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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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23 septembre 2014

Mises en garde et dangers : les effets de l'oranur* et du dor des accumulateurs d'orgone

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Un des problèmes courants rencontrés lors de l'utilisation de l'accumulateur est la difficulté de trouver un environnement énergiquement propre où s'en servir. L'énergie orgonale de l'atmosphère est très sensible à certaines formes de perturbation ou d'agitation. De manière assez semblable au protoplasme vivant, l'énergie orgonale peut être excitée ou irritée, et certaines influences environnementales peuvent l'amener à un état toxique. Si l'atmosphère énergétique de votre maison ou de votre voisinage a été ainsi rendue toxique, l'usage d'un accumulateur est déconseillé ou conseillé seulement avec de grandes précautions, car il sera très difficile d'accumuler autre chose qu'une charge toxique.

Par exemple, des accumulateurs d'orgone, particulièrement ceux destinés à des expériences biologiques ou à un usage sur l'être humain, ne doivent jamais être utilisés dans des pièces contenant des appareils irritants pour l'orgone tels que :

  • lampe fluorescente
  • poste de télévision
  • ordinateur ou micro-ordinateur
  • autres appareils à tubes cathodiques
  • four à micro-ondes ou cuisinière à courant à induction
  • couverture électrique (même si elle est seulement branchée mais éteinte);
  • machine diathermique, à rayons X
  • moteur électrique à balais
  • appareil à induction ou bobinage
  • autres appareils électromagnétiques
  • détecteur de fumée radioactive de type ionisant
  • horloge, montre ou autre appareil contenant des matières radioactives, lisibles dans le noir (les matériaux phosphorescents qui fonctionnent selon le principe de l'absorption de lumière sont acceptables)
  • autres matières radioactives ou fortes vapeurs chimiques.

L'accumulateur d'orgone ne doit pas même pas être utilisé dans un bâtiment où les appareils les plus puissants de la liste ci-dessus (comme les machines à rayons X) sont utilisés ou bien ont été récemment utilisés. Les expériences réalisées par Reich et, plus récemment, par d'autres dans de grands hôpitaux d'Allemagne, ont démontré que les équipements à rayons X annihilent les effets revitalisants de la radiation orgonale. De plus, on note un effet de persistance de la toxicité énergétique pendant un certain temps après que les appareils irritants ont été éteints et sortis de la pièce ou du bâtiment. Les accumulateurs d'orgone doivent de même ne pas être utilisés dans le voisinage immédiat ou à proximité des installations suivantes

  • système radar des aéroports
  • relais de transmission à micro-onde ou pour téléphone cellulaire
  • lignes à très haute-tension
  • tours d'émission AM, FM ou TV
  • centrales, installations de stockage de combustible ou de déchets nucléaires 
  • installations militaires avec stockage de bombes nucléaires
  • zones d'essais nucléaires passés ou actuels

Reich et d'autres chercheurs associés à ses travaux émirent des mises en garde à propos de la nocivité de ces équipements dès les années 1940 et 1950 mais ce n'est qu'aujourd'hui que des études épidémiologiques viennent corroborer leurs observations à propos de effets négatifs sur les êtres vivants. Une partie du problème provient de ce qu'en montrant la corrélation entre deux événements, on ne prouve pas qu'il existe entre eux une relation de cause à effet. On doit seulement montrer ou démontrer en quoi consiste le mécanisme et démontrer objectivement chaque étape séparant les deux éléments corrélés, pour prouver qu'il existe bien un lien de cause à l'effet. Dans la plupart des cas, c'est une méthode très sage mais qui est très inégalement appliquée dans le domaine scientifique. Les théorèmes orthodoxes sont rarement soumis à un examen critique relatif à la question de savoir s'ils répondent ou non à ce critère strict (ex. : " mauvais gènes ", " virus ", etc.) tandis qu'on refuse de financer ou qu'on rejette ou qu'on réprime purement et simplement les théories hétérodoxes pour la moindre de leurs faiblesses. Il arrivera de même que les pollueurs industriels utilisent cet argument pour ne pas assumer la responsabilité des dommages qu'ils ont causé à l'environnement.

En ce qui concerne les questions énergétiques, selon les meilleurs calculs des physiciens, un faible rayonnement ne devrait pas avoir d'effet délétère sur un organisme vivant. L'énergie présente dans un rayonnement de faible intensité, tel qu'elle est détectée avec les instruments conventionnels de détection du rayonnement atomique, n'est tout simplement pas suffisante pour causer des dommages significatifs. Or ces dommages ont lieu. J'insiste sur le problème que posent les " instruments conventionnels de détection du rayonnement atomique " parce qu'une des grandes erreurs de la physique provient de ce que si un instrument ne mesure pas un désordre environnemental, ce désordre ne s'est pas produit. L'erreur réside dans la fausse hypothèse selon laquelle leurs instruments de détection d'énergie doivent mesurer 100 % de n'importe quelle perturbation. Cette hypothèse invérifiable est bien sûr remise en cause par les manifestations biologiques et épidémiologiques qui montrent qu'il y a bel et bien un effet. Qui plus est, il y a une grande méfiance du corps dans les sciences modernes, comme en témoigne le fait que lorsque le commun des mortels est rendu malade par les appareils irradiants modernes il n'est pas cru, ou est considéré avec suspicion.

C'est précisément ici que les découvertes de Reich sur l'énergie orgonale apportent une clarification, puisque l'énergie vitale (et les perturbations qu'elle subit) ne peut pas être détectée avec les appareils de détection nucléaire ou électromagnétique ordinaires. On doit modifier les instruments pour la capter ou utiliser des méthodes entièrement différentes. L'orgone est aussi un continuum d'énergie qui établit une connexion entre les installations ou appareils perturbateurs (centrale nucléaire, émetteur radio et micro-ondes, lampe fluorescente, poste de télévision) et la créature vivante qui est affectée. Comme le champ orgonal local de la terre, ou le champ énergétique d'une maison, est gravement perturbé par ces équipements, le champ énergétique de la personne située dans cet environnement est perturbé lui aussi.

La physique moderne reconnaît en partie l'existence de ces connections ; on dit en effet que les bombes nucléaires, les réacteurs nucléaires et les installations qui y sont liées émettent en énormes quantités des neutrinos théoriques, indétectables et contre lesquels il n'y a pas de protection. Ces neutrinos s'échappent à grande vitesse de ces installations, pénétrant toute forme de blindage anti-radiations et affectant le corps de tout individu se trouvant à des kilomètres à la ronde. En théorie, ils ne causent aucun dommage mais c'est une simple hypothèse. Le fait majeur observé selon les meilleures théories de la physique classique, c'est que le cÏur du réacteur nucléaire laisse constamment échapper une énergie significative qui traverse le lourd bouclier du réacteur et se répand dans la campagne environnante, et qu'aucun détecteur de radiation classique ne permet de déceler. À partir des découvertes de Reich, il apparaît que cette énergie perdue ne se décharge pas sous forme de " particules " mais est déchargée directement dans le continuum énergétique de l'orgone cosmique, lequel se retrouve grandement agité et surchargé. Étant donné la capacité de l'énergie orgonale de pénétrer les substances matérielles, ces troubles énergétiques sont rapidement propagés vers l'extérieur à travers le bouclier du réacteur, pour affecter les créatures vivantes et le climat dans la zone environnante.

Il en est de même à propos du dilemme concernant les maladies provoquées par un électromagnétisme de faible intensité. Ce rayonnement ne devrait pas rendre les gens malades, mais il les rend bel et bien malades. Ici la difficulté théorique vient de ce que la physique affirme que les ondes électromagnétiques sont transmises à travers la campagne et autour du globe sans aucun médium de transmission. Cette position est identique à celle de quelqu'un qui travaillerait sur les ondes sonores ou les vagues, en niant l'existence de l'air ou de l'eau. Or les " ondes de particules " nucléaires et électromagnétiques ont besoin d'un médium dans lequel se propager. Le grand mythe de la physique moderne est que ce médium n'aurait jamais été découvert ; c'est l'erreur dont nous avons parlé au chapitre précédent.

Les équipements et installations nucléaires et électromagnétiques ont bel et bien des effets délétères sur la santé de gens qui y travaillent et qui habitent aux alentours, qu'on admette ou non le point de vue bioénergétique décrit ici. En général, les risques pour la santé ne sont pas également répartis au sein d'une population donnée. Certaines personnes ayant une énergie très élevée ou très basse, et généralement les sujets très jeunes et très âgés sont plus sensibles à ces énergies toxiques et y réagissent plus vite et plus fortement. On peut citer quelques cas. J'ai rencontré une secrétaire qui fut incapable de passer d'une machine à écrire à un ordinateur à traitement de texte. À chaque fois qu'elle s'asseyait devant l'ordinateur, elle ressentait un goût métallique dans la bouche et devenait nauséeuse. Cet effet durait plusieurs semaines après une seule exposition à l'ordinateur. Son patron et ses amis pensèrent qu'elle était folle, mais elle était simplement plus sensible qu'eux. Dans un autre cas, j'ai rencontré un individu qui vivait à un kilomètre et demi d'une grande station d'émission radio qui répandait sur la région entière une forte dose d'électromagnétisme à des fréquences radio et micro-ondes. Quand il eut compris le danger de sa situation, ses enfants avaient contracté une leucémie et il dut quitter la région. Les praticiens qui sont confrontés à de tels symptômes n'émettent habituellement pas un diagnostic se fondant sur l'écologie énergétique de l'environnement résidentiel ou professionnel du patient. Dans un chapitre à venir, je donne une liste des moyens pratiques à utiliser pour se protéger et protéger son accumulateur de ces risques environnementaux.

