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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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danger
24 octobre 2013

De nombreuses substances dangereuses trouvées sur les lingettes et laits pour bébés

lingette

 

DR/ Le Nouvel Observateur

"Ne jouez plus avec la peau de bébé !" L'UFC – Que Choisir appelle les autorités européennes, mercredi 23 octobre, à renforcer le cadre réglementaire sur lingettes et laits de toilette pour bébés. Et "exige des fabricants qu’ils mettent un terme à leur pratique irresponsable en retirant (enfin !) les nombreuses substances dangereuses trouvées dans leurs produits". Selon l'étude que l'association de consommateurs a elle-même réalisée, 94% des produits testés sont potentiellement nocifs.

Des allergènes ont été retrouvés en quantités significatives dans 12 lingettes et 2 laits de toilettes, avec un record pour les lingettes ‘Eco de Naty’ qui en contiennent 700 fois plus que les concurrents les moins chargés ! Le phénoxyéthanol, un conservateur aux effets toxiques pour le foie et suspectés pour le système reproducteur et le développement, est présent dans pas moins de 14 lingettes (par ex. Mixa, Pampers, Carrefour Baby …) et 3 laits de toilette (par ex. Mixa Bébé). Enfin, 6 lingettes (par ex. Carrefour Baby, Top Budget-Intermarché …) contiennent des parabènes à longue chaîne, conservateurs suspectés d’être des perturbateurs endocriniens interférant avec le système hormonal. Au final, seuls deux produits sur 34 sont exempts des substances recherchées(2) : les lingettes ‘Natural caresse’ de ‘Bébé Cadum’ et le lait de toilette ‘Natessance’."

Selon UFC-Que Choisir, "Les lingettes sont appliquées plusieurs fois par jour sur une peau de bébé souvent irritée. Pire, l’absence de rinçage après application a pour effet de prolonger le temps de pénétration. Enfin, les substances contenues risquent d’être d’autant plus nocives que certaines d’entre elles, suspectées d’être des perturbateurs endocriniens, pourraient agir aux stades précoces du développement de l’enfant."

Des étiquettes faussement rassurantes

Ainsi l'association appelle au respect du principe de précaution : "Compte tenu de ces risques, les experts ont demandé que des limites plus strictes soient appliquées pour les produits destinés aux bébés. S’agissant par exemple du phénoxyéthanol, les experts français(l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament) recommandent de limiter à 0,4% la concentration dans les produits pour les moins de trois ans et surtout de le bannir dans les produits destinés au siège".

Or, si la moitié des produits testés contiennent ce composé à risque, un quart en renferment plus de 0,4%, avec un record de 0,9% pour les lingettes ‘Klorane’(4) . Cette concentration est rendue possible par le laxisme de la réglementation européenne. En effet, ignorant les avis d’experts, celle-ci fixe une valeur maximale à 1% quel que soit l’usage !"

Enfin, l'UFC fustige l'étiquetage des produits, "faussement rassurants". Selon elle, "les parents ne peuvent se fier aux mentions et accroches faussement rassurantes", du style "hypoallergénique" ou "testé sous contrôle dermatologique", présentent notamment sur "les lingettes de ‘Leclerc’ ou ‘Pampers’". Pour l'association, "elles sont d’autant plus mal venues qu’elles recèlent des quantités significatives d’allergènes".

http://tempsreel.nouvelobs.com/sante/20131023.OBS2208/alerte-sur-les-lingettes-et-laits-pour-bebes.html

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23 octobre 2013

COUTS DES DOMMAGES VACCINAUX AUX USA

BBC-vaccination-forcee-ROR

Catherine Frompovich, 18 octobre 2013 (Extraits)

Selon le CDC et la FDA, les vaccins sont censés être sûrs. Comment se fait-il dès lors que la Division HRSA du Département Américain de la Santé et des Services Humains ait publié ses Rapports Statistiques [1] pour la période qui se termine le 3 septembre 2013 et qu’elle y fournisse  des données attestant que les vaccins provoquent des dommages de santé et peuvent même tuer ?

La période en question couvre les années fiscales depuis février 1989 jusqu’à février 2013. Au cours de cette période, il y a eu 3.387 plaintes qui ont fait l’objet de dédommagement et 9.651 plaintes qui ont été rejetées, un fameux camouflet par rapport aux intentions qui avaient présidé à l’élaboration du Programme National d’Indemnisation Pour Dommages Vaccinaux, et qui fut créé par le Congrès et repris dans la Loi 99-660. (selon l’auteur de cet article).

Le Tribunal Fédéral des Plaintes (AKA, le Tribunal des vaccins) a versé 2.569.336.538,59 $ en dédommagements et 104.202.681,85 $ pour les honoraires des avocats des victimes. Le tribunal a aussi payé les sommes de 56.375.431, 34 $ plus 15.190.454,29 $ pour les frais des avocats qui se sont occupés de plaintes rejetées, ainsi que pour les avocats intérimaires. A en juger par les sommes payées aux avocats, il semblerait que ces derniers soient bien mieux lotis que les plaignants qu’ils défendent et dont le tribunal a rejeté les plaintes. Concrètement les rapports abordent les sujets suivants : dommages de santé, décès, plaintes avec dédommagement, plaintes rejetées.

 

Si l’on étudie soigneusement les données, on pourra noter que les vaccins qui ont provoqué le plus de dommages sont :

DTC : 3.284 ; Grippe (Trivalent) : 1.108 ; MMR : 860 ; Hépatite B : 591 ; DTaP : 353 ;OPV (polio oral) : 280.

Le vaccin qui aurait causé le plus grand nombre de décès est le DTC avec 696 décès.

 Par coïncidence, parmi les 32 vaccins énumérés, seuls 5 n’ont entraîné aucun décès.

 Le tableau ci-dessous est pratiquement un copié collé à partir du site HRSA (Health Resources and Services Administration)

 

Plaintes déposées – Dédommagements accordés ou rejetés - 3 septembre 2013

 

                         Vaccins répertoriés comme rapportés par les plaignants

 Pour chaque vaccin le graphique distingue trois grandes catégories : 1. le nombre de plaintes (Dommages – Décès - Total), 2. Les vaccins pour lesquels un dédommagement a été accordé 3. Les vaccins pour lesquels les plaintes ont été rejetées. […] Le nombre total de vaccins administrés pendant la période susmentionnée est de 1.968.399.297 - pratiquement deux milliards de vaccins.Il est à noter que les chiffres repris dans ce tableau ne sont pas juxtaposables avec ceux du VAERS  (Système officiel de déclaration des effets secondaires des vaccins) Pour se faire une idée plus exacte de l’effet des vaccins, il est nécessaire de consulter les données du VAERS, comme de lire des déclarations du type de celles qui suivent :

Cout-des-dedomagements-USA--1-

Graph-cout-des-dedommagements--2-

 

  • Plus de 10 millions de vaccins sont, chaque année administrés aux enfants de moins d’un an, généralement entre 2 et 6 mois. C’est à cet âge que les nourrissons courent le plus grand risque d’effets secondaires, y compris des fièvres élevées, des convulsions, la mort subite et inexpliquée du nourrisson (MSIN). C’est peu de temps après les vaccinations que certains nourrissons feront ces complications « par coïncidence ».

 

  • Ces « coïncidences » rendent difficile l’évaluation d’un effet indésirable : est-il le résultat d’un mauvais état de santé ou d’une vaccination ? C’est la raison pour laquelle les personnes qui vaccinent sont encouragées à signaler tous les événements indésirables qui surviennent après la vaccination et ce, qu’ils croient ou non que la vaccination en soit la cause.

 Il est utile que le lecteur se rende compte que les effets secondaires des vaccins soient très souvent attribués à des « coïncidences ». Mais, si les nourrissons courent les plus grands risques d’effets secondaires entre 2 et 6 mois, pourquoi ne pas postposer les vaccinations. A ce sujet le Japon possède un programme de vaccination intéressant. (Voir : Immunization Law and Voluntary Vaccination)

 

[…] HRSA précise que VAERS est un système de déclaration passive et « la sous-déclaration est l’une des principales limitations des systèmes de surveillance passifs, ce qui est le cas pour VAERS. »  - Le terme « sous-déclaration » se réfère au fait que les rapports que VAERS reçoit ne concernent qu’une petite partie des réactions indésirables réelles. » Cette dernière phrase est claire et concrète. L’ancien commissaire de la FDA, David Kessler estime en 1993 que moins d’un pour cent des médecins rapportent les effets indésirables des médicaments. [2] Les vaccins sont des médicaments !

