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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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danger
26 décembre 2015

Verdict d’un tribunal italien : l’autisme du petit garçon a été causé par le vaccin Infanrix Hexa de GSK !

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Une indemnité à vie a été accordée à un enfant autiste qui avait précédemment reçu le vaccin hexavalent.
Milan – Le Ministère Italien de la Santé devra verser une somme de dédommagement bimensuelle à un petit garçon atteint d’autisme, et ce, pour le restant de sa vie.

C’est en 2006 que le petit garçon a été vacciné avec le vaccin hexavalent de routine fabriqué par la multinationale GlaxoSmithKline. Il s’agit du verdict émis par le Tribunal industriel de Milan présidé par le juge Nicola Di Leo. Selon ce juge, l’existence d’un lien causal entre la vaccination et la maladie a été établi. Qui plus est, en se référant au rapport de l’expert judiciaire et médical Alberto Tornatore désigné par le tribunal : «  Le petit garçon a probablement été sensible à la toxicité d’un ou de plusieurs ingrédients du vaccin. Il est donc probable que son autisme ait été provoqué par le vaccin Infanrix Hexa. »

INTERVIEW  « décision incroyable » affirme l’expert

Le vaccin hexavalent est administré en trois injections au cours de la première année de vie. Il protège contre la polio, la diphtérie, le tétanos, l’hépatite B, la coqueluche et les infections du type haemophilus influenza type b. En 2011, avant d’aller au tribunal,  la famille du petit garçon de neuf ans qui avait été diagnostiqué autiste en 2010 avait introduit une requête auprès du Ministère, mais leur requête fut rejetée. Dans la suite, les parents ont porté plainte. « Le Ministère avait 60 jours pour faire appel après le prononcé du 23 septembre. Mais aucun appel n’a été déposé » affirme Alessandra Genovési, l’avocate du petit garçon. Le jugement a donc été considéré comme res judicata (= ayant force de la chose jugée). La famille a émis le souhait que dans le futur, on se soucie de prendre plus de précautions avec ces vaccins. L’enfant va recevoir un dédommagement bimestriel (= tous les deux mois) de 1.683 euros plus un payement ponctuel.

BLOG  – Les vaccins et la logique inversée par Michele Bocci

Le rapport de 18 pages de l’expert médical désigné par la Cour se réfère à « un document confidentiel de poids de GlaxoSmithKline » traitant des «  soi-disant effets secondaires de l’Infanrix Hexa, signalés pendant les essais cliniques et après la pré-autorisation, entre octobre 2009 et octobre 2011. Selon le témoignage de l’expert, il y a apparemment eu « cinq cas d’autisme rapportés au cours des essais, mais ces cas sont restés non cotés ou ont été omis de la liste des effets indésirables remise aux autorités avant l’autorisation de mise sur le marché. »  Le verdict a aussi précisé – en conformité avec les conclusions de l’expert médical – que le vaccin avait « une propension spécifique à provoquer l’autisme, quoique théoriquement faible si elle est calculée sur la base des essais cliniques pré-autorisation, mais qui en réalité était sous-estimé, en raison de l’existence récemment confirmée par les autorités sanitaires australiennes, de lots de vaccins contenant un désinfectant à base de mercure, désormais interdit en raison de sa neurotoxicité démontrée. »

Rien n’indique que l’Agence italienne du médicament ait dans la suite lancé des contrôles sur le vaccin hexavalent de GlaxoSmithKline. « Aucune enquête particulière n’est en cours sur ce médicament qui, comme tous les vaccins, doit subir une surveillance post-marketing », explique l’Agence, ajoutant : « Il n’existe aucune preuve à l’heure actuelle qu’un changement soit intervenu dans la situation : les avantages de ce produit  l’emportent encore sur les risques. »

Les liens présumés entre la vaccination et l’autisme ont fait l’objet d’un débat international considérable pendant un certain nombre d’années. En 2012, une peine prononcée par la Cour de Rimini a établi un lien entre le vaccin trivalent ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et le syndrome de Kenner (Autisme). À l’époque, le Conseil scientifique du Calendario Vaccinale de la Vita – un groupe rassemblant médecins de famille, pédiatres et associations spécialisées de santé publique a publié cette déclaration : «  Ce verdict pourrait déclencher une perte de confiance en un outil de prévention qui protège la santé de nos enfants et l’ensemble de la population italienne ! », encourageant le Ministère de la santé à faire appel. Le verdict de la cour de Rimini se référait à une étude publiée dans le Lancet en 1998, et établissant un lien entre le vaccin contre la rougeole et l’autisme. Quelques années plus tard, cette recherche a été retirée du journal, car elle était considérée comme peu fiable. Une enquête similaire à celle de Rimini à nouveau sur le lien présumé entre le vaccin ROR et l’autisme a été lancée par le bureau du procureur de Trani. Au cours des trois dernières années, l’alarmisme ambiant – que les autorités de la santé estiment injustifié – a provoqué une diminution du nombre d’enfants vaccinés. En mars dernier, Movimento 5 Stelle (le Mouvement des cinq étoiles) de Lombardie a déposé un projet de loi en vue de suspendre la vaccination obligatoire, «  compte tenu des niveaux de vaccination déjà élevés en Lombardie. Ce mouvement précise qu’il est temps de permettre le consentement libre et éclairé à propos de la vaccination. » La réponse de la Société de Santé publique a été assez sèche : « Il s’agit d’une perspective dangereuse pour la santé publique. » 

Source : La Repubblica.it 

Initiative Citoyenne se réjouit que justice puisse se faire (même si cela ne rendra pas en soi la santé à cette jeune victime) sur base de FAITS incontestables et notamment sur base du contenu fondamental de ces documents confidentiels du fabricant lui-même, que notre collectif a notamment révélés – et qu’une Ministre comme Laurette Onkelinx tentait fort maladroitement de banaliser en prétextant qu’il n’y avait rien à cacher, rien de confidentiel là-dedans ! L’information se répand dans tous les pays auprès des avocats et des journalistes, au Royaume-Uni, ici en Pologne où malgré la difficulté de la langue on peut voir qu’ils citent Initiative Citoyenne et les risques accrus de la double vaccination par Prevenar et Infanrix hexa,…

Toutes les victimes de tous les pays devraient à chaque fois exiger l’exhumation de ces documents existants mais ô combien gênants et accablants qui sont pour cette raison enfouis sous le sceau de la confidentialité.

Il est urgent en outre de lever toutes les obligations vaccinales dès lors qu’il n’est écrit dans aucune loi que les personnes sont obligées de risquer à chaque fois un spectre de plus de 800 effets secondaires différents à chaque vaccination contre une ou seulement quelques maladies ciblées !

http://initiativecitoyenne.be/

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1 novembre 2015

HALLOWEEN N'EST PAS LA FETE ANODINE ET SANS DANGER QUE L'ON NOUS VEND !

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Halloween et le satanisme

HALLOWEEN N'EST PAS LA FETE ANODINE
ET SANS DANGER QUE L'ON NOUS VEND !

Malgré une volonté apparente de faire d'Halloween une innocente farce pour enfants, l'invocation des puissances du Mal y est présente.

De nombreuses sectes, qui ont défrayé la chronique ces dernières années, sont plus ou moins complaisantes avec les rituels sataniques. Mais à quoi mènent-ils ?

Ils peuvent produire parfois: profanations de cimetières – drogue – violences – messes noires – occultisme – enlèvements et assassinats d'enfants non élucidés… Même une église de Satan se revendique comme telle !

Les pouvoirs publics tirent aussi la sonnette d'alarme: le rapport annuel 2005 de la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) s'alarme de la progression sensible du satanisme en France.

Une invocation de ces puissances sataniques n'est jamais sans conséquences. Conséquences à court terme, provoquant des réunions qui peuvent transformer des jeux en drames; conséquences à long terme en installant dans l'inconscient l'idée qu'il est possible de faire, un jour ou l'autre, appel aux forces démoniaques.

Hélas, une partie du public ne voit pas le danger et, en conséquence, comme tout est bon pour faire de l'argent, le grand commerce exploite ce filon.

Nous appelons tous les parents, éducateurs, directeurs d'école, grand-parents, chefs scouts, animateurs socio-culturels, responsables de centres aérés, etc... à ne pas s'associer, à ne pas associer leurs enfants, ni les enfants dont ils ont la charge, à des pratiques et des rites qui trouvent leurs racines spirituelles dans les profondeurs sinistres du monde d'Halloween.

 

En 500 av. J-C, le monde celte ne se limite pas aux régions que sont aujourd'hui la Bretagne, l'Irlande, le pays de Galles ou l'Ecosse mais s'étend jusqu'à l'Auvergne et même l'Europe centrale.

Une fête venue des pratiques sataniques et païennes des Celtes La vie quotidienne de ces tribus était inscrite dans un calendrier qui se comptait, non en jours, mais en nuits, l'année finissant le 31 octobre, date approximative du changement de climat entre l'été et l'hiver. Ainsi, à la pleine lune la plus proche du 31 octobre, les populations célébraient la fête de Samhain, défaite de Muck Olla, dieu du soleil, de l'été, des moissons et donc dieu de la vie, face au dieu Samhain, dieu des ténèbres, des nuits longues et froides, dieu de la mort. Cette célébration servait d'exutoire à la peur qu'engendrait dans ces populations paysannes la perspective de l'hiver et de la famine possible. Et comme Samhain triomphait, on disait qu'il emmenait avec lui sur la terre les âmes des défunts de l'année qui revenaient hanter les chaumières.

Cette société celte est dominée par une caste de décideurs politico-spirituels, celle des druides, instruits de sciences et de magie noire, qui parcourent la campagne les nuits de Samhain pour percevoir l'impôt dû aux sacrifices du dieu de la mort. Les paysans payent donc en espèces ou en nature, sous la menace de recevoir un mauvais sort de la part des druides, qui tiennent ces populations par la peur et la superstition. Ensuite commencent les nuits de Samhain qui pouvaient durer pendant deux semaines à compter du 31 octobre et au cours desquelles des cérémonies de sacrificesassemblaient les populations autour de feux nocturnes pour y immoler des animaux, des esclaves ou des prisonniers ennemis, dans l'optique d'apaiser le dieu dont on craignait la puissance néfaste.

De même, les participants se couvraient de peaux de bêtes pour apaiser ou effrayer les mauvais esprits et pensaient les tenir loin des feux en faisant le plus d'agitation possible : cris, danses et chants pour les éloigner.

Puis les druides clôturaient les cérémonies en étouffant le feu sacré qui brûlait toute l'année sur l'autel des sacrifices, avant de le rallumer avec des branches du chêne lui aussi sacré. Enfin, chaque chef de famille emportait dans sa maison des braises dudit foyer, afin d'y entretenir lui aussi ce feu au long de l'année.

