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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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27 octobre 2013

le chamboulement de notre rythme biologique et du temps augumentent les risques de cancers

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La plupart des êtres vivants possèdent une horloge interne dite circadienne, véritable métronome moléculaire. Le rythme circadien est d’une durée d’environ 24 heures. Cette horloge est construite sur une multitude d’échelles. Chaque cellule groupée dans un organe possède sa propre horloge circadienne qui est régulée par une horloge centrale se trouvant dans l’hypothalamus. Et si ce grand assemblage horloger se met de temps à autre au diapason de l’horloge centrale, il peut néanmoins continuer à fonctionner sans elle. Dans cette rythmique générale, le cycle des jours et des nuits sert à remettre les pendules légèrement à l’heure. Mais on a constaté que si un individu reste dans une cave durant un mois, le rythme veille-sommeil se poursuit et ne s’arrête jamais, même en l’absence de signaux extérieurs comme la lumière. Le rythme veille-sommeil est un des plus visibles, notamment à travers le fameux jet lag. Cette fatigue reflète un décalage horaire entre les horloges internes et les cycles de lumière diurnes, et quelques jours sont nécessaires pour synchroniser l’horloge biologique avec l’horloge réelle. Mais nous avons une multitude d’autres horloges. Elles permettent de coordonner notre physiologie et nos comportements en fonction des cycles diurnes, notamment les variations de lumière et de température. Ces horloges modulent quotidiennement divers processus physiologiques, comme le rythme cardiaque, la pression sanguine, la température corporelle ou encore l’activité du système digestif. Le foie par exemple ne peut pas accomplir certaines tâches simultanément, et il est avantageux de séparer temporellement les processus biochimiques incompatibles. L’horloge contribue par exemple à la régulation temporelle de la glycémie. En effet, le glucose absorbé est d’abord stocké puis réintroduit dans la circulation sanguine durant la nuit où nous n’ingérons en général plus de nourriture. Il en ira de même pour la détoxification du sang qui sera restreinte aux intervalles diurnes.

Le travail de nuit ou en rotation, en déréglant le rythme circadien (rythme de 24 h basé sur l’alternance de veille et de sommeil), surexposent à certains cancers (cancer de la prostate, cancer du côlon, cancer du sein), mais aussi au diabète et à l’obésité.

Comment le chamboulement de notre rythme biologique peut-elle si néfaste sur l’organisme ? La problématique du fonctionnement du système circadien et son impact sur la santé a piqué l’intérêt de plusieurs chercheurs ces trente dernières années à l’instar de la Nasa.
Ces travaux ont permis de comprendre que notre corps obéit à de petites horloges biologiques cachées dans chaque cellule et qui sont commandées par une quinzaine de gènes dirigés par un “chef d’orchestre” situé dans le cerveau. Ce rythme biologique commande beaucoup de choses : l'alternance veille/sommeil, la température ou la sécrétion de plusieurs hormones, la division cellulaire ou encore le vieillissement des cellules.

"Les études montrent que lorsque le système circadien est perturbé et qu'il ne fonctionne plus de façon coordonnée, on a un risque accru de développer des cancers, des maladies cardiovasculaires ou des maladies infectieuses" explique Francis Lévi, directeur de l'unité de l'Inserm Rythmes biologiques et cancers.

Cancer : la chronothérapie pour améliorer l’efficacité des traitements
En raison de ce rythme biologique, le corps réagirait aussi différemment aux médicaments selon le moment où on les prend. Leur efficacité et leur toxicité ne serait donc pas la même selon l’heure de la journée. En partant de ce postulat, des chercheurs ont développé la chronothérapie, une pratique thérapeutique appliquée dans une quinzaine de services de cancérologie en France, en Belgique, en Italie et au Portugal.

Dans l’Hexagone, Francis Lévi en est un des chefs de file. Avec son équipe de l’Inserm il ambitionne de personnaliser les traitements contre le cancer afin d’améliorer leur efficacité. "En suivant les rythmes circadiens, on optimise le traitement en améliorant l’efficacité anti-tumorale et en réduisant de deux à dix fois les effets secondaires", assure-t-il.
Des patients atteints de cancers digestifs à l'hôpital Paul-Brousse de Villejuif bénéficient de la chronothérapie appliquée aux chimiothérapies. Concrètement, les patients suivis pour des cancers colorectaux sont équipés d’une pompe programmable qui délivre automatiquement les médicaments de la chimiothérapie.
D’autres outils sont en cours de développement comme un dispositif de mesure de la température corporelle du patient. "Il fournira au médecin l’heure interne de chaque patient, et permettra d’adapter la chronothérapie aux horloges de chaque patient, et à ses dérèglements éventuels", précise l’Inserm dans un communiqué.

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24 octobre 2013

De nombreuses substances dangereuses trouvées sur les lingettes et laits pour bébés

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DR/ Le Nouvel Observateur

"Ne jouez plus avec la peau de bébé !" L'UFC – Que Choisir appelle les autorités européennes, mercredi 23 octobre, à renforcer le cadre réglementaire sur lingettes et laits de toilette pour bébés. Et "exige des fabricants qu’ils mettent un terme à leur pratique irresponsable en retirant (enfin !) les nombreuses substances dangereuses trouvées dans leurs produits". Selon l'étude que l'association de consommateurs a elle-même réalisée, 94% des produits testés sont potentiellement nocifs.

Des allergènes ont été retrouvés en quantités significatives dans 12 lingettes et 2 laits de toilettes, avec un record pour les lingettes ‘Eco de Naty’ qui en contiennent 700 fois plus que les concurrents les moins chargés ! Le phénoxyéthanol, un conservateur aux effets toxiques pour le foie et suspectés pour le système reproducteur et le développement, est présent dans pas moins de 14 lingettes (par ex. Mixa, Pampers, Carrefour Baby …) et 3 laits de toilette (par ex. Mixa Bébé). Enfin, 6 lingettes (par ex. Carrefour Baby, Top Budget-Intermarché …) contiennent des parabènes à longue chaîne, conservateurs suspectés d’être des perturbateurs endocriniens interférant avec le système hormonal. Au final, seuls deux produits sur 34 sont exempts des substances recherchées(2) : les lingettes ‘Natural caresse’ de ‘Bébé Cadum’ et le lait de toilette ‘Natessance’."

Selon UFC-Que Choisir, "Les lingettes sont appliquées plusieurs fois par jour sur une peau de bébé souvent irritée. Pire, l’absence de rinçage après application a pour effet de prolonger le temps de pénétration. Enfin, les substances contenues risquent d’être d’autant plus nocives que certaines d’entre elles, suspectées d’être des perturbateurs endocriniens, pourraient agir aux stades précoces du développement de l’enfant."

Des étiquettes faussement rassurantes

Ainsi l'association appelle au respect du principe de précaution : "Compte tenu de ces risques, les experts ont demandé que des limites plus strictes soient appliquées pour les produits destinés aux bébés. S’agissant par exemple du phénoxyéthanol, les experts français(l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament) recommandent de limiter à 0,4% la concentration dans les produits pour les moins de trois ans et surtout de le bannir dans les produits destinés au siège".

Or, si la moitié des produits testés contiennent ce composé à risque, un quart en renferment plus de 0,4%, avec un record de 0,9% pour les lingettes ‘Klorane’(4) . Cette concentration est rendue possible par le laxisme de la réglementation européenne. En effet, ignorant les avis d’experts, celle-ci fixe une valeur maximale à 1% quel que soit l’usage !"

Enfin, l'UFC fustige l'étiquetage des produits, "faussement rassurants". Selon elle, "les parents ne peuvent se fier aux mentions et accroches faussement rassurantes", du style "hypoallergénique" ou "testé sous contrôle dermatologique", présentent notamment sur "les lingettes de ‘Leclerc’ ou ‘Pampers’". Pour l'association, "elles sont d’autant plus mal venues qu’elles recèlent des quantités significatives d’allergènes".

http://tempsreel.nouvelobs.com/sante/20131023.OBS2208/alerte-sur-les-lingettes-et-laits-pour-bebes.html

19 octobre 2013

Le diabète et l'Alzheimer -un lien méconnu .

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Le diabète et l'Alzheimer - Y a-t-il un lien ?

«Nous savions déjà qu'il existait un lien entre ces deux maladies, mais jusqu'à présent, nous n'avions pas réussi à élucider la teneur de ce lien. C'est désormais chose faite, ce qui ouvre de nouvelles perspectives de recherche», indique le chercheur Mark Johnston.