Et enfin, le taux actuel de l’autisme aux USA est de un sur 50, soit 2 pour cent des enfants âgés de 6 à 17 ans, tandis qu’à la fin des années 1970, il était de 1 pour 10.000.

 Quels ont été les facteurs déclencheurs ? Certains prétendent maintenant que c’est la pollution. Il est évident que les produits chimiques sont des polluants. Les médicaments et les vaccins sont fabriqués à partir de produits chimiques toxiques. Les neuf vaccins actifs qui sont administrés avec leur neurotoxines au cours d’une seule visite chez le médecin déversent pas mal de produits chimiques dans le corps des nourrissons.

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  Source Wikipedia

De 1996 à 2007- douze ans – les déclarations de cas d’autisme par 1.000 enfants ont augmenté de moins d’un cas à plus de cinq cas ! Nous sommes maintenant en 2013. Peut-on deviner ce qu’il en est de la situation actuelle ? Et bien, en 2012 le taux s’était élevé à 11,3 pour 1000 d’après le CDC américain. De 2007 à 2012 – en tout juste six ans – le taux d’autisme est passé d’un peu plus de 5 à 11,3 pour 1.000 enfants.

Réfléchissons quelque peu : en 1940 nous n’avions que deux vaccinations, le DTC et la variole. En 1980, on est passé à 9 vaccins. En 2012, on avait rendu obligatoires 49 doses de 14 vaccins pour les enfants jusqu’à l’âge de 6 ans. [3]

Qu’est-ce qui se passe finalement ? Pour une information approfondie sur les vaccins, sur leurs ingrédients toxiques, sur la politique vaccinale, les lecteurs peuvent s’en référer à l’ouvrage que je viens de publier : Vaccination Voodo, What YOU don’t Know About Vaccines disponible su Amazon.com  ( Le Voodo Vaccinal. Ce que VOUS ignorez au sujet des vaccins)

 

Références:

http://www.initiativecitoyenne.be/article-cout-des-dommages-vaccinaux-aux-usa-120705352.html

 [1] http://www.hrsa.gov/vaccinecompensation/statisticsreports.html

[2] Kessler, DA. “Introducing MEDWatch,” JAMA, June 2, 1993: 2765-2768

[3] Proud Parents of Unvaccinated Children on Facebook  

 https://www.facebook.com/pages/New-Proud-Parents-of-Unvaccinated-Children/113991452086710

3 octobre 2013

Voilà à présent que le Dalaï-Lama se mêle de vacciner les bébés indiens

 

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Sayer Ji, directeur de la Nutrition  au Centre de naissance de Naples et fondateur de GreenMedInfo, nous annonçait cette surprenante nouvelle. (http://www.greenmedinfo.com)

Je suis entièrement d’accord avec ses propos que je vous livreLe Dalaï-Lama administre un vaccin polio à un nourrisson  

« Sur la photo ci-dessus on peut voir le Dalaï-Lama administrer le vaccin polio oral bivalent (bOPV) à un nourrisson dans le complexe du temple  Mahabodhi (Etat Indien du Bihar) – le site sacré où l’on pense que le Bouddha a reçu l’illumination il y a environ 2500 ans. 

« Au cours de cet événement télévisé et hautement symbolique, le Dalaï-Lama a, dans un geste de compassion, vacciné deux enfants, comme aussi manifesté son soutien à la Journée Nationale Indienne d’Immunisation et à l’Initiative Mondiale d’Eradication de la Polio dont les échecs et les duplicités ont été exposées dans d’autres articles. 

« Le 14e Dalaï-Lama n’est pas seulement le dirigeant politique exilé du Tibet, mais comme le pensent ses disciples, la manifestation vivante du Bodhisattva de la compassion, et en tant que telle une expression de l’illumination. Il n’est dès lors pas banal pour lui d’administrer personnellement des vaccins à des nourrissons à l’endroit même où l’on pense que le Bouddha a atteint l’illumination. » 

  

En vaccinant des nourrissons, le Dalaï-Lama aurait-il abandonné les Principes Ethiques du Bouddhisme ?

 « Le concept ne pas faire le moindre mal est fondamental dans les enseignements Bouddhistes comme dans ceux d’autres religions de l’Inde (Hindouisme, Jaïnisme). Ce principe est connu sous le nom d’Ahimsa (littéralement : éviter toute violence). On ne pourrait par exemple justifier la mise à mort d’un animal pour sauver sa propre vie. C’est une des raisons  pour lesquelles beaucoup de Bouddhistes sont végétariens. 

« On ne pourrait non plus justifier de tuer un enfant pour en sauver 1 million d’autres comme le font souvent ceux qui évaluent le rapport bénéfices/risques des vaccins (qui dans de rares cas peuvent handicaper ou tuer) par rapport à l’ensemble de la société. Il s’agit uniquement et simplement de ne pas faire le moindre mal. Dans le Bouddhisme, ce principe n’est pas davantage ouvert à la négociation que la filiation divine de Jésus pour les chrétiens.

 

Le Dalaï- Lama a, un jour, lui-même déclaré :

 « Si vous le pouvez, aidez les autres ; si vous ne le pouvez pas, au moins ne leur faites pas le moindre mal ».

« Quand le principe de la non violence ou Ahimsa s’applique à des interventions médicales ou à l’exposition à des produits chimiques, il se traduit par le « principe de précaution » qui exige que si une action est suspectée de comporter le risque de causer des dégâts au public ou à l’environnement, la charge de la preuve que le dit produit est sans danger incombe aux auteurs de l’action en question.

« […]  La plupart des études sur la sécurité des vaccins ont non seulement été financées par les fabricants de vaccins eux-mêmes, mais une grande partie des connaissances sur la sécurité des vaccins n’est acquise que bien longtemps après que les vaccins ont été mis sur le marché et que la population  a déjà été exposée aux risques. Ce qui veut dire que l’information la plus complète sur la sécurité des vaccins n’est acquise qu’au travers d’études de surveillance post marketing et des déclarations d’effets secondaires rapportés par le public.

« En d’autres mots, le principe de précaution est ignoré en faveur du « poids de la preuve » qui met sur les épaules de ceux qui ont déjà été exposés à un risque potentiel, de prouver qu’une intervention médicale comporte bel et bien des risques (alors que ces derniers n’en ont pas été complètement et préalablement informés). Ce point est essentiel par rapport au principe du consentement libre et éclairé.

«  […]  Dans le cas du vaccin contre la polio le risque connu d’une paralysie induite par le vaccin est évalué par rapport aux bénéfices théoriques de la vaccination. Contrairement au principe de précaution, la norme constitue à déterminer  “un niveau acceptable de dommages”. Si en fait il n’y a qu’un “faible pourcentage” d’enfants vaccinés qui deviennent paralysés ou qui décèdent après la vaccination, le vaccin sera néanmoins justifié et approuvé. Ceci viole clairement le principe Bouddhiste de l’Ahimsa évoqué plus haut. »

 Le Dalaï-Lama a contribué à « lancer » en Inde le nouveau vaccin polio bivalent qui comporte des risques plus élevés.

 « Il est triste de constater que le Dalaï-Lama n’a pas fait que vacciner deux enfants indiens le 10 janvier 2010, il a aussi officiellement lancé le nouveau vaccin polio oral bivalent (bOPV) qui selon un article de 2011 publié dans l’American Journal of Epidemiology aurait, dans une population Hongroise, présenté un risque de paralysie 4 fois plus élevé que le vaccin monovalent 3, et un risque 70 fois plus élevé de paralysie que le vaccin polio monovalent 1 auquel il était comparé.

« Plus troublant encore est le fait que 47.500 cas de paralysies associées au vaccin polio (paralysies flasques aiguës) auraient été découverts chez des nourrissons et enfants indiens rien qu’en 2011 à la suite du lancement du « nouveau vaccin amélioré.

« […]  Si la compassion vis-à-vis des pauvres et des malades est la véritable motivation des campagnes mondiales de vaccinations, pourquoi dès lors ne met-on pas autant l’accent et n’accorde-t-on pas autant de moyens pour l’alimentation et l’amélioration de l’hygiène ?

