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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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nefelims demon
23 mars 2017

Origine de Niburu la reine des damnés des Annunaki Nefelim et reptilens à 6 doigts

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A ma connaissance, on leur attribue cinq origines possibles.
Ils pourraient venir de la Terre elle-même ! C'est en tout cas ce qu'affirme John Rhodes (chercheur et écrivain américain, spécialiste des reptiliens) qui nous a offert dans son ouvrage "Dragons of the Apocalypse" une large description de ce peuple.

Ces propos sur l'origine des Lézards sont appuyés par la thèse de l'ufologue David Barclay, dont les travaux tendent à démontrer qu'en 150 millions d'années de "règne", la race des dinosaures aurait pu engendrer un reptile-humanoïde intelligent... Et c'est ce dernier qui aurait été à l'origine de la catastrophe planétaire de la limite Crétacé/Tertiaire (!!), il y a 65 millions d'années, détruisant ainsi les membres de sa propre espèce - en plus de tous les autres dinosaures.
Barclay reprend qu'un petit nombre de ces créatures auraient échappé à la destruction. Aurait également survécu un "animal familier", créé par les Reptiliens à partir de leur propre souche, et qui allait devenir un jour l'homo sapiens. Au cours de ces derniers millions d'années, cette race auraient fini par évoluer pour se transformer au fil des âges en la race des Gris.
Cette thèse expliquerait le caractère humanoïde commun aux trois races : les hommes, les Gris et les Lézards.
D'autres sources tels certains contactés, affirment avoir appris l'origine de l'homme par des membres de la première race humanoïde de la planète bleue : les Reptiliens. C'est ainsi le cas d'Ole K., un Suédois affirmant avoir interviewé une Reptilienne en Janvier 2000. Celle-ci lui aurait affirmé que sa race serait native de la Terre. Elle serait apparue il y a 65 millions d'années après une guerre terrible entre deux peuplades Extraterrestres (une reptilienne et une humanoïde) se battant pour la possession de la Terre. La destruction des dinosaures aurait été le point final de cette lutte ne laissant aucun vainqueur...

Si ce n'est l'émergence d'une nouvelle race reptilienne : Les fameux Lézards ou plutôt leurs ancêtres. Ils auraient évolué pendant 30 millions d'années d'un animal à un être humanoïde pensant. Il y a 15 millions d'années, 3 sous-espèces de cet ancêtre reptilien auraient évolué jusqu'à atteindre un niveau technologique élevé. Il y a 10 millions d'années, ils auraient modifié génétiquement leur race pour l'améliorer et stopper son évolution. A partir de là, ils auraient colonisé d'autres planètes et construit de grandes cités sur Terre (détruites par les caprices de la nature) . Ils vivraient aujourd'hui sous la surface de la Terre.
En ce concerne leur location d'origine, c'est toujours la Terre selon beaucoup, mais pas dans cette dimension d'existence !

En effet, ils auraient évolué à l'instar des humains sur Terre mais "en parallèle", sur une seconde Terre qui auraient vécu une histoire différente. Dans celle-ci les Dinosaures ont survécu après la catastrophe de la limite Crétacé/Tertiaire et une race humanoïde de reptile aurait supplanté toutes les autres espèces de dinosaures et de mammifères. Cette thèse s'approche nettement de la précédente à la différence que les Lézards n'ont pas été à l'origine de l'homme dans celle-ci !

Abordons à présent une approche tout aussi sérieuse menée entre autres par David Icke. Nous allons quitter la Terre mais pas le système solaire ! Car à l'intérieur de celui-ci se trouverait une planète inconnue, une dixième planète appelée Nibiru par les Sumériens. Cette planète aurait une ellipse particulière qui la ferait s'approcher de la Terre tous les 3600 ans environ. Sur cette planète se serait développé une espèce de type reptoïde de quelques millénaires d'avance sur l'homme. C'est cet avantage technologique qui aurait permis à cette race de coloniser la lune, Mars puis... Notre belle planète bleue. Ils auraient exploité l'homme (esclavage) après lui avoir donné la vie, en croisant leurs gènes à ceux de l'espèce primitive la plus évoluée de la Terre à cette époque : l'homo erectus. Cet épisode se serait déroulé il y a 200 000 à 300 000 ans et serait représenté dans la Bible comme la Tentation d'Eve et la "Chute" de l'homme éconduit de l'Eden.
Selon les Cassiopéens (Entités de dimensions supérieures contactées par channelling), la tentation d'Eve serait la faiblesse de la part intuitive de l'homme, le serpent représenterait la race de ce peuple ; quant à l'Eden il représenterait la Terre lors de l'Âge d'Or des traditions. Après ce passage de l'histoire, l'homme (anciennement Néandertalien ou Homo Erectus) se serait retrouvé dans l'acceptation de l'emprise des Lézards sur son espèce. Ils auraient toujours le pouvoir sur notre planète en agissant sur elle à partir de la 4ème dimension d'existence (celle qui est juste supérieure à la nôtre) grâce à leurs activités psychiques et physiques. Cependant les Cassiopéens n'attribuent pas l'origine des Reptiliens à la 10ème Planète mais à la constellation d'Orion semble-t-il...


Ayant quitté le système solaire pour Orion, nous pouvons maintenant nous rendre sur une planète peu connue de la constellation du Sagitaire d'où les Reptiliens viendraient (selon un texte anglophone issu du site http://www.olywa.net/george/george_egypt.html). Ils auraient en fait été "invité" il y a 26 millions d'années par les Créateurs de la Terre à habiter celle-ci dans la troisième dimension avec un autre peuple sauriens : les ETs dinoïdes. Ces deux races auraient été aidées par une race ET pré-cétacéenne (ancêtres des dauphins et baleines) pour l'apport de nourriture. Il y a 10 millions d'années les sauriens ne se seraient rebellés en décidant à se "séparer" de leurs nourrices. Mais avant que les sauriens n'attaquent les pré-cétacéens, ces derniers engendrèrent une énorme explosion planétaire qui détruit la majorité des reptiliens.
Les survivants se réfugièrent sur Tiamat. Quant aux pré-cétacéens, ils se scindèrent en deux groupes : l'un retournant sur leur planète d'origine et l'autre restant dans les océans de la Terre pour se transformer progressivement en cétacés, fuyant la technologie. Les créateurs de la Terre assumèrent leur erreur et se remirent en quête d'une nouvelle race pour la Terre. Ils la trouvèrent dans le système de Vega : une espèce primitive qui commençait à sortir des océans (cf thèse qu'on retrouve dans le dossier sur la création de l'humanité). Avec l'accord des dirigeants spirituels de Vega, ils confièrent la Terre à ces hommes. Mais les Lézards préparaient leur vengeance, qu'ils appliquèrent en dirigeant une comète vers la Terre qui anéantit tous les hommes (il y a 1 million d'années). A cette déclaration de guerre, le Conseil des Mondes ordonna le passage de Nibiru dans l'axe de rotation de Tiamat : ce qui détruit à jamais cette planète et ses habitants. L'homme fut remis sur Terre et le peuple des Lézards vit toujours.

- Les traditions d'Orient soutiennent que l'humanité avait des ancêtres reptiliens (contrairement à l'image anthropomorphique du Dieu de l'Occident)
· Les premiers empereurs chinois proclamaient qu'ils descendaient des dragons
· Il existe toujours en Inde des familles de haute caste affirmant que leurs ancêtres sont des Dieux serpentiformes hindoues appelées "Nagas"
· Les Dogons du Mali, aux connaissances astronomiques extraordinaires, prétendent que leur science leur vient de leurs ancêtres venus du ciel et à l'aspect de reptiles ("nommos")
· Les Egyptiens avaient leur dieu serpent, Kneph, et les pharaons étaient souvent représentés avec des serpents
· Les cultures d'Amérique centrale avaient leur dieu Quetzalcoatl : un serpent ailé
· Les Indiens Hopi ont un dieu nommé Baholinkonga : un serpent à plumes
· Les Phéniciens avaient Agathodémon, une représentation ophidienne
· Les adeptes du Vaudou ont un dieu qu'ils appellent Damballah Wedo et qui est dépeint comme un serpent
· Les Hébreux ont un Nakhustan, le serpent d'airain.
· L'ancien dieu britannique, connu comme le maître dragon du monde, était appelé HU.
· Le premier autal érigé aux cyclopes à Athènes était dédié à Ops, le dieu-serpent
· Les Aborigènes d'Australie possèdent aussi leur mythe du Dieu-Serpent...

Les activités des Reptiliens semblent innombrables tellement on les accable de l'entière responsabilité de divers événements. Pour garder une certaine cohérence, nous allons étudier leur influence sur l'humanité de manière chronologique.
Ils seraient à l'origine de la disparition des dinosaures il y a 65 millions d'années (selon John Rhodes entre autres). Ils auraient en tous les cas survécu à cette catastrophe, selon "Lacerta File", et ce pour voir l'homme évoluer du simple primate arboricole à ce qu'il est de nos jours : nos ancêtres auraient même été leurs bêtes de zoo.

Ils auraient colonisé (selon D. Icke et "Lacerta File") Mars puis la Lune (ainsi que d'autres planètes de notre système solaire) avant la venue de l'homme sur Terre.
Toujours avant l'arrivée de l'homme, selon les Zetains, un roi reptilien aurait construit les sites mégalithiques tels Stonehenge et Avenbury.
Selon différentes sources (Cassiopéens, Tablettes Sumériennes), ils seraient à l'origine de la transformation de l'homme en homo sapiens (homme imparfait car régit par la peur et le désir) sachant que l'homme existait déjà. Les reptiliens seraient les Annunaki venus de Nibiru (selon D. Icke).

Les Cassiopéens les mentionnent déjà lorsqu'ils parlent de l'Atlantide. En effet, les Atlantes seraient arrivés à leur niveau de technologie seuls... mais aidé par des forces extérieurs : les Lézards. Une partie de ce peuple en tout cas, avide de conquêtes et de technologie (les fils de Belial mentionnés dans les lectures d'Edgar Cayce et représentant tout d'abord une ethnie puis par la suite un groupe idéologique) ont accéléré la fin de toute leur civilisation.
Ils sont de nouveau cités par les Cassiopéens, il y a environ 8000 ans av. JC, lorsqu'ils sont venus aider l'homme à reconstruire des civilisations grâce à leur connaissance léguée aux descendants des Grandes civilisations telles l'Atlantide, la Lémurie, la Grande Egypte, les Mayas...
La tour de Babel, ou la déroute des langages, était un outil qui avait pour but d'altérer l'esprit des masses pour une unification spirituelle. Les "dieux" qui "regardaient" du haut de la tour, qui en avaient l'utilité et qui ont détruit leur travail... sont les Lézards (Cassiopéens).
La destruction de Sodome et Gomorrhe est due à une explosion nucléaire couplée à des vibrations electro-magnétiques par les reptoïdes (Cassiopéens) pour imposer la peur et l'obéissance. C'est aussi ce qu'a essayé de démontrer D. Icke.

Coïncidences ?
Selon les Cassiopéens, les "Bigfoot" sont en quelque sorte les esclaves, les "animaux domestiques" des Lézards. Ce sont ces Sasquatch qui auraient habité la planète Mars (NDLR : Le visage de Mars n'est-il pas plus proche de celui d'un primate que celui d'un homme ?). Ils y ont été déposés et retirés par leurs maîtres reptoïdes. Se rapporter au premier témoignage où un "Bigfoot" est aperçu aux côtés de reptiliens...
Selon Michael Relfe (The Mars Records) l'état du Missouri aux Etats-Unis serait un haut-lieu de l'activité reptilienne. Le premier témoignage a lieu à Mont Vernon dans... le Missouri !

Les premiers aryens (la race blanche souche qui serait le vecteur principal des Lézards dans notre dimension) auraient émergé en Perse (connu comme l'empire aryen dans les anciennes traditions) et y auraient été amenés d'une autre planète du système solaire (Mars pour D. Icke et Tiamat pour les Cassiopéens) par les Lézards. Edgar Cayce, le prophète endormi, déclare (lors de la lecture d'une de ces vies antérieures) avoir été incarné dans le premier aryen, né de l'Union d'une perse et des "dieux" des monts iraniens... Pour les ethnologues, la race blanche trouverait effectivement son origine en Perse.
Dans les années 80/90, nombreux furent les séries ou les films à faire intervenir des Lézards d'origine extra-terrestre. Le meilleur exemple de série TV est "V" (qui ne dura malheureusement qu'une saison). Cette série traitait de la cohabitation ET/Humain après l'arrivée d'un peuple de l'espace sur notre belle planète. Les premières "cibles" d'atterrissage des vaisseaux -mères ET étaient les capitales et leurs premiers soutiens étaient les dirigeants des grands pays de la Terre. L'aspect des ET était humain, mais ce n'était en fait qu'un masque de latex qui cachait une apparence de reptile. Des reptiles qui se nourrissaient la plupart du temps de chair fraîche (comme des rongeurs : pauvres ancêtres !) et à l'occasion d'êtres humains dont ils faisaient le stock dans leurs immenses embarcations interstellaires...

Concernant le cinéma, c'est Stargate qui fit la part belle aux Reptiliens. Le film les décrit comme des parasites s'insinuant dans le corps humain pour le posséder et comme les instaurateurs des grandes civilisations humaines - et de l'évolution de l'homme en général. Ces deux exemples ne sont pas sans rappeler, le serpent de la Bible, à l'origine de l'évolution de l'homme ou encore le caractère vampiro-parasitaire de la race reptilienne (dépeint de si nombreuses fois) associée au pouvoir de l'élite mondiale.
D. Icke décrit le lieu de résidence des Reptiliens principalement dans des bases sous-terraines. Comme le témoignage apporté dans "The Mars Records". C'est encore sous Terre que les Amérindiens situent les forces obscures reptiliennes. Dans "Lacerta File", Ole K., a interviewé une reptilienne affirmant que ses ancêtres ont été longtemps (et le seraient toujours) réfugiés sous Terre. Quant aux Zétains, ils localisent aussi une race reptilienne dans les profondeurs de la planète.

Les Indiens Hopis, selon leurs légendes, auraient vécu à l'intérieur de la Terre et auraient été nourris et vêtus par un peuple de fourmis, probablement les extraterrestres connus comme étant les Gris. Les Hopis font référence à leurs ancêtres comme à leurs "frères serpents" et le plus sacré de leurs rituels souterrains est la danse du serpent. Les Hopis disent qu'un jour, sous les ordres de leur déesse, la Femme Araignée, ils sont remontés à la surface et ont émergé de leur caverne qu'ils ont appelé le Sipapuni. Une histoire à peu près similaire est décrite par un récit des Cassiopéens dans lequel les Hopis sont sauvés des eaux et transférés d'un lieu à un autre (sous Terre ?)... Par la volonté des Lézards. Le rapprochement des Gris et des Lézards est de plus en plus conséquent.

