Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
rusty james news
rusty james news
  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog

 

90243223_3015402811831487_8561877086778687488_o (1)

3323033

coronavirus-patentes

images (19)

219-2199429_love-heart-beautiful-wallpapers-happy-valentines-day-nature

1025600_652515874786871_1894874949_o


nVskOPKB

téléchargement (100)

universal-biometric-identity-1024x576

91848411

téléchargement (11)

tree_horizon_sunset_128367_5000x2830

f04543b60ef77267e2b31c5f3920fbb0

photo-1542805700-2fadb851b97a

qxJUj0O

 

pIHMc8u

7kKizZj

ZcuYl3V


sea-beach-sunset-boats-red-sky-1080P-wallpaper-middle-size

night-sky-background-7047

sky-wallpaper-38

18557077_1435376306500820_5842715664996553589_n

 

 

798041343248-national-geographic-wallpaper-zealand-photo-waikawau-desktop-bigest-images

Firefox_Screenshot_2017-02-18T13-56-14

16195622_1077703329024709_5740688279216232976_n

sf

 

Pyramides-Gizeh

atlantide-compressor

Ancien-arbre-1

Ancien-arbre-2 - Copie

Ancien-arbre-3 - Copie

h21

h25

h25

h26

h27

SDSDS

SZSDFZFS

ZDZD

931270ecd7_50010171_bohr-heisenberg-aip-niels-bohr-library

don

 

1a686c3b37ddba12f5e282679288047b

62e74d09a526f5250c3c16f5bbb7d342

3a2057e1930aac61c9451db179973253

5aa85f74b15975d75e8a6d4e547b40b0

5c3e0b7842f37a0d63504d0a032ca422

5f6fce1a34d9027bdedb78ef0658a5af

9dbf5fc4a80275b619f44e3e7a8314d2

a37cf9c85664975cf3660c8f21f70899

a96a954487d536bd6f75942a6d02f5b9

a977356a4e04ae0cdaf4c67ca90d1939

ad9ee9f2e4a1d0e83945b78313c60f27

b7e27913185d0679a669ce0f634d95f0

Archives
plasma
2 décembre 2014

Le soleil est t' il chaud ? parce que le vide ne véhicule pas la chaleur .

6547_t2l’espace, qui est exposé au rayons solaires sans interférence de notre atmosphère, est extrêmement froid, approximativement 3 oK (-273 oC). Plus on monte en hauteur et plus il fait froid. Pourquoi l’espace n’est-il donc pas extrêmement chaud; alors que, lorsque le Soleil resplendit, en été, et qu’il n’y a pas de nuages, il fait très chaud sur Terre ? Les ions et les électrons sont généralement mélangés dans une « soupe » contenant autant de charges positives que négatives. Une telle mixture est appelée plasma (le même terme a un sens différent en médecine ); cf :histoire du plasma. Le plasma réagit comme un gaz, mais lorsque des forces électriques et magnétiques sont présentes, de nouvelles propriétés voient le jour, très différentes de celles des gaz ordinaires.

La ionosphère au dessus de nos têtes est en fait du plasma. Au contraire de l’air, elle conduit l’électricité, et en fait, la ionosphère dans les régions polaires transporte de larges courants électriques, comme il en est discute une section ultérieure. La conductivité électrique de la ionosphère, au contraire des métaux ou de l’eau de mer, est très influencée par le champ magnétique terrestre. C’est un plasma très spécial, parce que la ionosphère contient également une grande quantité de molécules atmosphériques neutres qui se heurtent constamment aux ions et aux électrons. c'est en rentrant dans notre atmosphère par la frictions des ions positifs et négatifs que se dégage la chaleur du rayonnement ionisant .,comme un micro-onde il reste froid mais peut réchauffer très vite un plat .Le transfert d’énergie est produit par des ondes de radiation thermale comme dans une combustion ou par des ondes électromagnétiques (“froides”) comme en radiofréquence. Évidemment, le Soleil détruirait un satellite qui s’approcherait trop de sa surface, mais non a cause de la chaleur, mais des hautes radiations d’ondes (gamma, alpha, cosmiques, ultraviolette, visibles, infra rouge, etc… ). Personne ne devrait mettre sa main au travers d’un plasma de gaz , non parce qu’elle brulerait mais à cause des hautes radiations qui la détruiraient. L’interaction entre les champs morpho-génétiques de la Terre et n’importe quel autre corps céleste et surtout n’importe quel autre corps vivant ou non (qui est egalement forme de champs morphogénétiques) et les radiations solaires provoquent  la chaleur.

Pour parler précisément, le Soleil n’est ni chaud, ni froid dans son état stable puisque c’est du plasma et ses radiations ne sont ni chaudes ni froides. La température de ce plasma est affectée par les lois de la thermodynamique. Mais considérant que l’on attribue une température à sa surface de plusieurs millions de degrés, c’est donc un corps froid, mais pas glacé.comment des gaz surchauffés peuvent réagir magnétiquement.

C’est un fait élémentaire de physique qu’une substance perd son magnétisme lorsqu’elle est chauffée. Puisque les astronomes ont incontestablement enregistré des effets magnétiques émergeant du Soleil, nous avons là, un conflit direct entre la vraie nature du Soleil et sa température supposée. Ce conflit indique uniquement que le Soleil n’est pas la masse de gaz surchauffés comme le croient les scientifiques, mais plutôt un corps froid comme l’a dit Herschel