« On a dépensé des milliards de dollars pour fournir des milliards de doses de vaccins aux enfants indiens et pas un penny n’a été accordé pour améliorer et renforcer le système immunitaire de tous ces enfants.

 « Nous pouvons supposer que le Dalaï-Lama n’est pas bien au fait de ces divers éléments et fait confiance aux positions officielles concernant la sécurité des vaccins.

« Mais si c’est le cas, le Bouddha lui-même avait déjà pris position par rapport à une foi aveugle. Il disait :

« Ne croyez rien juste parce qu’un certain sage l’a dit. Ne croyez rien juste parce que c’est une croyance répandue et générale. Ne croyez rien juste parce que c’est écrit dans des livres anciens. Ne croyez rien juste parce que quelqu’un d’autre le croit… Quand après observation et analyse vous trouvez que la raison est respectée et que ce qui est proposé pourra contribuer au plus grand bien de tous, alors acceptez la chose et tentez d’y conformer votre vie.

« Ce qui est difficile à réaliser c’est qu’un leader politique et spirituel de son envergure ne puisse pas comprendre et suivre les principes Bouddhistes médico-éthiques, tout spécialement  quand il y va de la santé et du bien-être des plus vulnérables : les enfants pauvres et souvent malades.

«  […]  Il existe un nombre croissant de preuves qui montrent que les vaccinations de routine peuvent provoquer plus de 200 effets secondaires différents, y compris la mort. Cela c’est la science qui le dit ; il ne s’agit nullement d’opinions ou de croyances. »

                                                                                                                                                            Sayer Ji

 

Votre corps est précieux. Il est votre véhicule pour atteindre l’Eveil.

Prenez-en grand soin.

Bouddha


 

 http://www.greenmedinfo.com/blog/questioning-dalai-lama-who-would-buddha-vaccinate1

Sayer Ji, directeur de la Nutrition  au Centre de naissance de Naples et fondateur de GreenMedInfo, nous annonçait cette surprenante nouvelle. (http://www.greenmedinfo.com)

 

Je suis entièrement d’accord avec ses propos que je vous livre :

 

  

 

Le Dalaï-Lama administre un vaccin polio à un nourrisson  

 

 

 

« Sur la photo ci-dessus on peut voir le Dalaï-Lama administrer le vaccin polio oral bivalent (bOPV) à un nourrisson dans le complexe du temple  Mahabodhi (Etat Indien du Bihar) – le site sacré où l’on pense que le Bouddha a reçu l’illumination il y a environ 2500 ans. 

 

« Au cours de cet événement télévisé et hautement symbolique, le Dalaï-Lama a, dans un geste de compassion, vacciné deux enfants, comme aussi manifesté son soutien à la Journée Nationale Indienne d’Immunisation et à l’Initiative Mondiale d’Eradication de la Polio dont les échecs et les duplicités ont été exposées dans d’autres articles. 

 

« Le 14e Dalaï-Lama n’est pas seulement le dirigeant politique exilé du Tibet, mais comme le pensent ses disciples, la manifestation vivante du Bodhisattva de la compassion, et en tant que telle une expression de l’illumination. Il n’est dès lors pas banal pour lui d’administrer personnellement des vaccins à des nourrissons à l’endroit même où l’on pense que le Bouddha a atteint l’illumination. » 

 

  

 

En vaccinant des nourrissons, le Dalaï-Lama aurait-il abandonné les Principes Ethiques du Bouddhisme ?

 

 

 

« Le concept ne pas faire le moindre mal est fondamental dans les enseignements Bouddhistes comme dans ceux d’autres religions de l’Inde (Hindouisme, Jaïnisme). Ce principe est connu sous le nom d’Ahimsa (littéralement : éviter toute violence). On ne pourrait par exemple justifier la mise à mort d’un animal pour sauver sa propre vie. C’est une des raisons  pour lesquelles beaucoup de Bouddhistes sont végétariens. 

 

« On ne pourrait non plus justifier de tuer un enfant pour en sauver 1 million d’autres comme le font souvent ceux qui évaluent le rapport bénéfices/risques des vaccins (qui dans de rares cas peuvent handicaper ou tuer) par rapport à l’ensemble de la société. Il s’agit uniquement et simplement de ne pas faire le moindre mal. Dans le Bouddhisme, ce principe n’est pas davantage ouvert à la négociation que la filiation divine de Jésus pour les chrétiens.

 

 

 

Le Dalaï- Lama a, un jour, lui-même déclaré :

 

 

 

« Si vous le pouvez, aidez les autres ; si vous ne le pouvez pas, au moins ne leur faites pas le moindre mal ».

 

« Quand le principe de la non violence ou Ahimsa s’applique à des interventions médicales ou à l’exposition à des produits chimiques, il se traduit par le « principe de précaution » qui exige que si une action est suspectée de comporter le risque de causer des dégâts au public ou à l’environnement, la charge de la preuve que le dit produit est sans danger incombe aux auteurs de l’action en question.

 

« […]  La plupart des études sur la sécurité des vaccins ont non seulement été financées par les fabricants de vaccins eux-mêmes, mais une grande partie des connaissances sur la sécurité des vaccins n’est acquise que bien longtemps après que les vaccins ont été mis sur le marché et que la population  a déjà été exposée aux risques. Ce qui veut dire que l’information la plus complète sur la sécurité des vaccins n’est acquise qu’au travers d’études de surveillance post marketing et des déclarations d’effets secondaires rapportés par le public.

 

« En d’autres mots, le principe de précaution est ignoré en faveur du « poids de la preuve » qui met sur les épaules de ceux qui ont déjà été exposés à un risque potentiel, de prouver qu’une intervention médicale comporte bel et bien des risques (alors que ces derniers n’en ont pas été complètement et préalablement informés). Ce point est essentiel par rapport au principe du consentement libre et éclairé.

 

«  […]  Dans le cas du vaccin contre la polio le risque connu d’une paralysie induite par le vaccin est évalué par rapport aux bénéfices théoriques de la vaccination. Contrairement au principe de précaution, la norme constitue à déterminer  “un niveau acceptable de dommages”. Si en fait il n’y a qu’un “faible pourcentage” d’enfants vaccinés qui deviennent paralysés ou qui décèdent après la vaccination, le vaccin sera néanmoins justifié et approuvé. Ceci viole clairement le principe Bouddhiste de l’Ahimsa évoqué plus haut. »

 

 

 

Le Dalaï-Lama a contribué à « lancer » en Inde le nouveau vaccin polio bivalent qui comporte des risques plus élevés.

 

 

 

« Il est triste de constater que le Dalaï-Lama n’a pas fait que vacciner deux enfants indiens le 10 janvier 2010, il a aussi officiellement lancé le nouveau vaccin polio oral bivalent (bOPV) qui selon un article de 2011 publié dans l’American Journal of Epidemiology aurait, dans une population Hongroise, présenté un risque de paralysie 4 fois plus élevé que le vaccin monovalent 3, et un risque 70 fois plus élevé de paralysie que le vaccin polio monovalent 1 auquel il était comparé.

 

« Plus troublant encore est le fait que 47.500 cas de paralysies associées au vaccin polio (paralysies flasques aiguës) auraient été découverts chez des nourrissons et enfants indiens rien qu’en 2011 à la suite du lancement du « nouveau vaccin amélioré.

 « […]  Si la compassion vis-à-vis des pauvres et des malades est la véritable motivation des campagnes mondiales de vaccinations, pourquoi dès lors ne met-on pas autant l’accent et n’accorde-t-on pas autant de moyens pour l’alimentation et l’amélioration de l’hygiène ?

 « On a dépensé des milliards de dollars pour fournir des milliards de doses de vaccins aux enfants indiens et pas un penny n’a été accordé pour améliorer et renforcer le système immunitaire de tous ces enfants.

  « Nous pouvons supposer que le Dalaï-Lama n’est pas bien au fait de ces divers éléments et fait confiance aux positions officielles concernant la sécurité des vaccins.

 « Mais si c’est le cas, le Bouddha lui-même avait déjà pris position par rapport à une foi aveugle. Il disait :

 « Ne croyez rien juste parce qu’un certain sage l’a dit. Ne croyez rien juste parce que c’est une croyance répandue et générale. Ne croyez rien juste parce que c’est écrit dans des livres anciens. Ne croyez rien juste parce que quelqu’un d’autre le croit… Quand après observation et analyse vous trouvez que la raison est respectée et que ce qui est proposé pourra contribuer au plus grand bien de tous, alors acceptez la chose et tentez d’y conformer votre vie.

