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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
vie
7 juin 2017

Pourquoi la mort n'est pas le terme final de nos âmes ?


aedazda

On peut s'appuyer sur l'existence de l'âme et son indépendance à l'égard du corps comme une preuve indiscutable de la résurrection, et d'un univers après la mort.

Les savants qui se sont penchés sur les aspects obscurs de l'âme ont émis plusieurs hypothèses. Mais au fur et à mesure que prennent de l'ampleur les débats philosophiques, que les sciences se répandent et que s'accroît la culture, des signes plus évidents de l'existence de l'âme en tant qu'entité indépendante voient le jour, bien que nous n'ayons pas réalisé le succès total au sujet de la connaissance de la nature de l'âme, et que nous n'ayons pas écarté les voiles sur tous les secrets complexes de cet élément éternel.

Pour cette raison, la religion  considère la nature de l'âme comme une vérité insaisissable que l'homme ne connaîtra jamais avec précision. Quand on interrogea le Prophète - que la paix de Dieu soit sur lui et sur ses descendants - au sujet de l'âme, il répondit:

«Et ils t'interrogent sur l'Esprit - Dis: «L'Esprit est de l'affaire de mon Seigneur.» Et on ne vous a apporté que peu de science.»42

Des  siècles sont passés depuis cette réponse au cours desquels le domaine du savoir humain s'est étendu par rapport à ce qu'il était au temps des Prophètes , et rien de fondamental n'est venu compléter cette réponse. De nos jours encore le secret de l'âme ici échappe à l'entendement humain, et nul n'a pujusqu'le percer, ni l'expliquer. Nous demeurons donc à cet égard, comme le Coran l'a clairement énoncé, enveloppés dans un voile de mystére et de confusion et il semble peu probable qu'on parvienne un jour à le lever.

* * *

 Le philosophe français Henri Bergson écrit à ce sujet:

«Posons comme postulat, comme le fit Platon, une définition de l'âme, et disons qu'elle ne se désintègre pas car elle est simple, ni ne se corrompt car elle est indissociable; et qu'elle est éternelle de par sa nature. Puis après, nous aborderons, par la voie de déduction, l'idée de la descente des âmes dans le temps, puis l'idée du retour à l'éternité. Mais que direz - vous à un homme qui nie l'existence de l'âme ainsi définie? Et comment résoudrez - vous réellement les questions relatives à l'âme, son principe réel, son devenir réel, ou plutôt comment pourrez - vous vous les poser en termes réels? Tout ce que vous aurez fait sera de réfléchir en théorie sur un concept intellectuel peut - être vide, ou d'expliquer incidemment le sens d'un mot attribué par la société à une partie du réel, découpée pour les commodités du discours?

La décision demeurera profonde tant que la définition sera fortuite (accidentelle).
Après deux mille ans de réflexion basée sur lui, le concept platonique n'a guère fait progresser d'un seul pas, notre connaissance sur l'âme.»
43

Le docteur Chaucer, chercheur anglais écrit:

«Certains ont affirmé que l'ensemble des actes mécaniques du cerveau constituent le «moi» ou «l'essence».
D'autres encore ont prétendu que l'on devrait lui ajouter une étincelle mystérieuse qui sort du corps au moment de la mort.

Vous savez que les philosophes ont longtemps réfléchi sur l'âme, sa nature, sa place dans le corps, et si elle est périssable ou éternelle. Mais cette question n'a toujours pas reçu une solution définitive, et continue d'être l'objet de réflexion des savants.
Beaucoup de penseurs, des temps récents, ont décidé d'étudier la question sous un autre angle, et se sont fixés pour règle d'écarter le problème complexe et obscure de l'âme et d'étudier seulement la mentalité et la psychologie, c'est-à dire un ensemble de sentiments, de croyances et d'idées.»
44

Si l'homme prêtait vraiment attention à son échec dans le domaine de la connaissance de l'âme, comment pourrait - il se retenir de reconnaître qu'il existe une force mystérieuse qui nous incite à nous incliner devant le Créateur et à Le glorifier?

Personne, même parmi les matérialistes dont les opinions divergent radicalement avec celles des adeptes des religions, n'a pu aller jusqu'à nier cette vérité. Ils reconnaissent comme acceptables les sciences comme la psychologie, et la médecine psychosomatique; mais la différence essentielle réside en ce que les savants religieux et les métaphysiciens croient en l'existence d'une autre chose qui concerne la vie humaine, qui est distincte au corps materiel, et qui fait partie des réalités pures et immatérielles, dotée d'une nature spécifique, et qui est la source de la méditation et de la reflexion.

Cela ne veut pas dite que le corps et l'âme soient distincts dans la réalité, l'un étant complétement indépendant de l'autre. Ils forment deux réalités liées, ayant en même temps deux natures différentes.

Quant à la pensée philosophique matérialiste, elle tourne autour de l'idée qu'il n'existe pas d'essence indépendante de la matière appelée Ame.
Ils persistent dans cette idée en arguant de ce que toute l'activité du cerveau et de ses systèmes obéissent aux lois de la matière, et ne consiste qu'en effet physique, et des actions et réactions chimiques des cellules cérébrales et nerveuses.

Notre système nerveux transmet nos perceptions à l'organe central qui est le cerveau, et ces perceptions constituent une unité dont on ne peut dissocier les parties les unes des autres; les phénomènes spirituels ne sont rien d'autre que ces activitiés physico - chimiques. Et lorsque les cellules de cerveau se disloquent et se dispersent, que les réactions entre les différents organes du corps s'annulent, et que les cellules cessent de se mouvoir et de se reproduire, il ne reste alors rien de la réalité de l'homme qu'un corps matériel. On ne peut donc pas admettre une forme de subsistance spirituelle, et l'existence d'une chose d'essence différente, indépendante et non - naturelle, et cela parce que la modalité d'apparition des êtres et de leur subsistance est conditionnée par les liens matériels dans le temps et dans l'espace.

Et c'est là que diverge la conception divine de la conception matérialiste, et que chacune prend sa propre orientation.

* * *

Si nous admettions la thèse matérialiste, l'homme ne consisterait qu'en un appareil composé d'instruments et de différents moyens, et qui perd la vie et la faculté de penser lorsque se disloque l'influence réciproque entre les parties de sa matière corporelle.

Cette thèse ne peut pas expliquer la nature de l'esprit humain, ni celle de l'homme lui - même.
Il est vrai que le corps obéit aux lois de la physiologie, mais cela ne veut pas dire que l'homme est entièrement régi par des lois matérielles. Il est également vrai qu'il existe un lien entre les phénomènes spirituels et les cellules cérébrales, en ce sens que l'esprit n'est capable, dans cet univers, d'aucune activité, autrement que par l'intermédiaire d'un ensemble de moyens et de causes.
Les cellules du cerveau et les neurones et les réactions chimiques du cerveau, tout cela constitue des moyens pour l'esprit, et ce dernier exerce son activité par l'intermédiaire de ces moyens.

On peut s'interroger dès lors si l'esprit et ses activités - comme la volonté, la décision, la compréhension constituent - ils des réalités indépendantes de la matière, ou bien sont - ils des réalités matérielles pures dépendantes des lois matérielles en toute circonstance et dans toutes les conditions?

Lorsque nous parlons avec une personne éloignée de nous au moyen d'un appareil téléphonique, l'auditeur principal est - ce nous ou bien le combiné?
Il en va de même au sujet du cerveau. Les cellules cérébrales constituent les outils de travail de l'esprit et ne créent pas l'esprit. Et tous les arguments avancés par les matérialistes pour démontrer leur thèses, établissent seulement qu'il existe une relation entre les perceptions de l'homme et les cellules de son cerveau, et non que ce dernier accomplit l'acte de perception, et aucun penseur adepte de la religion ne prétend que la pensée est éloignée de toute influence des cellules cérébrales.