>En 1543, une grande comète s’approcha du Soleil comme aucune autre comète ne l’avait jamais fait et cela se répéta avec une autre comète en 1882. En fait, elles pénétrèrent la couronne solaire, qui a une température supposée d’un million de degrés absolus. Ces comètes voyagèrent sur plus d’un million de kilomètres au travers de cette couronne enflammée et en sortirent sans égratignure ni aucun changement de vitesse ou de direction. Si le Soleil émet de la chaleur, pourquoi est ce que ces comètes ne se sont elles pas instantanément désintégrées en entrant dans une immense zone de chaleur de l’ordre d’un million de degrés absolus. Il est certain que rien ne pourrait survivre à un tel traitement.  La science a exploré la partie supérieure de l’atmosphère de la Terre et a remarqué qu’a 60 miles au dessus de la Terre, on a besoin de lumière artificielle et à 90 miles au dessus de la Terre, c’est le noir complet. Plus on va haut, plus il fait froid, donc on voit, par un simple raisonnement logique, que la chaleur et la lumière ne viennent pas du Soleil. Seules les lignes de force viennent du grand corps solaire.

sun

La science a exploré la partie supérieure de l’atmosphère de la Terre et a remarqué qu’a 60 miles au dessus de la Terre, on a besoin de lumière artificielle et à 90 miles au dessus de la Terre, c’est le noir complet. Plus on va haut, plus il fait froid, donc on voit, par un simple raisonnement logique, que la chaleur et la lumière ne viennent pas du Soleil. Seules les lignes de force viennent du grand corps solaire.Je pense personnellement que le soleil est un immense four a micro ondes ,qui fabrique du plasma et non du gaz chaud ,qui génère un champs électromagnétiques impossible avec une chaleur intense ,je tiens a rajouter que ne cherché pas une infos dans sciences et avenir le soleil froid n'a jamais était abordé par la science il faut observer par vous même et vous posez des questions là est la vraie liberté de penser ,n'attendez pas qu'on vous dise voilà ce qu'il faut savoir,voilà ce qu'il faut apprendre et penser,vous êtes sur de ne jamais comprendre ce qui se passe vraiment .pour la spiritualité c'est pareil soyez curieux et posez des questions que vous n'entendez jamais à la télé .ou dans les journaux ,bref explorez le monde ,la clef de l'univers s'y trouve et elle ouvre la porte de  la vérité..

....rusty james

._151ZD17

Publicité
Publicité
22 février 2014

La base secrète Pine Gap serait une arme sismique a u centre de l'Australie

PineGap_signLes USA disposent à la fois de l'arme climatique (HAARP) mais aussi de l'arme sismique. Au centre de l'Australie, sur la base américaine de Pine Gap, une antenne s'enfonce à 8 km de profondeur dans l'écorce terrestre. Elle émettrait des ondes basses fréquences qui peuvent être dirigées vers des zones instables en provoquant des séismes.

Elle peut aussi être utilisée pour générer une énorme onde stationnaire autour de la Terre.

Officiellement, la base est l'un des centres de contrôle les plus importants des satellites espions, et l'antenne est utilisée pour recharger les batteries des sous-marins par le biais d'émissions ELF.

Pine Gap est située à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest d'Alice Springs. D'après les témoignages des habitants, une quantité incroyable de matériel a été acheminée par avion depuis les Etats-Unis. Les locaux déclarent également qu'une énorme quantité de nourriture est conservée dans les entrepôts de ce qui pourrait bien être une véritable cité souterraine de plusieurs niveaux
Pine Gap est un endroit qui me fascine au plus haut point, pour différentes raisons.
- Bien sur, la première est le bruit qui court comme quoi Pine Gap possèderait une "Jump Room" vers Mars...
- Une autre raison, c'est que pour une base US en plein milieu de nulle part, elle ne possède pas de piste d'atterrissage; le plus proche: Alice Springs Airport 16 KM à vol d'oiseau et pas vraiment facile de s'y rendre par la route.
A se demander comment ils ont acheminé tout ça sans avions.
Cela implique également, et ce point me semble aussi important, que quand des officiels, hauts gradés ou hauts fonctionnaires de l'état y font une visite, ils sont obligés de se taper la route...!
- Elle semble posséder son propre générateur d'énergie (à mon avis le bâtiment gris en bas à gauche sur la photo), pas de ligne HT à proximité, quelle source d'énergie utilisée ??
- L'espèce de T que forme la base est pile poil orienté sur les axes N-S/E-O.
Il semble que ce soit vraiment voulu, mais pourquoi ? Ce n'est pas le cas pour Area 51 par exemple. Qu'est exactement Pine Gap ?
pine_g10
Aussi étrange que cela puisse paraître, même les membres du Parlement Fédéral Australien ne le savent pas. Seul un petit nombre "d'initiés" parmi les membres du Cabinet ont une vague idée de quoi il s'agit exactement.
Les seules informations disponibles au public proviennent de recoupements effectués par des chercheurs privés tels que Jimmy Guieu, en suivant des instructions trouvées dans des magazines américains ou australiens (toujours de courts paragraphes) et récupérant divers témoignages de locaux.
Sous Pine Gap se trouve le plus grand trou jamais creusé en Australie plus de 8 km ( soit 25 fois la Tour Effel,  1,6 fois le Mont Blanc) !!
Un tel trou est généralement utilisé comme une antenne souterraine permettant de recharger les batteries de sous-marins dans les océans Pacifique et Indien par le biais d'émissions ELF.
Une telle antenne gigantesque peut être utilisée pour générer une énorme onde stationnaire autour de la Terre.