 « Ce qui est difficile à réaliser c’est qu’un leader politique et spirituel de son envergure ne puisse pas comprendre et suivre les principes Bouddhistes médico-éthiques, tout spécialement  quand il y va de la santé et du bien-être des plus vulnérables : les enfants pauvres et souvent malades.

 «  […]  Il existe un nombre croissant de preuves qui montrent que les vaccinations de routine peuvent provoquer plus de 200 effets secondaires différents, y compris la mort. Cela c’est la science qui le dit ; il ne s’agit nullement d’opinions ou de croyances. »

 

                                                                                                                                                            Sayer Ji

 

 

 

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26 septembre 2013

la liste de vidal des médicaments contenant de l'aspartame

Aspartame2

 

VIDAL est une filiale d’UBM Medica (Groupe United Business Media), il est le leader dans le domaine de l’information sur les produits de santé et s’est imposé progressivement comme la référence incontournable. Il réalise une information sur le médicament ainsi que des outils d’aide à la décision thérapeutique favorisant le bon usage et basée sur des référentiels validés. VIDAL diffuse cette information, qui constitue une référence pour les professionnels de santé, sur des supports papier et des outils électroniques au sein de logiciels métiers.

  la liste des médicaments à éviter,

 

Vidal

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19 septembre 2013

Les saucisses de porc sont contaminées par le virus de l’hépatite E.

porc

 

Les cas d’hépatites mortelles, généralement rares, ont augmenté de 40% en Grande-Bretagne en 1 an. En cause, les saucisses, le produit le plus dangereux issu du porc.

Petites saucisses barbecue

De manière générale, on considère les saucisses particulièrement dangereuses car elles contiennent de la chair de foie et des traces de sang de cochon, ainsi que de l’enveloppe de son intestin. Dans un rapport publié par le Department for Environment, Food and Rural Affairs de Grande-Bretagne, des scientifiques montrent que 10% des saucisses analysées contenaient le virus  de l’hépatite E. Plus inquiétant encore, les cas mortels de la maladie suite à l’ingestion de porc contaminé, qui sont normalement assez rares, ont augmenté de 40% en 1 an dans le pays. La maladie tue une personne sur cinquante infectées. Pour les femmes enceintes, c’est une sur cinq, sans compter le risque de transmettre l’infection au foetus.

« C’est un sérieux problème qui émerge », déclare le Dr Harry Dalton, consultant au Royal Cornwall Hospital de Truro (Angleterre). La maladie est relativement courante dans les pays développés et habituellement transmise par de l’eau contaminée ; on sait maintenant qu’elle a une origine nutritionnelle.

Les conseils des experts pour éviter les risques de contamination : cuisiner les saucisses à 70°C pendant au moins 20 minutes, pour tuer le virus. Une durée que généralement les consommateurs ne respectent pas…

En janvier 2013, une étude portant sur des échantillons français de saucisse de foie de porc avait déjà montré qu’un sur 4 était contaminé par le virus de l’hépatite E.

 

Source : Medisite.fr

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13 septembre 2013

Aux Etats-Unis, la vérité sur les liens entre vaccins et autisme est systématiquement supprimée.

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Aux Etats-Unis, la vérité sur les liens entre vaccins et autisme est systématiquement supprimée. Les compagnies pharmaceutiques, ainsi que le gouvernement fédéral ont conspiré pour refuser aux parents d’enfants dont la santé avait été endommagée par les vaccins l’accès habituel aux tribunaux par la création d’un « tribunal fantoche » qui n’offre aux parents aucune procédure régulière (et viole par conséquent les libertés civiles des Américains).

Ce « tribunal pour dommages dus aux vaccins » » a cependant, à plusieurs reprises admis que les vaccins ont irréfutablement endommagé la santé d’enfants et provoqué l’autisme. Le silence de ces parents a été acheté. On leur a fait signer un accord où ils devaient s’engager de ne jamais parler à la presse de leur épreuve. Cette suppression systématique de la vérité au sujet des dommages de santé ayant fait suite aux vaccinations est clairement expliquée dans une nouvelle vidéo réalisée par le Canary Party (www.CanaryParty.org) avec Rob Schneider comme narrateur, un  ardent défenseur des droits des parents quand  il s’agit de médecine.

 

La Vidéo complète sur YouTube : (Copier/coller le lien dans Google si le lien ne s’ouvre pas)

 

http://www.youtube.com/watch?v=xv_IaLHwgAQ


Autre lien pour la video:

Nous vous invitons à partager cette vidéo avec toutes les personnes que vous connaissez ! Elle explique en langage clair et rationnel, une partie importante de la manière dont s’y est prise l’industrie du vaccin  pour camoufler la vérité en ce qui concerne les dommages de santé provoqués chez les enfants par les vaccinations. Le « Canary Party » est un mouvement en pleine expansion ; il réunit des parents, des médecins, des scientifiques, des citoyens qui veulent mettre un terme à l’empoisonnement systématique de la population par les compagnies pharmaceutiques, par les fabricants de vaccins et autres substances toxiques qui endommagent la santé et la planète. Le « Canary Party » est basé sur le « Principe de précaution », ainsi que sur les droits fondamentaux des parents et de leurs responsabilités individuelles.

En résumé, l » Canary Party » cherche à révéler la vérité sur la façon dont nous sommes tous empoisonnés par des sociétés peu éthiques. Il cherche à trouver des moyens constructifs pour arrêter l’empoisonnement et à mettre fin aux souffrances que provoque cet empoisonnement général. […]

Pourquoi les vaccins peuvent-ils nuire aux enfants ? Toute l’industrie du vaccin – y compris tous les médecins payés, achetés, les auteurs, les « scientifiques », les partenaires – ont depuis des décennies sciemment menti au monde entier en prétendant que les vaccins avaient « un risque zéro » et « zéro effets secondaires ».

 En vérité, même le CDC admet que les vaccins contiennent quatre additifs dont chacun s’avère être un neurotoxique puissant. Ces additifs sont :

 - Le mercure (toujours utilisé comme agent conservateur)

- L’aluminium (utilisé comme adjuvant)

- Le Formaldéhyde (utilisé pour « désactiver » les tissus vivants)

- Le MSG : Monosodium Glutamate (utilisé pour causer de l’inflammation dans le système immunitaire)

 Tous ces produits sont toxiques pour la biologie humaine quand ils sont injectés. Il n’y a pas un seul médecin, scientifique rationnel au monde qui puisse croire que l’injection de mercure, de formaldéhyde et de MSG à des nourrissons puisse de quelque manière que ce soit être « sans danger ». Mais, il se trouve que des médecins injectent, chaque jour, ces substances à des enfants sous la forme de vaccins.

 L’industrie du vaccin est bien pire que celle que l’énorme industrie du Tabac. Tout comme l’industrie dentaire a, pendant des décennies, nié et ridiculisé la toxicité du mercure dans les amalgames dentaires, l’industrie du vaccin se trouve encore dans un état délirant de négation totale de la toxicité du mercure. Nous assistons aujourd’hui, en médecine, à un holocauste vaccinal qui tue et handicape de nombreux enfants. La suppression de toutes les preuves scientifiques qui démontrent qu’il en est bien ainsi, fait que Big Pharma parait encore bien pire que Big Tobacco.

 Quand l’autisme touchera-t-il un enfant sur 10 ? Nous n’en somme pas si loin. Si ce niveau de la maladie était été provoqué par d’autres éléments que les vaccins, le CDC aurait depuis longtemps déclaré une épidémie et essayé de trouver un vaccin pour pouvoir l’enrayer. Mais parce que l’autisme est lié aux vaccins et au mercure, le CDC  minimise et prétend d’une manière ridicule que le mercure ne fait pas de mal aux enfants. La FDA joue le même petit jeu ; elle aussi est dans le déni, espérant que personne ne pourra remarquer que ce problème ne cesse de s’aggraver, jusqu’au jour où il pourrait être possible, qu’après avoir reçu des centaines de vaccins qui, dans un proche avenir seraient rendus « obligatoires », qu’1 enfant sur 5 devienne autiste en Amérique !