Les savants matérialistes ont beau s'appuyer sur les sciences expérimentales et les travaux de laboratoires pour démontrer le lien entre la perception et l'intellect d'une part, et les réactions chimique cérébrales d'autre part, cela ne prouve rien d'autre sinon que les nerfs et le cerveau ont un rôle décisif et déterminant dans la réalisation de la perception et des situations psychologiques.
On ne peut en aucun cas conclure de ces expériences que la réalité de l'esprit et de l'âme ne consiste en rien d'autre qu'en ces moyens et en ces réactions chimiques et physiques. Enfin, démontrer cette relation ne suffit pas pour éclaircir les propriétés de la perception et de la conscience.

* * *

Pour donner un exemple, comparons l'esprit à l'énergie électrique employée pour faire fonctionner un appareil donné. A chaque rupture de courant électrique l'appareil connaîtra une phase de mort apparente, bien que l'ensemble de ses pièces soient en bon état.

Par conséquent, la relation de l'âme et du corps cesse avec la mort de l'homme, mais cette rupture ne signifie pas dépérissement et anéantissement del'âme et de l'esprit. C'est un état comparable à celui que connaissent un appareil téléphonique, un récepteur radiophonique ou de télévision quand ils sont en panne. Nous ne percevons aucune voix, et nous ne voyons aucune image sur l'écran, parce que le moyen de liaison a cessé de fonctionner, alors que l'image et le son existent partout, sans que pour notre part nous les percevons. Nous n'en avons conscience que lorsqu'ils nous sont transmis par ces appareils.

Donc, de même que dans le cas d'une panne du combiné téléphonique, du récepteur radiophonique ou de la télévision, le son et l'image continuent d'être émis, et ont une existence indépendante du fonctionnement de ces appareils, de même l'âme humaine jouit de son autonomie tout en étant liée au corps, et ne disparaît pas avec le dépérissement du corps.

* * *

Nous savons que le fonctionnement des différents organes du corps - qui se ressemblent plus ou moins - est fondamentalement différent du fonctionnement du cerveau. Par exemple, le fonctionnement des reins et de tous les organes consiste en activité physique et chimique et est lié avec le système interne.

Alors que les phénomènes spirituels sont liés au monde extérieur, et distincts de notre existence. Il est évident que le monde extérieur ne se présente pas à la profondeur de notre existence; il nous faut cerner les entités extérieures par la connaissance et le savoir, et les cellules du cerveau sont incapables d'accomplir une telle mission.

Ces cellules ont beau subir l'influence du milieu extérieur, comme toutes les parties du corps, elles ne peuvent accéder à une connaissance de ce milieu. S'il en était ainsi, nous nous servirons de notre système digestif ou de notre poumon pour appréhender les choses extérieures. Par conséquent, les particularités de nos perceptions nous démontrent la domination d'une autre réalité sur notre existence.

Lorsque nous discernons entre le vrai et le faux, que nous percevons la beauté et la distinguons de la laideur, nous traitons en réalité de chose s extérieures que nous soumettons à des criteres. Il existe donc une force qui discerne le vrai du faux, le juste et l'erreur, et c'est cette force qui peut nous expliquer la réalité obscure de l'âme, car lejugement et le discernement échappent au cadre du système nerveux, et procèdent de la pensée et de l'activité intellectuelle, et l'on ne peut les expliquer par les sens et l'expérimentation.

Cette lumière invisible qui emplit notre intimité et nous confère la capacité de discerner entre le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, n'est autre que cette réalité absolue, cette âme éternelle qui est l'axe de tous les événements temporels, et qui demeure fixe et indissociable.

* * *

Il existe une autre réalité pour démontrer l'indépendance de l'âme: c'est l'unité de la personnalité que l'on retrouve tout au long de la vie de l'individu.

Sans doute, la connaissance qu'a l'homme de son existence n'est pas la même qu'il a des objets extérieurs.

Car la connaissance de ces derniers se fait par l'intermédiaire des représentations mentales de ces objets. Par conséquent, notre connaissance des objets extérieurs relève de la «science acquise» ('ilm hossouli), alors que la connaissance de l'homme de sa propre existence ne se fait pas par la représentation mentale.

C'est un savoir présent en lui en tout temps et inséparable de lui. C'est pourquoi on l'appelle: «science présentielle » ('ilm hodhouri).

C'est une science permanente, ne connaissant ni altération ni dépérissement. Iljouit de la continuité et de l'invariabilité dans la conscience, les sens et l'observation. Cette science est considérée comme représentant le savoir le plus évident de tout être humain.

Cette réalité qui échappe aux deux règles de changement et dépérissement propres à la réalité objective (extérieure), qui dirige et domine le corps terrestre eu n'obéit à aucune contrainte biologique, et que nous appelons le «moi», est une seule et même chose depuis les premières étapes de la viejusqu'à ses derniers instants; et c'est par elle que l'homme accède à l'éternité.

Au point de vue des rangs existentiels, elle se situe toujours sur un niveau qui ne se confond jamais avec celui de la matière. Tout homme garde et préserve l'unité de sa personnalité tout au long des étapes successives de sa vie.

Voyons à présent si cette réalité particulière est cet ensemble de cellules cérébrales ou quelque chose d'autre.

Nous savons que l'ensemble des cellules du cerveau se renouvellent complètement tous les 7 ans environ, grâce à l'alimentation que le corps recoit de l'extérieur.
Certaines cellules se transforment en énergie, et de nouvelles cellules naissent pour remplacer celles qui sont mortes..Et tout êtrevivant est ainsi reconstitué plusieurs fois dans sa vie, en raison des changements et transformations que subissent les cellules et les organes de son corps.

Si notre existence se réduisait seulement à ces parcelles de matières, et que n'existait aucune force invisible dominant cette communauté cellulaire et l'ordre régissant le corps, notre essence devrait nécessairement présenter des caractéristiques matérielles. Et aucun être humain n'aurait eu la conscience d'être toujours la même personne qu'il fut dix ans auparavant, car le système nerveux et le cerveau ainsi que tout le corps auraient, pendant cette période de temps, renouvelé toutes leurs cellules. Or, chacun de nous a conscience d'être doté d'une réalité permanente invariable tout au long de sa vie, et qui est ce qu'on appelle la personnalité.

* * *

Tout homme peut méditer sur son intérieur, (bâtin), et concevoir l'existence en lui d'une âme pure, différente qualitativement de son existence physique. Chacun de nous perçoit en lui - même une sorte d'autonomie, de continuité, de présence constante; et ce sont là des faits incompatibles avec l'existence matérielle en constante transformation.

Une chose qui exerce sa souveraineté sur le corps, et qui ne lui ressemble pas en ce qu'elle échappe à l'anéantissement, ne peut pas être considérée comme un produit de la matière ni soumise à ses lois. De telles hypothèses sont incapables d'expliquer la réalité humaine.

Chris Morisson dit:

«Il est admis que l'existence et la formation de cet univers ne sont pas accidentelles, car le système de l'univers fonctionne selon des lois déterminées.
L'émergence de l'homme doué de la raison et de la faculté de penser, parmi le règne animal, est une question encore plus importante et plus confuse qu'on ne le pense.

Son apparition n'est pas due à des évolutions matérielles, mais nécessairement à l'intervention du Créateur. Ainsi, l'homme devient un instrument mécanique fonctionnant sous le contrôle d'une autre main.
Nous nous demandons alors:
«Qui contrôle cette machine? Quelle est la main qui la fait mouvoir?»

La science n'a pas pu encore connaître ce gérant, mais il est indiscutable pour les savants que ce Régisseur n'est pas un être matériel.
Tout notre progrès se résume, jusqu'à présent dans l'idée que Dieu a insufflé dans notre existence une lueur de Sa science. L'homme traverse en ce moment l'âge de l'adolescence dans la création. Il a commencé à concevoir l'existence de l'âme. Il utilisera graduellement cette faveur céleste pour connaître la dimension de l'éternité et de l'immortalité en soi.»
45

Si les manifestations de l'âme faisaient partie des particularités du corps, et résultaient des activités du cerveau ou du fonctionnement du système nerveux, comment nous expliquerions - nous la permanence et la subsistance de la personnalité?

L'explication avancée par certains matérialistes basée sur la relativité du moi, et sur l'idée que l'essence tout en étant la même subit des transformations et des changements, cette explication est poétique, illusoire, et ne présente rien de scientifique, et ne rend pas compte de l'unité de la personnalité.