Certains pensent que Pine Gap est un énorme générateur nucléaire fournissant de l'énergie à un nouveau type d'émetteur.
pinegap
Il semble également qu'un accélérateur de plasma à haut voltage particulièrement puissant puisse être installé afin de transmettre du courant électrique, ou même de produire un "rayon de la mort", ou tout simplement pour alimenter une arme à plasma.                       
Tout ceci n'est pas si incroyable qu'il y paraît : on sait aujourd'hui que la base américaine de West Cape possède un type d'émetteur précédemment utilisé à Pine Gap et qui sert à envoyer du courant électrique aux sous-marins américains immergés traînant derrière eux un fil d'antenne. Les courants électriques ainsi transmis sont appelés cellules plasmo-dynamiques.
Des habitants locaux eurent en de diverses occasions la possibilité de voir des disques blancs d'environ 30 m de diamètre en train d'être déchargés d'énormes avions-cargos dans les aéroports desservant Pine Gap. Ces disques portaient l'emblème de l'USAF
Il semble qu'ils étaient assemblés et basés à Pine Gap. Le nombre de disques observés la nuit ne laisse aucun doute dans l'esprit de chacun. Une quantité incroyable de matériel fut acheminée par avion depuis les Etats-Unis. Les locaux déclarent également qu'une énorme quantité de nourriture est conservée dans les entrepôts de ce qui pourrait bien être une véritable cité souterraine de plusieurs niveaux.
Pine Gap est également bien connue pour être un des centres de contrôle les plus importants de satellites espions tournant autour du globe. Un article publié fin 1973 indique que l'installation de Pine Gap, avec son installation sœur à Guam, fut utilisée pour contrôler les missions photographiques des grands satellites américains en orbite autour de la Terre.
Pine Gap possède d'énormes ordinateurs connectés à leurs équivalents américains et australiens, collectant l'ensemble des informations relatives à la sécurité dans ces pays, non seulement à propos de la finance et des technologies, mais également sur tout aspect de la vie du citoyen lambda.
Ces ordinateurs sont connectés à des serveurs centraux situés à Guam, à Krugersdorp en Afrique du Sud, et à la base américaine d'Amundsen-Scott au Pôle Sud.
 sept1st_anzus_meeting_1952                  
 tout commença avec la construction du nouveau Parlement à Canberra, qui coûta plusieurs milliards de dollars. L'Australie possède seulement 18 millions d'habitants, (...) Ce nouvel édifice, énorme, immense et magnifique répondrait facilement aux besoins de l'URSS ou des Etats-Unis, qui ont eux des centaines de millions de citoyens à diriger. Cette construction m'intriguait complètement, et je commençai à en parler jusqu'au jour où je tomba sur un anglais m'apprenant que le Premier Ministre australien, Bob Hawk, était un élève de Rhodes, et en tant que tel travailla sur l'élaboration d'un Gouvernement Mondial, ce à quoi de nouvel édifice parlementaire semblait fortement se rapporter.
Je tombais peut de temps après sur un pamphlet publié par l'Organisation des Droits de l'Homme à propos d'un groupe d'un centaine de personnes relativement bien placées dans les milieux de la haute-finance, de la politique, et dans les branches judiciaires et du commerce international. Ce groupe était appelé le Club de Rome. D'après ce pamphlet, le Club de Rome obéissait à un consortium contrôlant l'ensemble de la finance internationale. Nombre d'autres groupes similaires à celui du Club de Rome sont également aux ordres de ce consortium financier, et infiltrent divers groupes politiques et religieux dans l'intention d'établir à terme une dictature mondiale.
La chose dans son ensemble semblait quelque peu trop irrationnelle pour être vraie, me semblait-il. Cependant, un de mes amis me donna une cassette audio enregistrée par Peter Sawyer, un ancien fonctionnaire Australien de haut-rang, exposant un certain nombre de faits notés alors qu'il était en place.
Il parlait en particulier d'une central téléphonique à Camberra nommé le "Centre Deacon". Ce central, construit avec des murs d'une épaisseur de 12 m, coûta des centaines de millions de dollars. Il est équipé de nombreux ordinateurs, répartis en plusieurs niveaux. Il découvrit, lorsqu'il tenta de trouver pourquoi un tel équipement était nécessaire dans un pays de 18 millions d'habitants, que ces ordinateurs étaient connectés à toutes les banques, tous les bureaux de poste, tous les téléphones, tous les postes de police et toutes les maisons de particuliers ; à chaque bureau d'arrivée ou de départ d'avion ou de bateau, et également et par-dessus tout, aux autres centres de données collectant des données sur les citoyens moyens... résidant aux Etats-Unis comme en Europe.

http://www.rr0.org/PineGap_Gille.html

 

28 janvier 2014

Phenomenes ovnis et creation de leurres lumineux par canon à particules

 

 

upyjt

Est-il techniquement possible de produire un point brillant flottant dans le ciel sans qu’il s’agisse pour autant d’une simple projection lumineuse sur fond de nuages ? Pour répondre à cette question, il nous faut introduire ici le concept de plasma, apparu en 1928. Un plasma est un fluide composé de molécules gazeuses électriquement neutres, d’ions positifs et d’électrons négatifs. En bref, il s’agit d’un gaz ionisé émettant des photons du fait de cette ionisation, et donc plus ou moins lumineux.

>Il existe trois mécanismes principaux d’ionisation d’un : medium;">

L'ionisation thermique : l'agitation thermique provoque des collisions telles qu’un atome peut donner naissance à un couple électron-ion positif. Ce couple est instable et a tendance à se recombiner. Mais si la température est assez élevée et la densité suffisamment grande, chaque recombinaison est rapidement suivie par une nouvelle ionisation et le plasma se maintient. La température requise pour cela est au minimum de 10 000°C.

 

En utilisant un laser de puissance et une lentille convergente, il est possible d’ioniser localement l'air au point de focalisation. Si la lentille a une distance focale de 1 m par exemple, une bulle de plasma se forme " miraculeusement " à 1 m de la lentille et semble flotter dans l’air. En utilisant un laser infrarouge dont le rayonnement est normalement invisible à l’œil nu, le résultat est très spectaculaire. Mais pour projeter cet " ovni " à longue distance, il faudrait un laser très puissant et une lentille de focale correspondant à la distance de projection. Il est alors plus efficace d’utiliser une matrice de lasers convergeant vers un point dans le ciel.

 

Les premiers lasers à haute énergie fonctionnaient au dioxyde de carbone (CO2) et travaillaient dans la gamme des infrarouges. Ils apparurent aux Etats-Unis en 1968. Le CO2 était introduit à une extrémité du laser tandis que les gaz résiduels non toxiques étaient rejetés de l’autre côté.

