçu son second vaccin. Tout juste trois mois plus tard, alors qu’elle se promenait avec des amis, elle s’est effondrée de douleurs. Ses souffrances se sont maintenues malgré tout le cocktail de calmants et de tranquillisants qui lui avaient été prescrits.

 

La maman de Chloé a dû quitter son emploi pour pouvoir s’occuper de sa fille. Elle explique : « Chloé est rentrée à l’hôpital avec des béquilles et en est sortie en fauteuil roulant. »

 

Alors qu’elle était une fille très intelligente, très active et pétillante, adorant sortir avec des amis, elle est devenue incapable de faire quoi que ce soit. Son état de santé ne lui permet plus de fréquenter l’école et de poursuivre son rêve.

 

Alors que Chloé et sa famille mettent le vaccin en cause, les médecins continuent à prétendre que ce vaccin est sûr. La maman est persuadée qu’il n’y a pas d’autre cause possible à son état. « Rien d’autre n’a été modifié en dehors du vaccin ». Quand nous avons entamé des recherches, nous avons découvert que plusieurs autres jeunes filles avaient connu les mêmes problèmes : « elles étaient en pleine santé et fort actives avant qu’elles ne reçoivent le vaccin. Après avoir été vaccinées, elles se sont retrouvées dans un état qui ressemble fort à celui de Chloé».

Chloé dit : « je dois tous les jours me battre avec mes douleurs chroniques. Je souffre 24 heures sur 24 et 7 jours par semaine, tout en ne sachant pas si mon état va s’améliorer.

 

« J’ai accepté les assurances qui m’ont été données quant à la sécurité du vaccin. On m’a affirmé que les effets secondaires étaient rares et peu importants.

 

« Je puis vous dire que cela n’est pas vrai, que les effets sont désastreux et peuvent être mortels.

 

« Je ne voudrais jamais voir un autre enfant ou un membre de ma famille souffrir comme je souffre ».

 

Le porte-parole du gouvernement écossais a déclaré : « les éléments de preuves qui ont été revus et continuent d’être revus par les autorités gouvernementales, ainsi que par les Administrations UK montrent que le vaccin contre le HPV a un excellent profile de sécurité, et est efficace ».

 

Chloé qui rêvait de devenir actrice a maintenant sa vie ruinée par ses problèmes de santé. Une récente déclaration de « Medicines & Healthcare Products Regulatory Agency » (MHPR) a déclaré, au cours d’un récent interview, qu’il ne trouvait pas de preuves évidentes qui pourraient établir un lien entre le vaccin et des douleurs chroniques.

 

Le porte-parole a déclaré : « le vaccin contre le HPV est le moyen le plus efficace pour protéger les jeunes filles et les femmes contre le cancer du col de l’utérus. Comme pour tous les vaccins, la sécurité du vaccin contre le HPV est surveillée de près. Chaque rapport d’un effet secondaire suspect est sérieusement pris en compte.

 

«Les autorités de santé du monde entier, y compris les experts de Grande Bretagne, de l’OMS du CDC et le Régulateur Européen des Médicaments ont récemment examiné de manière approfondie la sécurité du vaccin et ont conclu qu’il n’existe pas de preuve d’un quelconque lien entre le vaccin contre le HPV et toute une série de maladies chroniques ».

 

Un porte-parole de la firme Merck Sharp & Dohme limited qui fabrique le Gardasil a déclaré : « la sécurité des patients est la plus importante préoccupation de MSD. Nous encourageons les personnes à rapporter toutes les modifications de santé qui pourraient se produire pour elles-mêmes ou pour d’autres et qui pourraient ou non être médicalement confirmées.

 

« Ces rapports font l’objet de la plus grande attention et ont toute leur utilité pour l’étude long-terme de ce vaccin. Ils ne prouvent cependant pas nécessairement une relation avec le vaccin, mais fournissent au MSD, ainsi qu’aux autorités de santé des informations qui pourront faire l’objet d’enquêtes ultérieures.

 

« Le Gardasil est le résultat de 10 années de recherche et de développement.

 

« La sécurité du vaccin a continué à être évaluée au cours d’études « post-license » sur plus d’un million de personnes.

 

Bien qu’aucun vaccin ou médicament ne soit complètement sans  risque, les principales organisations internationales de santé à travers le monde continuent de recommander la vaccination HPV de routine.

 

Source : The scottishsun.co.uk

http://initiativecitoyenne.be/2017/05/chloe-brown-clouee-dans-un-fauteuil-roulant-apres-le-vaccin-hpv.html

Par George Harrison, 16 avril 2017 (Extraits)

28 février 2017

Dossier enquète : Du boeuf irradié bientôt dans nos assiettes

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Santé Canada permet désormais à l'industrie alimentaire d'irradier le boeuf haché, afin de diminuer les risques d'empoisonnement causé par des bactéries. Si les experts applaudissent ce changement, il reste un travail d'éducation à faire auprès des consommateurs.

Le ministère fédéral de la Santé a envisagé l'irradiation du boeuf haché depuis le début des années 2000. Ottawa avait reculé devant la méfiance des consommateurs, mais en 2012, la viande de boeuf contaminée à l'E. coli avait tué 18 personnes et forcé un rappel massif.

«Les rayonnements vont faire des bris sur les molécules d'ADN des bactéries, a expliqué Monique Lacroix du Centre INRS-Institut Armand-Frappier. Ainsi, les bactéries ne peuvent plus se diviser et c'est de cette manière qu'on va pouvoir éliminer les bactéries qui causent des maladies.»

Santé Canada a déjà dit oui à l'irradiation de plusieurs aliments, dont la farine, les épices ou les oignons, mais c'est la première fois qu'elle le permet pour une viande.

«La qualité sensorielle n'est pas affectée et la qualité nutritionnelle n'est pas affectée non plus», a ajouté Mme Lacroix.

L'Association des détaillants en alimentation estime que le consommateur va y gagner. «C'est une façon de faire qu'on a déjà avec les pommes de terre, les oignons, a dit Florent Gravel, PDG de l'association. On a vu toutes les petites queues qu'on avait après nos patates et nos oignons, et à un moment donné, on n'en a presque plus maintenant grâce à ça. Nous autres, on pense donc que c'est une très bonne nouvelle pour le consommateur.»

La plupart, pour ne pas dire TOUS les aliments vendus dans les circuits "classiques" de l'agro-alimentaire industriel (légumes et fruits d'abord, mais pas seulement comme on le verra), sont irradiés (on emploie plus volontiers le terme "ionisé", nettement moins "violent" de prime abord, mais ça veut dire exactement la même chose : on aura soumis notre nourriture à des radiations RADIO-ACTIVES) pour qu'ils puissent être présentables dans les étals après avoir fait parfois des milliers de kilomètres. Ceci pour bloquer leur maturation.....

 

Non seulement nous mangeons donc des aliments POLLUES par des radiations (les contrôles sur les doses sont quasi inexistants, et de plus, PERSONNE ne peut certifier que des doses même très faibles, ne peuvent pas, à plus ou moins long terme, devenir toxiques), mais de plus les aliments ainsi traités sont biologiquement MORTS. 

 

Nous mangeons des aliments MORTS !!! Comment peut-on ainsi espérer en VIVRE ???

Par Susan Bryce


L’IRRADIATION DES ALIMENTS:
Motus et bouche « ouverte »

 

On n’a jamais démontré qu’il n’était pas dangereux de consommer des aliments irradiés ; par conséquent, nous devrions être sur nos gardes lorsque les organisations gouvernementales et celles des Nations-Unies, les services sanitaires et sociaux et les compagnies transnationales de l’industrie alimentaire nous affirment que cela ne comporte aucun risque.

 

QU’Y-A-T-IL AU MENU ?
C'est le moment de prendre le petit déjeuner que vous apporte l’industrie alimentaire du Nouvel Ordre Mondial en 2005.

Pour commencer, un bol de Perkie Pops, des céréales "fraîches" pleines de sucre sorties de leur boîte en carton. Les principaux ingrédients en sont du maïs génétiquement modifié, du blé, du riz, auxquels on a ajouté quelques additifs chimiques pour stopper l’oxydation des graisses. Le spot publicitaire télévisé dit que les Perkie Pops sont vraiment les meilleures céréales pour le petit déjeuner, parce que la boîte affiche le logo Radura — le symbole international des aliments traités par radiation.


Recouvrez vos Perkie Pops de quelques morceaux de Sanitary Strawberries (fraises) traitées par radiation, qui sont dans la corbeille de fruits depuis trois semaines. Versez-y du Electro Moo Milk froid pasteurisé (lait). Encore faim ? Alors offrez vous un verre de Neutron Power Orange Juice (jus d’orange) traité aux rayons X tout en faisant griller ce Tripe Tbone (steak avec un os en T) datant de 21 jours, contenant trois fois plus de viande et moitié moins de graisses grâce à quelques hormones de croissance et manipulations génétiques. Faites-vous une tasse de thé, rassuré de savoir qu’il ne contient aucune mauvaise bactérie puisque les feuilles de thé ont été bombardées de radiation ionisante. Et pour ce qui est de l’eau, ne vous en faites pas ! Elle a été stérilisée aux rayons X à l’usine locale de traitement des eaux.


Pour le déjeuner, ce sera un Big Rad l'hamburger pratique, prêt à consommer — celui qui a conservé toute sa fraîcheur depuis sa fabrication à l’usine d’hamhurgers 24 mois plus tôt. Il a aussi été traité par radiation et se conservera indéfiniment dans le garde-manger. Mettez-le juste au micro-ondes. Réchauffez le 30 secondes et régalez vous.


N’oubliez pas de marquer qu’il vous faut acheter un kilo de Gray’s Gourmet Chook Patties (petits pâtés) pour le dîner. Ils ont été exposés à une source radioactive au Gamma Fire Power, l’usine municipale d’irradiation des aliments. Dans la zone industrielle située juste en bas de la route, à 200 mètres de l’école de vos enfants. Après une exposition de 20 minutes, on est sûr que les Chook Patries sont parfaitement stériles et peuvent être consommés sans risque. Et n’oubliez pas les Poppas Perfect Round-up Potatoes (pommes de terre). Elles sont dans le sac de pommes de terre depuis maintenant six mois et elles n’ont pas encore germé. Elles sont au menu ce soir, pour accompagner les Chook Patties. A la fin de la journée, laissez-vous tenter par un verre de New Clear, un excellent vin tin fabriqué à partir de raisins traités par radiation, mis en bouteille dans une bouteille traitée par radiation et bouché à l’aide d’un bouchon traité par radiation.


Cela vous semble désagréable à entendre ? Assez pour vous rendre malade ? Ce n’est qu’un avant-goût de ce que nous réservent l’industrie nucléaire, les organisations internationales, les organes gouvernementaux de réglementation et les compagnies transnationales de l’industrie alimentaire.
L’irradiation des aliments fait partie du programme mondial et, très bientôt, les pays n’auront plus le pouvoir de détourner les aliments irradiés de leur littoral. Les nations souveraines seront obligées d’irradier les aliments pour se conformer aux “normes” internationales dictées par les organes de l’autorité mondiale.  

 

Cet article examine la campagne mondiale encourageant l’irradiation de nos aliments.  

 http://infoalternative.over-blog.fr/article-l-irradiation-des-aliments-danger-60364664.html

Les questions-clés posées sont:

 

Qu’est-ce que l’irradiation des aliments?

Qui la souhaite et pourquoi?

Quelles sont les conséquences de l’irradiation sur nos aliments ?  

L’article étudie aussi ce que nous, en tant que consommateurs concernés, pouvons faire pour dire non au massacre de nos aliments par le nucléaire. Les vitamines et les enzymes sont détruits, et les aliments frais deviennent des aliments morts. On a décrit les aliments irradiés comme des” aliments qui se conserveraient éternellement parce que le procédé est utilisé pour prolonger la durée de conservation avant la vente ou pour tuer les bactéries et les insectes.
Dans le procédé d’irradiation des aliments on utilise deux des substances les plus toxiques et les plus meurtrières, que l’Homme connaisse. Ce sont le cobalt-60 (le plus communément utilisé) et le césium-137.

 

La destruction des deux substances radioactives que sont le cobalt et le césium pose actuellement un gros problème à l’industrie nucléaire. En raison des quantités produites sous forme de déchets dans les centrales nucléaires et du temps qu’elles mettent à se désintégrer.

Le mouvement en faveur de l’irradiation des aliments est toujours venu des autorités faisant la loi en matière de nucléaire, dans l’intention d’allonger le cycle des combustibles nucléaires. L’idée consiste à répandre largement les déchets nucléaires dans de nombreuses décharges nucléaires embellies, telles que les usines d’irradiation des aliments, au lieu de les stocker dans quelques grandes décharges nucléaires qui souffrent d’un manque de place. On commence toujours avec le cobalt radioactif, le but inavoué étant de passer au césium radioactif.


Au cœur de l’usine d’irradiation des aliments se trouve un bac luisant de bâtonnets de cobalt-60, d’environ 45,7 cm de long et de la taille d’un crayon gras et émettant environ 400 rayons gamma. Cette source extrêmement radioactive est abritée dans une chambre entourée d’un mur en béton d’1m3 d’épaisseur. Lorsqu’on ne s’en sert pas le bac de bâtonnets de cobalt- 60 est immergé dans un bassin d’eau froide, à 4.57 mètres de profondeur ce qui absorbe les rayons gamma.


Lorsqu’on appuie sur un bouton, des bras hydrauliques soulèvent le bac de cobalt hors de son bassin protecteur. Puis de grandes boîtes en métal remplies d’aliments destinés à la consommation, glissent dans la chambre d’irradiation sur un monorail se trouvant au-dessus. Les boîtes circulent selon un schéma en zigzag autour du bac radioactif, de façon à assurer une pénétration maximale des rayons gamma dans les aliments. La durée du traitement est variable : les fraises fraîches prennent de 5 à 8 minutes : le poulet congelé prend quand même 20 minutes.


Dans les usines d’irradiation moderne, les aliments peuvent pénétrer dans l’usine chargés sur des palettes standard. Une fois à l’intérieur, les aliments reçoivent la dose d’irradiation requise : la quantité d’énergie rayonnante qui est absorbée par les aliments à l’intérieur de la cellule d’irradiation. Aujourd’hui on mesure généralement la dose à l’aide d’une unité appelée le gray (Gy) mais, dans des travaux antérieurs cette unité était appelée le rad (1 Gy — 100 rads).


LES PARTISANS DE L’IRRADIATION DES ALIMENTS
Les recherches sur l’irradiation des aliments ont commencé dès le début du 20ème siècle, et ont vraiment décollé après la Seconde Guerre Mondiale, lorsque l’armée américaine a commencé à mener des enquêtes intensives dans le cadre du programme “ Des Atomes pour la paix “ du président Eisenhower. L’objectif était de conserver les aliments de façon à ce que les troupes au front puissent recevoir des aliments "frais" n’importe quand, partout dans le monde. La plupart des pays industrialisés ont mené leurs propres programmes de recherches scientifiques sur 1es effets de la radiation sur les aliments.

Dans les années 1970, une campagne bien organisée et bien financée a vu le jour, faisant pression pour que l’irradiation des aliments soit considérée comme un procédé acceptable de fabrication des aliments.
Les principaux acteurs qui ont façonné le programme pour l’irradiation des aliments sont les membres du système d’organisations des Nations-Unies, les compagnies transnationales de l’industrie alimentaire et les organes gouvernementaux de réglementation.  

Quatre membres-clés de la "famille" des Nations Unies sont le fer de lance de cette campagne en faveur de l’irradiation des aliments :

  • l’Agence Internationale à l'Energie Atomique,
  • l’Organisation des Nations-Unies pour l'alimentation etl’agriculture (FAO),
  • l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS)
  • l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).


La FAO et l’OMS affirment que l’irradiation des aliments est indispensable pour traiter les problèmes de la faim dans le monde et pour réduire les cas de maladies véhiculées par l’alimentation. La FAO dit que l’irradiation réduira les pertes au cours du stockage, en éliminant les insectes et les micro-organismes et en permettant ainsi d’augmenter les stocks d’aliments sains tout au long de l’année. Les preuves de ce qu’ils avancent sont ténues, et on peut également affirmer que l’on pourrait arriver à faire beaucoup plus en améliorant les procédés de fabrication et en mettant en place des usines de stockage â l’abri des rongeurs et des insectes, plutôt qu’en se servant de l’irradiation pour éliminer ceux qui se trouvent dans les aliments récoltés. L’irradiation des aliments en tant que moyen de réduire les maladies véhiculées par l’alimentation a gagné le soutien fervent de l’OMS. De nombreuses sections de la chaîne alimentaire ont été complètement contaminées par des organismes tels que la salmonelle, et décontaminer toute la chaîne coûterait une fortune. Ceci est particulièrement vrai pour la volaille, par exemple. Faute d’avoir agi à temps, de nombreux pays ont laissé la salmonelle contaminer le système de production des volailles. Cet organisme est endémique dans le monde de la ferme il est présent dans les matières premières ainsi que dans les systèmes utilisés pour loger et transporter les volailles. Plutôt que de tenter de mettre en place de bons procédés de fabrication et de s’assurer que les volailles ne sont pas porteuses de la salmonelle et qu’elles demeurent saines, il semble plus facile de laisser persister des taux élevés de contamination et d’irradier ensuite les volailles pour les débarrasser complètement de cet organisme.


