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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
danger
13 août 2013

Le vaccin contre la polio contaminé par le virus SV40 dans les années 50 et 60 serait une des cause des cancers actuels

vaccins

vaccin danger

Un crime parfait après autant de temps personne ne viendra soupçonner ce vaccin !

20 août 2001 – En avril dernier, plus de 60 scientifiques réunis à Chicago ont mis en joue leur ennemi commun: un virus de singe qui a contaminé les premiers vaccins contre la polio entre 1955 et 1963 et qui serait carcinogène. L’affaire est de taille, car on estime qu’à l’époque, plus de 100 millions de personnes, dont entre 10 et 30 millions d’Américains, ont reçu ces vaccins contaminés. Voici le résumé d’une très longue histoire.

En 1955, grâce au Dr Jonas Salk, les humains ont enfin une arme contre la polio, un fléau mondial qui touche à l’époque des centaines de milliers de personnes et en tue des milliers. En 1960, alors que les cas de polio sont en chute libre, une chercheuse du National Institutes of Health découvre que le vaccin Salk est contaminé par un virus de singe – le vaccin est issu de cultures faites sur des tissus rénaux de singes asiatiques – qui se révèle carcinogène chez des animaux de laboratoire. Le SV40 (Simian Virus 40) est isolé l’année suivante et l’agence américaine de santé publique demande alors, discrètement, aux compagnies pharmaceutiques de débarrasser le vaccin de cet intrus. Cependant, elle n’exige pas le rappel des stocks déjà en circulation, soit plus d’une année d’approvisionnement.

La position des autorités médicales américaines n’a pas changé entre 1961 et 2001: oui, le vaccin a été contaminé par le SV40, mais il n’est pas présent dans les tumeurs humaines (ou en infime quantité et les analyses donnent des résultats contradictoires) et les nombreuses études menées sur les populations exposées au vaccin contaminé n’ont jamais pu démontrer une augmentation des cas de cancer.

Voilà qui fait bondir le camp adverse, composé de nombreux scientifiques qui étaient fort sceptiques avant de commencer leurs travaux sur le SV40. Selon eux, ce virus est présent dans les tumeurs, en très petites quantités certes, mais il est redoutable. En effet, de plus en plus de travaux établissent un lien entre le SV40 et certains cancers du cerveau, du mésothéliome (habituellement relié à une exposition à l’amiante) et des os. Le lien n’est pas direct, mais ces chercheurs sont convaincus que le SV40 joue un rôle-clé et qu’il faut élucider son mode d’action pour, non seulement soigner les personnes atteintes de ces types de cancer, mais aussi mettre au point un vaccin qui, en neutralisant le SV40, court-circuiterait la carcinogénèse.

Au moment de la conférence en avril dernier, plus de 60 travaux provenant de 30 laboratoires différents étayaient cette hypothèse. Il semble que la détermination de ces chercheurs oeuvrant partout dans le monde ait fait plier le National Cancer Institute des États-Unis: non seulement l’organisme a émis un avis reconnaissant la possibilité que le virus SV40 soit associé au cancer chez l’homme1, mais il a aussi décidé de financer des travaux dédiés à la mise au point d’un vaccin contre le SV40.

Cette longue histoire ne s’arrête cependant pas là. En effet, aux États-Unis, des dossiers internes des Laboratoires Lederle (le principal fabricant du vaccin contre la polio) ont récemment été rendus publics dans le cadre d’un litige n’ayant pas de rapport avec le virus SV40. Or, ces documents jettent un doute sérieux sur les mesures prises pour éviter la contamination du vaccin Sabin (virus atténué administré par voie orale) qui fut approuvé en 1962, soit sept ans après celui de Salk (virus tué administré par injection). Voilà un point qui, s’il est prouvé un jour, éluciderait un mystère récurrent dans la saga du SV40: comment se fait-il qu’on détecte ce virus dans les tumeurs de personnes nées après 1963, soit après que tous les lots de vaccins Salk contaminés aient été utilisés?

Certaines personnes ne se posent plus la question: les parents d’un enfant mort à 2 ans det demi d’un cancer au cerveau poursuivent Lederle. L’analyse de la tumeur de leur fils a révélé la présence du SV40; il avait été immunisé contre la polio en 1997 à l’aide d’un vaccin Sabin. La mère d’un enfant immunisé de la même façon en 1968 songe aussi à poursuivre la compagnie pharmaceutique: opéré à 2 ans pour un cancer du cerveau, son fils, qui a maintenant 33 ans, vit avec elle et requiert une assistance quotidienne.

Françoise Ruby – PasseportSanté.net

D’après le San Francisco Chronicle – 1

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19 février 2013

Le colorant de Coca-Cola et Pepsi serait cancérigène

coca

 Le CSPI (Center for Science in the Public Interest) a récemment expliqué au Daily Mail que Coca-Cola et Pepsi utilisent un caramel, pour colorer leurs boissons, qui serait cancérigène. En effet, deux substances chimiques provoqueraient des cancers : le 2-MI et le 4-MI.

Le porte-parole de l’organisme précise que : « Contrairement au caramel préparé chez soi, en faisant fondre du sucre dans une poêle, la version artificielle à l’origine de la couleur “coca” est le fruit de la réaction chimique obtenue par l’association de sucre, d’ammoniac et de sulfites portés à haute température ».  Ce processus aurait pour effet de créer ces deux substances toxiques qui, d’après les études menées sur des rongeurs, provoquent des « cancers du poumon, du foie, de la thyroïde et de la leucémie ». Les experts affirment que ce type de caramel pourrait provoquer des milliers de cancers.

L’institut de prévention toxicologique américain aurait confirmé le fait que ces deux substances seraient cancérigènes chez les animaux et donc potentiellement chez l’homme.

Le CSPI estime que ce colorant artificiel n’apporte aucun bienfait nutritionnel aux boissons d’autant plus que des alternatives existent pour donner cette couleur marron-noire comme les betteraves et les carottes par exemple.

Le directeur du CSPI demande ainsi tout simplement à la FDA (Food and Drug Administration) que ces deux boissons soient interdites !

Cette nouvelle n’a visiblement pas plu à tout le monde. Coca-Cola a réagi en affirmant que « nos boissons sont totalement sûres » et ajoute que les « extrapolations de CSPI pour la santé humaine et le cancer sont totalement infondées ».

Raisons pour arrêter de boire des sodas :

  • Les sodas sont inutiles sur le plan nutritionnel. Ce n’est que de l’eau sucrée avec des additifs.
  • Ils augmentent le risque de devenir obèse, diabétique, de développer des caries.
  • Ils peuvent provoquer de l’ostéoporose et ralentir la croissance des os.
  • Ces boissons sont dangereuses pour les reins, le foie et le pancréas.
  • Ils entravent le bon fonctionnement de l’appareil digestif.
  • Par la forte concentration en caféine ils favorisent la déshydratation et la fuite des minéraux par l’effet diurétique (auxquels se rajoutent tous les effets secondaires indésirables à une surdose de caféine).
  • Le colorant utilisé dans certains sodas est très probablement cancérigène pour l’homme.
  • Les sodas qui contiennent de l’aspartame sont dangereux : l’aspartame possède à lui tout seul 92 effets néfastes pour la santé !

Changez de boisson, beaucoup d’autres alternatives existent :

  • Boire tout simplement de l’eau
  • Du thé
  • Des jus de fruits (de préférence pressés fraichement soi-même, et encore mieux avec des fruits bio)

Suggestions pour approfondir le sujet :

Le documentaire “L’affaire Coca-Cola” (The Coca-Cola case) :

“Dans certains pays, on ne s’embarrasse pas des syndicalistes. On les tue! Depuis 2002, plus de 470 leaders ouvriers y ont été abattus par des milices paramilitaires à la solde de compagnies prêtes à tout pour empêcher leurs employés de se syndiquer. Au nombre de ces entreprises figurerait Coca-Cola ! Dans ce fascinant road-movie judiciaire, trois militants américains acharnés se lancent dans une véritable croisade contre le géant, à coups de poursuites devant la Cour fédérale des États-Unis et de campagnes de dénonciation chocs. Les victimes obtiendront-elles enfin justice ? Et que choisiront-elles : l’argent, le pouvoir ou la dignité?”