Etats des Lieux
Les Reptoïdes agiraient d'une dimension d'existence imperceptible aux sens communs des hommes. Ils se situeraient peut-être dans le bas-astral, d'où proviennent les esprits ou démons que l'homme invoque.
Pour les shamans amazoniens, les Méso-américains précolombiens, les néos shamans, les "contactés", comme pour les enseignements télépathiques reçus par certains :
Des entités - qui sont vues en transe shamanique comme des créatures noires ressemblant à des dragons, voire à des insectes géants - disent avoir été chassées de leur propre planète par une force supérieure contre laquelle ils étaient rebelles - et avoir pris possession de la terre il y a des éons de cela, bien avant l'apparition des hommes dont par ailleurs elles se prétendent (mensongèrement disent les indiens) les créateurs.
Ces entités sont perçues par les shamans comme étant localisées dans les ténèbres les plus profondes, sous terre ; elles se nourriraient des énergies négatives provenant des comportements mauvais qu'elles induisent en nous.
Toutefois ces mêmes shamans disent qu'il ne faut pas exagérer leurs pouvoirs qui seraient limités contrairement à ce qu'elles affirment.
Elles seraient selon certains "contactés" combattues par d'autres forces galactiques opposées au service des Ténèbres et nous ferions donc les frais d'être placés sur un champ de bataille cosmique entre ces deux énergies.
Ces entités seraient donc la cause réelle des maux qui affectent toutes les civilisations terrestres.
Plusieurs autres sources prétendent que les Lézards occuperaient des bases souterraines sur toute la surface du globe, en accord avec le Nouvel Ordre Mondial.
Dans les traditions, les Lézards seraient associés aux dragons présents chez tous les peuples de la Terre, aux vampires (car ils partagent avec les congénères de Dracula le besoin de sang, le fait de se nourrir de l'énergie du sexe et de la peur des "mortels"), aux chuppacabras (ou suceurs de chèvres) issus du folklore hispanique dont l'aspect serait celui d'un gros lézard qui attaque les animaux pour les vider de leur sang... L'énergie absorbée par les Lézards ne serait que négative et leur servirait (D'après M. Relfe dans The MarsRecords) à faire du "troc" avec des forces démoniaques supérieures. Bien que la majorité des Lézards aient du dédain pour les hommes, il en existerait des très bons et généreux, ne cherchant qu'à aider les hommes (mais ils sont rares !).
Le premier vecteur d'action à travers lequel les Lézards agiraient sur la planète Terre serait la race aryenne (race issue d'un croisement des lignées royales des reptiliens, les dracos, et d'êtres humains). Les blancs d'aujourd'hui n'en serait que la descendance. C'est de par leur nature que les blancs seraient plus aisément manipulables ou "possédables" par les Lézards. C'est pourquoi les lignées plus "pures" des descendants des aryens continueraient de se reproduire entre elles (familles royales...etc).

Les Lézards agiraient principalement sur notre planète à travers la manipulation organisée depuis des milliers d'années et qui a commencé avec l'instauration de religions (à commencer par le christianisme, issu de la religion essénienne, elle-même inspirée de la religion egyptienne dans laquelle on retrouve les cultes concernant le soleil, le feu et le serpent... qui soit-disant auraient déjà été des symboles d'adoration d'une idéologie atlante,hehe !) et qui a continué avec la mise en place de sociétés secrètes gérées par des lignées plus "pures" issues de croisement génétiques entre des Lézards et des hommes (blancs principalement).
A l'instar des Gris, les Lézards auraient peut-être eux aussi cherché à se croiser génétiquement avec des hommes. Ces êtres auraient même fait une apparition dans les livres d'histoire sous le nom de Cagots ou Chrestians : hybrides humano-reptiliens d'aspect et de comportement.

Le Nouvel Ordre Mondial qui agirait en coulisse et qui serait aux commandes du monde, serait géré par les descendants des membres des anciennes sociétés secrètes... Membres manipulés (consciemment ou inconsciemment) voire même "possédés" par les reptoïdes.
En effet, les repti ne s'incarnent que rarement dans notre dimension car la matérialisation d'un corps à long terme est épuisante. Ils s'incarnent donc en des corps humains "propices" à cela génétiquement parlant (blancs majoritairement). Ils font aussi intervenir d'autres matérialisations : celles des MIB (Men In Black ou hommes en noir) d'après D. Icke et les Cassiopéens, et celles des gris (ou ET de type "Roswell) qui ne seraient que des robots biologiques, des Formes Pensées (Ou FP) utilisés pour les "tâches courantes" des reptiliens (enlèvements, accords militaires, mutilations animales).
Conclusion

Une des raisons pour lesquelles les reptiliens continueraient de vouloir posséder la Terre, c'est pour la reprendre aux humains post diluvien ,le dluge détruisit la quasi totalité des reptiliens et engloutie leur civilisation aux quatres coins du monde ce sont eux les batisseurs des pyramides et non les pharaons , les survivants méllèrent leur sang aux humains pour mieux se cacher parmi eux et ce sont les rois et les dirigeants du l'histoire moderne tous aussi sanguinaire les uns que les autres car n'éprouvant aucune pitiée ni remord devant le chaos et la désolation ,voilà la cause de la méchanceté de ce monde et de tous les génocides comment peut on les reconnaitres le seigneur leur a donné comme malédiction le gigantisme et six doigts de pieds et six doigts aux mains  ces hybrides ne sont pas des extraterrestres ne viennnent pas de l'espace ils ont toujours etaient sur terre avant l'apparition de l'homme la fausse histoire de la terre ne parle t elle pas de reptiles qui occuppaient la terre avant l'homme cette histoire et très romancée pour nous éloigner de la vérité comme l'invention de l'homme singe et tout le mensonge de l'évolution de Darwin....

regardant quelques personnes célèbres avec 6 orteils les plus grands acteurs de hollywood auraient cette malformation  oui et bizarement autant  chez nos élites quel hasard diront les critiques et alors rajoutteront les sceptiques ....

 

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Le comédien américain Taye Diggs et l’actrice anglaise Gemma Arterton sont nés avec six doigts à chaque main. Un petit extra – appelé polydactylie – dont ils se sont débarrassés quand ils étaient encore bébés.

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  Un garde du corps d'Obama démasqué en tant qu'ALIEN reptilien

 


Obama Alien Extraterrestre par Spi0n

il n'ya pas de hasard tout est lié les chemtrails par exemple ils changent la composition de l'atmosphère pour que l'air soit plus respirable pour  eux et  baisse" la luminosité car les types draconiens sont très génés par elle et aux passages on éradique les humains petit a petit le serpent fait son nid sans que personne ne comprenne rien voilà pourquoi ils ne craignent pas d'etre intoxiqué ce qui est mauvais pour nous et bon pour eux  et détestent les créatures divines c'est à cause de la haine   pour ADam  qu'ils ont été maudits et privé d'ame et de chakras du coeur voilà pourquoi ils partent en guerre dans le monde comme vous partez en vacance aucune émotion ni empathie le mal qu'ils font devraient éveiller l'esprit de celui qui cherche la raison de tout ce mal et de toute cette destruction à travers le monde ,ils détestent les croyants  et veulent la perte de l'humanité pour finir sur les pierres de guidestones ils parlent de maintenir la population mondiale en dessous de 800 000 000 c'est droles en fait ils ne resteraient que des reptiliens en fait c'est l'éraducation totale des humains qui seraient le but finale .

sans ce corps ces etres polymorphes volent autour de vous et s'introduisent en vous par les cavités comme narines et oreilles de là ils  controlent  vos reves , cauchemards et vos organes voilà a quoi ressembles ces incubes et succubes qui volent autour de vous la nuit vous les avez déjà vu mais vous n'aviez pas  compris ce que c'etait voilà les images .

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pour les voir fermez vos yeux et déportez votre vision au niveau des sourcils juste au milieu alors si vous vous exercez vous verrez avec votre 3e oeils cela viendra naturellement ne cherchez pas a voir avec vos yeux ils ne voient rien a part des formes floues celà dépend de votre éveils si vous faites des reves prémonitoire et etes médium alors vous voyez  mais vous ne vous servez pas de cette vision  du moins  pas consciemment et éveillé ........l'homme est plein d'option secretes qui se développent  que lorsque qu'on s'en sert et qui n'apparaisse que lorsque qu'on y croit .nos possibilités sont énormes vpolà pourquoi les  esprit sont  occuppés par le matérialisme .......

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ils se servent de vortex pour s'introduire dans notre dimension ils  habitent sous la terre d'en dessous et attendent 3 heures du matin  regardez tous les films qui traitent  de démons montrent  souvent des horloges qui se bloque à 3 heures du matin vous croyez que c'est le hasard non juste parce qu'ils le savent .....

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Parricide en Corse: le jour où Andy a anéanti les siens Le 12 août 2009, Andy F., 16 ans, s'est réveillé à 3 heures du matin

Le Monde | 06.12.2005 à 15h05 • Mis à jour le 06.12.2005 à 15h05 Par Thomas Sotinel ... La justice des hommes jette en prison le prêtre catholique qui a assisté Emily dans ses ... Elle ne croit pas aux démons, puis elle se met à douter lorsque son radio-réveil s'arrête à 3 heures du matin tapantes, l'heure du diable.

Entendre une voix vous appeler? : Forum auFeminin

J'ai eu droit il y a quelques années à cette voix. .... Encore cette nuit, à 3 heures du matin, donc alors que je dormais très profondément,

pour pénétraient par les portes qui s'ouvrent a cette heure là et se referme au lever du soleil au moment ou les anges envahissent la terre pour la nettoyer.

 il ya des preuves pour des gens doués d'intelligence et des gens qui comprennent.......

Pour rappel Dieu n'a pas besoin de nous  de nos prières et de nos cultes ils nous a donné en miséricorde son verbe pour pouvoir nous protéger contre ces intrus nefelim et archontes  je peux vous le dire celui qui ne connait aucune parole divine et certes dépourvu de défenses si le monde entier priez sincérement alors le monde du mal et de la corruption disparaitrait en une année mais l'histoire n'e'st écrite que par nos choix chaque ame choisi pour elle meme et nul ne peut intercéder en la faveur de personne ,personne ne peut juger une autre créature car personne n'est exempt de défauts ou d'impureté la foi nous rapproche de Dieu et à chaque pensée sincère le coeur se ressere et vibre d'émotion car l'appel est entendu chaque pensée vous connectes alors choississez vers qui vos actes et vos pensées seront dirigés ..r.james

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8 mai 2016

Les souterrains de l'ile de malte des disparitions inexpliquées

20080909121006Juste en-dessous de la pointe sud de l'Italie, dans la partie la plus occidentale de la mer Méditerranéenne, se trouve l'île de  Malte. Malte fut dans le passé la possession de nombreuses nationalités, et fut considérée comme l'un des points les plus stratégiques de toute la terre, port et point d'intersection  entre l'Europe, l'Asie, le Moyen Orient, l'Afrique, etc. Cette
 île de 15 km de long fut l'ancien centre de la civilisation à  l'époque où les Phéniciens de Carthage l'envahirent et commençèrent à la diriger. Lorsqu'un groupe d'anciens prêtres adorant le "dieu" Moloch (un autre nom pour Baal, Osiris, ou Nimrod - considéré par les ancient comme étant le "dieu soleil")  visita l'île à l'époque de l'Ancien Testament, les insulaires acceptèrent  promptement leurs enseignements, y compris ceux consistant à offrir des sacrifices humains afin d'apaiser leur "dieu" Moloch, parce que les anciens
Maltais eux-mêmes pratiquaient le sacrifice du sang humain en offrande  aux "dieux" du monde souterrain dont  ils pensaient qu'ils existaient sous l'île-même et ailleurs, divinités
ainsi appelées qui furent souvent identifiées aux "serpents".. Depuis l'époque des Carthaginois, Malta a connu de nombreux  dirigeants Romains, Arabes, Normands, Argoniens, Castillans, les (Hospitalers) ou l'Ordre de St. Jean de Jérusalem, connus plus tard sous le nom de Chevaliers de Rhodes, et encore plus tard comme les Chevaliers de Malte, qui y sont toujours
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 aujourd'hui, possédant un autre siège à Rome. A quelques kilomètres de la ville de Valleta, à Malte, se trouve le petit village de Casal Paula. En l'an 1902, des ouvriers qui creusaient un puit tombèrent littéralement dans la terre. Ce qu'ils découvrirent (ou plutôt re-découvrirent) était une série d'anciennes caves, dont la plupart étaient taillées directement dans la roche, qui descendait dans la terre et sur trois niveaux inférieurs. Ces catacombes sur plusieurs niveaux dévinrent connues sous le nom de "Hypogeum de Hal Saflienti", nom de la rue sous laquelle il les découvrirent. Hypogeum est le nom Latin désignant une structure souterraine. Près du sol de la dernière chambre, au 3ème et dernier (officiellement reconnu) niveau de ces anciennes catacombes, se trouvent certaines "chambres mortuaires" comme on les appelle. Elle n'offrent qu'une surface de quelques mètres carrés à peine, sont situées à même le sol, et l'on doit se mettre à genoux, voir même à terre, ne serait-ce que pour regarder à l'intérieur. Ces "chambres mortuaires" sont juste assez larges pour que quelqu'un puisse y ramper. Il circule depuis des années des
 rumeurs suggérant que l'une de ces "chambres mortuaires" ne finit pas, mais continue bien au-delà, vers d'autres cavernes plus profondes et inexplorées. Ceci, d'après certaines sources, fut le passage souterrain et  la chambre qui furent décrits il y a des années dans un article paru dans le numéro d'Août 1940 du magazine National Geographic. L'article en question indiquait ce qui suit à propos de diverses personnes ayant disparu dans ces catacombes sans laisser de traces : "De nombreux passages souterrains, y compris d'anciennes catacombes, font aujourd'hui partie des fortifications et du système de défense de l'île. Des vivres sont conservées dans de nombreux tunnels; d'autres sont des abris contre les bombes. Certaines des zones souterraines situées sous Valletta servirent de résidence pour les pauvres. Des hommes préhistoriques construisirent des temples et des chambres dans ces souterrains. Dans une fosse située près
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 d'un autel reposent des milliers de squelettes humains il y a des années, il était possible d'aller d'un bout à l'autre  de Malte par ces souterrains. Le gouvernement ferma les entrées de ces tunnels après que des écoliers et leurs  enseignants en voyage d'étude se perdirent t dans le labyrinthe et ne revinrent jamais." L'histoire est en fait plus "importante" que le National  Geographic ne l'indique. D'autres sources indiquent que  près de 30 enfants disparurent dans ces catacombes lors de ce voyage d'étude, et que lors de la découverte initiale del'Hypogeum" furent également découverts près de 30000  squelettes d'hommes, de femmes et d'enfants (victimes de l'ancien sacrifice aux "dieux du monde souterrain" perpétré par un ancienne race néolithique).Un article écrit par Miss Lois Jessup, à l'époque employée de l'ambassade  Britannique et plus tard secrétaire du NYSIB, paru dans un vieux numéro du magazine Science Frontière (Borderland Science) de Riley Crabb's, publié par la BSRF et plus tard repris dans son intégralité dans le livre du Dr.  Allen "Enigma Fantastique".a004