 

La première tentative d’en faire une arme transportable sur un champ de bataille revient à l’US Army. Vers le milieu des années 70, un laser CO2 d’une puissance de 30 kW fut monté sur un véhicule chenillé LVTP-7 pour constituer une " Mobile Test Unit ".

 

A la fin des années 70, la société allemande Diehl conçu un prototype similaire, le HELEX (High Energy Laser Experimental). Il s’agissait d’un véhicule blindé de 28 tonnes qui devait transporter un laser CO2 à haute énergie d’une puissance de plusieurs mégawatts dont la portée aurait atteint 10 km par temps clair (fig. 11-a). La consommation de CO2 requise permettait d’envisager 50 tirs laser à chaque mission.

 


Fig. 11-a : projet HELEX de l’armée de l’air allemande
Dessin d’après une illustration de MBB/Diehl
Notons que dans le cas où ce n’est pas une matrice de lasers qui est mise en œuvre,
le point lumineux ne peut exister qu’au contact de la cible visée.

 http://www.ovnis-armee.org/11_technologie_plasmas.htm

L’armée américaine procéda par la suite à de nouveaux tests avec le " Close-Combat Laser Weapon " ou " Roadrunner ", véhicule conçu pour détruire les senseurs et les équipements de vision de nuit ennemis, puis vint l’" Airborne Laser Laboratory ", un avion Boeing dont le laser de 400 kW réussit en 1983 à détruire en vol plusieurs missiles air-air " Sidewinder ".

 

Concernant l’utilisation d’une telle arme à bord d’un navire, se posait le problème de l’humidité de l’atmosphère ambiante susceptible de perturber fortement la propagation du rayon laser.

 

En France, c’est seulement en 1986 que la DGA (Délégation générale pour l’armement) initia le projet LATEX (Laser Associé à une Tourelle Expérimentale) basé sur un laser de 10 mégawatts.

 

Si tous ces appareils furent ou sont encore aujourd’hui de simples prototypes, ils ont peut-être été néanmoins responsables de l’observation de quelques ovnis.

 

Rappelons que la découverte du laser date seulement de 1958 et que ce n’est qu’à partir de cette date qu’il aurait pu être utilisé volontairement pour produire de faux ovnis. Cette technique de création d’un plasma à distance n’est donc pas suffisamment ancienne pour avoir été utilisée dès 1942 à Los Angeles, lors de la première apparition historiquement attestée d’un phénomène lumineux non identifié simulant une attaque aérienne par temps clair donc sans qu’il puisse s’agir d’une projection sur fond de nuages (voir ci-dessous § 15).

 

L'ionisation électrique : ce phénomène se produit lorsqu'un champ électrique intense est appliqué à un gaz. Les électrons arrachés par les forces électrostatiques sont alors accélérés et acquièrent une grande énergie cinétique qui leur permet, par collision avec d'autres atomes, de propager l'ionisation. Un bon exemple de création d’un plasma de ce type est fourni par l’éclair d’un orage.

 

L'ionisation radiative : elle se produit lorsque les atomes sont soumis à un rayonnement électromagnétique dont les photons ont une énergie supérieure au seuil d'ionisation.

 

Cette situation se rencontre naturellement dans la haute atmosphère où les photons ultraviolets provenant du soleil ionisent les atomes de gaz de la couche appelée ionosphère. On sait depuis 1991 que les chercheurs travaillant sur l’Initiative de Défense Stratégique du président Reagan s’étaient aperçus en 1981 qu’il était possible de stimuler la fluorescence d’une couche de sodium située à 90 km d’altitude à l’aide d’un rayon laser (rayon de photons) pour engendrer un point lumineux. Cette technique de production d’une " étoile artificielle " (mais aussi de création d’" ovni "…) a été redécouverte en 1985 par 2 astronomes français et est depuis employée pour focaliser les télescopes [JPP00 p. 103].

 

Le rayonnement utilisé peut être aussi dans la gamme des hautes fréquences (ondes radio) ou des hyperfréquences (micro-ondes). On obtient la focalisation de ces ondes en un point de l’espace à partir d’une matrice d’antennes émettant en phase. Grâce à la technique de la " synthèse d’ouverture ", cette matrice peut simuler l’effet d’une lentille géante de très longue focale. Lors de son discours de réception du prix Nobel, Piotr Kapitsa décrivit dès 1978 les expériences soviétiques de génération de plasma à distance par des micro-ondes de puissance [FU93 p. 11]. Aux Etats-Unis, cette technique est utilisée par l’US Air Force pour produire des " miroirs ionosphériques artificiels " (Atmospheric Ionospheric Mirror – AIM) qui permettent de faire rebondir des ondes radar afin de pouvoir explorer au-delà de l’horizon ou des ondes radio pour communiquer entre deux positions précises. Ces " miroirs " permettent aussi d’intercepter ou de brouiller les communications ennemies.

 

Chacun peut expérimenter chez lui la création d’un plasma à l’aide d’un rayonnement de micro-ondes émises par un magnétron. Il suffit pour cela de disposer sur une soucoupe à l’intérieur d’un four à micro-ondes un grain de raisin frais coupé en deux dont les deux demi-sphères sont restées reliées entre elles. Très rapidement, le grain de raisin s’enflamme et les flammes successives ainsi créées – qui ne sont rien d’autre que des boules de plasma – s’envolent vers le haut du four où elles survivent quelque temps grâce à la stimulation des micro-ondes dont la fréquence est ici de 2,45 GHz (gigaherz).

 

Des micro-ondes avaient été produites artificiellement par Heinrich Hertz dès 1887 et le magnétron fut inventé en 1921 puis le Klystron en 1938. Quant au premier maser, l’équivalent du laser pour les micro-ondes, il vit le jour en 1953. Cette technologie, probablement encore balbutiante, était donc déjà disponible en 1942.