Les observations de Reich sur les aspects négatifs pour les êtres vivants de ces équipements et installations ne peuvent pas s'expliquer à l'aide les théories conventionnelles de la physique et de la biologie, mais elles ont été confirmées dans une mesure plus grande ou moins grande. Les divers dispositifs et appareils électromagnétiques et nucléaires de la liste ci-dessus sont connus pour irriter l'énergie orgonale, et la mettre dans un état de violence sauvage, frénétique que Reich appela l'effet oranur. L'oranur fut découvert par inadvertance après qu'une petite quantité d'une matière nucléaire eut été introduite dans un puissant accumulateur d'orgone. Reich entreposait plusieurs grands accumulateurs à 20 couches à l'intérieur un accumulateur encore plus grand, de la taille d'une pièce, dans son laboratoire de la zone rurale du Maine. Lorsqu'il introduisit la matière radioactive dans cet environnement fortement chargé, le champ d'énergie orgonale de l'ensemble de la région montagneuse où se situait son laboratoire fut plongé dans un état d'agitation violente, immédiatement sensible et visible. Les laborantins tombèrent assez gravement malades et les souris de laboratoire élevées dans un autre bâtiment moururent en grand nombre.

Reich observa que l'effet oranur persistait longtemps après que la matière nucléaire eut été ôtée des accumulateurs du laboratoire, rendant les installations inutilisables pendant plusieurs années. Soumise à cette agitation oranurique persistante l'énergie orgonale finissait par être immobilisée et par " mourir ". Reich donna à cet état de mort énergétique le nom de dor, qui est l'abréviation de deadly orgone [orgone mortel]. Une pièce chargée de dor semble insupportablement étouffante, et on a du mal à y respirer. On s'y sent aussi constamment déshydraté, du fait de la nature hygroscopique du dor. Quelques personnes réagissent au dor par des Ïdèmes, et Reich et ses collaborateurs identifièrent une forme particulièrement grave de mal-de-dor : l'organisme réagit par la léthargie, l'immobilité et l'absence de contact émotionnel. Ces effets sont tout à fait tangibles, sensibles et mesurables.

Cet accident expérimental fut riche d'enseignements sur l'énergie vitale de l'atmosphère, et une publication de Reich de 1951, intitulée L'expérience oranur, décrit cet événement crucial. Plus tard, Reich identifia un certain nombre d'autres sources d'oranur plus ou moins intense qui peuvent troubler l'énergie orgonale dans une maison, un bureau, un bâtiment, un quartier ou une région.

Dans la plupart des logements, les sources les plus courantes d'irritation de l'orgone sont le poste de télévision, le four micro-onde et les lampes fluorescentes de tous types (les lampes dites " à spectre solaire " sont moins nocives mais n'éliminent pas ce problème). Les lampes fluorescentes produisent souvent des plantes hyper-actives avec des feuilles très larges, surdimentionnées et incitent faussement à penser que ces lampes sont " bénéfiques ". Quelques études ont montré que les êtres déprimés voient activité ou leur métabolisme stimulé lorsqu'ils sont exposés à des lampes fluorescentes. Nous en voyons des exemples lorsque les victimes de dépression hivernale, de dépression post-partum ainsi que la " dépression " des employés de bureaux, constatent que leur degré d'activité augmente temporairement lorsqu'ils sont soumis à l'oranur des tubes fluorescents. Dans de nombreux cas, l'accroissement de l'activité est liée à la fréquence ou à la couleur de la lumière, qui exercent aussi une influence. Mais les études de ces problèmes ne considèrent généralement pas que l'excitation par l'oranur des tubes fluorescents soit un facteur à prendre en compte. Or l'oranur est produit par tous les types de lampes fluorescentes, de postes de télévision et de fours à micro-ondes. On peut le mesurer objectivement par la perturbation du potentiel électrique d'une plante d'appartement exposée à ces appareils, par l'utilisation d'un compteur Geiger chargé à l'orgone, ou en procédant à des mesures nombreuses des fonctions de l'accumulateur et en observant des perturbations qui apparaissent dans les conditions d'oranur ou de dor.

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Dans n'importe quel quartier d'une grande ville, les émetteurs et réémetteurs radio, les radars d'aéroport et les relais de communication téléphoniques constituent aussi des dangers, étant producteurs d'oranur. Comme les fours à micro-ondes et les postes de télévision, ils laissent échapper des quantités relativement élevées de rayonnement dans leur environnement immédiat. Les détecteurs à infrarouges des portes à ouverture automatique, ou les interrupteurs automatiques, fonctionnent aussi dans la plage des micro-ondes du spectre infrarouge, tout comme les lecteurs de code-barre des bibliothèques ou des magasins installés pour révéler les petits larcins. Ces petits détecteurs sont suffisamment puissants pour déclencher le détecteur de radar policier de votre voiture à plusieurs centaines de mètres, et constituent un danger pour les travailleurs obligés de rester à côté jour après jour ; dans ce cas, le risque réel est tout simplement inconnu. Comme les fours à micro-onde et les postes de télévision, ils sont susceptibles d'exposer la personne " moyenne " à une dose " moyenne " qui est irrationnellement jugée inoffensive. Jusqu'à ce qu'on en sache plus, autant opter pour la prudence. N'installez pas votre accumulateur à proximité d'un de ces appareils.

De même, les centrales nucléaires sont autorisées à ventiler (ou plutôt, à décharger) des quantités significatives d'une radiation mesurable dans l'eau de refroidissement et l'air de ventilation qui traversent ces installations. À part le fait que la population locale respire, et souvent boit, ces rejets, qui s'accumulent dans la chaîne alimentaire, il y a le problème de l'oranur et du dor. L'un et l'autre sont créés par les centrales nucléaires, et l'énergie atmosphérique de ces zones s'en trouvera affectée, un état qualitatif l'emportant sur un autre. Les gens sensibles peuvent littéralement sentir la différence quand un réacteur nucléaire a fonctionné dans une région pendant un certain temps, et des observations minutieuses révèlent parfois des modifications du climat.

Les essais nucléaires souterrains causent peut-être le plus de ravages, parce qu'il frappent et agitent le champ de l'énergie orgonale de toute la planète. Certains éléments donnent à penser que les accès climatiques, tels que la sécheresse ou les fortes tempêtes, auxquelles s'ajoutent les épidémies de " grippe ", pourraient être déclenchés par les essais nucléaires souterrains, du fait de la perturbation générale du champ énergétique terrestre. Quelques éléments de preuve, actuellement à l'étude, inclinent à penser que la Terre entière est perturbée dans sa dynamique de rotation et que la haute atmosphère est surchauffée et troublée par les essais nucléaires. Ces effets n'ont pas de sens du point de vue de la biologie ou de la physique classiques, qui nient l'existence d'un quelconque principe énergétique vital et partent de l'hypothèse que l'espace est " vide ". Du point de vue la biophysique de l'orgone, ces effets ont en revanche un sens.

Sur le plan biophysique, l'effet d'oranur est perçu par les personnes sensibles comme une sensation d'énervement, de surexcitation, voire de chaleur ou de légère fièvre. Telle personne ressentira une agitation continue ; telle autre va se contracturer légèrement lorsqu'il se manifeste ; il arrive aussi qu'il provoque des explosions de colères. Un oranur accentué affecte chaque personne à son point faible et tend à amener des symptômes médicaux latents à la surface. Il arrive aussi que la paume des mains présente une moiteur caractéristique ou qu'il soit presque impossible de trouver le sommeil. On observe aussi une tendance à ne pas pouvoir se concentrer de manière cohérente sur un travail ou sur une autre activité. La manifestation atmosphérique de l'oranur est également celle d'une surcharge. Le ciel garde une couleur bleue intense, mais une vapeur caractéristique finit par apparaître à l'horizon. En cas d'oranur, les nuages ne s'agrègent ni ne grossissent , en partie à cause de la forte charge et de la grande agitation de l'atmosphère qui ne peut pas se contracter, et parce que la charge à l'intérieur des nuages les empêche de croître au delà d'un certain point. Les vents peuvent devenir chaotiques comme s'ils étaient inquiets. Les orages commencent ordinairement à se fragmenter ou se disperser lorsqu'ils approchent une région touchée par l'oranur. L'atmosphère paraît " anxieuse " ou " tendue ", comme si elle reflétait les conditions générales de surcharge. Les pluies diminuent, particulièrement lorsque l'oranur finit par céder la place à un état de dor, immobile, mortel.

Le dor se manifeste aussi dans l'atmosphère, et lorsqu'il est suffisamment étendu, il s'accompagne de phénomènes de sécheresse ou de désertification. Il apparaît dans le paysage sous la forme d'une vapeur gris-métallique qui réduit la visibilité, rend la lumière solaire brûlante, rend les pluies acides ou empêche totalement la pluie de tomber. Il réduit les nuages à l'état de lambeaux, pareils à de la charpie de coton légèrement salie et les empêche de grossir au-delà d'une certaine taille, assez faible. De petits nuages inhabituels de couleur noire ou gris foncé apparaissent parfois ; contrairement aux autres petits nuages de la zone frappée, ces nuages grisâtres conservent leur couleur terne même lorsqu'ils sont directement éclairés par le soleil. Il s'agit de ce que Reich a appelé des nuages de dor. Souvent ils se forment et se reforment continuellement au-dessus de certaines régions comme s'ils étaient liés énergétiquement à cet endroit.