Miss Jessup déclara avoir visité Malte et l'Hypogeum, une première fois avant  la tragique disparition des enfants, et une autre fois peu après. Elle décrivit comment, lors de sa première visite des catacombes, elle convainquit le guide de la laisser examiner l'une des fameuses  "chambres mortuaires" près du sol de la dernière chambre dans le troisième soubassement, la "fin" supposée de la visite de l'Hypogeum.Il semblait savoir quelque chose  qu'elle ignorait, mais consentit finalement à lui dire qu'elle pouvait entrer "à ses propres risques"...
Ce fut ce qu'elle fit, bougie à la main et sa ceinture défaite  utilisée comme corde de guide pour ses amis qui la suivaient,  rampant dans le mince passage pour finalement déboucher
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 dans une grande carverne, où elle se trouvait sur une  plate-forme surplombant un abîme très profond, semblant sans fin. Plus bas et de l'autre côté de l'abîme  se trouvait une autre plate-forme semblant donner sur une porte ou un tunnel s'enfonçant dans le mur opposé.  Nous réalisons que ce qui survint ensuite pourrait sembler  incroyable à beaucoup de lecteurs, mais nous leur
 demandons de se faire leur propre idée de sa véracité. Miss Jessup jure que ce qui suit s'est réellement passé. De ce tunnel inférieur situé de l'autre côté de l'abîme, déclare-t-elle, surgirent en file indienne quelques très grandes créatures de forme humanoïde, mais totalement recouverte de poils de la tête aux pieds. L'apercevant, elles levèrent leurs armes en sa direction, à tel point qu'un "vent" violent se mit à souffler dans la caverne, soufflant sa bougie. Une "chose" humide et rampante (apparemment une créature de différente sorte) la frôla alors.
Tout ceci se passa au moment où la personne qui la suivait commençait à émerger depuis le passage dans la caverne. Ils ne purent comprendre ses tentatives paniquées pour rejoindre le passage et regagner la chambre de l"Hypogeum", mais y consentirent après son insistance. Lorsqu'ils se retrouvèrent tous dans la chambre de l'Hypogeum, le guide vit son expression et la regarda d'un air "entendu". Environ une semaine après la disparition des enfants et de  leur(s) enseignant(s), elle vit lors de sa seconde visite un tout nouveau guide qui nia que l'autre guide ait jamais travaillé ici, bien qu'elle su que ce guide-ci cachait quelque chose. Elle apprit d'autres sources plus coopératives cependant  que ceci était le tunnel que les enfants, leur(s) enseignant(s)
 et probablement l'ancien guide, avaient emprunté. Elle apprit  également qu'après que le dernier enfant y ait pénétré, les murs du petit tunnel se refermèrent ou s'effondrèrent. Bien
 que la version officielle établit que les murs s'étaient écroulés sur les étudiants, les équipes de recherche ne furent jamais capable de trouver la moindre trace de l'(ou des)

 enseignant(s) ou des enfants, bien que la corde qu'ils avaient utilisé pour s'attacher à la plus basse des chambres de l'Hypogeum fut retrouvée nettement coupée, comme par
 quelque chose de tranchant (pas un roc tombant). Il fut prétendu que, durant les semaines qui suivirent, les gémissements et cris des enfants furent entendus sous terre en différents endroits de l'île, sans que personne ne parvienne à localiser l'origine de ces cris. Comme pour les catacombes sous Malte, il existe d'anciens récits stipulant  que de profondes cavernes sous l'île se prolongent sous terre  au-delà des rivages, et d'après une source, qu'une partie de ce labyrinthe s'étend sur des centaines de kilomètres au nord et possède des intersections avec les catacombes de Rome (la colline Vaticanus ?) ou que cela fut du moins le cas à une  certaine époque.

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24 septembre 2015

Le facteur Rh-négatifs est lié à hybridation reptilienne qui s’est passé en Europe, environ 25,000-35000 ans

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06:02 Genesis ou le gene d'isis pour etre plus clair « Les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et en prirent pour femmes, toutes celles qu’ils choisirent. » Qui étaient les enfants de ces mariages? Genèse 6:4 « Dieu est venu dans les filles des hommes, et ils eurent donné des enfants entre eux, et même est devenu héros de jadis. » De la Bible King James dictionnaire on trouve: « menchildren – les hommes d’Israël, les enfants mâles de Dieu, pas des enfants de l’homme – Ex 34:23.. » Ex. Etats 34:7 « L’iniquité du père sera vers les enfants jusqu’à la quatrième génération. » "Il est clair que quelque chose est héritée, se pourrait-il le sang? à noter la bible du king james le sataniste pédophile lorsqu'il dit Dieu il pense a satan ainsi la descendance dont il parle n'est autre que le sang bleu reptilien dans la couronne d'angleterre descend  parce que Dieu n'enfante pas seul le diable l'a fait l'iniquité devait durée 4générations pour cette raison que ils ne mélangèrent jamais leur sang pour que leur lignée ne séteigne pas .."rjames

Le sang est mentionné plus souvent que n’importe quel autre mot dans la Bible, sauf Dieu. Ces deux mots, vous trouverez presque à chaque page, de sang et de Dieu! (Le sang des dieux?) Ce message a été écrit pour des milliers d’années. Il ya un lien entre le sang et les Dieux (les dieux sont les démons .

Les Indiens d’Amérique avaient la tradition de faire de bons amis, « frères de sang », s’ils croyaient qu’ils étaient dignes. Serait-ce la tradition ont été pour une raison? Auraient-ils pu effectivement vérifier pour voir si elles étaient frères de sang (le sang même type)? L’agglutination (aggulation) qui se produit lorsque le sang Rh positif et Rh négatif sont mélangés, est visible à l’œil nu. Aurait-on pu dire, par leurs ancêtres, que leur sang était différent de celui du reste de l’humanité à l’exception de leurs frères et sœurs, d’autres tribus, dispersés sur toute la terre. tradition indienne déclare que leurs ancêtres étaient d’origine cosmique. Le totem indien est en fait une généalogie de la famille.

Pourquoi tout ce souci de la généalogie entre différentes personnes dispersées sur toute la terre? Aucun autre animal sur terre a cette préoccupation de l’ascendance. D’où vient cette tradition musicale? Les gens éparpillés sur toute la terre, qui ont eu des contacts non-connus les uns avec les autres simultanément tous eu l’envie de tracer leur arbre généalogique. Pourquoi? Comment cela pourrait-il important ont été à des hommes des cavernes primitifs? Luttant pour survivre, de tracer leur généalogie? Ils n’avaient aucune compréhension de la génétique moderne et de l’héritage. Alors, pourquoi devraient-ils conserver leur généalogie? Ont-ils dit, par les astronautes antiques, de préserver leur patrimoine, jusqu’à une date ultérieure où ils seraient de retour et il serait entendu? Jusqu’à une époque, comme maintenant, lorsque leurs descendants seraient en mesure de comprendre le message qu’ils ont quitté.

Bien qu’ils n’ont probablement pas conscience de l’importance de la préservation de leur généalogie, leur a dit que les générations futures peuvent comprendre. Sommes-nous que les générations futures? Y at-il un message qui nous reste à comprendre? Avons-nous le courage de chercher la réponse?

Voulons-nous vraiment de savoir ou plutôt devrions-nous garder la tête enfouie dans le sable?  Vous ne verrez pas sauf si vous regardez. Ce n’est que par la connaissance que nous trouverons la vérité.

J’ai cherché, en vain, car la preuve scientifique que le sang Rh négatif a été un phénomène naturel terrestre. Au lieu de cela, j’ai trouvé la preuve que le Rh négatif n’avait pas évolué sur la terre dans le cours naturel des événements.

Pendant des années, de nombreuses personnes ont été la recherche du véritable «chaînon manquant» en fait c'est l’homme lui-même? Le lien entre la –homme hybride . juste un groupe sanguin différent?

 

Une très bonne étude comparative entre l’homme et les primates peuvent être trouvées dans le livre de Max Flindt de l’humanité », l’enfant des étoiles », l’éditeur Fawcett, Livres 1 et 2. Il a documenté de nombreuses caractéristiques nous avons reçu de nos ancêtres cosmiques. Cela montre tout à fait concluante que l’humanité est un hybride entre notre ancêtre cosmique et la terre de nos ancêtres. J’ai simplement réalisé cette idée jusqu’à sa conclusion logique. Si l’humanité est un descendant hybride de l’ancienne «astronautes, certainement il y aurait certains, apparaissant périodiquement, qui serait génétiquement très semblables à eux. Ne serait-ce pas compte de leurs pouvoirs psychiques? Pourriez-le prophète dormez, Edgar Cayce, ont été l’un de ces? Pourriez-Jésus-Christ ont également été l’un de ces? Un vrai descendant des anciens astronautes. Si il était un véritable double génétique d’eux, il aurait également leurs pouvoirs et, éventuellement, de leurs connaissances. Je ne peux pas dire si il est né avec cette connaissance ou si il a établi la communication psychique avec notre famille cosmique, mais il est clair qu’il avait des pouvoirs bien supérieurs à ceux de l’homme mortel. Pourrait-il avoir été un exemple de ce que les anciens astronautes étaient comme? Jésus a déclaré que le Père et lui ne faisaient qu’un. Aurait-il pu effectivement signifie que la lettre? Il peut avoir été une réplique exacte de son (notre) ancien Père. Il peut même avoir été un clone des cosmonautes. Tout le monde connaît l’histoire de sa naissance virginale et l’intervention céleste. Serait-ce l’implantation d’un clone dans l’oeuf stérilisés de Marie? Pourriez l’œuf entier ont été effectivement un implant?

Le sang Rh négatif, qui ne semble pas avoir pris naissance sur la terre, peut se révéler être un facteur majeur dans la démonstration l’humanité est un hybride. Ce n’est pas la solution, mais elle est une clé pour débloquer le casse-tête génétique de notre patrimoine. facteurs de tissus seront également s’avérer très révélateur. Les scientifiques sont maintenant en mesure de déterminer les facteurs de tissus de momies vieilles de 5000 années. Pourriez certaines de ces momies ont été les anciens astronautes? Pourquoi ces momies conservées assez bien pour nous d’analyser leur sang et du facteur tissulaire? Y aurait-il un message dans les facteurs génétiques des momies eux-mêmes?

Il est un fait intéressant dans le livre « radiographie des pharaons » par James Harris et Kent Weeks, 1973 (Scribners). Sur la radiographie de la tombe de Makare, grande prêtresse d’Ammon, il a été constaté que l’enfant enterré avec son étiquette Prince Moutenihet était en fait un babouin hamadryas femmes. Un examen des Makare a montré qu’elle avait donné naissance peu avant de mourir. Aurait-elle donné naissance à le babouin trouvé avec elle? Pour quelle autre raison aurait-il été enterré avec elle? Un retour génétiques?

Ma recherche a montré que la majorité de ceux qui ont des pouvoirs psychiques ont aussi Rh négatif. La plupart des guérisseurs psyphic et la foi ont le même sang. Curieusement, beaucoup de ceux qui font des recherches sur la théorie des anciens astronautes et d’autres phénomènes ont également Rh négatif.

Les reptiliens sont ceux qui ont suivi Rh négatif facteur sanguin. Pour revenir dans le temps …. les hybrides Rh-Neg provenaient des Cavernes DRACO dans les Carpates. Ils étaient pour la plupart aux cheveux roux, aux yeux verts et cheveux noirs, aux yeux bruns. Ils ont essayé de se s’infiltrer dans le cheveux blonds / Brown, aux yeux bleus, civilisations. Ils voulaient Mate avec ceux qui n’ont pas été Rh-négatifs. La plupart des Rh-Negs ont une température inférieure du corps et la pression artérielle que Rh-positifs. Beaucoup de Rh-Negs sont nés avec une cauda (queue) ou une vertèbre supplémentaire (queue osseuse). Rh-Negs sont des hybrides. Ils font partie de l’homme Reptilian partiel. Si deux Rh-Negs essayer d’avoir un bébé il est généralement mourir ou naître un « bébé bleu », car ce n’est pas l’oxygène de traitement correctement. Ainsi, «Blue-Bloods», si elles survivent. 5% de la population de la Terre sont actuellement Rh-négatifs. Mais, ils sont 15% de la population de l’Angleterre et les États-Unis.

Dr. Luigi Cavalli-Sforza l’Université de Stanford a écrit un article intitulé «Gènes, peuples et langues» (Scientific American, novembre 91). Il a souligné la forte concentration Rh négatif parmi le peuple du Maroc, le pays basque d’Euskadi, l’Irlande, l’Ecosse et les îles norvégiennes.

Les seules personnes parmi ces encore de parler leur langue d’origine néolithique ont été les Basques …

Il est clair que les reptiliens sont les descendants direct de leur pere  et c'est pour cette seul raison qu'ils le vénèrent, bien sur ce secret n'est pas partagé par tous les satanistes ils sont juste récompensés pour service rendu ,les élites ont un lien de parenté direct avec leur maitre et dirige ce monde guidé par ces soins et pour que son plan réussisse à savoir la perversion totale de l'humanité ......pour y arriver cela passe par la destruction des religions qui a commencé a Babylone et a chaque messager envoyé ils ont travaillé poutr créer une secte pour diriger et falsifier leur message,

Mais forte heureusement ils ne peuvent diriger le coeur des hommes sincères qui ont reçu le discernement .Rjames

15 août 2015

Elisabeth Bathory La comtesse Sanglante

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Il est impossible de s'intéresser au phénomène, réel ou imaginaire, du vampirisme sans se référer à un personnage qui défraya la chronique au XVIIE siècle en Hongrie et Transylvanie, et qui a provoqué, dans la mémoire des peuples, l'apparition d'une image surprenante, ambiguë, terrifiante, qui est loin de laisser indifférent : la comtesse Elizabeth Bathory est en effet une des incarnations les plus caractéristiques de ce que l'on a coutume de classer dans la catégorie des vampires humains, malgré les interférences inévitables qui se sont produites entre ce que l'on sait de sa vie et des zones d'ombre que l'on n'a pas osé dévoiler en plein jour. Ce fut une criminelle, assurément. Mais ce fut aussi une femme mystérieuse qui a emporté dans la tombe de lourds secrets qu'il est bien difficile de cerner en toute objectivité.