 

Cette découverte pourrait notamment permettre de développer un traitement qui soignerait les deux maladies.

 

Les résultats de ces travaux ont été publiés dans la revue scientifique Genetics.

Qu’est-ce que le diabète et l’Alzheimer ont en commun?

Le diabète se développe lorsque l’organisme ne produit pas suffisamment d’insuline ou qu’il fait une utilisation inefficace de l’insuline produite. L’insuline est une hormone produite par l’organisme pour contrôler la glycémie, ou taux de sucre, dans le sang. Le glucose, qui est l’une des principales sources d’énergie de l’organisme, donne à l’organisme l’énergie nécessaire pour remplir toutes ses fonctions.

Il existe deux principaux types de diabètes – le type 1 et le type 2. Un troisième type, le diabète gestationnel, survient durant la grossesse et est temporaire.1 Les études montrent que le diabète de type 2 peut constituer un facteur de risque de la maladie d’Alzheimer, de la maladie cérébrovasculaire et d’autres types de troubles cognitifs, parce que les problèmes cardiovasculaires associés au diabète sont également associés aux troubles cognitifs. Parmi les facteurs de risque, mentionnons:2

  • l’obésité
  • les maladies cardiaques ou des antécédents familiaux de maladie cardiaque
  • les vaisseaux sanguins abîmés
  • les troubles circulatoires
  • un taux élevé de cholestérol
  • l’hypertension artérielle

La recherche a également prouvé que, de manière similaire au diabète, le glucose n’est pas utilisé correctement dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Ceci peut causer la mort des cellules nerveuses et réduire ainsi la capacité du cerveau à interpréter les messages.2 Dans le cas de la maladie cérébrovasculaire, les cellules cérébrales meurent en raison du manque d’oxygène et ne peuvent plus communiquer entre elles.

Il a également été démontré que les plaques bêta-amyloïdes, qui s’accumulent dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, empêchent les récepteurs de l’insuline de jouer leur rôle. Ceci pourrait avoir un impact sur la production d’insuline et entraîner une insensibilité des cellules cérébrales à l’insuline.2

Est-ce que l’Alzheimer est un « diabète de type 3 »?

Les études récentes montrent que le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer est dans un état diabétique, en partie attribuable à une diminution de la production d’insuline ou à une insensibilité à l’insuline. Il existe plusieurs similarités entre le cerveau des personnes diabétiques et celui des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Cependant, le diabète n’est qu’un facteur de risque. Certaines personnes atteintes du diabète développeront peut-être la maladie d’Alzheimer, mais plusieurs ne la développeront pas.

Réduire vos risques de diabète et d’Alzheimer

Ce qui est bon pour votre cœur l’est également pour votre cerveau. Un mode de vie sain qui favorise la santé cardio-vasculaire profitera à votre cerveau.

  • Adoptez un bon régime alimentaire riche en vitamine D, acide folique, et vitamines B6 et B12
  • Faites de l’exercice régulièrement – pour le corps et l’esprit
  • Restez actif sur le plan social et intellectuel
  • Protégez votre tête quand vous faites du sport
26 septembre 2013

la liste de vidal des médicaments contenant de l'aspartame

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VIDAL est une filiale d’UBM Medica (Groupe United Business Media), il est le leader dans le domaine de l’information sur les produits de santé et s’est imposé progressivement comme la référence incontournable. Il réalise une information sur le médicament ainsi que des outils d’aide à la décision thérapeutique favorisant le bon usage et basée sur des référentiels validés. VIDAL diffuse cette information, qui constitue une référence pour les professionnels de santé, sur des supports papier et des outils électroniques au sein de logiciels métiers.

  la liste des médicaments à éviter,

 

Vidal

- See more at: http://actuwiki.fr/2/1572/#sthash.3apgu1WQ.dpuf
25 septembre 2013

Le plus inutile et le plus dangereux des dépistages est celui du cancer du sein.

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Le « dépistage » a tout va est devenu à la mode. Tout comportement de notre corps doit être soumis à de fréquentes et régulières vérifications : surveillance de la tension, de la prostate, du taux de cholestérol, du diabète et bien d'autres pathologies qui nous menacent sournoisement. Il existe ainsi des campagnes-promotions de dépistage qui font la fortune des laboratoires et les belles heures des médias qui n'éprouvent aucune gêne à nous rappeler plusieurs fois par jour qu'il est urgent de faire vérifier notre corps comme nous le faisons pour nos moteurs de voitures.

Mais le plus inutile et le plus dangereux des dépistages est celui du cancer du sein. À travers les medias, toutes les instances de santé incitent les femmes à faire, chaque année, une mammographie pour éviter ce cancer, mais personne ne signale à toutes celles qui vont se conformer à ces examens qu'ils comportent de nombreux risques.

Le Dr Henri Pradal, pharmaco-toxicologue, avait fort bien résumé la situation, il y a trente ans. Pour lui, les « dictateurs du scalpel et du radium » ont su entretenir pendant des décennies une propagande mensongère sur l'efficacité de leur pratique en s'appuyant sur l'argument non vérifiable qu'un diagnostic précoce donne au cancéreux toutes les chances de guérir. Il affirmait : « Il est facile de démontrer que la radiographie des seins de toute une population féminine particulièrement exposée au cancer provoque davantage de processus cancéreux qu'elle n'en dépiste. » D'autres médecins partagent ce point de vue.

« Le champ du cancer aux États-Unis est délimité par un monopole médical qui assure un flot constant de bénéfices pour les compagnies pharmaceutiques, les firmes de technologie médicale, les instituts de recherches et les Agences gouvernementales telles que la FDA, le National Cancer Institute, et l'American Cancer Society. » Cette déclaration vient de deux cancérologues réputés, le Dr John Diamond, membre du Royal Australian and New Zealand College of Psychiatry et ancien Président de l'Académie Internationale de Médecine Préventive, et le Dr Lee Cowden, de l'Université St Louis du Missouri. Tous deux sont bien placés pour savoir de quoi ils parlent.

Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements.

Déjà, en 1995, le Dr Samuel Epstein, président de la Coalition pour la Prévention du Cancer, Médaille d'Or de l'Académie de Médecine Albert Schweitzer, auteur de plusieurs centaines d'articles scientifiques sur le sujet, profitait d'une journée nationale de mammographie organisée le 18 octobre aux États-Unis, pour dénoncer les dangers de cette pratique qui, pour lui, n'a jamais fait la preuve de son utilité. Il a insisté sur le fait que lorsque le cancer du sein est ainsi détecté, il existe depuis au moins huit ans et a donc déjà touché les ganglions lymphatiques ou d'autres organes, particulièrement chez les femmes jeunes. Dans son important ouvrage The Politics Of Cancer revisited, paru en 1998 mais non traduit en français, il critique très largement le lobby du cancer et soutient que chez les femmes en pré-ménopause, un cancer détecté sur quatre n'est pas un vrai cancer, mais qu'en revanche, un cancer sur quatre n'est pas détecté.

Les années passées depuis cette époque n'ont pas changé son opinion et, douze ans plus tard, il confirmait ces déclarations dans un article intitulé « Les dangers cachés des mammographies chez les femmes en pré-ménopause ». « Quoique l'on vous dise, refusez les mammographies de routine, particulièrement si vous êtes en pré-ménopause. Les rayons augment vos chances d'attraper un cancer. »

En effet, la pratique annuelle de deux mammographies sur chaque sein pendant une période de dix ans provoque une exposition à 5 rads pour chaque sein, ce qui correspond à la très forte radiation subie par les femmes qui se trouvaient à un kilomètre et demi de l'endroit où furent larguées les bombes atomiques sur le Japon.

Pour Epstein, ajoutées à une angoisse inutile, les mammographies répétées augmentent les risques de cancer. « Des études récentes basées sur les dix années précédentes indiquent une augmentation très nette des cancers quelques années après le début de ces examens fréquents, ce qui confirme la grande sensibilité des seins en pré-ménopause et l'effet carcinogène des radiations ».

La dose moyenne de rads reçus en mammographie pour deux images par sein est de 1 à 4 unités, mais d'après le Pr Epstein, la dose peut parfois être dix fois supérieure. Et Rosalie Bertell, l'une des autorités les plus respectées internationalement en ce qui concerne les dangers des radiations, affirme que chaque rad augmente de 1 % les risques de cancer du sein et correspond à une année de vieillissement. Ces deux spécialistes du cancer ont réitéré leur avertissement dans un article très détaillé et édité par le prestigieux International Journal of Services en 2001 (31(3) : 605-615), intitulé « Les dangers et la non-fiabilité des Mammographies », avec le concours de Barbara Seaman, fondatrice et directrice du Women's breast cancer movement. L'article explique que la plupart des cancers ont été détectés par les malades eux-mêmes et que rien ne vaut la palpation mensuelle de leurs seins par les sujets à risque, « une pratique alternative efficace et sans danger ».