Cette explication erronée procède d'une mauvaise compréhension et signifie queje ne suis pas l'homme d'il y a quelques instants, je suis quelqu'un qui a pris sa place, mais je m'imagine aussi que je suis le même homme.

Outre cela, les représentations constituent des actes qui émanent de moi, et ce n'est pas le moi qui est un ensemble de représentations différentes se succédant les unes aux autres et se trouvant dans le cerveau.

* * *

Nous percevons deux réalités dans notre existence.
L'une est la structure apparente du corps, et qui fait l'objet des sciences expérimentales. L'autre consiste en choses non - sensorielles qui ne sont pas des reflets et des réactions du corps, comme la reflexion, la compréhension, le désir, l'amour, la colère, la conscience, et qui ne se prêtent pas aux sciences expérimentales et ne peuvent être mesurées en termes matériels.

Il s'agit de réalités différentes, supérieures au corps et le dominant, comme lorsqu'un homme se montre prêt à mourir pour échapper à une vie d'opprobre. Il rompt les contraintes biologiques de son corps, se refuse à manger, ou décide même de faire une grève de la faim jusqu'à la mort.

Nous faisons face à un sujet réel expérimental. Avec quelle logique matérielle pourrions - nous analyser cette volonté d'airain qui vajusqu'à sacrifier le corps pour des idéaux et des aspirations mentales?

Prétendre que l'homme n'est rien qu'un ensemble de fonctions biologiques matérielles exige de donner au préalable des explications sérieuses et logiques à ces questions. Si le moi se résumait au corps, comment pourrait - il en même temps commander et exécuter les ordres?

Tous ces commandements de la volonté, la maîtrise des différents instincts et des éléments du corps, sont une preuve manifeste de l'existence d'un élément supérieur distinct de la matière, duquel procède la volonté humaine, et cette prééminence d'une forme de l'existence sur l'autre nous conduit à une réalité supra temporelle.

Dieu dit dans le Saint Coran:

«... Et par l'âme et comme Il l'a ordonnée, en sorte qu'Il lui a inspiré son libertinage de même que sa piété.»46

Du point de vue coranique, l'homme est doté, à titre particulier, d'une essence caractérisée par la compréhension et le mouvement. Compréhension parce qu'elle est capable d'intuition, et mouvement parce que cette essence est la source d'un ensemble d'actes qui servent de fondements à la piété ou à la corruption.

Quelle est donc cette essence caractérisée par la conscience et la force? Tous les organes du corps ne jouissent pas de ces caractéristiques.

Il est donc nécessaire que le corps ait pour corollaire une essence autonome et authentique dotée de ces propriétés que nous avons mentionnées.

La matière présente une réaction qui peut servir de révélateur des agents stimulants; et cette réaction est la même dans les mêmes conditions. L'eau gèle dans le froid; les minéraux se dilatent sous l'effet de la chaleur; ce sont là des réactions naturelles invariables. Mais l'homme a la capacité de réagir de façon totalement différente, et même contradictoire, devant un même agent. Cela nous montre que l'âme, et la volonté qui émanent de lui, sont des choses immatérielles échappant aux propriétés de la matière.

* * *

L'opération de perception montre que celle - ci comprend deux choses: le moyen, l'organe de perception, comme l'oeil par exemple, et la puissance de perception.

Il existe une loi physique qui dit que tout être ne pouvant pas percevoir le mouvement du système dans lequel il se trouve, doit observer ce système de l'extérieur, et constater le mouvement des choses et le passage du temps.

L'homme ne peut pas observer par exemple le mou vement de la terre tout en étant sur elle; il doit se situer à l'extérieur de son système.

Par conséquent, si nos facultés perceptives ne se situaient pas hors du mouvement permanent du temps, nous n'aurions pas pu percevoir son passage. Donc la perception du temps est une preuve manifeste de l'extériorité de nos facultés perceptives.

Si nous supposions que notre perception varie d'in stant en instant, et se mouvait avec le temps, nous ne pourrions guère saisir le mouvement temporel, car notre perception serait émiettée, chaque partie devenant indépendante de l'autre.

Donc pour percevoir le temps, il est nécessaire que nos facultés perceptives se situent hors du mouvement du temps, et le dominent. Ainsi, est prouvée l'existence d'une faculté perceptive, comme réalité indéniable, indépendante du temps.

Donc, une partie de la réalité humaine vieillit et meurt avec le temps, une autre partie demeure hors de l'atteinte des vagues du temps, ne disparaît pas, et ne connaît point d'extinction L'Imam Ali, l'Emir des Croyants, dit:

«Ô hommes! Nous avons certes été créés, tous, pour la permanence et non pour l'extinction. Vous serez donc transférés de cette demeure - ci. Faites donc un bon viatique pour ce lieu ou l'on vous conduit et ou vous serez pour l'éternité.»47

* * *

Parmi les propriétés de la matière, il existe un rapport particulier entre le contenant et le contenu. Par conséquent, l'être le plus grand ne peut pas s'intégrer entièrement dans l'être le plus petit.

Par exemple, si, nous nous trouvant sur des hauteurs élevées, nous contemplions de larges vallées, des plaines immenses, ayant une végétation luxuriante, des oiseaux, des rocs énormes entassés les uns sur les autres, et que toutes ces choses étaient représentées en détail dans notre esprit, à la manière d'une grande page d'un livre ouvert devant notre âme et notre regard intérieur, ces différentes images, si étendues dans la réalité, trouveraient - elles place dans notre cerveau et dans ses cellules infimes, avec toutes leurs particularités?

Cette matière limitée peut - elle contenir en elle toutes ces choses énormes sans que rien n'y manque?
Il est certain que la raison répond négativement à cette question. Car nous savons tous qu'un être physiquement plus grand ne peut entrer dans un volume inférieur au sien. N'est - il pas nécessaire que le conte nant soit plus grand que le contenu ou au moins égal à lui?

Nous pouvons aisément nous représenter mentale ment une grande ville, avec ses bâtiments, ses avenues, ses jardins, ses autobus et ses habitants. Sur la base de la loi de l'incompatibilité du grand avec le petit, il semble comme évident que les images mentales sont très grandes, et ne sauraient être contenues par les cellules microscopiques du cerveau. Car il est indiscutable que la correspondance n'est possible que si le contenu est inférieur au contenant ou s'il y a égalité entre eux, alors que notre faculté perceptive présente des propriétés et des caractéristiques déterminées qui ne peuvert s'appliquer aux propriétés de la matière. Elle ne peut par conséquent pas être relative seulement à un ensemble de relations physiques qui l'accompagnent et avec lesquelles elle fonctionne.

Nous ne pouvons donc admettre ce fait qu'en cas de réalisations des images mentales; nous connaissons une autre sorte d'existence - outre un ensemble préalable de réactions physico - chimiques - ayant des caractéristiques particulières se situant hors des propriétés du corps matériel. Cette nouvelle sorte d'existence a entre autres propriétés, celle de pouvoir contenir des domaines immenses et de conserver en elle des images perceptives indélébiles

* * *

Les matérialistes disent: L'apparition de ces images dans le cerveau est comparable à la représentation d'un livre volumineux par un microfilm qui montre les choses dans des dimensions réduites, mais qui peut les restituer au besoin dans leurs vraies dimensions.

Mais où se trouv e le lieu de ces grandes images dans le cerveau et le système nerveux?

Ou bien nous nions l'existence de ces grandes images dans le cerveau, ou bien nous leur trouvons un lieu adéquat. Or personne ne peut nier l'existence de ces représentations, et si l'âme était matérielle, et que la perception n'était que l'activité cérébro - spinale, les grandes images n'auraient pas pu s'adapter et s'ajuster aux petites cellules, car elles demanderaient plus d'espace. Alors que dans le cas du microfilm, il n'existe dans la réalité que le livre et les films très petits.
Il faut admettre l'intervention d'un élément invisible qu'est l'âme, et qui est une réalité pure, capable de créer des grandes images, après une série d'opérations cérébro - spinales, qui n'en constituent que des préalables et des préparatifs. Ainsi, le problème est résolu, et nous évite les explications insuffisantes et étroites.