Les années 1970 ont vu l’Agence Internationale à l’Energie Atomique (IAEA) détourner la politique mondiale en matière d’alimentation en s’unissant à la FAO et à l’OMS. Ces trois organisations ont formé le Comité Paritaire d’Experts sur l'irradiation des Aliments (JECFI). Composé de scientifiques, le JECFI a été chargé d’enquêter sur le caractère sain des aliments irradiés.
Les Etats-Unis, l’Australie et l’inde faisaient partie des pays représentés au sein du comité.


En 1976, puis de nouveau en 1980, le JECIFI a conclu que l’irradiation de toute denrée alimentaire jusqu’à une dose globale moyenne de 10 kilograys ne présentait aucun risque toxicologique ni aucun problème microbiologique ou nutritionnel particulier. Ils en sont arrivés à cette conclusion malgré le fait qu’aucune étude détaillée n’eût jamais été réalisée sur les impacts à long terme d’une alimentation composée de produits irradiés.


En 1983, La conclusion du JECIFI a été adoptée comme “ norme” internationale par la Commission Alimentaire Codex, organe mixte de la FAO et de l’OMS. La Codex est l’outil d’harmonisation des règles internationales du commerce des aliments, facilitant l’importation et l’exportation des aliments pour les pays et les sociétés. Par définition, la Codex s’oppose à l’étiquetage, aux privilèges et aux limitations sur un plan local et national.


D’ordinaire, les consultants des compagnies transnationales de l’industrie alimentaire et les membres des organes représentatifs de l’industrie sont nommés dans les comités nationaux de la Codex. L’actuel président de la Codex est Tom Billy, chef du Service de l’inspection et de la Sécurité des Aliments du Ministère de l’Agriculture des Etats-Unis. L’Homme responsable de la déréglementation de l’industrie de la viande aux Etats-Unis. L'Agence Internationale à l’Energie Atomique coordonne les activités du Groupe Consultatif international sur l’irradiation des Aliments (ICGFI), qui compte actuellement 39 membres issus de gouvernements pratiquant déjà l’irradiation des aliments ou s’y intéressant. L’ICGFl encourage la pratique de l’irradiation par l’intermédiaire d’articles ainsi qu’en accueillant des séminaires, en organisant des colloques et en prévoyant dans le monde entier des conférences de presse exposant les prétendus avantages de l’irradiation. En 1997 l’Organisation Mondiale de la Santé a publié une déclaration qui sert de référence aux média sur l’irradiation des aliments, affirmant que l’on ne devrait pas établir comme plafond pour les aliments irradiés des doses supérieures à celles du niveau maximum de 10 kGy actuellement recommandé par la Commission Alimentaire Codex “. Selon cette déclaration la quantité réelle de radiation ionisante appliquée est d’une importance secondaire... on peut aller jusqu’à 75 kGray, comme cela s’est déjà fait dans certains pays, et le résultat est le même — les aliments sont sûrs, sains et satisfaisants d’un point de vue nutritionnel. Au vu de ces conclusions rassurantes, l’Organisation Mondiale de la Santé espère que l'on acceptera maintenant plus facilement l’irradiation des aliments comme un moyen d’améliorer la sécurité alimentaire.


CE QUI ARRIVE AUX ALIMENTS IRRADIES.
Pour toutes ces âmes inquiètes qui pensent qu’elles devraient remplacer leurs compteurs de calories par des compteurs Geiger ; oubliez ça ! Les experts disent que les aliments irradiés ne deviennent pas radioactifs, et que l’irradiation est un procédé absolument sans risque. Leurs conclusions sur les aliments irradiés ne parlent que des avantages et de l’absence de risques présentés par les aliments irradiés. Les incertitudes quant à la sécurité n’apparaissent jamais dans les rapports des organisations internationales préconisant l’irradiation. Si jamais on fait allusion à des modifications chimiques, on dit qu’elles ne sont “ pas significatives” ou qu’elles sont semblables à celles engendrées par d’autres techniques de l’industrie alimentaire.


Bien qu’une grande partie des modifications chimiques soient similaires à celles engendrées par d’autres technologies de l’industrie alimentaire, les quantités des substances chimiques produites sont très différentes. Lorsque la radiation frappe les aliments ou toute autre matière, elle leur transfère son énergie. Ce transfert d’énergie peut provoquer un réchauffement, comme dans la cuisine au micro-ondes. A un certain niveau, la radiation a une énergie suffisante pour faire sortir les électrons hors des atomes de la matière subissant le bombardement. La structure moléculaire des aliments est désintégrée lors de l’irradiation et on observe la formation de radicaux libres. Les radicaux libres peuvent réagir avec les aliments pour créer de nouvelles substances chimiques appelées produits radiolytiques. Certains sont connus pour être cancérigènes, tels que le benzène présent dans le boeuf irradié. D’autres sont propres au processus d’irradiation. Bien que l'irradiation puisse éliminer les bactéries, elle ne supprimera pas les toxines engendrées au départ par les bactéries. La production accrue d’aflatoxines suite à l’irradiation a été découverte pour la première fois en 1973 puis confirmée en 1976 et 1978. Les aflatoxines sont des agents puissants connus pour provoquer le cancer du foie.. Les vitamines A, C, D, E et K et certaines des vitamines B. en particulier les vitamines B1, B2, 83, B6 et B12, sont endommagées par l’irradiation. Le degré de perte des vitamines dépend de l’aliment et de la dose administrée. Les JUS de fruits souffrent davantage que les fruits frais. qui eux-mêmes souffrent davantage que les légumes, les céréales et les produits à base de viande.


L’irradiation transforme le nitrate en nitrite en fonction de la dose, La muta- genèse est directement proportionnelle à la concentration en nitrite. Le nitrite est une molécule réactive et réagit avec les acides nucléiques et divers acides aminés dans la protéine pour former la célèbre famille de cancérigènes connue sous le nom de nitrosamines. On a démontré que c’étaient de puissants cancérigènes chez l’Homme.


Les partisans de l’irradiation disent que ce procédé réduit le besoin d’additifs alimentaires nocifs (Fait intéressant, on nous a toujours dit que les additifs alimentaires n'étaient pas nocifs.). Cependant, le procédé d'irradiation exige en réalité l’emploi d’additifs alimentaires supplémentaires afin de contrôler les effets indésirables. Parmi les additifs pouvant être employés, on compte le nitrite de sodium, le sulfite de sodium, l’acide ascorbique, le RHA, le BHT, le bromate de potassium, le tripolyphosphate de sodium. le chlorure de sodium et le glutathion.


Certains aliments, en particulier le lait et d’autres produits laitiers, ne supportent pas bien l’irradiation. Des termes tels que “ goût de craie “, odeur de roussi, gout de cire et odeur de laine brûlée “ ont été utilisés pour décrire le goût et l’odeur du lait irradié, tandis que l’on dit que la viande irradiée qu'elle a une odeur de chien mouillé ‘. On a dit que les graisses irradiées sentaient “ le moisi “ ou “ la noisette.


L’emploi d’additifs ne se limite pas à des applications à forte dose là où les odeurs nauséabondes de la radiation deviennent prononcées. Mais on petit aussi les utiliser à faible dose pour empêcher la décoloration et autres effets indésirables tels que le saignement ou la dégradation des graisses dans la viande.


On est en train de développer d’autres formes de traitement par radiation pour les aliments. On devrait alerter les consommateurs sur le traitement appelé pasteurisation à froid, qui utilise la technologie du faisceau d’électrons pour pasteuriser le lait et les jus de fruits, On examine aussi l’utilisation de rayons X à la place des faisceaux d’électrons, et on introduit sur le marché de nouvelles technologies d’accélérateurs, qui permettent aux faisceaux d’électrons d’être transformés en rayons X pour une plus grande pénétration dans les aliments.

 
LES ALIMENTS TRAITES PAR RADIATION
A condition que l’irradiation soit correctement contrôlée, les aliments ne devraient pas devenir radioactifs. Cependant, la radiation ionisante à haute énergie peut engendrer la création de radioactivité dans la matière qui est bombardée. Par conséquent, il est important de n'utiliser que des radiations ionisantes à faible énergie lorsque l’on irradie des aliments. Si la source radioactive était endommagée. les aliments pourraient être contaminés par la radioactivité. Il faut prendre d’importantes précautions afin de prévenir les accidents dans les usines d’irradiation.


Lorsqu’on irradie des aliments, on provoque les effets suivants:
La radurisation - De faibles doses inférieures à 1 kGy : on peut empêcher des légumes, tels que les pommes de terre ou les oignons, de germer de façon à les conserver plus longtemps. On peut faire mûrir des fruits plus lentement, de façon à pouvoir les conserver plus longtemps et les transporter sur de plus longues distances. On peut éliminer les insectes présents dans les céréales, le blé, le riz et les épices.

http://infoalternative.over-blog.fr/article-l-irradiation-des-aliments-danger-60364664.html
La radicidation  - Des doses moyennes entre 1 kGy et 10 kGy : 0n peut réduire le nombre de microorganismes tels que les levures, les moisissures et les bactéries, qui gâtent les aliments, afin d’allonger la durée de vie des aliments et de réduire le risque d’intoxication alimentaire.


La radappertisation - Des doses élevées supérieures à 10 kGy : A ces doses extrêmement élevées de plus de 10 kGy, les aliments peuvent devenir totalement stériles de toute bactérie et de tout virus. On peut utiliser cette technique principalement pour les produits â base de viande, qui permet de les conserver indéfiniment.

 

LES QUESTIONS ENTOURANT LA SECURITE DES ALIMENTS IRRADIES
On n’a jamais établi qu’une consommation à long terme d’aliments irradiés ne comportait pas de risques. Une étude, souvent citée dans les écrits en faveur de l’irradiation mais dont on n’a jamais donné la source ni les références, a été réalisée au début des années 1980. Cette étude, citée par la lAliA dans sa brochure. “Facts about Food Irradiation “ (” Faits sur l’irradiation des Aliments") impliquait plus de 400 “volontaires ‘ qui avaient mangé des aliments irradiés pendant 7 à 15 semaines dans le cadre de huit études indépendantes menées en Chine. Les volontaires n’ont soi-disant présenté  "pas plus d’anomalies chromosomiques" - un des premiers signes annonciateurs d’une activité cancéreuse — que ceux qui avaient mangé des aliments non-irradiés.


Une autre étude est citée dans le témoignage d’experts déposé lors des auditions du Congrès américain sur l’irradiation des aliments en juin 1987. Citée par George I. Tritsch, Docteur en médecine, scientifique menant des recherches sur le cancer au Roswell Park Memorial Institute au Département de la Santé de l’état de New York, cette étude a été réalisée en 1975 et a été à l’origine répertoriée dans le American Journal of Clinical Nutrition. Les chercheurs indiens se préoccupaient des effets des aliments irradiés sur les personnes souffrant de malnutrition. Ils ont examiné ce sujet avec 10 enfants atteints de kwashiorkor, une grave carence en protéines. Ces 10 enfants ont été divisés en deux groupes de cinq. Avant le début de l’expérience, on a prélevé des échantillons sanguins qui ont été examinés et pris comme point de départ pour chaque enfant. Un groupe de cinq enfants formait le groupe témoin, l’autre se prêtait à l’expérience. Leur alimentation était identique, à l’exception du fait que le blé donné au groupe se prêtant à l’expérience avait été récemment irradié à une dose de 0,75 kGy, la dose recommandée pour désinfecter les céréales. Au bout de quatre semaines, on a prélevé des échantillons sanguins et quatre des cinq enfants ayant mangé du blé irradié ont présenté une grosse polyploïdie chromosomique, ainsi que d’autres cellules anormales, Au bout de six semaines, on a prélevé des échantillons sanguins sur le groupe se prétant à l’expérience et on a découvert une nette augmentation des cellules lymphatiques polyploïdes par rapport au niveau découvert au bout de quatre semaines. Les enfants du groupe témoin n’ont présenté aucune cellule anormale dans leur sang pendant la durée de l’expérience.


Afin de protéger le groupe d’enfants d’un éventuel danger, les chercheurs ont décidé de stopper [expérience à ce stade. Ils se sont rendu compte que le blé fraîchement irradié pouvait poser problème. Au lieu de donner du blé dont l’irradiation remontait à deux ou trois semaines, ils l’ont d’abord stocké pendant 12 semaines avant de l’utiliser dans l’alimentation d’un nouveau groupe de cinq enfants, Cette fois ci, les cellules polyploïdes sont apparues pour la première fois au bout de six semaines. Une fois le blé irradié retiré de leur alimentation, il a fallu 24 semaines avant que le sang des enfants en ayant consommé revienne à la normale et que toutes les cellules anormales aient complètement disparu. Les partisans de l’irradiation des aliments ont tenté d’écarter cette étude, vu quelle n’impliquait qu’un petit nombre d’individus.


Des doses différentes de radiation engendrent des quantités différentes de radiolytes et différentes sortes de produits chimiques. Il peut se former un grand nombre de nouvelles molécules suite à l’irradiation d’une seule espèce moléculaire, pour ne rien dire d’un mélange complexe d’aliments. La théorie ne peut pas prédire la nature ni le nombre des nouveaux composés qui varient en fonction de la catégorie d’aliment, ainsi que de la saison et du lieu où il a été produit.


Dans les années 1970, l’Office de contrôle pharmaceutique et alimentaire des Etats-Unis (FDA) a remis en question la sécurité des produits radiolytiques et a passé en revue 250 études évaluant les substances qui s’étaient formées dans les aliments irradiés, en se servant de données tirées d’un programme de recherche de l'armée américaine. Environ 65 substances volatiles ont été identifiées dans les aliments irradiés (la FDA s’est concentrée sur les substances volatiles parce qu’elles étaient certainement plus toxiques que les substances non-volatiles). Vingt- trois de ces substances ont aussi été découvertes dans les aliments transformés (ou cuisinas) de façon thermique et 36 dans d’autres aliments non-irradiés. Seules six n’ont pas pu être confirmées dans les écrits scientifiques comme étant identiques à celles trouvées dans les aliments, bien qu’elles fussent similaires aux constituants naturels des aliments. Collectivement, ces six substances étaient présentes dans les aliments dans une proportion de trois milligrammes par kilogramme —“ comme trois gouttes d’eau dans une piscine “, selon la FDA. qui a ainsi balayé d’un seul coup les problèmes.

 

CE QUE L’ON NOUS RESERVE A TOUS
Les écrits en faveur de l’irradiation n’abordent pas les inconnues de l’irradiation des aliments. Tout comme les produits chimiques peuvent provoquer ic cancer ou des conséquences génétiques et qu’il vaut mieux supposer qu’il n’y a pas de taux d’exposition sans risque, il en va de même pour ta radiation. Toute exposition à des produits - chimiques ou à une radiation peut provoquer les lésions initiales qui se transforment en cancer.

Un grand nombre et une grande variété d’aliments sont actuellement irradiés et commercialisés sur le marché dans des pays industrialisés et des pays en voie de développement. Le ICGFI s’est particulièrement attelé à promouvoir l’irradiation auprès des pays en voie de développement. Le Bangladesh irradie le poisson séché, le poisson congelé et certains produits céréaliers. La Chine possède plus de 60 usines d’irradiation traitant une grande variété d’aliments parmi lesquels l’ail, le riz, les épices et ls condiments, les aliments pré-emballés, la sauce Sichuan, les fruits et la viande, Les produits irradiés se comptent en milliers de tonnes. L’Indonésie irradie les épices séchées, les tubercules et les racines comestibles, les céréales, le poisson séché et les aliments congelés, tant pour des tests de marché qu’à des fins commerciales. En 1996, la quantité totale des produits irradiés a dépassé les 6000 tonnes. La République de Corée irradie à des fins commerciales des épices, des condiments déshydratés et des produits au ginseng. En Thaïlande, une usine d’irradiation irradie la nahm (saucisse de porc fermentée), les épices, les condiments, les fines herbes et les enzymes bruts, à des fins commerciales. Le Vietnam irradie d’énormes quantités de tabac pour en éliminer les insectes, en plus de certains aliments comme les oignons et le poisson séché. L’Inde irradie les épices à des fins commerciales. La construction d’usines d’irradiation supplémentaires à des fins commerciales est soit programmée soit en cours en Chine, en inde, dans la République de Corée, en Malaisie, en Tha1ande et au Vietnam.


