Exclusif ! Faites circuler l’info partout où vous le pouvez. Merci pour toutes les victimes des laboratoires pharmaceutiques.
Des études cliniques ont montré que le médicament Zyprexa risque de causer de graves dommages à plusieurs fonctions pancréatiques, y compris sensibilité à l’insuline et réduit des niveaux élevés de sucre dans le sang.
La combinaison de ces facteurs, ainsi que des altérations métaboliques provoquées par la consommation de drogue Zyprexa peut irriter le pancréas et causer d’importants dommages à long terme. Cela se traduit souvent par une condition appelée pancréatite aiguë, qui dans bien des cas, peut être potentiellement mortelle.
L’inflammation du pancréas est appelée pancréatite chronique et peut être causée par des médicaments tels que le Zyprexa. Cette inflammation peut occasionner des douleurs abdominales, des vomissements et de la fièvre.
La survie de la pancréatite repose sur un diagnostic rapide et un traitement immédiat. La plupart des gens qui prennent Zyprexa ne sont pas conscients des dangers potentiels pour leur pancréas et beaucoup ignorent souvent les symptômes jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
Un article de T Going, publié par resource4zyprexainfo.com, traduit de l’anglais et relayé par SOS-planete
Note de TS, dont un membre est victime du Zyprexa, synthétisé par les laboratoires Lilly (1) :
Nous avons mené notre enquête. Aux Etats Unis, le Zyprexa fait l’objet d’une énorme bataille juridique. Des associations de malades se mobilisent pour attirer l’attention des politiques. Ce médicament -une manne pour les laboratoires pharmaceutiques !- devrait être rapidement interdit aux USA, pour les ravages occasionnés sur le pancréas, sans comparaison possible avec les soi-disants bénéfices apportés aux patients souffrant de dépression. Des tribunaux ont déjà indemnisé les malheureuses victimes…
En France, en Europe, et bien c’est la loi du silence. Eh oui ! Les psychiatres continuent à prescrire le Zyprexa à tour de bras, la plupart du temps en cas de dépression, pour « épauler » les anti-dépresseurs.
Et après les gens -les victimes de cette ignominie !- doivent vivre le restant de leurs jours avec des douleurs abdominales, atroces et sans rémissions, qui nécessitent parfois l’utilisation du sulfate de morphine. Sans parler du recours obligatoire à un régime à vie quasiment totalement dépourvu de graisses, des séjours répétés aux urgences entraînant à chaque fois des pertes de poids spectaculaires ! Et, si la mort n’est pas au rendez-vous, pour couronner le tout, l’installation d’un diabète morbide et d’une insulino-dépendance, qui vient engraisser bien sûr -cerise sur le gâteau !- les laboratoires pharmaceutiques, responsables de ce chaos.
Qu’est-ce qu’on dit à la médecine moderne ? On dit merci merci Médecine, merci Technologie, merci Mesdames et Messieurs les laboratoires pharmaceutiques, merci pour tous vos bienfaits !!!
(1) Sur le site des laboratoires Lily, cette phrase en page « Responsabilité sociale » :
« … Nous nous engageons à rechercher, développer et commercialiser nos produits d’une façon morale et transparente, et à les fabriquer sans porter atteinte aux patients, à l’environnement, à la santé et la sécurité de nos salariés et des communautés qui accueillent nos sites. »
Menteurs !
Auteur : T Going
Article relayé par : mich pour Sos-Planète