 

 

Sources principales :

http://www.dangersalimentaires.com/2011/04/coca-cola-une-boisson-dangereuse-et-cancerigene/

15 février 2013

Neuf questions pour triompher dans tout débat SUR LES VACCINS

vaccin

David Mihalovic, ND

Depuis que la pandémie de grippe a été déclarée, plusieurs soi-disant « experts » des vaccins sont « sortis du bois » pour tenter de justifier l’efficacité des vaccins. Tous répètent comme des perroquets les mêmes perspectives historiques et pseudo-scientifiques que les 9 questions suivantes peuvent facilement déconstruire.

 

Affirmation : L’étude des vaccins, l’histoire de ce qu’ils ont permis de réaliser, leur efficacité et leurs mécanismes sont parfaitement connus et démontrés dans les cercles scientifiques et médicaux.

 

Réalité : Ces prétentions sont complètement fausses.

 

1.   Question à poser : pourriez-vous s’il vous plaît fournir une étude en double aveugle avec placebo contrôlé qui prouve l’efficacité et l’innocuité des vaccins ?

 

2.  Question à poser : pourriez-vous s’il vous plait fournir des preuves scientifiques de quelque étude que ce soit qui confirmerait la sécurité et l’efficacité à long terme des vaccins ?

 

3.  Question à poser : pourriez-vous s’il vous plaît fournir des preuves scientifiques qui pourraient démontrer que la diminution des maladies dans n’importe quelle partie du monde et à n’importe quelle époque est à attribuer à la vaccination des populations ?

 

4.   Question à poser : pourriez-vous s’il vous plait expliquer comment la sécurité des vaccins, la répartition de leurs composants dans le corps, ainsi que leur élimination ont été scientifiquement démontrées si leur pharmacocinétique (l’étude de l’absorption par le corps, la distribution, le métabolisme et l’élimination de tel ou tel produit) n’a jamais fait l’objet d’une étude en ce qui concerne chaque vaccin ?

 

L’un des éléments les plus importants permettant de définir la toxicité de n’importe quel vaccin est précisément sa pharmacocinétique.

 

Dans toute l’histoire des vaccins, il n’existe pas d’étude réalisée en double aveugle avec placebo contrôlé qui ait jamais prouvé leur sécurité, leur efficacité et leurs réalisations (à moins que par réalisations on entende les dommages qui ont été provoqués à toute la race humaine.)

 

Il n’existe pas non plus d’études contrôlées dans quelque pays que ce soit qui auraient objectivement prouvé que les vaccins ont eu un effet direct sur la réduction de quelque type de maladie que ce soit et dans n‘importe quelle partie du monde.

 

Toutes les études qui ont tenté de démontrer la sécurité et l’efficacité des vaccins n’ont pu que se heurter à des problèmes neurotoxiques, cancérogènes, mutagènes ou de fertilité. Mais ces problèmes ont été mis de côté.

 

Affirmation : les conservateurs et les additifs chimiques utilisés dans la fabrication des vaccins sont sûrs et aucune étude n’a prouvé que leur utilisation était dangereuse pour l’homme.

 

Réalité : Cette affirmation est complètement fausse.

 

5.  Question à poser : pourriez-vous s’il vous plait justifier scientifiquement que le fait d’injecter des produits neurotoxiques à un être humain puisse être bénéfique à sa santé et prévenir des maladies ?

 

6.  Question à poser : pourriez-vous fournir un profil de la relation bénéfices/risques démontrant que l’injection d’un produit neurotoxique en vue de prévenir une maladie  présente davantage de bénéfices que de risques pour la santé ?

 

Cette question n’a même plus sa place dans un débat. Il est un fait scientifiquement établi dans des centaines d’études que les conservateurs et les additifs chimiques des vaccins endommagent les cellules. La neurotoxicité, l’affaiblissement immunitaire, l’inflammation auto-immune chronique et les effets cancérogènes ne sont que quelques-uns des nombreux effets qui ont été observés sur le corps humain.

Voir la liste des produits chimiques utilisés dans les vaccins :

http://preventdisease.com/news/09/100509_vaccine_chemicals_inserts.shtml

 

Il est encore heureux que les compagnies pharmaceutiques nous précisent les dégâts que les vaccins peuvent produire sur le corps humain, mais les gens ne lisent généralement pas ces informations, alors que tout ce qu’il y a à faire est de lire la notice de chaque vaccin. Cette notice précise les ingrédients, les effets secondaires qui pourraient parfois s’avérer mortels.

http://preventdisease.com/news/09/092109_H1N1_package_inserts_warnings.shtml

 

A titre d’exemple jetez un coup d’œil  à mon analyse du vaccin Arepanrix H1N1

http://preventdisease.com/news/09/102609_Alert_Canadians_Arepanrix_vaccine_analysis.shtml

 

Tout professionnel de santé qui pense qu’il est justifié d’injecter quelque type de neurotoxine dans le corps d’une personne pour prévenir une maladie quelconque ne peut être que mal informé, induit en erreur ou ignorant de toute logique en ce qui concerne la santé humaine.

 

Affirmation : la personne qui reçoit un vaccin contenant un antigène étranger est à l’abri de futures infections.

 Réalité : Cette prétention est complètement fausse.

 

7.  Question à poser : pourriez-vous justifier scientifiquement que le fait de contourner les voies respiratoires et les muqueuses serait avantageux. Comment pourriez-vous également justifier scientifiquement que le fait d’injecter directement des virus dans le flux sanguin pourrait améliorer le fonctionnement immunitaire et prévenir des maladies ?

 

8.  Question à poser : pourriez-vous justifier scientifiquement qu’un vaccin pourrait empêcher des virus de muter ?

 

9.  Question à poser : pourriez-vous s’il vous plaît fournir une justification scientifique quant à la manière dont une vaccination pourrait cibler un virus chez un individu infecté, alors que le virus en question ne correspondrait pas parfaitement à la configuration virale ou à la souche du vaccin ?

 

Tous les promoteurs de vaccins ne réalisent pas que les voies respiratoires de l’homme (en fait de tous les mammifères) contiennent des anticorps qui initient les réponses immunitaires naturelles au sein de la muqueuse des voies respiratoires. Le fait de contourner les muqueuses du système immunitaire en injectant directement des virus dans le sang conduit à une corruption du système immunitaire lui-même. Il en résulte que les virus pathogènes ou les bactéries ne pouvant être éliminés par le système immunitaire, se maintiendront dans le corps  se multiplieront  ou muteront quand la personne sera, dans l’environnement, exposée à plus d’antigènes, des toxines qui continueront à assaillir son système immunitaire.

 

Malgré l’injection de n’importe quel type de vaccin, les virus continueront à circuler dans le corps et à muter. Quand les fabricants de vaccins ciblent une souche virale sans en connaître exactement les propriétés mutagènes équivaut à viser une cible fixe qui aurait déjà été déplacée. Dans ce cas, le tireur viserait non pas ce qui est mais ce qui était !

 

Les virus de la grippe peuvent muter, se modifier et s’adapter plusieurs fois au cours d’une seule saison grippale. Ce qui rend parfois le vaccin contre la grippe saisonnière totalement inefficace au cours de la saison. Ironie du sort, les défenses immunitaires de l’organisme humain peuvent cibler toutes ces modifications alors que les vaccins en  sont incapables.