Aux Etats-Unis, la FDA a donné son approbation pour l'irradiation de la viande rouge le 23 février 2000. La FDA a aussi approuvé l’irradiation de divers autres aliments, parmi lesquels les fruits et légumes frais et les épices. Une brochure de la FDA. “L’Irradiation des Aliments — Une mesure sans risque publiée en janvier 2000, dit qu’ils ont déterminé que le procédé était sans risque et efficace pour réduire ou éliminer les bactéries nocives, et affirme que l’irradiation réduit aussi la détérioration par les bactéries, les insectes et les parasites tout en empêchant certains fruits et légumes de germer et en les faisant mûrir plus lentement. Par exemple, les fraises irradiées peuvent tenir jusqu’à trois semaines sans s’abîmer, contre trois à cinq jours pour des fraises non- traitées.


Les organisations qui ont contribué au contenu et à la publication de la brochure de la FDA sont l’institut Américain de la Viande, le Ministère de la Santé et des Affaires Sociales (FDA), l'Institut de Commercialisation des Aliments, les Fabricants Américains de Produits d’Epicerie, l’Association Nationale des Eleveurs de Bovins, l’Association Nationale des Industries Alimentaires et l’Association Américaine de la Diététique.


Les fines herbes, les épices et les condiments figurent parmi les premiers aliments visés par l’irradiation. Le Canada a rapidement approuvé la décision de les irradier, et maintenant [Europe et d’autres pays tels que l’Australie mènent des campagnes similaires en faveur de l’irradiation.


Après dix ans de débats, le Parlement Européen a publié une directive visant à créer un cadre législatif propre au marché des denrées alimentaires traitées par radiation ionisante. La directive qui se met en place ne comprend à ce stade qu’un seul groupe de produits — à savoir, les herbes aromatiques, les épices et les condiments déshydratés. On prévoit que la liste définitive des aliments à irradier sera examinée par le Parlement Européen cette année.
En Australie. la société Steritech Pty Ltd a demandé à l’Autorité d’Australie et de Nouvelle-Zélande en matière d’Alimentation (ANZFA) d’irradier les fines herbes (fraîches et déshydratées. y compris l’ail, les oignons et le gingembre). Les thés (y compris les tisanes), les noisettes et les épices. L’Australie avait un moratoire sur l’irradiation des aliments en place jusqu’en août 1999 date à laquelle, avec d’autres décisions concernant les aliments génétiquement modifiés, le Conseil Australien et Néozélandais sur les Normes Alimentaires â discrètement levé l’interdiction sans aucun débat public d’aucune sorte. L’ANZFA a communiqué aux media un ensemble d’informations détaillées sur l’irradiation et l'a placé sur son site Internet le 6 août 1999, mais peu de reportages sur ce sujet ont suivi dans les média. LANZFA a invité le public à émettre des propositions concernant la demande de Steritech, et, bien que la première partie de la "consultation" publique se soit déjà tenue, une seconde série de consultations ; et un second examen d’un rapport préliminaire auront lieu en février/mars 2001 et c’est alors que se prendra une décision par rapport à la demande de Steritech.  

Pour émettre une proposition. visitez le site www.inzfa.gov.au ou écrivez à ANZFA. P0 Box 7186. Canberra Mali Centre, ACT 2610.


Les compagnies transnationales de l’industrie alimentaire voient le symbole du dollar danser devant leurs yeux dès qu’il s’agit d’irradiation. L’allongement de la durée de conservation avant la vente et des périodes de stockage permis par l’irradiation des aliments séduit les transnationales parce que cela leur permet d’augmenter leurs profits en réduisant le gaspillage et de livrer les produits aux magasins au moment où cela est le plus avantageux sur le plan économique. Cela leur permet aussi de transporter plus Facilement des produits exotiques dans le monde entier.  

Le symbole international des aliments traités par radiation est le Raduraune fleur ronde avec deux
pétales représentés à l’intérieur d’un cercle brisé. Le Radura est commercialisé comme emblème de qualité.


Les représentants de premier plan des compagnies transnationales de l’industrie alimentaire et les associations de fabricants de produit d’épicerie ont affirmé leur intention d’employer l’irradiation étant donné que ce procédé est de plus en plus accepté. Le site Internet des Fabricants Américains de Produits d’Epicerie cite le Président-Directeur général de ConAgra Inc., Bruce Rhode : "ConAgra se tient prête à utiliser la technologie de l’irradiation une fois que le public l’aura davantage accepté et que ce procédé sera commercialisé sur le marché. “Sur le même site Internet, Manly Molpus, Président-Directeur général des Fabricants Américains de Produits d’Epicerie, déclare aux lecteurs : "L’irradiation va probablement être largement acceptée par les Américains et va être aussi bénéfique à leur santé et à leur sécurité que l’a été la pasteurisation du lait il y a dix ans".  

Faire "largement accepter" l'irradiation aux consommateurs risque d’être difficile. Cependant, une grande part de cette "acceptation" sera imposée aux nations souveraines dans le cadre des clauses du Traité de l’Organisation Mondiale du Commerce sur l’Application des Mesures Sanitaires et Phytosanitaires (SPM). Ce traité constitue une norme internationale pour l’hygiène et la stérilisation des aliments, et l’irradiation des aliments fait partie des méthodes de traitement acceptables. Actuellement, les gouvernements peuvent refuser l’entrée de n’importe quel produit dans leur pays. Cependant, selon les modalités du traité SPM, on demandera aux gouvernements de justifier, par des raisons scientifiques, pourquoi on devrait refuser l’entrée d’un produit particulier. Au vu de ces considérations et du fait que l’irradiation est approuvée par les organisations régionales de protection de la flore et des organisations internationales telles que l’OMS ou la FAO comme traitement de mise en quarantaine des produits agricoles frais, ce sera extrêmement difficile, voire impossible, pour les gouvernements de refuser de laisser entrer des aliments traités par irradiation.


Le symbole international des aliments traités par radiation est le Radura — une fleur ronde avec deux pétales représentés à l’intérieur d’un cercle brisé. Le Radura est commercialisé comme emblème de qualité. Il a d’abord été utilisé pour les aliments irradiés d’Afrique du Sud et des Pays-Bas. L’emblème Radura est de couleur verte, couleur que les consommateurs peuvent inconsciemment associer à des produits frais, purs et sans risques pour l’environnement. Ein réalité, les aliments irradiés peuvent être vieux et rassis, et les usines d’irradiation sont loin d’être sans risques pour l’environnement.

http://infoalternative.over-blog.fr/article-l-irradiation-des-aliments-danger-60364664.html
Bien que les aliments puissent porter la mention "traités par irradiation" ou arborer l’emblème Radura, il n’y a actuellement aucun moyen de savoir si les aliments non étiquetés ont été ou non traités par radiation. Même les meilleures réglementations en matière d’étiquetage n’ont qu’une valeur limitée à moins qu'on ne les fasse strictement appliquer.


Tant qu’un test unique pour détecter les aliments irradiés ne sera pas élaboré et que les organismes de contrôle n’apprendront pas à s’en servir, les consommateurs seront à la merci des industries alimentaires dont dépend l’étiquetage des aliments irradiés. Aucun des étiquetages n’exige actuellement d’indiquer la dose de radiation, ni le nombre de fois que le produit a été irradié.

 
LES ACCIDENTS DE L'IRRADIATION
La décision d’irradier des aliments va au-delà des préoccupations des consommateurs. Une usine d’irradiation dans une municipalité implique la présence de grandes quantités de matériaux radioactifs ainsi que le transport des matériaux radioactifs qui rentrent dans l’usine et en ressortent.


Depuis 1974, la Commission de Réglementation du Nucléaire (NRC) des Nations-Unies a enregistré 54 accidents sur

les 132 usines d’irradiation réparties dans le monde entier.

La IAEA a écarté beaucoup des accidents en les qualifiant d'incidents de fonctionnement.

Voici quelques-uns des graves accidents s’étant produits aux Etats-Unis:
           En 1991, un employé de l’usine du Maryland a souffert de sévères blessures lorsqu’il a été exposé à la radiation ionisante d’un accélérateur à faisceau d’électrons. La victime a développé des plaies et des cloques sur les pieds, le visage et le cuir chevelu, et il a perdu des doigts aux deux mains.

§         En 1988, Radiation Sterilizers Inc. RSI) de Decatur, en Géorgie, a fait état d’une fuite de capsules de caesium-l37 dans le bassin de stockage rempli d’eau, ce qui a mis la vie des employés en danger et a contaminé l’usine. Les employés ont alors emporté avec eux la radioactivité dans leur maison et leur voiture. Soixante-dix mille conteneurs de produits médicaux et bricks de lait en carton ont été rappelés parce qu’ils avaient été contaminés par la radiation. Le coût de la dépollution a dépassé les 30 millions de dollars et le contribuable a dû payer la note.

§         En 1986, la NRC a retiré son brevet à une usine de Radiation Technology, Inc. (RTI) dans le New-Jersey pour 32 cas de violations de la sécurité des employés, comme par exemple le fait de jeter les déchets radioactifs avec les ordures ménagères et de contourner un système-clé de sécurité. Suite à cette négligence, un employé a reçu une dose risquant d'être mortelle de radiation.

§         En 1982, un accident à International Nutronics à Dover, dans le New-Jersey, à contaminé l’usine et exigé sa fermeture. On utilisait des bains rayonnants pour purifier les germes, les produits chimiques ainsi que les réserves de produits médicaux et alimentaires.

§         En 1974, une usine Isornedix du New-Jersey a fait passer de l’eau radioactive dans les toilettes et à contaminé les canalisations conduisant aux égouts. La même année, un employé a reçu une dose de radiation considérée comme mortelle pour 70 pour cent de la population. Gràce aux soins rapides qu’il a reçus à l’hôpital, il a survécu.

 
UN AVENIR RAYONNANT?
L’irradiation des aliments n’est qu’une partie de l’avenir rayonnant que les organismes internationaux, les gouvernements, les sociétés commerciales et l’industrie nucléaire sont en train d’examiner. Il y a de nombreux projets visant à utiliser l’irradiation dans d’autres domaines, comme la stérilisation des sols pour éliminer les mauvaises graines, les insectes et les champignons.


Heureusement pour l’instant, la technologie existante ne peut pas s’appliquer à l’agriculture à l’air libre, mais il est maintenant possible d’irradier des sacs de terreau et des produits similaires. Aux Pays-Bas, le nettoyage du matériel réutilisable employé dans les serres (pots, substrats de croissance) est actuellement réalisé par des entreprises d’irradiation dans le cadre d’un contrat avec l’industrie de la serriculture. De même, dans plusieurs pays, divers produits importés sont irradiés pour contrôler les mauvaises graines qui pourraient s’y trouver par inadvertance (comme dans les graines pour les oiseaux du ciel),


De nombreux produits que nous utilisons dans notre vie quotidienne ont été irradiés. Le matériel médical à usage unique, les boules de coton, les solutions pour lentilles de contact, le maquillage, les bouchons et l’intérieur des fûts à vin, les bouteilles et les conteneurs en plastique, les produits pour l’hygiène féminine, les ruches (mais sans les abeilles) et les matériaux d’emballage ne sont que quelques-uns des produits habituellement irradiés à des fins sanitaires. Comme aucun étiquetage particulier n’est exigé pour les produits non-comestibles, on laisse les consommateurs dans l’ignorance au sujet des produits qui ont été traités par radiation et de la dose qui a été utilisée.  

 

Comment se protéger ?
Nous pouvons tous prendre plusieurs mesures pour éviter les aliments irradiés. Essayez d’acheter des produits cultivés sur place et évitez les aliments importés qui risquent d’avoir été irradiés.

Dans certains pays, le blé, les pommes de terre, les oignons et les fruits de mer peuvent avoir été irradiés à grande échelle, mais les ingrédients irradiés n’apparaissent pas sur l’étiquetage des aliments transformés fabriqués à partir de ces ingrédients. 

Soutenez les producteurs de l’agriculture biologique et achetez des aliments préparés de façon traditionnelle plutôt que des aliments produits en masse.

Faites pression sur les gouvernements pour être sûr que les composants et les emballages alimentaires irradiés soient au.ssi mentionnés dans l’étiquetage des aliments.

Ecrivez ou envoyez des e-mails aux supermarchés, aux compagnies de l’industrie alimentaire et aux fabricants pour leur dire que vous ne voulez pas acheter d’aliments irradiés.

Envoyez des lettres aux éditeurs de vos journaux locaux et nationaux et appelez les émissions de radio laissant la parole aux auditeurs pour parler de l’irradiation des aliments.

Organisez des débats publics et des groupes de discussion.

Cultivez des fruits et des légumes dans votre propre jardin. Vous savez ce que vous faites pousser!


Dans sa brochure. “Des Faits sur l’Irradiation des Aliments l’Agence Internationale à l’Energie Atomique déclare : On ne peut pas prouver que les consommateurs sont contre le fait d’acheter des aliments irradiés."

Il faut remettre en question cette affirmation scandaleuse. Nous devons nous faire entendre en tant qu’opposants du groupe de pression pro-irradiation et de sa puissante propagande. Cela ne suffit pas de dire au public que les aliments irradiés sont "sans risques", il a besoin de plus d’informations. Le public a besoin de connaître l’incertitude scientifique qui sous-tend les déclarations des organisations de prétendus experts.
Des foyers sans cuisine, des maisons sans jardin, les courses à l’épicerie faites via Internet, chaque jour on s’éloigne un peu plus de nos aliments et on dépend un peu plus des autres pour cet approvisionnement de base. Tant que nous ne réclamons pas le droit de prendre nos aliments sous notre propre responsabilité et que nous ne travaillons pas dans le sens d’une autosuffisance alimentaire, au lieu de donner la priorité à une forme perverse de sécurité, notre avenir est entre leurs mains.  

De nombreux produits que nous utilisons dans notre vie quotidienne ont été irradiés. Le matériel médical à usage unique, les boules de coton, les solutions pour lentilles de contact, le maquillage, les bouchons et l’intérieur des fûts à vin, les bouteilles et les conteneurs en plastique, les produits pour l’hygiène féminine, les ruches (mais sans les abeilles) et les matériaux d’emballage ne sont que quelques-uns des produits habituellement irradiés à des fins sanitaires. Comme aucun étiquetage particulier n’est exigé pour les produits non-comestibles, on laisse les consommateurs dans l’ignorance au sujet des produits qui ont été traités par radiation et de la dose qui a été utilisée.

 Les compagnies transnationales de l’industrie alimentaire voient le symbole du dollar danser devant leurs yeux dès qu’il s’agit d’irradiation. L’allongement de la durée de conservation avant la vente et des périodes de stockage permis par l’irradiation des aliments séduit les transnationales parce que cela leur permet d’augmenter leurs profits en réduisant le gaspillage.  

Au bout de quatre semaines, on a prélevé des échantillons sanguins et quatre des cinq enfants ayant mangé du blé irradié ont présenté une grosse polyploïdie chromosomique, ainsi que d’autres cellules anormales.  

 Aux Etats-Unis, la FDA a donné son approbation pour l’irradiation de la viande rouge le 23 février 2000.
La FDA a aussi approuvé l’irradiation de divers autres aliments, parmilesquels les fruits et légumes frais et les épices.  

L’irradiation des aliments en tant que moyen de réduire les maladies véhiculées par l’alimentation a gagné le soutien fervent de l’OMS.

La structure moléculaire des aliments est désintégrée lors de l’irradiation et on observe la formation de radicaux libres.
Les radicaux libres peuvent réagir avec les aliments pour créer de nouvelles substances chimiques appelées produits radiolytiques. Certains sont connus pour être cancérigènes, tels que le benzène présent dans le bœuf irradié.  

 

 Notes de fin
Le cobalt-60 est la source de radiation la plus communément utilisée pour l'irradiation des aliments. Cependant la société américaine GrayStar développe un prototype d'usine d'irradiation qui génèrera des rayons gamma à l'aide de caesium 137, que GrayStar séparerait de façon chimique des déchets nucléaires à haute activité. Ce prototype est conçu pour être installé le long d'une chaîne d'emballage de viande ou de transformation des aliments.  