Si l'oranur et le dor coexistent souvent dans une région donnée, l'une de ces formes prédominera généralement sur l'autre. Comme il s'agit de phénomènes énergétiques, l'oranur et le dor ne peuvent pas être " balayés " par le vent, quoique un bon orage réussisse parfois à les capter et les chasser. Dans les cas d'oranur ou de dor exceptionnellement intenses, les orages sont bloqués et déviés, causant une sécheresse prolongée. Les régions désertiques sont généralement chargées de grandes quantités de dor, particulièrement dans les zones déprimées de la topographie. Les régions comportant plusieurs installations de production d'énergie, de retraitement et de stockage de déchets nucléaires auront tendance à être fortement chargées à la fois en dor et en oranur. Ces régions connaissent souvent des périodes de sécheresse répétées, étant donné que l'énergie vitale y est rarement dans son état naturel et est régulièrement surexcitée ou anéantie.

Comparons les descriptions ci-dessus des états d'oranur et de dor avec l'énergie orgonale dans son état scintillant et palpitant normal. Lorsque le continuum orgonal conserve un état de pulsation atmosphérique sain et vigoureux, on observe des cycles réguliers d'alternance entre la pluie et le beau temps. L'atmosphère est propre et transparent, lumineux et croquant, sans brume notable dans l'atmosphère. Il existe un bon contraste entre les nuages et le ciel bleu jusqu'à l'horizon. Le ciel dégagé est d'un bleu profond et la limite des nuages est nette et précise. Les nuages conservent une forme arrondie comme des pousses de choux-fleurs, et se maintiennent verticalement sans pencher sur les côtés ni s'effondrer. Les montagnes lointaines présentent une coloration bleutée ou violette. La végétation est également luxuriante et craquante, pleine de vie. Les oiseaux sont actifs, ainsi que les autres espèces animales. Le soleil chauffe mais ne brûle pas immédiatement. La sensation subjective globale par beau temps est celle d'une grande expansion, d'une abondance d'énergie, d'un contact direct avec la nature et d'une vitalité débordante. Respirer est si facile que l'air semble littéralement envahir les poumons. La plupart des gens se sentent exceptionnellement vivants et alertes, et plus détendus que d'habitude. Tout ce qui vit pousse vers le haut, contre la pesanteur, comme pour exprimer le surgissement et la nature doucement expansive de l'énergie vitale. Par temps de pluie, on se sent peut-être moins rempli d'énergie ou somnolent, mais cela reste agréable. La pluie tombe avec une régularité cyclique.

La plupart des gens âgés se rendent compte que cette qualité de l'atmosphère devient de plus en plus rare. On l'observait plus communément dans le passé qu'à présent. Les états brumeux, stagnants de dor deviennent de plus en plus la " norme ", à tel point que beaucoup de jeunes gens, surtout dans les grandes villes polluées, ne savent pas ce que peut être une véritable journée de grand beau temps. Par exemple, les vieux pilotes de ligne se souviennent de l'époque où la brume de dor n'était présente que sur quelques zones industrielles de nord-est des États-Unis. Aujourd'hui, en revanche, on peut observer la brume de dor sans solution de continuité, de la côte est à la côte ouest, ainsi que très loin au large ! De même, avec la déforestation et la désertification rampantes en cours sur toute la surface du globe, les déserts liés au dor s'étendent à des régions qui étaient autrefois luxuriantes et humides. Dans les régions humides, à mesure que l'atmosphère se dorise, les orages réguliers sont remplacés par un crachin brumeux acide. Des naturalistes ont observé que l'éclat bleu de l'orgone qui surplombait les montagnes disparaissait environ deux ans avant la mort massive de la forêt, phénomène qui est lié lui aussi à la pollution brumeuse et stagnante de l'air. En effet, l'éclat orgonal bleu des océans, des rivières, des forêts et l'atmosphère disparaît à une vitesse inquiétante, annonçant l'effondrement d'écosystèmes entiers. Juste à ce moment où l'on identifie l'énergie vitale, elle est en train de disparaître sous l'effet de la pollution.

Pour décrire les états énergétiques de l'oranur et du dor, Reich utilisa l'exemple d'un animal sauvage placé dans une cage. Au début, l'animal réagit avec fureur pour essayer d'échapper à l'enfermement. Ensuite, il s'épuise et devient inerte et léthargique. Cette réaction, observée par les gardiens de zoo du monde entier, a été également confirmée par John Ott dans son ouvrage Health and Light (Santé et lumière). Ott a démontré que les souris de laboratoire exposée aux radiations perturbantes d'un poste de télévision commençaient par être surexcitées ; ensuite les même souris devenaient inertes et léthargiques, et finissaient par être frappées de maladies dégénératives. Ott donna de nombreux exemples où les conduites agressives des animaux d'élevage, tels que les visons et les poissons d'aquarium, cessaient dès qu'on ôtaient les lampes fluorescentes génératrices d'oranur. Les lampes fluorescentes installées dans les salles de classe produisent des effets similaires sur les écoliers. Certains maîtres d'école ont observé qu'il était souvent facile d'interrompre le chahut dans une salle de classe en éteignant les lampes fluorescentes.

J'ai observé une réaction identique chez des enfants qu'on laissait passer d'énormes quantités de temps à " regarder " la télévision. Dans les premières phases de l'exposition à la télévision, souvent l'enfant ne se concentre guère sur l'émission. Il veut simplement que la télé soit allumée, et il s'occupe souvent à autre chose tout en étant installé devant. On observe souvent cette conduite étrange dans des familles entières où, le soir, ou le week-end, l'activité familiale tourne autour de la grosse télé couleur. Personne ne semble prêter attention à l'émission en cours, du moment que la télévision est allumée. Comme les souris de laboratoire cocaïnomanes, les enfants et les adultes peuvent souffrir d'accoutumance par l'effet d'oranur du poste de télévision. Par la suite, comme les souris d'Ott, ils plongent dans un état d'inertie, de léthargie ou d'immobilité &emdash; ce qu'on appelle familièrement le couch-potato syndrome (syndrome du télé-scotché) qui est parfois annonciateur d'une maladie dégénérative. Certes, il y a là un élément émotionnel à l'Ïuvre, les adultes et les enfants tendus utilisant la télévision pour échapper à une situation sociale ou familiale malheureuse. Mais rappelons-nous la découverte de Reich selon laquelle l'orgone est l'énergie des émotions. L'effet de la télévision n'est pas une simple fuite " cognitive " ; il est aussi bioénergétique.

On observe très nettement cette forme bioénergétique d'accoutumance électromagnétique/oranurique quand quelqu'un essaye d'éteindre le poste de télévision. Les enfants agités ou léthargiques qui baignaient dans le rayonnement de la télévision, mais ne prêtait qu'une attention distraite à l'émission, se mettent soudain à protester vivement parce qu'on essaie de l'éteindre. Même les adultes souffrant de ce syndrome sont troublés à l'idée d'éteindre la télévision, qui les obligerait à sortir de cet état de légère catatonie pour établir un contact émotionnel (bioénergétique) avec d'autres êtres humains. Certes, le contenu de l'émission joue aussi un rôle : plus les sollicitations sont violentes, cruelles et sexuellement excitantes, plus elles touchent les attentes sexuelles refoulées et la colère rentrée qui affectent les gens dans notre société pour nourrir davantage encore leur syndrome. Les télé-scotchés, adultes comme enfants, ne regardent que rarement, voire jamais, les chaînes éducatives.

Autre réaction du même type, celle de l'enfant qui n'a plus de pièces de monnaie ou à qui l'on ordonne de quitter une salle de jeux vidéo. Ce sevrage provoque l'angoisse et même de violents éclats chez l'enfant comme chez l'adulte. Ott a montré que ces appareils, en particulier les postes de télévision et les tubes fluorescents, provoquent souvent l'hyperactivité chez les enfants. D'autres chercheurs actuels ont observé des troubles du comportement similaires, qui renforcent l'isolement social et la rigidité affective chez les jeunes enfants qui sont intoxiqués par leur ordinateur. Certains enfants drogués d'ordinateur souffrent désormais de cataracte du fait de l'exposition constante au CTR (tube à rayon cathodique) des ordinateurs, et la leucémie pourrait aussi être une maladie liée à la technologie. L'oranur dans les salles d'ordinateurs scolaires et dans les salles de jeux vidéo est si intense qu'il en devient immédiatement sensible. Les rayons télévision des grands magasins, qui comptent aussi beaucoup de tubes fluorescentes, frappent également le passant occasionnel d'une grande quantité d'oranur.

J'ai observé personnellement un cas évident d'intoxication au rayonnement de la télévision chez trois enfants hyperactifs qui passaient des heures chaque jour devant le poste mais n'accordaient qu'une légère attention au contenu des émissions. Dès l'instant où ils rentraient de l'école, le poste devait être allumé. Lorsque la télévision fut finalement éteinte (la mère exaspérée dut couper le fil électrique pour venir à bout de ses gosses ingénieux), on entendit une plainte de protestation douloureuse et une période d'agitation pire encore s'ensuivit. Cependant, au bout d'une semaine environ, les enfants finirent par se calmer et commencèrent à se trouver de nouveaux amis et de nouvelles activités, et leur hyperactivité disparut complètement. La mère se débarrassa du gros téléviseur couleur et se procura un petit poste noir et blanc. Même si les enfants eurent par la suite la permission de regarder le poste noir et blanc autant qu'ils le désiraient, ils ne retombèrent jamais dans le même piège et le syndrome d'hyperactivité ne réapparut pas. Dans tous ces exemples, le système énergétique de l'être humain était devenu intoxiqué à l'agitation électromagnétique/oranurique, qui exigea un effort conscient et déterminé pour la surmonter.