D'autre part, la distinction et la dissociation entre les phénomènes mentaux et les phénomènes physiques est nécessaire. Ces deux sortes de phénomènes ne présentent pas les mêmes caractéristiques et la même nature. La matière est toujours accompagnée d'un ensemble de propriétés générales, comme l'acceptation de représentations différentes, alors que les phénoménes mentaux ne le sont pas. Par conséquent, cette dualité et l'abscence de ressemblance nous conduisent aussi à reconnaître l'indépendance de l'âme et son autonomie.

* * *

Les êtres matériels exigent un développement graduel dans le temps et dans l'espace. Tout être subissant des transformations et des changements graduels a besoin de l'espace; et le mouvement engendre par lui même son temps. Outre cela, le déterminisme nécessaire des êtres matériels est la mort dans le temps, et leur entrée dans l'obscurité du néant.

De même, parmi les phénomènes matériels, il ne s'en trouve aucun qui ne puisse se prêter au fractionnement, soit au moyen d'instruments appropriés, soit mentalement en raison de leur infimité. Mais, en revanche, les phénomènes psychiques échappent à cette règle.

Nous nous représentons un grand immeuble sans que nous ayons pour cela besoin de temps.

Toutes sortes de visages, de formes, de couleurs, de noms, de nombres, de numéros, de mots, de titres s'accumulent dans la mémoire, sans qu'elles se mélangent, ou qu'elles s'effacent les unes les autres.

L'esprit perçoit toutes sortes de paysages et d'images et tout incident petit ou grand, l'enregistre et le conserve. Même si nous oublions des choses, celles - ci n'en demeurent pas inscrites à jamais dans le registre de l'âme, et ressurgissent, en certaines occasions et sous l'effet de certains facteurs, à la surface de la mémoire.

Où sont déposées dans le cerveau toutes ces choses avant de surgir brusquement à la vitesse de l'éclair dans notre esprit? Où se trouvent ces images mentales qui constituent un secret stupéfiant?
L'explication matérialiste à ce sujet est - elle réaliste?

Les idées peuvent - elles naître des accidents matériels; et des lignes tracées sur les cellules du cerveau? Les cellules et les circonvolutions cérébrales peuvent - elles enregistrer les évènements et faits puis les restituer à l'esprit en toute fidélité et en détail?

Cette explication n'irait - elle pas à l'encontre de la réalité?
Si le cerveau était le centre réel de la pensée, les idées et notions qu'il contient devraient disparaître et mourir lorsque meurent les cellules qui les portent.

* * *

Nous changeons de cellules cérébrales plusieurs fois dans la vie, et l'image de nos amis et de nos frères demeure inchangée et fixe dans notre mémoire depuis notre jeune âge.
Si notre cerveau changeait entièrement son contenu, y compris nos connaissances précédentes, pour le remplacer par de nouvelles cellules, il serait impossible de se référer au savoir passé. Toutes nos perceptions ultérieures ressembleraient à celles qui les ont précédées, mais pas elles - mêmes. Alors que nous savons que notre référence aux sujets anciens vise à rénover des notions, et non à renouveler la science, et si nos concepts ètaient matériels, il aurait été impossible de se rappeler les connaissances précédemment acquises.

Le philosophe Henri Bergson dit:

«Mais nous rappelons seulement que l'observation des faits, normaux ou morbides, par les sens et la conscience, nous démontre l'insuffisance des explications physiologiques de la mémoire, et qu'il est impossible d'attribuer au crâne la préservation des souvenirs.
Nous pouvons suivre les épanchements successifs de la mémoire, depuis les cas où elle se referme et ne libère que les informations dont la nècessité est impérieuse pour l'accomplissement de l'acte entrepris jusqu'au degré où elle secoue tout le passé qui ne s'oblitère jamais totalement.
Nous avons dit à titre de comparaison que ce faisant, nous montons du sommet du cônejusqu'à sa base. Le cône n'entre au contact de la matière qu'à son sommet Mais dès que nous traversons le sommet, nous entrons dans un domaine nouveau. Quel est ce nouveau domaine? Appelez - le esprit, ou si vous préférez, appelez - le âme, saufqu'il faut convenir sur le sens qu'on donnera au terme.

Sous ce terme, nous entendons un ensemble d'expériences, non une définition conventionnelle. De cette étude expérimentale, nousoboutirons à la possibilité ou à l'éventualité de la survivance de l'âme après le corps, car nous aurions désormais constaté de façon tangible dans cette vie quelque chose révélateur de l'indépendance de l'âme à l'égard du corps.
Cette éternité de l'âme ne constitue qu'un aspect de son autonomie. Oui, notre connaissance des conditions de la subsistance après la mort, en particulier de sa durée serait très insuffisante: s'agit - il d'une subsistance à terme, ou d'une permanence éternelle?
Mais nous nous serions, pour le moins, guidés vers un point pouvant faire l'objet de l'expérience, et il sera possible de montrer la réalité de façon irréfutable. Et il sera possible que notre connaissance prenne la voie du progrès. C'est ce que nous avons appelé l'expérience du monde inférieur. Et si nous passons à présent au monde supérieur, nous rencontrerons un autre type d'expérience, l'intuition mystique, qui est associée à l'essence divine. Ces deux expériences se rencontrent - elles? Cette subsistance après la mort, - qui semble assurée à toutes les âmes, du fait même qu'une partie de leurs activitiés sont indépendantes désormais du corps -, cette subsistance est - elle semblable à celle acquise par les âmes supérieures dès ce monde inférieur?

Rien ne nous sera plus utile, pour en connaître davantage que deux choses qui sont l'élargissement et l'approfondissement de ces deux expériences.»48

On ne remarque pas un lien entre les dégâts et l'atrophie qui atteignent le cerveau d'une part et l'oubli des évènements d'autre part. Alors que la moindre défaillance d'un souvenir déterminé entraîne une défaillance de la cellule liée à ce souvenir.
Si certaines cellules cérébrales venaient à se perdre, l'homme souffrira d'un handicap dans la faculté de parole, mais ses souvenirs seront préservés et ne seront pas altérés.

Mais dans le cas de traumatismes craniens graves, quand le cerveau connaît une inflammation chronique, ou bien la destruction de quelque partie, l'équilibre se rompt entre le cerveau et les souvenirs, car l'oubli se produit toujours selon une règle précise et particulière Le malade oublie d'abord les noms de ses amis et de son entourage, puis enfin oublie les mots se rapportant à des actes.

Ici, nous ne remarquons aucun lien entre la perte subie par le cerveau, et l'oubli des souvenirs, au point de vue de l'ordre, de la quantité, et de l'étalement dans le temps. Alors que selon la thèse des matérialistes, il devrait nécessairement exister un lien direct entre le dommage subi par la mémoire, et le dommage matériel qui a atteint le crâne.

Ces réalités nous prouvent que le crâne n'est que l'instrument permettant d'enregistrer les souvenirs et les notions, et dans l'opération de remémoration, le cerveau ne joue qu'un rôle intermédiaire de transformation des objets mentaux en phonèmes, en paroles. Sa mission se résume dans l'instauration d'un lien entre l'âme et l'univers matériel.

Nous avons donc besoin, en matière d'objets mentaux, d'un phénomène supérieur à la cellule cérébrale, en l'occurence l'âme pure indépendante de la matière, et aux lois de laquelle seront soumis tous les souvenirs, les notions et les représentations.

Le Professeur Guy ton écrit dans son ouvrage intitulé La Physiologie, considéré comme une référence à ce sujet:

«Le problème le plus difficile dans l'étude de la conscience, de la pensée, de la mémoire et de l'apprentissage réside en ce que nous ignorons le mécanisme nerveux d'une idée quelconque.»

* * *

Les lois et les concepts ne sont pas divisibles, et les cellules cérébrales ne leur servent pas de refuge. Ces perceptions et évidences sont liées à une entité immatérielle.
Par exemple, quand nous disons: «cet oiseau est vert», il n'y a pas de doute que l'oiseau est susceptible de différenciation, et que la couleur verte peut aussi être différenciée, mais le concept de la couleur de cet oiseau ci n'accepte nullement l'indétermination.