 Je n’ai jamais rencontré un défenseur de la théorie vaccinale, scientifique ou médecin qui ait pu répondre à une seule de ces questions, sans parler des huit autres.

 

Au cours d’un débat  ayant trait aux questions qui précèdent, les situations suivantes pourraient se présenter :

 - Ils vont reconnaître leur défaite et admettre qu’ils sont perplexes.

 - Ils vont tenter de discréditer tout ce qui ne se rapporte pas directement à la question posée.

 - Ils formuleront leur réponse en s’appuyant sur des arguments « historiques » et des études scientifiques qui ont été réfutées maintes et maintes fois. Pas un seul partisan des vaccins ne sera jamais à même de répondre directement à ces questions dans un débat public.

 

 http://preventdisease.com/news/09/102809_9_arguments_to_win_any_vaccine_debate.shtml

17 janvier 2013

Prevenar 13: documents confidentiels accablants /risques neurologiques de la double vaccination

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Documents confidentiels sur le vaccin Prevenar 13 : la preuve que les firmes ET les
autorités de santé SAVENT le bienfondé de nos inquiétudes !

Trois documents confidentiels nous sont récemment parvenus sur le vaccin Prevenar 13, un vaccin largement administré aux enfants:  IWyeth_confidential_neurological_eventsCI, ICI et ICI



Le 8 décembre dernier, la presse faisait état du volumineux document confidentiel de 1271 pages de
GSK sur la pharmacovigilance du vaccin Infanrix hexa que des employés de l’Agence belge du
Médicament nous ont fait parvenir.[1] Ce document accablant démontrait déjà de graves problèmes de
sécurité avec un éventail de complications graves, y compris 36 décès (en 2 ans), jamais
communiquées aux parents et ce, en violation des exigences de la loi du 22 août 2002 sur
l’information des patients.

A présent, d’autres documents confidentiels sont arrivés entre nos mains sur la sécurité d’un autre
vaccin pédiatrique très utilisé chez les nourrissons et co-administré en même temps que le vaccin
hexavalent Infanrix hexa : le Prevenar 13, un vaccin de la firme Wyeth/Pfizer contre les
pneumocoques.

Ce vaccin dirigé contre 13 souches de cette bactérie, et qui constitue une version prétendument
améliorée de l’ancien Prevenar (contre 7 souches), a en fait remplacé en catimini cette ancienne
mouture en 2010 pour mieux dissimuler le fiasco de cette précédente vaccination qui s’était soldée par
une hausse des infections graves et donc un effet tout à fait contre-productif.[2]

Mais si ce vaccin n’est pas si efficace qu’on le dit, est-il au moins sans danger pour de si jeunes
enfants ?

Il ressort de documents confidentiels récents de Wyeth (Pfizer) ET d’une réponse de l’Agence
Européenne du Médicament (EMA) que la firme comme l’Agence sont au courant d’un nombre
très nettement accru d’effets secondaires neurologiques chez les enfants vaccinés simultanément
avec Prevenar 13 ET Infanrix hexa, comme le calendrier vaccinal belge le prévoit justement à
l’âge de 2 et 4 mois.

Le 4 janvier 2012 dernier en effet, au terme d’un délai imparti de 6 semaines, Mary Allin et Helen
Edwards, deux Directrices des Affaires Réglementaires du groupe Pfizer répondaient en effet au Dr S.
Spinosa de l’Agence Européenne du Médicament au sujet de « la hausse des évènements
neurologiques constatés en Italie après la co-administration du Prevenar 13 et de vaccins
hexavalents. ». Ces deux directrices précisaient d’ailleurs, au terme de ce courrier, qu’elles estimaient,
sur base des données fournies, qu’il n’y avait pas lieu de modifier l’information de référence sur la
sécurité du vaccin (RSI), c'est-à-dire sa notice. [3]

Pourtant, un autre document confidentiel, qui n’est rien de moins qu’une correspondance entre
l’Agence Européenne du Médicament (CHMP) et la firme titulaire de l’autorisation de mise sur le
marché (MAH), [4] stipule « Le profil bénéfices/risques du Prevenar 13 reste positif cependant
les inquiétudes potentielles de sécurité suivantes nécessitent de plus amples investigations de la
part de l’Agence Britannique des Médicaments (MAH) :

1) Décès : Il y a eu 22 décès durant la période d’évaluation (de 2 ans), ce qui représente
2,6% du nombre total de cas (d’effets secondaires) rapportés pendant cette période.
Cette proportion (de décès) s’est accrue de 0,3% pendant la précédente période
d’évaluation. En outre, dans une large majorité de cas, l’intervalle de temps entre
l’administration du Prevenar 13 et le décès (ou le début des symptômes ayant mené à la
mort) était étroit. Nous considérons les informations fournies sur les cas de décès comme
inadéquates.

2) Manque d’efficacité : Il y a eu 51 cas rapportés concernant le manque d’efficacité du
vaccin. […] Il y a une inquiétude que ces cas puissent être sous-estimés s’ils ne sont pas
recensés sous les termes et codes adéquats. […]

4) Effets neurologiques chez les sujets ayant reçu concomitamment Prevenar 13 et un
vaccin hexavalent. Suite à une enquête de pharmacovigilance d’octobre dernier au sujet
de la hausse potentielle de l’incidence des effets neurologiques après co-administration
de vaccins et constatée dans le programme national italien de vaccinations, il est
demandé à l’Agence Britannique des Médicaments (MAH) de fournir une revue
cumulative des réactions neurologiques survenues chez ceux qui avaient reçu à la fois le
Prevenar 13 et un vaccin hexavalent.

Vient ensuite la réponse de la firme qui a effectué une recherche dans la base de données Pfizer
pour la période du 10 juillet 2009 au 9 juillet 2011, soit 2 ans.

Sur cette période, la firme nous apprend que 1691 rapports d’effets secondaires après le Prevenar
13 ont été notifiés à Pfizer pendant cette période. Sur ces 1691 rapports, 312 cas soit 18%
concernaient des effets secondaires neurologiques.

Fait important, la firme a évalué la fréquence respective d’accidents neurologiques chez trois
catégories d’enfants : ceux ayant reçu le même jour uniquement le Prevenar 13, ceux ayant
reçu le même jour le Prevenar 13 et d’autres vaccins et ceux ayant reçu le même jour le
Prevenar 13 et un vaccin hexavalent.

Chez les 934 enfants n’ayant reçu que le Prevenar 13 et présentant des effets secondaires, 87
présentaient des effets secondaires d’ordre neurologique (87/934 soit 9%)

Chez les 287 enfants ayant reçu le même jour le Prevenar 13+ d’autres vaccins et présentant des
effets secondaires, 62 présentaient des effets secondaires neurologiques (62/287 soit 21%)

Chez les 470 enfants ayant reçu le même jour le Prevenar 13 + un vaccin hexavalent et présentant
des effets secondaires, 163 présentaient des effets neurologiques (163/470 soit 34% !!)

Il est donc clair, et cela se marque dans différents pays d’ailleurs, que la co-administration de
plusieurs vaccins, en particulier ceux recommandés dans le calendrier vaccinal belge également
(Prevenar 13 en même temps que l’Infanrix hexa) démultiplie le risque de réactions neurologiques,
y compris des effets graves et potentiellement irréversibles ! C’est là exactement ce que nous
disons depuis des années en évoquant la dangereuse survaccination des nourrissons !

Ainsi, qu’il s’agisse de cris persistants, de convulsions, d’hypotonie-hyporéactivité, de
tremblements, de perte de conscience, d’épilepsie, de spasmes infantiles ou d’absence de réponse
aux stimuli, ces effets sont à chaque fois plus fréquents en cas d’administration simultanée du
Prevenar 13 et de l’Infanrix Hexa. Qui donc en informe jamais les parents ? L’ONE ?