 

A propos de l'auteur:
Susan Bryce est une journaliste australienne dont plus de 70 articles de recherche ont été publiés. Susan édite le Australian Fridom & Survival (Guide australien de la liberté et de la survie), dont le but est d'ébranler les mythes envahissants entourant la culture de consommation des entreprises, la mondialisation et le Nouvel Ordre Mondial AF&SG encourage le débat public et la remise en question de problèmes qui sont fondamentaux pour notre survie et notre liberté à tous. Parmi ces problèmes, on compte la modification génétique, l'irradiation des aliments et les problèmes qui y sont liés. Big Brother et le régime de surveillance internationale, le pouvoir des entreprises et l’autorité mondiale, ainsi que l’autosuffisance au 21ème siècle. Vous pouvez vous procurer Australian Freedom & Survival Guide sur abonnement (6 numéros par an, 45 $ australiens, 37 $ amérIcains, 25 €. Envoyez un chèque à l’ordre de Susan Bryce, P0 Box 66. Kenilworth, Qld 4574. Australie. Pour plus de détails. visitez le site Internet www.squirrel.com.au/-sbryce/http://infoalternative.over-blog.fr/article-l-irradiation-des-aliments-danger-60364664.html

 

24 octobre 2016

VACCINS : Comment détoxiquer votre corps des métaux lourds

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Traitement de détoxication

Vous vous demandez comment détoxiquer votre corps des métaux lourds. Si des vaccins vous ont été injectés, votre corps est intoxiqué par les métaux lourds qu'ils contiennent. La plupart des vaccins actuels contiennent de l'aluminium. Certains vaccins plus anciens contiennent du mercure. L'aluminium et le mercure sont des métaux lourds qui intoxiquent l'organisme. Ils peuvent se trouver dans les vaccins, mais aussi dans les amalgames dentaires, dans l'eau du robinet, dans certains aliments comme le poisson ou sur le lieu de travail, en particulier dans les usines. Le plomb est également un métal lourd répandu. Sur cette page, vous trouverez un résumé des grandes méthodes de détoxication, ainsi que mon expérience d'un traitement de détoxication aux métaux lourds des vaccins.
Si vous êtes intoxiqués au métal lourd, plusieurs traitements peuvent vous aider. Les traitements possibles sont de trois types : la chélation par un agent chélateur, l'expurgation par remède homéopathique, et l'équilibrage par traitement du terrain.
La chélation consiste à introduire dans le corps un produit chélateur. Le chélateur est un composant compléntaire au métal lourd, avec lequel il va se combiner pour former un produit inactif et éliminable. La chélation, ou plutôt la prise du chélateur, peut être orale, anale, ou sanguine.
L'expurgation par homéopathie consiste à stimuler les processus naturels d'élimination du corps par la prise d'un remède homéopathique. Le remède homéopathique à choisir est une dilution du produit à éliminer. Par exemple, si vous voulez éliminer le mercure de votre corps, une dilution homéopathique de mercure permettra à votre corps d'éliminer les restes de mercure. En homéopathie, la dilution d'un produit ne contient plus le produit mais bien l'information du produit. En le recevant, votre corps réagit comme si le produit était réellement pris et tente de l'éliminer. Comme ce n'est pas le cas, la réaction d'élimination agit sur les restes du produit.
L'équilibrage par traitement du terrain consiste à donner au corps ce dont il a besoin pour éliminer de lui-même les métaux lourds. Eliminer des quantités non naturelles de métaux lourds épuise certaines réserves de l'organisme, comme par exemple les réserves en vitamines C. En redonnant au corps les produits dont il n'a plus suffisamment de réserves, vous lui permettez de fonctionner normalement et donc d'éliminer efficacement les métaux lourds.
Ces trois types de traitement permettent au corps d'éliminer les métaux lourds de trois manières différentes et peuvent être appliqués conjointement.
Lors de mon intoxication par l'aluminium des vaccins, j'ai testé la combinaison de ces trois types de traitements. J'en relate ici les résultats, autant qu'il m'est possible de les discerner. Je fais également part des nombreux remèdes que j'ai trouvés dans les livres et sur Internet. Dans mon désespoir, je les ai tous testés sans grand discernement, afin de m'assurer d'avoir un effet. Pour chaque remède, j'indique les résultats qu'il me semble avoir obtenus en les prenant.
Nous sommes en mai 2004. Après le traitement au gelsémium de mon osthéopathe, je tente de me détoxiquer moi-même, prenant de manière anarchique tout une série de remèdes trouvés dans des livres et sur Internet. Notamment, je prends la combinaison "coriandre - chlorelle - ail des ours" suggérée sur son site web par Christian Recking [http://www.ateliersante.ch]. Les remèdes que je prends en début de traitement sont les suivants :
  • Gelsémium 200K 1x/mois
  • (Gelsémium 5CH tous les deux jours) stoppé le temps du traitement de détoxication
  • Boldo 3x2 capsules/j --> drainage du foie
  • Oméga-3 huile de poisson 1000mg (= EPA 180mg, DHA 120mg)/Vit.E 10mg: 1 gélule/j --> apport acides gras essentiels pour restauration de la myéline
  • Huile de noix (oméga-3) et de sésame (oméga-6): crues première pression à froid --> apport acides gras essentiels pour restauration de la myéline
  • Vitamine C combiné extraction Acerola/synthèse acide ascorbique: 4g/j --> restauration du système immunitaire, restauration collagénique pour saignement des gencives
  • Chlorelle 24g/j --> absorption et élimination des métaux lourds
  • Ail des ours teinture-mère 3x10 gouttes/j --> élimination des métaux lourds
  • Coriandre teinture-mère 3x5 gouttes/j --> surpotentialisation de la chlorelle
  • Silanol silice organique 3 doses liquides/j --> reminéralisation, restauration collagénique pour saignement des gencives
  • Magnésium
  • Dentifrice Weleda au calendula avant d'aller dormir
  • Baume gengival Weleda à la sauge avant d'aller dormir
  • Régime 2/3 monodiète: cerneaux de noix trempés 12h et raisin frais
  • Soupe de poireaux et verdures
  • Erbasit 3x2 comprimés à sucer/j --> éviter la réabsorption des métaux lourds par la paroi du colon (chélation)
La liste est longue. Les effets des remèdes se font sentir dès la première semaine. Le premier jour, je ressens un regain de forme physique. Mes facultés de concentration reviennent peu à peu. La chlorelle colore les selles en vert. Je ressens pendant quelques jours de légères douleurs dans les hautes dorsales. Mon urine très foncée indique une élimination de toxines. Les effets des remèdes sont donc indiscutables.
En revanche, avec autant de remèdes, il est difficile de dire lequel a contribué à quoi. Néanmoins, je pense pouvoir dire que c'est la teinture-mère de coriandre qui m'a le plus aidé. Je le dis avec d'autant plus d'assurance que j'ai continué longuement et avec succès le traitement à la coriandre. De plus, les tests musculaires issus de la kinésiologie appliquée indiquent clairement un effet positif. Pareillement, le gelsémium precrit par mon osthéopathe est clairement toujours actif.
Après une semaine, le traitement a prouvé son efficacité. Cependant, le nombre de remèdes à prendre est trop élevé. Les remèdes homéopathiques dit-on doivent se prendre dissociés à environ 15-30 minutes de tout autre remède. Avec la quantité de remèdes que je prends, plusieurs fois par jour, je passe mon temps m'occuper de savoir quel remède prendre. Je décide donc de m'en tenir à une liste de remèdes restreinte.
Pour restreindre la liste de remèdes, je pratique le test musculaire. Ne souhaitant pas déranger mon osthéopathe pour si peu, je me contente d'imiter sa méthode. Malheureusement, n'ayant à ce moment-là pas de grandes connaissances en la matière, je dois m'y reprendre à de nombreuses fois afin de m'y retrouver dans mes tests. Malgré cela, je finis par restreindre ma liste de remèdes aux produits suivants :
  • Mg Magnécaps 90mg 3x2 gélules/j
  • TM coriandre 3x20 gouttes/j
  • Silicium organique
  • Vit. C acérola pour la forme et le sommeil
  • boldo pour achever le drainage du foie
  • Gelsémium 5CH au besoin
  • P5P (synth. vit. B12, pour les surrénales ?)
  • gelée royale
Je décide d'appliquer ce traitement pendant une nouvelle semaine. Avec ce traitement plus léger, il m'est plus facile d'organiser les prises de remèdes. Pendant cette deuxième semaine, les effets changent quelque peu. Les trois premiers jours, je fais un peu de fièvre et je me sens de nouveau très fatigué. Puis, mon état de santé s'améliore nettement. Les urines sont claires et les selles se normalisent. Sans la chlorelle, les effets les plus marquants semblent se dissiper.
Pour la troisième semaine, je décide de poursuivre le traitement et de reprendre en sus de la chlorelle à dose massive : 50 comprimés en 3 jours. Les urines redeviennent foncées. Les douleurs dans les hautes dorsales reprennent. La fatigue reste très présente. Je ressens quelques crampes. Les plats diététiques suivant l'alimentation vive de Pol Grégoire me redonnent quelque énergie. Les tests musculaires continuent d'indiquer la coriandre comme meilleur remède.
Pour la quatrième semaine, je passe aux remèdes homéopathiques. Les remèdes homéopathiques glanés sur Internet et pouvant être indiqués en cas d'intoxication aux métaux lourds sont les suivants :
  • Aurum Met. 5CH
  • Aurum Mur. 5CH
  • Plumbum Met. 5CH
  • Phosphorus 5CH
  • Kali Phosphorus 5CH
  • Cuprum Met. 5CH
  • Taraxacum (pissenlit) TM
  • Mercurius 5CH
  • Aluminium 5CH
Après quelques tests musculaire, je m'en tiens à l'Aluminium Metallicum. Pendant cette quatrième semaine, je reste très fatigué. Je participe néanmoins à une longue randonnée à vélo ; 175 km en 4 jours. Les 60 premiers kilomètres se sont passés sans problème, le reste s'est passé dans la souffrance. Note : au soleil, ma peau brûle malgré l'écran total. Quand je pense qu'il y a quelques mois je me promenais à midi sans protection au soleil du Sahara ... !
La semaine suivante, je continue uniquement la coriandre. Les tests musculaires ne semblent plus indiquer grand chose. Je ressens toujours une grande fatigue physique. Intellectuellement, ça va un peu mieux, même mon esprit reste plus lent que d'habitude. Mon foie est gonflé et douloureux. La zone des reins/lombaires est tendue et douloureuse. Je bois 2 litres d'eau par jour pour être certain d'éliminer convenablement. Mon oeil gauche est injecté de sang et cligne beaucoup, sans que je m'en rende compte. Mes yeux sont douloureux et piquants. Ma concentration va un peu mieux mais ma fatigue physique s'aggrave malgré une alimentation diététique impeccable. Les rayons de soleil me sont douloureux après 30 secondes. Je les évite autant que possible.
La gelée royale qu'on m'a conseillé de prendre ne donne rien de remarquable. En maison de diététique, une série de remèdes me sont conseillés. Je les achète tous et je les emmène chez mon osthéopathe pour qu'il puisse les tester et faire le point sur mon état. Au test musculaire, les remèdes efficaces sont le plasma marin hypertonique et la co-enzyme Q10. Vitamine C, coriandre et gelsémium sont toujours testés efficaces. Avec ces remèdes, fatigue physique et problèmes à l'oeil passent. Après deux semaines, je ne prends plus que la co-enzyme Q10. Un mois plus tard, mes tremblements et palpitations caridaques reviennent. Je reprends du gelsémium avec succès.
Conclusion : en deux mois, mes facultés de concentration sont allées en s'améliorant. Les symptômes de crise se sont atténués au point d'être négligeables. Les remèdes qui semblent avoir eu sur moi le plus d'effet sont la coriandre, la vitamine C, le gélsémium homéopathique, le plasma marin hypertonique et la co-enzyme Q10. Les 4 mois suivants, je suis resté sans remèdes avec une amélioration constante, au point de me considérer pratiquement guéri.
Mise à jour 2005 :
Environ 12 mois plus tard, dans le courant de 2005, d'importants problèmes de santé se sont déclarés chez moi suite à un stress élévé et continu. Parmi ces problèmes, on peut distinguer la diminution de la vue, des troubles de l'humeur, des selles rouges sang, des difficultés de concentration et de la déprime. Six mois plus tard, se sont ajoutés les symptômes suivants : fatigue, difficultés de concentration, mal de ventre, mal de dos, contractures. Dès l'apparition de ces symptômes, qui nous placent en janvier 2006, la plupart des remèdes, homéopathiques et phytothérapeutiques, que j'avais utilisés jusqu'alors se sont révélés totalement inefficaces.
En revanche, des remèdes très précis, dont la prescription a été confirmée par des tests musculaires de précision, se sont révélés efficaces au point de faire disparaître pratiquement tous les symptômes. Parmi ces remèdes, j'ai pu distinguer parmi les remèdes phytothérapeutiques le romarin, et parmi les remèdes homéopathiques le vaccin Havrix en dilution isopathique répétée. La prise de romarin s'est avérée diminuer progressivement et sans rechute les symptômes généraux. La prise du Havrix isopathique, quant à elle, s'est avérer faire disparaître de manière fulgurante les symptômes résiduels. En revanche, conformément à sa notice, le Havrix isopathique s'est avéré n'être efficace que pendant une trentaine de jours. De plus, conformément aux observations générales de l'homéopathie, la dilution du remède a dû être augmentée progressivement pour conserver son efficacité : de 30K à 200K, puis de 200K à 1000K.
Autant le romarin n'est à mon avis qu'un remède de terrain qui me convenait personnellement au moment où je l'ai pris, autant le vaccin Havrix en dilution homéopathique répétée, me semble être la piste d'une solution symptomatique importante. En effet, étant donné qu'il a été dans mon historique de maladie post-vaccinale, identifié clairement que le vaccin en cause était le vaccin de l'hépatite A Havrix, il est permis de penser qu'un accident post-vaccinal provoqué par un vaccin particulier peut être compensé par la prise du même vaccin en dilution homéopathique. Par exemple, les nombreuses victimes du vaccin de l'hépatite B Engérix-B, notamment lors de la campagne de vaccination massive en France, pourraient trouver un espoir de guérison en la prise du remède Engérix-B à des doses homéopathiques. De même, toutes les personnes se pensant victimes d'une vaccination particulière pourraient essayer de prendre ce même vaccin en dilution homéopathique, et voir quels effets positifs en résulteraient.
Si vous êtes dans ce cas et souhaitez tenter l'expérience par vous-mêmes et/ou avec l'aide de votre thérapeute homéopathe, je serai heureux que vous me communiquiez les résultats de votre expérience.
Mise à jour 2006 :
Il y a deux semaines, j'écrivais le texte suivant : "Actuellement, je suis encadré par des thérapeutes alternatifs, qui ont repris le relais des médecins désemparés. Une dilution homéopathique du vaccin de l'hépatite est aujourd'hui le seul remède qui me soulage. L'effet du remède est instantané et total, mais il ne dure qu'un mois, et entre les deux les réactions adverses sont de plus en plus fortes et de plus en plus longues. Les osthéopathes défont le gros des paralysies, et mes collègues masseurs et masseuses s'emploient à soulager mes douleurs, mais l'un dans l'autre, je souffre la plupart du temps. Et les espoirs de guérison semblent de plus en plus s'envoler."
Aujourd'hui l'espoir renait. Le 18 septembre j'ai pris une dose homéopathique du vaccin. Le rebond a été aussi violent que la maladie elle-même et a duré presque tout le mois. La perspective de subir les symptômes en permanence a été à l'origine de mon désarroi. Néanmoins, il semble que cette manifestation des symptômes ait été la dernière. En effet, aujourd'hui 31 octobre 2006, soit plus de 30 jours après la prise de la dose précédente, je ne ressens plus aucun réapparition des symptômes. Il semble donc qu'après la période d'efficacité du remède, les symptômes aient définitivement disparu. Je touche du bois et n'ose encore y croire, mais il se pourrait que cette médication soit bel et bien efficace, à court comme à long terme.
Mise à jour 2007 :
Le problème du vaccin de l'hépatite A Havrix semble s'être dissipé. Entretemps, j'ai trouvé dans l'ouvrage "la médecine retrouvée" du Docteur Jean Elmiger un protocole de détoxication des vaccins par la méthode de thérapie séquentielle inversée. Cette méthode consiste à prendre une série d'isopathiques homéopathiques des différents vaccins injectés, dans l'ordre chronologique inverse des injections. J'ai testé la méthode et je peux dire qu'elle fonctionne pour moi. C'est ainsi que je prends en ce moment, avec de brillants résultats, des isopathiques des vaccins Mencevax (Méningite) et Typhim (fièvre typhoïde). Les résultats que j'obtiens s'observent sur la couleur des selles, les douleurs dorsales en D5-D8, la fatigue, l'abattement et les facultés intellectuelles. L'efficacité de ces remèdes a également été évaluée et confirmée par le test musculaire de kinésiologie. Il semble donc bien que la thérapie séquentielle inversée du Dr. Jean Elmiger donne de bons résultats.
Je vous tiendrai informé par ce site de l'évolution des symptômes.
Entretemps, si vous avez des questions, n'hésitez pas à me contacter.
Didier Vardet

Vaccins, la controverse

Dans nos pays, les vaccins sont extrêmement répandus, car hautement conseillés, voire obligatoires.
Les autorités médicales, soutenus par les entreprises pharmaceutiques, nous affirment que les vaccins sont sûrs, sans danger, ont des effets secondaires mineurs, confèrent à coup sûr une immunité efficace, sont une prévention à la menace de terribles maladies, sont indipensables pour enrayer les épidémies, et n'ont aucun impact néfaste sur le système immunitaire.
En face du monde médical traditionnel, des vaccinés s'estimant victimes des vaccins qu'ils ont reçu, soutenus par des thérapeutes alternatifs et des journalistes engagés, crient à l'unisson que les vaccins sont lourdement nocifs, peuvent avoir des effets secondaires désastreux comme la sclérose en plaques, n'immunisent que partiellement ou pas du tout, gênent l'éradication des épidémies, et saccagent le système immunitaire.
Dans cette polémique entre les intérêts économiques et la révolte d'individus en quête de vérité et de justice, il est difficile d'y voir clair et de savoir quoi faire. Cet article vise à confronter le point de vue des uns et des autres, et appelle à la vigilance.
La médecine a élaboré du système immunitaire un modèle complexe. En simplifiant fortement, il fonctionne ainsi :
  1. Une protéine (par exemple à la surface d'une bactérie ou d'un virus) est identifiée comme étrangère à l'organisme. C'est un antigène.
  2. Des protéines immunoglobulines spécifiques sont produites. Ce sont les anticorps. Ils ont une affinité spécifique pour l'antigène à neutraliser.
  3. Les anticorps se lient aux antigènes.
  4. Le couple anticorps + antigène (et donc le germe qui porte l'antigène) est détruit.
Cette réponse immunitaire est consécutive à l'infection. Pendant sa mise en route, l'infection a malheureusement le temps de se propager. Le vaccin apporte l'antigène sous une forme non (ou très peu) infectieuse (Figure 1).