Elizabeth Bathory est née en 1560, d'une famille de sang royal, comptant dans ses proches parents le prince de Transylvanie, Sigismond Bathory, un oncle qui devint roi de Pologne, des gouverneurs de province, de hauts magistrats, des évêques et un cardinal. Cette famille remontait très loin dans le temps et comptait un certain nombre d'aventuriers hongrois descendant probablement des Huns et qui s'étaient imposés par le sang et la violence, comme il était de règle à ces époques troublées où la Hongrie allait passer d'un paganisme pur et dur à un catholicisme très inféodé à Rome. Du temps d'Elizabeth, rien n'était d'ailleurs vraiment net dans cette région bouleversée par l'apparition des Réformateurs luthériens et calvinistes et où le catholicisme romain se heurtait au Christianisme orthodoxe et aux innombrables communautés musulmanes disséminées par les Turcs. Sans parler des vestiges virulents d'un paganisme hérité du fonds asiatique :" L'ancienne terre des Daces était païenne encore, et sa civilisation avait deux siècles de retard 1 sur celle de l'Europe occidentale. Là, régnaient, gouvernées par une mystérieuse déesse Mielliki, les innombrables forces des grands bois, tandis qu'à l'Ouest, le vent habitait seul, la montagne de Nadas. Il y avait un dieu unique, Isten, et l'arbre d'Isten, l'herbe d'Isten, l'oiseau d'Isten... Dans les Carpates superstitieuses, il y avait surtout le diable, Ordôg, servi par des sorcières, elles-mêmes assistées de chiens et de chats noirs. Et tout venait encore des esprits de la nature et des fées des éléments ; de Delibab, la fée de midi aimée du vent et mère des mirages 2, des Tünders 3, sœurs de toutes merveilles et de la Vierge de la cascade peignant ses cheveux d'eau 4. Dans les cercles d'arbres sacrés, de chênes et de noyers féconds, se célébraient encore secrètement les anciens cultes du soleil et de la lune, de l'aurore, et du cheval noir de la nuit 5. C'est dans cette atmosphère très particulière, encombrée de sortilèges et de traditions ancestrales venus d'ailleurs, que se déroula l'enfance d'Elizabeth Bathory, et cela explique certainement beaucoup de choses concernant le comportement et le mode de pensée de cette comtesse qu'il faut bien se résoudre à qualifier de ", sanglante ".Il faut aussi prendre en compte la lourde hérédité d'Elizabeth : sa lignée ne comportait pas que des petits saints, bien au contraire. Un certain nombre de ses ancêtres avaient été des brutes sanguinaires, et dans sa parenté immédiate se trouvaient quelques homosexuels mâles notoires. Un de ses frères était un dépravé pour lequel tout était bon, la plus tendre fillette comme la plus ratatinée des femmes âgées. Une de ses tantes grande dame de la cour de Hongrie défrayait la chronique scandaleuse : lesbienne impénitente, on disait, tribade " à l'époque, elle était tenue pour responsable de la dépravation de douzaines de petites filles. Et puis, la propre nourrice d'Elizabeth, joIlona, qui deviendra son âme damnée, personnage trouble et inquiétant, pratiquant la magie noire et les sortilèges les plus pervers, eut une influence déterminante sur l'évolution de son esprit.

Elizabeth Bathory

Les descriptions qu'on possède d'Elizabeth Bathory, ainsi qu'un portrait qu'on en a conservé, nous la montrent d'une grande beauté : " Les démons étaient déjà en elle ; ses yeux larges et noirs les cachaient en leur morne profondeur ; son visage était pâle de leur antique poison. Sa bouche était sinueuse comme un petit serpent qui passe, son front haut, obstiné, sans défaillance. Et le menton, appuyé sur la grande fraise plate, avait cette courbe molle de l'insanité ou du vice particulier. Elle ressemblait à quelque Valois dessiné par Clouet, Henri Ill peut-être, en féminin 1. " Bref, quelque chose de mélancolique, de secret et de cruel. Le blason des Bathory n'était-il pas composé de trois dents de loup, d'un croissant de lune, d'un soleil en forme d'étoile à six pointes, le tout entouré d'un dragon qui se mord la queue ?

On ne sait pas grand-chose sur la jeunesse et l'adolescence d'Elizabeth, sinon qu'elle se réfugiait souvent dans une solitude farouche. Par ailleurs, depuis son plus jeune âge, elle souffrait de maux de tête parfois intolérables qui la faisaient se rouler par terre. Était-ce de l'épilepsie ? Il semble plutôt qu'Elizabeth était en proie à des crises d'hystérie qu'il serait tentant d'assimiler à des crises de possession démoniaque. 

Mais cette hystérie explique en partie sa déviance sexuelle : sa sensualité était exacerbée, mais morbide, et si elle ne refusa pas les contacts masculins, elle évolua toute sa vie dans des retraites peuplées uniquement de femmes ; elle ne sacrifia jamais un seul homme à ses débauches, mais uniquement des femmes, et elle était incontestablement homosexuelle. On prétend même que c'est sa tante Klara Bathory, qu'elle fréquentait assidûment, qui l'avait initiée au culte de Sapho.
Il faut dire que l'homosexualité était à la mode, en cette fin de XvIe siècle : à Paris, la cour des Valois donnait un exemple que s'empressaient de suivre les autres cours européennes, orientales autant qu'occidentales, celle de Rome ne faisant pas exception. Et le lesbianisme descendait même dans la rue :en Allemagne et dans tout le Saint-Empire, il y avait encore des héritières de cette étrange secte de triba des flagellantes qui parcouraient, au XlVe siècle, les villes et les villages, se mettant nues en public, se fouettant mutuellement, hurlant des chants et pratiquant des attouchements indécents. Vestiges d'un culte de la Déesse des Origines ? Probablement, mais avec des rituels érotiques sanguinaires. On peut toujours se demander si Elizabeth Bathory, si précocement initiée par sa tante Klara, n'a pas consacré sa vie à cette religion instinctuelle et viscérale tout entière vouée à l'adoration de la Grande Déesse des temps obscurs, celle qu'on a prisé trop hâtivement pour la terrible Hécate lunaire, divinité grecque des carrefours (où rôde également le Diable !), et qui n'est en réalité que l'image du Soleil rouge, divinité ô combien féminine, la fameuse et cruelle Artémis des Scythes, celle qui, dans la tragédie d'Euripide, Iphigénie en Tauride, réclame incessamment le sang des mortels pour nourrir son existence surnaturelle ? Il y a là un bel exemple de vampirisme 1. Mais l'homosexualité d'Elizabeth Bathory n'était pas exclusive. On lui prête plusieurs aventures masculines avant son mariage et après son veuvage. Toute jeune, immédiatement après sa puberté, elle aurait eu une petite fille d'un paysan. Elle avait quatorze ans et elle était déjà fiancée à Férencz Nàdasdy, un comte appartenant à la meilleure noblesse hongroise, redoutable guerrier qui devint illustre et mérita, par la suite, le titre de " Héros noir de la Hongrie ". Mais on sait ce que signifiaient les mariages dans la bonne société d'alors. Il semble que, se trouvant enceinte, elle demanda à Ursula Nàdasdy, mère de son fiancé, laquelle était chargée de sa " protection ", la permission d'aller dire adieu à sa propre mère, Anna Bathory, accompagnée d'une seule femme en qui elle avait toute confiance. On ne dit pas si Anna Bathory approuva le comportement de sa fille, mais elle fit contre mauvaise fortune bon cœur. Craignant le scandale et la rupture du mariage de sa fille, elle aurait amené secrètement Elizabeth dans un de ses châteaux les plus éloignés, du côté de la Transylvanie, laissant courir le bruit que sa fille, atteinte d'une maladie contagieuse, avait besoin de repos et d'isolement absolus. Elle l'aurait alors soignée, aidée d'une femme venue du château familial de Csejthe et d'une accoucheuse qui avait fait le serment de ne rien révéler. Une petite fille serait donc née, à laquelle on aurait donné également le prénom d'Elizabeth, et qui aurait été confiée., Moyennant pension, à la femme de Csejthe qui avait accompagné sa fille. Quant à la sage-femme, elle fut renvoyée de Roumanie avec de quoi vivre largement, mais interdiction de jamais revenir en Hongrie. C'est alors qu'Elizabeth Bathory et sa mère seraient parties directement pour Varanno où devaient êtres célébrés les noces de l'héritière des Bathory avec l'héritier des Nàdasdy.


Château de Csejthe

Ces noces eurent lieu le 8 mai 1575. Elizabeth avait quinze ans, et son mari en avait vingt et un. L'empereur Maximilien de Habsbourg assista lui-même au mariage. Le roi Matthias de Hongrie et l'archiduc d'Autriche envoyèrent de somptueux cadeaux aux nouveaux époux qui s'en allèrent passer leur lune de miel dans le château de Csejthe, dans le district de Nyitra, région montagneuse du nord-ouest de la Hongrie, encore célèbre aujourd'hui par la qualité de ses vignobles, mais aussi pour ses châteaux forts en ruines, ses histoires de fantômes et ses traditions vivaces de vampires et de loups-garous. Mais le séjour de Férencz Nàdasdy fut de courte durée. Ses devoirs de combattant l'appelaient à la guerre à travers toute la Hongrie et les pays avoisinants. Il laissa donc sa jeune et belle épouse régner sur le château de Csejthe et sur les vastes domaines qui l'entouraient. Que se passa-t-il donc alors ? Il est probable que la sensualité d'Elizabeth, fortement éveillée par son mari - qui lui fit d'ailleurs deux enfants - se sentit quelque peu frustrée. On lui prêta plusieurs intrigues amoureuses, mais sans lendemain, dont une avec un de ses cousins, le comte Gyorgy Thurzo, futur premier ministre de Hongrie et qui fut d'ailleurs, par la suite, son juge le plus sévère.

Cela ne veut pas dire que les époux ne s'entendaient pas bien : au contraire, leurs retrouvailles étaient toujours de nouvelles lunes de miel. Mais le seul tort du mari était d'être trop souvent absent. Et, un jour de 1586 ou 1587, alors que Férencz Nàdasdy était en plein combat contre les Serbes, on raconte qu'arriva au château de Csejthe (un grand jeune homme au teint cadavérique, dont le nom est resté perdu pour l'histoire. Il était habillé de noir, avait de profonds yeux noirs et de longs cheveux noirs tombant jusqu'aux épaules. Lorsque les servantes de la comtesse racontèrent au village de Csejthe qu'il avait aussi des canines qu'elles jugeaient anormalement longues, plus personne ne douta qu'un vampire s'était installé au château, et les villageois n'allèrent plus se coucher sans avoir soigneusement barricadé leurs portes et leurs fenêtres avec des planches 1 ". Cette histoire s'inscrit très bien dans le décor que suscite le personnage hors pair de la comtesse Bathory, mais elle est plus que suspecte. Toujours est-il qu'Elizabeth s'absenta pendant plusieurs semaines. Était-elle partie avec son " vampire " ? Les villageois murmurèrent, paraît-il, que la comtesse avait été littéralement " vampirisée " par le sombre inconnu. Il est plus vraisemblable de croire que cet homme était une sorte de sorcier, ou de prêtre plein, qui initia Elizabeth à certaines pratiques magiques. Car elle ne faisait pas mystère de ses fréquentations auprès des mages, des sorcières et autres personnages, toujours féminins, qui officiaient dans les forêts, à l'abri des regards indiscrets.

Plus intrigante est la relation entretenue réellement par Elizabeth Bathory avec une mystérieuse inconnue, dont personne ne savait le nom, , et qui venait voir Elizabeth, déguisée en garçon. Une servante avait dit à deux hommes, - ils en témoignèrent au procès -, que, sans le vouloir, elle avait surpris la comtesse seule avec cette inconnue, torturant une jeune fille dont les bras étaient attachés très serrés et si couverts de sang qu'on ne les voyait plus ,. Ce n'était pas une paysanne, mais une femme de qualité qui, sans être masquée, éprouvait le besoin de se travestir, sans doute pour éviter de se faire reconnaître. " Cette visiteuse, pour laquelle on emploie le mot " dame ", était-elle une amie descendue de quelque château des environs pour ces fêtes à deux ? Amie ignorée et intermittente, en tout cas, puisqu'à Csejthe on connaissait à peu près tout le monde appartenant à la contrée. Une étrangère ? Alors, quelles étaient exactement les relations entre elle et Elizabeth ? Leurs sadiques plaisirs étaient-ils les seuls " Il est bien difficile de répondre, d'autant plus que si la comtesse Bathory a commis et fait commettre d'innombrables crimes de sang sur des jeunes filles, on a considérablement brodé sur son action. Et ce ne sont pas les minutes de son procès, pourtant fort précises quant aux témoignages recueillis, qui peuvent donner la solution des véritables motivations d'Elizabeth Bathory.

Cependant, Férencz Nàdasdy mourut soudainement en 1604. Devenue veuve, la comtesse semble n'avoir rien changé à son mode de vie. Les tortures qu'elle infligeait à ses servantes, elle les pratiquait depuis longtemps et son mari le savait parfaitement, considérant celles-ci comme de simples amusements de la part de sa femme. D'ailleurs, dans toutes les maisons nobles de ce temps, il était courant de fouetter les servantes pour un oui ou pour un non. L'état de servage n'existait plus en Hongrie, mais les vieilles habitudes ont du mal à disparaître, surtout quand elles sont acceptées, bon gré, mal gré, par celles qui en sont les victimes. L'un des témoignages du procès est catégorique : à la question de savoir depuis combien de temps la comtesse maltraitait les jeunes filles, un témoin répond : , Elle commença quand son mari était encore en vie, mais alors ne les tuait pas. Le comte le savait et ne s'en souciait guère. " On raconte une curieuse anecdote à ce sujet, non pas sur le début des sévices opérés par Elizabeth, mais sur la naissance de sa fascination pour le sang qui coule. " Un jour qu'elle avait frappé une servante assez violemment pour la faire saigner du nez, parce qu'elle lui avait tiré les cheveux en la peignant, un peu du sang de la jeune fille tomba sur le poignet d'Elizabeth. Un peu plus tard, la comtesse crut remarquer que la peau de l'endroit où était tombé le sang était devenue plus blanche et plus douce que la peau environnante. Intriguée, elle se baigna le visage avec le sang d'une des victimes de ses orgies sadiques. Son visage lui sembla rajeuni et revivifié par le traitement 1. "

Le souci primordial d'Elizabeth Bathory, depuis son plus jeune âge, avait été sa beauté: elle avait une peur atroce de vieillir et de s'enlaidir. Il n'en fallait pas plus pour s'imaginer qu'elle pouvait indéfiniment préserver sa beauté grâce à du sang frais de jeunes filles, de préférence vierges, donc revêtues de cette aura magique que confère la virginité. " Le sang, c'est la vie ! " répétait Renfield au docteur Seward. Mais pour Elizabeth Bathory, la vie, c'était la beauté et la jeunesse. Si l'anecdote est vraie, on comprend mieux ce goût du sang chez elle. Et cela nous ramène inévitablement au vampirisme.