La christianisation des fêtes païennes

Depuis toujours, l'Eglise catholique eut le souci de remplacer les fêtes païennes par des fêtes religieuses et de les placer aux même dates, afin d'éviter que les deux ne coexistent et ne sèment la confusion, notamment parmi les populations fraîchement converties, tentées de sombrer dans le syncrétisme. Il en est ainsi de la fête de la Nativité placée le jour de l'équinoxe, de la fête solaire et de la fête du dieu romain Mithra, de Pâques à l'époque des fêtes celtiques du Renouveau, de la Saint Jean le jour du solstice d'été. De même, la fête de la Toussaint (fête de tous les saints), initialement instaurée au mois de mai par le Pape Grégoire IV (840), est rapidement déplacée au 1er novembre et le lendemain, 2 novembre, est consacré au culte des morts par saint Odilon, abbé de Cluny (1248), dans le but de célébrer l'union de l'Eglise triomphante, de l'Eglise militante et de l'Eglise souffrante qui ne forment qu'une seule Eglise. Les dates des 1er et 2 novembre ont donc été choisies précisément dans le but de remplacer les fêtes de tradition païenne.

Mais les superstitions rurales locales subsistent et, dès lors, le mot désignant la veille de la Toussaint devient All Hallow Evening, le soir de tous les esprits, que l'usage transformera en All Hallow'en puis Halloween.

De plus, en Irlande, court la légende d'un ivrogne dénommé Jack, qui vendit son âme au Diable pour payer ses dettes de jeu. Au moment, de livrer son âme, il aurait demander au malin une dernière partie de dés et l'aurait gagné. Furieux, ce dernier serait reparti en enfer en abandonnant Jack et en lui refusant à tout jamais l'entrée du royaume des ombres. Dieu n'en voulant pas non plus, Jack fut condamné à errer dans les limbes et les brumes éternelles avec pour toute lumière un navet dans lequel se consume une bougie. C'est donc dans ce Faust irlandais que la légende de Jack O Lantern trouve ses racines. La légende, mi amusante, mi sérieuse, fut exportée vers les USA à partir de 1846 quand la famine de la pomme de terre, base alimentaire des paysans irlandais, força 2 millions d'entre eux à émigrer vers le Nouveau Monde.

Arrivés outre-Atlantique, les immigrés trouvèrent sur la côte Est de nombreuses citrouilles et, faciles à creuser et sculpter, elles remplacèrent le navet de la légende. La fête de l'Halloween, d'abord interdite (XVIème siècle), s'étendit ensuite largement dans ce pays protestant (le grand chapeau des sorcières d'Halloween est celui des colons puritains du XVIIème) où le mythe et la phobie des sorcières sont si présents (Les Sorcières de Salem d'Arthur Miller, les sorcières du Maryland de Blair Witch), tant et si bien qu'à la fin du XIXème siècle elle fut inscrite au rang de fête nationale, à côté de Valentine Day et de l'Independance Day. Les sorcières remplacèrent donc les druides, la citrouille le navet, les américains adaptant la vieille légende à leurs traditions et à leur culture.

Une rapide propagation en France

Aux USA, Halloween est depuis longtemps, sur le plan commercial, beaucoup plus rentable que la fête de Christmas. Entre les déguisements, maquillages, jouets et décorations, la société César, spécialiste de ce type d'articles, réalise ainsi 90% de son chiffre d'affaire à l'occasion d'Halloween. Dès 1994, cette société diffuse en France ses articles avec grand succès au point de créer un véritable phénomène de mode relayé par les université parisiennes profitant du jour férié de la Toussaint pour attirer les jeunes dans les soirées étudiantes de rentrée. Cette période, au ciel gris d'automne, coincée entre la rentrée scolaire et les fêtes de fin d'année, se caractérise par l'absence de thème commercial (à l'exception du Beaujolais nouveau) : Halloween rencontra donc un succès aussi immédiat qu'inespéré pour les commerçants avides de doper leurs ventes. De larges gammes de produits sur ce thème apparurent donc, du cahier à la brosse à dent. Depuis 1996, des campagnes publicitaires sont ainsi lancées par Coca-Cola, Mac-Donald, Disney, Universal Studio, puis France Telecom (téléphones Ola dans une citrouille) pour finalement atteindre tous les acteurs économiques qui veulent aussi profiter du phénomène. Ces sont aussi les films Halloween 1 puis 2 -films d'horreur avec Jemy Lee Curtis-, La Maison hantée, mais aussi la série littéraire à grand succès Harry Potter destinée aux enfants. Ce sont encore les animations orchestrées dans les écoles primaires par les instituteurs de la République. C'est dans ce désert commercial que vont s'engouffrer commerçants et media de toutes sortes en jouant sur l'envie des Français de " faire la fête ", d'oublier la morosité de la Toussaint et de la fête des morts et sur le pouvoir d'achat des enfants profitant de leurs vacances pour acheter selon leur caprices. En 1999, la société César peut afficher un chiffre d'affaire de 100 millions de francs et préparer son introduction en bourse...

La fin de la France chrétienne

Les fêtes du calendrier rythmaient jadis la vie des hommes, chaque jour honorant un saint particulier et participant à l'œuvre de christianisation. Une des premières tâches des révolutionnaires de 1789 et de leurs descendants fut donc d'abolir tout ce qui ressemblait à une tradition chrétienne et de laïciser la cité. Aujourd'hui, les vacances de Pâques sont devenues les vacances de printemps, la fête de la Saint Jean, le 21 juin, est devenue fête de la musique à l'initiative de Jack Lang (où les feux de joie ont été remplacés par les feux de voiture). A quand le remplacement, dans le calendrier officiel, de la fête de la Toussaint par la fête d'Halloween ?

Halloween, grande fête sataniste

" Halloween est purement et simplement le démon, et ça n'aura jamais quoi que ce soit de compatible avec le Christ. " a affirmé Tom Sanguinet, ancien Grand Prêtre de la Celtic Tradition of Wiccan, société de sorciers, la plus active aux USA et au Canada. Halloween est le premier jour du calendrier des sorciers, héritage celtique oblige. C'est également l'occasion pour de nombreux jeunes américains de faire leur première expérience de spiritisme, notamment via le jeu de Benji, sorte de kit du sorcier vendu en grande surface.

Toutes les traditions de l'Halloween américain moderne sont donc héritées des aspects les plus païens de son origine celtique. A cette occasion, on se déguise comme les sorcières les soirs de sabbat (têtes de bœuf, peaux de loup ou de cerfs), on mange le gâteau nommé Samhain (nom du dieu de la mort), on prend des navets ou des citrouilles, légumes qui " servaient de signal pour marquer ces fermes qui étaient amies des satanistes " (d'après The Occult Conceit, sorte de Bible des sorciers, page 190), on pratique la tradition du Trick or treat expliquée par Tom Sanguinet : " Quand vous donnez un bonbon lors d'Halloween, en essence, vous offrez un sacrifice à de faux dieux, vous participez à l'idolâtrie, car c'est une offrande destinée à apaiser des esprits mauvais ".

La réaction du catholique

Que faire ? Les Actes des Apôtres nous donnent des éléments de réponse : " N'ayez aucune relation avec les œuvres stériles des ténèbres et de l'obscurité " (Ephésiens, 5-1). " Les païens sacrifient aux démons et non à Dieu. Et moi, je dis que vous ne devez pas avoir de commerce avec les démons " (1 Corinthiens, 10-20). En tant que Français, soucieux de son patrimoine culturel et du goût du beau qu'il convient de cultiver surtout parmi la jeunesse, en tant que catholiques, attachés aux fêtes instituées par l'Eglise et refusant toute forme de syncrétisme, nous devons nous opposer à l'instauration de cette fête qui n'est pas un simple phénomène de mode ou une innocente farce.

Halloween est d'origine satanique, malgré ses origines celtes qui peuvent paraître attractives. Elle répond à une indéniable demande, économique ou spirituelle. Dans notre société déchristianisée, elle sert d'exutoire aux peurs de la société de consommation face à la Mort. A ces peurs et à ces douleurs, opposons plutôt le message chrétien de l'espérance du salut. A ces enfants qui en sont les innocents acteurs et propagateurs, apprenons plutôt le goût du beau, du vrai et du bien. Aux instituteurs de la République qui y participent, dévoilons la face cachée de cette mascarade et montrons notre refus de voir nos enfants élevés dans le culte des sorcières, des monstres et du diable. Aux commerçants qui en profitent, expliquons que nous refusons de participer à leur commerce malsain et que nous boycotterons leurs produits. Ce sont de petites choses. Bien simples, sans doute. Mais si chacun, à son échelon, prouvait qu'il refuse de baisser sa garde devant le malin et qu'il ne veut pas abandonner ses frères à ses griffes...

Souvenons-nous simplement que le cheval de Troie était officiellement une offrande des Grecs à leurs Dieux, et que les Troyens, en l'acceptant dans leurs murs, furent les premiers complices " involontaires " de leur disparition.

Alors, Halloween, non merci !

http://www.info-sectes.org/religion/index.htm

 

avec le concours de la documentation de l'association Contrefort,

22 octobre 2015

Danger : Les végétaliens sont à risque de carences en vitamine B12

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Attention

  • Vitamine B12. Les végétaliens sont à risque de carences en vitamine B1210.Dans une étude allemande10, on a détecté une carence en vitamine B12 de stade 3 chez 60 % des sujets végétariens. On identifie quatre stades de carence de la B12, le quatrième étant celui des dommages neurologiques irréversibles ;

Les femmes enceintes végétariennes sont sujettes au manque de B1211. Pour les végétaliens, la B12 se trouve dans les levures enrichies de B12 (Red Star, Lyfe), les boissons de soya enrichies, les boissons de riz enrichies, les simili-viandes (souvent à base de protéines de soya). À ces aliments, les lacto-ovo-végétariens peuvent ajouter le lait, les produits laitiers et les oeufs comme sources de vitamine B12.