Si nous considérons la pensée comme un produit de la matière, l'indétermination générale qui s'ensuivrait devrait nécessairement trouver sa conceptualisation; et celle - ci n'est possible que par l'esprit. Or, la pluralité, l'indétermination du genre ne se prête pas à une conceptualisation.

Par conséquent lorsqu'un des actes de l'esprit - qui est la pensée-, perd toute trace matérielle, qui est indétermination et pluralisme, nous en concluons qu'il est caractérisé par l'immatérialité; et il est nécessaire alors que la source de la pensée, - qui est l'âme - possède également cette qualité d'immatérialité. Nous avons ainsi pu montrer l'immatérialité de l'âme à travers l'immatérialité de la pensée.

De ce qui précède, il s'avère que les arguments illusoires et froids auxquels ont recours les matérialistes pour réfuter la métaphysique, outre qu'ils reposent sur des hypothèses non - fondées, comme celles de réduire les phénomènes vitaux comme la reflexion, la conscience et la perception à des phénomènes matériels, peuvent être combattus avec des preuves logiques solides.

De pareilles théories ne peuvent pas lever le voile qui recouvre les secrets de la réalité, car les sciences expérimentales ont proclamé leur impuissance à connaître la nature et le mode opératoire de ces phénomènes.

Si le système philosophique matérialiste se montre incapable d'apporter des réponses à ces questions, il tombera en désuétude, comme une monnaie n'ayant plus cours légal. Enfin, quand la philosophie aura atteint sa maturité, que la pensée atteindra son plein développement, et que l'homme se dégagera des perspectives étroites qui le condamnent à l'unidimensionnalité, la philosophie matérialiste sera jetée dans la poubelle de l'histoire, comme d'autres conceptions périmées.

Lorsque l'esprit se déconnecte de la matière pyramidal il rejoint les désirs plus profond de l’âme,
pour ne former plus qu'un son corps devient connecté au cube par ses aspirations spirituelles alors il découvre la plénitude et la pleine croissance de son être et retourner au Paradis perdu Au commencement l'homme vivait en harmonie avec le cube d’où il tirait son énergie et son rayonnement

 

http://travelmeant.net/fundamentals_of_religion/day_of_resurrection/la_resurrection

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11 mars 2017

Katy perry son nouveau clip nous révèle le piège de ce monde de l'illusion

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Oblivia serait la ville de l'oublie qui fait référence au personnage de Léthé ,

L’oubli est un concept ambivalent qui échappe à toute systématisation parce qu’il touche à des domaines divers. Les Grecs l’ont incarné dans la figure mythique de Léthé,Léthé est aussi une rivière et, à ce titre, elle est fille d’Océan, Okéanos, père de tous les fleuves. Elle coule aux Enfers, qui sont « sa demeure » [8], et sépare le Tartare des Champs Elysées ; son eau [9] procure l’oubli à quiconque en boit. Chez Platon, tout comme chez Aristophane

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Traduction Chained To The Rhythm - Katy Perry

[Katy Perry]
Sommes-nous fous ?
Nous vivons nos vies à travers un objectif
Enfermés derrière nos barrières aux piquets blancs
Pareilles à des ornements
C'est si confortable, on vit dans une bulle, une bulle
C'est si confortable, ces problèmes qu'on occulte, qu'on occulte
Tu ne sens pas seul(e)
Là-haut, au royaume de l'utopie
Où rien ne te suffira jamais ?
Tu es joyeusement indifférent(e)
C'est si confortable, on vit dans une bulle, une bulle
C'est si confortable, ces problèmes qu'on occulte, qu'on occulte

[Katy Perry]
Ah, tout te paraît si beau
Alors, vois la vie en rose
Et continue à faire la fête

[Katy Perry]
Monte le son, c'est ta chanson préférée
Danse, danse, danse ; vas-y, déhanche-toi
Allez, monte le son, passe la en boucle
Tu titubes et trébuches, mort vivant, complètement soul
Oui, on est libres, c'est ce qu'on croit
Bois, ce verre est pour moi
On est tous enchaînés à ce rythme
A ce rythme
A ce rythme
Monte le son, c'est ta chanson préférée
Danse, danse, danse ; vas-y, déhanche-toi
Allez, monte le son, passe la en boucle
Tu titubes et trébuches, mort vivant, complètement soul
Oui, on est libres, c'est ce qu'on croit
Bois, ce verre est pour moi
On est tous enchaînés à ce rythme
A ce rythme
A ce rythme

[Katy Perry]
Sommes-nous sourds comme des pots ?
On continue à se voiler la face
Je pensais qu'on pouvait faire mieux que ça
J'espère qu'on en est capables
C'est si confortable, on vit dans une bulle, une bulle
C'est si confortable, ces problèmes qu'on occulte, qu'on occulte

[Katy Perry]
Ah, tout te paraît si beau (si beau)
Alors, vois la vie en rose
Et continue à faire la fête



[Katy Perry]
Monte le son, c'est ta chanson préférée
Danse, danse, danse ; vas-y, déhanche-toi
Allez, monte le son, passe la en boucle
Tu titubes et trébuches, mort vivant, complètement soul
Monte le son, c'est ta chanson préférée
Danse, danse, danse ; vas-y, déhanche-toi
Allez, monte le son, passe la en boucle
Tu titubes et trébuches, mort vivant, complètement soul
Oui, on est libres, c'est ce qu'on croit
Bois, ce verre est pour moi
On est tous enchaînés à ce rythme
A ce rythme
A ce rythme

Oui, on est libres, c'est ce qu'on croit
Bois, ce verre est pour moi
On est tous enchaînés à ce rythme
A ce rythme
A ce rythme

[Skip Marley]
Tel est mon désir
D'abattre ces murs pour établir le contact, inspirer l'air
Oui, vous les menteurs, dans vos hautes sphères
Il est compté, le temps de votre empire
Les vérités qu'ils nous servent sont si peu convaincantes
Comme tant de fois auparavant
Ils s'engraissent sur le dos des gens
Ils bafouillent et bredouillent
Bientôt, viendra pour nous la rébellion
Ils ont réveillé, ils ont réveillé les lions
(Waouh)

[Katy Perry]
Monte le son, c'est ta chanson préférée
Danse, danse, danse ; vas-y, déhanche-toi
Allez, monte le son, passe la en boucle
Tu titubes et trébuches, mort vivant, complètement soul
Oui, on est libres, c'est ce qu'on croit
Bois, ce verre est pour moi
On est tous enchaînés à ce rythme
A ce rythme
A ce rythme

{Katy Perry]
Monte le son
Monte le son
Ca continue, encore et encore
Ca continue, encore et encore
Ca continue, encore et encore
Parce qu'on est tous enchaînés à ce rythme
 http://paroles2chansons.lemonde.fr/paroles-katy-perry/paroles-chained-to-the-rhythm.html#MXfBEr2uZXUbAKr2.99

 

12 novembre 2016

Secret de la réincarnation : les souvenirs de la vie de nos ancetres sont génétiquement transmis par l' ADN

reincarnation

Tour ce que la nature a fait acquérir ou perdre aux individus [...] elle le conserve pour la génération de nouveaux individus»

 Jean-Baptiste de Lamarck

 

Dans un article récent rapporté par Elsa Abdoun: «ADN, il transmet aussi nos souvenirs!» paru sur le magazine Science et vie de mars 2014, une découverte importante: des souris soumises à une expérience désagréable, ont transmis via leur ADN, la mémoire de cet évènement à leur progéniture. Un héritage «épigénétique» qui interroge la notion de l’inné… Pour ceux qui reprochent aux jeunes gens de faire peu de cas des leçons de leurs aînés et qui s’offusquent que la mémoire des événements passés se dissolve dans l’agitation du présent, la nouvelle devrait singulièrement apaiser leurs craintes: le souvenir de ce qu’ont vécu nos ancêtres, loin d’être perdu se trouve tapi au plus profond de nous. Mieux, c’est en droite ligne que chacun profiterait en droite ligne de l’expérience de ses aïeux…Par exemple, vous avez peur des chiens, il se peut que votre grand-père ait été douloureusement mordu par un chien dans sa jeunesse. Vous aimez particulièrement manger gras? C’est peut être que votre arrière grand-mère a connu les affres de la faim.