Figure 1 - Schéma de principe de la vaccination.
Les vaccins ont pour rôle de stimuler une réaction du système immunitaire contre un élément étranger à l'organisme, tel qu'un germe infectieux ou un allergène. Par exemple, un vaccin peut être constitué d'un virus inactivé. Ces antigènes provoquent la production d'anticorps prêts à l'action dans l'éventualité d'une infection par le virus actif.
Des vaccins existent contre le tétanos, la diphtérie, la rougeole, les oreillons, la rubéole, la poliomyélite, la tuberculose, la coqueluche, la méningite, les pneumocoques, la grippe, la fièvre typhoïde, la fièvre jaune, l'hépatite A, l'hépatite B. Pour ne citer que les principaux.
A l'école on raconte que Louis Pasteur inventa il y a plusieurs siècles la vaccination, reposant sur le principe qu'un corps ayant vaincu une maladie, même sous une forme affaiblie, ne l'attrapera plus par la suite.
On nous affirme qu'à travers l'histoire les vaccins ont enrayé des épidémies : variole, tuberculose, tétanos, etc. Pour appuyer le bien fondé des campagnes vaccinales le gouvernement avance des chiffres statistiques d'évolution des épidémies. Sur cette base, dans un but de prévention et d'éradication des maladies, ils décident de vacciner la population entière. Les vaccins sont offerts gratuitement afin de garantir à tous l'accès à la vaccination. Dans l'intérêt de tous, certains vaccins sont décrétés obligatoires, en particulier ceux contre les maladies que la médecine ne sait pas guérir.
Test-santé nous dit que les vaccins sont sûrs, qu'ils nous protègent des maladies. Qu'ils sont absolument sans danger et sans effet secondaire. Que les vaccins n'ont aucun impact négatif sur le système immunitaire, car seulement 0,1% des défenses immunitaires sont engagées dans le prise en charge d'un vaccin. Qu'en vaccinant l'ensemble de la population ils sont convaincus qu'on pourra enrayer les épidémies et éradiquer les maladies.
Les autorités médicales estiment que les prétendues victimes des vaccinations exagèrent. Qu'ils hurlent sans fondement. Qu'ils ne livrent pas d'arguments objectifs, ni de preuves scientifiques indiscutables.
Je crois en la bonté humaine. Je crois en l'intégrité des médecins, en la valeur de leur serment d'Hippocrate, en leur volonté de soigner les gens du mieux qu'ils peuvent. Je crois en la valeur de ceux qui occupent les plus hautes fonctions de l'autorité médicale.
Je crois en l'indépendance de magazines d'information médicale comme Test-santé, un magazine en lequel croient de nombreux lecteurs, en lequel ils font confiance. Test-santé est un magazine qui s'engage à l'impartialité dans la défense des consommateurs, et des individus en général. Je crois en leur impartialité et leur bonne volonté. Je crois en leur souci de la santé de la population.
Je crois que le système est basé sur de bonnes intentions, sincères, pures, nobles. Je crois que le principe de la vaccination est un bon principe.
Mais je crois aussi que l'enfer est pavé de bonnes intentions de ce type, et qu'il y a une différence entre la théorie et la pratique.
Et que si les gens sont bons de nature, ils sont également imparfaits. Et les systèmes qu'ils inventent le sont encore plus.
En effet, rien ne nous prouve que la vaccination n'a que les bons côtés que nous présentent les industries pharmaceutiques, le gouvernement, les médecins, les magazines et autres sources d'informations. Pour le prouver il faudrait innoculer la maladie à des vaccinés, ce qui est éthiquement impossible.
La réputation d'efficacité de la vaccination repose sur la mesure d'anticorps spécifiques dans le sang. Or il existe des contre-exemples : des vaccinés présentant un taux d'anticorps largement supérieur au seuil considéré comme protecteur, ont tout de même contracté la maladie. Certains en sont morts.
A l'école primaire on nous a enseigné que le malheureux enfant avait été mordu par un chien enragé et que sans la piqûre salvatrice, il aurait inéluctablement contracté cette redoutable maladie. D'après le Docteur Henri Quiquandon [Quiq1978] "la vérité est toute autre ; bien peu de gens savent que le propriétaire du chien mordeur, Max Vone, ainsi que plusieurs autres personnes mordues le même jour par cet animal, restèrent en bonne santé en l'absence de tout traitement, ce qui signifie en clair que le chien n'était nullement enragé". Dans son livre "Pour en finir avec Pasteur", le docteur Eric Ancelet se base sur des documents historiques de la main des collaborateurs de Pasteur pour décrire celui-ci comme un individu opportuniste, torturé par une extrême soif de reconnaissance, ayant truqué les résultats de ses recherches et les contrôles sur ceux-ci avec l'aide de ses amis.
On nous avance des chiffres statistiques relatives à la vaccination mais est-ce une preuve ? Car il existe également des statistiques contraires, et les statisticiens savent que l'on peut faire dire n'importe quoi aux statistiques. Par exemple, depuis 1957, l'OMS ne recense dans les statistiques que les formes paralytiques de la poliomyélite, alors qu'avant la vaccination, toutes les formes de la polio étaient incluses, ce qui permet de faire apparaître une régression des cas qui est loin de la vérité.
Ni les industries pharmaceutiques ni les médecins n'ont intérêt financièrement à ce que la population soit en bonne santé. Ils ont simplement intérêt à soulager des symptômes pour garder une crédibilité. Et les gouvernement, n'ont-ils pas tout intérêt à ce que les gens s'occupent d'autre chose que des affaires publiques ? Comme par exemple de leur santé ?
Les industries pharmaceutiques fonctionnent selon un système dont la survie est basée sur l'argent. Un tel système ne se ramène pas qu'à l'ensemble de ses individus, il a une "vie" propre, un fonctionnement qui le régit, et auquel doivent se soumettre ses employés, au risque d'en être exclus. Et dans un tel système l'association des craintes individuelles devient le moteur de la perversion. Qu'est-ce que le mal, sinon du bien torturé par sa propre soif ?
Le contrôle des industries pharmaceutiques sur la population est multiple (Figure 2).

Figure 2 - Le contrôle des industries pharmaceutiques sur la population.
Un exemple frappant : en 1949, lorsqu'a été décidée au Sénat français la campagne de vaccination nationale par le vaccin du BCG, le président du Sénat n'était autre que le directeur de l'industrie pharmaceutique qui commercialisait le vaccin : l'Institut Pasteur. Ici le lien de "juge et partie" est évident. Par contre avec le temps les intermédiaires se sont multipliés, et les pistes se sont brouillées de plus en plus. Mais le mode décisionnel suit toujours le même schéma malsain. En 1994, l'entreprise Smith-Kline Beecham se servait comme intermédiaire du ministre-pantin Philippe Douste-Blazy pour faire introduire dans les écoles primaires une campagne de vaccination contre l'hépatite B [Simo2001].
Alors qu'un magazine publié par une association de défense des patients s'apprêtait à publier son dossier sur la vaccination, j'ai demandé à la rédaction de citer l'existence de la polémique vaccinale. Pas de prendre parti, non, seulement citer l'existence de la polémique. Afin que chacun soit correctement informé, et puisse s'il le souhaite s'informer plus avant afin de prendre une décision éclairée et adulte. Ils ont refusé, prétextant que cela risquait de compromettre la couverture vaccinale, et de mettre en péril la santé des gens. Lorsque j'ai parlé des effets secondaires comme la sclérose en plaques, ils m'ont dit qu'ils n'avaient aucune preuve d'un lien de cause à effet entre la vaccination et la sclérose en plaques, et qu'ils avaient même des preuves que ce lien n'existait pas. Je leur ai demandé quelles preuves ils avaient, ils m'ont répondu qu'ils avaient lu 4 articles scientifiques. Quatre. Lorsque je leur ai demandé s'ils avaient vérifié que ces études étaient bien indépendantes des industries pharmaceutiques, ils m'ont répondu "on espère" ... Alors voilà: sur base de seulement 4 articles scientifiques, dont "on espère" sans autre vérification qu'ils sont indépendants de tout intérêt commercial, un magazine qui se prétend indépendant conseille la vaccination à l'ensemble d'une population qui leur fait confiance. De la désinformation pour protéger ? Dans quel monde vit-on ? Les gens sont-ils si ignorants et irresponsables qu'il faut décider pour eux de ce qu'il est bon ou non de leur laisser savoir ? Pour une question de santé aussi fondamentale ? Il est vrai qu'il serait téméraire pour un magazine aussi faible de se poser à contre-courant de toute l'industrie pharmaceutique, et de leurs marionnettes (voir la Figure 2).
L'idée de la gratuité des vaccins obligatoires est un leurre. Même si l'individu à qui est injecté un vaccin obligatoire ne le paie pas de manière directe, il le paie de manière indirecte, via sa cotisation à la sécurité sociale, dans les caisses de laquelle l'industrie pharmaceutique qui a produit le vaccin prélève le prix de l'injection. Et comme dans une campagne de vaccination obligatoire c'est toute la population qui est vaccinée, chacun paie sa propre injection. Les vaccins obligatoires ne sont donc nullement gratuits comme le prétend le gouvernement.
Pourtant les alternatives aux vaccins existent. Mais qui les développe et les perfectionne ? Les industries pharmaceutiques principalement. Si l'on regarde la liste de remèdes naturels de la Table 1, on peut se faire une idée de la disproportion de leur chiffre d'affaires par rapport à celui des vaccins.
MaladieRemèdeRéférences
Hépatite Phosphorus 15CH Internet
Hépatite A pissenlit ; Phosphorus 15 CH 10 granules matin et soir pendant 10 jours, Chelidonium 4CH 5 granules, Hydrastis 5CH 5 granules, China 5CH 5 granules reseauproteus.net (pissenlit) ; Internet
Poliomyélyte laisser la fièvre monter à 39-40°C (le virus est détruit à cette température), ne surtout pas essayer de faire baisser la température avec des médicaments Dr. Jean Pilette, La poliomyélite: Quel vaccin ? Quels risques ?
Hépatite C chardon-marie & schisandra Dr. Andrew Weil
Tuberculose Réglisse reseauproteus.net
Diphtérie (? [check]) Chlorure de Magnésium Dr F. Joet, Tétanos, le mirage de la vaccination- travaux du Dr. Neveu
Tétanos Chlorure de Magnésium Dr F. Joet, Tétanos, le mirage de la vaccination - travaux du Dr. Neveu
Fièvre jaune crotalus horribila homéo
Paludisme crotalus horribila homéo
En prévention : utiliser des huiles essentielles (aromathérapie), pour plus d'informations voir les références proposées sur la page suivante :http://www.reseauproteus.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=2002111800
Table 1 - Alternatives aux vaccins : préventions et remèdes
La meilleure alternative n'est-elle pas d'éviter l'infection ? Un article du Reader's Digest rapporte comment le "Docteur Tétanos", un médecin itinérant de l'organisation Médecins Sans Frontières, a sauvé des populations entières d'une terrible maladie qu'est le tétanos : par la vaccination, mais aussi par des mesures d'hygiènes et la fourniture de matériel d'accouchement stérile.
Il existe aux vaccins une explication alternative quant à l'arrêt des épidémies et à l'éradication des maladies : elles ont spontanément régressé, sous l'effet des comportements, de l'amélioration de l'hygiène de la qualité de la vie, bases d'un système immunitaire fort.
Et si les maladies contre lesquels on vaccine n'étaient pas si terribles que ça ? Cela s'apparenterait à de la vente par la terreur. Et si les maladies contre lesquelles on vaccine étaient agravées par la fragilisation de notre système immunitaire par les vaccins, ne serions-nous pas en face d'un paradoxe ?
Certaines vaccinations sont-elles vraiment indispensables ? Est-il indispensable de vacciner les nourrissons contre l'hépatite B, une maladie qui ne s'attrape que par les raports sexuels et les transfusions sanguines contaminées ?
Certains vaccins sont contaminés par d'autres virus, comme le SV-40. C'est ainsi qu'est décédé le petit Alexander Horwin [Horw_WWW]. Désormais ses parents luttent pour faire éclater la vérité; sa maman a pris des cours de biologie, et son papa des cours de droit. Cela ne leur rendra pas leur enfant, mais pourrait bien en sauver des milliers d'autres.
Il est un fait qui ne semble alerter personne et qui me fait tomber de ma chaise : chaque vaccin contient en moyenne 900 microgrammes d'hydroxyde d'aluminium, dose intégralement injectée dans le sang à l'injection. Or, la limite admise d'aluminium dans le sang par les normes sanitaires de l'Union Européenne est de 15 microgrammes par litre de sang, le seuil de toxicité étant situé à 60 microgrammes. L'injection d'un seul vaccin dépasse donc de 10 fois la quantité admise par la norme. L'hydroxyde d'aluminium est accusé de provoquer des maladies auto-immunes et neurologiques comme la polyarthrite rhumatoïde, l'autisme et la sclérose en plaques. Est-il acceptable d'intoxiquer ainsi la population "pour son bien" ?
Un autre effet secondaire est le bloquage et la fragilisation du système immunitaire. Malheureusement ce phénomène est difficile à mesurer. Il est néanmoins de bon ton de remarquer que l'on n'est jamais malade que d'une maladie à la fois. Cette observation suggère que le système immunitaire ne s'occupe que d'une maladie à la fois. S'il reste bloqué sur un vaccin, seul le système immunitaire général est gardien de la santé. Et dans ce processus l'hydroxyde d'aluminium a un effet désastreux : non seulement il déclenche une violente réaction du système immunitaire, mais il en empêche l'arrêt naturel [Info_WWW].
Les victimes qui "hurlent et exagèrent" sont forcément subjectives dans leur expression, sous le coup de la colère, sous le coup de l'impuissance à être entendus, reconnus dans leur drame, pris au sérieux même s'ils ne peuvent apporter de preuves scientifiques, forcément par manque de connaissances scientifiques. Frustrés dans leurs besoins de vérité, de justice, de considération, de respect pour la santé humaine, ont-ils d'autres moyens de faire entendre leur message que de crier plus fort ?
Et les médecins et chercheurs qui voudraient s'essayer à des études contradictoires, où vont-ils trouver les moyens financiers lorsque les seules subventions proviennent des industries pharmaceutiques ? Il n'est aucunement dans l'intérêt d'une industrie que de subventionner des études qui pourraient prouver que les produits qu'ils vendent sont dangereux. Et les médecins rebelles risquent leur carrière par exclusion du système. Ce fut par exemple le cas du Docteur Beljanski ; son exclusion est aujourd'hui reconnue par le conseil de l'Europe comme un cas de violation des droits de l'homme. Enfin, les médecins indépendants qui obtiennent des résultats contradictoires ont du mal à diffuser leurs découvertes, car la diffusion d'informations scientifiques est contrôlée par les mêmes intérêts contraires. Et leur statut de dissident les prive du soutien de leurs confrères ignorants de la perversité du système dans lequel ils évoluent.
Bref, dans cette controverse vaccinale on peut donc constater que deux camps affrontent des arguments contraires et discutables. D'une part les industries pharmaceutiques distillent une information hautement scientifique mais subjective. D'autre part les victimes avancent des raisonnements de bon sens mais dont l'expression est empreinte de colère. Aucune preuve ne fait autorité ni d'une part ni de l'autre.
Au milieu de cette confusion chacun se retrouve avec la responsabilité de se forger sa propre opinion. Et de décider en toute connaissance de cause s'il se fait vacciner ou non.