  • Fer. Les personnes végétariennes et surtout les femmes sont plus à risque de manquer de fer12, bien que la carence en fer soit aussi fréquente chez les femmes non végétariennes. Étant donné que le fer des aliments du règne végétal est moins bien absorbé que celui du règne animal, on recommande aux végétariens de toujours consommer un aliment riche en vitamine C à chaque repas pour améliorer l’absorption du fer. On retrouve du fer notamment dans les haricots de soya, les haricots blancs et rouges, les lentilles, les pois chiches, le tofu et les graines de citrouille ;
  • Zinc. Des végétariens auraient des apports en zinc inférieurs aux apports nutritionnels de référence. De plus, dans le régime végétarien, deux facteurs nuisent à l’absorption du zinc : la présence élevée de phytates et le manque de protéines animales. Le germe de blé, les graines de sésame, les champignons shiitakes et les légumineuses sont de bonnes sources de zinc ;
  • Vitamine D. Les principales sources alimentaires de vitamine D — dont le poisson et le lait enrichi — ne sont pas accessibles aux végétaliens qui ne peuvent recourir qu'aux boissons de soya enrichies, aux boissons de riz enrichies et à la lumière du soleil. Un supplément de vitamine D est donc recommandé dans leur cas13 ;
  • Calcium. Parce qu’ils ne consomment pas de produits laitiers, les végétaliens peuvent manquer de calcium. Il est donc important qu’ils le puisent chaque jour dans quelques-unes des sources suivantes : boissons de soya enrichies de calcium, boissons de riz enrichies de calcium, jus d’orange enrichi de calcium, tofu avec calcium, feuilles de navet, chou de Chine, feuilles de moutarde, chou vert frisé, haricots blancs, rutabaga, brocoli et amandes ;
  • Acide gras oméga-3 à longue chaîne (AEP et ADH). Les acides gras oméga-3 à longue chaîne que l’on retrouve dans les poissons sont absents de l'alimentation des lacto-ovo-végétariens et des végétaliens. On ne sait pas si cela peut avoir des répercussions négatives sur la santé puisqu’il existe un autre type d’acide gras oméga-3, l’acide alpha-linolénique (AAL), présent dans les végétaux (graines de lin, de chanvre, huile de canola, etc.)8. Le corps humain peut convertir, en partie du moins, les AAL en ADH et en AEP. Les végétariens et particulièrement les végétaliens afficheraient néanmoins des taux plus bas d’AEP et ADH que les non-végétariens8. Les études scientifiques devraient confirmer la nécessité d’obtenir ou pas, par son alimentation, des acides gras oméga-3 à longue chaîne. En attendant, les végétariens pourront combler ce déficit par la consommation de micro-algues marines et, pour les lacto-ovo-végétariens, d’oeufs oméga-3. En effet, la poule qui consomme des graines de lin convertit, au cours du processus de digestion, une partie de ces oméga-3 d’origine végétale en ADH et, en plus petite quantité, en AEP. D’où la présence d’acides gras oméga-3 à longue chaîne dans les oeufs ;
  • Excès d’acides gras oméga-6. Les lacto-ovo-végétariens et les végétaliens consomment beaucoup de noix, de graines et d'huiles : leur apport en acides gras oméga-6 peut donc être trop élevé par rapport aux acides gras oméga-3. Il est avantageux pour eux de diminuer les huiles riches en oméga-6 — tournesol, soya, carthame, germe de blé, maïs, pépins de raisin — et de privilégier des sources d’oméga-3 : graines et huiles de lin, huile de canola, graines et huile de chanvre, graines de chia, micro-algues marines.

Notre organisme a besoin de vitamine B12

La vitamine B12 (aussi appelée Cobalamine) est une vitamine essentielle, autrement dit, notre corps a besoin de cet élément pour fonctionner correctement et rester en bonne santé. D’après les connaissances actuelles, l’organisme des êtres humains ne produit pas de vitamine B12 utilisable et il lui faut donc des apports extérieurs afin de survivre et rester en bonne santé. Mais alors, quels sont les rôles physiologiques principaux de la vitamine B12?

Elle joue notamment un rôle incontournable en tant que co-enzyme dans le cadre des processus essentiels du métabolisme. Parmi eux on trouve les mécanismes fondamentaux comme:

  • Formation de l’ADN
  • Protection et régénération des nerfs (système nerveux et cerveau)
  • Formation de l’hémoglobine
  • Mitose (division cellulaire)
  • Respiration cellulaire (alimentation en oxygène des mitochondries)
  • Synthèse des neurotransmetteurs (émission de substances sémiochimiques: substances messagères)

La vitamine B12 n’est souvent pas directement associée à ces co-enzymes mais est un élément important constitutif de ces mécanismes métaboliques cruciaux pour le bon fonctionnement du corps humain. À défaut de vitamine B12, ces propriétés de l’organisme se dérèglent et ne peuvent pas fonctionner correctement. Cela entraîne des conséquences sur la santé de l’individu.

Carence en vitamine B12, les risques

La vitamine B12, étant liée à de nombreux processus élémentaires de l’organisme, joue un rôle particulier sur la santé. Une carence de cette vitamine essentielle peut donc entraîner des conséquences parfois très graves: une carence peut mener à une situation d‘anémie pernicieuse qui peut être mortelle si elle n’est pas traitée. Des troubles de la mitose (division cellulaire) peuvent mener à un très grande nombre de troubles graves. De même des troubles de la synthèse de l’ADN peuvent mener à de nombreuses maladies génétiques ou le cancer. Des problèmes de neurotransmission peuvent mener à des fatigues chroniques, dépression ou états psychotiques. Si la vitamine B12 ne joue pas son rôle de protection des nerfs, certaines maladies peuvent apparaitre comme parkinson, la sclérose en plaque et autres maladies de dégénérescence nerveuse. Par ailleurs, ce genre de troubles peuvent mener à un état de démence sénile.

Les exemples ci-dessus ne sont que quelques exemples typiques parmi l’immensité des symptômes qu’une carence en vitamine B12 peut entraîner sur notre santé. De fait, il existe de nombreux indicateurs qui peuvent mettre en évidence un état de carence en vitamine B12 mais il est essentiel de bien comprendre la valeur fondamentale de cette vitamine pour les appréhender.

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Détox et vitamine B12 

La vitamine a d’autres rôles physiologiques encore, ceux-ci sont directement liés au travail central que la cobalamine fait dans notre organisme. Par exemple les formes de vitamines B12 hydroxocobalamine et méthylcobalamine sont utilisées pour la détoxication de certains poisons (acide prussique et acide cyanhydrique: cyanure). La cobalamine forme une liaison chimique avec le poison et permet son évacuation par les excréments. On utilise parfois la vitamine B12 pour traiter les grands brûlés et les victimes d’empoisonnement à la fumée.

Les quantités infimes de cyanures que l’on ingère par contact avec la pollution sont également éliminées de notre systèmes par la vitamine B12. Ceci est particulièrement pertinent pour les fumeurs qui absorbent régulièrement du cyanure par la fumée de cigarette.

Stress oxydatif monoxyde d’azote et B12

La monoxyde d’azote (formule chimique: NO) est une substance qui est liée au stress oxydatif (aussi appelé stress nitrosatif) et l’action néfaste des radicaux libres. En cas de surplus, la cobalamine (vitamine B12) se lie avec le monoxyde d’azote qui peut ainsi être éliminé sans faire de dommages à l’organisme. Le stress oxydatif est une cause directe ou est associé* à de nombreuses maladies comme: 

  • Maladies immunitaires
  • Névrodermite
  • Pellicules capillaires
  • Asthme
  • Infarctus cardiaque
  • Chute de cheveux
  • Démence sénile
  • Maladie d’Alzheimer, de Parkinson
  • Cancer

*Ces implications sont encore en cours de recherche.

Ce qui est néanmoins bien compris est le rôle défavorable d’une carence en vitamine B12 sur les mitochondries (centrale énergétique cellulaire), le métabolisme du cholestérol, la synthèse des hormones sexuelles (hormones stéroïdiennes) et la formation de la nitrosamine – un composé chimique très dangereux lié à la formation de nombreux cancers.

Comme cité ci-dessus, la vitamine B12 forme des liaisons chimiques avec l’excès de monoxyde d’azote, produisant ainsi de la nitrocobalamine pouvant être éliminée sans problème par l’urine. La médecine orthomoléculaire compte des exemples de guérisons spectaculaires en utilisant un traitement de vitamine B12 ciblé contre différentes formes de stress oxydatif. 1

Vitamine B12 et système nerveux

Peut être une des fonctions les plus importantes à long terme est l’effet du la vitamine B12 sur le système nerveux central, cerveau et moelle épinière. Dans ce cadre, la vitamine B12 intervient dans la constitution du neurolemme, gaine de myéline qui protège les nerfs, comparable à la gaine d’isolation d’un câble électrique.

Une maladie comme la sclérose en plaque provient d’une dégradation de cette gaine protectrice. Cela entraine des troubles du signal d’information nerveux. Un nombre croissant de scientifiques et d’études tendent vers l’hypothèse que ce genre de maladies, désignées comme „syndrome de démyélinisation osmotique“, pourraient être étroitement liées à une carence en vitamine B12. C’est notamment le cas de la sclérose en plaque. 2-3

Vitamine B12 et maladies mentales

Le lien entre des carences en vitamine B12 et certaines maladies neuro-psychiatriques apparait aujourd’hui de plus en plus clairement. Ces maladies psychologiques graves qui peuvent atteindre toutes sortes d’individus sont plus fréquentes chez les personnes ayant une carence anémique prononcée en vitamine B12. Il semblerait aussi que de faibles carences puissent contribuer à la formation de ces maladies mentales. Des médecins ont même décrit de nombreux cas de patients souffrant de troubles psychologiques sévères, qui ont été totalement normalisés par la vitamine B12. 5 On explique cela en partie par la démyélinisation des gaines nerveuses de la moelle épinière. Dans le cadre de certaines de ces maladies mentales comme la dépression, la vitamine B12 joue un rôle important dans le formation des neurotransmetteurs.

Un effet bénéfique sur les nerfs

De manière générale, la vitamine B12 joue un rôle très important dans la régénération des nerfs et se présente comme une bonne option thérapeutique pour un grand nombre de maladies. En effet, il a pu être démontré sur des rats de laboratoire que l’utilisation de très hautes doses de méthylcobalamine avait pour effet de fortement accélérer la régénération des cellules nerveuses. C’est donc un effet qui pourrait contribuer à la guérison de nombreuses pathologies nerveuses. Toutefois ce genre de recherche n’a pas été entreprise sur des êtres humains.

Sclérose en plaque, fibromyalgie et fatigue chronique

La vitamine B12 a un effet exceptionnel dans le traitement de la sclérose en plaque, de la fibromyalgie et le syndrome de fatigue chronique (ang. Chronic Fatigue Syndrome, CFS). Cependant, les chercheurs n’ont pas encore totalement compris comment ce mécanisme de guérison fonctionne. Dans le cadre de la sclérose en plaque, la vitamine B12 a un rôle restaurateur de la myéline, constituant essentiel de la moelle épinière. 7 Dans le cadre de la Fibromyalgie et du syndrome de fatigue chronique, ils supposent que les propriétés anti-stress oxydées et réductrices de l’homocystéine ont un rôle important dans le soulagement et le traitement de ces pathologies. 8

Les bienfaits de la vitamine B12 sur notre cerveau

La vitamine B12 joue un rôle très important dans l’activité cérébrale. Certaines maladies génétiques troublent la synthèse des co-enzymes de vitamine B12 méthylcobalmine et adénosylcobalamine. Les études sur ces maladies nous permettent de savoir que la vitamine B12 a un rôle central dans le développement des fonctions cérébrales. En l’absence de cette vitamine, le cerveau ne peut se développer correctement et il apparait des troubles cognitifs divers et de sous-développement. 