Elizabeth Bathory passait son temps au château de Csejthe, faisant également de fréquents séjours à Presbourg et surtout dans la demeure qu'elle avait acquise à Vienne, non loin de la cathédrale, demeure qui semble avoir été marquée aussi par de sanglantes orgies. A Csejthe comme ailleurs, Elizabeth était toujours accompagnée de sa nourrice jo Ilona et de sa servante Dorottya Szentes, dite Dorko, deux femmes vieilles, vulgaires, sales, d'une totale immoralité ' et probablement sectatrices d'une de ces mystérieuses cohortes de sorcières avorteuses qui pullulaient encore dans les campagnes de l'Europe centrale. Il semble qu'elles aient été les principales pourvoyeuses de " chair freiche " de la comtesse, en même temps que ses "agents d'exécution " quand il s'agissait de frapper, de saigner, puis d'enterrer les malheureuses victimes. Autour de ce duo infernal, il y avait un homme à tout faire, Ujvari johanes, dit Ficzko, une sorte de nabot disgracieux, et une lavandière, Katalin Beniezky. Elizabeth vivait au milieu de cette troupe entièrement vouée à son service et à la satisfaction de ses instincts les plus bas. Cela constituait pour elle le personnel permanent et indispensable. Mais il y avait aussi le personnel " volant ", de belles jeunes filles dont elle faisait ses servantes, et parfois ses concubines, du moins tant qu'elle y trouvait une certaine nouveauté. Car ces " servantes " disparaissaient les unes après les autres, et il fallait bien que le " personnel permanent " se chargeât de renouveler un cheptel qui devait être toujours jeune et beau. Certes, il y en avait toujours en réserve. On prétend même que la comtesse veillait à ce que ces jeunes filles retenues prisonnières fussent bien nourries et engraissées, car elle croyait que plus elles étaient dodues, plus elles avaient de sang dans les veines, et que plus elles étaient bien portantes, plus la vertu de ce sang était efficace. Plus que jamais, le sang était la vie: Elizabeth Bathory croyait-elle pouvoir échapper au vieillissement et à la mort, et gagner ainsi une éternelle jeunesse ? Il semble qu'il faille prendre très au sérieux cette conviction.

Un autre personnage vint bientôt compléter la sinistre troupe, une certaine Darvulia Anna. On a largement brodé sur cette femme sous prétexte que son nom évoque celui de Dracula. Il n'est pas nécessaire d'en venir là, car il apparaît que Darvulia était une sorcière de la meilleure tradition, une magicienne noire qui connaissait des formules et des incantations sataniques et qui n'hésitait pas, comme le fera plus tard la Voisin, en France, au moment de l'affaire des Poisons, à procéder à des sacrifices humains pour obtenir l'aide des puissances démoniaques. Sans doute Darvulia Anna sut-elle convaincre Elizabeth Bathory, déjà quadragénaire mais toujours très belle, qu'elle connaissait les recettes infaillibles pour prolonger indéfiniment cette beauté. La comtesse ne put plus se passer de Darvulia, et il est établi que la présence de cette ( sorcière" ne fit qu'augmenter la fréquence des (, sacrifices " qu'Elizabeth offrait à la mystérieuse divinité assoiffée de sang qu'elle n'avait jamais cessé d'adorer depuis sa plus tendre enfance. Les plus belles filles de Transylvanie et de Hongrie, lorsqu'elles étaient repérées par les émissaires de la comtesse, prenaient le chemin du château de Csejthe. Tous les moyens étaient bons : menaces, intimidation, promesses d'argent, achat pur et simple dans certaines familles pauvres. Mais la plupart d'entre elles ne ressortaient jamais plus de la sinistre forteresse.

On a probablement fort exagéré les récits concernant les supplices infligés à ces innocentes jeunes filles par la comtesse Bathory et ses âmes damnées. Mais il en est de suffisamment établis pour se faire une idée de l'atmosphère malsaine et macabre qui régnait dans les souterrains du château de Csejthe. Les filles étaient frappées avec violence. Certaines avaient le cou percé selon la plus pure tradition vampirique. D'autres étaient liées avec des cordes qu'on tordait ensuite afin qu'elles puissent s'enfoncer dans les chairs, ce qui permettait de leur ouvrir les veines et de faire jaillir le sang sur la comtesse. On prétend même' qu'on remplissait parfois des baignoires de sang et qu'Elizabeth s'y baignait avec ravissement. Mais comme sa peau délicate ne supportait pas d'être essuyée avec des serviettes, ce sont d'autres filles qui devaient la débarrasser du sang en lui léchant tout le corps avec leurs langues. Celles qui, ne supportant pas une telle horreur, s'évanouissaient, étaient ensuite sévèrement châtiées avant de servir de victimes à leur tour. On imagine aisément le contexte érotique de ces rituels. Selon certaines sources, toujours quelque peu discutables, certaines de ces jeunes filles finissaient leur vie dans le lit même de la comtesse. Elizabeth faisait venir les filles qui lui plaisaient le mieux et s'abîmait avec elles des nuits entières dans des embrassements - et des embrasements - homosexuels, avant de les mordre cruellement, parfois jusqu'à la mort. On comprend que de telles relations aient pu intéresser au plus haut point un spécialiste de l'érotisme dans la souffrance comme l'a été Georges Bataille, et aussi inspirer un certain nombre de films plus ou moins érotiques, mais parfaitement sadiques.

Il y a aussi la fameuse "Vierge de Fer". Est-ce une légende ? Actuellement, cet automate monstrueux peut encore être vu au château de Riegersburg, en Styrie. Est-ce celui dont, paraît-il, se servait la comtesse Bathory? Il s'agissait d'une statue de bois articulée, avec des mécanismes de fer, en forme de femme. Image de la déesse cruelle qu'adorait Elizabeth ? Peut-être. Ce qu'il y avait de terrible dans cet automate, c'était les pointes acérées qui pouvaient transpercer les corps qu'on soumettait à l'étreinte de la " Vierge ,. Car il est possible que des filles aient été ainsi livrées à la Vierge de Fer: les bras de celle-ci se refermaient sur le jeune corps et le pressaient de plus en plus contre les pointes acérées, permettant au sang de couler en abondance, sous les yeux d'Elizabeth et de celles qui partageaient obligatoirement ses infernales jouissances. La comtesse Bathory eût certainement été très à l'aise dans l'élaboration d'un Musée des Tortures. Et même si cette histoire de Vierge de Fer est une légende racontée après coup, l'anecdote reste néanmoins significative: toute la vie d'Elizabeth était imprégnée de sang, parce que le sang, c'est la vie.

Cependant, même si l'on est un personnage considérable, même si l'on est apparenté aux plus nobles familles de Hongrie, de Roumanie et du Saint-Empire, même si l'on prend des précautions pour éviter que les langues se délient, de telles manoeuvres ne passent pas inaperçues. On n'empêche pas certaines personnes de murmurer. On n'empêche pas les allusions, et ces allusions se colportent de village en village. Trop, c'est trop... Des rumeurs incroyables parvinrent jusqu'à la cour de Vienne, et les autorités ecclésiastiques, sentant qu'il y avait sans doute des pratiques relevant de l'hérésie ou du paganisme, commencèrent à se livrer à de discrètes enquêtes. Mais comment faire pour savoir la vérité, alors qu'en principe, la belle comtesse Bathory était insoupçonnable et " intouchable " ?

Évidemment, personne n'osait porter officiellement plainte, pas même les parents des jeunes filles disparues qui craignaient trop les représailles, y compris celles de forces diaboliques qu'on disait être au service de la comtesse. Les Bathory et les Nàdasdy étaient bien trop puissants... Mais cela n'empêcha nullement le roi Matthias de Hongrie de prendre l'affaire en main. Convaincu, par certains témoignages, que l'héritière des Bathory était coupable de crimes de sang, il ordonna une enquête qu'il confia au gouverneur de la province, lui-même cousin d'Elizabeth. Le gouverneur se rendit secrètement à Csejthe et s'informa auprès de certaines personnes de confiance, en particulier le curé qui, sans avoir l'intention de le publier de son vivant, avait rédigé un long mémoire dans lequel il signalait quantités de faits pour le moins troublants. L'envoyé du roi Matthias fut très vite édifié, et, lorsqu'il eut fait son rapport, la décision du roi fut implacable: arrêter la comtesse Bathory et tous ses complices. Et cette tâche, il la confia à un autre cousin d'Elizabeth, et qui avait été un temps son amant, son premier ministre, le comte Gyorgy Thurzo.

Le 29 décembre 1610, à la tête d'une troupe armée et accompagné du curé de Csejthe - à qui il arriva d'ailleurs une curieuse aventure à cause d'un groupe de chats ! - et en présence des deux gendres d'Elizabeth Bathory, le comte Thurzo pénétra dans le grand château. La garnison n'opposa aucune résistance et les grandes portes étaient même entrouvertes. Tous purent donc pénétrer à l'intérieur sans aucune difficulté : " Ils allèrent à travers le château, et, accompagnés de gens munis de torches connaissant les entrées des escaliers les plus secrets, descendirent au souterrain des crimes, d'où montait une odeur de cadavre, et pénétrèrent dans la salle de tortures aux murs éclaboussés de sang. Là se trouvaient encore les rouages de la , Vierge de Fer ", des cages et des instruments, auprès des brasiers éteints. Ils trouvèrent du sang desséché au fond de grands pots et d'une sorte de cuve ; ils virent les cellules où l'on emprisonnait les filles, de basses et étroites chambres de pierre; un trou profond par où l'on faisait disparaître les gens; les deux branches du souterrain, l'une conduisant vers le village et débouchant dans les caves du petit château, l'autre allant se perdre dans les collines... Enfin, un escalier montant dans les salles supérieures. Et c'est là, étendue près de la porte, que Thurzo vit une grande fille nue, morte; celle qui avait été une si belle créature n'était plus qu'une immense plaie. A la lumière de la torche, on pouvait voir les traces laissées par les instruments de torture: la chair déchiquetée, les seins tailladés, les cheveux arrachés par poignées; aux jambes et aux bras, par endroits, il ne restait plus de chair sur les os 1. " Plus loin, toujours dans le souterrain, Thurzo et ses hommes découvrirent plusieurs douzaines de jeunes filles, d'adolescentes et de jeunes femmes. Certaines étaient affaiblies, presque complètement vidées de leur sang; d'autres, dans un état d'hébétude totale, étaient encore intactes : c'était le bétail réservé aux prochaines orgies. Par la suite, on exhuma une cinquantaine de cadavres de jeunes filles dans les cours et les dépendances du château.

Elizabeth Bathory ne se trouvait pas dans le château. Il est vraisemblable de penser qu'après une nuit d'orgie rituelle, elle s'était retranchée dans son repaire constitué par le petit château, son domaine réservé où peu de gens avaient le droit de s'introduire. Lorsque le comte Thurzo se présenta devant elle, elle ne songea pas un seul instant à nier l'évidence. Aux accusations que lui porta légalement son cousin et ex-amant, elle répondit que tout cela relevait de son droit de femme noble, et qu'elle n'avait de comptes à rendre à personne. Sans se laisser impressionner, Thurzo la fit mettre sous surveillance, et la comtesse s'enferma dans un mutisme hautain dont elle ne se départit jamais plus.

Mais la procédure de la justice était en marche et plus rien ne pouvait l'arrêter désormais. Le roi Matthias était décidé à aller jusqu'au bout, Gyorgy Thurzo et les membres des familles Bathory et Nàdasdy également, même s'ils craignaient de supporter les conséquences d'un étalage public des turpitudes de la comtesse. En fait, chacun se trouvait embarrassé, car tout cela éclaboussait la plus haute société austro-hongroise de l'époque. Matthias de Hongrie était le plus acharné à vouloir justice, le comte Thurzo le plus réservé, et aussi le plus calme. Il devait y avoir procès : il aurait lieu, mais on prendrait soin de n'y point faire paraître la principale inculpée, ce qui était une façon élégante de ne pas mouiller certains membres de l'aristocratie qui avaient, sans nul doute, d'une façon ou d'une autre, été complices de la meurtrière. Il fallait des accusés pour en faire des coupables. On se rabattit sur l'entourage immédiat d'Elizabeth. On savait que ceux-là, qui appartenaient aux classes les plus obscures de la société, n'étaient pas dangereux et que leur condamnation servirait d'exutoire.

On a retrouvé le procès-verbal des interrogatoires qui furent menés pendant l'instruction. On est en droit de se demander si ces dépositions ont été acquises au moyen de la torture, méthode pratiquée couramment à l'époque, et c'est pourquoi il convient de les prendre avec toutes les réserves qui s'imposent. Mais ces dépositions ne sont nullement en contradiction avec d'autres témoignages, et avec les bruits qui circulaient depuis fort longtemps sur les atrocités qui se commettaient aussi bien à Vienne qu'à Csejthe à la demande formelle de la comtesse Bathory. Et même s'il faut faire la part de l'exagération et du lavage de cerveau qu'ont subi les témoins, les récits sont hallucinants. Il y a là un accent de vérité qui ne trompe pas: ces témoins, participants actifs des turpitudes d'Elizabeth, donc motivés par une foi énigmatique d'origine païenne et ancestrale, sont parfaitement conscients de ce qu'ils racontent, et d'ailleurs, ils ne manifestent jamais le moindre remords, le moindre sentiment de culpabilité quant à ce qui leur est reproché. A les entendre, tout ce qui s'est passé au château de Csejthe est parfaitement naturel et ne souffre pas d'être discuté. Qu'on en juge sur pièces .

Ainsi, le premier témoin, Ficzko, après avoir avoue avoir tué trente-sept jeunes filles et participé à leur inhumation, est amené à parler de l'origine des victimes et du sort qui leur était réservé : (, Dorko et une autre allèrent en chercher. Elles leur dirent de les suivre dans une bonne place de service. Pour une de ces dernières, venant d'un village, il fallut un mois pour la faire arriver et on la tua tout de suite. Surtout des femmes de différents villages s'entendaient pour fournir des jeunes filles 2. Même une fille de l'une d'elles fut tuée; alors la mère refusa d'en amener d'autres. Moi-même, je suis allé six fois en chercher avec Dorko. Il y avait une femme spéciale qui ne tuait pas, mais qui enterrait... Une femme, Szabo, a amené des filles, et aussi sa propre fille, quoique sachant qu'elle serait tuée. jo Ilona aussi en a fait venir beaucoup. Kata n'a rien amené, mais elle a enterré toutes les filles que Dorko assassinait. " On voit ainsi que la comtesse sanglante avait constitué une véritable meute pour rabattre, par tous les moyens, les filles dont elle avait besoin pour assouvir ses passions, ou plutôt pour procéder à ces étranges sacrifices.