 

Pour générer un plasma, le rayonnement de photons peut être remplacé par l’émission d’autres particules telles que des protons ou des électrons. Nous reprenons ici la description du mécanisme présenté au § 12 de la première partie de cet ouvrage.
 
Un synchrotron permet de générer un rayon de protons suffisamment énergétiques pour que ceux-ci traversent une certaine distance dans l’atmosphère en n’émettant qu’un très faible rayonnement dû à une légère perte d’énergie. Lorsque cette énergie descend en dessous d’un certain seuil à cause des pertes, les protons ne peuvent plus se propager dans l’atmosphère et l’énergie restante, encore importante, ionise alors l’oxygène et l’azote pour former une boule de plasma brillante : un point lumineux dans le ciel.

 

En modulant l’énergie des protons, on peut diminuer ou augmenter la distance de formation du plasma lumineux. Une modulation rapide d’avant en arrière peut ainsi donner l’illusion d’un trait de lumière dans le ciel. De même, en modulant la quantité de protons émise, on peut diminuer ou augmenter l’intensité lumineuse du plasma. Enfin, on peut jouer sur l’orientation du tir pour produire une forme lumineuse spécifique par balayage. Cette mise en scène est à la portée de l’armée qui peut générer les phénomènes lumineux à partir du sol ou à partir d’une plate-forme aérienne, sans doute un ballon dirigeable puisque les témoins sont nombreux à faire état d’un vol silencieux et très lent des ovnis observés.

 

Une évaluation de Tom Mahood trouvée sur son site Internet nous apprend qu’un synchrotron de taille moyenne capable de générer en continu un rayon de protons d’une énergie de 500 MeV (mégaélectronvolts) pourrait produire un plasma lumineux à 1 200 m de distance. Ce rayon perdrait 3 KeV (kiloélectronvolts) par centimètre parcouru avant de libérer 100 KeV par centimètre à l’arrivée. L’intensité lumineuse / cm du rayon serait donc égale à 3% de celle de la boule de plasma. Celle-ci ferait une douzaine de mètres de diamètre, soit 1% de la distance parcourue dans notre exemple. Ces calculs ont été effectués grâce à la formule de Bethe. Il nous semble cependant qu’il doit exister un phénomène ignoré par cette formule qui permette de réduire l’énergie requise d’un facteur 100 et de limiter ainsi l’encombrement et le poids du synchrotron à mettre en œuvre. Il se trouve en effet que les premières particules émises chauffent l’air à travers lequel elles se propagent, entraînant sa dilatation avant d’être stoppées, ce qui permet aux particules suivantes de progresser plus avant puisqu’elles rencontrent une moindre résistance. Ce faisant, une sorte de tunnel de faible densité est creusé dans l’atmosphère en une fraction de seconde jusqu’à la distance limite de progression où se produit l’ovni, qui peut ainsi être entretenu avec beaucoup moins d’énergie.

 

On pourra objecter que les particules ne peuvent être accélérées que sous un vide poussé ce qui pose alors le problème de leur projection dans l’atmosphère. Ce problème est résolu en utilisant un matériau perméable aux protons à la sortie du rayon. Le nickel, le tantale ou le Kapton par exemple satisfont à cet emploi. Ils doivent cependant être refroidis car le passage des particules provoque un fort échauffement. Tom Mahood nous a dit avoir soumis son hypothèse à plusieurs physiciens travaillant sur la physique des particules qui n’y ont pas vu d’objection. Il est possible que l’utilisation d’électrons en place des protons puisse produire un résultat identique tout en consommant une moindre énergie. Cependant, l’électron ayant une masse environ 2000 fois inférieure à celle du proton, il aura certainement plus de difficultés à pénétrer profondément dans l’atmosphère avant d’être arrêté par une collision. L’armée américaine étudie aujourd’hui activement le concept de " rayon de particules chargées " (Charged Particle Beam – CPB) composé d’ions ou d’électrons pouvant se propager dans l’atmosphère à une vitesse proche de celle de la lumière, et celui de " rayon de particules neutres " (Neutral Particle Beam – NPB) composé d’atomes d’hydrogène ou de deutérium, utilisable dans l’espace pour la lutte contre les missiles balistiques dans le cadre de l’Initiative de Défense Stratégique.

 

Le schéma de principe du canon à particules utilisé pourrait être proche du fonctionnement du canon à électrons de nos téléviseurs (fig. 11-b).

 


Fig. 11-b

 http://www.ovnis-armee.org/11_technologie_plasmas.htm

Un rayon de particules à balayage horizontal et vertical permet de dessiner une forme grossière à distance. La forme peut être globalement déplacée et simuler un vol erratique ou comportant des accélérations fulgurantes si le canon à particules est asservi par un moteur. Ce moteur, piloté par ordinateur, peut être couplé à un système radar qui est verrouillé sur la cible (témoin, voiture, avion) de façon à suivre celle-ci automatiquement. Au-delà de quelques kilomètres (estimé), la forme se limite sans doute à des taches lumineuses du fait de la résolution insuffisante du canon à cette distance. La technologie évoluant au fil des ans, les formes ont pu s’affiner et on a pu passer d’une projection fixe à une projection animée. Notons que si c’est une matrice d’antennes qui est utilisée pour émettre des ondes radio ou des micro-ondes, le plasma ainsi produit peut être globalement déplacé par un contrôle électronique de la phase ou de la fréquence d’émission de chaque antenne.
 