D’autres études sur des enfants strictement véganes et végétarien et souffrant de carence en vitamine B12 présentent des signes très nets de sous-développement mental, une masse cérébrale de taille inférieure. Toutefois, ces troubles sont bien souvent corrigés par une cure de vitamine B12. 10-16

Ici aussi, les troubles de myélinisation de la moelle épinière occasionnés par le manque de vitamine B12 sont en grande partie responsables de ces troubles cérébraux. De même, différents procédés de méthylation associés à une carence de S-Adénosylméthionine relative à la vitamine B12, semblent pouvoir occasionner des problèmes neuro-psychiatriques.

Bienfaits de la vitamine B12 sur la peau ?

La vitamine B12 a aussi des bienfaits en application locale sur la peau. En effet, son influence sur le stress oxydatif visant la peau est très puissant. C’est pour cela qu’il existe des crèmes contenant de la vitamine B12. En 2009 on désignait ces produits comme „traitement miracle“ contre les problèmes de neuro-dermatites et de pellicules capillaires. Toutefois les preuves scientifiques de ces revendications sont encore insuffisantes. Et les dermatologues émettent encore de fortes réserves sur l’efficacité de ce protocole thérapeutique même si certains patients peuvent montrer d’excellents résultats au niveau individuel.

Par ailleurs, on suppose que la vitamine B12 en prise interne (orale, sublinguale, intraveineuse) a également des effets positifs sur les troubles dermatologiques du fait de son rôle actif conte les oxydes d’azote.

Fonctionnement de la vitamine B12 dans l’organisme

Comment expliquer toutes ces applications dans notre organisme? La vitamine B12 agit principalement sous deux formes et de deux manières différentes: dans le cadre du plasma cellulaire, la méthylcobalamine est rattachée à l’activation de l’acide folique et au recyclage de l’homocystéine en méthionine. Au sein des mitochondries, centrales énergétiques de notre organisme, l’adénosylcobalamine participe à la conversion d’acide méthylmalonique en succinyl-coenzyme A. Ceux sont tous deux des processus fondamentaux de l’organisme qui expliquent les bienfaits et le rôle important de la vitamine B12. 

effet-vitb12-cellulaire

Les effets de la vitamine B12 sont intimement liés aux effets des autres vitamines du groupe B: en effet, l’action de la méthylcobalamine dépend de l’acide folique (vitamine B9) et les processus des mitochondries dépendent de la biotine (vitamine B8).

Vitamine B12, une vitamine méconnue mais essentielle

Alors que d’autres vitamines comme les vitamines C, D et E reçoivent depuis bien longtemps une attention particulière, la vitamine B12 est quant à elle encore assez méconnue. C’est notamment par l’augmentation du nombre de végétariens et de véganes que la vitamine B12 à gagné une attention accrue. Cela est une bonne chose car les nombreux rôles physiologiques essentiels de la vitamine B12 commencent à apparaitre désormais de manière plus claire du point de vue de la santé physique et psychologique.

Sources

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2 Ariel Miller, Maya Korem, Ronit Almog, Yanina Galboiz, Vitamin B12, demyelination, remyelination and repair in multiple sclerosis, Journal of the Neurological Sciences, Volume 233, Issues 1–2, 15 June 2005, Pages 93-97, ISSN 0022-510X, http://dx.doi.org/10.1016/j.jns.2005.03.009.
3 Reynolds EH, Bottiglieri TT, Laundy MM, Crellin RF, Kirker SC. Vitamin B12 Metabolism in Multiple Sclerosis. Arch Neurol. 1992;49(6):649-652. doi:10.1001/archneur.1992.00530300089014.
4 Bottiglieri, T. (1996), Folate, Vitamin B12, and Neuropsychiatric Disorders. Nutrition Reviews, 54: 382–390. doi: 10.1111/j.1753-4887.1996.tb03851.x
5 Demise J. Subtle vitamin deficiency and psychiatry: A largely unnoticed and devastating relationship. Med Hypothesis. 1991;34:131–40
6 Tetsuya Watanabe, Ryuji Kaji, Nobuyuki Oka, William Bara, Jun Kimura, Ultra-high dose methylcobalamin promotes nerve regeneration in experimental acrylamide neuropathy, Journal of the Neurological Sciences, Volume 122, Issue 2, April 1994, Pages 140-143, ISSN 0022-510X, http://dx.doi.org/10.1016/0022-510X(94)90290-9.
7 B. Regland M. Andersson L. Abrahamsson J. Bagby L. E. Dyrehag C. G. Gottfries. Increased Concentrations of Homocysteine in the Cerebrospinal Fluid in Patients with Fibromyalgia and Chronic Fatigue Syndrome. Scandinavian Journal of Rheumatology 1997 26:4, 301-307
8 Martin L. Pall. Cobalamin Used in Chronic Fatigue Syndrome Therapy Is a Nitric Oxide Scavenger. Journal of Chronic Fatigue Syndrome 2000 8:2, 39-44
9 Hall, C. A. (1990), Function of vitamin B12 in the central nervous system as revealed by congenital defects. Am. J. Hematol., 34: 121–127. doi: 10.1002/ajh.2830340208
10 Casella EB, Valente M, de Navarro JM, Kok F. Vitamin B12 deficiency in infancy as a cause of developmental regression. Brain Dev. 2005 Dec;27(8):592-4. PubMed PMID: 16310594.
11 Karl-Olof Lövblad, Gianpaolo Ramelli, Luca Remonda, Arto C. Nirkko, Christoph Ozdoba, Gerhard Schroth. Retardation of myelination due to dietary vitamin B12 deficiency: cranial MRI findings. Pediatric Radiology February 1997, Volume 27, Issue 2, pp 155-158
12 K. Stollhoff, F. J. Schulte. Vitamin B12 and brain development. European Journal of Pediatrics March 1987, Volume 146, Issue 2, pp 201-205
13 Wighton MC, Manson JI, Speed I, Robertson E, Chapman E. Brain damage in infancy and dietary vitamin B12 deficiency. Med J Aust. 1979 Jul 14;2(1):1-3. PubMed PMID: 502936.
14 T. Lücke , G. C. Korenke , I. Poggenburg , K. H. P. Bentele , A. M. Das , H. Hartmann. Mütterlicher Vitamin-B12-Mangel: Ursache neurologischer Symptomatik im Säuglingsalter. Z Geburtshilfe Neonatol 2007; 211(4): 157-161
15 T. Kühne, R. Bubl, R. Baumgartner. Maternal vegan diet causing a serious infantile neurological disorder due to vitamin B12 deficiency. European Journal of Pediatrics January 1991, Volume 150, Issue 3, pp 205-208 
16 Sklar R. Nutritional vitamin B12 deficiency in a breast-fed infant of a vegan-diet mother. Clin Pediatr (Phila). 1986 Apr;25(4):219-21. PubMed PMID: 3948463

8 octobre 2015

Une adolescente péruvienne prétend qu’elle a été possédée par le diable après avoir joué à Ouija sur ton téléphone

lightcame

, rapporte le Daily Mail.

Des images saisissantes filmées à un hôpital local montrent Patricia Quispe de Chosica, au Pérou, en pleines convulsions pendant qu’elle crie «666» et «laisse-moi partir, laisse-moi partir».

Des amis de l’ado ont affirmé qu’elle leur a mentionné avoir téléchargé une application Ouija pendant le week-end pour s’amuser et tenter de communiquer avec le monde des esprits.

Lorsqu’ils sont revenus à la maison, les parents de Patricia ont remarqué qu’elle semblait malade et ont finalement appelé une ambulance lorsqu’elle s’est mise à avoir des convulsions et de l’écume à la bouche.

Les amis de Patricia ont dit que sa personnalité a commencé à changer et qu’elle parlait avec une voix différente au moment où elle a perdu le contrôle de son corps et s’est mise à appeler le diable.

Des infirmiers ont confirmé que la jeune femme semblait être extrêmement forte et qu’il était difficile de la contrôler, et ont affirmé avoir travaillé pendant plus d’une demi-heure avant de réussir à la maîtriser.

Mme Quispe a été envoyée dans une aile psychiatrique pendant que des docteurs évaluent sa condition et tentent de déterminer la cause de son comportement étrange.

preuve que la technologie peut servir a déplacer et véhiculer des énergies de basses frequences en creant des brèches dans votre aurra qui sera exploiter pare toute entités qui sera appellée dans le cas present la ouija appelle les demons et là c'est très dangereux .

petit rappel le mal n'ayant pas le pouvoir de vous obliger a pécher seulement a vous suggerer de faire telle ou telle chose une fois que vous creez cette bréche vous venez juste de l'inviter et le piège se referme sur vous hélas . rjames

 

Peru teen possessed and screaming for the Devil after Ouija App

http://www.journaldemontreal.com/2015/10/06/une-ado-possedee-par-le-diable-apres-avoir-joue-a-ouija-sur-son-telephone

12 août 2015

ALUMINIUM, CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES et VACCINS

vaccin-sida

Jean PILETTE
Docteur en médecine

L'aluminium a-t-il quelque chose à voir avec les champs électromagnétiques ? A part le fait que des feuilles d'aluminium sont utilisées par certains pour arrêter les ondes électromagnétiques des antennes de téléphonie mobile, qu'auraient en commun ce métal et les champs électromagnétiques ? Est-il possible de comparer quelque chose que l'on peut voir, toucher, peser comme l'aluminium et quelque chose d'invisible, d'insipide et qui ne pèse rien comme les champs électromagnétiques ? Y a-t-il un lien unissant ce métal et ce phénomène ? L'ALUMINIUM Le corps humain est le siège, depuis sa conception jusqu'à sa mort, de constantes réactions chimiques. Il réagit à tous les éléments chimiques avec lesquels il entre en contact.

Personne ne niera que l'oxygène est un gaz qui lui est indispensable. Mais qu'en estil d'un métal comme l'aluminium ? Comment se comporte-t-il dans l'organisme ? Sa présence dans les vaccins serait-elle indispensable ? L'aluminium est, sur notre terre, le plus abondant des métaux. Dans la nature, il n'existe pas à l'état libre.

Combiné à l'oxygène, au fluor et au silicium, il constitue environ 8 % de l'écorce terrestre. L'aluminium est un métal léger, très malléable, bon conducteur de l'électricité. Ces propriétés permettent de l'employer pour de nombreux usages. Il sert par exemple dans l'industrie automobile et dans l'industrie du bâtiment. Mais il sert aussi au conditionnement de nombreuses denrées alimentaires  . Sous forme de sels, l'aluminium est utilisé dans le domaine agroalimentaire pour fabriquer des pesticides  élaborer des additifs alimentaires , traiter les eaux afin de les rendre « potables »  .

Dans le domaine cosmétique il sert à la fabrication de pommades, de dentifrices, de déodorants .

Dans le domaine médical, on le retrouve dans des prothèses dentaires et chirurgicales, ainsi que dans des médicaments et de nombreux vaccins. L'aluminium peut entrer dans l'organisme humain par les voies respiratoires, par la peau, par les muqueuses, par la voie digestive et par injection. L'aluminium est une substance toxique pour toutes les cellules de l'organisme  . Il agit particulièrement sur les cellules du système nerveux .