Quand on utilise un accumulateur d'orgone dans un environnement oranurique ou dorique, toutes les considérations ci-dessus sont de la plus haute importance, étant donné que l'accumulateur amplifie les conditions énergétiques présentes dans l'environnement local, quelles qu'elles soient. Si de l'oranur ou du dor est présent, l'accumulateur amplifiera ces tendances et conférera un caractère toxique, nocif à sa charge. Dans certains cas, les effets de l'oranur et du dor sont à la fois persistants et répandus et ne peuvent pas être modifiés par une simple modification de objets dans votre maison. C'est souvent le cas dans les grandes villes polluées et toujours le cas dans les régions proches de centrales nucléaires. En ce qui concerne les centrales nucléaires, une distance d'environ 50 à 80 kilomètres est un minimum pour se protéger des effets biologiques des émissions de radiations faibles ainsi que pour utiliser un accumulateur. De même, si vous vous trouvez à quelques kilomètres de lignes à très haute tension, ou d'un grand émetteur de radio, l'utilisation d'un accumulateur est déconseillée. Pareillement, n'utilisez pas un accumulateur si votre zone a été récemment victime d'un accident nucléaire ou de retombées radioactives.

Dernière série de recommandations. On ne devra jamais utiliser un accumulateur dans un mobile-home ou une maison couverte d'une enveloppe ou de panneaux d'aluminium. L'aluminium donne un caractère nocif à l'énergie orgonale, et il est conseillé de ne pas vivre à l'intérieur de telles structures, même si un accumulateur n'y est pas construit ou entreposé. Les mobile-homes avec des parois de bois sont sans danger. Cependant, on notera que certains mobile-homes et bâtiments sont isolés avec de la fibre de verre qui comporte un renfort en aluminium. Si cette sorte d'isolation est utilisée en grande quantité, elle aura quasiment le même effet que des parois en aluminium et fera de la maison un grand accumulateur en aluminium. De même, les maisons à toiture métallique ou les nouvelles constructions à armature en acier et non en bois agirons un peu à la manière d'un grand accumulateur. J'ai vécu dans de telles structures durant de courtes périodes et, même sans accumulateur, elles ont tendance à accumuler de fortes charges. Elle peuvent troubler le cycle du sommeil et entraîner une amplification de l'effet d'oranur en cas d'utilisation de tubes fluorescents, de fours à micro-ondes ou de postes de télévision. Les maisons modernes conçues pour réaliser des économies d'énergie ont souvent une ventilation insuffisante, ce qui aggrave encore la situation énergétique. Personne n'aurait envie de vivre à l'intérieur d'un accumulateur, et la surcharge qui apparaît spontanément à l'intérieur de telles structures aura tendance à rendre à moitié fou la plupart des gens sensibles.

Apprenez à reconnaître le dor et l'oranur, de sorte que si jamais vous vous sentiez mal à l'intérieur d'un bâtiment ou d'un accumulateur, vous puissiez prendre les dispositions adéquates pour en éliminer les effets. Aérez la pièce et vérifiez qu'il n'y a aucun poste de télévision, tube fluorescent et autre appareil en fonctionnement dans les pièces voisines ou aux étages supérieur ou inférieur. S'il y a déjà un accumulateur dans les lieux, aérez-le aussi et apprenez à le laver à l'eau. Suivez les indications fournies au chapitre suivant pour " Nettoyer votre environnement énergétique ". La sensation subjective éprouvée dans un accumulateur devrait être une sensation de chaleur, de bien-être et de détente. D'où l'extrême importance d'apprendre à connaître son environnement énergétique ainsi que la sensation de son propre corps et de ses organes. Il est clair que les facteurs liés à la vie " civilisée " ont souvent des effets nettement négatifs sur le champ énergétique orgonal de la terre, comme sur votre maison et sur vous-même. Tout ce qui peut troubler ou agiter le champ énergétique orgonal de l'atmosphère terrestre, ou de votre maison affectera gravement aussi votre propre énergie vitale. Le prochain chapitre est centré sur ce qui peut être fait pour diminuer ou éliminer ces effets toxiques.

 

*le DOR (dead orgone) est l'orgone totalement épuisé, mort, et l'ORANUR (orgone/uranium) est l'orgone surexité, frébrile, "énervé".

http://acorgone.chez.com/mise-et.htm

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22 septembre 2014

Orgone positive, bénéfique, cette énergie est vivante et dissippe les chemtrails

 

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Orgone est le nom donné par Wilhelm Reich à l’énergie vitale omniprésente de par la création. Certains l’ont appelée «Ch’i», «Prana», «Ether», «cinquième élément», etc.
Il fut le premier scientifique sérieux et intègre à se pencher sur l’existence et les propriétés de cette énergie, pourtant ses travaux furent dénigrés et calomniés, et il mourut en 1957 dans une prison américaine.

Cette énergie vitale, dans laquelle baigne l’ensemble de la réalité dans laquelle nous évoluons, se rencontre sous diverses formes.

Deux d’entre elles nous affectent directement :

  • Orgone positive, Orgone positive, bénéfique, cette énergie est vivante et donne la vie. En anglais, elle est nommée Positive Orgone ou POR.
  • Orgone négative, ou plus précisément morte et stagnante. En anglais, elle est nommée Dead Orgone ou DOR.

La DOR est créée surtout par les pensées et les émotions négatives, le mensonge, la violence, ou l’utilisation de technologies électromagnétiques ou radioactives diverses tels télévision, radio, micro-onde, nucléaire, lignes haute-tension, antennes à téléphonie mobile, etc.

Orgonite ?

L’orgonite est une technologie toute simple, inspirée et dérivée des travaux de M. Reich et améliorée par M. Don Croft, qui permet de transmuter (purifier) la DOR en POR.

Cette technologie est éprouvée, des milliers d’individus ont observé ses effets sur toute la planète.

Certains ont réussi à accomplir ce qu’on aurait pu autrefois qualifier de miracles :

  1. Dépolluer les eaux du lac Ontario
  2. Briser la sécheresse en Afrique du sud
  3. Éliminer les chemtrails de régions entières
  4. Soulager des malades atteints d’affections dégénératives

Et bien d’autres surprenants résultats !

L’orgonite est obtenue en mélangeant trois ingrédients essentiels :

  • des particules de métal
  • de la résine polyester ou époxy (ou encore du sucre)
  • un ou des cristaux de quartz et des minéraux (pierres précieuses ou semi-précieuses)

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Comment cela fonctionne-t-il ?

Disons rapidement que le métal attire et repousse à la fois le DOR, et que cette énergie traverse alors des couches successives de métal et de longues chaînes moléculaires de polymères à base de carbone (la résine). Ce faisant, l’énergie est excitée et son taux vibratoire augmente, la purifiant ainsi en quelque sorte. Les cristaux et les pierres servent ensuite à «colorer» et diriger l’énergie purifiée dans l’environnement.

le "chembuster" élimine les chemtrails comme montré si bas.

 

2 photos prisent à une heure d'intervalle après une journée intensive d'épandage

 

Ont peux observer 2 type d'effet que le Chembuster a sur les épandage en aréosol soit

  • Une élimination quasi instantané ( 0.30 à 2.00 minute) d'un tracé chimique directement au-dessus du chembuster

 

  • Et une dissipation graduelle des nuages chimiquement créés par les avions d'épandage et les tours cellulaires dans un rayon de plusieurs dizaines de kilomètres autour d'un chembuster. C'est le phénomène qui arrive le plus souvent et qui est le plus facile à observer.


  • femme-medecine.ch
    une excellente brochure est disponible gratuitement sur le site de MaRa, orgonaute


l'orgonite , cloudbuster et chembuster ... par franco17320


Chembuster vs Chemtrails par keke_boys

Cloudbusteredit400w

L’orgone : énergie de la Vie

De 1935 à sa mort en 1957, d’abord en Europe puis aux États-Unis, Wilhelm Reich s’intéresse de plus en plus à l’énergie de la vie, à la forme énergétique de la vie, sous toutes ses manifestations. Il crée une méthode thérapeutique originale, la “végétothérapie” et, lorsqu’il considère avoir mis expérimentalement en évidence l’existence d’une énergie de vie, qu’il baptise orgone (organe-orgasme), il regroupe tous ses travaux sous le nom d’orgonomy (orgonologie en français).

Installé à Oslo, Wilhelm Reich entame des recherches sur la charge bioélectrique de la peau et des muqueuses. Ces recherches, très en avance sur son temps et jugées par certains scandaleuses, sont centrées sur La fonction électrique de la sexualité et de l’angoisse. Elles démontrent par des mesures faites à l’aide d’un oscilloscope enregistrable, que le potentiel électrique des zones érogènes varie notablement en fonction directe d’une sensation, agréable ou désagréable. Wilhelm Reich les poursuivra jusqu’en 1938. Elles le conduiront à présenter le plaisir et l’angoisse comme les deux pôles de la vie végétative, le premier comme l’expression vive de l’énergie vitale allant du centre du corps vers sa périphérie, se tournant vers le monde, la seconde comme étant le vif mouvement centripète de cette énergie allant de la périphérie du corps vers son centre, se protégeant du monde. Elles l’amèneront ainsi à passer de l’analyse du caractère à une méthode agissant directement sur le corps et l’équilibre neurovégétatif de la personne, qu’il nomme végétothérapie.

En Allemagne, les Nazis ferment les Centres de consultation d’hygiène mentale et sexuelle. Un mandat d’arrêt est lancé contre Wilhelm Reich. À Berlin on brûle ses livres et toutes les publications de la Sexpol.