Il y va ici, chers amis, de l’effondrement d’une nation entière. Si on ne met fin à cet holocauste, l’Amérique ne pourra survivre. Aucun pays ne peut survivre à l’effondrement de la santé de ses citoyens. L’injection de mercure dans la population d’Amérique est tout juste aussi stupide que ce qu’ont fait les Romains en abreuvant leur population avec de l’eau contaminée par du plomb. De nombreux historiens disent que le saturnisme dont étaient atteints les citoyens de Rome n’a fait que précipiter sa chute. Aujourd’hui, les vaccins contribuent fortement à l’effondrement de la civilisation moderne.

 http://www.naturalnews.com/042013_vaccines_autism_Canary_Party_video.html

http://expovaccins.over-blog.com/article-les-vaccins-provoquent-ils-l-autisme-120011773.html

 Le Dr Mendelsohn,MD., éminent pédiatre est aussi très direct :

 « La plus grande menace pour les enfants, ce sont les efforts dangereux et inutiles qui sont faits pour éviter leurs maladies au cours des vaccinations de masse. Beaucoup de choses que l’on vous a fait croire sur les vaccinations ne sont tout simplement pas vraies. S’il m’était permis de suivre mes convictions les plus profondes, je vous presserais de rejeter toutes les vaccinations pour vos enfants. » 

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8 septembre 2013

Exclusivité Natural News : l'acide phosphorique des sodas dissout les dents

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 septembre 2013
(NaturalNews) Une autre découverte capitale avec la nouvelle enquête du laboratoire de NN, où nous avons mis sous le microscope les dents d'un mammifère qui ont trempé dans de l'acide phosphorique – le même acide que celui utilisé dans les sodas et limonades et qu'on trouve dans les produits Coca-Cola et Pepsi.

J'ai terminé cette recherche et la vidéo il y a environ une semaine et ai été stupéfait de découvrir avec quelle facilité l'acide phosphorique détruit les dents. Regardez les surprenantes photos et la vidéo ci-dessous pour d'autres détails.

Je veux que vous sachiez que ces photos n'ont été "trafiquées" en aucune manière. De plus aucun animal n'a été maltraité ou tué pour faire la vidéo. L'acide phosphorique de cet expérience scientifique est pur à 85%, c'est le même genre d'acide que celui utilisé dans les sodas. Aucun autre acide n'a été utilisé pour l'expérimentation. Ces résultats sont reproductibles dans n'importe quel laboratoire scientifique.

Cette preuve des dégâts causés aux dents par l'acide phosphorique sera sauvagement attaquée par l'industrie des sodas, qui a derrière elle une longue histoire de démentis des faits scientifiques. Si donc vous lisez des commentaires négatifs sous cet article ou avec la vidéo, vous saurez que des trolls sont probablement payés dans l'intérêt des sociétés pour embrouiller ces découvertes et attaquer le messager plutôt qu'admettre que leurs produits font un vrai tort à leurs clients.

Une explication complète sur des faits supplémentaires concernant cette expérimentation est publiée à la fin de cet article.

Regardez les choquantes photos

Voici la première photo des dents qui ont servi pour cette expérience. Elles ont été retirées sur la mâchoire inférieure d'un ours sauvage trouvé mort au Texas. Elles étaient totalement intactes et n'avaient pas été exposés aux éléments. (Oui, je collectionne des spécimens de la nature pour les rapporter au laboratoire pour des investigations dans l'intérêt public)
Pour réaliser l'expérience, nous avons ensuite baigné ces dents dans de l'acide phosphorique.

 

 

Ce qui a entraîné une réaction chimique immédiate, donnant un dégagement de gaz visible sur cette photo avec l'acide phosphorique qui a entamé l'émail de la dent :
 

 

 
Voici la même dent après réaction à l'acide phosphorique. Comme on peut le voir, l'intégrité de la dent est fortement compromise :

 

 

Regardez d'autres photos AVANT-APRÈS :

Faits sur l'expérience des dents avec l'acide phosphorique

Voici des éléments sur la manière dont ceci s'est accompli :

 

  • Aussi bien le Coca que le Pepsi contiennent de l'acide phosphorique comme ingrédient-clé, qui figure sur l'étiquette (image).

 

 

  • Les dents qui ont servi pour cette expérience sont des dents de mammifères récupérées sur un ours sauvage du Texas. Ces dents se trouvaient sur l'os de la mâchoire et n'avaient jamais été exposées aux éléments. (Aucun animal n'a été tué pour mener cette recherche. Des ours sauvages vivent et meurent tous les jours dans l'intérieur du Texas et on en trouve facilement déjà morts avec des os récents intacts.)
  • Les dents des ours sauvages sont presque identiques aux dents humaines en terme de structure, physiologie et composition des éléments. Leurs propriétés de dureté et de durabilité sont, en fait, supérieures à la plupart des dents humaines d'aujourd'hui (parce que les ours ont une alimentation beaucoup plus variée que presque tous les humains actuels qui consomment des éléments transformés carencés et bourrés de produits chimiques).
  • Avant d'être mises dans un bain d'acide, les dents étaient relativement lisses et dures. Elles ont été difficiles à extraire de la mâchoire et à arracher à l'aide de pinces. Nous n'avons pas pesé les dents avant le bain d'acide mais prévoyons de le faire dans une version plus complète de cette expérience qui vérifiera la perte de masse causée par l'acide phosphorique.
  • Les dents ont trempé dans une solution d'acide phosphorique à 85 % pendant 12 heures. Cette concentration d'acide est beaucoup plus élevée que celle trouvée habituellement dans les sodas, donc les effets constatés ici sont accélérés en comparaison de ceux qu'on verrait avec une plus faible concentration des acides trouvés dans le soda.
  • Selon un sondage de 2012 (Gallup), presque la moitié des américains boivent un soda par jour, baignant donc chaque jour leurs dents dans de l'acide phosphorique.
  • Selon des informations publiées sur les sodas, l'américain moyen boit 170 litres de boissons sucrées chaque année. Chaque bouteille de soda d'un demi-litre contient 16 cuillères à café de sucre.
  • Coca-Cola aurait prétendu que la réelle quantité d'acide phosphorique de ses sodas est du "domaine privé" et donc non disponible au public.
  • Un médecin cité sur ABC News confirme que l'acide phosphorique du soda peut détruire des os. "Le phosphore participe à la sortie du calcium de l'os, quand il est absorbé dans les sodas que boivent les gens", a dit le Dr Loren Wissner Greene du centre médical de l'université Langone de New-York.
  • Le pH du Coca-Cola est de 2,525, juste un peu plus que celui de l'acide d'une batterie.


Selon une étude scientifique publiée par LiveScience.com, "des dents immergées dans du Coca, du Pepsi, du Squirt, du Surge, du 7 Up et du 7 Up light perdent plus de 5 % de leur poids, selon l'article publié dans une école de médecine dentaire." Il y est dit que "Le potentiel érosif des colas est dix fois celui des jus de fruits dans les trois premières minutes d'ingestion, ce qu'une étude de l'année dernière a démontré".

L'acide phosphorique endommage autant les dents que l'utilisation de meth ( = méthamphétamine)

C'est encore plus choquant quand on réalise que l'acide phosphorique du soda peut endommager les dents autant que si on prend de la meth ou autres drogues illégales.

"Boire de grandes quantités de sa boisson gazeuse favorite pourrait être aussi dommageable pour les dents que la méthamphétamine et la cocaïne", dit une publication de l'Académie de Dentisterie générale.

Pour réaliser l'étude, "L'étude de cas de la dentisterie a comparé les dégâts dans la bouche de trois individus – l'un d'eux étant un utilisateur de meth, un autre ancien utilisateur de cocaïne et le dernier un buveur invétéré de sodas diététiques. Les chercheurs ont découvert le même type de sévérité dans les dommages d'érosion des dents de la bouche de chaque participant".

"Chacune des personnes a subi une érosion sévère des dents causée par les forts taux d'acides présent dans la drogue de leur choix – meth, crack ou soda", a dit Mohamed A. Bassiouny, qui a dirigé l'étude.

Bientôt d'autres investigations sur des aliments sur NaturalNews.

Source and bbb

Traduction par le BBB.