Nos souvenirs transmis génétiquement

Cette idée de la transmission par hérédité des caractères acquis- transmission épigénétique- est en contradiction avec la théorie de Darwin de l’évolution. Qu’en est-il exactement? Il est connu que les caractères sont transmis à travers le génome. Mais c’est la première fois que l’on parle de souvenirs d’actes -surtout désagréables- qui se perpétuent dans la descendance. Comment sont-ils imprimés dans l’ADN, et comment certains souvenirs sont plus privilégiés que d’autres pour la transmission?

Darwin et Lamarck: qui a raison?

La sélection naturelle, proposée par Darwin, trie les variations aléatoires et permet l’adaptation de la population. Alors, comment interpréter l’hérédité épigénétique et la concilier avec le modèle de Lamarck? L’épigénétique ne cautionne pas l’hérédité des caractères acquis mais permet d’envisager une plus grande souplesse dans l’adaptation d’un génome à un environnement donné. «L’épigénétique est l’ensemble des mécanismes moléculaires ayant lieu au niveau du génome et de la régulation de l’expression des gènes qui peuvent être influencés par l’environnement et l’histoire individuelle ainsi qu’être potentiellement transmissibles d’une génération à l’autre, sans altération des séquences nucléotidiques(ADN), et avec un caractère réversible.»» (1) On peut sans doute comparer la distinction entre la génétique et l’épigénétique à la différence entre l’écriture d’un livre et sa lecture. Une fois que le livre est écrit, le texte (les gènes ou l’information stockée sous forme d’ADN) seront les mêmes dans tous les exemplaires distribués au public. Cependant, chaque lecteur d’un livre donné aura une interprétation légèrement différente de l’histoire, qui suscitera en lui des émotions et des projections personnelles au fil des chapitres. D’une manière très comparable, l’épigénétique permettrait plusieurs lectures d’une matrice fixe (le livre ou le code génétique), donnant lieu à diverses interprétations, selon les conditions dans lesquelles on interroge cette matrice.» (2)

L’étude de Brian Dias et Kerry Ressler Les souvenirs hantent les descendants de souris

Dans la publication des chercheurs Brian Dias et Kerry Ressler de l’Université Emory d’Atlanta (Géorgie, Etats-Unis), nous lisons les principales observations: «Certaines craintes peuvent être héritées par les générations, une étude de provocation de souris: rapports http://www.nature.com/news/fearful-memories-haunt-mouse-descendants-1.14272 – b1. Les auteurs suggèrent que le même phénomène pourrait influer sur l’anxiété et la toxicomanie chez les humains. Mais certains chercheurs sont sceptiques sur les résultats, car un mécanisme biologique qui explique le phénomène n’a pas été identifié. (…) Pourtant, certaines études ont laissé entendre que les facteurs environnementaux peuvent influencer la biologie plus rapidement grâce à des modifications «épigénétiques», qui modifient l’expression des gènes, mais pas leur séquence nucléotidique réelle. Par exemple, les enfants qui ont été conçus au cours d’une famine en temps de guerre dure aux Pays-Bas dans les années 1940 sont à risque accru de diabète, de maladie cardiaque et d’autres conditions.»(3)(4)

« Kerry Ressler, s’est intéressé à la transmission épigénétique après avoir travaillé avec des gens pauvres qui vivent dans les centres-villes, où les cycles de la toxicomanie, maladie neuropsychiatrique et autres problèmes semblent souvent se reproduire chez les parents et leurs enfants. «Il y a beaucoup d’anecdotes à suggérer qu’il y a transfert intergénérationnel du risque, et qu’il est difficile de briser ce cycle,» dit-il. L’étude de la base biologique de ces effets chez les humains serait difficile. Donc Ressler et son collègue Brian Dias ont opté pour étudier l’hérédité épigénétique chez les souris de laboratoire formés à craindre l’odeur de l’acétophénone. Ils mirent une odeur en présence de souris auxquelles ils faisaient des petits chocs électriques à des souris mâles. Les animaux finalement ont appris à associer l’odeur à la douleur, frissonnant dans la présence d’acétophénone même sans choc. Cette réaction a été transmise à leurs bébés: Dias et rapport Ressler aujourd’hui dans Nature Neuroscience. Malgré que ces descendants n’aient jamais rencontré d’acétophénone dans leur vie. (…) Une troisième génération de souris – les «petits-enfants» – a également hérité de cette réaction. (…) Les chercheurs veulent maintenant déterminer depuis combien de générations de la sensibilité à l’acétophénone dure, et si cette réponse peut être éliminée. Le scepticisme que le mécanisme d’héritage est réel sera probablement persistant, Ressler dit, «jusqu’à ce que quelqu’un puisse vraiment l’expliquer d’une manière moléculaire», dit Ressler. «Malheureusement, il va probablement être compliqué et il va probablement prendre un certain temps.»(3) (4)

Quelle est la relation entre la génétique et la mémoire?

 «Pourquoi on bâille quand on est endormi? Pourquoi avons-nous envie de nourriture, quand nous avons faim? Pourquoi avons-nous un sentiment d’insécurité et de peur quand nous sommes dans l’obscurité totale? (…) En biologie, la mémoire est présente si l’état d’un système biologique dépend de son histoire passée et des conditions actuelles. Si cette mémoire est enregistrée dans le matériel génétique et de manière stable héritée de la division cellulaire (mitose ou la méiose). Cette mémoire génétique est héréditaire dans notre ADN qui est le seul moyen de stockage impliqué dans le transfert de l’information à la prochaine génération.»(5)

Et chez l’homme?

«Des phénomènes analogues peuvent-ils être identifiés chez l’homme? Les gènes ne font pas tout! Des découvertes récentes dans ce domaine nous interpellent beaucoup plus que nous pouvons l’imaginer. Il a été longtemps dit que notre apparence est déterminée par la combinaison des gènes de nos parents. En outre, nos aptitudes, musicales et sportives, et même nos traits émotionnels sont sensiblement affectés par nos racines génétiques. Ces dernières années, les généticiens se sont aperçus que l’environnement (l’alimentation, les conditions climatiques, le stress..) pouvait laisser des traces dans le génome des plantes et des animaux et de l’homme sous forme de modifications, appelées épigénétiques, de l’expression des gènes. Ces modifications sont transmissibles et réversibles et elles ne s’accompagnent pas de changements dans le support génétique, (de l’ADN)» (5)

«Ces résultats montrent que l’héritage transgénérationnel existe et est médié par l’épigénétique mais d’autres études sont nécessaires avant de pouvoir extrapoler ces résultats à l’homme» explique Wolf Reik, un généticien qui a commenté l’étude. «Mais peut-être qu’un jour nous aurons à disposition des thérapies pour adoucir la mémoire de l’héritage» ajoute-t-il. D’autres spécialistes pensent que cette étude pourrait permettre de mieux comprendre des troubles comme les phobies, l’anxiété ou le stress post-traumatique. Cette idée que l’expérience des parents peut constituer un héritage biologique transmis à la descendance n’est d’ailleurs pas nouvelle même si elle est tombée en désuétude au XXème siècle. (…) Nous ne comprendrons pas la hausse des troubles neuropsychiatriques ou l’obésité, le diabète et les perturbations métaboliques sans prendre en compte une approche multigénérationnelle» estime pour sa part Marcus Pembrey, un généticien britannique.(5)

Ceci dit, normalement, il y a une atténuation en très peu de générations (c’est d’ailleurs logique, sinon ça serait un frein à l’évolution). Et n’oublions pas l’importance non négligeable de la transmission de comportements, et tout ce qui se passe dans le ventre de la mère. il y a plus de chances que certains phénomènes soient de l’ordre de la transmission culturelle mais aussi génétique. (6) (7)