L'aluminium accélère le processus de vieillissement des structures nerveuses du cerveau  et favorise des maladies de neurodégénérescence telles que la maladie d'Alzheimer  . Par son action destructrice sur la gaine de myéline , l'aluminium perturbe la propagation de l'influx nerveux et jouerait ainsi un rôle dans l'éclosion de la sclérose en plaques. Le risque d'avoir une sclérose en plaques serait plus important après avoir reçu des vaccins anti-hépatite B  et antitétanique , vaccins qui contiennent de l'aluminium. Les enfants et nourrissons sont particulièrement sensibles à l'action de l'aluminium , spécialement les prématurés . Une étude comparative portant sur l'alimentation de prématurés au moyen de perfusions, a révélé des altérations du développement mental chez les nourrissons âgés de 18 mois dont les perfusions contenaient de l'aluminium .

Bien que l'on ait réduit la quantité d'aluminium dans beaucoup de solutions nutritives parentérales, on a remarqué que les enfants nourris avec ces solutions améliorées présentaient malgré tout un taux élevé d'aluminium dans le sang et que l'on ne pouvait exclure une accumulation d'aluminium dans leurs tissus 35 . Une alimentation artificielle des prématurés ne prenant pas en compte ces faits risquerait de favoriser ultérieurement chez eux l'apparition d'une démence 36. Lorsqu'un vaccin contenant de l'aluminium est injecté, une partie de cet aluminium reste au point d'injection ou se dissout dans le liquide interstitiel 37 et le reste passe très rapidement dans le sang.

Cet aluminium voyage dans tout le corps et va se déposer dans des tissus ou organes tels que le foie, les reins, les poumons, les os et le cerveau. Lorsque l'aluminium, introduit par l'une ou l'autre voie dans l'organisme, se retrouve dans la circulation sanguine, il se lie à certaines protéines du plasma sanguin. Dans le sérum 2 humain normal, l'aluminium se lie pour 60 % à la transferrine, protéine qui a pour fonction de transporter le fer, pour 34 % à l'albumine, et pour le reste au citrate . Lorsque l'aluminium se lie à la transferrine, il prend la place du fer qui n'est alors plus transporté vers les parties du corps qui en ont besoin

. La transferrine constitue alors un moyen de transport de l'aluminium vers les différents organes, en particulier vers le cerveau dont certaines régions possèdent une forte proportion de récepteurs de la transferrine. L'aluminium lié à la transferrine ou à l'albumine ne peut être éliminé par le filtre rénal .

Le cerveau est composé de deux grandes sortes de cellules, des neurones, cellules nobles qui assurent la fonction nerveuse proprement dite, et des cellules servant à la fois de squelette et de tissu nourricier, dont les astrocytes. Les astrocytes sont des cellules qui possèdent un corps volumineux et de nombreux prolongements grêles et ramifiés. Certains prolongements des astrocytes sont en contact avec les cellules endothéliales qui tapissent les parois des capillaires sanguins situés à la périphérie du cerveau. Ces prolongements des astrocytes et les cellules endothéliales des capillaires forment un réseau qui constitue une barrière, la barrière sangcerveau, encore appelée barrière hématoencéphalique. Cette barrière a pour fonction de protéger le cerveau. Elle empêche les substances nocives pour lui d'y entrer tout en laissant passer les substances qui lui sont bénéfiques. Elle laisse passer, tant du sang vers le cerveau que du cerveau vers le sang, toute une série de substances indispensables au bon fonctionnement soit du cerveau, soit du reste du corps. Il peut s'agir de substances nutritives, de minéraux, de vitamines, d'hormones, de certaines protéines. Lié à la transferrine et au citrate, l'aluminium passe aisément la barrière hématoencéphalique .

Comme l'aluminium est un métal qui, par lui-même, peut détériorer la barrière sang-cerveau , il pourra provoquer l'irruption dans le cerveau de l'albumine 50 et notamment de l'albumine liée à l'aluminium, ce qui ne fera qu'accentuer l'entrée d'aluminium dans le cerveau. Piégé dans le tissu nerveux, l'aluminium ne pourra en ressortir que très lentement , d'où son accumulation dans le cerveau. L'efficacité d'un vaccin est jugée à sa capacité de susciter dans l'organisme un taux élevé d'anticorps dirigés contre l'agent infectieux injecté. Plus ce taux d'anticorps est élevé, plus le vaccin est considéré comme immunogène. Ce qui ne veut pas nécessairement dire que le vaccin a la capacité de protéger contre une maladie infectieuse bien déterminée ni que le vaccin est la seule et la meilleure méthode pour éviter cette maladie . L'aluminium est ajouté aux vaccins dans le but d'augmenter la réaction du système immunitaire et de faciliter la production d'anticorps . Il est donc appelé adjuvant d'immunité. En fait l'aluminium agit comme tel parce qu'il porte atteinte à l'ADN . L'aluminium provoque l'apparition de radicaux libres, qui, à leur tour, attaquent toutes les parois cellulaires , y compris la paroi qui entoure le noyau de la cellule où se situe l'ADN, porteur du code génétique. L'aluminium est donc génotoxique et mutagène, aussi bien pour la plante et l'animal 64 que pour l'homme . L'aluminium est une véritable toxine de membrane . Sous son action la paroi des globules sanguins se détériore . La barrière sang-cerveau montre des dysfonctionnements .

Les parois des mitochondries et les gaines de myéline sont abîmées . L'aluminium vaccinal peut entraîner des dysfonctionnements du système immunitaire et prédisposer aux allergies . Par son action sur le système nerveux central il augmente le risque de développement de l'autisme . Mais cet adjuvant est aussi capable d'induire de nouvelles maladies. La myofasciite à macrophages présente des symptômes généraux comme de la fatigue, de la fièvre, des douleurs musculaires et articulaires. Cet ensemble de symptômes ressemble étrangement à ceux du syndrome de la Guerre du Golfe. Dans ces deux maladies l'aluminium vaccinal joue un rôle prépondérant  L'aluminium entraîne des pertes de mémoire  et provoque la mort des cellules nerveuses .

L'aluminium est donc, au même titre que le plomb un métal neurotoxique 83,84. Viendrait-il à quelqu'un l'idée d'injecter du plomb dans la cuisse d'un nourrisson ? Il est plus que temps d'ouvrir les yeux sur la toxicité de l'aluminium 85,86,87

LES CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES Le corps humain est le siège de phénomènes électromagnétiques constants. Le coeur et le cerveau montrent une activité électrique intense, et chaque cellule en particulier génère des champs électromagnétiques. Comme producteur de champs électromagnétiques, le corps humain est sensible aux champs électromagnétiques externes. Ces 25 dernières années, avec l'avènement de la téléphonie mobile et des technologies sans fil, la quantité de champs électromagnétiques dans l'environnement a véritablement explosé. Que faut-il en penser ? Les débuts de l'électricité au XIXième siècle et son extension au XXième siècle ont considérablement changé notre mode de vie.

Des progrès importants ont pu être réalisés dans le domaine des machines et de l'automatisation. Malheureusement, bien que véhiculé par des câbles, le courant électrique domestique de basse fréquence (50 Hertz en Europe), engendre sur son passage des champs électromagnétiques perturbateurs. Lignes à haute tension, pylônes électriques, transformateurs, appareils électriques peuvent être cause de dépression 88, d'altération de la mémoire 89, de perturbations du sommeil , de troubles cardio-vasculaires , d'un risque accru de suicide 94, de cancer  et de leucémie . Ils peuvent aussi favoriser des maladies de neurodégénérescence comme la sclérose latérale amyotrophique  et la maladie d'Alzheimer . A ce tableau déjà sombre s'ajoutent les nuisances des champs électromagnétiques d'autres fréquences produits par les émetteurs radio et TV , les ordinateurs et écrans vidéo , les consoles de jeux électroniques, les babyphones, les téléphones fixes sans fil comme les téléphones DECT 115, les téléphones mobiles (GSM, smartphones, iPhones)  , les antennes de téléphonie mobile , les radars , les smartmeters ou « compteurs intelligents » , les tablettes et les appareils permettant de capter internet sans fil... Environ 7 milliards d'individus vivent actuellement sur terre et plus de 5 milliards de GSM sont en circulation .

Au Grand Duché de Luxembourg, la 4G couvre 90 % de la population, et la 4G+ couvre déjà 40 % de cette population . Toujours plus puissants, les moyens de télécommunication s'étendent encore davantage. Toutes ces technologies sans fil entretiennent un véritable brouillard électromagnétique (« electrosmog ») que chaque cellule du corps humain doit gérer, si elle en est capable. Les champs électromagnétiques agissent sur toutes les cellules des organismes vivants, aussi bien celles des plantes  et des animaux que celles des humains . Les êtres vivants possèdent dans leurs tissus de minuscules aimants naturels .

Dans le corps humain, ces minuscules aimants, constitués de cristaux de magnétite, un oxyde de fer (Fe3O4), sont situés principalement dans le cerveau ce qui le rend très sensible aux champs électromagnétiques. Le cerveau humain contient environ 5 millions de cristaux de magnétite par gramme de tissu, et les enveloppes qui entourent le cerveau, les méninges, en contiennent, elles, plus de 100 millions par gramme de tissu .

Lorsq'une onde électromagnétique de haute fréquence traverse des cellules qui ne contiennent pas d'aimants naturels comme la magnétite, ces cellules n'absorbent que 0,046 % de l'énergie transportée par l'onde. Mais des cellules qui contiennent des cristaux de magnétite absorbent jusqu'à 30 % de cette énergie, autrement dit 652 fois plus qu'une cellule qui ne contient pas de magnétite 144. Il n'est donc pas étonnant d'avoir la tête qui chauffe en téléphonant avec un mobile. Ces cristaux de magnétite qui réagissent aux faibles variations du champ magnétique terrestre naturel, réagissent violemment aux fortes variations magnétiques induites par les ondes artificielles. Les ondes électromagnétiques artificielles provoquent l'apparition de radicaux libres, composés chimiques très réactifs qui attaquent toutes les parois de la cellule, y compris la paroi du noyau qui protège l'ADN, le support des gènes. Des mutations peuvent ainsi survenir dans le patrimoine génétique des êtres vivants. Les champs électromagnétiques sont donc génotoxiques et mutagènes  .

Les champs électromagnétiques altèrent la santé à tous les âges de la vie et en particulier au moment de la croissance . Les enfants et adolescents y sont particulièrement 4 sensibles . Altération de la mémoire, troubles du sommeil, fatigue, maux de tête, troubles cardio-vasculaires, allergies cutanées sont des symptômes fréquents déclenchés par ces ondes artificielles .