Le Pr Epstein est loin d'être le seul à critiquer cette habitude et le NCI (National Cancer Institute) a publié des statistiques qui montrent que chez les femmes de moins de 35 ans, les mammographies peuvent provoquer 75 cancers pour 15 cancers correctement diagnostiqués.

Après avoir passé en revue toute la littérature mondiale disponible sur le sujet, les docteurs Wright et Muller, de l'Université de Colombie Britannique, ont recommandé l'annulation du financement public des mammographies parce que le « bénéfice obtenu est minime et le mal causé est important. » D'après le Lancet du 1er juillet 1995, les études les plus complètes ne montrent pas de taux de survie accru grâce aux mammographies de routine.

Le NIH (National Institute of Health) estime que ces examens occultent 10 % des tumeurs malignes chez les femmes de plus de 50 ans. À son tour, une étude suédoise menée sur 60 000 femmes a démontré que 70 % des tumeurs détectées par mammographie n'étaient pas des tumeurs. Or, outre le stress émotionnel causé par ces diagnostics erronés, ces femmes ont aussi subi des biopsies toujours dangereuses.

Quant au Dr James Howenstine, médecin américain qui a 34 ans de pratique privée et hospitalière, il signale que « des campagnes massives encouragent les femmes à avoir une mammographie chaque année. Ce rituel annuel génère des résultats faux positifs et faux négatifs qui mènent à des opérations inutiles et une considérable anxiété chez les femmes incorrectement diagnostiquées. »

Enfin, le 8 janvier 2000, The Lancet publiait une étude danoise qui réduisait à néant l'espoir des cancérologues qui croyaient alors qu'en dépistant plus précocement les cancers du sein par mammographie, on réussirait à faire baisser leur incidence et leur mortalité. Le journal concluait qu'en termes de mortalité, une politique de dépistage du cancer du sein « ne serait pas justifiée ».

Une étude publiée en 2005 par le New England Journal of Medicine, confirme que 30 % des cancers chez les femmes de 40 ans ne sont pas détectés par les mammographies.

Et en mars 2006, le mensuel La Recherche signalait à son tour, dans son numéro 395, que « la mortalité par cancer du sein a très peu diminué depuis 20 ans », alors que « les cas diagnostiqués, eux, explosent ». Le journal ajoutait que certains experts dénonçaient les effets pervers du dépistage qui « conduirait à détecter et à traiter des tumeurs mammaires qui n'auraient pas mis la vie de la patiente en danger ».

Le Dr Ken Walker, gynécologue à Toronto, mais aussi le plus célèbre des journalistes médicaux canadiens sous le pseudonyme de « Dr Gifford-Jones », partage son avis : « Les femmes de 40 à 49 ans qui subissent régulièrement des mammographies, sont deux fois plus susceptibles de mourir d'un cancer trois ans plus tard que celles qui gardent leurs seins sous leurs chemisiers ». Ce médecin diplômé d'Harvard estime lui aussi que les diagnostics précoces constituent un mensonge car « il faut huit ans pour qu'une tumeur soit assez importante pour être décelée, ce qui laisse le temps aux cellules cancéreuses de se propager dans l'organisme. Cela n'est pas vraiment un diagnostic précoce ».

À ses yeux, des milliers de femmes servent de cobayes depuis de nombreuses années, pendant que la Médecine cherche de tous côtés les causes du cancer, des bactéries aux gènes, sans penser une seule seconde que l'un des principaux responsables est l'industrie du cancer elle-même.

Ces mammographies exposent les tissus sensibles du sein à des radiations dangereuses, alors que les spécialistes estiment qu'il n'existe pas de « dose acceptable » de radiation. Pour le Pr Anthony Miller, de l'Institut National du Cancer de Toronto, l'ADN du sein est plus vulnérable aux doses réduites de radiation que les tissus thyroïdiens ou la moelle des os.

D'après Diana Hunt, diplômé du centre médical d'UCLA, spécialiste des rayons X, « les radiations reçues par le sein au cours d'une seule mammographie correspondent à 11,9 fois la dose absorbée annuellement par le corps entier ».

La pratique annuelle de deux mammographies sur chaque sein pendant une période de dix ans provoque une exposition à 5 rads pour chaque sein, En conséquence, si une femme commence à subir des mammographies annuelles dès l'âge de 55 ans, à 75 ans elle aura reçu 20 rads. Évidemment, ce pourcentage est proportionnel à l'âge du début des mammographies, ce qui est effarant à l'heure actuelle où elles sont pratiquées de plus en plus tôt. En comparaison, les femmes qui ont survécu aux bombardements de Hiroshima ou Nagasaki ont absorbé 35 rads.

Et plus les cellules du sein sont jeunes, plus leur ADN est endommagé par les radiations. En outre, ce risque est multiplié par 4 chez les femmes porteuses du gène A-T, soit environ 1,5 à 2 % des sujets. Le pourcentage peut sembler minime, mais on estime qu'aux États-Unis environ 10 000 cancers par an sont dus aux mammographies chez les femmes porteuses de ce gène. Une seule mammographie augmente de 4 à 6 fois leur risque de cancer.

Ces recommandations ont été confirmées par la

Task Force (groupe de travail) du ministère de la santé des États-Unis qui recommande de retarder les mammographies jusqu'à l'âge de 50 ans, lorsque la poitrine est moins sensible aux radiations. La coalition nationale du Cancer du sein s'est jointe à ces conseils qui s'appuient sur l'augmentation de ce cancer de 20 % depuis 1975 malgré la multitude de mammographies et les milliards dépensés par les assurances.

Pour les jeunes femmes, les chiffres sont encore plus inquiétants, car une étude du Canadian National Breast Cancer, qui date de 1992, a démontré une augmentation de 52 % de la mortalité par cancer du sein chez les jeunes femmes qui subissent des mammographies. En outre, les femmes enceintes exposées aux radiations mettent leur fœtus en danger avec des risques de leucémies ou de malformations, et les enfants exposés aux radiations peuvent à leur tour développer un cancer du sein à l'âge adulte. Ajoutons à ce terrifiant constat que depuis l'introduction des mammographies, l'incidence d'un certain carcinome du sein aurait augmenté de 328 %.

Le Dr William

John Gofman, professeur émérite de biologie moléculaire et cellulaire à Berkeley et chargé de cours à l'école de médecine de l'université de Californie à San Francisco, spécialiste des effets biologiques des rayons X et des dangers nucléaires, lauréat du prix Nobel, estimait que 75 % des nouveaux cas de cancer étaient provoqués par les irradiations médicales comme les rayons X, scanners, mammographies, tomographies et fluoroscopies. Il leur imputait également la responsabilité de nombreux cas de maladies coronariennes.

Alarm und Fehlalarm

» (Alertes et fausses alertes), Markus Grill signale que « les cabinets de radiologie reçoivent les citadines, alors que des "Mammobil" se rendent à domicile dans les campagnes. 54 unités mobiles sillonnent actuellement l'Allemagne, l'une d'elles appartient à un groupement de radiologues. Coût de l'investissement : 400 000 euros, dont 200 000 pour l'appareil de radiographie. Si chaque jour ouvrable, soit 250 jours par an) 80 femmes se font examiner au tarif de 57 euros remboursés par les caisses, l'équipement spécialisé génère un chiffre d'affaires de plus d'un million d'euros par an. L'intérêt économique est évident pour les radiologues. »

Et il pose la question qui dérange : « Mais l'intérêt pour la santé publique est-il équivalent ? »

Le Spiegel conclut : « On estime que chaque médecin devra examiner en moyenne par trimestre 225 individus en bonne santé et gagnera 21 euros pour les 20 minutes passés (75 minutes par jour). Pour le suivi classique d'un patient, le médecin reçoit 13 euros par mois, pour un examen approfondi 30 euros. Les dépistages sont par conséquent motivés surtout par l'intérêt financier. »

Telle est également la conclusion de Peter Sawicki, Directeur de l'IQWiG (Institut allemand de la qualité et l'efficacité du système de santé), qui pense que les études « sérieuses » répondent aux critères d'une médecine qui prend en compte les éléments scientifiques probants et non les simples « avis d'experts ».