Le premier type d’accélérateur de particules à haute énergie, appelé cyclotron, apparut au début des années 30 aux Etats-Unis. L’énergie qui pouvait être communiquée à des protons était alors intrinsèquement limitée à 25 MeV. Mais l’on pouvait envisager d’envoyer des ions plus lourds que ces protons et donc d’une énergie supérieure, à vitesse d’émission égale, tels que par exemple des isotopes de l’hydrogène (deutérium) ou de l’hélium (3He, 4He) qui sont alourdis par la présence de neutrons dans le noyau. Ainsi cette technologie était-elle aussi disponible en 1942 malgré quelques réserves concernant l’énergie limitée des particules émises et le poids et l’encombrement du cyclotron nécessaire. Quelques années plus tard le synchrocyclotron, une version améliorée de cette machine pouvant communiquer aux particules une énergie de 1 000 MeV, vit le jour en 1945 toujours aux Etats-Unis. Aujourd’hui, les plus gros synchrotrons permettent d’atteindre une énergie de 1 000 GeV (gigaélectronvolts).

 

Voilà pour ce qui est des trois mécanismes de base permettant la génération à distance d’un plasma lumineux. Mais attention, l’effet ainsi obtenu ne doit pas être confondu avec le plasma créé dès la sortie du canon d’une arme à " plasmoïdes " et qui se comporte plutôt comme un obus, même si ce type de projectile très particulier a pu aussi parfois être pris pour un ovni.

 

On objectera que les ovnis aperçus de nuit semblent parfois opaques, voire métalliques. Cette impression d’opacité pourrait être obtenue par notre canon effectuant un balayage de plasma tout juste assez lumineux pour simuler la couleur gris métallisé. Albert Budden signale à ce propos que la lumière brillant à travers une atmosphère humide soumise à un champ électromagnétique peut donner l’apparence d’une surface métallique, ceci du fait que l’indice de réfraction d’un matériau, ici les gouttelettes d’eau en suspension, change généralement en présence d’un champ électromagnétique [AB98 p. 59]. Lorsque l’ovni apparaît tout à fait sombre ou " noir " à l’intérieur d’un certain nombre de points lumineux, et qu’il ne peut s’agir d’un objet physique à cause de sa disparition instantanée ou de ses accélérations fulgurantes par exemple, cette impression est peut-être alors à mettre sur le compte de la psychologie de la perception ou d’une idéalisation du souvenir : " […] chaque fois, on se demande si la "masse noire" existe bel et bien ou si c’est seulement cette couronne de petites lumières qui en donne l’illusion " [LDLN N° 310 p. 15, Joël Mesnard au sujet de la vague du 5 novembre 1990].

Quel est pour l’armée l’intérêt d’avoir développé un tel équipement ? On peut en recenser plusieurs emplois possibles : bullet Produire des miroirs ionosphériques artificiels (voir AIM ci-dessus). 

Produire des leurres radar ou des leurres visuels pour tromper l’ennemi (voir en annexe G l’analyse des lumières de Hessdalen). bullet Pouvoir éclairer un site ennemi durablement comme en plein jour. 

Marquer une cible ennemie pour guider un missile, ou détourner un missile ennemi vers une fausse cible et le faire exploser. Supprimer la toxicité d’un gaz de combat propagé par l’ennemi, par réaction avec le plasma produit [PB99 p. 192]. Perturber ou détruire à distance des équipements électroniques, électriques, électromécaniques (moteurs) à l’aide d’un tir de particules (voir CPB et NPB ci-dessus). Provoquer des incendies, sectionner des câbles électriques par fusion… Aveugler, brûler ou tuer un soldat ennemi. Etc. Un certain nombre de questions restent cependant posées en ce qui concerne le tir d’un plasma lumineux. Nous indiquons en italique des éléments de réponse :  Quel sont le volume et le poids du canon nécessaire selon l’intensité du phénomène observé, sa taille et la distance de tir ? Pour illustrer cette question, on peut citer l’exemple des " expériences d’un rayon à bord d’une fusé " (Beam Experiments Aboard a Rocket – BEAR) effectuées avec succès au Nouveau Mexique en juillet 1989 dans le cadre de l’Initiative de Défense Stratégique. L’accélérateur linéaire de particules implanté dans la fusée était logé dans un tube de 4,36 m x 1,12 m de diamètre. Les particules étaient semble-t-il émises avec une énergie de l’ordre de 4 MeV. Le poids d’un accélérateur de particules est généralement de plus de 500 kg par mètre linéaire. bullet Quelle est l’intensité lumineuse du rayon tiré et celle de la forme générée, selon l’énergie mise en œuvre (à rapprocher de la luminosité de la lune ou du soleil et de celle du cône d’ombre) ? Comme éléments de réponse, nous ne disposons que de l’exemple proposé par Tom Mahood présenté ci-dessus. bullet Quel est le type d’énergie consommée, son volume, son poids, son coût ? Quelle que soit la technique employée, un générateur électrique est requis. Il faut y ajouter le combustible consommé par le laser le cas échéant. bullet La mise en œuvre est-elle bruyante ? Les lasers fonctionnent silencieusement mais les équipements périphériques tels que les générateurs électriques, compresseurs, pompes à vide, refroidisseurs, etc, peuvent en revanche être très bruyants. 

La forme générée par balayage peut-elle être précise ? bullet La forme générée peut-elle être de différentes couleurs ? La longueur d’onde des photons émis dépend de l’énergie reçue et des molécules de l’atmosphère qui ont été excitées. On obtient du vert pour l’oxygène et du rouge, bleu ou violet pour l’azote. Un plasma dans l’atmosphère peut parfois aussi être de couleur blanche, jaune ou orange [PB99 p. 97 et 102]. Le potentiel d'ionisation de l'azote est de 15,6 eV et celui de l'oxygène de 12,06 eV. 

La forme produit-elle un champ électromagnétique ? Les concentrations locales de charges électriques positives ou négatives dans le plasma créent des champs électriques ainsi que des champs magnétiques induits [PB99 p. 13]. 

La forme émet-elle des rayons X capables d’irradier les témoins ? Les plasmas chauds peuvent émettre des rayons X dangereux pour les témoins à proximité [PB99 p. 218]. 

La forme émet-elle des rayons UV dangereux ? Le soleil est l’exemple type d’une boule de plasma chaud émettant des rayons UV qui peuvent être cancérigènes. A notre échelle, les lampes à bronzer produisent aussi un rayonnement UV émis par un gaz ionisé (plasma) dans un tube de verre. 