Les champs électromagnétiques altèrent la barrière sangcerveau . Ils permettent donc l'irruption dans le cerveau de produits qui ne devraient pas s'y trouver, comme par exemple l'albumine, protéine indispensable dans le sang, mais qui, dans le cerveau, crée de l'inflammation. Les champs électromagnétiques peuvent causer de l'électrohypersensibilité, un nouveau syndrome 166 dont les symptômes peuvent être déclenchés aussi bien par des ondes de basses fréquences que par des ondes de hautes fréquences, et qui peuvent survenir pour des intensités de puissance très faibles de ces ondes.

Il s'agit en quelque sorte d'une intolérance, d'une « allergie » à ces ondes. Des études de 2002  et 2006  estiment respectivement à 3 et 5 % la proportion de la population atteinte par ce syndrome. Aujourd'hui, en 2015, près de 10 % des individus souffriraient d' électrohypersensibilité. Atteinte de tous les règnes vivants, génotoxicité, production de radicaux libres, vieillissement prématuré 169, dysfonctionnement de la barrière sang-cerveau, altération de la gaine de myéline des nerfs , fatigue, perte de mémoire , toxicité pour les cellules nerveuses , maladies de neurodégénérescence, risque accru d'autisme , apparition de nouvelles maladies... : les modes d'action et les effets biologiques des champs électromagnétiques ressemblent étrangement aux modes d'action et aux effets biologiques de l'aluminium. Les effets des champs électromagnétiques nous amènent à reconsidérer certaines pratiques médicales comme la vaccination.

Des substances, introduites par injection dans l'organisme et destinées à rester confinées dans le compartiment sanguin, vont pouvoir, avec l'aide des champs électromagnétiques, franchir facilement la barrière sang-cerveau et pénétrer dans les cellules nerveuses. Ceci risque de causer des effets secondaires inattendus qui seront d'autant plus graves si le vaccin contient des substances neurotoxiques, comme l'aluminium par exemple. Pour diminuer l'impact des effets secondaires des vaccins sur le cerveau et notamment des vaccins adjuvantés à l'aluminium, il faudrait que la barrière sang-cerveau puisse jouer son rôle de membrane protectrice. De façon optimale, la vaccination devrait donc se passer dans une enceinte exempte de champs électromagnétiques.

Ceci est réalisable en tapissant par exemple toute une pièce de feuilles d'aluminium. Mais combien de temps faudrait-il maintenir le sujet vacciné dans une telle enceinte pour que le vaccin n'endommage pas sa barrière sangcerveau ? 10 minutes ? 1 heure ? 24 heures ? 3 jours ? 15 jours ?

Dans cette enceinte il faudrait aussi bannir tout appareil générant des champs électromagnétiques, car les champs produits à l'intérieur de l'enceinte se réfléchiraient sur les feuilles d'aluminium sans pouvoir s'échapper. Comment concilier cela avec l'obligation qu'a tout vaccinateur d'avoir du matériel de réanimation sous la main au cas où un choc anaphylactique surviendrait lors de la vaccination ? Vouloir protéger la barrière sang-cerveau des champs électromagnétiques pour l'altérer en même temps avec un vaccin contenant de l'aluminium, substance toxique pour cette barrière, est-là une démarche logique ?

La construction de telles enceintes destinées à la protection de la barrière sang-cerveau du vacciné ne semble dès lors pas être la bonne solution. L'aluminium dans les vaccins et les champs électromagnétiques dans l'environnement constituent une synergie hautement nuisible pour le cerveau de l'être humain, en particulier pour le cerveau des nourrissons et des enfants en période de croissance. Ces faits devraient nous amener à repenser toute la stratégie de prévention des maladies infectieuses et à nous intéresser à des pistes autres que la vaccination, capables de renforcer le système immunitaire sans risquer de l'endommager.

 

 

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Faculty of Food Technology, University of Osijek, Croatia.
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University, Reus, Spain

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13 avril 2015

Les vétérinaires limitent le nombre de vaccins administrés aux chiots au cours d’une seule visite.

VACCINATIONS : 

 

Les vétérinaires, meilleurs que les médecins ?

 

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Les vétérinaires et les pédiatres ont beaucoup de choses en commun. Tous deux sont des professionnels de la santé hautement qualifiés ayant fait des études assez similaires. Les deux éprouvent souvent des difficultés pour pouvoir déterminer quel est le problème de leur patient. Les petits enfants, comme les animaux ne savent pas communiquer ce qui fait mal. Leur métier n’est pas facile du tout, mais le principe de leur travail est simple : maintenir ou rétablir la santé de ceux qui leur sont confiés tout en respectant le serment qu’ils ont fait : « D’abord ne pas nuire ».

 

Les examens pour les bébés et les animaux domestiques sont souvent associés aux programmes de vaccinations de routine. Avant d’administrer un vaccin, le consentement de la personne responsable est nécessaire. C’est sur ce point que la discussion avec le médecin peut s’avérer difficile. Beaucoup de parents savent  que l’on a refusé les soins médicaux à des personnes qui s’interrogeaient sur les vaccinations ; elles se montrent donc souvent très prudentes pour faire part de leurs préoccupations. Leurs craintes ne manquent cependant pas de fondement, car selon un sondage de l’Académie Américaine de Pédiatrie (AAP) de 2005, face aux parents qui refusent la vaccination, les pédiatres ont déclaré avoir toujours (4,8 %) ou au moins parfois (18,1%) déclaré aux parents qu’ils n’accepteraient dorénavant plus d’être le médecin de l’enfant. Les propriétaires d’animaux, d’autre part, ont toute latitude de discuter de leurs préoccupations en matière de vaccinations. Dans de nombreux cas, le refus de vaccination a le plein appui du vétérinaire.

 

Quand il s’agit de chiens, les vétérinaires s’efforcent d’adapter le calendrier de vaccination aux animaux. Les directives et recommandations pour la vaccination des chiens offrent des suggestions pour les chiots et les chiens adultes. Les vaccins sont classés en différentes catégories : les vaccins recommandés pour tous les chiens, les vaccins optionnels et les vaccins non recommandés suite à une efficacité médiocre et un risque inacceptable d’effets secondaires. Les lignes directrices reconnaissent que la vaccination est une procédure médicale qui doit être individualisée en fonction de l’endroit où vit l’anima, comme en fonction de son style de vie. Les organisations professionnelles vétérinaires permettent la flexibilité et encouragent les médecins à prolonger les intervalles entre les vaccinations chaque fois que c’est nécessaire pour la sécurité de l’animal.

 

La plupart des vétérinaires conviennent que la santé des animaux domestiques doit être évaluée chaque année et que si on doit leur administrer des vaccins, ceux-ci doivent  être adaptés à l’âge, à la santé, au mode de vie de l’animal.

 

A titre d’exemple, le Dr Matthew J. Toia, vétérinaire en chef pour  « PetLabsMD.com », un laboratoire qui travaille avec des vétérinaires agréés et des techniciens vétérinaires convient,  par exemple, qu’un chat d’intérieur peu exposé à toute une série de maladies n’a pas besoin de certaines vaccinations de routine. Par exemple, le vaccin pour la maladie de Lyme, une maladie régionale pour animaux domestiques n’est pas nécessaire pour des animaux qui ne sont pas exposés dans des régions à risque faible. On peut, pour les chats, renoncer à ce vaccin sans problème. Ses commentaires sont confirmés par deux associations vétérinaires : l’Association Américaine des Praticiens pour les Félins (AAFP) et l’Académie de Médecine pour les Félins (AFM). Le groupe consultatif pour les vaccins destinés aux félins (APFV) donne des lignes directrices pour la sélection et l’administration des vaccins destinés aux chats.

 

Les vaccins pour les félins se répartissent en deux catégories : les vaccins de base qui sont recommandés pour tous les chats et les vaccins de seconde catégorie seulement recommandés pour un petit nombre de chats. Ces deux organisations encouragent les propriétaires de chats à maintenir une excellente relation avec leur vétérinaire pour que le calendrier de vaccination puisse être ouvertement discuté.

 

Les vétérinaires limitent le nombre de vaccins administrés aux chiots au cours d’une seule visite. Une étude qui a porté sur plus de 1.200 chiens a pu démontrer que le risque d’un effet secondaire indésirable était significativement augmenté en fonction du nombre de vaccins administrés au cours d’une visite. Chaque vaccin supplémentaire augmente considérablement le risque  d’un effet indésirable de 27% chez les chiens qui pèsent moins de 10 Kg et de 12% chez les chiens qui pèsent plus de 10 Kg. Les vétérinaires sont très prudents par rapport au fait d’administrer plusieurs vaccins au cours d’une seule visite.

 

Contrairement à leurs homologues vétérinaires, l’Académie Américaine de Pédiatrie (AAP), approuve la vaccination universelle et suit le programme de vaccinations passe-partout.

 

L’AAP ne se contente pas de supposer que tous les vaccins sont nécessaires, mais ces pédiatres présument que les enfants peuvent tolérer tous les vaccins repris dans le programme standard de vaccination. Donc, ils estiment que 6 doses et 18 antigènes de vaccins peuvent être administrés en même temps.

 

Le comité consultatif concernant les pratiques d’immunisation (ACIP) recommande que si une dose n’est pas administrée « à temps » au cours des visites médicales de deux, quatre et six mois, le vaccin doit être administré à la visite suivante.

 

Chaque dose est à ce point considérée comme essentielle que l’ACIP a créé un calendrier de « rattrapage » pour les enfants qui n’auraient pas reçu ne fût-ce qu’un seul vaccin.

 

Les parents commencent à s’alarmer du grand nombre d’injections que l’on administre en une seule séance à leurs enfants. Pour contourner les problèmes psychologiques, les fabricants ont créé des vaccins combinés tels que Pediarix et Comvax, pour tromper les parents en leur faisant croire que leur enfant  ne reçoit qu’un seul vaccin à la fois. Le Pediarix combine en fait trois vaccins (DTCa, hépatite B et poliomyélite). Comvax combine l’hépatite B et le vaccin anti-Hib.

 

L’ACIP affirme que l’utilisation de vaccins combinés est préférable à des injections séparées des mêmes composants de vaccins. L’AAP appuie cette recommandation de vaccins combinés pour améliorer en temps opportun la couverture vaccinale.

 

Tant l’ACIP et l’AAP ferment les yeux sur les problèmes potentiellement graves qui pourraient résulter de la combinaison de plusieurs vaccins. Et, en outre, si un effet secondaire se produit, il devient impossible de déterminer quel vaccin a provoqué cet effet secondaire. L’Association des praticiens s’occupant des félins (AAFP) recommande l’utilisation de vaccins à dose unique parce que « l’augmentation du nombre d’antigènes dans un vaccin augmente aussi la probabilité d’événements indésirables associés. »

 

La plupart  des pédiatres semblent avoir une approche  du vaccin « coûte que coûte », plutôt que d’assurer la sécurité et la pertinence de tel ou tel vaccin pour tel ou tel enfant.

 

L’AAP encourage les pédiatres à travailler individuellement et collectivement aux niveaux locaux et nationaux pour s’assurer que tous les enfants reçoivent leurs vaccins à temps. Ceci suppose de devoir administrer des vaccins à des enfants même quand ils sont malades.