Publié dans SCANDALES SANITARES

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8 septembre 2016

Liste des médicaments contenant de l'Aspartam

seul-au-monde

ABILIFY 10 mg cp orodispers
ABILIFY 15 mg cp orodispers
ACETYLCYSTEINE EG sans sucre 200 mg pdre p sol buv sachet-dose
ACETYLCYSTEINE SANDOZ CONSEIL 200 mg gél p sol buv
AMODEX 1 g cp dispers
AMOXICILLINE ALMUS 1 g cp pellic dispers
AMOXICILLINE ARROW 1 g cp pellic dispers
AMOXICILLINE ARROW 125 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ARROW 250 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ARROW 500 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE BIOGARAN 1 g cp dispers
AMOXICILLINE BIOGARAN 125 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE BIOGARAN 250 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE BIOGARAN 500 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE EG LABO 1 g cp dispers
AMOXICILLINE QUALIMED 125 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE QUALIMED 250 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE RANBAXY 1 g cp dispers
AMOXICILLINE RATIO 125 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE RATIO 250 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE RATIOPHARM 500 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE RPG 250 mg/5 ml pdre p susp buv en flacon
AMOXICILLINE RPG 500 mg/5 ml pdre p susp buv en flacon
AMOXICILLINE SANDOZ 1 g cp dispers
AMOXICILLINE SANDOZ 125 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE SANDOZ 250 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE SANDOZ 500 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ZENTIVA 1 g cp pellic dispers
AMOXICILLINE ZENTIVA 250 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ZENTIVA 500 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ZYDUS 125 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ZYDUS 250 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ZYDUS 500 mg/5 ml pdre p susp buv
AMOXICILLINE ZYDUS FRANCE 1 g cp dispers
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ALMUS 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ALMUS 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ALTER 1 g/125 mg pdre p susp buv en sachet adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ALTER 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ALTER 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ARROW 1 g/125 mg pdre p susp buv adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ARROW 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ARROW 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE BIOGARAN 1 g/125 mg pdre p susp buv adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE BIOGARAN 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE BIOGARAN 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE EG 1 g/125 mg pdre p susp buv en sachet-dose adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE MYLAN 1 g/125 mg pdre p susp buv en sachet-dose adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE MYLAN 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv en flacon nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE MYLAN 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE QUALIMED 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv en flacon enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE RATIO 1 g/125 mg pdre p susp buv en sachet adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE RATIO 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv en flacon enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE RATIO 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE RPG 1 g/125 mg pdre p susp buv adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE RPG 100 mg/12,5 mg pdre p susp buv Enf
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE RPG 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE SANDOZ 1 g/125 mg pdre p susp buv adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE SANDOZ 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv en flacon enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE SANDOZ 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv nourrisson
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE TEVA SANTE 1 g/125 mg pdre p susp buv sachet-dose adulte
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE TEVA SANTE 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv en flacon enfant
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE TEVA SANTE 100 mg/12,5 mg/ml pdre p susp buv en flacon nourrisson
ANGIPAX cp orodispers
APRANAX 250 mg glé p susp buv
APRANAX 500 mg glé p susp buv
ASPIRINE DU RHONE 500 mg cp à croquer
ASPIRINE UPSA 500 mg cp efferv
ASPIRINE UPSA TAMPONNEE EFFERVESCENTE 1000 mg cp efferv
AUGMENTIN 1 g/125 mg pdre p susp buv Ad
AUGMENTIN 100 mg/12,5 mg p ml pdre p susp buv Enf
AUGMENTIN 100 mg/12,5 mg p ml pdre p susp buv Nour
AZANTAC 150 mg cp efferv
AZANTAC 300 mg cp efferv
AZANTAC 75 mg cp efferv
BEROCCA cp efferv sans sucre
BETAMETHASONE ARROW 2 mg cp dispers séc
BETAMETHASONE BIOGARAN 2 mg cp dispers séc
BETAMETHASONE EG 2 mg cp dispers séc
BETAMETHASONE ZENTIVA 2 mg cp dispers séc
BIODALGIC 50 mg cp efferv
BREXIN 20 mg cp efferv
CACIT VITAMINE D3 500 mg/440 UI cp à croquer/sucer
CALCIFORTE VITAMINE D3 cp à croquer/sucer/dispers
CALCIPRAT 1000 mg cp à sucer
CALCIPRAT 500 mg cp à sucer
CALCIPRAT 750 mg cp à sucer
CALCIPRAT VITAMINE D3 1000 mg/800 UI cp à sucer
CALCIPRAT VITAMINE D3 500 mg/400 UI cp à sucer
CALCIUM MYLAN 500 mg cp à croquer/sucer
CALCIUM SANDOZ 500 mg cp efferv
CALCIUM SANDOZ 500 mg pdre p susp buv
CALCIUM TEVA 500 mg cp à sucer
CALCIUM VITAMINE D3 BIOGARAN 500 mg/400 UI cp à sucer
CALCIUM VITAMINE D3 EG 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
CALCIUM VITAMINE D3 MYLAN 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
CALCIUM VITAMINE D3 RANBAXY 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
CALCIUM VITAMINE D3 RATIOPHARM 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
CALCIUM VITAMINE D3 SANDOZ 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
CALCIUM VITAMINE D3 TEVA 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
CALCIUM/VITAMINE D3 ZYDUS 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
CALCOS VITAMINE D3 cp à croquer/sucer
CALPEROS 500 mg cp à sucer séc
CALPEROS D3 cp à sucer
CALPRIMUM 500 mg cp enr croquer
CANTALENE cp à sucer
CEFPODOXIME ARROW ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME BIOGARAN ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME EG ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME ISOMED ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME MYLAN ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME QUALIMED ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME RATIOPHARM ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME SANDOZ ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME TEVA ENFANTS ET NOURRISSONS 40 mg/5 ml pdre p susp buv
CEFPODOXIME ZENTIVA 40 mg/5 ml glé p susp buv enfant nourrisson
CEFPODOXIME ZYDUS 40 mg/5 ml pdre p susp buv enfant nourrisson
CEFUROXIME MYLAN 125 mg cp enr
CEFUROXIME MYLAN 250 mg cp enr
CEFUROXIME MYLAN 500 mg cp enr
CEFUROXIME QUALIMED 250 mg cp enr
CEFUROXIME QUALIMED 500 mg cp enr
CEFUROXIME SANDOZ 125 mg cp enr
CEFUROXIME SANDOZ 250 mg cp enr
CEFUROXIME SANDOZ 500 mg cp enr
CEFUROXIME WINTHROP 125 mg cp enr
CEFUROXIME WINTHROP 250 mg cp enr
CEFUROXIME WINTHROP 500 mg cp enr
CELESTENE 2 mg cp dispers séc
CELLCEPT 1 g/5 ml pdre p susp buv
CETORNAN 10 g pdre p sol buv/entér en sachet
CETORNAN 5 g pdre p sol buv/entér
CIMETIDINE TEVA 200 mg cp efferv
CIMETIDINE TEVA 800 mg cp efferv
CITRATE DE BETAINE CRISTERS 2 g pdre p sol buv
CLAMOXYL 1 g cp dispers
CLAMOXYL 125 mg/5 ml pdre p susp buv
CLAMOXYL 250 mg/5 ml pdre p susp buv
CLAMOXYL 500 mg/5 ml pdre p susp buv
CYCLADOL 20 mg cp efferv
DAFALGAN 1 g cp efferv
DAFALGAN 150 mg pdre efferv p sol buv
DAFALGAN 250 mg pdre efferv p sol buv
DAFALGAN CODEINE cp efferv séc
DAFALGANHOP 1 g cp efferv
DEBRIDAT glé p susp buv sachet
DENSICAL 600 mg cp à sucer
DENSICAL VITAMINE D3 cp à croquer/sucer
DIACOMIT 250 mg pdre p susp buv
DIACOMIT 500 mg pdre p susp buv
DIASTROLIB 2 mg lyoph oral
DOLIPRANEORO 500 mg cp orodispers
DOLKO 500 mg pdre p sol buv
DONEPEZIL ACTAVIS 10 mg cp orodispers
DONEPEZIL ACTAVIS 5 mg cp orodispers
DONEPEZIL SANDOZ 10 mg cp orodispers
DONEPEZIL SANDOZ 5 mg cp orodispers
DONEPEZIL TEVA 10 mg cp orodispers
DONEPEZIL TEVA 5 mg cp orodispers
DRILL ENROUEMENT 15 mg past à sucer sans sucre
DRILL SANS SUCRE past
DYNAMISAN 3 g pdre p sol buv
EBASTINE TEVA 10 mg cp orodispers
EFFERALGAN 1 g cp efferv
EFFERALGANODIS 500 mg cp orodispers
EXOMUC 200 mg glé p sol buv
FERVEX ENFANT glé p sol buv
FERVEX SANS SUCRE glé p sol buv
FIXICAL 500 mg cp à croquer/sucer
FIXICAL VITAMINE D3 1000 mg/800 UI cp à sucer
FIXICAL VITAMINE D3 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
FLECTOR 50 mg glé p sol buv
FLUIMUCIL 200 mg glé p sol buv
FLUIMUCIL 200 mg glé p sol buv adulte
FLUOXETINE CRISTERS 20 mg cp dispers séc
FLUOXETINE ZYDUS 20 mg cp dispers séc
GAVISCON MENTHE cp à croquer
GAVISCONELL cp à croquer sans sucre menthe
GAVISCONELL SANS SUCRE CITRON cp à croquer
GLOSSITHIASE cp subling
GLUCOPHAGE 1000 mg pdre p sol buv
GLUCOPHAGE 500 mg pdre p sol buv
GLUCOPHAGE 850 mg pdre p sol buv
IMODIUMLINGUAL 2mg lyoph oral
JOSACINE DISPERSIBLE 1000 mg cp dispers adulte
KESTINLYO 10 mg lyoph oral
KLEAN PREP pdre p sol buv
LAMOTRIGINE EG 100 mg cp à croquer/dispers
LAMOTRIGINE EG 200 mg cp à croquer/dispers
LAMOTRIGINE EG 25 mg cp à croquer/dispers
LAMOTRIGINE RANBAXY 100 mg cp dispers
LAMOTRIGINE RANBAXY 200 mg cp dispers
LAMOTRIGINE RANBAXY 25 mg cp dispers
LAROSCORBINE 1 g cp efferv
LAROSCORBINE sans sucre 1 g cp efferv
LAROSCORBINE sans sucre 500 mg cp à croquer
LEVITRA 10 mg cp orodispers
LOPERAMIDE LYOC 2mg lyoph oral
MAXALTLYO 10 mg lyoph oral
MAXALTLYO 5 mg lyoph oral
MELAXOSE gelée orale en pot
MIGPRIV pdre p sol buv
MIRTAZAPINE ACTAVIS 15 mg cp orodispers
MIRTAZAPINE ALMUS 15 mg cp orodispers
MIRTAZAPINE AUROBINDO 15 mg cp orodispers
MIRTAZAPINE BIOGARAN 15 mg cp orodispers
MIRTAZAPINE RANBAXY 15 mg cp orodispers
MOVIPREP pdre p sol buv en sach
NATECAL VITAMINE D3 600 mg/400 UI cp orodispers
NATECAL VITAMINE D3 600mg/400UI cp mâcher
NICOPASS 1,5 mg past sans sucre menthe fraîcheur
NICOPASS 1,5 mg past sans sucre réglisse menthe
NICOPASS 1,5 mg SANS SUCRE EUCALYPTUS past
NICOPASS MENTHE FRAICHEUR 2,5 mg SANS SUCRE past
NICOPASS REGLISSE MENTHE 2,5 mg SANS SUCRE past
NICORETTE MICROTAB CITRON 2mg cp subling
NICOTINELL 1 mg cp à sucer menthe
NICOTINELL MENTHE 2mg cp à sucer
NIQUITIN 2 mg cp à sucer menthe fraîche édulcoré à l’aspartam
NIQUITIN 2 mg cp à sucer sans sucre édulcoré à l’aspartam
NIQUITIN 4 mg cp à sucer menthe fraîche édulcoré à l’aspartam
NIQUITIN 4 mg cp à sucer sans sucre édulcoré à l’aspartam
NUROFENTABS 200 mg cp orodispers
OGASTORO 15 mg cp orodispers
OGASTORO 30 mg cp orodispers
OLANZAPINE ACTAVIS 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE ACTAVIS 15 mg cp orodispers
OLANZAPINE ACTAVIS 20 mg cp orodispers
OLANZAPINE ACTAVIS 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE ARROW GENERIQUES 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE ARROW GENERIQUES 15 mg cp orodispers
OLANZAPINE ARROW GENERIQUES 20 mg cp orodispers
OLANZAPINE ARROW GENERIQUES 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE BIOGARAN 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE BIOGARAN 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE BLUEFISH 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE BLUEFISH 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE EG 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE EG 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE ISOMED 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE ISOMED 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE RANBAXY 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE RANBAXY 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE RATIOPHARM 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE RATIOPHARM 5 mg cp orodispers
OLANZAPINE ZYDUS FRANCE 10 mg cp orodispers
OLANZAPINE ZYDUS FRANCE 5 mg cp orodispers
ONDANSETRON ARROW 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON BIOGARAN 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON CRISTERS 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON EG 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON MYLAN 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON QUALIMED 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON RATIOPHARM 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON SANDOZ 4 mg cp orodispers
ONDANSETRON SANDOZ 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON TEVA 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON WINTHROP 8 mg cp orodispers
ONDANSETRON ZYDUS 8 mg cp orodispers
ORDIPHA 500 mg cp dispers séc
ORELOX 40 mg/5 ml glé p susp buv enfant nourrisson
OROCAL 500 mg cp à sucer
OROCAL VITAMINE D3 500 mg/200 UI cp à sucer
OROCAL VITAMINE D3 500 mg/400 UI cp à sucer
OROMAG cp à sucer
OROZAMUDOL 50 mg cp orodispers
OSAFLEXAN 1178 mg pdre p sol buv
OSSEANS VITAMINE D3 500 mg/400 UI cp à croquer/sucer
OTRASEL 1,25 mg lyoph oral
OXOGLURATE D’ORNITHINE MYLAN 10 g pdre p sol buv
OXOGLURATE D’ORNITHINE MYLAN 5 g pdre p sol buv
OXYNORMORO 10 mg cp orodispers
OXYNORMORO 20 mg cp orodispers
OXYNORMORO 5 mg cp orodispers
PARACETAMOL ARROW 1000 mg pdre p sol buv
PARACETAMOL ARROW 300 mg pdre p sol buv
PARACETAMOL ARROW 500 mg pdre p sol buv en sach-dose
PARACETAMOL BIOGARAN 1000 mg pdre p sol buv
PARACETAMOL BIOGARAN 300 mg pdre p sol buv
PARACETAMOL BIOGARAN 500 mg pdre p sol buv
PARACETAMOL TEVA 1000 mg pdre p sol buv sachet-dose
PARACETAMOL TEVA 300 mg pdre p sol buv sachet-dose
PARACETAMOL TEVA 500 mg pdre p sol buv sachet-dose
PARALYOC 250 mg lyoph oral
PARALYOC 500 mg lyoph oral
PARATABS 500 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL ACTAVIS 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL ARROW 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL BIOGARAN 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL CRISTERS 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL EG 80mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL ISOMED 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL MYLAN 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL RATIOPHARM 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL RPG 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL SANDOZ 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL SANDOZ CONSEIL 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL TEVA 80 mg cp orodispers
PHLOROGLUCINOL WINTHROP 80 mg cp orodispers
PREDNISOLONE ACTAVIS 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE ARROW 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE BIOGARAN 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE CRISTERS 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE EG 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE MYLAN 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE RANBAXY 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE RATIOPHARM 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE SANDOZ 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE TEVA 20 mg cp orodispers
PREDNISOLONE ZENTIVA 20 mg cp orodispers
PROTELOS 2g glé p susp buv
PROXALYOC 20 mg lyoph oral
PSEUDOPHAGE glé p sol buv
QUESTRAN 4 g pdre oral
RANIPLEX 150 mg cp efferv
RANIPLEX 300 mg cp efferv
RANITIDINE ARROW 150 mg cp efferv
RANITIDINE ARROW 300 mg cp efferv
RANITIDINE ARROW 75 mg cp efferv
RANITIDINE BIOGARAN 150 mg cp efferv
RANITIDINE BIOGARAN 300 mg cp efferv
RANITIDINE EG 150 mg cp efferv
RANITIDINE EG 300 mg cp efferv
RANITIDINE QUALIMED 150 mg cp efferv
RANITIDINE QUALIMED 300 mg cp efferv
RISPERDALORO 0,5 mg cp orodispers
RISPERDALORO 1 mg cp orodispers
RISPERDALORO 2 mg cp orodispers
RISPERDALORO 3 mg cp orodispers
RISPERDALORO 4 mg cp orodispers
RISPERIDONE EG 0,5 mg cp orodispers
RISPERIDONE EG 1 mg cp orodispers
RISPERIDONE EG 2 mg cp orodispers
RISPERIDONE MYLAN 0,5 mg cp orodispers
RISPERIDONE MYLAN 1 mg cp orodispers
RISPERIDONE MYLAN 2 mg cp orodispers
RISPERIDONE MYLAN 3 mg cp orodispers
RISPERIDONE MYLAN 4 mg cp orodispers
RISPERIDONE RATIOPHARM 0,5 mg cp orodispers
RISPERIDONE RATIOPHARM 1 mg cp orodispers
RISPERIDONE RATIOPHARM 2mg cp orodispers
RISPERIDONE SANDOZ 0,5 mg cp orodispers
RISPERIDONE SANDOZ 1 mg cp orodispers
RISPERIDONE SANDOZ 2 mg cp orodispers
RISPERIDONE SANDOZ 3 mg cp orodispers
RISPERIDONE SANDOZ 4 mg cp orodispers
RISPERIDONE TEVA 0,5 mg cp orodispers
RISPERIDONE TEVA 1 mg cp orodispers
SARGENOR A LA VITAMINE C cp efferv
SINGULAIR 4 mg cp à croquer
SINGULAIR 5 mg cp à croquer
SOLISPASM 80 mg cp orodispers
SOLUPRED 20 mg cp orodispers
SOLUPRED 5 mg cp orodispers
SPASMAG gél
SPASMOCALM 80 mg cp orodispers
SPEDIFEN 400 mg glé p sol buv sachet-dose
SPIFEN 400 mg glé p sol buv
STOMEDINE 200 mg cp efferv
TAHOR 10 mg cp à croquer
TAHOR 20 mg cp à croquer
TAKADOL 100 mg cp efferv séc
TRACLEER 32 mg cp dispers
TRAMADOL MYLAN 50 mg cp efferv
TRAMADOL TEVA 50 mg cp efferv
TRAMADOL WINTHROP 50 mg cp efferv
TRANSILANE SANS SUCRE pdre p susp buv
TRANSIPEG 2,95 g pdre p sol buv en sachet
TRANSIPEG 5,9 g pdre p sol buv en sachet
TRANSULOSE gelée orale en pot
VECTRINE 300 mg pdre p susp buv en sachet
VIDEX 100 mg cp à croquer/dispers
VIDEX 150 mg cp à croquer/dispers
VIDEX 25 mg cp à croquer/dispers
VIDEX 50 mg cp à croquer/dispers
VIRACEPT 50 mg/g pdre oral
VITAMINE C UPSA 500 mg cp à croquer
VITAMINE C UPSA 500 mg cp à croquer fruit exotique
VITASCORBOL SANS SUCRE TAMPONNE 500 mg cp à croquer
VOGALENE LYOC 7,5 mg lyoph oral
VOGALIB 7,5 mg lyoph oral sans sucre
ZINNAT 125 mg glé p susp buv en sachet enfant nourrisson
ZINNAT 125 mg/5 ml glé p susp buv en flacon enfant nourrisson
ZOLMITRIPTAN ACTAVIS 2,5 mg cp orodispers
ZOLMITRIPTAN EVOLUGEN 2,5 mg cp orodispers
ZOLMITRIPTAN MYLAN 2,5 mg cp orodispers
ZOLMITRIPTAN ZENTIVA 2,5 mg cp orodispers
ZOLMITRIPTAN ZYDUS FRANCE 2,5 mg cp orodispers
ZOMIGORO 2,5 mg cp orodispers
ZOPHREN 4 mg lyoph oral
ZOPHREN 8 mg lyoph oral
ZUMALGIC 100 mg cp efferv
ZUMALGIC 50 mg cp efferv
ZYPREXA VELOTAB 10 mg cp orodispers
ZYPREXA VELOTAB 15 mg cp orodispers
ZYPREXA VELOTAB 20 mg cp orodispers
ZYPREXA VELOTAB 5 mg cp orodispers
ZYVOXID 100 mg/5 ml glé p susp buv