La forme émet-elle des micro-ondes ? C’est plus que probable car le rayonnement lumineux émis déborde vers de plus grandes longueurs d’ondes comprenant l’infrarouge et les micro-ondes. bullet La forme émet-elle un bruit ? Il arrive en effet qu’un plasma émette un sifflement ou un bourdonnement. On parle alors d’ondes plasma [PB99 p. 113]. 

La forme peut-elle émettre un souffle ? L’ionisation de l’air et le choc en cascade des molécules peuvent parfois générer un vent électrique de la force d’une petite brise [PB99 p. 102]. 

La boule de plasma peut-elle produire une odeur, par exemple celle du soufre (qui est l’odeur traditionnellement associée aux apparitions diaboliques) ? Elle est parfois accompagnée d’une forte odeur désagréable, caractéristique de l’ozone ou d’oxydes d’azote [PB99 p. 103]. Les micro-ondes émises par le plasma peuvent en outre provoquer l’oxydation du soufre présent dans l’atmosphère. 

La boule de plasma peut-elle brûler par contact (végétaux, témoins…) ? Le plasma étant un gaz chauffé à plusieurs centaines, milliers ou millions de degrés, il est normal qu’il puisse brûler par contact, voire à distance, selon sa température. 

Est-il cependant possible de toucher avec la main un certain type de plasma sans se brûler ? Un plasma produit par un faisceau d’électrons très énergétiques peu se maintenir à une température " proche de la température ambiante " [POP98 p. 2137]. En effet, bien que sa température électronique puisse atteindre 700°C à cause du mouvement très rapide des électrons, la faible agitation thermique des ions peut conférer globalement au plasma une température inférieure à 30°C. 

De jour, la boule de plasma peut-elle générer une ombre portée ? De nuit, le peut-elle aussi lorsqu’elle s’interpose entre la lune et le témoin ? Selon le type de plasma, une partie de la lumière reçue sera réfléchie, une partie sera absorbée, et une partie sera transmise. Si la lumière est majoritairement réfléchie ou absorbée, on pourra donc observer une ombre portée. 

La boule de plasma peut-elle être éclairée par des phares de voiture ? Oui pour certains types de plasmas très réfléchissants. bullet <>La forme générée est-elle détectable au radar ? Un plasma ionisé réfléchit les grandes longueurs d'onde (radio) mais il peut être traversé aisément par des ondes plus courtes (TV, radar) si sa densité d’électrons est insuffisante. Des plasmas de densité supérieure produits par un faisceau d’électrons permettent de refléter une onde radar d’une fréquence de 10 GHz et peuvent précisément être utilisés comme " miroir " d’orientation ultrarapide pour un radar [POP98 p. 2137].

Dans l’atmosphère, les " miroirs ionosphériques artificiels " pourraient réfléchir les fréquences jusqu’à bullet Le tir peut-il traverser les nuages, et comment se comporterait sous la pluie la forme générée ? La couche nuageuse réduit-elle beaucoup la distance possible du tir ? Un rayon de particules telles que des protons peut traverser les nuages. Les micro-ondes traversent aussi les nuages à l’exception de certaines fréquences. Quant aux rayons laser lumineux ou émis dans le proche infrarouge ou l’ultraviolet, ils ne peuvent bien sûr pas les traverser ou sont fortement perturbés. 

Le tir peut-il traverser une fenêtre, voire un volet, pour créer une forme lumineuse dans une pièce ? Il semble qu’un rayon de particules telles que des protons ne puisse traverser ni une fenêtre ni un volet. Les micro-ondes peuvent traverser une vitre ou un volet pourvu qu’il soit non métallique. Un rayon laser peut bien sûr traverser une vitre mais pas un volet. Enfin, une boule de plasma qui aurait été générée à l’extérieur peut traverser une vitre comme cela semble se produire parfois pour la foudre en boule. 

Y a-t-il des contraintes sur l’atmosphère telles que l’absence de poussières ou de pollution, l’absence d’humidité, l’absence de vent, etc ? La présence de poussières risque sans doute d’empêcher les particules émises d’arriver à destination. L’interaction des poussières et de ces particules risque peut-être aussi de rendre le rayon du tir plus apparent. Les micro-ondes ne sont pas gênées par ces poussières alors qu’un tir laser sera fortement perturbé.Si le plasma est produit par un rayon de particules, on a vu que ce rayon devait être légèrement lumineux. S’il est produit par des micro-ondes ou par un laser infrarouge, il est invisible à l’œil nu sauf peut-être en cas de conditions atmosphériques exceptionnelle

http://www.ovnis-armee.org/11_technologie_plasmas.htm

22 janvier 2014

WASIMR fusée magnetoplasma mettra 39 jours pour aller sur la planète Mars

Variable Specific Impulse Magnetoplasma Rocket (VASIMR)

 

1834614526_1357237660

Le concept théorique de VASIMR® a été inventé à la fin des années 1970 par l'astronaute et physicien des plasmas Franklin Chang-Díaz, qui l'étudia d'abord au Charles Stark Draper Laboratory puis au Plasma Fusion Center du MIT (Massachusetts Institute of Technology) et enfin à l'ASPL (Advanced Space Propulsion Laboratory) fondé à cet effet en décembre 1993 au JSC de la NASA, qui détient un prototype expérimental.


En 2007, un nouveau prototype va être construit au Costa Rica, et des expérimentations à bord de la station spatiale internationale  sont programmées pour 2010 et 2011[5]. Les premières réalisations industrielles doivent produire des impulsions spécifiques de 1 000 à 30 000 secondes  (correspondant à des vitesses d'éjection allant de 10 à 300 km/s), et des poussées de 10 à 500 newtons. Bien que de très grandes poussées puissent potentiellement être atteintes avec VASIMR, le poids important des systèmes d'ionisation et de confinement du plasma semble devoir empêcher son utilisation là où un ratio puissance/poids élevé est nécessaire, par exemple pour le décollage depuis la surface de planètes, zone de forte gravité. Les progrès dans ce domaine sont néanmoins rapides, avec une diminution de la masse des électroaimants d'un facteur de 30 depuis les premières expériences, grâce aux matériaux supraconducteurs à haute température critique.