Il publie ensuite une étude sur le Réflexe orgasmique, Attitude musculaire et Expression corporelle, publiée en 1937. Ce réflexe est de l’ordre de l’orgasme car il est une participation globale du corps à la fonction vitale de la respiration, qui est accompagnée de libres mouvements ondulatoires, parfois convulsifs lorsqu’elle est profonde. Avant la décharge orgasmique lors de l’étreinte sexuelle, ce mouvement ondulatoire est amplifié par sa résonance couplée à celui du compagnon ou de la compagne, pour s’étendre à l’ensemble de l’organisme, psyché comprise. La décharge énergétique amoureuse (vitale) commune est complète et englobante lors de l’acmé sous forme de convultions involontaires : c’est ce qu’on nomme orgasme. Suit ensuite une période de détente et de gratification envers la/le partenaire et la vie en générale. Cette période de relachement fait aussi partie de l’orgasme, comme conséquence, bien évidemment.


Bions

La question suivante est : “Ce réflexe de plaisir et d’angoisse, de tension et de détente, d’alternance entre la charge et la décharge relève-t-elle aussi du monde microscopique ?”. Wilhelm Reich se rend à l’Institut de Biologie d’Oslo pour y requérir des culture de protozoaires et d’amibes. On lui répond qu’il lui suffit seulement de faire tremper pendant quelques jours de l’herbe ou de la salade dans de l’eau pour en obtenir une : ces substances retiennent sur leur surface tous les “germes aériens” qui donnent naissance à ces macrophages ! En respectant ce protocole, il poursuit sur l’amibe le phénomène de contraction et de détente (acide/sucré) et leur relation bioélectrique.

Mais parallèlement il observe aussi le processus même de la transformation de l’herbe en protozoaires et en amibes. Ce qu’il remarque est différent de ce qu’on lui a dit : il semblerait que les protozoaires et les amibes proviennent, au travers d’un processus toujours identique, de l’herbe ou de la salade en décomposition même. Le végétal semble se déliter en vésicules (auxquelles il donne le nom de bions) qui ensuite s’amassent les unes aux autres pour s’entourer d’une pellicule, d’une peau dans laquelle elles s’organisent en mouvements pulsatoires. Elles se transforment alors en “proto-protozoaires” qui donneront ensuite soit des protozoaires soit des amibes. Face à ces découvertes auxquelles on oppose le sempiternel “cela provient des germes aériens”, Wilhelm Reich lessive, ébouillante, cuit à l’autoclave ses préparations et, chose étrange, le phénomène de décomposition bioneuse est amplifié. Il pousse ses recherches sur les matières minérales et voit le fer, lui aussi, se décomposer lentement en bions, vésicules visibles à grossissement microscopique faible à moyen, présentant grossièrement la forme d’un hématite gonflée, de couleur jaunâtre, réfractant le bleu et dotée, en lumières indirecte, d’un champ coloré bleu. Qu’en est-il des “germes aériens” ?

Il est un fait que le processus adopté pour la stérilisation des substances soumises à l’observation, ne concoure pas à proprement parlé à l’élimination de la vie, mais, au contraire, au développement de la vie sous une forme précise ; c’est l’exact procédé inverse utilisé pour la stérilisation des confitures : les mélanges (à base de blanc d’eau, de lécithine, de bouillon de soupe) sont des éléments nutritifs, favorable au développement de la vie, même soumise à des contrainte extrêmes telles que la cuisson à l’autoclave (120°) durant vingt minutes.

Après trois ans de recherches, parution en 1938 à Oslo, de Die bione, zur Entstehung des vegetativen Lebens (Les bions), étude sur ce qu’il considère être des vésicules d’énergie vivante, visibles au microscope à fort grossissement (entre 20 et 4000 fois), présentant aussi des stades de transition entre la matière non-vivante (purement minérale) et la matière vivante (déjà animale). Étude qui intéresse quelques scientifiques, mais qui lui vaut d’être traité par beaucoup de “charlatan, fou, psychopathe, délirant…”. Une campagne de presse pour grande part organisée des psychiatres norvégiens fait de lui un “paranoïaque” ayant séjourné en asile psychiatrique ; il s’avera plus tard que le colporteur de cette faramineuse nouvelle avait lui-même dû séjourner en hôpital psychiatrique et avait été un ancien collaborateur de Wilhelm Reich à Berlin.

Il fit une communication de ces découvertes à l’Institut des Sciences de Paris, qui en donna la vérification au français Roger Du Theil. Celui-ci confirma les faits. Mais l’Institut, au moment de sa publication, voulu adjoindre une “introduction” au texte de Wilhelm Reich, qui dénigrait toute découverte originale faite par lui ; il refusa alors la publication de sa communication.

Un laborantin, lors d’une démonstration, se trompa un jour, et porta à incandescence du sable de plage (au lieu de limaille de fer) pour le plonger dans le bouillon de culture à stériliser. À l’observation au microscope, la décomposition a offert à la vue de gros paquets de vésicules, qui reçurent le nom de “bions SAPA”.

Les bions SAPA étaient remarquable en ceci que toutes les personnes qui les ont observés pendant suffisamment longtemps au microscope contractent une conjonctivite. Diminuant la fréquence de ses observations sur les conseils de son médecin, et cependant sans vouloir en cesser l’observation, Wilhelm Reich fabriqua une petite boite en fer dotée d’une ouverture à laquelle on pouvait adapter un petit système de grossissement optique : il s’agissait de savoir si la conjonctivite était provoquée par une “sorte” de rayonnement, et dans ce cas, de pouvoir observer ce rayonnement dans le noir le plus complet. Il y avait, effectivement, dans la boîte contenant une culture de bions SAPA, un rayonnement de particules bleutées de la taille d’une très petite tête d’épingle s’y déplaçant comme aléatoirement de part en part en zigzaguant. Intrigué, il sortit quand même la culture de bions de l’enceinte métallique, la recouvrit d’une tissu de laine pour l’isoler thermiquement et constata que, même sans la culture de bions, le rayonnement y était encore présent.

C’est pour mieux observer ce rayonnement, qu’il se fit construire une boîte de structure semblable (alternance de métal et de laine) de la taille suffisante pour pouvoir y tenir assis. Il donna plus tard, après de nombreuses observations autour de ce qu’il avait nommé orgone, dans un livre “La fonction de l’orgasme : La biopathie du cancer” un résumé de son travail. Et l’enceinte métallique était le prototype de l’accumulateur d’orgone.

Son intérêt pour le cancer se précisa dans l’observation de la décomposition bioneuse : une cellule vivante, lorsqu’elle meurt, se décompose et libère sa charge orgonale sous la forme de bions. Suivant sa vitalité initiale, se libèrent aussi des “bacilles T” (todt) “visibles” à un grossissement de 3000 à 4000 fois. “Visibles” car on sait bien qu’un tel grossissement ne donne à voir que du trouble, le grossissement optique atteignant ses limites vers 2500 fois environ. Mais l’avantage essentiel de l’observation optique est que la matière observée peut l’être encore vivante, tandis qu’une observation électronique met dans l’obligation d’utiliser une matière précédemment tuée.

Le cancer est mit en relation avec une insuffisance d’oxygénation des tissus, un blocage émotionnel, une stase énergétique et une désintégration excessivement rapide des cellules. Et sa guérison, ou le ralentissement de la décomposition bioneuse présentant un excès de bacilles T, est soumise à une régénération des tissus de l’organisme par une recharge en énergie orgonale, et l’élimination conséquentielle de ces bacilles T. L’élimination de ces derniers est essentielle, car en s’agglutinant autour des charges orgonales que sont les bions, ils s’en accaparent l’énergie, d’une part, et d’autre part, leur nombre excédentaire les rend difficiles d’élimination par les voies naturelles. Rétablir la santé, c’est rendre à l’organisme vivant l’amplitude suffisante de sa pulsatilité : un organisme à l’amplitude pulsatile restreinte se voit dans l’impossibilité de retirer de son environnement – par une ample respiration, une nourriture attrayante et saine, la satisfaction que l’on requiert du contentement de vivre et de créer sa vie – l’énergie nécessaire à son entretient et sa régénération.

En 1939, quelques jours avant que la guerre n’éclate, Wilhelm Reich pose le pied sur un embarcadère de New York, aux États-Unis, sur l’invitation officielle de Bronislav Malinovski avec lequel il s’était lié d’amitié. Là, de cette date à 1941, il donnera un cours sur “Les aspects biologiques de la formation du caractère” à la New School for Social Research. Quoi dire encore, sinon que le FBI s’intéresssa à son cas, peu après son arrivée, en le maintenant quelques jours en prison, car il avait été un jour adhérent au Parti communiste ?

Il poursuivra ses recherches dans son laboratoire privé. Il en vient à considérer que ce qu’il nommait “bioénergie” est en fait une énergie-vie qui anime le cosmos dans son ensemble et que, présente dans l’atmosphère (qui fait partie du cosmos !), elle agit sur le vivant comme une énergie biologique spécifique pour des éléments de la vie spécifiques. Il la nomme alors orgone (1940), mot construit sur la racine grecque organ, “bouillonner d’ardeur”, d’où dérivent les mots orgasme, organisme et organe. Pour la densifier, à des fins expérimentales, il fit tapisser une chambre entière de feuilles de métal, obscure à la lumière, afin d’y installer d’autres accumulateurs pour voir la tension de charge orgonale en ce lieu bien supérieure à l’environnement dans le but d’en mieux observer, à l’aide d’instruments de mesure (thermomètre, électroscope, appareils par lui inventés), les modalités de fonctions. Wilhelm Reich expérimente sur des souris saines des injections de bacilles T, qui induisent des cancers à l’endroit précis de l’injection, et sur des souris cancéreuses des injections de bions, ce qui retarde la mort de l’animal. Il entreprend la vingtième expérience (XX experience) : après avoir fait séjourné de l’eau distillée dans un accumulateur d’orgone, il la met à geler à l’air libre, enfouie dans le sol, ou mise dans un accumulateur dehors et constate qu’au coeur de la glace formée s’est agglomérée une substance colloïdale, contenant elle aussi, à l’observation microscopique, des bions libres : la vie est présente partout, s’immisce partout là où la sollicite, il suffit d’ouvrir les yeux pour s’en apercevoir et de cesser de la tuer parce qu’on en craint les manifestations à l’extérieur de soi comme on en craint les manifestations à l’intérieur de soi.