L’ONE a toujours affirmé dans tous ses supports d’information que la co-administration de
plusieurs vaccins ne posait aucun problème de sécurité, que les effets secondaires étaient
généralement semblables à ceux des vaccins administrés séparément [5] et même, que cette façon
de procéder favorisait « le confort de l’enfant » tout en augmentant l’adhésion aux vaccinations
[6] !

Nous notons en outre que l’Agence Européenne a relevé, tout comme nous l’avions fait sur base
du document confidentiel sur l’Infanrix Hexa, la relation temporelle étroite dans la plupart des
cas entre le décès et la vaccination ainsi qu’entre la vaccination et diverses complications
neurologiques comme les convulsions et l’hypotonie (la majorité survenant dans les 24 h après
le vaccin ou très peu après) [7]

Enfin, un troisième document confidentiel important sur le Prevenar 13 renseigne de façon
accablante sur les données des essais cliniques. [8] Ce document stipule que la firme a demandé,
au niveau européen, une autorisation de mise sur le marché le 2 décembre 2008 pour son vaccin
Prevenar 13, autorisation reçue le 9 décembre 2009. Ces données ont servi à l’obtention de
l’autorisation de mise sur le marché au Japon et au Canada. Mais surtout, en matière de tolérance
du produit, ce qu’on y apprend est assez effarant.

Tout d’abord, ce qui est incroyable, c’est la méthodologie et le nombre d’enfants visés pour
évaluer la « sécurité » du Prevenar 13 : au lieu de comparer un large échantillon d’enfants ayant
reçu ce vaccin et ceux n’ayant reçu aucun vaccin du tout, le fabricant a comparé son Prevenar 13
(soit la nouvelle version) à l’ancienne (Prevenar 7) !
Au niveau du nombre d’enfants évalués, il est ridiculement faible : 796 bébés + 569 jeunes
enfants= 1365 enfants en tout, répartis en deux études et 4 groupes (Prevenar 13/ Prevenar 7 chez
les bébés et les jeunes enfants suivant l’une ou l’autre étude) alors que 10 000 enfants est un
nombre parfois encore trop restreint pour évaluer les effets secondaires graves rares !! Seuls 580
sujets ont fait l’objet d’un suivi des effets secondaires de 6 mois. Plusieurs enfants ont bien
« commodément » été retirés des données en raison d’effets secondaires que la firme estimait
arbitrairement ne pas être liés de quelque façon au vaccin évalué !

On apprend ainsi tout d’abord que la fréquence des effets secondaires locaux ET systémiques
est significativement supérieure lorsque le vaccin est injecté par voie intra-musculaire par
comparaison à la voie sous-cutanée (alors que la notice continue de conseiller encore à injecter
le vaccin par voie intramusculaire !)

Pour se faire une idée, il faut ainsi savoir que la sensibilité au point d’injection est de 13 à 20%
chez les vaccinés par voie sous-cutanée contre 72 à 79% chez ceux vaccinés en intramusculaire.

Pour les effets systémiques, les chiffres sont encore plus parlants :

Moins de 8,1% des enfants vaccinés en sous-cutané ont dû prendre des médicaments pour la
fièvre après la vaccination contre 78 à 84% de ceux vaccinés en intra-musculaire !
La perte d’appétit a concerné moins de 19% de ceux vaccinés en sous-cutané contre plus de 54%
chez ceux vaccinés en intramusculaire. L’irritabilité touchait moins de 37% des premiers contre
plus de 88% des seconds, la somnolence moins de 41% des premiers contre plus de 70% des
seconds et les troubles du sommeil moins de 24% des premiers et plus de 45% des seconds !
Ces données, non surprenantes, démontrent sans surprise que les risques sont accrus avec
une injection plus profonde des substances toxiques des vaccins (dont l’aluminium
neurotoxique) dans les tissus de l’organisme. L’aluminium injecté par voie intramusculaire
plutôt que sous-cutané est sans conteste un élément-clé dans l’émergence des cas de
myofasciites à macrophages selon l’équipe de chercheurs en neuropathologies du CHU
Henri Mondor de Créteil. [9]

Ce document confidentiel sur les essais cliniques précise cependant que, quelle que soit la voie
d’administration (sous-cutanée ou intramusculaire), 83 à 92% des sujets ont spontanément
rapporté des effets secondaires, un comble pour des produits s’adressant à des bien portants !

Pour ce qui est des effets secondaires GRAVES et leur fréquence dans ces essais cliniques, la
firme renseigne qu’il a été constaté dans une étude pas moins de 30 réactions sérieuses chez 22
sujets soit un taux d’effets secondaires graves de 11,4% !!
Ces réactions étaient pour la plupart des infections et des infestations qui nécessitaient
l’hospitalisation. La firme prend toutefois la peine de préciser que selon l’investigateur,
AUCUNE de ces réactions graves n’a été considérée comme liée à la vaccination !!
Ce taux était par ailleurs nettement plus élevé chez les bébés que les enfants un petit peu plus âgés,
preuve là aussi que l’immaturité immunitaire des bébés ne fait décidément pas bon ménage avec la
vaccination acharnée telle qu’actuellement préconisée de façon aveugle par des experts en conflits
d’intérêts.

Au total, 42 sujets sur les 1365 évalués ont présenté un effet secondaire grave soit 3% d’entre
eux, un taux totalement inacceptable et nettement supérieur à l’incidence des complications graves
des pneumocoques en population générale !!

Pouvez-vous donc vous rendre compte de l’ampleur du problème puisque la Belgique connaît
128 000 naissances annuelles environ et que l’écrasante majorité des enfants reçoivent à la fois le
Prevenar et l’Infanrix hexa. Un petit calcul permet de se rendre compte que le nombre d’effets
secondaires graves pourrait donc concerner annuellement, en ne considérant QUE ce seul vaccin-
là : 3% X 128 000 naissances soit 3840 enfants !!!!!!!

En conclusion, on voit clairement que toutes ces données ne sont pas rassurantes, et que les
autorités sanitaires cachent beaucoup trop d’informations UTILES aux parents censés agir
au nom de leur progéniture. Les effets secondaires graves sont beaucoup plus fréquents qu’on ne
le prétend et la santé des enfants se trouve DIRECTEMENT mise en danger au nom d’une
idéologie et de recommandations rigides du calendrier vaccinal consistant à recommander
un maximum de doses à la fois pour favoriser la compliance des parents et surtout les intérêts
commerciaux en jeu !

Initiative Citoyenne s’insurge donc avec force contre la poursuite aveugle de ces politiques
mortifères et délétères en termes de santé publique. Nous appelons tous les gens de bonne foi et
de bonne volonté à œuvrer pour que cesse l’omerta et le tabou en la matière mais également
l’aveuglement idéologique qui préside à un tel acharnement vaccinal.

Nos nourrissons et nos enfants n’en peuvent littéralement plus de tous ces vaccins mais ils n’ont
tout simplement PAS LES MOTS POUR LE DIRE.

Pour Initiative Citoyenne,

Marie-Rose Cavalier, Sophie Meulemans, Muriel Desclée.