« Pour l'individu lambda, la probabilité d'échapper au cancer grâce aux dépistages se situe entre 0,05 % et 0,1 %. Autrement dit, si 1 000 à 2 000 personnes participent sur plusieurs années aux programmes de dépistage, seule l'une d'entre elles sera sauvée. » Ce comportement, rare actuellement chez la plupart des médecins, lui a coûté sa démission forcée de l'Institut. Cela n'a rien de surprenant car l'industrie pharmaceutique allemande s'est plainte à maintes reprises du comportement de l'Institut et particulièrement de celui de son directeur qui les a souvent empêchés de mettre certains médicaments sur le marché. En outre, Peter Sawicki s'évertuait à réclamer aux laboratoires les études non publiées, ce qui n'est pas « médicalement correct ».

En Allemagne, on pratique en moyenne cinq fois plus de frottis que dans le reste de l'Europe, alors que les femmes allemandes meurent de ce cancer beaucoup plus souvent que dans d'autres pays.

Quant à la ministre de la santé, Ulla Schmidt, elle est une fervente du dépistage au point que, malgré de nombreuses protestations, elle a inclus dans la loi de santé publique le paragraphe 62 pénalisant financièrement tous les malades d'un cancer qui ne se sont pas soumis aux dépistages recommandés.

Tout ceci nous prouve bien que la réalité médicale n'a rien à voir avec la propagande organisée par les laboratoires et si bien relayée par les médias.

En France, les « contrats d'amélioration des pratiques individuelles » (Capi) sont souscrits de manière volontaire et individuelle par les praticiens, pour une durée de trois ans. Les médecins signataires s'engagent à atteindre 16 objectifs de santé publique dans trois domaines : la prévention (par exemple améliorer les taux de patients âgés vaccinés contre la grippe et de dépistages du cancer du sein), un meilleur suivi des pathologies chroniques comme le diabète ou l'hypertension, et l'optimisation des prescriptions de médicaments. Dix mille praticiens, soit plus d'un sur six, ont ainsi signé un contrat avec l'Assurance-maladie.

Sous la plume d'Olivier Auguste, Le Figaro du 25 septembre 2009 nous prévenait : « Les volontaires recevront jusqu'à 7 euros par an et par patient s'ils atteignent certains objectifs, comme le nombre de patients âgés vaccinés ou de patientes ayant effectué une mammographie. »

Les syndicats médicaux sont hostiles à cette relation directe entre médecin et Sécurité Sociale, mais notre remarquable ministre Roselyne Bachelot s'est réjouie du succès des Capi.

On savait déjà que la recherche de rentabilité se retrouve partout, toute profession confondue. On le savait pour la Police, la Gendarmerie, les impôts et autres administrations, mais il est invraisemblable qu'un médecin touche, en dehors de ses honoraires, une prime au rendement des dépenses de santé. Et cela pour des examens qui, non seulement n'ont pas fait la preuve de leur utilité, mais ont bel et bien fait la preuve de leur nocivité.

Sylvie SIMON

"Tout le monde devrait savoir que l'essentiel de la recherche sur le cancer relève, dans une large mesure, de l'escroquerie et que les grandes organisations de recherche sur le cancer négligent leur devoir envers ceux qui les soutiennent".

Linus Pauling Prix Nobel de chimie 1954 et de Paix 1962

 

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20 septembre 2013

SACRIFICE D’ENFANTS AU QUÉBEC "50% des enfants enlevés à leur parent, sans nécessité"

médhi ombre

SACRIFICE D’ENFANTS AU QUÉBEC, :
«Le Québec fou de ses enfants ».Il y a des enfants que l’on assassine froidement à l’arme blanche et les enfants que l’on assassine à petit feu, qui croupissent dans le couloir de la mort, des enfants pour qui toutes possibilités de venir en aide se heurtent aux explications macabres On ne peut rien faire, le dossier est devant le juge!.. «C ‘est comme ça que ça fonctionne» répétés ad nauseam par nos institutions, qui de la commission des droits de la personne, du protecteur du citoyen, nos élus, etc..
Dans la règle du jeu, de gros joueurs, certains psychiatres qui par allégeance, ou considérations partisanes à maintenir des standards artificiels pour la publication et l’obtention de fonds de recherche n’hésiteront pas à délivrer des « maladies à la carte, sur mandat du DPJ», sait-on jamais cela pourrait toujours servir la science!…: http://www.ageofautism.com/2010/03/fombonne-lord-leventhal-vs-children-with-autism.html, «c’est comment ça que ça marche au QG du Dr Éric Fombonne du MCH» :
Le parent escorté d’une intervenante du DPJ( Chantal Carmichael, spécialiste des appels déguisés après cour) se rend dans un immeuble désaffecté, rue Ste Catherine qui donne froid au dos. A l’entrée de l’immeuble se trouve un appariteur assis à une table dans l’obscurité, le parent est invité à décliner son identité et remplir un billet comme dans les régimes soviétiques, après approbation d’un organe de contrôle contacté au téléphone, le parent toujours escorté de l’intervenante du DPJ monte à l’étage supérieur, dans ce lugubre édifice, pas âme qui vive en dehors du Dr Fombonne, fin prêt au sacrifice d’enfants sur mandat express du DPJ,
l’intervenante du DPJ est entendue en premier sans la présence du parent protecteur , lors de l’examen clinique aucune information fournie par le parent, (je précise protecteur) n’est prise en considération, le diagnostic tombe sans appel à la première rencontre, le parent est invité à signer un papier d’une subvention de 160$/mois pour étiqueter l’enfant à la Régie des Rentes, des références pour bilans ultérieurs qui ne verront jamais le jour sont remises au parent, La job terminée, une lettre est adressée par le Dr Fombonne au parent ciblé, l’invitant à s’adresser désormais au médecin traitant de l’enfant qui se trouve être «un médecin de pédiatrie sociale»,

Le jour de l’audience à la chambre jeunesse, Dr Fombonne témoin expert du DPJ qui n’a jamais revu l’enfant viendra témoigner à la place de l’intervenante du DPJ pour retirer la garde au parent aimant protecteur et de ce fait même le DPJ qui a le fardeau de la preuve va se soustraire au témoignage et le tour est joué , le DPJ va tenter de faire signer une entente au parent ciblé : «de reconnaitre le diagnostic émis par le Dr Fombonne, de s’’engager à ne faire aucune autre évaluation pour confirmer le diagnostic du Dr Fombonne et de consentir au droits de garde fixés par le DPJ»
«Mission accomplie», le service après-vente du jugement de garde de la cour supérieure vient d’être assurée au mérite par l’intervenante du DPJ, sous l’œil inquisiteur de l’avocat du DPJ et l’enfant de l’enfant, pas d’arbitrage de juge!.. Je renvoie à ce titre à l’étude de la chercheuse de Marie Jacob ’’ Conflit de garde et DPJ’’ Ou il est démontré que bon nombre parents passent par le DPJ pour régler leur différent en matière de garde, pas nécessairement parce qu’il y a compromission d’enfant, qui «des mères invoquant l’abus sexuel et des pères des problèmes de développement »
‘.http://www.barreau.qc.ca/pdf/journal/vol35/no14/regards.html…………………………………… L’enfant pris en otage, commence alors la descente aux enfers du parent aimant, protecteur qui pensait candidement « qu’un jugement au Québec est force de loi» l’enfant quant à lui va sombrer dans les dédales du DPJ, médication forcée avec de puissants psychotropes, séparation d’avec la figure d’attachement, l’enfant va dépérir au fils du temps, L’intervenante Chantal Carmichael va disparaitre pendant un temps avant de se voir promue a un poste de superviseuse, le Dr Fombonne disparaitra dans la nature, année sabbatique indéterminée , l’enfant ira rejoindre le rang ‘’des orphelins de Duplessis’’..

Toutes tentatives de venir en aide à l’enfant sera vouée à l’échec, « Parole d’évangile, les gardiens du temple » ne voudront jamais perdre la face, pas d’évaluation indépendante pas d’hospitalisation, pas d’arrêt de la médication «c’est coulé dans le béton » Qu’importe la grave compromission de l’enfant les docteurs ‘’MABUSE’’ archétype de génie de l’horreur et du crime, se dissimulent sous de multiples visages et personnalités, ils trouveront toujours quelqu’un pour ré-endosser leur destruction et perpétuer le génie du mal(dans ce cas-ci un octogénaire de l’hôpital Ste Justine QG du DPJ , le psychiatre Michel Lemay) . On peut même finalement en déduire que ‘’Mabuse’’ ne serait que l’expression d’un esprit du mal nécessaire à la société, son but n’est pas de conquérir le monde et de le soumettre, mais bien de le détruire et ne régner que sur ses ruines.