Dans les années 1945, une violente campagne de diffamation se déchaînera contre lui. L’accumulateur d’orgone est devenu, sous la plume d’une journaliste, une boîte à érection et Orgonon (le laboratoire de Wilhelm Reich) un lupanar.

Albert Einstein

Albert Einstein

Le 13 janvier 1941, il se rend à Princeton où il a rendez-vous avec Albert Einstein. L’entretien, très cordial, pendant lequel Wilhelm Reich expose ses expériences sur l’orgone à un scientifique bienveillant et intéressé, dura près de cinq heures. Ils conviennent que Wilhelm Reich lui envoie un petit accumulateur d’orgone pour qu’il puisse vérifier par lui-même certains résultats inexplicables par les lois physiques connues. Car le mouvement orgonal va du potenciel orgonal le plus faible au potenciel orgonal le plus fort (plus il y a de tension d’orgone, plus l’orgone attirera l’orgone, jusqu’à un point maximal où il se déchargera de sa tension excédentaire – nuages, attraction planétaire, mouvements galactiques, la tourmente en général précédant ce point de décharge), on constate que son principe est opposé au principe de Carnot qui dit que le mouvement des forces physiques va du potenciel le plus fort (haut) au potenciel plus faible (bas).Einstein l’assure que “si les observations se confirment, il soutiendra sa découverte”. Wilhelm Reich apporta lui-même ce petit accumulateur les premiers jours de février. Celui-ci fut installé sur une table dans la cave d’Einstein et aussitôt ils firent ensemble quelques observations. Einstein demanda à poursuivre ses observations pendant quelques jours encore et promit à Wilhelm Reich de lui écrire, ce qu’il fit dix jours plus tard. Dans sa lettre il confirmait d’abord ce qu’il avait observé lors de l’installation de l’accumulateur et les jours qui suivirent ; puis il indiquait comment l’un de ses assistants avait alors attiré son attention sur les “phénomènes de convection calorifiques existant dans la cave”. Cette réponse fut pour Wilhelm Reich un coup très dur. Moins d’une semaine plus tard, il envoya à Albert Einstein une longue lettre-mémoire d’observations qui balayait l’interprétation (le manque de perception de ce qui peut se passer dans la base qui soutient le rez-de-chaussée devait y être pour quelque chose) de son assistant. Einstein ne répondit rien.

En 1942, il publie La fonction de l’orgasme (version en langue anglaise, différente de Die Funktion des Orgasmus de 1927), ouvrage en grande partie biographique qui présente une synthèse de ses recherches.

Il trouve à acheter tout au nord des États-Unis, dans l’Etat du Maine, en pleine nature, un grand domaine qu’il baptise Orgonon pour s’y installer à résidence. Il y fait construire un ensemble comprenant sa propre maison, un laboratoire, un observatoire astronomique et une salle de cours pour ses étudiants, des annexes. C’est là qu’il développera la dernière partie de son œuvre, celle qui concerne surtout la biophysique de l’orgone. Plusieurs conférences internationales seront organisées dans ces lieux … souventes fois agrémentées des vicissitudes du FBI lors de l’obtention des visas de frontières.

De son union avec Ilse Ollendorff (dont la biographie sur son mari est très intéressante), naît, en 1944, un fils : Peter. Son intérêt pour l’observation des nouveau-nés s’accroît, comme devant lui croît un petit être plein de vie. Il réaffirme avec vigueur l’importance d’une attitude préventive de la névrose chez l’enfant et l’adolescent.

La dernière décade (1947-1957) sera marquée, toute entière, par ses démêlés avec l’administration et la justice états-uniennes, ce qui ne l’empêchera pas de poursuivre ses recherches sur l’énergie de la vie et de s’intéresser à divers phénomènes atmosphériques.

Suite à un article diffamatoire dans le Harper’s Magazine, en 1947, les difficultés recommencent. C’est l’époque de l’utilisation intensive des accumulateurs d’orgone (Acorg) avec la participation de patients. Ces accumulateurs lui vaudront de graves ennuis avec la pointilleuse Food and Drug Administration qui l’accuse de publicité frauduleuse et de charlatanisme, quand bien même il ne faisait pas commerce de ces accumulateurs, se contentant de les louer en contrepartie d’une participation aux frais et charges inhérents à cette location. Wilhelm Reich dénie à cette administration la moindre compétence pour juger de ses techniques thérapeutiques et encore moins de la plus simple des découvertes scientifiques.

En 1950, il crée, à New York, l’Orgone Energy Clinic, destinée au dépistage des maladies énergétiques (biopathies), et l’Orgonomic Infant Research Center, dédié à l’étude de la sauvegarde de l’enfant depuis le stade prénatal jusqu’à l’adolescence. Il écrit Children of future.

Installation définitive à Orgonon où, le 15 décembre 1950, débute l’expérience Oranur (Orgonotic Anti-Nuclear Radiation). Wilhelm Reich enferme une aiguille de 1 gramme de radium (radio-actif) dans un accumulateur à vingt couches situé dans la chambre des accumulateurs. L’objectif est de vérifier si l’orgone concentrée peut contrer les effets mortifères des radiations atomiques : la désintégration de la matière sera-t-elle contrée par la matière qui construit la vie ? Ce fut une catastrophe. Des souris situées jusqu’à une centaine de mètres de là moururent de cancer ou de déshydratation, l’ensemble des bâtiments était entouré d’une masse d’ambiance sombre, lourde, oppressante, les pierres se dégradèrent à vue d’oeil. Les oiseaux se turent. Tous les participants tombèrent gravement malades, le laboratoire était rendu inutilisable durant de mois. L’énergie de vie avait été excitée au plus haut point, comme rendue folle, ce qui l’avait vite épuisée et elle cherchait à retirer de la vie de tout ce qui l’entourait. Wilhelm Reich avait déjà remarqué qu’un tube pointé vers le ciel au dessus de l’eau provoquait un léger souffle d’air visible par des rides sur la surface de l’eau. Il eut l’idée d’enterrer le “DOR” (Deadly Orgone Radiations) en l’obligeant à retourner à la terre en pointant une série de tubes, reliés à un puits, sur le nuage de dor qui chapeautait les environs : le premier cloudbuster avait donné une solution au résultat de l’expérience. Mais il est évident que l’énergie nucléaire est incompatible avec une construction positive de la vie au sens végétal et animal du terme. L’utilisation industrielle de la décomposition de la matière est aberrante, dangereuse, nuisible et induit l’aberrance en raidissant plus encore la structure caractérielle des personnes par la production ici-et-maintenant d’une énergie de vie, de la vie, totalement épuisée sur lesquelles elle se répercute. On ne peut percevoir la vie qu’en fonction de ses propres sensations, et la vie épuisée sans satisfaction ne percevoit plus d’elle-même qu’une sombre souffrance.

En 1952, construction d’un cloudbuster (têteur d’éther ou chasseur de nuages) destiné à agir au travers de l’orgone atmosphérique sur la concentration ou la dissipation de l’énergie orgonale responsable de la formation des nuages ou des ouragans (l’orgone attire l’eau et l’eau attire l’orgone). Expérimentation durant l’été au Texas ; les journaux locaux signalent plusieurs pluies inespérées. La Superposition cosmique en résulte, bientôt suivie de Contact with space. Les déserts sont des endroits de la terre où s’est amassée, pour des raisons topologiques ou géographiques, une grande quantité d’énergie totalement épuisée, avide d’eau ; et on sait que l’eau c’est aussi la vie. En soutirant de ces endroits le dor, en rétablissant la faculté du lieu à attirer et retenir l’humidité, les algues et les mousses repoussent, et retiennent de plus en plus d’eau qui, à son tour, se prête aux gonflement et à la germination des graines de l’herbe ! Et l’herbe attire la pluie. Le monde est un organisme vivant, compréhensible comme un gigantesque ensemble que l’organisme humain est à même d’appréhender dans la mesure où il se considère lui-même comme un sensationnel organisme vivant. Une année ou deux avant que la forêt ne meurt, elle a perdu déjà son champ orgonal, il est déjà visible que son énergie a été épuisée, qu’elle ne retient plus l’eau.

La même année, un représentant des Archives Sigmund Freud, Kurk Eissler, vient l’interviewer sur ses relations passées avec S. Freud. Au cours de deux longues conversations enregistrées au magnétophone, il discute de son œuvre et de leurs relations avec “ce grand homme, ce maître”. Il en résultera un livre très vivant : Wilhelm Reich parle de Freud. Cependant les archives du “maître” relatives aux relations épistolaires de Wilhelm Reich et de Freud, restent hélas hermétiques à la publication.

1954. Devant son refus de répondre à une citation en justice, parce qu’il estime qu’aucune cour juridictionnelle ne peut rendre de jugement sur aucunes découvertes scientifiques (souvenons-nous de Galilée et de son “elle tourne quand même“), le juge prescrit la destruction des accumulateurs et la destruction par le feu ses livres contenant le mot orgone car “l’orgone n’existe pas” (J. D. Clifford, juge états-unien dans son rendu de justice), c’est-à-dire de la majeure partie de ses œuvres, considérées comme “propagande” ou “textes publicitaires” ! Le FBI vient chez lui détruire à la hache ce qui est qualifié de “machines à orgone” bien que les accumulateurs soient des instruments entièrement passifs.