Epigénétique et victimes des violences. « L’exemple de Holocauste »

L’épigénénétique expliquerait aussi bien des choses pour les gens dont les parents ont vécu la guerre (les guerres, dans certains cas) avec les horreurs qu’on connaît. En tout cas, je pense à un cas précis, et ça me permet d’envisager certaines explications. Extrait du lien vers le National Geographic: En 2002, l’épidémiologiste suédois Gunnar Kaati a étudié l’impact de l’alimentation d’hommes nés entre 1890 et 1920 sur leurs descendants. Conclusion: quand les grands-pères ont subi des restrictions alimentaires entre 8 et 12 ans, leurs petits-fils ont une mortalité cardio- vasculaire plus faible et une espérance de vie accrue. Ceux dont les aïeux ont été bien nourris ont quatre fois plus de diabète et vivent moins vieux. La santé des petits-enfants est donc influencée par des conditions de vie qu’ils n’ont pas connues, dont leur organisme garde la mémoire. (6)(7)

Ariane Giacobino s’est intéressée aux victimes de l’Holocauste. Depuis peu écrit-elle, des stress psychologiques intenses, traumatismes, abus, maltraitances, guerres ou conflits, et catastrophes naturelles majeures ont pu être mis en lien avec des modifications épigénétiques (affectant le fonctionnement des gènes sans modifications de leur séquence ADN). Fragilité, anxiété, risque accru de développer des états de stress post-traumatiques, des troubles psychiatriques, ou encore une moins bonne immunité, seraient des conséquences possibles. Il a été suggéré que ces changements épigénétiques pouvaient, dans certains cas, être également retrouvés dans la descendance des personnes directement exposées à ces évènements délétères hors normes. (…) Bon nombre d’études se sont penchées sur les survivants de l’Holocauste, leur descendance, mais cet aspect épigénétique potentiellement transgénérationnel n’a pas encore été clairement exploré. (…) Tout récemment, c’est un article d’une revue israélienne de psychiatrie et sciences apparentées qui soulève la question fort pertinente, de la transmission de marques épigénétiques par les survivants de l’Holocauste à leur descendance, soulignant qu’il y a bien eu les récits, la communication, l’éducation, faite à ces enfants, devenus maintenant des adultes, mais peut-être bien aussi des éléments biologiques, comme des modifications épigénétiques. De là, une vulnérabilité accrue?»(8)

«Bien entendu, poursuit-elle, la génétique est aussi impliquée de manière directe dans l’effet qu’un stress environnemental majeur, ou traumatisme, peut avoir sur un individu, dans la mesure où certains individus ont déjà, de par leurs variations génétiques, une vulnérabilité (ou au contraire peut-être une faculté de résilience) plus grande que d’autres, et que ce facteur génétique pourrait être transmis. Mais on estime que le facteur héréditaire n’explique qu’une moindre proportion de la réponse au traumatisme: le 30% environ. Si l’on met tout cela ensemble: génome, épigénome, générations, individus et traumatismes, on est tenté de croire qu’une compréhension plus claire de facteurs de vulnérabilité chez des sujets et descendants de sujets exposés à des traumatismes majeurs, comme l’Holocauste, viendra de l’épigénétique. Par ailleurs, comment comprendre cet étonnant constat: une étude scientifique a rapporté que les survivants de l’Holocauste (20 ans ou moins à l’époque) auraient une longévité plus grande que ceux qui n’ont pas été exposés à ce traumatisme. Un effet discuté non pas comme une conséquence mais comme un cumul de facteurs génétiques, psychologiques, physiques et de tempérament, qui mis ensemble, auraient permis la survie.» (8)

Notre comportement pourrait être dicté par les souvenirs des générations précédentes, impliquant l’existence d’une mémoire génétique. Si nos aïeux nous transmettent leurs traits physiques, ils nous transmettraient aussi leurs souvenirs, bons ou mauvais. Ces découvertes pourraient faire avancer les recherches l’anxiété ou les troubles de stress post-traumatique. Ces symptômes pourraient ainsi être directement liés aux souvenirs de nos parents.

Dans le même ordre, l’épigénétique appliquée à tous les conflits ouvre un champ d’étude intéressant mais peut amener à une nouvelle vision des dommages de guerre que l’on pourrait faire supporter à l’agresseur et que les descendants jusqu’à une génération à définir seraient en droit de revendiquer, puisque ce qui leur arrive est un héritage et qu’ils n’y sont pour rien.

Il n’est pas interdit de penser à l’immense tremblement de terre, qu’ont subi les Algériens un matin de juillet 1830 du fait de l’invasion de la France. Les répliques de ce tremblement de terre à savoir les errances actuelles, les traumatismes et les névroses des Algériens de ce XXIe siècle seraient dus en partie au tsunami subi au XIXe siècle. La France est elle en droit de parler de solde de tout compte comme l’avait affirmé à l’époque Lionel Jospin de la Gauche et Nicolas Sarkozy. Il nous suffit de rappeler  les génocides brutaux puis silencieux sur le temps long qu’à durer la colonisation et s’apercevoir qu’en définitive que notre  imaginaire fruit d’un héritage ne peut s’accommoder à l’injonction du solde de tout compte

Une question importante qui de mon point de vue n’a pas été abordée : Pourquoi ne peut-on pas transmettre par l’ADN des événements heureux? Les études actuelles ne répondent pas. En définitive, cette découverte ouvre bien des portes, tout en minimisant notre responsabilité intrinsèque. La Conscience universelle enveloppe les humains parfois d’étranges phénomènes qui la mettent en évidence. Ce qui peut nous motiver de manière inexplicable qui reste visiblement, malgré toute notre bonne volonté, du domaine de l’inné. On peut effectivement penser à se «reprogrammer». Que devient alors le destin si le parcours d’un descendant est programmable, reprogrammable, au-delà du fait qu’ll est connu déjà que l’hérédité intervient ?. Il lui reste la culture et le savoir qui dépendent de son aptitude et de sa résilience à se battre. La prédestination est de ce fait, interrogée. L’homme est-il maître de son destin ou se contente-t-il de gérer une feuille de route remise à sa naissance?

Professeur Chems Eddine Chitour

Ecole Polytechnique enp-edu.dz

 

1.Epigénétique: Encyclopédie Wikipédia

2.ThomasJenuwein: Epigénétique: http:// epigenome.eu /fr/1,1,0

3.Dias, BG & Ressler, KJ Nature Neurosci. http://dx.doi.org/10.1038/nn.3594 (2013)

4.E.Callaway http://www.nature.com/news/fearful-memories-haunt-mouse-descendants-1.14272 1 Décembre 2013

5.http://www.expertstourisme.fr/relation-genetique-b1010051.htm

6. http://www.nationalgeographic.fr/4114-epigenetique-heredite genes/

11 novembre 2014

Les 20 types de personnes extraordinaires .

201007084725_18736Si l’on vous proposait de réaliser un seul de vos souhaits, lequel parmi ces choix vous procurerait une vie vraiment satisfaisante : devenir millionnaire, être célèbre, posséder la beauté physique, exceller dans votre champ d’activité, être très intelligent ou encore n’avoir que des personnes extraordinaires dans votre vie? Bien que toutes ces réponses soient alléchantes, l’auteure Lilian Glass nous révèle que le choix le plus astucieux est sans contredit le dernier. Qui plus est, il nes’agit pas seulement de bien savoir s’entourer; il importe de devenir nous-mêmes une personne extraordinaire pour les autres. Voici donc le mode d’emploi pour une vie… extraordinaire !

«Pour avoir une vie profondément satisfaisante, nous devons apprendre à y trouver, à y attirer et à y retenir les personnes qui nous procurent du bonheur. Sans elles, la vie n’a pas de sens», explique d’entrée de jeu l’auteure du livre Comment s’entourer de gens extraordinaires. L’idée émise n’est certes pas nouvelle, encore moins innovatrice. Pourtant, la plupart d’entre nous

avons tendance à oublier, dans le brouhaha quotidien, dans la course folle pour atteindre le succès ou pour réaliser nos rêves, que la clé du bonheur réside en grande partie dans les liens que nous parvenons à nouer avec des individus qui savent apprécier nos qualités et reconnaître notre valeur.