5 septembre 2013

Le Japon exige la divulgation des effets secondaires du vaccin anti- HPV

 

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Maman d’une victime japonaise du vaccin contre le HPV

 

Par Norma Erickson 29 août 2013 – Sanevax

L’encéphalomyélite aiguë disséminée et le syndrome de Guillain-Barré constituent-ils des réactions indésirables aux vaccins contre le HPV ? Pour le moment, les autorités sanitaires japonaises ne sont pas sûres, mais elles ont choisi d’appliquer le principe de précaution et d’informer le public au cas où. - De toute évidence, les autorités japonaises croient à un consentement éclairé.

Le 26 mars 2013, le Ministère de la Santé, du Travail et de la Prévoyance a informé GlaxoSmithKline qu’ils avaient 30 jours pour modifier la notice du Cervarix en ajoutant à la rubrique « Précautions/ section effets indésirables » ce qui suit :« Encéphalomyélite aiguë disséminée : il est possible que l’encéphalomyélite aiguë disséminée puisse se produire. Dans pareils cas, de la fièvre, des céphalées, des convulsions, des troubles du mouvement, des perturbations de la conscience se produisent généralement dans les quelques jours et jusqu’à deux semaines après la vaccination. Si l’on suspecte une encéphalomyélite aiguë disséminée, un diagnostic doit être effectué par IRM et des mesures appropriées doivent être prises. » Cette directive n’a pas été adressée à Merck parce que la notice du Gardasil avait déjà fait référence aux risques d’encéphalomyélite aiguë et de Guillain-Barré au moment où la directive a été émise.

Quelle est la raison de cette action ?

Au cours des trois premières années de l’utilisation des vaccins HPV, 3 cas d’encéphalomyélite aiguë et 5 cas de Guillain-Barré avaient déjà été rapportés après des injections pour lesquelles un lien de causalité avec le vaccin ne pouvait pas être exclu. [1]

A titre de référence, il y a eu aux Etats-Unis 31 cas d’encéphalomyélite aiguë disséminée et 121 rapports du syndrome de Guillain-Barré qui ont été communiqués au VAERS (Organisme officiel Américain auquel sont rapportés les cas d’effets secondaires des vaccins) au cours des 7 dernières années. [2] La FDA américaine n’a pas demandé que ces problèmes soient repris dans les notices. Comment pouvoir comprendre pareille chose ?

Dans votre pays, combien de rapports d’encéphalomyélites disséminées et combien de cas de Guillain-Barré ont été rapportés après les vaccinations contre le HPV ? Les responsables de Santé Publique ont-ils exigé que des modifications soient apportées aux notices ?

Pourquoi le Japon a-t-il pris pareille initiative audacieuse ?

A première vue, l’action du Ministère japonais peut donner l’impression qu’il a agi en fonction de son attachement au principe du consentement éclairé.Cependant, Toshie Ikeda, secrétaire général de l’Association Nationale des Victimes du vaccin contre la cancer du col de l’utérus et leurs parents, ainsi que le Dr Sotaro Sato, directeur du service de médecine interne de l’hôpital d’Osaki - (préfecture de Miyagi, croient que l’action du Ministère exige une analyse plus profonde. Il semble que deux motivations puissent expliquer l’action du Ministère. L’une cependant l’emportant sur l’autre.

Ils ont précisé que le premier motif possible était un désir sincère de conscientiser les médecins et autres intellectuels de la nature essentielle des graves effets indésirables des vaccins contre le HPV, Garsasil et Cervarix, afin de prévenir de nouveaux cas de graves dommages à la santé chez des millions d’adolescentes qui, à l’avenir seraient susceptibles de recevoir l’un ou l’autre de ces vaccins.

L’autre possibilité est la crainte de poursuites qui seraient déposées par l’Association des Victimes pour le compte de nombreuses familles désespérées, et dont les chères filles, précédemment en bonne santé, auraient été gravement atteintes, paralysées ou dont la santé aurait été horriblement dévastée par la vaccination contre le HPV.

Les tribunaux japonais auraient alors été susceptibles de mettre en valeur la responsabilité des bureaucrates de la Santé qui n’auraient pas pris les mesures de précaution et qui n’auraient pas laissé des preuves pouvant ensuite être utilisées pour prouver qu’ils ont au moins tenté de faire quelque chose pour arrêter la multiplication des troubles de santé pour les futures générations de jeunes-filles.

Le problème aurait été énorme si le gouvernement avait décidé – sous la pression d’universitaires ayant des liens financiers ou d’autres liens avec les fabricants de vaccins, d’activités de lobbying, d’ « experts » conseils embauchés par les fabricants, de politiciens - de recommander à nouveau l’utilisation de ces vaccins au cours de l’exercice en cours qui se termine le 31 mars 2014.

Il faut savoir que, selon les lois japonaises, les bureaucrates qui ont été jugés coupables d’avoir négligé leur devoir d’informer les consommateurs de soins médicaux de graves risques impliqués dans la prise de médicaments, vaccins et autres produits médicaux peuvent être poursuivis et sévèrement punis.

Un précédent très important a eu lieu en 2008 lorsque la Cour Suprême a confirmé une décision de la Haute Cour de Tokyo qui a imposé une peine d’un an d’emprisonnement à l’ancien bureaucrate principal du Ministère, Akihito Matsumara, avec deux ans de sursis, pour avoir négligé son obligation d’ordonner aux firmes pharmaceutiques de cesser de vendre des coagulants sanguins non chauffés qui étaient contaminés par le virus du sida.

Le juge principal Yuki Furuta de la plus Haute Cour du pays a précisé dans sa décision prise le 3 mars :

« Dans ce cas, des produits sanguins non chauffés ont largement été utilisés à l’époque de cet incident (infection). Un nombre important de ces produits étaient contaminés par le virus du sida. L’accusé aurait pu prévoir que si ces produits étaient utilisés, de nombreuses personnes seraient presqu’inévitablement infectées par le virus et développeraient un sida susceptible de finalement provoquer le décès de nombreuses personnes. »

Madame Ikeda qui a dirigé l’Association des victimes est actuellement assistée par certains des meilleurs médecins et scientifiques du pays, par certains politiciens honnêtes et courageux et qui sont préoccupés par le sort de nombreuses adolescentes qui ont été victimes des vaccins ou qui pourraient le devenir, à moins que la politique vaccinale concernant le vaccin contre le HPV soit interrompue.

Madame Ikeda a déclaré samedi :

« On ne sait toujours pas quelle est la motivation principale qui a constitué la toute première préoccupation des bureaucrates quand ils ont demandé la révision de la notice le 26 mars. Mais les mouvements de l’Association ont été étroitement surveillés par la bureaucratie du Ministère de la Santé. »

Le Dr Sato a déclaré vendredi qu’il était également conscient de deux implications possibles par rapport à la directive du Ministère. Il explique :

« Il est véritablement louable que certains bureaucrates consciencieux du Ministère semblent avoir fait de sérieux efforts pour alerter les personnes concernées par la directive, comme pour demander aux fabricants de produits pharmaceutiques d’ajouter à leur notice des références à des cas possibles d’encéphalomyélites aiguës disséminées et de Guillain-Barré.

Le désir des bureaucrates est d’éviter d’être ultérieurement tenus responsables devant les tribunaux pour avoir négligé leurs devoirs de supervision et de réglementation. Ainsi, l’augmentation du nombre des victimes semble avoir joué un rôle plus important dans la motivation du Ministère à émettre la directive.

La révision de la notice d’accompagnement ferait ainsi une différence significative si une plainte était déposée. Avec la publication de la directive, les fonctionnaires seraient en mesure de dire aux victimes, aux parents et à leurs partisans que le Ministère avait émis un avertissement important sur les effets indésirables possibles et que ce sont les victimes elles-mêmes qui sont responsables étant donné qu’elles n’ont tout simplement pas pris en compte la référence aux risques inclus dans la notice. »

Le Dr Sato a attiré l’attention sur la coïncidence des dates : L’Association des victimes a tenu sa première réunion des victimes et de leurs parents le 25 mars – un jour avant la publication de la directive. Le Ministère doit avoir suivi la série des événements qui ont mené à la création de l’Association pour laquelle des gens de bonne volonté ont uni leurs forces pour soulager l’agonie des victimes et empêcher les fabricants de vaccins, les associations médicales et le gouvernement de faire encore davantage de victimes, que ce soit involontairement, dans une semi-conscience et connaissance des effets secondaires ou par totale indifférence vis-à-vis des graves conséquences possibles des vaccins contre le HPV sur la santé des jeunes-filles.