 

Selon les plus récentes « recommandations générales pour la vaccination » publiées en 2006 par les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), il y a peu de raisons de retarder la vaccination. En fait, les lignes directrices précisent : « Parmi les conditions les plus habituelles, considérées à tort comme étant des contre-indications, il y a la diarrhée, les maladies mineures des voies respiratoires (y compris l’otite moyenne) avec ou sans fièvre, des réactions d’intensité légère à modérée à une dose précédente de vaccin, une thérapie antimicrobienne, la phase de convalescence d’une maladie aiguë. » A la demande du CDC et de l’AAP, les pédiatres sont tenus de suivre les instructions du CDC et d’utiliser chaque rencontre comme une occasion de vacciner.

 

Quand les animaux sont malades, la plupart des vétérinaires choisissent de pencher du côté de la sécurité. Les vaccins sont alors postposés jusqu’à ce que l’animal soit rétabli afin de minimiser les risques de réactions indésirables. Selon « PetEducation.com », la décision de vacciner un animal malade doit être prise sur base individuelle. Le vétérinaire détermine si la vaccination est appropriée en effectuant un examen clinique et en se basant éventuellement sur des examens de laboratoire avant de prendre une décision. Rien de tel n’est fait avec les enfants.

 

Selon le CDC, un examen physique de routine et la prise de température ne sont plus des conditions nécessaires avant de vacciner. Dès qu’un enfant entre dans le bureau du médecin, celui-ci doit procéder à la vaccination.

 

Eviter la sur-vaccination

 

Beaucoup de vétérinaires sont préoccupés par le risque d’effets secondaires et des complications qui peuvent survenir après des vaccinations et des rappels inutiles. Ils ordonnent un test sanguin afin de pouvoir déterminer la nécessité de vaccins supplémentaires. Le test mesure le taux d’anticorps dans le sang (anticorps généralement produits par la vaccination) Plus le titrage d’anticorps est élevé au mieux c’est. Par exemple un titrage d’anticorps de 1 :5 est considéré comme peu élevé, et implique généralement une sensibilité à la maladie. Un titrage de 1 :1.000.000 est considéré comme très élevé et implique l’immunité. Il est généralement admis qu’un titre élevé indique en outre que la vaccination n’est pas nécessaire.

 

Bien qu’utiles comme guides les titrages d’anticorps ont aussi leurs limites. Ils ne mesurent cependant qu’une seule composante du système immunitaire, de sorte que le niveau complet de protection reste inconnu. Il n’est pas possible de distinguer les anticorps générés par la vaccination de ceux qui ont été développés après avoir guéri d’une maladie. Sauf les cas où la vaccination est exigée par la loi, le titrage des anticorps peut être mesuré afin de pouvoir déterminer la nécessité d’injections de rappel. Le test est particulièrement important pour les animaux qui ont déjà eu une réaction indésirable. Bien que les vétérinaires ne soient pas tous d’accord pour vérifier les taux d’anticorps, le test n’en reste pas moins disponible pour les propriétaires d’animaux qui préfèrent ne pas suivre la pratique conventionnelle des rappels annuels.

 

Bien que les associations de médecins vétérinaires soient en faveur de la vaccination, ils n’en insistent pas moins sur le fait que la vaccination n’est qu’une composante d’un plan général et individualisé de santé pour les animaux. Il est évident que les propriétaires d’animaux peuvent participer activement à la santé et au bien-être de leurs animaux. Des tests qui permettent aux propriétaires d’animaux de réaliser des économies substantielles, peuvent être directement commandés sur internet. PetLabsMD.com offre des centaines de tests au sujet par exemple de la prévention du cancer, des tests concernant les diverses maladies infectieuses, le diabète, des carences nutritionnelles, et le titrage d’anticorps pour les vaccinations.

 

Plus important encore, les propriétaires auront la commodité d’avoir des tests sanguins de leurs animaux de compagnie réalisés dans l’intimité de leurs propres maisons, en évitant le stress supplémentaire de conduire un animal chez le vétérinaire. PetLabsMD.com est en train d’élargir son réseau national de vétérinaires et de techniciens vétérinaires qui pourront venir directement à votre domicile pour prendre les échantillons nécessaires. Les propriétaires d’animaux qui n’ont pas accès à un vétérinaire « holistique » peuvent demander des tests importants directement à Pet-Labs.

 

Vétérinaires vs pédiatres : une comparaison intéressante

 

Contrairement à l’AAP qui nie systématiquement toute connexion entre les vaccins, les effets indésirables et les effets secondaires, le Conseil qui s’occupe des Produits Biologiques et des Agents Thérapeutiques (COBTA) auprès de l’Association Médicale Vétérinaire Américaine conclut que les vaccins peuvent provoquer des problèmes et doivent être individualisés. Ce qui suit est un extrait qui traite de leur politique :

 

« Il n’y a pas suffisamment de données disponibles pour pouvoir déterminer scientifiquement un seul et meilleur protocole de vaccination qui pourrait s’appliquer à tous les animaux à l’échelle mondiale. En dépit des progrès significatifs dans notre connaissance des antigènes, des lacunes subsistent toujours dans notre compréhension des réactions chroniques ou aiguës du système immunitaire à plusieurs vaccinations. Le corps des connaissances concernant la variabilité génétique au sein des races ou espèces individuelles et les réponses idiopathiques résultant de la vaccination (y compris les effets indésirables associés aux vaccins), ce corps de connaissances est bien sûr en augmentation mais reste trop peu concluant pour pouvoir formuler des recommandations spécifiques appropriées pour tous les patients. Par conséquent le COBTA estime qu’une approche personnalisée par rapport aux protocoles de vaccination recommandés est la méthode la plus sûre et la plus efficace pour traiter médicalement la diversité croissante des patients qui se présentent pour la vaccination. »

 

Il semble que les vétérinaires soient plus prudents au sujet de la vaccination que leurs homologues pédiatres. Une comparaison entre les vétérinaires et les pédiatres pourrait être résumée comme suit :

 

Les vétérinaires considèrent les animaux comme des individus. Les vaccins sont adaptés à leurs besoins et modes de vie. Par exemple, les chiens qui souffrent d’allergies sont souvent moins vaccinés. On leur administre des doses plus faibles ou bien ils ne sont pas vaccinés du tout. Si l’un ou l’autre effet indésirable apparait à la suite d’un vaccin, les vétérinaires se veulent prudents par rapport à de futurs vaccins.

 

On ne trouve malheureusement pas le même niveau d’individualisation et de prudence dans la communauté pédiatrique.

 

Pour éviter la sur-vaccination, les vétérinaires demandent souvent des titrages d’anticorps. Ca ne semble pas être le cas pour les pédiatres. En fait, tous les vaccins sont obligatoires pour tous les enfants au risque de se voir expulsés de la pratique médicale pour avoir refusé.

 

Les vétérinaires reconnaissent que les vaccins peuvent provoquer des réactions indésirables graves, y compris des cancers qui sont bien documentés chez les chats, la leucémie féline et les sarcomes félins. Les pédiatres reconnaissent rarement, sinon jamais une association entre l’asthme, l’eczéma, les convulsions, le reflux gastrique, les accidents vasculaires cérébraux, le cancer et l’autisme. On dit aux parents que tel ou tel effet secondaire n’a pas été causé par une vaccination récente. Des dizaines de milliers de dollars sont alors nécessaires pour que des tests et des procédures médicales puissent le prouver.

 

La plupart des vétérinaires semblent bien comprendre  qu’une politique vaccinale passe-partout n’est pas appropriée. Cela ne semble pas être le cas pour les médecins.

 

Il est grand temps que les pédiatres, l’AAP, le CDC, l’AICP comme tous ceux qui sont impliqués dans les programmes de vaccination puissent reconnaître que les vaccins comportent des risques et peuvent causer des dommages graves, y compris la mort. Si les vétérinaires travaillent la main dans la main avec les propriétaires d’animaux pour individualiser les programmes de vaccination, afin d’éviter une sur-vaccination et encourager la participation, il est temps que les médecins commencent à faire la même chose. Les parents doivent exiger que l’on donne à leurs enfants soient aussi bons que les soins que l’on donne aux animaux.

 

Source : Huffingtonpost

 

« Ne vaccinez jamais un enfant malade parce que son système immunitaire est affaibli. C’est toujours une situation dangereuse. »

Dr Harold Buttram, M.D., FAACP.

 

https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=j8nrdybZZzA#t=3612

 

Et on pourrait aussi bien sûr étendre ce conseil de grand bon sens aux malheureuses femmes enceintes vaccinées désormais à tort et à travers en pleine grossesse (alors qu’aucun vétérinaire ne vaccinerait jamais une femelle gestante !) et aux nombreuses personnes souffrant de maladies auto-immunes et de cancers qui n’échappent pas non plus à la folie vaccinatoire délétère à laquelle on assiste actuellement….

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9 avril 2015

USA : 19 enfants touchés par la coqueluche : tous vaccinés !

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PARK CITY, Utah – Une épidémie de coqueluche est source de préoccupation dans le Comté de Summit où 19 enfants ont reçu le diagnostic de coqueluche. C’est la première fois depuis des années que des cas de coqueluche se produisent dans les  les écoles de Park City.

 

Les officiels de santé ont déclaré que tous les enfants qui ont été diagnostiqués avaient été vaccinés contre la maladie.

 

« Cela a été une semaine très, très chargée, beaucoup de personnes sont venues pour un diagnostic », a déclaré le Dr Alison Delgado de « Summit Pediatrics ».

 

Au cours de la dernière semaine, le Dr Delgado a testé des dizaines d’enfants pour la coqueluche. Selon le Ministère de la Santé du Comté, 19 cas ont été confirmés comme étant porteurs de cette maladie très contagieuse à Park City, et tous les enfants infectés étaient pourtant à jour quant à leurs vaccinations.

« Beaucoup de gens veulent savoir pourquoi leur enfant a attrapé la maladie alors qu’ils étaient vaccinés et que la maladie est à mettre en rapport au vaccin administré. Carolyn Rose, infirmière en chef pour le Ministère du Comté a déclaré que la vaccination n’était pas efficace à 100%, mais seulement à 90 à 95% ».

 

Ce qui commence avec des symptômes de rhume dégénère rapidement en une toux sévère. Rose a déclaré que, comme les enfants avaient été vaccinés, la maladie ne les frapperait pas aussi durement et ils ne seraient pas aussi contagieux(que s’ils n’avaient pas été vaccinés)

 

«Leur cas serait bien pire et ils émettraient davantage ce son typique de la coqueluche ; la maladie serait aussi plus grave surtout chez les nourrissons qui ne supportent pas aussi bien la maladie. Les immunodéprimés seraient aussi plus gravement atteints », déclare Rose.

 

Les médecins disent qu’il s’agit ici d’un bon rappel pour que les parents restent à jour par rapport aux vaccinations.