Viendra alors la Commission Charbonneau / le grand épisode « DES CHIFFRES ET DES LETTRES », Le juge Michel Déziel éclaboussé à la commission Charbonneau : Ce juge du district de Laval avait été appelé expressément à statuer dans le dossier de l’enfant au palais de justice de Montréal, suite introduction d’un appel art. 100 sur décision rendue par la chambre de la jeunesse, ultime tentative de venir en aide à l’enfant qui avait perdu ‘’ l’usage du langage’’,
Ce juge, de connivence avec le DPJ qui s’était précipité a introduire une requête incidente pour faire déclarer la mère ‘’quérulente’’ et bloquer l’appel de son enfant, a condamné cette mère sur un faux en l’absence de factures a des frais d’ honoraires d’avocats fictifs avec dommages-intérêts, d’un montant de 20.000$, au vu d’une simple lettre frauduleuse d’un avocat de la partie adverse sorti du dossier de garde depuis des lustres , des sommes non identifiés, référant à priori aux dates de procédures de la garde d’enfant (jugements intérimaires de garde de la juge Nicole Benard, J.C.S, de la juge Danielle Grenier J.C.S. et jugement final du juge Herbert Marx J.C.S, ayant statué respectivement sur la garde,) ont été prises au hasard dans cette lettre.

Jugement circonstancié a été rendu par le juge Michel Déziel pour bâillonner cette mère selon la loi 9 du nouveau code de procédure et bloquer l’appel de son enfant, Un petit enfant qui aurait pu hélas être sauver dès 2010 avec recommandations expresses de spécialistes au dossier, psychologues, pédopsychiatre, milieux scolaire, CLSC signalant la détérioration extrême de l’enfant et l’urgence à intervenir avant qu’il ne soit trop tard , un enfant dont l’avenir est présentement hypothéqué a jamais Ce jugement fallacieux fait malheureusement l’objet de jurisprudence…….NB. .le Barreau saisi à cet effet pour réclamer les factures mystérieuses des frais d’honoraires à l’avocat en question, Me Guy Ste Marie, cabinet Gurkin a Longueuil, Affaire classée sans suite !… «c’est comme ça que ça fonctionne», répétés ad nauseam PAR LES GARDIENS DU TEMPLE DE DROITS ET LIBERTÉS!…
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1381679652048189&set=a.1381679522048202.1073741828.100006185013619&type=1&theater

Fombonne, Lord, Leventhal vs. Children with Autism – AGE OF AUTISM
http://www.ageofautism.com
By Katie Wright What kind of human being makes money by testifying against disab..

15 juin 2013

LES AIMANTS GUÉRISSEURS

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Le magnétisme pénètre le corps, pour permettre à nos fonctions vitales de mener à bien leur rôle. Dans cette une approche thérapeutique, le magnétiseur utilise l'énergie électromagnétique qui enveloppe les corps des êtres vivants pour soulager différents mal.

Compte tenu que chaque être vivant est un aimant vivant en attraction avec d'autres aimants, il possède une énergie propre avec la faculté de la partager. Ces échanges d'énergie favorisent l'équilibre, contrairement à la maladie qui est un état de déséquilibre, de faiblesse passagère, d'autre fois fatale.

LES AIMANTS GUÉRISSEURS


« L’aimant attire le fer, écrivait Paracelse au xv siècle : il a aussi un pouvoir sur toutes les maladies qui se propagent à partir d’un centre, sans cesser d’affecter celui-ci, et l’application sur ce centre peut y ramener la maladie, la circonscrire et l’arrêter. La
règle d’or de la médecine consiste précisément à arrêter 1’extension du mal, à le rassembler, à le faire disparaître. L’aimant est donc spécialement favorable dans toutes les inflammations, flux et ulcérations, dans les maladies de l’intestin et de l’utérus, dans les affections internes aussi bien qu’externes. »


C’est sous la direction de Charcot que fut entreprise, en 1879, l’étude de l’influence des aimants sur des malades de La Salpêtrière.
Charcot ne faisait d’ailleurs que reprendre les expériences de Maggiorani qui, en 1869, avait essayé
de restaurer la médication magnétique en cherchant à 1’établir sur des données scientifiques.
Les barreaux aimantés furent donc expérimentés à nouveau, à cause de leur facilité d’application. Les
résultats parurent assez intéressants et constants pour que Proust et Gilbert-Ballet fassent une étude assez
approfondie de leur utilisation. Onze malades furent choisis comme sujets : huit femmes atteintes d’anesthésie ; trois hommes, l’un affecté d’hémi-anesthésie saturnine, un autre d’anesthésie toxique par le sulfure de carbone, et le troisième d’hémi-anesthésie produite par une tumeur cérébrale. Les résultats furent les suivants : toutes les hémi-anesthésies sensorielles disparurent temporairement, quelle qu’ait été la cause de 1’affection. Le nombre, la force des aimants, les temps
d’application varièrent avec chaque malade de 15 à 20 minutes a plusieurs heures, avec un ou plusieurs aimants. Il en fut de même de certaines anesthésies diffuses et généralisées.


-7-A noter que la sensibilité reparaît, dans le côté anesthésié, du centre à la périphérie et c’est toujours
le thorax qui recouvre la sensibilité en premier lieu. Ce fait paraît établir une différence entre la métallothérapie et l’action des aimants. Dans le premier cas, les métaux semblent agir sur les parties périphériques
du système nerveux. (L’application d’une pièce d’or à l’avant-bras détermine le retour de la sensibilité d’abord
à son niveau, pour ensuite s’étendre). Au contraire, les aimants paraissent agir sur les organes centraux.
Chez un malade atteint de tumeur cérébrale et d’hémianesthésie à gauche, si l’on appliquait les aimants de ce côté, la sensibilité reparaissait, mais de l’autre côté se produisaient des phénomènes épileptiformes. La durée pendant laquelle persistait la sensibilité était variable, mais courte, sauf chez deux des malades (tumeur et intoxication par le sulfure de carbone), où, après la quatrième application des aimants, le retour de la sensibilité dura plus de 40 jours.


Proust et Ballet, mettant en rapport deux malades hémianesthésiques, en plaçant la main de l’un dans
la main de l’autre, appliquèrent les aimants au premier : ils constatèrent alors que, par l’intermédiaire du corps du premier malade, agissant comme conducteur, l’action des aimants était transmise au second qui voyait, comme le premier, son anesthésie disparaître.
Des expériences variées leur montrèrent que, dans ce cas, il ne s’agissait pas d’une action à distance des aimants sur le second malade, puisque si l’on met les deux patients à côté l’un de l’autre, dans la même position que précédemment, mais sans que les mains soient en contact, l’action des aimants sur le second malade n’as pas lieu Dans nos traitements par les courants négatifs,
selon la méthode d’Abrams, si nous réunissons deux ou plusieurs malades se tenant mutuellement par la main,
nous constatons la transmission du courant négatif auquel est soumis le premier malade en rapport avec
l’appareil, jusqu’au dernier de la chaîne. Un écouteur téléphonique en relation avec ce dernier, permet d’entendre le courant rythmé appliqué au premier patient.

L’application prolongé des aimants provoqua chez trois malades de vives douleurs au niveau de l’épigastre
et à la partie intérieure du thorax. -8-Debove appliqua le traitement par les aimants à des hémiplégiques et constata leur action sur la mobilité et chez cinq malades, atteints d’hémiplégie saturnine, il nota le retour de l’audition, de la vue et de  l’odorat. Si les aimants ne sont pas doués de propriétés rigoureusement spécifiques, ils font cependant partie du groupe des agents physiques qui semble agir principalement sur les affections nerveuses. L’aimant peut aussi agir, sans être directement en contact avec la  peau,à 1 ou 2 centimètres de distance, en face de la  partie du corps sur laquelle on veut agir, ou sur la vertèbre. Sous l’action des aimants, le tonus et les zones  de matité ou de submatité des organes se modifient.