Le Dr Sato a attiré l’attention sur un autre aspect essentiel de la question au sujet de la vaccination contre le HPV et qui se pose actuellement pour de nombreux médecins au Japon et ailleurs quand il a déclaré :

« Quand un médecin voit une jeune-fille qui a développé certains symptômes de l’encéphalomyélite aiguë disséminée ou d’un Guillain-Barré à la suite d’une vaccination, il ne sera pas nécessairement capable de reconnaître ces symptômes comme étant ceux d’une encéphalomyélite aiguë disséminée ou d’un Guillain-Barré, à moins que ce médecin ait une connaissance approfondie des troubles et maladies neurologiques. Il ’est pas facile pour les médecins d’associer les symptômes qu’il voit à une encéphalomyélite aiguë disséminée ou d’un Guillain-Barré. Au Japon, le pourcentage des médecins qui peuvent reconnaître les symptômes que présentent des jeunes-filles qui viennent les trouver pour les conséquences d’une encéphalomyélite aiguë disséminée doit être inférieur à 0,1%. »

Les autorités gouvernementales doivent établir et publier les critères de diagnostic unifiés pour aider les médecins à reconnaître les symptômes induits par une encéphalomyélite aiguë disséminée ou un Guillain-Barré et attirer l’attention des médecins sur lesdits critères. La plupart des médecins qui verront ce type de jeunes-filles à l’avenir doivent être familiers avec ces symptômes.

Le Dr Sato a averti :

« Se contenter d’obtenir des fabricants de vaccins une modification de notice n’est pas suffisant pour accroître la sensibilisation des médecins et des consommateurs de soins de santé aux risques potentiels de ces deux vaccins. A moins que le gouvernement fasse des efforts très sérieux pour attirer l’attention sur les effets néfastes et horribles de ces vaccins, il est probable que de nombreux médecins vont continuer à administrer des injections de vaccins sans être en mesure d’avoir le niveau d’attention nécessaire pour pouvoir établir un lien causal entre les vaccins et leurs effets secondaires. »

Les politiciens japonais commencent à parler

Le 28 mars 2013, un comité de sélection pour la Santé, les Affaires sociales et le Travail a tenu une séance spéciale pour voir si le sujet des vaccins contre le HPV pouvait être abordé avant un vote parlementaire sur l’opportunité d’ajouter trois maladies, dont le cancer du col de l’utérus à la liste des vaccins dont le coût devait être entièrement couvert par le gouvernement en vertu de la loi existante sur la prévention par la vaccination [3]

Sur les 722 membres du Parlement japonais, deux voix ont, à plusieurs reprises, mis fortement en question le sens que pouvait avoir une vaccination universelle contre le HPV. Ces deux voix se sont fait entendre au Parlement et dans les médias. L’une d’elle était celle de Mdame Tomoko Hata qui était membre du Parlement, mais pas membre du Comité de la Santé, du bien-être et du travail. L’autre personne était Madame Eriko Yamatani, ancienne collaboratrice du Premier Ministre Shinzo Abe. […] Madame Hata a tout fait pour que les personnes présentes à la séance des questions et réponses soient mises au courant des faits suivants concernant le HPV et le cancer du col de l’utérus au Japon :

 

·           La proportion des femmes japonaises porteuses des types HPV 16/18 est beaucoup plus faible que celle des femmes des pays occidentaux (0,5% pour le HPV 16 et 0,2% pour le HPV 18)

·      Plus de 99,1% des personnes porteuses du papillomavirus humain ne développeront pas de cancer ;

·      Chez 90% des personnes qui ont été exposées au HPV, le virus disparaîtra endéans les deux ans.

·      90% des personnes qui présentent les premiers signes de cancer du col utérin (dysplasie cervicale) vont guérir spontanément.

·      Le nombre des effets secondaires graves rapportés a été 52 fois plus élevé après le Cervarix qu’après les vaccinations contre la grippe et 26 fois plus élevé après le Gardasil qu’après les vaccinations contre la grippe.

Le même jour, le Parlement japonais a voté pour inclure le cancer du col de l’utérus dans la liste des maladies figurant dans les lois japonaises sur la vaccination. Madame Hata a voté contre l’inclusion proposée, tandis que Yamatani et quelques autres se sont abstenus. […]

Les victimes du vaccin contre le cancer du col de l’utérus et les parents s’organisent

Pendant ce temps, les victimes d’effets indésirables graves se sont organisées dans tout le Japon sous le nom suivant : Association Nationale des Victimes du Vaccin Contre le Cancer du Col de l’Utérus et leurs Parents.

 

Grâce à la collecte de rapports d’événements indésirables de particuliers [4], le public a commencé à comprendre que les événements indésirables signalés officiellement ne représentaient que la pointe émergée de l’iceberg.

 Conférence de presse des membres de l'Association des Victimes du Vaccin contre le HPV à Tokyo - photo Japan Times du 24 août 2013.

Cette organisation fait actuellement circuler une pétition à l’adresse des responsables de la Santé pour :

 

·             Faire interdire l’utilisation des vaccins contre le HPV dans tout le pays et faire reconnaître les dommages que peuvent causer les vaccins contre le HPV.

·        Mettre au point  des traitements pour les victimes des vaccinations contre le HPV.

·        Fournir une aide financière aux victimes de la vaccination contre le HPV

·        Mener des enquêtes auprès de tous ceux qui ont été vaccinés contre le HPV.

·        Faire participer les meilleurs experts en neuroscience (et qui ont vu des dizaines de victimes) à un Comité ministériel de Santé sur le problème des vaccins.

 Le Japon suspend la recommandation du vaccin contre le HPV

L’Association des Victimes des Vaccins Contre le Cancer du Col et leurs parents a apparemment fait impression sur les responsables de la Santé du gouvernement. Dans un geste sans précédent, et moins de trois mois après avoir recommandé les vaccins contre le HPV, les responsables gouvernementaux du Japon ont suspendu cette recommandation en attendant le résultat des enquêtes sur la sécurité du Gardasil et du Cervarix. [5] [6] Le jour même où la recommandation du vaccin a été suspendue, soit le 14 juin 2013, le Ministère de la Santé a publié une autre directive à l’adresse du président de la Commission sur la sécurité des médicaments (Fédération des fabricants de produits pharmaceutiques du Japon), au nom de M. Tomiko Tawaragi, directeur de la Division Sécurité (Bureau de la Sécurité alimentaire et des produits pharmaceutiques) [7]

Cette lettre exigeait que les fabricants du Gardasil et du Cervarix ajoutent ce qui suit au texte traitant des « Précautions » :

« Bien que les mécanismes de pathogenèse ne soient pas clairs, de fortes douleurs qui ne sont pas nécessairement localisées au site d’injection ( par exemple : douleurs musculaires, arthralgie, douleurs au niveau de la peau, etc.), engourdissement, faiblesse, etc. peuvent se produire après la vaccination et ces symptômes peuvent persister longtemps. Il faudrait conseiller aux personnes vaccinées et à leurs tuteurs de consulter un médecin qui pourrait fournir les soins médicaux appropriés et donner un diagnostic différentiel neurologique et immunologique si des anomalies se présentaient après la vaccination. »

Veuillez noter que le paragraphe ci-dessus indique que les sujets vaccinés et/ou leurs tuteurs doivent consulter un médecin si quelque anomalie que ce soit est observée après la vaccination.

Les consommateurs de soins médicaux de votre pays ont-ils été mis au courant de ces effets indésirables possibles ?

Les actions menées au Japon soulèvent des questions pour les consommateurs de soins médicaux dans le monde entier.

·      Les autorités de Santé de mon pays croient-elles à la valeur du consentement éclairé ?

·      Les risques associés aux vaccins HPV seront-ils aussi bien expliqués que leurs avantages ?

·      Les mesures alternatives de prévention du cancer du col sont-elles clairement expliquées ?

·      Les autorités de Santé de mon pays réalisent-elles bien quels sont les effets indésirables possibles des vaccins contre le HPV ?

·      Est-ce que les médecins sont formés à reconnaître ces événements comme des réactions possibles du vaccin ?

·      Que va-il se passer si je fais une réaction négative au vaccin ?

Réfléchissez bien, - si les vaccins contre le HPV sont aussi bons qu’ils devraient l’être, alors répondre à ces questions devrait être chose très facile. Vous avez le droit de savoir. On appelle cela le droit au consentement éclairé.