 

Le Dr Delgado a précisé : « cette semaine fut très chargée et stressante pour tout le monde dans la communauté. J’espère que tout pourra bien vite s’apaiser. » 

 

Source: Fox13now.com

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17 février 2015

Vaccins: l'OMS avoue qu'elle met la santé du monde en danger

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Par initiativecitoyenne.be
Vaccins: l'OMS avoue qu'elle met la santé du monde en danger
    

Pour ceux qui n'ont toujours rien pigé sur les vaccins, voici des aveux supplémentaires et pas n'importe lesquels, ceux de la "grande" OMS, qui devraient faire comprendre à la fois l'ampleur du cynisme et l'irresponsabilité criminelle des prétendus "experts" mondiaux auxquels toutes les nations du monde obéissent pourtant au doigt et à l'oeil. Car il faut appeler un chat un chat et oser voir la responsabilité que nous avons tous vis-à-vis des générations futures dont l'avenir et la qualité de vie sont clairement et directement menacés par ces insoutenables manoeuvres d'apprentis-sorciers. Voici un extrait du rapport du Comité Consultatif sur la sécurité des vaccins de l'OMS (GACVS) de décembre 2013, tel que repris sur le site Mesvaccins.net :

Vaccin chimère contre l'encéphalite japonaise

Il s'agit d'un vaccin vivant, produit par recombinaison ciblée de virus de la fièvre jaune atténué (virus 17D utilisé comme vaccin anti-amaril) et de virus de l'encéphalite japonaise également atténué (souche SA-14-14-2). Au cours des essais pré-homologation, le vaccin s'est montré immunogène, y compris lorsqu'il a été administré en même temps que le vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR), et bien toléré, particulièrement chez l'adulte (les effets indésirables ont été moins fréquents qu'avec un vaccin plus ancien préparé sur cerveau de souriceau). Depuis, ce nouveau vaccin a été homologué en Australie, en Malaisie, aux Philippines et en Thaïlande, où il est disponible sous le nom d'Imojev®. Environ 49.000 doses ont à présent été utilisées, mais ce nombre est encore insuffisant pour permettre d'identifier les événements indésirables rares dont le vaccin pourrait être responsable. Il est également trop tôt pour savoir si un vaccin de ce type ne présentera pas un risque dans l'environnement, et le GACVS a exprimé son souhait d'être informé sur ce sujet. En effet, le virus artificiel qui a été créé pourrait évoluer de façon inattendue s'il trouvait à infecter des hôtes nombreux et variés, par exemple en se recombinant.

La probabilité d'un tel événement est considérée comme faible, puisque le virus provoque une virémie très brève chez l'homme et qu'il n'est pas capable d'infecter efficacement les moustiques. Son utilisation à grande échelle pourrait toutefois créer des opportunités, et la surveillance des événements indésirables post-vaccinaux est donc nécessaire. Ce risque de voir émerger des virus pathogènes à partir de vaccins se trouverait toutefois accru si d'autres vaccins à très large diffusion conçus sur le modèle de l'Imojev®, tel le candidat vaccin contre la dengue de Sanofi, venaient également à être utilisés (NDR).

NB: Ce candidat vaccin contre le dengue de Sanofi n'a évidemment pas été développé pour n'être administré qu'à quelques centaines de personnes. On remarquera donc le cynisme de ce Comité disant vouloir être informé des conséquences irresponsables qu'il prend en faveur des industriels mais certainement pas des gens. Il est important de rappeler que le virus de la fièvre jaune n'affecte PAS les pays asiatiques, il ne concerne donc pas cette partie du monde. Epidémiologiquement parlant et selon les climats et les zones, il faut remarquer que le virus de l'encéphalite japonaise n'affecte pas non plus par exemple de pays africains ou de pays d'Amérique du Sud or ici, on mélange des virus qui ne se rencontrent jamais dans la Nature, on crée donc de toutes pièces des combinaisons qui n'auraient jamais pu survenir naturellement. Dieu sait donc sur quelle nouvelle maladie future cela pourra déboucher. Manipuler de la sorte le vivant n'est pas sans conséquence. Le faire de façon aussi légère n'est plus de la Science, c'est du Scientisme. On remarquera enfin que le Comité estime que 49 000 sujets est un nombre trop faible pour pouvoir évaluer les effets secondaires plus rares (mais qui sont aussi souvent plus graves) OR dans les essais cliniques pré-commercialisation donc AVANT la mise sur le marché, les vaccins ne sont administrés en général que dans des groupes de quelques centaines ou quelques milliers de personnes mais jamais autant. Pourtant, cela n'empêche jamais les grands experts nationaux de recommander par principe ces vaccins fraîchement sortis en les déclarant sûrs sur base de ces essais cliniques inconsistants et tout à fait insuffisants. Nous sommes donc ici confrontés à un Xème mensonge, une Xème incohérence de l'idéologie vaccinaliste.

http://www.sylviesimonrevelations.com/article-vaccins-l-oms-avoue-qu-elle-met-la-sante-du-monde-en-danger-122868470.html

9 février 2015

Trop de personnes non-cancéreuses sont soignées pour un cancer

 

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Un rapport américain admet que trop de personnes traitées pour un cancer... n'en avaient pas vraiment un.

C'est un nouveau pavé dans la mare du dépistage du cancer : selon un rapport commissionné par l'Institut national du cancer américain (NCI), le sur-diagnostic et le mauvais diagnostic du cancer figurent parmi les responsables de l'accroissement de l'épidémie.


Actuellement, les cancers du sein et de la prostate sont les cancers les plus fréquemment diagnostiqués chez la femme et l'homme respectivement. Ce sont justement deux cancers qui sont particulièrement soupçonnés de sur-diagnostic et sur-traitement.

En effet, selon l'étude publiée dans le Journal of the American Medical Association, ce qu'on appelle souvent « cancer du sein » n'est parfois pas un véritable cancer, mais un problème moins grave : un carcinome canalaire in situ (DCIS), ou « cancer du sein non-invasif », un stade précoce du cancer du sein. Pourtant, de nombreuses femmes avec un DCIS sont diagnostiquées comme ayant un cancer du sein. Conséquence : d'après ce rapport, elles seraient traitées pour quelque chose qui n'aurait peut-être jamais causé de problème de santé chez elles. De plus, la détection et l'ablation de ces lésions précancéreuses n'aurait pas réduit l'incidence des cancers invasifs. Une situation probablement pas très éloignée de celle que l'on connaît en France, et que LaNutrition.fr dénonce depuis longtemps...

De la même façon, chez les hommes, une néoplasie intra-épithéliale prostatique (PIN), la forme précoce du cancer de la prostate, est souvent traitée comme s'il s'agissait vraiment d'un cancer. Ceci n'est pas sans conséquences sur la qualité de vie des patients.

D'après ce rapport, au cours des 30 dernières années, le dépistage a augmenté le nombre de diagnostics précoces de cancers. Au départ, l'objectif du dépistage était de réduire le nombre de cancers au stade avancé et la mortalité. Or, les données nationales américaines indiquent une augmentation significative des stades précoces de la maladie, sans un déclin proportionnel de la maladie aux stades avancés. Pour les auteurs, le mot « cancer » évoque souvent un processus fatal inexorable, alors que les cancers sont hétérogènes et ne conduisent pas forcément au décès. C'est une vraie question de sémantique !

A l'inverse, les cancers du côlon et du col de l'utérus représentent des exemples de dépistages efficaces : la détection et le traitement précoce des lésions ont réduit l'incidence de la maladie aux stades avancés.

Ces sur-diagnostics et sur-traitements sont d'autant plus choquants qu'ils conduisent à soigner des personnes en bonne santé, en utilisant des produits et traitements particulièrement toxiques...

Source

27 décembre 2014

Autisme et cancer liés à l’ADN fœtal humain présent dans les vaccins

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Seattle – Une nouvelle étude publiée dans le volume 2014 du Journal of Public Health and Epidemiology révèle une corrélation significative entre le trouble autistique (AD),  les vaccins ROR, Varicelle et hépatite A.

 En utilisant l’analyse statistique et les données du gouvernement américain, du Royaume-Uni, du Danemark, et de l’Australie occidentale, les scientifiques du « Sound Choice Pharmaceutical Institute » (SCPI) ont découvert que l’augmentation des troubles autistiques correspondent à l’introduction des vaccins utilisant des lignées de cellules fœtales humaines et des contaminants rétroviraux.

 Plus alarmant encore, le Dr Thérésa Deisher scientifique en chef et fondatrice de l’IPAC a noté que, « les vaccins contaminés par des lignées de cellules fœtales humaines sont non seulement associés à des troubles autistiques à travers le monde, mais aussi à une épidémie de leucémie et de lymphomes infantiles. »

 Leur étude suit de près la divulgation qui a été faite que le CDC (Centres Américains de Contrôle et de Prévention des Maladies) avait délibérément dissimulé des éléments de preuve de l’augmentation significative de l’autisme chez les garçons afro-américains qui avaient été vaccinés avant qu’ils n’aient atteint 36 mois.

 Il n’est donc pas surprenant que la FDA ait connu depuis des décennies les dangers de mutagenèse insertionnelle avec l’utilisation de lignées de cellules fœtales humaines, et pourtant, ils ont choisi de l’ignorer. Au lieu de réaliser des études de sécurité, ils ont réglementé  la quantité d’ADN humain qui pourrait être présente dans un vaccin soit pas plus de 10ng.

 

Malheureusement, l’équipe du Dr Deisher a découvert que les niveaux d’ADN  fœtaux humains variaient de 142ng à 2.000ng par dose, donc, bien  au-delà du niveau prétendu « sûr » par la FDA.

 

Dr Theresa Deisher, PhD en physiologie moléculaire et cellulaire de l’Université de Stanford

Le Dr Deisher a précisé : « il existe de nombreuses publications sur la présence du rétrovirus endogène humain (HERV) – le seul rétrovirus endogène réactivable et son association au lymphome de l’enfant. Les vaccins RORII, les vaccins contre la varicelle, en fait tous les vaccins qui ont été fabriquée en utilisant la lignée cellulaire fœtale WI-38 sont contaminés par ce rétrovirus. Les parents et les médecins ont le droit d‘en être informés ! »

Il est certain que ces découvertes devraient provoquer la création immédiate d’une enquête par les fonctionnaires de la FDA, voire une interdiction totale de l’utilisation de lignées de cellules de fœtus avortés comme substrats pour la production de vaccins. Il existe de nombreuses autres lignées cellulaires non humaines approuvées par la FDA qui peuvent et doivent être utilisées.

L’étude du Dr Deisher est disponible sur le site web des revues académiques :

http://www.ms.academicjournals.org/article/article1409245960_Deisher%20et%20al.pdf

 

ou sur le site: www.soundchoice.org/scpiJournalPubHealthEpidem092014.pdf

Source : Globalresearch.ca

http://www.initiativecitoyenne.be/article-autisme-et-cancer-lie-a-l-adn-foetal-humain-present-dans-les-vaccins-125273990.html

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