24 avril 2016

Une nouvelle étude pourrait marquer la fin des sodas Light et de l'aspartame

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La demande et les ventes de sodas Light ont chuté car les consommateurs cherchent à prendre et meilleure décision en raison des épidémies qui envahissent le pays. L'aspartame édulcorant principal des soda Light est l'un des ingrédients les plus dangereux utilisés dans notre alimentation, provoque des convulsions et bien d'autres problèmes pour la santé.

 

Dans une étude réalisée pendant plus de 10 ans, durant laquelle 60 000 échantillons ont été prélevée sur les femmes, on a montré que les femmes qui boivent au moins 2 soda Light par jour ont un taux de maladie cardio-vasculaire beaucoup plus élevée et son susceptible de mourir de l'une de ces maladies.

Dans la plus grande étude réalisé en son genre, l'université de l'lowa a conclu :

«… Par rapport aux femmes qui consomment rarement ou jamais de soda Light, celle qui consomment au moins 2 soda Light par jour sont 30 % plus susceptibles d'avoir un accident cardio-vasculaire (crise cardiaque ou accident vasculaire cérébral) et 50 % plus susceptibles de mourir d'une maladie liée à cela. C'est l'une des plus grandes études sur ce sujet, et nos résultats sont compatibles avec des données antérieures, en particulier celles reliant les sodas Light au syndrome métabolique «, explique le Dr Ankur Vyas… Chercheur principal de l'étude.

… L'association a persisté même après que les chercheurs ont ajustés les données pour tenir compte des caractéristiques démographiques et d'autres facteurs de risque cardio-vasculaire, y compris l'indice de masse corporelle, le tabagisme, l'utilisation l'hormonothérapie, l'activité physique, la consommation d'énergie à consommation de sel, le diabète, hypertension, le taux élevé de cholestérol et la consommation de boissons édulcorées.

En moyenne, les femmes qui consommaient au moins de soda Light par jour étions plus jeunes, plus susceptible de fumer, et affichaient une prévalence plus élevée de diabète, d'hypertension artérielle, est un indice de masse corporelle plus élevée. «

Heureusement que cette étude est au centre des rapports de vente fragilisée des sodas Light, l'un des plus grands marchés de l'aspartame.

Selon le Time magazine :

« L'une des raisons de la baisse pourrait être une prise de conscience croissante de l'épidémie d'obésité aux États-Unis est de plus en plus de problèmes de santé liée aux boissons édulcorées. Selon Reuters, les experts de l'industrie disant que l'industrie des boissons est en train de couler et d'atteindre un niveau très bas. Même les boissons de régime de marque ont subi une perte de chiffre d'affaires avec des préoccupations concernant les édulcorants artificiels «.

Quelque soit la raison de cette baisse, cette nouvelle étude devrait entretenir une dynamique loin des édulcorants artificiels. Il existe de nombreux édulcorants naturels que les gens peuvent choisir qui sont beaucoup plus sains que l'aspartame. Voici la liste :

– le fructose
– le maltitol
– le sirop d'agave
– le sirop d'érable
– le sirop de riz
– la stévia
– le tagatose
– le xylitol ou sucre de bouleau
– Sukrin
– le sucre de fleurs de coco

Une autre remarque importante et que la baisse des ventes globales de soda signifie également que moins de gens sont exposés au sirop de maïs (OGM la plupart du temps) à haute teneur en fructose qui comporte une multitude de risques pour la santé.

Source(s) : Esprit Science Métaphysiques

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/ Par Superadmin

 

29 mars 2016

Vaccin : Une Neuropathologiste voit sa carrière détruite pour avoir réfuter la théorie dite du « Syndrome du Bébé Secoué »

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Dr Waney Squire

 

«La pire des choses imaginables, c’est de voir des parents enfermés injustement dans des prisons dans l’attente de la mort. Quelque chose de terrible a « infecté » mes collègues médecins – ou en tout cas un nombre considérable d’entre eux.Le temps est venu de mettre fin à cette forme abusive de diagnostic. Le temps est venu pour les médecins d’oser rega rder en face ce qui se trouve dans leur propre littérature médicale et d’examiner les erreurs aux proportions gigantesques qui ont été commises, afin  d’y apporter les corrections qui s’imposent. »  Dr A.Kalokerinos

 

Health Impact News, Editor, 15 mars 2016.

 

La théorie médicale concernant le « Syndrome du Bébé Secoué » (SBS) est en train de perdre rapidement de sa crédibilité. Aujourd’hui de nombreux médecins, scientifiques et avocats dénoncent le « Syndrome du Bébé Secoué », ainsi que le fait que des parents innocents soient accusés à tort de maltraitance d’enfants. Les tribunaux tentent de revoir certains cas sur base des témoignages de médecins  et de professionnels des questions de santé. Certains cas ont récemment été revus.

 

La profession médicale se défend. Les raisons en sont suffisamment évidentes. Le fait d’admettre que la théorie du « Bébé Secoué » soit fausse risquerait d’ouvrir la porte à des litiges majeurs, étant donné le fait que c’est sur base de cette théorie que des milliers de parents ont été condamnés pour maltraitance d’enfants et que peut-être des dizaines de milliers d’entre eux ont été arrachés à leurs familles. Il faut aussi savoir qu’il existe un énorme financement fédéral pour permettre d’enlever ces enfants et les mettre sous la tutelle de l’état.

 

Donc, la stratégie évidente de la profession médicale est d’attaquer les médecins qui témoignent en faveur des parents innocents, et contre la théorie du SBS. Il s’ensuit que la crédibilité de ces médecins est détruite et qu’ils se voient retirer leur licence. Sans le témoignage de ces experts, il serait infiniment plus difficile de lutter contre les fausses condamnations de parents innocents.

 

La dernière tentative dans ce sens est l’action qu’a entreprise le Conseil Médical Général Britannique à l’encontre du Dr Waney Squier, neuropathologiste pédiatrique de renommée internationale. Pour avoir eu le courage de témoigner de la vérité concernant le « Syndrome du Bébé Secoué », ce médecin a vu sa carrière détruite.

 

Christina England, Health Impact News écrit :

 

C’est le vendredi 11 mars 2016 que le Conseil Médical Général Britannique (GMC) a décrété que la neuropathologiste pédiatrique britannique, le Dr Waney Squier, témoin expert de la Défense s’est rendue coupable « d’avoir trompé ses pairs, d’être irresponsable, malhonnête, et de porter atteinte à la réputation de la profession médicale dans le district.»

 

En un mot, elle a été reconnue coupable d’être en désaccord avec l’establishment médical au sujet de la « science »  qui explique le « Syndrome du Bébé Secoué », comme d’avoir parlé au nom de parents innocents.

 

Considérée comme étant la première scientifique du pays dans le domaine de la neuropathologie pédiatrique, le Dr Squier a travaillé comme consultante à l’hôpital John Radcliffe pendant 32 ans. Jusqu’il y a environ 15 ans, elle a soutenu avec véhémence et a adhéré à la croyance traditionnelle. Selon cette croyance, quand un médecin  suspectait qu’un enfant avait été violemment secoué, il fallait faire porter les examens sur la « triade » de dommages que les médecins pensaient être associés au « Syndrome du bébé Secoué » (SBS)

 

Cependant, après avoir étudié et examiné les fondements scientifiques de ce qui, après tout, ne représente qu’une théorie, le Dr Squier a commencé à avoir des doutes qui l’ont conduite à exprimer un scepticisme scientifique qui n’a cessé de croître.

 

D’autres professionnels de santé marquent leur accord avec le Dr Squier et considèrent que la théorie officielle du « Bébé Secoué » relève d’une « science de pacotille »

 

Au fil des ans, un nombre croissant de professionnels a tourné le dos aux théories classiques du SBS, et ce, en faveur de la science. Les experts estiment maintenant qu’il existe toute une série d’autres conditions et circonstances qui peuvent provoquer cette « triade » de dommages.

 

Clive Stafford Smith, avocat des droits de l’homme précise :

 

Le « Syndrome du Bébé Secoué » n’est pas un diagnostic médical qui devrait être traité, mais presque uniquement l’avis d’un médecin qu’un crime a été commis. J’ai représenté un certain nombre de personnes qui ont été condamnées à mort sur base de cette « théorie », bien que de plus en plus de preuves s’accumulent et tentent à montrer que cette « théorie » est un non-sens scientifique. La justice exige cependant qu’un médecin qui détient honnêtement des vues soutenues par des preuves scientifiques soit autorisé à donner un témoignage qui puisse remettre en question d’autres hypothèses. Après tout, il y a quelque 400 ans, on avait interdit à Galileo Galilei  de dire que la terre tournait autour du soleil. Malheureusement, il a fallu attendre 1982 avant que le pape Jean-Paul II reconnaisse que l’Eglise catholique avait eu tort.

 

Mis à part l’impact personnel dévastateur dont a eu à souffrir le Dr Squier, Smith poursuit :

 

Je suis plus que préoccupé par l’administration de la justice à ce sujet, dans ce pays comme dans le monde entier. Des centaines, voire des milliers de parents ou gardiennes ont été condamnés ou ont perdu la garde de leurs enfants quand la profession médicale avait diagnostiqué un crime. Aujourd’hui, si peu qualifiés qu’ils puissent être, les membres du Comité ont annoncé que le GMC ne tolérerait aucune dissidence scientifique. Ceci est absolument vrai. Et si la décision du GMC est de supprimer le nom du Dr Squier du registre médical, cette dernière ne pourra plus pratiquer la médecine. Dans ce cas, le monde aura perdu une merveilleuse scientifique qui avait pris la défense des parents. Malheureusement,  des parents risquent de se retrouver  sans expert pour les défendre et d’être, pour des années, condamnés à la prison pour un crime qu’ils n’ont pas commis.

 

Les membres du General Medical Council sont-ils qualifiés pour statuer des cas de SBS, ou s’agit-il essentiellement d’une « chasse aux sorcières » ?

 

Comme des lettres de soutien (de professionnels de santé) au Dr Squier inondent littéralement le GMC, il est possible, à partir de ces courriers, de comprendre que le cas du Dr Squier est un peu plus qu’une chasse aux sorcières destinée à détruire la crédibilité d’une excellente professionnelle de santé, tout en continuant à promouvoir des théories dépassées, basées partiellement sur une science de pacotille.

 

Le Dr Steven C. Gabaeff qui a été médecin urgentiste pendant 40 ans a commenté le fait que le jury qui devait statuer sur l’affaire était composé d’un officier de la RAF à la retraite, d’un policier à la retraite et d’un psychiatre lui aussi à la retraite, donc de trois personnes ne faisant pas vraiment partie du monde médical. Le Dr Steven précise que le GMC et le MTPS devraient avoir honte d’avoir mis sur pied un jury  partial et ignorant qui ne pouvait comprendre les véritables enjeux. Il s’agissait vraisemblablement d’une configuration frauduleuse pour détruire un atout de premier plan pour la Grande-Bretagne et pour le monde dans la lutte contre les fausses accusations, ainsi qu’un leader mondial dans son domaine.

 

Il s’agit de l’acte le plus vil qui soit pour détruire la brillante renommée d’une personne. Acte perpétré  par des personnes (accusateurs « médicaux ») pris au piège de leurs propres idées fausses, comme à celui de diagnostics périmés. Ces gens ne valent pas mieux que des chasseurs de sorcières dont les vies professionnelles seraient, - si la vérité devait s’imposer,- recouvertes des larmes et des incalculables souffrances des familles qu’ils ont détruites par leurs fausses accusations, leur arrogance, leur narcissisme, leur folie des grandeurs, et l’impact terrible que les condamnations ont eu sur des familles faussement accusées… Le but réel de cette injustice, serait, semble-t-il, le maintien du statu quo…

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Dans une lettre écrite au GMC et destinée à soutenir le Dr Squier, le Dr Steven C.Gabaeff écrit :

 

« Les attaques perpétrées à l’encontre de ceux qui veulent apporter la lumière sur toutes les causes alternatives qui permettraient de mieux diagnostiquer les abus ; ces attaques semblent bien être la réponse à tout ce qui pourrait menacer la pensée même de l’establishment et l’establishment lui-même. Les défis lancés contre le dogme existant proviennent aujourd’hui de nombreux milieux et de nombreux spécialistes médicaux qui en connaissent un peu plus que l’establishment médical lui-même. Les challengers ont fait naître une pensée alternative au sujet de l’étiologie des moyens mal utilisés pour dépister les abus.