L’influence d’un barreau aimanté sur l’organisme a été étudié par le Dr Jules Regnault. C’est ainsi qu’il
a constaté que les pôles d’un barreau aimanté approchés de l’extrémité des mains, modifient l’index oscillométrique, et que les réactions changent avec le sexe du sujet examiné. Il semble donc bien qu’il existe une polarité sexuelle et une énergie allant de la main versla terre.


Un aimant placé au niveau de la 7e vertèbre cervicale, sans contact, fait diminuer un anévrisme de l’aorte de 2 centimètres environ.
Une des extrémités d’un barreau aimanté approchée à 5 centimètres du foie, modifie la matité hépatique : il en est de même si l’on approche l’aimant de la 2e vertèbre lombaire. « Aucune raison ne s’oppose scientifiquement à ce que l’aimant possède des propriétés biologiques; cellesci ne sont pas niées pour la chaleur et l’électricité.


Pourquoi refuser à une énergie physique ce qu’on accorde aux autres surtout si, comme il est plus que probable, les agents physiques ne sont que des formesvariées d’une même énergie. L’expérience montre que l’aimant pour agir, n’a pas besoin, d’être volumineux
ni doué de propriétés magnétiques énergiques s’il est actif par ses pôles » (Drs Comment et Creuzé).Depuis que ces pages ont été écrites de grands progrès ont été réalisés dans la fabrication des aimants et leurs applications industrielles.
C’est ainsi que sont nés les aimants permanents fabriqués par des laboratoires spécialisés et dont la
forme nouvelle a été désignée sous le nom de Ticonal. -9-Les alliages Ticonal (nom déposé des alliages nickel - alu - cobalt à direction privilégiée) sont élaborés au four électrique à haute fréquence à partir de matières spécialement affinées. Le métal est coulé à 1600° dans des moules de précision, en sable et bakélite, où il refroidit sous contrôle.

Les pièces sont soumises à un traitement thermique complexe dans un champ magnétique puissant de direction rigoureusement superposable à la direction d’aimantation finale.  Après les opérations de rectification et finition, les aimants sont contrôlés et expédiés par lots homogènes.  Les alliages Ticonal ont une très grande intensité d’aimantation. Les autres formes sont destinées à l’industrie etapplicables aux compteurs, moteurs, téléphone, etc... Des aimants artificiels utilisés en industrie et en bijouterie ont été réalisés avec des poudres agglomérées  de métaux analogues ou ayant les mêmes propriétés que les aimants indiqués ci-dessus.

16 février 2013

90% des cigarettes contiennent du plastique

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L'habitant de la commune qui a porté plainte après être tombé sur un "petit bout de film plastique" près du filtre, selon L'Yonne républicaine, devrait dans la foulée attaquer sa marque favorite.

Si la douane judiciaire chargée d'analyser les cigarettes, confirme bien avoir trouvé ce plastique, surtout, qu'ils n'oublient pas de vérifier pendant qu'ils y sont, toutes les marques chez tous les buralistes de France et de Navarre. Car de sources certaines; lisez plus loin, le plastique incriminé serait présent dans toutes ces petites sucettes à cancer. Et pour cause !

"On essaiera de comprendre comment on peut avoir du plastique à l'intérieur", ont-ils ajouté. De grâce, quelqu'un peut-il réveiller cet énergumène qui fait semblant de dormir ? Mais peut-être sera-t-il ce vaillant guerrier que révèlera cette affaire, en s'attaquant aux vrais coupables, ceux qui collent du plastique dans les cigarettes de tous les consommateurs, sans même se fatiguer à faire de la contre-façon ! Autant en mettre directement; pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?

"Nous sommes extrêmement concernés par cette affaire et on souhaite faire des analyses au plus vite pour déterminer la nature exacte de ces éléments", a réagi auprès de l'AFP Céline Audibert, porte-parole du fabricant de cigarettes Seita, filiale française d'Imperial Tobacco.

Très bien, nous allons pouvoir l'aider un petit peu, en qualité de modestes citoyens contributeurs que nous sommes, si toutefois...


L'acétate de cellulose, inventée en 1865,  sous forme de fibres (fil textile, autrefois appelée acétol ), a été vendu sous le nom de rayonne, soie artificielle, viscose, etc. Ce produit a connu de nombreux usages, comme base de films en photographie, vernis (dont pour l'aéronautique 5 lors de la Première Guerre mondiale ), comme faux-émail ou encore comme composant de certains adhésifs ou explosifs ; on l'utilise encore comme matière plastique, par exemple dans les montures de lunettes ou les poignées de tournevis. Plus récemment, il est utilisé pour la confection de cartes à jouer
(notamment la marque Kem ). Source Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ac%C3%A9tate_de_cellulose

Des recherches de documents ont été menées dans la littérature scientifique, les journaux médicaux, les brevets US, les papiers présentés au cours de réunions ou encore les documents présentés au cours de procès.

Voici ce que révèlent ces recherches :

Plus de 90% des cigarettes vendue dans le monde ont un filtre constitué de plus de 12 000 fibres d’acétate de cellulose. Ces fragments d’acétate de cellulose à l’extrémité du filtre qui sera mis dans la bouche, peuvent être séparés du filtre. Lorsque ces cigarettes sont fumées de manière normale, ces fragments se séparent facilement du filtre et sont inspirés. Dans d’autres cigarettes qui ont en plus une partie de filtre en charbon, des particules de carbone sont également aspirées. Ces cigarettes qui libèrent des fibres d’acétate de cellulose et du carbone sont défectueuses.

Les auteurs de ces recherches mettent en évidence que très tôt, les compagnies de tabac avaient identifié le défaut des filtres et la libération des fibres d’acétate de cellulose au cours de l’aspiration de la fumée. Elles n’ont à priori pas mené de tests cliniques destinés à déterminer quelles sont les conséquences sur la santé de l’inhalation de produits provenant du filtre, qu’il s’agisse de fibres d’acétate de cellulose ou de particules de carbones, ou encore d’autres produits mal identifiés.

Source :  Cigarettes with defective filters marketed for 40 years: what Philip Morris never told smokers J L Pauly, A B Mepani, J D Lesses, K M Cummings, R J Streck, Tob Control 2002;11:i51-i61 doi:10.1136/tc.11.suppl_1.i51 Alerte, on va arrêter la distribution des cigarettes ! Autres articles : http://www.idealmag.org/Cigarettes-alerte-on-va-arreter-la-distribution-pour-cause-de-plastique-_a407.html

11 août 2012

Alzheimer et Parkinson sont des maladies inflammatoires causées par des biotoxines !

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Le caractère inflammatoire de la maladie d’Alzheimer/Parkinson est actuellement confirmé, ne serait-ce que par son nouveau traitement par le bleu de méthylène, sous forme de la spécialité Rember. Nous lisons en effet ceci dans Wikipédia : «Le bleu de méthylène est le produit qui serait actif dans un essai thérapeutique de phase II contre la maladie d'Alzheimer/Parkinson, en inhibant l'agrégation de la protéine Tau, constituant de base de la dégénérescence neurofibrillaire (Société TauRX, produit appelé Rember, Prof. Claude Wischick). »

Un autre inhibiteur de la protéine Tau est l’anticorps de synthèse nommé bapineuzumab, développé par la société irlandaise Elan. Ce produit est actuellement en tests de phase III (efficacité) sur 4 000 patients dans le monde. Le laboratoire Johnson & Johnson va investir 1 milliard de dollars afin de commercialiser au plus vite cette molécule. (Science et Vie, janvier 2010, p. 62)

Ce caractère inflammatoire fait suspecter une infection bactérienne. Or, dans de très nombreux cas d’Alzheimer et de Parkinson, l’on retrouve dans les tissus la bactérie spirochète Borrelia burgdorferi, responsable en particulier de la maladie de Lyme. Il convient donc de rechercher et éventuellement d’éliminer cette bactérie par les divers moyens indiqués dans la page en bas   rédigée à son sujet.

L’hypothèse d’une infection bactérienne à l’origine de maladies neurologiques (Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques et même diabète) est fondée sur les travaux du chercheur allemand Heiko Braak, tels que rapportés par Mathieu Nowak dans l’article intitulé « Parkinson, l’incroyable hypothèse » (Science et Vie, novembre 2011, p. 98-102). Les neurones entourant le côlon (appelé « le deuxième cerveau ») présentent parfois des lésions identiques à celles que l’on trouve dans le cerveau (la substantia nigra en cas de Parkinson) de patients atteints de neuropathologies. Des parkinsoniens traités par antibiotiques pour une infection intestinale par Clostridium difficile ont en effet manifesté, dès reprise du transit intestinal normal, une amélioration très nette et durable de leurs symptômes nerveux. Comme dans le cas de la « protéine tau » trouvée dans le cerveau des sclérosés en plaques ou du prion dans l’encéphalopathie spongiforme, des toxines issues de bactéries ou de virus ou d’autres sources externes provoqueraient –d’abord dans la zone intestinale ce qui signe l’importation alimentaire- l’accumulation progressive d’une protéine (l’alpha-synucléine) formant finalement des corps de Lewy entraînant la mort des neurones intestinaux, puis se propageant jusqu’au cerveau avec les conséquences que l’on connaît.