Qu’est-ce qui vous importe le plus – la sécurité du vaccin ou le nombre de personnes qu’il faut vacciner ?

 

Références

 

[1] Pharmaceuticals and Medical Devices Safety Information, no. 301, May 2013 (pages 7-13); Pharmaceutical and Food Safety Bureau, Ministry of Health, Labor and Welfare, Japan

[2] VAERS search for ADEM; VAERS search for GBS; conducted 25 Aug 20113

[3] Health, Welfare and Labor ~ question HPV vaccine (translation of video kindly provided for SaneVax by Shinji Sato)

[4] Individual Adverse Event Reports from Japan – collected by MS Toshie Ikeda (G=Gardasil; S=Cervarix; each vertical line is one person, with their symptoms indicated by a green circle)

[5] Breaking News: Japan Suspends Recommendation of HPV Vaccines, Erickson, June 2013

[6] HPV Vaccines: Japan Leads the Way; Erickson, June 2013

[7] Letter from Director of Safety, Ministry of Health, Labor and Welfare to Chairman of Federation of Pharmaceutical Manufacturers’ Association of Japan, June 14, 2013

 http://www.initiativecitoyenne.be/

Source: SaneVax

3 septembre 2013

Fukushima : la pollution radioactive de l'océan Pacifique va se répandre sur toute la planète.

 

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Une vidéo de 30 minutes traduite et sous-titrée par Kna. Merci pour son travail.

Ken Buesseler est océanographe, maître de recherches en chimie marine et géochimie à l'Institut Océanographique de Woods Hole (WHOI), Massachusetts, et titulaire d'un doctorat en chimie marine obtenu via un programme joint du WHOI et du prestigieux MIT.

Il commence par nous présenter des données qui peuvent surprendre : les radionucléides d'origine naturelle présents dans les mers et océans, principalement le potassium 40 et l'uranium 238, représentent une quantité globale 150.000 fois plus importante que les matières radioactives crées par l'homme, tous chiffres confondus ! Il ne faut pas oublier que notre planète est majoritairement composée d'océans, d'où ces chiffres impressionnants...
Il nous décrit ensuite l'expédition qu'il a organisée suite à l'accident de Fukushima, pour aller y relever les niveaux de contamination de l'océan. Étudiant également les données fournies par TEPCO, l'opérateur de la centrale, ils trouveront des chiffres alarmants pour les premiers jours des rejets dans l'océan : plus de 50 millions de becquerels (de désintégrations radioactives par seconde) par mètre-cube. C'est 500.000 fois plus que les plus fortes contaminations océaniques causées par l'accident de Tchernobyl. Ces chiffres ont très rapidement décru, pour repasser après environ 6 mois sous la barre des 8000 becquerels/m3, limite tolérée pour l'eau potable aux États Unis.. Par contre depuis, le niveau de contamination de l'océan près du Japon ne baisse que très lentement, beaucoup moins vite que prévu. Cela indique clairement que depuis le début de l'accident, une ou plusieurs sources de contamination de l'océan persistent. C'est pourquoi la pêche reste interdite dans 5 préfectures, car les poissons, malgré qu'ils éliminent la moitié du césium qu'ils absorbent en 50 jours en moyenne, y dépassent encore la limite légale des 100 Bq/kg de césium, principalement les poissons de fond et les poissons d'eau douce. En janvier 2013, pas de changements spectaculaires.
On apprend également que le césium et autres matières radioactives ont mis environ 1 an pour atteindre les 180° de longitude, la moitié du chemin vers les États Unis. On annonce maintenant qu'elles devraient y parvenir en 2014.

Depuis cette vidéo, 5 mois se ont écoulés, et Fukushima refait surface dans les médias : Augmentation continuelle des taux de radioactivité dans les eaux souterraines au niveau de la centrale et de son port, aveu par l'exploitant TEPCO que depuis le début de l'accident, c'est par centaine de m3 QUOTIDIENS que les eaux souterraines dévalant sous les bâtiments, y pénètrent par les soubassements transformés en passoires, se mélangent aux tonnes d'eau injectés pour refroidir ce qui reste des réacteurs, se contaminent très probablement au contact des coriums issus de la fusion des coeurs des réacteurs, et s'en échappent pour aller se déverser naturellement dans l'océan.
Pour faire bonne mesure, on nous annonce que fuyant probablement depuis plus d'un mois, un réservoir parmi des centaines d'autres d'un même modèle "économique" prévu pour tenir 5 ans, même pas équipé d'une jauge, a laissé échapper 300 tonnes d'eau fortement radioactive, causant un nouvel accident classé officiellement niveau 3 sur l'échelle INES.
Avec l'espoir imbécile d'empêcher l'eau de se déverser dans l'océan (ou acculé par la pression des événement à l'obligation de "faire quelque chose"), TEPCO avait commencé à bâtir un mur étanche entre la mer et les réacteurs, et à solidifier le sol par injection de produits chimiques. Résultat, dans un des forage de vérification du niveau des eaux souterraines, on est par moments à 10 centimètres sous la surface du sol ...
Quelle sera la situation dans 6 mois, dans un an ??

Bienvenue à Fukushima Daiichi, très officiellement en état d'arrêt à froid et donc situation totalement sous contrôle depuis DECEMBRE 2011 !

Vidéo réalisée à l'occasion du symposium "The Medical and Ecological Consequences of the Fukushima Nuclear Accident" (Conséquences médicales & environnementales de l'accident nucléaire de Fukushima) organisé par la fondation Helen Caldicott les 11 & 12 Mars 2013 à New York.

 

une vidéo qui montre la progression de la pollution radioactive de l'océan Pacifique depuis le début de l'accident nucléaire et pour les années à venir. Ne pas oublier, bien sûr, que toutes les mers sont reliées. L'alarme est jetée aux US pour la consommation des produits de la pêche du Pacifique.

de BBB

28 août 2013

Coca Cola défend l’aspartame face à la chute de ses ventes de Coca Light

Confronté à une chute de ses ventes de soda «light», Coca-Cola a lancé mercredi une campagne publicitaire aux Etats-Unis mettant en avant l’innocuité de l’édulcorant aspartame mise en doute par des nutritionnistes.

 Les publicités publiées dans plusieurs quotidiens américains dont USA Today montrent des femmes souriant qui tiennent un Coca Light à la main accompagné du slogan: «Des produits de qualité qui vous comblent toujours de bien-être». Une note près de la photo indique que «la sûreté de l’aspartame est confirmée par plus de 200 études depuis ces 40 dernières années.»

 L’industrie des boissons gazeuses subit un recul de ses ventes aux Etats-Unis au moment où des groupes de défense de consommateurs et des élus comme le maire de New York, mènent campagne contre les sodas qu’ils accusent d’alimenter l’épidémie d’obésité en Amérique.

 Les ventes de Coca Light ont reculé de 3% en 2012 par rapport à l’année précédente tandis que celles du Coca normal ont baissé de 1%, selon la revue spécialisée Beverage Digest. Quant à Pepsi, ses ventes de soda ont diminué de 3,4% sur la même période tandis que celles de son Pepsi «light» ont plongé de 6,2%.

 Selon Karen Congro, une nutritionniste au Centre hospitalier de Brooklyn, on ignore si à long terme la consommation d’aspartame est sûre. «Malgré les affirmations de Coca-Cola et des autres sociétés sur la sûreté de l’aspartame, nous ne connaissons pas ses effets à long terme», a-t-elle dit.

 L’Agence américaine des produits alimentaires et des médicaments (FDA) a autorisé sa commercialisation dans les années 80. «On constate un rejet grandissant non seulement des sodas light mais aussi d’autre produits contenant des agents sucrants artificiels et d’autres ingrédients artificiels», selon cette nutritionniste.

 Karen Congro note que des recherches récentes montrent que les personnes qui recourent aux édulcorants dans le cadre d’un régime alimentaire peuvent finir par consommer plus de calories. «Dépendre des succédanés artificiels de sucre accroît l’envie de sucre qui peut contribuer à l’obésité et à de mauvaises habitudes alimentaires», a-t-elle expliqué.

 «Il est possible que le cerveau réagisse aux édulcorants dans les sodas light et d’autres aliments en libérant de l’insuline qui peut donner faim surtout pour du sucre», affirme-t-elle enfin.

 From www.lanouvellegazette.be -

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