 

Cette stratégie qui consiste à honteusement attaquer des personnalités hautement respectées, des leaders dans leur domaine parce qu’elles ne partagent pas des hypothèses douteuses, non démontrées et finalement fausses, n’est pas, en soi, une chose nouvelle. »

 

Dr Michael Powers, QC, éminent spécialiste des questions médico-légales écrit :

 

« Sans vouloir manquer de respect, on peut dire que le tribunal du GMC – composé d’un officier pensionné de la RAF, d’un policier à la retraite, et d’un psychiatre lui aussi à la retraite – n’est nullement qualifié pour comprendre la pathologie complexe d’un cerveau en développement. Il est donc triste, mais pas surprenant que ces personnes soient parvenues à des conclusions erronées. Le forum approprié pour débattre de ces questions serait, sans aucun doute, la communauté internationale des neurosciences. »

 

Ironie Suprême : le Dr Squire est sur le point de recevoir le Prix de « Champion de la Justice » décerné par 69 organisations du monde entier.

 

Dr John Plunkett, qui a réalisé un travail de pionnier sur la validité du « Syndrome du Bébé Secoué » déclare :

 

« C’est l’ironie suprême que le « Réseau Innocence » s’apprête à accorder au Dr Squier le prix 2016 de « Champion de la Justice » au Congrès de San Antonio le 8 avril prochain. Ce groupe  est formé de 69 organisations du monde entier, y compris le Royaume-Uni. - Un minimum de 300 personnes condamnées à tort pour crimes graves ont été disculpées, y compris des personnes pour lesquelles le Dr Squier avait été nommée experte. Comment est-il possible que le « Réseau Innocence » puisse accorder pareil prix au Dr Squier alors que le GMC avait clairement qualifié son comportement de malhonnête et digne de sanction ? »

 

Les parents qui ont été blanchis de crimes qu’ils n’ont pas commis s’expriment

 

Grâce aux efforts incessants du Dr Squier, quantités de parents innocents ont pu garder leurs enfants et éviter de très lourdes peines de prison…

 

Le Dr Bergina Isbell, une maman dévastée qui avait eu recours au Dr Squier écrit :

 

Si nous n’avions pas pu profiter de la recherche poussée du Dr Squier, ainsi que de son engagement indéfectible vis-à-vis de la vérité, ma famille et moi aurions été à la merci d’un personnel médical ignorant qui n’a pas pu mener une enquête approfondie concernant l’affaire de mon fils. Je suis pour toujours reconnaissante au Dr Squier, et mon cœur souffre de l’injustice qui lui est faite.

 

Etre étiqueté coupable pour un crime que vous n’avez pas commis peut conduire à des conséquences extrêmement tragiques. De plus en plus de parents sont abandonnés à leur désespoir, terrifiés et seuls sans pouvoir trouver d’appui. C’est tout récemment que j’ai appris que des parents se sont suicidés après avoir été faussement accusés d’avoir tué leurs enfants, terrifiés d’avoir à être confrontés à la réclusion à perpétuité pour un crime qu’ils n’avaient pas commis !

 

Source : Health Impact News

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« Je n’ai pas le moindre doute que cette affaire finira par être reconnue comme l’une des plus terribles pages de la pédiatrie. » - Dr A. Kalokerinos

Brian Shilhavy, Health Impact News Editor, 13 mars 2016

 

Un nouveau film exposant la corruption derrière une grande partie du diagnostic du « Syndrome du Bébé Secoué » utilisé pour enlever des enfants à la garde de leurs parents, et dans certains cas pour mettre les parents derrière les barreaux, est en train de faire son petit bonhomme de chemin dans le circuit des Festivals du film.

 

Le Syndrome est un film produit et réalisé par Meryl Goldsmith, cinéaste de Los Angeles et par sa cousine journaliste d’investigation, Susan Goldsmith en tant que coproductrice et éditrice. Ce film constitue le premier long métrage de Meryl Goldsmith. Dans le casting, on retrouve des médecins, des juristes, des professeurs de Droit. 

 

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Lauren Kirchner qui écrit pour le Pacific Standard Magazine, a récemment interviewé Susan Goldsmith et a aussi recueilli l’avis de l’opposition que ce film a engendrée dans la communauté médicale.

 

Nombre de personnes qui interviennent dans le film ont consacré leur vie professionnelle à attirer l’attention du monde sur les recherches récentes qui ont été réalisées sur les dommages de santé dont on souffert les enfants, de même qu’à défendre devant les tribunaux les personnes qui étaient accusées d’avoir abusé d’enfants.

 

Suite à leur position, ces personnes dont dû faire face à un énorme choc en retour de la part des médecins et des procureurs qui voulaient marquer leur désaccord. Les cinéastes savaient aussi qu’ils allaient être balayés. De nombreux organisateurs de Festivals de films qui avaient envisagé la projection du film furent menacés de poursuites, et accusés de promouvoir la violence envers les enfants, comme l’a révélé une récente interview des cinéastes.

 

Susan Goldsmith explique que le thème même de leur film est de faire apparaitre comment les partisans du Syndrome du « Bébé secoué » et des violents traumatismes crâniens subis par ces enfants se sont évertués à faire taire leurs critiques. Susan Goldsmith poursuit en disant que « ce thème est aujourd’hui toujours d’actualité et qu’elle s’y attendait. Elle ajoute : Nous avons pensé faire évoluer la situation en mettant en lumière ces autres conditions médicales qui peuvent ressembler à des abus mais qui n’en sont effectivement pas. Tout ceci fait effectivement peser une menace sur l’ensemble du groupe de travail qui s’occupe du  Syndrome du Bébé Secoué, ainsi que sur le complexe industriel.

 

Kirchner écrit que ceux qui, dans les milieux médicaux, soutiennent le Syndrome du Bébé Secoué, font tous partie d’un groupe puissant et influent comprenant l’Académie Américaine de Pédiatrie et le Centre National dédié au « Syndrome du Bébé Secoué ». Avant la toute première projection du film, ils ont fait de leurs mains et de leurs pieds pour que le Festival International du Film (Kansas) bloque le film en le qualifiant de « film dangereux» alors qu’ils ne l’avaient encore jamais vu.

 

Ci-dessous une description du film à partir du site même du film :

 

Audrey Edmunds, maman de 3 enfants, a passé 11 ans en prison pour avoir tué un bébé auquel elle n’avait jamais fait le moindre mal. Elle n’est malheureusement pas la seule. Qu’est-ce qui se passe quand des croyances largement répandues et basées sur une science de pacotille aboutissent à la condamnation de personnes innocentes ?

 

Le Syndrome est un documentaire explosif qui représente en quelque sorte la croisade d’un groupe de médecins, de scientifiques et de juristes qui ont fait une fameuse découverte : « Le Syndrome du Bébé Secoué », la théorie responsable des poursuites pour maltraitance d’enfants exercées, chaque année, à l’encontre de centaines de personnes aux Etats-Unis, ne serait pas scientifiquement valide. En fait, tout cela n’existerait même pas, expliquent les auteurs du documentaire.

 

La réalisatrice du film Meryl Goldsmith s’est associée à la journaliste d’investigation déjà primée pour réaliser ce documentaire sur le cauchemar inimaginable que vivent les accusés, et mettre en lumière le courage de ces hommes et de ces femmes qui ont dédié leurs vies à défendre ceux qui font l’objet de poursuites, comme aussi à faire libérér les personnes condamnées.

 

Le Syndrome met en lumière les origines du mythe du « Bébé Secoué ». Il identifie sans ménagement ceux qui ont construit leurs carrières et profité de cette théorie en révélant leur passé choquant. Les partisans de la théorie du « Bébé Secoué » sont dès lors déterminés à faire taire leurs critiques, alors même qu’un nombre impressionnant de vies ont été ruinées.

 

L’année dernière (2014), le professeur de Droit Deborah Tuerkheimer qui apparait dans le film de Goldsmith a écrit un article pour Slate au sujet d’une gardienne de 43 ans, Jennifer Del Prete (Illinois) qui a passé 10 ans de sa vie en prison alors qu’elle avait écopé de 20 ans pour une histoire de « bébé secoué ». Elle a finalement été libérée par un juge fédéral. L’article de Tuerkheimer : «  Un juge déclare finalement que le diagnostic du Bébé Secoué relève d’un « article de foi » a fait comprendre que cette décision du juge « faisait partie d’un nombre croissant  d’avis de juges, de jurés, et même de procureurs au sujet des condamnations pénales sur base de diagnostics du Syndrome du Bébé Secoué ».

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Tuerkheimer poursuit :

 

Toute cette affaire arrive à un tournant critique. La certitude qui avait trait au « Syndrome du Bébé Secoué »… s’est progressivement dissoute depuis des années. Le système judiciaire commence à reconnaitre ce changement mais devrait aller plus loin et peut-être annuler les condamnations passées. (Lire la suite de l’article en anglais).

 

Le Syndrome du Bébé Secoué peut être la preuve d’un rachitisme induit par les vaccins

 

Christina England a commenté le livre du Dr David Ayoub, radiologue à Springfield, Illinois. Ce radiologue a établi un lien entre les fractures des enfants découvertes aux rayons X, et erronément attribuées au diagnostic du « Bébé Secoué », à un rachitisme infantile.

 

Le Dr Ayoub estime que ce n’est pas uniquement la mauvaise alimentation et le manque de soleil qui sont responsables du nombre croissant d’enfants souffrant de rachitisme, mais aussi le nombre croissant de vaccins contenant de l’aluminium.

 

Le Dr Ayoub, expert en rachitisme infantile, a été impliqué dans des centaines de cas de rachitisme mal diagnostiqués dans le monde. Il a accepté de témoigner en faveur de nombreux parents innocents accusés du « Syndrome du Bébé Secoué ».

 

Ne permettez pas que l’industrie médicale puisse bloquer la diffusion de l’important message que véhicule le film The Syndrome. Les fausses accusations de « Bébé Secoué » arrachent les enfants à leurs parents et mettent des innocents derrière les barreaux ! Il faut que le message de ce film puisse atteindre le plus grand public possible ! 

 

Source : Medicalkidnap.com

http://initiativecitoyenne.be/2016/03/une-celebre-neuropathologiste-voit-sa-carriere-detruite-pour-avoir-voulu-refuter-la-theorie-dite-du-syndrome-du-bebe-secoue.html

21 mars 2016

Si les gens savaient à propos des jus d'oranges, personne en achèterai !!!!

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Comment en est-on venu à considérer le jus d’orange (et même les oranges sous n’importe quelle forme) comme les éléments indispensables d’une alimentation santé ? L’image de santé associée au jus d’orange est en fait très récente. Il n’y a pas si longtemps, le jus d’orange n’avait pas sa place à la table du petit déjeuner, trop acide, trop cher ou tout simplement pas très bon. Alors que maintenant, un grand verre de jus d’orange est devenu l’image même d’un petit déjeuner équilibré, plein de vitamines et de fraicheur.

Un jus d’orange ou un soda ?

Le jus d’orange est perçu comme une boisson saine, alors que sur le plan nutritionnel, il ne vaut guère mieux qu’un soda ! Un verre de jus d’orange en bouteille, même bio, contient en réalité autant de sucre qu’un coca.

Le jus d’orange est composé en majeure partie d’eau et de  sucres. Le matin, après le jeûne de la nuit, le corps est très réceptif à la moindre dose de sucre, et une fois que le jus est avalé, dans les minutes qui suivent, votre métabolisme doit se débrouiller pour gérer cette arrivée soudaine. Sachant que pour remplir un verre, il faut plusieurs oranges, la dose de sucres est encore plus importante et l’effet encore plus marqué. En fait, le jus du matin peut être responsable des phénomènes d’hypoglycémie, de la baisse d’attention que vous ressentez en fin de matinée.

Faut-il mieux presser des oranges ?

Il faut mettre sérieusement en question le côté naturel du jus d’orange en bouteille ou pire en pack. Les industriels ont travaillé pour obtenir un produit agréable au goût et qui se conserve bien grâce à la pasteurisation ou à la stabilisation. Le jus d’orange du commerce frais, naturel et sain, dont le goût serait proche d’un jus pressé maison n’existe pas encore… Ou je ne l’ai pas trouvé !

Le jus d’orange est acide

Les fruits, c’est bon pour la santé et il faut en manger ! Oui, bien sûr, mais pas à n’importe quel moment…

Les fruits sont toujours mieux digérés quand on les consomme en dehors des repas, sinon ils risquent de provoquer des ballonnements et de l’inconfort.  C’est une règle générale, mais dans le cas de l’orange, fruit acide, ça peut être encore pire ! Consommée en même temps que du pain ou des céréales, comme c’est le cas lors du petit déjeuner classique, elle sera vraiment difficile à digérer, les sucs digestifs requis pour sa digestion entrent en conflit avec ceux nécessaires à la digestion des céréales. Même si vous n’en avez pas conscience, la digestion est un processus complexe qui n’est jamais gagné d’avance, autant ne pas compliquer la tâche et éviter d’associer aliment acide et farineux.

D’ailleurs, le jus d’orange ne peut pas être à conseiller, même en dehors des repas, à tout le monde. Certaines personnes ont beaucoup de mal à métaboliser les acides, et l’orange est un fruit très acide qui peut majorer les phénomènes d’acidification de l’organisme. Le matin au petit déjeuner, le jus d’orange est catastrophique pour la plupart des personnes et contribue à amplifier l’acidose. Encore plus en hiver, car même si l’orange est un fruit d’hiver, il vient des régions chaudes. Le jus d’orange ne vous apportera dans ce cas aucune énergie, bien au contraire.

Mais où trouver de la vitamine C ?

Les recherches sur la vitamine C et le scorbut ont permis de mettre en avant la teneur en vitamine C de l’orange et d’en faire la promotion. C’est à ce moment là que manger des oranges aussi souvent que possible est devenu le credo, et que boire un jus d’orange au petit déjeuner semblait le moyen idéal de s’assurer de sa dose quotidienne.

Pas de crainte, d’autres fruits ou légumes sont riches en vitamine C : le persil, le citron, le kiwi, le poivron, etc. Pourtant, les apports en vitamine C peuvent être inférieurs aux besoins de l’organisme (avec ou sans orange au petit déjeuner). En particulier, si vous êtes fumeur, si vous prenez la pilule, ou dans d’autres situations particulières. En fonction de votre apport en fruits et légumes, il faudra peut être envisager un complément alimentaire de vitamine C.

Le jus d’orange, ce n’est pas comme manger une orange

Les qualités nutritionnelles de l’orange ne sont pas les mêmes si vous la mangez entière ou si vous la consommez en jus. Comme pour tous les fruits.

D’abord, la teneur en vitamine C de l’orange est plus importante dans le fruit entier que quand vous le pressez, à moins de le boire immédiatement. La vitamine C résiste mal à la lumière et à l’air, elle disparait en quelques minutes après pressage par oxydation de l’air.

Mais c’est surtout la teneur en fibres qui fait toute la différence. Un jus ne contient plus de fibres, ou alors un tout petit peu si vous ajoutez la pulpe, mais rien à voir avec le fruit entier. Or ces fibres sont des éléments essentiels d’une bonne digestion et ils ralentissent l’absorption des sucres par l’organisme. L’assimilation d’une orange entière est plus lente que dans un jus : l’index glycérique est abaissé et ne provoque pas de pic de glycémie, les fibres contribuent à la sensation de satiété et favorisent un bon transit.

Conclusion : une orange ne conserve ses avantages que si elle consommée entière (sans la peau quand même !), en dehors des repas, en été et dans l’après midi.

 

http://mon-naturopathe.com/blog/alimentation/pourquoi-vous-ne-devriez-pas-boire-de-jus-dorange

28 décembre 2015

Le diesel, un secret bien gardé qui pourrait entraîner un scandale

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Le diesel, un secret bien gardé qui pourrait entraîner un scandale comme ceux de l'amiante ou du sang contaminé. Il implique des millions de personnes, fait tous les ans des dizaines de milliers de victimes en France, et est au coeur du secteur automobile.

Au départ, ce carburant était destiné à «sauver» l'industrie automobile française. Aujourd'hui, il détruit des vies. Des scientifiques, des victimes, des détracteurs et des défenseurs du diesel témoignent sur le sujet. Ce document analyse également pourquoi et comment les autorités françaises n'ont pas alerté l'opinion plus tôt sur ses dangers.

Emission diffusée le 11/11/2012 sur France 5.

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