Références :

[1] http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/2012-2013/confid.pdf

[2]http://www.initiativecitoyenne.be/article-pneumocoques-l-echec-retentissant-de-la-vaccination-
86420861.html

[3]http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/2012-2013/Wyeth-confidential-neurological-events.pdf

[4]http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/2012-2013/emea-responses--Prevenar-13-Pfizer-
Confidential.pdf

[5] http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/dec-2011/ONE-p.-225.pdf

[6] http://www.sante.cfwb.be/index.php?id=programme

[7]http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/2012-2013/emea-responses--Prevenar-13-Pfizer-
Confidential.pdf (cf p. 2, 7 et 10/12)

[8]http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/2012-2013/Prevenar--confidential--overview-clinical-
trials.pdf

[9] http://www.kine-formations.com/docs/Myofasciite_a_macrophages.pdf (cf p. 18 et 20 du
curseur pdf)

25 novembre 2012

Deux chercheurs australiens révèlent que Les vaccins abîment notre système immunitaire

Image-Cour-Supreme--inevitablement-dangereux

Les Drs Dettman & Kalokerinos du Biological Institute australien qui ont pu observer et suivre des milliers d’enfants concluent :
 
 «Selon des recherches sophistiquées (…) les effets produits par les programmes vaccinaux de l’enfance sur les lymphocytes T (…) montrent que le système immunitaire s’avère substantiellement endommagé à la suite des vaccinations de routine. Une part importante des lymphocytes T est mobilisée par les antigènes spécifiques présents dans les vaccins. Une fois ainsi mobilisés, ces lymphocytes T deviennent immunologiquement inertes, incapables de réagir ou de se défendre contre d’autres antigènes, infections ou maladies. Ces découvertes tendraient à montrer que le capital immunologique se trouve substantiellement amoindri chez les nombreux enfants soumis aux programmes vaccinaux courants. »
 
 « Les vaccinations en bas âge ne peuvent pas aider car elles ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa vie, ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une dysfonction immunitaire. »
Drs. H. Buttram et J. Hoffmann
 
 «Le système immunitaire s'avère particulièrement endommagé à la suite de vaccinations de routine... » « ...Le capital immunologique se trouve substantiellement amoindri chez les nombreux enfants soumis aux programmes vaccinaux courantsLe Concours Médical, 20 janvier 1974
 
« J’appelle ça de la vaccinnomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la criminalité. » Nicholas REGUSH, journaliste médical

http://www.initiativecitoyenne.be

 

BUCAREST - Les vaccinations contre la tuberculose administrées aux nouveau-nés ont été suspendues temporairement après l'apparition d'effets secondaires dus à un vaccin importé du Danemark, a annoncé jeudi le ministère roumain de la Santé.

La vaccination n’est pas un acte médical urgent, mais potentiellement dangereux, et, dans ce contexte, l’abus de majorité dont se rend coupable la médecine scolaire (et les instances politiques qui la couvrent), réside d’ailleurs dans le déni du danger lié aux vaccinations. Court-circuiter le médecin traitant en matière de vaccination, comme tentent de le faire actuellement les CLB, est médicalement, juridiquement, et déontologiquement indéfendable. »
   

Il est urgent d’agir. Les parents et les jeunes victimes de ce genre de manipulations scandaleuses ne devraient, selon nous, pas s’arrêter à ce genre d’avis non contraignants mais devraient engager des poursuites judiciaires, au besoin avec l’aide financière de leur assurance familiale (qui couvre notamment aussi l’administration de substances dangereuses, relisez vos contrats !).
 
C’est parce que les gens ont laissé trop faire qu’on a pu en arriver à ce degré-là d’abus de pouvoir et d’autorité. Le public a donc été trop gentil et il est objectivement impossible de ne lui attribuer aucune responsabilité dans ce genre de situation, même s’il est vrai qu’il a été fortement désinformé. Mais scandale après scandale, il reste décevant que les gens ne tirent pas des conclusions un peu plus globales, de façon à éviter ce genre de tyrannie.
 
Les jeunes, même dès l’âge de 12 ou 13 ans, pourraient parfaitement comprendre si d’honnêtes vaccinateurs les informaient par exemple des conséquences financières possibles des effets secondaires de vaccins (comme l’article 8 de la loi du 22 août 2002 sur les droits du patient les y oblige !!!) en leur expliquant par exemple «  qu’en cas d’effet secondaires graves, l’Etat ou le Centre scolaire ne te payeront aucune indemnité, ce sera uniquement tes parents qui devront payer pour cela. » Cela, au moins, ce serait juste et légitime. Car c’est la (triste) réalité, les conseilleurs ne sont jamais les payeurs !

 
Quelques images pour mieux se rendre compte, qu’on soit parent, ado, médecin, journaliste ou politicien... des jeunes filles qui étaient en parfaite santé, vaccinées avec Gardasil, puis comme par hasard, détruites à jamais:

 

Victime-Gardasil-1a

Victime-Gardasil-1b

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26 septembre 2012

La pollution des OGM ne s’arrête JAMAIS car leur ADN s'auto- réplique

 

 

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Grâce à ce reportage, vous découvrirez :


1) Que les organismes génétiquement modifiés (qu’ils soient végétaux ou animaux) ont DEJA échappé à tout contrôle, et ont DEJA commencé à produire des dégâts incalculables (sur la santé, sur l’environnement etc.). Et donc que nous sommes très mal barrés…

2) Que l’étiquetage des produits OGM possède une triple importance, et ne peut être écarté

3) Que les humains sont utilisés à titre de cobayes, souvent à leur insu

4) Que les produits OGM menacent des espèces entières de plantes et d’animaux

5) Que la révolution cartésienne (qui date d’il y a 4 siècles) est une des causes principales des nombreux problèmes que nous connaissons à l’heure actuelle, car elle considère tout de façon matérialiste et mécaniste, et que pour elle, un être vivant n’est, en définitive, rien d’autre qu’une « machine »

6) Qu’un rat, un chat, un singe ou un humain sont à présent reconnus par l’odieux et méprisable gouvernement des Etats-Unis (et sans doute aussi par d’autres gouvernements), SELON LA LOI, comme de vulgaires machines, au même titre qu’un lave-vaisselle ou qu’un réfrigérateur.

7) Que contrairement à d’autres formes de pollution, la pollution des OGM ne s’arrête JAMAIS, car les animaux et les plantes se reproduisent, et l’ADN s’auto-réplique !



8) Que les scientifiques véritablement indépendants ne représentent plus que 5% du total des scientifiques, et donc que les enquêtes indépendantes et non tronquées sont peu nombreuses et possèdent peu de poids face aux scientifiques vendus à au système pourri de l’industrie !


Les Monstrueux Animaux De La Génétique 1/3 ARTE par Nhomme-Beur-One
Les Monstrueux Animaux De La Génétique 2/3 par Nhomme-Beur-One
Les Monstrueux Animaux De La Génétique 3/3 par Nhomme-Beur-One

10 septembre 2011

La découverte d’un virus VPH ADN contaminé dans le vaccin Gardasil

gardazil vaccin canalblogSVP, ne gardez pas cette information pour vous mais partager-la avec vos contacts afin que l’on puisse protéger "une génération" d'enfants...


Mardi, le 6 septembre 2011, SANE Vax Inc., un organisme crédible, indépendant et dont les recherches sont menées avec rigueur scientifique, a publié un article absolument choquant concernant le vaccin GARDASIL, vaccin qui sera administré à toutes les jeunes filles entre 9 et 15 ans et en 2012, même aux garçons!

 
SVP, ne gardez pas cette information pour vous mais partager-la avec vos contacts afin que l’on puisse protéger "une génération" d'enfants...
 
SANE Vax Inc. annonce la découverte d’un virus VPH ADN contaminé dans le vaccin Gardasil

 « Un jour, SANE Vax a reçu un appel peu commun de la mère d’une jeune fille de 13 ans sexuellement non active de la région de Toronto. Selon cette mère sa fille avait développé de l’arthrite rhumatoïde chronique au cours des 24 suivants l’injection du vaccin Gardasil. Deux ans plus tard, son sang était testé par un laboratoire local et elle était alors diagnostiqué infecté par le virus VPH ADN. Les médecins locaux n’étaient pas en mesure de fournir une explication sur les raisons d’une telle infection. En fait, les médecins ne pouvaient expliquer pourquoi le virus se trouvait dans le sang à la place des anticorps qui auraient dû s’y trouver.