En automne il part quand même pour l’Arizona où il réalise avec un cloudbuster l’opération OrOp-Desert. L’opération est télévisée ; les journaux confirment son succès : “Il pleut dans le désert reverdit !”. L’orgone n’existe toujours pas.

Les dernières années de sa vie sont marquées par les tracas du procès et la recherches d’équations cosmiques. Condamné à deux ans de détention pour outrage à la cour, car un de ses assistant a été arrêté lors du déplacement d’un têteur d’éther (cloudbuster) à plus de 1000 km de là, Wilhelm Reich est incarcéré le 12 mars 1957 au pénitencier fédéral de Danbury, Connecticut. Le 22, on le transfère à celui de Lewisburg en Pennsylvanie où il se porte volontaire pour suivre un protocole d’expérimentation médicamenteuse, afin de voir réduite sa peine. Toute prison détruit, autant que ces protocoles, celle-ci tuera encore : Wilhelm Reich y mourra dans la nuit du 3 novembre. Il comptait se remarier avec une nouvelle compagne et aller vivre en Suisse pour y poursuivre libre ses études du vivant libre en train de vivre libre.

 

Le gouvernement des Etats-Unis n’est pas habilité à traiter de la Loi Naturelle Fondamentale. Or l’orgonomie est une branche de la Science Naturelle Fondamentale… Se présenter au tribunal pour “défendre” la Recherche Naturelle Fondamentale constitue en soi un acte absurde. En effet, tout investigation dans ce domaine se situe en dehors de la compétence juridique d’une administration sociale quelle qu’elle soit. Le droit de l’Homme à la connaissance doit être protégé, si le terme Liberté doit signifier plus qu’un slogan politique vide de sens. Je ne comparaîtrai pas devant le tribunal pour “me défendre” contre un plaignant dont la nature même de la plainte prouve qu’il ignorait tout de la science naturelle…

Réponse écrite de Wilhelm Reich adressée aux juges

4 juin 2014

Didier Coilhac : Le grand secret des châteaux et des cathédrales doc

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Le Secret des châteaux et des cathédrales

                                       

      Les Rois de France étaient-ils en possession d'un Secret, tellement énorme et anachronique,  qu'il était impossible à dévoiler ? Il aurait alors semblé judicieux de coder l'information dans la pierre afin d'assurer une transmission au futur. Ainsi, les grands monuments de la France, châteaux et cathédrales, portent-ils à différents niveaux une connaissance cachée, un héritage d'un passé oublié. Les indices se retrouvent dans le choix des implantations cartographiques, dans les plans des bâtiments, dans la décoration, les sculptures, les dimensions… Les Rois et la noblesse de France nous ont légué leur secret en utilisant une architecture colossale que eux seuls étaient à même de créer.

 

A-t-il existé une antique civilisation très évoluée à l'image de la mythique Atlantide ? Cette société originelle perdue dans l'Age d'Or nous aurait laissé un héritage culturel détenu par l'ancienne Royauté. La France de l'Ancien Régime était sans doute l'héritière d'un dépôt ancestral, une bibliothèque de pierre qui certifiait l'existence d'un monde qui avait précédé le nôtre. Nous parlons ici d'une civilisation antérieure à l'Antiquité gréco-latine, antérieure même à l'Egypte des Pharaons. Ce « trésor » culturel avait de quoi déplaire à la toute puissante Eglise, de par la mise en cause de la chronologie biblique. Il devenait alors nécessaire d'en différer la divulgation en codifiant certains monuments importants du pays. Le Secret des Rois de France et de la monarchie française sera dévoilé un jour : il éclairera le passé d'une lumière nouvelle et surprenante. Toutes les preuves sont là, sur la carte de France, dans ces constructions qui sont autant d'inestimables pierres précieuses. Je vous invite à découvrir des facettes insoupçonnées de ces diamants, rubis et émeraudes étincelants de lumières, à l'image des vitraux de l'art gothique.   

En passant, nous rendrons visite à deux personnalités majeures de l'ésotérisme : Léonard de Vinci et Nostradamus. Les tableaux de l'un et les prophéties de l'autre ont bien des secrets à nous révéler, en accord avec la cabale architecturale.

 

Peut-être pensez-vous que tout ceci n'est que rêve d'ésotérisme coupé du réel ? Il n'y aurait ni énigme, ni mystère? Je vous propose un faisceau de preuves impressionnant et révolutionnaire. A vous de larguer les amarres du conventionnel: naviguez sur les eaux de la nouveauté !   

 

Source : Didier Coilhac

1 avril 2014

Théorie du genre : l’hystérie queer en images…à sciences po

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A SciencesPo, la «Queer week», c’est la diffusion de films pornographiques «queer», des ateliers de travestissement dans les salles de classes, des photos de partouzes dans les halls d’entrée, de nombreuses conférences de militants LGBTIQ extrémistes.

Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français, a été invitée au colloque «Alliances émancipatrices : au-delà du Queer» le 28 mars, par un groupe d’étudiants de SciencesPo choqués par les dérives des gender studies dans le milieu universitaire. En effet, selon les mots de l’équipe organisatrice, «tout le monde est invité à participer, tous les événements sont gratuits et ouverts à tous». En pratique, Béatrice Bourges, bien que simple spectatrice de la conférence, a été très violemment rejetée. Une partie de l’audience et un(e) des intervenants du colloque se sont précipités sur la porte-parole du Printemps français et l’ont bousculé violemment au point de la faire tomber au sol. Vous croyez encore que la théorie du Genre n’est qu’une rumeur ?

 

Source(s) : printempsfrancais / YouTube / JRE Le Libre Penseur

20 décembre 2013

Le vrai visage du Docteur Josef Mengele et le Programme Monarch

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Le vrai visage du  Docteur Josef Mengele et le  Programme Monarch

L'un des génies du mal les plus cruels des temps modernes fut le Docteur Josef Mengele. Il utilisa
plus de 3.000 jumeaux pour ses recherches, pour les seules années 1943-1944. La plupart de ces
jumeaux périrent. Ces jumeaux étaient sélectionnés parmi les foules envoyées dans les camps de
concentration allemands. A la fin de la guerre, Mengele avait appris beaucoup de choses sur la
manière de torturer des enfants, pour que ces derniers soient liés à lui d'une manière absolue.
Aujourd'hui encore, beaucoup de survivants de ces horribles expériences restent persuadés que
Mengele aimait beaucoup les enfants. Ils continuent à l'aimer comme s'il était leur père. Mengele
avait également réussi à créer des jumeaux artificiels par la programmation mentale. Quand il se
rendait dans des bases militaires, il apportait toujours son violon avec lui. Il cachait dans son
violon ses codes secrets pour la programmation par les couleurs.
D'autres hommes ont travaillé avec le Docteur Mengele, et sont par la suite devenus des
programmeurs à part entière. Le Docteur Cameron, du Canada, devint ainsi un programmeur
spécialisé dans la création d'esclaves mentaux, dans le cadre du Programme Monarch. Il était aussi
connu sous le nom de "Doctor White". Un autre programmeur, qui n'était pas un sataniste de pure
lignée, était Heinrich Mueller, connu sous le nom de "Doctor Blue". Ce dernier vivait dans le nordouest
des Etats-Unis, et avait deux fils, Theodore (Teddy Bear) et Michael (Robin Hood). Deux des
programmeurs les plus cruels de la côte Ouest sont Jerry Lee Lewis et Michael Aquino. Ces deux
hommes sont des tueurs au sang froid, et valent bien Mengele quant à leur habileté à torturer.
Michael Aquino, qui appartenait aux services de renseignements américains, était en mesure de
transmettre ses compétences diaboliques de programmeur mental à des dizaines d'officiers de
l'armée. Sa femme travaille avec lui, et s'appelle Lilith Sinclair. Michael Aquino a voyagé dans tous
les Etats-Unis pour exercer sa fonction de programmeur. C'est Michael Aquino qui a utilisé Cathy
O'Brien comme star et victime à la fois, dans sa vidéo destinée à former des officiers aux méthodes
de programmation mentale pour créer des esclaves mentaux.
Les principaux programmeurs sont donc connus sous les noms des Docteurs Green, Black, White
et Blue. Ces quatre programmeurs ont ensuite formé des milliers de programmeurs à temps partiel.
Les meilleurs programmeurs sont ceux qui sont capables de pénétrer dans la pensée et l'intellect de
leurs victimes, un peu à l'image de l'inspecteur Colombo, joué par Peter Falk. Ce derniers fait
d'ailleurs partie, dans sa vie privée, du monde des programmeurs. Il faut savoir qu'une victime du
programme de contrôle mental Monarch peut avoir un certain nombre de programmeurs, mais que
cet esclave mental sera formé pour n'obéir qu'à la voix d'un nombre limité de maîtres ou
d'utilisateurs. Si quelqu'un veut utiliser un esclave mental qui n'est pas programmé pour
reconnaître sa voix, cela peut déclencher chez l'esclave un programme de suicide. Mais un robot
humain peut aussi avoir en lui certaines parties de sa personnalité programmées pour empêcher
d'autres parties de sa personnalité de le conduire au suicide. Mais l'esclave mental doit être
clairement programmé pour se tenir à l'écart d'utilisateurs non identifiés, sous peine de devoir se
suicider.
Nous sommes actuellement parvenus à une époque où nous sommes à la deuxième ou troisième
génération d'esclaves mentaux robotisés, qui sont eux-mêmes devenus des programmeurs. Ce sont
des robots humains programmés qui font actuellement la plus grande part du travail de
programmation mentale. Cela signifie que la plupart des programmeurs souffrent eux-mêmes d'une
personnalité fractionnée. Certains de ces programmeurs sont des militaires de carrière, qui
considèrent toute "discipline" ou "méthode de formation" comme bonne, si elle permet d'obtenir des
soldats qui obéissent sans discussion. Ces militaires ont perdu toute notion de limite morale à faire
respecter par les programmes de "formation". Cela explique pourquoi le système de production
d'esclaves mentaux tourne actuellement à plein régime, pour produire toujours plus d'esclaves
mentaux. Ceci est très inquiétant. Ceux qui parviennent à s'échapper, avec beaucoup de peine, de

ce système de programmation mentale, sont en tout petit nombre, par rapport au grand nombre
d'esclaves mentaux qui sont constamment créés. Depuis 1947, plus de deux millions d'Américains
ont subi les méthodes de programmation mentale utilisant la torture. En 1970, la CIA dut admettre
publiquement qu'elle utilisait des méthodes de programmation mentale. Pourtant, le grand public
continue à ignorer largement ce qui se passe dans ce domaine.
Le Docteur Green, ou Josef Mengele.
C'est le plus important de tous les programmeurs. C'est sans doute lui qui peut être considéré
comme le père de la méthode de programmation Monarch. C'était le "médecin" des camps de
Esclaves_par_l_esprit_L_accepterez_vous_Mind_controlconcentration nazis. Il fut le programmeur principal de milliers d'esclaves mentaux aux Etats-Unis.