Où cela devient presque insupportable, c'est lorsque les témoins donnent des détails sur les supplices. C'est toujours Ficzko qui parle: " Elles (les complices d'Elizabeth) attachaient les mains et les bras très serrés avec du fil de Vienne, et les battaient à mort, jusqu'à ce que tout leur corps fût noir comme du charbon et que leur peau se déchirât. L'une supporta plus de deux cents coups avant de mourir. Dorko leur coupait les doigts un à un avec des cisailles, et ensuite leur piquait les veines avec des ciseaux... jo Ilona apportait le feu, faisait rougir les tisonniers, les appliquait sur la bouche et mettait le fer dedans. Quand les couturières faisaient mal leur travail, elles étaient menées pour cela dans la salle de torture. Un jour, la maîtresse elle-même a mis ses doigts dans la bouche de l'une et a tiré jusqu'à ce que les coins se fendent. Il y avait aussi une autre femme qui s'appelait Ilona Kochiska, et qui a aussi torturé des filles. La maîtresse les piquait d'épingles un peu partout; elle a assassiné la fille de Sitkey parce qu'elle avait volé une poire... La maîtresse a toujours récompensé les vieilles quand elles avaient bien torturé les filles. Elle-même arrachait la chair avec des pinces, et coupait entre les doigts. Elle les a fait mener sur la neige, nues, et arroser d'eau glacée; elle les a arrosées elle-même et elles en moururent... Dans le coche, quand la maîtresse voyageait, elles étaient pincées et piquées d'épingles. "

Le témoignage de la nourrice, jo Ilona, n'est pas moins édifiant: ", Elle battait les filles cruellement et Darvulia mettait les jeunes servantes dans l'eau froide et les laissait toute la nuit. La comtesse elle-même déposait dans leur main une clef ou une pièce d'argent rougie au feu. A Sravar, Elizabeth a, devant son mari Férencz Nàdasdy, dévêtu une petite parente de son mari, l'a enduite de miel et laissée un jour et une nuit dans le jardin pour que les insectes et les fourmis la piquent. Elle, jo Ilona, était chargée de mettre entre les jambes des jeunes filles du papier huilé et de l'allumer... Dorko coupait avec des ciseaux les veines des bras ; il y avait tant de sang qu'il fallait jeter de la cendre autour du lit de la comtesse, et celle-ci devait changer de robe et de manches. Dorko incisait aussi les plaies boursouflées et Elizabeth arrachait avec des pinces la chair du corps des filles... C'est de Darvulia qu'Elizabeth apprit les plus graves cruautés ; elles étaient très intimes. jo Ilona savait, et avait même vu, qu'Elizabeth a brûlé le sexe de certaines filles avec la flamme d'un cierge. " Tout cela est corroboré par Dorko : (, La comtesse torturait les filles avec des cuillères rougies au feu, et leur repassait la plante des pieds avec un fer rouge. Leur arrachait la chair aux endroits les plus sensibles des seins et d'ailleurs avec de petites pinces d'argent. Les mordait en les faisant amener au bord de son lit quand elle était malade. En une seule semaine, cinq filles étaient mortes. "

Le reste est à l'avenant et nous prouve que le marquis de Sade, dans son délire somme toute parfaitement inoffensif, n'a rien inventé. Car ces témoignages, quelles que soient les réserves qu'on peut émettre à leur propos, sont terriblement accablants. Et, sans trop risquer de se tromper, il faut bien se résoudre à accepter comme un minimum absolu le chiffre ahurissant de six cents jeunes filles sacrifiées par la comtesse Elizabeth Bathory et ses complices. La comtesse fut évidemment reconnue coupable par les juges qui se penchaient sur son cas. Mais la question se posait quant à la peine qu'elle devait encourir. On sait que le roi Matthias était résolu à condamner la comtesse à mort, quels que fussent ses liens avec l'illustre famille des Bathory. Mais la famille Bathory, et le comte Gyorgy Thurzo le premier, n'avaient aucune envie de salir leur nom en faisant procéder à l'exécution publique d'une des plus grandes dames de l'Empire. Il y eut des négociations, des compromis. On se dit qu'il valait mieux faire passer Elizabeth pour folle que pour une criminelle. Le verdict tomba: les principaux complices, Jo Ilona, Ficzko, Dorko et Katalin Beniezky furent condamnés à la décapitation et rapidement exécutés. Quant à la comtesse de sang royal Elizabeth Bathory, elle fut condamnée à être murée vive dans ses appartements privés du petit château de Csejthe. Sous la surveillance des juges et du comte Thurzo, des maçons murèrent donc les fenêtres et les portes de ses appartements, ne laissant qu'une petite ouverture par laquelle on passerait tous les jours de l'eau et de la nourriture. Elizabeth Bathory se laissa enfermer sans prononcer une parole. Elle vécut quatre ans dans la solitude et l'obscurité. Aux dires de ceux qui la virent dans son dernier sommeil, en dépit de son âge - très avancé pour l'époque - de cinquante-quatre ans, sa beauté était inaltérée. Et l'on retrouva, dans ses appartements, de nombreux grimoires, et surtout des invocations sataniques dans lesquelles elle conjurait le Diable de faire mourir ses ennemis, le comte Thurzo en tête, et de leur envoyer des démons sous forme de chats noirs. C'est ce qui était arrivé au curé de Csejthe Igrsqu'il avait accompagné les justiciers dans les souterrains du château. Coïncidence? Il est bien certain que la magie, et une magie des plus noires et des plus sinistres, est la seule explication plausible de l'invraisemblable comportement de la comtesse Elizabeth Bathory.

En fait., bien des questions se posent. Dans son invocation, faite la veille de son arrestation, Elizabeth Bathory implorait l'aide des puissances maléfiques, demandant particulièrement à Satan, qu'elle appelle le Suprême Commandeur des Chats, de lui envoyer quatre-vingt-dix-neuf chats contre ses ennemis. Or, le curé de Csejthe, auteur du mémoire qu'il espérait bien transmettre un jour, était l'un de ses plus ardents ennemis, bien qu'il fût réduit au silence par peur des représailles. D'après le témoignage du prêtre, lors de la perquisition dans le château, il fut assailli par six chats qui le griffèrent et le mordirent avant d'être chassés par les hommes d'armes et de dispar ECitre comme des fantômes. Hallucination ? Superstition ? Rien n'est bien clair dans cette histoire pourtant réelle de la comtesse Bathory.

Était-elle sorcière ? Incontestablement, ou du moins magicienne, prêtresse d'une religion noire et rouge héritée de la nuit des temps. Il serait vain de prétendre qu'elle était folle. Il serait stupide de ne voir en elle qu'une dépravée sexuelle assouvissant ses désirs pervers sous le couvert de ce qu'elle croyait être son impunité. Certes, la composante sexuelle, sadique et lesbienne, ne fait aucun doute dans son comportement. Mais ce n'est pas suffisant pour expliquer de telles horreurs. Et pourquoi n'a-t-elle sacrifié, ou fait sacrifier, à son culte sanguinaire que des femmes, des filles vierges ? Le sang des vierges a donc tant de vertu qu'il puisse procurer à ceux qui savent en profiter l'immortalité dans la beauté et le printemps éternel ?

Ici, la relation entre le personnage d'Elizabeth Bathory, personnage réel, rappelons-le, et le sinistre comte Dracula, personnage romanesque mais surgi d'une longue tradition et intégré dans un ouvrage de fiction initiatique, est absolument nette. Oui, la comtesse Bathory est une femme vampire se régénérant dans le sang des jeunes vierges qu'elle sacrifie en l'honneur d'une mystérieuse et cruelle déesse des anciens jours. Elle mordait ses victimes, nous dit-on. On n'ajoute pas qu'elle buvait leur sang, mais elle s'en inondait, ce qui revient au même. Aurait-elle pu survivre autant d'années, dans toute sa beauté, sans cette thérapeutique " quelque peu spéciale ?


Elizabeth Bathory a emporté son secret dans la tombe, si tant est qu'elle ait réellement une tombe. Car les vampires, c'est bien connu, ne meurent jamais vraiment.

 

20 octobre 2014

Les secrets d'un crâne sibérien de l'Age du Bronze decouverten sibérie

Les secrets d'un crâne sibérien de l'Age du Bronze

Contrairement à la plupart des sociétés de chasseurs-cueilleurs de l'Age du Bronze, les habitants de la région du lac Baïkal (en Sibérie) utilisaient des tombes pour leurs morts.

Ces sites funéraires sont un véritable trésor pour les archéologues. L'un d'eux était si particulier que la bio-archéologue Angela Lieverse a voyagé à travers le monde pour le ramener au Centre Canadien de Rayonnement Synchrotron afin de l'examiner.

Crâne et biens funéraires in situ dans la tombe 48. Credit: Canadian Light Source


"J'ai mené les recherches dans le cadre du Projet Baikal-Hokkaido Archaeology depuis la fin des années 90, et ce spécimen m'intriguait" explique Lieverse, professeur agrégée à l'Université de Saskatchewan, "je connais ce crâne depuis environ 10 ans et il y a certaines choses à son sujet qui sont fascinantes".

Le premier, c'est que cette personne a les deux dents de devant sur la mâchoire inférieure qui sont manquantes.
Et le deuxième, c'est qu'il y a une pointe de projectile en pierre intégrée à l'endroit exact de la mandibule les deux incisives auraient dû être.

"Nous savions qu'il y avait un projectile, nous avons pu le voir, mais nous ne savions pas si cela s'était passé des années avant son décès ou au moment de sa mort" ajoute-t-elle, "je supposais que cela s'était passé plus tôt et avait quelque chose à voir avec les dents manquantes".

Le spécimen a été trouvé dans un cimetière au nord-ouest du lac Baïkal. Le squelette a été enterré de façon cérémonielle avec un disque de jade et quatre pointes de flèches, dont l'une était cassée et a été retrouvée dans la cavité de l'œil

Après des analyses et une datation au radiocarbone, il a pu être déterminé que l'individu, mâle, avait entre 35 et 40 ans et qu'il vivait dans la période de l'Age du Bronze Ancien, entre 4420 et 3395 Avant le Présent (BP).

Lierverse a donc voyagé en Sibérie puis est retournée au synchrotron de Saskatoon pour examiner ce spécimen.

L'Imagerie Biomédicale et Thérapie (Biomedical and Imaging Therapy - BMIT) du Centre canadien de rayonnement synchrotron (CLS) est une installation unique où les spécimens de ce type peuvent être examinés en utilisant un puissant rayonnement X.

 

Vue antérieure de la mandibule avec une pointe de projectile intégrée dans la symphyse et les incisives centrales manquantes. Les molaires droites ont été enlevées pour analyses chimiques. 


Travaillant aux côtés du Dr. David Cooper, Chaire de recherche du Canada en imagerie synchrotron des ossements, et du Dr. George Belev, membre du personnel scientifique du BMIT, les chercheurs ont pu reconstruire le fragment de la pointe de flèche de la mâchoire en utilisant des techniques d'imagerie avancées.

"Nous avons découvert que le projectile n'avait rien à voir avec la dent manquante" rapporte Lieverse, "Il s'avère que cette personne avait une agénésie rarissime, les deux incisives centrales ne s'étant jamais formées; c'est un trait génétique qui affecte moins de 0.5% de la population". C'est l'un des rares exemples, dans la littérature archéologique, de l'apparition de ce type d'anomalie génétique dentaire.

La pointe de projectile était en fait un morceau cassé de la pointe de flèche qui a été placé dans l'orbite. Lieverse soupçonne que la flèche ait été retirée du visage de l'homme, soit au cours d'une lutte soit lors de l'enterrement.

"Nous savons que les habitants de la région Baïkal n'ont pas une histoire violente. C'est l'un des trois seuls spécimens datant de cette période où il y a une preuve de violence. Un projectile lancé dans le visage de quelqu'un n'est probablement pas un accident..."

Relecture par Marion Juglin


Source:"Siberian Bronze Age skull reveals secrets of ancient society"

http://decouvertes-archeologiques.blogspot.fr/2014/10/les-secrets-dun-crane-siberien-de-lage.html#more

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12 février 2014

Le secret des pierres d'ICA

 

Les pierres d'Ica

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http://www.ldi5.com/archeo/gloz.php


ICA

A la mémoire du Dr Javier Cabrera Darquea ...


1) La première curiosité des pierres d'Ica réside dans l'emplacement même où ces pierres ont été trouvées. En venant de la mer, ou en longeant les côtes péruviennes, lorsque vous voyez le "Chandelier des Andes", vous suivez la direction qu'il indique vers les fameuses lignes de Nazca et vous survolerez Ica, petite ville à 360 kilomètres au sud de Lima.
C'est une région désertique, parmi les plus anciennes du globe, où l'on peut voir de nombreux restes pétrifiés d'animaux affleurant à la surface.
Le sous-sol contient de nombreuses tombes incas et pré-incaïques.

Le Chandelier des Andes Une des innombrables lignes de Nazca

2) La deuxième curiosité, est la manière dont ces pierres ont été déclarées fausses. Celles-ci ne seraient qu'un canular monté par un simple paysan péruvien illettré !

Il semble que des pierres noires gravées aient été ramenées en Espagne par les premiers conquistadors du Pérou au XVIe siècle, puis d'autres auraient émergé en 1908, puis de nouveau, quelques pierres auraient été vendues dès 1961, mais ne possédant pas de références à leur sujet, nous n'en tiendrons pas compte.

Les premières pierres sont rassemblées au début des années 60 par Carlos et Pablo Soldi. Pendant des années, ils demanderont officiellement à de nombreuses reprises que leurs pierres soient examinées par les autorités dites compétentes, en vain... Puis en 1966, un architecte, Santiago Agurto Calvo, qui avait également réuni de nombreuses pierres depuis plusieurs années, procéda à l'excavation de tombeaux à Ocucaje. Il trouva alors quelques spécimens dans des tombes pré-incaïques.
C'était la première fois que la provenance de ces pierres pouvait être authentifiée, en accord avec l'archéologie officielle. Cela n'a pourtant pas suffit à intéresser les archéologues...

L'histoire officielle des pierres d'Ica commence donc en 1966.

A l'occasion de son anniversaire, le Dr Javier Cabrera Darquea, médecin et professeur de biologie, se fit offrir, par un paysan d'Ocucaje, une petite pierre gravée comme presse papier, sur laquelle pierre était gravé un poisson ( voir photo en haut de page ). Ce petit cadeau anodin allait modifier le cours de sa vie. Le biologiste croit reconnaître sur le dessin une espèce disparue depuis plusieurs millions d'années. Intrigué, il va alors devenir le premier client du soi-disant faussaire et commencer sa collection pour amasser jusqu'à plus de 15 000 pierres, de la taille d'une tomate jusqu'à certaines pesant plus de 500 kilogrammes pour plus d'un mètre trente de diamètre.
Dès lors, il n'aura de cesse de rassembler et de s'efforcer de décrypter cet unique héritage du passé.

Mais le Dr Cabrera ne peut tout acheter. Les huaqueros, pilleurs de tombes, commencent alors à vendre certains galets aux touristes toujours avides d'antiquités.

Les autorités péruviennes, ne voulant pas que leur pays ne devienne l'Egypte de l'Amérique du sud et voir ses richesses archéologiques pillées par les étrangers, en vertu des lois nationales et internationales sur la protection du patrimoine, arrêtent le plus gros vendeur dans son échoppe.

Il est emmené et incarcéré à Lima pour pillage du patrimoine national, il risque un grand nombre d'années de prison, voire la perpétuité. Le fermier, même s'il est illettré, comprend vite la situation :

  • ou bien il révèle l'endroit où il a trouvé les pierres pour atténuer sa peine,
  • ou bien il reconnaît qu'il les a lui-même fabriquées, auquel cas aucune charge ne peut être reconnue contre lui.

Evidemment il signe des aveux complets ; il a fabriqué toutes les pierres, elles sont fausses, il a trompé les touristes. L'affaire est entendue, tout le monde est satisfait.

D'autant plus qu'au moment de cette affaire, la BBC avait dépêché une équipe de reporters pour un documentaire retentissant sur cette fantastique découverte et la déconvenue après ces aveux est de taille. En l'espace de quelques jours, l'information fait le tour du monde, les pierres d'Ica ne sont qu'un canular de plus destiné à exploiter la crédulité des touristes en mal de merveilleux.