Découragé, la mère de la jeune fille contacta SANE Vax afin de voir s’il avait quelconque explication relativement à une telle situation. SANE Vax décida alors de faire appel à des experts afin d’obtenir une opinion professionnelle. Après plusieurs appels téléphoniques, ils en conclurent que la seule avenue qu’il valait la peine d’explorer était de vérifier si Gardasil ne pouvait pas être la cause de la présence du virus VPH dans le sang de la jeune fille.

Dr. Sin Hang Lee, un expert reconnu pour ses méthodes à la fine pointe dans "l’ordonnancement" de l'ADN a été engagé pour examiner un échantillon de Gardasil et évaluer si une contamination était possible. L’échantillon testé démontra la présence de « recombinant viral HPV-11 » et de résidus de « recombinant viral HPV-18 » chacun étant fermement attaché à l’adjuvant d’aluminium. »

Par la suite l’article de SANE Vax donne une série de définition afin de faire comprendre la nature de la découverte ainsi que les implications sérieuses de celle-ci. L’article poursuit en disant "inquiet des conséquences désastreuses sur la santé des personnes injectées au Gardasil, SANE Vax a contacté plusieurs pays qui travaillaient à assurer la sécurité des vaccins et a ainsi obtenu 13 échantillons de Gardasil provenant tous de différents lots".

Dr. Sin Hang Lee testa les 13 échantillons de Gardasil provenant de lots différents et trouva que 100% des échantillons étaient contaminés de résidus du virus du VPH ADN fermement attaché à l’adjuvant d’aluminium.

Pourtant, au moment de l’approbation de vaccin Gardasil, Merck et la FDA (Federal Drug Administration) avaient affirmé qu’il n’y avait aucun ADN du virus présent dans le vaccin. Merck et la FDA savaient ou aurait dû savoir que des résidus de recombinant VPH ADN laissé dans le vaccin posait des risques à la santé de n’importe laquelle des personnes injectées avec le Gardasil.

Par la suite de l’article SANE Vax pose une série de questions et demande des réponses immédiates de la part de Merck et des autorités :

Si le recombinant VPH NDA attaché à l’adjuvant d’aluminium entre dans le sang d’une personne, combien de temps va t’il y demeurer?

Quel désordre auto-immune peut résulter de cette contamination?

Est-ce possible pour cette contamination d’initier une mutation des gènes qui pourrait conduire à un cancer?
 
Quels changements génétiques (mutagenesis) peut en résulter si le VPH DNA entre et commence à se reproduire dans une cellule humaine?
 
SANE Vax croit que la FDA aurait dû exiger que Merck fasse des tests afin d’évaluer et de quantifier les risques reliés au résidus de recombinant VPH ADN dans le Gardasil avant d’octroyer le permis de commercialiser le vaccin. SANE Vax croit que la FDA devrait exiger que chacun des lots de Gardasil soit testé pour vérifier le résidu VPH ADN avant son expédition. Il est temps pour Merck et la FDA de faire leur travail. Il est temps de déclarer les impacts sur la santé que ces contaminants de virus VPH ADN ont créé aux consommateurs inconscients à travers le monde.
 
SANE Vax a envoyé une lettre à Dr. Margaret Hamburg, FDA Commissioner, pour l’informer de la contamination et pour lui demander une investigation relativement à la contamination du VPH DNA dans le vaccin Gardasil HPV4 présentement sur le marché. Il a aussi été demandé que la FDA prenne les mesures appropriées afin d’assurer la sécurité du public relativement aux expéditions futures de Gardasil.

Résumé de l’article qui suit publiée par SANE Vax Inc. le 6 septembre 2011 :

http://sanevax.org

 

Les premiers vaccins mis au point par Pasteur lui-même, comme celui de la rage, étaient en fait des organes d'animaux malades broyés et inoculés directement (moelles épinières de lapins enragés dans ce cas précis). AUJOURD'HUI, LES VACCINS VIRAUX MODERNES SONT PREPARES LE PLUS SOUVENT SUR DES CULTURES DE CELLULES ANIMALES OU HUMAINES (ISSUES DES AVORTEMENTS), CANCERISEES ARTIFICIELLEMENT (ON LES BAPTISE ALORS « IMMORTELLES »), OU ENCORE D'EMBLEE CANCEREUSES (LYMPHOMES). C'EST-A-DIRE QU'ON FAIT « POUSSER » LES VIRUS VACCINAUX SUR CES MILIEUX. C'EST, DANS TOUS LES CAS, LE « JUS » DE CULTURE DE CES CELLULES CANCERISEES QUI EST INOCULE AUX PATIENTS, après filtration et traitements éventuels pour atténuer ou tuer les virus.

15 août 2011

Documentaire :Les conséquences de la privatisation des services publics

Dallas_USA_1600x1200Réalisateur : Florian Opitz

 Enquête aux quatre coins du monde sur les conséquences de la privatisation des services publics et leurs effets concrets dans la vie des individus.

Bongani et son équipe d'électriciens «guerilleros» sillonnent les rues de Soweto pour raccorder au réseau ceux qui sont privés d'électricité parce qu'ils ne peuvent plus payer leur facture. Simon, conducteur de locomotive, parle des accidents mortels qui se sont multipliés depuis la privatisation des chemins de fer à l'époque de Margaret Thatcher. Minda, qui vit dans un bidonville aux Philippines, doit se débrouiller chaque semaine pour trouver l'argent nécessaire à la dialyse de son fils, car le système de santé privatisé n'assure plus les pauvres du pays. A Cochabamba, en Bolivie, les habitants se mobilisent contre une multinationale américaine qui a pris le contrôle de la distribution d'eau dans la ville. Le documentaire donne aussi la parole aux tenants de la privatisation, représentants de la Banque mondiale et du FMI ou chefs d'entreprises privatisées.

 


Dégats (1sur5) privatisation par gaune_692
Dégats (2sur5) privatisation par gaune_692
Dégats (3sur5) privatisation par gaune_692
Dégats (4sur5) privatisation par gaune_692
Dégats (5sur5) privatisation par gaune_692

15 août 2011

Les OGM sont une arme biologique pour le contrôle de la population.

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En mai dernier, l'American Academy of Environmental Medicine (AAEM)a appelé les « médecins à aviser leurs patients, la communautémédicale, et le public d’éviter dans la mesure du possible toutenourriture génétiquement modifiée et fournir des arguments éducatifssur les OGM et leurs risques pour la santé. » Ils ont appelé à unmoratoire sur les OGM, à des études indépendantes de longue durée, et àl'étiquetage.

La monographie de l’AAEM indique : « Plusieursétudes sur animaux montrent de graves risques de santé liés aux denréesalimentaires génétiquement modifiées, » notamment d'infertilité,d’immunité, de vieillissement accéléré, de régulation insulinique, etd’altérations des principaux organes et du système gastro-intestinal.Elle conclut : « Il y a plus qu’une simple association fortuite entreles aliments génétiquement modifiés et les effets néfastes surla santé. Il y a un lien de causalité, » comme le définissent descritères scientifiques reconnus. « La forte association et concordanceentre aliments génétiquement modifiés et maladie est confirmée parplusieurs études sur animaux. »

De plus en plus de médecinsprescrivent déjà un régime alimentaire sans OGM. Le Dr Amy Dean, unspécialiste en médecine interne du Michigan, et membre du conseil del’AAEM signale : « Je conseille vivement à mes patients demanger strictement des aliments non génétiquement modifiés. » JohnBoyles, un médecin allergologue de l’Ohio, déclare : « J’utilisais toutle temps le test pour les allergies au soja, mais maintenant que lesoja est génétiquement modifié, il est si dangereux que je dis aux gensde ne jamais en manger. »

La Doctoresse Jennifer Armstrong,présidente de AAEM, affirme que, « Les médecins voient sans doute leseffets sur leurs patients, mais ont besoin connaître quelles sont lesbonnes questions à poser. » Pushpa M. Bhargava, un biologiste derenommée mondiale, va encore plus loin. Après avoir examiné plus de 600revues scientifiques, il conclut que les OGM sont l’un desprincipaux responsables de la forte détérioration de la santé desÉtasuniens.