Mais, direz-vous, où se trouvent donc toutes ces personnes extraordinaires? La réponse est simple: partout ! En fait, le monde est peuplé de gens de valeur; nous entrons en contact avec eux quotidiennement. Il suffit de bien regarder autour de soi. En fait, beaucoup de ces personnes extraordinaires se trouvent sous notre nez; trop souvent, nous ne nous en rendons même pas compte, ou nous ne savons plus apprécier la gentillesse de l’un et la disponibilité de l’autre.

Avant d’aller plus loin, amusons-nous à reconnaître les personnes extraordinaires qui gravitent autour de nous. Afin de nous aider, Lilian Glass les regroupe sous 20 types particuliers (voir ci-bas). Si la description correspond à une personne que vous connaissez, inscrivez son nom sur la ligne de droite. Sachez qu’une même personne peut se retrouver dans plusieurs catégories; il s’agit alors d’un être particulièrement exceptionnel, dont vous devriez prendre le plus grand soin.

Si, d’autre part, quelqu’un qui vous est proche ne ressemble à aucune de ces catégories, demandez-vous s’il ne s’agit pas d’un être «toxique» qui, contrairement à la personne extraordinaire, empoisonne votre existence(1) au lieu de faire éclore ce qu’il y a de meilleur en vous. Enfin, ne vous oubliez pas au cours de l’exercice.

À bien des égards, vous êtes, vous aussi, une personne extraordinaire. Si vous voulez attirer les bons individus dans votre vie, il est indispensable d’apprendre à reconnaître vos points forts et vos qualités.

Les 20 types de personnes extraordinaires :

1. Les chaleureuses : Ces personnes font toujours ressortir ce qu’il y a de meilleur chez l’autre. Elles vous donnent l’impression que vous comptez vraiment, grâce à des témoignages d’affection et des paroles gentilles.

2. Les anti-narcissiques : Elles s’intéressent vraiment aux autres au lieu de chercher à se rendre intéressantes. Elles vous posent beaucoup de questions dans le but de bien saisir qui vous êtes. Les «je» «me» «moi» ne font pas partie de leur vocabulaire.

3. Les généreuses : Elles sont toujours disposées à en faire plus que ce qu’on attend d’elles sans rien attendre en retour, sauf l’harmonie et l’amitié.

4. Les non-juges : Elles ne jugent pas les autres en fonction de la vie qu’ils mènent. Elles croient sincèrement que si ce genre de vie les rend heureux et ne fait de mal à personne, tant mieux !

5. Les élogieuses : Leur proverbe est celui-ci : «Si tu ne peux rien dire de bien sur une personne, alors ne dis rien du tout.» Ces personnes concentrent généralement leur attention sur les qualités des autres sans guère accorder d’attention à leurs défauts.

6. Les dignes : Elles traitent les autres comme elles voudraient être traitées, c’est-à-dire avec gentillesse et respect. On sent que ces personnes s’aiment vraiment, c’est ce qui les rend extraordinaires aux yeux des autres.

7. Les attentionnées : Elles se souviennent des petites choses qui comptent pour vous. Elles connaissent votre date de naissance, votre couleur préférée, ce que vous aimez et détestez.

8. Les honnêtes : Lorsqu’elles disent qu’elles vont faire quelque chose, elles le font. Vous pouvez toujours compter sur elles pour arriver à l’heure, pour respecter les échéanciers et pour donner l’heure juste.

9. Les décontractées : Elles ne se prennent jamais au sérieux. Parce qu’elles sont décontractées et enjouées, elles mettent à l’aise tous les gens qui se trouvent en leur compagnie.

10. Les «meneuses de claques» : Elles vous encouragent et veulent votre bien ; c’est pourquoi elles mettent beaucoup d’effort à vous rassurer lorsque vous doutez de vous-même. Elles ne tolèrent pas que l’autre se dénigre.

11. Les lucides : Elles pensent d’abord aux sentiments des autres et savent exactement ce qu’elles doivent dire ou ne pas dire dans les périodes fastes comme dans les moments difficiles.

12. Les «rebondisseuses» : Elles ne se complaisent jamais dans la souffrance et l’apitoiement. Elles pensent toujours à ce qu’elles doivent faire pour s’en sortir.

13. Les sensibles : Elles ne craignent pas de se montrer sous leur jour le plus vulnérable. Jamais elles n’essaient de cacher ce qu’elles ressentent : peur, colère ou tristesse.

14. Les «gagnantes-gagnantes» : Elles ne sont pas heureuses de gagner si c’est aux dépens des autres. Elles veulent que chacun y trouve son compte.

15. Les loyales : Elles n’ont pas peur de s’engager, de prendre des décisions. Si elles croient en une idée ou une personne, elles ne craignent nullement de prendre sa défense, même si cela va à l’encontre de l’opinion générale.

16. Les diligentes : Elles gagnent le respect des autres parce qu’elles sont responsables et qu’elles agissent sans tarder. Elles ne remettent donc jamais à demain ce qu’elles peuvent faire aujourd’hui.

17. Les audacieuses : Elles n’ont pas peur de plonger et de prendre des risques calculés pour réaliser leurs rêves. Elles sont donc une source d’inspiration pour tous ceux qui ont toujours voulu prendre une autre voie dans la vie, mais qui ont peur du risque.

18. Les non-victimes : Elles assument l’entière responsabilité de leurs actes. Elles ne blâment pas les autres si elles sont malheureuses ou insatisfaites d’une situation, car elles savent qu’il n’en tient qu’à elles de la changer.

19. Les enthousiastes : Elles ne se reposent jamais sur leurs lauriers et vivent sans cesse leurs passions. Elles parlent peu de leur passé et se concentrent surtout sur l’avenir en cherchant toujours à se développer. Leur motivation et leur entrain sont le plus souvent contagieux

20. Les recruteuses : Elles sont conscientes d’avoir besoin de l’aide des autres pour réaliser leurs rêves ; elles essaient donc de recruter ceux et celles qui croient en elles et en leurs buts.

Quelles sont les conclusions auxquelles vous parvenez à la suite de cet exercice ?

Les gens qui vous entourent sont-ils tous extraordinaires à leur manière ou, au contraire, sont-ils peu nombreux, voire toxiques ? Quelle que soit votre situation, sachez qu’il est encore possible de la rectifier ou de l’améliorer et ce, en apprenant à trouver ou à élargir votre réseau de personnes extraordinaires. De quelle manière ? En faisant un peu d’algèbre…

La spirale de l’amitié

Vous souvenez-vous de la propriété d’associativité que vous avez apprise dans vos cours d’algèbre?

Si «a» égale «b», et que «b» égale «c», alors «a» égale «c». Je me suis toujours demandé à quoi cela pourrait bien me servir dans la vie. Eh bien, j’étais loin de me douter que ce processus mathématique s’applique également en amitié. La logique de l’associativité est d’une grande simplicité: si Sonia aime Manon, et que Manon aime Nancy, il est fort probable que Sonia aimera Nancy. Cela s’appelle aussi un syllogisme.

Nous connaissons tous le dicton «Qui se ressemble s’assemble». Celui-ci convient particulièrement bien aux personnes extraordinaires. Ce qui signifie que si nous commençons à en fréquenter, nous finirons inévitablement par en rencontrer d’autres par leur entremise. C’est ce que Lilian Glass appelle «La spirale de l’amitié». Plus nous côtoyons des personnes extraordinaires, plus la spirale prend de l’ampleur. Aussi peu nombreuses soient-elles au départ, nous finirons tôt ou tard par constater qu’il y a de plus en plus de personnes intéressantes qui peuplent notre vie. Ces gens nous ouvriront des portes, en plus de nous faire connaître un monde nouveau, que ce soit sur le plan financier, social, intellectuel, affectif ou culturel.

Cependant, tout cela est possible en autant que nous apprenions, nous aussi, à devenir une personne extraordinaire pour les autres…

(Source : TURCOTTE, Marie-Josée. Magazine Lumière, Vol. 8 No. 2, Avril 1999)

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