Les ardents défenseurs du dogme établi ont pu alors se faire valoir en arguant du fait qu'ils avaient bien entendu flairé le coup, sans même s'être déplacés pour étudier in situ ces galets, trop fantasques pour être vrais.

Mais, on peut se demander si ces scientifiques rigoureux et rationnels, ne se sont pas à leur tour laissés berner.

Il reste plusieurs points à éclaircir :

  • Les galets sont en andésite, une roche volcanique du Mésozoïque vieille de 230 à 60 millions d'années, extrêmement dure et oxydée sur sa couche extérieure, ce qui rend néanmoins la gravure possible. Or, les incisions qui font la gravure sont elles aussi oxydées et ont été expertisées par un laboratoire péruvien puis allemand, de l'université de Bonn, comme extrêmement anciennesune datation exacte est impossible dans l'état actuel de nos connaissances ).
    Il serait donc très intéressant de savoir comment et surtout pourquoi ce paysan illettré se serait compliqué la tâche à ce point juste pour donner à des faux une apparence authentique d'une manière aussi subtile en n'oxydant que les incisions !
     
  • Un autre argument en faveur de l'authenticité de ces pierres gravées, tient dans leur nombre.
    Même en ne tenant compte que des 15 000 pièces détenues par le Dr Cabrera, ( et il estime qu'il en a été exhumé entre 40 000 et 50 000, avec ce qui a été vendu aux touristes, ce qui est toujours conservé par les habitants et dans le musée d'Ica ) :
    • ce pauvre paysan aurait dû se mettre au travail dès son adolescence à raison de 10 heures par jour et cela sans interruption pendant plus de 40 ans, belle constance et une sacrée suite dans les idées, pour récolter in fine quelques dollars !
    • ou bien, ce fermier est le dirigeant de gros ateliers de fabrication qu'il serait quand même assez difficile de dissimuler, et de conserver secrets, les paysans locaux ayant une seconde activité, ce qui ne serait pas passé inaperçu, alors que les quelques faux, décelables, qui sont fabriqués, le sont en plein jour à la vue de tous.
       
  • Un autre point remarquable tient dans la diversité des sujets dessinés sur ces pierres et les connaissances nécessaires pour imaginer toutes ces gravures qui font de ce paysan illettré un érudit hors-pair.
     

3)La troisième curiosité des "glyptolithes" ( nom donné à ces galets gravés par le Dr Cabrera qui les étudie depuis près de 40 ans ), tient dans ce que ces gravures nous apprennent et qui font qu'elles sont rejetées sans appel possible par la communauté scientifique, tellement ce qu'on y voit est en désaccord avec tout ce que l'on nous a appris.

Par exemple, on y voit pêle-mêle, des hommes domestiquant des dinosaures, combattant d'autres dinosaures, des espèces animales disparuesvoir également Acambaro ), des hommes regardant les étoiles à l'aide de longue-vues, regardant des pétroglyphes ou des fossiles avec des loupes, des cartes stellaires, des cartes de la Terre telle qu'elle était il y a 13 millions d'années, des opérations chirurgicales stupéfiantes, décrites étape par étape, des césariennes, des transplantations d'organes, du coeur, des reins et même du cerveau (!!!), etc...( voir page suivante )

Evidemment, tout cela ne cadre absolument pas avec ce que nous croyons savoir sur le passé. Pourtant, plus qu'un simple fouillis descriptif, ces pierres selon le Dr Cabrera, nous racontent une histoire sur notre passé.

En résumé, sans trop entrer dans des détails fantastiques, une "humanité" nous a précédés. Elle avait atteint un niveau technologique très avancé, mais elle s'est vue anéantir par une catastrophe cosmique, chute d'une météorite ou d'une comète. Les rescapés ont dû repartir à zéro, et ont alors gravé ces galet comme témoignage de leurs connaissances, pour la postérité.

Pris de manière isolée, ces galets n'ont aucun sens , mais si on fait le rapprochement avec les autres découvertes impossibles de ce site, notamment en paléontologie, on peut y apercevoir les bases d'une nouvelle préhistoire sans avoir à remettre en cause l'ensemble des connaissances scientifiques parcellaires que nos chercheurs ont âprement amassées au fil du temps et sans faire appel obligatoirement, mais sans en rejeter la possibilité pour autant, à des interventions extérieures "inconnues".


Pendant des années, le Dr Cabrera a harcelé son pourvoyeur pour connaître l'emplacement d'où il tirait ces pierres, qu'il ramenait avec parcimonie, puis par paniers entiers.

Dans un premier temps, il a réussi à apprendre qu'à la suite d'une crue très importante de la rivière Ica, un pan important de la montagne s'était effondré, révélant alors plusieurs grottes, dont le paysan tenait à garder l'emplacement secret.

Après ses "aveux officiels", le harcèlement s'est poursuivi, pour savoir cette fois quand, comment et pourquoi il aurait gravé tous ces galets. Mais, évidemment, toutes ses réponses furent contradictoires, confuses et évasives.

Finalement, le Dr Cabrera serait parvenu à se faire emmener sur les lieux, et selon ses dires, aurait pénétré dans une grotte qui contiendrait, toujours selon ses estimations plus de 100 000 pierres.

Le Dr Cabrera s'est toujours déclaré prêt à révéler cet emplacement seulement à une équipe de scientifiques dûment mandatée pour effectuer des recherches sérieuses. Mais voilà, puisque les pierres sont déclarées fausses, jusqu'ici, aucun scientifique n'a eu le courage, l'audace de braver l'interdit, de risquer sa carrière, sa réputation, pour entreprendre leur étude.

Alors, peut-être pour encore quelques années, la mémoire de notre passé va sommeiller au fond d'une grotte, en espérant que celle-ci ne soit pas pillée.


A l'instar de M. Emile Fradin pour Glozel, le Dr Cabrera a voué sa vie entière à son musée. Malgré toutes les entraves, les humiliations subies, les refus systématiques de fouilles afin de faire la lumière sur cette affaire, il a toujours accueilli avec une grande gentillesse tous les visiteurs qui se sont présentés à son musée et cela jusqu'à son décès en décembre 2001 à la suite d'un cancer.
Sa famille a pris sa suite et le musée reste malgré tout ouvert, mais seulement sur rendez-vous.


 

Quelques échantillons des pierres gravées d'Ica :

 

Dr Cabrera dans son musée

Dr Cabrera dans son musée

Musée du Dr CabreraFaussaire à l'oeuvrePaléo-paléontologue ?EquidéPrimates ?DinosaureChasse au dinosaureStegosaureCarteCarteCarteL'astronomeDéluge ?Vol ?Vol sur Ptérodactyle ?TransfusionPrise de sangCésarienneOpération du cerveau ?Opération du cerveau ?Opération du cerveau ?Opération du cerveau ?Opération du coeur ?Opération du coeur ?Opération du coeur ?Opération du coeur ?Opération du coeur ?Opération du coeur ?Opération du coeur ?Opération du coeur ?Opération du coeur ?Opération du coeur ?Opération du coeur ?Opération du coeur ?Opération du coeur ?Opération du coeur ?

http://www.ldi5.com/archeo/gloz.php

Opération du coeur ?

 

http://www.piedrasdeica.es/   

21 novembre 2013

Le seul exorcisme catholique authentique filmé pour la TV

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Attention, les images de cet exorcisme peuvent choquer certaines sensibilités !
Diffusée en 1984 sur Antenne 2 et produit par la TV suisse tsr, ce documentaire, bien loin de toute exagération cinématographique, montre le seul exorcisme authentique, à ma connaissance, filmé avec l'autorisation de l'Eglise catholique. Le Père Mathieu, moine capucin (aujourd'hui décédé), procédera à de nombreuses séances d'exorcismes pendant plusieurs années pour délivrer ce possédé. Déjà en 1984, ce prêtre exorciste pensait qu'il n'y avait jamais eu autant de personnes infestées et même possédées dans la société de cette époque. Que dirait-il a fortiori aujourd'hui s'il était encore parmi nous ?...

Ce qu'il faut savoir , l'exorcisme est la seule solution lorsque la possession du corps et de l'esprit est totale là le possédé doit être aidé évidemment l'entitée vous fera croire que le sujet est malade et alors la famille internera le pauvre malheureux ou drogué il sera livré corps et âme a l'esprit qui l'infeste,il existe différent cas de possession le plus grave étant ceux que l'on voit dans les films devenus célèbres,par contre des millions de cas invisibles pour un non initié allez pour les curieux quelques symptômes ,si votre ami a tendance à s'énerver pour presque rien et se mets dans une rage noire pour des broutilles premier symptôme ,les cauchemars répétés ,des relations érotiques avec pollution,claquer des dents quand on dort,somnambulisme,parler pendant que l'on dort,certaine forme inexpliquée d'epilepsie,rêver d'animaux noirs,se voir tomber ,être dans un endroit sale ou un cimetière,avoir la poitrine qui se serre a la tombée de la nuit,angoisse difficulté a s'endormir les insomniaques vont hurler oui c'est plus facile de dire c'est la faute au café aux nerfs ,le soir vous voyez des ligne de couleurs déformées on pense que c'est le reflet de la vitre ou la route et pourtant,lorsque vous êtes allongé la jambe gauche qui bouge  toute seule une fois ,marque l'arrivé de l'intrus petit conseil ne dormais jamais dans le noir total laissez toujours un petit filet de lumière voila les cas les plus classiques il y'en a des milliers d'autres voir des formes ,entendre son nom ,généralement le cumul de plusieurs de ces symptômes permet de certifier la non infestation ou la valider ......nous sommes tous sous influence la foi la qualité de vie fait que nous attirons sur nous un bon ou mauvais génie et le plus fort des deux prendra le dessus ,vous savez la petite voix qui vous dit mais non tu vas pas partir comme çà un verre c'est rien pour toi et avec un verre il vous fera boire 3 puis quatres et on a tous connu ce genre de situation ...


Le seul exorcisme catholique authentique filmé... par JaneBurgermeister

8 mai 2013

Nos enfants, les esclaves de demain ?

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Il y a environ deux semaines, quand le petit Sammy Nikolayev, 5 mois, a présenté  certains symptômes de la grippe, ses parents l’ont conduit à l’hôpital Sutter Memorial Hospital à Sacramento (Californie). A l’hôpital, les parents du petit garçon, Anna et Alex ont déploré et contesté plusieurs procédures qui étaient appliquées au petit garçon, comme par exemple le fait de lui administrer des antibiotiques alors qu’ils n’en avaient pas fait la demande. Suite à ce désaccord avec le personnel, les jeunes parents ont quitté l’hôpital avec leur enfant sans procédure de décharge appropriée.

Les parents ont ensuite souhaité obtenir un deuxième avis médical au Kaiser Permanente Hospital, où un médecin a examiné Sammy. Satisfait de constater que l’enfant était en bonne santé et qu’il était bien soigné, le médecin a autorisé les parents à rentrer avec l’enfant à la maison.

De retour à leur domicile, les Nikolayev furent étonnés de voir arriver les Services de Protection de l’Enfance avec une forte escorte policière. Devant la maison, la police a agressé Alex Nikolayev pour s’emparer des clés. La police est entrée dans la maison sans mandat et a arraché le petit Sammy terrifié des bras de sa mère…le petit fut emmené pour être mis sous la garde de l’Etat. Rien que cela ! Actuellement le petit Sammy est toujours en tôle ! Ses parents peuvent lui rendre visite une heure par jour avec interdiction d’utiliser des caméras.

 Ceci se passe à Sacramento en Californie ! Ici même, dans notre bonne vieille Amérique !... Il semble que l’hôpital de Sutter n’ait pas apprécié le comportement de ces citoyens américains et ait fait appel aux Services de Protection de l’Enfance, accusant les parents d’abus et de négligence envers l’enfant. L’incident s’est transformé en cauchemar pour la famille vu que la bureaucratie étatique veut avoir son mot à dire alors qu’aucun de ses agents ne serait prêt à admettre avoir mal réagi et à rendre l’enfant à ses parents.

 

Alex et Anna n’ont rien fait de mal. Ils n’ont enfreint aucune loi et, à notre connaissance, n’ont fait de tort à personne. Ils ne sont ni terroristes, ni combattants pour la liberté, ni membres d’un mouvement révolutionnaire secret. Leur seul crime dans tout cela semble être leur croyance qu’ils sont des citoyens américains libres et qu’en fonction de cette croyance, ils prennent les mesures pour fournir les meilleurs soins médicaux à leur enfant.

 Les Nikolayev  n’ont ni volé, ni provoqué quelque dommage que ce soit à l’hôpital. Ils n’ont pas non plus violé la moindre loi.

 

Il m’est personnellement arrivé, au cours des années, de quitter par trois fois l’hôpital  à l’encontre des recommandations des médecins, étant donné que cela me paraissait la seule manière d’en sortir vivant. Si j’avais violé quelque loi que ce soit, j’aurais immédiatement été placé en état d’arrestation à l’hôpital. Si les Nikolayev avaient violé une loi pourquoi n’ont-ils pas été arrêtés ?

 

Bien sûr, toute cette histoire est devenue un cauchemar juridique. C’est toujours ce qui se passe quand l’Etat est dans son tort et ne veut pas perdre la face…. L’hôpital et l’Etat vont s’arranger pour faire traîner les affaires afin de permettre à leurs avocats de chercher  quelque ordonnance obscure sur laquelle ils pourront s’appuyer. Comme les parents ont une double nationalité Américaine et Russe, cette affaire a pris des proportions internationales. Pendant ce temps-là, ils vont maintenir le petit Sammy de 5 mois à la garde de l’Etat, ce qui signifie que les officiels pourront faire à peu près tout ce qu’ils veulent. Que veulent donc de cet enfant l’état de Californie et l’hôpital Sutter ? Pourquoi les droits des citoyens américains sont-ils ainsi violés ? Le système essaie de cacher les véritables motifs de ce drame comme son incompétence étant donné que deux juges différents ont refusé d’entendre l’affaire. Un troisième a finalement accepté et a tranché en faveur des parents !

 

http://www.zengardner.com/your-children-are-slaves-for-life/

 

http://augureye.blogspot.be/

 

 

 «  Si les gens du peuple permettent au gouvernement de décider de leur nourriture et de leurs  médicaments, leurs corps ne tarderont pas à  présenter l’état pitoyable des âmes qui vivent sous la tyrannie. »

  

Thomas JEFFERSON, (1743-1826) 3ème Président des Etats- Unis, auteur de la Déclaration d’Indépendance.  

10 septembre 2012

7000 cranes Diocephales à Malte retiré de la vue du grand public.

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Les livres d'histoires evitent de répondre à cette question : Que s'ets il passé en egypte avant la dynastire des pharaons. Pour l'histoire officielle l' histoire de l'egypte commence avec le premier pharaon Ménès-Narmer. C'est biensur un gros mensonge par omission...
L'histoire de l'egypte a commencé bien plus tôt que les pharaons...