Depuis 1819, quand James Parkinson a décrit la maladie de Parkinson en précisant "nous n'avons trouvé aucune cause pathologique concluante pour expliquer les causes et l'évolution de la maladie", nous avons plus de questions que de réponses concernant l'étiologie et la pathogénèse de la maladie de Parkinson, de la sclérose en plaques et de beaucoup d'autres maladies dégénératives du système nerveux ; ces maladies pourraient être classées dans la catégorie des maladies provoquées par les biotoxines. A ce jour, nous ne disposons pas de traitements qui arrêtent ces maladies ou les rendent réversibles.

Des autopsies réalisées sur de jeunes adultes décédés de la maladie de Parkinson n'ont pas démontré de processus dégénératifs. Ces morts semblent avoir été causées par des biotoxines migrantes dans le cerveau, entraînant l'anarchie dans les neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine, GABA, acéthylcholine, etc...), dans les membranes nerveuses pré- et post-synaptiques, changeant l'action moléculaire des enzymes, des hormones et de beaucoup d'autres molécules. Finalement, dans l'explication du manque d'énergie et de fatigue invariablement présents dans la maladie de Lyme et dans la liste des 300 maladies présentées comme étant "proches" des biotoxines de Borrelia burgdorferi, un fait de toxicologie moléculaire a été corrélé : les neurotoxines de Borrelia burgdorferi empêchent le calcium de circuler, provoquant une destruction des enzymes et d'autres composants moléculaires impliqués dans la production d'énergie. Des rapports attestent de l'effet toxique de cette bactérie sur les noyaux cellulaires et même sur l'A.R.N. et l'A.D.N.

Le test français de Borrelia burgdorferi n'est pas fiable. Faites d'abord le test francais et, s'il est négatif, faites le test BCA, qui semble fiable à 100%, par le site Borreliose Centrum d’Augsburg (BCA) où se font les analyses (test Elispot) détaillées de cette maladie (tél. +49 821 455 471-0 - service@borreliosecentrum.be). Il s'agit d'un centre qui propose, en plus du traitement antibiotique une approche plus globale, dont la naturopathie, les conseils alimentaires, etc. Le rétablissement complet de plusieurs personnes atteintes de SLA au stade terminal après une thérapie appropriée montre à quel point il est crucial de diagnostiquer la maladie de Lyme. Référence : revue Nexus 65 (11-12/09) p. 58-65, sous la plume du Dr James A. Howenstine, qui suggère un traitement par Uncaria tomentosa (Griffe du Chat ou Liane du Pérou).

D’après le thérapeute Pierre Arzant, la bactérie Borrelia burgdorferi se retrouve dans 100% des cas d’Alzheimer et Parkinson, mais aussi -dans une proportion semble t-il moindre- dans la sclérose en plaques (SEP), dans la sclérose latérale amyotrophique (SLA), dans toutes les maladie psychiatriques y compris la schizophrénie, dans la fatigue chronique, la fibromyalgie, les dermatites, les maladies auto-immunes, les réactions inflammatoires oculaires, la surdité soudaine, la mort subite du nourrisson, le trouble du déficit de l’attention (TDA), l’hyperactivité, les douleurs chroniques, le cancer, les maladies cardiaques et dans bien d'autres affections. Transmissible par le sang et par le sperme, il n'est pas rare de voir toute une famille contaminée : il suffit de se frotter un œil et ensuite de donner une poignée de main. Une personne sur 6 est contaminée lors d'une transfusion de sang. Beaucoup de personnes sont contaminées sans le savoir. Tant que les défenses immunitaires sont intactes, il n'y a pas de symptômes, mais il suffit d'un stress, d'une vaccination, d'une intoxication au mercure dentaire pour que se déclenche une pathologie.

L’hypothèse d’une infection bactérienne à l’origine de maladies neurologiques (Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques et même diabète) est fondée sur les travaux du chercheur allemand Heiko Braak, tels que rapportés par Mathieu Nowak dans l’article intitulé « Parkinson, l’incroyable hypothèse » (Science et Vie, novembre 2011, p. 98-102). Les neurones entourant le côlon (appelé « le deuxième cerveau ») présentent parfois des lésions identiques à celles que l’on trouve dans le cerveau (la substantia nigra en cas de Parkinson) de patients atteints de neuropathologies. Des parkinsoniens traités par antibiotiques pour une infection intestinale par Clostridium difficile ont en effet manifesté, dès reprise du transit intestinal normal, une amélioration très nette et durable de leurs symptômes nerveux. Comme dans le cas de la « protéine tau » trouvée dans le cerveau des sclérosés en plaques ou du prion dans l’encéphalopathie spongiforme, des toxines issues de bactéries ou de virus ou d’autres sources externes provoqueraient –d’abord dans la zone intestinale ce qui signe l’importation alimentaire- l’accumulation progressive d’une protéine (l’alpha-synucléine) formant finalement des corps de Lewy entraînant la mort des neurones intestinaux, puis se propageant jusqu’au cerveau avec les conséquences que l’on connaît.

Pistes de traitement de la maladie de Lyme

 

Une étude approfondie (assortie de 19 références scientifiques) sur cette maladie a paru dans la revue Nexus 65 (11-12/09) p. 58-65, sous la plume du Dr James A. Howenstine, qui suggère un traitement par Uncaria tomentosa (Griffe du Chat ou Liane du Pérou). Borrelia Burgdorferi semble également sensible à « l'argent colloïdal » (tel qu’on le trouve par exemple dans l’Oligosol Cu-Au-Ag), ainsi qu’aux huiles essentielles (méthode suisse du « Tic-Tox », plus efficace que l’antibiothérapie).

Méthodes d’obtention de l’argent colloïdal

 

Une telle suspension nanométrique peut être obtenue par différents moyens, dont les suivants. On trouve par exemple sur le marché un petit générateur d’ions Ag plus ou moins solubilisés en colloïdes ou en nanoparticules dans de l’eau ultrapure et fonctionnant sous 30 V cc (ou 9 V cc en version portable). Cet appareil américain est certainement efficace, mais il est peu précis car la taille des particules obtenues varie avec l’intensité du courant envoyé sur l’électrode Ag ! L’adaptateur secteur convient pour le 240 V européen,mais ses 2 broches sont du type plat américain. Il existe des adaptateurs de voyage permettant de les raccorder à un socle européen pour broches rondes mais le plus simple est souvent de donner un coup de ciseaux sur le fil et de le visser dans une fiche normalisée.

 

A mon avis, il est facile de construire soi-même un petit électrolyseur de ce type et d’utiliser une cuiller en argent ou une électrode plus pure. Une électrode Ag pour dynamiseur Marcel Violet (toujours en vente aux Laboratoires Marcel Violet, 82 rue Saint-Lazare, 75009 Paris) serait aussi appropriée, d’autant que l’eau dynamisée à l’argent par l’électrolyseur à décharges Marcel Violet (également très simple à construire) serait certainement plus efficace afin de détruire la Borrelia. Plus simple encore, je suggère de passer commande en pharmacie d’une spécialité française contenant de l’argent colloïdal normalisé (on est ainsi plus certain de la pureté et du dosage) : le collyre « Stillargol 1 % ». Il s’agit d’un protéinate d’argent en solution à 1 % fabriqué par les Laboratoires Mayoly Spindler et que l’on pouvait autrefois obtenir par les grossistes habituels (autorisation 309996-7) mais qui ne semble plus disponible actuellement. Il y a des années que je l’utilise après quelques redilutions calculées pour arriver à la dose de 400 millionièmes (« ppm ») recommandée dans les études américaines relatives aux applications de cette suspension.