Les ondes radio et les champs magnétiques sont fournis par une source d'énergie électrique de quelques centaines de kilowatts pour les prototypes, idéalement de plusieurs mégawatts pour un vaisseau interplanétaire. Cette source d'énergie serait en 2008 la fission nucléaire. Avec l'amélioration de ces sources d'énergie compactes, il est envisagé de remplacer les propergols légers que sont l'hydrogène ou l'hélium par un plasma plus dense d'argon ou de xénon (un vaisseau de 20 tonnes, alimentant un propulseur VASIMR avec 200 MW, mettrait Mars à seulement 39 jours de voyage de la Terre[6]). En élargissant cette idée et bien que cela ne soit pas réaliste à court terme, il est également théoriquement possible que le concept VASIMR® puisse un jour s'articuler autour d'un plasma de fusion constituant lui-même le propulsif. L'apport calorique de la fusion, et donc la poussée, serait dans ce cas notablement plus élevé par rapport à un chauffage électrique ou électromagnétique.

VASIMR®, acronyme de Variable specific impulse magnetoplasma rocket : « Fusée magnétoplasma à impulsion spécifique variable », est un type de propulseur spatial à plasma. Il utilise des champs et des rayonnements électromagnétiques variables (sans électrodes) pour chauffer, ioniser et accélérer un propergol  vaporisé (hydrogène  argon ou hélium).











Principe

VASIMR® a la particularité de faire appel aux trois aspects de la propulsion électrique :

   1. chauffage par induction électromagnétique et détente du gaz (propulsion électrothermique) ;
   2. ionisation et accélération des ions du plasma dans un champ électrique induit (propulsion ionique) ;
   3. confinement de plasma interne, guidage et contrôle du jet externe par champ magnétique (propulsion électromagnétique).

Schéma de VASIMR en coupe :
1. Le gaz neutre (hydrogène ou hélium) est injecté en entrée du dispositif.
2. Un tube en quartz recueille et confine ce gaz neutre avant son ionisation.
3. Une « antenne hélicon » spéciale pré-ionise le gaz (chauffage à 30 000 kelvins) à l'aide de radiofréquences émises dans un champ magnétique axial (rayonnement hélicon excitant les électrons).
4. Le plasma est confiné à distance de la paroi par des solénoïdes entourant la chambre cylindrique, créant un champ magnétique axial dans l'enceinte.
5. Une « antenne ICRH » (Ion Cyclotron Resonant Heating) ionise totalement le plasma en le portant à très haute température (10 megakelvins) et génère un champ électrique induit qui accélère les ions en une trajectoire hélicoïdale vers la sortie. C'est le booster principal.
6. Une « tuyère magnétique » en sortie contrôle le jet de plasma en modelant axialement la trajectoire des ions.

Cette tuyère à « géométrie magnétique variable », permet de faire varier l'impulsion spécifique et la poussée à puissance constante, en modulant l'intensité du champ magnétique et la géométrie de ses lignes de champ. Une analogie consiste à assimiler cette tuyère magnétique à la boîte de vitesses d'une automobile, dont le moteur serait alimenté en combustible à régime constant.

http://www.mysteredumonde.com/article/wasimr-39-jours-pour-aller-sur-la-planete-mars_4163.html

14 novembre 2013

Vannevar Bush-Tesla et le complexe industrio millitaire

Publicité
Publicité
20 avril 2012

Ce que sont vraiment les chemtails

Ce que sont vraiment les chemtails
Carolyn Williams Palit, No Exotic Warfare Zone, 2005 Source : No Exotic Warfare Zone, www.noexoticwarfarezone.com Traduction : Évolution Québec Nous faisons ni plus ni moins face à la Guerre Des Étoiles. Elle est menée par la combinaison des Chemtrails,...
18 décembre 2011

Mystère , Comment une comète a survécu à l'approche du soleil ?

Mystère , Comment une comète a survécu à l'approche du soleil ?
La comète Lovejoy, découverte le 27 novembre dernier par l’astronome amateur australien Terry Lovejoy avec son petit télescope de 200 mm de diamètre équipé d’une caméra CCD, fonce actuellement vers le Soleil ! La petite comète, qui doit mesurer entre...
26 septembre 2011

Une boule de feu fait un mort à Bueno Aires

Une boule de feu fait un mort à Bueno Aires
L'incident est survenu 5 minutes avant deux heures, dans un immeuble situé à l'intersection de Luis Vernet et de Los Andes, une ville de Monte Grande, d'Esteban Echeverría. Les causes de l'explosion sont encore inconnues, mais les habitants disent avoir...
16 février 2011

Plusieurs éruption solaire vont frapper la terre des aurores boréales en europe usa et canada

Plusieurs éruption solaire vont  frapper la terre  des aurores boréales  en europe  usa et canada
On n'avait plus vu cela depuis des années. Le Soleil, qui tardait à sortir de sa phase de moindre activité dans son cycle de onze ans, vient de pousser son premier « rugissement ». En l'occurrence, il s'agit d'une éruption solaire. Ou plus exactement,...
19 octobre 2010

un filament étrange sur le soleil en pleine activité

un filament  étrange sur le soleil  en pleine activité
(Source : Noxmail) Quel est cette bague étrange qui est en développement sur le Soleil ? JPG - 74.5 ko La tache solaire 1112, située dans le quadrant sud-est, a été la source d’un filament géant qui s’étire actuellement de 400,000 km à travers la surface...
Publicité
Publicité
Publicité