Le Docteur Mengele était d'assez haute taille. Il avait les cheveux châtain foncé, des yeux d'un brun
vert, et était fort élégant. Son caractère était semblable à celui du Dr Jekyll et M. Hyde. Il désarmait
les gens par son amabilité. Il était apparemment doux, tranquille et intelligent, tout en cachant un
côté profondément sadique et brutal. Il était né dans une riche famille de satanistes depuis des
générations. Il devint l'un des satanistes les plus puissants dans le monde. Il était expert en
démonologie et en Cabale. Il était au moins Grand Maître des Illuminati. Mais nous ignorons
jusqu'à quelle hauteur de la hiérarchie satanique il a pu accéder.
Etant membre des Illuminati, son corps ne devait porter aucune cicatrice visible. Josef Mengele ne
se fit donc pas imprimer le tatouage nazi quand il rejoint les rangs des SS. Mengele devint le
médecin du camp de la mort d'Auschwitz. A cette place, il occupait une position clef. Il put ainsi
utiliser d'innombrables cobayes humains pour ses expériences. L'un de ses sujets de recherche
principaux était de déterminer avec précision le degré de torture que divers êtres humains
pouvaient supporter. Il établit des statistiques et des tableaux précis, qui permirent aux Illuminati
de connaître exactement le degré de torture à appliquer à leurs esclaves mentaux formés par le
programme Monarch.
Mengele grandit à Grunzberg dans une famille connue pour son goût du secret. Sa mère était très
dure. Il fit ses études à Francfort-sur-le-Main, haut lieu du satanisme allemand. Il fit son internat à
Leipzig, ville connue pour héberger de nombreux chercheurs dans le domaine de l'étude du
comportement humain et des méthodes modernes d'apprentissage. Plus tard, il fit partie des SA,
puis des SS. A la fin de la guerre, l'armée américaine prit soin de Mengele. Les satanistes
américains firent secrètement entrer Mengele aux Etats-Unis. Il fut aussi reçu dans divers pays
d'Amérique latine, pour faire croire qu'il s'y était réfugié. Mais, en réalité, Mengele passa une bonne
partie de son temps à voyager dans le monde entier, pour visiter en particulier des établissements
comme l'Institut Tavistock ou la base navale de China Lake, où l'on transformait des enfants
innocents en esclaves mentaux.
Mengele vécut effectivement au Brésil, en Argentine et au Paraguay, mais la CIA et d'autres groupes
travaillant pour les Illuminati en profitèrent pour lancer beaucoup de fausses informations à ce
sujet. Tout au long de sa vie, Mengele continua à aimer la musique et la danse. Il devint un
manipulateur de marionnettes humaines, et il utilisait la musique pour les programmer. Il aimait le
violon et le piano. Il utilisa beaucoup la musique dans ses méthodes de programmation mentale.
Certains de ses élèves ont aussi utilisé la musique dans la programmation mentale. C'est cette
tendance à employer la musique dans la programmation mentale qui a permis à la musique
"western" et "country" américaine de se développer. Ces musiques peuvent être considérées comme
un sous-produit de la programmation mentale Monarch. L'industrie de la musique country n'est
qu'un moyen de couvrir un important trafic de drogue, effectué par des esclaves mentaux.
L'influence de Mengele s'est aussi exercée au niveau des recherches sur les jumeaux. Mengele était
fasciné par les jumeaux. Il a fait des expériences sur des milliers de jumeaux, sont la plupart
périrent sous les tortures employées au cours de ces expériences. Les expériences scientifiques
nécessitent souvent un groupe faisant l'objet des expériences, et un groupe de contrôle. La
recherche était donc facile avec des jumeaux. C'est pourquoi Mengele en utilisait beaucoup. Aidé
d'autres chercheurs Allemands et Italiens, il fit aussi des recherches sur les liens affectifs
traumatiques qui pouvaient lier une victime à son bourreau, au point que ces victimes servaient
leur maître avec une loyauté absolue. Dans les camps de concentration, il arrivait que Mengele
sauve de la mort un certain nombre de condamnés, qui lui restèrent fidèles, malgré le fait que ces
personnes savaient que Mengele torturait à mort des milliers d'autres personnes.

Les esclaves mentaux Monarch sont programmés pour croire qu'ils ont un jumeau quelque part. De
nombreux esclaves mentaux ont même été programmés pour croire qu'ils appartiennent à un
groupe de quadruplés.
Dans les camps de concentration, Mengele était connu sous les noms "d'Ange de la Mort", "Père",
"Papa", ou "Beau Josef". Les esclaves mentaux qui ont été programmés par lui le connaissent sous
les noms de "Docteur Green", "Papa", David", ou "Fairchild". Certains esclaves mentaux se
rappellent encore le bruit de ses bottes brillantes, quand il arpentait la pièce où il les programmait.
Mengele aimait réduire ses victimes à l'état de véritables animaux. Pourtant, ces victimes étaient
formées pour ne jamais pleurer.
Mengele était très connu pour sa méthode de programmation "Marguerite". Il effeuillait une
marguerite en disant : "je t'aime", "je ne t'aime pas"… Si le dernier pétale tombait sur un "je ne
t'aime pas", il mettait à mort le petit enfant, en présence des autres enfants qu'il était en train de
programmer.
Mengele se trouvait à Dallas lors de l'assassinat du Président Kennedy. Ce dernier fut assassiné par
des esclaves mentaux Monarch. Il existe un témoignage formellement établi devant la justice, où un
témoin associe Josef Mengele à l'assassinat de Kennedy, en affirmant avoir vu Mengele dans le
bâtiment où l'un des coups de feu avait été tiré. Ce témoin, Luis Angel Castillo, n'était que l'un des
esclaves mentaux envoyés par les Illuminati pour assassiner Kennedy le 23 novembre 1963.
Madame Krebs, une Allemande résidant en Allemagne, travailla avec Mengele, en compagnie d'un
grand nombre d'autres programmeurs, pour préparer l'assassinat de Kennedy.
En 1956, Josef Mengele demanda, et obtint de l'Argentine, un permis de séjour officiel sous son
propre nom, ce qui prouve l'audace des Illuminati. Cette même année, il voyagea même dans divers
pays d'Europe sous sa véritable identité.


Le Projet Monarque par P0L0

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13 août 2013

Scandale à Londres des poubelles qui scannent tous les portables des passants .

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Des poubelles « intelligentes » capables de recueillir des données de passants à partir de leurs smartphones provoquent un scandale à Londres, où les autorités ont exigé lundi que cette technologie soit désactivée, rapporte l'AFP.

La collecte de ces informations « doit cesser immédiatement » jusqu'à ce qu'il y ait un débat public sur le sujet, ont insisté les autorités de la City, quartier financier de Londres.

Les poubelles, conçues pour résister à l'explosion d'une bombe, sont équipées d'un système wi-fi et d'écrans digitaux affichant des publicités ainsi que des informations financières et locales en temps réel, comme les perturbations dans le métro.

Cet été, elles ont aussi été testées pour collecter les données des smartphones de passants. En l'espace d'une semaine en juin, elles ont enregistré plus d'un demi-million de téléphones.

Selon son fabricant, la société Renew, ces poubelles « fournissent une vision sans précédent (...) - les points d'entrée et de sortie, le temps passé dans un endroit, les centres d'intérêt » des utilisateurs de smartphones.

Cette technologie pourrait, selon Renew, permettre de cibler des campagnes publicitaires en fonction par exemple du temps passé dans les commerces. Le client de tel café pourrait par exemple se voir proposer des publicités d'autres chaînes de boissons chaudes.

Devant le tollé provoqué par ce dispositif, le patron de Renew, Kaveh Memari, s'est défendu en expliquant que la technologie avait seulement été à l'essai en juin et qu'elle ne permettait que de comptabiliser le nombre de passants, sans obtenir leurs données personnelles.

 http://french.ruvr.ru/news/2013_08_12/GB-scandale-autour-de-poubelles-capables-de-collecter-des-donnees-sur-portables-6666/

8 mars 2010

infos spiritualité esoterisme secret et histoire secrète du monde

En Chine, à la lumière du Thibet, dans les montagnes de Bayan Kara Ula, 712 disques de pierre gravés il y a plusieurs millénaires ont été Vaccination forcée pour tout le monde et autres sources d'empoisonnement des masses ! Le nouveau terrorisme d'état...
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