Comme le dit si bien l’égyptologue anglais: Toby Wilkinson « On dirait qu’ils n’ont ni ancêtres ni périodes de développement, ils semblent être apparu en une nuit ». Notre grand Maspero( 1846-1916) nous indique de plus à propos des Textes égyptiens « La religion et les textes qui nous la font connaître étaient déjà constitués avant la première dynastie. C’est à nous de nous mettre, pour les comprendre, dans l’état d’esprit où était, il y a plus de sept mille ans, le peuple qui les a échafaudés » (Revue de l(Histoire des Religions,t.XIX,p12), vous avez bien lu « …avant la première dynastie . » !
Les Anciens Egyptiens voyaient leurs civilisations comme un héritage venant directement d’êtres Divins qui existèrent en Egypte des milliers d’années avant les dynasties pharaoniques que nous connaissons. Le papyrus de Turin ou plus exactement le canon royal exposé dans le musée égyptologique de Turin, écrit en hiéroglyphes, datant de Ramsès II, présente la liste de tous les pharaons ayant régné sur la terre d’Egypte. Cette liste comprend non seulement les pharaons historiques, mais aussi des « pharaons-Divins venant d’ailleurs » et ayant régné avant la première dynastie de Ménès. On nous dit également que cette lignée précédente aurait régné 13.420 ans!

Evidement c'est l' Omerta chez les historiens qui préfèrent qualifier ces pharons divins venant d'ailleurs de "mythiques". Bizarrement les fragments de debuts de la liste ont... disparus. Heureusement la stèle dite de Palerme cite également ces rois dits « mythiques », prédynastiques remontant à des milliers d’années, mentionnant jusqu’à Horus lui-même qui aurait régné véritablement sur la terre d’Egypte.

Thot aurait régné environ de 8670 à 7100 Avant JC « après la nuit de la bataille » nous précise Manéthon. En écrivant sa « Théogamie », une généalogie des dynasties dites célestes qui auraient régné sur Terre, le grand historien Grec Hésiode (8ème siècle Av-JC), historien très sérieux, moralisateur, vivant au temps d’Homère, avait les Grands Prêtres égyptiens pour principale source d’information.

Et le Grand Prêtre égyptien Manéthon (Ma-n-Thot) de Sebennnytos dans le delta, Maître des Secrets (3ème siècle avant JC) qui avait accès à la bibliothèque d’Alexandrie et qui écrivit pour pharaon une histoire de l’Egypte en grec et en 30 volumes « Aegiptiaca », cita aussi ces dynasties d’origine divine prédynastique. Ce qui est d’ailleurs curieux mais significatif c’est que les égyptologues utilisent toujours aujourd’hui les datations de Manéthon reconnues parfaitement fiables, pour tout ce qui touche aux dynasties reconnues « officiellement », mais ils évitent soigneusement tout ce qui a trait aux dynasties préhistoriques chez lui ,alors qu’ils le considèrent comme le « Père » de l’égyptologie! Une acrobatie intellectuelle bien curieuse pour rester dans le « politiquement correct»! L’Egyptologie évite ainsi de parler trop de Manéthon, malgré sa grande utilité et fiabilité, car pour eux certains des détails qu’il donne sont extrêmement dérangeants.

l écrivit ainsi par exemple que selon les stèles provenant des Dieux de la première (véritable) dynastie, plus de 20000 œuvres étaient attribuées à Thot (Tehuti, Hermès). Il rapporta également que ces mêmes Dieux avaient régné de 33894 ans à 23642 Avt JC.

Manéthon nous donne des détails fort intéressants sur les Dynasties dites « Divines » qu’il divise en trois sortes nommées « Les Dieux », « Les Héros », et les « Manès ». Ce qui est passionnant c’est qu’il avance que la catégorie des « Dieux » serait subdivisée en 7 sections avec à la tête de chacune un « Dieu » entre autres : Horus, Anubis, Thot, Ptah, Osiris, Ra…et que « ces Dieux seraient originaires de la Terre puis seraient devenus ensuite « célestes, astronomiques en gagnant les cieux ». (Vous avez bien lu : « originaires de la Terre »
Ensuite viennent les « Héros », des êtres aux pouvoirs terrestres surnaturels, et enfin « Les Manès », des êtres glorieux (appelés aussi « Khus ») correspondant à des esprits d’ancêtres gouvernants ailleurs.


Et selon Plutarque qui a écrit un ouvragesur le culte rendu à Isis et Osiris « Ra partit dans les cieux et Osiris devint pharaon d’Egypte avec Isis et ils construisirent Thèbes (La Luxor actuelle) »

Des durées de règne inimaginables et pourtant...
Tous nous parlent donc d’une lignée de « dieux » ayant régné chacun plusieurs centaine d’années pour un total de 23,200 ans, puis ensuite une liste de « Shemsu-Hor », des dits « suivants d’Horus » ayant régné au total pendant 13,400 ans puis viennent les noms des pharaons « normaux » que nous connaissons.

Des durées qui ne sont pas sans rappeller la liste des rois "sumeriens" ou les centaines d'années de vie des personnages de la bible...

C’est pendant la période (à partir de 4000 avt JC) des étranges « Shemsou-Hor » ces dits « compagons d’Horus » décrits portant des masques de faucon ou de loup, que l’on pense initiateurs des dynasties pharaoniques (mais ce n’est pas tout à fait ainsi comme nous allons le voir) qu’apparaît brutalement un degré de sophistication inégalé, une civilisation remarquable. dans toute sa splendeur. C’est le chercheur et philosophe Schwaller de Lubicz (1887 – 1961) qui a ma connaissance à « imposé » généralement la traduction « Shemsu-Hor » par « Suivants d’Horus » reprise par des milliers d’autres depuis. Il entendait donc par là un peuple très avancé arrivé en Egypte à la Préhistoire apportant soudain tout le savoir. C’est d’ailleurs suite à cette croyance fortement répandue que bien des auteurs ont immédiatement pensé et écrit, comme le prolixe Sitchin (pensant qu’ils s’agissait du peuple Annunaki ayant atterri à Sumer d’abord), que c’était là l’arrivée brutale d’êtres venus d’ailleurs, des sorte d’ET. Or c’est sans doute faux mais c’est surtout bien davantage extraordinaire.

Des traces matérielles avérées




un ancien égyptologue français, Emile Amelineau (1850-1915) qui se consacra aux premières dynasties et qui excava pour la première fois des tombes de pharaons de la première dynastie (officielle): Amélineau au fur et à mesure de ses excavations dans le sud de l’Egypte découvrit des preuves de l’existence d’un peuple déjà avancé avant les pharaons de la première dynastie officielle. Il découvrit notamment le peuple de race noire « les ANU » (parfois nommés « aunu » rien à voir avec les Annunaki, ce n’est pas parcequ’il existe la même sonorité de mot en plusieurs langues qu’il désigne la même chose) qui faisait de l’élevage et de l’agriculture extensivement tout le long du Nil et qui s’enfermaient à l’intérieur des murailles défensives de citées qu’ils construisaient. Ils avaient fondé les villes d’Esna (« Anutseni »), d’Erment (« Anu Menti »), de Qush, de Gebelein (« Anti ») et même d’Héliopolis (qui se nommait à l’origine « Anu ») car ces villes comportent toutes dans leurs noms écrits les signes caractéristiques désignant le peuple Anu, les trois colonnes. Et selon bien des chercheurs (Chandler etc), les plus grandes figures de l’Egypte Ancienne tel Osiris, Isis, Hermes, Horus viendraient de cette ancienne race Anu. Je vous rappelle que selon les Anciens Textes, Osiris par exemple, est dit « Fils de Geb et de Nut, né à Thèbes en Haute Egypte », lui conférant ainsi une réalité de vie historique (les textes mêmes racontent qu’il enseigna les arts de l’agriculture et installa des lois justes).

les Anu connaissaient l’utilisation des métaux, de l’ivoire, étaient très organisés et savaient écrire. Ceci fut prouvé par nombre d’artefacts provenant d’eux trouvés dans la région d’Abydos par Amélineau dans ses « Fouilles d’Abydos ».

Anu est un terme appliqué à Osiris lui-même et Amélineau cite le passage du chapitre XV du dit « Livre des morts » (véritable traduction du titre « Livre de la sortie à la Lumière ») « Ô Toi Dieu Anu dans la terre montagneuse d’Antem! Ô Grand Dieu de la double montagne solaire! », Or c’était le nom d’Osiris dans son rôle de 4ème pharaon sur Terre que les Grecs ont traduit par Onnuphris, c’est à dire « Le Bon ». Nous avons un document prédynastique Anu extraordinaire trouvé cette fois par le grand égyptologue anglais Flinders Petrie (1853-1942) à Abydos. Il s’agit d’une tuile inscrite déterrée sous le temple dynastique. L’inscription comporte le portrait en faïence vernissée du chef ANU Tera-neter. Il y a même son adresse inscrite au dessus « Palais des ANU à Ermant, Tera–neter ».

Un mystérieux peuple aux crânes volumineux



Si les Anu sont déjà un peuple développé , on est cependant loin de personnes à la connaissance très élevée qui était apparemment beaucoup plus avancé que les autres, en terme de véritable civilisation et qui aurait disparue vers 4000 ans avt JC en Egypte.
Le Professeur Walter B.Emery (1903-1971) l’excellent archéologue qui excava beaucoup à Saqqara et au total plus de 45 ans en Egypte, trouva dans des tombes, des restes de personnes ayant vécu à des époques prédynastiques au nord de la Haute Egypte. Or les caractéristiques de ces corps et squelettes sont incroyables. Les crânes sont d’un volume inusité, ils sont dolichocéphales c’est à dire que la boîte crânienne, vue par sa partie supérieure, est ovale, la plus grande longueur l'emportant environ d'un quart sur la plus grande largeur et parfois les sutures habituelles sont invisibles. Les squelettes sont plus grands que la moyenne de la zone et surtout l’ossature est plus large et plus lourde. Il n’hésita pas à les assimiler aux « Suivants d’Horus » et trouva que de leur vivant ils remplissaient un important rôle sacerdotal. Or en ce qui concerne les dolichocéphales, il semble qu’il s’agit là non pas d’une lignée d’évolution préhistorique mais bien plutôt d’une lignée provenant d’un cycle de civilisation antérieur au déluge. Or on a déjà trouvé ces crânes dolichocéphales dans plusieurs régions du monde ainsi les Dr J Von Tschudi et Mariano E.Rivero au Pérou ont dénombré trois races pré-incas dolichocéphales: les Chinchas, les Aymaraes et les Huancaes. Les chercheurs trouvèrent aussi que si les Chinchas avaient le crâne allongé c’est parcequ’ils bandaient les crânes de leurs enfants dans le but de ressembler aux deux autres groupes qui eux ne pratiquaient pas le bandage de crâne. On réussi à déterminer que le groupe d’origine ayant les caractéristiques les plus fortes et naturelles est celui des Chinchas. Ils auraient précédé le premier Inca Manco Capac et auraient influencé à la fois les Incas et les Mayas plus tard. Et le chercheur A.H.Verrill et Posnansky font remarquer que la plus ancienne ville Pré-Inca du Pérou est Tiahuanaco, du même âge que l’Egypte Pé-dynastique et on trouve au Tihuanaco Museum des crânes dolichocéphales de cette époque. On affirme donc qu’il a éxisté une race pré-diluvienne que l’on trouve un peu partout sur le globe et qui avait le crâne conique allongé de façon naturelle comme l’affirme quelques chercheurs dont le Dr Tschudi qui le démontre car il posséde un fœtus de 7 mois au crâne dolichocéphale encore dans le ventre de sa mère fossilisée de cette époque.

7000 cranes Diocephales à Malte retiré de la vue du grand public...



Tout ceci est loin d’être « politiquement correct » . Pour démonstration, le fait que l’on est retiré de la vue du public les crânes dolichocéphales du Musée de la Valette à Malte pour sans doute ne pas choquer les mentalités religieuses de certains. En effet, à Malte on a retrouvé environ 7000 crânes dolichocéphales dans les hypogées de Hal Saflieni et dans les tombes des temples mégalithiques de Taxien, Ggantja. Là ce sont les Dr Anton Mifsud et le Dr. Charles Savona Ventura qui analysèrent les crânes et arrivèrent à la même conclusion qu’au Pérou en arrivant à discerner trois groupes différents, certains complètement « naturels » d’origine, d’autres ayant subi des bandages. Or il y a là un lien encore plus étroit avec l’Egypte. L’ancien nom de Malta (Malte) est Melita du nom latin pour le miel Melita, or le symbole de Malte est une abeille avec ses cellules-rayons hexagonaux, n’oublions pas que le symbole de pharaon en Egypte est aussi l’abeille (« Bit ») qui lui donne une de ses titulatures, que le miel était reservé à pharaon et aux grands prêtres et que Mel (ou Mer) était un des noms attribué en Egypte aux pyramides. D’autre part le culte solaire prédominait à Malte comme en Egypte. Or la caste dolichocéphale disparut à la même époque à Malte et en Egypte.

cette race qui apparemment était consacrée à la prêtrise et à l’enseignement et qui se mélangeait très peu ou très lentement avait partout comme point commun celle de construire des monuments mégalithiques et de former une caste dominante sacerdotale partout où elle se trouvait. Est-ce que ce peuple serait bien les restes d’une race ante-diluvienne, peut être, mais est ce que ce sont là les fameux Shemsu–Hor, pas sûr.

Nous avons donc à l’origine, ce peuple SHESH constitué de 42 tribus (dont les Anu) de différentes provenances s’étant uni et ayant eu des Ancêtres prestigieux comme Anubis, Osiris, etc...,et une mystérieuse race dolichocéphale dont on ne sait presque rien. Une chose est certaine l’Egypte a été un creuset incroyable de races mêlées et il va falloir continuer à étudier sérieusement la provenance de ces peuples.

Références

* Les nouvelles fouilles d'Abydos, 1895-1896, et 1896-1897 et 1897-1898, compte-rendu in extenso des fouilles..., Amélineau, E. Leroux, Paris, 1901 et 1902 et 1904-1905
* Dr G.Elliot Smith : « The Ancient Egyptians » 1923, Harper
* Posnansky, Arthur. Tiahuanacu. New York: J.J. Augustin, 1946.
* Randy Koppang, « The Dolicohcephaloids Missing race of Our Human Family »
* Dimitri Meeks - Chapter 4 - “Locating Punt” from the book “Mysterious Lands”, by David B. O'Connor and Stephen Quirke.
* The Land of Osiris, Stephen Mehler.- Anton and Simon Mifsud- Dossier Malta - Evidence for the Magdalenian - Proprint Co, 1997
* C. Savona Ventura- Anton Mifsud- Prehistoric Medicine in Malta- Proprint Co, 1999
* Anton Mifsud - C. Savona Ventura- Facets of Maltese Prehistory- Prehistoric society of Malta, 1999
* Graham Hancock- Fingerprints of the Gods- Corbaccio, 1996
* David Rohl- Legend- Piemme, 2000

4 octobre 2011

Le secret des Nephilim et la réalité extraterrestre

Le secret des Nephilim et la réalité extraterrestre
Avant propos : Les anges sont par nature pures et parfaits et ne disposant pas de libre arbitre , ne peuvent aucunement désobéir a Dieu seuls les génies ou les démons le peuvent et se rebellent ,autre précision satan n'est pas un ange mais le plus beau...
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