Dans la population, le biologiste David Schubert duSalk Institute prévient que « les enfants sont les plus susceptiblesd'être affectés négativement par les toxiques et les autres problèmesalimentaires » liés aux OGM. Il dit que, sans étude adéquate, lesenfants sont transformés en « cobayes. »

La réalité del'expérimentation sur animaux nourris avec des OGM est effrayante.Quand du soja génétiquement modifié (GM) sert à nourrir des rates, laplupart de leurs rejetons meurent dans les trois semaines,comparativement au taux de mortalité de 10% dans le groupe témoinnourri avec du soja naturel. Les petits nourris avec des OGM sont aussiplus petits, et ils ont plus tard des problèmes de fertilité.

Enfait, chez les rats nourris avec du soja GM, la couleur destesticules est changée de rose naturel à bleu foncé. Les souris nourrisavec du soja GM ont leur jeune sperme altéré. Même les embryons dessouris mères nourries avec des OGM ont leur ADN profondément altéré.Dans une étude du gouvernement autrichien, les souris nourries avec dumaïs GM avaient moins de rejetons, et ils étaient aussi plus petits quela normale.

Les problèmes de reproduction accablent aussi lebétail. Des investigations dans l'État de Haryana, en Inde, ont révéléque la plupart des buffles qui ont mangé des graines de coton GM ontdes complications du style accouchement prématuré, avortement,stérilité, et utérus prolabé (déplacé vers le bas). Beaucoup de veauxsont morts. Aux États-Unis, environ deux douzaines de fermiers ontsignalé que des milliers de porcs sont devenus stériles aprèsavoir consommé certaines variétés de maïs GM. Certaines truies ont faitune grossesse nerveuse (false pregnancies), d'autres ont accouché depoches d'eau. Des vaches et des taureaux sont aussi devenues stérilesaprès avoir été nourris avec le même maïs.

Aliment conçu pour produire des poisons

Lemaïs et le coton GM sont conçus pour produire leur proprepesticide, sécrété par chaque cellule. Lorsqu’un insecte mord laplante, le poison lui délabre l’estomac et le tue. Les compagnies debiotechnologie prétendent que le pesticide, appelé Bt (produit à partirde la bactérie du sol Bacillus thuringiensis), a une traditiond'utilisation sûre, car les agriculteurs biologiques et les autresutilisent la bactérie Bt en pulvérisation pour contenir naturellementles insectes.

Pourtant, dans les plantes GM, la toxine Btproduite est des milliers de fois plus concentrée que la Bt naturelledes aérosols, est conçue pour être plus toxique, a les propriétés d'unallergène, et, contrairement celle de l'aérosol, les plantes ne peuventpas s’en débarrasser.

Et par-dessus tout ça, des étudesconfirment que même les aérosols bactériens naturels moins toxiquessont nocifs. Quand ils ont été dispersés par avion pour tuer lalymantride spongieuse dans le nord-ouest du Pacifique, environ 500personnes ont signalé une allergie ou des symptômes semblables à ceuxde la grippe. Certains ont dû aller aux urgences. Les symptômessont exactement les mêmes que ceux rapportés actuellement par lestravailleurs agricoles, partout en Inde où on manipule du coton Bt. En2008, se basant sur des dossiers médicaux, le Sunday India a rapporté,« Les victimes de démangeaisons ont augmenté énormément cette année...dans l'agriculture liée au coton Bt. »

L’American Academy ofEnvironmental Medicine déclare, « De multiples études animales montrentun important dérèglement immunitaire, » notamment l’augmentation descytokines, qui sont « associée à l'asthme, à l'allergie et auxinflammations, » tous en hausse aux États-Unis.

Selon le DrArpad Pusztai, expert en sécurité sur les OGM, les changements dans lacondition immunitaire des animaux sont « une particularitéconstante dans toute étude sur les OGM. » Même les propres recherchesde Monsanto ont montré d'importantes modifications dans le systèmeimmunitaire des rats nourris avec du maïs Bt. Une étude de novembre2008, conduite par le gouvernement italien, a également constaté uneréaction immunitaire des souris au maïs Bt.

Le soja et le maïsGM contiennent chacun deux nouvelles protéines dotées de propriétésallergéniques, le soja GM a jusqu'à sept fois plus d’inhibiteurde trypsine, un allergène connu du soja, et les tests par piqûre de lapeau montrent que certaines personnes réagissent au soja GM, mais pasau soja non GM. Peu après l’introduction du  soja GM auRoyaume-Uni, les allergies au soja ont explosé de 50%. Peut-être quel'épidémie d'allergies alimentaires et d'asthme aux États-Unis est unaccident de la manipulation génétique.

En Inde, les animauxpaissent sur les plantations de coton après récolte. Mais quand lesbergers ont laissé les moutons paître sur des plantations de coton Bt,des milliers sont morts. Les autopsies ont révélé une graveirritation et des taches noires à la fois dans les intestins et dans lefoie (ainsi que les voies biliaires élargies). Les enquêteurs ontdéclaré que les premiers indices « suggèrent fortement que la mortalitédes moutons est due à une toxine, très probablement à la toxine Bt. »Lors d’une petite étude de longue durée de la Deccan DevelopmentSociety, tous les moutons nourris avec des plants de coton Bt sontmorts dans les 30 jours, ceux qui pâturaient sur des plantations decoton naturel sont restés en bonne santé.

Dans un petit villagede l'Andhra Pradesh, les buffles ont pâturé sur des plantations decoton pendant huit ans sans problème. Le 3 janvier 2008, les bufflesont pâturé sur les plantations de coton Bt pour la première fois.Le lendemain, les 13 étaient tous malades ; tous sont morts en 3 jours.Le maïs Bt a aussi été impliqué dans la mort de vaches en Allemagne, etde chevaux, de buffles et de poulets dans les Philippines.

Dansdes études de laboratoire, deux fois quantité de poulets nourrisavec du maïs Liberty Link sont morts ; 7 des 20 rats nourris avec unetomate GM ont manifesté des saignements stomacaux ; dans une autre, 7sur 40 sont morts en deux semaines. Selon GE Seralini, un grandtoxicologue français, une propre étude de Monsanto a montré des signesd'intoxication dans les principaux organes des rats nourris avec dumaïs Bt.

La pire trouvaille de toutes : Les OGM demeurent en nous

Laseule étude publiée sur l'alimentation humaine a révélé ce quipourrait être le plus dangereux problème des OGM. Le gène inséré dansle soja GM se transfère dans l'ADN des bactéries qui vivent dans nosintestins et continue sa fonction. Cela signifie que, longtemps aprèsavoir arrêté de manger des OGM, des protéines GM potentiellementdangereuses peuvent encore être produites sans cesse à l'intérieur denous. Dit plus simplement, manger une croustille de maïs, produite àpartir de maïs Bt, peut, peut-être pour le reste de notrevie, transformer les bactéries vivant dans nos intestins en fabriquesde pesticides.

Quand la preuve du transfert des gènes estrapportée lors de conférences médicales aux Etats-Unis, les médecinsréagissent souvent en faisant allusion à la très forte augmentation deproblèmes gastro-intestinaux chez les patients au cours de la dernièredécennie. Les aliments GM pourraient être en train de coloniser laflore intestinale des Nord-Américains.