 

Dans les pathologies où la gaine de myéline a été abîmée, la cause infectieuse est certes combattue par l'argent colloïdal. Mais afin de réparer la myéline, il faut consommer chaque jour 1 jaune d'œuf cru bio du jour, pour le bon cholestérol (HDL) ainsi que de l'huile de coco (extraite de la pulpe et du lait de la noix de coco, que l’on peut aussi consommer nature) afin de consommer de l'acide laurique (ou dodécanoïque). Le cholestérol HDL et l’acide laurique favorisent en effet le développement des cellules souches, réparatrices de la gaine de myéline.  Le cholestérol HDL est nécessaire à la synthèse de la myéline. Afin de faire monter le HDL, consommer le moins possible de graisse saturée, prendre des oméga 3, des pommes, stopper complètement la consommation de sucre blanc et d'alcool. Consommer des jaunes d'œuf crus ou très peu cuits (à la coque, car le jaune doit rester liquide).

 

La levure de bière est un complexe naturel de vitamines du groupe B. La vitamine B12, en collaboration avec les B9 et B6, est nécessaire à la conversion de l'homocystéine en méthionine, elle-même nécessaire à la production de myéline. On retrouve la méthionine dans la spiruline et dans les noix du Brésil. L'homocystéine est un acide aminé qui, en excès, est néfaste à nos nerfs. Quand la vitamine B12 fait défaut, l'homocystéine s'accumule dans le sang. Des taux élevés d'homocystéine sont responsables de problèmes cérébrovasculaires. La niacine (vitamine B3) améliore les problèmes de Parkinson. Des biopsies ont montré que les fibres nerveuses reconstituaient leur gaine de myéline après une cure de vitamine B11 ou L-acétyl-carnitine, dont l’action est favorisée par l'acide alpha-lipoïque (ALA). Notre organisme synthétise la carnitine en présence de méthionine et de lysine. La haute teneur en phospholipides (97%) et choline de la lécithine la rend indispensable pour le cerveau et la myéline. La vitamine D, le cuivre, l’iode, le fer et le zinc interviennent également dans le processus de myélinisation. L’huile d’onagre, par sa richesse en acide gamma-linolénique (GLA), contribue également à régénérer la gaine de myéline. Il est toutefois préférable d’obtenir cet acide gras par synthèse normale des précurseurs contenus dans d’autres huiles végétales.

                                                                                                              

Il convient aussi de prendre des anti-oxydants tels que le concentré de melon + Q10 + OPC + germanium +  zinc + sélénium + oligo-éléments (sel de l'Himalaya). En fait, pour qu'une pathologie se déclare, il faut qu'il y ait 3 causes:  (A)  l'intoxication aux métaux lourds, vaccination ou mercure dentaire ou stress - (B) contamination par la bactérie Borrelia burgdorferi  - (C) inversion de polarité de la cellule à cause de l'excès de sodium et du manque de potassium. Il faut donc agir de 5 façons: (1) détoxication (iode, sélénium, cobalt) - (2)  décontamination de Borrelia burgdorferi par l'argent colloïdal et (3)  réparation de la gaine de myéline (jaune d'oeuf bio cru + noix de coco) comme décrit ci-dessus.

Décharge de responsabilité. Ce dossier n'est qu'une simple information. Il n’a aucune valeur médicale, donc aucune valeur de diagnostic et de ce fait ne dispense nullement la consultation de son médecin. Comme d'habitude, cet article est purement informatif. Chaque lecteur demeure donc, en fonction de son propre discernement, personnellement et intégralement responsable de l'usage qu'il en fera ou n'en fera pas.  Si vous êtes malade, veuillez consulter votre médecin. Toutes les informations relatives aux moyens et produits naturels de santé se trouvant sur le présent dossier,  sont données gracieusement à titre d'information et d'éducation des lecteurs et du public en général, dans une optique de prévention et d'invitation à la prise en charge de sa santé individuelle par soi-même. Il s'agit de cultiver par la prévention, le respect du corps en bonne santé. Ces informations ne constituent jamais, en aucun cas, une démarche de diagnostic ou de traitement des maladies. Les informations données ne prétendent pas avoir de valeur probante dans le domaine scientifique ou médical. Elles sont données de bonne foi, dans un but d'être utiles aux personnes, capables d'autonomie, en quête de santé naturelle, et elles sont mises à jour en fonction des expérimentations individuelles progressivement disponibles. Chacun qui utilise à son profit les informations données le fait donc sous sa propre responsabilité et doit à chaque fois faire preuve du plus grand discernement. Je n'assume, bien évidemment, aucune responsabilité d'ordre médical. Les personnes malades sont invitées à consulter un médecin.


6 juillet 2012

Des activateurs de croissance utilisés dans les élevages,dans les yaourts de vos enfants

probiotique

SUPER IMPORTANT ­ A DIFFUSER LARGEMENT

 

Pour votre info.

 QUI MANGE DES YAOURTS, QUI EN DONNE A SES ENFANTS?  - 

* YAOURTS ACTIVIA ET ACTIMEL*
 
DANONE OBLIGÉ DE RETIRER SA PUBLICITÉ  MENSONGÈRE APRÈS 15 ANS DE MATRAQUAGE ET  DE DÉGÂTS

 

Le «pavé dans le pot de yaourt» qu¹a lancé  Didier Raoult, chercheur français dans la prestigieuse revue scientifique «Nature» de septembre 2009 a fini par être payant.


Pour le patron du labo de virologie de la Timone à Marseille, les yaourts et autres boissons lactées farcis aux probiotiques  que l¹on nous fait avaler depuis près de 20 ans auraient une    grosse part de responsabilité dans l¹épidémie d¹obésité qui  frappe les enfants. Les probiotiques que Danone ajoute à tout va dans divers yaourts sont selon les allégations de la marque assénées à la télévision, censées « booster » les défenses immunitaires.
 
On en trouve plus de 1 milliard par pot d¹Activia ou d¹Actimel.


Le hic est que ces bonnes bactéries «actives et vivantes»,  (dixit: Danone), sont les mêmes que celles utilisées depuis   longtemps dans les élevages industriels comme activateurs  de  croissance pour faire grossir plus rapidement cochons et  poulets. Un porc ainsi gavé de probiotiques, c¹est plus de 10 % de gagné sur la balance.  Danone pousse donc à «élever» nos enfants comme des cochons ou des poulets. En fait, en début d¹année, des chercheurs ont eu l¹idée decomparer la flore intestinale des obèses et des non obèses. Et là, surprise, les premiers étaient bourrés de probiotiques - ceux qu¹on trouve justement dans les yaourts «santé plus». Didier Raoult commente: «On a autorisé pour l¹alimentation humaine des activateurs de croissance utilisés dans les élevages, sans chercher à savoir quel serait l¹effet sur les enfants».
 
Du coup, celui-ci a réclamé des études pour connaître le rôle précis de TOUS les produits lactés dans l¹épidémie d¹obésité infantile. En outre, il n y a pas que les enfants qui sont victimes de cette supercherie; j¹ai rencontré de nombreuses femmes potelées bien que sous alimentées, et qui cherchaient désespérément à maigrir en se limitant à quelques yaourts par jour plus quelques babioles. Et désespérante désillusion, elles continuaient à grossir, étaient de plus en plus fatiguées et fragiles, surtout en hiver où il est indispensable de se YANGUISER, alors que les yaourts sont hyper YIN.
 
D¹où l¹article «Aigle moqueur» que j¹avais passé dans «Pratique de Santé» sous le titre «DEVENEZ XXL AVEC DES YAOURTS»  Finalement, les semeurs d¹alerte indépendants ont fini par émouvoir les services officiels avant que le scandale n¹éclate trop au grand jour. C¹est ainsi qu¹ils viennent de mettre la pression sur le groupe Danone, l¹obligeant, selon les termes délicats des grands journaux «à revoir sa copie» (Un monstre comme Danone, çà se ménage).


Il faut tout de même réaliser que cela pourrait être un coup dur pour le lobby puisque les groupes Actimel Europe et Activia Europe pèsent ensemble > 1,5 milliards d¹Euros sur un chiffre total Danone de 15 milliards, soit 10 %.  Mais je ne me fais guère de soucis pour cette entreprise de tricheurs, car entre ses discrètes et adroites manoeuvres de retrait publicitaires et les addictions de beaucoup de consommateurs automatisés, il n¹y a pas vraiment le «feu au lac», en attendant qu¹on nous invente une autre «salade à la mode».

 

 

*Marie-Ange ZWICKERT*
Secrétariat Maintenance /Belle-Idée - Hôpital de Bellerive/
Département d'Exploitation HUG
Tel 022.305.42.19
Fax 022.305.42.15
marie-ange.zwickert@hcuge.ch

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