Les scientifiques de laFood and Drug Administration (FDA) avait avisé de tous ces problèmesdès le début des années 90. Selon des documents rendus publics lorsd'un procès, le consensus scientifique à l'agence était que lesOGM sont dangereux par nature, et risquent de créer des allergies,des empoisonnements, des transferts de gènes vers les bactériesintestinales, de nouvelles maladies, et des problèmes nutritionnelsdifficiles à détecter. Ils ont vivement conseillé à leurs supérieursd'exiger des tests de longue durée rigoureux. Mais la Maison Blanche aordonné à l’agence de promouvoir la biotechnologie, et la FDA a réagien recrutant Michael Taylor, l'ancien conseiller juridique de Monsanto,à la tête de la formation sur la politique des OGM. Cette politique,qui est en vigueur aujourd'hui, refuse de reconnaître les inquiétudesdes scientifiques et déclare qu'aucune étude de sécuritén’est nécessaire pour les OGM. C’est à Monsanto et aux autrescompagnies de biotechnologie de déterminer si leurs aliments sont sansdanger. M. Taylor est devenu plus tard vice président de Monsanto.

L’AmericanAcademy of Environmental Medicine déclare, « Les aliments GM n'ont pasété convenablement testés » et « présentent un grave risque pourla santé. » Pas un seul essai clinique humain sur les OGM n’a étépublié. En 2007, un examen de la littérature scientifique publiée surles « effets toxiques potentiels et les risques pour la santé desplantes génétiquement modifiées, » a révélé que « les donnéesexpérimentales sont très rares. » L'auteur conclut son examen endemandant : « Où est la preuve scientifique démontrantl’innocuité toxicologique des plantes et des aliments GM, comme celaest supposé par les compagnies de biotechnologie ? »

Le célèbregénéticien canadien David Suzuki répond : « Les expériences n'ont toutsimplement pas été faites et nous devons devenir maintenantdes cobayes. » Il ajoute : « À toute personne affirmant : "Oh, noussavons que c’est parfaitement sûr", je dis qu’il est soitincroyablement stupide, soit qu’il ment délibérément. »

Le DrSchubert fait remarquer, « S'il y a quelque problème, il nesera probablement jamais connu, car on ne pourra pas remonter à sacause et de nombreuses maladies prennent beaucoup de temps à sedévelopper. » Si les OGM produisaient un effet immédiat et dessymptômes cuisants avec une signature unique, peut-être aurions-nousune chance de remonter à la cause.

C'est précisément ce qui estarrivé lors d'une épidémie aux États-Unis à la fin des années 80. Lamaladie avait une action rapide, mortelle, et provoquait un changementmesurable dans le sang, mais il a fallu plus de quatre ans avantd’identifier l’épidémie en train de sévir. Elle tua jusque-làenviron cent Étasuniens et fit tomber malade ou handicapa cinq à dixmille personnes. Elle fut provoquée par une sorte particulière decomplément alimentaire du génie génétique, appelé L-tryptophane.

Sid'autres aliments GM contribuent à accroître l'autisme, l'obésité,le diabète, l'asthme, le cancer, les maladies cardiaques, lesallergies, la stérilité, ou tout autre problème de santé dont souffreles Étasuniens, nous ne pourrons jamais le savoir. En fait, puisque lesanimaux nourris avec des OGM ont beaucoup de problèmes divers, les genssensibles peuvent réagir aux aliments génétiquement modifiés par demultiples symptômes. Il est par conséquent révélateur que, dans lesneuf premières années après l'introduction des cultures GM à grandeéchelle en 1996, l'incidence des gens ayant trois maladies chroniquesou plus a presque doublé, passant de 7% à 13%.

Pour aider àdéterminer si les OGM sont à l'origine de dommages, l’AAEM demande àses « membres, à la communauté médicale, et à lacommunauté scientifique indépendante de rassembler les études des caséventuellement liés à la consommation des OGM et à leurs effets sur lasanté, de commencer des recherches épidémiologiques pour étudier lerôle des OGM sur la santé humaine, et de mettre en œuvre des méthodesde sécurité pour déterminer les effets des OGM sur la santé humaine. »

Lescitoyens n'ont pas besoin de l’avis des médecins pour éviter lesOGM. Les gens peuvent se tenir à l'écart de tout ce qui contient desproduits dérivés du soja et du maïs, de l'huile de coton et de colza,et du sucre de betteraves GM, à moins qu’ils soient dits organiques ou« sans OGM. »

Même si seulement un petit pourcentage de genschoisissent des marques sans OGM, l'industrie alimentaire réagira sansdoute comme elle l’a fait en Europe, en supprimant tous les ingrédientsGM. Ainsi, la prescription sans OGM de l'American Academy ofEnvironmental Medicine pourrait devenir un tournant dans l’alimentationaux États-Unis.

Jeffrey M. Smith, le directeur exécutif del'Institute for Responsible Technology, est le principal interprète surles dangers sanitaires des OGM. Son premier livre [traduit enfrançais], Semences de tromperies est un best-seller mondial sur lesujet. Son second livre, Genetic Roulette : The Documented Health Risksof Genetically Engineered Foods, identifie 65 dangers potentiels desOGM et démontre à quel point les approbations gouvernementales sontsuperficielle et incompétentes pour la plupart d'entre eux. Il a invitéla biotechnologie à répondre par écrit, avec des preuves allant àl’encontre de chaque danger, mais a prédit avec justesse qu'ellerefuserait, puisqu’elles ne disposent d’aucune donnée démontrantl’innocuité de ses produits.

Original : www.sentienttimes.com/09/June_July_09/doctors.html

22 juillet 2011

Les effets indésirables des médicaments tuent 197 000 citoyens de l’UE chaque année

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.Pour un coût de 79 milliards d’euros. Plusieurs scientifiques britanniques ont récemment adressé une lettre ouverte à leur premier ministre, publiée par The Lancet ; ils exhortent le gouvernement à réévaluer la pertinence des tests sur des animaux de laboratoires pour valider la sécurité des médicaments.

"Les effets indésirables des médicaments ont atteint des proportions épidémiques et augmentent deux fois plus vite que le nombre de prescriptions. La Commission européenne a estimé en 2008 que les effets indésirables tuent 197 000 citoyens de l’UE chaque année, pour un coût de 79 milliards d’euros".

..."Il devient de plus en plus évident que l’un des principaux problèmes est la trop grande confiance de l’industrie pharmaceutique dans l’utilisation d’animaux pour prédire l’effet des médicaments sur l’homme. Les différences flagrantes qui existent entre différents espèces animales, non seulement dans la nature de leurs maladies mais aussi dans leurs réactions aux médicaments, sont maintenant bien connues. Plusieurs études ont montré que les résultats de tests sur des animaux ne s’appliquent pas à l’être humain ; l’estimation de prédictions fiables étant comprise entre 37 et 50 %, pas mieux qu’un tirage à pile ou face".

..."Notre confiance dans les tests sur les animaux entraine l’exposition de volontaires ou de patients à des traitements qui sont au mieux inefficaces, au pire dangereux. Prenez par exemple le fameux essai clinique de Northwick Park sur le médicament TGN1412, qui a envoyé six jeunes hommes en soins intensifs en 2006. Ce médicament avait été validé chez les singes à des doses 500 fois plus élevées que celles qui ont manqué d’être fatales aux volontaires. Peu de temps après, un test basé sur des cellules humaines a été développé. Si ce test avait été utilisé avant, l’essai clinique n’aurait jamais eu lieu".

..."Le gouvernement estime actuellement qu’il n’existe pas de preuve scientifique que les systèmes basés sur la biologie humaine soient plus efficaces. Nous en convenons, puisqu’aucune étude n’a été encore été menée sur le sujet".

..."Nous vous demandons d’agir maintenant pour s’assurer que les meilleures technologies actuellement disponibles sont utilisées pour établir l’innocuité des médicaments pour les patients".

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